N°13 - JAnv. - Fév.

webzine

90’s

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EquipeREDACTEUR EN CHEF + DIRECTEUR ARTISTIQUE

Florian Bahuet

CHARGÉE DE COMMUNICATIONPauline Mizon

CHRONIQUEURSAurore Monclin

Clément PiotEmmanuelle Jourdan

Florian BahuetJustine DemarlyMathilda Dupuis

Pauline Mizon

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EditoVOILA UN AN QUE LE PREMIER NUMÉRO DE OUAT EST SORTI. POUR FÊTER ÇA, ON EST RETOURNÉ EN ARRIÈRE.

ON SE RETROUVE DANS NOTRE JEUNESSE, LES ANNÉES 90. ON SE CREUSE LA TÊTE, ON SE REMÉMORE NOS JEUNES ANNÉES, LES CHOSES QU’ON A AIMÉ, QU’ON A DETESTÉ, DES FIERTÉS MAIS AUSSI DES CHOSES HONTEUSES.

ON A DÉCIDÉ DE VOUS FAIRE PARTAGER NOTRE RETOUR EN ARRIÈRE. MODE, LITTÉRATURE, FILMS, DESSINS-ANIMÉS ET NOS PROPRES SOUVENIRS SONT LÀ POUR VOUS RAMENER AU BAC À SABLE.

// Florian Bahuet, Rédacteur en chef.

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SommaireSOUVENIRS, SOUVENIRS 6

QUEL DESSIN ANIMÉ A MARQUÉ VOTRE ENFANCE ? 8 QUELLE PRODUCTION ANIMÉE DU GRAND ÉCRAN AVEZ-VOUS PRÉFÉRÉ ? 12 QUEL FILM A MARQUÉ VOS ANNÉES 90 ? 16 QUELLE ÉMISSION TÉLÉVISÉE VOUS A LE PLUS MARQUÉ ? 20 QUEL A ÉTÉ VOTRE JOUET FAVORI ? 22 QUEL(S) VÊTEMENT(S) VOS PARENTS VOUS METTAIENT MAIS QUE VOUS NE POUVIEZ PAS ENCADRER ? 26 QUELS SINGLES, ALBUMS OU ARTISTES AVEZ-VOUS ADORÉ DANS LES ANNÉES 90 ? 28 QUELS ONT ÉTÉ LES MAGAZINES DE VOTRE ENFANCE ? 32 QUEL EST LE PREMIER LIVRE QUE VOUS AVEZ LU ? 34 QUELS ÉTAIENT VOS LOISIRS DANS VOTRE ENFANCE ? 38 QUEL OBJET FÉTICHE TRAINIEZ-VOUS PARTOUT ? 40

CES OBJETS DES ANNÉES 90 QUE LES ENFANTS DE MAINTENANT NE CONNAÎTRONT PROBABLEMENT JAMAIS 42

A 4 ANS 48

LES MOMENTS FORTS DES 90’S 52

PLAYLIST 59

5 ,

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Souvenirs, souvenirs

Souvenirs,Souvenirs.POUR CE NUMÉRO SPÉCIAL ANNÉES 90, NOUS

AVONS DEMANDÉ AUX CHRONIQUEURS DE OUAT DE FOUILLER AU PLUS PROFOND DE LEUR MÉMOIRE POUR NOUS RACONTER LEURS SOUVENIRS D’ENFANCE. MUSIQUE, CINÉMA OU MODE, ILS VOUS DISENT TOUT POUR VOTRE PLUS GRAND PLAISIR.

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Souvenirs,Souvenirs.

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Quel dessin animé a marqué votre enfance ?

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// PAULINEBeetlejuice est LE dessin

animé qui m’a marqué dans mon enfance. Il a été créé à partir du film éponyme et met en scène Lydia une jeune gothique qui s’ennuie à mourir dans ce monde. Elle appelle donc le célèbre fantôme farfelu Beetlejuice qui l’emmène faire le tour de son monde peuplé de créatures toutes plus folles les unes que les autres. C’est et ça restera mon dessin animé préféré parce que drôle et loufoque.

// MATHILDEEn dessin animé, moi

je dirais bien Les Malheurs de Sophie, j’ai des vagues souvenirs de moi et ma sœur devant la télé à mater ça ! Et c’était pas si mal que ça, pour être honnête, tout le monde connait le roman de la Comtesse de Ségur et bien aussi chiant que ça puisse paraître en livre, en dessin animé Sophie était carrément bad-ass !

// JUSTINE Dragon Ball Z est

le dessin animé qui me rappelle mon enfance. C’était le dessin animé du mercredi matin (je crois) qu’il ne fallait absolument pas louper ! Sinon, il y avait aussi un dessin animé que je regardais le matin avant d’aller à l’école : un dessin animé avec des dinosaures qui se mettaient en scène pour raconter des histoires (comme celle de Cyrano de Bergerac par exemple) et l’un d’eux m’a marqué par ce poème : « les roses sont rouges, les lilas sont bleus mais aucune fleur n’est aussi belle que tes yeux ! » (Quelle âme de poète !)

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// AURORE Hé Arnold ! Ce jeune garçon avec une

tête bizarre habite chez ses grands-parents. Arnold va à l’école de son quartier, avec ses nombreux amis. Son meilleur ami est Gerald Johanssen. Mais la plus drôle de ce dessin-animé c’est bien Helga Pataki, qui prétend détester Arnold, alors qu’elle en est en fait secrètement amoureuse. Il y en a bien sûr plein d’autres comme les Animaniacs, Oui-Oui, Le Bus magique, les Tortues Ninja, Digimon... beaucoup de dessins-animés ont marqué mon enfance, ça c’est sûr !

// CLÉMENT Ce n’est pas un dessin animé à 100%

mais c’est le seul souvenir à garder de mes 90’s personnelles : Space Jam. Prenez Michael Jordan, Charles Barkley, Patrick Ewing et les Looney Tunes, mettez les sur un terrain de basket face à des extra-terrestres et vous aurez à peu près une idée du délire. Tout fan de basket l’a forcément vu. Ce VHS m’a vu grandir, et s’il n’avait pas fondu dans le magnétoscope à cause de trop de visionnages, il serait probablement fier de moi.

