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Ici c’est GUERET… Nous sommes au tiers de la phase « aller » de notre championnat. Et déjà, nous commençons à y voir plus clair dans une compétition qui s’annonce redoutable. Première quasi certitude : la poule 5 rassemble dix équipes solides et, après trois rencontres, impossible d’établir une hiérarchie affirmée entre elles. Arpajon, Ussel, Mauriac et Cournon – dans cet ordre – impressionnent peut-être plus que les six autres prétendants. Arpajon sans doute grâce à deux succès bonifiés sur Lacapelle et Moulins ; Ussel, bien belle équipe apparemment sans grosses failles ; Mauriac, bien organisé autour de son botteur Pottas et Cournon, un habitué du dernier carré. Derrière ce quatuor, qui de Moulins, Issoire, Saint-Cernin, Lacapelle, Vichy et le RCGC peut se mêler à la lutte qualificative ou bien ne lutter que pour le seul maintien ? Chaque point égaré peut coûter cher ! Chaque point de bonus pris de même ! Voilà ce qui nous chagrine : à domicile contre Moulins, une victoire était dans nos cordes. En déplacement à Saint-Cernin, il y avait aussi largement la place. Bien heureusement, notre vaillance défensive et une réussite retrouvée au pied nous ont permis de vaincre Ussel. On ne réécrira pas l’entame du championnat.Le déficit des deux premières confrontations devra être comblé. Nous l’espérons. Nous avons confiance. Et, nous ne devons plus – nous ne pouvons plus - nous incliner à Cher du Prat. A commencer par aujourd’hui en accueillant Issoire. Cette confiance dans le groupe et son coach principal repose sur la motivation et l’excellente ambiance qui règnent depuis la reprise à la mi-août. Notre effectif s’est élargi avec beaucoup de jeunes joueurs prometteurs. La très belle partie de notre réserve contre Ussel en témoigne. La défaite sur le fil n’en est que plus rageante ! Je voudrais saluer aussi l’arrivée de recrues spontanées que le travail ou les études conduisent en Creuse : Simon Dexidour, Julien Bressoles. Bienvenue ! De bonnes nouvelles proviennent de notre école de rugby : les inscriptions y seront stables et l’encadrement se structure. Les premiers résultats de nos cadets sont plus qu’encourageants. Ils s’inscrivent dans le travail de formation entrepris auparavant. Il n’y a pas de recette miracle ! Les juniors ont un challenge plus difficile à relever. Les jeunes venus de Folles vont nous permettre d’aligner un effectif plus dense et nous en aurons bien besoin. Un mot encore sur notre section féminine : au moment où vont commencer les premiers tournois, je veux souligner la place qu’elles occupent sur le plan sportif mais aussi dans la vie du club. N° 63 DIMANCHE 12 Oct. 2014 L’ADVERSAIRE DU JOUR : US ISSOIRE Saluons un club centenaire ! Entre clubs d’avant la 1ère Guerre Mondiale, l’histoire est donc longue et – parfois – partagée. Les toutes dernières confrontations remontent à plus de 20 ans, saison 1991/1992. Si le RCG d’alors s’était imposé à domicile 13 à 6, une sévère déculottée l’attendait au retour : 50/0. C’est le leader que les joueurs de Garnier Canizarès avaient fait trébucher à Cher du Prat alors que pour le déplacement dans le Puy de Dôme, les guéretois avaient déjà perdu toute ambition de qualification. Le palmarès de l’US Issoire se flatte d’une finale Honneur perdue contre le SA Bordeaux le 4 mai 1952 (6/3). Plus près dans le temps, la réserve échoue à son tour pour le titre contre Massy tout comme les juniors Phliponeau en 1991. Des formations dont sont issus Goutta, Lafitte, Sanson ou Martial… Le parcours en Fédérale 3 de nos voisins reste pour l’heure plutôt encourageant : deux succès à domicile devant Cournon (13/9) – c’est toujours une référence ! – et Saint-Cernin, 23/16. On pourra rappro- cher ce résultat de celui enregistré par le RCGC une semaine plus tôt dans le Cantal. Pour tenter d’étalonner, on peut aussi se pencher sur le revers dans l’Allier, 25/14 face à Moulins. Dans les