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L’étude de référence sur : Le spectacle vivant en · PDF fileL’analyse financière réalisée ... Les experts sectoriels de Xerfi-Precepta ont pour vocation d’apporter aux

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PRECEPTA groupe Xerfi 13-15, rue de Calais 75009 Paris Tél : 01 53 21 81 51 Télécopie : 01 42 81 42 14

L’étude de référence sur :

Le spectacle vivant en France Analyse du marché et perspectives à l’horizon 2015,

positionnement et stratégies des opérateurs Après de très belles années 2000, le spectacle vivant en France est clairement à un tournant . En effet, au-delà de la crise, qui a significativement touché le secteur, les professionnels sont confrontés à d’importants défis :

- Continuer d’exister avec des subventions publiques en baisse : tous les acteurs, quel que soit leur statut, seront touchés directement ou indirectement par la diminution des subventions. L’analyse financière réalisée par Xerfi-Precepta sur des échantillons représentatifs d’opérateurs montre parfaitement que sans les aides publiques, la majorité des professionnels seraient dans le rouge. Il sera ainsi impératif pour eux de faire évoluer leur modèle de développement et de fonctionnement pour le rendre pérenne dans le temps et surtout moins dépendant des aides publiques ;

- Trouver d’autres relais de croissance que la hausse des prix des spectacles : compte tenu du contexte macroéconomique morose marqué notamment par des gains de pouvoir d’achat faméliques, la stratégie de hausse de tarifs sur laquelle les professionnels du secteur se sont appuyés pendant de nombreuses années pour tirer leur croissance est intenable à moyen terme ;

- Intégrer la crise du disque dans sa stratégie : la création de valeur (pour les opérateurs et les artistes) a migré de la musique enregistrée vers le spectacle vivant et la gestion d’artistes. Toutes ces activités sont néanmoins complémentaires et interdépendantes. Les professionnels doivent davantage en tenir compte dans l’élaboration de leurs stratégies et de leurs modèles économiques respectifs pour in fine adopter une logique et une vision à l’échelle de la filière dans son ensemble.

Ces facteurs de mutation, auront pour conséquences de modifier le paysage concurrentiel et d’imposer aux professionnels de repenser sérieuseme nt leur stratégie . Dans cette étude, les experts de Xerfi-Precepta vous proposent une grille d’analyse complète d’un secteur extrêmement hétérogène. Une hétérogénéité aux niveaux des métiers (gestion de salles de spectacles, production, organisation de tournées, promotion, etc.), des statuts des acteurs (privés, publics, associatifs) mais aussi des segments (musique, humour, théâtre, cirque, etc.). Un focus tout particulier a d’ailleurs été fait sur le domaine musical, un marché aujourd’hui en totale mutation.

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Si la situation conjoncturelle s’annonce compliquée à court terme comme le montrent nos prévisions macro-économiques, le secteur du spectacle vivant bénéficie de solides moteurs structurels : goût des Français pour les spectacles et les expériences, avènement d’Internet et des NTIC permettant de démultiplier les vecteurs de vente et la promotion des spectacles, attrait croissant pour l’appartenance aux groupes et aux communautés, etc.

Ces moteurs ont eu pour conséquences d’attiser les convoitises , notamment de la part des maisons de disques. Touchées de plein fouet par l’effondrement des ventes de disques, ces dernières se sont en effet positionnées dans le secteur via des rachats, à la recherche de nouveaux relais de croissance : Warner Music avec Jean-Claude Camus et Nous Productions , Sony Music avec Arachnée Productions , Universal Music avec l’Olympia et le Sentier des Halles , etc. Reste maintenant à savoir si la santé financière extrêmement précaire de la plupart des majors du disque leur permettra de se donner les moyens de leurs ambitions dans le spectacle vivant. L’exemple le plus frappant est probablement celui de Warner Music : officiellement en vente, l’un des candidats à sa reprise n’est autre que Live Nation , leader mondial de l’organisation de concerts…

