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Dimanche 0 Déccinh; ■

Paraissant le Dimancheo

JOURNAL DE SENLISParaissant le Dimanche

A B O I S T I T E M E N T SOis« et limitr.

S fr .Attires dép.

10 ir .

On s’a b o n n e au x B u reau x d u Jo u rn a l e t d a n s tous les b u re a u x d e poste- — L’a b o n n e m e n t e s t p ay ab le <l[avnr»ce e t con tinu e d e p le in d ro it Ju squ 'à récep tiond 'a v i s c o n t r a i r e .

L.es A b o n n e m e n ts p a r te n t du i*w d e cha q u e m o is

BUREAUX, RÉDACTK^ & ADMINISTRATIONS E N L I S 1 1 , F *1 n r . 0 > J f e r n ' i - I V , 1 1 — S E K T L I S

t é l é C T iF 'M ^ «

P R I XA n n o n c e s iè g a le s . . . . . .

A nnonces "vo lon ta ires.

33 E S I N S E R T I O N S* *** u«“ «- j RÉCLAME* r

1 fr: la ligne. | 2* ou 3* page . . . . ; .............. . . . 0.

te s rnani,srri!x. insères 7„, r,pn< TlP ?,,v( Fendus1 fr. M U lif t ie .

L a réunion biocardeI D E G R E I L

OU LE BLOC INTERNATIONAL CONTRE L’UNION NATIONALE

D ésireux, avan t tout, d ’assu re r sa ré­élection com m e député, élection bien com prom ise, l ’ex -cand ida t auvergnat U hry Ju les , élu par h asa rd , au petit quo ­tien t, dans ;notre départem ent, est p rê t à accep ter toutes les com prom issions, tou tes les dom estications de program m e, s il les cro it susceptib les de lui am ener des bu lle tins de vote.

L a p répara tion du C ongrès sénatoria l g au ch er en donne une nouvelle dém ons­tration , les socios à U hry ayan t accepté avec em pressem ent l’inv itation de la m a­jo rité se d isan t répub licaine du C onseil général, un des 3 conseils généraux de F rance qui revend iquen t l’honneur d ’avoir refusé le vote de eonfiance.à M. R aym ond P o incaré !

Donc, à C reil, l’au tre d im anche , la réu ­nion des D élégués rad icaux socialistes et des socialistes, si on peut d ire , a donné à U hry Ju les une nouvelle occasion de m a­n ifester la ferm eté de ses convictions po­litiques, de son in transigeance su r les principes. Q uand on sa it q u ’on a de la doctrine, que d iab le, on n ’est pas obligé de la m ontrer à ses am is !

Que n ’était-il pas perm is à U hry d ’oser dans ce m ilieu u ltra sélectionné présidé p a r .-. Jem m y S ehm id t assisté par le Juge P ennelie r fait chevalier de la Légion d honneur et p résident de trib u n a l par le B loc national ?

P ouvait il c ra in d re la m oindre protes­tation de ses copains eu socialism e unifié ? N on. C a r U hry , no irc issan t à dessein les projets du cam arade , P ouchet ava it eu soin de la isser exclure celui-ci de la D élé­gation au congrès blocard, P onchet qui ava it le courage de sacrifier sa situation de professeur de l’U niversité p lutôt que d ’abandonner son idéal politique ! N ous som m es l’adversaire irréductib le , su r le te rra in politique et économ ique de M. P o u c h e t: nous com battrons avec a c h a r­nem ent ses théories que nous pensons fu ­nestes pour n o tre P ays. M ais nous de­vons le respect à un ad v e rsa ire loyal, qui perd vo lonta irem ent sa situation pour ses opinions, par fidélité à sou P arti !

O r donc, à la réunion de C reil, au des­sous du citoyen .-. Jem m v S ehm idt, p ré ­s iden t, siégèren t les rad icaux-socialistes M agnier et le juge P ennellie r puis M aiiu s R a y r, délégué socialiste , tous les quatre avan tageusem en t silhouettés par le crayon de l’im pétueux P au l F ran tz qui n ’a pas voulu liv re r à la postérité les nom s et cro ­quis des au tres augures rad icaux -soc ia­listes. D om m age !

E t là , l ’ex -candidat auvergnat co n tre ­signa le com prom is électoral dont l i R é ­p u b liq u e de l’O ise et le C ri à U h ry ont donné le détail.

D u collectiv ism e, de la suppression de la p roprié té ind iv iduelle , de la lu tte de classe, de l’iu te rna tiona lism e, de la révolution , pas un m ot, bien eutendu ! On éta it là pour faire de la cu isine électorale e t non de la d iscussion de program m e. Ce qui im porte en effet, en ce cas, ce ne sont n i les personnes, ni les p rincipes, m ais le succès obtenu n ’im porte com m ent et avec n ’im porte qui ou quoi.

M. U h ry no ircit donc quelques feuilles de pap ier sans vouloir écrire , à la veille d ’une élection sénato ria le , une seule de ces vieilles rengaines bonnes toutj au plus, songea-t-il, pour les élections des députés et encore ?

M ais à des électeurs sénato riaux parle r des théories du Boche K arl M arx , père de la doctrine des socialistes unifiés S F IO 1 de P o in ca ré -la -G u erre ; de la m ain tendue aux Boches, du bloc ouvrier cher à R ay r ? A h, non ! P as çà et pas là !

Ce q u ’ils voulaient p répare r, ces délé­gués, c’é tait le succès, à tout prix , de la liste biocarde, an tina tionale , par opposi­tion au Bloc N ational.

P érissen t donc les p rincipes pourvu q u ’on a it le succès ! Les principes ? il se ra bien tem ps d ’en parle r plus ta rd ... après les é lec tions... s ’il en reste !

On décida donc d ’obliger seulem ent les cand ida ts du bloc in te rnational à inscrire su r leu r program m e, avec de l’encre sym ­p ath ique, si possible, qu ’i’s veu len t la li­berté syndicale , la liberté d ’opinioD, l ’école nationale, le respect des lois la ï­ques, des m onopoles O n dem andera l’a s ­sa in issem ent des finances de la F rance, ce qui veut d ire , si on songe à M. P a isa n t aux S tocks, q u ’on rend ra les m in istres et sous-m in istres responsables de leu r ges­tion.

On ne m it que 8 points au program m e. De sorte que M. D esgroux ne pourra dé­velopper son g rand projet d ’im pôt sur le cap ita l ; n i P a isa n t s’opposer au m élange de la politique avec la finance, c’est à- d ire in te rd ire aux éius politiques d ’être m em bres du C onseil d ’ad m in istra tio n ni avocats conseils des sociétés financières.

On parle ra de tout ça, cam arades, ap rès les élections. Ce sera, si vous voulez, pour la prochaine session du Conseil général où on peut tout se perm ettre.

Du dro it syndical des fonctionnaires ne parla pas M. P ennellie r, le juge ; pas plus M. R a y r du bloc ouvrier n i du m onopole des chem ins de fer. T out ça, ce sont des principes qui n ’ont rien à voir avec les élections sénatoriales.

On en rep a rle ra ap rès, q uand on de­m andera à Ju les U h ry de ren tre r dans le chou à P o incaré la -guerre pour lequel, d ’a illeu rs, M. N ocl a toujours voté, tout com m e M M. Del p ierre et R oland . De m ê­me que pour les condam nations des g rands chefs Jo seph C aillaux et M arty. Q u’ils resten t bien et ju stem en t condam nés ju s ­q u ’après les élections des députés.

A lors, après toutes ces élections, on

a u ra tout le tem ps nécessaire , cam arades, pour parle r p rogram m es et p rincipes po­litiques et pour am n istie r C aillaux que M M . N oël, R dand et D elp ierre ont « in ­justem en t » condam né.

E t voilà com m ent la g rande réunion de C reil p rép ara la petite cu isine du Congrès sénatoria l, bloc an ti-na tiona l ou in te rn a­tional, au choix. De C rabol à M idol, quoi!

A vant de lever la séance, on dem anda à U hry de ch an te r l’In terna tionale , mais à voix très basse, ca r on n ’en tendit rien de la ru - où on ne vit non plus aucun B onnet rouge rep rendre le chem in de la gare.