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// MANUE Les Chevaliers du Zodiaque et

Dragon Ball. Alors oui ce sont des mangas particulièrement pour les mecs. Mais comme j’ai grandi avec deux frères ils ne me laissaient jamais le monopole de la télécommande. Franchement regarder Dragon Ball et les chevaliers du Zodiaque n’était pas une punition. L’histoire de Dragon Ball je n’ai surement pas besoin de la raconter, on sait tous que Son Goku sauve la planète des milliers de fois et qu’un combat dure environ 12 épisodes tout en recherchant les dragons ball, les boules de cristal dispersées sur terre qui quand elles sont réunies font apparaitre un dragon qui exauce un vœu. Et pour les chevaliers du zodiaque, l’histoire se déroule sous la mythologie grecque, Athéna la déesse de la guerre possède 88 chevaliers pour protéger la terre. L’un des héros est Aiolos le chevalier sagittaire. Tous les chevaliers se battent avec des armures spéciales qu’ils obtiennent lors de combats. En gros avec Son Goku d’un côté et les chevaliers du zodiaque de l’autre, on est sûrs de sauver la terre.

// FLEAU Sans hésiter : Denver le dernier

dinosaure ! Ce dessin animé a été diffusé pour la première fois en 1989 mais je n’étais pas encore né. J’ai vu Denver pour la première fois chez les Minikeums et ce dinosaure m’a bien plu car il aime le skate et la guitare, un bout de sa coquille d’œuf lui permet de voyager dans la préhistoire (cool hein ?) et il a une bande de pote super sympa qui l’e protège, l’aide et le cache. Le seul problème pour denver, c’est le méchant de l’histoire, qui veut le capturer pour devenir riche et célèbre mais ne vous inquiétez pas, Denver a plein de ressources.

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Quelle production animée du grand écran avez-vous préféré ?

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// PAULINEIl est sorti avant les

années 90, mais le premier dessin animé du cinéma que j’ai vu était Basile Détective Privé. L’histoire d’une souris détective qui aide une petite fille à retrouver son papa kidnappé par le méchant Ratigan qui complote pour faire tomber la reine des souris. C’est pour moi le meilleur des Disney car il ne parle pas de princesses naïves et de chevaux blancs. L’univers est mignon et drôle, malgré la peur que m’inspirait le fidèle bras droit de Ratigan, Fidget qui n’était autre qu’une chauve-souris avec une jambe de bois…

// MATHILDELa Petite Sirène ! C’est

le tout premier film que j’ai été voir au cinéma avec mes parents et ma sœur, c’était génial, je pense que j’ai pleuré pendant une bonne moitié du film mais c’est un très bon souvenir et apparemment ça a inspiré une vocation !

// FLORIANLe premier film que

j’ai vu au cinéma, c’est Anastasia. C’est le parrain de ma sœur qui nous y a emmenés. Le pitch : Anya est une jeune orpheline russe qui essaye de retrouver son passé en se rendant à Paris. Elle rencontre Dimitri qui cherche à tout prix à réunir la famille Romanov, ex-famille impériale de Russie. Il prend donc Anya sous son aile, persuadé qu’elle est la grande Duchesse Anastasia Romanov. Mais Raspoutine et son fidèle Bartok, une espèce de chauve-souris trop drôle veulent les en empêcher.

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// JUSTINEForcément, le Roi Lion ! Je

n’avais que 5 ans et pourtant, je me revois encore dans la salle de cinéma. Inutile de vous raconter l’histoire mais si vous n’avez jamais vu ce dessin animé, remédiez-y !

// AURORELe seul et unique dessin-

animé qui m’aura marqué à vie est bien évidemment Le Roi Lion ! Ce film est une merveille, encore aujourd’hui je ne peux pas le regarder sans pleurer à la mort de Mufasa . Je pense qu’il aura marqué des générations, et même celle d’aujourd’hui ! L’histoire : Simba, lionceau, nouvel héritier du trône, se fait ejecter de chez lui par son oncle Scar qui lui fait d’ailleurs croire qu’il est la cause de la mort de son papa. Il rencontre ses amis Timon et Pumba, et vit d’incroyables aventures grâce à ces deux phénomènes qui vivent la vie au jour le jour : HAKUNA MATATA !

// MANUE Le Roi Lion : dessin animé

culte connu de tous qui raconte l’histoire de Simba, que l’on voit naitre au début du film. Son père Mufasa est le roi de la savane et se fait tuer dans le film par son frère Scar qui veut lui voler les rênes du pouvoir. Simba s’enfuit et rencontre Timon et Pumbaa, avec leur aide il va essayer de reconquérir le trône de son père.

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16

Quel film a marqué vos années 90 ?

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// PAULINES’il y a bien un film

qui a marqué mes jeunes années, c’est La Famille Addams ! Une famille vraiment pas comme les autres qui adore les jeux sadiques et s’approche souvent de la mort, mais toujours sur un ton humoristique ! Même encore maintenant, je me délecte de ce film lorsqu’il passe à la télé. J’ai beau le connaître par cœur, je ne m’en lasserai jamais !

// MATHILDEFilms euuuh, Indiana

Jones et le Temple Maudit ? Je suis tombé très jeune amoureuse d’Harrison Ford et des films Indiana Jones et j’y avais jamais réfléchi avant mais c’est vrai que ça remonte aux années 90. Putain, je me fais vieille, en fait !

// MANUEStar Wars ! Pour un

jour devenir un adulte dans ma famille, notre rite obligatoire et de voir tous les Star wars, bien sûr a l’époque nous n’avions que les 3 premiers qui sont en réalité les 3 derniers, Star Wars 1, la guerre des étoiles (à l’époque ça s’appelait comme ça, aujourd’hui c’est un nouvel espoir), star Wars 2, le retour du jedi et le 3 l’empire contre-attaque.

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// AUROREJe ne pense pas être originale, mais le

film marquant des années 90, à mes yeux, est bel et bien Titanic. Cette magnifique et touchante histoire d’amour entre une jeune fille riche et un pauvre garçon qui entre en tant que clandestin sur le bateau le plus connu de la planète. Malheureusement on connait tous le tragique destin des amoureux... Je me souviens encore de mes yeux grand ouverts devant le paquebot qui coule au fond de l’eau...

// JUSTINE Le film dont je me souviens, c’est Titanic.

D’abord parce que c’était LE film qu’il fallait voir à l’époque, ensuite parce que tout le monde parlait de ce jeune et beau Léonardo et enfin parce qu’il y avait cette histoire d’amour impossible et cette mort à la c*n de Jack ! (Non mais, pourquoi Rose ne lui a pas fait de place ?!) Je me revois encore dans la salle du cinoche, demandant à mon frère toutes les 5 minutes : « C’est lui Léonardo Di Caprio ? Hein, et là, c’est lui ? »

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// FLORIAN Le lutin magique –ou Un troll à Central

Park- est le film que je regardais souvent aux alentours de Noel, qui est en fait un dessin-animé. Le pitch : La méchante reine Gnorga fait disparaître toute végétation au pays des Lutins. Mais Stanley a sauvé son jardin et il le cultive avec amour. Gnorga découvrant ce jardin secret l’envoie à New York. Mais son amour pour les plantes est trop fort et le petit Lutin retrouve Central Park où il se fait des amis : Gus et sa petite soeur Rosie. Gnorga, apprenant la victoire de Stanley, se rend à New York pour le détruire...

