29
.…. Po ac un sa m cadr et le du lo du L Août our u ctive nepe anté moire des d re des cons e plaisir de oisir et de oisir et du t 2013 une p et e erspe publ directeurs sultations n bouger : v l’activité p Sport, 201 popu en sa ectiv lique de santé p nationales vers une po physique », 13 ulatio nté : vede e publique p s sur le livre olitique na , ministère on : e résenté da e vert « Le tionale du e de l’Éduc ans le e goût u sport, ation,

Mémoire DSP Livre vert - 2013-08-30 · vers une politique nationale du sport, du loisir et de l’activité physique », ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport 2013

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.….

Poacunsa      Mémcadret ledu lodu L      Août

our uctivene peanté 

moire des dre des conse plaisir de oisir et de oisir et du 

t 2013 

une p et eerspepubl

directeurs sultations nbouger : vl’activité pSport, 201

popuen saectivlique

de santé pnationalesvers une pophysique »,13 

ulationté :ve dee 

publique ps sur le livreolitique na, ministère

on : e 

résenté dae vert « Letionale due de l’Éduc

ans le e goût u sport, ation, 

Rédaction

Michel Beauchemin, coordonnateur Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale Marie-France Boudreault, chef d’équipe Habitudes de vie/Maladies chroniques Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale

Collaborateurs Suzanne Auger, coordonnatrice du programme Enfance-Jeunesse, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie Mario Champagne, agent de planification, de programmation et de recherche, conseiller Kino-Québec, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale Édith Dumont agente de planification, de programmation et de recherche, conseillère Kino-Québec, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de Chaudière-Appalaches Francis Fullwood, agent de planification, de programmation et de recherche, conseiller Kino-Québec, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de l’Outaouais Hélène Gagnon, agente de planification, de programmation et de recherche, conseillère Kino-Québec, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie Guy Gilbert, agent de planification, de programmation et de recherche, conseiller Kino-Québec, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale André Gobeil, adjoint à la responsable du secteur Tout-petits-Jeunes, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de Montréal Marylène Goudreault, conseillère en promotion de la santé – Kino-Québec, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de Montréal Suzanne Guay, conseillère en promotion de la santé – Kino-Québec, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de Montréal Julie Hins, agente de planification, de programmation et de recherche, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale Benoît Laberge, agent de planification, de programmation et de recherche, conseillère Kino-Québec, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de Chaudière-Appalaches Kim Labonté, agente de planification, de programmation et de recherche, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale Marie-Noële Lavoie, coordonnatrice en promotion de la santé physique et psychosociale, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de Chaudière-Appalaches Laurence Le Hénaff, chef d’équipe Adaptation familiale et sociale/Santé dentaire, secteur 0-5 ans, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale Silvio Manfredi, coordonnateur promotion-prévention par intérim, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de Laval Isabelle Michaud, agente de planification, de programmation et de recherche, conseillère Kino-Québec, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie Chantal-Anne Moreau, adjointe au directeur à la gestion des programmes, chef de service promotion et prévention, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux du Saguenay–Lac-Saint-Jean Céline Morrow, chef d’équipe Pauvreté/Développement social et des communautés, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale Nathalie Ratté, agente de planification, de programmation et de recherche, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de Montréal Linda Richard, agente de planification, de programmation et de recherche, conseillère Kino-Québec, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de Chaudière-Appalaches Judith Rose-Maltais, chef d’équipe Sécurité dans les milieux de vie/Vieillissement en santé, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale Paul St-Amand, agent de planification, de programmation et de recherche, conseiller Kino-Québec, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de l’Abitibi-Témiscamingue François Thérien, agent de planification, de programmation et de recherche, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de Montréal

Mise en page

Linda Blais, agente administrative, Direction de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale

Ce document est également disponible en format électronique à l’adresse Internet www.dspq.qc.ca, section Documentation, rubrique Publications.

Dépôt légal Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2013 ISBN 978-2-89616-210-9 (version imprimée) ISBN 978-2-89616-211-6 (version électronique)

Cette publication a été versée dans la banque SANTÉCOM.

La reproduction de ce document est permise, pourvu que la source soit mentionnée.

Référence suggérée : Beauchemin, M., et M.-F. Boudreault. Pour une population active et en santé : une perspective de santé publique. Mémoire des directeurs de santé publique présenté dans le cadre des consultations nationales sur le livre vert « Le goût et le plaisir de bouger : vers une politique nationale du sport, du loisir et de l’activité physique », ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport 2013. Québec, Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale, Direction de santé publique, 2013, 29 p.

© Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale

Ce met le physipubli

Dr SyBas-S

Dr DoSague

Dr FraCapita

Dr GiMauri

Dre MEstrie

Dr RicMontr

Pour un

mémoire, présplaisir de b

ique » tenueique suivants

ylvain Leduc Saint-Laurent,

onald Aubin enay–Lac-Sain

ançois Desbieale-Nationale

lles W. Grenieicie et Centre-

Mélissa Génére

chard Massé réal

ne population

senté dans lebouger : verse le 20 juins :

par intérim

nt-Jean

ns

er -du-Québec

eux

n active et en

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Dre HélènOutaouais

Dr Réal LAbitibi-Té

Dr RaynalCôte-Nord

Dr Éric GoNord-du-QLaurentide

Dre ArianGaspésie–par intérim

Dr PhilippChaudière

santé : une p

a consultatioque national

Québec, est

ne Dupont

acombe émiscamingue

ld Cloutier d

oyer Québec es

e Courville –Îles-de-la-Mam

pe Lessard e-Appalaches

perspective de

n nationale sle du sport, déposé par

DL

e DL

DM

DN

adeleine, DTJa

de santé publi

sur le livre vdu loisir et

r les directe

Dre Alejandra Laval

Dr Jean-Pierre Lanaudière

Dre Jocelyne SMontérégie

Dre Françoise BNunavik, par in

Dr Robert CarlTerres-Cries-deames, par inté

ique

vert « Le goût de l’activiteurs de sant

Irace-Cima

Trépanier

Sauvé

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lin e-la-Baie-

érim

ût té té

Le di

1

2

3

4

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ch

Pour un

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. d’informcomposvulnérabplus effou reche

. d’identipopulat

. d’assureconseillet de la

. d’identiles malasanté dequ’il jug

Gouvernement hap. S-4.2, art.

ne population

anté publiqu

mer la popsent, des pbles, des pri

ficaces, d’enerches néces

ifier les situion et de voi

er une expeler l’agence morbidité év

ifier les situadies, les trae la populatge nécessair

du Québec (1373, Éditeur o

n active et en

ue est respon

ulation de problèmes dincipaux fac

n suivre l’évossaires à cett

uations suscir à la mise e

ertise en prsur les servivitable;

ations où unaumatismes tion et, lorses pour favo

1991). Loi surofficiel du Qué

santé : une p

nsable dans s

l’état de sde santé pteurs de risqolution et, lete fin;

ceptibles deen place des

révention eces préventi

ne action intou les problqu’il le juge

oriser cette a

r les services bec.

perspective de

sa région*:

santé généraprioritaires, que et des ine cas échéan

e mettre enmesures néc

et en promoifs utiles à la

tersectoriellelèmes sociaue approprié,

action.

de santé et

de santé publi

al des indides group

nterventions nt, de condui

n danger la cessaires à s

otion de la a réduction d

e s’impose pux ayant un , de prendre

les services s

ique

vidus qui lpes les pluqu’il juge leire des étude

santé de lsa protection

santé et dde la mortalit

pour prévenimpact sur l

e les mesure

sociaux. L.R.Q

la us es es

la n;

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nir la es

Q.,

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2. 3. 4. 5. CON RÉFÉ

Pour un

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LA PRATIQET LES EN

LES INÉGA

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LES MILIE

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ne population

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ALITÉS SO

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EUX DE VIE

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...................