Les nombreux changements capitalistiques entrevus au cours des cinq dernières années devraient irrémédiablement se prolonger dans les prochaines années avec la structuration à marche forcée du secteur : les grandes manœuvres vont ainsi se poursuivre, d’autant que l’attrait des investisseurs pour le spectacle vivant dépasse bien souvent le cadre de la rationalité économique stricto sensu. Afin d’analyser les enjeux, les orientations stratégiques, ainsi que les avantages compétitifs des acteurs, les experts de Xerfi-Precepta dressent dans cette étude une cartographie précise du paysage concurrentiel. Quatre grands ensembles stratégiques ressortent de l’analyse :

- Les ténors intégrés du spectacle vivant : Live Nation et Stage Entertainment . Même si ces deux opérateurs ont un positionnement différent, ils se doivent de couvrir l’ensemble de la chaine de valeur du spectacle vivant compte tenu des volumes d’activité substantiels qu’ils génèrent : de la production, à la gestion de salles, en passant par la billetterie. La croissance externe demeure logiquement pour eux un mode de croissance essentiel ;

- Les gestionnaires de salles de spectacles : Vega, Daniel Colling , GL Events , etc. Ces acteurs doivent faire face à un rapport de force généralement défavorable avec les producteurs. Leur problématique réside dans leur capacité à mobiliser des capitaux pour construire et rénover les infrastructures et assurer un taux de remplissage maximal pour amortir d’importants coûts fixes. Leurs principaux atouts : le contrôle du lieu et des dates, et une concurrence relativement faible entre les salles à très forte notoriété ;

- Les majors du disque : Universal Music , Sony Music , Warner Music , etc. Le spectacle vivant s’insère dans la continuité de leur cœur de métier, qu’il s’agisse de la production de spectacles ou de la gestion de salles. Leurs stratégies d’intégration du spectacle vivant (essentiellement par le biais de la croissance externe) poursuivent un grand objectif : être capable de proposer à leurs artistes des contrats à 360° englobant l’ensemble des services à l’artiste (musique enregistrée, merchandising, management de marque, gestion des tournées et des spectacles, etc.) ;

- Les producteurs et/ou tourneurs : Jean-Claude Camus (Warner), Gilbert Coullier (Fimal ac), Nous Production (Warner), Arachnée (Sony Music), Gé rard Drouot Productions, TS Prod, Alias Productions, Juste pour rire , etc. Force est de constater que le segment de la production demeure extrêmement atomisé et bien souvent très artisanal. L’opportunisme et le court-termisme priment généralement sur une réelle vision de long terme conduisant à des stratégies de croissance très peu dynamiques et des niveaux de performances financières faibles. Une infime minorité de producteurs possèdent aujourd’hui la taille critique leur permettant de minimiser leur exposition au risque lié au caractère extrêmement cyclique et aléatoire de l’activité.

Grâce à cette analyse complète et opérationnelle, Xerfi-Precepta met à la disposition des dirigeants du secteur un véritable outil pour organiser et hiérarchiser l’information, stimuler la réflexion et préparer les décisions. Nous sommes à votre disposition pour vous apporter des compléments d’information concernant cette étude de référence dont vous trouverez ci-joint la présentation. Pour la recevoir, il vous suffit de nous retourner le bon de commande au verso de la plaquette après l’avoir complété.

Thomas Roux Directeur délégué de Xerfi-Precepta

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www.precepta.fr

Le spectacle vivant en France Analyse du marché et perspectives à l’horizon 2015, positionnement et stratégies des opérateurs

• La segmentation du marché du spectacle vivant selon plusieurs critères clés (cœur

de métier, degré d’intégration de la filière, domai ne de spécialisation, etc.)

• Les chiffres et statistiques relatifs aux différent s segments (concerts, théâtre, etc.)