M oralité, si on peut d ire, de cette réu ­nion des g rands D élégués des deux partis : « Il n ’y a que les idiots qui se font révo­quer ou tuer pour les p rincipes. Q uand on a les m andats électifs, les bonnes places et les décorations on d ev ien t.... « ré v o lu ­tionnaire bloc de gauche ».

J ean P IC A R D .

Élections Sénatoriales

aux déléguésI épubligains

M. le Dr Delpierre, président du Comité de l’Union Républicaine et Nationale de l’Oise, vient d ’adresser aux délégués sénatoriaux républi­cains, la lettre suivante :

Mon Cher Concitoyen,Le 18 novembre dernier, les délé­

gués des partis radicaux-socialistes et les délégués du parti socialiste unifié se sont réunis à Creil, sous la présidence de M. Sehmidt, pour élaborer un program me com m un et désigner leurs trois candidats aux élections sénatoriales.

Ainsi, dans un but purem ent élec­toral, ceuxqui se disent partisans du maintien de la propriété individuelle, de l’union entre tous les Français, .de la liberté économique, se sont alliés étroitement à ceux dont la doctrine politique réclame la suppression du droit de propriété et la révolution sociale, c’est-à-dire la guerre entre Français et le développement des mo­nopoles d ’Etat.

Pour combattre cette coalition dont le triomphe amènerait la guerre civile et mettrait en danger l’ordre public et les intérêts supérieurs du pays, nous vous invitons à assister le samedi 15 décembre prochain, à 10 heures du matin, à Beauvais. salle des Variétés, place Jeanne-Hachette, à un Congrès d ’électeurs sénatoriaux qui formera une liste de trois candi­dats républicains, résolus à s ’oppo­ser énergiquement à l’étatisme, au collectivisme, à la révolution sociale et à soutenir sans aucune défaillance la politique nationale aussi prudente que ferme et loyale du président Raymond Poincaré.

Comptant sur votre présence, je vous prie d ’agréer, mon Cher Conci­toyen, l’assurance des mes senti­ments dévoués.

Dp DELPIERRE,Président du Comité

de l’Union Républicaine Nationale.

A jrès la M o l e MontataireUne réponse du Président

Poincaré aux ouvriers de Montataire

A ta suite d ’une réu n io n rép u b lica in e tenue à M ontataire , un o rd re du jou r ava it été voté au P ré s id en t du Conseil.

N otre am i Bouteille, qui ava it transm is cet o rd re du jour, a reçu du P ré s id en t du C onseil la réjionse su ivan te :

« P a ris , le 23 novem bre 1923.« M onsieur le D éputé,

« Vous avez b ien voulu me tran sm ettre l’o rd re du jo u r voté p a r deux cen ts adhé­ren ts des Com ités rép u b lica in s de M onta­ta ire et de C ram oisy.

« T rès sensib le au tém oignage de con­fiance a insi donné au G ouvernem ent de .a R épublique, je vous p rie de recevo ir, p o u r vous et p o u r les M em bres des Comités rép u b lica in s de M ontataire et de C ra­m oisy, mes m eilleu rs rem erc iem en ts .

« Veuillez agréer, M onsieur le D éputé, les assu rances de m a haute co n sid éra ­tion . »

R. POINCARE.

Fédération charbonnière de l’OiseLe Conseil et les Délégués de la Fédé­

ra tion C harbonn ière de l’Oise se sont réu ­nis à Beauvais le 29 novem bre. Us ont décidé que m algré l ’élévation tou jours cro issan te des charges (m ain -d ’œ uvre, assurances, im pôts, etc.), la hausse (5 à 10 francs à la tonne su ivan t sortes), faite p a r les Mines, p a r su ite du relèvem ent des sa laires, se ra it app liquée au détail sans au tre m ajo ration , au 1" décem bre.

La F éd éra tio n s’est occupée de la taxe de 1,10 et des p ré ten tio n s ém ises p a r les C on tribu tions In d irec tes . Des dém arches se ro n t faites incessam m ent à ce sujet p rès de la D irection de ce tte A dm inistra tion et éventuellem ent au M inistère des F inances.

Le P rés id en t a ren d u com pte du Con­grès de la C onfédération des Groupes C om m erciaux et In d u strie ls qui v ien t de se te n ir à P aris .

Le P résiden t,G. VIOT.

ELECTION

DES DÉLÉGUÉS SÉNATORIAUX2 D é c e m b r e 1 9 2 3

Canton de Betz

S upp léan t : M. Jules Boutrelle, c. m. , B régy. — MM. D huicque Constant, René

D audré. — S upp léan t : M. G ilbert.B argny. — M. Em ile D uchêne, chem i­

not. — S upp léan t : M. Ram et, adjo int, cu ltiva teu r.

Betz. — MM. Thiou Alexis, ad jo in t b o u rre lie r; P én o t H enri, c. m., p e in tre . — S upp léan t : M. B rayer, ch a rp en tie r . ,

B ouillancy. — M. A natole P rofiit, maire»

B éth isy-Saint-P ierre. — MM. C hopinet, Joye Sébastien, ad jo in t; Rousé R ich ard .

S uppléan t : M. M aucham p Eugène.Bonneuil-en-Valois. — MM. Louis

M alin, m a ire ; T ournem olle, ad jo in t. __S uppléan t : M. B oulanger E dm ond.

Crépy-en-Valois. — MM. B rûlé Gaston, ad jo in t; Vassal, m a ire ; B enoit P lac id e , 1 rognon Basile, ad jo in t; Louis Jaunet, C harles D elaporte , P au l Vonck, Saint- ^Germain, L esueur Louis. — S upp léan ts :E lecteurs de dro it. — MM. Delacroix^

conseiller général ; D elozanne, conseiller \ m r>r n«!i,.d ’arrond issem en t. I è1-/; B ruolle Ju lien , L aisier Eugene.Acy-en-M ultien . — MM. Jean Guéret,' S m S n i - - M f 1an-teI’ m a ire ' T

M enot Cam ille. — S upp léan t : M. Chéret teur ' L ucien , cressicul-

V utheu il-en -V a lo is. — M. E d o u a rd . \ D wbreUÎ1’ c - m *, G ibert, m aire. — S upp léan t : M. D agbert r ie r m m ' H urm ane F ellx ’ c a r '

1 eAdn tiU yd— M ^F ran cis H am elin , m aire. R ° 1Iet’ d ' ^ t ’

i7 • i m i i u i ç x i v U l l j lU d l ltë ïir UPP ' M* Profflt-Du.pille, agncujejl^ieur. ina ire : F e rn an d M eignen, c. m.

Sup-eur.

Boullare. — M. V ictor O ury p léan t : M. M aurice M artin.

Cuvergnon. — M. Lefèvre Louis, ren­tie r , m aire . — S uppléan t : M. René Aneel- lin , ag ricu lteu r.

E tavigny. — M. D epoilly , m aire. — Sup­p lé an t : M. D raps, ad jo in t.

G ondreville. — M. Louis René. — Sup­p lé an t : M. Jean Roy.

Ivors. — M. A rm and C lavier, c. m. — S uppléan t : M, Léon B ertrand , adjoint.

L évignen . — M. Léon G rim bert. — Sup­p léan t : M. Léon Cadot.

M areuil-sur-Ourcq. — MM. Louis Prof- fit, m a ire ; R obert M arc, ad jo in t. — Sup­p lé an t : M. B ourgeois Isidore.

M arottes. -— MIM. F ré d é r ic Longuet, m a ire ; Rém y G audion. — S uppléan t : M. Is ido re Lavasier.

N eufchelles. — M. A ndré François) m aire. — S upp léan t : M. V incent Théo­dore, cu ltiva teu r.

O rm oy-le-üavien . — M. P ie r re Ferté, m aire. — S uppléan t : M. C ogordan Louis, adjo int.

Réez-Fosse-M artin, — M. C harles Bouf- flerd. — S upp léan t : M. Haas.

Rosoy-en-M ultien. — M. Louis de Bel- loy. — S upp léan t : M. Joseph Bellevaud.

