LES HUIT SAISONSVivaldi / Piazzolla

DI. 5 MAI 16h

ANTONIO VIVALDI (1678-1741)Les Quatre Saisons [Le quattro stagioni], op. 8 nos 1 à 4[40 min]

Concerto no 1, en mi majeur, «La primavera» [«Le Printemps»]I. AllegroII. LargoIII. Allegro

Concerto no 2, en sol mineur, «L’estate» [«L’Été»]I. Allegro non molto – AllegroII. Adagio e piano – Presto e forteIII. Presto

Concerto no 3, en fa majeur, «L’autunno» [«L’Automne»]I. Allegro II. Adagio molto III. Allegro

Concerto no 4, en fa mineur, «L’inverno» [«L’Hiver»]I. Allegro non moltoII. LargoIII. Allegro

– Entracte –

ASTOR PIAZZOLLA (1921-1992)Les Quatre Saisons de Buenos Aires [Las cuatro estaciones porteñas]Arrangement pour violon solo et orchestre à cordes de Leonid DessiatnikovI. Verano Porteño [Été à Buenos Aires]II. Invierno Porteño [Hiver à Buenos Aires]III. Primavera Porteña [Printemps à Buenos Aires]IV. Otoño Porteño [Automne à Buenos Aires] [25 min]

Orchestre national de LyonAlexandra Conunova, direction et violon

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ANTONIO VIVALDILes Quatre Saisons, op. 8 nos 1 à 4 [Le quattro stagioni]

La publication en 1711 de L’estro armonico (op.  3) avait assuré à Antonio Vivaldi une notoriété dépassant les frontières  : le recueil fut imprimé à Paris et même à Londres et joué avec un grand succès. C’est d’ailleurs les transcriptions pour clavecin et orgue de ces concertos par Jean-Sébastien Bach lui-même qui assurèrent à Vivaldi une gloire posthume. Ce recueil de douze concertos pour cordes faisait suite à deux volumes de sonates (op.  1 et  2), qui connaissaient eux-mêmes une bonne fortune en Italie. En 1725, c’est à Amsterdam, grand lieu de l’édition, que le Vénitien fit paraître son deuxième volume de concertos : Il cimento dell ’armonia e dell ’ inventione [sic], son opus  8, dans lequel se trouvent les Quatre Saisons. Contrairement au précédent recueil de concertos (op. 3), qui mêlait concertos de soliste et concerti grossi (faisant dialoguer plusieurs solistes avec l’orchestre), l’opus 8 ne présente que des concertos pour solistes (faisant intervenir un seul musicien soliste).

Rares sont les œuvres de Vivaldi qui ne se distinguent pas par un titre évocateur. Le titre général du recueil de l’opus  8, Il cimento dell ’armonia e dell ’ invenzione – «La Mise à l’épreuve de l’harmonie et l’invention» – fait référence au combat imaginaire entre la rationalité et la fantaisie, celle-là même que Vivaldi défend dans son jeu violonistique, héritier du courant des musiciens italiens de la fin du xviie siècle prônant l’inventivité des interprètes et le recours à toute sorte d’effets sonores expérimentaux. Quant aux Quatre Saisons, elles sont assorties de quatre sonnets écrits par Vivaldi lui-même après la composition pour décrire en mots ce que la musique illustre. Cependant, nul besoin de ce paratexte tant le discours musical est évocateur et limpide. Les scènes champêtres, les caprices du ciel ou encore la vie animale et végétale, chaque élément y est dépeint, à l’image d’un tableau vivant. L’ensemble constitue l’un des exemples les plus aboutis de «musique à programme».

