LE PLACOTEUX Journal de l’ACVA-TCC du BSL Décembre 2016

SOMMAIRE

LE MOT DU C.A. _________________ 1 LE MOT DU DIRECTEUR _________ 2 VOTRE ASSOCIATION EN BREF _ 3 TÉMOIGNAGE ____________________ 4 CHRONIQUE BIEN-ÊTRE _________ 6 CHRONIQUE CINÉMA ____________ 7 CHRONIQUE RÉFLEXION ________ 8

CHRONIQUE POÉSIE _____________ 9 CHRONIQUE SPORTIVE _________ 10 CHRONIQUE SANTÉ ____________ 11 SPÉCIAL NOËL __________________ 12 SECTION JEUX _________________ 15 LES ANNIVERSAIRES ___________ 20 RÉPONSES AUX JEUX __________ 21

LE MOT DU C.A.

Bonjour à toutes et à tous. Le 27 octobre dernier commençaient les véritables festivités entourant le vingt-cinquième anniversaire de notre association. Pour célébrer dignement cet événement, plus d’une cinquantaine de membres s’était réunie à la salle communautaire Arthur-Buies de Rimouski afin de partager un dîner haut en couleur. Notre présidente, madame Nicole Pelletier nous a offert un court historique de notre association, de ses débuts jusqu’à nos jours tandis que notre directeur monsieur Guillaume Couture nous a esquissé les projets à développer pour les prochaines années. Par la suite, nous avons eu droit à une performance musicale de Nadia Côté, à une démonstration de karaté de Sylvain D’Astous ainsi qu’à des témoignages de Michel Fréchette et de Mathieu Lapointe. Il vous est possible d’en apprendre plus et d’en voir davantage en consultant notre page Facebook. Vous avez raté cette célébration? Qu’à cela ne tienne. La fête n’est pas terminée pour autant. La clôture de ce vingt-cinquième anniversaire aura lieu lors de notre dîner de Noël où nous serons invités à festoyer tous ensemble. Encore une fois, ce sera une magnifique occasion d’échanger nos vœux de circonstance et de partager un bon repas entre amis et amies. C’est donc un rendez-vous le samedi, 10 décembre 2016 à l’Hôtel des Gouverneurs. Au nom du conseil d’administration, je tiens à vous souhaiter de très joyeuses fêtes.

Michel Fréchette

Membre du C.A. et témoin de tout ce qui s’y passe de bon.

Membres du conseil d’administration :

Nicole Pelletier, présidente (Rimouski-Neigette) Michel Fréchette, vice-président (Rimouski-Neigette) Diane Chouinard, secrétaire-trésorière (Rimouski-Neigette) Christiane Turcotte, administratrice (Matane) Sylvain D’Astous, administrateur (Mitis) Marc-André Gauvin, administrateur (Témiscouata)

Gaston Caron, administrateur (Rivière-du-Loup)

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MOT DU DIRECTEUR

Nous voici déjà à la fin de l’automne, les lumières de Noël commencent à apparaitre et on sent bien la fébrilité du temps des fêtes dans l’air. Je suis heureux de vous présenter cette édition du journal, certains membres se sont impliqués en fournissant des textes, des jeux et même des témoignages. Il est important pour nous de sentir la participation de tous et chacun dans le Placoteux car c’est un journal fait par nos membres et pour nos membres. Il y a déjà un an, je commençais mon travail comme directeur au sein de l’ACVA TCC du Bas-St-Laurent. Le temps passe vite lorsqu’on est dans un milieu qu’on apprécie et qui nous offre la possibilité d’apprendre et de s’enrichir d’expériences nouvelles. C’est mon sentiment envers l’association, je me suis rendu compte rapidement que nous formions une belle famille unie et solidaire. C’est une grande chance pour moi de vous côtoyer aussi souvent. Plusieurs d’entre vous ont vécu des moments difficiles au court de leur vie, certains ont dû réapprendre à marcher, parler et surtout s’adapter à leur nouvelle réalité. Ce qui me rend le plus fier, ce sont les qualités hors du commun que beaucoup de nos membres possèdent; la volonté, la persévérance, le courage et la résilience. Vous êtes des exemples à suivre, des modèles de ténacité et de résilience qui nous permettent à notre tour de dépasser nos limites. Alors, continuez à avancer, à poursuivre vos rêves et ne laissez jamais personne vous en éloigner car ce n’est pas la destination qui importe, mais le chemin parcouru. Une fois de plus, laissez-moi remercier mon équipe de travail qui se donne corps et âme afin de donner un service d’excellence. Ce que j’aime de notre équipe, c’est la sensibilité face aux membres, on sent qu’au-delà du travail il y a des liens solides qui se sont tissés. Je suis fier de faire partie de cette équipe dynamique et créative, où l’éthique professionnelle est de mise. De plus, nous pouvons compter sur des administrateurs dévoués et heureux de pouvoir contribuer à l’amélioration des services offerts par l’association.

