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Le Logos Principe créateur du sens Les grecs anciens pensaient que le Kosmos ordonné (celui que nous voyons dans nos télescopes) avait été extirpé par le Logos de la réalité informe du Khaos. Nous allons voir dans les pages qui suivent que cette représentation doit bien plus au raisonnement qu’à la mythologie. Le chaos moderne Il faut d’abord distinguer le Khaos antique de sa version contemporaine, ou plutôt des évolutions chaotiques dont traite la science contemporaine. La physique des évolutions chaotiques inclut un certain nombre de préexistants : Le temps, au moins en tant qu’axe du devenir. La réalité des êtres à la fois dans leur existence, leurs formes et qualités. Les lois qui déterminent les liens de causalité. A l’opposé, le devenir et la causalité y sont considérés comme accidents de l’être et non comme réalités en soi: seul ce qui est devient et la causalité ne fait qu’expliquer les qualités de l’être. L’univers des évolutions chaotiques étudiées par les sciences modernes est donc loin d’être informe, même s’il est reconnu que l’évolution chaotique est créatrice d’êtres (les attracteurs) et de formes nouvelles (par exemple: la vie) Dans les modèles d’évolutions chaotiques développés aujourd’hui, la superposition de la causalité et du temps, la préexistence des êtres et des lois d’interaction sont autant de contraintes qui certes, permettent de comprendre des phénomènes du réel, mais réduisent considérablement la portée générale d’une étude du chaos en tant que tel. Le Khaos antique

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On the ancient concept of the cosmos extracted from the primordial Khaos by the activity of the Logos.

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Le Logos

Le Logos

Principe crateur du sens

Les grecs anciens pensaient que le Kosmos ordonn (celui que nous voyons dans nos tlescopes) avait t extirp par le Logos de la ralit informe du Khaos.

Nous allons voir dans les pages qui suivent que cette reprsentation doit bien plus au raisonnement qu la mythologie.Le chaos moderneIl faut dabord distinguer le Khaos antique de sa version contemporaine, ou plutt des volutions chaotiques dont traite la science contemporaine.La physique des volutions chaotiques inclut un certain nombre de prexistants:

Le temps, au moins en tant quaxe du devenir. La ralit des tres la fois dans leur existence, leurs formes et qualits.Les lois qui dterminent les liens de causalit. A loppos, le devenir et la causalit y sont considrs comme accidents de ltre et non comme ralits en soi: seul ce qui est devient et la causalit ne fait quexpliquer les qualits de ltre. Lunivers des volutions chaotiques tudies par les sciences modernes est donc loin dtre informe, mme sil est reconnu que lvolution chaotique est cratrice dtres (les attracteurs) et de formes nouvelles (par exemple: la vie) Dans les modles dvolutions chaotiques dvelopps aujourdhui, la superposition de la causalit et du temps, la prexistence des tres et des lois dinteraction sont autant de contraintes qui certes, permettent de comprendre des phnomnes du rel, mais rduisent considrablement la porte gnrale dune tude du chaos en tant que tel.Le Khaos antique

Le Khaos antique est informe. On ne peut dire ni quil est, ni quil devient puisque tre et devenir sont dj des formes qui prsupposent le temps. Sa ralit nest pas ternelle car lternit mme est une forme. Nous dirons que le Khaos est-toute-ralit et nous reconnatrons quau del de ce constat/dfinition le Khaos est indicible. Ou plutt serait indicible sans le Logos. Car le but de cet article est de montrer comment le Logos donne au Khaos indicible le sens de notre Kosmos, peupl dtres aux devenirs gouverns par des lois.Nous dcrirons le Logos comme un principe crateur et non comme une puissance cratrice car nous verrons quil ne change en rien la ralit du Khaos, par dfinition immuable puisque non soumise au temps. Modle minimal de KhaosPour expliquer le principe du Logos, il nous faudra bien parler du Khaos! Dans ce but, nous construirons un modle minimal de Khaos. Ce modle sera constitu de 2 lments ontologiques Le grain de sens que nous nommerons Monade (voir note finale)Le lien de partage de sens par lequel la monade A partage du sens avec la monade B, A pouvant aussi partager avec C par un autre lien etc Le terme partage de sens doit tre compris comme avoir en commun et non comme changer. Ainsi dfini le partage est rversible.Nous reviendrons plus loin sur la nature du sensNous pourrons ainsi reprsenter notre modle minimal de Khaos comme un rseau de partage de sens

