Luxuriant N°2

Véloboulotdodo

& Paul Helminger ‡ Svinkels

‡ JCVD‡ Frank Schleck

‡ Dendemann ‡ Berlin

‡ culture ‡ voyage ‡ mode ‡ clubbing ‡ musique ‡ voiture ‡ interviews ‡ agenda ‡

le magazine gratuit du Luxembourg

j

C’est pas moi, c’est les autres

Pour reprendre les lyrics éclairés du chansonnier Abd al Malik, c’est pas moi, c’est les autres. C’est pas moi le di-manche matin à 8 heures qui me lève pour faire du sport, c’est les autres. Moi à cette heure-ci, le regard hagard et la démarche intelligente, j’essaie de retrouver le chemin de mon home sweet home avec comme bande originale ces satanés boum boum qui trottent encore dans mon cor-tex meurtri. C’est pas moi qui enfourche la petite reine pour avaler des kilomètres de sentiers verdoyants, c’est les autres. Moi j’aurais préféré enfourcher une petite prin-cesse mais Cupidon m’a encore boudé au profit de son cousin Bacchus. Alors comme souvent, c’est pas moi qui prépare le petit déjeuner à ma dulcinée, c’est les autres. Moi ma seule compagne de couche se nomme inlassable-ment Morphée. C’est pas moi qui profite des doux rayons de soleil dominicaux pour faire une balade en Vel’oh dans le Grund, c’est les autres. Moi au pire, j’y traînerai à l’heure de l’apéro en terrasse du Scott, le teint blême, les yeux rou-geâtres, mastiquant mollement un chewing-gum mentholé ultra efficace.

C’est pas moi qui suis amoureux de la pédale, c’est les autres, c’est Frank Schleck, c’est les Terres rouges bikers, c’est Max Charveron, c’est les têtes brûlées de Funbike, c’est les beaux gosses de Choperdome et c’est aussi les ty-pes de Cyclopes, ceux qui ont pignon sur rue avec leur gracieux fixedgear. Moi pendant que tout le monde pédale, j’entre dans la grande roue infernale de la déchéance en backstage avec les Svinkels ou accoudé à un stand de cur-rywurst dans un squat de Berlin. C’est pas moi qui ai une jolie bicyclette à 5000 euros dans mon garage, c’est les autres. Moi j’ai pas de garage et le seul petit vélo que j’ai, c’est dans ma tête, un peu comme mon idole, le grand, l’immense Jean Claude Van Damne. JCVD c’est le long métrage qui remettra en selle les muscles de Bruxelles et ce second opus de Luxuriant, c’est le numéro qui sonnera pour tous l’heure de l’armaguidon.

Sébastien

numéro juillet - août

Double Turbo, Double FunPour surmonter les petites difficultés de la vie, un supplément de puissance est souvent le bienvenu.

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Editorial............................................................................................

Luxorama Olivier Toth.................................................... Ephameron & Havec..................................... Colophon.......................................................... Eve Angeli........................................................

JCVD................................................................. Paul Helminger..............................................

Vélo Frank Schleck................................................. In Vel’oh veritas ........................................... Maxime Charveron........................................ Lowrider Chopperdome.............................. Fixedgear Cyclope......................................... Terres rouges bikers.....................................Trippin Menn, slopestyle............................................

Décibel Les Svinkels..................................................... BB Brunes........................................................ Alex Gopher.................................................... One Republic.................................................. Only wo(MEN).............................................. Dendemann....................................................

Eldoradio..........................................................................................Metropolis Berlin................................................................

Vitrine............................................................................................... Punky B...........................................................

Art.....................................................................................................Tea & Biscuits..................................................................................LFI....................................................................................................La nuit..............................................................................................Zap....................................................................................................Extrabold.........................................................................................

Epicure Spacy................................................................ Mosconi............................................................

Steve’s corner....................................................................................Blabla...............................................................................................Hangover..........................................................................................

Agenda Neighbourhood............................................. Cinéma............................................................. Agenda.............................................................

Horoscope.........................................................................................

Editeur Responsable.....................................................Luxuriant SARL42 Rue de HollerichL-1740Luxembourg

Tirage.....................................................20 000 exemplaires

Impression.....................................................Qatena18 zone d’activités am BannL- 3372Leudelange

Directrice Artistique.....................................................Alice Litscher

Fashion & Lifestyle Editor.....................................................Pascal Monfort

Marketing / Advertising.....................................................Céline KremerMathieu KauffmanArnaud Decker

.....................................................Luxuriant magazine42 Rue de HollerichL-1740, LuxembourgT + 352 27 48 95 21F + 352 27 48 95 [email protected]

Rédaction.....................................................Ben AndrewsStephen LoweSteve KugenerFraenz SchintgenChristian PearsonAntoine WeberThomas DeckerChristine DelvauxLes DucsLiberty DucarmeSamuel CisamoloLaurent BravettiCaroline PuertaGéraldine GriseySébastien VécrinLéa RevonChristophe HanesseRégis KuckaertzTeddy Cepin Didier DamianiJoanne Goebbels

Photographes .....................................................Claude FolschetteClaude PiscitelliFraenz Schintgen

Illustrations.....................................................MinisushiGeorges Gilles Uzan

Parutions.....................................................11 numéros par an

Abonnement et publicité.....................................................info@luxuriant.lu

Vos remarques et suggestions sont toujours les bienvenues : [email protected]

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Grand manitou des hautes terres de Belval, Oli-vier Toth tire depuis trois années les ficelles de la plus grande salle de musique amplifiée du pays. Le directeur de la Rockhal et son staff font souf-fler un vent de renouveau sur le paysage musical luxembourgeois et c’est tant mieux pour nous autres, adeptes des beats tonitruants et des riffs de guitares cinglants.

Un passionné doublé d’un bosseur qui est toujours à la recher-che de la perfection, même si celle-ci est difficilement aborda-ble.

Bien sûr.

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Après une longue période d’acalmie LDC était rentré en studio pour enregistrer un nouvel album et nous sommes actuellement en train de travailler sur la mise en live sous un nouveau nom.

Un concept fou qui rend hommage en 3 étapes à la musique electro. De midi jusqu’à 22 heures des workshops sur le dee-jaying, le live, les labels. Ensuite grosse soirée sur quatre scè-nes avec un line-up détonant. Enfin le matin à 10 heures, une prestation live plutôt extravagante lors d’un electro-brunch au Rockhalicious.

Absolument et la cuisine de Damien Klein s’inscrit parfaite-ment dans la philosophie de la Rockhal : rock’n roll, surpre-nante, inventive et délicieusement nouvelle.

La Rockhal essaie, parallèlement à la programmation du Main Hall, de se revendiquer aussi défricheur de talents et de faire découvrir des groupes qui s’éloignent des radios mainstream et des clubs conventionnels. C’est justement ici qu’interviennent notamment nos bookers.

Le line-up des 24 heures électroniques et pour l’Automne Si-gur Ros, CSS, M83, Crystal Castles et IAMX, Girls in Hawaii, Empyr, Dub Inc, Porcupine Tree, Les Shades, Tito and Ta-rantula, Jamie Lidell et, en ouverture de saison, deux gros concerts déjà sold out de REM et Queen.

La Rockhal avec son Centre de ressources vient d’éditer un CD promo intitulé Luxembourg’s Finest Vol.1, qui regroupe les meilleures formations live du Grand Duché susceptibles de s’exporter dans les festivals et les salles de concert du globe. Support your local hero ! †

Sébastien

Olivier Toth

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Big up au crew Extrabold pour avoir invité Ephameron et Havec à s’exprimer le long de leurs murs immaculés. Durant toute la période estivale, vous pourrez vous délecter des œuvres des deux artistes qui dynamitent joyeusement la géographie de la galerie-shop de l’avenue de la Liberté. Au programme, la sensibilité fragile de la douce Ephameron copule avec les délires loufoques du déjanté Havec. Synopsis du remake de la petite maison dans la prairie par Tim Bur-ton !

H : Un truc au hasard pondu dans l’urgence, histoire d’avoir une identification pour ma page sur fotolog.com.E : Un mélange d’éphémère en anglais et d’Eva, mon prénom que j’ai trouvé lors de mon projet de fin d’année aux Beaux arts.

E : Oui effectivement nous sommes en couple même si Havec habite à Bordeaux et moi à Anvers. Nous explorons la magie de l’amour à distance.H : C’est grâce à Extrabold que nous faisons notre première exposition ensemble. C’est rigolo de mélanger nos deux styles.

H : À fond, j’ai un style de sale gosse, plus rigolo, plus trash, plus absurde et plus sexuel aussi.E : Moi ce sont les choses qui me touchent et le côté romanti-que qui agissent sur ma sensibilité.

H : Par exemple chez Extrabold, Eva a dessiné naturellement des mains alors que j’ai commencé à peindre instinctivement des bestioles (sourire).

H: Pas du tout, je suis graphiste à côté en ¾ temps. C’est uni-quement une passion pour moi et de toute façon je ne cours pas après le fric.E : J’essaie d’en vivre mais c’est super dur. Pour le moment je m’accroche et je ne lâche pas l’affaire même si le loyer tombe chaque mois.

E : Je l’ai fait en Belgique quand j’avais 16 ans mais la rue est trop agressive par rapport à mon style.H : Pour me faire sortir il faut un barbecue, du soleil, une par-tie de pétanque, des potes, alors tu vois, ce n’est pas gagné. En plus je n’aime pas la bombe comme outil de travail.

E : J’habite à Anvers et tout le monde se déplace en vélo. C’est mon moyen de locomotion de prédilection.H : Vite fait, d’un bar à un autre…

E : Journaliste pour le magazine d’art contemporain européen Modart?H : Epicurien à plein temps.

H : La moitié de mon salaire passe dans les disques. Mon ami possède un des derniers disquaires encore en vie sur cette planète. Chaque mois il me concocte une pile de skeuds pour que je fasse tranquillement mon marché. En ce moment je suis branché par le trip rock 90’s.E : Quand je travaille, la musique n’apparaît jamais en premier plan, même si j’aime bien écouter un peu de hip hop, de folk et d’electro.

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E : L’amour, la famille, les balades…H : Le web, les potes, les discussions de comptoir, Myspace. †

Sébastien

Ephameron& Havec

« J’ai un style de sale gosse »


La création du colloque Colophon 2007 – Inter-national Magazine Symposium qui s’est déroulé avec succès au Casino Luxembourg – Forum d’art contemporain en mars 2007 a incité les commis-saires à reconduire la seconde édition de cette initiative à Luxembourg en 2009. Cette initiative novatrice unique en son genre à l’échelle natio-nale et internationale est l’occasion de célébrer l’excellence, l’innovation et l’expérimentation du secteur de niche que sont les magazines indépen-dants.

Le colloque (du 13 au 15 mars 2009) favorisera la rencontre et l’échange entre de nombreux acteurs de l’industrie de la presse magazine indépendante internationale et des industries créati-ves, telles que le théoricien américain de l’urbanisme Richard Florida les définit. En 2007, l’événement avait attiré un public international, plus de 1.000 participants venant de 25 pays dif-férents (Europe, Afrique du Sud, Amérique du Sud, Australie, Etats-Unis, Russie) et la participation de nombreux magazines indépendants du monde entier.

Experts mondiaux, éditeurs, créatifs (photographes, illustra-teurs, graphistes, directeurs artistiques), journalistes, consul-tants (communication, diffusion), industriels (impression, pré-presse, logistique), étudiants (journalisme, marketing, pho-tographie, illustration, graphisme), collectionneurs et lecteurs passionnés font partie de ces Magazine Makers. L’ambition de la seconde édition en 2009 est de positionner la niche des ma-gazines indépendants à Luxembourg et d’impliquer au maxi-mum tous les acteurs sociaux, économiques et culturels du pays et de sa capitale.

Des problématiques inhérentes à la culture des magazines tel-les que les limites de la définition du magazine indépendant aujourd’hui, son aptitude à repousser les frontières connues sont dores et déjà développées en 2008. Le magazine d’artiste ou encore le concept de « magazine objet » (ex. : Aspen, Visio-naire, This is not a Magazine) sont explorés lors de conférences et d’expositions cette année à Vienne et à Milan. «The very best magazines are really just like boxes, stuffed with surprises and ideas, clever design and thought-provoking content. The very best boxes are magazines as well » (Andrew Losowsky, lors de l’exposition Objects as Magazines, Artbook, Milan, mai 2008).

Avec des actions conçues à l’instar de véritables expositions d’art, projections tridimensionnelles, installations dans l’es-pace et de lounges, lieux de découvertes de nouveaux mondes (Magazine Lounge au sein de Dysfashional, Mudac, Lausanne; Exposition au 8 Festival for Fashion and Photography, Vienne, mars-juin 2008), Colophon continue l’exploration de ces terri-toires en préparation de l’édition 2009. Ces actions confirment aussi l’engagement de Colophon envers la connaissance et la visibilité des magazines et d’éditeurs indépendants ainsi que la création d’un des répertoires les plus complets au monde : la publication We Love Magazines. †

Didier Damiani, Colophon 2009, project manager...............................................................................................................

Colophon 2009 – International Magazine Symposium, du 13 au 15 mars 2009 à Luxembourg.

Curators : Jeremy Leslie, Andrew Losowsky, Mike Koedinger. Produit par Mike Koedinger en collaboration

avec le Casino Luxembourg–Forum d’art contemporain. + d’infos : Tel.: +352 29 66 18-27, www.colophon2009.com

Colophon 2009International Magazine

Symposium


Impensable de manquer Eve Angeli de passage chez nous pour l’inauguration du nouveau cen-tre de coiffure et d’esthétique Rocha. La belle m’a conviée à prendre un dessert avec elle à la Brasserie Mansfeld. Magnéto Eve!

Effectivement et désormais c’est mon mari qui m’autoproduit et cultive mon côté People pour les médias.

Je me moque de ce que pense l’élite parisienne. Je suis naïve et j’en suis consciente. Ils jugent mon image mais ne voient pas le jeu !

Même si j’ai eu très peur au début suite à mes passages dans La ferme ou La vraie vie d’Ève Angeli, j’ai très vite été rassurée par les messages laissés sur les différents blogs de mes fans. Ils ont réussi à voir au-delà de la caricature et je me sens beaucoup plus proches d’eux.

Je protège ma vie privée même si l’émission La vraie vie d’Eve Angeli prouve le contraire. J’ai dû me mettre à nu pendant 3 se-maines non-stop de tournage. Cependant, la plupart du temps, je n’aime pas trop sortir, alors nous vivons un peu en autarcie avec mon mari et mes animaux dans le sud de la France, loin, très loin du reste...

C’était prévu dans le contrat et je n’ai eu aucun droit de re-gard sur ce qui a été diffusé. C’était un gros risque mais je m’assume.

Je suis marraine de la nouvelle campagne nationale d’adop-tion de la SPA et à la rentrée mon nouvel album « Révolu-tion » sortira en partenariat avec la Maison de la presse dans 20 000 points de vente. †

Liberty

Ève Angeli

« Trop de personnes jugent l’image mais ne voient pas le Jeu. »


Le pitch de JCVD : un homme entre dans une banque et se retrouve victime d’une prise d’ota-ge. Voici comment se déroulerait l’action dans un film normal de Van Damme : pris en otage dans une banque aux confins de l’Europe occiden-tale, un homme que l’on pensait normal s’avère être un Kickboxer ! Mi Replicant, mi Universal Soldier récemment échappé d’un Piège à Hong-Kong parce qu’il a perdu son dernier Grand Tournoi où il s’était inscrit sous le pseudonyme du Légionnaire. Cet humanoïde réussira à sauver les prisonniers en utilisant toutes ses techniques de Full Contact, avec grandes pétarades et explo-sions en fond sonore of course ! Vous aimiez Jean-Claude Van Damme le karatéka, vous allez adorer JCVD! Vous n’aimiez que ses interviews, vous allez enfin apprécier l’acteur !

Déjà culte !

Mabrouk, le réalisateur, me l’a proposé au bon moment, à l’ins-tant où j’arrivais à un carrefour de ma vie et je remettais en cause beaucoup de choses.

Des passages très difficiles de ma vie sont remontés en surface et ça m’a beaucoup aidé. L’histoire, le scénario, les plans filmés se rapprochent complètement de la réalité. Mabrouk s’est servi de nos discussions, de ma vision de la vie et de ma bipolarité.

Il s’agit de ce qui existe dans chacun de nous, le corps et le Mind Thinking ! Mabrouk a vu au-delà des muscles de Bruxel-les, de ce que la presse a pu dire de moi et des films que j’avais pu faire jusque-là.