Guillaume Couture

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VOTRE ASSOCIATION EN BREF

25 ème anniversaire de l’Association

Comme vous le savez, cette année l’association fête son 25 ème anniversaire. Notre diner du 27 octobre pour célébrer l’évènement fut une belle réussite. Dans une ambiance festive, une cinquantaine de membres présents ont dégusté un repas simple, mais concocté avec amour par l’équipe et des membres de l’association. De plus, nous avons eu droit à de remarquables présentations lors de l’évènement. Madame Nadia Côté a fait une belle performance et démontré tout son courage en présentant 3 chansons à un public conquis. Par la suite, Monsieur Sylvain D’Astous nous a dévoilé tout son talent en exposant sa plus grande passion, soit des mouvements de karaté. Aussi, d’autres membres ont livré de vibrants témoignages sur leurs parcours depuis leurs accidents. Nous avons pu voir l’importance de la persévérance et de la volonté de s’en sortir lorsqu’on doit s’adapter à nouvelle vie. À l’association des personnes ACV TCC du Bas-St-Laurent, nous apprécions l’implication des membres dans les différentes étapes d’organisation d’un tel évènement. Un grand merci à notre fabuleuse équipe pour la préparation de la fête et aux membres du comité du 25 ème anniversaire qui ont tous mis la main à la pâte!

Projet concernant les proches aidants Aidant naturel ou proche aidant sont deux termes couramment utilisés lorsqu’on travaille auprès des personnes qui ont eu un accident vasculaire cérébral (AVC) ou un traumatisme crânio-cérébral (TCC). Effectivement, l’accident entrainera la personne à rechercher de l’aide par un proche dans l’accomplissement des tâches au quotidien. Que ce soit de manière temporaire ou permanente, ces personnes qui gravitent autour des gens qui ont eu un AVC ou un TCC sont des ressources importantes, qui ont de multiples besoins. L’ACVA-TCC offre des activités entre aidants afin de permettre un lieu de partage où ceux-ci peuvent se retrouver et s’entraider ainsi que des rencontres individuelles au besoin. Adréanne, stagiaire au Baccalauréat en travail social à l’UQAR, est présentement en train de faire une analyse des besoins auprès des proches aidants qui sont membres affiliés de l’association. Ces données serviront à connaître les besoins des proches aidants et pouvoir offrir des services qui sont adaptés à leur réalité. Adréanne sera parmi nous jusqu’à la fin du mois d’avril.

« Ça n’arrive pas qu’aux autres » La semaine Québécoise du traumatisme crânio-cérébral a eu lieu du 16 au 22 octobre 2016. Sous le thème : « Ça n’arrive pas qu’aux autres », l’équipe de l’ACVA-TCC du Bas-St-Laurent a fait plusieurs sensibilisations auprès de la population, notamment auprès d’adolescents à la maison des jeunes de Mont-Joli ainsi que de Rivière-du-Loup. Il n’est jamais trop tôt pour sensibiliser les jeunes aux risques de certaines pratiques ou actions dangereuses. De plus, Jessica Labrie et Guillaume Couture ont participé à une rencontre provinciale organisée par le regroupement des associations de personnes traumatisées craniôcérébrales du Québec (RAPTCCQ). À cette rencontre, plusieurs formations étaient offertes sur divers sujets, tels que les droits des personnes accidentées et sur les comportements difficiles suite à un TCC. Ces formations sont des lieux d’échanges pour les différentes associations qui vivent des réalités semblables. Nous revenons donc de cette formation très motivée et avec de nouvelles idées afin de développer l’association et de continuer à offrir une qualité de service à nos membres.