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n active et en

TIÈRES

....................

....................

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OCIALES DE

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....................

....................

santé : une p

5

....................

....................

L’ACTIVITAVORABLE

E SANTÉ ...

....................

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perspective de

....................

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....................

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de santé publi

....................

....................

UE, LA SAN....................

....................

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....................

....................

....................

....................

ique

.......... 6

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L Figur Figur Figur Figur Figur Figur

Pour un

ISTE DE

re 1 :

re 2 :

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ne population

ES FIGU

Obésité au

Environne

Environne

La santé et

Enquête qu2010-2011défavorisa

Proportion6 à 11 ans

n active et en

URES

u Québec – P

ement favora

ement favora

t ses déterm

uébécoise su1 : niveau d’ation ............

n des jeunes et 12 à 17 a

santé : une p

6

Progression

able : une déf

able et activi

inants .........

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qui sont actians ..............

perspective de

1990-2004 .

éfinition, un c

ité physique

....................

es jeunes dusique selon l....................

ifs dans leur....................

de santé publi

....................

cadre ..........

: un exempl

....................

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rs loisirs : ....................

ique

.......... 9

.......... 10

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.......... 13

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9

0

1

3

4

8

IN

Le 31son gpopu2013invitarepréparticplaisiphysid’orgdévelcommM. Msanté Les particl’inteparlemdu 2perspproch Les Ddéfis popujeuneéquipla praaux nsécursont à Les physiimpliphysiQuébsociaaction

Pour un

NTRODU

1 octobre 20gouvernemenlation québé, la ministreait le Dr Frasentant des ciper à une jir de bougeique ». Tenuganismes natloppement dmentaires qu

Michel Beauc et des servi

DSP remerciper à cetteention du gomentaire à la0 juin 2013

pective de dhaine politiq

DSP accuei: hausser lelation québé

es et leur fampements sporatique d’actnotions de ritaires et deà souligner.

DSP réitèriquement acication et leique et à unbec issu d’unaux (MSSS) ns et initi

ne population

UCTION

012, la premnt de moderécoise deviene de l’Éducaançois Desbdirecteurs djournée de cer : vers unue le 20 juitionaux sousdes activitésui ont été livchemin, coorces sociaux

rcient Mme e consultatioouvernementa ministre de3, affirmait

développemeue nationale

llent favorabe niveau d’aécoise. Ils samille par la prtifs à un moivités physiqplaisir et d

e la qualité d

rent leur votif et de coleur contribun mode de vn partenariaet les ASS

atives de

n active et en

mière ministrrniser la polnne une des ation, du Lo

biens, directede santé pubconsultation ne politique in 2013, ces le thème Prs récréativesvrés par le rdonnateur à(ASSS) de l

Malavoy don concernat qui, selon e l’Éducatio

« […] queent durable e de préventi

blement le activités phyaluent la vopromotion deoindre coût ques. La déde qualité dd’encadreme

olonté de laborer à ce

ution depuisvie physiqueat entre le MSS. Ce parte

concertation

santé : une p

re, Mme Paulitique nationnations les

oisir et du Seur de santélique (DSP)nationale sunationale d

tte rencontrromotion d’us. Le présereprésentant

à la Directionla Capitale-N

de l’opportuant ce projeles propos mn, du Loisir

e cette politde la santé ion du gouve

projet de pysiques et amlonté du goues déplacemet par la crémocratisatio

des expérienent offert pa

poursuivre e projet. À cs près de 3ement actif

MELS, le menariat se trns intersect

perspective de

line Marois,nale du sporplus en form

Sport (MELé publique d) au Comité ur le livre vedu sport, d

re regroupaiun mode de

ent mémoiret du Dr Desn de santé puNationale.

unité qu’elleet de politiqmêmes de Met du Sport

tique nationdes Québéc

ernement ».

politique natméliorer la cuvernement

ments actifs eéation d’envon de l’accènces par le ar les bénévo

la promotice propos, ils0 ans à la dans le cad

ministère de raduit en rétorielles qu

de santé publi

, annonçait lrt et du loisme du mond

LS), Mme Made la Capitanational Kin

ert intitulé « du loisir et it plusieurs vie physique

e reprend l’sbiens, au noublique de l’

e leur offreque nationaleM. Sylvain qui présidai

nale s’inscricois et soit

tionale, lequcondition phd’améliorer

et sécuritairevironnementsès, l’importa

biais d’envoles et les p

ion d’un ms tiennent à promotion

dre du progrla Santé et

égion par deui facilitent

ique

l’intention dir afin que l

de. Le 10 juiarie Malavoyale-Nationaleno-Québec, Le goût et lde l’activitreprésentantement actif e’essentiel deom des DSP’Agence de l

e de pouvoe. Ils saluenPagé, adjoinit la rencontrive dans unintégrée à l

uel vise deuhysique de lr la santé des, l’accès aus favorables ance accordévironnement

professionne

mode de virappeler leude l’activit

ramme Kinodes Service

e nombreuset notammen

de la in y, e, à

le té ts et es P, la

oir nt nt re ne la

ux la es ux

à ée ts ls

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l’actuvie e(PAG Ce m

Pour un

ualisation duet de prévenG).

mémoire abor

la fav

les

les

les

l’a

ne population

u Plan d’actntion des pr

rde les thème

pratique régvorables;

s inégalités s

s population

s milieux de

action interse

n active et en

tion gouvernoblèmes rel

es suivants :

gulière de l’

sociales de s

ns cibles;

e vie prioritai

ectorielle.

santé : une p

8

nemental deliés au poid

activité phy

santé;

ires;

perspective de

e promotion ds 2006-2012

ysique, la san

de santé publi

des saines 2, Investir p

nté et les env

ique

habitudes dpour l’aven

vironnement

de ir

ts

1.

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Source

En ml’Instcompl’épidcommphysi

Pour un

LA PRSANTÉ

me mentionnme une des dies cardiovvaises habituomiques1. » sité, lesquelomène au Qu

URE 1 sité au Québ

e : Québec en FPowerPoint «

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ne population

ATIQUE RÉ ET LES E

né dans le lprincipales

vasculaires eudes aliment

À ce conslles, commeuébec entre

bec – Progre

Forme (2012). « Les environnem

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n active et en

RÉGULIÈRENVIRONN

ivre vert, « L causes de t certaines ftaires, a engstat, on doite le démontr1990 et 200

ession 1990-

Comité québécoments favorable

éalisation dupublique du rner les solué en 2012nts favorablévention des

santé : une p

9

E DE L’ACNEMENTS F

Le faible nivmaladies ch

formes de cagendré une ht ajouter lare la figure 4.

-2004

ois de formatios aux saines hab

u PAG, le MQuébec (IN

utions pour cpar le MS

les à la sains problèmes

perspective de

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1, nous ind

on sur les sainebitudes de vie »,

MSSS, QuéNSPQ) mencontrer ce q

SSS, le docne alimentareliés au po

de santé publi

HYSIQUE, BLES

vité physiquelles que ledentarité, coinue des coûcompte des diquent la pr

es habitudes de diapositive no 7

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ique

LA

e est reconne diabète, leonjuguée à dûts sociaux e

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vie. Présentatio, 48 p.

