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Son Excellence Monsieur

ISMAIL OMAR GUELLEH,Président de la République,

Chef du GouvernementChef suprême des Armées

Son Excellence Monsieur

ISMAIL OMAR GUELLEH,Président de la République,

Chef du GouvernementChef suprême des Armées

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Vœux du chef d’Etat-Major de la Gendarmerie Nationale

A l’occasion de la célébration du 39ième anniversaire de l’accessionde notre

pays à l’indépendance

Le Colonel Zakaria Hassan Aden, Chef d’Etat-major de la Gendarmerie Nationale,

adresse ses meilleurs vœux de santé et de prospé-rité à S.E Monsieur ISMAIL OMAR GUELLEH, Président de la République et Chef suprême des

Armées et à S.E Madame la première Dame, Madame KADRA MAHAMOUD HAID, Prési-

dente de l’UNFD et à l’ensemble de leurs familles.Le Chef d’Etat-major adresse également ses vœux

à l’ensemble du personnel civil et militaire.

Le Colonel Zakaria Hassan Aden, Chef d’Etat-major de la Gendarmerie Nationale, adresse enfin ses remerciements les

plus sincères à nos sponsors pour leur précieux soutien.

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Vœux du chef d’Etat-Major de la Gendarmerie Nationale

A l’occasion de la célébration du 39ième anniversaire de l’accessionde notre

pays à l’indépendance

Le Colonel Zakaria Hassan Aden, Chef d’Etat-major de la Gendarmerie Nationale,

adresse ses meilleurs vœux de santé et de prospé-rité à S.E Monsieur ISMAIL OMAR GUELLEH, Président de la République et Chef suprême des

Armées et à S.E Madame la première Dame, Madame KADRA MAHAMOUD HAID, Prési-

dente de l’UNFD et à l’ensemble de leurs familles.Le Chef d’Etat-major adresse également ses vœux

à l’ensemble du personnel civil et militaire.

Le Colonel Zakaria Hassan Aden, Chef d’Etat-major de la Gendarmerie Nationale, adresse enfin ses remerciements les

plus sincères à nos sponsors pour leur précieux soutien.

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8 -12 : Mot du Ministre de la Défense13-15 : Editorial16-19 : Coopération internationale23-31 : Discours du CEMGN39-41 : Contrebande : la lutte continue!45-47 : La Gendarmerie au féminin51-62 : Dossier Instructions65-69 : Affaires Résolues70-71 : Un grand pas vers le numérique72-73 : GGM en constante évolution74-75 : Gendarmerie transports Aériens76-77 : Infrastructures de La Gendarmerie 78-79 : Principaux Chefs Opératinnels83 : LaGendarmerie par les Grades

Son Excellence MonsieurABDOULKADER KAMIL MOHAMED

PREMIER MINISTRE

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8 -12 : Mot du Ministre de la Défense13-15 : Editorial16-19 : Coopération internationale23-31 : Discours du CEMGN39-41 : Contrebande : la lutte continue!45-47 : La Gendarmerie au féminin51-62 : Dossier Instructions65-69 : Affaires Résolues70-71 : Un grand pas vers le numérique72-73 : GGM en constante évolution74-75 : Gendarmerie transports Aériens76-77 : Infrastructures de La Gendarmerie 78-79 : Principaux Chefs Opératinnels83 : LaGendarmerie par les Grades

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MOT DU MINISTRE DE LA DÉFENSE,

CHARGÉ DES RÉLATIONS

AVEC LE PARLEMENT

S.E ALI HASSAN BAHDON

Offi cier, S/offi ciers et militaire du rangMatelot, aviateurs et Gendarmes, -Assistants Militaires TechniquesPersonnels féminins et civils,Volontaires du Service National Adapté

I. INTRODUCTION

Aujourd’hui, à la veille du 40ème anniversaire de notre indépendance nationale, jour où le peuple Djiboutien a retrouvé sa liberté et que notre pays a intégré le concert des Nation. A cette occasion, j’adresse mes vœux de santé, de prospérité et de succès à vous, à vos familles ainsi qu’à ceux qui vous sont chers.

Dans le cadre de cette manifestation nationale, ô combien importante, il est du devoir de chaque Dji-boutienne et de chaque Djiboutien et c’est un immense honneur et un devoir pour moi en ma qualité de Ministre de la Défense de rendre un vibrant hommage à nos vaillants soldats morts ou blessés sur les champs de bataille que ce soit pour la défense du territoire national ou lors d’opérations du maintien de paix.

Observons une minute de silence pour la mémoire de nos morts, et prions pour qu’Allah les accueille dans son paradis éternel, Amin.

En plus du devoir de mémoire, c’est aussi une occasion de dresser le bilan de l’année passée du Minis-tère de la Défense et de défi nir les grandes orientations pour les années à venir.

II. ETAT DE DEVELOPEMENT OPERATIONNEL

Etant un corps d’élite, la Garde Républicaine se renforce de plus en plus pour assurer la sécurité des plus hautes autorités de l’Etat et des hôtes des pays amis en visite à Djibouti. Ces mission d’honneur et de protection lui prévaut de maintenir sa capacité d’agir dans l’exécution de leur tâche.

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Cependant, on constate que l’amélioration dans la formation et la rénovation des infrastructures et des es-paces propices au repos aboutissent une bonne cohésion entre les unités et les services.

En ce qui concerne la sécurité intérieure, des escadrons mobiles et des brigades de la Gendarmerie nationale ont été mis sur pied, afi n d’assurer la sécurité et la protection des points sensibles notamment les corridors économiques, les biens et les personnes, ainsi que la lutte contre tous trafi cs illicites contribuant de ce fait à un meilleur développement de notre pays.

Dans les espaces maritimes et aériens, la Marine Nationale, les Forces Aériennes et les Gardes Côtes, dis-posant des capacités de détection, d’intervention, et de transport divers garantissent d’une manière perma-nente la surveillance et le contrôle des eaux territoriales et de la zone économique et exclusive (ZEE).

Quant aux forces terrestres , élément essentiel des opérations militaires, elles ont été dotées des moyens adéquats de puissance des feux, de mobilité et de rapidité d’actions pour faire face à toutes menaces poten-tielles.

Pour renforcer l’homogénéité et le dynamisme de cet ensemble, la formation continue occupe une place prépondérante au sein du dispositif de l’Académie Militaire Interarmées d’Arta et de l’Ecole Militaire du Président GOULED.

Cette formation met l’accent particulièrement sur les modules axés sur les technologies de l’informatique et de la communication, la connaissance et l’emploi de matériels en service, sans oublier l’instruction et l’entraînement collectif au profi t des forces.

Une des charnières des capacités opérationnelles des armées, c’est le rajeunissement des ressources humai-nes qui a été également consolidé par le recrutement de centaines des jeunes, en vue d’être à la hauteur des missions qui nous sont dévolues. Par ce biais le Ministère de la Défense contribue aussi largement à la lutte contre le chômage et à la réduction de pauvreté.

Afi n de rehausser le moral de nos soldats et d’améliorer leurs conditions de vie, des nouvelles constructions et des rénovations des infrastructures existantes ont été réalisées permettant ainsi de disposer des lieux de repos et des loisirs et nous comptons poursuivre ce travail dans les années à venir.

Je souligne que le soutien santé de nos forces de défense et de sécurité est considéré comme la clé de réus-site des opérations militaires et humanitaires par les hautes autorités du pays. L’inauguration récente de l’Hôpital Militaire Soudanais par le Président de la République, Chef Suprême des Armées, renforce ainsi les infrastructures existantes. Cet établissement hospitalier moderne est doté d’une capacité de 120 lits et des salles médicales spécialisées, avec un personnel hautement qualifi é composé de médecins spécialistes nationaux et soudanais.

Le but est de prendre en charge dans les meilleures conditions les patients aussi bien les militaires et leurs familles ainsi que les civils, tout en préservant la chaine sanitaire habituelle des différentes composantes mi-litaires à exercer leurs missions traditionnelles au niveau des corps pour désengorger l’Hôpital Militaire.

Toutefois, plusieurs projets à caractère institutionnel, opérationnel, et social ont été exécutés ou sont en cours d’exécution pour l’année 2017, notamment la revalorisation des conditions de vie des militaires et des gendarmes quia été rehaussée pour le bien être de la grande famille militaire.

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Il faut également souligner que le gouvernement a supprimé l’impôt de solidarité de 10% s’appliquant aux pensions de retraité des forces de défense et de sécurité pour soulager les personnes âgées et vulnérables..

Par ailleurs, la précédente loi d’orientation et de programmation d’équipement et de formation a été exécu-tée à un niveau acceptable et l’actuel plan quinquennal qui s’étalera de 2016 à 2020 devra préserver davan-tage le renforcement des capacités des forces de défense et de sécurité en termes de puissance des feux, de mobilité et de projection des unités.

C’est grâce à la volonté du Président de la République, Chef Suprême des Armées mais aussi son Gouverne-ment qui n’ont pas ménagé leur effort pour que notre outil de défense ait doté de capacités opérationnelles adaptées à chacune des composantes de nos forces de défense et de sécurité.

Cette nouvelle orientation de la politique militaire nous permettra de construire dans un avenir proche une armée de métier afi n de faire face aux menaces aussi bien à l’intérieur du pays qu’à nos frontières et qui sera apte à honorer les engagements internationaux.

III. LIEN NATION-ARMEE

Outre la sécurité globale, les forces de défense et de sécurité ont assuré la logistique de plus de deux cent bureaux de vote situés dans les cinq régions et dans la capitale lors des élections présidentielles du 8 avril 2016.

En effet, la mobilisation des unités spécialisées était primordiale pour l’accomplissement effi cace de ce type de mission exceptionnelle. Dans ces circonstances, je salue profondément les militaires et les gendarmes pour le comportement exemplaire et professionnel affi chés durant le déroulement de ces consultations po-pulaires.

Je sais par ailleurs que ces tâches opérationnelles ne vous ont pas détournées de votre objectif de garantir la défense et la sécurité des frontières et d’apporter comme auparavant de l’aide humanitaire aux populations rurales jusqu’aux coins le plus reculé du territoire et ce malgré le confl it frontalier que connait notre pays au Nord notamment.

IV. CONFLIT AVEC L’ERYTHREE

Ce jour du 18 mars 2016 restera gravé à jamais dans la mémoire de tous les Djiboutiens comme le jour de la libération de 4 de nos soldats après 8 ans de détention dans les geôles érythréens.

Tout l’honneur revient à la diplomatie de son Chef d’Etat SEM ISMAIL OMAR GUELLEH, Chef Suprême des Armées qui a posé comme condition sine qua non à l’ouverture des négociations le retour préalable de nos prisonniers à Djibouti. Ce fut un soulagement moral et psychologique pour les familles, les proches et tous les Djiboutiens qui souhaitaient aussi le retour du reste de nos prisonniers, comme l’a bien insisté le Chef de l’Etat.

Nous remercions sincèrement l’EMIR du Qatar Son excellence TAMIN BIN HAMAD ALA SANI pour son engagement personnel sans lequel nous n’aurions pas abouti à une telle issue favorable dans une situation de confl it qui perdure.

Mes remerciements vont également à l’ensemble du Gouvernement et du peuple frère du Qatar.10 11

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Néanmoins, nos forces de défense et de sécurité restent sur leur garde le long de nos frontières. Cepen-dant les frontières terrestres ne sont pas les seules sources de tension pour la République et les ennemis d’aujourd’hui ne revêtent pas une forme conventionnelle d’où l’intérêt d’une coopération politico-militaire internationale afi n de prévenir les confl its et d’en venir à bout.

V. COOPERATION MILITAIRE- PIRATERIE – TERRORISME

Situé dans une zone hautement stratégique, Djibouti accueille des forces armées de certains pays de l’Asie, de l’Europe, de l’Amérique et du Péninsule Arabique sur son sol, pour faire face aux défi s sécuritaires mon-diales. C’est dans ce cadre que Djibouti fait partie intégrante de la coalition de lutte contre le terrorisme, la piraterie et le maintien de paix pour la consolidation de la paix, de la sécurité et de la stabilité dans des foyers de confl its surgissant dans le monde.

Pour nous, c’est une réalité stratégique de participer aux actions politiques et militaires aux côtés de la communauté internationale pour éradiquer le phénomène de piraterie et de terrorisme qui sévissent dans le monde et engendrent les populations très vulnérables. Grâce aux efforts conjugués de la coalition interna-tionale et de la République de Djibouti, les actes de piraterie ont largement diminué mais nécessite toujours le maintien de la présence accrue des moyens aériens et navals engagés dans l’espace maritime de la mer Rouge et de l’Océan Indien ainsi que dans d’autres régions du monde.

A travers cette volonté politique, Djibouti honore parfaitement ses engagements en facilitant les prestations des services qui contribuent à l’opérationnalité des coalisions dans des missions internationales où régio-nales. Aussi, nous continuerons à poursuivre cette impulsion d’élargissement de la coopération militaire pour diversifi er les champs d’action de notre politique de défense et de sécurité, tout en ayant à l’esprit la neutralité politique dont Djibouti fait preuve depuis l’indépendance en 1977.

VI. PARTICIPATION DES OPERATIONS DU MAINTIEN DE LA PAIX

En effet, un effort exceptionnel a été fait dans les opérations extérieures sous l’égide de l’Union Africaine et des Nations Unies, dans le cadre des opérations du maintien de la paix notamment le déploiement d’un contingent Djiboutien de 2000 hommes et femmes en Somalie, intervenant dans la sécurité et dans l’aide humanitaire.

Djibouti participe également en qualité d’observateur militaires au Sahara Occidental, en Côte d’Ivoire, au Sud Soudan, au Darfour, à Tampa (Etat-major de lutte contre le terrorisme USA) et au Burundi.

Fin du mois de février 2016, le 1er Sommet des Pays contributeurs de la Mission Africaine en Soma-lie (AMISOM) a eu lieu à Djibouti avec divers objectifs dont notamment la recherche des voies et moyens adaptés en vue de consolider davantage la coordination ainsi qu’une meilleure cohérence de la chaine du commandement de l’AMISOM, pour une totale réussite politico-militaire en Somalie. Au fi nal, Les hono-rables Chefs d’Etat et de Gouvernements se sont engagés à faire respecter la déclaration commune de cette réunion.

Ainsi, je suis conscient que toutes ces missions militaires sont toujours diffi ciles mais comportent un fort caractère noble, car elles sauvent des vies humaines et apportent du secours aux personnes le plus vulné-rable. De ce fait, je félicite les hauts commandements, les hommes et les femmes des forces de défense et de sécurité du travail remarquable qu’ils ont effectué au cours des années passées aussi bien dans le cadre des opérations de maintien de la paix et dans la défense du territoire et la sécurité publique.

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Nous venons d’apprendre que l’Union Africaine a attribué le poste de Commandant de l’AMISOM à la République de Djibouti et plus particulièrement au Général de Division OSMAN NOUR SOUBAGLEH, pour un mandat de 2 ans. Certes, des lourdes tâches l’attendent à l’approche de la tenue des élections pré-sidentielles et législatives, historiques dans ce pays frère déchiré par des confl its interethniques depuis plus de 25 ans.

Mais avec son expérience en matière des opérations de maintien de la paix, le Général de Division OSMAN NOUR SOUBAGLEH s’en sortira bien quant à l’exécution de cette mission internationale dans la concer-tation et dans la coordination des actions politico-militaires. Le Ministre de la Défense exprime son enga-gement à soutenir le Général de Division OSMAN NOUR SOUBAGLEH et à travers lui l’AMISOM dans cette mission capitale et lui réitère ses félicitations.