Mabrouk m’a totalement cerné. Nous avons travaillé comme des forcenés ensemble avec le scénariste Ringo Lam pour réus-sir à sortir ce qu’il y avait en moi. Il a fallu beaucoup d’amour mais cela m’a permis de reprendre confiance en myself.

Pour m’aider à me dévoiler et à jouer mon propre rôle devant les caméras, l’équipe a bâti un climat de confiance grâce auquel j’ai pu m’exposer et me mettre à nu. Mabrouk a ainsi essayé de mettre en image mon insécurité. Ce long métrage est le résultat de la collaboration totale entre un homme et un réalisateur qui l’a compris.

JCVD

Jean-Claude a une pensée visuelle


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C’est de la totale improvisation. Mabrouk a une mind construi-te, Jean-Claude a une pensée visuelle, le temps passé ensemble en pré-production lui a donné l’idée de ce monologue. Il m’a donné la possibilité de cracher mon venin.

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Un choc ! J’ai dû prendre mes distances pour pouvoir le regar-der mais cela m’a rapproché de moi-même. Ensuite ma guéri-son est arrivée et j’ai recousu les plaies ouvertes que j’avais en moi.

Nous avons organisé une projection en toute intimité. Il y a eu de très fortes réactions, beaucoup d’émotions et des critiques (positives) inattendues. Ma mère est vraiment très fière que l’on montre enfin son fils sous un jour nouveau après toutes les at-taques qu’elle a vues ou lues dans les tabloïds.

Hollywood c’est le show et l’entertainment. Je ne sais pas si les américains auraient pu mais une société de production indé-pendante a acheté les droits, nous avons déjà fait le doublage en anglais et nous espérons que JCVD sortira dans plusieurs salles américaines. Nous allons le présenter dans quelques festivals au Canada et aux States.

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Je ne peux pas encore dire si le public sera différent. Mabrouk espère que le film rassemblera les deux publics. Mais que mes anciens fans se rassurent, on s’est promis tous les deux de se revoir pour un film d’action à l’ancienne !

Tout ce que j’ai dit est à l’image de ma Life, de mon âme. S’il n’y avait pas eu tout cela il n’y aurait pas eu de film aujourd’hui. Ce film a été créé grâce au destin de la vie ! †

Liberty


La Place Guillaume II, les deux lions majestueux de l’Hôtel de Ville et un rendez vous en gran-des pompes pour m’entretenir des choses de la Cité avec mon hôte, Monsieur Paul Helminger, bourgmestre de Luxembourg ville. Son cabinet lumineux est orné de peintures figuratives très colorées qui concèdent une atmosphère contem-poraine à la pièce.

J’ai l’habitude de mettre cette pièce au service des galeries de la ville et je suis très heureux d’y exposer les œuvres de Ro-land Schauls, auteur de « Portrait Society » visible à l’Abbaye de Neumünster.

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Ces deux dernières années, énormément d’efforts ont été faits dans la redéfinition de l’image de la ville. Le processus a été amorcé par la consultation des nombreux acteurs sociaux pour savoir selon eux, quels sont les atouts majeurs de notre ville… Les points positifs les plus souvent cités sont une stabilité poli-tique, une économie forte mais surtout un caractère cosmopo-lite quasi unique en Europe sur une superficie si petite. Nous approchons du but, nous avons jusqu’ici forgé les outils pour l’atteindre.

Paul Helminger


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Nous avons renforcé dernièrement notre équipe de communi-cation. Et l’année dernière, par exemple, nous avons eu deux gros titres dans la presse étrangère « Le Monde » et « Le Fi-garo ». On doit apprendre à cultiver nos rapports avec la presse internationale. Il faut que l’on arrive à faire notre propre mar-que.Lux.

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Nous vivons sur un petit bout de territoire qui permet de faire des échappées très facilement. C’est un ferment d’activités et un vivier de richesses culturelles et historiques… En d’autres termes, je dirais que nous sommes la plus petite et la plus hu-maine des vraies métropoles.

Il est multiculturel et multicolore. Nous avons dépassé nos vieux réflexes conservateurs (ndrl : «Nous voulons rester ce que nous sommes »). Et devons communiquer à l’extérieur de nos frontières ce nouveau message.

De nombreuses manifestations se déroulaient dans d’autres villes de la Grande Région, telles que Metz, Thionville, Arlon ou encore Strasbourg. Le fait de travailler ensemble a donné le coup d’envoi à une nouvelle collaboration transfrontalière. Nous avons également misé beaucoup sur des programmes pour jeunes de très bonne qualité avec la coopération de nou-veaux acteurs sociaux (La Rotonde, les soufflantes à Belval) et cela a drainé une nouvelle génération de public pour les futu-res manifestations culturelles. Nous avons gagné en quantité, en qualité et en richesse.

Au vu de l’enthousiasme pour La Rotonde, nous avons mis en route des travaux de réhabilitation et d’assainissement afin de moderniser les structures. Nous prévoyons également le recou-vrement de certaines voies de chemin de fer afin de lancer le Carré Rotonde ! Dès la fin de l’été il y a une série d’évènement organisés aux Soufflantes à Belval, parmi eux, le 15 septembre aura lieu le Festival danse et industrie.

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Avec plus de 2000 abonnés et des utilisations journalières par vélo de 3, nous considérons évidemment que c’est un succès. Et ce, malgré la météo facétieuse du début de printemps (rires). C’est beaucoup plus que dans la plupart des villes françaises de même typologie. Nous avons réussi à donner un coup de fouet à l’utilisation d’un nouveau moyen de déplacement !

Je suis déjà piéton la majorité de la semaine, grâce aux Vél-oh je réduis mes temps de déplacement.

Grâce au premier bilan trimestriel sur l’utilisation des Vél-oh, nous avons décidé d’en perfectionner la logistique en augmen-tant les bornes et en amorçant l’extension géographique de la zone Vél-oh. Pour la mobilité globale, deux grands projets sont déjà votés, l’aménagement d’un pont pour les piétons et les cyclistes entre Cents et le Kirchberg ainsi que la construction d’un deuxième ascenseur entre Pfaffenthal et la ville haute. Cela augmentera spectaculairement les facilités de liaison entre les différents points de la ville et permet d’éviter les problèmes topographiques.

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Je dirais qu’il y a deux grands pôles sur lesquels je peux m’ap-puyer quotidiennement. D’une part, j’ai autour de moi une équipe de collaborateurs (à tous les niveaux que ce soit) qui font preuve d’un véritable engagement envers la ville et ses citoyens. Et d’autre part, chaque semaine sont organisées des séances d’une heure (tous les mardis entre 8.00 et 9.00) aux-quelles chaque résident peut venir sans rendez-vous et discuter en direct avec mon équipe et moi-même des problèmes qu’il rencontre. †

Liberty

« Luxembourg est la plus petite et la plus humaine des vraies Métropoles »


Comment réaliser un numéro spécial Vélo sans rendre hommage au coureur qui défendra nos couleurs aux Jeux Olympiques de Pékin et qui nous l’espérons tous, sabrera le champagne sur le podium du Tour de France. Entretien avec Frank Schleck, le chouchou parmi les favoris du public grand-ducal.

Un coureur cycliste luxembourgeois, né le 1980 à Luxembourg ville. Je fais partie de l’équipe Team CSC. Je roule avec mon jeune frère Andy.

J’appartiens à une famille passionnée par le cyclisme profes-sionnel. Mon père, Johnny, était le coéquipier de Jean-Marie Leblanc, Luis Ocana et de Jan Janssen et compte 7 partici-pations au Tour de France de 1965 à 1973. Mon jeune frère, Andy appartient à la même équipe que moi et notre papa nous accompagne souvent sur les courses.

Oh que oui, à 22 ans, il a confirmé les attentes placées en lui en réussissant l’exploit de finir second du Tour d’Italie 2007 à 1’55 de Danilo Di Luca et de finir meilleur jeune. Cela faisait 46 ans qu´un Luxembourgeois n’avait pas fini sur le podium d’un Grand Tour.

C’est super flatteur d’être comparé à Charly Gaul, le dernier vainqueur luxembourgeois du Tour du France en 1958. Cepen-dant, avec mon frère, nous restons nous-mêmes et nous gar-dons notre propre personnalité en espérant quand même avoir un palmarès aussi glorieux que celui de Charly Gaul.

Nous faisons partie de la même team donc nous développons un vrai esprit d’équipe. Nous travaillons ensemble, nous nous entraînons ensemble et nous nous soutenons mutuellement dans le peloton. L’ambiance est vraiment superbe.

La CSC est une équipe performante avec des sponsors sym-pas et Bjarne Riis comme entraîneur, un des gagnants d’une édition du tour de France. Nous sommes très bien encadrés et nous remercions aussi nos sponsors, le public et nos fans pour leur soutien.

Notre équipe CSC était l’année dernière la seule à avoir obtenu le passeport biologique, donc pas de dopage chez nous ni de tricherie possible. Nous passons beaucoup de tests afin d’être le plus transparent possible.

J’espère être en grande forme pour cette édition 2008. En 2006 j’étais 9ème, 17ème en 2007 et je vais essayer de m’imposer dans les 10 premiers cette année.

J’étais super ému lorsque le Premier ministre Jean-Claude Juncker, le Vice-Premier ministre Jean Asselborn et le ministre des Sports Jeannot Krecké m’avaient adressé un message de fé-licitations en me disant « bravo, le pays est fier de vous ». C’était lorsque j’avais remporté la 15ème étape du Tour de France, Gap - L’Alpe d’Huez en 2006. Un très beau souvenir. †.

SébastienCrédit photos «Karin / Fanclub»

Frank Schleck


Promenade dominicale dans les rues de Luxem-bourg ville. Une promenade pas comme les autres, tout d’abord parce que ce dimanche c’est la fête nationale, ensuite, parce que cette balade, on a décidé de la faire en vélo, euh pardon, en Vel’oh!.

Cela fait déjà 3 mois que le petit frère du vélib parisien a trouvé sa place dans notre capitale. Trois mois et un premier bilan plus que positif. François Bausch, maire adjoint de Luxembourg et responsable de la mobilité ne cache pas sa joie : « Nous sommes étonnés par l’ampleur du succès ! Il y a déjà plus de 2000 abon-nés annuels, en moyenne les vélos sont utilisés 400 fois par jour avec un total de 36 000 locations depuis le début».

Ce passionné de cyclisme part en croisade : « Les gens ont sys-tématiquement le réflexe voiture. Je rêve d’une chose : que les citoyens découvrent que la mobilité ce n’est pas seulement la voiture, qu’ils se posent la question, chaque matin, du mode de transport à utiliser en fonction de leur besoin, que ce soit la voiture, le bus, le vélo ou même à pied » .

Comme à Paris, l’exploitant du système Vél’oh! est le français JCDecaux, leader mondial du mobilier urbain. En concurrence directe avec Clear Channel, JCDecaux a gagné l’appel d’offre lancé par la ville de Luxembourg. Résultat : JCD s’est engagé à installer 20 stations et 200 Vel’oh!, en contrepartie la mu-nicipalité lui attribue 50 panneaux publicitaires en ville. Ca se passe comme ça... Aujourd’hui c’est JCD qui gère tout le système, entretient et répare les vélos.

17 h, station Vél’oh! de Paraïser Platz.Notre toute première fois... On choisit un abonnement courte durée, valable 7 jours pour 1 (la première demi-heure est gratuite, si vous la dépassez cela vous coûtera 1 de l’heure). Mode d’emploi très simple car à peine deux minutes plus tard

on se tape déjà la bourre, direction... peu importe on verra bien. Vingt cinq stations et 250 Vél’oh! dans la ville, on part en chasse. On gère plutôt pas mal les 22 kilos de la bête, par contre au niveau des 3 vitesses, ça reste du grand public, nos cuisses d’athlètes restent un peu sur leur faim... Aujourd’hui c’est jour de fête, nous avons donc mis nos plus beaux habits. Almuneda, croisée du côté de Theater Platz a choisi le cycliste bien moulant et le maillot anti-transpi : « Ca reste un usage sportif, lorsque je croise une fille en tailleur sur un Vél’oh! ça me fait rigoler «. Ok, ok, c’est un point de vue. Nous on trouve ça plutôt chouette les tailleurs !

Les stations sont assez bien implantées dans la ville, d’ailleurs pour aider les cyclistes, sur chacune d’entre elles est indiquée la station la plus proche ainsi que le nombre de vélos ou de places disponibles. Il est maintenant 19h passées et la foule converge vers l’hyper centre, nous, on slalome au milieu. On peut désormais affirmer que la bête est domptée. Arrivés à Gëlle Fra, l’une des stations les plus fréquentées du centre-ville, nous rencontrons Jon et Jill (la boss de Sidaction Luxembourg) qui découvrent le système pour la première fois. Séduits par le côté pratique - pour descendre de Bel Air- ils nous rappellent tout de même que le Vel’oh! «is not a racing bike» ! Mais nous on aime ça, la vitesse. Le couple anglais prend la pose et nous voilà repartis de plus belle dans les rues. Mon adversaire gagne du terrain...

C’est en 2005 que la municipalité a décidé de redonner une culture cycliste à la ville. Son but : faire que, d’ici 2015, 10% des déplacements en ville se fassent en vélo, pas uniquement en Vél’oh. «Cela a marché à Lyon ! Beaucoup de gens qui ont essayé le VéloV (le vélo en libre service lyonnais) ont désormais ressorti leur propre bicyclette du garage ! » s’enthousiasme François Bausch. Le respect du code de la route chez les cy-clistes est un facteur essentiel mais il faut aussi apprendre aux automobilistes que le cycliste doit avoir sa place dans les rues, il faut le respecter, faire attention à lui. La voilà la finalité : Le vélo pour calmer la circulation en ville.

IN VEL’OH! VERITAS

François Bausch-Station Knuedler


Trois mois à peine et le Vél’oh! est déjà victime de son succès. Aujourd’hui, 25 stations c’est trop peu, le système arrive à sa-turation. Ainsi d’ici septembre-octobre, 10 stations vont être ajoutées comme, par exemple, à Merl, Bel Air, rue de Holle-rich ainsi qu’au Kirchberg. La ville va également installer des bornettes supplémentaires sur les stations les plus fréquentées, et les utilisateurs approchant une station pleine recevront 15 minutes de temps supplémentaire sur leur carte.Plus de vélos donc plus de pistes cyclables. A l’horizon 2012, tous les quartiers de la ville seront reliés.

On ne peut écrire pour Luxuriant, s’intéresser au Vél’oh! et ne pas aborder la question du style. Ludovic, jeune garçon de 21 ans l’a essayé une seule fois : «Ok c’est pratique, mais bon....c’est quand même un peu moche, non? et puis c’est pas très masculin!» Alors on se tourne vers les filles : «J’aime bien la couleur, par rapport aux Vélibs parisiens on les repère de loin» précise Claire rencontrée près de la Rocade. N’oublions pas le petit panier qui, s’il n’est pas la partie la plus virile de notre destrier, nous rend de grands services.

La nuit à peine tombée, et comme chaque année, c’est l’ensem-ble des citoyens luxembourgeois qui vient célébrer la fête na-tionale. Il devient de plus en plus difficile de circuler. «Bonjour mesdemoiselles, on peut vous prendre en photo sur le Vél’oh ? oui oui toutes les trois ce sera super !». Assis sur la selle, nous profitons, tous ensemble, du feu d’artifice en sirotant un avant-dernier verre... †

Christophe Hanesse

Federico et Elise-Station Theater plaz

Ludovic et Frank-Station Gëlle Fra

Kids-Station Paraïser plaz

Jill et Jon-Station Gëlle Fra


Name Maxime Charveron, age 17, Hometown Brignais near Lyon, Sponsors Mirraco, Nike6.0, Teamloc and his Job is BMX pro rider. He just won the first round of the FISE Experience contest series and he’s planning to go to the USA in the next couple of weeks. It’s time for Ameri-can riders to know how fat French touch is! The 17 year old Frenchman rides awesome and origi-nally, big with new tricks. Interview with a star!

No idea, I live in a little village!!

Max! Easy!

To do aggressive tricks with a smooth style.

Yes, because you ride with your friends so it’s a challenge to be more and more creative and that motivates you and opens your mind.

No I don’t train I RIDE!

Both!!! I like to ride everything!

Jokes and plays with my girlfriend but I always think about riding.

I don’t really have a competitive spirit but I like to travel and meet new riders, a contest is more about challenging myself.