• Les grands facteurs de mutation et les enjeux pour les opérateurs du spectacle vivant

• L’analyse du contexte concurrentiel au sein de la f ilière et les perspectives

de croissance du secteur à l’horizon 2015

• L’analyse financière exclusive pour les producteurs et les gestionnaires de salles

La meilleure synthèse pour stimuler la réflexion et préparer les décisions ; 390 pages d’analyses et d’informations, en toute indépendance.

Des entretiens en face à face avec des dirigeants et experts de la profession ont été menés. Ils ont été complétés par l’accès systématique à toutes les bases de données accessibles au sein du groupe Xerfi. Ces travaux de recueil d’informations, d’entretiens en face à face et d’analyse ont nécessité 6 mois d’investigation. Les travaux d’études ont été coordonnés par Thomas Roux, directeur délégué de Xerfi-Precepta.

XERFI-PRECEPTA, STIMULATEUR DE STRATEGIES

Les experts sectoriels de Xerfi-Precepta ont pour vocation d’apporter aux dirigeants d’entreprises des analyses stimulantes pour élaborer leurs décisions. Les études sont réalisées avec la plus grande rigueur professionnelle, une indépendance d’esprit totale, la volonté de clarifier et d’aiguillonner la réflexion stratégique. Xerfi-Precepta a accumulé plus de 20 ans d’expérience dans l’analyse des stratégies d’entreprise et de leur environnement concurrentiel. Son intégration dans le groupe Xerfi en 2004 lui a permis de renforcer ses moyens d’investigation et d’accéder aux meilleures sources de données.

Le groupe Xerfi, leader français des études sur les secteurs et les entreprises, apporte aux décideurs les analyses indispensables pour surveiller l’évolution des marchés et de la concurrence, décrypter les stratégies et les performances des entreprises, en France comme à l’international. Le site xerfi.com met ainsi en ligne le plus vaste catalogue d’études sur les secteurs et les entreprises.

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L’étude de référence : Avril 2011 – 390 pages L’étude la plus complète pour comprendre le secteur du spectacle vivant en France, les enjeux et les perspectives ainsi que le contexte concurrentiel spécifiques à ce marché. Un document exceptionnel qui comprend trois niveaux d’information : 1. une « synthèse exécutive » qui tire tous les enseignements de 6 mois d’enquêtes, d’analyses et d’entretiens avec des dirigeants du secteur ; 2. une analyse et un décryptage des stratégies des opérateurs ; 3. une somme exceptionnelle d’informations quantitatives sur le secteur du spectacle vivant.

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1. LA SYNTHESE EXECUTIVE

Destiné aux décideurs, ce document est volontairement concis, et met en relief les principaux enseignements à tirer de l’étude. Il a été conçu comme un document de travail pour stimuler la réflexion et préparer la prise de décision.

2. LES FONDAMENTAUX DU BUSINESS

2.1. Comprendre le fonctionnement de la filière 2.1.1. Le spectacle vivant en grands chiffres 2.1.2. Les grandes activités du secteur 2.1.3. La structure coûts/recettes d’un concert 2.1.4. Le cadre réglementaire

2.2. Mesurer l’offre française de salles de spectac les 2.2.1. La typologie des infrastructures 2.2.2. Les principaux lieux dédiés aux musiques actuelles / aux

spectacles dramatiques, lyriques et chorégraphiques 2.2.3. La structure coûts/recettes d’une salle de diffusion

2.3. Etablir le champ concurrentiel 2.3.1. La structure du secteur et typologie des opérateurs 2.3.2. Les opérateurs et leurs domaines d’intervention

3. L’ENVIRONNEMENT CONCURRENTIEL ET LES PRINCIPAUX DEFIS DE LA PROFESSION A L’HORIZON 2015

3.1. Analyser l’impact des facteurs structurels et conjoncturels sur le secteur

3.1.1. Mesurer l’impact des pouvoirs publics sur le secteur et intégrer les coupes budgétaires dans son modèle

3.1.2. Composer avec un pouvoir d’achat des Français en berne 3.1.3. Faire face à une consommation des ménages au ralenti 3.1.4. Evaluer les menaces d’arbitrages sur la consommation

de spectacle vivant 3.1.5. Bénéficier d’une offre pléthorique en matière de salles

de spectacles 3.1.6. Profiter de l’engouement des Français pour le « live » 3.1.7. Placer le spectacle vivant au centre de la création artistique 3.1.8. Démultiplier les canaux de distribution via la vente en ligne 3.1.9. Optimiser son CRM 3.1.10. Appuyer la promotion grâce au web aux communautés 3.1.11. A quand un crédit d’impôt dans le spectacle vivant ?