VII. PERSPECTIVES D’AVENIR

A l’ère du 21ème siècle, Djibouti se tourne davantage à la coopération et au partenariat stratégique avec nos pays amis, pour apporter une consolidation de l’acquis de stabilité, de sécurité et de la paix dans la région. De plus, elle doit participer aux opérations de maintien de la paix pour s’acquitter ces engagements internationaux.

C’est dans ce contexte aussi que le Ministre de la Défense s’attèle au suivi de l’exécution de la Loi de pro-grammation et d’orientation des forces de défense et de sécurité, en vue d’entreprendre le renforcement des capacités opérationnelles de nos forces.

Ce choix politico-militaire nous permettra d’assurer non seulement la sécurité et la défense du territoire national mais à répondre favorablement les demandes des opérations du maintien de paix émanent des Ins-titutions Internationales, pour secourir des populations vulnérables dans certains coins à travers le monde.

Outre l’Ethiopie et le Kenya, il faudrait envisager à la création des postes d’attachés de défense auprès de nos Ambassades accrédités dans certaines capitales, selon l’importance de la coopération militaire exis-tante. Cette unité aura pour mission de gérer tout ce qui touche la défense et la sécurité, tout en restant conseiller de S.E. l’Ambassadeur. Il aura également en charge le rayonnement de notre politique étrangère et de défense auprès de ces homologues.

Mon entière confi ance à tous les militaires, les gendarmes et au personnel civil de nos forces de défense et de sécurité, que j’encourage fortement à faire preuve de rigueur et d’intégrité et à œuvrer dans la préservation de la sécurité, garant de stabilité.

Tous mes remerciements aux équipes assistants techniques des armées des pays amis qui partagent leur ex-périence en nous offrant leur service dans la consolidation des liens d’amitiés entre les frères d’armes.

Pour fi nir, je tiens à saluer tout particulièrement l’abnégation de nos soldats de paix dont leur l’engagement n’a d’égal que leur bravoure.

Vive les Forces de défense et de sécurité Vive la République de Djibouti

Bonne fête

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Chers lecteurs et lectrices,

Cette année encore, j’ai la joie et l’honneur de célébrer avec vous notre fête nationale et de pouvoir m’adresser à vous depuis les pages de notre maga-zine Renaissance. Grâce à lui vous pouvez suivre les nombreuses évolutions de notre belle Institution.Mais avant de les évoquer dans le détail, je veux saluer la mémoire de ceux qui nous ont quittés cette année dans l’exercice de leurs fonctions : les gen-darmes MOUSSA FARAH BAHDON et ZAKARIYEH ISMAEL RABILEH lâchement assassinés le 6 Février au lac Assal dans l’accomplissement de leur devoir et aussi le Sous-lieutenant HOUSSEIN MOHAMED BEDER qui était un offi cier de grande valeur et un patriote qui accomplissait son devoir avec abnégation et bravoure, avec sa disparution, la Gendarmerie a perdu un homme de grande valeur. Je veux aussi avoir une pensée pour les victimes des attentats de PARIS et BRUXELLES qui ont durement touché nos amis français et belges et qui nous rappellent ,s’il le fallait encore, que le terrorisme est partout, frappe aveuglément et qu’il ne faut surtout pas relâcher notre vigilance.Je veux aussi souligner l’excellence du travail que vous avez tous fourni du-rant la période sensible des élections présidentielles. Votre engagement, vo-

EDITORIAL

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« TOuJOuRS EN évOLuTION, LA GENDARMERIE REGARDE SEREINEMENT vERS L’AvENIR»

Chers lecteurs et lectrices,

Colonel Zakaria Hassan AdenChef d’Etat Major de la Gendarmerie

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tre présence rassurante et votre professionnalisme ont permis que ces dernières se déroulent partout dans le calme et la sérénité.Enfi n je remercie son excellence Monsieur le Président ISMAIL OMAR GUELLEH nouvellement et brillement reélu pour la confi ance qu’il continue de porter à notre Institution.Pour en revenir à notre revue, dont je salue au passage l’équipe rédaction-nelle et les photographes tous gendarmes, elle met cette année l’accent sur tous les chantiers réalisés ou initiés cette année dans des domai-nes aussi variés que l’instruction, la formation, les infrastructures, les équipements, les outils de transmission opérationnels et les échanges à l’International.Depuis septembre, la Gendarmerie dispose de 22 offi ciers de police judi-ciaire supplémentaires et 16 nouveaux candidats sont à l’instruction pour donner à l’Institution les moyens de mettre en œuvre une police judiciaire encore plus effi cace et reconnue. Depuis la même date, trois offi ciers supérieurs suivent les cours de l’école de guerre en France, en Chine et Cameroun. De même, plusieurs offi ciers et sous offi ciers ont rejoint des écoles d’application ou de formation pour encore améliorer le niveau d’encadrement de la gendarmerie. Enfi n la ventilation dans les unités en aout des 400 élèves gendarmes recrutés en 2014 a permis d’augmenter signifi cativement les capacités opérationnelles de l’Arme avec notamment la formation de 3 nouveaux escadrons de gendarmerie mobile. La formation des unités a aussi été très importante cette année. Les mis-sions d’expertise françaises et celles des carabiniers italiens ont permis la montée en puissance rapide des nouveaux escadrons et du peloton d’in-tervention. Le GIGN a poursuivi avec succès son recyclage et a montré l’étendue de ses savoir faire lors des exercices de libération d’otages réalisés à l’institut français et à l’hôtel Sheraton. Enfi n les 2 stages au CECAD ont aussi contribué à l’aguerrissement du peloton d’intervention et au maintien en condition du GIGN.Les infrastructures ne sont pas en reste. Le bâtiment qui abritera bientôt la compagnie de Djibouti et la Brigade du Nord est en phase d’achèvement et accueille déjà le nouveau centre opérationnel. Au CICM, la construction de l’amphithéâtre se poursuit à bon rythme et sera terminée avant la fi n de l’année. Le champ de tir a été entièrement rénové par les FFDJ et donne à la Gendarmerie l’outil le plus moderne

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et le plus sure de toute l’Afrique de l’Est. Je profi te de l’occasion pour remercier le Commandant des Forces Françaises stationnées à Djibouti, le Général de Division Aérienne Philippe Montocchio pour son soutien et sa précieuse aide.L’équipement des unités progresse aussi avec la livraison aux brigades de véhicules aux couleurs de la gendarmerie, neufs et totalement équi-pés ainsi que celle à l’Escadron SR de nouvelles motocyclettes plus puissantes et plus modernes. La mise en service de cinémomètres ac-centue encore ses capacités opérationnelles.Les moyens de communication opérationnelle se modernisent pour ar-river aux standards internationaux avec le déploiement dans toutes les unités de l’Intragend. Le commandement dispose maintenant d’un moyen fi able et sécurisé pour être informé en temps réel de tout ce qui se passe sur le territoire et pour réagir instantanément à tout événement. Le déploiement des relais numériques récemment reçus améliorera en-core les possibilités de communication. Enfi n, les échanges avec les forces de sécurité étrangères montrent aussi l’ouverture de l’Institution à l’International. L’adhésion à la FIEP, association qui regroupe de nombreuses gendarmeries, est en cours de réalisation. Un partenariat avec les carabiniers italiens a été signé. De nombreux échanges avec la gendarmerie turque ont eu lieu. Plusieurs offi ciers sont partis servir dans différentes missions de l’ONU, prouvant ainsi la reconnaissance à l’International des savoir-faire de l’Institution. La très proche mise sur pied d’une FPU qui représentera Djibouti dans une mission de l’ONU montre aussi toute la confi ance que nous témoignent SEM le Président de la République, Chef Suprême des Armées.Partant de ces constats, je peux vous affi rmer que vous appartenez à une Institution en parfaite adéquation avec les enjeux de son époque et qui est prête à relever les défi s de demain.Je veux aussi encore vous dire la fi erté que j’ai à servir cette noble institution qu’est la Gendarmerie Nationale Merci pour le travail accompli, soyez en fi ers. Soyez fi ers aussi de vo-tre Institution et continuez de la servir avec autant d’engagement et de motivation.

Vive la Gendarmerie Nationale !

Vive la République !

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« LA STRATEGIE DE COOPERATION DE LA GENDARMERIE »Dans le cadre d’une politique de modernisation de la Gendarmerie Djiboutienne, le Haut Commandement a initié des relations de coopération militaire avec des partenaires étrangers, notamment avec des Gendarmeries des pays amis, en charge de la sécurité publique et la défense nationale.

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TuRquIE : uNE éTAPE DéCISIvE AvEC LA JANDARMA

La Jandarma Turque qui avait bien accueillie l’initiation d’une coopération entre les deux Institutions aux missions similaires, a envoyé une délégation de haut niveau, conduite par le Général de Brigade Adnan ARSLAN. Cette délégation dont l’objet de la visite s’ins-crivait autour d’un raffermissement des liens de coopération avec la Gendarmerie, a été reçue à l’Etat- Major de Gendarmerie par le Colonel

Zakaria Hassan Aden, Chef d’Etat- Major de la Gendarmerie. Lors des entretiens très cordiaux entre le Chef de la Délégation et le Chef d’Etat- Major de la Gendarmerie, il a été évoqué les domaines de coopération et les possibilités quant à l’abou-tissement d’un projet de protocole d’accords bilatéraux.

COOPERATION INTERNATIONALE

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L’ARME DES CARAbINIERS : MODèLE D’uNE COOPéRATION CONCRéTISéE

ORGANISATION DES GENDARMERIES AfRICAINES (OGA)

Le Colonel Zakaria Hassan Aden, Chef d’Etat-Major de la Gendarmerie a participé à la 4ème Conférence de l’Organisation des Gendarme-ries Africaines, le 23 et 24 novembre 2015 à Dakar. Avaient également pris part, à cet évé-nement d’envergure, une trentaine de respon-sables de Gendarmerie et de partenaires.

Ce qui n’était qu’un projet por-tant sur la signature d’un proto-cole d’accords bilatéraux entre Carabinieri italien et la Gendar-merie Djiboutienne, se concré-tise enfin. En effet, le Colonel s’est rendu à Rome pour la si-gnature du protocole le 16 juin. C’est le Général de Corps d’Ar-mée Vincenzo GIULIANI, de l’arme des carabiniers, en visite à l’Etat- Major de la Gendarme-rie en décembre dernier qui l’a annoncé. Désormais, ce protocole per-mettra de bénéficier d’une large panel d’opportunités en matière des formations et des stages dédiés aux personnels de la Gendarmerie et ce, dans divers

domaines, notamment celui de gestion des foules, de la police technique et scientifique, des enquêtes sur les stupéfiants, sur les faux-billets, celui relatif

aux techniques de l’interven-tion spécialisée etc…. Aussi, ce protocole ouvrira grand les portes sur des relations plus concrêtes et régulières.

Lors de cette Conférence, il a été soumis aux Gendarmeries mem-bres, un protocole portant sur une coopération technique et opération-nelle pour promouvoir les échan-ges et la coopération dans la lutte contre la criminalité transnationale, le terrorisme, le trafic de drogue et la cybercriminalité. Pour l’effectivité de cette coopé-ration, l’O.G.A prévoit la mise en place d’un Système d’Informations des Gendarmeries Africaines dé-nommé SIGA qui servira de pla-teforme d’échanges et de partage

d’informations en réseau. Cette initiative permettrait de raffermir les re-lations des Gendarmeries membres de l’OGA mais surtout d’échanger toute information utile dans la lutte contre les formes de menaces ci-dessus évoquées.

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Le 26 novembre 2015, le Colonel ZAKARIA HASSAN ADEN, Chef d’Etat- Major de la Gen-darmerie de Djibouti a été reçu à Paris, par le Général d’Armées Denis FAVIER, Directeur Gé-néral de la Gendarmerie française.

L’Objectif s’inscrit toujours dans la politique de la consolidation des relations de coopérations avec les partenaires étrangers, initiée par le Chef d’Etat- Major de la Gendarmerie de Djibou-ti. Lors de leur entretien, les deux responsables ont évoqué et discuté des relations amicales qui lient les deux institutions et de leur volonté com-mune de s’y impliquer davantage.

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fRANCE : LE CEMGN, hôTE Du DGGN fRANçAIS

ChINE : DES RELATIONS PRIvILéGIéESInvité par son homologue de la Police Armée Populaire, le Colonel ZAKARIA HASSAN ADEN, Chef d’Etat- Major de la Gendarmerie Nationale s’est rendu à Beijing, en Chine le 26 Octobre 2015. Durant son séjour, le Chef d’Etat- Major de la Gendarme-rie Nationale s’est entretenu avec plusieurs grandes autori-tés militaires, en l’occurence le Général de Division Liu Zhenli, Chef d’Etat- Ma-jor de la Police Armée Populaire et le Général de Division GUAN Youfei, Directeur Général Adjoint du bureau des Affaires Etran-gères du Minis-tère Chinois de la Défense.

Les entretiens ont porté sur la volonté bilatérale de promou-voir une coopération très étroi-te. Directeur Général Adjoint du bureau des Affaires Etrangères du Ministère Chinois de la Dé-fense a, pour sa part, exprimé son désir d’étendre la coopéra-tion et d’apporter son soutien à la Gendarmerie et de prendre une part active au renforce-ment de ses capacités opéra-tionnelles.

En outre, le Colonel ZAKARIA HASSAN ADEN a profité de son séjour pour rendre visite à la prestigieuse académie d’in-fanterie mécanisée de Shi-jiazhuang où il a été reçu par son Commandant, le Général WANG Jing. Cette académie qui compte deux officiers de la Gendarmerie parmi ses stagiai-res pour la session 2015/2016 est présentée comme le « West Point » de la Chine.

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La Gendarmerie Djiboutienne continue sur la voie d’ouverture vers la coopération internationale. Cette démarche du Haut Commandement de la Gendarmerie Djiboutienne passe par la signature des accords de coopérations bilatérales avec des Gendarmeries de pays frères et amis. Cette stratégie induit aussi d’adhérer à des associations ou organisations regroupant des forces de Gendarmerie et Police à statut militaire des différents pays à travers le monde.C’est ainsi qu’une délégation, composée de deux officiers (Capitaine A B D O U L - K A R I M IBRAHIM YOUSSOUF et capitaine HASSAN AHMED IBRAHIM), s’est déplacée à TOULON, en FRANCE et a pris part à la commission

de la FIEP, les 24 et 25 mai 2016, en vue de présenter la Gendarmerie Djiboutienne.Cette étape marquait le début d’un processus de demande d’adhésion de la Gendarmerie

Djiboutienne à la FIEP.La FIEP est une association de Gendarmeries et de forces de Police à statut militaire, qui initialement se limitait

aux forces européennes, puis s’est élargie aux pays méditerranéens et actuellement ambitionne de s’élargir aux autres forces de Police à statut militaire à travers le monde.La FIEP a été créée en 1994, par les forces de Gendarmerie de quatre (4) pays : France-I t a l i e - E s p a g n e - P o r t u g a l et regroupe actuellement quatorze (14) forces :• neuf (9) membres :{Gendarmerie Nationale (France), Arma dei Carabinieri (Italie), Guardia Civil (Espagne), Guarda Nacional Republicana (Portugal), Jandarma (Turquie), Koninklijke Maréchaussée (Pays-Bas), Gendarmerie Royale (Maroc), Jandarmeria (Roumanie), Force de Gendarmerie (Jordanie)}• trois (3) associés :{Gendarmeria Nacional (Argentine), Carabineros de Chile (Chili), Lekhwiya Forces (Qatar)}• deux (2) observateurs :{Garde nationale (Tunisie), Forces de sécurité nationale (Palestine)}

La Gendarmerie Djiboutienne et la Gendarmerie Sénégalaise viennent

d’exprimer officiellement leur souhait d’intégrer la FIEP, lors de cette commission.

