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LE PLACOTEUX Journal de l’ACVA-TCC du BSL Juin 2014 SOMMAIRE LE MOT DU C.A. ................................................1 CHRONIQUE SPORTIVE ..................... 16 MOT DE l’ÉQUIPE DE TRAVAIL ...........................2 CHRONIQUE VOYAGE ....................... 17 MOT D’UN BÉNÉVOLE .......................................5 CHRONIQUE CINÉMA ....................... 20 APHASIE ...........................................................6 LES JEUX........................................... 21 TCC ................................................................. 10 LES ANNIVERSAIRES ......................... 22 AVC ................................................................ 12 MÉMO ............................................. 23 AIDANTS NATURELS ........................................ 14 RÉPONSES AUX JEUX ........................ 24 CHRONIQUE LITTÉTAIRE .................................. 15

LE PLACOTEUX - ACVA-TCC du BSL · vos élections ne me regarde pas. Par contre, ... Vous pouvez prendre ... je suis maman d'un très beau garçon de sept ans. Mon fils a un trouble

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LE PLACOTEUX Journal de l’ACVA-TCC du BSL Juin 2014

SOMMAIRE

LE MOT DU C.A. ................................................ 1 CHRONIQUE SPORTIVE ..................... 16

MOT DE l’ÉQUIPE DE TRAVAIL ........................... 2 CHRONIQUE VOYAGE ....................... 17

MOT D’UN BÉNÉVOLE ....................................... 5 CHRONIQUE CINÉMA ....................... 20

APHASIE ........................................................... 6 LES JEUX ........................................... 21

TCC ................................................................. 10 LES ANNIVERSAIRES ......................... 22

AVC ................................................................ 12 MÉMO ............................................. 23

AIDANTS NATURELS ........................................ 14 RÉPONSES AUX JEUX ........................ 24

CHRONIQUE LITTÉTAIRE .................................. 15

LE MOT DU C.A.

Bonjour à toutes et à tous Avec l’arrivée de juin et enfin le départ de la neige, il est temps de passer aux choses sérieuses. En avril dernier, vous avez eu l’occasion de vous pratiquer à voter. Que vous ayez gagné ou perdu vos élections ne me regarde pas. Par contre, un fait est certain. Le 12 juin prochain, vous serez appelés à voter de nouveau et je puis vous assurer que vous en sortirez gagnant. Qu’est-ce qui me rend si confiant ? Ce n’est pas compliqué du tout. Le 12 juin, c’est l’assemblée générale annuelle de l’ACVA-TCC du Bas-Saint-Laurent. Sans vouloir médire à propos des élections du mois d’avril, je peux vous assurer que tous ceux qui se présenteront aux postes de notre conseil d’administration seront des gens INTÈGRES, HONNÊTES et TRANSPARENTS. (Tellement transparent que des fois, ils se verront au travers en prenant leur douche !) Vous avez donc une date importante à encercler en rouge sur votre calendrier. Cette année, elle aura lieu le jeudi 12 juin 2014 à la salle communautaire du pavillon Arthur-Buies. Il y aura des pâtisseries, des ballons et des clowns… Oups ! Là, je m’égare un peu. J’avais en tête l’invitation pour l’anniversaire de mon garçon. Désolé… Mais je ne suis pas si loin de la vérité. En ce qui concerne les pâtisseries, le Tim Hortons est tout près si vous y tenez vraiment. Pour les clowns, j’ai à l’esprit quelques membres qui vont s’en charger avec leurs pitreries comme à chaque année. N’insistez pas, je ne dévoilerai pas de noms. Et pour les ballons… je m’engage à ce qu’il y en ait au moins un dans la salle. Satisfait ? Votre conseil d’administration travaille très fort durant toute l’année à vous rendre la vie plus agréable. Je crois sincèrement que ça vaut la peine de lui accorder une après-midi. Alors, nous vous attendons tous le jeudi 12 juin 2014. J’ai commencé ce mot du C.A. en mentionnant le mot NEIGE. Peut-être ai-je créé un sentiment de

nostalgie chez certains ou certaines d’entre vous. Vous vous sentez soudainement misérables

d’avoir perdu ce doux tapis blanc ? Si elle vous manque tant, je vous propose de regarder notre

reportage ACVA-TCC EN BREF à la cabane à sucre, toujours disponible sur la page Facebook de

l’association.

Michel Fréchette Membre du C.A. et témoin de tout ce qui s’y passe de bon.