3.2. Evaluer l’évolution des rapports de forces concurrentiels sur le segment de la production

3.2.1. Affronter une concurrence modérée 3.2.2. S’appuyer sur un rapport de force globalement favorable

avec les fournisseurs et les artistes 3.2.3. Profiter de l’abondance des salles de spectacles pour valoriser

son pouvoir de marché 3.2.4. Bénéficier d’une faible menace de la part des nouveaux

entrants 3.2.5. Tirer parti d’une faible menace des substituts

3.3. Anticiper les grands défis et les perspectives de croissance du secteur à l’horizon 2015

3.3.1. Adopter une approche économique suite à la baisse des subventions

3.3.2. Faire face au ralentissement durable de l’économie 3.3.3. Vers une croissance molle d’ici 2015

4. LA SEGMENTATION STRATÉGIQUE ET LES STRATÉGIES DE CROISSANCE

4.1. Elaborer des ensembles stratégiques selon plusieurs critères pertinents

4.1.1. Le cœur de métier 4.1.2. Le domaine de spécialisation dans le spectacle vivant 4.1.3. La politique de développement et le degré d’intégration

4.2. Analyser les stratégies et modes de croissance des producteurs et des gestionnaires de salles

4.2.1. Comprendre la préférence pour la croissance organique dans le secteur

4.2.2. Mesurer le champ d’application de la croissance externe 4.2.3. Quelle place pour la coproduction dans le secteur ? 4.2.4. Le renforcement dans le métier d’origine est plébiscité

par les producteurs… 4.2.5. …et par les gestionnaires de salles

5. L’ANALYSE FINANCIÈRE DU SECTEUR

L’analyse financière a été effectuée à partir d’échantillons exclusifs et représentatifs de producteurs de spectacles vivants et de gestionnaires de salles de spectacles. La période considérée est 2005-2010. Sont ainsi analysées séparément ces 2 catégories d’opérateurs selon plusieurs grands axes :

- L’analyse de la santé financière des acteurs via les principaux ratios d’activité, de performance, de rentabilité et d’endettement ;

- Un bilan et un compte de résultat consolidés représentatifs de chacune des trois activités.

- La comparaison entre les 2 catégories d’opérateurs sur 5 ratios : le chiffre d’affaires, les poids des frais de personnel le CA, le taux d’EBE, le taux de résultat net et le ROE.

6. L’ANALYSE DU MARCHÉ DU SPECTACLE VIVANT

6.1. Cadrer le marché 6.1.1. Le chiffre d’affaires des arts du spectacle vivant 6.1.2. Le chiffre d’affaires de la gestion de salles de spectacles 6.1.3. Le nombre de séances et l’évolution des perceptions

6.2. Analyser les grands chiffres de la diffusion de spectacles de variété / musiques actuelles

6.2.1. Le nombre de représentations et d’entrées 6.2.2. Le montant des recettes et les formes juridiques 6.2.3. Les lieux et les différents types de représentation 6.2.4. La répartition géographique des représentations

6.3. Focus sur les concerts et les tournées 6.3.1. Le nombre de séances et la répartition des revenus

6.4. Focus sur les festivals 6.4.1. Le nombre de spectacles et de spectateurs 6.4.2. Les recettes

6.5. Focus sur le théâtre 6.5.1. Les théâtres nationaux 6.5.2. Les centres dramatiques nationaux et régionaux 6.5.3. Les scènes nationales et les théâtres privés

6.6. Etablir la typologie des spectateurs 6.6.1. Par sexe et par classe d’âge 6.6.2. Par catégorie socioprofessionnelle et par zone géographique

7. LES MONOGRAPHIES

Les monographies présentent près de 25 acteurs opérant dans le secteur en France : activités et positionnement, chiffres clés, faits marquants, axes stratégiques, etc. Le critère de choix est la taille et/ou l’originalité du modèle.