// CLÉMENT Un film, ou plutôt une trilogie qui a dominé

mon enfance : Retour vers le futur. Etant beaucoup trop jeune, je n’en ai vu aucun au cinéma ; mais cela ne change rien à l’affection que je porte pour ces classiques du septième art populaire. Le synopsis vous le connaissez, c’est une histoire de DeLorean, de gigowatts et de convecteur temporel. Mis à part le film en lui-même, c’est aussi la BO qui est remarquable. Avec tout d’abord le thème principal composé par Alan Silvestri (compositeur de la BO de Forest Gump, magnifique elle aussi), mais aussi de nombreuses références aux classiques tels que Chuck Berry, Hendrix ou bien sur Angus Young. Cette fameuse scène du premier volet où Marty joue un « bon vieux rock bien retro » reste une scène de référence pour moi. L’avantage des vacances de noël c’est que le service public en profite toujours pour rediffuser ce genre de films, pour notre plus grand plaisir.

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Quelle émission télévisée vous a le plus marqué ?

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// PAULINE J’aimais beaucoup regarder Qui est

Qui, présenté par Marie-Ange Nardi. Trois candidats s’affrontaient pour deviner les métiers de six invités en leur posant des questions et en les mettant en scène dans des situations du quotidien en rapport avec leur métier. Le concept était plutôt pas mal et moi aussi j’essayais de deviner les métiers des invités, dont certains étaient improbables.

// JUSTINE Le Bigdil présenté par Vincent Lagaf’

accompagné de ses Gafettes et de Ramucho. Le principe de l’émission : des candidats doivent réussir des épreuves pour gagner des cadeaux. Ne m’en demandez pas plus, je regardais cette émission il y a fort fort longtemps !

// AURORE Pyramide est un jeu télé qui m’a

beaucoup marqué ! Je regardais toujours avec mon papa, j’aimais beaucoup. Je pense aussi aux cultissimes Enfants de la télé, Motus, et surtout Le Bigdil !!!! Avec l’extraterrestre Bill, j’avais d’ailleurs le nounours et je dormais avec.

// MANUE Les Minikeums, était l’Emission culte des

années 90. L’émission diffuse des dessins animés et entre chaque dessin animé on peut voir les minikeums faire des mini sketchs.

// FLORIANJe me rappelle d’Intervilles. C’était deux

villes qui s’affrontaient dans des jeux plus ou moins physiques qui se passaient sur terre, sous l’eau ou dans l’air. Il y avait aussi les jeux d’adresse sur tapis roulant qui me faisaient bien rire puisque la plupart des candidats n’arrivaient à rester debout que 30 secondes.

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Quel a été votre jouet favori ?

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// PAULINE Mon jouet préféré de tous les temps a été

ma poupée Caroline. Elle est au moins aussi vieille que moi (je l’ai eue à ma naissance je crois) mais qu’est-ce que je l’aimais ma Caroline ! Et ne me demandez surtout pas pourquoi je l’ai appelée comme ça, je n’en ai aucune idée, surtout que jusque récemment, je croyais qu’elle avait été nommée comme ça par le fabriquant, ma mère m’a appris il y a peu que non, c’était moi qui avait décider qu’elle s’appellerait Caroline ! 24 ans plus tard, elle a un méchant strabisme, elle ne parle plus et ne ferme plus les yeux quand on la couche, et elle a une coupe de cheveux dégueulasse, mais elle est toujours aussi belle à mes yeux. Et je crois que je la garderais toute ma vie.

// CLÉMENT En 1999 arrivent dans nos FNAC les

premiers jeux pokémon, versions bleue et rouge, sur GameBoy. Une révélation pour toute une génération de cours de récréation qui ne vivent plus alors que par et pour cette formidable création. On constate aujourd’hui que Pokémon a eu une influence considérable sur la société, c’est une part importante de la culture populaire du 21ème siècle dont l’image est régulièrement détournée dans le street art et ailleurs. Et il n’est pas rare de voir dans les amphis universitaires des étudiants jouer à Pokémon sur leur vieille GameBoy pocket, et ça c’est beau.

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// JUSTINE J’ai pas le souvenir d’avoir eu un jouet

préféré mais en tous cas, j’avais énormément de Barbies avec tous les accessoires qui vont avec : l’énorme maison sur plusieurs étages avec tous les meubles dont j’avais besoin, plein de vêtements, le camping-car, la voiture décapotable rouge, tout, tout, et à peu près... tout ! Et j’ai aussi reçu un Furby à un Noël! A l’époque, ces petites peluches dont il fallait s’occuper étaient en rupture de stock. Tout le monde se les arrachait. C’était la folie !

// AUROREMon Simba en peluche bien

évidemment ! Je l’ai toujours aujourd’hui. Depuis qu’on me l’a offert en 1995, je ne l’ai jamais quitté. Il m’a accompagné dans mes nombreux voyages scolaires, mais aussi quand je partais en vacances, ou quand je dormais chez une copine. Mes meilleurs amis connaissent Simba. En fait pratiquement tous mes amis connaissent Simba !

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// FLORIAN Playmobil, en avant les histoires. J’étais

plutôt du genre solitaire : j’aimais rester dans ma chambre à jouer avec mes playmobils – j’avais un château en plus que j’avais eu au Noel de l’entreprise de mon père. Ce qui me plaisait avec les playmobils, c’est le fait de pouvoir imaginer tout un monde et une histoire, ce qui est rare aujourd’hui avec les nouveaux jouets.

// MATHILDE J’avais un espèce de Furby dégueulasse

mais pas de la marque Furby, un truc plus gros avec le ventre qui s’ouvrait et il y avait deux œufs dedans et dans ces œufs deux bébés ! J’adorais quand j’étais gosse mais en y repensant c’était le jouet le plus flippant du monde !

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Quel(s) vêtement(s) vos parents vous mettaient mais que vous ne pouviez pas encadrer ?

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// PAULINE J’étais encore en primaire, en CE2 me

semble-t-il quand ma mère m’a acheté cette immonde salopette verte accompagnée d’un sous pull vert pomme. Non seulement je détestais les salopettes parce qu’elles étaient chiantes à enlever pour aller faire pipi, mais si vous aviez vu la couleur… Résultat j’ai eu le droit au surnom Pomme d’Api pendant des mois… Inventifs ces gosses…

// MATHILDE Les leggings à motifs chelous que

maintenant les hipsters se font un plaisir de porter. Mais si vous savez de quoi je parle, ces collants en mode tye and dye ou de couleur immonde avec motifs petit chien ! J’avais ça et j’en suis encore traumatisée !

