LES PROJETS POUR

Travaux des élèvesde l’école

Domaine du possible

ARLESen transition

Les idées contenues dans ce livret sont le fruit de recherches des élèves suite à la projection du film De-

main .Ils font suite aussi aux divers ateliers sur le thème de l’écologie

Leurs pensées viennent s’inscrire dans la démarche Arles en transition qui amorce auprès des citoyens, face aux questions environnementales, le changement d’attitude

nécessaire pour la pérennité d’un monde où il fait bon vivre

Sommaire« Les jardins du possible »

Élan du cœur vers la société

Les jardins partagés

Cultivons ensemble le tissu social !

Les incroyables comestibles

C’est bon, c’est beau, et c’est gratuit !

Les vélos dans la ville

Les (bi)cycle de la vie

Gestion des déchets

beaucoup se crée, beaucoup se perd et peu se transforme…

Coffee BarCoffee, book and sun

Réflexion sur l’école, l’énergie et les transports

« Les jardins du possible »Élan du cœur vers la société

Les jardins du possible seraient à Volpelière. Le but serait de faire pousser des légumes et de les vendre au prix souhaité. Il y aurait, admettons, un hectare divisé en 2 parties égales dont la première serait pour l’école à Volpelière, et la deuxième serait également cultivée par les élèves mais ces légumes-là seront vendus pour les habitants d’Arles (d’une manière général). Ceux-ci n’auront qu’à se servir et payer le montant qu’ils souhaitent à la sortie du potager.Tout sera basé sur la confiance Zoé

On a pensé à faire plusieurs petits bacs de terre de 2m de longueur et 1m de hau-teur. Ils constitueront ensemble un jardin situé à Volpelière.Dans ce jardin du possible on a pensé faire pousser fruits et légumes. Pour les arbres fruitiers, il faudrait des bacs de taille moyenne de mesure 3 ou 4 mètres de longueur et 1,50m de hauteur.On a pensé faire ce jardin du possible pour tout le monde en particulier les enfants, pour qu’il s’en occupent, c’est-à-dire qu’ils arrosent, ….. Samuel

Un jardin construit par les élèves à Volpelière. Des élèves qui s’occupent du pota-ger. Ensuite on installe un petit stand (lieu à chercher précisément plus tard) pour inviter les gens à venir acheter nos légumes. Pour payer, les gens donneraient ce qu’ils veulent.Avantages :Les élèves de l’école auront une bonne occupation de jardinage. Les habitants d’Arles pourront acheter des légumes produits sur place et 100% Bio.Les clients donneront l’argent qu’ils voudront.L’école gagnera un peu d’argent en vendant des bons légumes.Inconvénients :Les habitants d’Arles n’auront pas le loisir de cultiver leurs propres légumes. Léa

Les jardins partagésCultivons ensemble le tissu social !

Le principe du jardin partagé- Un hectare (environ) de Volpelière sera dédié à des « multicultures ». Les par-

celles sont de tailles aléatoires de 30 à 70 mètres carrés. Les habitants d’Arles choisiront la parcelle qui leur convient pour y planter ce qu’ils veulent.

- Il y aura sans doute des gardiens pour surveiller et des horaires seront aménagés pour faciliter l’accès des lieux.

- Chaque personne apporterait son matériel : graines, arrosoirs, pelles, binettes…Une seule « contrainte » : cela devra être esthétique, chacun devra respecter sa par-celle. Le but sera aussi de créer un lien avec les autres habitants d’Arles, créer aussi un lien avec la terre et les plantes. Cet endroit sera basé sur la convivialité et la confiance.- Nous mettrons aussi à dispo-

sition des bacs à compost ou chaque habitant pourra amener ses déchets verts ; ainsi nous pourrons fabriquer notre propre engrais naturel

Xavier

Pour le jardin partagé, prévoir d’utiliser l’eau de la source pour l’arrosage. Il faut faire en sorte que la forme des passerelles soit esthétique. Les habitants d’Arles pourraient venir cultiver dans leurs passerelles d’une taille de 30 à 70m2.Ils s’occuperaient de leurs légumes et labourant la terre, en plantant et en arrosant.Avec toutes les passerelles regroupées dans un champ d’environ 1 hectare, les per-sonnes venues cultiver pourraient se rencontrer et commenceraient à parler. C’est une idée qui pourrait générer beaucoup de rencontres. Beaucoup de gens d’Arles seraient contents d’avoir une petite passerelle de terre pour cultiver leurs propres légumes.Une passerelle serait réservée pour 1 personne ou 1 famille.Communication : On pourrait tout d’abord faire paraître l’info dans le « passage du Méjan » puis communiquer sur Facebook. La communication pourrait se faire de bouche-à-oreille.Les horaires seront aménagés pour faciliter l’accès au lieu.Grâce à ce projet, moins de personnes achèteraient des légumes au supermarché.Lien à la terre : L’école serait donc plus connue de la ville d’Arles. Pour que le projet marche, il faudra que Chaque personne respecte sa partie de terre et celle des autres.Chaque personne apporte son propre compost. Grâce à un renouvellement des déchets on pourra voir évoluer le compost. On pourra voir la transformation des déchets en bon engrais utilisable pour les cultures. Léa

Les jardins partagésCultivons ensemble le tissu social !

Nous voulons mettre en place un jardin partagé :- L’idée est que chacun puisse venir cultiver sa petite parcelle (environ de 30 à

70m2), s’occuper de la terre et de ses petites cultures et ramasser fruits et lé-gumes.