Antonio Vivaldi, maître du concerto, en a composé plus de cinq cents. Et pourtant, chaque concerto qui compose les Quatre Saisons est unique en son genre. Le Prêtre roux a poussé là les limites de la composition, expérimentant comme jamais les jeux sonores pour servir cette nouvelle musique descriptive. En premier lieu, le violon est virtuose à l’extrême, déployant une technicité inédite. Les sauts d’archet, les changements de tempo,

Composition : date inconnue, bien antérieure à 1725 ; version originale retravaillée par la suite. Première publication : Amsterdam, Michel Le Cène, 1725, dans un recueil de concertos en parties séparées intitulé Il cimento dell’armonia e dell’inventione.

L’un des exemples les plus aboutis de musique à programme

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les effets de jeux variés et détaillés en font un exercice redoutable pour le soliste. Ensuite, la forme même de la pièce se trouve être plus complexe, dictée par les sonnets sur lesquels elle s’appuie. Enfin, la conduite générale propose tantôt un rythme effréné soutenant l’ensemble, tantôt un climat aquatique et mouvant suspendant le temps, le tout se succédant sans cesse dans un tableau aux mille couleurs. Renforçant ces effets de contrastes, les strates orchestrales se décomposent en des textures de cordes variées et incroyablement inventives. Il n’est qu’à évoquer entre autres l’archet aérien et presque timide qui, soudainement, s’emballe et racle la corde de façon quasi-animale, ou encore les micro-tonalités, les trilles ou les glissandos, qui évoquent chacun une idée propre, celle de l’ivresse, du frisson ou du souffle.

Vivaldi bénéficie d’une telle réputation, aujourd’hui, que nous en venons à oublier souvent qu’il n’a été redécouvert que récemment, bénéficiant d’un formidable travail de mise à jour ces toutes dernières années. Les Quatre Saisons, son œuvre la plus fameuse en son temps comme aujourd’hui, n’a été exhumée que dans les années 1920-1930. En 1991, l’œuvre s’est refait une jeunesse avec le célèbre enregistrement du violoniste Fabio Bondi à la tête de son ensemble L’Europa galante. Cette interprétation osait le «baroque»  : les tempi contrastés, autant dans le vif que dans le languissant, l’exagération des rythmes et des effets théâtraux, une sensualité exacerbée. Les Quatre Saisons profiteront durablement de cette renaissance, qui permet à chaque écoute une redécouverte continue de ce chef-d’œuvre absolu.

Bénédicte Hertz

À PARTIR DE 4 CONCERTS

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2019Symphonique / Jazz / Récital / Orgue / Jeune public…

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ASTOR PIAZZOLLALes Quatre Saisons de Buenos Aires [Las cuatro estaciones porteñas]

Arrangement pour violon solo et orchestre à cordes de Leonid Dessiatnikov

Le terme porteño que l’on trouve dans le titre Las Cuatro Estaciones porteñas est relatif aux habitants des villes portuaires d’Argentine, et principalement de la capitale, Buenos Aires (dont le nom originel est Puerto de Nuestra Señora de los Buenos Aires, «Port de Notre-Dame des Vents favorables»). C’est à Buenos Aires qu’Astor Piazzolla, compositeur argentin originaire de l’immigration italienne, a fait la plus grande partie de sa carrière. Il a bénéficié d’une double formation : populaire, en jouant du bandonéon depuis son adolescence dans les orchestres de tango, et classique, en venant notamment étudier la composition auprès de Nadia Boulanger à Paris, de 1954 à 1957. Avec le tango nuevo, il a réalisé une étonnante synthèse entre les éléments traditionnels du tango et un langage harmonique moderne, avec un goût affirmé pour une écriture contrapuntique savante (fugues…) qui est a priori très éloignée de la danse porteña.

Les différentes pièces composant Les Quatre Saisons de Buenos Aires ont été écrites séparément, dans les années 1964 à 1970, et ont été réunies ultérieurement en une suite (le «Printemps», en 1970, était initialement destiné à un spectacle de ballet). Elles étaient composées pour le quintette de Piazzolla (bandonéon, violon, piano, guitare électrique et contrebasse), mais beaucoup d’arrangements en ont été faits ensuite pour différentes formations. L’une de ces versions réalisée par Leonid Dessiatnikov en 1999 reprend la formation pour orchestre à cordes et violon solo de Vivaldi, et introduit des citations des Quatre Saisons pour accentuer une filiation qui n’est pas d’emblée évidente. En effet, à part un hypothétique ressenti climatique, il y a peu de points communs entre les saisons urbaines de Buenos Aires, trépidantes, âpres et sensuelles, et les descriptions d’une nature bucolique soumise aux perturbations atmosphériques imaginées par Vivaldi.

