Les Lois de Dieu

7/27/2019 Les Lois de Dieu

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Aujourd’hui, je vais vous parler des lois du Royaume de Dieu. C’est un sujet queles églises ont saboté, peut-être encore plus que le reste, et pratiquement tout

ce qui vous a été enseigné à ce sujet dans les églises peut être considéré commepartiellement ou totalement faux à cause de la façon dont elles ont tout mélangé.

La Bible parle de quatre sortes de lois divines : les commandements, les juge-ments, les statuts et les ordonnances. Les hommes d’église d’aujourd’hui, sauf rare exception, n’ont pas la moindre idée qu’il existe une quelconque diérenceentre ces quatre divisions.

Les commandements constituent les règles majeures concernant la responsabilitéde l’homme envers son Dieu. Les Dix Commandements, dans le vingtième chapitre

du Livre de l’Exode, sont bien entendu les exemples frappants de ce fait : « Tu nevoleras point », « Tu ne commettras pas le meurtre », « Tu ne commettras pasl’adultération », et ainsi de suite. Contrairement à ce qu’enseignent la majoritédes églises, ces Commandements sont toujours d’actualité.

Maintenant, les jugements : l’usage de ce mot est un rien trompeur. Aujourd’hui,nous comprenons le mot « jugement » comme signiant la décision d’une couraprès qu’elle a entendu une aaire mais, dans la Bible, les jugements sont lesrègles par lesquelles une cour doit décider l’aaire. En d’autres termes, suivantles règles établies par ce que votre Bible appelle les « jugements », une cour sauracomment décider l’aaire. Ce mot est parfois utilisé dans la Bible dans le sensmoderne de « décision », mais du point de vue de la loi biblique, considérez-lecomme signiant les règles par lesquelles une cour décide une aaire ; mais pastoutes les aaires.

Les commandements n’ont pas besoin de ces règles : ils sont susamment clairs.Mais ce que la Bible classie comme « jugements » sont les aaires entre unhomme et son prochain ; cela inclut les lois concernant les droits de propriété,les maîtres et les serviteurs et toutes ces choses.

Voici un exemple tiré des vingt et unième et vingt-deuxième chapitres du Livre

de l’Exode :

http://comparet.christogenea.org/content/laws-god



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« Ce sont ici les jugements que tu placeras devant eux : Si tu achètes unserviteur hébreu, il servira six années, et, la septième, il sortira libre,gratuitement. S’il est venu seul, il sortira seul ; s’il avait une femme,sa femme sortira avec lui ».

En voici un autre, sur le rapt :

« Et si quelqu’un vole un homme et qu’il le vende, ou qu’il soit trouvéen sa main, il sera certainement mis à mort ».

Pas de de simple tape sur les doigts ici, ni de liberté conditionnelle ; pour un rapt,c’est toujours la sentence de mort, même si la victime est sauvée.

Voici encore un autre jugement :

« Si un homme vole un bœuf, ou un mouton, et qu’il le tue ou le vende,il restituera cinq bœufs pour le bœuf, et quatre moutons pour le mou-ton. [...] Si ce qui a été volé est trouvé vivant entre ses mains, soitbœuf, soit âne, soit mouton, il fera compensation au double ».

Ce jugement rend le vol bien moins amusant, n’est-ce pas? Pourquoi les gensvolent-ils? Ils volent pour faire du prot. Et si le résultat du vol est un prot,alors au minimum, si vous êtes attrapé en possession d’un article volé et quele propriétaire retrouve sa possession volée, vous devez encore lui dédommager

le montant égal à la valeur de ce que vous avez volé; et si vous vous en êtesdébarrassé, vous pouvez avoir à rembourser jusqu’à cinq fois ce que vous avezvolé ; il n’y a plus de prot.

Il n’y avait pas énormément de vols sous ces lois. Maintenant, si vous vous deman-dez : « Comment faire pour mettre en pratique cette sorte de règle ? ». Supposezqu’un voleur vous rie à la gure en disant : « Voilà, je suis ruiné. Qu’est-ce que tupeux me faire maintenant ? ». Eh bien, la loi prévoyait quelque chose dans ce cas :le voleur était tout simplement vendu comme esclave pour une somme susante,équivalente à la valeur du vol.

Maintenant, supposez que ce voleur doive rendre 500$. L’homme serait mis auxenchères et le commissaire-priseur demanderait : « Qui mettra 500$ pour un moisdes services de cet homme comme esclave? ». Si le voleur est d’une mauvaiseengeance, personne ne sera preneur. « Eh bien, qui va mettre 500$ pour troismois des services de cet homme ? ». Cela vous montre comme les lois de Dieu sontscientiques : l’attitude même de l’homme détermine sa punition. S’il est vraimentdésolé et anxieux de faire le bien, il sera peut-être un travailleur enthousiaste etpeut-être obtiendrez-vous une ore de 500$ pour trois mois de ses services. Maiss’il est renfrogné et déant et qu’il est évident qu’il ne veut pas travailler excepté

si vous l’y obligez par des coups de fouet, il se pourrait qu’il faille trois ans de sesservices pour obtenir 500$. En d’autres termes, il a rendu lui-même sa punition

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aussi sévère qu’elle était méritée. La victime du vol, quant à elle, obtiendra sonremboursement.

Maintenant, quand nous trouvons un criminel, la meilleure chose que nous sa-

chions en faire, habituellement, est de le mettre en prison. Quand nous trouvonsle criminel, généralement il ne doit pas rembourser la victime. Lorsqu’il est enprison, il ne rembourse pas la victime : c’est le public qui paye. Et si, au lieu dele mettre en prison, nous le mettons en liberté provisoire, il retourne à ses crimesdès le lendemain.

Mais sous la loi de Dieu, il existait une bonne solution à cette situation. Vousvoyez, les pleureuses professionnelles ne rédigeaient pas les lois divines.

La troisième classe des lois, les statuts. Les statuts étaient des règles générales de

conduite concernant le gouvernement de la nation entière, pour le bien général etla prospérité. Ces statuts avaient une magnitude moindre que les commandementsmais ils constituaient les règles civilisationnelles qui séparaient le peuple d’Israëlde toutes les autres nations.

En vivant selon ces statuts, la nation d’Israël devait faire la démonstration de ceque la prospérité, la paix et l’ordre peuvent donner dans l’obéissance des règlesdes lois divines. Ces statuts couvraient les lois diététiques, agricoles, sociales etnancières.

Par exemple, Lévitique 3:17 :

« C’est un statut perpétuel, en vos générations, dans toutes vos habi-tations : vous ne mangerez aucune graisse ni aucun sang ».

Figurez-vous que cela nous a pris 3.500 ans, plus une note du médecin, pourcomprendre que les graisses animales sont les plus chargées en cholestérol, quis’entasse dans vos artères et les durcit, conduisant tout droit à des crises car-diaques. Par contre, si vous coupez les graisses animales et que vous obtenezles graisses et huiles nécessaires pour votre santé à partir d’huiles végétales qui,comme on vous le dit, sont non saturées en acides gras, vous bénéciez de ce

qui est bon dans ces huiles sans sourir des mauvais côtés des graisses animales.La seule diérence est que Moïse n’exigeait pas les honoraires d’un docteur pourvous avoir donné ce conseil.