Liste des opérateurs étudiés :

Les acteurs intégrés - Stage Entertainment - Live Nation

Les gestionnaires de salles - Viparis - GL Events

Les majors du disque - Universal Music - Warner Music (JC Camus Productions / Nous Productions) - Sony Music (Arachnée Prod.)

Le producteur multispécialiste - Gilbert Coullier Productions

Les producteurs tendance humour - Juste pour rire - Ki m’aime me suive - 20h40 Productions - JMD Production

Les producteurs / tourneurs tendance musique - Gérard Drouot Production - TS Prod (TS3 / TS4 / TS5) - Alias Production - Caramba Spectacles - Bleu Citron - Azimuth Productions - Double D Productions

Le producteur tendance comédies musicales - Dove Attia / Albert Cohen

Les autres producteurs - Cheyenne Productions - Astérios Spectacles - Boulègue Production

Le producteur communautaire - MyShowMustGoOn

8. LE BILAN ÉCONOMIQUE ET FINANCIER DES ENTREPRISES

Ce bilan présente près de 300 opérateurs du secteur (producteurs, gestionnaires et prestataires de services) selon une batterie de 25 ratios, indicateurs de gestion et de performances (2005-2009, selon les données disponibles) : chiffre d’affaires, variation du CA, marge opérationnelle, rentabilité, endettement, poids des frais de personnel, résultat net, BFR, créances clients, dettes fournisseurs, etc. En 2009, 88% de la totalité des comptes analysés étaient disponibles.

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Informations complémentaires Contact : 01.53.21.81.51

Contact : Frank Benedic e-mail : [email protected]

Tableaux et matrices : la source d’information la p lus complète sur le secteur du spectacle vivant

1. Les fondamentaux du business

T1 Le spectacle vivant en grands chiffres T2 Les 5 grands métiers dans le spectacle vivant T3 Les dépenses et les recettes d’un concert T4 La typologie des salles de spectacles

en France : les principaux lieux dédiés aux musiques actuelles

T5 La typologie des salles de spectacles en France : les principaux lieux dédiés aux spectacles dramatiques / lyriques / chorégraphiques

T6 Les dépenses et les recettes d’une salle de diffusion

T7 Les grands groupes et sociétés présentes dans le spectacle vivant

2. L’environnement concurrentiel et les principaux défis de la profession à l’horizon 2015

T8 L’impact des conditions environnementales agissant sur le secteur

T9 Les conséquences de la baisse des subventions publiques dans le spectacle vivant

T10 Le scénario macro-économique pour la France T11 La croissance française (2001-2015) T12 Le pouvoir d’achat des ménages (2001-2012) T13 La consommation des ménages (2001-2012) T14 Le poids des dépenses de consommation

« non contraintes » dans la consommation totale (1990-2009)

T15 Les arbitrages de consommation « psychologiques et socioculturels » sur les postes de dépenses non contraintes, en période de crise

T16 Les risques d’arbitrage sur les différents postes de consommation à moyen terme : le spectacle vivant semble relativement préservé

T17 Les outils CRM dans le secteur du spectacle vivant

T18 Les attributs de l’outil communautaire dans le spectacle vivant

T19 Le nombre d’internautes et de mobinautes en France (2006-2015)

T20 Définition des forces concurrentielles T21 La concurrence intrasectorielle T22 La menace de nouveaux entrants T23 Les facteurs influant sur les barrières à l’entrée T24 Le chiffre d’affaires des arts du spectacle vivant

en volume et en valeur (1996-2015) T25 Le chiffre d’affaires de la gestion de salles

de spectacles en volume et en valeur (1996-2015)

T26 Stage Entertainment et de Live Nation : des acteurs certes intégrés, mais avec des problématiques sensiblement différentes !