premières statistiques, on constate encore que l’US Issoire a encaissé un total de points équivalent à celui des points marqués. Goal average à 0 ! Et une 4 ème place à deux points du leader Arpajon. Pas mal pour un promu ! Edito Gilles Gaudon Président du RCGC L’interview du jour MICKEY PRESIDENT, Même Gérard Lenorman ne l’avait pas imaginé ! Pas un simple porte- feuille ou le strapontin de Premier Ministre pour Mickaël Deville, bien plutôt la fonction suprême. Il en rêvait tous les matins en se rasant (le crâne). Son prédécesseur (appelé à d’autres responsabilités), il n’a pas hésité. Président de l’Amicale, Mickaël Deville prolonge sa carrière sur les terrains. Gros plan sur le chef d’orchestre. Président dans la conti- nuité ? En partie. L’Amicale a été un peu trop en sommeil même si la saison dernière elle a cherché à se relancer. Après la gouvernance de Braisou – je dirai qu’il a été solide sur les pectoraux et bien calé dans sa casquette - tous les membres du bureau ont impulsé une nouvelle dynamique. Elle s’est surtout concrétisée dans le voyage de fin d’année sportive à Clermont. Deux jours sym- pas pour un prix modeste. Objectifs confirmés pendant ton mandat ? Le déplacement de fin de saison sera reconduit. De même que le pack entraîne- ment ; nous recherchons des sponsors. Nous voulons aussi nous retrouver des vendredis soirs et nous allons le faire avant Issoire. Tous les licenciés seniors, garçons et filles. Repas entre nous et repas avec les supporters, les dirigeants, les éducateurs. Premier rendez- vous avec le Fondu/Frites en décembre. Tu prolonges ta carrière de joueur entamée en ? 1987. Mini poussin avec Manu Piech comme coach. En cadets et juniors nous avons eu de belles équipes. Je ne vais pas tous citer les partenaires, les Clément, Lemaire, Glomot, Deschamps…je risque d’en oublier beaucoup. Jean-Marc Pouzaud et Bernard Alanore nous entraînaient. Tu jouais à quel poste ? Catégorie BNP ! Bon nulle part ! Quand je n’étais pas en 9, je glissais au centre, à l’ouverture, à l’arrière. Je crois bien avoir fait la paire de centres en juniors avec Pat. Il doit s’en souvenir, il avait très mal à la tête ! Tu débutes très tôt en équipe première ? A 17 ans. A la mêlée. J’étais hyper protégé comme tous les jeunots. Il faut dire qu’il y avait Féfé, Bourdaud, Pasty ou Jolivet pour nous mettre en confiance. Tu as connu descente et montée ? Avec Varocq et Battaini on s’est qualifié. Eliminé par Sainte Livrade. Puis il y a eu la dégringolade en Honneur et les deux accessions succes- sives jusqu’aux portes de la Fé- dérale 1. Très grosse équipe ! J’ai beaucoup progressé au contact de Tonnelier, Badji et les autres. Ce sont eux qui m’ont appris la nécessité de communiquer sur le terrain. Des souvenirs « cool » ! Pour moi, pour mes compères Bobo, Fayard. Et tu quittes la Creuse ! Raisons professionnelles ! Un passage au Sporting club tulliste en réserve de Fédé- rale – pas gardé un souvenir impérissable ! Puis deux saisons à Naves en promotion d’honneur avant de retrouver Guéret en janvier 2009. Pas vraiment le temps de se dépayser ? Non, d’autant que j’ai revu des têtes bien connues ! J’ai progressivement retrouvé un niveau satisfaisant. Il faut toujours essayer d’évoluer au meilleur de ses capacités. L’an dernier, tu as fait la saison en 1 ère . Oui, mais je suis content d’apporter un peu de mon expérience à la B depuis septembre. Je n’ai jamais vécu comme une punition le fait de jouer en réserve. Le groupe est jeune, progresse. L’arrivée de Lecossois va nous faire du bien. La prochaine réintégra- tion de JC Desqueux aussi. Branescu puis Dumas, un réel changement ? Ce sont des techniciens. Bra- nescu est un « pro » ; un type qui inspire du respect. Tony, il est beaucoup plus proche des joueurs. Et si Mickey avait rêvé d’en- dosser qualités et maillot d’un joueur ? Sans hésitation, j’aurais mis Carter dans mon moteur ! creuse Mickaël Deville ESPACE PUBLICITAIRE DISPONIBLE