Rouvres. —- M. Em ile A ubry. — Sup­p léan t : M. F e rn an d Vasseur.

Thury-en-V alois. — M. Em ile Profil*.— S uppléant : M. Eugène Gobert.

Varin froy. — M. Jean Laeyol. — Sun-plenn i î M. E rncst'G uenue .

V illeneuve-sur-T liury . — M. Maximie Bellem ère. — S upp léan t : M. A lphonse Busigny.

Villers-Saint-G enest. — M. A ndré Cour- ticF,^ m aire . — S upp léan t * M. M ei^nan Eugene, ad jo in t,

Canton de CreilE lecteurs de droit. — MM. U hry, con­

se ille r généra i; Génie et C arluis, conseil­le rs d ’arrond issem en t. .

A prem ont. —- MM. Léon Baudouin, m a ire ; Louis B ertran d , ad jo in t. — Sup­p lé an t : M. E dm ond B lanchet.

B lam court-les-P récy. — M. Célestin/?£ T S upp léan t : M. L ucien Braque.C hantilly. — MM. S argenton, Joly, Vac-

querel, D eslandes. Vallon, T aup in , Per-vrvir i Lavallée> L efèvre- — S uppléants : MM. L eclercq , Gondelle.

Coye. —- MM. Vaast, m a ire ; K ochinski.— Suppléan t : M. Longa.

C ram oisy. — MM. Claye, m aire ; Ballu- reau Jules. — S upp léan t : M. Duhamel, ad jo in t.

Creil. —- MM. P arm en tie r, ad jo in t ; Dcla- m arre , ad jo in t; P ra t, B éraux, R ivet, Aubé, Lepee, P o itev in , Renouf, F resnoy , Tutin, D ecreus. — S uppléants : MM. Dutilleul, H erot, F 'ontaine.

G ouvieux. — MM. P o td ed in , m aire ; P ach o t Jules, 2° ad jo in t; K ohler Albert, Lavallee Léon, M oreau Georges, Guyou P ie rre . — S uppléan ts : MM. P o tdev in V ic­tor, D ubreu il Et.

Lam orlaye. — MM. de Broglie, m aire ; B raiban t, en tre p re n eu r. — S uppléan t : M. C harlet Auguste, m enu isie r.

M aysel. — M. V ictor G ilant, p ro p rié ­ta ire . — S upp léan t : M. Noël V ictor, p ro ­p r ié ta ire .

Mello. — M. H enri Mellottée, m aire. — S uppléant : M. E d o u ard Midy.

M ontataire. — MM. Léon Copin, ad ­jo in t; L ucien D ugard in , Louis Claise, Jo seph Bal lit, P au l D elargille, Léon Dre- m ière, Raoul H ildeb ranche , Georges H ein rich , Eugène T rib a la t. — Sup­p léan ts : MM. Gustave Poilleux, René Bernay.

Nogent-sur-Oise. — MM. Jules P ierro t, m a ire ; Em ile L arn ie r, M aurice N otaire, H en ri Basset, Léon M aillard, P aul Lemai- re, Benoit D uvernay , Léon Vérez, An­to ine C hapat. — S uppléan ts : MM. H enri Lanoy, Em ile Boquet.

Précy-sur-O ise. — MM. Hjenri-Victor Laveille, m a ire ; A ndré-Louis W ateau, c. m. — S uppléan t : M. Louis C œ urderoy, adjoin t.

Sa in t-L eu-d ’Esserent. — MM. Charles B runëel, H enri Eve. — Suppléan t : M. Ju les Lecoq.

Saint-M axim in. — MM. Letellier, com ­m is des postes; D eregnaucourt, cham ­p ignonn iste . — S upp léan t : M. Ju llia rd , m açon.

Saint-Vaast-les-M ello. — MM. Liégeois Gaston, re n tie r ; Jum el Em ile, e lec tri

------------------------------------- Oc!S upp léan t : M. B ern a rd Chastang.

G illoconrt. — M. Ruelle, m aire . — Sup­p léan t : M. L egrand , c. m.

Glaignes. — M. C lém ent T h ibau t, m aire. — S uppléan t : M. L esueur V ictor, c. m.

M orienval. — MM. L ucien B ria tte , a d ­jo in t; Georges M ichaux, c . m. — Sup­p lé a n t : M. Onésime C ontant, m aire.

N éry. — MM. A lbert R oulon, cu ltiva

mppreantteur. M. V arlet C harles, ’cultiva-

Ormoy-Villers. — M. A natole Cheval- Ernest lr e " — S upp léan t : M. G ossier

fv e g u e m o n t. — M. H enri P éters, culti- vatcur ad jo in t. — S upp léan t : M. Ludo-

: Delayenne, cu ltiva teu r, m aire.Rouville. — M. P ie rre C russen, m aire.

L j !11? 8" 1 : M. E dourad D ebruxelles, re tra ite de la Com pagnie du N ord.r — MM> le com te D oria, m a ire ;Eeon Meignan. — S upp léan t : M. D ufour J>eon, pein tre.

Riissy-Bénmnt. — M. Jean D uvivier, acljôint— ])pléant : M- de C halam bert,

A lh n ^ ineS' “ V MM‘ Louis Gobas, m a ire ;•Ssti&gg*- - s“pp,<ani : m-Sery-Magneval. — M. D uviv ier Paul. —

Suppléant : M. Fel A drien.Jruniilly , — M. E dm ond F erry , m aire.supp léan t : M. A rth u r D ubreu il, cu lti­

vateur, adjoint.Vcannoise. — MM. Léon S an te rre , Eugè­

ne Bonnard. — S upp léan t : M. H orace Saguct.

y anciennes. — MM. de C ornois Louis, m aire; N oiret E d o u ard , ad jo in t. — Sup­p léant : M. Lucien Lecom te.

Pez- 77 M. Eugène T oupet, conseiller.Suppléant : M. Duval, m aire.

Canton de Nanteuilh îccteurs de dro it. — MM. de Iversaint,

conseiller général; P ie rre t, conseiller d arrond issem ent.

Baron. — MM. G ibert, m a ire ; Bocquil- lon. —- S uppléan t : M. C arpen tie r.

B oissy-Fresnou. — M. Bahu, m aire . — S uppléant : M. Monot, ad jo in t.

F resnoy-le-Luat — M. Félix H ervaux.— S upp léan t : M. Gustave R oland.

Borest. — M. Auguste R ayon, conseiller.— S upp léan t : M. A rsène P elle tie r, c.

C hevreville. —■ M. Louis G arn ier, m ai­re- — S uppléan t : M. A ndré Mollot, adjoint.

E rm enonville . — MM. M artin A lbert, Gnllet A ndré. — S upp léan t : M. G uibert Léon.

E ve. — M. Joseph C ham pault, ad jo in t.— S upp léan t : M. Louis S arazin , ag ricu l­teur.

Fontaine-C haâlis. — M. M aurice Car­don S upp léan t : H en ri P a tr ia , ad jo in t.

Lagny-le-Sec. — M. L ucien Boisseau, ag ricu lteu r, ad jo in t. — S upp léan t : M. Gustave D upille, m aire.

M ontagny-Sainte-Félicité. — M. H ippo- lyte F rém in , ad jo in t, ancien ag ricu lteu r.

S uppléant : M. A lfred N iscard , c. m., p ro p rié ta ire .

M ontlognon. — M. M archai, cressicuï- teur. — S uppléan t : M. Louis L écaillon, epicier.

N anteuil-le-H audouin. — MM. E rnest Bacquet, c. m .; H onoré D elacour, c. m. — Suppléant : M. C harles L au ren t, c. m.

f f ô g n e s . — M. R ené G uibert. —- Sup­pléant : M. F élix Lefèvre.

Péroy-les-G om bries. — M. Em ile Lem ai- rc, m aire. — S upp léan t : M. G uillot Gus­tave, cu ltivateur.

Le Plessis-Belleville. — M. H enri La- vaux, m aire. — S uppléan t : M. C hartier, adjoint.

Rozières. — M. M aurice Corbie, ag ri­culteur, m aire. — S uppléan t : M. A lfred Melave, ag ricu lteu r, c. m.