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LA fIEP: L’ADhéSION DE LA GENDARMERIE DE DJIbOuTI à L’ASSOCIATION DE GRANDES GENDARMERIES

MISSIONS OPEX : PLuS D’uNE vINGTAINE GENDARMES, PRêTS AuX DéPLOIEMENTS DANS LES MISSIONS ONuSIENNES DE MAINTIEN DE LA PAIX

Courant la fin du mois de Novembre 2015, des tests SAAT (Selection And Assessment Team) en français se sont déroulés à Djibouti, plus précisément au Camp FARAH HABANEH qui a vu la participation de cinquante gendarmes. A l’issue d’une semaine de tests continus dans diverses épreuves, les candidats retenus ont été, après étude minutieuse des dossiers par le DPKO, ventilés sur différentes missions, à savoir le MINUSCA, le MINUSCO et le

MINUSTAH. Deux Officiers, à savoir les capitaines ILIAS ADEN ABDILLAHI et ABDOUSSALAM OUMAR ABOBAKAR sont déployés dans le cadre de la MINUSCA et se trouvent actuellement à Bangui où ils ont été affectés dans la Division « Formation ». Sept autres gendarmes ont rejoint la MINUSCO, à la République Démocratique du Congo.

Journée d’ouverture de la Commission, délégation Djiboutienne avec Le General de Corps d’Armée David GALTIER et le General de Brigade Meissa NIANG

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LE DISCOURS DU CHEF D'ETAT MAJORDE LA GENDARMERIE NATIONALE

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LE DISCOURS DU CHEF D'ETAT MAJORDE LA GENDARMERIE NATIONALE

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DISCOuRS Du ChEf D’ETAT-MAJOR DE LA GENDARMERIE le Colonel Zakaria Hassan Aden

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A l’occasion du 39e anniversaire de la Gendarmerie Nationale, le colonel Zakaria Hassan Aden a dans un discours très solonnel salué avec force le courage et le dévouement des hommes et des femmes qui servent notre chère patrie dans les rangs de la gendarmerie. Sans oublier le traditionnel hommage aux gendarmes morts ou blessés en service commandé. Le colonel Zakaria a encore une fois dans son discours exhorté ses hommes à continuer de servir avec courage et loyauté comme ils l’ont toujours fait. Retrouvez ci-après l’intégralité du discours du Chef d’Etat-major de la Gendarmerie Nationale.

...................Bonne lecture et Bonne fête nationale !...................

Messieurs les Offi ciers, sous-offi ciers, Gendarmes,

Nous sommes réunis ce matin pour célébrer de manière conjointe le 39ième anniversaire de la création de notre institution, et le 16ième anniversaire de notre commandement. Ce doublement événement, que nous fêtons cette année avec un peu de retard, est pour le haut commandement l’occasion de dresser d’une part un bilan de l’année qui s’achève, et de l’autre, fi xer les lignes directrices de notre plan d’ac-tion pour l’année qui s’annonce.

Offi ciers, Sous-offi ciers, GendarmesAvant d’entamer mon propos, je ne manquerai pas de m’incliner sur la mémoire de nos camarades d’arme tombés sur le champ d’honneur, en service commandé ou qui nous ont quittés au cours de cette année. Je voudrais, particulièrement saluer la mémoire du sous-lieutenant Houssein Mohamed Badar, Comman-dant la Brigade d’Ali-Sabieh qui nous a quittés le Jeudi 7 janvier dernier. Offi cier de valeur, feu sous-lieu-tenant Houssein Mohamed Badar était un Chef militaire exemplaire, un professionnel dévoué et un grand patriote.Nous prions le seigneur miséricordieux de l’accueillir dans son paradis éternel et adressons nos vives condoléances à sa famille.Quant aux blessés en service, nous leur disons prompt rétablissement.

Offi ciers, Sous-offi ciers, GendarmesForce humaine, la Gendarmerie, grâce à l’engagement de son personnel, ouvre sans relâche pour exécuter les missions qui lui sont confi ées par le Gouvernement et satisfaire les attendes de nos concitoyens sur le plan sécuritaire. Consciente de ces responsabilités et fermement attachées aux aspirations de nos concitoyens, la Gendar-merie appréhende ses missions comme un sacerdoce. A tous les niveaux, les unités de la Gendarmerie, chacune dans son champ de compétence, travaillent pour participer à la mise œuvre des plans d’action sécuritaires. Le Groupement de Gendarmerie Mobile, vu la conjoncture nationale, régionale et internationale, occupe une place de choix dans l’exécution des missions de sécurité publique.Le spectre de la menace terroriste qui plane sous toutes les nations n’épargne pas notre pays. La Gendar-merie, consciente du caractère sournois de ce danger, a mis un accent particulier sur la prévention. Le Groupement de Gendarmerie Mobile est à cet effet largement employé dans l’amélioration de la visite de nos unités de maintien de l’ordre, dans la sécurisation des grands centres urbains, dans la police de proximité pour être et évoluer au plus près de nos populations. En plus de leurs missions classiques, les personnels de la Gendarmerie Mobile, assurent des tâches diverses comme la sécurité des mouvements terrestres des hautes autorités, la sécurité de certaines VIP et des ONG, l’escorte des convois spécifi ques, la sécurisation des sites sensibles de notre pays.La présence des unités de Gendarmerie Mobile dans les centres névralgiques de la capitale, la mise en

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place permanente des patrouilles pédestres dans les zones sensibles, la participation active aux services d’ordre et de maintien de l’ordre témoigne de l’engagement de la Gendarmerie Nationale pour garantir la sécurité publique et rassurer nos concitoyens sur toute l’étendue du territoire national.Ces efforts s’inscrivent dans la durée et se matérialisent par la montée en puissance du Groupement de la Gendarmerie Mobile. En effet, grâce au soutien particulier de son Excellence Monsieur le Président de la République et à la dernière campagne nationale de recrutement, trois nouveaux escadrons sont venus renforcer ce groupement engagé sur un nombre considérable d’opérations. Toujours dans le cadre de son engagement dans la lutte anti-terroriste, la Gendarmerie dispose de la seule force nationale dédiée, le GIGN, sur lequel elle peut valablement compter. Unité d’élite dont l’intervention doit rester décisive, le commandement accorde une grande priorité à la formation de cette force de frappe. Le quotidien des personnels de ce groupe est ponctué par les séances d’entrainements, les exercices grandeurs natures, quand ils ne sont pas en stage à l’étranger. Fort d’une instruction très diversifi ée regroupant toutes les technicités disponibles, le GIGN est aujourd’hui en phase de consolidation et de maturité, et fi nalise sa montée en puissance. Déployés lors des grands événements nationaux, le GIGN, prête souvent main-forte aux autres unités de Gendarmerie, notamment judiciaires pour les interventions risquées. Au cours de l’année écoulé, le GIGN a développé ses capacités d’intervention sur sites : écoles, centres commerciaux, hôtels…etc.Dans le cadre de la lutte contre cette menace sournoise, la politique de vidéosurveillance initiée par le Gouvernement est louable. Cet outil sécuritaire, placé dans les espaces publics contribuera énormément à la prévention d’actions terroristes. Cette décision constitue une grande avancée certes, mais elle doit être accompagnée par d’autres mesu-res telles le renforcement de la sécurité aux frontière qu’elle soit terrestre ou maritime.

Offi ciers, Sous-offi ciers, Gendarmes

Dans cette lutte pour la sécurité, les unités judicaires, tiennent une place tout aussi importante tant au niveau de la prévention qu’au niveau de la répression. Vitrines de l’action de la Gendarmerie dans ce do-maine, les brigades territoriales sont les unités de base les plus populaires auprès de nos concitoyens. Agissant 24h/24h, les unités judiciaires sont en permanence engagées pour les sécurisations urbaines no-tamment au travers de la multiplication des patrouilles mobiles et des postes de contrôles. Grâce à l’exercice de la police de proximité, les unités judicaires constituent le fer de lance en matière de renseignements dont elles optimisent l’exploitation. Aux premières loges de l’action judiciaire, les unités territoriales ont conduit et élucidé des enquêtes de grandes ampleurs et présenté à la justice les auteurs d’infractions au code pénal. Malgré la faiblesse de leurs moyens, elles participent à tout instant et avec grande effi cacité à la sécurité des personnes et de leurs biens. Pour soutenir ces unités dans leur veille judiciaire, nous avons pu relever le pari de les renforcer de neufs véhicules. Grâce au concours de notre Gouvernement, chaque brigade de la capitale a obtenu un nouveau véhicule 4x4.

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Le haut commandement poursuivra ses efforts pour étendre cette mesure de renforcement de capacité à toutes les compagnies au cours de l’année 2016.Au niveau des effectifs, 24 nouveaux Offi ciers de Police Judiciaire, ont été ventilés dans toutes les com-pagnies judiciaires. Toutes ces mesures tendent à préserver et raffermir la qualité des enquêteurs de l’institution qui jouissent déjà d’une bonne réputation professionnelle, d’honnêteté et d’abnégation. En compléments des unités du groupement d’intervention et du groupement judiciaire, les formations du groupement spécialisé veillent à l’exécution des missions de sécurité routière et aéroportuaires. La Gendarmerie des Transports Aériens, responsable de la sécurité sur toute l’emprise de l’aéroport inter-national d’Ambouli, a relevé d’un cran la vigilance pour préserver ce site de tout acte subversif avec un service de permanence conséquent, alliant dispositifs physiques de sureté, vidéo-surveillance et moyens humains couvrant l’ensemble du spectre de la sécurité aéroportuaire.L’Escadron de la Sécurité, en continuelle évolution, poursuit son implantation sur le corridor de la RN1, véritable artère économique de notre pays. Les personnels de cette unité, surveillent 24h/24h, nuit et jour, l’ensemble du tronçon de la RN1, garantissent avec une abnégation remarquable la fl uidité du trafi c, et portent secours et assistance aux usagers de cet axe vital. Avec le soutien du Ministère des Transports et de l’Equipements, le commandement de la Gendarmerie a consenti des efforts considérables pour renforcer les capacités de l’Escadron de la Sécurité Routière, notamment en matériels de police de la route. Parmi ces moyens, on peut citer les radars de contrôle de vitesse modernes en service dans cette unité et l’acquisition de 10 nouvelles motos de grande cylindrée. Pour relever davantage la portée de l’action de l’Escadron de la Sécurité Routière, des nouveaux postes et brigades routiers seront implantés à hauteur des points clés du corridor de la RN1, notamment à Mouloud et bientôt en 2016 à Gourabous.En matière d’opérations extérieures, la Gendarmerie, malgré ses effectifs réduits, participe aux opéra-tions de maintien de la paix, au niveau régional et continental. La Gendarmerie maintien en effet des ob-servateurs dans les opérations de maintien de la paix de l’ONU en Côte-d’Ivoire, au Mali et des gendarmes au sein du contingent militaire djiboutien en Somalie, déployé dans le cadre de l’AMISOM.

Honorables invités, Offi ciers, Sous-offi ciers, Gendarmes

L’engagement exceptionnel à tous les niveaux des personnels de la Gendarmerie se refl ète sur les résultats de son action et traduit l’estime qu’elle a auprès de nos concitoyens, de nos dirigeants et des hôtes de notre pays. Pour préserver ses valeurs traditionnelles, la Gendarmerie doit rester « forte et juste », assumer sa place légitime sur l’échiquier de la sécurité publique et se déployer davantage où ses missions l’appellent. La Gendarmerie a toujours attaché un intérêt particulier à son image de marque tout comme à son profes-sionnalisme. Un effort conséquent a été, à ce titre, fourni pour l’harmonisation de nos tenues, par spécifi cité de nos

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interventions, et aujourd’hui on peut dire que cette phase est très bien avancée. Nos nouvelles tenues qui se distinguent selon le type d’unité, ont effectivement fait leurs preuves et répondent à la fois aux exigences de missions, aux nécessités techniques, aux critères de confort et sont adaptées aux conditions climatiques de notre pays.Pour améliorer sa visibilité sur tous les théâtres, la Gendarmerie a procédé en mai 2014 à l’incorporation de 400 jeunes. Ces recrues, qui ont récemment terminé leurs instructions, ont été affectées dans les dif-férentes unités dont elles renforcent déjà effi cacement les effectifs.

Offi ciers, Sous-offi ciers, Gendarmes

Afi n de cultiver l’excellence, de parfaire et de maintenir le niveau professionnel de ses personnels, la Gendarmerie accorde comme toujours une importance capitale à l’instruction. Dans cette dynamique et au niveau international, le commandement de la Gendarmerie est aujourd’hui résolument tourné vers la diversifi cation de ses partenaires afi n de multiplier les opportunités de forma-tions et d’échanges.En plus des partenaires traditionnels que sont la France via la mission de coopération militaire et les Etats-Unis, la Gendarmerie est en voie de fi naliser des accords de collaboration avec les Gendarmeries turques et italiennes. C’est dans ce cadre de consolidation des rapports de coopération que s’inscrivent les visites offi cielles du Chef d’Etat-Major dans ces pays, ainsi que la réception des délégations de haut niveau des Carabinieri italiens et de la Jandarma turque. A ce propos, je suis attendu prochainement à Rome pour la signature d’accords techniques avec la Carabinieri italienne.Les premiers résultats qui témoignent de la sincérité de nos rapports se concrétisent déjà car plusieurs offi ciers et sous-offi ciers de notre institutions ont suivi des stages et séminaires dans ces deux pays, no-tamment les personnels de section de recherche et de la documentation dont l’instruction requiert une technicité élevée. Des relations de coopération ont été également initiées avec la Police Armée Populaire de la Chine aux missions similaires et avec l’Armée populaire de Libération. Là aussi, des places ont été accordées à la Gendarmerie durant la session 2015/2016 et davantage de formations sont prévues très prochainement. Aussi, dans un proche avenir, des cadres du GIGN sont attendus à Ankara pour des programmes d’échanges, basés sur les savoir-faire d’une unité spéciale, avec le JÖAK qui est l’unité de lutte contre le terrorisme de la Jandarma turque. Ces programmes d’échanges se poursuivront jusqu’en décembre 2016, date à la-quelle les éléments du JÖAK seront à Djibouti, dans ce centre même pour un entrainement conjoint avec le GIGN. Au niveau africain, l’excellence des rapports avec la Gendarmerie Royale du Maroc et les forces armées du Burkina Faso, a permis l’attribution de quatre places de formation d’offi ciers dans ces deux pays. Ces échanges qui s’inscrivent dans le long terme permettront de contribuer durablement à l’amélioration des compétences de nos hommes et femmes.De plus, nos personnels ont poursuit aussi des stages et séminaires en Egypte, au Sénégal, au Gabon, en Botswana, au Cameroun, au Mali, en France, en Italie, aux Etats Unis, en Chine et au Burkina faso. Dans le cadre de cette coopération, j’ai, sur invitation de mon homologue Général de Division Mamadou Gueye FAYE, haut Commandant de la Gendarmerie sénégalaise et Directeur de la Justice militaire, prit part à la 4ème Conférence de l’Organisation des Gendarmeries Africaines qui s’est tenue à Dakar les 23 et 24 novembre 2015. A cette Conférence, il a été soumis un protocole portant sur une coopération technique et opérationnelle pour promouvoir les échanges et la Cooépartion dans la lutte contre la criminalité transnationale, le ter-rorisme, le trafi c de drogue et la cybercriminalité. Au niveau national, la Gendarmerie concentre tous ses moyens sur l’édifi cation du Centre d’Instruction