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TÉMOIGNAGE

Comment le corps médical a pu stimuler ma récupération en prédisant son échec

Je me présente, Mathieu Lapointe, 28 ans. De 19 à 23 ans ma vie consistait essentiellement à errer de par le monde, sans objectif particulier, le voyage pour le voyage, sans prétention, sans destination finale ou objectif précis, par tous les moyens envisageables; pouce, voiture, bus, etc. Mais voilà, ma vie a pris un tournant pour le moins inattendu, alors qu'un parfait inconnu m'a agressé sans raison particulière au détour d'une ruelle de la ville d'Antigua au Guatemala. La panique s'installa chez mes amis de voyage avec qui je passais la soirée qui n'ont pas eu le réflexe d'appeler l'ambulance immédiatement, mais seulement le lendemain alors que je ne répondais plus aux stimuli. Le système de santé publique guatémaltèque n'étant pas très efficace, l'hôpital public me retourna à l'auberge où je logeais. Mes amis contactèrent l'ambassade canadienne qui eut tôt fait de me référer à un hôpital privé de la capitale situé à une heure de route. Dès mon arrivée à l'hôpital, le neurochirurgien, le docteur Jose Antonio de Matheu, un homme formidable et fervent croyant, dû me retirer une partie du volet osseux afin de laisser de l'espace à mon cerveau qui ne cessait d'enfler. Mon père qui était à ce moment-là en vacances à La Barbade fut, non sans difficulté, contacté afin qu'il puisse venir me rejoindre. Lors de son arrivée, le docteur Matheu eut les sages paroles auxquelles nous nous accrochons encore à ce jour, lors de moment plus difficile de la réadaptation: He have everything to come back, all you need is faith and patience (il a tout pour revenir, tout ce dont vous avez besoin se résume en deux mots, foi et patience). Dès mon retour au Québec, à l'hôpital l'Enfant-Jésus, je débutais mon parcours dans le difficile chemin de la réadaptation. Mes premières appréhensions, et celles de mes parents apparurent dès ce moment. Ce fut tout d'abord par la lourdeur administrative de tout le processus, puis par l'incompatibilité des pronostics avec ceux du docteur Mattheu. Après un mois à l'Hôpital l'Enfant-Jésus, j'eus enfin mon congé pour me diriger vers l'IRDPQ avec un dossier qui laissait déjà peu d'espoir quant à mon avenir, et ce, malgré la réputation de cet établissement. Arrivé sur place, j'eus droit à toute une série d'évaluations, tant au niveau physique que cognitif. Les spécialistes étaient catégoriques; tout se jouait dans les premiers 6 mois suivants l'accident et pourtant cela ne les a pas fait procéder plus rapidement à l'évaluation de mon cas. Après un mois d'évaluation, ils entamèrent finalement les traitements, qui ne furent malheureusement pas à la hauteur de mes attentes et à celles de mes proches.

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Après 7 mois de réadaptation intensive entre les murs de l'IRDPQ, il fut décidé de me retourner dans un CHSLD de ma ville d'origine et les intervenants voulurent contraindre mes parents à signer les formulaires nécessaires afin de pouvoir, légalement, m'y envoyer, ce à quoi mes parents s'opposèrent, ayant toujours en tête les sages paroles du docteur Matheu. Ils adaptèrent donc le domicile familial en un temps record (3 semaines). Je pus ainsi déménager à mon domicile plutôt qu'en CHSLD. Suite au rapport final de l'IRDPQ, je me vis refuser les traitements en tant que patient à l'interne à l'URFI (Unité de réadaptation fonctionnelle intensive) de Mont-Joli. Ceux-ci consentirent tout de même à m'offrir des services à l'externe, mais toujours bien en deçà de ce qui m'aurait été nécessaire afin de récupérer dans un délai raisonnable. Cette série de pronostics, sans espoir de récupération, eut pour effet de venir chatouiller mon orgueil démesuré que mon passé de planteur d'arbres avait contribué à forger. Je me répétais sans cesse: « Si tu as réussi à passer au travers de 3 saisons de plantation, avec les mouches, la pluie, la neige, les abeilles et des conditions de vie misérables tu devrais pouvoir traverser ça". Je brulais aussi d'une colère ardente envers tous ces spécialistes qui avaient émis tous ces pronostics, sans vraiment rien connaître de ma personnalité combative ni de mes antécédents, ainsi que de mon entourage exceptionnel dont je m'en voudrais énormément d'omettre la mention de leur apport essentiel à la réussite de ma réadaptation. Maintenant, presque 5 ans plus tard, je peux me targuer de pouvoir marcher sans appui (dans la maison du moins), de faire du vélo (adapté), de terminer un certificat de niveau universitaire, de nager en moyenne 750 mètres, le temps d'un bain de 45 minutes et de recommencer à jouer de la guitare. L'hémiplégie (paralysie de la moitié contraire à l'hémisphère touché par une hémorragie cérébrale) étant, dans mon cas, l'une des séquelles physiques les plus importantes, de faire de la randonnée en montagnes et d'entretenir mon petit jardin. L'objectif étant que je puisse, éventuellement, posséder assez de surface pour en faire le commerce. Si j'avais un conseil à donner à toutes les victimes d'AVC ou de traumatisme crânio-cérébral ce serait: «Continuer à être actif au maximum, tant au niveau physique que cognitif et conservez la foi, que ce soit en un Dieu quelconque ou en vos propres capacités ". Le véritable miracle de ma réadaptation n'est que la somme d'efforts acharnés, d'amour et de persévérance. Ce n'est pas parce que l’on est pas capable aujourd'hui que l'on ne sera pas capable demain. Poursuivez vos rêves et vivez pleinement!