Page 1 Le Placoteux, journal de l’ACVA-TCC

MOT DE L’ÉQUIPE DE TRAVAIL

Bonjour à tous,

Comme il est agréable de voir la belle saison qui frappe à nos portes et de profiter du spectacle tout en couleur des fleurs qui s’ouvrent. C’est aussi la période des vacances qui arrivent à grands pas, mais l’ACVA-TCC du BSL ne fait pas relâche pour autant. Nous vous avons préparé une multitude d’activités de toutes sortes. Vous pouvez prendre connaissance des calendriers de juin, juillet et août que vous avez reçu. Qui dit été, dit aussi AGA. Prenez note à votre agenda que le 12 juin 2014 nous nous rassemblons à Rimouski pour notre assemblée générale et nous souhaitons vous avoir parmi nous. Nous tenons encore une fois à remercier tous ceux et celles qui nous envoient des articles, des textes, des témoignages et autres pour la construction du journal. Comme vous l’avez sans doute remarqué, il y a de plus en plus de thèmes abordés dans votre journal, ce qui veut dire que votre participation a augmenté. Nous avons toujours besoin de votre collaboration et de votre implication pour poursuivre notre travail et vous offrir votre journal. Même si la saison estivale approche, nous devons déjà commencer à préparer l’édition de septembre 2014. Et pour ce faire, nous avons toujours besoin de votre collaboration. Nous attendons de vos nouvelles, vous avez la chance de vous exprimer et de faire connaître vos trouvailles. Je veux aussi vous rappeler toute l’importance de parler de votre expérience à l’Association autour de vous, car vous êtes nos ambassadeurs.

Bonne saison estivale à tous !

Page 2 Le Placoteux, journal de l’ACVA-TCC

Chers membres, Par ces quelques mots, je souhaitais vous remercier de votre accueil, mais également de tout le temps que vous avez accepté de me consacrer lors de ces 3 mois, j’ai eu la chance de passer dans votre association et cela fût un grand plaisir. Ce stage m’a permis de connaître des gens dévoués et passionnés de la vie. J’ai beaucoup appris sur l’AVC, le traumatisme crânien et l’aphasie grâce aux sensibilisations et aux membres. Tous les conseils que vous m’avez donnés ne sont rien à côté de ces nombreuses expériences que vous m’avez permis de vivre au sein de votre organisme. J’y ai énormément appris et ce stage représente sans aucun doute une grande étape dans ma vie professionnelle. Je vous remercie de votre disponibilité et de votre confiance, je garderai un très beau souvenir de cette expérience enrichissante et au plaisir de vous revoir.

Josée Bourgoin Stagiaire en éducation spécialisée

L’ACVA-TCC du BSL

Chers membres,

Je quitte l’association cet été, je ferai un retour aux études à l’université en septembre. J’ai

apprécié vous côtoyer chacun de vous. Sincèrement, je vous souhaite une belle continuité. La vie

est surprenante, peut-être je croiserai certains d’entre vous dans l’avenir. Merci de ce que vous

m’avez apporté.

Catherine Soucy Intervenante sociale,

Page 3 Le Placoteux, journal de l’ACVA-TCC

Bonjour à tous, Je m'appelle Sabrina Castonguay et j'ai l'immense plaisir de me joindre à l'équipe de l'ACVA-TCC du BSL à Rivière-du-Loup. J'ai terminé mes études il y a deux ans, à Rimouski en Techniques de travail social. Depuis, j'ai eu la chance de travailler dans quelques organismes communautaires de la région. Mes expériences de travail m'ont confirmé qu'être là pour les autres était réellement pour moi une vocation. Je suis une personne engagée et de confiance. Un peu plus sur moi, je suis maman d'un très beau garçon de sept ans. Mon fils a un trouble du langage que l'on appelle dysphasie d'expression, donc je suis déjà familière avec les services en orthophonie et en physiothérapie. J'aime organiser des activités et je suis toujours ouverte pour de nouvelles idées. J'adore le plein air, mais ce que j'aime par-dessus tous c'est les arts, je trouve que toutes les créations, que ce soit la peinture, le dessin ou la sculpture, sont des magnifiques moyens d'expression. J'aime les gens et les écouter. Je suis certaine que je vais avoir beaucoup de plaisir à vous côtoyer et que cela sera réciproque.

J'ai déjà hâte de vous rencontrer.

Sabrina

Page 4 Le Placoteux, journal de l’ACVA-TCC

MOT D’UN BÉNÉVOLE

En novembre dernier, une semaine fut consacrée pour sensibiliser les jeunes sportifs aux victimes d’un traumatisme crânien.

Avec l’équipe de l’association ACVA-TCC du BSL, j’ai participé à des rencontres avec les étudiants de Cegep et des écoles secondaires de la région. Le traumatisme crânien fut expliqué à l’aide d’un diaporama et de différents témoignages de sportifs connus, victimes de traumatismes. Étant moi-même une victime de ce traumatisme, j’ai présenté aux étudiants mon expérience de vie et leur ai expliqué les conséquences, parfois non apparentes, d’un traumatisme crânien. Ce fut une expérience très enrichissante. J’ai grandement apprécié la spontanéité des étudiants, leur politesse et le respect des personnes. La présentation s’est terminée par un échange humoristique sans mettre de côté l’objectif principal de la rencontre : se protéger des coups dans le sport et se donner le temps de bien guérir avant de poursuivre.

LA SANTÉ AVANT TOUT.

Roger Bérubé, St-Pacôme.