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de rél’effeindusmonden md’actressem D’autlongtphysimiliepour l’obépréva FIGUEnvi

Source

Pour un

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modifiant ce qivité physiqmbler2. »

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alence et la p

URE 2 ronnement

e : Québec en FPowerPoint «

ne population

opose une ddes nombreinformatisat

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eurs mentionisé sur le vus en plus ds déplacemes changemen

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favorable :

Forme (2012). « Les environnem

n active et en

définition, uneux changemtion, transfotemps, etc. Cange et notreus imposen

nnent que «volet lié à lde chercheurnts actifs4 sunts des modque ne pouvrapide de l’o

une définiti

Comité québécoments favorable

santé : une p

10

n cadre (figments apportormation de Ces facteurs e manière det des mod

[…] si le d’alimentationrs portent auur les taux d

des de vie sovant expliquobésité obser

ion, un cadr

ois de formatios aux saines hab

perspective de

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e manger. Ildèles physiq

débat sur l’on ou aux faussi leur attd’obésité3-5-6

ont en granduer à lui servées ces de

re

on sur les sainebitudes de vie »,

de santé publi

a réponse see moderne : raditionnelle on sur notrels influencenques auxqu

obésité et l’efaibles niveaention sur l

6. Les expertde partie reseul l’augmenrnières anné

es habitudes de diapositive no 3

ique

e trouve danurbanisationet du travai

mode de vint notre profuels on veu

embonpoint aux d’activit’influence dts s’entendensponsables dntation de l

ées7 ».

vie. Présentatio8, 48 p.

ns n, il, ie fil ut

a té

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En sohabitusantéassezalimeau poles ed’actLa fig Commphysiphysidéfinphysienvirles pephysi FIGUEnvi

Source

Pour un

omme, pour udes de vie et à l’adop

z dans notre entation, à unoids. Appliquenvironnemeions ou de mgure 3 est un

me le préciquement aciques, de du

nition reconniques organironnements fersonnes, etiquement act

URE 3 ronnement

e : Consultationet de l’activiGagnon, Dire

ne population

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ents physiqumesures poun exemple de

cise le MEctif est un mrée et d’inte

naît tant les isées ou nonfavorables, et ce, tout au tif, c’est plu

favorable e

n sur le livre vertité physique », pection de santé p

n active et en

a santé de laon le MSSS

omportementur conclusionvie physiquemvité physiqueue, sociocul

uvant avoir ue cette applic

ELS dans umode de vi

ensité variabactivités ph

n, encadrées elle inclut unlong de l’a

s qu’une val

et activité ph

t « Le goût et le par Mme Suzannepublique de la M

santé : une p

11

a populationS, QEF et l’ts souhaitab

n : améliorerment actif ete, cette visiolturel, écon

une influencecation pour l

un documenie qui intèg

bles, pour leshysiques de ou non. En ne vaste gam

année quelleleur, c’est un

hysique : un

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Montérégie, prése

perspective de

et par consé’INSPQ des bles, ce que r l’environnet à la prévenon commune

nomique et e sur le coml’activité ph

nt à paraîtrgre la pratiqs bienfaits qla vie quotrapport ave

mme d’active que soit la ne perspectiv

n exemple

er : vers une polilaboration avecentation PowerP

de santé publi

équent pour conditions nous ne re

ement favorantion des proe permet de politique,

mportement dhysique.

re8 « Un mque de divequi s’y rappotidienne queec la vision cvités pratiqué

saison. Un ve, voire une

itique nationale Mmes Isabelle Moint, 27 juin 201

ique

améliorer lepropices à l

etrouvons paable à la sainoblèmes relié

placer, seloun ensembldes individu

mode de virses activité

ortent. » Cette les activitécommune deées par toutemode de vi

e orientation

du sport, du lois

Michaud et Hélèn13, 13 p.

es la as ne és on le

us.

ie és te és es es ie

n.

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Pour des ephysi Pour pourqcommphysiaussi physi

Pour un

s’attaquer aenvironnemeiquement act

les DSP, lquoi la politmune des eniquement ac

avoir comiquement act

ne population

aux deux défents favorabtif, et ce, peu

a finalité dtique nationanvironnemenctif et à la pmme perspetif afin de m

n active et en

fis de la politles et avoiru importe l’â

emeure l’amale devrait nnts favorablprévention dective et o

maximiser les

santé : une p

12

tique nationen perspect

âge et la con

mélioration non seulemeles à la saindes problèmeorientation s impacts sur

perspective de

nale, il faut retive la prom

ndition physi

de la santé ent adopter lne alimentaes reliés aul’amélioratior la santé de

de santé publi

etenir la visimotion d’un ique.

de la popule cadre Pou

ation, à un u poids, maion d’un mla populatio

ique

ion communmode de vi

ulation. C’eur une visiomode de vis elle devra

mode de vion.

ne ie

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2.

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Source

Pour un

LES IN

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nissent commmatique entr

al et la mauvpersiste danminants de minée par

gories de déportements eencés par lee contexte so

URE 4 anté et ses d

e : Hyppolite, SCapitale-Nat2012. Québesanté publiqu

ne population

NÉGALITÉ

ble que la polle vise la rntre la positPlus la popu

plus son stame les écartsre les groupaise santé es

ns le temps10

la santé. Lde multiple

éterminants et les habitues conditionsocial.

déterminant

S.-R. (2012). Cotionale, Rapporec, Agence de laue, 161 p.

n active et en

ÉS SOCIALE

olitique natiréduction detion sociale ulation a un atut social es dans l’étatpes socioéconst fort, qu’il 0. Pour bien La figure 4es facteurs.superposés

udes de vie s de vie dan

ts

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santé : une p

13

ES DE SAN

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est faible plt de santé denomiques. Oest constantcomprendre

4 illustre co Elle mont

ont une ides individ

ns lesquelles

gir autrement porégional de sanervices sociaux

perspective de

NTÉ

iore la santés sociales deonne et sa sal élevé plus lus sa santée la populatiOn observe qt au sein de de ce phénomomment la tre notammnfluence su

dus, comme s ils vivent,

our viser l’équinté publique sur

de la Capitale-N

de santé publi

é de la popue santé (ISSanté qui se son état de sé est faible.ion qui exisque le lien edifférentes p

mène, il faut santé des

ment que leur les autre

l’activité phelles-même

ité en santé danr les inégalités Nationale, Direc

ique

ulation, il fauS). Il y a untraduit par lsanté est bon. Les ISS sstent de façoentre le statupopulations efaire état deindividus e

es différentees. Ainsi, lehysique, son

es influencée

ns la région de sociales de sanction régionale d

ut ne le n, se on ut et es st es es nt es

la

nté de

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Source

Selonrencol’actiréponde faprobl

Pour un

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URE 5 uête québéc

e : Ministère dephysique et h

n l’Organisatontrent souvivité physiqundre à leurs ibles niveaulèmes. Par c

ne population

dans le mfaibles chez ouvoir la pra

écoise sur e bien à sa fan12 concernaL’analyse semilieux très ux des mi»13

oise sur la s

e la Santé et deshabitudes de vie.

tion mondiavent dans leuue n’est sansbesoins esse

ux d’activité conséquent,

n active et en

onde ont mles groupes

atique réguli

la santé daçon les écarant le niveaelon la défafavorisés su

ilieux moin

santé des jeu

Services sociau. Québec, 20 p.

le de la Santur vie tout s doute pas entiels. Or, pphysique viles bénéfic

santé : une p

14

montré que lsocialemen

ière de l’acti

des jeunes drts qui existeau d’activitévorisation mur les deux ns favorisé

unes du seco

ux (2012). La sa

té (OMS), «un ensemblleur prioritépour un boniennent s’ajoces au sens

perspective de

les niveaux nt défavoriséivité physiqu

du secondaent entre lesé physique matérielle etplans sont p

és (31,9 %

ondaire 201

anté des jeunes

Les groupesle de difficué et il est pen nombre deouter indirec

large de l

de santé publi

d’activité és et qu’il esue dans ces g

ire 2010-20s jeunes selode loisir et t sociale moproportionne

c. 28,9 %

10-2011

du secondaire a

s socialemenultés. Dans beut-être plus e ces groupectement à la ’activité phy

ique

physique onst parfois trègroupes11.