Siily-le-Long. — MM. H enri Moullé, m aire; V aléry Bourgeois, ad jo in t. — S up­pléant : M. Ju lien M épuis, c. m.

Ver. — MM. A lexandre B illia rd , m aire ; E douard M artin, conseiller. — Sup­p léan t : M. H ubert V aillant.

& Versigny. — M. Joseph Bacot. — Sup­pléant : M. L indet Jean , cou rtie r.

Canton de Neuilly-en-Thel'eElecteur de droit. — M. le P rin c e

A lexandre M urât, conseiller d ’arrond ise - ment.

Balagny-sur-Thérain. — MM. Jules De- lisle, m aire; C ham beurlant, ad jo in t. — Suppléant : M. D ailly, p e in tre .

Belle-Eglise. — M. le Comte de Ribes, m aire. - S uppléan t : M. C onstant Garé, cu ltivateur, adjo in t.

Boran. — MM. D upont, m a ire ; Méry A lexandre, c. m. — S upp léan t : M. Léon D rouard , c. m.

t Chambly. -—- MM. Em ile D ecourtray ,cien. — S upp léan t : M. Menuge René, ly° Ur Z ™ ln e ’v q , , .. . [p lé a n t : M. Em ile D élacoür.

im v e r n y . - - M. T heodule M ouhn, mai- I. ^■•■es-les-Mello. — MM. Georges D elan-

M. Menuge René, I Auguste G aûdefroye,' A lbert Daix? - S u ^

M. Camille Goethals,re. — S uppléan t adjoin t.

Villers-Saint-Paul. — MM. P aul Rous­seaux, A rth u r D utilleul. — S uppléan t : M. Clém ent M ancheron.

Villers-sous-Saint-Leu. — M. Mahieux F e rd in an d , m aire. — S upp léan t : M. F leu ry A lfred, c. m.

Canton de Crépy-en-ValoisE lecteurs de dro it. — MM. Paisant,

conseiller général; F ran co lin et Dereure. conseillers d ’arrond issem en t.

A uger-Saint-V incent. — M. Alfred-Sta-A lphonsef6, ~ S uppléan t : M- Legrand

Bâthancourt. — M. P ie rre P etit, maire.; S uppléan t : M. L éonard Legrand,

ad jo in t. 6Béthisy-Saint-M artin . — MM. de Seroux,

D ebaye E douard . — Suppléan t : M. Ha- za rd D ésiré, adjo in t.

|°y . m aire ; B e rtran d de C han térac . — suppléan t : M. A ntoine Cochu.

/ °py-en -T helle . — M. Gadde, m aire. Suppléant : M. D uchatel, ad jo in t.

Uieudonne. — M. M aurice D oliger, cifiK6' »— S uppléan t : M. Eugène Véniel, cultivateur, ad jo in t.r rc,!/s. — MM. H enri M àrtin, T oussain t GeorgeseUX' — S upp léan t : M .. M artin

tnL ° Ulan9 " es- — N- H enri O vert, cu ltiva- T ont m£dr,°- — S upp léan t : M. D ésiré -antez, cu ltiva teu r, ad jo in t.

Xesn(jy-en-T helle . — M. Cousin, m aire. V iÇPleant : M. B arbeaux, adjoin t.

’e M esnil-en-Thelle. — M. Aimé P ape- Ç, a-'> cu ltivateur, m aire. — S uppléan t :

G r* F °u rn ie r , c. m.Morançles. — M. Félix Bigot, in stitu -

p ‘arf en.re tra ite . — Suppléan t : M. M athieu rfe ttin i, em plové aux P. T. T. en

retraite, v

N euilly-en-Thelle . — MM. Lefèvre-T i- burce , m a ire ; C hartier-D uraincy , c. m .; H am elet M aurice, avocat, c. m. — Sup­p lé an t : M. B ardelle H enri, in d u strie l, c. m.

P uisieux-le-H autberger. — M. Jean Doligé. — S upp léan t : M. C harles Dela- haye.

Ully-SainCGjeor^es. — IMM. Aimé L ecom te, m a ire ; W ilfrid D em ouy. — Sup­p lé an t : M. D onatien M inelle, ad jo in t.

^Canton de Pont Sainte-IVlaxenceE lecteurs de dro it. — MM. D ecroze,

conseiller généra l; D elaunay, co n se ille r ' d’arrond issem en t.

Beaurepaire. — M. le M arquis de L uppé m aire . — S upp léan t : Comte A lbert de Luppe.

Brasseuse. — M. P au l Devouge, m aire. — S upp léan t : M. Z ép h y r F rém ont. ad jo in t.

Fleurines. — MM. Auguste C arlier, m a ire ; O liv ier A largent, c. m. — Sup­p lé an t : M. Jocquenelle A lphonse.

P oin tpo in t. — MM. H en ri L andon.m a ire ; A lexandre M ancheron c. m. __S upp léan t : M. L herm itte , ad jo in t.

P ont-Sainte-M axence. — MM. H uré, d ire c te u r re tra i té d ’école; Masse René! d irec teu r d ’u sine ; P o u p art, p ro p rié ta ire .

S uppléan t : L arch e r, e n tre p re n e u r de m açonnerie .

R aray. — M. le Comte de la B édoyère, m aire . —- S upp léan t : M. E m ilien Michel, chef de cu ltu re , ad jo in t.

R huis. — M. E rn e s t Blot, cu ltiva teu r, m aire . S upp léan t : M. H en ri P ersonne, cu ltiva teu r, ad jo in t.

Roberyal. — M. P ie r re D avène de R oberval, m aire. — S upp léan t : M. A .phonse D esenlis, cu ltiva teur.

R u lly . — MM. P au l D elaunay, Léon M archois. — S upp léan t : M. L ouis L au­ren t.

Satnt-V aasl-de-Longm ont. — M. Charles D em ézières. — S upp léan t : M. P o lin René.

Verberie. — MM. Léon Sortais, ban ­q u ie r; E rn e s t A rcelaine, ch ap e lie r; Félix M argue, b rossie r. — S upp léan t : M. Des- p rez , m aire.

Verneuil. — MM. E m ery , m a ire ; Sei-’ c ‘ ni‘ — S upp léan t : M. M oreau A drien.

Vilîeneuve-sur-V erberie. — M. P aul D efacq, m aire. —- S upp léan t : M. A rthur L egrand , ad jo in t.

Canton de SenlisE lecteurs de dro it. — MM. Georgcs-

P ico t, conseiller général; A ndré T ronc in . conseiller d ’arrond issem en t.

A um ont. — M. A ndré-Léon B audrier, anc ien m aire. — S upp léan t : M. H ureau L udovic.

Barber,J. _ m. Léon R oland. — Sup­p léan t : M. B oucher.

Chômant. — M. Cossin, ad jo in t. — Sup­p lé an t : M. G erm ond.

Courteuil. — M. E rn e s t Mussat. — Sup­p léan t : M. D enise René.

La Chapelle-en-Serval. — M. L egrand H onore, ad jo in t. — S upp léan t : M. Des- suilles Eugene.

M ontlévêque. — M. A lfred de P on talba , marne. — S upp léan t : M. M ichel de P o n ­talba, p ro p rié ta ire .

M ontépilloy. — M. Em ile R oland, marne. — S upp léan t : M. A lfred Penon , adjoint.

M ortefontaine. — M. de G ram ont de Guiche, m aire . — S upp léan t : M. B ar­b ie r Em ile, ch a rro n , ad jo in t.

Ognon. — M. Cam ille Leclère, m aire. S uppléan t : M. P aul Pécheux .

Orry-la-Ville. — MM. Savouret, m a ire ; tro u ille , ad jo in t. — S upp léan t : M. Dela- p lane.

P lailly. — MM. Georges Bouchant, Jean Benoist. — S upp léan t : M. H enri Thuil- lier.

P ont arm é. — M. Eugène L ecœ .ir. — Suppleiint : M. R enault Auguste, ad jo in t.

V ineuil-Sa in t-F irm in . — MM. B ern a rd Doum ens, m a ire ; Louis G aillard . — Sup­p léan t : M. Louis Cailleux.