Dans la version Dessiatnikov, outre les citations des Quatre Saisons qu’on s’amusera à repérer au passage (et une allusion au Canon de Pachelbel en prime  !), le rapprochement le plus évident avec l’œuvre de Vivaldi est une virtuosité violonistique extrêmement engagée, n’hésitant pas à outrepasser les limites du «beau son» pour atteindre une puissance d’expression exacerbée.Isabelle Rouard

Composition : 1964, 1969, 1970. Arrangement : 1999.

Une virtuosité violonistique extrêmement engagée

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Alexandra Conunova, violon et directionAlexandra Conunova a remporté en 2012 le premier prix du Concours Joseph-Joachim de Hanovre. Trois ans plus tard, lauréate du Concours de Singapour, elle a obtenu le troisième prix au prestigieux Concours Tchaïkovski de Moscou. Depuis lors, elle joue en soliste avec des formations comme le Mahler Chamber Orchestra, l’Orchestre de la Suisse italienne, l’Orchestre du NDR de Hanovre, l’Orchestre de la Radio de Sarrebruck, l’Orchestre Mariinski de Saint-Pétersbourg, la Camerata de Berne, l’Orchestre du Teatro Regio de Turin, l’Orchestre du Capitole de Toulouse et d’autres, sous la direction de chefs comme Valery Gergiev, Theodor Curentzis, John Axelrod, Vladmir Spivakov, Gianandrea Noseda. Elle a fait une tournée au Japon avec l’Orchestre philharmonique de Moscou et Iouri Simonov, et plus récemment avec Laurence Equilbey et l’Insula Orchestra (Budapest, Aix-en-Provence, Paris, Londres).Alexandra Conunova a joué dans des festivals comme Verbier, Montreux Septembre Musical, Gstaad, Bonn, Colmar, Menton, Ferrara Musica, aux BBC Proms de Londres, au Festival Martha Argerich de Hambourg, au Festival de Radio France et Montpellier, au Festival de Pâques d’Aix-en-Provence, aux Folles Journées de Nantes et Tokyo. Elle fait de la musique de chambre avec Michail Lifits, Renaud Capuçon, Edgar Moreau, David Kadouch, Andreas Ottensamer, Gérard Caussé, Boris Brovtsyn, Jean Rondeau…Nommée «maître ès arts» par le président de la République de Moldavie, son pays d’origine, elle a fondé l’œuvre caritative ArtaVie, qui a pour but d’aider les familles et enfants défavorisés de son ancienne école. Elle a enregistré les sonates de Prokofiev avec Michail Lifits (Aparté) et le Triple Concerto de Beethoven avec Insula Orchestra et Laurence Equilbey (Erato).Alexandra Conunova joue un violon Guarnieri «del Gesù», le «von Vecsey», construit vers 1730.