// AURORE Bon sang qu’est-ce que ma mère

pouvait me prendre pour sa poupée ! Après deux garçons, quand je suis arrivée elle était heureuse de pouvoir me coller des pompons, des froufrous, des dentelles, et j’en passe... Encore aujourd’hui, les gens avec qui j’étais en maternelle et primaire se souviennent de mes fameux vêtements...

// CLÉMENT Dans ma jeunesse j’avais tendance à

faire des allergies au soleil, ce qui pose problème lorsque l’on part chaque été dans le sud. Et ces allergies se matérialisaient sous forme de petits points blancs sur mes oreilles. Face à cela ma mère trouva la parade : un bob. Avec le maintenant célèbre duo tongs/chaussettes, le bob est le premier élément vestimentaire dans la catégorie perte de crédibilité. Quand on en a porté un dans sa vie on s’en rappelle toute sa vie croyez moi ; il m’empêche de dormir aujourd’hui encore.

// MANUE Ce qui m’a le plus marqué c’est les

chaussettes avec de la dentelle que l’on repliait sur elles-mêmes, juste immonde.

// FLEAU Le JOGGING. Oui, cette horreur était

mon quotidien. Je ne sais pas ce qui se passait dans la tête de mes parents pour me faire porter ça.

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Quels singles, albums ou artistes avez-vous adoré dans les années 90 ?

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// PAULINE Les années 90, c’était soit la Dance, soit le

Grunge. Etant trop petite pour comprendre l’esprit grunge, je me suis tournée vers la Dance qui elle n’avait rien de bien compliqué. Si je ne devais retenir qu’un album, ce serait une compilation, Dance Machine 17 qui se trouve être le CD que j’ai le plus écouté dans mon enfance. Kim Kay, les Vengaboys, Laam, Sandy Valentino, Gala et bien d’autres, soit toute l’essence des années 90 sur un CD (on dirait que j’en fais la pub !)

// MATHILDE Je dirais les Minikeums et ça se passe

de commentaires.

// AURORE Les Boys Band sans hésitation ! 2B3, Alliage,

Worlds appart, G Squad... et j’en passe ! J’écoutais leurs musiques en boucle et mes frères s’arrachaient les cheveux. J’aimais beaucoup aussi Allan Théo par exemple (quel changement quand on le voit en 2012!) Adepte aussi des Spice Girls, de Britney Spears, mais aussi Dorothée haha !

// JUSTINE Les Spice Girls ! J’étais LA fan des Spice Girls.

(hm.) Quand je dis que j’étais fan, ça signifie que je collectionnais à peu près tout : cartes, photos, posters, cd et j’ai même eu les chaussures ! Ah, et aussi... j’apprenais les danses ! Je vous laisse deviner ce qu’on préparait pour le spectacle de fin d’année en primaire... (hm²)

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// FLORIAN Nevermind de Nirvana. C’était l’album

qui était en route chaque samedi matin pour faire le ménage. Je vous laisse imaginer l’aspirateur en guise de guitare et le produit à vitre en guise de micro.

// CLÉMENTAux lendemains de la seconde guerre

mondiale, la musique explose et des courants fleurissent un peu partout, les principaux berceaux restants les USA et la Grande Bretagne. Les années 60 et 70 sont les années les plus prolifiques du siècle en terme de genres musicaux : de la pop au hard rock en passant par le progressif, le punk ou bien d’autres encore, souvent sur un fond de contestation sociale ou de libération des mœurs.

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Mais dans les 80’s le rock commence peu à peu à s’essouffler et l’innovation musicale se fait de plus en plus rare. Ainsi on retrouve dans la fin de cette décennie et le début de la suivante les deux derniers grands courants de la musique du diable : le brit pop et le grunge. Le premier né dans les dernières années du règne de Margaret Thatcher avec The Stone Roses, The La’s et My Bloody Valentine puis sera popularisé plus tard par Oasis et Blur. Il s’agit en partie d’une réaction au grunge qui lui provient de l’état de Washington et plus particulièrement de la ville de Seattle d’où proviennent les leaders du mouvement que sont les Melvins, Soundgarden et Nirvana, figure emblématique d’une génération. Il est d’ailleurs important de noter que ces deux genres marquent une nouvelle fois l’opposition traditionnelle -presque ancestrale- entre la musique nord-américaine et britannique.

Le grunge atteint son apogée populaire en 1991 avec l’album Nevermind par Nirvana. Probablement le plus grand succès critique de la décennie, ce deuxième opus permet aux hommes de Seattle de rentrer dans l’histoire du rock. En effet, Kurt Cobain est devenu un emblème de la rébellion adolescente ; il faut dire que chaque événement de sa vie ne pouvait que le conduire à être une légende. Ses parents le mettent au monde jeunes et divorcent lorsqu’il n’a que 9 ans, il s’entend mal avec la nouvelle famille de son père, il ne répond pas aux attentes de ce dernier, il s’isole dans les arts alors que les autres enfants font du sport, il se rebelle et devient délinquant, il se réfugie dans le hard rock et le punk ; en somme Cobain est l’archétype de l’adolescent du 3ème millénaire en rébellion capillaire contre ses parents trop cathos à son gout qui comprennent rien aux jeunes. Voilà la

raison pour laquelle il est idolâtré par la jeunesse : il est la jeunesse. Il porte en lui aussi bien l’esprit punk des 70’s que les problèmes contemporains au monde des nouvelles technologies. L’héritage contestataire est très présent chez Cobain, il rend d’ailleurs hommage aux Sex Pistols en nommant cet album Nevermind, référence à Nevermind The Bollocks album emblématique des mouvements contestataires anglais.

C’est donc évidemment le travail de Kurt Cobain que l’on retient tout d’abord sur cet album. S’inspirant des vocalistes punks, il ne s’occupe pas de la justesse de sa voix ni de la mélodie en elle-même ; il favorise ce côté naturel et bestial extériorisant le mieux cette rage contestataire qui caractérise ses textes. Comme il le disait lui-même « si ta guitare est désaccordée, chante pareil », et c’est exactement ça. La guitare est en effet désaccordée, saturée, grasse, lourde, brute ; dégueulasse à souhait. Mais Cobain n’hésite pas à prendre la guitare acoustique le temps de morceaux plus calmes comme Polly et Something In The Way. Ce dernier est d’ailleurs assez particulier puisqu’il s’agit d’une ballade très calme, presque léthargique, qui clôt l’album ; le texte traiterait d’un pont d’Aberdeen sous lequel Kurt aurait dormi dans sa jeunesse. Une dizaine de minutes de silence après cette chanson se trouve un titre caché communément appelé Endless Nameless. Il aurait été joué après une session catastrophique en studio où le groupe tentait d’enregistrer Lithium ; Kurt Cobain, énervé, aurait pris sa guitare et commencé à improviser. Les autres membres se seraient empressés de le rejoindre et aurait jammé avec lui pendant plusieurs minutes rendant cette formidable cacophonie représentative du groupe. Tout l’esprit de Nirvana se retrouve dans Endless Nameless..

