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Après l’inauguration, le 18 octobre dernier à Paris, de la Maison des industries des papiers et cartons (MIP), certains tentent d’imposer désormais l’idée d’une Maison de l’emballage imprimé. C’est notamment le cas de Jean-Jacques Caussarieu, président de l’Association technique française de flexographie (ATF) qui, lors du dernier congrès qui s’est déroulé le 24 novem- bre à La Baule (44), a clairement appelé de ses vœux la création d’une structure fédérant l’ensemble des activités liées à l’impression de l’emballage. L’occasion de s’interroger sur la physionomie d’un secteur qui affiche globalement de bons résultats – notamment par rapport à l’industrie du labeur – mais qui, dans le même temps, recouvre de multiples réalités. Et cela à l’heure où l’ATF, en partenariat avec l’Union nationale de l’im- primerie et de la communication (Unic), prépare une étude sur ce sujet avec une volonté d’approche transversale de l’activité. Activité dynamique mais peu quantifiée « Même si l’impression d’emballages n’est pas réellement au cœur des principaux marchés des industries graphiques, il n’en demeure pas moins vrai que l’on se trouve là en pré- PageOnDemand.com, société française spé- cialisée dans les solutions multicanal dédiées à la réalisa- tion de catalogues pro- motionnels, étoffe son équipe commerciale avec la nomination de Jean-Christophe Pochet en tant que responsable commercial. « Les consommateurs utilisent toujours plus de canaux pour se renseigner et prendre leurs décisions d’achats. Nous devons donc aider nos clients à déployer un marketing crosscanal perti- nent afin qu’ils ciblent au mieux leurs potentiels acheteurs. C’est pourquoi nous renforçons notre équipe commer- ciale », déclare Stéphane Claret, direc- teur général. Avec plus de 20 ans d’expérience, Jean-Christophe Pochet a travaillé dans le domaine des nou- velles technologies et de l’édition de logiciels B to B pour des sociétés comme Haute Tension ou Lectra. LE RDV À VENIR 6 décembre 2011 Maison de la Recherche (Paris) • La prochaine matinée de conférences du Business Tour de France Graphique aura pour thème « Offset et numérique: alliance de raison ou modèle pérenne? ». http://businesstour.francegraphique.com JEUDI 1 ER DÉCEMBRE 2011 SUITE > L’emballage imprimé et les industries graphiques Jean-Christophe Pochet est nommé responsable commercial de PageOnDemand Par Rodolphe Pailliez création emballage imprimé publicité codes 2D exposition

L’emballage impriméet les industries graphiques

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Après l’inauguration, le 18 octobre dernier à Paris, de la Maison des industries des papiers et cartons (MIP), certains tentent d’imposer désormais l’idée d’une Maison de l’emballage imprimé.

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Page 1: L’emballage impriméet les industries graphiques

Après l’inauguration, le 18 octobre dernier à Paris, de la Maisondes industries des papiers et cartons (MIP), certains tententd’imposer désormais l’idée d’une Maison de l’emballageimprimé. C’est notamment le cas de Jean-Jacques Caussarieu,président de l’Association technique française de flexographie(ATF) qui, lors du dernier congrès qui s’est déroulé le 24 novem-bre à La Baule (44), a clairement appelé de ses vœux la création d’une structure fédérant l’ensemble des activités liées àl’impression de l’emballage. L’occasion de s’interroger sur la physionomie d’un secteur qui affiche globalement de bons

résultats – notamment par rapport à l’industrie du labeur – maisqui, dans le même temps, recouvre de multiples réalités. Et celaà l’heure où l’ATF, en partenariat avec l’Union nationale de l’im-primerie et de la communication (Unic), prépare une étude surce sujet avec une volonté d’approche transversale de l’activité.

Activité dynamique mais peu quantifiée« Même si l’impression d’emballages n’est pas réellement aucœur des principaux marchés des industries graphiques, il n’endemeure pas moins vrai que l’on se trouve là en pré-

PageOnDemand.com,société française spé-cialisée dans lessolutions multicanaldédiées à la réalisa-tion de catalogues pro-motionnels, étoffe sonéquipe commerciale avec lanomination de Jean-Christophe Pocheten tant que responsable commercial. « Les consommateurs utilisent toujoursplus de canaux pour se renseigner etprendre leurs décisions d’achats. Nousdevons donc aider nos clients àdéployer un marketing crosscanal perti-nent afin qu’ils ciblent au mieux leurspotentiels acheteurs. C’est pourquoinous renforçons notre équipe commer-ciale », déclare Stéphane Claret, direc-teur général. Avec plus de 20 ans d’expérience, Jean-Christophe Pochet a travaillé dans le domaine des nou-velles technologies et de l’édition delogiciels B to B pour des sociétéscomme Haute Tension ou Lectra.