T27 Des stratégies proches de la part des maisons de disques face à des problématiques structurelles identiques

T28 Les différents segments du spectacle vivant en France et leurs spécificités

T29 Les principaux opérateurs du spectacle vivant selon leurs domaines d’intervention

T30 Les principaux opérateurs du spectacle vivant selon leur niveau d’intégration de la filière, leurs volontés stratégique et leurs modalités de croissance

3. La segmentation stratégique et les stratégies de croissance

T31 Stratégies et modes de croissance T32 La croissance organique est préférée

à la croissance externe dans le secteur T33 La croissance externe dans le spectacle vivant :

des avantages, des inconvénients et des conditions précises à respecter

T34 Les producteurs de spectacle vivant axent l’essentiel de leur croissance sur le développement et/ou le renforcement de leur métier d’origine

T35 L’agrandissement et l’aménagement de leurs salles demeurent les principaux leviers de croissance des gestionnaires de salles français

4. L’analyse financière du secteur

T36 Performances économiques et financières dans l’art du spectacle vivant

T37 La structure du bilan type des producteurs

T38 La structure du compte de résultat type des producteurs

T39 Performances économiques et financières dans la gestion de salles de spectacles

T40 La structure du bilan type des gestionnaires T41 La structure du compte de résultat type

des gestionnaires T42 Les structures de coûts entre la production

de spectacle vivant et la gestion de salles varient assez peu !

T43 L’évolution du chiffre d’affaires des arts du spectacle vivant entre 2005 et 2010

T44 L’évolution du chiffre d’affaires de la gestion de salles de spectacles entre 2005 et 2010

T45 L’évolution du poids des frais de personnel dans le chiffre d’affaires entre 2005 et 2010

T46 L’évolution du taux d’EBE entre 2005 et 2010 T47 L’évolution du taux de résultat net entre 2005

et 2010 T48 L’évolution du ROE entre 2005 et 2010

5. L’analyse du marché du spectacle vivant

T49 Le chiffre d’affaires des arts du spectacle vivant en volume et en valeur (1995-2010)

T50 Le chiffre d’affaires de la gestion de salles de spectacles en volume et en valeur (1996-2010)

T51 L’évolution du nombre de séances de spectacle vivant (2003-2009)

T52 L’évolution des perceptions liées au spectacle vivant (2003-2009)

T53 La place du spectacle vivant dans les perceptions globales de la Sacem en 2009

T54 La répartition des droits perçus au sein du spectacle vivant en 2009

T55 L’évolution du nombre de représentations de spectacles de variété / musiques actuelles (2005-2009)

T56 La répartition des représentations selon le type T57 L’évolution du nombre d’entrées dans les

spectacles de variété / musiques actuelles (2005-2009)

T58 La répartition du nombre d’entrées selon le type T59 L’évolution des recettes de billetterie des

spectacles de variété / musiques actuelles (2005-2009)

T60 La répartition des recettes de billetterie selon le type

T61 La répartition des représentations selon le lieu de diffusion

T62 La répartition des recettes de billetterie selon le lieu de diffusion

T63 La répartition des représentations payantes selon la taille du lieu de diffusion

T64 La répartition des entrées déclarées selon la taille du lieu de diffusion

T65 La répartition des représentations par type T66 La répartition des entrées par type T67 La répartition des représentations et des recettes

de billetterie par type en 2009 T68 Le nombre moyen d’entrées (gratuites et

payantes) par représentation T69 Le montant moyen du billet hors taxe par entrée

payante T70 La répartition des représentations et des recettes

et des recettes de billetterie par région T71 La répartition des représentations et des recettes

et des recettes de billetterie par statut T72 La répartition des représentations et des recettes

de billetterie par statut en 2009 T73 L’évolution du nombre de séances de concerts

entre 2003 et 2009 T74 La répartition des droits perçus sur le segment

des concerts T75 L’évolution du nombre de séances de tournées

entre 2003 et 2009 T76 L’évolution du poids des tournées dans les

revenus totaux du spectacle vivant (2003-2009) T77 L’évolution du poids des grosses tournées dans

les revenus totaux du spectacle vivant (2003-2009)