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Nirvana, ce n’est pas que Kurt Cobain ; il y a également une base rythmique de qualité. A commencé par la basse de Krist Novoselic qui se caractérise par ses lignes grosses et biens rondes. Novoselic a aussi la particularité de joué au médiator, chose pas forcément courante chez les bassistes qui favorisent généralement le jeu aux doigts ; le débat sur le plectre à la basse est probablement éternel (la plupart de ceux qui se posent la question estiment que l’on doit jouer exclusivement aux doigts pour être un vrai bassiste). Le compagnon de Cobain marque donc une nouvelle fois son style personnel avec cet album et plus particulièrement sur Lithium où la basse est omniprésente. Ce morceau est également un classique de Nirvana, il traite des problèmes psychologiques de Kurt Cobain (le lithium est un remède contre les troubles maniaco-dépressifs). Le groupe de Seattle est réputé pour avoir longtemps cherché son batteur de la même manière que les Red Hot Chili Peppers ont toujours cherché leur guitariste. Et bien Dave Grohl est à Nirvana ce que John Frusciante est aux Red Hot. Grohl intègre le groupe pour le début des enregistrements et apporte ainsi sa patte personnelle, et quelle patte ! En effet le futur Foo Fighters a ce qu’on peut appeler une frappe forte, très forte. Il bombarde les titres déjà plein d’agressivité de rythmes puissants, précis et rapides. Alors que la majorité des batteurs de punk ne savent que taper fort et vite, Dave Grohl a en plus de cela une bonne technique. Il est et restera probablement encore longtemps une référence en terme de batterie rock alternatif.

Si les premières influences qui viennent à l’esprit lorsque l’on écoute Nevermind proviennent du punk hardcore ou des scènes alternatives américaines, il est important de noter que Kurt Cobain était un grand fan de pop et notamment des Beatles (ce qui a toujours déplu à ses fans) et que son but était de parvenir à jouer ce genre de musique.

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Mais il ne parviendra jamais à composer des morceaux comme eux savaient le faire, à son grand désespoir d’ailleurs.

Nevermind fut un succès aussi bien sur le plan critique que commercial, mais l’éternel paradoxe subsiste. En poussant le grunge et le rock alternatif a son sommet, Kurt Cobain l’a tué ; il suffit d’écouter les abominables remixes de Smells Like Teen Spirit que l’on entend partout aujourd’hui. Les gens entendent Nirvana en permanence mais ne le comprennent presque jamais. On retrouve ici les pensées de certains artistes du pop art et du street art : un message répété tellement de fois qu’il en perd tout son sens. C’est exactement ça Nevermind. Un message contestataire et antisocial qui est réutilisé pour devenir un hymne mainstream. Imaginez Anarchy In The UK des Sex Pistols à un congrès du Conservative Party britannique, voilà vous avez compris. L’underground est peut être fait pour le rester s’il veut être compris dans son essence ; appelons cela la malédiction de l’art vrai : ce qui mérite d’être connu ne doit absolument pas l’être. Nevermind en est le parfait symbole. Si Kurt Cobain n’était pas mort si jeune*, rejoignant ainsi le club des 27, il serait probablement dégouté de l’utilisation de son œuvre. Nirvana était bon, peut être trop.

*Nous n’aborderons pas ici la controverse autour de la mort de Kurt Cobain car elle n’a pas lieu d’être : tout le monde sait pertinemment que c’est Courtney Love qui l’a fait assassiné.

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Quels ont été les magazines de votre enfance ?

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// PAULINE A l’école, je me souviens qu’on avait un

magazine trop drôle qui s’appelait Astrapi. C’était un magazine pour les 7-11ans qui regroupait des BD, des articles sur l’actualité, des jeux et des bricolages et qui était vraiment bien fait. Je me souviens que la dernière page pouvait être découpée pour faire des petites cartes avec des défis, des charades, des rébus et des blagues. J’étais fan, et quelle fut ma surprise lorsqu’il y a quelques années, j’ai trouvé un exemplaire d’Astrapi sur la table de chevet de mon neveu ! Je me suis assise dans un coin de sa chambre et je me suis mise à le lire, comme si j’avais 8 ans à nouveau.

// MATHILDE Je lisais pas vraiment de magazines à

part peut-être les Witchs, sorte de BD et de conseils beauté ce qui est un peu malsain en y pensant étant donné que le magazine était réservé au 5-10ans. Oh et Cosmopolitan, ma mère l’achetait et je le lisais en cachette, elle me trouvait trop jeune pour ce genre de bouquin et elle avait raison je ne comprenais jamais vraiment ce que je lisais…

// AURORE Je me souviens particulièrement de

Astrapi, de J’aime lire... Mais aussi bien sûr de tous ces magazines ou figuraient nos stars préférées, précédemment citées, mais celui qui m’a le plus marqué c’est bien Star Club. J’adorais lire les derniers potins, et garder précieusement les paroles des chansons en première et dernière page du magazine.

// FLEAU Ce n’est pas vraiment un magazine mais

ma mère aimait bien nous acheter, à mes sœurs et moi, les K7 qu’on trouvait dans les bureaux de tabac et qui étaient toujours accompagnées d’un magazine. Je me souviens surtout d’une K7 de Oui-oui et le magazine comportait des jeux, des petites histoires et des coloriages.

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Quel est le premier livre que vous avez lu ?

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// CLÉMENTMes souvenirs sont flous sur de

nombreux points mais il me semble que mon premier livre lu soit Harry Potter, le deuxième d’ailleurs, allez savoir pourquoi. Je ne vais pas vous raconter l’histoire car si certains ne l’ont pas encore lu c’est qu’ils ne prévoient pas de le faire plus tard et je ne vais donc pas utiliser mon quota de lignes uniquement pour parler inutilement. Harry Potter est également

une composante importante de notre génération, on a lu le premier en étant à l’école primaire et le dernier en quittant le collège, c’est une saga qui a vu grandir chacun de nous.

// MANUE Le premier vrai livre dont je me souvienne

est Harry Potter et la coupe de feu le tome 4 ! Et oui parce qu’on m’a offert le 4 avant même la sortie du premier en film.