L’interview du jour MICKEY - rcgc23.fr · saisons à Naves en promotion d’honneur avant de retrouver Guéret en janvier 2009. ... « Le DJ, talonneur, tartine », Clé-ment Thomas,

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Ici c’est GUERET…Nous sommes au tiers de la phase « aller » de notre championnat. Et déjà, nous commençons à y voir plus clair dans une compétition qui s’annonce redoutable.

Première quasi certitude : la poule 5 rassemble dix équipes solides et, après trois rencontres, impossible d’établir une hiérarchie affirmée entre elles. Arpajon, Ussel, Mauriac et Cournon – dans cet ordre – impressionnent peut-être plus que les six autres prétendants. Arpajon sans doute grâce à deux succès bonifiés sur Lacapelle et Moulins ; Ussel, bien belle équipe apparemment sans grosses failles ; Mauriac, bien organisé autour de

son botteur Pottas et Cournon, un habitué du dernier carré.

Derrière ce quatuor, qui de Moulins, Issoire, Saint-Cernin, Lacapelle, Vichy et le RCGC peut se mêler à la lutte qualificative ou bien ne lutter que pour le seul maintien ?Chaque point égaré peut coûter cher !Chaque point de bonus pris de même ! Voilà ce qui nous chagrine : à domicile contre Moulins, une victoire était dans nos cordes. En déplacement à Saint-Cernin, il y avait aussi largement la place. Bien heureusement, notre vaillance défensive et une réussite retrouvée au pied nous ont permis de vaincre Ussel. On ne réécrira pas l’entame du championnat.Le déficit des deuxpremières confrontations devra être comblé. Nous l’espérons. Nous avons confiance. Et, nous ne devons plus – nous ne pouvons plus - nous incliner à Cher du Prat. A commencer par aujourd’hui en accueillant Issoire.

Cette confiance dans le groupe et son coach principal repose sur la motivation et l’excellente ambiance qui règnent depuis la reprise à la mi-août. Notre effectif s’est élargi avec beaucoup de jeunes joueurs prometteurs. La très belle partie de notre réserve contre Ussel en témoigne. La défaite sur le fil n’en est que plus rageante !Je voudrais saluer aussi l’arrivée de recrues spontanées que le travail ou les études conduisent en Creuse : Simon Dexidour, Julien Bressoles. Bienvenue !

De bonnes nouvelles proviennent de notre école de rugby : les inscriptions y seront stables et l’encadrement se structure. Les premiers résultats de nos cadets sont plus qu’encourageants. Ils s’inscrivent dans le travail de formation entrepris auparavant. Il n’y a pas de recette miracle !

Les juniors ont un challenge plus difficile à relever. Les jeunes venus de Folles vont nous permettre d’aligner un effectif plus dense et nous en aurons bien besoin.

Un mot encore sur notre section féminine : au moment où vont commencer les premiers tournois, je veux souligner la place qu’elles occupent sur le plan sportif mais aussi dans la vie du club.

N ° 6 3 D I M A N C H E 1 2 O c t . 2 0 1 4

L’ADVERSAIRE DU JOUR :

US ISSOIRESaluons un club centenaire ! Entre clubs d’avant la 1ère Guerre Mondiale, l’histoire est donc longue et – parfois – partagée. Les toutes dernières confrontations remontent à plus de 20 ans, saison 1991/1992. Si le RCG d’alors s’était imposé à domicile 13 à 6, une sévère déculottée l’attendait au retour : 50/0. C’est le leader que les joueurs de Garnier Canizarès avaient fait trébucher à Cher du Prat alors que pour le déplacement dans le Puy de Dôme, les guéretois avaient déjà perdu toute ambition de qualification.Le palmarès de l’US Issoire se flatte d’une finale Honneur perdue contre le SA Bordeaux le 4 mai 1952 (6/3). Plus près dans le temps, la réserve échoue à son tour pour le titre contre Massy tout comme les juniors Phliponeau en 1991. Des formations dont sont issus Goutta, Lafitte, Sanson ou Martial…Le parcours en Fédérale 3 de nos voisins reste pour l’heure plutôt encourageant : deux succès à domicile devant Cournon (13/9) – c’est toujours une référence ! – et Saint-Cernin, 23/16. On pourra rappro-cher ce résultat de celui enregistré par le RCGC une semaine plus tôt dans le Cantal. Pour tenter d’étalonner, on peut aussi se pencher sur le revers dans l’Allier, 25/14 face à Moulins.Dans les premières statistiques, on constate encore que l’US Issoire a encaissé un total de points équivalent à celui des points marqués. Goal average à 0 ! Et une 4ème place à deux points du leader Arpajon.

Pas mal pour un promu !