En ce qui concerne l’interdiction de manger du sang, les diététiciens savent qu’ily a dans le sang un certain nombre de très mauvais facteurs : certaines maladiessont transmises par l’ingurgitation de sang et, de plus, il existe d’autres facteurschimiques indésirables lorsque vous utilisez du sang comme nourriture. Il est clairque ces statuts diététiques n’étaient pas destinés à votre salut ou votre bénécedans un au-delà quelconque. Si vous ne mangiez pas de graisse animale, ce n’était

pas au paradis que vous obteniez un cœur sain et fort, c’était ici, sur cette Terreet dans cette vie.

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Voici un autre statut, en Lévitique 10:8–11 :

« Et Yahweh parla à Aaron [le grand-prêtre, frère de Moïse], disant :Vous ne boirez point de vin ni de boisson forte, toi et tes ls avec

toi, quand vous entrerez dans la tente d’assignation, an que vous nemouriez pas. C’est un statut perpétuel, en vos générations, an quevous discerniez entre ce qui est saint et ce qui est profane, et entrece qui est impur et ce qui est pur, et an que vous enseigniez aux lsd’Israël tous les statuts que Yahweh leur a dit par Moïse ».

Il ne devait y avoir aucun prêtre soul en service. La Bible n’interdit pas aux prêtresde boire du vin ou de la bière ; c’est seulement que, lorsqu’ils étaient en service,ils devaient avoir la tête claire : pas de boisson alcoolisée lors du service. Leurstâches incluaient non seulement le service du temple, l’orande des sacrice,

mais aussi l’instruction du peuple quant aux lois de Dieu ; et bien sûr, il ne devaitpas y avoir d’enseignants ivres et chancelants.

Maintenant, la quatrième classe : les ordonnances, c’est-à-dire les règles gouver-nant les rituels religieux, les cérémonies, les fêtes religieuses et ainsi de suite.Veuillez noter qu’il s’agit ici d’une classe distincte et séparée – les ordonnancesn’ont rien à voir avec la conduite du peuple ou de la nation ; il s’agit uniquementde lois religieuses.

Par exemple, parlant de la Pâque, Exode 12:42–45 :

« C’est une nuit à garder pour Yahweh, parce qu’il les a fait sortir dupays d’Égypte; – cette nuit-là est à garder pour Yahweh par tous lesls d’Israël, en leurs générations. Et Yahweh dit à Moïse et à Aaron :C’est ici le statut de la Pâque : Aucun étranger n’en mangera ; . . . ».

La Pâque était une chose concernant uniquement Yahweh et Son peuple Israël ; ettandis que des immigrants d’autres races pouvaient venir en tant que marchands,voyageurs et ces sortes de choses, ils ne pouvaient néanmoins pas déclarer : « Nousfaisons maintenant partie d’Israël et nous avons maintenant droit à toutes lesprotections spéciales de Yahweh ».

« . . . mais tout esclave, homme acheté à prix d’argent, tu le circonciras ;alors il en mangera. L’étranger et l’homme à gages n’en mangerontpoint ».

Le statut concernait clairement uniquement l’Israélite et son Dieu.

Maintenant, la Fête des Pains Sans Levain, Exode 13:5–10 :

« Et quand Yahweh t’aura fait entrer dans le pays du Cananéen, duHéthien, de l’Amoréen, du Hévien, et du Jébusien, qu’il a juré à tes

pères de te donner, pays ruisselant de lait et de miel, il arrivera quetu feras ce service en ce mois-ci. Pendant sept jours tu mangeras des

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pains sans levain, et le septième jour il y aura une fête à Yahweh. Onmangera pendant les sept jours des pains sans levain ; et il ne se verrapoint chez toi de pain levé, et il ne se verra point de levain chez toi,dans tous tes conns. Et tu raconteras ces choses à ton ls, en ce jour-là, disant : C’est à cause de ce que Yahweh m’a fait quand je sortisd’Égypte. Et cela te sera un signe sur ta main, et un mémorial entretes yeux, an que la loi de Yahweh soit en ta bouche, car Yahweh t’afait sortir d’Égypte à main forte. Et tu garderas ce statut en sa saison,d’année en année ».

Je suppose que vous savez tous, de façon générale, d’où vinrent la plupart deslois américaines. Nous avons commencé par la Common Law d’Angleterre, et cen’était pas sous la forme de statuts passés par le parlement, mais il s’agissait dufait que les coutumes reconnues par le peuple avaient été reconnues comme ayant

force de loi par les cours de justice. Et du fait qu’ils gardèrent un enregistrementde toutes les aaires majeures ayant été jugées, ils possédaient les enregistrementsdes cours britanniques établissant ce qui était appelé la « Common Law ». Maisgraduellement, même en Angleterre, ce fut modié et il y fut ajouté des chosesen vertu de statuts passés par le parlement. Et ici, en Amérique, tandis que nouscommencions avec la base de la Common Law britannique, l’essentiel de nos lois,maintenant, est statutaire.

Un certain nombre d’états, et parmi eux la Californie, ont tenté d’organiser laloi de telle manière que tous les statuts adressant un sujet particulier se trouvent

regroupés. Vous avez par exemple le code sur le moteur de votre véhicule ; vousavez le code civil des règlementations générales ; vous avez le code des procéduresciviles, qui gouverne les cours ; vous avez même un code séparé des preuves : lesrègles sur les preuves pouvant être reçues lors des procès ; et ainsi de suite.

Quand Moïse reçut la loi sur le Mont Sinaï, ce n’était pas l’origine des lois divinesmais ce que vous pourriez appeler une codication de la loi, la réduisant à unénoncé systématique. La Bible reconnaît que la loi divine était connue bien avantcela. Genèse 2:16–17 énonce le premier commandement :

« Et Yahweh Dieu commanda à l’homme, disant : Tu mangeras libre-ment de tout arbre du jardin ; mais de l’arbre de la connaissance dubien et du mal, tu n’en mangeras pas ; car, au jour où tu en mangeras,tu mourras certainement ».

En Genèse 26:3–5, Dieu déclare ce qui suit à Isaac :

« Séjourne dans ce pays-ci, et je serai avec toi, et je te bénirai ; car à toiet à ta semence je donnerai tous ces pays, et j’accomplirai le sermentque j’ai juré à Abraham, ton père, [. . .] parce qu’Abraham a écouté

ma voix, et a gardé mon ordonnance, mes commandements, mes

statuts et mes lois ».

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Cela démontre qu’une grande partie des lois divines était connue avant l’époquede Moïse, même si elles n’étaient pas aussi bien organisées. Maintenant, voussavez comment nos prétendues églises enseignent, pratiquement sans exception :« Eh bien maintenant vous n’êtes pas sous la loi, vous êtes sous la grâce ; la loi aété abandonnée ».

Il serait intéressant de demander à l’un de ces prêtres : « Vous pensez vraiment ceque vous dites ? Que la loi a été complètement abandonnée ? ». Il répondra : « Ohoui, oui, certainement ! ». Vous pourriez alors lui dire : « Bon, eh bien, d’après ceque vous dites, je suis entièrement libéré de tout ce qui concerne la loi. Je suisdonc entièrement libre de commettre autant de meurtres, de vols, d’adultères que

je le désire ? Parce que si la loi a été abandonnée, ces choses en faisaient partie ».Observez alors votre prêtre commencer à bégayer et essayez de comprendre cequ’il dit, s’il arrive à dire quelque chose.