None, we have no fines in France!!!!

Euh, I won’t write anything because I recently got in some trouble with the police about tags!!! And the fines was expen-sive…

Nelly Furtado, lol.

Cool but I spend most of time in Lyon.

She’s the best, she is very strong to take care and support me!!!

New cultures.

Garrett Reynolds.

Continue have some fun and live.

In and out! Lol.

Lack of humour.

The bad vibes between riders.

Fast foodBikesPartiesCoca colaDiet coke!!! †

Pascal Monfort

Maxime Charveron

“I recently got in some trouble with the police.”

VA N S

JN

NY RAM

VA N S

JOHN

NY RAMONE


Qu’avez vous ressenti le jour où vos parents vous ont offert votre premier vélo? Votre premier vélo, le plus beau du monde, le seul, l’unique ! Une sen-sation que vous n’avez jamais retrouvée depuis, même après avoir acheté le dernier Cannondale, qui pourtant vous a coûté un bras... Alors, prêt à renouveler l’expérience? Nous avons LA solution : le lowrider ! Des courbes parfaites, un style à tomber, des chromes en veux-tu en voilà, et votre plus beau vélo renaît de ses cendres...Pour mieux cerner le phénomène, nous sommes allés à Gent, en Belgique, à la rencontre de Frank Rubben, le boss de Chopperdome, la Mecque du lowrider.

Il y a environ 15 ans, et il y a 6 ans j’ai commencé à bosser des-sus, les retaper et surtout customiser les vélos d’occasion.

Les lowriders sont apparus dans les années 60, aux Etats-Unis. Tout a commencé grâce à George Barris, le roi du custom auto-mobile. Les jeunes qui n’avaient ni l’âge, ni l’argent pour avoir une voiture, ont copié son travail sur leurs vélos. Schwinn est la première marque à avoir lancé un vélo de ce type : le Sting Ray. Et depuis ce jour les vélos ne sont plus uniquement un mode de transport, ils deviennent fun.Résultat : ces 9 dernières années les ventes ont explosé !

Au vélo de tes rêves ! Un vélo avec lequel tout est permis. En fait on peut même partir d’un cadre classique, de vtt par exem-ple, et se lâcher complètement pour arriver à des choses in-croyables !!! Un peu d’imagination, beaucoup de chromes, et boum !

On a souvent associé le mouvement aux rappeurs californiens, short baggy, Nike, débardeur, tatouages...Mais aujourd’hui le mouvement s’est étendu et on peut croiser n’importe qui avec n’importe quel look sur un lowrider. C’est devenu un véritable mix de culture !

En ce moment je roule un Basman de chez Project 346. Ce vélo est terrible, on peut le customiser dans tous les sens, et surtout, à rouler... c’est le paradis !!!

Un simple Electra cruiser ça démarre à 250 , mais j’ai pas mal de perles dont les prix vont de 1500 à 3800 .

La plupart le sont, oui. Mais pour garder un bon rapport quali-té-prix elles sont tout de même obligées de faire construire les vélos à Taiwan.

On trouve de tout !!! Crois-moi, cela va du jeune skater au gros balaise tatoué, il m’arrive même de croiser des goths en cruiser !!!

Certes on parle hip hop en Californie, NWA, Cypress Hill, Boo Ya Tribe, Delinquent Habits pour la connotation bien latino, au niveau métal un bon «Rollin» de Limp Bizquit, «Born to be wild « de Steppenwolf pour les plus nostalgiques, en ce qui concerne les goths je te laisse chercher...

Oh que oui, et chaque année s’en créent de nouveaux, il te suffit de jeter un oeil au site des Chopaderos (www.chopaderos.com)

Celle des Hell’s Angels me va bien mais la mienne ce serait plutôt : «because walking sucks». †

Christophe HanesseIllustration : Minisushi

LowriderChopperdome

“Because walking sucks.”

D é co uvrez

la nouvelle Opel Tigra TwinTop Linea Nera.

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l.lu

Dissimulez vos secrets. Dévoilez votre âme.Soyez inspiré par la passionnante nouvelle Opel Tigra TwinTop Linea Nera équipée de jantes en alliage bicolore et proposée dans des couleurs très élégantes. Dévoilez la séduction des cuirs charbon ou protégez-vous des regards envieux en fermant son toit magique, un hardtop recouvert d’une toile bordeaux offrant le look caractéristique des capotes souples. Dans un cas comme dans l’autre, vous découvrirez une convertible assortie à votre style de vie.

Consommation moyenne (L/100 km) / Émissions CO2 (g/km) : 7,5-4,6 / 124-179

AUTOPOLISZone d’activités Bourmicht - 8070 Bertrange - Tel. 43 96 96 2100

MOTOR CENTER DIEKIRCH - Route de Larochette 24 - 9524 Diekirch - Tel. 80 31 81 GARAGE J.P. RIES - Route d’Arlon 24 - 8210 Mamer - Tel. 31 85 63 GARAGE REITER-HOSINGEN - Op Der Hei 6 - 9809 Hosingen - Tel. 92 13 09 GARAGE SCHUMMER FRÈRES - Rue d’Ettelbrück - 7590 Beringen - Tel. 32 03 29 GARAGE MACK - Rue de la Gare 65 - 6440 Echternach - Tel. 72 82 32 GARAGE LUTGEN - Route de Winseler 10 - 9577 Wiltz - Tel. 95 74 83

GARAGE KAUFMANNRoute de Luxembourg 240 - 3515 Dudelange - Tel. 51 82 82

GARAGE WERNER ESCHRue du Brill 28 - 3898 Foetz - Tel. 55 20 30-1

LUX-GARAGE - Route de Tetange 70 B - 3672 Kayl - Tel. 56 76 80


Rencontre avec le team du shop Cyclope, l’unique point de vente et de ralliement des adeptes du fixedgear de Panam. Aujourd’hui les branchés, les coursiers et les pistards roulent main dans la main et revendiquent haut et fort leur amour du pignon fixe.

Un vélo avec un pignon fixe.

Le vélo est ultra léger et épuré. Tu n’as ni freins, ni dérailleur, ni vitesses. C’est du brut.

Une éjaculation immédiate due au fait que tu fais entièrement corps avec ta machine.

Le fixedgear nécessite un peu de practice et de dextérité car tu pédales vite et tout le temps.

Malheureusement si et pour se faire tu bloques ton pédalier en délestant l’arrière du vélo et en poussant sur une jambe.

Non plutôt des casse-couilles !

L’histoire du Fixedgear remonte à l’époque où les coursiers de San Francisco détournaient ses bécanes des vélodromes.

C’est basket, jeans, bière et le petit plus, la casquette Campa-gnolo.

Nous, nous roulons dur, nous roulons libre et c’est plutôt violent donc assez éloigné des carcans de la branchitude. Mais force est de constater que pas mal de branchés zonent en fixedgear.

De quoi tu me parles, on roule trop vite, on les voit même pas !

C’est le vélo le plus simple possible, tu n’as pratiquement rien à entretenir si ce n’est que tu bouffes beaucoup la gomme du pneu arrière quand tu freines comme un cinglé. †

cyclope.over-blog.comSébastien

Fixedgear« Cyclope »

« Tu pédales vite et tout le temps. »


Les Terres rouges bikers organisent plusieurs sorties hebdomadaires et parcourent en moun-tain bike les sentiers les plus idylliques du sud du pays. Nous avons rencontré Guy Rippinger, le vice-président de l’association afin qu’il nous fasse partager sa passion.

La dernière a eu lieu le dimanche 20 avril avec plus de 500 participants sur des parcours balisés de 13, 28, 35, 54 et 78 ki-lomètres. Cette randonnée commence à être très connue dans le milieu et des Belges, des Français et des Allemands nous ont rejoints pour découvrir la topologie de notre beau pays et les pierres rouges si caractéristiques de la région du sud du Grand-duché. C’était cette année sa 7ème édition.

Le 6 septembre nous organisons une randonnée nocturne avec un départ à 19 h avec phare fortement conseillé. Notre ran-donnée est très courue et plutôt technique. Le même jour dans l’après-midi se déroulera une manche des « Yuppy Trophy »organisée par Cactus uniquement pour les enfants.

Terres rouges bikers est une ASBL et j’en suis le vice-président. On est une vingtaine de trentenaires avec pour l’instant deux filles. La cotisation s’élève à 25 euros pour l’année.

Nous organisons une sortie chaque samedi et chaque dimanche avec des rendez-vous à Schifflange et à Esch/Alzette.

On participe à plein de randonnées dans toute l’Europe, les Crapauds à Metz, le marathon en Forêt Noire, les Lézards, le Roc d’Azur. C’est souvent plus de 100 km et souvent avec 3000 mètres de dénivelé. C’est un sport assez physique.

Nous tournons sur des vélos qui oscillent entre 4000 et 5000 euros mais on peut très bien avoir de bonnes sensations sur un vélo à 1500 euros.

Le relief de notre contrée nous permet de faire de très belles randonnées. Il existe de magnifiques terrains dans les carrières dans le Sud du pays. Ce sont de bons spots rocailleux, très tech-niques, près des mines. D’ailleurs le type de terrains ressemble à celui du Roc d’Azur. Nous ne sommes ainsi jamais perdus là haut car nous avons l’habitude de ce type de sol.†

Sébastien

Terres Rouges Bikers

« C’est un sport assez physique. »


Au fin fond du secret spot de Schifflange un gar-dien veille sur la tribu des Funbike. Les kami-kazes du slopestyle le connaissent sous l’appel-lation de Menn et le cerbère d’une quarantaine d’années manage depuis 7 ans ce petit paradis du free ride. Entretien avec un extrême rider.

Un mélange de dirt, de freeride et de descente, combiné à une grosse dose de plaisir.

Encore plus de tricks différents enchainés dans un style tou-jours plus fluide.

C’est um Bierg aka le spot des Terres Rouges avec des drops, des gaps, des dirts, des wall ride et des step up. Le terrain ap-partient à Arcelor Mittal mais l’exploitation de la colline re-vient à la commune de Schifflange.

C’est un pur bassin minier avec des falaises naturelles, une terre rouge bien malléable pour construire des banks. Cette même terre rouge nous permet de rouler toute l’année car elle génère rarement beaucoup de boue. De plus le spot s’adapte à tous les niveaux avec des drops de 50 cm jusqu’à 7 mètres et tout un tas d’obstacles naturels.

Les bikers viennent même de très loin pour s’éclater sur notre spot. Nous avons vu des types de Paris, Berlin ou Bruxelles. Certains week-ends tu peux rencontrer jusqu’à 40 personnes qui roulent en même temps.

Le danger n’est pas absent. Quand tu tombes c’est du rocher, ça ne pardonne pas. Nous n’acceptons pas les riders sans casque ni protège tibias. Un jeune est resté 3 semaines dans le coma suite à une chute en 2006. Maintenant il va bien mais il ne roule plus. C’est aussi ça la réalité du slopestyle.

Je suis parti quand même deux fois en ambulance et je me suis brisé la cheville trois fois. Mais je suis toujours là.

Pas du tout car je fais aussi du vélo de randonnée. Pour les bmx, à partir du moment où ils sont protégés, c’est parfait pour nous, mais c’est rarement le cas. On a renvoyé 3 mecs en bicross chez eux car ils n’avaient pas de protections et pourtant ils avaient fait le chemin depuis Bastogne. Ils sont revenus la semaine suivante avec leurs protections pour une superbe session.

Barbecue, grillade, tout le monde se rencarde sur le forum de notre asbl www.funbike.lu et c’est la fête.

Sur le spot nous faisons très attention à ce que les riders ne consomment ni alcool ni joint. Le site Um Bierg est déjà assez dangereux comme ça alors nous nous protégeons au maximum contre les accidents.

Pas obligatoire en slopestyle, en descente et en randonnée c’est autre chose et il est préférable d’être préparé pour avaler plus de 80 km. †

Sébastien

Menn, slopestyle

« Un jeune est resté 3 semaines

dans le coma . »

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numéro juillet-août

Interview Backstage avec Gérard Baste, Nikus Pokus et Monsieur Xavier. L’ami Albert Hoffman venait de décéder, les Svinks attendaient leur al-bum désormais dispo depuis le 16 juin, le festival du Jardin du Michel (JDM) battait son plein et le trio se lançait pour la troisième fois en live avec 4 autres musicos. Leur rap c’est de la littérature façon autobiographie, ils ne se racontent pas, ils sont !Paroles aux Barons de la cuite, aux rois de la picole, aux empereurs de l’open bar, aux ambas-sadeurs de Bacchus !

Quand tu te fous sur la gueule entre potes ou mieux encore quand tu te réveilles chez les flics et que tu ne sais pas pour-quoi.

Ben déjà d’arrêter de mettre des polos de skinhead.

Ça déchire comme disent les jeunes, trop de la balle ! Nous avons mis un peu beaucoup de temps à le faire mais nous som-mes bien contents du résultat. Bien funky et rentre dedans, bref trop américain avec un maximum de name-dropping.

Ben ça dit combien le gramme ?

Des bouffons, des mecs sans expérience avec les filles, des kids qui ne comprenaient rien.

Ben c’est quand même hallucinant, et c’est le cas de le dire, qu’il soit parti à 101 ans avec tout ce qu’il s’était envoyé. Res-pect à ce grand monsieur.

Ben ça dépend, t’es chaude toi ?

Pas du tout mais il a trop de boulot avec son autre formation, Birdy Nam Nam et nous voulions depuis longtemps monter une formule live avec des vrais musiciens.

Nous sommes très contents du résultat, nous sortons notre al-bum le plus rap, nous faisons nos concerts les plus rock et au final ça donne quelque chose de très cohérent.

Nous essayons de préserver un peu de mythe et de mystère même si c’est pas méga évident. Nous étions encore à poil à faire les guignols avec des jeunes la dernière fois après un concert, ça s’est retrouvé sur internet. Nos meufs nous ont fait la misère (rire).

Une maison de campagne, 50 potes, une plaque de peutris, 2 platines, un micro, le tout en 1994… †

Teddy

Interview backstage : Les Svinkels

« Nos meufs nous ont fait la misère. »


Je me suis pris mon premier coup de vieux lors de l’interview des BB ! Alors que des dizaines de fans impatientes guettaient leurs idoles devant la Rockhal, je me suis fait alpaguer par un « Ex-cusez-moi Madame, auriez-vous une cigarette ? ».Je me retourne interloquée (n’ayant pas encore pris conscience de l’énormité de ces propos). Je réponds par un large sourire en pensant très fort « quand on appelle quelqu’un, une femme qui plus est, Madame, alors qu’elle est encore dans la vingtaine, c’est que l’on n’est pas en âge de fu-mer ! » Et puis fumer il paraît que c’est nuisible pour la santé...

Très très jeunes, trop même…

Cela nous a beaucoup saoulés au début… C’est hyper français comme attitude et ne me dit pas que pour être crédibles il fau-drait qu’on ait 40 ans et la barbe !

De moins en moins, surtout les articles dans les mags pourris.

Nous adorons « Rock & Folk » et le rédac chef Philippe Manœu-vre nous a beaucoup soutenus à nos débuts. Il nous a permis de faire les Friday Rock et surtout notre premier concert sold out au Triptyque à Paris. Mémorable !

Nous revenons justement de Normandie où l’on a travaillé sur notre deuxième opus et nous rentrons en studio la semaine prochaine pour préparer la maquette.

L’ambiance et les paroles sont plus sombres. On aborde les thè-mes de la condition humaine, de l’amitié, de la drogue… La déception est en filigrane sur plusieurs chansons.

Nous avons gardé les mêmes potes et nous faisons les mêmes trucs qu’avant… Nous n’avons pas vraiment eu le temps de voir les désavantages, les avantages non plus d’ailleurs !

Nous allons nous poser un petit moment après les festivals de l’été et nous en profiterons pour nous séparer aussi. Un peu d’air ne nous fera pas de mal surtout depuis qu’on vit les uns sur les autres (sourire).

Le soir-même sur les planches du club de la Rockhal, au milieu des nuées de filles hurlant à la mort, le public en a pris plein les oreilles ! Du bon son ! Du rock ! Du vrai ! Leur dernier mor-ceau fut un vrai plaisir, une reprise excellente de « I Bet You look Good on the Dancefloor » des Arctic Monkeys. C’est une fois les lumières éteintes que l’expression « le talent n’attend pas le nombre des années ! » prend tout son sens…Merci les BB ! †

Liberty

Interviewbackstage :

BB Brunes

« Pour être crédibles il faudrait qu’on ait 40 ans et la barbe. »


Alex Gopher, le père de The child, s’est laissé ten-ter par notre jeu des questions-réponses. Il re-vient sur sa participation au prestigieux line-up du festival des 24 heures électroniques et sur son parcours dans l’industrie du disque.