Edito

Gilles Gaudon Président du RCGC

L’interview du jour

M I C K E YP R E S I D E N T ,Même Gérard Lenorman ne l’avait pas imaginé ! Pas un simple porte-feuille ou le strapontin de Premier Ministre pour Mickaël Deville, bien plutôt la fonction suprême. Il en rêvait tous les matins en se rasant (le crâne). Son prédécesseur (appelé à d’autres responsabilités), il n’a pas hésité. Président de l’Amicale, Mickaël Deville prolonge sa carrière sur les terrains. Gros plan sur le chef d’orchestre.

Président dans la conti-nuité ?En partie. L’Amicale a été un peu trop en sommeil même si la saison dernière elle a cherché à se relancer. Après la gouvernance de Braisou – je dirai qu’il a été solide sur les pectoraux et bien calé dans sa casquette - tous les membres du bureau ont impulsé une nouvelle dynamique. Elle s’est surtout concrétisée dans le voyage de fin d’année sportive à Clermont. Deux jours sym-pas pour un prix modeste.

Objectifs confirmés pendant ton mandat ?Le déplacement de fin de saison sera reconduit. De même que le pack entraîne-ment ; nous recherchons des sponsors. Nous voulons aussi nous retrouver des vendredis soirs et nous allons le faire avant Issoire. Tous les licenciés seniors, garçons et filles. Repas entre nous et repas avec les supporters, les dirigeants, les éducateurs. Premier rendez-vous avec le Fondu/Frites en décembre.

Tu prolonges ta carrière de joueur entamée en ?1987. Mini poussin avec Manu Piech comme coach. En cadets et juniors nous avons eu de belles équipes. Je ne vais pas tous citer les partenaires, les Clément, Lemaire, Glomot, Deschamps…je risque d’en oublier beaucoup. Jean-Marc

Pouzaud et Bernard Alanore nous entraînaient.

Tu jouais à quel poste ?Catégorie BNP ! Bon nulle part ! Quand je n’étais pas en 9, je glissais au centre, à l’ouverture, à l’arrière. Je crois bien avoir fait la paire de centres en juniors avec Pat. Il doit s’en souvenir, il avait très mal à la tête !

Tu débutes très tôt en équipe première ?A 17 ans. A la mêlée. J’étais hyper protégé comme tous les jeunots. Il faut dire qu’il y avait Féfé, Bourdaud, Pasty ou Jolivet pour nous mettre en confiance.

Tu as connu descente et montée ?Avec Varocq et Battaini on s’est qualifié. Eliminé par Sainte Livrade. Puis il y a eu la dégringolade en Honneur et les deux accessions succes-sives jusqu’aux portes de la Fé-dérale 1. Très grosse équipe ! J’ai beaucoup progressé au contact de Tonnelier, Badji et les autres. Ce sont eux qui m’ont appris la nécessité de communiquer sur le terrain. Des souvenirs « cool » ! Pour moi, pour mes compères Bobo, Fayard.

Et tu quittes la Creuse !Raisons professionnelles ! Un passage au Sporting club

tulliste en réserve de Fédé-rale – pas gardé un souvenir impérissable ! Puis deux saisons à Naves en promotion d’honneur avant de retrouver Guéret en janvier 2009.

Pas vraiment le temps de se dépayser ?Non, d’autant que j’ai revu des têtes bien connues ! J’ai progressivement retrouvé un niveau satisfaisant. Il faut toujours essayer d’évoluer au meilleur de ses capacités.

L’an dernier, tu as fait la saison en 1ère .Oui, mais je suis content d’apporter un peu de mon expérience à la B depuis septembre. Je n’ai jamais vécu comme une punition le fait de jouer en réserve. Le groupe est jeune, progresse. L’arrivée de Lecossois va nous faire du bien. La prochaine réintégra-tion de JC Desqueux aussi.

Branescu puis Dumas, un réel changement ?Ce sont des techniciens. Bra-nescu est un « pro » ; un type qui inspire du respect. Tony, il est beaucoup plus proche des joueurs.

Et si Mickey avait rêvé d’en-dosser qualités et maillot d’un joueur ?Sans hésitation, j’aurais mis Carter dans mon moteur !

creuse

MickaëlDeville

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Le sport au quotidien

POULE 5 4ÈME JOURNEEConditions plus automnales pour cette reprise après la mini trêve ?Peut-être ! Mais il ne faut pas escompter – heureu-sement ! – frimas, bourbier en ce 12 octobre !