Photo prise lors du 5 à 7 des bénévoles à Rivière-du-Loup

Page 5 Le Placoteux, journal de l’ACVA-TCC

APHASIE

Semaine de l’aphasie du 26 mai au 1er juin

L’aphasie : la prison des mots

André est un papa « cool ». Il a toujours le mot pour rire. Au travail comme à la maison avec sa conjointe et ses trois enfants, ce bon vivant adore taquiner et raconter des histoires. Malheureusement, depuis mars dernier, ses yeux rieurs ont laissé place à un regard sombre, douloureux. Suite à l’AVC qui l’a terrassé, André est aphasique. Dans sa tête, ses idées bouillonnent, mais les mots n’émergent plus de ses lèvres. Ou si peu. Il produit quelques jurons spontanés, exprime des idées simples, télégraphiques, mais il a perdu sa spontanéité naturelle. Depuis l’événement, il dut quitter son travail, a perdu plusieurs camarades de sorties sociales, et n’arrive même plus à gérer son courrier ni à bien utiliser son ordinateur portable. Il ne racontera plus jamais de blagues à ses chums ou à ses trois enfants…

Lise est une femme sociable récemment à la retraite. Puisque la famille est éloignée, cette jeune grand-maman passe des heures au téléphone et sur Skype avec ses petits-enfants. Elle et son conjoint se sont aussi créé un nouveau réseau social (visite à l’Àge d’Or, soirées de cartes, bénévolat divers). Lise adore discuter. Elle apprécie aussi beaucoup lire des romans et faire des mots croisés. Mais depuis quelques mois, Lise ne sait plus comment utiliser le téléphone. Elle suit difficilement la conversation et elle mélange ses mots en parlant. Elle confond les nombres et les lettres quand elle joue aux cartes, ou quand elle fait ses mots croisés. Elle n’arrive plus à lire et elle ne sort plus, car elle est très gênée par son langage. De toute façon, elle comprend mal les conversations : les mots se mélangent dans sa tête. Lise est aphasique.

Dès la naissance, le petit être communique déjà par ses cris, ses pleurs, ses sourires… Communiquer est si primaire et si naturel chez l’être humain qu’on ne réalise pas à quel point perdre cette faculté, même partiellement, peut nous fragiliser, nous déstabiliser, transformer notre vie à tout jamais.

L’aphasie est un trouble du langage acquis suite à un accident vasculaire cérébral (AVC), parfois suite à un traumatisme crânien cérébral (TCC) (ex. : accident de voiture). Il est donc relié à une atteinte dans les zones du langage de notre cerveau. L’aphasie se manifeste d’abord par une difficulté à communiquer : chercher les mots, mélanger les mots, déformer les mots, ou même incapacité totale à parler. L’aphasie peut aussi toucher la compréhension à divers degrés. Ceci est à différencier d’un trouble de mémoire ou d’une déficience intellectuelle ou mentale : la plupart du temps, la personne est alerte, orientée, consciente de ses difficultés linguistiques. L’aphasie affecte également l’expression et la compréhension écrite de manière plus ou moins marquée selon l’atteinte au cerveau. Chaque personne aphasique est différente et nécessite qu’on s’adapte à sa condition « particulière » afin de favoriser une communication aussi agréable et « fonctionnelle » que possible.

Page 6 Le Placoteux, journal de l’ACVA-TCC

L’orthophoniste est le professionnel formé pour évaluer, diagnostiquer et traiter l’aphasie. C’est un thérapeute du langage, de la parole et de la communication. De par sa formation de 2ième cycle universitaire, il détient le bagage permettant d’aider les proches à comprendre l’aphasie, ses causes, ses manifestations et les moyens d’accompagner la personne par une réadaptation orthophonique. L’objectif est bien entendu de travailler pour réduire le handicap, améliorer le langage sous toutes ses formes, mais l’orthophoniste visera aussi à outiller l’entourage et la personne elle-même à utiliser des stratégies de communication, à explorer divers moyens pour mieux communiquer et faire face aux situations problématiques du quotidien. Ainsi, la réadaptation visera à réduire les déficits, mais aussi à pallier, contourner les situations de communication difficiles à l’oral et à l’écrit et favoriser une communication « multimodale » (le langage parlé, mais aussi le langage non verbal (gestuelle, mimiques…), l’écriture, le dessin, l’utilisation des outils naturels de l’environnement comme l’horloge et le calendrier, etc.). Lorsque l’on côtoie des personnes présentant une aphasie, certains conseils généraux sont d’emblée à retenir. Tout d’abord, il est important de traiter la personne aphasique avec tout le respect dont elle a droit, sans infantiliser, sans lui parler comme si elle était sourde ou déficiente. Ensuite, il est essentiel de lui donner du temps, du temps pour s’exprimer, du temps pour trouver ses mots, du temps pour bien intégrer votre message, lorsque requis. La patience, l’ouverture et l’intérêt réel pour ce qu’elle essaie d’exprimer peuvent faire une énorme différence dans le succès ou l’échec de l’échange conversationnel avec l’individu présentant une aphasie. Comme le fauteuil roulant, la marchette ou la canne sont des outils indispensables à la personne présentant une difficulté à marcher, les ajustements dans l’attitude et l’utilisation de stratégies simples par l’interlocuteur constituent des moyens incontournables permettant de faciliter la communication avec la personne. La communication étant un acte de réciprocité, chaque personne impliquée dans la relation avec l’individu aphasique a une influence inestimable pour que se maintiennent positivement les relations, affectives, sociales, familiales ou professionnelles.