011 (EQSJSon leur nivea

de transpoontre que leellement plu% pour le

au Québec : San

nt défavorisébien des caimportant d

s, on sait quliste de leur

ysique et le

nt ès

S) au ort es us es

nté

és as, de ue rs es

consépromtels qet la pmoyenouvphysiatteinconte Depuinégales rétroisinos edans de la Pour mettrfaçonpropooffririntenselonuniveciblésde l’fréqu Commdistinméthintervquestl’élabgrouples nfinanportedavan Au Qpérinintégren co

Pour un

équences demotion de l’aque les liens productivitéen d’améliorelles possibique chez lendre et un este pertinen

uis plus de alités socialeéduire15. Le ième rapportenfants : la plequel les lievie sont doc

contrer lesre en place, n uniforme àortionnelles r à l’ensembsifier ensuit

n les difficulerselles, s’ads qui tiennen’ensemble duence, une du

me le précingue principode. La façventions et ltion sont détboration despes socialem

niveaux, ce qncement et d

à croire quntage de résu

Québec, on natalité. Penrés en périn

ontexte de vu

ne population

e la sédentaractivité phys

sociaux, l’in. L’argumenrer et d’accilités de proes groupes moyen d’attes et utiles1

quinze ans,es de santé, directeur na

t national supauvreté et sens entre la pcumentés16.

inégalités voire ajuste

à toute la poau degré d

ble de la pte l’action pltés auxqueldressant à tont compte dedes déterminurée et une in

ise l’OMS palement la pçon dont le la possibilitterminantes.s politiques

ment défavorqui peut se

de besoins sue le fait dultats positif

trouve dessons au proatalité et pouulnérabilité o

n active et en

rité devraienique dans cenclusion socnt de l’adoptcroître d’automotion. Il esocialement

tteindre d’au4. »

, différentesproposent e

ational de saur l’état de sses répercusspauvreté che

sociales de er, des progropulation, ende défavorisapopulation upublique en les elles sonoute la popues caractéristnants. Les ntensité ajus

à propos dpromotion dciblage est é d’intensifi Dans ce coet les conc

risés puissentraduire, pa

ur le plan dd’amener cesfs que dans l

s exemples ogramme Our la petite eoffrant aux m

santé : une p

15

nt égalementes groupes, iale, la mobiion d’un motres effets sest donc imt défavoriséutres résulta

s directions et travaillent anté publiqusanté de la psions sur la ez les jeunes

santé, la crammes, desn tenant comation. L’Un

un certain nfonction de

nt confrontéulation, il ytiques des grinterventionstées en fonc

des groupes de l’activité

effectué, leier les efforontexte, il escepteurs de nt avoir besoar exemple, du renforcems groupes àe cas d’autre

qui vont dOLO (œufs, enfance (SIPmamans et fu

perspective de

t être pris ecar elle proilité active, l

ode de vie phsouhaitables

mportant de rés peut à laats. Ces de

de santé puà mettre en

ue du MSSSpopulation dsanté des je

s et ses effets

ommunauté s politiques empte d’une éiversalisme

nombre de ses besoins spées. Pour chay a lieu de roupes socia

ns et les mction des gro

socialemenphysique d

es modalitésrts pour attest importantprogramme

oin d’être daen termes

ment des capà avoir une es groupes c

dans le mêmlait, jus d’

PPE) à l’inteutures mama

de santé publi

en compte aduit des résules perspectihysiquements permettraitreconnaître a fois être eux approch

ublique docn place des mS l’a bien dédu Québec, Reunes de mois sur la santé

scientifiqueet des servicéchelle et d’proportionn

services unipécifiques dacune des mprévoir des

aux touchés mesures aurooupes ciblés1

nt défavorisdans ces grous de mise eeindre le grot que les reses reconnaisavantage soude durée depacités. À lactivité phy

cibles18. »

me sens, no’orange) et ention des faans un soutie

ique

aux fins de lultats positifives d’emplot actif commt d’ouvrir dque l’activitun résultat

hes sont san

cumentent lemesures pou

écrit dans soRiche de touins de 18 ansé tout au lon

e suggère dces offerts d’une intensitné consiste iversels, pu

des personnemesures, dite

programmepar les ISS e

ont alors un17.

sés, « Ce quupes, c’est len œuvre deoupe cible esponsables dssent que leutenus à toues projets, d’inverse, touysique donn

otamment eaux service

amilles vivanen particulie

la fs oi

me de té à

ns

es ur on us s,

ng

de de té à is es es es et ne

ui la es en de es us de ut ne

en es nt er.

Pensoprévodans physifaibleles pl En soet pol’Unimesu

Pour un

ons égalemeoit un rehausles territoire

ique, pensone revenu de laces inoccup

omme, pour our réduire liversalisme pures et des in

ne population

ent au progrssement du nes à forte déns au progrparticiper gpées de dive

s’assurer qules inégalitéproportionn

nterventions

n active et en

ramme de senombre de péfavorisationramme Accègratuitement erses activité

ue toute la ps sociales dé dans l’ana(programme

santé : une p

16

ervices de gplaces dans ln. En rapporès-Loisirs Qaux activité

és offertes da

population sode santé, les alyse, le déves, services,

perspective de

garde éducatles centres drt avec le sp

Québec qui és de loisirsans sa progra

oit rejointe pDSP recom

veloppementcampagnes s

de santé publi

tifs à l’enfande la petite eport, le loisipermet aux d’une villeammation.

par la politimmandent l’t et la mise sociétales, e

ique

nce à 7 $ quenfance situéir et l’activit personnes

e en comblan

que nationalutilisation den place de

etc.).

ui és té à

nt

le de es

3.