Bien entendu, ce modle aux composants discrets naura de valeur que comme support provisoire dun raisonnement. Je demande au lecteur de me faire crdit de ces dfinitions provisoires sur lesquelles nous reviendrons.La boucle de partage de sens

Une disposition remarquable dans ce rseau sera la boucle de partage de sens dont lexemple le plus simple serait A partage du sens avec B, B partage du sens avec C et C partage du sens avec A. Plus gnralement on nommera boucle de partage de sens un ensemble de liens de partage de sens statistiquement boucls. Les Monades de cette boucle, partagent globalement le sens et constituent un nouveau grain qui associe le sens des Monades composantes et le supplment que constitue la circulation du sens en boucle.

Tous les liens attachs au Monades composantes ne participent pas ncessairement cette boucle, la Monade compose aura donc des liens de partage rsiduels avec dautres Monades.Ceci nous montre comment se constitue une Monade compose partir de ses composantes.

Les questions se posent alors: La Monade composante nest elle pas elle-mme compose?La Monade nest elle pas superflue en tant qulment ontologique? Ne peut-elle tre dfinie simplement comme une circulation du sens en boucle? Dans quelle mesure peut-on diviser une Monade linfini ? Au bout des partitions dune Monade en ses composants, ny a til pas une Monade indivisible, un atome de sens? "Le Khaos nest pas un continuumCette dernire question va mettre en lumire une premire proprit remarquable de notre modle minimal de Khaos.Dans la description usuelle despace et de temps, lappartenance du composant au compos est considre comme une ralit en soi, dans le prsent. Les forces qui unissent les composants de lEtre sont considres comme les causes de lappartenance et non pas comme la ralit de lappartenance. Parce que lUnivers est du prsent qui change, parce que rien nexiste en ralit que dans le prsent et que la cause nest jamais du prsent.

Dans lespace-temps le tout contient ncessairement les parties. Lappartenance dans le prsent, repose de faon implicite sur une structure despace et sur le fait que les lois dappartenance (qui sont de nature spatiale mme lorsque ce nest pas dit de faon explicite) ne sont pas modifies par une partition. Or lappartenance en soi ne sapplique pas notre khaos modle. La partition d'une Monade rpond des rgles diffrentes, qui ne sont pas "gomtriques".

Notre modle minimal de khaos ne prsuppose pas lespace-temps. Le partage du sens nest pas la consquence dune appartenance spatio-temporelle ni ne rsulte dune Unit smantique a priori. Le partage du sens est la ralit ontologique premire dont toute vrit dcoulera.

Si les Monades composantes contribuent au sens dun ensemble compos, elles ne lui appartiennent pas pour autant. Un composant ne porte pas en lui le sens de son appartenance lensemble compos, la seule ralit de cette appartenance est la globalit statistique des liens de partage qui lient ce composant au tout. Il pourra arriver un moment de la subdivision smantique dun compos o les composants napparatraient plus comme participant lunit du compos mais dautres Monades, distinctes smantiquement de ce compos. On pourrait dire que lintrieur ouvre sur lextrieur.Dans notre univers familier lmission/absorption dun photon donne une illustration concrte de cette proprit: Considrons les vnements E1: "mission d'un photon au temps T la surface du soleil" et E2:" rception de ce photon au temps T + 8 mn la surface de la terre". Dans notre modle d'univers, la subdivision de l'vnement "statut de la terre au temps T + 8 mn" conduit bien E2, mais la distinction entre E1 et E2 semble irrductible dans un repre global incluant le soleil et la terre. Dans une description base sur le partage du sens, la subdivision de la Monade "statut de la terre au temps T + 8 mn", en se focalisant sur E2, nous montrerait finalement une Monade E2 indistincte de E1 car lie E1 par un lien de partage total de sens, et donc extrieure la Monade Terre T+8mn. Voil qui illustre simplement la relativit restreinte: dans un repre li au photon (fut-il purement gomtrique), le parcours dx du photon est nul par dfinition et c tant invariant, le temps du parcours dt=dx/c est galement nul, E1 et E2 sont bien confondus.Ainsi donc dans notre modle minimal de Khaos, linfiniment simple nexiste pas en ralit, le composant nappartient pas ncessairement au compos, le Khaos nest pas un continuum.