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Orchestre national de LyonFort de 104 musiciens permanents, l’Orchestre national de Lyon (ONL) a pour directeur musical désigné Nikolaj Szeps-Znaider, qui prendra ses fonctions en septembre 2020. Leonard Slatkin, qui a été directeur musical de septembre 2011 à juin 2017, en est aujourd’hui directeur musical honoraire. Héritier de la Société des Grands Concerts de Lyon, fondée en 1905 par Georges Martin Witkowski, l’ONL est devenu permanent en 1969, sous l’impulsion de l’adjoint à la Culture de la Ville de Lyon, Robert Proton de la Chapelle. Après Louis Frémaux (1969-1971), il a eu pour directeurs musicaux Serge Baudo (1971-1987), Emmanuel Krivine (1987-2000), David Robertson (2000-2004) et Jun Märkl (2005-2011). L’ONL a le privilège de répéter et jouer dans une salle qui lui est dédiée, l’Auditorium de Lyon (2100 places).Apprécié pour la qualité très française de sa sonorité, qui en fait un interprète reconnu de Ravel, Debussy ou Berlioz, l’ONL explore un vaste répertoire, du xviiie siècle à nos jours. Il passe régulièrement commande à des compositeurs d’aujourd’hui, tels Kaija Saariaho, Thierry Escaich ou Guillaume Connesson. La richesse de son répertoire se reflète dans une vaste discographie, avec notamment des intégrales Ravel et Berlioz en cours chez Naxos. Pionnier dans ce domaine, l’ONL s’illustre avec brio dans des ciné-concerts ambitieux (Le Seigneur des anneaux, Matrix, The Artist,…) ou accompagne des œuvres majeures du cinéma muet. Il privilégie également les actions pédagogiques et la médiation, avec un orchestre de jeunes, une politique tarifaire forte en direction des plus jeunes, des projets ambitieux pour les écoles, des conférences et de nombreuses autres actions d’accompagnement. L’ONL privilégie les actions pédagogiques et la médiation. En 2017/2018, l’Auditorium-Orchestre national de Lyon a lancé le projet Démos (Dispositif d’éducation musicale et orchestrale à vocation sociale) dans la Métropole de Lyon.Au-delà des concerts qu’il donne à l’Auditorium, l’ONL se produit dans les plus grandes salles mondiales. Premier orchestre symphonique européen à s’être produit en Chine, en 1979, il a fait en 2017 une tournée américaine qui l’a conduit dans la salle new-yorkaise mythique de Carnegie Hall. Deux tournées prestigieuses jalonnent la saison 2018/2019 : l’Allemagne et les Pays-Bas en novembre 2018, avec des étapes notamment à la Philharmonie de Berlin et au Gewandhaus de Leipzig ; la Chine en juin 2019, avec des concerts à Hong Kong, Pékin, Shanghai, Guangzhou, Shenzhou et Séoul.

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Leonard Slatkin

directeur musical honoraire

Nikolaj Szeps-Znaider

directeur musical désigné

Violons I

Violons solos supersolistesJennifer GilbertGiovanni Radivo

Premier violon soloJacques-Yves Rousseau

Deuxième violon soloNN

Violons du rangAudrey BesseYves ChalamonAmélie ChaussadePascal ChiariConstantin CorfuAndréane DétienneAnnabel FauriteSandrine HaffnerYaël LalandeLudovic LantnerPhilip LumbusRoman Zgorzalek

Violons II

Premiers chefs d’attaqueFlorent Souvignet-KowalskiCatherine Menneson

Deuxième chef d’attaqueTamiko Kobayashi

Violons du rangCharles CastellonLéonie Delaune Catalina EscobarEliad FloreaVéronique GourmanelKaé KitamakiJulien MalaitDiego MattheyMaïwenn MererJulie OddouAurianne PhilippeSébastien PlaysBenjamin Zékri

Altos

Altos solosCorinne ContardoJean-Pascal Oswald

Alto co-solisteFabrice Lamarre

Altos du rangCatherine BernoldMarc-Antoine BierVincent Dedreuil-MonetVincent HugonSeungEun LeeJean-Baptiste MagnonCarole MilletLise NiqueuxManuelle RenaudClaire-Hélène Rignol

Violoncelles

Violoncelles solosNicolas HartmannÉdouard Sapey-Triomphe

Violoncelle co-solistePhilippe Silvestre de Sacy

Violoncelles du rangThémis Bandini Mathieu ChastagnolPierre Cordier Dominique DenniStephen EliasonVincent FalqueJérôme PortanierNN