La pparticl’intel’impleur sautredes ament

Être bénéfmotriau ddévelque s L’Insprem(EQDdévelpetiteet l’acogni

En 20physid’un de vprécéfréqul’adosantéenfin L’envrésideoù se

Pour un

LES PO

politique natculier les jeuervention devportance d’usanté, et mês. Il s’agit daînés (65 aionné précéd

Les tout-

actif est esfices, tant pices, la hausdéveloppemeloppement ds’asseoir, ram

stitut de la stmière EnquêtDEM). Cetteloppement de enfance (IMaccompagnemitif et moteu

Les jeune

011, le Comique, le spormode de vie

vie physiquédemment. Suente et inilescence : la mentale, le

n, les habitud

vironnementence, mais s

e situe l’école

ne population

OPULATIO

tionale announes et les fvrait tenir c

une pratique ême pour cerdes tout-petitans et plus)demment.

petits (0-4 a

ssentiel poupour sa sansse de l’estiment des hde grands mmper, marche

tatistique due québécoise enquête l

de l’enfant àMDPE). Il fament des tou

ur.

es (5-17 ans

mité scientifiqrt et les jeune physiquem

uement actiSoulignons, àinterrompuea condition ps compétenc

des de vie22.

t a égalemensurtout la die ont une inf

n active et en

ONS CIBLE

once une ifamilles. To

compte des crégulière d

rtains, l’influts (0-4 ans), ) en tenant

ans)

ur le dévelonté, l’améliome de soi. Plabiletés mo

muscles, permer19-20.

u Québec diffse sur le dévlivrera des à partir de laudra profiteut-petits, pa

)

que de Kinones21. Ce do

ment actif chif, ce que à ce propos,

d’activitésphysique, la ces sociales,

nt un impacstance entrefluence sur l

santé : une p

17

ES

ntention deout en appuycaractéristiqu

de l’activité uence que ldes jeunes (compte du

oppement doration de llus spécifiquotrices permmettant la m

ffusera, à l’auveloppemendonnées su

’Instrument er de cette ocarticulièreme

o-Québec puocument déchez les jeune

nous appules éléments

s physiquessanté physiles habileté

ct sur le mode le domicilele potentiel d

perspective de

e rejoindre yant cette voues propres physique sueur comport(5-17 ans), du niveau de

de l’enfant qla conditionuement, l’acrmettant à maîtrise de c

utomne 2013nt des enfantur cinq dimde mesure

ccasion pouent au regard

ubliait un imcrit avec exaes et prône luyons, coms de mieux-ê

s et sportivique, le bienés cognitives

de de vie dee et l’école, de déplacem

de santé publi

toute la poolonté, nousà certains g

ur leur dévetement peut des parents (e défavorisa

qui en retirn physique, ctivité physiq

l’enfant dcertains mou

3, les résultats de la matmensions indu dévelop

ur revoir l’ofd de leur dé

mportant avisactitude les la perspectiv

mme nous être associésves durant n-être psychos et la réussi

es jeunes. Lde même qu

ments actifs23

ique

opulation, es croyons qugroupes et deloppement e

avoir sur le(25-44 ans) eation comm

re de grandles habileté

que contribud’acquérir luvements te

ats de la toutternelle 201

nterreliées dpement de l

ffre de servicéveloppemen

sur l’activitdéterminant

ve d’un modl’avons fa

s à la pratiqul’enfance e

ologique et lite scolaire, e

Le quartier due le quartie.

en ue de et es et

me

ds és ue le ls

te 12 du la ce nt

té ts

de ait ue et la et

de er

Enfingenredifférpeu afilles FIGUProp

Source

L’aviadolesituatservic

Souteinfluegrandde saniveapeu apropode l’aconci

Pour un

n, un aspect es. L’EQSJSrents. Par exactifs ou sédet les garço

URE 6 portion des j

es : *Institut nÉtude deQuébec e**Institutles collec

is scientifiquescentes poution. Il y a dce et d’accom

Les paren

enir la familence sur le cd nombre d’anté dans lesau d’activitéactifs contreos de bien doactivité physiliation trava

ne population

doit particuS nous indiqxemple, lorsqdentaires duns (figure 6)

jeunes qui s

national de sanes blessures suen 2009-2010. t national de sa

ctivités canadie

ue de Kino-ur les activitédonc lieu de mpagnemen

nts (25-44 a

lle signifie comportemeadultes ayans collectivité physique d

e 19,5 % quocumenter lesique, en parail-famille-lo

n active et en

ulièrement êtque que les fque l’on com

urant les lois).

ont actifs d

nté publique duubies au cour

anté publique dennes, 2009-20

Québec, meés physiquestenir compt

nt des filles c

ans)

devoir soutent de leurs ent des enfantés canadiennde loisir, prèui sont moyes besoins etrticulier leursoisirs.

santé : une p

18

tre mentionnfilles et les mpare la prosirs, on obs

ans leurs lo

u Québec et mirs de la pratiq

du Québec et S010.

entionné prés et sportivete de la diffécomme des g

enir les pareenfants. Or,ts en bas âg

nes, 2009-20ès de 21,8 %ennement at les attentess contraintes

*

perspective de

né à propos garçons ont

oportion de jserve des éc

oisirs : 6 à 11

inistère de l’Édique d’activités

Statistique Cana

écédemment,es et les mesérenciation dgarçons, et ce

ents qui ontle groupe d

ge est celui d010 (ESCC) % sont sédenactifs et 39,6s des parentss et leurs bes

de santé publi

de la différt des compojeunes du se

carts importa

1 ans et 12 à

ducation, du Loés récréatives

ada. Enquête s

, décrit bienssages à condes genres de, à tous les

t eux-mêmed’âge qui regdes 25-44 annous révèle

ntaires et 196 % actifs. Is concernantsoins dans u

**

ique

renciation deortements trèecondaire trèants entre le

à 17 ans

oisir et du Sporet sportives a

sur la santé dan

n l’intérêt dencevoir à leuans l’offre dâges.

s une grandgroupe le pluns. L’Enquêt que, selon l

9,1 % sont uIl est donc t leur pratiquun contexte d

es ès ès es

rt. au

ns

es ur de

de us te le

un à

ue de

L’Enque 3l’actil’actiprogrà leur L’OMl’impl’augtrès ala quchez compprécé Les Dles qparengenrenivea

Pour un

Les aînés

quête sur la 30,9 % des aivité physiquivité physiqurammes d’exr efficacité à

MS considèrportance d’atgmentation davancé, contualité de vie

les aînés, ilpte de leurédemment, d

DSP recommquatre groupnts (25-44 anes, notammeau de défavo

ne population

s (65 ans et p

santé dans laînés sont séue chez les ue dans la xercices danà prévenir les

re que le plutteindre et d

de l’espéranctribue à l’ame des aînés26

l est recommrs divers éde leurs cond

mandent que es d’âge quns) et les aîent chez lesrisation des

n active et en

plus)

les collectiviédentaires eaînés sont prévention

s les interves chutes.

us importande maintenir ce de vie, la

mélioration o6. Pour favomandé de leétats de sanditions de vie

la politique ue sont les înés (65 et ps adolescentgroupes et d

santé : une p

19

ités canadient 20,1 % sondocumentésdes chutes

entions ayant

nt message dun niveau m

a pratique d’ou au maintioriser la prateur offrir denté et de e.

nationale citout-petits (plus) en tents et les addes commun

perspective de

nnes, 2007-2nt un peu acs. Pensons, s. En effet, t le plus hau

de santé à tmodéré d’act’activités phien des capatique réguliè

es programmcapacités27,

ible prioritai(0-4 ans), leant compte

dolescentes,nautés.

de santé publi

2008 (ESCCctifs. Or, lespar exemplel’INSPQ24

ut niveau de

transmettre tivités physihysiques, mêacités fonctioère d’activit

mes distincts, et comm

irement et spes jeunes (5de la différet en tenan

ique

C) nous révèls bienfaits de, au rôle didentifie lepreuve quan

aux aînés eiques25. Outrême à un âgonnelles et dtés physiques qui tiennen

me mentionn

pécifiquemen5-17 ans), lerenciation dent compte d

le de de es nt

st re ge de es nt né

nt es es du

4.