Le problème provient des instructions qu’ils reçoivent dans leurs séminaires. Onleur dit : « Voilà vos doctrines d’église, et si on vous demande comment les jus-tier, vous pouvez trouver quelques mots ici et là dans la Bible qui permettrontde donner l’impression que ces doctrines sont justiées. Après tout, vous devriezêtre capable de discourir pendant une heure et demie sur une virgule ou un point-virgule dans le Livre ».

On ne leur apprend pas la Bible systématiquement, parce que la doctrine d’églisepasse avant tout ; la Bible ne vient qu’en second, et encore. Voici d’où proviennent

leur erreur : Paul, en deux endroits, déclare que le Christ a abandonné les ordon-nances, les clouant sur Sa croix, et ainsi de suite. Voici les deux passages, et vouspourrez prendre note qu’ils ne disent pas que la loi a été abandonnée, mais uni-quement cette partie de la loi contenue dans les ordonnances : les rituels et lescérémonies.

Éphésiens 2:14–15 :

« Car c’est lui qui est notre paix, qui des deux en a fait un et a détruit lemur mitoyen de clôture, ayant aboli dans sa chair l’inimitié, la loi des

commandements qui consiste en ordonnances, an qu’il créât les deuxen lui-même pour être un seul homme nouveau, en faisant la paix ».

Uniquement ces commandements qui étaient dans les ordonnances.

Colossiens 2:13–14 :

« Et vous, lorsque vous étiez morts dans vos fautes et dans l’incircon-cision de votre chair, il vous a viviés ensemble avec lui, nous ayantpardonné toutes nos fautes, ayant eacé l’obligation qui était contrenous, laquelle consistait en ordonnances, et qui nous était contraire,

et il l’a ôtée en la clouant à la croix ».

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Quand vous limitez Paul à ce qu’il a vraiment dit et pas à cet énorme territoiredans lequel les prêtres veulent l’emmener, Paul a raison. Toutes ces ordonnancesétaient symboliques de Yahshua Christ, de ce qu’Il allait faire, de ce qu’Il allaitaccomplir pour nous ; elles devaient garder vivants la mémoire, la compréhen-sion, l’espoir, jusqu’à ce qu’Il vienne. Puis, après qu’Il soit venu et ait accomplitoutes ces choses, alors vous êtes supposé prêter attention à la réalité et pas àun simple symbole. L’ordonnance de la Pâque, par exemple : que, par la mort del’agneau de la Pâque, Son sang étant versé et appliqué sur votre porte d’entrée –la proclamation publique de votre foi – par cela vous serez épargné par la mort.

Tout cela symbolise bien entendu le Christ et, dans l’épître aux Hébreux, le sym-bolisme est expliqué. Nous ne passons plus par l’ancien rituel de la Pâque au-

jourd’hui. Dans l’Ancien Testament, parlant de la Pâque, il est dit : « Cette ordon-nance est pour l’éternité ». Nous ne tuons plus un agneau pour appliquer son sangsur la porte d’entrée comme ils le faisaient alors, non pas parce que nous négli-geons cela, mais parce que nous en avons une forme diérente. Par l’anciennePâque, vous proclamiez votre foi que, à une certaine époque indénie du futur,le Messie qui n’est pas encore venu viendrait et ferait le vrai sacrice pour vous :que, par le versement de Son sang, vos péchés seraient pardonnés et la peine demort qui est le résultat de vos péchés ne serait pas exécutée, car elle aurait déjàété payée pour vous.

Maintenant, après qu’Il soit venu et qu’Il ait oert Sa vie sur la croix, nous nepouvons plus accomplir ces anciens rituels, en disant : « Celui que nous attendonsn’est pas encore venu ; Sa venue est encore dans le futur ». Cela signierait lerejet du Christ. La forme de la cérémonie a donc été changée et nous avons lacommunion, le souper du Maître, avec le pain qui remplace la chair de l’agneauet le vin qui remplace le sang; mais vous avez toujours la signication de laPâque.

Il ne fallut pas longtemps pour que la signication symbolique de toutes ces or-donnances soit complètement perdue. C’est la sorte de chose à laquelle il fauts’attendre lorsque vous mettez en place une prêtrise professionnelle avec des ri-

tuels permettant au clergé de leur donner un petit air magique d’abracadabra.

« Pauvre idiot de laïc, tu ne comprends pas tout cela et tu ne peux pasle faire toi-même, mais si tu viens vers moi et que tu me payes bien,que tu me regardes réaliser des cérémonies magiques auxquelles tu necomprends rien, alors je pourrai t’en faire proter un peu ».

Quand vous désirez mettre en place de telles choses, quand vous voulez augmen-ter votre inuence et votre importance, la seule façon de le réaliser est de faire en

sorte que les laïcs oublient la vraie signication de ces cérémonies et d’en fairedes mystères. Et c’est exactement ce que la prêtrise a fait.

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L’histoire de la religion organisée n’a jamais été autre chose que l’histoire dela corruption organisée, pour cette raison même. Examinez les livres de votreBible. En mettant à part les livres purement historiques, comme Esdras, Néhémie,Rois et Chroniques (vous trouverez des faits historiques dans certains des autreslivres également, mais ceux-là auraient pu être écrits par un agnostique ou unathée bien informé ; ils ne déclarent pas de doctrine, ils rapportent ce qui s’estpassé), en vous tournant vers les livres contenant des expressions comme « ainsidit Yahweh », vous trouverez, à l’exception de Jérémie et Ézéchiel, que quandDieu avait besoin d’un homme pour déclarer « ainsi dit Yahweh », notre Pèredevait, pour le trouver, s’adresser à quelqu’un ne faisant pas partie de la prêtrise.

Vous pouvez donc voir aujourd’hui les églises enseigner au peuple que la loi aété abandonnée. Allez à un « souper social » dans une église ; qu’y trouvez-vousinvariablement ? Du jambon ! « Vous êtes bien entendu supposé violer les lois de

Dieu an de montrer que vous êtes sous la grâce ».

Yahshua Christ avait quelques commentaires plutôt critiques à faire là-dessus,vous savez. Bon, il est vrai que si un homme obéissait à l’entièreté de la loi – à laloi morale comme aux parties simplement pratiques de la loi : les lois diététiques,les lois agricoles, les lois nancières – s’il vivait en obéissant à tout cela, oui, ilvivait de la force de cela. Il faudrait une sacrée dose d’ingéniosité pour trouver unmoyen de commettre un péché sans violer l’une des lois de Dieu. Mais ce n’étaitpas l’objet réel de la chose.

Il est tout-à-at vrai que Lévitique 18:3–5 dit :« Vous ne ferez pas ce qui se fait dans le pays d’Égypte où vous avezhabité, et vous ne ferez pas ce qui se fait dans le pays de Canaan où

je vous fais entrer, et vous ne marcherez pas selon leurs coutumes.Vous pratiquerez mes ordonnances, et vous garderez mes statuts poury marcher. Moi, je suis Yahweh, votre Dieu. Et vous garderez messtatuts et mes ordonnances, par lesquels, s’il les pratique, un hommevivra ».

Bien sûr, la grande majorité de la loi, 98% de la loi probablement, n’a rien à voir

avec ces aspects moraux. Les lois alimentaires désignaient quelles nourrituresétaient saines, bonnes pour vous, lesquelles étaient malsaines et mauvaises pourvotre santé. Vous n’alliez pas avoir mal à l’estomac après votre mort ; vous seriezmalade ici, dans cette vie. Si vous violiez les lois agricoles, vous n’alliez pas ob-tenir de mauvaises récoltes au paradis, plus tard ; vous obtiendriez de mauvaisesrécoltes ici, sur cette Terre. Et ces choses sont tout aussi vraies aujourd’hui qu’àcette époque. Vous ne renonciez pas à votre espoir de salut si vous étiez assezstupide pour violer les lois alimentaires ; ce n’était pas leur objet.