Nicolas Godin (futur membre de Air) m’a donné mes premières leçons de basse sur les partitions les plus faciles de Joy Division. Ensuite avec Jean-Benoit Dunckel (Air encore) nous avons monté un groupe au lycée : Orange. Nicolas nous y a rejoints quelque temps plus tard puis nous avons splitté devant l’indif-férence des maisons de disques. J’ai continué l’aventure avec Nicolas et nous avons découvert les samplers. Nous nous som-mes naturellement propulsés vers la musique électronique.

La sensation d’avoir un savoir artistique que les majors n’avaient pas.Nous avions besoin d’elles pour nous faire exister sur le marché de la musique mais elles ne comprenaient pas forcément notre musique, nous étions donc totalement libres artistiquement.

Oui parce que je me suis dit que ma musique continuait à toucher les jeunes producteurs à la recherche et à la pointe du nouveau son. Ça a conforté ma légitimité dans la musique électronique et m’a donc poussé à ne pas lâcher l’affaire après quelques années où beaucoup ont cru l’electro enterrée.

Non parce qu’un titre comme celui-là même plébiscité par Soulwax ou Justice restera toujours de la musique under-ground. Cela reste finalement très confidentiel.

Beaucoup de remixes pour Fischerspooner, Kitsuné, Autokratz, Ladyhawke (Modular), Dada Life, Sharam Jey & Princess Su-perstar. Mon nouveau maxi Belmondo EP et le second volume de mon skeud Aurora.

Difficile de choisir… C’est pour moi deux choses vraiment dif-férentes. DJ c’est faire partager de la musique avec des gens pour un plaisir commun mais ce n’est pas artistique, c’est juste beaucoup de satisfaction. Le live est une œuvre d’art : c’est plus compliqué mais quand ça fonctionne c’est encore bien plus fort.

J’ai remixé des gens dont je n’aimais pas particulièrement la musique. Bien sûr je l’ai fait parce que c’est mon métier mais j’y ai toujours pris du plaisir : le travail de studio est ce que j’aime par dessus-tout.

The Child parce qu’il était précurseur et Aurora pour sa sim-plicité.

C’est ma tournée ! †Laurent

Alex Gopher

« Ça a conforté ma légitimité dans la musique électronique. »


Le 7 septembre à Esch sur Alzette les Ricains de One Republic seront la tête d’affiche du fes-tival des Terres rouges 2008. Ils partageront la scène du Gaalgebierg avec LiReal, Eternal Tango, Die Killerpilze, Revolverheld, et Sunrise Avenue. Luxuriant s’est accordé une entrevue avec les re-belles de MTV pour savoir s’ ils en avaient dans le pantalon.

Yes, c’est bien les annonces sur le web pour faire des rencontres mais Zach et Ryan étaient sur les mêmes bancs de Lycée dans le Colorado.

Nous avons Drew à la guitare, Brent à la basse et Eddie à la bat-terie. Nous nous sommes tous rencontrés au fil des concerts et des soirées. Maintenant nous sommes un joyeux quintet (sou-rire) qui s’éclate en Californie.

Timbaland était chaud comme la braise pour que One Republic soit le premier groupe rock à être signé sur son propre label, Mosley Music Group. Ça tombait super bien car nous venions de nous faire éjecter de notre maison de disque.

Timbaland a remixé notre track Apologize et là, gros buzz pour nous. Le titre s’est retrouvé sur le disque de Timbaland, Shock Value. Après ça tout le monde s’est intéressé à One Republic. Encore aujourd’hui, Apologize reste notre single le plus recon-nu. Il a été téléchargé plus de 2 millions de fois.

La pression était immense mais le public a vraiment bien aimé notre premier album Dreaming Out Loud et le reste de notre son. Nous étions vraiment rassurés et heureux de propager de la bonne musique. Notre second single, Stop And Stare, s’est aussi retrouvé numéro 1 des charts et ce coup-ci, sans l’aide de Timbaland (sourire).

Tu vas rire mais nous sommes tous très fidèles et attachés à nos copines respectives. Mais quand tu deviens un « rocker » les filles te regardent différemment, très différemment (rire).

L’idée de fédérer les kids autour d’une seule et unique républi-que de la musique nous plaît particulièrement bien.

Nous éprouvons franchement beaucoup d’admiration pour U2. La bande à Bono est vraiment un combo extraordinaire. De plus, ils utilisent leur musique pour filer un coup de main à des causes humanitaires. Avouez que cela forge le respect. †

Sébastien...............................................................................................................Concours : Festival des Terres rouges — One RepublicDimanche 7 septembre. Gagnez 5 ticketsLequel de ces morceaux a été remixé par Timbaland ?

Stop And Stare Say (All I Need) Apologize

Envoyez votre réponse à [email protected]

OneRepublic« Quand tu deviens

un « rocker » les filles te regardent différemment. »


La saison musicale 2007/2008 touche bientôt à sa fin ! Pour le D:qliq ce fut encore une année riche en émotions et en moments forts qui auront certainement marqué les esprits de toutes les personnes qui se sont déplacées cette année. Une ri-bambelle de concerts, de soirées DJ et de soirées à thèmes, les unes plus folles que les autres, auront encore une fois animé la petite rue du Saint-Esprit ! Déjà à la fin du mois d’avril, le D:qliq a fêté ses 2 années d’exis-tence en musique, mais a surtout sorti une compilation de plus de 30 artistes différents qui sont venus jouer au cours des douze derniers mois. La compilation « Did you D:qliq 2 » qui démontre encore une fois la richesse et la qualité des concerts proposés dans la petite salle de ce music bar très spécial.

Mais un dernier grand événement se déroulera encore en juillet, rue du Saint-Esprit : Les Djettes MEN (aka Le Tigre) viendront officiellement clo-re la saison des concerts du D:qliq. Une soirée qui s’annonce d’ores et déjà exceptionnelle puisque les deux djettes venues tout droit de New York savent comment enflammer les foules et faire danser même les plus récalcitrants. Pour ceux qui ne connaîtraient pas ce duo rebelle, MEN est un side-project des deux têtes pensantes du groupe Le Tigre qui se qualifie lui-même de « FEMINIST PUNK ELECTRONIC ». Tout un programme…Mais c’est certainement une bonne définition de leur musique, qui aborde tous les sujets politiques et féministes en y ajoutant un brin de folie digne de trois chicas ! C’est leur image de marque, et elles la revendiquent, allant même jusqu’à ne pas pouvoir répondre si la musique leur semble plus importante que leur engagement politique. Le Tigre est une de ces forma-tions féministes qui ne renierait jamais son engagement ! Voilà pourquoi les trois filles de Le Tigre ont réussi à se faire un nom sur les scènes américaines depuis un certain temps, et ont éga-lement conquis le public européen !

Le 16 juillet, après le concert de Goldfrapp à l’Abbaye Neu-münster, deux représentantes de Le Tigre viendront au D:qliq faire tourner leurs platines en tant que MEN. Le duo sera com-posé de Johanna Fateman et JD Samson. Elles ont promis de faire danser le D:qliq en jouant des tubes de Le Tigre mais aussi en mixant leur sélection de morceaux préférés ! Une soi-rée à ne manquer sous aucun prétexte ! †

MEN @ d :qliq : Wednesday, 16/07/08Pour plus d’informations, visitez le site : www.dqliq.com

Joanne GoebbelsVisuels par Georges

Only wo(MEN)at d :qliq !


Dendemann : « I’ve never been a

studio-nerd »

On the 8th of August, during the E-lake festi-val, the oldest town in Luxembourg greeted Dendemann, a rapper straight from the Bronx of Germany who typifies so well the autobiogra-phic hip-hop of the German subculture. By jove, I’ll commit to Christianity if this product of Yo Mama! doesn’t spur enthusiasm among us. Fa-rewell Die Fanstatischen Vier, introducing Den-demann.

Actually it’s just an old nickname... early 90’s style.

Almost anything, but I’m definitely better with the comedy stuff... can’t do drama, it just never felt that entertaining to me... but I’m working on it... I guess. My favorite topics are the «why would you write three verses about....?» ones.

I have absolutely no idea... surprise me.

More like a test of self... I’ve never been a studio-nerd, com-puters freak me out after a couple of hours and I like to write when I feel I have something worth writing about... I love tour- ing and performing new stuff, so that’s where most of the crea-tive energy comes from.

Am I supposed to say something? I have no idea what you are talking about... Eminem? Somebody help me out here...

Yes, a little... but the album title was «just» a typo... stupid gra-phic department.

Who said I don’t have any?

The live album is a collection of live and studio material from the time after the album was released, which was almost two years ago... I played about 120 shows during that time and the live recordings on “Abersowasvonlive” are taken from maybe the best show of the last tour in Stuttgart, dec 2007. It also features a collection of all the b-sides and download-exclusives and the title track “Abersowasvon”.

The new studio album is just a vision right now... a little clou-ded as well... all I can say is «eclectic boogie» or «being al yan-kovic» one of these titles is going to fit the music on it. †

Régis...............................................................................................................

Ticket Give Away. Win 3x2 tickets for E-lake.

What was the name of first Dedemman’s band? A: Rammstein B: Eins Zwo C: Tokio Hotel

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ELDORADIO.LUNeien Look & nei Features!Zanter kuerzem ass de neien Internetsite vun Eldoradio online. Nierwt engem neien Look gin et och elo e ganzen Koup nei Features op Eldoradio.lu:

Bloggen - hei kënnt Dir Är Lieblingsanimateuren besser ken-neléieren.

Webchannels – daat sin 2 ganz nei Streams wou Dir nierwt eisem normalen Programm och nach den eldoAlternative & el-doChill kënnt lauschteren. Op béiden Channelen leeft 24 Ston-nen Musek no Stop!

Audio – daat ass eng ganz nei Rubrik wou Dir alleguer eis Re-portagen déi um Radio laafen och online kënnt lauschteren. Ideal wann een emol eppes verpasst huet.

Music News – hei gëtt et all Daag neies aus der Welt vun de Staren.

Daat sin nemmen e puer nei Features vum Site. Fir alles ze entdecken, surft laansgcht op www.eldoradio.lu.

ELDORADIO EVENT TIPPR.E.M. - 20. September an der RockhalSi sinn di wuel wichtegst däitsch Band mat engleschen Texter, R.E.M.? Ginn et déi nach? Dat war bei ville Leit d’Reaktioun op d’Annonce vum R.E.M. Concert den 20. September an der Rockhal. - Hmm, schwéier ze soen.

„Rock’n’Roll is about to be here now“, hat den John Lennon gesot. Et geet also drëm, am richtege Moment op där richteger Plaz ze sinn. Dass R.E.M. de Moment voll am Trend sinn, kann een net grad behaapten. Dofir hunn d’Museker zevill Entwéc-klungen aus der leschter Zäit verschlof.

Wéini wier also dee richtegen Zäitpunkt gewiescht, fir R.E.M. live ze gesinn? Virun 20 Joer, wéi si nach Studente waren zu Athens, Georgia, an de Weekend am Campingbus iwwer Land gefuer sinn, mat e puer Punk- a Folklidder am Gepäck? Oder virun 10 Joer, wéi si vum Underground an de Mainstream ges-pullt goufen an als liewege Beweis dofir gegollt hunn, dass Hit-parade-Musek kënschtleresch héichwäerteg ka sinn, moralesch integer a politesch engagéiert?

Tragesch just, dass de Sänger Michael Stipe , fir sech méi in-tressant ze maachen, di verrécksten Rumeuren iwwer sech verbreet huet (de Michael Stipe bestuet d’Courtney Love! De Michael Stipe ass schwul! De Michael Stipe as doud!) an dass di lescht R.E.M. Placke vun de Kritike gréisstendeels schlecht opgeholl goufen.

Ufank Juli hunn R.E.M. hir Comeback-Tour zu Hamburg an Däitschland gestart. Et war bal e rénge Greatest-Hits-Owend. „Shiny happy people“, „Man on the mon“, „Drive“. Alles Lid-der déi all Mënsch kennt a matséngt. Gläichzäiteg gëtt awer hei däitlech, wéi wéineg des Lidder mat eiser aktueller Zäit verbënnt. A sou wäerte mer an der Rockhal eng Band gesinn, déi weider mécht, obwuel hir Missioun längst erfëllt ass.

„R.E.M.? Ginn et déi nach“ – Op déi Fro gëtt et nëmmen eng méiglech Äntwert: Jo. Mee op d’Fro , op dat eng gutt Nouvelle ass, weess een net direkt eng Äntwert.

Preview


ELDORADIO CD TIPPColdplay - Viva la VidaDe Chris Martin ass dat perfekt Feindbild. No allem, wat ee weess, lieft de Coldplay-Sänger méi gesond wéi den Dokter er-laabt; hien hält sech ewech vun Drogen an ernährt sech just vu Planzen, hie setzt sech a fir faire Welthandel a Mënscherechter, hien ass senger Fra Gwyneth Paltrow een treie Mann a senge Kanner e gudde Papp, seng Band ass basisdemokratesch orga-niséiert a spent 10% vun hire Recetten.

Vrun dësem Hannergrond muss et sou munch engem de Schweess op d’Stir gedriwwen hunn, wéi éischt Informatiou-nen iwwert den neien Album duerchgesickert sinn. Den Atmos-phere-Guru Brian Eno wier fir d’Produktioun responsabel, et géing ee mat nordafrikanesche Rhythmen experimentéieren an et hätt een de Chouer an enger Kierch zu Barcelona opgeholl.

Den Ufank, deen instrumentalen Titel „Life in technicolor“, léisst dann och net dat bescht denken. E kléngt genee wéi ee vum Brian Eno produzéiert Coldplay-Stéck, nëmmen ouni

Gesang. Dono kënnt „Cemeteries of London“, dat leider net hallef sou gutt ass, wéi den Titel versprécht. Mee da passéiert et: Mat „Lost!“ gëtt den Album e bësse Gas a richteg gutt. Dëst Stéck, ee rustikale, wäisse Pseudo-Gospel, besteet bal nëmmen aus wëllem Getrommel an enger Uergel. Nach besser ass „42“: als éischt héiert een de Chris Martin um Piano, dann en Tem-powiessel mat Batterie a Gittaren an da kippt den Titel nach eemol an de Chris Martin séngt eng vun de schéinste Coldplay Melodien vun allen Zäiten. Och den Titelsong ass ee Popsong, deem ee gäre méi oft begéine wëllt.

Vläicht daagt de Chris Martin vu lo un also net méi als Feind-bild. Et bleift ëmmer nach de Bono. Dee mécht grad eng Paus vun sengen Optrëtter um G8-Sommet an hëlt en neien Album op. De Produzent soll Brian Eno heeschen. †

Christine Delvaux & Steve Kugener

numéro juin

Dans sa chanson Fernand, Jacques Brel sous- en-tend par « Dire qu’on traverse Paris et qu’on di-rait Berlin » que la capitale allemande fait grise mine. Metropolis, le tour opérateur de Luxair-Tours prouve le contraire en grande classe le temps d’un week-end. Face à face avec la capitale de l’art, la mégalopole des cultures alternatives, la métropole de l’electro et la cité aux multiples facettes : shopping, gastronomie, musique, mu-sée et joie de vivre. C’est John Fitzgerald Ken-nedy qui avait raison, ich bin ein Berliner !

MetropolisMetropolis de LuxairTours propose dans son catalogue la fas-cinante capitale allemande, avec des formules additionnelles pouvant être ajoutées lors de la réservation du voyage. Au choix des tours de la ville, le City Circle en bateau histoire de voguer et de profiter de façon originale des petits trésors de la cité teutonne, des spectacles tel le Jardin d’Hiver et surtout la possibilité de se déplacer facilement dans la ville en ayant accès à tous les transports publics grâce à la carte Berlin Welcome Card. Ce petit sésame vous assure un maximum de réductionspour des musées, des lieux touristiques et culturels, des clubs ou encore des restaurants et surtout une circulation illimitée à bord des S-Bahn (trains de banlieue), U-Bahn (métros), bus et tramways. Vous trouverez beaucoup plus d’infos complémen-taires dans la brochure Metropolis.