Mathieu Lapointe, Matane

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CHRONIQUE BIEN-ÊTRE

Lutter contre la grisaille de l’automne – Luminothérapie

Santé Depuis 3 années Stéphanie Lacroix 0 Difficile de se plaindre du temps depuis l’arrivée de l’automne. Souvenez-vous toutefois que le froid, la pluie et la grisaille peuvent survenir à tout moment en automne, affectant du même coup le moral et le niveau d’énergie. Pour éviter de sombrer dans la déprime, considérez la pratique de la luminothérapie. Qu’est-ce que la luminothérapie? Le manque de lumière peut causer de l’irritabilité, une baisse d’énergie, une augmentation de l’appétit, de la fatigue chronique et une baisse de libido. Ces symptômes nuisibles sont associés à ce que les spécialistes appellent le trouble affectif saisonnier (TAS). Près de 20 % de la population canadienne en ressent les effets chaque année. Les femmes et les jeunes adultes sont les plus touchés par ce problème de santé. Lorsque les heures d’ensoleillement diminuent au tournant du mois de septembre, les rythmes circadiens, qui régissent une période de 24 heures dans l’organisme, peuvent se trouver débalancés. La luminothérapie consiste simplement en une thérapie par séances d’exposition à une lampe imitant le rayonnement solaire, dit à large spectre, qui agit sur ces rythmes et en rétablit l’équilibre. Du même coup, les symptômes associés au TAS diminuent. Utilisation La luminothérapie se pratique principalement à la maison, mais peut également se faire dans des cliniques spécialisées. Il est recommandé de planifier les séances de 20 à 30 minutes le matin pour en optimiser l’effet. Il suffit donc d’allumer la lampe en déjeunant ou en lisant le journal. Essayez d’intégrer ce réflexe à votre routine matinale. Vous pouvez continuer à vaquer à vos occupations pendant le traitement, pourvu que votre visage demeure baigné par la lumière pendant toute la séance. Il est donc préférable de demeurer assis à la table de cuisine ou au salon, et de vous détendre. Il est toutefois essentiel de garder les yeux ouverts pendant la séance. Une distance de 50 centimètres entre la lampe et votre visage doit être respectée. Bienfaits Rapidement, les utilisateurs constatent l’effet bénéfique sur le taux d’énergie. Selon les statistiques, de 50 à 80 % des utilisateurs de lampes thérapeutiques en ressentent les effets positifs en une à quatre semaines. Ce taux est comparable à celui des utilisateurs d’antidépresseurs, mais la luminothérapie n’entraîne pas d’effets indésirables comme les médicaments peuvent le faire. Conseil d’achat Les magasins de produits naturels et de médecines douces, les boutiques de matériel orthopédique, les pharmacies ou les boutiques de luminaires offrent des lampes de luminothérapie. Lorsque vous cherchez à vous procurer une lampe, certains critères doivent être considérés. Il faut idéalement viser une lampe qui produit une lumière de 10 000 lux, ou 2500 lux dans le cas d’une lampe DEL. Assurez-vous que la lampe n’émet pas de rayon UV. Lorsque le traitement est prescrit par un professionnel de la santé, certaines compagnies d’assurance rembourseront le coût de la lampe. Renseignez-vous auprès de votre assureur. Alors, plutôt que de fuir dans les tropiques ou de consommer des médicaments, donnez une chance à la lumière de vous redonner votre énergie et votre joie de vivre!

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CHRONIQUE CINÉMA

Chronique Film

Bonjour à tous et à toutes, pour cette édition du journal je vais vous parler du film « Hannibal ».

Ce film policier de Ridley Scott sorti en 2001 met en vedette Anthony Hopkins, Julian Moore, Gary

Oldman et Giancarlo Giannini.

Dans cette suite du « Silence des agneaux », on retrouve la brillante stagiaire du FBI Clarice

Starling et le psychopathe cannibale, le docteur Hannibal Lecter. Évadé de la clinique

psychiatrique de haute sécurité, le célèbre tueur en série s’est réfugié à Florence, où il est

apparemment devenu un esthète raffiné vivant dans les évocations du quattrocento.

Référence : Le Petit Larousse des films

Votre Chroniqueur Cinéma : Carol Dumas

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CHRONIQUE RÉFLEXION

Les aidants, ces athlètes psychologiques

Le rôle de proche aidant est très exigeant au plan psychologique. Il nécessite d’assumer de

multiples responsabilités qui demandent une grande quantité d’énergie, généralement sur de

longues périodes. Selon une étude réalisée à l’Université du Québec à Chicoutimi, le niveau de

détresse psychologique chez les proches aidants est de 25% plus élevé que la moyenne. Karène

Laroque, psychologue, compare les proches aidants à des athlètes psychologiques en raison des

exploits qu’ils réalisent au quotidien. Elle souligne la patience dont ils font preuve, l’attention

constante qu’ils portent envers leur proche et le contrôle de soi nécessaire lors de situation

difficile. Et cela tout en maintenant un bon moral pour la personne aidée.