Nous avons donc rpondu nos questions: La Monade peut tre considre comme lobservation dune circulation boucle du sens et non comme un composant ontologique premier.

Le partage du sens est lunique ralit ontologique.En tant la Monade son statut de ralit ontologique, nous mettons en vidence une proprit plus fondamentale encore de notre Khaos: lUnit ny est pas une ralit, la chose Une na pas de ralit, lUnit de sens est une configuration particulire, un accident de la circulation du sens. Lagglomration du sens

Nous allons dcouvrir maintenant une troisime proprit remarquable de notre modle minimal de Khaos.Pour cela dfinissons provisoirement un paramtre: le foisonnement auquel nous donnerons la dfinition simpliste: "Le foisonnement est, exprim statistiquement, le nombre de liens de partage de sens issus de chaque Monade." Ce paramtre n'ajoute notre modle minimal de Khaos aucune ralit nouvelle.La figure 1 ci-dessous nous montre le cas d'un foisonnement gal 1. Dans un tel champ la probabilit dexistence de boucles est proche de zro.

Un tel champ correspond la dfinition du lien de partage, partageant le sens de la Monade au long dun lien monodimensionnel.Notons quil sagit dune reprsentation, ni la Monade ni le lien de partage ne sont Uns en ralit, ce qui compte, cest que la complexit de la monade soit globalement partage dune Monade lautre de cette chane par un lien qui sera ncessairement complexe de telle sorte quune Monade porte le sens de sa voisine.Dans notre Khaos, le lien de partage de sens nest donc pas Un en soi, ce nest quune configuration particulire du partage de sens

La figure 2 schmatise un foisonnement de deux. On voit que le partage du sens y croit de faon exponentielle avec ltendue du rseau observ. Remarque: ds lors que F>1, quand t ( ( ,Ft / t n ( ( , ( n entier Pour donner un sens plus imag cette remarque: dans une reprsentation gomtrique, si nous prenions le lien de partage de sens comme unit mtrique, la densit du partage de sens deviendrait infinie, quel que soit le nombre de dimensions de cet espace.Inversement, si F=1, la densit du partage de sens serait nulle pour tout espace de plus dune dimension.Dans notre modle de Khaos dpourvu de mesure, rien ne limite a priori le rseau observ. Le foisonnement ne prendra donc que 2 valeurs: 1 ou linfini

Nous ferons le postulat que la probabilit d'existence de boucles de partage de sens croit avec le foisonnement et en particuliers que lorsque le foisonnement tend vers l'infini la probabilit d'existence de boucles tend vers un. Ainsi un rseau dont le foisonnement est suprieur 1 conduit ncessairement lexistence de boucles, constituant des Monades nouvelles. La "mise en commun" des liens de partage de sens en ces Monades nouvelles contribue en retour rduire le foisonnement observ jusqu lasymptote dun lien unidimensionnel.Du Khaos au KosmosNous avons vu que notre modle minimal de Khaos pouvait tre rendu plus gnral par labandon de la Monade et du lien de partage de sens comme ralits ontologiques pour ne conserver que la circulation du sens comme unique ralit.

Nous avons vu le principe qui, sappliquant toutes les chelles, rduit linfinie complexit de la ralit informelle du Khaos, pour lui donner lapparence (le sens) dune ralit constitue de Monades lies par des liens de partage de sens.