La potravaTout les setels qlongud’atteidentVIACà la autond’inte En crecom

1

2

3

4

5 L’écopas àécoledes ade coprésede leu La rémiliesecteuvalorpour proce

Pour un

LES M

olitique natiil, les milieen reconnai

ervices de gque les centreue durée (CHendre les résifier les prCTIVE en ofréalité des

nomes ainsiervention en

ce qui concmmandations

. rendre oet à la s

. favorise

. intégrer

. organiseaménag

. favorise

ole est un mà distance dees secondaireadolescents ponvergence pente étude suur école que

éalisation deu municipalur de la san

rise que l’écoinscrire ses

essus de mob

ne population

MILIEUX DE

onale cible ux associatissant que cearde à l’enfes de jour, le

HSLD) pour sultats de l’Eriorités d’acffrant des sepersonnes que pour

n prévention

cerne les és de la Coali

obligatoire uanté;

er les activité

r l’activité ph

er et encadgées;

er les déplac

milieu de vie e marche de es offre un ppour de nompar excellenuggèrent que de leur dom

e ces propol, des milieunté et des seole soit ouveactions dans

bilisation com

n active et en

E VIE PRIO

les milieux ifs et commes milieux sofance pour rees clubs de lrejoindre le

EQDEM 201ction. Pour ervices à la pâgées de 50celles en pdes chutes.

coles primaition québéc

un temps mi

és physiques

hysique à d’

drer des réc

ements actif

central poul’école. « A

potentiel nonmbreuses raisnce des adole ces dernier

micile29. »

ositions ne pux associatifervices sociaerte sur sa cs le plan de mmunautair

santé : une p

20

ORITAIRE

de l’éducatimunautaires, ont justifiés,ejoindre les loisirs et les es aînés. Pou12 qui seron

les aînés, pratique d’ac0 ans ou pperte d’auto

aires et secoise sur la p

inimal consa

s intramuros

autres progr

créations ac

fs entre le do

ur les adolescAgir sur l’amn négligeablesons : d’aborlescents au qrs fréquente

peut s’actuafs et commuaux. Il est socommunautéréussite de l

re présent da

perspective de

ES

ion, les munles fédératinous croyontout-petits ecentres d’hé

ur les milieuxnt disponible

on doit coctivité physilus, notamm

onomie en

condaires, nproblématiqu

acré aux cou

et parascola

rammes d’en

ctives dans

omicile et l’é

cents, dont lménagement e pour influerd, ces sectequotidien, ennt plus de d

aliser sans l’unautaires eouhaitable qé, utilisant l’l’école et qu

ans le territoi

de santé publi

nicipalités, leions et le gons qu’il y a et certains aébergement ex de garde, ies à l’automonsolider leque diversif

ment pour llien avec l

nous appuyoue du poids28

urs d’éducat

aires;

nseignement

des cours

école.

le domicile intérieur et

encer les habeurs scolairensuite, les r

destinations

’apport indiet d’autres sque la politiqapproche Éc

u’elle soit coire qu’elle de

ique

es milieux douvernemenlieu d’ajoute

autres milieuet de soins dil y a tout liene 2013 pou

e programmfiés et adaptéles personnele continuum

ons les cin8 :

tion physiqu

;

d’école bie

n’est souvenextérieur de

bitudes de vies sont le lierésultats de là pied autou

ispensable dsecteurs tel lque nationalcole en santéontributive aessert.

du nt. er ux de eu ur

me és es m

nq

ue

en

nt es ie eu la ur

du le le é,

au

Pour popus’inscl’amé Par amilierelatiterrito1 534 Or, ldont

Par cd’actchronrural élevé Dansparticpour commconceparticcoopé

Pour un

favoriser l’lation, il y crive dans énagement u

ailleurs, il fau rural. Ce

ivement faiboire. En 24 731 person

’organisation:

l’insuffisal’insuffisaaffectées une offre des besoiimportantvieillissancomposéela disparitl’attrition place; une ouverfins de mfinancemeun manquloisir et dpersonnelplusieurs

conséquent, ivités physiqniques, par cétait jugée

ée que celle d

le même eculier les groréduire les

munautés, dertation34. « cipation socération et l’

ne population

’adoption d’a tout lieu une persp

urbain, des d

audrait portermilieu se c

ble, donc pa2011, on nnes, vit en m

n du loisir

ance ou le mance, voire à l’organisatde loisirs e

ins et des cte pour les ntes, une ofe de 23 % detion d’infrasdu nombre

rture variablmise en coment requis; ue de reconnde la pertinenl, et ce, enmunicipalité

on observe ques de loiscomparaisoncomme étandes populatio

esprit, pour oupes vivantISS doivent du pouvoir De nombreu

ciale et les entraide dan

n active et en

’un mode dde réfléchir

pective de éplacements

r une attenticaractérise par des colleestime que

milieu rural.

actif en mil

mauvais état dl’absence c

tion et à l’anet des infrascaractéristiqu

adolescentsffre de loise familles mostructures com

de bénévol

le selon les mmmun d’infr

naissance dence d’invest

n raison desés rurales.

chez les popir, de même

n aux populant globalemeons urbaines

que la politt en contexteêtre appliqud’agir de

uses rechercrelations de

ns un milieu

santé : une p

21

de vie physir à une stra

mobilité s actifs et séc

ion particuliar une densctivités de pe 19 % de

lieu rural qu

des infrastruchronique denimation desstructures paues de la pos dans des sirs peu aboonoparentalemmunautairles et l’essou

municipalitérastructures

e la part des tir dans des s maigres b

pulations rue que des tauations urbainent moins bos30-31-32-33.

tique natione de défavorués. Il s’agit

es individusches dans lee réciprocité

u, peuvent in

perspective de

iquement acatégie d’intedurable qucuritaires et

ière à l’accesité de popupetite taille e la popu

uébécois con

uctures de loie ressourcess loisirs; arfois déveloopulation (ecommunautordable proes); res telles les ufflement de

és au partenaet d’équipe

élus municiéquipementbudgets con

urales un nivux plus élevnes. La santéonne et leur

nale rejoignerisation, troit de la partis et des c domaine soé et de connfluencer po

de santé publi

ctif par l’enervention mui tiendrait du transport

ssibilité du ulation et de

dispersées lation québ

nnaît certain

isir; s humaines

oppées sans ex. : une ofés avec des

oposée à un

écoles; e ceux qui d

ariat intermuements et d

ipaux de l’imts ou dans l’nsacrés aux

veau moindrvés de certaié des habitar espérance

e toute la pis principes ccipation citocommunautéocial ont connfiance, quiositivement l

ique

semble de lmunicipale qu

compte dt.

loisir actif ee constructio

sur un vastbécoise, so

ns problème

permanente

tenir comptffre de loisirs populationne populatio

demeurent e

unicipal à dede partage d

mportance dembauche d

loisirs dan

re de pratiquines maladie

ants du miliede vie moin

opulation, eclés reconnuoyenne et deés et de lnfirmé que li facilitent lla santé de l

la ui de

en on te

oit

s,

es

te rs ns on

en

es du

du du ns

ue es eu ns

en us es la la la la

popubut cdes ssocia La pmodiproved’agiinitiadévelet le dnomm Les Dtout-ppour proposoutecommque physigrouplocal

Pour un

lation. Les mcommun préservices de sales plus favo

politique natfication de enant des coir des indiviatives dites loppement cdéveloppemmés précédem

DSP recommpetits (0-4 arejoindre le

osent cinq reenir une écolmunautaire pla politiqueiquement acpes et des c.

ne population

membres d’sentent un tsanté et à dorables à la s

tionale devrl’environne

mmunautés idus et des c

« développcommunauta

ment des commment.