Pour continuer à accomplir son rôle de proche aidant et les exploits psychologiques qui en

découlent, il devient important, voire primordial pour la personne de refaire ses réserves

d’énergie régulièrement. Le proche aidant a besoin de toute son énergie et c’est en s’accordant

des moments de détente qu’il peut se ressourcer pour remplir son rôle. Toutefois, se détendre

peut devenir un véritable défi dans un quotidien aussi chargé. Comment faire ?

Penser à vous : Penser à vous signifie se réserver chaque jour du temps pour recharger vos

batteries en faisant ce qui vous plait, ce que vous aimez.

Étirez-vous : Les tensions musculaires, souvent liées au stress peuvent être atténuées par des

exercices d’étirement. Il suffit de s’adonner à des exercices de relaxations qui permettent un

relâchement musculaire des zones les plus sensibles (nuque, épaules, jambes) et offrent une

détente psychologique.

Respirez : Pour réussir à lâcher prise au moins une fois par jour, vous pourriez pratiquer la

respiration rythmique. Il s’agit d’une méthode naturelle d’inspiration par le nez vers les poumons

puis le ventre, et d’expiration par la bouche.

Johanne Leblanc, Centre de soutien aux proches aidants (Source : L’appui pour les proches aidants en collaboration avec Julie Martin, conseillère aux

proches aidants, Karène Laroque, psychologue et Marie-Josée Lagacé, psychoéducatrice) Tiré du journal : La sagesse en action –Relais santé

Fourni par : Mme Micheline St Laurent

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CHRONIQUE POÉSIE

Là où chacun acquitte sa peine

Il existe, sur la montagne

Un de ces lieux magiques

Le point culminant du rêve

D'où la scène hypnotique

Cet endroit est le sommet

En une altitude artistique

Où chacun acquitte sa peine

Après l'effort prolifique

À l'aube de la perfection

Il est une zone panoramique

Où l'espace-temps pardonné

Nous offre un air idyllique

Il existe, sur la montagne

Un de ces lieux magiques

Ou subsiste indéfiniment

Un présent pur et magnifique

Votre poète en herbe : Kareen Fortin

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CHRONIQUE SPORTIVE

Bonjour, chers lecteurs (trices),

L’Océanic a bien débuté la saison avec deux victoires à Baie-Comeau, premier match, victoire éclatante de 5-0 et le second une victoire de 2-1 en fusillade. Ensuite, ce fut le premier match à domicile, se terminant par une défaite de 7-2. Entre le premier et le deuxième match, il y a eu la présentation des joueurs au Carrefour Rimouski, auquel j’ai assisté. Cet évènement annuel a eu pour effet de motiver les joueurs puisqu’ils ont gagné la rencontre par la marque de 7-3 contre les Voltigeurs de Drummondville devant 2606 personnes. Depuis ce temps, ils ont évolué sur les patinoires adverses, ne récoltant pas de victoire. Plus récemment le 14 octobre, ils ont eu une victoire de 10-6 contre Wildcats de Moncton. Et le dimanche suivant, on a eu droit à une autre belle prestation, ils ont gagné le match 7-1 et le gardien Lagacé a presque réussi un blanchissage, le joueur des Olympiques a traversé la patinoire d’un bout à l’autre pour ce but. Et je viens d’apprendre que le numéro 42, Andrew Picco a décidé de quitter l’organisation pour des raisons personnelles. Nous lui souhaitons bonne chance dans ses projets futurs.

Votre journaliste sportif

Martin Côté

Le saviez-vous? Les personnes atteintes d’une forme de démence (maladie

d’Alzheimer ou autre) continuent de réagir à la musique.

«La musique familière agit comme une sorte de mémoire proustienne qui rappelle des

émotions et des associations depuis longtemps oubliées : elle permet d’accéder à

nouveau à des états d’âme et des souvenirs, des pensées et des mondes qui auraient pu

sembler perdus à jamais. Les visages redeviennent expressifs sitôt que les airs d’antan

sont reconnus et que les émotions resurgissent : une ou deux personnes se mettent à

chanter, d’autres les imitent, puis tous les spectateurs (y compris ceux qui ne

s’exprimaient presque plus) finissent par chanter ensemble de leur mieux.» – p. 421

Musicophilia : la musique, le cerveau et nous

Olivier Sacks

Éditions Points

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CHRONIQUE SANTÉ

Chantez pour garder la santé

Avez-vous déjà remarqué que chanter est bon pour votre moral? Voici pourquoi!