Certes cette ralit reprsente nest pas encore le Kosmos: les Monades ne sont pas les objets, les liens de partage ne sont pas les interactions et ne circulent pas dans lespace-temps, mais les bases sont l. Nous pourrons ultrieurement, en analysant plus en dtail les proprits induites par le Logos comprendre comment nous apparaissent les lois du Kosmos.Le LOGOSNous nommerons LOGOS ce principe dagglomration du sens.Le principe du LOGOS, essentiellement logique et mathmatique, est simple, transcendant, universel.

Le LOGOS ne change rien la ralit informelle qui est par essence immuable. Les quantas de sens ne sont pas des ralits nouvelles, rappelons que la seule ralit reste le partage du sens.Le LOGOS est statistique. Dans notre modle, lagglomration du partage de sens en boucles, si elle nest pas indpendante de la valeur du foisonnement, doit avant tout tre considre comme la solution ou plutt une combinaison des solutions propres de lapplication statistique quest le LOGOS. Parmi les proprits qui en dcoulent notons la quantification du sens (la Monade est lquivalent dun attracteur dans une volution chaotique) et la sensibilit au choix du point focal (quivalent des conditions initiales dune volution chaotique)Le LOGOS est relatif en ce sens que, selon les points focaux, son application donne des infinits de reprsentations de cette ralit immuable. Sur cette base on pourra montrer ce quest le changement dans la reprsentation dune ralit immuable.La nature du sens

Il nous faut revenir sur ce point: le quanta de sens ou Monade ou lment smantique nest pas en ralit un tre ni une qualit de ltre dans le prsent.Le partage (du sens) nadvient pas aux Monades mais cest au contraire la Monade qui rsulte dune structure particulire du partage. Le partage est la seule ralit et le sens en tant que qualit de ltre nen est quune reprsentation. Lexemple du tourbillon illustre bien cette nuance: le tourbillon la surface de leau nest pas un tre en ralit mais rsulte bien dune organisation particulire des vitesses. Il nest pas non plus un ensemble de gouttes deau car les gouttes passent alors que le tourbillon demeure.

La trs grande difficult se reprsenter cette nouvelle ontologie, est que nous ne pouvons accder au rel que par la pense alors que la pense fait elle-mme partie du rel. La conscience du rel se construit en nous au travers du Logos, lequel nous impose la Monade comme lment smantique. Ltre smantique nat en nous avant la conscience.

Ltre statistique

La science (par ex physique statistique, physique quantique, sociologie..) considre une valeur statistique comme une ralit dans le prsent. Ainsi la pression est bien la qualit relle et prsente dun gaz, quil soit observ ou non.

Il sagit l dune erreur sur le plan mtaphysique.

Lerreur provient de la transposition non justifie dune reprsentation de la pense vers le rel: rien dans la ralit prsente des molcules de gaz nest porteur de la corrlation statistique de leurs nergies cintiques.

Sauf considrer la corrlation elle mme comme une ralit ontologique nouvelle, non locale et dfiant les lois de la relativit, la pression dun gaz na pas de ralit dans le prsent.

La seule ralit dune qualit statistique tient dans les causes et les consquences.

Elle nest ni dans le temps prsent, ni mme dans le lieu de ltre quelle qualifie.

La seule ralit de la pression dun gaz est dans la multitude dinteractions qui peuplent le pass causal de ce gaz et la seule existence de cette pression sera dans ses consquences, y compris sa consquence sur le moyen dobservation. Cette ralit naura le sens de pression (qualit dans le prsent) que dans la reprsentation quen fera lobservateur, reprsentation rgie par les lois statistiques du Logos.

Cette remarque sapplique galement la Monade ou quantum de sens de notre khaos. LUnit de la Monade nest pas une qualit ou une forme dans le lieu et dans le prsent de la Monade (il ny a ni lieu, ni prsent dans notre khaos) lUnit de la Monade na pas dautre ralit que le rseau infini de partage qui lui donne sens.