mandent donans) de mêmes aînés (65ecommandatle ouverte suprésent danse nationale ctif et la mcommunauté

n active et en

une commuaux de mort

des ressourcesanté35. »

rait valoriseement favolocales danscommunauté

pement locaaire, le dével

mmunautés36.

nc l’ajout desme que les ce5 ans et plutions pour leur la commus le territoirevalorise les

modification és qui mette

santé : une p

22

unauté qui artalité plus bes d’aide. Il

er les initiarable à un s lesquelles és et la conal » regrouploppement s Ces stratégi

s milieux deentres de jouus). Dans lesquelles la p

unauté qui coe qu’elle des initiatives

d’environnent de l’ava

perspective de

rrivent à trabas et profitels composen

atives sur lmode de

la participatncertation sepent une vocial, le dévies ont en co

e garde à l’eur, les clubs es écoles prpolitique nationtribue au pssert. Enfin,

s de promonements favant des strat

de santé publi

availler enseent d’un ment aussi avec

l’activité phvie physiq

tion citoyenneront mis devariété de veloppementommun les t

enfance pour de loisirs e

rimaire et seionale devraprocessus de, les DSP re

otion d’un mvorables portégies de dé

ique

mble vers uilleur accès c des norme

hysique et lquement actne, le pouvoe l’avant. Cestratégies : lt économiqutrois principe

r rejoindre leet les CHSLDecondaire, iait valoriser ee mobilisatioecommandenmode de virtées par deéveloppemen

un à

es

la tif oir es le ue es

es D ls et

on nt ie es nt

5.

Le livque lrespocette en fintersnéceset puToutecompdévelconcerésultdes mpeuvefaçonobjetrégio Il exivie cd’ailll’actusainedu spla fambut dpartensont c’est-cadrede sacomm Au-dd’autproblles rél’excpetitsnommacteuet so

Pour un

L’ACT

vre vert proples actions

onsabilités deorientation

forme, doitsectorielle. ssaire pour quissent agir eefois, commposantes déblopper une vernés, les retante d’un p

milieux jugéent maîtrisern graduelle s et des minal et nation

iste déjà boncomprenant leurs identifiualisation dus habitudes

port, du monmille, etc. Ced’améliorer naires et entà l’effet de -à-dire d’en e de fonctionanté publiqumunautés rat

delà des actiotres actionslématiques qégions. Il s’alusion socials et leur entmés au chapurs et partenaont liées au

ne population

TION INTER

pose une orisoient cohé

es acteurs à qui, devant

t être enviLa politiqu

que les acteuefficacemen

me il en a étbordent largevision globa

essources et rocessus duqs prioritairer seuls38. Coen s’appuya

ilieux concenal.

n nombre dl’activité p

iées dans le u PAG poude vie (TIR

nde municipaes mécanismleur efficactre les nivearendre effeconsolider

nnement et due, les strattachées à la

ons intersect intersector

qui ont couragit notammele, de la perstrée à l’éco

pitre 2 du praires en provux mécanis

n active et en

RSECTOR

ientation conérentes et rl’échelle natla volonté d

isagée dansue nationale urs publics etnt sur les dété question ement les froale et interseles expertisquel des acts, s’unissentomme elle nant sur les ernés. Elle p

’actions intephysique. Clivre vert. N

ur lesquelles-SHV) regroal, de la sant

mes ont fait lcité dans unaux locaux, ctif le modèla philosoph

d’optimiser latégies d’acpromotion d

torielles surrielles régio

rs actuellemeent des probsévérance et

ole réussie, résent mémovenance de dsmes des c

santé : une p

23

RIELLE

ncernant la creposent surtionale, régiodu gouvernes une plus

est issue t leurs partenfis et les divdans les ch

ontières du Mectorielle poes. L’actioneurs issus det pour agir sne suit pas upossibilités

peut se con

ersectoriellesCertaines deNotons, à l’é des Tables

oupent des pté et des serv’objet d’unen souci de régionaux e

èle de gouvehie d’intervele maillage e

ction intersedes saines ha

r les saines honales et ent et qui pr

blématiques tt la réussite squi ciblent

oire. Ces actdifférents secconférences

perspective de

concertation,r un partageonale et loca

ement d’êtres large pedu MELS.

naires de ce verses comp

hapitres précMELS. Il deour mettre en intersectorie plusieurs ssur une situun modèle u

particulièrencrétiser à p

s concernane ces actionéchelle des rs intersectorpartenaires dvices sociau

e analyse appcohérence e

et nationauxernance et d

ention du déentre le PAGectorielle et abitudes de v

habitudes delocales d’imrennent des touchant la lscolaires, dules clientèle

tions intersecteurs et mil

régionales

de santé publi

, soit « qu’ee clair des ale37 ». Les De une des naerspective, Cette sectsecteur s’y r

posantes qucédents, pluevient donc ensemble touielle se définsecteurs, paration complunique, elle es propres àplusieurs niv

nt les saines ns intersect

régions, cellerielles régio

de l’éducatioux, du commprofondie enet de cohés39. Les recode déploieméploiement, dG, le Program

de dévelovie.

e vie, il y a mportance formes diff

lutte contre u développemes et les m

ectorielles relieux, souven

des élus.

ique

lle veille à crôles et de

DSP appuienations les plu

soit l’actiotorisation ereconnaissen’elle soulève

usieurs de cenécessaire dus les acteurnit comme lrticulièremenlexe qu’ils nse définit d

à chacun deveaux : loca

habitudes dtorielles sones concernan

onales sur len, du loisir e

munautaire, dn 2012 dans lion entre lemmandation

ment du PAGd’élaborer umme nationappement de

lieu de notesur d’autre

férentes selola pauvreté e

ment des toumilieux de viegroupent dent les même

Les action

ce es nt us on st nt e. es de rs la nt ne de es al,

de nt nt es et de le es ns G, un al es

er es on et

ut-ie es s, ns

intersrégiovoirela coh Par aen papartenl’enteréseanation Les Den l’globanation

Pour un

sectorielles ns. Au défi multisectorhésion et la c

ailleurs, il esartenariat avnariat MSSSente de compaux est, selonnale. Il y a d

DSP recommaméliorant aale et intégrnale, régiona

ne population

semblent fode la cohérerielle, et un cohérence à

st bon de rapvec le MELSS-MELS-ASplémentaritén les DSP, u

donc lieu de

mandent de cau bénéfice rée, s’inscrirale et locale

n active et en

ortement anence sectorieeffort d’intétous les nive

ppeler que leS depuis pluSSS dans le cé MSSS-MEun gage de protéger les

conserver lede la popu

re et s’orienavec d’autre

santé : une p

24

crées dans elle s’ajoute égration est ceaux.

es DSP, parus d’une trencadre du pro

ELS. L’expérréussite danacquis de ce

s acquis du ulation. De pnter dans unes actions in

perspective de

les façons celui de la ccertainemen

r l’intermédintaine d’annogramme Kirience de cons le cadre de partenariat

partenariat plus, la poline action in

ntersectoriell

de santé publi

de faire à cohérence innt nécessaire

iaire des ASnées. Notonsino-Québec oncertation ede la prochat tout en l’am

MELS-MSSitique nationntersectoriellles en cours.

ique

l’échelle detersectoriell

e pour assure

SSS, sont déjs l’entente dde même qu

entre les deuaine politiquméliorant.