Imaginez un bref instant que vous vous retrouvez en Chine, au milieu de gens qui ne parlent que le mandarin. Imaginez votre désarroi de ne pas réussir à comprendre ce qui se dit autour de vous et surtout de ne pas arriver à vous faire comprendre. Tant bien que mal, vous gesticulez, pointez, tentez de griffonner quelques indices sur un calepin pour arriver à transmettre des demandes simples…. Maintenant, imaginez que cette situation vous est imposée 24h sur 24 et qu’elle s’applique à toutes vos relations : votre conjoint ou épouse, mère, frère, petits-enfants, meilleur ami, à votre médecin habituel, votre pharmacien, votre boucher, votre voisin…. Vivre avec l’aphasie, c’est perdre un peu ou beaucoup de notre identité, c’est un stigmate important qu’on ne peut dissimuler dans notre monde social, ça constitue une atteinte majeure à notre besoin d’expression, ça affecte de façon drastique l’image que l’on veut projeter aux yeux des autres. Pour certains, c’est un fort sentiment de dépendance engendré par l’incapacité à bien exprimer nos besoins, nos préférences, nos émotions; pour d’autres, c’est un sentiment de perte de valeur personnelle : est-ce qu’on va me croire stupide? Limité intellectuellement? Sourd? Dément? Est-ce que maintenant, je n’aurai plus de crédibilité au regard des autres? Même avec l’aphasie légère, les impacts se multiplient au quotidien : exprimer les nuances de sa pensée, discourir avec richesse et précision, faire éclater l’intensité d’une émotion, taquiner, raconter des anecdotes, faire de l’ironie, insérer un commentaire pertinent et vif dans une conversation de groupe, etc

Page 7 Le Placoteux, journal de l’ACVA-TCC

Parce que notre façon de communiquer, d’entrer en relation est intimement liée à notre personnalité, l’aphasie affecte la personne bien au-delà des mots. Une compréhension juste et éclairée de ce qu’est l’aphasie peut donc assurément réduire ce sentiment de perte et d’isolement vécu par la personne touchée. Cela se traduit par une attitude appropriée et respectueuse, mais ça se traduit aussi par des messages clairs qui appuient cette compréhension : « Je sais qu’il y a plein de choses que tu voudrais dire. Ce doit être très frustrant de ne pas pouvoir exprimer tout ce que tu ressens. Je comprends ta colère, ta tristesse. ».

En conclusion, rappelons que l’aphasie, qui touche des milliers de personnes au Québec à chaque année, gagne à être connue et reconnue. Les troubles de la communication sont les problèmes les moins « visibles » dans nos hôpitaux et notre société. Bien souvent, les personnes aphasiques se déplacent sans encombre. Leurs « blessures » sont dans la tête, dans le cœur, elles sont au bout de leurs lèvres, dans leurs yeux... Leur handicap n’est pas moindre, au contraire : ce handicap est vécu dans chaque regard qu’ils croisent, chaque échange de mots, chaque fois qu’ils ont à se présenter, demander, expliquer, calculer, lire, écrire, exprimer un refus, un accord, une opinion, se défendre, se justifier, nuancer leurs propos, raconter une histoire, blaguer, improviser….

N’oublions pas les associations existantes qui justement offrent « leurs voix » à toutes ces personnes qui ne peuvent parler pour eux-mêmes (l’ACVA-TCC du BSL, le RAPAQ, …). Enfin, l’information et la sensibilisation sur l’aphasie ainsi que le partenariat renforcé entre les familles, les associations et les professionnels concernés pourront peut-être permettre un jour que cette maladie « quasi invisible » et méconnue soit plus largement supportée et accompagnée à travers la réadaptation et dans leur « nouvelle vie », après…

Isabelle Marquis, M.O.A. orthophoniste CSSS de Rivière-du-Loup

Page 8 Le Placoteux, journal de l’ACVA-TCC

Nous désirons souligner le 15ieme anniversaire du :

Afin que les gens aphasiques puissent communiquer à leur façon et conserver leur acquis au niveau de la parole, divers moyens peuvent être utiles. On pense à diverses activités et jeux tels que des quizz. Un autre moyen favorable est de chanter. Je vous présente un court texte qui parle du théâtre aphasique. Le théâtre permet aussi de prendre confiance en soi-même et d’apprendre à mieux se connaître. Voici l’explication de ce qu’est le théâtre aphasique ainsi que son origine ORGANISME

Le Théâtre Aphasique est un organisme à but non lucratif centré sur la réadaptation et la réintégration sociale des personnes aphasiques par l’art dramatique. Tous les participants et les participantes sont aphasiques. Les activités sont de deux ordres, d’une part, la création et la présentation de pièces de théâtre au grand public et, d’autre part, les ateliers d’art dramatique. Les activités du Théâtre Aphasique sont offertes gratuitement aux personnes aphasiques de Montréal et de la grande région métropolitaine.

HISTORIQUE

L’application clinique de l’art dramatique comme moyen de réadaptation et de réintégration socioprofessionnelle débute en 1992 à l’hôpital de réadaptation Villa Medica, avec le support de l’Association québécoise des personnes aphasiques (AQPA).