LE RDVÀ VENIR6 décembre 2011Maison de la Recherche(Paris)• La prochaine matinée deconférences du Business Tourde France Graphique aura pour thème « Offset et numérique: alliance de raisonou modèle pérenne? ».http://businesstour.francegraphique.com

JEUDI 1ER DÉCEMBRE 2011

SUITE >

L’emballage imprimé et les industries graphiques Jean-Christophe Pochet

est nommé responsablecommercial dePageOnDemand

Par Rodolphe Pailliez

créationemballageimprimé

publ

icité codes

2D

exposition

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SERGEANT PAPERSOUFFLE SA PREMIÈRE BOUGIEAUTOUR D’UNEEXPOL’éditeur et distributeur d’œuvresd’art imprimées Sergeant Paperfête sa première année de succès.À cette occasion, l’organisateur

d’expositions d’œuvres originaleset d’arts en série propose dedécouvrir des impressions d’artsen jet d’encre et sérigraphie.L’objectif étant de mettre en avantle savoir-faire des artistes françaisdans les domaines de l’éditiond’art et des arts graphiques, du graffiti à la bande dessinée.

Parmi les artistes de la « French Touche » sélectionnés, on compte Alëxone, AmandineUrruty, Mist, Les Frères Guedin,Axel Sanson, Poch, etc.Exposition « La French Touche » :

du 8 décembre au 17 janvier 2012.

Sergeant Paper Artstore

38, rue Quincampoix, 75004 Paris.

En bref

sence d’une activité dynamique », reconnaît Valérie Bobin,responsable Études et observatoires au sein de l’OPCA-CGM. Tout en soulignant la difficulté qu’il y a à bien cernercette activité. « Avoir une vision globale du marché de l’em-ballage imprimé n’est pas aisé dans la mesure où l’on aaffaire à un éclatement entre différents secteurs. Si, sur unplan général, l’activité est soutenue, elle est encore peuquantifiée », souligne-t-elle. « Le fait que l’aspect impres-sion soit absorbé dans le processus global de production del’emballage ne contribue pas non plus à faciliter la mise enplace d’une politique d’accompagnement pertinente du sec-teur, tant en termes de statistiques que de formations oubien de passerelles d’emplois », constate encore la repré-sentante de l’OPCA-CGM.

Étiquettes, papier/carton, emballage soupleAu sein de l’ensemble des industries graphiques françaises,le conditionnement représente 9 % de l’activité en volumeet 15,9 % en termes de chiffre d’affaires. Alors que le pre-mier marché – celui des imprimés publicitaires – concen-tre environ 20 % des volumes traités et du chiffre d’affaires.Mais cette activité conditionnement recensée au sein de lafilière industries graphiques ne porte que sur 240 entre-prises. Même si ces dernières ont, avec un volume impriméde 220000 tonnes en 2010, connu une progression de 4,5 %, elles sont loin de représenter tout ce qui pourrait « entrer » dans une éventuelle Maison de l’emballageimprimé.• L’activité emballage papier/carton représente de loin leplus fort contingent d’entreprises avec pas moins de 600unités et 31000 salariés. Le chiffre d’affaires est de 6,2 mil-liards d’euros et les volumes traités atteignent 5,31 millionsde tonnes, en progression de 4,3 % en 2010.

• L’emballage plastique et souple est constitué d’environ 320 entreprises (dont 290 pour l’activité plastique) et38000 salariés (dont 31500 pour le plastique). L’activité globale en hausse de 2,5 % en 2010, représente pour sa part un chiffre d’affaires de 6,4 milliards d’euros et unvolume de 1,9 million de tonnes.• Le secteur des étiquettes adhésives est quant à lui fort de 350 entreprises réalisant un chiffre d’affaires de l’ordrede 1 milliard d’euros, en progression d’environ 3 %. En complément, l’activité étiquettes sèches apporte sa « contribution » à hauteur de 260 millions d’euros.

Offset, flexo, hélio, numériqueCette diversité d’activités et de produits réalisés se doubleen outre d’une multiplicité de process d’impression. Tousproduits confondus et selon une étude réalisée en 2010 par le GOTA, la flexo arrive en tête (36 %) devant l’offsetfeuilles (33,1 %) et l’hélio (23,5 %). L’offset rotative et lenumérique représentent respectivement 1,5 % et 1 % dutonnage imprimé. D’ici à 2013, l’offset feuilles (- 1 %) etl’hélio (- 0,7 %) devraient légèrement décroître tandis quela part du numérique devrait progresser (+ 1,8 %). Procédéphare dans le secteur de l’emballage en France, la flexoreprésente, selon le Guide 2010/2011 de l’ATF, quelque 640 entreprises majeures réparties de façon à peu prèségale entre les secteurs de l’étiquette adhésive (33 %), del’emballage souple (31 %) et du carton (30 %). Pour ainsidire, seul produit concerné par l’ensemble des procédésd’impression, l’étiquette adhésive est à ce titre significativede la richesse de la filière emballage imprimé. Toujoursselon le GOTA, sa production est aujourd’hui assurée enFrance à hauteur de 45 % en flexo, 25 % en typo, 15 %en offset, 10 % en sérigraphie et 5 % en numérique. �

Ils pullulent et se multiplient. Les codes 2D font désormais partie de notre paysage. Leur utilisation reste néanmoins proscrite à certainssecteurs. Le grand format, qui ne s’en était que timidement saisi jusqu’àprésent, a désormais franchi le pas. L’enseigne britannique Tesco l’a ainsi expérimenté en Corée du Sud sur de l’affichage dans le métro.Elle donne la possibilité aux voyageurs pressés de faire leurs courses enscannant le code sur de grands panneaux reproduisant les rayonnagesd’un supermarché. Retrouvez la vidéo de démonstration sur notre site,dans l’article « La Fespa dans les starting-blocks ». B. J.

Vidéo : Les codes 2D au serviced’une grande surface

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La scène graphique contemporaine célèbre Roger Excoffon

Une rétrospective est actuellement consacrée à RogerExcoffon (1910-1983) au musée de l’Imprimerie deLyon. Le graphiste, typographe et publicitaire françaisjouit d’une reconnaissance mondiale dans tous lesdomaines des arts visuels. Il est notamment connu pour

ses polices de caractères (Choc, Mistral ou Diane),ou encore ses logotypes et affiches réalisés pourAir France, la SNCF, Dior ou Larousse (lire son portrait dans le n° 313 de France Graphique d’octobre-novembre 2010). L’objectif de l’expositionau musée de l’Imprimerie de Lyon est, selon TonySimoes Relvas, graphiste et commissaire de l’exposi-tion, « d’offrir la vision la plus large possible du travaild’Excoffon. Il a fait de nombreux travaux qu’on connaîtmoins, par exemple, pour les laboratoires. Cela n’apeut-être pas le même intérêt qu’une affiche très

connue pour Air France, Bally, la SNCF, mais cela donneaux gens une idée du travail d’un studio de création. Jevoudrais également montrer qu’Excoffon est un gra-phiste qui a traversé les générations, même s’il l’a faitsilencieusement, qu’il est intemporel et qu’il continuetoujours d’influencer les graphistes d’aujourd’hui ».Pour le prouver, huit graphistes français, proches dutravail de Roger Excoffon, ont été invités à créer uneaffiche lui rendant hommage. Les œuvres de FrédéricTeschner, Office ABC, Antoine+Manuel, Change isgood, Superscript2, Clément Le Tulle Neyret & ThomasLeblond et Alaric Garnier sont ainsi affichées aux côtésde celles de leur maître à penser. Elles sont visiblesjusqu’au 19 février 2012. À l’occasion de cette exposi-tion, un ouvrage inédit regroupant les créations deRoger Excoffon a été imprimé. B. J.

sentie lorsqu’au détour d’un rayon, je l'ai redé-couverte, là, aux yeux de tous; ma peintureétait sur la couverture de carnets, en ventelibre. Sachez que cette émotion va au-delà dece que l’on peut imaginer. Il n’y a pas de petitecréation, il n’y pas de beau ni de laid, mais il ya l’âme de l’artiste et la joie de créer », assure-t-elle. Ceux qui ont raté le coche pourront sansdoute retenter leur chance l’an prochain. B. J.

* http://blog.letudiant.fr/le-trophee-de-la-creation.

tion « 1er prix du Trophée de la création 2012Clairefontaine-L’Etudiant ».L’an dernier, la première édition du Trophée de la création avait rencontré un vif succès. 450 œuvres et illustrations avaient en effet été réunies en seulement deux mois. MarionRascol, 19 ans, était l’heureuse lauréate del’édition 2010. Étudiante en mise à niveau en arts appliqués au lycée des Arènes deToulouse, elle a été récompensée pour sacréation réalisée sur le thème: « Tâches ethasard: parce que l’art n’est que découverte etspontanéité ». « Je me souviens de l’intimitéd’une classe, de mes mains pleines de pein-ture, du bonheur d’avoir créé. Mais ce dont je me souviens le mieux, c’est de l’émotion res-

Le Trophée de la création organisé parClairefontaine et l’Etudiant a clos la deuxièmeédition de son concours le 30 novembre. Celui-ci avait pour thème: « Créez la couver-ture d’une nouvelle gamme de carnets à dessin » et proposait aux lycéens ou étudiants,débutants, amateurs ou artistes confirmés,d’envoyer leurs créations via un blog dédié*.Comme l’année précédente, la remise des prixse déroulera sur le Salon des formations artis-tiques les 27 et 28 janvier 2012, à Paris, Porte de Versailles. La création retenue fera l’objetd’une nouvelle collection de carnets à dessin,imprimée en série limitée à 2000 exemplaireset diffusée en France et à l’étranger. Ces sup-ports porteront le nom du lauréat, avec la men-