Voici ce que Yahshua déclare dans le cinquième chapitre de Matthieu, en débutant

par le verset 17 :

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« Ne pensez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes : je ne suis pas venu pour abolir, mais pour accomplir ; car, en vérité, je vous dis : Jusqu’à ce que la terre et le ciel passent, un seul iotaou un seul trait de lettre ne passera point de la loi, que tout ne soitaccompli ».

La Terre et le ciel sont-ils passés ? Ce n’est pas avant la n du millénium, les milleans de règne du Christ. Révélation 21:1 est la première fois où vous trouvez unedéclaration qui dit que la première Terre et le premier ciel sont passés. Donc,la loi est eective, non seulement pour toute l’époque passée depuis le Christ

jusqu’à nos jours, mais également pour les prochains mille ans. Il continue, disant(Matthieu 5:19) :

« Quiconque donc aura supprimé l’un de ces plus petits commande-

ments et aura enseigné ainsi les hommes, sera appelé le plus petitdans le royaume des cieux ; et quiconque l’aura pratiqué et enseigné,celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux ».

Les lois de Yahweh sont toujours en action. Maintenant, personne n’a jamais réussià vivre selon toutes les lois et, à l’époque de l’Ancien Testament, lorsque vousréalisiez que vous aviez violé l’une de ces lois, vous preniez un animal à sacrier

jusqu’au temple et vous étiez assuré du pardon de Yahweh. Aujourd’hui, vousn’orez plus un animal en sacrice, vous priez an d’être pardonné, parce que lesacrice réel a déjà été fait pour vous par Yahshua Christ.

Mais ces prêtres qui enseignent que la loi a été abandonnée et n’a aucun pouvoiraujourd’hui, vous pouvez voir où ils vont se retrouver, même s’ils obtiennent leursalut. En fait, en Proverbes 28:9, il est dit :

« Qui détourne son oreille pour ne pas écouter la loi, sa prière mêmeest une abomination ».

Voilà pour ce qui concerne les quatre catégories de lois. Examinons maintenantce qu’elles sont, dans certaines de ces catégories. La loi sur l’entraînement et le

service militaire : il n’existe pas de pacisme dans la Bible ; Yahweh non seule-ment autorise la guerre mais Il la commande expressément, en certaines circons-tances. Par exemple, Dieu commanda l’extermination littérale des Amalékites.Exode 17:14–16 (voir aussi Deutéronome 25:17 et suivants) :

« Et Yahweh dit à Moïse : Écris ceci pour mémorial dans le livre, et fais-le entendre à Josué, que j’eacerai entièrement la mémoire d’Amalekde dessous les cieux. Et Moïse bâtit un autel, et appela son nom :Yahweh-Nissi [Yahweh est ma bannière]; et il dit : Parce que Yaha juré, Yahweh aura la guerre contre Amalek de génération en géné-

ration ».

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Les Cananéens qui vivaient dans le pays que le peuple d’Israël devait occuperdevaient être exterminés ; non comme nous le faisons au Vietnam et simplementdire : « Nous ne voulons pas gagner la guerre, nous voulons juste les convaincrequ’ils doivent être raisonnables ».

Écoutez ceci, en Deutéronome 7:1–4 :

« Quand Yahweh, ton Dieu, t’aura introduit dans le pays où tu entrespour le posséder, et qu’il aura chassé de devant toi des nations nom-breuses, le Héthien, et le Guirgasien, et l’Amoréen, et le Cananéen, etle Phérézien, et le Hévien, et le Jébusien, sept nations plus nombreuseset plus fortes que toi, et que Yahweh, ton Dieu, les aura livrées devanttoi, et que tu les auras frappées, tu les détruiras entièrement comme unanathème ; tu ne traiteras point alliance avec elles, et tu ne leur feras

pas grâce. Tu ne t’allieras point par mariage avec elles, tu ne donneraspas ta lle à leur ls, et tu ne prendras pas leur lle pour ton ls ; carils détourneraient de moi ton ls, et il servirait d’autres dieux, et lacolère de Yahweh s’embraserait contre vous, et te détruirait aussitôt ».

Des guerres de libération, pour chasser les tyrans oppressifs, étaient favorisées :Nombres 10:9 :

« Et quand, dans votre pays, vous irez à la guerre contre l’ennemi qui

vous presse, alors vous sonnerez des trompettes avec éclat, et vousserez ramenés en mémoire devant Yahweh, votre Dieu, et vous serezdélivrés de vos ennemis ».

Et ces agresseurs qui faisaient la guerre contre notre peuple ne devaient pas êtrelaissés dans des conditions qui leur permettraient de recommencer ces guerres en-core et encore. Le peuple avait été averti, il ne devait pas être lui-même l’agresseuret attaquer d’autres nations qui voulaient la paix avec nous ; mais si une quel-conque nation nous agressait par une guerre, les règles étaient les suivantes, Deu-téronome 20:10–13 :

« Quand tu approcheras d’une ville pour lui faire la guerre, tu l’inviterasà la paix. Et s’il arrive qu’elle te fasse une réponse de paix et qu’elles’ouvre à toi, alors tout le peuple qui sera trouvé dedans te sera tribu-taire et te servira. Et si elle ne fait pas la paix avec toi, mais qu’ellefasse la guerre contre toi, tu l’assiégeras ; et quand Yahweh, ton Dieu,la livrera en ta main, tu frapperas tous les mâles par le tranchant del’épée ; mais les femmes, et les enfants, et le bétail, et tout ce qui seradans la ville, tout son butin, tu le pilleras pour toi ».

Si nous mettions en pratique certaines de ces choses au Vietnam, cela restaurerait

la paix très vite. Exode 15:3 :

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« Yahweh est un homme de guerre ».

Psaumes 144:1 :

« Béni soit Yahweh, mon rocher ! qui enseigne mes mains pour le com-bat, mes doigts pour la bataille ».

C’est l’un des Psaumes de David, et vous vous rappelez que David était le seulhomme dont Yahweh a dit : « Celui-ci est un homme selon mon cœur ». La règleétait un entraînement militaire universel.

Nombres 26:1–2 :

« Et il arriva, après la plaie, que Yahweh parla à Moïse et à Éléazar, lsd’Aaron, le sacricateur, disant : Relevez la somme [et cela ne signi-e pas seulement le total, mais les noms, l’enregistrement] de toutel’assemblée des ls d’Israël, depuis l’âge de vingt ans et au-dessus,selon leurs maisons de pères, tous ceux qui sont propres au servicemilitaire en Israël ».

Les hommes étaient donc tous enregistrés pour le service dès l’âge de vingt ans.Le Christianisme a-t-il abandonné toutes ces sortes de choses ? A-t-il révélé quetout ce que Yahweh a déclaré avant notre époque était une erreur qui devait être

jetée à la poubelle ? Non, bien sûr que non. Yahshua Christ a conrmé toutes ceschoses.

Luc 12:51 :.

« Pensez-vous que je sois venu donner la paix sur la terre ? Non, vousdis-je ; mais plutôt la division ».