Ce projet comporte plein d’avantages :- Cela permettrait aux habitants d’Arles qui n’ont pas de jardin, d’avoir un petit

potager et de créer un lien à la nature, à la terre.- Cela créerait aussi un tissu social pour les gens qui viennent avec l’école par le

biais de culture, d’échanges et d’entraide.- On sensibiliserait les gens au recyclage grâce au compost où chacun pourrait

apporter ses déchets verts et s’émerveiller devant le renouvellement des déchets organiques en matière première riches, fertiles et de qualité.

Maïra

Les incroyables comestiblesC’est bon, c’est beau, et c’est gratuit !

Je pense qu’on devrait mettre des jardi-nières dans tout Arles. Les jardinières se-raient cultivées c’est-à-dire que les plantes qui seraient à l’intérieur seraient plutôt des fleurs mais aussi des courgettes, des to-mates, des carottes, etc.…Certaines plantes, qui sont aptes à pous-ser en autonomie, pourraient être dans des jardinières sur le bord de la route (ce qui pourrait être esthétique) par exemple. Mais lorsqu’y aura besoin que l’on s’en occupe un peu plus on pourrait faire des échanges : par exemple si on enlève les mauvaises herbes en échange on reçoit une courgette.Et pour celles qui ont besoin de plus d’eau, nous les mettrons près des restaurants qui pourront verser leurs eaux dans ces der-nières.Et pour faire en sorte que les plantes poussent mieux nous pourrions mettre cer-taines plantes les unes avec les autres ce qui s’appelle de la permaculture. Zoé

Les incroyables comestibles sont des bacs en ville où l’on plante fruits et légumes et chacun récolte ce dont il a besoin.Remplacez les poteaux ou barrières métaliques pas des jardinières pour pouvoir mettre de la terre et du compost ce qui la rendra fertile. Chaque personne qui souhaite participer au projet, ramène un plant de légume.Et même ceux qui n’ont rien planté peuvent récolter ce qui les sensibiliserait et se joindraient au projet Adrien

On pourra faire des bacs de taille moyenne contenant de la terre. Au lieu de faire un grand bac, on fera des petits parce que le grand ne donnera pas envie de tra-vailler mais s’il y a des petits dispersés, le travail sera plus vite fait dans chaque jardinière…On pourra faire des tiroirs dans les cubes potagers pour y déposer les outils. Ces bacs de terre seront partout dans la ville. Oliver

Les vélos dans la villeLes (by)cycle de la vie

Nous nous sommes dit qu’il faudrait plus motiver les gens de la ville d’Arles à faire du vélo car à cette heure-ci la pollution est un problème mondial .Pour cela on s’est dit qu’il faudrait plus de pistes cyclables et baisser les prix des vélos ça initiera plus les gens à faire du vélo.- Question pratique et question santé :Effectivement il a été démontré par les scientifiques que les personnes qui faisaient du vélo fréquemment avaient une meilleure immunité (malgré le froid, en faisant du vélo, le système immunitaire de ces personnes se renforce), une bonne muscu-lation et un bon rythme cardiaque.Pour l’instant nous avons de points positifs très importants :– une meilleure santé pour les toutes les personnes faisant du vélo fréquemment,– moins de pollution car moins de voituresLe problème c’est les pistes cyclables car, comme les habitants d’Arles on bien pu le remarquer, tout le monde utilise les pistes cyclables : les cyclistes et les piétons.Et il ne faut pas oublier que les piétons sont souvent rejetés des trottoirs par les restaurants qui prennent toutes la place et donc ils prennent les pistes cyclables comme 2e trottoir, là est le problème. Les cyclistes se résignent donc à prendre la voiture ou marcher. Jeanne

Les vélos sont beaucoup moins bruyants que les voi-tures et l’odeur de la pollution pourrait devenir dé-rangeante. À force, Arles pourrait devenir une ville comme Paris par exemple au niveau de la pollution. C’est pour cela qu’il faut faire quelque chose, plus de pistes cyclables inciteraient les gens à faire du vélo. Il faut leur mettre à dispositions et des autolib, pratiques pour les transports plus longs.Vélos, soyez les bienvenus !! Mia

Gestion des déchetsbeaucoup se crée, beaucoup se perd et peu se transforme…

Coffee barCoffee, book and sun

Nous avons vu que les poubelles n’etaient pas en nombre dans les rues… Alors nous avons eu l’idée de mettre des poubelles pour le tri sélectif.Jaune pour le papier et les emballages plastiquesVert pour le verrebleu pour le papierEt un compost à Volpelière… Adrien

Dans Arles, il serait bien de faire un bar on l’on pourrait arriver, commander, s’ins-taller dans un fauteuil et prendre un livre ou son ordinateur.Ce serait un lieu où l’on pourrait se poser tranquillement en buvant un café (ou autre) où l’on pourrait se retrouver entre amis et discuter. Un lieu accueillant en somme.Ce ne serait pas un bar normal ou tout le monde parle, où les chaises sont en plas-tique dur ; où on arrive, boit rapidement et repart dans les 5 minutes.Un lieu convivial. Léa

Réflexion sur l’école, l’énergie et les transports

Bâtir des éoliennes pour l’écoleautorisation ? bruit ?

Installer sur les toits des panneaux solaires.Panneaux solaires : est-ce vraiment bien ?

Installer des toits et des murs végétaux

Veiller à la qualité des ampoules

Pouvoir aller à vélo à l’école

Prévoir des pistes cyclables

Prévoir des ateliers de réparations des vélos

Prévoir un bus scolaire écologique à partir d’Arleset tous autours