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// AURORELe tout premier livre que j’ai lu s’appelle

A Cloche-Coeur, de Marie-Florence Ehret. Cette auteure était venue dans ma classe de CP-CE1 pour nous présenter ce livre, que j’ai encore aujourd’hui dans ma bibliothèque. J’aime le relire, et sourire devant l’autographe qu’elle a déposé en première page. L’histoire : Pierre a douze ans. Il n’adore pas vraiment lire ni écrire, mais il aime bien parler. Il parle de tout : de ses parents, du collège, des copains, des filles, et surtout d’Elle, dont il ne sait rien et à qui il est prêt à tout donner ou presque... y compris son cœur.

// PAULINEJe n’ai pas souvenir d’avoir lu des

livres qui m’ont marquée avant la 6ème. Le premier était donc un livre imposé par notre prof de français et s’appelait L’île du Crâne. C’est l’histoire de David, Jill et Jeffrey qui, renvoyés de leurs collèges respectifs sont envoyés à Groosham Grange, étrange école située sur une île en forme de crâne et peuplée de personnages étranges. Je me souviens avoir beaucoup aimé ce livre car, n’étant pas une enfant comme les autres (j’étais plus fan d’histoires bizarres, de mystères et d’humour noir que de Lorie) je me voyais bien aller étudier à Groosham Grange…

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// MATHILDELes Contes de Grimm,

un énorme bouquin qu’une tante m’avait offert avec tous les contes célèbres ou non des Frères Grimm ! C’était génial, je me cachais sous la couette le soir avec une lampe torche pour lire Hansel & Gretel ou Le Serpent Blanc !

// JUSTINELe premier livre que

je me souviens avoir lu m’avait été offert par l’une de mes institutrices car j’avais obtenu un certain nombre de « bons points ». (youhou!) Il s’agit d’Oliver Twist et on peut encore lire sur la première page : « En souvenir des efforts fournis en CE2 ».

// FLORIANCharlie et la chocolaterie

de Roald Dahl. Je ne vous fais pas l’affront de vous raconter l’histoire.

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Quels étaient vos loisirs dans votre enfance ?

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// PAULINE Quand j’étais petite, je m’appliquais

toujours dans les activités manuelles au centre aéré. Il y avait une choses que j’aimais particulièrement, c’était créer des objets. J’avais la tête qui bouillonnait d’idées et je demandais souvent un coup de main à mon papa ou mon grand-père pour souder, coller, clouer…

// JUSTINE Petites, avec ma meilleure amie et ma

cousine, on a voulu se mettre à l’équitation. A la fin de la première séance, notre moniteur nous a demandé de nettoyer la queue du cheval. C’est bête mais ça nous a dégoûté et on n’y est jamais retourné. A la place, ma meilleure amie et moi sommes entrées dans un club de danse dans lequel on est resté plusieurs années. Première danse apprise : Blue de Eiffel 65. (1999) (Oh yeah !)

// MATHILDE Le seul truc dont je me souviens c’est

d’avoir fait des trucs immondes, « trucs » parce que je ne saurais pas vraiment dire ce qu’ils représentaient en pâte à sel et en poterie au camp trappeur de mon centre aéré ! Oh et d’avoir peint les toiles pré-dessinées et numérotées, la peinture pour les fainéants et les non-talentueux quoi !

// AURORE Chanter et danser sur du Claude François... Non

je ne mens même pas en plus ! Ma mère écoutait souvent ses musiques, ce qui fait qu’encore aujourd’hui je connais les paroles de ses chansons par cœur. Sinon j’aimais jouer au foot avec mon papa, qui entraînait une petite équipe à l’époque.

// CLÉMENT Deuxième enfant d’une grande fratrie

(grande par la hauteur), j’ai logiquement commencé le basket lorsque mon frère s’est avéré être assez doué pour ce sport. Il se trouve qui sa carrière a plutôt bien fonctionné, la mienne un peu moins. Tout ça pour dire que non, quand on est grand on n’est pas nécessairement bon basketteur, j’en suis la preuve vivante.

// MANUE J’ai commencé le judo quand j’avais

8 jusqu’à mes 19 ans a peu près. Dans un autre style, mes parents nous emmenaient souvent au ciné. Je me souviens même que mon père nous faisait louper l’école pour qu’on profite de la fête du ciné à fond. Ça remonte à l’école primaire, pas étonnant qu’ensuite je sèche les cours !

// FLEAU Vu que j’étais plutôt du genre solitaire,

j’aimais bien dessiner. Je recopiais souvent les dessins-animés que je regardais.

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Quel objet fétiche trainiez-vous partout ?

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// PAULINE Petite, après avoir vu à la télé

un concert de Madonna, je voulais absolument un micro pour faire comme elle. Je me souviens qu’elle avait un micro serre-tête et un diadème. Donc mon papa m’a fabriqué ce diadème tout en cuivre avec une fausse pierre précieuse faite en aluminium plié, un petit tube en cuivre plié soudé sur le côté faisait office de micro. Vous n’imaginez pas mon bonheur et le nombre d’heures que j’ai passées à jouer avec, me prenant pour une star internationale !

// JUSTINE Très certainement, mon nain-nain :

une couverture rose et verte offerte à ma naissance que je ne quittais jamais. Quand il le fallait vraiment, j’en découpais un bout pour l’avoir avec moi. Imaginez la tête de la couverture aujourd’hui... !

// MATHILDE Des années 90, mon objet fétiche,

c’est probablement toutes les K7 qu’on a encore à la maison et surtout celle de Cœur de Dragon avec Kevin Costner, on adorait ce film avec ma sœur et je pense que je garderais cette VHS dans un coin de mon étagère pendant encore très longtemps.

// AURORE Encore et toujours SIMBA.

// MANUE Je n’ai jamais eu de doudou ou de

trucs comme ça étant petite. Je pourrais éventuellement dire que mon objet fétiche était mon petit frère, on a un an d’écart et je me souviens que quand je suis allé en primaire lui est passé en dernière année de maternelle nos deux écoles étaient collé et à chaque récré je passais dans les buissons pour aller le rejoindre !!

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Ces objets des années 90 que les enfants de maintenant ne connaîtront probablement jamais

LES ANNÉES 90 ONT ÉTÉ UNE SOURCE D’INSPIRATION POUR LES INVENTEURS EN TOUT GENRE ET DE NOMBREUSES INNOVATIONS OU TENDANCES ONT VU LE JOUR DANS NOTRE ENFANCE. MALHEUREUSEMENT (OU HEUREUSEMENT POUR CERTAINS) DES NOUVEAUTÉS ONT REMPLACÉ CES OBJETS UN PEU PLUS TARD. TOUR D’HORIZON DE CES TECHNOLOGIES D’IL Y A UNE VINGTAINE D’ANNÉES.