Nous mélanger avec nos ennemis au sein des Nations-Unies, nous rassembler enune grande et heureuse famille satanique ? Non : division, séparation. II Corin-thiens 6:17 :

« C’est pourquoi sortez du milieu d’eux, et soyez séparés, dit le Maître,et ne touchez pas l’impur, et moi, je vous recevrai ».

C’est un commandement depuis le début.

Luc 22:36, Yahshua parlant à Ses disciples :

« Mais maintenant, que celui qui a une bourse la prenne, et de mêmecelui qui a un sac, et que celui qui n’a pas d’épée vende son vêtementet achète une épée ».

Matthieu 10:34 :

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« Ne pensez pas que je sois venu mettre la paix sur la terre ; je ne suispas venu mettre la paix, mais l’épée ».

Vous ne pouvez pas avoir le vrai Christianisme, qui est la résistance sans com-

promis au mal satanique, sans guerre, parce que l’organisation satanique sur laTerre ne vous laissera jamais tranquille sinon. Vous devez faire l’une de ces deuxchoses : soit déserter votre Dieu et rejoindre les forces sataniques, soit vous teniraux côtés de Yahweh et faire la guerre à Satan. L’une ou l’autre : il n’y a pas deterrain neutre.

La Bible fait clairement savoir que Yahweh n’est pas un paciste au sens modernedu terme, pas du tout. Mais cela signie-t-il que Yahweh n’aime pas la paix ? Non,bien sûr. Il veut une vraie paix, qui ne peux exister que sous Ses propres règles.La sorte de paix que la Tchécoslovaquie et la Chine connaissent aujourd’hui n’est

pas la paix aux yeux de Yahweh.En Lévitique 26, Dieu dit ceci :

« Si vous marchez dans mes statuts, et si vous gardez mes commande-ments et les pratiquez, je vous donnerai vos pluies en leur temps, etla terre donnera son rapport, et l’arbre des champs donnera son fruit.[...] Et je vous donnerai la paix dans le pays; et vous dormirez sansque personne vous épouvante ; et je ferai disparaître du pays les bêtesmauvaises, et l’épée ne passera pas par votre pays. Et vous poursuivrezvos ennemis, et ils tomberont devant vous par l’épée ».

Au lieu d’obéir, nous tournons notre dos à Yahweh an d’obtenir les votes degroupes minoritaires ; et nous obtenons plus de 35.000 Américains morts au Sud-Vietnam contre un ennemi qui n’est même pas de cinquième zone.

Il est dicile de trouver quoi que ce soit dans lequel nous n’avons pas perverti leslois divines. Prenez par exemple les lois sur la citoyenneté et sur l’égibilité auxfonctions publiques. Quiconque provenant d’un pays dont le peuple n’appartientpas à notre race, dont la civilisation n’est pas la nôtre, dont les idéaux ne sont pasles nôtres du tout, peut venir ici et, après une période assez brève, être naturalisé

et recevoir la citoyenneté complète, devenant ainsi totalement égal à un Blanc néici. Cette loi est complètement contraire aux lois de Yahweh. Vous trouverez laloi de Yahweh sur ce sujet expliquée en détail en Deutéronome 23:3–8. Ceux dela même race que nous mais qui ne sont pas d’Israël – souvenez-vous qu’ils sontdes descendants d’Abraham par un certain nombre de ls autres qu’Isaac – cespersonnes de la même race Blanche mais non Israélites ne pouvaient pas obtenirla citoyenneté israélite avant la troisième génération née dans le pays. Après cettepériode, ils avaient susamment absorbé nos façons de voir.

Mais en ce qui concerne les individus non-Blancs, ils ne pouvaient pas obtenir la

citoyenneté, même à la dixième génération. Les étrangers raciaux n’avaient pasle droit de tenir une fonction publique.

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Deutéronome 17:15 :

« Tu ne pourras pas établir sur toi un homme étranger, qui ne soit paston frère ».

Maintenant, ce mot « étranger » ne signie pas quelqu’un à qui vous n’avez pasété introduit ; il s’agit ici du mot hébreu nokriy , qui signie « une personne de racediérente ». Lorsqu’un non-Israélite tient une fonction publique, il est clairementdéclaré dans la Bible qu’il s’agit d’une malédiction sur nous et d’une punitionpour notre méchanceté.

Deutéronome 28:15 :

« Et si tu n’écoutes pas la voix de Yahweh, ton Dieu, pour prendre gardeà pratiquer tous ses commandements et ses statuts que je te commande

aujourd’hui, il arrivera que toutes ces malédictions viendront sur toiet t’atteindront : . . . ».

Un certain nombre de malédictions suit alors, puis nous en arrivons à Deutéro-nome 15:43–45 :

« . . . l’étranger qui est au milieu de toi montera toujours plus haut au-dessus de toi, et toi, tu descendras toujours plus bas : il te prêtera, ettoi, tu ne lui prêteras pas; il sera à la tête, et toi, tu seras à la queue[. . .] parce que tu n’as pas écouté la voix de Yahweh, ton Dieu, pour

garder ses commandements et ses statuts qu’il t’a commandés ».Le fait même que vous pouvez avoir ce Noir, Bradley, briguant le poste de maireà Los Angeles (et qui, apparemment, possède de bonnes chances de l’obtenir)montre à quel niveau nous sommes descendus aux yeux de Yahweh. Maintenant,vous noterez qu’il s’agit de quelque chose qui est toujours promu par ceux quiaiment se faire appeler « libéraux » ; ceci aussi est pris en compte dans la Bible.Au chapitre trente-deux d’Ésaïe, le prophète commence par parler de ce à quoiressemblera le Royaume de Yahweh, lorsque nous serons débarrassés de tous nostroubles actuels et que nous vivrons sous le règne de Yahshua. Et en Ésaïe 32:5,il déclare :

« L’homme vil ne sera plus appelé noble [ou : généreux], et on ne dirapas l’avare généreux [ou : libéral] ».

Yahweh connaissait bien les libéraux !

En ce qui concerne la politique étrangère : vous entendez des gens stupides conti-nuellement répéter comme des perroquets « Oh, vous devez aimer vos ennemis ».Rappelez-vous que la Bible fait la distinction claire entre « vos ennemis » et lesennemis de Yahweh. Si votre frère Israélite est votre ennemi, il l’est pour l’une

des deux raisons suivantes : soit vous lui avez fait du tort, auquel cas vous de-vez lui faire amende honorable, soit il pense erronément que vous lui avez fait

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quelque chose, auquel cas vous devez essayer de lui faire comprendre que vousn’avez rien fait.

Mais les ennemis de Yahweh sont une autre paire de manches. Vous vous souvenez

que lors du démembrement d’Israël, à la mort de Salomon, le royaume du nordse retrouva immédiatement dans l’idolâtrie et, bien entendu, pour cette raisonYahweh enleva Sa faveur au royaume du nord. Peu de temps après cela, l’undes rois de Juda, qui essayait sans trop de conviction d’être bon, envoya uneaide militaire au roi d’Israël pour une bataille, et il reçut cette réprimande (IIChroniques 19:2) :

« Aides-tu au méchant, et aimes-tu ceux qui haïssent Yahweh ? À causede cela, il y a colère sur toi de la part de Yahweh ».

Quand vous aidez les ennemis de Dieu, quand vous vous rangez à leurs côtés,vous devenez vous-même un ennemi de Yahweh et vous pouvez vous attendre àen payer le prix ; et répéter comme un perroquet « aimez vos ennemis, aimez vosennemis » ne changera absolument rien à ce fait. Vous ne pouvez pas tromperYahweh par des slogans.