Ainsi nous pouvons dire que le quantum de sens nest quune reprsentation, un point de passage smantique. Sa ralit nest autre que le rseau infini de partage de sens qui le constitue, masque et transforme par le Logos en contenu smantique. Son existence nest autre que le champ infini des ses consquences.

Le partage du sens

Si le quantum de sens, si le sens en tant que qualit du quantum ne sont pas des ralits, quest-ce que le partage de sensen ralit ?

Puisque partager cest avoir en commun; Puisque le sens dune Monade est le rseau infini de partage qui la constitue; Nous dirons simplement que deux Monades partagent du sens si elles ont en commun une partie des rseaux qui en constituent la ralit. Conclusion

Ces quelques pages nous imposent de reconsidrer notre comprhension de la ralit et de sa reprsentation:

La ralit na pas de forme a prioriReprsenter la ralit ce nest pas reconnatre ses formes, cest lui donner sens, donner forme la ralit. Lattribution du sens se fait par le Logos, principe purement logique, objectif, universel, rgi par des lois statistiques.Ces lois confrent la reprsentation de la ralit des proprits qui se superposent ce qui rsulte de la ralit elle-mme.Ainsi le Logos est cause de lintelligibilit du rel, de la quantification du sens, de la relativit de toutes formes, de la nature statistique des qualits de ltre etc.

LEtre tel que le dcrivait Aristote, la fois Unit et Qualits, nest pas une ralit mais une reprsentation. Ltre na pas dautre ralit que ses causes qui sont ltre en puissance et ses consquences qui sont ltre en acte.La ralit ontologique premire nest pas lindividualit mais le partage.

Le lecteur pressent que sur cette base mtaphysique, il sera possible non seulement de reconstruire la reprsentation dun Kosmos peupl dtres aux devenirs rgis par des lois, mais aussi de donner sens aux concepts proposs par les sciences contemporaines.

Les nouveaux concepts mtaphysiquesbauchs dans ces pages:La nouvelle dfinition de la ralit de ltre, La fusion de ltre et du sens, Lidentit de nature entre matire et pense,

Labandon de lide dUnit,

Un espace dans lequel chaque point souvre sur le tout

seront autant de perspectives nouvelles pour la philosophie et la science.La Monade

Ce terme est emprunt Leibnitz. Pour Leibnitz la Monade tait l'unit d'Etre, elle se comprenait par son dynamisme interne, sa force, son unit. La substance de la monade tait la force dynamique qui ordonne sa multiplicit. C'tait l'expression de la force cratrice dpose par Dieu en toute chose.

Leibnitz refusait de limiter la description de l'univers au seul point de vue de la matrialit de l'univers et de l'obissance de cette matire aux lois de la physique. Un tel point de vue selon lui ne pourrait donner de raison d'tre l'univers. Il fallait rendre compte de la force cratrice dpose (selon lui par Dieu) en chaque corps. Le futur rsultant non plus de l'volution passive d'un monde de matire gouvern par une "mcanique" mais rsultant d'une "propension exister" inhrente l'univers. La science moderne a depuis rejoint un point de vue trs voisin montrant, par l'tude statistique des systmes complexes loin de l'quilibre, que l'volution du vivant et son adaptation au milieu, sa "volont d'tre", loin de rsulter d'un improbable hasard correspondent bien aux lois de l'univers, que le vivant "tait inscrit" pourrions nous dire dans les lois de l'univers.Cet article met bien en vidence un principe crateur, universel et transcendant dont la Monade telle que dfinie dans cet article est bien le nexus.Malgr sa similitude de principe, cette Monade nest pas celle de Leibnitz. Elle nest pas Unit dtre en ralit mais en reprsentation, en vrit. Ce postulat dict par le simple bon sens mriterait bien sr une dmonstration mathmatique rigoureuse, voire une simulation par ordinateur. L'une et l'autre me semblent possibles pour de plus comptents que moi en mathmatiques.

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