Madame Anne-Marie Théroux, orthophoniste, professeure et metteure en scène, a l’idée d’explorer, par le biais de l’art dramatique, d’autres avenues d’expression et de réalisation personnelle. Elle propose alors un atelier de création de spectacles espérant ainsi sortir

la personne aphasique de son isolement, lui apporter du support et réduire les sentiments de honte et de gêne qui l’habitent trop souvent.

http://theatreaphasique.org/qui_sommes_nous.htm

Catherine Soucy,

Intervenante Sociale

Page 9 Le Placoteux, journal de l’ACVA-TCC

TCC

L’intimité et le TCC

Les personnes aux prises avec les conséquences d’un Traumatisme Cranio-Cérébral au quotidien

sont nombreuses. Nous parlons facilement des changements d’humeur, de l’inhibition, des

difficultés motrices et sensorielles, des problèmes de concentration, de l’impulsivité, des troubles

de mémoire et j’en passe. Mais parlons-nous souvent de sexualité et de relations intimes des

personnes qui vivent un TCC? Ces personnes ne doivent pas être considérées comme anormales,

déviantes ou irrespectueuses, mais plutôt comme des personnes qui ont droit à l’épanouissement

et à des relations saines et florissantes. L’amour est un droit qui revient à chaque être vivant.

Le TCC peut être à l’origine de quatre situations qui entravent l’épanouissement de la vie

amoureuse et intime des personnes atteintes.

En premier lieu, la ‘’commande’’ des parties du corps est difficile suite à l’accident. Les

mouvements peuvent être davantage lents ou douloureux. Les gestes amoureux et sexuels

deviennent gênants et irritants. Les gestes peuvent être considérés, à tort, comme brusques,

rudes, grossiers ou indécents. Habituellement, cette situation est vécue lorsqu’il y a des difficultés

de contrôle du corps, des faiblesses musculaires, des déformations d’un ou de plusieurs membres

ou une mobilité réduite.

En deuxième lieu, la communication amoureuse peut devenir ardue. L’aphasie et la dysarthrie

apportent une communication difficile lors des rapports intimes. Les troubles de compréhension

et de jugement interfèrent l’échange entre les partenaires. Il peut aussi y avoir une insensibilité

ou au contraire une hypersensibilité qui peuvent apporter une interprétation biaisée des gestes

de l’un ou de l’autre.

En troisième lieu, l’imaginaire érotique devient exigeant à développer. Dans la sexualité en

générale, l’imagination est un outil important. Mais pour une personne atteinte d’un TCC, les

effets du traumatisme sur la mémoire empêchent le soutien de l’imagination érotique par les

expériences du passées et de créer de nouvelles images par le biais de livre ou de film.

En quatrième et dernier lieu, le TCC peut avoir des impacts sur les pulsions ce qui amène un

comportement incontrôlé. Il peut s’agir de désinhibition (Manque de contrôle des émotions et

des désirs), un manque d’intérêt pour les sentiments et les sensations de l’autre, ainsi qu’un

manque de motivation face aux relations intimes. Cette situation peut être vécue par de l’anxiété,

une affectivité excessive, un manque de pudeur, de la dépression, une agressivité, de la colère,

etc.

Page 10 Le Placoteux, journal de l’ACVA-TCC

Le traumatisme peut entraîner une impudeur et une hypersexualité (activités ou pensées

sexuelles excessives). La désinhibition est souvent causée par une lésion de la partie frontale du

cerveau lors du traumatisme. Celle-ci permet de contrôler notre comportement. Il peut aussi y

avoir perte des repères dans les relations interpersonnelles. La personne n’anticipe plus ses actes.

L’action vient donc avant la parole. Il peut aussi y avoir l’inverse de l’impudeur et de

l’hypersexualité, c’est-à-dire un manque d’intérêt et de motivation envers la relation.

La personne qui ne se rappelle plus son passé amoureux avec une autre personne ne sera pas

portée à s’investir dans cette relation, qui n’est plus significative à ses yeux.

La baisse du désir amoureux et de la libido est fréquente et tout à fait normale. Le manque de

dialogue entre les personnes apporte des souffrances pour chacun. Il est important pour la

relation et pour la personne elle-même de se réapproprier son corps et son estime envers celui-

ci après un traumatisme. L’habillement, la coiffure, les soins d’hygiène apportés à son propre

corps sont différentes manières d’y parvenir.

Il existe certains traitements médicamenteux bien sûr, pour retrouver une libido, mais c’est loin

d’être l’idéal. Un nouvel équilibre est possible en faisant certaines concessions et en travaillant

sur la confiance et l’estime de soi. Il est certain que la consultation de psychologue,

psychothérapeute et sexologues est bénéfique lorsque le reste est difficile à envisager.

L’important reste de communiquer et de parler à l’entourage de nos doutes et nos inquiétudes.

Centre sexologique de l’estuaire, 216 avenue de la Cathédrale, local 6

Rimouski (Québec)

418-724-0082

Marie-Christine, intervenante.

Page 11 Le Placoteux, journal de l’ACVA-TCC

Le RAPTCCQ fête son 15ieme anniversaires

Le 18 juin

À l’Auberge de la Pointe à Rivière-du-Loup

AVC

L’AVC chez les enfants (AVC pédiatriques)

L’AVC chez les enfants est peu connu pourtant il existe. Voici un article de la fondation des maladies du cœur et de l’AVC qui l’explique en détail.