// Pauline Mizon

Ces objets des années 90

que les enfants de maintenant ne connaîtront

probablement jamais

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Ces objets des années 90

que les enfants de maintenant ne connaîtront

probablement jamais

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// K7-VHSIl fut un temps, avant le DVD, où l’on

avait des cassettes VHS qu’on insérait dans un magnétoscope pour regarder des films en mauvaise qualité. On pouvait même enregistrer les programmes de la télé dessus ou faire des copies du mariage de tata Jeanine qu’on ne regardera jamais plus. Mais il n’y a pas que ça, contrairement au DVD, la VHS, elle, doit être rembobinée ! Et là, c’est le drame, au moment de mettre la cassette en route, tu te rends compte, en appuyant sur play, que c’est le générique de fin du film qui démarre… Il faut alors rembobiner et perdre 5 minutes de son temps… La loose.

// K7 AUDIOOutre les cassettes vidéo, il y avait les

cassettes audio ! Le même problème de rembobinage se posait, mais la solution était de rentrer un crayon dans les trous et de faire tourner la cassette autour pour la rembobiner. Le souci majeur de la K7 audio était qu’on ne pouvait pas écouter la chanson qu’on voulait directement et passer à la suivante en un clic. Mais en ces temps où le téléchargement illégal n’existait pas encore, on pouvait tout de même frauder et chopper les musiques qu’on voulait sur cassette. Je passais donc mes mercredis après-midi à enregistrer mes tubes préférés sur cassette en essayant d’appuyer sur REC au moment pile où la chanson commençait. C’était tout un art !

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// WALKMAN CDAprès les cassettes audio, on est

passé aux CDs et surtout au walkman CD. Souvenez-vous : il fallait sortir avec ses CDs et si on aimait bien changer, ça commençait à faire lourd dans le sac. En plus de ça, le walkman était assez fragile. Il ne fallait surtout pas faire de gestes brusques sinon le CD sautait. Enfin, quand je dis gestes brusques, il suffisait parfois de marcher pour qu’il saute… C’est assez paradoxal pour un appareil qui servait justement à écouter de la musique en marchant.

// TATOO & TAM-TAMAvant les téléphones portables et les

SMS, il y avait le Tatoo et le Tam-tam. Ces « bipeurs » pouvaient afficher plusieurs lignes de texte (3 ou 4 lignes) pour communiquer rapidement avec des personnes qui n’étaient bien évidemment pas équipées de portables. À l’époque, le coût du message était de 4,22 francs sur Tam-tam et 3,71 fr sur Tatoo. Le principe était le même : On appelle un téléopérateur pour lui dicter le message qu’il devait ensuite écrire et envoyer sur le numéro qu’on a mentionné. Celui qui reçoit le message n’avait pas d’autre choix que de rappeler depuis une cabine téléphonique. C’était il y a 17 ans.

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// TÉLÉPHONES PORTABLESLes premiers téléphones portables

que l’on a pu se payer étaient en noir et blanc et avaient une antenne repliable. Ils fonctionnaient avec Itineris (racheté plus tard par orange) et les forfaits étaient très petits. Je me souviens surtout du poids assez monstrueux du téléphone qui ne permettait pas de le mettre dans la poche du jean. De toute façon, il était tellement épais que la poche ne résistait pas. Il fallait se contenter des 4 lignes de texto et de ces 100 contacts sur la carte SIM. On pouvait stocker à peine 10 textos il me semble. Obligé de supprimer les plus anciens pour en recevoir d’autres.

// CARTES TÉLÉPHONIQUESBien avant les téléphones portables, il

y avait partout des cabines téléphoniques. Et dans ces cabines on pouvait payer nos appels avec des cartes téléphoniques qu’on achetait chez le marchand de journaux. Peu de gens utilisent encore les cabines téléphoniques mais beaucoup de collectionneurs en chinent sur les brocantes car ces cartes arboraient de jolies couleurs ou dessins et certaines sortaient en éditions limitées. Alors si vous en retrouvez au fin fond de vos tiroirs, mettez-les en vente, certaines valent une petite fortune.

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// MODEM 56KRetour fin 90, à l’époque où on utilisait

Netscape pour surfer. Avant d’arriver sur Altavista (le Google des 90s), il y avait ce temps de connexion parfois interminable si la ligne était mauvaise… et surtout ce bruit inoubliable du bon vieux modem 56 k… Le coût de l’internet était encore très élevé et avec 30€ environ, on pouvait se connecter 3h. Outre la vitesse de connexion assez limitée, le bruit du modem et le coût d’un forfait internet, ce qui me revient à l’esprit, c’est ma mère qui, à 18h me disait « Pauline, déconnectes-toi, j’attends un appel ». Il fallait alors que j’aille dans le couloir débrancher ce long câble qui traversait la moitié de la maison et que je le range bien précieusement pour me reconnecter après 20h30.

// MINITELInnovation principale des années 80, le

Minitel était un petit ordinateur qui permettait d’accéder à des services en ligne bien avant le lancement d’internet ! On se rappelle bien sur des publicités pour 3615 ULLA ou encore 3615 ANNU pour aller sur le minitel rose ou encore trouver des numéros de téléphone. Malgré ses graphismes peu sexy et son interface austère, le minitel a diverti des millions d’utilisateurs au cours de ses trente années d’existence. Il a disparu en 2012 après avoir laissé place au world wide web.

On pourrait ajouter des tas d’objets de notre quotidien d’il y a 10 ans, mais la liste serait trop longue. Mais si vous vous souvenez de tous ces petites choses que vous aviez et qui vous font rire maintenant en y repensant, n’hésitez pas à les partager sur notre page facebook.

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A 4 ans

A 4 ansAPRÈS AVOIR FOUILLÉ DANS NOTRE MÉMOIRE, QUOI DE PLUS NATUREL DE FOUILLER DANS LES TIROIRS ET D’EN SORTIR DES PHOTOS.

ON A 4 ANS MAIS SAUREZ-VOUS NOUS RECONNAITRE ?

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A 4 ans

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Les moments forts des 90’s

Les moments forts des

90’sDURANT CETTE DÉCENNIE, ON A CONNU QUELQUES MOMENTS FORTS, DES ALBUMS QUI ONT MARQUÉS UNE GÉNÉRATION MAIS AUSSI DES FILMS QUI SONT AUJOURD’HUI CULTES.

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Les moments forts des

90’s

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1990 1991

COWBOYS FROM HELL DE PANTERA

Surement le meilleur album du groupe, ou, en tout cas, celui de leur apogée.

EDWARD AUX MAINS D’ARGENT DE TIM BURTON

Un film poétique qui a pour fond l’isolement et le mal-être avec un Johnny Depp et une Winona Ryder qui sublime le film. Un chef-d’oeuvre de Mr Burton.

ARRIVÉE DE LA GAME BOY EN FRANCE

Tout enfant qui se respecte a voulu (et a eu pour les plus chanceux) une Game Boy.