Bien couverts pour l’hiver

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Éditée par ETAI : Antony Parc 2 – 10, place du Général-de- Gaulle –92160 Antony – Tél. : 01 77 92 92 92 – Fax. : 01 77 92 98 20 –www.groupe-etai.com • Directeur de la publication : ChristopheCzajka • Directeur général adjoint pôle presse spécialisée etsalons professionnels : Gilles de Guillebon • Pour joindre vos correspondants, composez le 01 77 92 suivi des deux chiffres entreparenthèses après chaque nom • Rédacteur en chef : GuillaumeBregeras (96 06) ; [email protected] • Rédacteur en chef adjoint :Rodolphe Pailliez (96 05) ; [email protected] • Rédactrice : BakhtaJomni (93 60) ; [email protected] • Secrétaire de rédaction : PhilippeAbgrall (96 13) ; [email protected] • Directeur de la publicité :Véronique Durègne de Launaguet (96 59) ; [email protected] •Assistante : Martine Fourment (96 56) ; [email protected] • Responsable du studio : Thierry Michel (96 30) ; [email protected]• Rédacteur graphiste : Maxime Perlemoine • Directeur de la promotion et de la diffusion : Jean-Baptiste Alline ;[email protected] • Directrice de la promotion : Marie-SophieLeprince ; [email protected] • Directeur des abonne-ments : Patricia Rosso ; [email protected] • Responsable des abonne-ments : Marie-Christine Soyeux (97 99) ; [email protected]

Reprise du marché publicitairedes médias en France

EN CHIFFRES• 5,7. C’est, en pourcentage au premier semestre 2011, la baissedes revenus publicitaires enregistréepar l’activité grand format au sein du média publicité extérieure.

• 585. C’est, en millions d’euros, le montant des recettes publicitairesde la presse magazine au premiersemestre 2011, soit la plus forte contribution au total presse.

• 12,6. C’est, en pourcentage, la baisse historique enregistrée par le marché publicitaire en 2009.

• 1,4. C’est, en pourcentage, la progression que pourrait connaître en 2011 le marché publicitaire, dans un scénario de « résistance à la crise ».

« La reprise se poursuit, mais ralentit… ». Tel est le commentaire des responsables de l’Institut de recherches et d’études publicitaires(IREP) et de France Pub concernant la situationdu marché publicitaire des médias au premiersemestre 2011. C’est ainsi qu’après l’augmenta-tion de 4,6 % enregistrée au premier semestre2010 (+ 3,9 % sur l’ensemble de l’année 2010),les recettes publicitaires ont connu, en valeurnette, une progression de + 2,1 % au premiersemestre de cette année.Comme d’habitude, la situation d’un média àl’autre est contrastée. Sans surprise, c’est la télévision (écran et parrainage) qui arrive trèslargement en tête avec des recettes publici-taires évaluées à 1720 millions d’euros. Lapublicité extérieure, la presse magazine (publi-cité) et la presse quotidienne régionale (publi-cité + PA) suivent à bonne distance avec respec-tivement 602, 585 et 472 millions d’euros.Néanmoins, les recettes combinées de lapresse (PQN, PQR, magazine, spécialisée, gratuite d’annonces et d’information, PHR)s’élèvent à 1767 millions d’euros, soit un chiffrelégèrement supérieur à celui de la télévision. En

termes de comparaison entre le premier semes-tre des années 2010 et 2011, la plus forte progression est à mettre à l’actif du cinéma (+ 40,5 %). Internet (display) avec + 15 % et la presse gratuite d’information avec + 11,3 %enregistrent également des progressions signi-ficatives. À l’inverse, la presse gratuite d’annon-ces connaît la plus forte baisse (– 11 %). Cepen-dant, avec un recul de 1,2 %, la presse dans son ensemble se ressaisit par rapport au premier semestre 2010 (– 4,1 %).Pour la première fois, l’IREP mesure à l’occa-sion de cette enquête les recettes publicitairesnettes du mobile. Celles-ci s’élèvent pour le premier semestre 2011 à 16 millions d’euros, en évolution de 44,3 % par rapport à la mêmepériode de l’année précédente. « Après unephase de reprise régulière et soutenue en 2010, les dépenses de communication se sont stabilisées au premier semestre 2011 sur un palier légèrement supérieur au niveaumoyen atteint au premier semestre 2010, à savoir + 2,9 % pour les grands médias et + 2,5 % pour le hors-média », précise de soncôté France Pub. R. P.