En Psaumes 139, le Roi David déclare :

« N’ai-je pas en haine, ô Yahweh, ceux qui te haïssent ? et n’ai-je pas enhorreur ceux qui s’élèvent contre toi ? Je les hais d’une parfaite haine;ils sont pour moi des ennemis ».

Maintenant, Yahweh se baissa-t-il vers David et lui dit-Il : « Oh, tu es l’un de ceshorribles marchands de haine »? Non ! En deux passages dans la Bible, en Actes13:22 et en I Samuel 13:14, vous trouverez Yahweh dire :

« J’ai trouvé David, le ls de Jessé, un homme selon mon cœur, quifera toute ma volonté ».

« Yahweh s’est cherché un homme selon son cœur, et Yahweh l’a établiprince sur son peuple ».

Si l’un de nous pouvait obtenir une telle approbation, ça serait quelque chose !

Maintenant, en ce qui concerne les lois économiques gouvernant les aaires : biensûr la plus stricte honnêteté était requise ; ni fausse mesure ni faux poids. voustrouverez ces lois en Deutéronome 25:13–16 et Lévitique 19:35–36.

Les lois sur le travail trouvent leurs fondements dans la Bible. Il ne doit y avoiraucune oppression sur le travailleur qui travaille pour vous; ils sont appelésdes serviteurs, ou esclaves, dans la Bible, mais la plupart des gens d’aujourd’huin’apprécierait pas l’utilisation de ces mots. Cependant, dans la langue parlée il

y a trois siècles, une personne qui était louée dans le but de travailler pour uneautre personne était classiée comme serviteur. Il ne doit pas y avoir la moindre

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oppression sur ces serviteurs (Lévitique 25:39–42, 47–55) et les salaires doiventêtre versés sans délai. À ces époques lointaines, les salaires étaient versés tousles jours. Le travailleur moyen ne possédait pas susamment pour pouvoir sedébrouiller pendant un mois ou même une semaine sans salaire et, donc, les sa-laires devaient être versés avant le coucher du soleil, chaque jour (Deutéronome24:14–15).

Concernant les emprunts, aucun intérêt ne pouvait être retenu, excepté enversles étrangers. Envers vos frères Israélites, vous ne pouviez pas charger le moindreintérêt. Aujourd’hui, nous disons : « Oh, l’usure, c’est tout ce qui dépasse 42% paran ». Le mot « usure », tel qu’il est utilisé dans la Bible, signie que même un mil-liardième de pourcent sur un siècle est de l’usure. Tout ce qui doit être payé pourune utilisation d’argent ou de chose de valeur constitue de l’usure. En d’autrestermes, l’emprunteur doit rembourser le principal de ce qu’il a emprunté, maisaucun intérêt. Israël n’avait aucune obligation d’essayer de rendre les peuplesd’autres races aussi prospères qu’eux. Si ces peuples désiraient nous emprunterquelque chose nous appartenant, il était parfaitement justié de leur faire payerdes intérêts ; voyez Deutéronome 23:19–20 et Lévitique 25:35–38. Ils avaient desprêts hypothécaires en ces jours-là et, si une personne avait des problèmes -nanciers et devait hypothéquer la propriété familiale, la ferme, ou s’il devait lavendre, il avait le droit de rachat. En d’autres termes, vous ne pouviez pas perdrepour toujours votre ferme, qui constituait la source des revenus de votre famille.

Une maison située à l’intérieur d’une ville fortiée était classiée diéremment.Si vous vendiez une maison à l’intérieur d’une ville fortiée, vous aviez un anpour la racheter et, si vous ne la rachetiez pas dans l’année, elle était perdue pourtoujours. Mais les gens de la ville ne dépendaient pas principalement de cettemaison pour vivre. Si vous étiez un sellier, un orfèvre ou un artisan quelconque,vivant en ville pour votre travail, vous pouviez aller vivre dans une autre maison,autre part, et continuer à faire votre travail là-bas. Mais en ce qui concerne uneferme, qui est la source de revenus pour une famille, tous les quinze ans, dansl’année du jubilé, que la propriété ait été vendue ou hypothéquée et si elle n’avaitpas été rachetée avant, elle revenait à son propriétaire originel, sans paiement

de quoi que ce soit. Cela ne signiait pas quinze années à partir du momentoù vous vendiez la maison, cela signiait la quinzième année du calendrier. Sil’année précédente était l’année du jubilé, vous pouviez hypothéquer ou vendrevotre propriété cette année-ci pour quinze ans. Si l’année suivante était l’année du

jubilé, vous ne pouviez l’hypothéquer ou la vendre que pour le reste de l’année.Quand le jubilé arrivait, la propriété vous revenait sans le moindre paiement.

Vous vous rappelez ce qui arriva à l’Empire Romain ? Lorsque les Romains étaientencore une nation de fermiers robustes et indépendants, ils devinrent un empirepuissant qui régna sur la majorité du monde connu. Puis l’inévitable arriva. Les

fermiers sont bien sûr sujets aux variations du climat, aux invasions d’insectes età ces sortes de choses. Ils connaissent une mauvaise année, n’obtiennent aucune

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récolte, et le fermier moyen ne possède pas susamment pour survivre jusqu’àl’année suivante ; il doit donc hypothéquer sa ferme et la perdre lors d’une saisie,ou bien il doit la vendre. Il s’en va à la ville où il devient un élément de plus dansla masse des pauvres des villes. C’est par là que commença la chute de l’EmpireRomain, comme vous pouvez le lire en grands détails dans le livre de Gibbon :

Déclin et chute de l’Empire Romain.

Cela ne devait pas arriver au peuple d’Israël. Tous les sept ans, l’année de la re-lâche, les Israélites étaient libérés du fardeau des dettes impayées. Tout hommeendetté avait l’obligation de faire honnêtement les eorts nécessaires pour payerses dettes. Mais il arrivait que, pour beaucoup, même avec la plus grande honnê-teté et la meilleure foi, ils ne pouvaient rembourser. Vous savez comment cela sepasse aujourd’hui, quand un homme doit de l’argent : le créditeur n’attend pas,il fait un procès puis il lève un impôt sur le salaire de l’endetté, une saisie surson salaire, et nit par le faire virer de son emploi. Et même si l’homme trouveun autre emploi, le créditeur fait de nouveau une saisie sur son salaire et faitune fois de plus renvoyer le pauvre gars. Cette sorte de choses ne pourrait pas sepasser sous les lois du royaume de Yahweh. Quelle que soit la somme restant àpayer après que tous les eorts honnêtes aient été produits pour rembourser ladette, lorsque la septième année arrivait, la dette était annulée. Ensuite de quoil’homme pouvait recommencer à zéro.

Dieu promit que, si une nation vivait selon cette loi, si les créditeurs reconnais-saient la relâche de la dette en la septième année, alors Dieu enverrait une telleprospérité que les hommes ne souriraient pas de la moindre perte dûe au manqueà gagner des dettes non payées. Il s’agit bien entendu d’une mesure qui ne pour-rait pas être mise en application par juste un individu ici ou là. Ce qui signieque vous êtes prisonnier du système social ou économique dans lequel vous vivez.Mais si la nation adoptait la loi, nous connaîtrions la prospérité promise.