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Cheick-Moussa (CICM), siège de toutes les cessions de formations conduites sur le plan local. Situé sur un site adéquat en dehors de l’urbanisation, entièrement consacré à l’instruction de nos hommes et femmes, le CICM cristallise toutes les attentions et constitue aujourd’hui le cœur de cette institution. L’objectif du haut commandement est de faire ce site, un centre de référence nationale et à moyen terme régionale. C’est pourquoi le centre est continuellement en chantier. A ce jour, le CICM dispose des infrastructures de bases modernes pour abriter tous types de formations tant de niveau national comme à dimension internationale. Le CICM a déjà abrité des formations conduites par la mission européenne EUCAP-NESTOR.Entre autres infrastructures majeures, on peut citer les grandes salles de cours équipées de moyens péda-gogiques, un simulateur interactif de tirs, des installations sportives diversifi ée, champs de tirs, plusieurs salles de sports et de détentes. Il comprend également une zone vie, avec une grande capacité en héber-gement et en restauration. Le CICM, d’année en année, grandit et gagne en capacité d’accueil pour répondre à ses ambitions de centre d’excellence. A ce titre, un texte règlementaire instituant offi ciellement en son sein l’Ecole de Formation de Gendarmerie est en voie. Elle sera dirigée par un Offi cier supérieur. Les locaux administratifs qui accueilleront l’Ecole de Formation de la Gendarmerie, répartis sur un bâti-ment à deux niveaux seront bientôt fonctionnels. Aujourd’hui, le CICM vit au rythme d’un chantier colossal qui changera complètement sa physionomie : il s’agit de la construction d’un amphithéâtre de 400 places, intégrant une grande salle d’honneur et de réception, juste en face de vous. Ce projet dont les travaux se poursuivent encore avance lentement mais surement afi n d’offrir au centre une salle pédagogique polyvalente et pluridisciplinaire qui résorbera défi nitivement les soucis de capa-cité. Cet atout majeur ouvrira indéniablement des perspectives nouvelles à notre centre d’instruction et contribuera à son rayonnement.Egalement, le Centre d’Instruction Cheickè Moussa prévoit de se doter, dans un proche avenir, d’une nouvelle armurerie pour désengorger, l’actuelle armurerie et d’un grand magasin de stockage, offrant un meilleur conditionnement des matériels et équipements du Groupement de Gendarmerie Mobile. La Gendarmerie prévoit aussi la construction de nouveaux dortoirs modernes avec blocs sanitaires. Et toujours sur le plan de développement de son infrastructure, la Gendarmerie poursuit l’édifi cation d’un nouvel état-major au sein de la caserne principale Capitaine Hamadou. Cette infrastructure abritera l’ensemble des bureaux de l’état-major et regroupera les services rattachés à l’Etat- Major lesquels se trouvent actuellement un peu dispersés. Dans la même enceinte, le bâtiment R+3 destiné à la compagnie de Djibouti, et au centre opérationnel de la Gendarmerie est en phase de fi nition. Cette réalisation dotera enfi n la Gendarmerie d’un centre de commandement des opérations modernes disposant des moyens de télécommunication radios et télé-phoniques couvrant tout le territoire national et des locaux d’alerte pour le GIGN dans le souci de réduire signifi cativement son délai d’intervention. Pour optimiser le maillage territorial des unités judiciaires, la Gendarmerie envisage la construction de deux nouvelles brigades, l’une devant couvrir la zone résidentielle de Haramous et la seconde dans le

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quartier PK12 Nord.Dans la même enceinte que cette dernière sera installé un escadron de Gendarmerie Mobile qui prendra en compte la sécurité publique dans cette partie de l’immense banlieue de Balbala et qui participera grandement à la préservation de la paix sociale dans ces quartiers. Disposer d’une force de maintien de l’ordre capable d’agir sans délais, dans ces cités populaires sensibles, apportera tranquillité et quiétude aux populations de ces secteurs.

Toutes ces constructions et ses réalisations qu’elles prennent place au CICM, à l’état-major dans les grou-pements, participent au développement de la Gendarmerie et à l’augmentation des capacités opération-nelles de ses unités tout en leur offrant un cadre de travail digne.

Offi ciers, Sous-offi ciers, Gendarmes

Si la Gendarmerie a pu évoluer et atteindre ce niveau c’est indéniablement grâce au soutien indéfectible de son Excellence Monsieur ISMAÏL OMAR GUELLEH, Président de la République, Chef Suprême des Armées qui a toujours répondu favorablement à nos multiples sollicitudes. Je voudrai lui rendre ici un vibrant hommage et lui exprimer mes sincères remerciements au nom de l’ensemble du personnel de la Gendar-merie Nationale et en mon nom personnel.En jetant un regard rétrospectif sur le chemin parcouru jusque-là, c’est à juste titre que l’on constate l’ampleur de l’évolution de notre institution. Cependant, loin de se contenter des acquis et des grandes réalisations, la Gendarmerie se projette conti-nuellement vers l’avenir pour rester au diapason de l’évolution et s’adapter en permanence aux boule-versements technologiques de son temps, afi n de relever les défi s sécuritaires majeurs et accomplir ses missions dans les meilleures conditions. Nos projets pour l’année qui débute sont nombreux et tendent à améliorer les capacités opérationnelles de nos unités, les cadres de travail de nos hommes, et développer leurs formations professionnelles. Pour 2016 nos grandes priorités seront les suivantes :Sur le plan infrastructures à court et à long terme :- La fi nalisation de l’édifi cation de l’amphithéâtre et de la salle de réception- La création d’un laboratoire linguistique pour renforcer les capacités intellectuelles de nos personnels en matière de langues- La fi nalisation de l’équipement et la mise en service notre centre des opérations- L’accélération des travaux de construction du nouvel état-major et son équipement- La construction d’un bloc administratif pour notre future Ecole de la Gendarmerie.

Sur le plan opérationnel :- Poursuivre le renforcement du parc automobile pour répondre en priorité aux besoins des nouveaux escadrons mobiles et du GIGN

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- L’Extension de la mesure « une brigade, deux véhicules » aux brigades territoriales de la Compagnie Centre et de la Compagnie de l’Intérieur et à Djibouti.- L’Extension du réseau intragend à toutes les brigades pour optimiser le traiter des renseignements- La fi nalisation de l’équipement de protection individuelle des nouveaux escadrons mobiles

Honorables invités,

En ce jour de célébration de la Gendarmerie, permettez-moi d’adresser quelques mots à mon per-sonnel.Je voudrai d’abord saluer votre engagement de tous les jours, votre courage, votre abnégation au service la Gendarmerie et reconnaitre à juste titre le professionnalisme dont vous faites preuve dans l’exécution de vos missions, et ce, à tous les niveaux. C’est toujours à travers vos actions dans l’exercice de vos diverses attributions, vos comportements de tous les instants que se fait et se forge la réputation de notre Institution. Jusque-là, vous avez su préserver l’image de la Gendarmerie et le travail que vous faites est apprécié et salué par tout le monde, par la population, par les hautes autorités du Gouvernement et en parti-culier par le Président de la République, son Excellence Monsieur Ismaïl Omar Guelleh, Chef suprême des Armées. Je vous exhorte à rester engagés au service de la sécurité nationale, au service de nos concitoyens et à préserver la tradition de l’excellence qui fait la fi erté de la Gendarmerie.Mes remerciements vont également à Son Excellence, Monsieur le Premier Ministre et également à Son Excellence Monsieur le Ministre de la Défense, chargé des rélations avec le Parlement ainsi qu’à cha-cun des membres de notre gouvernement pour l’appui et la confi ance accordée à notre institution. Je voudrai également exprimer mes remerciements aux Forces Armées Djiboutiennes, et à tous nos partenaires français, américains, chinois, turques, italiens.Offi ciers, sous-offi ciers, gendarmes et personnels civils de la Gendarmerie, j’envisage 2016 avec sé-rénité et conviction.

Pour terminer mon propos, je vous souhaite à tous et à vos familles une bonne et heureuse année 2016, pleine de santé, de bonheur et de prospérité.

Je vous remercie de votre attention.

GEN

DARMERIE NATIONALE

FORT JUSTE

GEN

DARMERIE NATIONALE

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CEREMONIE DU 39ème ANNIVERSAIRE DE LA GENDARMERIE

Le Colonel Zakaria Hassan Aden en compagnie du Premier Ministre Abdoulkader Mohamed Kamil et de l’ancien ministre de la Défense Hassan Darar Houffaneh lors de la Cérémonie d’anniversaire de la Gendarmerie Nationale qui a eu lieu le 5 janvier 2016

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La Banque Centrale de Djibouti La Banque Centrale de Djibouti a pour principales missions de veiller sur la convertibilité de la monnaie nationale, le Franc Djibouti qui a été créé en 1949.Librement convertible et lié au Dollar américain par une parité fixe, le Franc Djibouti puise sa stabilité linéaire qui le caractérise depuis plus de 65 ans dans les fondements de son système d’émission du type « currencyboard ».

Son principe de fonctionnement est des plus simples : chaque Franc Djibouti émis doit être entièrement couvert par un dépôt en dollars américains auprès de l’un des correspondants à New York. C’est ainsi que la Banque Centrale de Djibouti est chargée de la gestion des réserves officielles en devises du pays pour garantir un taux de couverture de son émission largement positif. Quant à l’achat de devises, il est libre et s’effectue contre simple dépôt de Francs Djibouti.

Cette absence de contrôle de change et une application stricte et contrôlée des dispositions réglementaires et prudentielles des établissements de crédit, ont fait de Djibouti une place financière dynamique attractive et sécurisante où les opérateurs de la sous-région logent leurs principales opérations.

Le secteur financier, profitant largement de la vigueur de la croissance économique du pays depuis plusieurs années, connaît une forte expansion. Le nombre d’opérateurs financiers en activité ne cesse d’augmenter et compte désormais11 banques commerciales, un Fonds étatique de financement des PME/PMI, 2 institutions de microfinance et 18 bureaux de change et de transfert de fonds. La multiplication d’opérateurs a permis d’enrichir la panoplie de produits et services financiers offerts par la place djiboutienne.

Pour accompagner au mieux ce foisonnement du secteur financier, les autorités nationales ont procédé à une refonte de la législation bancaire et financière en janvier 2011, de sorte à l’adapter aux attentes de la profession.

Notre correspondant en euro Nos correspondants en Dollars US

Banque Centrale de Djibouti B.P. 2118, Djibouti Tél. : (253) 35 27 51 Fax : (253) 35 62 88 Télex : 5838 DJ Site Web : www.banque-centrale.dj e-mail : [email protected]

Banque de France

CENTRAL BANK OF DJIBOUTI SWIFT : BCDJDJJDXXX IBAN N° FR76 3000 1000 6400 5245 024 BANQUE DE FRANCE SWIFT CODE : BDFEFRPPCCT

BNP PARIBAS – New York Branch Central Bank Of Djibouti SWIFT : BCDJDJJDXXX IBAN N° FR53 3000 4056 5800 0004 1015 D42 BNPPARIBAS – PARIS SWIFT CODE : BNPAFRPPXXX

Federal Reserve Bank of New York CENTRAL BANK OF DJIBOUTI SWIFT: BCDJDJJDXXX ACCOUNT N° 0210 83 682 FEDERAL RESERVE BANK OF NEW YORK SWIFT CODE: FRNYUS33XXX

Citibank – NA New York CENTRAL BANK OF DJIBOUTISWIFT : BCDJDJJDXXX ACCOUNT N° 36252795 CITIBANK–NA NEW YORK SWIFT CODE : CITIUS33XXX

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La Banque Centrale de Djibouti La Banque Centrale de Djibouti a pour principales missions de veiller sur la convertibilité de la monnaie nationale, le Franc Djibouti qui a été créé en 1949.Librement convertible et lié au Dollar américain par une parité fixe, le Franc Djibouti puise sa stabilité linéaire qui le caractérise depuis plus de 65 ans dans les fondements de son système d’émission du type « currencyboard ».

Son principe de fonctionnement est des plus simples : chaque Franc Djibouti émis doit être entièrement couvert par un dépôt en dollars américains auprès de l’un des correspondants à New York. C’est ainsi que la Banque Centrale de Djibouti est chargée de la gestion des réserves officielles en devises du pays pour garantir un taux de couverture de son émission largement positif. Quant à l’achat de devises, il est libre et s’effectue contre simple dépôt de Francs Djibouti.

Cette absence de contrôle de change et une application stricte et contrôlée des dispositions réglementaires et prudentielles des établissements de crédit, ont fait de Djibouti une place financière dynamique attractive et sécurisante où les opérateurs de la sous-région logent leurs principales opérations.

Le secteur financier, profitant largement de la vigueur de la croissance économique du pays depuis plusieurs années, connaît une forte expansion. Le nombre d’opérateurs financiers en activité ne cesse d’augmenter et compte désormais11 banques commerciales, un Fonds étatique de financement des PME/PMI, 2 institutions de microfinance et 18 bureaux de change et de transfert de fonds. La multiplication d’opérateurs a permis d’enrichir la panoplie de produits et services financiers offerts par la place djiboutienne.

Pour accompagner au mieux ce foisonnement du secteur financier, les autorités nationales ont procédé à une refonte de la législation bancaire et financière en janvier 2011, de sorte à l’adapter aux attentes de la profession.

Notre correspondant en euro Nos correspondants en Dollars US

Banque Centrale de Djibouti B.P. 2118, Djibouti Tél. : (253) 35 27 51 Fax : (253) 35 62 88 Télex : 5838 DJ Site Web : www.banque-centrale.dj e-mail : [email protected]

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C’est dans cette optique, que la Gendarmerie nationale avec à sa tête le chef d’Etat Major et des unités telles que la SRD, la Compagnie Djibouti, la Compagnie Intérieur et Compagnie Centre se sont engagés à lutter inlassablement de jour comme de nuit contre ce fl éau néfaste à l’économie nationale.Et le meilleur moyen pour combattre effi cacement la contrebande est non seulement de considérer ce mal comme l’affaire de tous mais de voir également l’engagement imperieuse de tous ; du pouvoir public, de l’ensemble

des services concernés confondus et de la population.Avec le phenomène de la mondialisation, il va sans dire que le trafi c transfrontalier de marchandises illicites ne cessent de prendre de l’ampleur, et ceci, non seulement dans notre pays mais aussi partout dans monde. Dans notre pays, parallèlement à l’engagement des unités spécialisées de notre instutition, il est à sousligner que la Douane Djiboutienne ne menage pas aussi ses efforts dans sa lutte permanente contre la contrebande sous toutes ses formes.

Car la contrebande ne porte pas uniquement atteinte aux intérêts de l’Etat au niveau économique, elle porte aussi prejudice à la sécurité sanitaire et au bien-être de nos concitoyens, pour la simple raison que, pour la plupart du temps, les marchandises illicites sont souvent des produits qui ne respectent pas les normes sanitaires et donc très dangeureux à la consommation.c’est dans cet esprit que dans sa lutte contre la contrebande, la Douane procéde de manière intensive et sécurisée au partage et au regroupement

LA LuTTE CONTRE LA CONTREbANDE

La lutte contre les commerces illicites sous toutes ses formes est une des missions de la Gendarmerie qui ne se lasse guère de traquer de jour comme de nuit ces trafi quants de tous poils .