VolerC’est la première fois que nous décollions du nouveau termi-nal au Findel. L’aérogare flambant neuf diminue les attentes d’enregistrement et d’embarquement et offre un confort excep-tionnel aux voyageurs. Le service Luxair est toujours au top, depuis l’enregistrement jusqu’à la bouteille de Saint Emilion dans l’avion, ce n’est que sourire et professionnalisme. Tant mieux car ce genre de week-end a pour vocation avant tout la détente et le fun. LuxairTours assure des départs pour Berlin quotidiennement et la brochure Metropolis propose 15 hôtels allant du 3 au 5 étoiles. Nous étions impatients de replonger dans l’effervescence des quartiers de Berlin d’autant plus que cette ville a récupéré l’aura culturelle et festive qu’elle pro-pageait déjà dès les années folles. Effectivement depuis son avant-gardisme des années 20, Berlin trône majestueusement au centre de l’Europe. Le vol ne dure qu’une heure 20 et juste devant l’aéroport, des bus vous conduiront pour 2.10 euros à votre hôtel. Ne cherchez pas, Berlin c’est tout simplement un mode de vie 50% moins cher qu’à Luxembourg city et surtout, le plaisir a été cultivé ici comme nulle part ailleurs. L’hôtel est splendide, les chambres sont superbes et pour le petit déjeuner ça se passe au dernier étage sur une terrasse avec une vue pa-noramique imprenable, au beau milieu d’une des rues les plus commerçantes de la capitale.

BerlinÀ l’Ouest rien de nouveau

numéro juin

A l’Ouest rien de nouveauNous nous sommes rendus à Berlin le week-end de la finale malheureuse du mondial 2008 et aussi de la gay pride. La mixité de ces deux événements résume assez bien le melting pot culturel de la cité et l’ouverture d’esprit des Berlinois. De-vant l’immensité de cette ville de 5 millions d’habitants nous nous sommes concentrés sur l’Est de la ville qui concentre la partie bouillonnante et innovante de la culture. Un week-end à Berlin, c’est prendre une bière dans un biergarten avec les supporters allemands, c’est partager un tramway avec un cou-ple de drag queen, c’est danser avec des mannequins en vogue dans une banque désaffectée, c’est prendre une ice cream avec un sculpteur sur glace, c’est manger une currywurst avec une star de l’electro minimal, c’est discuter le bout de gras avec un nouveau créateur émergent, c’est philosopher sur l’ostalgie, genre de fusion entre nostalgie et ouest, avec un ancien espion de la guerre froide, c’est écrire « ich liebe dich » au marqueur sur les reliques du mur de Berlin…

VoirBerlin est devenu l’eldorado des tous les artistes de la galaxie puisqu’elle abrite plus de 6000 créateurs qui bossent aujourd’hui sur des œuvres modernes qui s’arracheront à prix d’or dans les collections de demain. Berlin, c’est 170 musées dont beaucoup sont regroupés sur l’île aux musées et c’est aussi des dizaines de squats d’artistes autogérés dans toute la ville. Berlin, c’est le buste de Néfertiti, la collection Flick, les impressionnistes, le mu-sée des juifs, les graffitis à chaque coin de rue. La ville exerce une attraction magique sur les artistes: mode et design, art contem-porain et galeries, clubs ou scène multimédia, tout le monde se donne rendez-vous à Berlin pour s’exprimer.

DanserBerlin ne dort jamais ! Les clubs et bars ferment quand le der-nier noctambule décide enfin de rentrer chez lui. Imaginez cette loi au Luxembourg et le carnage que cela occasionnerait.Ici un nouveau club ouvre ses portes chaque quinzaine dans le Prenzlauer Berg, une electro party s’incruste chaque soir dans une friche industrielle du Mitte et chaque week-end un lieu éphémère distille de la minimale dans une banque abandonnée de Friedrichshain. Démarrez votre nuit en vous laissant guider par l’instinct du fêtard qui sommeille en vous, suivez les mini jupes sur Oranienburger Straße, faites la queue dans des lieux improbables de Simon-Dach-Straße et empruntez les ruelles minuscules qui débouchent sur des bars non conventionnels.Nous sommes tombés au détour des Hackesche Höfe sur une fabuleuse soirée electro sur deux étages dans des bureaux dé-saffectés. La chance du clubber nous avait souri : mignonnes à talons, branchés en baskets, artistes contents pour rien et Dj à lunettes y festoyaient allégrement. Pour les moins aventuriers ou ceux qui veulent absolument se tenir au courant du mix d’Erol Alkan ou du live d’Alec Empire, checkez les magazines Tip ou Zitty qui vous conduiront là où ça se passe.

AcheterA Berlin il est particulièrement agréable d’envisager le shop-ping comme une flânerie en virevoltant d’une vitrine à l’autre. Empruntez le Kurfürstendamm, taquinez du design dans la Fa-sanenstraße, chinez dans le plus grand magasin d’Europe, le

mythique «Kaufhaus des Westens» (KaDeWe), passez au quar-tier 206 dans Friedrichstraße et achetez-vous des souvenirs sous les arcades de la Potsdamer Platz. Les petites boutiques des «Hackesche Höfe» à Mitte réveilleront l’original qui som-meille en vous, trouvez le skeud qui vous manquait sur Ora-nienburgerstraße, les amoureux du vintage fouineront dans les Second Handshop du Kreuzberg et les plus extravagants s’achèteront une casquette fluo ou un masque à gaz estampillé DDR au marché aux puces sur Straße des 17. Juni.

numéro juin

MangerVous trouverez à Berlin une grande variété de restaurants et surtout vous pourrez manger à toute heure du jour et de la nuit. Nos cousins allemands sont friands des cuisines du monde et Berlin héberge un grand nombre d’adresses étoilées qui ser-vent des mets raffinés et pas chers. Mais un séjour à Berlin est également l’occasion de découvrir la gastronomie nationale, ainsi que certaines traditions, comme celle du brunch notam-ment dans le Prenzlauer Berg. Vous vénérerez ainsi le mix des saveurs sucrées salées assis aux côtés d’un clubber et d’une fa-mille de bobos. C’est aussi ça la magie de la convivialité de Berlin.J’oubliais dans les stands à emporter situés un peu partout et ouverts souvent 24/24h, la kyrielle de wurst, honteusement dé-licieuse qui vous fait prendre 2 kilos rien qu’en la regardant. Vous prendrez bien une bière avec ?Hôtel D.O.M.I.C.I.L., réservable via Metropolis à partir de 385 euros par personne, vols + 2 nuits à l’hôtel en chambre double avec petit-déjeuner.

Ne manquez pas l’occasion de découvrir les SummerSpecials et n’hésitez pas à demander à votre agence de voyages de plus amples renseignements sur les bons plans de l’été. Un maximum d’infos sur le site www.luxairtours.lu. Bon voya-ge ! †

Sébastien

Summer specials 2008

Nouveau :HambourgPrague

Informations et réservations dans votre agence de voyagesou sur www.luxairtours.luInformations supplémentaires au (+352) 2456-4711

Offre valable jusqu'au 31.10.08

2 nuits en double àpd

Offre valable du 01.06 - 31.10.08


Offre valable du 01.08 – 31.10.08




Offre valable jusqu'au 30.09.08




* Prix par personne, vol aller-retour, hors supplément carburant. Tous les hôtels sont également réservables en formule "hôtel seul". Découvrez toutes les offres dans notre dépliant "Summer specials 2008".


À vélosRéalisation Pascal Monfort

Puma

Bianchi

Trestles

Gucci

Curbside

Chanel

Pashley

Carhartt

Comptoir des cotonniers

Vecto

Brompton

dans une malle Pinel & Pinel


À colorierRéalisation Pascal Monfort

Basket Lacoste

Basket Nike

Basket Vans

Macarons « fingers » Christophe Roussel

Ballerines Repetto

Porcelaine Seletti

Sodas Perrier

Vodka Absolut

Vernis Chanel

Lunettes Rayban

Montre RolexSac Prada

Parfum Hermès

Parfum d’ambiance

Irié

Altères Chanel

Stylo Pilot


C’est reparti, l’été est enfin là, avec son lot de bonnes et de mauvaises nouvelles. La bonne ? Vous partez en vacances au soleil. La mauvaise ? La corvée de préparation de la valise est de retour elle aussi. Et si c’était simple, après tout, cette année, de glisser quelques it-trucs dans son panier?

Youpi, l’école est finie, le boulot aussi, à nous les bikinis !Je ne voudrais pas casser votre hystérie mais avant d’embar-quer pour l’île de beauté ou autre destination rêvée, il va falloir passer par la case valise.Selon moi, c’est le pire calvaire des vacances. Je suis incapable de savoir quoi emporter.Empotée Punky ? Non, juste submergée par trop de fringues sans forcément savoir laquelle sera la plus adaptée.Prouvons-nous qu’en réfléchissant un tout petit peu on peut se faire une valise légère mais néanmoins truffée des justes pièces qu’il nous faut cet été !Qui dit soleil dit bikini et qui dit bikini cet été dit… trikini !Késako ? C’est le it-maillot de l’été 2008, qui ressemble, si vous ne l’avez jamais vu, à un une-pièce grignoté sur les côtés. Ultra sexy et pourtant loin d’être vulgaire, il sera parfait pour se faire dorer la pilule sur la beach de Punta Cana ou Saint- Tropez. Ce qu’on enfile sur son maillot ?Tout d’abord un petit conseil, encore plus cohérent lorsqu’on part en avion et que les bagages sont de ce fait limités: on choisit des pièces caméléons qui se portent de jour à la plage comme de nuit pour aller dîner et danser. Les 3 it-fringues à ne surtout pas oublier:Le combishort, pièce phare de l’année, il est tout particulière-ment indiqué cet été. Pourquoi ? Il est léger et s’acoquine aussi bien avec des spar-tiates plates en journée (prenez-les frangées ou cloutées pour être pile dans le mood summer 08) ou une paire de talons pour le soir.La robe longue : encore une pièce tout terrain à porter le plus simplement possible pour aller à la plage aussi bien qu’avec un peu de make up et une ribambelle de bracelets au poignet pour aller bouger son booty en club la nuit.Le short en jean : c’est la nouvelle mini-jupe ! Le short en jean est le meilleur compagnon de la saison, à porter plutôt à plat et à associer à un tee-shirt blanc un peu ample en journée ou une blouse un peu plus travaillée et quelques sautoirs pour le soir.Résultat des courses : avec 3 pièces fortes, quelques tops et 2 paires de chaussures, à vous la corvée de la valise bouclée avec en bonus non négligeable des looks summer 2008 ultra plébiscités ! †

www.punky-b.comPunky b

Une valise de It-trucs pour un It-été

Info : tel. : +32 (0)2 772 25 50 - [email protected]


À l’heure Réalisation Pascal Monfort



Art et musique : le couple modèle

Réalisation Pascal Monfort

Damien Hirst

pour The Hours

Narcissus road, 2007

Andy Warhol

pour Velvet Underground & Nico

Velvet underground & Nico, 1967

M/M (Paris)

pour Madonna

American Life, 2003


Futura

pour Unkle

Never, never, Land, 2004

Banksy

pour Blur

Think Tank, 2003

Keith Haring

pour Band Aid

A very special

Christmas Live,

1995

Jamie Reid

pour The Sex Pistols

Never Mind the bollocks

Here’s The Sex Pistols,

1977

Richard Prince

pour Sonic Youth

Sonic Nurse,

2004

Big Active

pour Beck

The Information,

2006

Takashi Murakami

pour Kanye West

Graduation, 2007

Peter Saville

pour Joy Division

Uknown Pleasures,

1979


So here we are, issue number two of Luxuriant, and as we sit here staring at our glowing compu-ter screens, the scent of distant barbeques lingers in the air. A sure sign, as if one were needed, that summer is well and truly here. Summertime, for obvious reasons, allows us to get outside a little bit more than we otherwise might, and if we can be entertained whilst we’re there, even better. So-cialising around an outdoor grill is great. Chee-ring on an adopted football team is also a lot of fun. But one of the real summer thrills, once the temperature gets above 20 degrees, is the music festival season! And that, ladies and gentlemen, is our focus for this month. Over the next few pages, we’ll look back at some past experiences, highlight some forthcoming festival dates, share some snaps of festival goers and provide our fan-tasy festival line up. It’s time for Issue Two dis-ciples, we’re happy to be here and we hope you folks are too. xX()x()XX

T & B

The Festival ExperienceBiscuits – Stephen ‘Steps’ Lowe:Some famous chap or chapess once said ‘It’s all relative, isn’t it?’ This rhetorical question serves as a handy way to look at the festival ‘experience’. For some the annual (and sometimes multiple) pilgrimage to a festival site is one of the most exciting things to achieve in a year. Certainly, I have missed attending at least one BIG music festival during our planets voyage around the sun. I’m a Glasto child, see? Born in Somerset not a million miles from the Pilton site. The festival itself is immense. The site, when lit up at night, looks like a medieval battlefield, but without the blood-letting and raining arrows (unless you’re at the final night of Reading/Leeds), but festivals are more than just reputation. Hordes of people go to Glastonbury for exam-ple and busy themselves away from any form of live music. Others pitch up at the stage-front and will not be moved all day, lest they surrender prime spot for the headliners. All types, creeds, religions, sexes, orientations, ages and genres collide in what can only be described as one off’s. But they happen time and time again.

I’ve dodged bottled piss at Reading Festival, metalled it up at Donnington, been a member of the press at Spot in Denmark, walked on Astro turf at the V festival, moshed bare foot and got-ten ravenous for watermelon at Glasto. During these times I’ve had numerous adventures with friends (and foes), some blurry, some totally coherent. I’ve cried during Coldplay’s Yellow, fou-ght off an intruder from my tent, got hopelessly lost. I’ve woken up in a strange tent with an odd couple, been bashed on the head by an inflatable crocodile. I’ve valiantly saved dozens of toads from being run over, interviewed Jo Whiley, Jack Black, My Vitriol, Travis and Hundred Reasons. And, like many a fes-tival-goer I’ve poured over time-tables making the anguished call to see one of two bands put on at the same time on differing stages. Whether music festival are now ‘owned’ by commercia-lism or by the ‘tout-dollar’ is a question that shall be asked with increasing frequency but all in all come rain wind or shine, my festival memories will linger for longer than many other aspects I have been privelleged enough to enjoy.A quick butcher’s at the information superhighway highlights just how many there are available to go to. Tea has provided his personal take on what festivals mean to him. To me, they are a wonderful opportunity to share an experience with like-min-ded folk and if the tunes are right, the weather is fine, and the vibes getting groovy there is very rarely anything like it.Now where did I put the wet wipes?

(Much love to my son baby Ryan)

Festivals and meIt must have been during my school Easter holidays in 1991, as a fresh faced 14 year old, that I first asked my mum if I could go to the Werchter Festival that summer. I had yet to attend a proper gig and my favourite band at that time, The Happy Mondays, were playing there alongside many other bands I worshipped in the way that teenagers do, Dee Lite, Iggy Pop and The Pixies for starters. After a lot of pleading (and grass mowing I seem to remember), I got the green light to go. It was textbook relentless persuasion! So on the 7th July 1991 there I was, with a slightly older friend of mine to ‘keep an eye on me’, at my first festival. Beer stands, food stands, and various other types of stand, I remember being amazed as I wandered around watching people getting up to all sorts of mischief and then, sometime later seeing the messy outcome of their adventures.It must have been around 11.30am that the Mondays hit the stage looking like they hadn’t been to bed, and let’s face it they probably hadn’t, and immediately I was in heaven. Out-side in the sunshine, surrounded by some very happy people indeed, and watching The Happy Mondays on stage. Brilliant! If I remember correctly they even started with Hallelujah, my favourite Mondays track. 17 years on and the rest of the day has kind of melted into a bit of a blur, but one thing I do know is that back then Werchter was just a one day festival, and all the way home I cursed that fact.

Tea and Biscuits Intro


Since that first festival experience, I’ve done the mother of all festivals, Glastonbury, a couple of times, and most recently our very own local festival, Rock-a-Field. There is obviously a mas-sive difference in size between the UK extravaganza and the Luxembourg shindig, but the experience of watching some of my favourite bands in a field on a warm and sunny afternoon is really what does it for me. The discovery of a new band or the anticipation of seeing the headline act, are just some of the

things that make going to a festival so enjoyable. Warm beer in plastic cups and dodgy sausages are also festival traditions, whilst the weather provides an exciting sub plot to the days events. Just ask anyone who went to Glastonbury last year!So, bearing in mind it is only July and there are plenty more festivals on this year’s calendar, it is time to pull out the tent and rucksack, fill it with the required festival gear and hit the field.