Les accidents vasculaires cérébraux (AVC) peuvent survenir à tout moment de la vie d’une personne, de la petite enfance à l’âge adulte. Un AVC survient quand la circulation normale du sang vers le cerveau est interrompue, soit par l’occlusion ou par la rupture de vaisseaux sanguins. Quand une partie du cerveau cesse de recevoir son apport habituel de sang transportant les substances nutritives vitales et l’oxygène, les cellules cérébrales meurent et provoquent une perte des fonctions cérébrales. L’âge d’un enfant au moment de l’AVC peut faire une grande différence dans la façon dont les médecins identifient et traitent le problème. Un AVC peut survenir chez trois groupes d’âge :

en phase prénatale, ou dans l’utérus pendant les 28 premiers jours de vie, chez le nouveau-né pendant l’enfance, jusqu’à l’âge de 18 ans

L’AVC est relativement plus courant au sein des deux premiers groupes d’âge, car il survient chez un enfant né vivant sur 4000. Au sein du troisième groupe, il est plus rare encore, ne touchant qu’environ cinq enfants sur 100 000 au Canada à chaque année. La localisation de l’AVC à l’intérieur du cerveau aide à déterminer l’étendue des dommages ainsi que des séquelles, le cas échéant. Les enfants peuvent subir deux types d’AVC : l’AVC hémorragique (rupture de vaisseaux sanguins) ou ischémique (obstruction par un caillot sanguin). Les causes de l’AVC chez les enfants Les raisons pour lesquelles un AVC survient sont variées et englobent les malformations des vaisseaux sanguins et certaines maladies rares. Voici les causes les plus fréquentes : Causes d’AVC hémorragique Un AVC hémorragique survient quand un vaisseau sanguin se rompt à l’intérieur du cerveau. Chez les enfants, ça peut être causé par une artère affaiblie ou malformée. Si la paroi d’une artère est affaiblie, le sang peut s’accumuler dans la paroi et provoquer un ballonnement (anévrisme). Si la pression augmente, cet anévrisme peut se rompre et en pareil cas, deux problèmes surgissent. D’abord, le sang s’écoule au mauvais endroit dans le cerveau et ensuite, le sang n’atteint plus sa destination, ce qui prive cette partie du cerveau d’oxygène et de substances nutritives.

Les causes des AVC hémorragiques chez les enfants comprennent : une malformation ou une maladie de l’artère une tumeur au cerveau l’abus de drogues ou d’alcool chez la mère (rare)

Causes d’AVC ischémique Un AVC ischémique est habituellement causé par un caillot sanguin à l’intérieur du cerveau. Les principaux facteurs de risque associés aux AVC ischémiques chez les enfants sont les suivants :

Maladies du cœur Troubles de coagulation du sang Irrégularité des artères Virus

Autres facteurs de risque les enfants courent aussi des risques accrus de subir un AVC s’ils affichent l’un ou l’autre des facteurs de risque suivants :

Chirurgie cardiaque ou cérébrale Maladie de Moyamoya Drépanocytose Maladie auto-immunitaire qui attaque les artères du cerveau Traumatisme cérébral ou cervical Leucémie Migraines avec aura Maladie métabolique

Jusqu’à 20 % des AVC pédiatriques ont une cause connue. C’est un domaine où la recherche médicale est très active. Pour plus d’informations sur les AVC chez les enfants vous pouvez consulter le site suivant : http://www.fmcoeur.qc.ca/site/c.kpIQKVOxFoG/b.5460757/k.6E28/AVC__L8217AVC_chez_les_enfants_AVC_p233diatriques.htm

Kim s.-Bernier Intervenante sociale

Page 13 Le Placoteux, journal de l’ACVA-TCC

AIDANT NATUREL

Partenaire Invisible…

Partenaire invisible est un documentaire de Caroline Vadeboncoeur et Sylvie Rosenthal.

Ce dernier est un cri du cœur des proches aidants pour un soutien concret.

Au Québec, une personne sur sept offre un soutien à un proche vivant avec des

limitations. Ce sont elles qui assument 80% du soutien à domicile, une contribution

estimée à au moins 25 milliards de dollars par année au Canada!

Les personnes aidantes ne bénéficient pas d’une réelle reconnaissance! Elles sont

nommées dans plusieurs politiques gouvernementales, mais qui semble être davantage

de la poudre aux yeux qu’un réel support. En effet, le gouvernement prône le soutien à

domicile, mais offre très peu de services adaptés à la réalité de millions d’aidants.

Aidants, qui ont un urgent besoin d’aide et de répit.

« Partenaire Invisible », mets en avant une parole qui trop souvent est ignorée dans notre

société. Un appel à l’ensemble de la société québécoise afin que tous, tôt ou tard

concernés, réclament à nos gouvernements un véritable support aux aidants!!!

Mireille Chenel, intervenante sociale

Page 14 Le Placoteux, journal de l’ACVA-TCC

CHRONIQUE LITTÉRAIRE

Livres à découvrir

Comme je vous en ai entretenu, lors du précédent article, je vous parle d’autres auteurs (es). Il me fait plaisir de vous les partager. La plupart des volumes dont je vous parle sont disponibles dans les bibliothèques municipales. Donc vous pouvez vous les procurer pour un moindre coût. Dans la catégorie du roman policier, Michael Connelly, est un bon auteur, pour les gens qui aiment le suspense. Son personnage principal suscite notre sympathie. J’ai commencé par lire un volume de beaucoup postérieur `à celui où il nous le présente et il m’a tout de suite lié à sa personnalité attachante. « Le poète » est un des premiers auquel l’auteur fait référence lors de ses livres suivants. Celui que j’ai lu en premier s’appelle « À genou ».