A yilly-Sa in t-L éonard . — MM. Ju lien , ad jo in t; Ganiage M arceau. — S upp léan t :M. Valois.

V illers-Saint-Fram bourg. — M. Zéphi- r in D arras, m aire. — S upp léan t : M. C ham pion E rnest.

T hiers. — M. H en ri M orand, m aire. -— S upp léan t : M. E lie R obquin.

Senlis. —- MM. E scavy, D em oinet, Gazeau, Som m aire, B ardou , R igault, L er°y , L epape, T h irio n . — S uppléan ts : MM. M oquet et C hastaing.

D A N S _ L ’O I S EChambre de Commerce

de Beauvais et de l’OiseVoici le résu lta t com plet du p rem ier tour

de sc ru tin pour le renouvellem ent partie l des m em bres :

In scrits : 6.564. — V otants : 886 Suffrages exprim és; : 884

O nt obtenu :

M M . A lav o in e ............................ 872 voixG u ille m in o t ..................... 870 TL efeb v re -A lb are t 868 »M ailla rd .......................... 863 » |

875 » t 872 »;

M oritz . Noël

B allo ttage.

Les Groupes du SénatS ur la liste é lectorale des groupes

rem ise au P ré s id en t du Sénat, le 30 no­vem bre 1923, en exécu tion de l’a rtic le 19 du règ lem ent nous relevons les nom s de :

MM. D elp ierre et R o land (groupe de l ’U nion R épub licaine) et celu i de 3VL Noël (g roupe de la gauche dém ocratique ra d i­cale et rad icale-socia liste).

POLITICARevue m ensuelle d ’éducation politique,

10, rue C hard in , P a ris (16e).A bonnem ent, un an : 20 francs.Som m aire du num éro de novem breM. Léon B érard . — L’E volution des

M unicipalités. — La R eprésen ta tion in d i­gène en Algérie. — La D icta tu re m ili­ta ire en E spagne. — La nouvelle E urope cen tra le (2e a rtic le ). — C hronique po li­tique. — D ocum ents et tab leaux.

C h asses à courre

Equipage de S. A. R.M. le Prince IVIurat

Chasse du 1er décem bre 1923 F o rê t de lTsle-Adam

Rendez-vous au T rem ble à 11 h. 30.A ttaque un ce rf deuxièm e tête au

P o teau de la T our ; il descend au F euil- la rd , la P o rte Baillet, les P o teaux V icaire, P a rad e , C apita ine, le Poteau de P aris , le I re m b le , P o teau de la Tour, les Bonshom - m es les F o u rs à Chaux, le R ond Bou- cau lt le P o teau de la T our, le P a rc aux S anghers, le P avillon de P aris , la G rille

? ., dam , la G rille des Bonshom m es ou 11 m et les ch iens en défau t dans le change. On sonne la re n trée au chen il à 16 heures.

L aisser co u rre p a r J. Carie.

Equipage du Rallye VallièreChasse du 27 novem bre 1923

R endez-vous à la B araque Chaâlis.A ttuqué dans les ta illes de la C roix

d EnJeux, su r un gros ce rf d ix cors h a rd é ci une b iche, où 1 on découple les ch iens de m eute su r le chem in de M eaux, va sau­te r au Bosquet du P rin c e , m onte à Cham ­b re a V ache où il se sé p are de sa b iche, sau te dans le P a rc du D ésert, va p re n d re l’eau dans l’étang des C rapauds, rem onte a vue des ch iens, ressau te le P a rc du D ésert, va à C ham bre à V ache, se fa it b a ttre et se h a rd e de deux cerfs à tê te, les ch iens s’em ballen t su r un change e t so n t a rrê té s . Le ce rf d ix cors se sépare , il y a un ch ien qui le m a in tien t, va au bo is de Ver. On va a r rê te r le gros des ch ien s qui son t su r une 4e tête. Sept ch ien s m a in tie n n en t le ce rf d ix cors qui rev ien t au P e tit C arrefour, la C roix Neuve, le P o teau de la P la ine , rem on te à C ham bre à V ache, ressau te dans le P a rc du D ésert avec les 7 ch iens, va p re n d re l’eau à l’étang des C rapauds, rem onte . Tous les au tres ch ien s sont ra lliés, le ce rf se re h a rd e avec 5 b iches, se sépare de la h a rd e , les ch iens tom bent en d éfau t; re lan cé à vue des ch iens, ressau te du P a rc du D ésert dans le m ilieu des ch iens, se re h a rd e à nouveau de 3 b iches ; les chions ne veu len t p as chasse r dans la h a rd e , ils m etten t bas e t on sonne la re n ­trée ap rès 3 heures de chasse. L’E qu ipage é tan t com posé de tous jeunes ch iens en p artie , au ra bien du m al à p re n d re cette saison-ci. Les p lu s v ieux ch iens ont 3 ans, les au tres ont de 15 à 20 mois.

L aisser co u rre p a r Belâbre.

Chasse du 1er décem bre 1923R endez-vous au P o teau des V ignettes.A ttaqué à 3 heu res su r un ce rf 3e tête

h a rd é de tro is b iches, p rè s de la T able de C hantilly où l ’on découple les ch iens de m eute su r la rou te hersée d ’Avilly, passe la rou te des B ruyères, se fa it b a ttre en tre les B ruyères et la rou te des V ignet­tes, saute à vue des ch iens la rou te des V ignettes, fa it le to u r de la Table, va au M ahieu V ilain, se fa it b a ttre ; les ch iens s em ballen t sur un daguet e t 5 b iches. Le ce rf passe à l’A breuvoir avec un ch ien . A ussitôt les ch iens son t a rrê té s et rem is à la voie de le u r ce rf qui va jusque la ligne du chem in de fer, p rès du P o n t Aullos, un tra in passe, l’em pêche de sau­te r la ligne du chem in de fer, fa it un re to u r au P e tit Couvert, rev ien t au M ahieu V ilain, longe les E tangs et va p asse r à Comelle, m onte aux G randes Ventes, passe au P o teau des G randes V entes et va p re n d re l’eau à l ’étang de l’Islette où on lu i sonne le ba t l’eau ; il y a te llem ent de b ro u illa rd qu ’il est im possib le de le v o ir p o u r le se rv ir. On sonne la re tra ite de g râce ap rès 1 heu re 30 de chasse.

L aisser co u rre p a r C ottard .

Equipage d’HalatteChasse du 24 no vem b re 1923

R endez-vous au P o teau S ain t-P riest.A ttaqué ta rd iv em en t une h ard e d ’a n i­

m aux dans les ta illes d ’Aum ont, qui se fon t b a ttre , sau ten t la rou te de Creil, von t au bois de la V idam ée où un ce rf 4° tète se sépare, ressau te la rou te de Creil et d ’A um ont où l’on donne les ch iens de m eute ; trav e rse le T om bray , sau te la rou te de F lan d re , le c a rre fo u r B ertran d , débuche dans la p la in e de S ain t-C hristophe, rem buche au Gerfouil- le t où les ch iens s ’em ballen t su r 6 cerfs, on a r r ê te ; rem is à la voie les ch iens se rem b a llen t aussitô t su r 3 b iches. A rrêté et re lancé , trav e rse la Chaussée P o n tp o in t, la C roix Saint-R ieul, M algenest, sau te la ro u te de Com piègne, se fa it b a ttre dans les bois d ’Ognon, ressau te la rou te de C om piègne, le bois M arlot, trav e rse Mal­genest, gagne la rou te de F lan d re , le lo m b ra y , son encein te d ’attaque où les ch iens tom ben t en défaut. R elancé à vue des ch iens débuche dans les B oquetaux d ’A um ont, fa it un re to u r, rev ien t à son encein te d ’attaque et se h ard e . S éparé, co n tin u e une chasse to u rn an te et de nou­veau h ard é , on sonne la ren trée au chen il ap rès 3 heures de chasse.