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des renseignements avec la Gendarmerie Nationale, la Police Nationale et les Forces Armées Djiboutiennes pour mieux déjouer les stratagèmes des réseaux des contrebandiers de tous poils qui opèrent aussi bien au niveau de nos frontières terrestres et que maritimes. Conscient de ce fait, la stratégie du Gouvernement a su mobilisé

et conjugué les efforts des Forces en uniforme (Armée, Gendarmerie, Police, Garde-côtes, etc.), des Douanes et de l’appareil judiciaire pour traquer, démanteler et traduire en justice les contrebandiers et leurs complices.Et même si le fait de maintenir une pression aussi forte que continue sur les contrebandiers a certes

donner ses fruits, il souhaitable de voir une collaboration active de la part de la population car pour lutter éffi cacement contre ce fl éau qui est d’abord et avant tout une affaire d’intérê chacunt national, Conscient d’autre part que le moindre relachement n’est pas permis, car la contrebande, - comme tout trafi c illicite - est une gangrène pour tout Etat moderne

Destruction de Khat en provenance de la contrebande par les gendarmes d’Ali sabieh

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qui inspire au developpemnt par le pieu d’une économie saine. Cependant, il est à sousligner que le commerce infromel qui n’est autre que le resultat de la contrebande est malheureusement le seul secteur qui n’a pas connu de crise, bien au contraire, il évolue et s’élargit sur nombreux secteurs, Khats, cigarettes, cafés, pièces détachés mécaniques,

produits électroniques, produits pharmaceutiques, produits cosmétiques et produits vestimentaires etc...Ces derniers temps, on assiste même à une recrudescence de la contrebande de khat, la variété « Hared » de cette plante qui est introduite clandestinement depuis les régions frontalières avec l’Ethiopie pour trouver place sur le marché locale.Dans le trafi c des produits illicites, antre autres, il n’y a pas que le Khat, la cigarette et l’alcool frelaté posent beaucoup de soucis aux autorités djiboutiennes ce dernier temps.Aux avants postes de cette lutte, les agents de la Brigade Mobile de la Douane et les Brigades de gendarmerie sont amenés à doubler de vigilance en accentuant les contrôles sur les routes nationales.Et pour couper ce mal aux racines, les gendarmes et les

agents de la Douane saisissent non seulement les produits illicites mais également les véhicules impliqués, et cette nouvelle méthode a déjà donner ses fruits car le traffi c de la contrebande est en baisse.Cette méthode qui frappe fort dans la fi lière du commerce clandestin, a permis de démantèler beaucoup de réseaux en les privant de moyens de transports. Mais les trafi quants ne manquent pas d’ingéniosité, ils font passer le khat grâce un nouveau système de camoufl age corporel.Il s’agit par exemple de cacher les bottes de khat dans des tuniques spéciales telle que dans une salopette à bretelle, dans un blouse ou dans une combinaison faite d’une seule pièce.Mais déterminer à mener la lutte jusqu’au bout, les gendarmes procèdent désormais la fouille corporelle de façon systématique.

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Un camioneur éthiopien, entrain de remplir frauduleusement des jericans en soustirant le Carburant transportée par la ci-terne, à l’aide d’un tuyau d’arrosage.

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Preventionsecurisationintervention

action

Une force vive aux services des valeurs républicaines

Fort Juste

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Juste

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LA GENDARMERIE

AU FEMININ

Si jusqu’à l’An 2000, la Gendarmerie ne recensait aucun personnel féminin et que les toutes premières «femmes gendarmes» ne rejoignent l’Institution qu’en 2001, on peut constater que d’énormes progrès ont été accomplis depuis car la Gendarmerie Nationale compte en ce jour 79 personnels féminins. L’émancipation de la Femme au sein de la gendarmerie Nationale étant une des priorités du Chef d’Etat Major, le personnel féminin répresente aujourd’hui 5,64% de l’effectif total. Un pourcentage certes honorable mais qui est en constante évolution.

Oui, le mouvement de féminisation s’accélère en Gendarmerie. C’est en effet, la volonté politique de S.E Imaïl Omar Guelleh, Président de la République et Chef Suprème des Armées, qui a été une étape marquant l’ouverture du recrute-

ment de personnels militaires de la Gendarmerie aux femmes, assorti de quotas. D’ailleurs dans l’optique de vaincre les stéréotypes, en recrutement de Gendarmerie, les femmes jouissent des mêmes chances que les hom-

mes. Pourtant, avant 2000, la Gendarme-rie ne recensait aucun personnel fé-minin. Les premières femmes gen-darmes rejoignent l’Institution en 2001. Elles sont alors au nombre de 03 seulement sur 50 jeunes recrues

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et ne représentent que 0.29% de l’ef-fectif total des gendarmes. Il faut aussi le souligner que, nos us et coutumes ne confortaient pas la pro-fessionnalisation des femmes dans l’Armée. Les changements actuels de mentalités se font voir avec l’arrivée davantage de jeunes fi lles, fraichement diplômées dans notre belle Arme. Aujourd’hui, la Gendarmerie Nationa-le compte 79 personnels féminins, soit 5,64% de l’effectif total. L’accession des femmes à des postes de respon-sabilité ne date pas d’hier. A la tête de services et de directions, elles assument leurs rôles avec autant d’abnégation et de dévouement que les hommes.

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Parade du personnel féminin lors du défi lé du 27 juin 2015.

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Et si au début, on ne les voyait que dans les admi-nistrations, elles sont de plus en plus nombreuses à aspirer à servir dans les unités opérationnelles telles que les brigades voir même le Groupement de Gendar-merie Mobile aux missions parfois périlleuses. Avec le temps, le vivier de candida-tes aux postes de responsa-bilités ne devrait que s’ac-croitre. Le renouvellement constant de l’Institution, avec ses départ en retraite et le recrutement de jeunes

gens, devrait également fai-re disparaitre les dernières réticences. Animées comme leurs col-lègues masculins par le goût du risque et du sacri-fice, certaines femmes gen-darmes ont décidé de servir sur le terrain et participent aux activités de maintien de l’ordre, dans des conditions souvent rudes. Et bientôt, les plus sportives et les plus aptes se verront autoriser à concourir pour intégrer l’unité d’élite de la Gendarmerie, le GIGN.

GEN

DARMERIE NATIONALE

FORT JUSTE

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Salle des Opérations

Bureau presse et de la photographie de la Gendarmerie

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direCtion de l’inStruCtion

vALORISER PAR L’INSTRuCTIONLa valorisation des ressources humaines est

une des priorités du haut commandement de la gendarmerie nationale qui s’appuie pour cela sur la direction de l’instruction dont la quête de performances est l’objectif de tous temps. Cette entité est donc un noyau

incontournable pour relever les multiples défi s inhérents au processus de valorisation du

personnel de notre institution.

Durant cette année 2016, et toujours dans la dynamique de rajeunir l’effectif de son personnel, et ac-croitre le potentiel opérationnel des unités de Gendarmerie Mobile et celles de la Gendarmerie Territo-riale, un concours de recrutement d’une nouvelle promotion d’élèves gendarmes a été organisé dans la capitale et dans les régions de l’intérieur. Les recrues ainsi sélectionnées ont ainsi débuté le stage FETTA qui aura pour but de leur inculquer la discipline militaire et le savoir faire du combattant.

Formation Fetta

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Concours d’entrée à la Gendarmerie en avril 2016

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StaGe FraC (vl)

Vu les nombreuses missions importantes confi ées à la Gendarmerie Nationale, la direction de l’ins-truction a organisé un stage de permis milliaire ca-tégorie VL (véhicule léger) au profi t de quarante deux (42) gendarmes.

Formation opJ

La Gendarmerie continue à former le personnel des unités judiciaires en permettant aux meilleurs de prendre part au stage OPJ (Offi cier de Police Judiciaire), qui leur permettra de diriger certaines enquêtes et d’en être responsable auprès du Pro-cureur de la République.C’est ainsi qu’un nouveau cycle de deux année de formation a débuté (2015-2017) avec seize (16) Stagiaires.

StaGeS de reCYClaGe

Les personnels des unités de Gendarmerie conti-nuent de bénéfi cier chaque année des stages de « recyclage ». C’est ainsi que durant cette nou-velle année d’instruction (2015-2016), trois (3) rotations de recyclage ont été organisées par le Haut Commandement de l’Institution et ont eu lieu au CICM (Centre d’Instruction Cheik Moussa) pour rappeler aux gendarmes les connaissances de base des différents domaines d’action de la Gendarmerie (Police Judiciaire, Renseignement, Maintien de l’Ordre etc.…). C’est ainsi que cent (100) gendarmes ont pu bénéfi cier de ces stages de recyclage.

StaGe «SUrete aeroportUaire»

Du 16 au 27 janvier 2016, une formation intitulée « sureté 1-2-3 Base » a été délivrée par deux ex-perts de l’OACI (Organisation de l’aviation civile internationale) au profi t d’une vingtaine de gendar-mes du personnel de la GTA (Gendarmerie des Transport Aériens)

Véhicule de Brigadier de la Gendarmerie Salle de classe au CICMG

Séance de cours de formation des OPJ

Déroulement d’une formation spécifi que au GTA

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StaGe Cte inFirmier aUxiliaire d’Unité

Du 5 mars au 5 septembre 2016, une formation CTE Infi rmier Auxiliaire d’Unité est en cours et du-rera six(6) mois. Cette formation a lieu au CICM (Centre d’Instruction Cheik Moussa), au profi t de dix (10) gendarmes. Cette formation est délivrée par le service santé de la Gendarmerie et permet-tra aux unités opérationnelles de disposer des In-fi rmiers Auxiliaires capables de prodiguer les pre-miers soins d’urgence.

Formation de motardS

Du 10 mars au 1er juin 2016, un stage de forma-tion de motards, a été organisé au CICM (Centre d’Instruction Cheik Moussa). Cette formation est délivrée au profi t de cinq (5) gendarmes et a per-mis à ces derniers d’acquérir les techniques et sa-voirs faire de base des motards.

Fad / Gr

1- Apprentissage de la langue Anglaise

Du 1er octobre 2015 au 15 mai 2016, cinq gendarmes ont suivi une formation en langue anglaise au sein de la Garde Républicaine. Il s’agissait de :- GP ABDOULKADER DABALEH MOHAMED- G1 HASSAN DJAMA ALI- G2 SAAD OMAR ABDILLAHI- G2 MAHAT MAHAMOUD GUELLEH- G2 FATOUMA OSMAN MEIRANEH

2- Apprentissage de la langue Italienne

Du 20 octobre au 23 décembre 2015, cinq gendarmes

ont suivi une formation en langue italienne. Il s’agis-sait de :- G1 HAMADOU DABALEH ALI- G1 ABDOURAHMAN ABDILLAHI HARED- G2 ABDOULKADER HAMAD HELEM- G2 MOUSTAPHA HAROUN KALIF- G2 AMIN HAMAD MOUSSA

3- CT1 Réseau Informatique

Du 11 Octobre 2015 au 11 janvier 2016, le GP KA-DER MOHAMED HASSAN et le G1 MOHAMED ABDI ILTIREH ont suivi une formation technique or-ganisée par les FAD (Forces Armées Djiboutiennes) et ont obtenu le CT1 Réseau.

4- Formation initial d’Offi ciers, à l’AMIA

Six (6) offi ciers-élèves suivent actuellement la forma-tion initiale des Offi ciers au sein de l’Académie Mili-taire Inter-Armées d’Arta. Leur cursus durera quatre années (2013-2017). Il s’agit des Offi ciers-élèves :- BADAR AHMED FARAH- FARHAN HOUSSEIN HASSAN- KADAR MOHAMED ABDILLAHI- MOHAMED LADIEH AWALEH- HOUMED MOHAMED ARAMIS- MOHAMED ALI OMAR

Fad / Gr

Trois rotations de stage d’aguerrissement et de sur-vie (CECAD) ont été délivrées par les instructeurs du 5eme RIAOM (coopération militaire française) au profi t d’un effectif total de quatre vingt dix (90) Gen-darmes des deux unités d’intervention de la Gendar-merie Nationale (GIGN et Groupement de Gendar-merie Mobile). Ces sessions de formation ont permis à ces unités d’accroitre leur potentiel dans les techni-

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Destruction de Khat de contrebande par les gendarmes d’Ali sabieh

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Formation moniteUr de tirS

Du 30 avril au 5 mai 2016, une formation de mo-niteur de tir a été délivrée par les offi ciers instruc-teurs des FFDJ au profi t de dix (10) gendarmes. Cette formation s’est déroulée au Centre d’Ins-truction Cheik Moussa (CICM).

CameroUn : StaGe neGoCiateUr de CriSe

Le S/LT Du 13 au 18 décembre 2015, un stage de « négociateur » s’est tenu au sein de l’Académie de Police de NAGAD et a été délivrée par deux experts de la coopération française. Neuf (9) gen-darmes ont pris part à cette formation.

Formation aU proFit dU « Centre opérationnel de la Gendarmerie »

Du 5 au 12 décembre 2015, une formation a été délivrée au profi t de vingt trois (23) gendarmes essentiellement en service au sein du Centre Opérationnel de la Gendarmerie et délivrée par un

expert de la Coopération française. Cette forma-tion a permis à ces gendarmes d’acquérir les mé-thodes modernes de gestion et d’animation d’un Centre opérationnel.

StaGe enqUete SUr leS aCCidentS d’aeroneFS

Du 09 au 21 mai 2016, une formation relative à « l’enquête en cas de crash d’aéronef » a été déli-vrée au profi t de vingt un (21) gendarmes par deux experts de la Coopération française. Cette forma-tion a permis à ces gendarmes d’acquérir les mé-

Tirs au CICM

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thodes et savoir faire pour diligenter efficacement une enquête relative à ce genre de catastrophe.

Formation aU maintien de l’ordre

Du 20 novembre au 5 décembre 2015, deux for-mateurs de la coopération française ont délivré lors d’une mission d’expertise, une formation en maintien de l’Ordre au profit d’un Escadron de la Gendarmerie Mobile. Cette formation a eu lieu au

Centre d’Instruction Cheik Moussa (CICM) et a permis aux gendarmes de cet escadron de réviser les techniques de rétablissement de l’Ordre.

Formation aU proFit dU peloton d’interventionS

Du 20 novembre au 5 décembre 2015, un for-mateur de la coopération française a délivré lors d’une mission d’expertise, une formation au profit du Peloton d’Intervention de la Gendarmerie Mo-bile. Cette formation a eu lieu au Centre d’Instruc-tion Cheik Moussa (CICM) et a permis aux gen-darmesde ce peloton d’acquérir les techniques d’Intervention lors d’une opération de rétablisse-ment de l’Ordre.

reCYClaGe GiGn

Du 15 novembre au 5 décembre 2015, un stage de perfectionnement portant sur les techniques d’intervention a été délivré par des instructeurs français, au profit de 30 …. Gendarmes du GIGN. Ce stage a eu lieu au Centre d’Instruction Cheik Moussa (CICM) et a été clôturé par une démons-tration d’une simulation d’opération de libération d’otages.

Coopération amériCaineFormation : « l’enqUête SUr leS in-CidentS terroriSteS »

Du 26 juillet au 06 Aout 2015, dix (10) gendarmes, en service dans les unités judiciaires de la Gen-darmerie, ont pris part à une formation relative à «l’enquête sur les incidents terroristes », offerte par la coopération américaine et qui s’est tenue à l’Académie de Police de Nagad.