Dans les romans à succès, Marie Bernadette Dupuy nous offre une bonne série de volumes qui parle d’amour. Le premier que j’ai lu s’intitulait « L’enfant des neiges », c’est le premier tome de 5 volumes. Il a une trame historique.

Pour les amateurs de livres fantastiques, Carlos Ruiz Zafon nous entraîne dans des univers fantaisistes. Il a un vocabulaire aussi bien châtié que vulgarisé. Cela dépend de son livre. Le premier que j’ai lu s’intitulait « L’ombre du vent » (vocabulaire très recherché). Je vous propose donc de lire plutôt un autre de ces livres « Le palais de Minuit », mais libre à vous, de lire celui précédemment nommé.

Voilà mes idées pour le journal de l’été…

Pauline Ouellet. Votre chroniqueuse littéraire.

Page 15 Le Placoteux, journal de l’ACVA-TCC

CHRONIQUE SPORTIVE

CHRONIQUE SPORTIVE

Profile d’un joueur de l’Océanic de Rimouski

Samuel Morin, Défenseur

Samuel Morin : Ce joueur a été un choix de 1ère ronde de l’Océanic de Rimouski, il mesure 6’07 et

pèse 210 livres. Il est originaire de St-Henri au Québec, il a raté le tout dernier match de la saison

régulière. Ses statistiques pour la saison régulière sont de 7 buts, 24 passes en 54 matchs. Il a été

un choix de 1ère ronde (11ieme au total) par les Flyers de Philadelphie. Et à ce jour, l’Océanic mène

2-0 leur série quart de finale contre Chicoutimi.

C’était Martin Côté, Votre journaliste sportif

Page 16 Le Placoteux, journal de l’ACVA-TCC

CHRONIQUE VOYAGE

Mon voyage en Californie

Île d’Alcatraz

Prison d’Alcatraz Je suis dans la cellule d’Al Capone

J’ai joué aux casinos Trottoir des stars d’Hollywood

Sylvester Stallone Voiturette de golf, Walt Disney

J’ai fait un voyage en Californie qui a duré 1 mois en décembre 2006 à janvier 2007. À Hollywood,

ma sœur Ghislaine et moi avons loué des voiturettes (comme un mini «CAR DE GOLF») pour visiter

le site de Walt Disney. Nous avions une carte du site, et à un moment donné, ma sœur ma

demandée de l’amener à un manège pour tester mon orientation. Mais j’ai échoué…

Le site est très grand et très mêlant pour quelqu’un qui n’a pas du tout le sens de l’orientation.

(Je me suis trompé d’endroit, je suis entré par la sortie d’un manège)... Elle riait énormément,

jusqu’à ce qu’un monsieur lui demande si tous allaient bien et elle a répondu «oui », en riant.

Harley Café

Ce qui est fatigant dans ce voyage, c’est le décalage horaire, qui est 3 heures de moins qu’ici au

Québec.

Donc, quand il est midi ici, là-bas, il est 9 h du matin.

J’ai mangé au Caesar Palace, l’hôtel où Céline Dion donne ses spectacles. Je m’y suis étouffé, et

ma sœur a demandé de l’aide aux autres personnes, mais personne n’est venu l’aider…

Finalement ma sœur s’est débrouillée seule en me faisant la méthode de Heimlich (faire pression

dans l’estomac par-derrière).

J’ai été voir le spectacle de Céline Dion et j’ai eu un livre autographié par celle-ci. L’amie de

Ghislaine est la physiothérapeute de Céline. Ma sœur et son amie ont étudié ensemble à

l’université. On a donc eu des belles places et gratuites en plus pour voir le spectacle et avoir un

autographe de Céline Dion dans son livre.

Visite du Grand Canyon

Ce qui est curieux : pour moi, c’est que je ne voulais plus d’hiver et de neige….

Et là, à un Belvédère de Grand Canyon, il faisait comme au printemps… ~ 150 C. Je portais un gilet

à manche longue, et lorsqu’on a arrêté en montant une montagne, j’ai dû mettre une veste et

une couverture sur mon corps et sur ma tête, car il faisait très froid… Même qu’il a neigé et qu’il

y a eu une petite tempête. Je me disais, « je pars du Québec dans le froid, et je viens ici, pis il fait

froid encore…. »

« …Et puis, il y a aussi de la neige.»

Votre nouveau chroniqueur voyage, Sylvain D’Astous

Page 19 Le Placoteux, journal de l’ACVA-TCC

CHRONIQUE CINÉMA

Bonjour à tous et à toutes lecteurs lectrices,

Je suis triste et malheureux de vous annoncer que c’est ma dernière chronique cinéma avec vous pour le Placoteux ! Mais bon Poisson d’avril. Au cours des prochains numéros du Placoteux je vais vous faire découvrir l’amour du cinéma, les comédies, drames, fait vécu, thriller, comment voir le jeu des acteurs, suspenses et autres.