Après sept ans de cette période de relâche, vous arriviez à l’année du jubilé. Main-tenant, quand vous aviez vendu votre propriété ou quand vous l’aviez perdue surune saisie, aucune procédure ne pouvait être suivie an d’essayer de récupérer

un jugement insusant après cette septième année, mais la propriété ne vous re-venait pas automatiquement cette année-là ; elle ne vous était rendue que l’annéedu jubilé.

Dans les lois agricoles, vous aviez les règles que nous violons régulièrement etpour lesquelles nous payons le prix. L’une de ces règles était celle-ci : quandvous plantiez des arbres, vous ne pouviez pas attendre impatiemment de cueillirla première pomme ou la première orange que les arbres produisaient. Pendantles trois premières années, vous ne pouviez pas permettre que le moindre fruitpousse sur l’arbre ; vous deviez pincer tout bourgeon, de telle façon qu’aucun fruit

ne pousse. La quatrième année, si vous le désiriez, vous pouviez laisser pousserles fruits, mais aucun de ces fruits ne vous était destiné; tous les fruits devaient

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être apportés au temple comme orande. La récolte de la cinquième année et dessuivantes étaient pour vous.

J’ai eu l’occasion d’être le témoin d’une telle procédure. La plupart d’entre vous

savent, je pense, où se trouve Escondido : environ trente-cinq kilomètres au nordde San Diego. Un de mes amis acheta une terre par là-bas et y planta une orange-raie. La même année, son plus proche voisin en t de même. Sur la même pentede la même montagne, jouissant de la même exposition au soleil et à la mêmemétéo, le même sol – aucune diérence exceptée une clôture séparant les deuxpropriétés – son voisin planta également une orangeraie, et au même moment. Jeme trouvais là et, la cinquième année, alors que la récolte commençait à pous-ser sur les arbres, j’observai les deux propriétés. Sur la terre du voisin, les arbresn’étaient pas particulièrement grands ni hauts, mais les branches étaient nes etgrêles. Il s’y trouvait quelques oranges, mais pas beaucoup, et sous chacune desces branches liformes se trouvait un soutien en bois qui empêchait les branchesde casser sous le poids des oranges. Mon ami, lui, avait obéi à la loi de Dieu.Pendant quatre ans, il ne permit à aucun fruit de se former et, maintenant, c’étaitsa première récolte, la cinquième année. Ses arbres étaient pratiquement deuxfois plus grands que ceux de son voisin, avec des branches solides et fortes. Sarécolte était considérablement plus importante, plus du double d’oranges, et iln’avait pas eu besoin de placer des soutiens sous les branches. À la n de cettecinquième année, mon ami t beaucoup plus de prot, encore plus que ce queson voisin gagna sur cinq ans, grâce à une récolte bien plus vendable. Et les an-

nées suivantes, il eut la garantie de continuer à faire plus de prot, car ses arbresétaient bien meilleurs que ceux de son voisin.

Yahweh ne passe pas son temps à argumenter avec vous quand vous voulez savoirpourquoi vous devriez faire ces choses. Il vous dit : voici la meilleure façon defaire : fais comme cela. Si vous êtes susamment curieux pour essayer de com-prendre, vous verrez qu’il y a toujours une bonne raison aux lois. Dès le momentoù ses arbres étaient à peine plus grands que des herbes, ce voisin essayait d’entirer le plus d’oranges possible. L’énergie des jeunes plants était trop divertie dansla production de fruits et il leur en restait trop peu pour qu’ils produisent du bois

solide. Mon ami suivit les lois de Dieu : pas une once d’énergie ne fut perdue enfruits ; elle se concentra entièrement dans la consolidation de l’arbre lui-même.Ensuite, lorsque la période de croissance fut complète, il leur laissa porter desfruits et il put en récolter en abondance.

Une autre de ces lois agricoles stipule que votre terre doit avoir son sabbat derepos, le même repos que pour vous. Une année sur sept, la terre doit se reposer.Vous plantez et récoltez pendant six ans et l’année suivante, vous laissez la terrereposer. Malheureusement, nous sommes trop cupides pour obéir à cette loi.

Vous souvenez-vous des conditions lors des tempêtes de poussière, vers 1932 ou1933 ? Eh bien, nous obéissions alors à notre cupidité habituelle : nous semions

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et resemions constamment la terre. Et vous connaissez la Bible : elle dit que sivous ne suivez pas ces lois agricoles, alors « Je rendrai les cieux comme l’airainet votre pluie sera poudre et poussière ». Et c’est ce qui se passa ! Les fermiersdurent laisser la terre reposer sous peine de la perdre entièrement.

Pourquoi un an de repos tous les sept ans? Une plante doit tirer du sol deuxchoses : de l’humus, elle doit tirer l’azote qui reste des plantes mortes avant elleet elle doit obtenir des minéraux. Vous avez entendu parler de ce qu’ils appellent« la famine cachée » : vous mangez des plantes qui ont poussé dans un sol fatiguéet elles manquent de vitamines ainsi que de minéraux, parce qu’elles ne peuventpas les tirer d’un sol fatigué. Un grain de sable est entièrement minéral et n’estd’aucune utilité pour la plante, parce que le quartz est totalement insoluble dansl’eau, et la plante ne peut se nourrir que de ce qui est soluble dans l’eau. Mais ily a des bactéries dans le sol en grand nombre et ces bactéries produisent certains

acides qui corrodent la surface des grains de sable, les brisant jusqu’à en fairedes sels solubles dans l’eau. La racine des plantes tire alors ces sels du sol etelles obtiennent ainsi les minéraux nécessaires à une plante saine. Vous pouvezverser sur le sol du sulfate d’ammonium sous forme d’engrais, bien entendu, cesera équivalent à une piqure dans le bras pour les plantes : cela les rendra vertescomme le ferait de la peinture verte mais cela ne les rendra pas saines. Vousavez besoin de ces minéraux solubles. Pendant des milliers d’années, nous avonsfait pousser nos plantes nourricières pour un fort taux de rendement, c’est-à-direqu’elles dépendaient grandement du sol. Après six ans, vous pourriez dire quevotre compte bancaire en minéraux solubles est à découvert. Quelque réserve quele sol ait possédé, elle a été utilisée, et vous l’avez utilisée plus rapidement quece que les bactéries peuvent produire. Maintenant, si vous laissez le sol reposerla septième année, sans faire pousser quoi que ce soit, les bactéries continuerontà produire des minéraux et vous obtiendrez une année de production de selsminéraux solubles prêts pour une nouvelle période. Votre compte bancaire s’estde nouveau rempli d’un nouveau dépôt. La huitième année, lorsque vous sèmerez,vos plants bénécieront d’une année entière de production de minéraux en plusde l’année en cours et cela leur sura pour une nouvelle période de six ans.Ensuite, vous recommencerez avec une année de repos.

Il y a quelques années, je lus certains chires publiés par quelqu’un qui, sans au-cun doute, ne savait rien des lois de Dieu sur le sujet, mais qui ne faisait que rap-porter ce que les statistiques montraient. Le Département d’Agriculture connais-sait bien sûr exactement le rendement par hectare dans ces zones touchées parles tempêtes de poussière avant que les tempêtes n’obligent nalement la terreà se reposer. Eh bien, ils durent laisser la terre reposer pour plusieurs années, etensuite ils recommencèrent précautionneusement à semer dans certaines zones.Il rapporta ceci :

« À la première récolte qu’ils rent après plusieurs années de repos, le

rendement était de 400% ce qu’il avait été avant que les tempêtes necommencent ».