Chasse du 28 n ovem bre 1923R e n d e z - v o u s a u P o te a u S a in t - P r ie s t .A ttaqué su r une h ard e d ’an im aux au

P lan t des Dam es, qui sau ten t la Chaussée P on tp o in t, la Tète des F illes, la Cavée N oire, un daguet se sép are ; saute le vieux chem in de Pont-Sainte-M axence où les ch iens de m eute sont découplés. Saute la rou te de F lan d re , le C arrefour de la Mare au x O iseaux, la Croix des V eneurs, t r a ­verse les Bâtis et les Bouleaux, le P oteau de F leurines, la rou te du Mas, le C arre­fou r d ’A utheuil, la Belle Croix, sau te la rou te de TA rbre à Fougère, trav e rse le Mont Alfa, la Croix de la L ivrée, va au Bois F ran c , saute la rou te de Creil, le P la teau de M alassise, le C arre fou r Condé traverse la H aute P om m eraie, saute là rou te de la Maison N oire, débuche dans la p la ine de Creil, v ien t à la B riqueterie m et les ch iens en défaut. R elancé dans les ja rd in s de Creil où il fait hallali co u ran t il est serv i dans le cou lo ir d ’une m aison ap rès 2 heures de chasse très vite.

Les ho n n eu rs à Mme P o tin . < -■

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. r ,— 17 -1 -

A traversConseil Municipal

Le Consejl m u n ic ip a l se ré u n ira le m ard i 11 décem bre, à 20 heu res 30, à l’Hôtel de Ville, p o u r dé lib érer su r l’o rd re du jo u r su iv an t :

1° A chat et em ploi de dom m ages de guerre.

2° Vente de la p ro p rié té F enw ick .3“ A bandon p a r la Ville d ’un te rra in à

l ’E ta t p o u r la co n stru c tio n d ’un hôtel des postes.

4° Q uestions diverses.

Electionsau Tribunal de C om m erce

S c r u tin du 2 D écem bre 1 9 2 3 In sc rits : 1.715. — V otants : 170

P ré s id e n t : M. L epape, 169 voix.J u g ç titu la ire : M . D riv ière, 169 voix.Ju g e supp léan t p o u r d eu x ans : M.

M oquet, 170 voix.J u g e supp léan t p o u r un an : M . C am us,

170 voix.A ucun des cand ida ts n ’ay an t obtenu un

nom bre de suffrages égal au q u a rt des élec­teurs inscrits , il se ra procédé à un second tour de sc ru tin le d im anche 16 décem bre courant.

'♦ 'Election au Tribunal de Commerce

de SenlisS cru tin die ballottage d u li6 d écem bre 1923

C hères E lectrices,Chers E lecteu rs,

Le résu lta t négatif du vote du 2 décem ­bre nécessite un second to u r de sc ru tin qui au ra lieu à la m airie de chaque chef- îieu de can ton , le d im anche 16 décem bre 1923.

Nous vous rem erc io n s s in c è rem en t des suffrages que vous nous avez acco rdés le d im anche 2 décem bre.

Perm ettez-nous d ’esp ére r que vous vou­drez b ien nous les ren o u v e ler au sc ru tin de ballottage.

Nous rép o n d ro n s à vo tre tém oignage de sym path ie p a r n o tre dévouem ent le p lus absolu à la m ission que vous nous confierez et nos efforts te n d ro n t à ju s ti­fier la confiance d o n t vous nous hono re­rez.

Veuillez ag réer, MM., l’assu ran ce de nos sen tim ents dévoués.

L. LEPA PE, G. DRIVIERE,P. MOQUET, G. CAMUSN. B. — Des bu lle tins de vote seron t

déposés à la M airie de chaque chef-lieu de can ton .

m éconnaît et la richesse de tim bre et son adap ta tion à un cad re relig ieux . Je cro is ne pas dépasser la pensée des aud iteu rs de ce solo en d isan t qu ’il fut d ’une p u re té p a rfa ite et d ’une in te rp ré ta tio n idéale . Je ne sais si nous devons, le p lus fé lic ite r M. Devém y de son exécution ou le rem e rc ie r du choix jud ic ieux qu ’il a su fa ire de son solo, et, îles sons bouchés qui te rm in en t cette page nous sem blaien t v en ir d ’un in stru m en t céleste rép o n d a n t ad m irab le ­m ent et d iv inem en t à l ’exposé de la phrase . Nous devons rem e rc ie r ce g ran d a rtis te qui, so it dans ce solo, soit dans le Punis Angelicus, a su ra llie r su r son ta len t " u n a n i m i t é des sa t is fac t ion s .

M. T in e l s ’e s t p a r f a i t e m e n t a c q u it t é (le sa tâ c h e d ’a c c o m p a g n a te u r ; sa d isc ré tio n fut rée llem ent adm irab le , ses

La Sainte-Cécile dela Musique Municipale

A la CathédraleD im anche d ern ie r, la M usique m u n ic i­

pale, d irigée p a r un chef don t on a pu ad m ire r le ta len t et l'in te lligence , M Mouche, a fêté com m e il sied Sainte- Uéeile, la p a tro n n e des M usiciens.

D’em blée, n o tre phalange au passé si b r illa n t, a re p r is p o u r la seconde fois sa tra d itio n com m e aux jou rs d ’avan t-guerre déjà si lo in ta ins .

A 10 heu res, les m em bres exécu tan ts a lla ien t ch e rc h e r la v ieille b an n iè re de l'an c ien n e Société m usicale, tou jours g a r­n ie d ’une abondan te fro n d a iso n de palm es, de couronnes et de m édailles, tém oins du labeu r et des succès d ’au tre ­fois, sous la d irec tio n du reg re tté m a ître S ignard , et ils se ren d a ien t dans no tre v ieille ca th éd ra le b rillam m en t illum inée à l’é lec tric ité , où ils devaien t se fa ire en tend re au cours de la g ra n d ’m esse et où .se p re ssa it déjà une nom breuse assis­tance , p a rm i laquelle la M unicipalité , un ce rta in nom bre de conseillers m u n ic i­paux , beaucoup de m em bres h o n o ra ires et am is de la m usique.

Mgr D ourlen t, a rc h ip rè tre , p ré s id a it ht cérém onie , assisté de M. le chano ine Cqnen, su p é rieu r de l’In s titu tio n Saint- V incent et de MM. les V icaires de la paro isse.

Ua récen te tran sfo rm atio n de l’an ­cienne fan fare en harm onie , nous la issa it un peu perp lexes q u an t au résu lta t obtenu. D isons tout de suite quo dès l’exè- cu tion du p re m ie r m orceau qui é ta it la M arche du C ouronnem ent, de C harpen ­tie r, nos c ra in tes se d iss ip è ren t et que son exécution soignée nous g a ran tissa it un p rog ram m e m is au p o in t avec goût et juste m esure.

Les thèm es en é ta ien t c la irem en t expo­sés et leu r jux taposition n ’éta it nu llem ent déséqu ilib rée, il es t v ra i que ce tte m arche est écrite p rin c ip a le m en t p o u r les cu ivres et nous savons que ceux qui com posent no tre m usique m u n ic ip a le sont b ien en tra în és et capab les de te n ir un p ro ­g ram m e chargé. A no te r le passage du C ouronnem ent dont la m ajesté des cu i­vres et la sono rité im peccab le de M. Devém y, ont m is en re lie f tou t le solennel.

Que d ire de la V oix des Cloches, cette page toute descrip tive de L uig in l, dont l’o rch estra tio n p o u r harm on ie de M. P arés, anc ien chef de m usique de la G arde R épublicaine , m et en re lief des tim b res «I des sonorités rich es et savam m ent com ­binés. Il nous est agréable de consta te r com bien le peu d ’in stru m en ts d ’harm onie ac tue llem en t su r les rangs ap p o rte n t un cachet tou t nouveau à ce que nous étions hab itués d ’en tend re , et ce n ’est pas tro p d ire que de p ro c lam er hau tem en t que les jeunes espo irs de l’H arm onie o n t déjà su iv i les trac es de leu rs aînés, je n ’en veux p o u r p reuve que le soin ap p o rté à l’exécution du solo de hau tbo is p a r un in stru m en tis te de 7 m ois. Certes, il y a à trav a ille r , m ais tous les espo irs sont p e r ­m is ap rès une innovation- de cette sorte. La légère ap p réh en sio n qui s’é ta it em pa­rée . légitim em ent, des exécu tan ts p en d an t la p rem ière p a rtie de ce m orceau , fu t vite d issipée ap rès l ’ép in eu x solo do n t je p a rla is an té rieu rem en t e t c ’est en p le ine possession de leu rs m oyens que le cnef et exécu tan ts te rm in è ren t ce m orceau.