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Coopération italienneFormation :« maintien de l’ordre »

Trois rotations (du 10/10/2015 au 05/11/2015, du 07/11/2015 au 10/12/2015 et du 23/04/2016 au 12/05/2016) d’une formation en maintien de l’Or-dre ont été délivrées par les instructeurs carabi-niers de la Coopération italienne au profit de deux cent quarante gendarmes appartenant à trois (3) escadrons du Groupement de Gendarmerie Mobi-le. Ces trois rotations, ont permis de faire acquérir à ces gendarmes mobiles les techniques de réta-blissement de l’ordre

Formation relative « aUx enqUê-teS SUr leS atteinteS environne-mentaleS »

Une formation relative « aux enquêtes sur les at-teintes environnementales » a eu lieu du 23 avril au 12 mai 2016, et a été délivrée par les instruc-teurs carabiniers de la coopération italienne au profit de quinze (15) gendarmes. Cette forma-tion s’est déroulée au Centre d’Instruction Cheik Moussa (CICM)

Trois rotations d’une formation en Police Technique et Scientifique au profit d’un effectif total de trente cinq (35) gendarmes, ont été délivrées par les instructeurs carabiniers de la coopération italienne et ont eu lieu au Centre d’Instruction Cheik Moussa (CICM)

Formation en « poliCe teChniqUe et SCientiFiqUe »

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1- eCole de GUerre de pariS

Du 13 septembre 2015 au 30 juillet 2016, le Chef d’Escadron HOUSSEIN NOUR DALIEH, suit les cours de l’Ecole de Guerre de Paris (France).

2- StaGe de Commandant de GroU-pement opérationnel de maintien de l’ordre (Gomo)

Du 24 Aout 2015 au 30 juin 2016, le capitaine ABDI DAHER MEIRANEH, a pris part à un stage relatif au commandement d’un Groupement Opérationnel

de Maintien de l’Ordre (GOMO). Cette formation a eu lieu au Centre National d’Entrainement des Forces de Gendarmerie (CNEFG) à Saint-Astier, en France.

3- StaGe Commandant d’eSCadron

Du 02 au 11 Février 2016, le capitaine ABDOUSSA-LAM OUMAR ABOBAKAR, a pris part à un stage relatif au commandement d’un Escadron de Gendar-merie Mobile. Cette formation a eu lieu au Centre National d’Entrainement des Forces de Gendarmerie (CNEFG) à Saint-Astier, en France.

StaGeS externeS

leS eColeS nationaleS à voCation réGionaleS (envr)

FranCe ChineeCole de GUerre, en Chine

Du 13 septembre 2015 au 30 juillet 2016, le Chef d’Escadron HOUMMAD LOITA HOUMMAD, suit les cours d’Etude de défense et de stratégie, au Collège d’Etudes de Défense de l’Université de la Défense Nationale, à Pékin, en Chine.

CoUrS d’appliCation deS oFFi-CierS, en Chine

Du 13 septembre 2015 au 30 juillet 2016, le sous lieutenant CHAMIS MOUSSA DJAMA et le sous lieutenant ROUKYA DJAMA ILTIREH, suivent le cours d’application des officiers, à l’Académie de l’Infanterie mécanisée de Hijiazhuang, en Chine.

eCole de GUerre dU CameroUn

Du 8 septembre 2015 au 16 juillet 2016, le Chef d’Escadron ALI MOHAMED AHMED, suit les cours de l’Ecole Supérieur International de Guerre de Yaoundé (Cameroun).

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Formation : FormateUr en ordre pUbliC aFriCain (Fop)

Du 22 Février au 15 Avril 2016, le lieutenant KA-MIL OUDOUM ROBLEH et le Sous lieutenant OMAR ELMI ALI, ont pris part à un stage de for-mation en Ordre Public (FOP) qui s’est déroulé à l’Ecole Internationale des Forces de Sécurité à Awaé au Cameroun.

SENEGAL

1.CoUrS d’appliCation deS oFFi-CierS de Gendarmerie, à dakar

Du 28 septembre 2015 au 22 juillet 2016, le sous lieutenant MOUBARAK MOHAMED HASSAN et le sous lieutenant YACIN MOUSSA DJAMA, sui-vent le cours d’Application des Officiers de Gendar-merie, à Dakar au Sénégal.

MALI

2.StaGe Ct1 adm

Du 1er février au 20 mai 2016, le G2 HALIMA AHMED YOUSSOUF, a pris part à un stage de CT1 Administration, à l’Ecole Militaire d’Administration de Koulikoro au Mali. Le but de stage consistait à inculquer aux stagiaires les connaissances d’un premier niveau et d’un savoir-faire rendant ceux-ci aptes à tenir les différents emplois administratifs et financiers.

StaGeS externeS

CONGO-BRAZZAVILLE

1- StaGe Ct1 »eaU »

Du 19 octobre au 14 Novembre 2015, le G1 AB-DOULKADER DAHER DJAMA a pris part à un stage de CT1 « Eau », à École de génie – travaux (EGT) au Congo-Brazzaville. Le but de ce stage consistait à inculquer aux stagiai-res les connaissances d’un premier niveau rendant ceux-ci aptes à traiter l’eau et le rendre potable.

BURKINA FASO

Formation initial d’oFFiCierS, aU bUrkina FaSoL’Officier-élève NOUHO AHMED NOUHO suit actuellement sa 2eme et dernière année de forma-tion initial d’Officier (cycle 2015-2016), à l’Académie Militaire Georges NOMOA-NO, au Burkina Faso.

MAROC

CoUrS d’appliCation d’oFFiCier de Gendarmerie, aU maroC

Du 27 septembre 2015 au 24 juin 2016, le Sous lieutenant HOUSSEIN AHMED AMIN et le Sous lieutenant ALI MOHAMED MOUSSA RAGUEH ont suivi le cours d’Application des Officiers de Gendarmerie au sein de l’EROG (Ecole Royale des officiers de Gendarmerie) de Casablanca, au Maroc.

SOUDAN

Formation initial d’oFFiCierS, aU SoUdan

L’Officier-élève ABDOUHAMID ADEN suit actuel-lement sa 2eme année de formation initial d’Officier sur un cursus qui durera quatre (4) années (cycle 2014-2018), au Soudan.

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EGYPTElUtte Contre le terroriSme

Du 1er au 30 Aout 2015, le MDL/Chef ILTIREH ALI MOHAMED, le GP ALI MOHAMED ALI et le G1 IBRAHIM OMAR ALI, ont pris part à une formation dans le domaine de la « lutte contre le terrorisme », qui s’est tenue au Caire, en Egypte

Du 29 Aout au 24 septembre 2015, une deuxième équipe constituée de l’Adjudant Chef YOUSSOUF AHMED ABDI et l’Adjudant OSMAN OMAR MIGUIL ont pris part à une formation dans la même thematique, au Caire.

Du 16 janvier au 11 février 2016, une troisième équipe, constituée du Chef d’Escadron ISHAK ALI MOHAMED et le Capitaine ALI ADEN NOUR, ont pris part également à la même formation, au Caire.

leS SéminaireS orGaniSéS aU niveaU national

leS SéminaireS internationaUx

Formation relative aUx « opéra-tionS de la poliCe anti-émeUte »

Du 29 Aout au 24 septembre 2015, l’Adjudant ALI MOHAMED MOUSSA RAGUEH et l’Adjudant KHAIREH SAID BAHDON ont pris part à une formation dans le domaine des « Operations de la Police Anti-émeute », qui s’est tenue au Caire, en Egypte.

SéCUriSation deS aCCèS et deS FrontièreS

Du 3 au 29 octobre 2015, le sous lieutenant OMAR AHMED FOURREH, l’Adjudant chef ABDILLAHI DJAMA OMAR, l’Adjudant MOHAMED ISSA MOHAMED et le MDL/Chef KASSIM MOHA-MED HOUMED ont pris part à un séminaire dans le domaine de « la sécurisation des accès et des fron-tières », qui s’est tenu au Caire, en Egypte. leS droitS de l’homme et la pro-

teCtion de la Femme

Du 7 Novembre au 3 Décembre 2015, l’Adjudant BARWAKO OMAR MOUSSA et le G2 NIMA MO-HAMED ELMI ont pris part à un séminaire portant sur « les Droits de l’Homme et la Protection de la femme » qui s’est tenu au Caire, en Egypte.

atelier de Formation SUr « leS miGrationS »

Un atelier de formation organisé par l’OIM, a eu lieu sur deux journées (le 24 et 25 Aout 2015), à l’hôtel palace Kempinski. Deux officiers, le capitaine HOUSSEIN MOHAMED KAYAD et le Sous lieutenant AH-MED MOHAMED HELEM ainsi que cinq autres gendarmes ont été formé sur cette thématique importante et qui reste d’actualité.

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le développement deS Compéten-CeS deS CommandantS de SéCU-rité

Du 7 novembre au 3 décembre 2015, le capitaine MAHDI MOUSSA FAHIYEH, le lieutenant IBRA-HIM BILEH HOUFFANEH et le sous lieutenant MOHAMED DABALEH MOHAMED ont pris part à une formation dans le domaine « du développe-ment des compétences des commandants de sécurité » qui a eu lieu au Caire, en Egypte.

GeStion et impaCt deS operationS de la SéCUrité

Du 12 décembre 2015 au 7 janvier 2016, l’Adjudant ABDILLAHI ALI RAYALEH et l’Adjudant OMAR MOHAMED OMAR ont pris part à une formation dans le domaine de « la Gestion et l’Impact des Opérations de la Sécurité » qui s’est tenue au Caire, en Egypte.

GeStion StratéGiqUe et le déve-loppement deS reSSoUrCeS hU-maineS

Du 20 février au 17 mars 2016, le MDL/Chef HAM-ZA SAYED AHMED et le MDL/Chef AHMED ABDALLAH OMAR, ont pris part à une formation intitulée « Gestion stratégique et le développement des ressources humaines » qui a eu lieu au Caire, en Egypte

JORDANIE

Formation de Forma-teUr FpUDu 2 Aout au 26 septembre 2015, le lieutenant YASSIN MOUS-SA FAHIYE, a pris part à une formation de formateur des FPU, qui s’est tenue en Jordanie. Cette formation permet aux participants de pouvoir préparer et entrainer les es-cadrons de Gendarmerie Mobile qui seront déployés dans les missions de maintien de la paix.

BOTSWANAFormation SUr « l’enqUête aprèSexploSion »

Du 1er au 15 Aout 2015, le GP GUEDI MOHAMED ELMI et le G1 FOUAD ABDILLAHI MAHAMOUD ont pris part à une formation sur « l’enquête après explosion », qui s’est te-nue à l’ « International Law En-forcement Academy - ILEA», à GABORONE (BOTSWANA).

OUGANDA

GeStion deS reSSoUrCeS de SéCUrité

Du 31 Aout au 04 septembre 2015, le Colonel IBRAHIM ELMI KAIB a pris part à un seminaire portant sur « la Gestion des Ressources de Sécurité en Afrique », qui s’est tenu à Kampala, en Ouganda

TURQUIE

viSite d’Une éqUipe dU GiGn en tUrqUie

Une équipe du GIGN de la Gendarmerie Djiboutienne a pu se rendre en Turquie, du 15 au 20 février 2016, et composée de quatre éléments (le capitaine SALAH ABDI DOUALEH, Sous lieutenant AHMED MOHAMED MOUMIN, Adjudant Chef MOHAMED ADOCHE OSMAN et le Mdl/Chef Iltireh Ali Mohamed). Ce séjour en Turquie a permis à cette équipe du GIGN de visiter les infrastructures de l’unité d’Intervention de la Gendarmerie Turque et d’échanger avec les responsables de cette unité d’un pays ami.

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Dans le cadre de la lutte contre la contrebande sous toutes ses formes et agissant sur des renseignements recoupés, les Gendarmes de la Section de Recherches et de Documentation, se sont rendus tôt le matin du 13.02.2015 dans 04 habitations situées toutes à Balbala dans le quartier communément appelé PK12 en vue de procéder à des perquisitions. Au cours de ces opérations, les gendarmes de la SRD, ont mis la main sur 10 Cartons de cigarettes de marque « BENSON » fraichement déposés dans des cachettes. Ces pro-duits étaient soigneusement enroulés et dissimulées dans des tissus.

Lutte contre les activités de contrebandes

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affaires résolues

Dans le cadre de la lutte contre la contrebande sous toutes ses formes et agissant sur des renseignements recoupés, les Gendarmes de la Section de Recherches et de Documentation, se sont rendus tôt le matin du 13.02.2015 dans 04 habitations situées toutes à Balbala dans le quartier communément appelé PK12 en vue de procéder à des perquisitions. Au cours de ces opérations, les gendarmes de la SRD, ont mis la main sur 10 Cartons de cigarettes de marque « BENSON » fraichement déposés dans des cachettes. Ces pro-duits étaient soigneusement enroulés et dissimulées dans des tissus.

Lutte contre les activités de contrebandes

Dans la série D’articles De ce Dossier, nous revenons sur quelques affaires résolues par les limiers De la genDarmerie au cours Des Derniers mois. ces affaires allant De l’escroquerie au cambriolage en passant par la contrefaçon, Donnent une iDée Des torts que la Délinquance et le banDitisme causent à la société. mais, la genDarmerie veille au grain.

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Dans la soirée du 04 AVRIL 2016 vers 21h30, la directrice commerciale de la société SDC dépose plainte à la brigade 3-4-5 contre son conducteur de camion Dyna pour le détournement d’un montant de 2 500.000fdj au préjudice de la société.Aussitôt les gendarmes se transportent à l’endroit où le camion était stationné et inter-pelle le chauffeur qui en pleurs déclare avoir été extorqué par le fils de sa sœur en la présence même de cette dernière et de sa fille. Les gendarmes mènent une fouille à corps sur le conducteur du camion et découvre une somme de 1 000.000fdj dans la poche arrière droite de son pantalon. Sans tarder les gendarmes procèdent à une opération d’envergure afin d’appréhender le trio. Vers 10heures du matin les voisins signalent la présence de la ladite-mère ( et soeur du chauffeur). Aussitôt les gendarmes interpellent le chauffeur et conduisent le camion chargé à la brigade 3/4/5. Le chauffeur est placé en gardé à vue et le chargement est saisi.Au cours de la fouille à corps effectué sur le chauffeur il a été découvert une de 435000fdj de provenance douteuse.

Depuis ces derniers mois, la brigade de Gendarmerie d’ Einguella a été saisie d’une série de plainte de cam-briolages dans sa circonscription, plus particulièrement les cités Saou-dite et Einguella.Les objets ayant été dérobés, sont en majorité des matériels électroniques tels que les ordinateurs portables, les tablettes, les téléphones porta-bles ainsi que leurs accessoires. Les recherches menées par cette unité, ont orienté les suspicions sur deux frères âgés respectivement de 18 et 22 ans, réputés dans des activités de vol. Les investigations entreprises ont permis la découverte d’un lot de matériels composés de :- 04 ordinateurs portables ;- 04 tablettes - une quinzaine de téléphones porta-bles de différentes marques ainsi que ses accessoires, écoulés dans le marché par ces deux jeunes délin-quants.Les personnes mises en cause ont été traduites à la justice le 22/03/2015 à 10H00 et placés sous mandat de dépôt.

Détournement

Cambriolages en série

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L’an deux mil seize, le 15 février à 13 heures, une personne ayant gardée l’anonymat informe le planton de la brigade d’un détour-nement des maïs à l’ADEPF.Aussitôt il rend compte à son CB qui l’ordonne de se transporter sur les lieux en tenue civile. Arrivé sur les lieux indiqués, il place un guet à 50 mètres et observe les opérations de chargement des sacs de mais sur un camion. Du coup il alerte la brigade et demande renfort. Sans tarder une équipe de patrouille de la bri-gade conduit par le MDL/Chef APTIDON le rejoint sur les lieux.Sur ce, les gendarmes se lancent derrière le camion chargé des denrées qui s’est engagé sur la voie. Ils interpellent le chauffeur et conduisent le camion chargé à la brigade 3/4/5.Le chauffeur est placé en gardé à vue et le chargement est saisieAu cours dela fouille à corps effectué sur le chauffeur il a été découvert une somme de 435000fdj de provenance douteuse.