T78 L’évolution du poids des grosses tournées dans les revenus totaux des tournées (2003-2009)

T79 L’évolution du nombre de spectateurs dans les festivals (2004-2009)

T80 L’évolution du nombre de spectacles présentés dans les festivals (2004-2009)

T81 L’évolution des recettes propres dégagées par les festivals (2004-2009)

T82 L’évolution des montants de biens et services achetés aux entreprises locales (2004-2009)

T83 L’activité des théâtres nationaux T84 Les théâtres nationaux : subventions du

Ministère de la Culture et de la Communication T85 L’activité des CDN et CDR T86 La répartition des représentations

et des spectateurs des CDN et CDR au siège T87 Les subventions du Ministère de la Culture

et de la Communication aux CDN et CDR T88 La répartition des subventions de fonctionnement

des CDN et CDR en 2008 T89 L’activité des scènes nationales T90 La répartition des recettes du budget

des 70 scènes nationales en 2008 T91 L’activité des théâtres privés de Paris T92 La fréquentation des spectacles vivants

par sexe, âge, CSP et zone géographique

6. Les monographies

T93 L’évolution du chiffre d’affaires consolidé de Live Nation

T94 L’évolution des marges de Live Nation T95 La répartition du chiffre d’affaires

de Live Nation par division T96 L’évolution du chiffre d’affaires

et du résultat net de Live Nation France T97 Le chiffre d’affaires consolidé

du groupe GL Events T98 Performances du groupe GL Events T99 La répartition du chiffre d'affaires de GL Events

par activité en 2010 T100 Le chiffre d’affaires d’Universal Music Group T101 La répartition du chiffre d’affaires d’UMG

par activité en 2010 T102 La répartition de l’activité musique enregistrée

d’UMG en 2010 T103 Les chiffres clés d’Universal Music France T104 Le chiffre d’affaires consolidé de Warner Music

Group (2005-2010) T105 La répartition du chiffre d’affaires de WMG

par activité en 2009 T106 La répartition du chiffre d’affaires de WMG

par zone géographique en 2009 T107 Les chiffres clés de la société Warner Music

France (2004-2008) T108 Le chiffre d’affaires de la société Sony Music

Entertainment France (2005-2009) T109 L’évolution du chiffre d’affaires de Gilbert Coullier

Productions (2005-2008) T110 L’évolution des marges de Gilbert Coullier

Productions (2005-2008) T111 L’évolution du chiffre d’affaires de Gérard Drouot

Productions (2005-2009) T112 L’évolution des marges de Gérard Drouot

Productions (2005-2009) T113 L’évolution du chiffre d’affaires de TS3

(2002-2006) T114 L’évolution des marges de TS3 (2002-2006) T115 L’évolution du chiffre d’affaires de Caramba

Spectacles (2005-2009) T116 L’évolution des marges de Caramba Spectacles

(2005-2009) T117 L’évolution du chiffre d’affaires de Bleu Citron

Productions (2005-2009) T118 L’évolution des marges de Bleu Citron

Productions (2005-2009) T119 L’évolution du chiffre d’affaires d’Azimuth

Productions (2005-2009) T120 L’évolution des marges d’Azimuth Productions

(2005-2009) T121 L’évolution du chiffre d’affaires de Cheyenne

Productions (2005-2009) T122 L’évolution des marges de Cheyenne

Productions (2005-2009) T123 L’évolution du chiffre d’affaires d’Astérios

Spectacles (2006-2008) T124 L’évolution des marges d’Astérios Spectacles

(2006-2008)