‡ Tea and Biscuits ‡ The Slam Dunk 2008 ‡

* ac/dc * ratm * kings of leon ** radiohead * oasis * public enemy ** james brown * the artic monkeys *



TuneAgeThe best of our Music Picks from the last few weeks. You can hear these weekdays between 6 a.m. and 2 p.m. on Ara City Radio 103.3 & 105.2 FM (www.ara-cityradio.com)

Tea:Ava Leigh — Mad About The BoyStereophonics — Daisy LaneKings Of Leon — ArizonaMGMT — Electric FeelThe Verve — Lucky ManCassius — EyewaterThe Passions — I’m In Love With A FilmstarChromeo — Fancy FootworkThe Verve — Slide AwayColdplay — Violet HillSigur Ros — GobbledigookElbow — One Day Like This

Biscuits:John Butler Trio — There’ll Come A TimeGabriella Cilmi — Sweet About MeAsa — JailerColdplay — Lovers In JapanThe Black Crows — Soul SingingThe Subways — Girls & BoysBeck — ChemtrailsFracture — Pop Rocket GirlThe Boy Least Likely To — Be Gentle With MeLos Campesinos — My Year In ListsMint Royale — Singin In The RainShack — Al’s VacationSoon to be found on iTunes as a downloadable iMix. CD re-views starting next month with a rundown of the first half of the year and the bets releases so far! More info to follow.

Stuff and Junk (Festival Dominated)A handy guide to the STUFF to do that we think isn’t JUNK.

July11-13: T-In The Park, Kinross, Scotland 11-13: Oxygen Festival, Kildare, Ireland12: 24 hour Electronic Music, Rockhal, Lux 12: Goteburg Kulturkalas, Sweden16: Goldfrapp, Abbaye Neumunster, Lux 17-20: Benicassim Festival, Benacassim, Spain 17-20: Latitude Festival, Suffolk, England17-19: Dour Festival, Belgium17-20: Summercase Festival, Barcelona & Madrid, Spain18-20: Melt! Festival, Germany19-20: LoveBox Weekender, London, England19-02 Aug: Download, USA20: Mars Volta, Atelier, Lux 22-27: Paleo Festival Nyon, Switzerland25-26: Global Gathering, Stratford on Avon, England25-26: Wickerman Festival, Galloway, Scotland25-28: Fuji Rock, Fuji

August01-03: Lollapalooza, Grant Park, USA01-03: Big Chill, Herefordshire, England08-10: All Points West, New Jersey, USA08-10: Summer Sundae, Leicester, England14-16: Pukkelpop, Belgium14-16: La Route du Rock Festival, Saint Malo, France15-17: Lowlands, Flevoland, Holland15-17 Green Man Festival, Brecon Beacons, Wales16-17: V Festival, Chelmsford Essex & Weston Park,Staffordshire (both England)22-24: Carling Festival, Leeds & Reading (both England)23: Kick Cancer Into Touch Tournament, Cessange, Lux23-24: Creamfields, Cheshire, England25-Sep 01: The Burning Man Project, USA29 – 31: Electric Picnic, Ireland

September02: PG. Lost & Obstacles, d:qliq, Lux5-7: Bestival, Isle Of Wight, UK26: Nuits Electronique, Artefact, Strasbourg

October15-19: Iceland Airwaves, Iceland

November28-29: Sonic Visions Festival, Rockhal, Lux

December5-7: All Tomorrow’s Parties, Minehead, England06: Bang Your Head Festival, Kulturfabrik, Lux

January 200907-03: Big Day Out Festival, Australia28-29: Sonic Visions Festival, Rockhal, Lux †

Ben Andrews and Steps Lowe


Le prix du baril de pétrole ne fait qu’augmenter, flirtant allègrement aujourd’hui avec les 150 dol-lars et peut-être demain les 200. Résultat : le prix des carburants s’enflamme. Mais quelles sont les causes réelles de cette flambée des prix ? On en-tend constamment parler de la nécessité de ré-duire la consommation et on nous présente l’en-volée des tarifs comme une conséquence directe de la raréfaction pétrolière mondiale. Qu’en est-il réellement ?

Il est généralement admis que le coût de production d’un baril de brut est inférieur à 30 dollars en moyenne. Alors pourquoi un baril si onéreux ? Pourquoi 120 dollars de différence entre le prix réel de production et le prix de vente d’une barrique d’or noir ?En réalité, l’augmentation est directement liée à la crise écono-mique, aux cours du dollar, bien sûr, mais aussi et surtout à la bulle spéculative!La spéculation fait rage sur tous les marchés de matières pre-mières à commencer par le pétrole. En effet, il est négocié 9 fois plus de pétrole sur les marchés financiers que ce qui est réellement produit ! Les spéculateurs vendent et achètent du « pétrole virtuel » pariant non pas sur la consommation ou la production, mais uniquement sur les cours de la bourse, sur des variations potentielles de la valeur du baril ! Le pétrole est devenu un actif financier tout comme une action, une obliga-tion ou un contrat à terme sur le blé (une autre matière pre-mière subissant actuellement une forte spéculation).

Les prix sont devenus tellement élevés que cela vaut même le coup d’investir dans des gisements auparavant trop coûteux à exploiter, ce qui d’ailleurs devrait permettre d’accroître l’offre potentielle future et calmer les éventuels déséquilibres entre l’offre et la demande.Cependant, le cours du baril est maintenant directement basé sur l’évolution de la spéculation boursière et non plus sur la loi de l’offre et de la demande.On peut donc clairement dire que la réalité de l’augmentation du prix des carburants n’a aucune raison autre que celle du profit d’origine spéculative !

Mon conseil Boursier « fixe-toi à l’avance des objectifs de gains et vend lorsqu’ils sont atteints quoiqu’il se passe sur le mar-ché. » †

Samuel CisamoloIllustration : Gilles Uzan

Les rois du pétrole

« Il est généralement admis que le coût de production

d’un baril de brut est inférieur à 30 dollars. »



La carte bancaire présente bien des avantages :pratique et sûre si on respecte les consignes de sécurité, dont les plus basiques : mémorisez vo-tre code secret et ne le notez nulle part, et quand vous le changez n’en choisissez pas un des plus évidents.

Carte de débit ou carte de crédit ?Une carte de débit de type Maestro-bancomat permet d’effec-tuer des retraits d’argent liquide dans les guichets automati-ques bancaires nationaux et internationaux ainsi que de payer dans plus de 5 millions de commerces affichant le sigle Maestro à l’étranger.Le montant des transactions effectuées est débité directement de votre compte en banque. Le solde de celui-ci est vérifié lors de chaque opération et le paiement n’est autorisé que si ce dernier est suffisant. Autrement dit, payer avec un tel type de carte équivaut à se rendre au guichet de sa banque pour retirer de l’argent. L’argent ne vous sera remis que s’il est réellement sur votre compte. La carte de crédit présente de nombreuses fonctionnalités communes à la carte de débit (paiements et retraits d’argent dans le monde entier). Un petit plus cependant : elle permet également d’effectuer des paiements sur internet, et souvent par téléphone, et aussi de garantir des transactions etc… Les cartes de crédit les plus courantes sont la Mastercard et la Visa. Il existe également des cartes bancaires entièrement virtuelles pour l’Internet dites e-cards qui offrent une sécurité supplé-mentaire.

Quelle différence entre les deux types de carte ?Avec une carte de crédit, le montant de la transaction réali-sée n’est pas directement débité du compte du titulaire mais reporté au mois qui suit l’achat. Une alternative consiste dans le remboursement échelonné sur une plus longue période et moyennant le paiement d’intérêts. Contrairement à l’argent liquide dont vous disposez concrè-tement, l’argent « plastique », de par son côté immatériel et virtuel, peut parfois faire tourner la tête à ses utilisateurs (fré-nésie d’achats, sensation que l’argent dépensé n’est pas le sien etc…).Restez toujours très vigilant et gardez en permanence un œil sur l’état de vos finances : Dexia vous offre la possibilité de consulter le solde de votre compte et de l’utilisation de vos cartes directement sur internet via son site dexiaplus.

Ma carte est refusée et pourtant j’ai de l’argent sur mon compte !Oui, ce sont des choses qui peuvent vous arriver alors même que le solde de votre compte est positif. Pour raisons de sécu-rité toutes les cartes ont un plafond de paiement et de retrait fixé - par jour, par semaine, par mois - en fonction du type de

carte que vous utilisez. Une fois leurs plafonds atteints, les opé-rations peuvent être refusées temporairement.Face à une telle situation, contactez votre banquier afin de discuter du plafond de votre autorisation de paiement, même temporairement.

Quelles sont les autres fonctionnalités des cartes de crédit ?Suivant le type de carte, des garanties et assurances complé-mentaires peuvent être comprises réduisant ainsi vos dépenses par ailleurs. Selon vos revenus et vos exigences en matière de prestations complémentaires, votre banque vous proposera une carte plus ou moins porteuse de services. Ainsi, la Mastercard Gold proposée par Dexia inclut des assu-rances voyage, des couvertures en cas de retard de vol, de dé-part manqué ou de perte/vol de bagages. Elle assure aussi vos achats automatiquement 3 mois contre le vol ou les dommages accidentels. †

Pour découvrir l’ensemble des cartes bancaires Dexia ainsi que leurs nombreux avantages, il vous suffit de vous rendre dans l’agence de votre choix et de vous laisser guider par nos conseillers. Vous pouvez aussi vous rendre directement sur notre site internet www.dexia-bil.lu afin de profiter de notre offre exclusive : toute carte demandée online est gratuite la première année !

Illustration : Minisushi

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la banque…. sans jamais oser le demander.


La nuit sera toujours plus belle que le jour.Hangover ou comment je postreportise les soirées où tu n’es pas allé.Je tenais fébrilement dans mes mains le sésame de la soirée la plus courue du Luxembourg : la fête de lancement du maga-zine que vous tenez dans les mains. C’est peut-être la première fois de ma vie que j’allais participer à un open-bar en y étant invité. C’est un peu comme si on laissait les clés du coffre de la Spuerkess à Albert Spaggiari.J’arrive devant la galerie-restaurant «Kjub», lieu de l’événe-ment. Toujours être à l’heure dans un cocktail, c’est la seule chose que j’ai retenu des livres de la Baronne de Rothschild. L’endroit est parfait. La décoration m’interpelle : un mur de fleurs, des compositions végétales made in Covent Garden, le shop de la rue Notre Dame. Luxuriant. Je me précipite sur

le bar et le buffet. Je me «précipite» certes, mais avec classe et finesse. Tout n’est qu’une suite de charcuteries délicieuses, de bouchées fameuses. J’engloutis plusieurs morceaux d’un fromage italien dont je tairai le nom. Au bar, plusieurs man-nequins dont le tour de taille est inversement proportionnel à ma gloutonnerie jouent des coudes pour attraper des coupes. Le champagne est le menu entrée-plat-dessert de tout man-nequin qui se respecte. Et comme il coule à flots, j’observe nos models se faire un repas pantagruélique. Autour de moi, je re-connais un député toujours de sortie, plusieurs dirigeants de la presse, quelques responsables marketing, des artistes. Les DJ s’en donnent à cœur joie, les filles se mettent à danser pieds nus, les bras sont levés, les caméras shootent. La nuit avance. Je pars avant le début de la fin comme je l’ai appris dans les livres de notre aristocrate préférée…

POST-REPORT DU KNIGHT CLUBBER!





Schéck eis déng beschten Foto. Opgepasst!!! Den Event vun haut

muss ze erkennen sin! Gewann Präisser vun:

Sief haut ZAParazzi

Méi Infos op:

www.zap.lu/tour

www.hot.lu/tour


Les internautes du pays reconnaissent derrière les trois lettres de Zap le sigle des sites référen-ces en matière de Nightlife et de communauté in-ternet au Grand-duché : Zeus.lu, Alex.lu et Party.lu. Avec la création de Zap S.A. en 2007, les trois stars de la toile ont fusionnés pour former Zap.lu, une plateforme communautaire détonante.

Comme l’explique le directeur actuel, Patric de Waha, co-fon-dateur d’Alex.lu et créateur de Zeus.lu, Zap offre actuellement toutes les fonctionnalités qui permettent aux utilisateurs de se mettre en relation, de communiquer, se tenir au courant de l’effervescence nocturne et du lifestyle du pays. En quelques clics vous avez la possibilité de créer des sites personnalisés, un agenda, des reportages photos, une rubrique célibataires et des jeux concours.

Le trafic au LuxembourgLes chiffres de Zap laissent rêveur, 19 665 visites, 12 034 vi-siteurs et 518 469 pages vues par jour pour 46000 membres inscrits.La dernière acquisition de Zap, Hot.lu rajoute depuis cette an-née 30 000 membres, 15 338 visites, 10098 visiteurs et 313175 pages vues au portfolio de Zap. Zap.lu couvre les 20-30 ans et Hot les 13-19. Pour ne pas trop mélanger leurs 2 cibles, Patric explique qu’ils n’ont pas fusionné les 2 sites à 100% même si ils présentent énormément de similitudes.

Zap.lu et Hot.lu dans le futurDepuis 2007 Zap est devenue une plateforme beaucoup plus professionnelle et conviviale qui offre aux annonceurs et aux utilisateurs un admirable outil de communication. « Depuis fin avril nos utilisateurs ont déjà profité d’une nouvelle charte gra-phique ainsi que d’une interface largement améliorée. Jusqu’à la fin de l’année nous allons ajouter une multitude de fonction-nalités très intéressantes et prometteuses en totale adéquation avec les besoins de nos utilisateurs ».Toujours à l’écoute de la communauté Zap, Patric et son équipe s’affairent à augmenter l’interactivité, à développer les « pas-serelles » avec le monde réel afin de devenir un média et une source de renseignements incontournable de la vie nocturne et de l’événementiel au Grand-duché.

InteractivitéDès cet été Zap part à la rencontre de ses visiteurs via un stand itinérant sur plusieurs événements. Les spectateurs pourront ainsi se faire photographier devant une coulisse professionnelle et aussi gagner une multitude de lots. Le principe du jeu « Za-parazzi-Tour » permettra aux photographes en herbe d’envoyer leurs meilleurs clichés afin que les utilisateurs votent l’image gagnante de chaque évent. Pour plus de détails, rendez-vous sur zap.lu et hot.lu. †

Zaparazzi-Tour Dates 4.7. Ischgl Summernight (Canach)5.7. Palmarena (Foetz)12.7. Dudelange on Wheels13.7. Dudelange on Wheels26.7. Luxembourg Beach Open (Esch)27.7. Luxembourg Beach Open (Esch)8.8. E-lake (Echternach)9.8. E-Lake (Echternach)15.8.Sangria Party (Canach)

Texte : Fraenz SchintgenPhotos : Fraenz Schintgen / Claude Folschette

ZAP, le site communautaire number one

du Grand-duché.


«Street art, Post Graf, Urban Art- call it what you like, in its raw essence, to taunt or humour the public as liberating F*** You to the powers that deem our work vandalism.

Extrabold, a shop as well as gallery has so far executed 7 It’s not that you can’t be viewed as vandalism, but in my mind, every sticker, every tag seen on the street has a merit; be it the sprayed flick or a marker drip on a letter or even the illustra-tion style of a particular sticker bomber. Beauty is in the eye of the beholder and there is an aesthetic value and a passion sensed in each piece of work that’s up.(...) If the work was taken out of its urban context, placed on a canvas, given a hefty price tag and hung up in a gallery, it’s likely those same people that viewed it as vandalism would see it as art. Although to take the

work out of its urban context means the work nearly always loses something in transition, part of the creativity is how it integrates within the environment, the chosen spot which gi-ves it the finishing touch... There is something missing like the interaction and conflict of the work in location. The smack between the eyes of an amazing reach, the build up of tags on a shutter or the layering of stickers on the back of a street sign. Each mark is a reminder to those virtually aware enough to notice that we were here as well as a code to other artists that passed through and how fresh the work is when that journey took place. Only the initiated know to whom these pseudonyms belong to.» †

D*Face, The art of rebellion, 2006 – available at Extrabold for 19,90

Place your stickers here please!