Vous vous levez le matin de mauvaise humeur, vous allumez la radio et c’est votre chanson préférée qui se fait entendre. Soudain, un sourire se dessine sur vos lèvres, vous oubliez votre mauvais réveil et vous fredonnez la chanson le reste de la journée! L’inverse est aussi possible : il peut arriver d’entendre une musique qui vous rappelle une personne décédée ou bien un événement triste de votre vie. Toutes sortes d’émotions sont reliées à la musique. Que vous soyez religieux ou pas, j’ose parier que vous n’êtes pas insensible au Minuit Chrétien. Si vous êtes souverainiste, je suis certaine que lors des remises des médailles olympiques, un petit frisson vous parcourt malgré tout lorsque vous entendez le Ô Canada. À la fermeture d’un bar, vous aimez toujours entendre les premières notes de The Final Countdown du groupe Europe (un classique). Une chose est certaine, la musique est une forme de thérapie et vous pouvez vous en servir pour aller mieux. À n’importe quelle heure et n’importe quel endroit, chanter est un moyen d’aller bien, de rassembler, de faire naître des sourires, d’accorder un moment de répit aux personnes qui souffrent de douleurs physiques ou psychologiques et même parfois de guérir. Ma mère Micheline, auxiliaire de vie sociale pour une coopérative de soins à domicile, m’a souvent raconté comment elle arrive à faire réagir certains de ses patients lourdement atteints par la maladie d’Alzheimer en leur chantant une chanson : «Leur visage s’illumine quand ils entendent chanter, et même s’ils ont oublié certaines paroles, ils se mettent à chanter avec moi.» C’est ce qu’elle m’a confié, en plus de son grand succès : Partons la mer est belle. Que votre voix soit juste ou pas, chanter vous fera toujours du bien, physiquement et

mentalement. Selon Philippe Barraqué, musicologue et musicothérapeute, chanter élimine

le stress, chasse les idées noires, améliore les capacités respiratoires, soulage les maux de

dos, renforce le système immunitaire et offre un effet lifting 100% naturel! Avec

l’engouement pour le monde choral au Québec, des bars à karaoké et des émissions à succès

autour de la chanson, il est indéniable que la musique occupe une place importante dans

nos vies.

À tenter la prochaine fois que vous aurez une mauvaise journée : pensez à une chanson qui

vous fait du bien et chantez-la à pleins poumons. Je m’excuse d’avance à mes voisins pour

mes prestations de L’Ange vagabond de Richard Séguin, mais ça fait tellement du bien!

Est-ce que vous aimez chanter? Quand le faites-vous?

http://www.canalvie.com/sante-beaute/bien-etre/chanter-1.1707248

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CHRONIQUE SPÉCIALE NOËL

Histoire de la fête de Noël

Avant de fêter Noël, au I siècle avant Jésus Christ, Rome célébrait le culte de Mithra, divinité perse

de la lumière. Le 25 décembre était alors le jour du solstice d’hiver, la naissance de la divinité

Mithra, le « soleil invaincu » où l’on sacrifiait un taureau en son honneur.

Pour la religion chrétienne, la fête de Noël n’existait pas; c’est à partir du 2e siècle que l’église

recherche la date précise de la naissance du Christ.

L’absence de document établissant la date de naissance de Jésus permit de laisser le champ libre

à l’église pour choisir une date qui coïncide avec le solstice d’hiver, et ce pour aller contre la fête

païenne de la divinité Mithra.

Vers 330, l’empereur Constantin fixa la date du 25 décembre. Mais ce n’est qu’en 353, avec le

pape liberos, que la fête de la naissance du Christ fut établie à Rome.

En 425, l’empereur Théodose officialise les cérémonies de la fête de Noël. Noël devient ainsi une

fête exclusivement chrétienne. Le concile Agde, en 506, rendit la fête obligatoire. L’empereur

Justinien, en 529, en fit un jour férié.

C’est à partir du 5e siècle que l’on commença à célébrer la messe de minuit.

La fête de Noël se répandit progressivement en Europe. Elle fut célébrée dès le 5e siècle en Irlande,

au 7e siècle en Angleterre, et au 8e siècle en Allemagne.

Aujourd’hui, Noël est devenu une fête davantage traditionnelle que religieuse. Elle donne

l’occasion de passer du temps avec ceux que l’on aime et de se rassembler. Elle permet aussi aux

enfants de recevoir des cadeaux!

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Noël ailleurs La Finlande : Le repas de Noël se prend en silence. Par après, la famille se réunit autour de l’âtre, et on procède à un échange de cadeaux divers.

L’Inde : Avant Noël, tout autour de la maison on dispose des lampes allumées, le long des murs. L’église où est célébrée la messe de minuit est abondamment décorée à l’extérieur comme à l’intérieur. Cette messe dure entre 2 et 3 heures. Le jour de Noël, l’hospitalité est un devoir. Le maitre de la maison vous accueille en vous servant de la Thalie et des galettes. Comme présents, on échange des fruits, des fleurs et des gâteaux.

La France : À Paris, on place la crèche près d’un arbre décoré de lumière, de guirlandes et

d’ornements divers. Mais cette crèche doit compter, parmi ses figurines, le ravi, sorte de

personnage qui rit tout le temps et qui tient dans ses mains une lanterne pour éclairer

son chemin.

La Norvège : On place aux fenêtres des bâtons auxquels on accroche des grappes de millet

pour nourrir les oiseaux.