Pour cette chronique, un autre fait vécu tout aussi bon que celui de ma première chronique, quoique quelques images invraisemblables, je vous présente : Huit en dessous.

L’histoire se passe en Antarctique l’hiver avec huit chiens de traîneaux et leur guide Jerry (Paul Walker). Ils auront des obstacles à surmonter durant leur voyage, froid, vents, neige, manque de nourritures dès lors Jerry devra laisser attaché ses chiens durant plusieurs jours pour retourner chercher de la nourriture. Pendant ce temps, ses chiens grelottèrent de froid, se déshydratèrent et commencèrent à avoir faim bien évidemment. Alors ses chiens finissent par se détacher et partirent à la recherche du trésor nourriture, manger. Tout y passait, neiges, goélands, herbes, feuillages tous s’entraidèrent dans la joie.

Ce film est un film d’action réalisé par Walt Disney durant 120 minutes top chrono. Ça vaut le détour sur parole. Encore une fois si vous voulez voir ce film veuillez le dire aux intervenantes et l'on organisera un après-midi ciné.

Carol Dumas inc. Votre chroniqueur cinéma

Page 20 Le Placoteux, journal de l’ACVA-TCC

LES JEUX

LES ÉNIGMES DU PÈRE FOURAS

1:

a) Affichant de hauts bois,

b) Il ne craint pas le froid.

c) Lorsqu’on le prend c’est pour aller plus loin.

2 :

a) Redoutable machine de guerre, des murs lui cédèrent naguère

b) Généralement il blatère

c) C’est aussi un signe du zodiaque

3 :

a) Le vinaigre n’est pas conseillé pour l’attraper

b) Elle est évoquée quand la cible est touchée

c) Le curieux aimerait en être une parfois pour un instant

ANAGRAMME

Trouver un autre mot avec les mêmes lettres :

Maire : ___________________

Carte : ___________________

Daine : ___________________

Poli : _____________________

Seins : ___________________

Rime : ___________________

Poule : ___________________

Pouce : ___________________

Conservation : _____________

Fourni par : M. Réjean St-Pierre

Page 21 Le Placoteux, journal de l’ACVA-TCC

LES ANNIVERSAIRES

JUIN JUILLET AOUT

06- Christiane Turcotte 02- Huguette Chénard 01- Nathalie Thériault

07- Jacques Paquet 02- Ginette Chénard 04- Chantale Bélanger

07- Gilles Albert 02- Mario Deschênes 10- Yolande Bégin

12- Daniel Beaulieu 02- Guylaine Devost 16- Gaétan Morneau

13- Nancy Blouin 14- Monique St-Gelais 17- Marcel Levasseur

17- Claude Roussel 16- Sandra Leclerc 17- Francis Lemieux

18- Marco-Dany Durette 17- Jacqueline Levesque 26- Viateur D’Auteuil

18- Réjean St-Pierre 26- Annick Desrosiers 28- Martin Côté

28- Éric Robitaille 29- Daniel Pineau 30- Roger D’Astous

*Si vous n’êtes pas sur la liste, veuillez communiquer avec nous

L’ÉQUIPE DE TRAVAIL DE L’ACVA-TCC VOUS SOUHAITE UNE BONNE FÊTE!

Page 22 Le Placoteux, journal de l’ACVA-TCC

MÉMO

Page 23 Le Placoteux, journal de l’ACVA-TCC

Un merci bien spécial

À Madame Pierrette Belzile de

Rivière-du-Loup pour son don d’un

jeu de Skipbo.

LE SLOGAN GAGNANT POUR LE

CONCOURS

Trouver un slogan pour votre nouvelle carte de

membre

FORCE ET VOLONTÉ NOUS

HABITENT

Le groupe de Matane sont nos grands gagnants

RÉPONSE AUX JEUX

LES ÉNIGMES DU PÈRE FOURAS

Réponses : 1= l’élan 2= Le bélier 3= La mouche

ANAGRAMME

Maire : ___________________ MARIE

Carte : ___________________ TRACE

Daine : ___________________ DIANE

Poli : _____________________ POIL

Seins : ___________________ SIENS

Rime : ___________________ MIRE

Poule : ___________________ LOUPE

Pouce : ___________________ COUPE

Conservation : _____________ CONVERSATION

Les membres du conseil d’administration :

Nicole Pelletier, présidente (Rimouski-Neigette) Michel Fréchette, vice-président (Témiscouata) Diane Chouinard, secrétaire-trésorière (Rimouski-Neigette) Gaston Caron, administrateur (Rivière-du-Loup) Christiane Turcotte, administratrice (Matane)

Sandra Leclerc, administratrice (Rimouski-Neigette)

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Placoteux, destiné à nos membres et partenaires présents sur 8 MRC !

Association des personnes Accidentées Cérébro-Vasculaires Aphasiques et Traumatisées Cranio-Cérébrales du Bas-Saint-Laurent 391, boulevard Jessop Rimouski (QC) G5L 1M9 Vieux Manège, 26, rue Joly Téléphone : 418 723-2345 Rivière-du-Loup (QC) G5R 3H2 Sans frais : 1 888 302-2282 Téléphone : 418 867-5885, poste 180 Télécopieur : 418 723-2220 Courriel : [email protected] Télécopieur : 418 723-2220 Site web : www.acvatcc.com