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Examinons maintenant ce que nous faisons en violant les lois divines. Nous pos-sédons des statistiques pour la grande majorité de nos états-prairie du Midwestsur le rendement par hectare en blé, en maïs etc. Nous avons les chires depuisla première année où ces terres furent cultivées et nous constatons que la produc-tion par hectare est aujourd’hui moindre qu’avant, disons il y a entre 75 et 100ans ; la production a diminué.

Mais supposons que nous ayons un niveau égal de production. Nous dirons quela récolte d’une année représente une unité. Vous avez une unité chaque annéependant huit ans : cela nous fait huit unités. Maintenant, supposons que noussuivions les lois de Dieu : nous obtenons une unité pour chacune des six premièresannées, puis nous sautons la septième, qui ne rapporte rien, puis la huitièmeannée, nous obtenons quatre unités. Six plus quatre font dix, comparés à huit sinous ne laissons pas la terre se reposer.

Nous pensons que nous sommes extrêmement intelligents alors que nous sommessimplement trop cupides pour obéir aux lois de Yahweh. Mais toutes les lois deYahweh sont là pour une bonne raison et, si nous les suivons, elles nous rapportentgros.

Il en va de même pour les lois alimentaires. Je vous en lis une, en Deutéronome12:23–25, qui dit que nous ne devons pas manger la graisse ni le sang provenantde la viande. Lévitique 7:23–24 discute également de ce sujet. Une autre règlestipule que nous ne devons pas manger de la viande contaminée, de la viande qui

a été en contact avec des choses qui peuvent amener une infection bactérienneou tout autre empoisonnement. Lisez également Lévitique 7:19.

En ce qui concerne les viandes qui sont bonnes à manger, la règle nous est don-née : nous pouvons manger la chair de ces animaux qui possèdent des sabotsfendus et qui ruminent. Un lapin ou un lièvre, par exemple, rumine mais il pos-sède des pattes et pas de sabots du tout. Un cochon possède des sabots fendusmais il ne rumine pas. Le porc et le lapin sont dès lors interdits. La même chosepour le chameau : un chameau rumine, je pense, mais il n’a pas de sabots. Lebétail possédant des sabots fendus, les moutons et les cerfs constituent une nour-

riture permise parce que ces animaux, je crois, possèdent un estomac double etils ruminent.

Pourquoi ne pourrions-nous pas manger ces choses interdites ? Les règles seraient-elles arbitraires ? Non. Vous pouvez mépriser les lois de Dieu, manger du porc etavoir la trichinose. Il existe des centaines de milliers de cas chaque année auxÉtats-Unis, la plupart non diagnostiqués. Vous savez, il y a ces minuscules vers,pratiquement microscopiques, et ces vers font leur chemin à travers les musclesde la viande. Chaque ver s’y établit, creuse un petit trou où il peut se reposer,et il construit des sortes de murs à l’intérieur de ce trou, des membranes. Ils

prospèrent grâce à la nourriture qui leur parvient par le système sanguin de l’hôte.Vous mangez donc de la viande pas très bien cuite d’un porc infecté et dans

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votre estomac, la viande est digérée, ce qui signie que les petits sacs autourde ces vers sont aussi digérés, ce qui les libère. Ils creusent les parois de vosintestins jusqu’aux vaisseaux sanguins puis ils se laissent emporter par le uxsanguin à travers tout votre corps, et quand ils décident qu’ils sont parvenus à unendroit qui leur convient, ils creusent la paroi du vaisseau sanguin, vont dans unmuscle et y font leur petit ménage. Si quelques-uns d’entre eux parviennent aufoie, vous attrapez la jaunisse et peut-être vous serez diagnostiqué d’une cirrhosedu foie. Mais sans autopsie du foie, les médecins ne peuvent pas en être sûrs ; ilsne peuvent pas déterminer si c’est la trichinose ou pas. Si les vers parviennent àvotre muscle cardiaque, vous avez de gros problèmes. Et ainsi de suite pour lesautres organes. Un grand nombre d’infections ne sont jamais diagnostiquées. Leslapins sont la cause d’un grand nombre de maladies, telle que la tularémie, quiest souvent fatale.

Mais même si vous cuisez susamment la viande de porc pour tuer tous ces versde la trichinose, cela ne rend pas la viande saine : il y a trop de choses qui ne vontpas. Il existe un grand nombre de maladies que vous pouvez attraper à cause de laviande de porc. Et même si les bactéries elles-mêmes sont tuées, rappelez-vous cequ’elles ont déjà fait à la viande de cet animal mort, les conditions chimiques quisont établies dans cette viande qui ont causé la maladie de l’animal. C’est toutesces choses que vous ingérez dans votre corps.

Poisson : tous les poissons possédant des nageoires et des écailles sont bons à man-ger. Beaucoup de gens dans le sud aiment manger du poisson-chat. Le poisson-

chat possède des nageoires mais il n’a pas d’écailles : il n’a qu’une simple peau.Et le poisson-chat est un charognard, il mange les choses mortes et pourries qu’iltrouve dans l’eau.

Maintenant, parmi les oiseaux, il existe une longue liste d’oiseaux interdits. Biensûr, le vautour, la buse, etc, tous les charognards sont interdits. Mais en généralaussi les oiseaux carnivores : l’aigle, le faucon, et ainsi de suite, sont interdits.Comme pour les quadrupèdes. Tous les animaux carnivores sont interdits.

Certaines personnes aiment manger de l’ours, mais bien entendu l’ours est stric-tement interdit. Ces animaux sont malsains. Les escargots, les lézards sont égale-

ment interdits. Mais certaines personnes mangeraient n’importe quoi. Cependant,tous ces animaux sont interdits.

Nous ne pouvons pas manger la chair d’un animal mort de maladie. Si vous allezdans les champs, que vous trouvez une carcasse de vache morte d’une maladiecomme l’épizootie et que vous en coupez un morceau pour le manger à la mai-son, vous ne perdrez certainement pas votre salut. En fait, vous pourriez vousretrouver au ciel encore plus vite. Non, mais vous allez perdre votre santé immé-diatement, et peut-être même votre vie.

Toutes les lois faisant partie du groupe pratique n’ont rien à voir avec votre salutspirituel ; elles sont destinées à votre vie pratique, ici et maintenant. Pourquoi

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alors Dieu en a-t-il fait plus que des suggestions? Eh bien, Il nous dit, en sub-stance :

« Je veux une nation saine pour Me servir; Je ne veux pas que vous

soyez malades de trichinose ou de ces autres maladies. Ne vous souillezpas avec toutes ces choses si vous voulez faire partie de Mon peuple,de Ma démonstration de ce que devrait être une nation. J’ai dit quesi vous obéissez à Mes lois, vous serez en bonne santé, vous vivrezlongtemps, vous connaîtrez la paix et la prospérité. Ne gâtez pas ladémonstration en vous rendant malade, en violant les lois mêmes queJe vous ai données pour votre bien ».

Ces lois furent donc imposées. En fait, à l’époque de l’Ancien Testament, ellesétaient même imposées jusqu’à la peine de mort, parce que Yahweh voulait que

cette nation ait une chance de montrer au monde ce que l’obéissance à Ses loispouvait produire. Chaque fois que nous sommes prêts à revenir au bon sens et àvivre selon les lois de Dieu, nous pouvons en retirer tous les bénéces.

O O O

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Traduction : Bahrmanou

© 12 octobre 2013

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Les Lois de Dieu