SS-ASSS tounale doit êtrle à l’échell

es e, er

jà de ue ux ue

ut re le

C Les Dde l’aune pdu gola vodeux la pode mmondsantéla sédémaintervpublidans

En celivre recom

Pour un

ONCLU

DSP accueilactivité physpolitique natiouvernementoir intégrée à

défis : hausopulation quémesure internde. Pourtant, de la populadentarité et

arquer, il dventions aieique. Une nacet esprit qu

adopte, cofavorablepréventioadopte, c(2013); adopte etment et la

e qui concernvert. Ils est

mmandations

cible spéc(25-44 andifférenciavec l’Undes commajoute lesde loisirs valorise eles cinq re4 et afin qde mobili

ne population

USION

lent favorabsique présenionale du spt de l’inscrirà la prochaiser le niveauébécoise. Denationale pe, il existe à lation du Quéd’autres fa

evra faire ent un impacation en formue les DSP re

omme cadrees à la sainen des problèomme persp

t applique la mise en pla

ne les clienttiment cepens précédente

cifiquement ns) et les aiation des gniversalisme

munautés; milieux de et les CHSL

et soutienne ecommandaqu’elles soiensation comm

n active et en

blement le prnté dans le lort, du loisir

re dans une vne politiqueu d’activitéseux défis mrmettant de l’heure actueébec avec lecteurs de rien sorte quct sur la sanme c’est avaecommanden

e de référence alimentatioèmes reliés apective et o

’Universalisace des mesu

tèles et les mndant qu’il

es. Ainsi, les

les tout-petaînés (65 angenres, notame proportion

garde à l’enLD;

les écoles ptions en matnt ouvertes s

munautaire p

santé : une p

25

rojet de poliivre vert « Lr et de l’activvision du déve nationale ds physiques eajeurs pour positionner

elle plusieurs autres payisque. Quel ue sa politinté de la poant tout unent que la pol

ce Pour une on, à un moau poids (20orientation, U

sme proportures et des in

milieux cibléy a lieu d’é DSP recom

tits (0-4 ansns et plus) mment à l’ané, du nive

nfance, de mê

primaires et tière d’activsur leur com

présent dans

perspective de

itique nationLe goût et levité physiquveloppementde préventioet améliorer lesquels il n

r le Québecrs indicateurys et certains

qu’il en soique nationaopulation. C

e population litique nation

vision commode de vie ph12); Un mode de

tionné dans nterventions

s, les DSP aétablir des p

mmandent qu

s), les jeuneen tenant c

adolescence eau de défav

ême que les

secondairesvités physiqummunauté en

leur territoir

de santé publi

nale du spore plaisir de

ue ». Ils saluet durable de

on. Le livre la condition

n’existe pas par rappor

rs pour compindicateurs

oit, si le Quale, ses me

C’est là un active et en

nale :

mune des enhysiquement

e vie physiq

l’analyse, l.

appuient la ppriorités en

ue la politiqu

s (5-17 anscompte d’un

et, d’autre vorisation de

centres de j

s afin qu’elleues identifiéen contribuantre de dessert

ique

rt, du loisir ebouger : verent la volontla santé et dvert annonc

n physique dactuellemen

rt au reste dparer l’état dpour mesure

uébec veut sesures et sedéfi de santn santé. C’e

vironnement actif et à l

quement act

le développe

proposition dlien avec le

ue nationale

), les parentne part de l

part, en liees groupes e

our, les club

es actualisenes au chapitrt au processute;

et rs té de ce de nt du de er se es té st

ts la

tif

e-

du es :

ts la en et

bs

nt re us

Enfinles arespopourrElle santérecom

En terespoce pro

Pour un

valorise eactif des développe

n, en ce qui cactions soieonsabilités dra se limiterdevra s’éten de la pop

mmandent qu

soit globintersectointersectoet réussitréussie et qu’elle fade la popu

erminant, leonsabilité daojet de socié

ne population

et soutienne groupes et

ement local.

concerne la cent cohérenes acteurs à

r qu’aux seundre à tous lpulation. Enue la politiqu

bale et intéorielle à l’écorielles telleste scolaires, la politique

asse en sorte ulation.

es DSP réitns la promo

été afin d’am

n active et en

les initiativedes commu

concertationtes et repol’échelle na

uls acteurs ples acteurs dn lien avecue nationale

égrée et quchelle natios la lutte à la

le dévelopnationale dede consolid

tèrent leur votion d’un mméliorer la sa

santé : une p

26

es de promounautés qui

n, les DSP aposent sur uationale, régublics et leude la sociétéc les recom:

u’elle s’inscnale, régiona pauvreté epement dese préventioner le partena

volonté de mode de vie panté de la pop

perspective de

otion d’un mmettent de

ppuient l’oriun partage gionale et locurs partenairé concernés

mmandations

crive et s’onale et locat l’exclusion

s tout-petits n en préparatariat MELS-

poursuivre physiquemenpulation.

de santé publi

mode de vie pl’avant des

entation qui clair des

cale. Cette ores du secteu par l’amélis précédent

oriente dansale avec d’an sociale, la

et leur enttion; MSSS-ASS

leur implicnt actif et de

ique

physiquemenstratégies d

vise à ce qurôles et deorientation nur du MELSioration de ltes, les DS

s une actioautres action

persévéranctrée à l’écol

S au bénéfic

cation et leue contribuer

nt de

ue es ne S. la

SP

on ns ce le

ce

ur à

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2 MviviM

3 MNS

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10 Hsapse1

11 OphC

12 PsoS

13 PH

Pour un

RÉFÉREN

MINISTÈRE

laisir de bohysique : liv

MINISTÈREision commuie physiquem

Ministère, 24McCANN, BNational Ana

mart GrowthRODRIGUEZComparing aAmerican PlaEWING, R.,

besity, and mRANK, L. Dctivity, and t6.

DESPRÉS, Caines habituduébécois de

MINISTÈREie physiqueÀ paraître].

COMMISSIOCombler le fo

e la Santé, 2HYPPOLITEanté dans la ublique sur ervices soci61 p.

ORGANISAThysique che

Copenhague, AMPALONociale : son olidarité, 1 :ICA, L. A

H. CAMIRAN

ne population

NCES

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C., et coll. (des de vie dela recherche

E DE L’ÉDUement actif

ON DES Dfossé en une 23 p. E, S.-R. (20

région de lales inégalité

iaux de la C

TION MONez les groupe

Danemark, N, R., et G.

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n active et en

UCATION, D

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n au secteur

AORÉ, F. BERTHELOT

santé : une p

27

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en urban spraalth Promotiohips with coal of Prevent

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le té

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A C,

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26 SesLQp

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Pour un

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d’aujourd’hunstitut de http://www.se 28 août 20

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ge des jeunee 1, Québec

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s auprès del’élaboratiopublique d

life : meetin

: une raisodirection de

21 mai 2000ux de Québec

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AGOSSOU, Dt urbain, pré

HYPPOLITEMINISTÈRE

ational de s03 p.

HYPPOLITEMINISTÈREOp. cit. MINISTÈRELELIÈVRE, aines habitu

d’action gouvdes problème

emandé parrévention, 8

ne population

N QUÉBÉCOdations pourp.

C., et coll. (20UE CANAD

UÉBÉCOIS Dde réflexion,loisirquebec, et coll. (20

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santé publiq

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santé : une p

29

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DU LOISIR

ES SERVICEoutien aux taÉlaboré dan

ion des sain06-2012, Intion nationa

perspective de

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ttributs géoge loisir acce

8 février [En /Compte_rent environmeurnal of He

té des Monté

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ES SOCIAUtables intersns le cadre

nes habitudesnvestir pourale en prom

de santé publi

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érégiens en m

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). la

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