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I5LdM4Rdmd4usadcdpdrTlttpnCdqcomplications engendrées.

doi:10.1016/j.rmr.2011.10.898

198 16e Congrès de pneumologie de la

ésultats.— Sur un total de 224 dossiers examinés pour tubercu-oses toutes formes confondues, 131 étaient des cas de tuberculoseulmonaire à microscopie positive, soit 58,48 %.’âge moyen était de 31,31 ans avec des extrêmes de 15 à 79 ans.es hommes représentaient 69,89 % pour 35,11 % des femmes, soitn sex-ratio de 1,89 en faveur des hommes. Concernant la séropré-alence, 120 malades sur les 131 ont accepté de faire le test du VIH,oit 91,6 %. Parmi eux, 21 malades ont été positifs au VIH, soit uneo-infection de 17,5 %. Les effets secondaires liés aux antitubercu-eux étaient présents chez 51 malades parmi les 131, soit 38,93 %ont 7 cas d’effets majeurs et 44 cas d’effets mineurs. Nous avonsbtenu un taux de décès de 5,3 %, 10 cas d’échec thérapeutique,oit 7,6 % et un taux de guérison de 84,7 %.onclusion.— Le traitement de la tuberculose est la pierre angu-

aire de tout programme de lutte contre la tuberculose avec commebjectif de réduire la morbidité, la mortalité et la transmission dea maladie.

oi:10.1016/j.rmr.2011.10.895

07es particularités radiocliniques etactériologiques de la tuberculose pulmonaire duujet âgé.K. Assaf a, K. Machou b

UCTMR de MOHAMMADIA, Mascara, AlgérieService pneumologie, CHU d’Oran, Oran, Algérie

bjectif.— Le but de ce travail est de décrire les caractéristiquespidémiologiques, cliniques, radiologiques et bacilloscopiques de laBC pulmonaire chez les patients âgés et d’insister sur les difficultésiagnostiques.atériels et méthodes.— Étude rétrospective effectuée du janvier011 au juillet 2011 portant sur l’analyse de 30 cas de TBC pulmo-aire chez des patients âgés de plus de 60 ans, suivis au sein de’UCTMR de MOHAMMADIA.ésultats.— La moyenne d’âge est de 68 ans (extrêmes 60—82 ans)vec une légère prédominance masculine (55 %). Les comorbiditésencontrées : diabète dans 5 %, pathologies cardiovasculaires dans5 %des cas.e contage tuberculeux est noté dans 2 cas. Le délai moyen deébut des symptômes est de 3 mois, dominé par une altération de’état général dans 19 cas et une toux productive avec une dys-née dans 11 cas. Les anomalies radiologiques étaient caractériséesar la fréquence des opacités alvéolaires (70 %) et la rareté desmages cavitaires dans 13 %. Plus de la 1/2 des cas ont présenté uneacilloscopie négative. Le traitement préconisé selon les recom-andations du PNLAT est le régime 2RHZE/4RH dans 25 cas et le

égime de rechute 2SRHZE/1RHZE/5RHE dans les cas restants.onclusion.— L’âge avancé influence profondément le profiladiocliniques de la tuberculose, favorisant la négativation bacté-iologique et la survenue des manifestations atypiques rendant leiagnostic difficile.

oi:10.1016/j.rmr.2011.10.896

08’hépatite toxique aux antibacillaires : à propos de1 cas. Boumezaoued , L. Nfissi , M. Elbiaze , B. Amara , M. Serraj ,.C. Benjelloun

Service de pneumologie, CHU Hassan II, Fès, Maroc

ous les antibacillaires peuvent provoquer une hépatite allant d’uneimple perturbation transitoire du bilan hépatique jusqu’aux signesraves d’hépatoxicité imposant l’arrêt immédiat des antibacil-aires. Le but de notre travail est de préciser les difficultés de prise

francaise, Lyon, vendredi 27 au dimanche 29 janvier 2012

n charge thérapeutique de l’hépatotoxicité aux antibacillaires. Lesuteurs rapportent 11 observations d’hépatite toxique aux antiba-illaires colligées sur une période de 3 ans. Il s’agit de 8 femmest 3 hommes avec une moyenne d’âge de 44 ans. La tuberculosest pleurale dans 3 cas, ganglionnaire dans 2 cas, peritonéale danscas, péricardique dans 1 cas, génitourinaire dans 1 cas, méningéeans 1 cas et pulmonaire dans 1 cas. Le délai moyen d’apparitione l’ictère et/ou des vomissements après le début des antibacil-aires est de 10 jours (1—30 jours). Deux patients sont décédés suite

une encéphalopathie hépatique. Le taux moyen des transami-ases est de 17 fois la normale. Aucun cas de surdosage n’est noté.ans tous les cas, les sérologies hépatitiques B et C sont négatives.ous ces patients bénéficient d’un arrêt immédiat des antibacil-aires. La reprise du traitement est progressive en commencantar l’antibacillaire supposé le moins hépatotoxique avec une bonnevolution dans presque tous les cas. L’hépatite toxique aux antiba-illaires est, certes rare, mais son apparition menace l’observancehérapeutique et le pronostic de la maladie. Ainsi, la prévention’impose par le strict respect des règles de prescription, le dépis-age précoce des signes d’intolérance thérapeutique et le suiviigoureux de l’évolution sous traitement.

oi:10.1016/j.rmr.2011.10.897

09a tuberculose vértébrale : à propos de 17 cas. Elmorabit , I. Id Ahmed , I. Malzi , K. Marc , M. Soulhi ,. Zahraoui , J. Benamour , J.E. Bourkadi , G. Iraqui

Pneumolgie, hôpital Moulay Youssef, Rabat, Maroc

ntroduction.— La tuberculose ostéo-articulaire représente 3 à% des tuberculoses et 15 % des tuberculoses extrapulmonaires.

’atteinte tuberculeuse du rachis (mal de Pott) est la plus fréquentees ostéo-arthrites tuberculeuses.atériel et méthodes.— C’est une étude rétrospective s’étalant surans (2008—2011) intéressant 17 patients.ésultats.— Il s’agit de 12 femmes et 5 hommes, l’âge moyen este 45 ans (26 ans à 75 ans) et une patiente est enceinte. Le délaioyen d’apparition des symptômes est 8 mois. Les symptômes sontominés par les douleurs lombaires dans 57 % des cas, dorsales dans2 % des cas. Cinquante-sept pour cent des patients ont rapporténe impotence fonctionnelle, et 42 % ont présenté une paraplégieensitivomotrice avec troubles sphinctériens. Le scanner rachidienobjectivé la spondylodiscite tuberculeuse de siège dorsal dans 42 %es cas, dorsolombaire, lombaire et lombosacré dans 14 % des cashacun, un aspect de lyse vertébrale intéressant deux vertèbresans 85 % des cas et une seule vertèbre dans 15 % des cas, avecrésence d’abcès paravertébraux dans 42 % des cas, et du psoasans 28 % des cas. La recherche de BK dans les expectorations s’estévélée positive chez un patient.ous les patients ont été mis sous traitement médical, associanta rifampicine, l’ethambutol, l’isoniazide et la pyrazinamide, etraitement orthopédique consistant en une immobilisation plâ-rée selon l’étage intéressé, l’immobilisation a concerné tous lesatients sauf la femme enceinte. Les complications neurologiques’étaient pas rares : 2 cas de paraplégie.onclusion.— La spondylodiscite tuberculeuse reste une mala-ie d’actualité dans les pays en voie de développement, vuu’elle touche une population jeune en pleine activité, et vu les