L’Iraq : Le jour de Noël, les familles se regroupent dans une cour intérieure et allument

des chandelles pendant qu’un enfant lit les passages de la Bible sur la Nativité. On fait

aussi un feu de joie avec des branches à épines. Si elles se consument toutes, c’est un

signe de bonheur pour toute la famille. On saute ensuite sur les cendres 3 fois, en faisant

un souhait.

L’Autriche : C’est à Obendorf, près de Salzbourg, que fut chantée pour la 1ère fois en 1818,

la veille de Noël, la mélodie devenue célèbre dans le monde "Sainte nuit". Au Tyrol, ce

même jour, on prépare les strudels (gâteaux de fruits et de noix) et des paquets qui seront

remis aux pauvres le lendemain.

La Grande-Bretagne : Dans les maisons décorées de cartes de vœux de Noël, on dépose

les cadeaux autour du sapin. La tradition veut que le père Noël descende par la cheminée,

et qu’il place des cadeaux dans les bas suspendus au pied du lit des enfants ou près de

l’arbre. Durant le repas de Noël, on sert le chrismas pudding dans lequel une pièce

d’argent a été cachée. Il paraît que celui qui la trouvera aura du bonheur durant toute

l’année qui suit.

La Russie : On chante et prie autour de la verteb (crèche). Si on se fiance, on le fera à l’occasion de Noël. Et tout le village sera invité. On profitera de ce moment pour lancer des fleurs.

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La Hollande : Ici, les fêtes de Noël commencent le 5 décembre avec l’arrivée par les quais

d’Amsterdam, de Sinter Klass (Saint-Nicolas env. 270-343). Ce sont les fêtes de la lumière :

on en trouve partout. Avant le repas de Noël, on observe 3 minutes de recueillement en

silence autour d’un repas de dinde farcie aux pruneaux. À cette occasion, le pain, cuit avec

toutes sortes d’arômes, occupe une place prédominante.

La Belgique : La veille de Noël, les enfants déposent leurs sabots à la porte. Ils les

découvriront le lendemain, remplis de fruits, de caramels et de coquilles (sortes de petits

pains). À minuit, le 24, on allume 70 000 lanternes sur la grande place publique de

Bruxelles. Le jour de Noël, on sert un gâteau dans lequel sont cachés un pois et une fève

qui serviront à élire le roi et la reine qui présideront aux réjouissances familiales.

La Bulgarie : Le jour de Noël, le pain cuit maison est brisé et distribué par le maitre de

maison qui a le devoir d’en réserver des morceaux destinés aux animaux. Après le repas,

on invite des devins et des mages qui feront leurs prédictions pour la famille sur divers

sujets : amour, argent, mariage, récolte, etc. On jette une bûche dans le foyer en

souhaitant que le feu prenne bien. Car, si elle devait s’éteindre au départ, ce serait un

signe de malheur dans l’année qui vient.

La Suisse : Dans les rues de Küssnacht, bourg de 6000 personnes, un étrange défilé a lieu.

Il regroupe une centaine d’hommes, compagnons qui précédent Saint-Nicolas et

annoncent sa venue en balançant des clarines dont les sons doivent maintenir le rythme.

La Suède : La période de Noël commence le 13 décembre, jour de la fête de Sainte-Lucie,

vierge martyrisée sous Dioclétien au IVe siècle. En sa mémoire, le jour de Noël, à 4 heures

du matin, la fille cadette de la maison revêt une tunique blanche, met sur sa tête une

couronne où sont déposées 7 bougies, et sert du café et des petits gâteaux à tous les

membres de sa famille. Durant le repas de Noël, on laisse une place libre à table. Elle

réservée au pauvre qui pourrait se présenter sur les lieux.

La Pologne : Le jour de Noël, on mange le pain azyme qui est rompu et distribué par le

chef de famille. Ici, les szopka (crèche) sont très élaborés, abondamment décorés et ont

deux étages de haut : le 1er représente une scène de la Nativité; le 2e présente les héros

nationaux du pays.

La Grèce : Le Christopsomo, le pain du Christ, est cuit obligatoirement la veille de Noël. On le décore ensuite des emblèmes ou armoiries de la famille. On fabrique aussi des petits pains spéciaux qui seront donnés aux animaux dans le but de les protéger des maladies.

De la revue "Quoi de neuf ?"

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SECTION JEUX

CHARIVARI

1) Gars

2) Mérite

3) Tend

4) Cire

5) Avec

6) Armer

7) Visa

8) Rude

9) Chien

10) Écran

ÉNIGMES DU PÈRE FOURRAS 1)

A. Si en amour, ils sont appréciés B. Les gros eux sont à éviter C. Certains servent pour les jeux

2) A. Habitués des bibliothèques B. Leur avarice et légendaire C. Au moindre grain, ils quittent le navire.