Le D ernier S o m m eil de la Vierge, m o r­ceau peu t-ê tre tro p délica t encore pou r no tre H arm onie, n ’eu fu t pas m oins, au p o in t de vue p u rem e n t sym phonique, la p lus belle page du p rog ram m e et son in te rp ré ta tio n fut ce qu ’elle devait être , un peu m aigre, m ais b ien nuancée et chan tée avec âm e. C’est tou t ce qu ’il nous fallait.

.l’on (l ira i autan! (le 1 ' A dagietto de l 'A r té s ie n n e , qu i r é d u i t e à un s im p le quatuo r à hanches, m é rite ra une nouvelle in te rp ré ta tio n dès que no tre Société locale au ra acquis le nom bre avec la valeur, m ais n ’en désirons pas tro p e+ ayons la patience qui sied à tou te p e r­sonne sachan t se re n d re com pte des diffi­cultés à v a in cre p o u r a rr iv e r à un résu ltat.

La M arche d ’A tha lie te rm in a it cette exécution et l’œ uvre im m ortelle de Men- dMssohn se devait de figurer à ce p ro ­gram m e.

J ’ai gardé p o u r te rm in e r ce com pte rendu , les im pressions p ro fondes que j ’ai ressen ties en écou tan t M. Dcvéray, cor solo de la m usique de la G arde R épubli­caine , qui avait bien voulu rép o n d re à l’inv ita tion de n o tre Chef de M usique. Il m ’est difficile d ’ex p rim er ma pensée, tan t je c ra in d ra is qu ’elle trah isse la vérité . Le c a r est un in stru m en t que l’on en tend j'a rem en t dans une église et don t on

douze m ois, tu çm to u ch ero n t Mx dp nJus d ’a rrié rés . Je me ré jo u is d ’au tan t plus dé ces résu lta ts , que je n ’avais jam ais douté du succès ».

E t M. le M aire, au m ilieu de la plus vive a tten tion des convives, a continué en fai­san t m ouvoir dans une sp iritue lle et déli­cieuse allégorie, deux fiancés, en l’espèce la M usique et la Ville de Senlis, qui après quelques difficultés b ien vite aplanies, é ta ien t cep en d an t parvenues à s’un ir pour le b ien de tous, la confiance étan t réci­p roque l’un p o u r l’au tre .

M. E scavy a fé lic ité ensuite la Société m usicale d ’avo ir créé les cours pour for­m er des ex écu tan ts et d ’avoir ainsi com pris qu’il fa lla it fa ire œ uvre morale et œ uvre éd u ca trice en m êm e tem ps, en in cu lq u an t à ces jeunes gens la discipline et* le devo ir p o u r en fa ire d ’excellents m usiciens et de bons citoyens.

En te rm in an t, M. le M aire a levé son

Uectiùft de* Délégués SénatoriauxLe Conseil m un ic ipa l s’est réu n i d im an .

che d ern ie r, à 14 heures, à l’H ôtel de Ville, pou r p ro cé d e r à l’élection des délé­gués titu la ires et supp léan ts, en vue des élections sénato ria les du 6 ja n v ie r p ro ­chain.

Ont été élus com m e titu la ire s : MM. E sc a v y p a r 18 voix; Gazeau et Som m aire „ar chacun 17 voix; D em oinet et B ardou par 16 voix; Lepape p a r 15 voix ; R igault par 14 voix; Leroy p a r 12 vo ix ; T h irion par lü voix. V enaient ensu ite , MM. Mo- ouet et C hastaing chacun 8 vo ix ; Ju lien , 4 voix; T u rque t e t L ouât chacun 3 voix.

Ont été élus com m e supp léan ts : MM. Moquet p a r 16 voix et C hasta ing p a r 14 voix. ^

A la Recette des FinancesP ar a rrê té du D irec teu r de la Com pta-

AVISLes personnes ap p a rte n a n t à la relig ion

p ro testan te , sont in form ées que le p ro ­chain culte au ra lieu d im anche 9 cou­ran t, à 13 heures 30, 8 , rue de N anteu il, sous la p résid en ce de M. le P as teu r Ver- n ie r, de Beauvais.

verre aux m e m b re s h o n o ra ires qui repré-îl 1 ï aIT?, D ir e c te u r u e la uom pta-c - . * ’ - •,SçrtuRé p u b l iq u e , en d a te du 2a n o v e m b re

aônservéS vS23, M. B ro u ss ig n ac , é ta n t l ib é ré d u ser-

attend ions pas m oins de son ta len t.Le c h œ u r des dam es fut en tous po in ts

p a rfa it et, très nettem en t, h a rp is te , cor, voix et accom pagnem ent savaien t se fa ire en ten d re com m e il convenait, fa it assez ra re dans un ensem ble aussi délicat, et nous ad ressons à tous, nos com plim ents sincères et m érités.

Mgr D ourlen t, un g ran d am i de la m usi­que, a p ro n o n cé à l’Evangile, une tou­chan te allocution au cours de laquelle il fé lic ita it l’excellente société d 'av o ir b ien voulu co n tin u er les trad itio n s du passé et ven ir com m e avant-guerre cé léb re r dans no tre v ieille ca th éd ra le , la Sainte-Cécile.

La quête a été faite p a r Mme Gazeau et Mlle Boyenval.

A près la Messe, M. le M aire de Senlis, p rés id e n t de la M usique, a réu n i chez lui dans l’in tim ité les m usiciens, qui ont été pho tog raph iés en groupe, afin que le sou­ven ir de cette Sainte-C écile puisse res te r v ivan t au dossier de la Société.

Le ConcertA 15 heures, les am ateurs et am is de la

M usique qui ne c ra ig n è re n t pas de b rav e r la tem p éra tu re p o u r se ren d re à Saint- P ie rre , eu ren t le régal d ’un beau concert et ne m énagèren t pas leu rs app laud isse­m ents.

A u x p r e m ie r s r a n g s Ue l 'a s s i s t a n c e , MM. Escavy, m aire, Gazeau, ad jo in t (M. De­m oinet é tan t retenu à la M airie), p lu sieu rs C onseillers m unic ipaux , MM. Bonam y, T arcy , C hrétien , m em bres du Conseil d ’ad m in is tra tio n de la M usique m u n ic i­pale.

A près l’exécution de Carhaix, pas redoublé , l’au d ito ire a ap p lau d i très lon­guem ent la fan ta isie su r M ignon, qui avait été redem andée, M. Boyenval dans sa p a rtie de bugle solo a recueiLli une grande p a r t des app laud issem ents. E t ce fut justice.

La valse Brise il'A m our é tait à peine enlevée, que M. le M aire m on ta it su r l’es­tra d e et p ro cé d a it à la lec tu re d u palm a­rès des p r ix et dip lôm es décernés aux élèves ay an t subi avec succès l ’exam en de solfège de p rem ière année :

l"r p r ix , o ffert p a r un anc ien m usicien , en souven ir de M. S ignard , anc ien chef de la Société m usica le , a été rem is p a r M. B onam y à R oland Boyenval, fils du dévoué p ro fe sseu r de l’école de la Musi­que m unic ipa le .

2“ p r ix , offert p a r la Section de l’Union N ationale des C om battants, à P ie rre Bon.

3° p r ix , offert p a r le S port Vélocipé- d ique Scnlisien, à A ndré B oucher.

4e p r ix , offert p a r M. T arcy , à A ndré M ercier.

5“ p r ix , offert p a r M. T arcy , à Jacques Neveu.

A c c e s s i t s : P u s d e lo u p A n d r é , R o s ie r F ran c is , Léger A ndré, C a rp en tie r René, D cperro is R obert, L egrand R ené, Violet R obert, Violet Roger, D héry Jean , P a r ­me n tic r.