Escroquérie à grande échelle

Détournement

Dans la journée du 16 Mars 2016 vers 12h30 minutes le substitut du procureur de la république demande de diligenter une enquête relative à une affaire escro-querie à grande échelle d’une valeur de 8.400.000fdj dont sont victimes quatre individus. Aussitôt les gendarmes ont entrepris des opérations en vue d’appréhender les auteurs des faits.Au cours de cette mission, avons interpellé une dame qui était l' auteur de l’émission de trois chèques d’une valeur totale de 8.400.000fdj, d'un agent de l’EDD coauteur de l’escroquerie et d'un troisième individu qui n'était autre que l'instigateur de l’escroquerie.Au cours des auditions, le trio, auteur des faits a reconnu les faits qui lui sont reprochés pour les faits précités. Aux cours des investigations avons saisi un important lot des matériels de construction composés de : 150 cartons de carrelage, 20 sacs de ciments, 57 planches et madriers.A l’issue de la procédure, les trois personnes mises en cause ainsi que les receleurs qui étaient aussi au nombre de trois, ont été tous conduits devant le pro-cureur de la république pour répondre de leurs actes.A cet effet, dans la cadre de cette affaire, deux individus ont été placés sous mandat de dépôt à la prison civile de GABODE

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Dans la soirée du 04 AVRIL 2016 vers 21h30, la directrice commerciale de la société SDC dépose plainte à la brigade 3-4-5 contre son conducteur de camion Dyna pour le détournement d’un montant de 2 500.000fdj au préjudice de la société.Aussitôt les gendarmes se transportent à l’endroit où le camion était stationné et inter-pelle le chauffeur qui en pleurs déclare avoir été extorqué par le fils de sa sœur en la présence même de cette dernière et de sa fille. Les gendarmes mènent une fouille à corps sur le conducteur du camion et découvre une somme de 1 000.000fdj dans la poche arrière droite de son pantalon. Sans tarder les gendarmes procèdent à une opération d’envergure afin d’appréhender le trio. Vers 10heures du matin les voisins signalent la présence de la ladite-mère ( et soeur du chauffeur). Aussitôt les gendarmes interpellent le chauffeur et conduisent le camion chargé à la brigade 3/4/5. Le chauffeur est placé en gardé à vue et le chargement est saisi.Au cours de la fouille à corps effectué sur le chauffeur il a été découvert une de 435000fdj de provenance douteuse.

Depuis ces derniers mois, la brigade de Gendarmerie d’ Einguella a été saisie d’une série de plainte de cam-briolages dans sa circonscription, plus particulièrement les cités Saou-dite et Einguella.Les objets ayant été dérobés, sont en majorité des matériels électroniques tels que les ordinateurs portables, les tablettes, les téléphones porta-bles ainsi que leurs accessoires. Les recherches menées par cette unité, ont orienté les suspicions sur deux frères âgés respectivement de 18 et 22 ans, réputés dans des activités de vol. Les investigations entreprises ont permis la découverte d’un lot de matériels composés de :- 04 ordinateurs portables ;- 04 tablettes - une quinzaine de téléphones porta-bles de différentes marques ainsi que ses accessoires, écoulés dans le marché par ces deux jeunes délin-quants.Les personnes mises en cause ont été traduites à la justice le 22/03/2015 à 10H00 et placés sous mandat de dépôt.

Détournement

Cambriolages en série

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L’an deux mil seize, le 15 février à 13 heures, une personne ayant gardée l’anonymat informe le planton de la brigade d’un détour-nement des maïs à l’ADEPF.Aussitôt il rend compte à son CB qui l’ordonne de se transporter sur les lieux en tenue civile. Arrivé sur les lieux indiqués, il place un guet à 50 mètres et observe les opérations de chargement des sacs de mais sur un camion. Du coup il alerte la brigade et demande renfort. Sans tarder une équipe de patrouille de la bri-gade conduit par le MDL/Chef APTIDON le rejoint sur les lieux.Sur ce, les gendarmes se lancent derrière le camion chargé des denrées qui s’est engagé sur la voie. Ils interpellent le chauffeur et conduisent le camion chargé à la brigade 3/4/5.Le chauffeur est placé en gardé à vue et le chargement est saisieAu cours dela fouille à corps effectué sur le chauffeur il a été découvert une somme de 435000fdj de provenance douteuse.

Escroquérie à grande échelle

Détournement

Dans la journée du 16 Mars 2016 vers 12h30 minutes le substitut du procureur de la république demande de diligenter une enquête relative à une affaire escro-querie à grande échelle d’une valeur de 8.400.000fdj dont sont victimes quatre individus. Aussitôt les gendarmes ont entrepris des opérations en vue d’appréhender les auteurs des faits.Au cours de cette mission, avons interpellé une dame qui était l' auteur de l’émission de trois chèques d’une valeur totale de 8.400.000fdj, d'un agent de l’EDD coauteur de l’escroquerie et d'un troisième individu qui n'était autre que l'instigateur de l’escroquerie.Au cours des auditions, le trio, auteur des faits a reconnu les faits qui lui sont reprochés pour les faits précités. Aux cours des investigations avons saisi un important lot des matériels de construction composés de : 150 cartons de carrelage, 20 sacs de ciments, 57 planches et madriers.A l’issue de la procédure, les trois personnes mises en cause ainsi que les receleurs qui étaient aussi au nombre de trois, ont été tous conduits devant le pro-cureur de la république pour répondre de leurs actes.A cet effet, dans la cadre de cette affaire, deux individus ont été placés sous mandat de dépôt à la prison civile de GABODE

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Vols & Falsi�cationslaire, pour ainsi se faire passer pour lui.Pour attirer ses victimes dans son arnaque, le mis en cause portait toujours avec lui, un sac à main noir dans lequel se trouvaient les maté-riels nécessaires pour réparer les ordina-teurs. Alors qu’en réalité, il n’était qu’un simple journalier et aidait les agents d’entretien de l’Université de Djibouti, à déplacer les tables et les chaises. A partir de là, les enquêteurs de la Brigade de Recherches se sont penchés sur la personnalité du mis en cause. Il s’est avéré que non seule-ment ce dernier était un voleur, mais également un escroc et un faussaire. Sous la Direction du Commandant la Brigade de Recherches, les investigations entreprises ont permis de déceler toutes les manœuvres illi-cite du mis en cause.Au cours de la perquisition effectuée au domi-cile du mis en cause, il a été découvert ’une imprimante multifonction (scanner, imprimante en couleur, fax, etc…) qu’il utilisait dans ses manœuvres frauduleuses. Il a été également été découvert plusieurs fausses attestations et faux badges (portant son nom et sa photo d’identité) appartenant à différentes sociétés privées ainsi qu’une trentaine de copie des Cartes d’identité Nationale appartenant à des tierces personnes, ont été également saisis. C’est dans ce contexte, que tous les faux docu-ments ont été saisis puis placés sous scellés. Egalement, les ordinateurs volés ou détournés ont été saisis et présentés devant le Procureur de la République. A l’issue, ce Magistrat a décerné un mandat de dépôt l’encontre du mis en cause qui a été conduit à la Prison Civile de Gabode. Ainsi, à partir d’une simple affaire d’apparence anodine, les gendarmes de la Bri-gade de Recherches, de part leur professionna-lisme, ont pu démanteler un véritable réseau de faux documents.

L’an Le 31 Janvier 2016 à 12 heures 20 minutes, un jeune étudiant se présente à la brigade de recherches et désire porter plainte à l’encontre d’un individu pour vol de son ordi-nateur portable.Aussitôt, le Commandant de la Brigade de Recherches et ses éléments interpellent le mis en cause. Au cours de son interpellation, il a été retrouvé sur lui, le mini ordinateur porta-ble qu’il a volé au domicile de la victime. Il était également en possession d’un deuxième ordinateur portable de marque TOSHIBA. Interrogé sur la provenance du deuxième ordi-nateur trouvé en sa possession, il a déclaré que ce matériel informatique appartenait à un administrateur des réseaux en service à l’Université de Djibouti. Immédiatement, le propriétaire a été convoqué et il a souligné avoir confié au mis en cause 02 ordinateurs. Devant cette situation, ce dernier a avoué avoir vendu le deuxième ordina-teur. Au cours de l’enquête, il a été découvert que le mis en cause travaillait à l’université de Djibouti sous une autre identité. Les investi-gations ont alors permis de révéler que le mis en cause de nationalité Ethiopienne avait fal-sifié la pièce d’identité de son grand frère en apposant sa photo d’identité sur celle du titu-

Suite à une série de dégradation et vol des équipements électriques de la nouvelle ligne de chemin de fer, les gendarmes de la Brigade d’ Ali-Sabieh ont diligenté une enquête visant à identifier et à interpeller le ou les auteurs impliquées dans cette affaire.Les faits se sont produits dans le secteur de Holl-Holl plus précisément à WARABA-GAL. En effet, des personnes malintentionnées ont sectionné puis dérobé des câbles électriques de plusieurs catégories servant au fonctionnement du futur train électrique reliant Djibouti à Addis-Abeba, et ce, sur une distance de 1, 200 KmLes investigations menées par les gendarmes, ont permis d’appréhender 13 individus impli-qués en qualité d’auteur, complice et de receleur. Les outils et moyens roulants à savoir 02 véhicules, ayant servi à la commission de ces méfaits, ont tous été saisis. Les câbles volés étaient tous revendus sur le marché noir à Djibouti ville. A souligner que ces maté-riels dérobés sur le circuit électrique ont une valeur marchande de 250.000 USD soit 44.500.000 Fdj.Toutes ces personnes ont été déférées devant la justice. Par ailleurs, le Haut Commandement de Gendarmerie recommande à la population civile et à toutes personnes susceptibles d’être témoins de tels faits de signaler illico-presto à la brigade de la gendarmerie la plus proche en vue de faire acte de civisme et de ne pas endommager les biens matériels appartenant à l’Etat.

Acte de vandalisme sur le reseau électrique du chemin de fer

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Vols & Falsi�cationslaire, pour ainsi se faire passer pour lui.Pour attirer ses victimes dans son arnaque, le mis en cause portait toujours avec lui, un sac à main noir dans lequel se trouvaient les maté-riels nécessaires pour réparer les ordina-teurs. Alors qu’en réalité, il n’était qu’un simple journalier et aidait les agents d’entretien de l’Université de Djibouti, à déplacer les tables et les chaises. A partir de là, les enquêteurs de la Brigade de Recherches se sont penchés sur la personnalité du mis en cause. Il s’est avéré que non seule-ment ce dernier était un voleur, mais également un escroc et un faussaire. Sous la Direction du Commandant la Brigade de Recherches, les investigations entreprises ont permis de déceler toutes les manœuvres illi-cite du mis en cause.Au cours de la perquisition effectuée au domi-cile du mis en cause, il a été découvert ’une imprimante multifonction (scanner, imprimante en couleur, fax, etc…) qu’il utilisait dans ses manœuvres frauduleuses. Il a été également été découvert plusieurs fausses attestations et faux badges (portant son nom et sa photo d’identité) appartenant à différentes sociétés privées ainsi qu’une trentaine de copie des Cartes d’identité Nationale appartenant à des tierces personnes, ont été également saisis. C’est dans ce contexte, que tous les faux docu-ments ont été saisis puis placés sous scellés. Egalement, les ordinateurs volés ou détournés ont été saisis et présentés devant le Procureur de la République. A l’issue, ce Magistrat a décerné un mandat de dépôt l’encontre du mis en cause qui a été conduit à la Prison Civile de Gabode. Ainsi, à partir d’une simple affaire d’apparence anodine, les gendarmes de la Bri-gade de Recherches, de part leur professionna-lisme, ont pu démanteler un véritable réseau de faux documents.

L’an Le 31 Janvier 2016 à 12 heures 20 minutes, un jeune étudiant se présente à la brigade de recherches et désire porter plainte à l’encontre d’un individu pour vol de son ordi-nateur portable.Aussitôt, le Commandant de la Brigade de Recherches et ses éléments interpellent le mis en cause. Au cours de son interpellation, il a été retrouvé sur lui, le mini ordinateur porta-ble qu’il a volé au domicile de la victime. Il était également en possession d’un deuxième ordinateur portable de marque TOSHIBA. Interrogé sur la provenance du deuxième ordi-nateur trouvé en sa possession, il a déclaré que ce matériel informatique appartenait à un administrateur des réseaux en service à l’Université de Djibouti. Immédiatement, le propriétaire a été convoqué et il a souligné avoir confié au mis en cause 02 ordinateurs. Devant cette situation, ce dernier a avoué avoir vendu le deuxième ordina-teur. Au cours de l’enquête, il a été découvert que le mis en cause travaillait à l’université de Djibouti sous une autre identité. Les investi-gations ont alors permis de révéler que le mis en cause de nationalité Ethiopienne avait fal-sifié la pièce d’identité de son grand frère en apposant sa photo d’identité sur celle du titu-

Suite à une série de dégradation et vol des équipements électriques de la nouvelle ligne de chemin de fer, les gendarmes de la Brigade d’ Ali-Sabieh ont diligenté une enquête visant à identifier et à interpeller le ou les auteurs impliquées dans cette affaire.Les faits se sont produits dans le secteur de Holl-Holl plus précisément à WARABA-GAL. En effet, des personnes malintentionnées ont sectionné puis dérobé des câbles électriques de plusieurs catégories servant au fonctionnement du futur train électrique reliant Djibouti à Addis-Abeba, et ce, sur une distance de 1, 200 KmLes investigations menées par les gendarmes, ont permis d’appréhender 13 individus impli-qués en qualité d’auteur, complice et de receleur. Les outils et moyens roulants à savoir 02 véhicules, ayant servi à la commission de ces méfaits, ont tous été saisis. Les câbles volés étaient tous revendus sur le marché noir à Djibouti ville. A souligner que ces maté-riels dérobés sur le circuit électrique ont une valeur marchande de 250.000 USD soit 44.500.000 Fdj.Toutes ces personnes ont été déférées devant la justice. Par ailleurs, le Haut Commandement de Gendarmerie recommande à la population civile et à toutes personnes susceptibles d’être témoins de tels faits de signaler illico-presto à la brigade de la gendarmerie la plus proche en vue de faire acte de civisme et de ne pas endommager les biens matériels appartenant à l’Etat.

Acte de vandalisme sur le reseau électrique du chemin de fer

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nouVelleS teCHnoloGieS uN RéSEAu PROPRE à LA GENDARMERIE.

Un Grand Pas Vers le Numérique

Beaucoup d’effort et des moyens conséquents ont été consentis pour mettre sur pied le réseau numérique de la Gendarmerie ( intragen). Afin de vous permettre une compréhension effective de ce grand evenement nous vous proposons de vous faire découvrir en cinq questions le nouvel outil..Le haut-commandement a décidé de moderniser son système de communication radio en adoptant la techno-logie de l’information et de communication.