Le match a priori le plus déséquilibré devrait se tenir en Haute-Corrèze. Ussel accueille Le Stade Marivalois qui, après un très lourd revers à Arpa-jon, a concédé le nul devant Mauriac et ramené un bonus défensif précieux de Vichy. Déçus à la fin de la rencontre à Guéret, les ussellois doivent s’imposer. Un bonus offensif est dans leurs cordes. Attention cependant à l’excès de confiance !Moulins – Mauriac, duel de buteurs et résultat

incertain, peut-on pronostiquer ! Un score serré n’est donc pas à exclure. Les joueurs de l’Allier ont-ils digéré la lourde déconvenue d’Arpajon ? De leur réaction dépendra l’issue du match et Mauriac possède une belle carte à jouer.La tâche sera forcément complexe pour Saint-Cernin dans le derby l’opposant à ArpajonUn succès des locaux serait une performance ! Les conditions particulières de cette rencontre vont fournir un supplément d’âme et de com-battivité. Suffisant pour qu’Arpajon trébuche ? Pas sûr !En longue convalescence, Vichy se déplace une 3ème fois. Si les résultats restent mé-

diocres, le potentiel est avéré. Le déclic après le premier succès sur Lacapelle Marival peut-il se produire à Cournon, parfois décevant à domi-cile ? La victoire des banlieusards clermontois est loin d’être acquise !Encore beaucoup d’incertitudes ce dimanche dans les cinq rendez-vous au programme. Le nouveau bloc de trois matchs jusqu’au 26 octobre permettra (peut-être) de décanter la situation.

partenairesdu matchLes brèves du jour

LES BREVES...Bonne rentrée à l’URC :les diverses catégories d’âge ont été modifiées mais les effectifs se maintiennent dans l’ensemble de l’école de rugby. Désormais, on parle M6 pour les mini poussins et on dit M14 pour les minimes ! B o n n e e n t a m e d e s c a d e t s   : deux matchs, deux victoires. A Naves, 21 à 3 et contre Saint-Junien Bellac, score sans appel, 43/0. Saison vraiment bien lancée. Et effectif plutôt conséquent : près de 30 licen-ciés. Nombre équivalent – et ras-surant ! – en juniors. Dans cette catégorie, un groupe plus élargi devrait permettre de progresser. Deux échecs en championnat pour le moment.Communiqué de l’Amicale des Joueurs :« Nouvelle saison, nouvelles ambi-tions, nouveau bureau ! En effet « le Barbu » Pat Clément ayant troqué sa tunique de joueur et de commandant du navire de l’Ami-cale au profit de celle d’entraîneur de l’équipe réserve, le bureau s’est réorganisé et a intégré de nou-velles têtes d’affiche. A noter aussi le départ d’Alexis Brunaud.Mickaël Deville récupère la

présidence et il est assisté dans son Mandat par Vincent Eclache.Vincent Fanton conserve sa place de trésorier, épaulé d’Alex Durand.Enfin, Simon Taboury revêt le poste de secrétaire, Clément Rochelli devenant son adjoint.« Le DJ, talonneur, tartine », Clé-ment Thomas, alias « le Djoke »

est aux platines de l’animation.Les hostilités festives débuteront par le traditionnel « Fondu-Frites » le 20 décembre au club-house RCGC. Entrée ouverte à toutes et à tous. Venez nombreux (réserva-tion : 06 66 91 09 95)Après cet intermède pratico-pratique, l’équipe de l’Amicale, au nom de tous les seniors vert et noir souhaite vivement remercier Sylvie et Hervé (Jamex !) pour leur aide dans la

réalisation du pack Canterbury (survêtement – parka – tee-shirt) remis à chaque joueur la saison dernière.

--- Fin du communiqué !---Les filles pas en reste ! Avant un souhaitable (futur ?) rapproche-ment, les licenciées féminines ont fondé leur propre amicale : Rugby Girl’s Guéret (RGG). Les uns et les

autres se sont rassemblés vendredi pour un repas com-mun après entraînement. Que devient Matt La-pouasse ? Il a commencé par soulever de nombreuses interrogations dans les heures précédant les deux rencontres face à Ussel. Tout laisse à penser qu’il aurait joué les dernières minutes

du lever de rideau ! En revanche, il ne figurait pas sur la feuille de match des équipes I ! A priori, il serait écarté des groupes affron-tant Issoire…Champions ? Pré - sélectionnés à Guéret, Nico Puydebois et Simon Taboury vont participer aux enre-gistrements du célèbre jeu animé par Julien Lepers, Questions pour un champion. Après le triomphe de Juju Lemoine sur TF1, on attend autant sinon plus du nouveau duo de candidats !

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