La maxime d’Armand, le gérant du Spacy, résu-me parfaitement la mentalité de la maison : une petite cuisine rapide et variée à prix allégés. Tout est dit ou presque…

Ce bar resto situé en plein cœur de l’effervescence de la rue de Hollerich, exactement à côté du Passage Fitness, vous accueille pour vous restaurer ou simplement boire un verre. Le Spacy s’agence sur deux niveaux et permet d’accueillir 80 convives. La première salle immaculée et zen complète la seconde acces-sible via quelques marches, décorée façon chalet savoyard. De plus, l’établissement offre 25 couverts supplémentaires sur sa terrasse en bois, le détail non négligeable de l’été. Les cuisines sont le terrain du chef qui se démène pour vous concocter une cuisine simple et de qualité. A l’heure du lunch, la maison vous propose 6 plats du jour à 9,50 euros. L’entrée vous est gracieusement offerte et chaque semaine la totalité des plats changent en empruntant les meilleures saveurs de la cui-sine internationale. Au choix, salade de scampi à la provençale, pavé de saumon grillé beurre bordelaise pommes vapeur, vitello tonato salade mêlée, filet de volaille grillé au curry riz basmati, etc. Une constante reste pour le plus grand plaisir des gourmets : la grillade. En soirée la carte reste vraiment abordable et tout aussi agréable. Le Spacy propose tous ses vins au verre, en pi-chet ou en bouteille à prix tout doux.Enfin, pour fêter le week-end, la direction vous offre un cock-tail maison tous les vendredis midi. †

Déjeuner : du lundi au vendredi de 11h à 15hDîner : Du mercredi au samedi dès 19 h

21 rue de HollerichL-1741 LuxembourgT : 27621932F : [email protected]

Sébastien

Spacy

eBuon gusto

& petits prix

Murs XVIIe

& ambiance lounge

À deuxcomme à cinquante

Déjeuners sur le pouce& dîners gastronomiques

Vins de plaisir& grands crus

Prosecco Bar - Restaurant10 rue Louvigny Luxembourg/Ville

Tél. : +352 26 26 85 85 - www.bastacosi.lu

Basta Così, un concentré d’Italie


Parler de ce restaurant, véritable monument de la gastronomie luxembourgeoise, sans enfoncer des portes déjà maintes fois ouvertes, relève de la gageure. Nous avons pris l’apéritif dehors et s’il ne manquait pas une vingtaine de degrés, nous pourrions déjà nous croire en Italie, les arbustes savamment répartis sur la terrasse, nous invi-tent au dépaysement nécessaire au voyage gusta-tif et transalpin qui nous est proposé dans cette honorable maison.

La sobriété de la décoration intérieure ne dément pas cette première impression, murs blancs, nappes, assiettes et fleurs blanches, rehaussée par le gris des portes et des rideaux et quelques peintures qui apportent ici et là une touche de cou-leur, cet endroit est organisé, agencé, pour mettre en valeur les mets et les vins qui nous sont servis.Dès le début de ce repas nous sommes dans l’ambiance, fleur de courgette farcie à ricotta et crème de petit pois accompagnée par un Barollo blanc, homard pulpe de tomate, petits pois, huile de Sicile et son vin blanc du Piémont qui a également soutenu les parpadelles jaunes d’œuf ragout de poulet au safran qui ont suivi. Nous ne tarirons pas d’éloges quant à la cuisson parfaite du pigeon et sa garniture (peut-être trop classique ?) avec le-quel nous avons pu déguster un Barbera d’Asti rouge qui, après avoir respiré quelques temps et retrouvé sa température idéale, a révélé sa vraie nature et des parfums exceptionnels.Puis vinrent les desserts, c’est la saison et nous ne résistons pas à la coupe de fraises des bois aux olives Taggiasche et sorbet ba-silic, ni d’ailleurs aux bonbons farcis sauce caramel à l’orange. Nous terminons ce voyage par un excellent café servi avec des mignardises maison et l’ultime plaisir d’un chocolat au vinaigre balsamique… †

Jours de fermeture : lundi, samedi midi, dimancheFermeture(s) annuelle(s) : 25/12-1/01 - 1 sem. Pâques, 3 sem. août

Restaurant Mosconi 13 rue MunsterL-2160 Luxembourg Tél: +352 54 69 94Fax: +352 54 00 43www.mosconi.lu

Budget moyen par personne:À la carte: (3 services + vin) : 90 euros Lunch (2 services hors vin) : 40 euros

Les Ducs

Mosconi


stevekugener.comViru kuerzem hat ech d’Chance eng Legend op den Telefon ze kréien: den Gene Simons! Ganz frëndlech huet hien mir Ried an Äntwert gesta-nen...

Ganz einfach, mir sin elo prett fir eng nei Tour. Mir waren eis alleguer eens, dass 2008 de richtegen Moment wier nach eemol ze weisen wat mir kënnen... mir sinn dofir och sécher dass et e Succès gëtt!

Jo! Mir si souguer nach vill méi fit, well mir keng Drogen méi huelen (smile)!

Genee! Soubal mir een erwëschen vun der Band deen Drogen hëlt, geheien mir hien direkt eraus! Kiss ass 100% clean.

Nee. Mee op mannst wësse mir awer dass et Lëtzebuerg iwer -hapt gëtt. Vill Leit wëssen dat jo guer net... t’ass jo och nor-mal bei esou engem komplizéierten Numm. Kéint dir d’Land net einfach ‚Lux’ nennen? Daat verhält wéinstens jiddereen... (smile).

Jo, super Iddi (smile)! Ma de Public erward déi bescht Show vun hirem Liewen. Mir wärten alleguer eis al Hits spillen an esou d’Rockhal zum kachen bréngen! †

STAR INTERVIEW

GENE SIMONS (KISS)


PREVIEW

LLORET DEL MAR

43, rue de Hollerichyouzclub.comEt gett neies aus dem Youz Club an der Hollere-cher Stroos! As dem Grond hun ech mech mam Guy vum Youz Club ënnerhaalen...

Ganz einfach, mir hun elo een neit Konzept, an zwar gëtt de Youz elo an 2 gedeelt:- Front Bar am neiem Retro-Look. Hei leeft nemmen Alterna-tiv Musek.- Back Bar am Club-Look. Hei leeft Electro an House.

Richteg. An der Woch kascht de Béier an d’Soft Drinks 2.50an jhust Weekends bei enger Nuit Blanche bis 6 Auer froën mir 3.00 , waat awer eiser Meenung noo net ze deier ass, wann een et mat aaner Clubs vergläicht.

Jo, den Giordano. Nieft sengem Job am Youz huet hien nach een eegent Geschäft - den G-Spot, am Olliewood - an ass Bas-sist vun der Punk-Band Versus You. Hien ass mat Sécherheet eng Beräicherung fir eis Equipp!

Et ass all Dag op! De Programm:Méindes & Dënschtes: Best of 80s, 90s & vun hautMëttwoch: Drum’n Bass oder Rock mam DJ BazookaDonneschtes: Rock mat live Bands an DJ’enWeekend: Alternative/Rock am Front- & House/Electro am Back Bar. †

EVENT REPORT

eldoradio.luLeschte Mount war de Rock am Ring - dee Festi-val dee scho Méint virdrun ausverkaf war.85.000 Fans hunn um Nürburgring gerockt, an dat bei Headli-ner wéi Offspring, Metallica, Rage Against The Machine an den Toten Hosen.Net nëmmen als Fan freet ee sech all Joer nees op dëse Mega-Event, mee och d’Museker sinn ëmmer nees frou mat dobäi ze sinn.Sebastian vu Madsen: ‚Mir hoffen all Joer um Ring dierfen ze spillen. Déi ganz Ambience ass einfach genial, a wann een dann virun dausende Leit op der Bühn steet... dat Gefill kann een einfach net beschreiwen.’Ossi vun Johnossi: ‚Mir kommen aus Schweden, an hunn de Rock am Ring ëmmer nëmme vun der Télé kannt. Dass mir elo selwer hei spillen ass einfach immens.’De Rock am Ring ass op alle Fall ee Festival deen een on bedé-ngt muss erliewt hunn. Foto’en vun de Concerten an aus dem Backstage ginn et op www.eldoradio.lu. †

D’Exame sinn eriwwer an déi zukünfteg Studente wëllen elo richteg d’Sau eraus loossen. Néierens geet dat besser wéi zu Lloret del Mar. E Reportage am nächste Luxuriant.†

Steve Kugener

ROCK AM RING

PLACE2BE

YOUZ CLUB


Il reste peu de temps avant les grands départs les filles, les minis et les combi-shorts frétillent dans les placards, je les entends d’ici !Très bientôt nos jolies cuisses de gazelles seront à la fête, à peine dissimulées sous ces minuscules morceaux de tissus, chaussées de sandales com-pensées et légèrement hâlées, certains auront les yeux baladeurs c’est certain… et c’est si bon.En attendant de se regarder le nombril les or-teils en éventail, il va falloir se bouger un peu. Un petit manque de fermeté, un léger doute sur la tonicité de vos muscles ? Pas de panique, j’ai la solution : PEDALEZ !Plus qu’un simple moyen de locomotion à la mode, en plein tsunami de développement dura-ble et de protection de l’environnement, le vélo est vraiment le meilleur moyen de réveiller nos gambettes ramollies pendant les quelques jours qui nous séparent encore des congés d’été.

Pas de fine bouche, que l’on soit adepte du tout terrain le week-end ou du deux-roues citadin, il y en a pour tous les goûts, des pros de la pédale aux débutantes qui ne disposent que de petits mollets affaiblis, tout le monde trouve son vélo et pour celles qui n’en ont pas : les « Vel’oh » sont là !Prêtes ? Pédalez en ville, pédalez pour faire vos courses, pour aller acheter vos cinq fruits et lé-gumes au marché, pédalez pour le plaisir aussi… quelles que soient les raisons, le maître-mot est de profiter de toutes les occasions pour slalomer entre les gouttes, les lunettes de soleil vissées sur le nez et les cheveux au vent… vous verrez, vous vous sentirez pousser des ailes.Envie de vous plaire ? Buvez, bichonnez, bou-gez… et pédalez.

Le temps de se bichonner – Villa PompeiPas de sport sans préparation physique et pas d’effort sans ré-confort, il faut se réserver des phases de récupération les plus délicieuses possibles. Le cadre exceptionnel des thermes de la Villa Pompei, où se mêlent art antique et art de vivre, est un lieu unique qui convient à tous. Plus qu’un simple bain dans l’eau magique des sources chargée d’éléments qui bichonnent la peau et les sens, c’est aussi une belle philosophie du bien-être que l’on découvre dans l’Agora Thermale : peignoirs douillets, marbres chauds, transats moel-leux et silence… une pause de plaisir pur entre hammam, sau-na, bain et jets massants.Alors, avant et après l’efforts, plus aucune hésitation : on lâche son vélo pour détendre les plus courbatues et tonifier les plus rouillées ! On se laisse aller entre les mains habiles des hy-drothérapeutes, esthéticiennes et kinésithérapeutes, qui savent stimuler et apaiser le feu de ces satanés muscles qui retrouvent doucement leur tonus. Et pas d’inquiétude pour les difficiles : dans la palette de soins qui allient les plaisirs du corps et de l’esprit, chacune trouvera son bonheur... et le secret c’est qu’on peut y aller avec son mâle favori ou entre copines, ils ont tout prévu à la Villa : il suffit de préciser que l’on veut un soin pour Chéri & Soi, et les hôtesses se mettent en quatre pour que vous ne vous quittiez pas trop longtemps. Entre filles c’est pareil. En plus, On appré-ciera particulièrement le sens de la discrétion du staff qui reste discret mais toujours tellement prévenant. C’est dit, plus besoin de partir loin pour échapper au stress du quotidien et se laisser emporter au fil d’un voyage intérieur où les tours de moulinets s’oublient bien vite… c’est juré !Soins sur réservation - Villa Pompei – Tel : 08 11 09 09 00 ou 03 87 70 99 20 – Pôle Thermal d’Amnéville les Thermes

Blabla


Le moment de se bouger – Ve’loh !Une, deux, on s’agite… mais pas n’importe comment ! On fait du bien à son corps et à notre planète en même temps parce que oui, c’est possible en ayant le réflexe « Vel’oh ! », ces beaux deux-roues gris et bleus mis à notre disposition par la ville de Luxembourg pour galber nos jolies paires de cuisses. Grâce à vos efforts, l’air sera plus respirable pendant les cha-leurs de l’été et vos gambettes seront fermes. Alors, stop au cycle infernal fauteuil de bureau – siège de voi-ture – strapontin de bus et canapé devant la télé : on chausse son « Vel’oh ! » pour une balade dans notre jolie capitale à (re)découvrir sous le soleil, sans embouteillage.Roulez à « vel’oh », remise en forme et bonne conscience as-surées !Vél’oh – Tel 800 611 00

L’heure de saliverPas de régime draconien mais un petit plat bien équilibré qui donne de l’énergie ! Il faut bien manger pour bien se dépenser, c’est ça le secret.Je craque pour les macarons de chez Oberweis… en un coup de pédale, on se retrouve devant la vitrine déjà en train de sa-liver : rose, framboise, citron ou tout chocolat ?C’est l’été !! Mangeons des macarons aux fruits pour se donner bonne conscience. Magasins :Cloche d’Or, Luxembourg – Ville, Gare Centrale, City Concorde et Centre commercial Kirchberg.Plus d’info sur www.oberweis.lu - Tel : (+352) 40 31 40-1


Le moment de s’évader - MamerMamer raisonne de tradition et autour de son clocher, c’est une véritable ville qui s’anime pour offrir une large palette de services dédiés au plaisir de chacun, mais le meilleur hot-spot pour nos mollets arrondis c’est le « Service Mamer Velo » : plus de trente deux-roues répartis sur cinq stations vous attendent porte-bagage ouvert !Rien de plus agréablement efficace pour faire un tour au Ma-mer Schlass, château reconstruit en 1830 et restauré de 1999 à 2002, jusqu’au Centre Culturel, sans oublier de s’arrêter au Mamer Maart, pour se concocter un esprit sain dans un corps sain !On s’occupe de notre corps en premier, pour l’esprit on verra plus tard… Une alimentation saine passe par des produits de choix, et ça c’est la spécialité du « Mamer Maart », un petit bijou tout à fait unique en son genre avec une véritable atmosphère de marché, produits de qualité bio à l’appui. Et en plus c’est joli, plein de couleurs et la place de l’indépen-dance fourmille de badauds, il ne faut pas hésiter à discuter pour prolonger le plaisir puisque la place s’anime joyeusement chaque 1er et 3e vendredi du mois de 16.00 à 19.00 heures.Après toutes ces rotations de moulinet avec les courses vissées sur le porte -bagage, un peu de courage pour la prochaine étape qui vous emmène au Musée International d’Effets de Gendar-merie et Police ! Pas d’excès de vitesse jusque Capellen où les fans d’uniformes seront servies : depuis la fusion de la Gendar-merie Grand-Ducale et de la Police de Luxembourg, l’histoire des deux corps de force de l’ordre a été préservée par la famille Ries, qui a prêté cette collection « soooo sexy » à la ville.

Un parcours historique retracé par des ouvrages anciens, plus de cinquante mannequins en habits et une collection de cou-vre-chefs hors norme.L’uniforme, ça met des étincelles dans les yeux de certaines, d’ici à ce que Capellen connaisse le pire embouteillage de vélos de son histoire, il n’y a qu’un coup de pédale les filles !Mamer maart –18 juillet Infos Mamer Tel: 31 00 311

Les secrets d’alcôvePour être belle sur son vélo il faut avoir la tenue qui convient. Exit les affreuses combinaisons de cycliste aux couleurs atro-ces, il faut absolument soigner le style : sobre, près du corps pour ne pas coincer le bas du pantalon mais élégant. On trouve pléthore de boutiques spécialistes de la bicyclette au Luxembourg, mais chez Citabel Sports, ce sont plus de 4000 mètres carrés mis à disposition pour satisfaire nos envies de sportives ! Et qui sait, on se trouvera sûrement un nouveau défi à relever, roller en ligne, jogging ou yoga… c’est si bon de se bouger.Citabel Sports– Leudelange – Tel: +352-37 97 37 †

Caro


Le parcours électronique ou comment devenir hype sans t’en rendre compte.