La gendarmerie nationale entre dans l’ère du nu-mérique. En effet, l’insti-tution vient d’achever le déplo iement d’un nouvel outil de com-m a n d e m e n t et d’informa-tions au sein de ses unités opéra t ione l -les et dépar-t e m e n t a l e s baptisé « In-tragend ».Il est le premier de ce genre (réseau infor-matique) en Gendarmerie à etre déployé sur l’ensemble du territoire national. L’outil dessert l’ensemble des composantes de toute l’institution. «Nous voulons profiter des dernières innovations tech-nologiques pour que ce ré-seau de communication soit

en adéquation avec tous les besoins des gendarmes sur le terrain chargé de la protection des biens et des personnes et permettre à la chaine de commandement de prendre les mesures ne-cessaires au moment op-

portun explique le Colonel ZAKARIA HASSAN , chef d’Etat-major de la Gendar-merie qui se réjouit de la réussite de ce projet.Quel benefice tirer de cette technologie Le passage au numerique offre beau-coup d’atouts aux utili-sateurs : des délais de transmissions rapide set

raccourcis des messages , l’abolition des distances, l ’asynchronisme(possibil ité d’envoyer des messages même si l’utilisateur n’est pas connecté), une plus grande disponibilité du réseau,des équipements

modernes ca-pables de sélectionner,de transmettre et de recevoir des documents ou des images en temps réel. En-fin, du point de vue de la main-tenance, cette n o u v e l l e t e c h -nologie per-met d’installer des correctifs à distance. Par c o n s é q u e n t ,

l’intragend devient un outil indispensable d’aide à la dé-cison du commandement.Le fonctionnement

Les unités sur le terrain font remonter toutes les in-formations jusqu’au Cen-tre Opérationnel de la Gendarmerie(COG) par voie numerique .Le COG gère le renseignement élaboré

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dans Une Base de données de sécurité publique.Il permet en plus de cap-ter des informations d’or-dre public sur l’ensemble du territoire. Ses informations seront partagés instanta-nément par l’ensemble des utilisateurs et à qui de droit, explique le Capitaine Yous-souf Hared chef du projet. Ces qui n’était pas le cas auparavant car parfois l’in-formation ne dépassait pas les frontières régionales et arrivée déformée à des-tinqation. Le systeme est

également conçu pour que les officiers analystes spé-cialisés de la gendarmerie traitent ces renseignements collectés dans la perspecti-ve d’anticiper les troubles à l’ordre public et d’ informer les autorités administratives afin de prendre toutes les mesures necessaires pour garantir une sécurité publi-que optimale.

Epreuve des faits lors des éléctions du 08 AvrilLa mise à l’épreuve du nou-

veau a été de relever le défi de la sécurité optimale des éléctions présentielle pas-sée. L’institution a mobililé plus de 1500 gendarmes stationnés sur 120 sites ainsi que 25 analystes spé-cialisés qui seront connec-tés et ont partagé des infor-mations. Et, cela, en temps réel. Le Centre de Gestion des Crises de la Gendarme-rie par le biais de « l’Intra-gend » a pu managé toutes les activités de cette journée dont l’importance capitale a été de maintenir un cli-

mat favorable. Ce nouveau Système d’information et de Commication a pu permettre aux gendarmes de gagner en efficacité sur le terrain, d’accroître leur possibilité d’action et de simplifier le mode de fonctionnement en étant plus réactif. Bref « l’Intragend » a répondu aux attentes fortes du Haut-Commandement et relever le défi de cette rude épreu-ve. Son opérationnalité est validé. Toute la Gendarme-rie se réjouit.

PERPECTIVESLe haut-commandement ne souhaites en rester là. L’in-formatisation des unités et la modernisation du réseau de transmissions consti-tuent la priorité. « L’Intra-gend » nom de bapteme du réseau informatique consti-tue le soubassement de l’interconnexion de toutes composantes de l’institution quelque soit leur coordon-nées géographique. L’agen-da de cette mutation en vue d’une nouvelle ère est très

chargé. La polititique mené par le commandement est de progresser d’un pas à un pas afin de familiariser au fil du temps le person-nel à ce nouveau program-me. D’autres projets sont à l’heure en travaux dans la poursuite du programme de modenisation. L’objetif du commandement est de créer une gestion centra-lisée numérique de toute l’institution.

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le Groupement de Gendarmerie mobile

uN GROuPEMENT EN CONSTANTE EvOLuTION

Le Groupement de Gendarmerie Mobile demeure la force de frappe de la Gendarmerie Nationale. Cette unité d’élite est chargée de prévenir et gérer les troubles à l’ordre public.

Le Groupement de Gendar-merie Mobile prête mains fortes aux autres unités de la Gendarmerie dans l’accom-plissement de leurs missions régaliennes.Les deux premiers esca-drons ont vu le jour le 1èr Mai 2012 par décret prési-dentiel. Depuis sa création, la Gendarmerie mobile a amorcé une montée en puis-sance tant en effectifs qu’en moyens et équipements.De nouveaux escadrons ont rejoint le Groupement de Gendarmerie Mobile en 2015 et ont grossi son effec-tif afin de pouvoir remplir au

mieux les missions de plus en plus diverses et variées, confiées . La Gendarmerie Mobile est dotée des matériels et équi-pement adéquat contre les violences urbaines et rura-les. Il s’agit des équipements spécifiques contre les émeu-tes telles que les boucliers, les grenades lacrymogènes, les lanceurs de grenade et des fusils lanceurs balles plastiques. Des véhicules lance grena-des ont été acquis pour la première fois afin de ren-forcer la puissance du feu

du groupement mobile. Ces nouveaux moyens renfor-cent la capacité opération-nelle. Le Groupement de Gendar-merie Mobile est doté de nou-veaux véhicules de transport de troupes. Cependant, il existe une insuffisance des moyens roulants qui limitent la capacité opérationnelle et mobile du groupement. Malgré cela, la gendarmerie mobile répond à toutes les missions d’ordre public et de renforcement de la sécurité du pays. De ce fait, le commande-ment de la Gendarmerie

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Djiboutienne est conscient les problèmes concernant le rame des véhicules trans-port de troupe par rapport à l’ampleur des missions qui lui sont confiés.De plus, le commandement de la Gendarmerie a donné la priorité de l’amélioration des conditions de vie des escadrons par la construc-tion des dortoirs pour les gendarmes.Un nouveau bâtiment H2 ré-cemment construit abrite 2 escadrons de 100 gendar-mes. Il est équipé d’une ving-taine de WC et douches.Les autres escadrons sont lo-

gés dans des nouveaux dor-toirs récemment construits En outre, la formation des gendarmes du groupement mobile est l’une de priorité du commandement. Ils suivent régulièrement l’instruction tactique, tech-nique et physique au centre d’instruction à PK 23.Pour cela, deux pelotons d’intervention sont formés afin d’exécuter des missions spéciales telles que la neu-tralisation d’un adversaire et l’arrestation au cours de la gestion d’une foule violente Les escadrons mobiles bé-néficient des formations don-

nées par des instructeurs étrangers en l’occurrence français, italiens et améri-cains.Ces formations sont axées sur différents volets; le se-courisme, l’aguerrissement commando, les techniques de maintien de l’ordre et tac-tique.Enfin, les officiers instruc-teurs de la gendarmerie mo-bile forment aussi les gen-darmes d’une façon continue afin de maintenir la capacité opérationnelle des esca-drons.

Patrouille nocturne des éléments de la Gendarmerie Mobile

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le Groupement de tranSportS aérienS

LA GENDARMERIE DES TRANSPORTS AéRIENS

La Gendarmerie des transports aériens (GTA) est une formation spécialisée de la gendarmerie nationale dont la mission s’exerce au sein de l’Aéroport International d’Ambouli de Djibouti. Historique.

La Gendarmerie des Trans-ports Aériens responsable de la Sûreté Aéroportuaire, en vertu de l’Arrêté n° 88/0626/PR/INT du 11 Juin 1988, est seule chargée de mettre en œuvre les mesures de Police Générales et de Sécurité, sur toutes l’étendue des Zones de l’Aéroport sous l’autorité du Ministre de l’Equipement et des Transports.- Elle assume ses missions

avec efficacité et abnégation du jour comme de nuit.• Différents types de mis-sions sont assignées à la Gta :

- en zone réservée des pla-tes-formes aéroportuaires ou aérodromes civils d’im-plantation :

a) Missions générales :- police administrative (ren-seignement notamment en matière de lutte anti-terroris-me et d’intelligence écono-mique, sécurité publique…),

- police judiciaire (constata-tion des crimes et délits, lutte contre le travail illégal...),

b) Police de la sûreté aé-roportuaire :

La Gendarmerie des Trans-ports Aériens exerce cette mission de manière per-manente et prioritaire. Elle a pour but de protéger les personnes, les installations et les aéronefs de l’aviation civile contre les actes d’in-tervention illicites (attentats,

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détournements) :- contrôle des compagnies aériennes et des entreprises travaillant en zone réservées (bagages, fret, assistance en escale, catering...);- contrôle renforcé des vols vers les destinations sensi-bles impliquant des mesures particulières, tel la Somalie, les bagages provenant de la Somalie étaient toujours ins-pectés de manière particu-lière depuis l’attentat du vol Daallo Airlines du 02 Février 2016 à Mogadiscio. Les vols en provenance et en partan-ce sur la Somalie sont sup-primés.

c) Protection :- des aéronefs d’Etat à l’arri-vée ou au départ des aéro-ports Djibouti ;• Les différentes mis-sions de la GTA :- contrôle de l’arcade (entrée de l’Aéroport sur les véhicu-les à l’aide des miroirs et les personnes au portique).

- poste d’inspection filtrage sur le point de départ des passagers d’où le contrôle s’effectue, les bagages à la machine rayon X puis avec la machine Itmiser desti-née à la détection des traces d’explosifs. - Un second contrôle de même genre s’ef-fectue aux portes I et II, lors de l’embarque-ment des passagers. - Contrôle des baga-ges à main des pas-sagers à l’aide de la machine Rayon X, sur la machine Itmiser et au porti-que les passagers.- Au poste de contrôle de l’Aéro-club, concernant les véhicules ayant accès, des miroirs sont utilisés, le ca-pot ouvert, fouille manuelle et avec un détecteur à main sur le conducteur.- Une mission particulière s’effectue au niveau du Fret, tant sur les marchandises

export et import Cargo.

- Pour tout ce qui est export, les marchandises sont scan-nés sur deux machines :L’une pour identifier la na-ture et l’autre pour détecter d’éventuelle traces d’explo-sifs.

En conclusion, la Gen-darmerie des transports aériens assure d’une ma-nière très large, la sécurité des infrastructures aéro-portuaires et la sûreté des aéronefs et des passagers fréquentant l’Aéroport In-ternational de Djibouti.Elle est disposée, à neutra-liser toute menace de l’ex-térieur et se tient en très bonne collaboration avec la base française, le camp Lemonnier et le camp Ja-ponais pour prévenir tout acte illicite.

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INfRASTRuCTuRES DE LA GENDARMERIE

Depuis 2011, c’est plus d’une quinzaine d’infrastructures importantes qui ont été réalisées pour améliorer le confort d’instruction, d’hébergement et de commodité de nos troupes.

en effet, plus d’une quinzaine d’infrastructures importantes qui ont été réalisées :

- 03 salles de classes spa-cieuses et climatisées pour un cadre agréable d’instruc-tion pouvant accueillir cha-cune 60 stagiaires.(photo)

• Des réfectoires à standard international ont vu le jour au grand bonheur de nos hom-mes, très spacieux et dotés de la climatisation. • Une salle équipée d’un si-mulateur de tir pour nos per-sonnels en vue de s’entrai-

ner et maitriser leurs reflexes face à des situations les plus dangereuses pour neutrali-ser des preneurs d’otages et libérer des victimes.Il s’agit d’une technologie très avan-cée dans laquelle est regrou-pée plus des 200 scenarios et de surcroit où l’on peut ajouter d’autres scénarios inventés ou vécus à travers le monde.(photo)

• Une salle de musculation , une autre salle d’arts mar-tiaux pour préparer nos per-sonnels à mieux s’entrainer en vue de faire face à toutes

éventualités sur le terrain.

• Un bâtiment dortoir flam-bant neuf abritant le per-sonnel de la Gendarmerie Mobile, réservé à l’étage au commandement et cadres. au rez des chaussés aux gendarmes de cette Unité. (photo)

• 03 blocs dortoirs réservés à l’accueil des jeunes recrues pouvant loger chacun 100 gendarmes et cadres. • Actuellement un complexe gigantesque composé d’un amphithéâtre d’une capacité

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de 400 personnes et d’une salle de cérémonie de même capacité ainsi que des deux salles V.I.P très spacieuse et leurs autres dépendances est en cours de réalisation.

• Un Champ de tir adapté pour tous types d’armes (in-dividuel et collectives) entiè-rement rénové par nos amies de la F.F.D.J du service gé-nie durant 03 semaines. Il fut inauguré conjointement le 16/04/2016 par le général de division MONTOCCHIO, comman-dant les F. F. D . J s ta t i on -nées à Djibouti et du Chef d ’ E t a t Major de la Gen-darmerie le Colo-nel ZA-K A R I A HASSAN A D E N en pré-sence du

C.E.M.G.A, le Général de division ZAKARIA CHEICK IBRAHIM. Etait également présent à cet évènement le général de division OSMAN NOUR SOUBAGLEH.

• Lorsde cette inauguration , une reconnaissance et un témoignage de la Gendar-merie ainsi que de la patrie a été rendu au défunt S/

LT MOHAMED ALEO MO-HAMED, tombé au champ d’honneur le 27/11/1999 qui donne son nom à l’équipe-ment.

• Depuis 2015, le WIFI cou-vre le périmètre du C.I.C.M pour permettre à tout et à chacun de profiter pleine-ment de cette technologie pour parfaire ses connais-sances.

Pour de ce qui est des pro-jets à venir et compte tenu

de la montée en puissance de la Gendarmerie Mobile, des dortoirs seront édifiés pouvant loger 300 gendar-mes soit 03 Escadrons de ce groupement est également, envisagée la constructiond’ un immeuble administratif pour les cadres et respon-sables des filières d’instruc-tions.

Un bloc composé d’une ar-murerie , d’un atelier de ré-paration d’armes de petit ca-libre et d’un dortoir mitoyens pour les armuriers sans oublier bien sur la construc-tion d’une soute à munitions est en attente.Un hôpital avec 02 Cabi-nets de Consultations et 06 chambres d’admission ainsi qu’une salle urgence et une couloire d’attente le tout avec leurs Commodités res-pectives sera édifié très pro-chainement financé par une

O.N.G.

L’hôp i ta l p r e n d r a en charge non seule-ment nos militaires évo luant au C.I.C.M mais éga-lement ac-cuei l lera la popu-lation no-made des sec teurs a v o i s i -nants.

L’ensem-ble de ces infrastructures toutes indispensables, en phase de construction ou encore à l’etat de projet sont l’expression d’une réa-lité d’engagement du Chef d’Etat Major de la Gendar-merie Nationale le colonel.

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Batiment en cours de construction est le futur Etat Major de la Gendarmerie

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CEREMONIE DU 39ème ANNIVERSAIRE DE LA GENDARMERIE NATIONALE Le Colonel Zakaria Hassan Aden passant en revue les troupes de la gendarmerie Nationale

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LA GENDARMERIE PAR LES GRADES

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1- Elève Gendarme 2- Gendarme 2e Classe 3 - Gendarme 1er Classe 4 - Gendarme Principal 5 - Maréchal des logis-chef 6 - Adjudant 7 - Adjudant Chef 8 - Major 9 - Sous-lieutenant10 - Lieutenant11 - Capitaine12 - Chef d'Escadron13 - Lieutenant colonel14 - Colonel

PRESENTATION DE LA GENDARMERIE PAR LES GRADES

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« LIbERER LES OTAGES ET NEuTRALISERLES TERRORISTES, TEL EST L’ObJECTIf

DE CETTE MISSION POuR LA GIGN»

LA LuTTE CONTRE LE TERRORISME POuR LE GIGN :

C’EST D’AbORD SAuvER LES vIES EN DANGER Au DETRIMENT DE TOuT LE RESTE.

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DARMERIE NATIONALE

FORT JUSTE

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Une publication de la Gendarmerie Nationale - 27 juin 2016

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