Contrebasses

Contrebasses solosBotond KostyákVladimir Toma

Contrebasse co-solistePauline Depassio

Contrebasses du rangDaniel BillonGérard FreyEva JanssensVincent MennesonBenoist NicolasMarta Sánchez Gil

Flûtes

Flûtes solosJocelyn AubrunEmmanuelle Réville

Deuxième flûte NN

PiccoloHarmonie Maltère

Hautbois

Hautbois solosJérôme GuichardClarisse Moreau

Deuxième hautbois Philippe Cairey-Remonay

Cor anglais Pascal Zamora

Clarinettes

Clarinettes solosNans MoreauFrançois Sauzeau

Petite clarinetteThierry Mussotte

Clarinette basse Lilian Harismendy

Bassons

Bassons solosOlivier MassotLouis-Hervé Maton

Deuxième basson François Apap

Contrebasson Stéphane Cornard

Cors

Cors solosGabriel DambricourtGuillaume Tétu

Cors aigusPaul TanguyYves Stocker

Cors gravesStéphane GrossetGrégory SarrazinManon Souchard

Trompettes

Trompettes solosSylvain KetelsChristian Léger

Deuxièmes trompettes Arnaud GeffrayMichel Haffner

Trombones

Trombones solosFabien LafargeCharlie Maussion

Deuxième trombone Frédéric Boulan

Trombone basse Mathieu Douchet

Tuba

Tuba soloGuillaume Dionnet

Timbales et percussions

Timbalier soloAdrien Pineau

Deuxième timbalier Stéphane Pelegri

Première percussionThierry Huteau

Deuxièmes percussionsGuillaume ItierFrançois-Xavier Plancqueel

Claviers

Claviers soloPierre Thibout

Harpe

Harpe soloÉléonore Euler-Cabantous

Aline Sam-Giao

Directrice générale

Emmanuelle Durand

Secrétaire générale

Mathieu Vivant

Directeur de production

Stéphanie Papin

Directrice administrative et financière

Ronald Vermeulen

Délégué artistique

Et l’ensemble des équipes administratives et techniques.

À FOND LES VIOLONS !

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Orchestre national de LyonRenaud Capuçon Ateliers, concert participatif, …

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NOUS AVONS SÉLECTIONNÉ POUR VOUS :

DI. 12 MAI 16h VALSEZ MAINTENANT !

Œuvres de Johannes Brahms, Frédéric Chopin, Franz Liszt, Thomas Enhco et Bruno Fontaine

SpiritoNicole Corti, directionGuillaume Coppola et Thomas Enhco, pianoMathias Roche, création lumières

Tarif : de 10 € à 38 € / réduit : de 8 € à 31 €. À 18h, bal guinguette sur la place Charles-de-Gaulle avec Les Balochiens.

JE. 16 MAI 20h ANDRÁS SCHIFF

Robert Schumann GeistervariationenJohannes Brahms Trois Intermezzi op. 117 – Six Klavierstücke op. 118 – Quatre Klavierstücke op. 119Wolfgang Amadeus Mozart Rondo en la mineur, KV 511Johann Sebastian Bach Prélude et Fugue n° 24 du Clavier bien tempéré (livre I)Ludwig van Beethoven Sonate pour piano n° 26, «Les Adieux»

András Schiff, piano

Tarif : de 16 € à 48 € / réduit : de 8 € à 41 € En partenariat avec Les Grands Interprètes.

MA. 18 JUIN 20hLAMBERT WILSON / THIERRY ESCAICH

Textes d’Olivier Messiaen (issus de l’opéra Saint François d’Assise)

Lambert Wilson, comédienThierry Escaich, improvisations à l’orgue

Tarif : 16 € / réduit : de 8 € à 11 €

L’Auditorium-Orchestre national de Lyon est un établissement de la Ville de Lyon, subventionné par l’État. Licences n° 1109504, 1109505, 1109506

AuditoriumOrchestre national de Lyon149, rue Garibaldi – 69003 Lyon04 78 95 95 95auditorium-lyon.com