Le disque du mois : Compilation 07/08 – Schnurstrax recordLe label Schnurstrax record est peut-être l’un des labels les plus surprenants du moment. Comment ce pur cru luxembourgeois a-t-il réussi à compiler des perles ambiantes aussi hallucinan-tes ? Derrière ce projet se cache Ralph, qui signe un morceau sous le nom de « Fracture » (première partie de Digitalism à la Rockhal), un passionné de musique électronique dont le talent et la sympathie sont inversement proportionnels à la facilité qu’ont les francophones pour prononcer le nom de son label ! La compilation est à l’image de son projet : éclectique et mul-ticulturel! On passe d’une ambiance électronique (les irlandais de JC+GK) à du rock psyché (l’américain Protecius) en passant par du groove minimal (les chicagoans Company of Big Beats). Cette compilation c’est la rencontre d’Orbital avec les Boards of Canada ! A écouter un dimanche en fi n d’après-midi sur les bords de la Moselle…

Site web : www.schnurstrax.net et www.myspace.com/schnurstraxet

Le livre du mois : Around The World Daft Punk par Violaine Schütz – Éditions ScaliQuand Violaine me proposa de chroniquer son premier livre sur les Daft Punk, je me suis immédiatement dit qu’elle tenait le sujet pour faire un best-seller cet été, tant la nimbe du groupe est teintée d’admiration et de mystère. Violaine baigne dans la musique électronique (DJ avec le groupe JVC) et possède une plume plutôt agréable (journaliste chez Tsugi). Une question se pose de suite : « Quoi de neuf sous le soleil des Daft ? ». Et bien le livre ne nous apporte rien sur ce point pour une simple et bonne raison : ce livre n’est pas un livre sur le groupe mais sur un des morceaux les plus emblématiques des Daft Punk, le bien nommé « Around the World », succès planétaire de 1997. Et cela change tout. L’auteur a réussi à dresser un pont élec-tronique entre les précurseurs du mouvement « House » et les fl uokids qui ont raté, pour cause de frottage de fond de culotte sur les bancs de l’école primaire, l’avènement du mouvement le plus révolutionnaire depuis l’invention du rock’n’roll ! Je saluerai, dans ce livre, l’excellente idée d’interviewer Serge Ni-colas, graphiste du groupe sur le premier album, qui a permis aux Daft, par son entremise, de signer sur le mythique label Soma et de lancer leur carrière. Exceptée la partie où Violaine demande à quelques artistes et amis de faire leur propre criti-que du morceau, un passage un peu vide, je ne peux que vous conseiller d’acheter ce livre, excellent résumé de vingt ans de musiques électroniques, qui vous donnera une solide culture sur la « French Touch » et qui vous permettra d’en savoir un peu plus (quand même !) sur le duo de robots le plus vénéré de la planète ! †

Laurent

Le parcours électronique #2


Mais que se passe-t-il dans notre proche nei-ghborhood ? Que nous réservent nos cousins frontaliers dans leurs salles de concerts ? Vrai-semblablement le programme sera composé par de la grosse guitare sanglante et cinglante : la new-wave de The Faint au Botanique de Bruxel-les, la hargne de Die Ärzte en Sarre et l’hystérie massive de Mass Hysteria au 112 à Terville. Bran-chez les guitares et gardez nous des tickets, amis voisins !

Die Ärzte, mercredi 13 août au Jazzfäst à LosheimLes trois sauvageons de Die Ärzte massacrent les radios teuton-nes depuis plus de deux décennies. Les rockers combinent l’hu-mour et les rythmes punks lors de chacune de leurs représenta-tions endiablées. Assimilés à des demi-dieux chez nos confrères allemands, Die Ärzte poussera la chansonnette à Losheim lors du Jazzfäst. Notez que le trio sortira bientôt son très attendu nouvel album intitulé « Jazz ist anders » dont le premier maxi « Junge » cartonne déjà en tête des charts allemands.

The Faint, mardi 2 septembre au Botanique à Bruxelles Originaire du Nebraska, The Faint évolue dans un univers punk au sein de la scène underground. Après plusieurs albums sor-tis sur le label Saddle Creek Records, les Américains viennent de pondre leur quatrième album studio sur leur propre label blank.wav. «Fasciination» est un subtil mélange d’electro et de new-wave. Entre les guitares rock et le jeu du synthétiseur, on se délecte de la voix souvent électroniquement déformée du chanteur.

Mass Hysteria, vendredi 19 septembre au 112 à TervilleMass Hysteria enfonce le clou une fois de plus sur les planches de la salle qui monte, le 112 de Terville, à quelques dizaines de bornes de la frontière. Enhancer et Seyminhol assureront bruyamment la première partie du show. Les métalleux hys-tériques éroderont nos tympans avec les meilleurs tubes de « Une somme de détails » leur dernier album, un opus lumineux façonné par une hargne dévastatrice et salutaire. Mass Hyste-ria nous fera headbanger sur des riffs tranchants et aiguisés et nous poussera toujours à lever la tête et à regarder ce qui se passe autour. Soyons plus durs, plus hardcores et plus cinglés que jamais ! †

Sébastien

Neighborhood


Sortie le 18 juilletWantedAvec James McAvoy, Angelina Jolie, Morgan FreemanRéalisé par Timur Bekmambetov

Sortie le 18 juilletGet SmartAvec Steve Carell, Anne Hathaway, Alan ArkinRéalisé par Peter Segal

Sortie le 18 juilletSuperhero MovieAvec Christopher McDonald, Drake Bell, Sara PaxtonRéalisé par Craig Mazin

Sortie le 25 juilletThe Love GuruAvec Mike Myers, Jessica Alba, Romany MalcoRéalisé par Marco Schnabel

Sortie le 25 juilletX-Files 2Avec David Duchovny, Gillian Anderson, Lance HenriksenRéalisé par Chris Carter

Sortie le 25 juilletNightwatchingAvec Martin Freeman, Emily Holmes, Michael TeigenRealisé par Peter Greenaway

Sortie le 8 aoûtThe Mummy 3 - Tomb of theDragon EmperorAvec Brendan Fraser, Jet Li, Luke FordRéalisé par Rob Cohen

Sortie le 8 août St. Trinian’sAvec Rupert Everett, Colin Firth, Jodie WhittakerRéalisé par Oliver Parker et Barnaby Thompson

Sortie le 15 aoûtThe Dark KnightAvec Christian Bale, Heath Ledger, Michael CaineRéalisé par Christopher Nolan

Sortie le 22 aoûtMeet DaveAvec Eddie Murphy, Gabrielle Union, Ed HelmsRéalisé par Brian Robbins

Sortie le 29 aoûtBabylon A.D.Avec Vin Diesel, Mélanie Thierry, Michelle YeohRéalisé par Mathieu Kassovitz

Sortie le 5 septembreAwakeAvec Hayden Christensen, JessicaAlba, Lena OlinRéalisé par Joby Harold

Sortie le 12 septembreMirrorsAvec Kiefer Sutherland, Paula Patton, Cameron BoyceRéalisé par Alexandre Aja

Sortie le 19 septembreBaby MamaAvec Sigourney Weaver, Tina Fey, Amy PoehlerRéalisé par Michael McCullers

Agenda Cinéma


Vendredi 18 juillet

Don Ross & Andy McKee

No Vibrato

Jose Carreras

Die Dresdner Salon-Damen

Sonoc De las Tunas

Samedi 19 juillet

Hommage à Franz Liszt

Electronic Art

Andreu Martinez Project

Paolo Nutini

Power!Percussion

Concert Lisa D’Arrigo Mariotto

Seal

Eliane Elias

Frek’n chic

Dimanche 20 juillet

Art In Beaufort

DB – Festival

The Mars Volta

Laurence Koch

Blues’n Jazz Rallye

Mardi 22 juillet

The Beatles Revival

Glenn Miller

Mercredi 23 juillet

Simmer Duerfmusek

Vendredi 25 juillet

Sundance festival

Samedi 26 juillet

Telmor Pires – Atravez do Fado

Stoneage, Umek

We Wear Shades

Dimanche 27 juillet

Edith van den Heuvel & Trio

Mardi 29 juillet

Jeudi 31 juillet

Fury In The Slaughterhouse

Bense et Claire Denamur

Kayldallbléiser

Vendredi 1er août

Benedikt reidenbach Quintet

Samedi 2 août

Heritage Blues Company

Little John and the Cadillacs

Dimanche 3 août

Das Linke Pedal

Mercredi 6 août

We love Wednesday


Vendredi 8 août

Kiss the funk

Lamy & Simoes Guitars Duo

Samedi 9 août

Pale Obsession & Chrisband

Freak’N Chic

Dimanche 10 août

E-lake

Cédric Hanriot Trio

Mardi 12 août

Jeudi 14 août

Cap Country Band

Vendredi 15 août

Charlie Mariano und Paul Shigihara

Two pro-miles

Lisa d’Arrigo Mariotto

Dimanche 17 août

B+3

Jeudi 21 août

James Harvest

Vendredi 22 août

Paul Fox Trio feat Maxime Bender

Dimanche 24 août

Rhiaz Khabirpour Quintet

Mercredi 27 août

Plain White T’s

Klappstuhl

Vendredi 29 août

Christian Pabst Trio

Samedi 30 août

Rock this Town

Dimanche 31 août

Hornstrom

Vendredi 5 septembre

Festival Terres Rouges

Die Nacht der Klassiker

Samedi 6 septembre


Dimanche 7 septembre


Samedi 12 septembre

Festival Strassen

Dimanche 13 septembre

Festival Strassen

Mercredi 17 septembre

Yael Naim

Samedi 20 septembre

REM

*Date* *Show* *Style*

Sat, 19th July Paolo Nutini Singer/Songwriter Sun, 20th July The Mars Volta Prog RockTue, 12th July Maximo Park Indie RockWed, 27th July Plain White T’s PopThu, 4th September Conor Oberst IndieWed, 10th September The Faint AlternativeFri, 12th September Bréissler Bal PartyWed, 17th September Yael Naim Folk/PopSat, 27th September dEFDUMp Whatever coreFri, 3rd October In Flames & Gojira MetalTue, 7th October Infadels Rock/ElectroWed, 8th October Queen & Paul Rodgers (At Rockhal) RockSat, 18th October Heather Nova Singer/SongwriterTue, 21st October Cyndi Lauper Timeless PopSat, 25th October Blackmail Alternative RockTue, 28th October Monster Magnet Stoner Rock

Den Atelier 54 rue de Hollerich L-1740

Luxembourg www.atelier.lu

*Date* *Show* *Style*

Sun, 2nd November Blood Red Shoes Punk/Disco HouseTue, 11th November Paul Gilbert Guitar VirtuosoWed, 12th November Nneka Soul/R’n’BSun, 16th November Mercury Rev Experimental/IndieSat, 6th December Camille PopSat, 13th December Bullet for My Valentine MetalMon, 15th December Slipknot at Rockhal MetalFri, 10th April Bréissler Bal Party

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BELIER (21 mars — 20 avril) :Amour : Sea, Sex and Sun. Il y a du rock à Calvi !Travail : Vous devriez partir travailler à l’étranger

quelques mois. Et pourquoi pas à Amsterdam ? Il y a plein de veuuulos là bas !

TAUREAU (21 avril — 20 mai) :Amour : Et vous voilà devenu(e) polygame ! Vo-tre cœur reste insatiable, c’est pourquoi vous vous

délectez de plusieurs passions à la fois. Et comme la vie est bien faite, si vous êtes un homme, vous serez un tombeur, mais si vous êtes une femme, vous serez une salope.Travail : Vous êtes ambitieux, décidé et travailleur, prêt à écra-ser tous ceux qui vous feront obstacle. Haha, Taureau a pris la grosse tête, il se prend pour Rambo au bureau !

GEMEAUX (21 mai — 21 juin) :Amour : Gémeaux veut trouver l’âme sœur ! Pour-quoi pas… Un peu comme des millions d’inscrits sur

Meetic. Ce n’est pas derrière son ordinateur qu’on rencontre l’amour, alors sortez !Travail : Faites le tapin, ça paie bien (et au moins vous serez dehors !).

CANCER (21 juin — 22 juillet) :Amour : Il y a quelqu’un dans votre entourage qui vous plaît beaucoup. Manque de bol, dès que vous

l’apercevez, vous perdez tous vos moyens. Ca va, on n’est plus au collège là, vous n’allez pas envoyer votre meilleur(e) ami(e) vous obtenir un rancard, non ?! Ah, la timidité quel fléau !Travail : Mars et Pluton me disent que vous devriez sérieu-sement arrêter de vendre de la drogue, ça ne paiera pas votre retraite.

LION (22 juillet — 23 août) :Amour : Mon dieu, mais qu’est ce que vous êtes nombriliste ! C’est effrayant, et à votre âge en plus,

ça en devient écœurant ! Vous devriez faire attention aux gens qui vous entourent car sinon vous allez finir par regarder « Quiveut gagner des millions » seul(e) devant votre télé. Et vous savez quoi, ça sera bien fait pour vous, na !Travail : Courage ! Les temps sont durs et vous n’aimez pas ce que vous faites mais après tout ça en vaut la peine, non ? Votre boss est canon !!!!

VIERGE (23 août — 23 septembre) :Amour : Alors Vierge, on est devenu une bête de sexe ?!Travail : Vierge ne pense qu’à baiser donc Vierge

ne va plus travailler.

BALANCE (23 septembre — 23 octobre) :Amour : Cessez de revoir vos ex, le réchauffé ca ne donne rien. Je répète : cessez de revoir vos ex, le

réchauffé ça ne donne rien. Ai-je été claire ?Travail : Vous travaillez trop et de ce fait vous êtes stressé(e) en permanence. Calmez-vous et rejoignez la communauté de Maître Ganja. Préparez-vous à un voyage sensoriel des plus mystiques…

SCORPION (23 octobre — 22 novembre) :Amour : Vénus rencontrant Pluton en ce cycle de troisième lune, vous allez enfin rencontrer l’amour

de votre vie. Nan, sérieusement, vous croyez vraiment à ces conneries ?!Travail : Il serait peut-être temps de vous investir plus et d’ar-rêter de croire que tout tombe du ciel. A part une crotte de pigeon sur la tête, je ne vois pas ce que vous attendez.

SAGITTAIRE (22 novembre — 22 décembre) :Amour : Arrêtez de fliquer votre fiancé(e), à moins que vous ne souhaitiez que l’on vous surnomme

« Vigipirate » ! Apprenez à faire confiance. Ce n’est certes pas évident, mais vous serez bien plus heureux (euse) après.Travail : On ne peut pas vraiment dire que vous allez avoir des vacances cet été, alors allez faire des UV.

CAPRICORNE (22 décembre — 21 janvier) :Amour : Ne vous laissez pas emporter par vos émo-tions. Vous devez apprendre à discipliner votre men-

tal et surtout à réfléchir avant d’agir, vous vous éviterez ainsi bien des situations délicates !Travail : Vous faites la chochotte, si la chochotte ! Vous avez mal à tête, vous êtes fatigué(e)…, en gros vous passez votre temps à vous plaindre. Bosser en silence, ça ne vous dit rien ?

VERSEAU (21 janvier — 20 février) :Amour : Quelle tristesse, votre vie n’est que routine. Achetez-vous un déshabillé coquin chez Agent Pro-

vocateur. Normalement, cela devrait remuer tout ça.Travail : Investissez dans un réveil, le minimum c’est quand même d’arriver à l’heure le matin.

POISSONS (20 février — 21 mars) :Amour : Faites la fine bouche, misez sur la qualité et non la quantité. Vous n’en avez pas marre de vous

réveiller avec des monstres le matin ?! Avec un peu de chance que le Monstre ne veuille pas rester pour le petit déjeuner…Travail : Volez le sac d’une mamie. †

Mademoiselle Léa Revon

Horoscope de juillet-août

NOUVEAU RENAULT KOLEOS. Aussi à l’aise en milieu urbain qu’en utilisation off-road, ce Crossover 4x4 de

Renault bénéficie de réelles capacités de franchissement grâce à sa transmission 4WD signée Nissan. Que ce soit en version 4x4 ou

2x4 roues motrices, il possède non seulement un design séduisant, mais aussi le confort, la luminosité, l’habitabilité et la sécurité

qui incarnent pleinement la marque Renault. Il y a déjà un Koleos 2.5 16V 170 ch 2WD à partir de 22.700*.

* Prix de lancement TVAc réservé aux particuliers pour toute commande d’un Koleos neuf version Dynamique 2.5 16V 170 ch 2WD, passée avant le 31/08/08. Modèle illustré : Koleos Dynamique Plus 2.0dCi 150 ch 2WD. Prix catalogue options incluses : 28.940 TVAc. Essence : consommation moyenne (l/100 km) de 9,6. Emission CO

2 (g/km) de 230. Diesel : consommation moyenne (l/100 km) de 7,2 à 7,4. Emission CO

2 (g/km)

de 191 à 197. Donnons priorité à la sécurité.

NOUVEAU RENAULT KOLEOS. 4X4 À L’EXTÉRIEUR, RENAULT À L’INTÉRIEUR.

www.renault.lu

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Luxuriant N°2