3) A. On le demande B. On le poursuit C. On le perd

Fourni par : M. Réjean St-Pierre

JEUX QUESTION SUR LES PRÉNOMS 01- Langage de programmation adapté au traitement d'applications scientifiques. 02- Batterie de tambours ou sonnerie d'un clairon qui annonçait le réveil. 03- Pièce d'or française, appelée aussi Napoléon. 04- Roue portant à sa périphérie les caractères d'impression de certaines machines à écrire et de certaines imprimantes d'ordinateurs. 05- Homme amoureux de sa propre image.

LE PLACOTEUX, JOURNAL DE L’ACVA-TCC PAGE 15

TEXTE À TROUS

Vous rappelez-vous cette fable de Jean de La Fontaine apprise à la

"petite école" ? Je vous demande de compléter les espaces laissés

en blanc afin de reconstituer cette fable qui traite des dangers de

l'avarice.

Riches – derniers – rapportaient – jours – voulant – corps – ôté – trouva - or

Celles – bien – leçon – perd – poule – trésor – devenus – tôt – œuf – fable -

Poule – tua – soir

La _ _ _ _ _ aux œufs d' _ _ L'avarice _ _ _ _ tout en _ _ _ _ _ _ _ tout gagner Je ne veux, pour le témoigner, Que celui dont la _ _ _ _ _ , à ce que dit la _ _ _ _ _, Pondait tous les _ _ _ _ _, un _ _ _ _ d'or. Il crut que dans son _ _ _ _ _ elle avait un _ _ _ _ _ _. Il la _ _ _, l'ouvrit, et la _ _ _ _ _ _ semblable À _ _ _ _ _ _ dont les œufs ne lui _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ rien, S'étant lui-même _ _ _ le plus beau de son _ _ _ _. Belle _ _ _ _ _ pour les gens chiches : Pendant ces _ _ _ _ _ _ _ _ temps combien en a-t-on vus Qui du _ _ _ _ au matin sont pauvres _ _ _ _ _ _ _ pour vouloir trop _ _ _ être _ _ _ _ _ _ !

CASE-CHIFFRES

Chaque brique de ce dessin est la somme des deux briques situées juste en dessous d'elle. Sauriez-vous trouver les chiffres qui manquent ? Les additions successives doivent respecter les nombres déjà positionnés.

http://legrenierdebibiane.com/Jeux/mots5.htm

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LE PLACOTEUX, JOURNAL DE L’ACVA-TCC PAGE 17

LE PLACOTEUX, JOURNAL DE L’ACVA-TCC PAGE 18

Mandala de Noël

TROUVER LES SEPT

LE PLACOTEUX, JOURNAL DE L’ACVA-TCC PAGE 19

LES ANNIVERSAIRES

*Si vous n’êtes pas sur la liste, veuillez communiquer avec nous

L’ÉQUIPE DE TRAVAIL DE L’ACVA-TCC VOUS SOUHAITE UNE BONNE FÊTE

LE PLACOTEUX, JOURNAL DE L’ACVA-TCC PAGE 20

JANVIER

02-Élaine Malenfant

03-Sylvie Guay

06-Simon Desjardins

08-Almas Côté

10-Thomas Bouchard

13-Richard Pichette

19-Jean-Claude Caron

23-Rolland Bergeron

25-Pierrette Dion

25-Steve Michaud

28-Paul Lemieux

28-Sylvie St-Gelais

29-Cécile Boucher

FÉVRIER

09-Patrice Dumont

10-Carol Dumas

11-Francine Desjardins

24-Germain Rioux

25-Pauline Ouellet

26-Josée Perreault

DÉCEMBRE

02-Richard Lizotte

11-Anita Soucy

11-Érika Caron

14-Robert Émard

16-Raymond Beaulieu

27-Roberto Dancause

RÉPONSES AUX JEUX

CHARIVARI

1) Gras

2) Métier

3) Dent

4) Crie

5) Cave

6) Ramer

7) Avis

8) Dure

9) Chine

10) Nacre

ÉNIGMES DU PÈRE FOURRAS 1) Les mots 2) Les rats 3) Le chemin

JEUX QUESTION SUR LES PRÉNOMS

01- Pascal 02- Diane 03- Louis 04- Marguerite 05- Narcisse

TEXTE À TROUS La poule aux œufs d’or L'avarice perd tout en voulant tout gagner Je ne veux, pour le témoigner, Que celui dont la poule, à ce que dit la fable, Pondait tous les jours, un œuf d'or. Il crut que dans son corps elle avait un trésor. Il la tua, l'ouvrit, et la trouva semblable À celles dont les œufs ne lui rapportaient rien, S'étant lui-même ôté le plus beau de son bien. Belle leçon pour les gens chiches : Pendant ces derniers temps combien en a-t-on vus Qui du soir au matin sont pauvres devenus pour vouloir trop tôt être riches !

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Télécopieur : 418 723-2220 Site web : www.acvatcc.com

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