Aujourd’hui, la Game Boy est toujours d’actualité. Certes, elle a changé, elle a plusieurs écrans mais le fond reste la même.

LA FAMILLE ADDAMS DE BARRY SONNENFELD

D’un humour massacrant, ce film a marqué toute une décennie. On se souvient encore de La Chose et du Cousin Machin qui nous on fait rire aux éclats !

NEVERMIND DE NIRVANAOn vous en a parlé un peu plus

haut, et je crois qu’on a tout dit !

MONSTERS OF ROCK EN RUSSIE

Ce concert est considéré comme un des plus gros concert de l’histoire de la musique. Il avait pour tête d’affiche AC/DC, Metallica, Pantera...

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1992 1993

MOBY DE MOBYPour l’année 1992, cet album

était une révolution ! Qui n’a jamais entendu du Moby ? Et qui n’a jamais croisé un petit chauve à lunettes en pensant que c’était lui ?

DRACULA DE FRANCIS FORD COPPOLA

Adapté du roman de Bram Stocker du même nom, Dracula est un chef d’œuvre des années 90 porté par un grand nom du cinéma. Pour ceux qui ne l’auraient pas encore vu, foncez.

CRÉATION DE LA CARTE À PUCE BANCAIRE

Révolution dans les ménages ! Un bout de plastique peut vous permettre de payer vos courses. Que demande le peuple ?

ARE YOU GONNA GO MY WAY? DE LENNY KRAVITZ

Album de l’année comportant le single éponyme, Lenny Kravitz signe le plus gros succès de sa carrière.

L’ÉTRANGE NOËL DE MONSIEUR JACK D’HENRY SELICK.

«This is Halloween», merveilleux film d’animation de Mr Selick qui fait encore parler de lui aujourd’hui.

DÉCÈS D’AUDREY HEPBURNUne icone nous quitte. Audrey

Hepburn était le chic incarné et l’égérie de Hubert de Givenchy.

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1994 1995

NO NEED TO ARGUE DE THE CRANBERRIES

Encore un album a avoir absolument dans sa discothèque puisqu’il contient le plus gros tube des Cranberries. On adore.

PULP FICTION DE QUENTIN TARANTINO

Récompensé par la Palme d’or au Festival de Cannes 1994, ainsi que par l’Oscar du meilleur scénario original l’année suivante, Pulp Fiction a été un succès aussi bien critique que commercial, établissant ainsi définitivement la réputation de Tarantino.

OUVERTURE AU PUBLIC DU TUNNEL SOUS LA MANCHE

Au revoir le mal de mer ! On peut enfin poser son pied en Angleterre en passant en dessous de la Manche, avec sa petite voiture.

D’EUX DE CÉLINE DIONEtonnant, non ? Mais cet album

est le meilleur de Mme Dion et il a marqué cette génération.

TOY STORY DE JOHN LASSETER

Des jouets qui prennent vie lorsque leur propriétaire n’est pas là ? On aime ! Une belle histoire que beaucoup d’enfants auraient aimé vivre

JACQUES CHIRAC, ÉLU 7ÈME PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE.

Oui, c’était l’évènement de l’année. C’est le président qu’on a connu le plus longtemps alors il a sa place ici. Jacques, si tu nous lis.

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1996 1997

THE SCORE DE THE FUGEES

Ready or not, Fu-Gee-La ou encore Killing me Softly, The Score contient tous les tubes des Fugees. S’il n’y en a qu’un à écouter, c’est celui-ci !

SE7EN DE DAVID FINCHERThriller innovant et magnifique,

Seven suit les traces d’un serial killer aux 7 péchés capitaux. Bourré de rebondissements je vous dis.

NAISSANCE DE LA BREBIS DOLLY EN ÉCOSSE

Une découverte scientifique qui change un peu les mentalités : le premier animal cloné.

HOMEWORK DE DAFT PUNKPremier album des Daft Punk,

Homework rencontre le succès : 2 millions d’exemplaires se vendent dans 35 pays différents en l’espace de 2 mois. Et on aime toujours autant nos frenchies 15 ans après !

TITANIC DE JAMES CAMERON

Les filles ont adulé Léonardo DiCaprio et les garçons ont apprécié les formes de Kate Winslet. Une belle histoire d’amour qui a du en inspirer plus d’un.

DÉCÈS DE LADY DILe monde est en deuil : Lady

Diana perd la vie le 31 Août à Paris.

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1998 1999

AMERICANA DE THE OFFSPRING

Élu meilleur album de l’année 1999 aux MTV awards, The Offspring s’inscrit avec Americana dans la lignée du néo Punk Rock américain des 90’s.

ARMAGEDDON DE MICHAEL BAY

Chanson culte pour film culte. Une histoire catastrophe avec en fond une histoire d’amour, familiale et de sacrifice.

LA FRANCE GAGNE LA COUPE DU MONDE

La fierté française est au rendez-vous cette année là : la France vient de gagner la coupe du monde.

...BABY ONE MORE TIME DE BRITNEY SPEARS

On a tous en tête la première fois où on a entendu le tube de Britney Spears. Cette jeune femme restera longtemps l’idole d’une génération.

AMERICAN BEAUTY DE SAM MENDES

Film multi-récompensé mais surtout oscarisé, ce chef-d’oeuvre de Mendes nous fait vivre l’avant mort de Lester, chef de famille. Dérangeant mais aussi fascinant, c’est le film qu’il faut avoir dans sa DVDthèque.

LE MONDE CRAINT LE BUG DE L’AN 2000

Comme souvent, le monde s’inquiète pour pas grand chose et le passage à l’an 2000 a provoqué beaucup d’iquiètude pour rien... C’est un peu notre 21 dècembre 2012 des 90’s

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ROBERT MILES – CHILDRENMANAU – LA TRIBU DE DANAAQUA – BARBIE GIRLREAL JOY – LA DANSE D’HELENEWHIGFIELD – SATURDAY NIGHTHANSON – MMMBOP - SINGLE VERSIONEMILIA – BIG BIG WORLDZOUK MACHINE – MALDONSISQO – THONG SONGLOU BEGA – MAMBO NO.5SCATMAN JOHN – SCATMAN (SKI-BA-BOP-BA-DOP- BOP) - BASIC RADIOFELICIDAD – DAM DAM DEOLA FIESTA – CE SOIR ON VOUS MET LE FEULA FIESTA – IL EST VRAIMENT PHÉNOMENALZEBDA – TOMBER LA CHEMISEGENERATION 90 – LE FEU CA BRÛLENIRVANA - RAPE ME

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Ces chansons qui nous ont marqués, pour le meilleur et parfois, pour le pire. C’est l’heure d’inviter vos copains et de faire une petite boom !

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ouatwebzine.fr // Janvier 2013

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