7. Les annexes

T125 1. Les principales aides de l’Etat et des collectivités territoriales

T126 2. Les principales aides des sociétés civiles T127 3. Les principales aides des organismes

professionnels T128 4. Les principales aides européennes

et aux projets ayant une dimension internationale

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Principaux opérateurs analysés ou cités dans l’étud e (*)

Principaux opérateurs, cités ou analysés

dans l’étude (*)

20H40 PRODUCTIONS AEG LIVE ALIAS PRODUCTION ARACHNEE PROD. ASTERIOS SPECTACLES AZIMITH PRODUCTIONS BILLETNET BILLETREDUC BLEU CITRON BOULEGUE PROD. CAFE DE LA GARE CARAMBA SPECTACLES CHEYENNE PROD. COMEDIE DE PARIS COMEDIE FRANCAISE DIGITICK DOUBLE D PROD. ENJOY MONTPELLIER

EUTERPE PROMOTION FIMALAC FNAC FRANCEBILLET FRERES BOUGLIONE GERARD DROUOT PROD. GILBERT COULLIER PRODUCTIONS GL EVENTS HAPPY SHOW INDIGO PRODUCTION JEAN-CLAUDE CAMUS PRODUCTIONS JMD PRODUCTION JUSTE POUR RIRE KI M’AIME ME SUIVE L’ALHAMBRA L’ELYSEE MONTMARTRE L’OLYMPIA LA CIGALE LA FLECHE D’OR

LA MAROQUINERIE LA MARQUISE PROD LE BATACLAN LE CASINO DE PARIS LE DIVAN DU MONDE LE GRAND REX LE LIDO LE LUCERNAIRE FORUM LE MOULIN ROUGE LE PALAIS DES GLACES LE POINT VIRGULE LE PRINTEMPS DE BOURGES LE SENTIER DES HALLES LE THEATRE DE LA PORTE SAINT MARTIN LE THEATRE ED. VII LE THEATRE FONTAINE LE THEATRE NATIONAL DE L’ODEON LE ZENITH DE PARIS LES 3 CHARDONS

LES BOUFFES DU NORD LES EUROKENNES DE BELFORT LES FOLIES BERGERES LES VIEILLES CHARRUES LIVE NATION MARKET PLACE MAUCLAI MYSHOWMUSTGOON NOUS PRODUCTIONS NUITS D'ARTISTES OPERA BASTILLE ORLEANS SPECTACLES PALACIO PLANET LIVE PREMIER RANG SAGA SAUVAGE PRODUCTION SCENIC PRODUCTION SCORE PRODUCTIONS SHORTCUT EVENTS

SONOTEK SONY MUSIC ENTERTAINMENT STAGE ENTERTAINMENT THEATRE DE 10 HEURES THEATRE DE LA MADELEINE THEATRE MOGADOR TICKET ONLINE TICKETNET TS PROD UNIVERSAL MUSIC VEGA WAM PRODUCTIONS WARNER CHAPPELL WARNER MUSIC GROUP

(*) Liste non exhaustive

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BON DE COMMANDE à retourner ou à télécopier :

E-Réf : 1COM13-XC/PTAC PRECEPTA groupe Xerfi 13-15, rue de Calais 75009 Paris

Télécopie : 01.42.81.42.14. Téléphone : 01.53.21.81.51.

Etude commandée :

Le spectacle vivant en France Analyse du marché et perspectives à l’horizon 2015, positionnement et stratégies des opérateurs

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Mode de réception de l’étude commandée : ❏ 1 version papier (envoi par la poste) 2 600 EUR HT 2 743,00 EUR TTC (TVA 5,5%)

❏ 1 version papier (envoi par la poste) + version électronique (fichier pdf) 3 200 EUR HT 3 827,20 EUR TTC (TVA 19,6%)

❏ je souhaite diffuser l’étude au sein de mon entreprise : 1 version papier + 1

version électronique (pdf) avec un droit de rediffusion du fichier pdf à 5 personnes

5 200 EUR HT 6 219,20 EUR TTC (TVA 19,6%)

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