Il é ta it 16 heures 1 /4 quand n o tre m usique a ttaq u a it la M arche Sen lisienne, dont l’au teu r est M. M ouche. B rillam m ent enlevée, longuem ent app laud ie , bissée p a r l’assistance, la M arche Sen lisienne é ta it jouée une seconde fois et de nouveau l’objet de bravos répétés.

U ne cha leu reuse ovation é ta it faite â l’au teu r de ce m orceau, doublé d ’un chef d istingué, dévoué et aim é.

R em ercions n o tre chef d ’avo ir réservé aux Senlisiens la p rim e u r de ce tte œ uvre ch arm an te et délica te qu’il a b ien voulu éc rire dans les très ra re s m om ents de libe rté que lu i la issen t ses accab lan tes o cupations p ro fessionnelles.

Le BanquetUne Sainte-C écile sans un banquet

n ’au ra it pas de ra ison d ’être . La cu isine de l ’excellen t H ôtel du G rand Cerf ne pouvait que ren fo rc e r ce tte trad itio n en m êm e tem ps que con firm er une rép u ta tio n justem en t connue. Ce fut un régal et l’ac­c o rd p arfa it, su r ce po in t, se réso lu t dans la louange unan im e des convives.

T out cela a idan t, e t la ca m a ra d erie si s incère en tre tous les m usic iens s’y ajou­tan t encore, ont fait du banque t de d im an ­che un des p lus réussis ju squ ’alors.

Le m enu éta it a insi com posé :Potage Crème Velours

Suprême de Barbue Valoisc Centre-Filet à la Duchesse

Haricots Verts au Beurre cl’Tsigny Poularde de Bresse rôtie à la Broche

Salade de. Saison Poires Bourdaloue

FruitsVins de Touraine Blanc et Rouge

Café-Fine Grand Grémant Frappé

M. L ouis Escavy, m aire, p rés id a it, ay an t à sa d ro ite MM. M ouche, Gazeau, Demoinet,- cap ita in e M ahieux; à sa gau­che, MM. A lexandre Bonam y, A ndré P ai- sant, T arcy . Aux au tres tables, MM. Ju les Violet, R ousseau, B ardou, Jacques T inel, P ie rre Moquet, P au l Bonam y, B rille, Mor- cre tte , C hrétien , FiRpon, Louis R igault, P ie rra rd , M arin p ère , S chneider, Mezail- 1-es, Fauvet, Gabanclle, D ufresne, C héron, H onoré V arlet, R osier, Bon père , Del- vienne, L egrand , Boulet, Boudeville et Boyenval, p ro fesseurs, les m em bres exé­cu tan ts, etc., etc.

La p resse locale ava it été aim ablem ent conviée à ce banquet, la Gazette de l’Oise, le Valois et le C ourrier de l’Oise.

Au dessert, M. le M aire, p ré s id e n t de la Musique m unic ipa le , a tou t d ’ab o rd p ré ­senté les excuses et les reg re ts de M. le Sous-Préfet, de M. A ndré T ro n c in , conseiller d ’arro n d issem en t, de M. T u r­quet de la B oisserie, en deuil, de M. Jules A ndré, géom ètre, re tenu p a r une in d isp o ­sition , pu is a ex p rim é en quelques paro lesso n g ia n d p la i s i r d’être a u m ilieu des m u s ic i e n s de S e n f is . C’est u n devoir, déclare M. Escavy, de d ire i c i toute la g ra titu d e et le p ro fond attachem en t que ia M unicipalité et le Conseil m u n ic ip a l tout en tie r ressen ten t p o u r vo tre excel­lente société. Les m agnifiques résu lta ts obtenus son t dus à la co llabo ration in ti­me et féconde du C onseil et de la M usi­que. T out l’h o n n eu r de ces b rilla n ts résu l­tats rev ien t aux efforts, au trava il, à la ténac ité des exécutan ts sous l’im pulsion d’un ch e f ém inent et aim é. V otre tâche, a ajouté M. le M aire, a été fac ilitée p a r la v ieille garde des m em bres h o n o ra ires et p a r la g rande sym path ie que vous in sp i­rez à l’Assemblée com m unale, qui n ’a jam ais, à vo tre égard , exprim é qu ’un regret, c ’est de ne pouvo ir fa ire plus qu’elle ne fait. D ans quelques .jours, nous au rons le p la is ir de m an d a te r les a lloca­tions servies p a r la Ville aux six plus anciens m usiciens, ils n ’au ro n t rien perdu p o u r a ttend re , p u isq u ’au lieu de to u c h er

sen ten t le passé glorieux de cette .?*•-’qui, en d e v e n a n t m u n ic ip a le , a cOnscfsa libe rté et son ind ép en d an ce , à la m ém oire de M. S ignard , anc ien chef de la F an fare , à M. M ouche, chef de la Musi­que, qui a su rap id e m en t acq u érir toutes les sym path ies des m usiciens et de la Ville de Senlis et a llie r ces deux qualités ; la sévérité et la douceur. A ces deux qua­lités, on reco n n a ît l ’âm e d ’un chef. C’est à lui, ajoute M. le M aire, que nous devons lés résu lta ts obtenus, nous sommes heu­reux de lu i exp rim er, ainsi qu’à ses dévoués co llaborateurs, MAI. Boulet, Bou­deville et Boyenval, n o tre plus vive reconnaissance .

Je suis h eu reux aussi de lever mon verre à celui qui a été le g ran d artisan de­là M usique, m on -excellent am i Gazeau,(Longs applaudissem ents).

Vous savez tous, a ajouté M. le Maire, avec quel dévouem ent, avec quel zèle, n ’écou tan t que son am our pou r la Musi­que e t la Ville, il a été un père pour vous, ne m énageant ni son tem ps, ni sa peine p o u r ê tre constam m ent avec vous aux rép é titio n s com m e aux exécutions. Il a voulu que la Musique m unic ipa le soit une Société m odèle et ses efforts ont été couronnés de succès.

M. le M aire a égalem ent levé son verre à ses collègues de la M unicipalité et du Conseil m un ic ipa l qui ont toujours tém oi­gné leurs sym path ies à la Musique, à la P resse locale, aux m usiciens, à leurs fam illes e t à la p ro sp é rité de la Musique m unicipale.

-Ce to a s t a été dhale i î reny enjen tap p la u d i .

Le sym path ique V ice-P résiden t a p ro­noncé ensu ite les paro les su ivan tes :

« M onsieur -le M aire, Messieurs,« J ’ai conservé p o u r m a p a r t la tâche

ingrate , cette qui consiste à fa ire absor­ber des chiffres à des gens qui viennent de b ien d în e r, je m ’en excuse aussitôt, m ais il est cep en d an t des chiffres qui conserven t le u r éloquence, aussi vous dem andera is-je la p erm ission de passer rap id e m en t en revue les faits qui con­ce rn en t n o tre M usique m unic ipa le depuis le 14 ju ille t 1922, date de sa résu rrec­tion , ju squ ’à ce jour.

« Tout d ’abord les E xécutants : 19 au début, p u is 22, les voici actuellem ent 29; ils se ro n t 35 au cours de l’année 1924 et je l ’espère p rès de 50 à la Sainte-Cécile 1925.

« Les E lèves : 30 in sc rits le 1er octobre 1922; 16 adm is à l’exam en de solfège de p rem ière année et qu i su ivent actuelle­m ent les cours de seconde année; 23 nouveaux in sc rits le 15 octobre 1923. Au to ta l 50 élèves res ta n t à ce jour dans les d ivers Cours.

« C oncerts P ublics : 10. — Défilés : 4, « A ud itions au cours de cérémonies

religieuses : 3.« Fêtes Sportives et cérém onies d iver­

ses : 8 .« Sortie ex térieure • avec concert

pub lic : 1 .« R é p e r to i r e : P lu s de ÎOO .

exécutés avec en ou tre 4 trè s belles audi­tions d ’Ajrtistes de la G arde Républi­caine .

« M em bres H onoraires : A la Sainte- Cécile 1922, 202 et à ce jour, 311.

« J ’ai te rm iné, M essieurs, cette énum é­ra tio n qui, vous le voyez, n ’a pas été très longue, m ais il m ’a p a ru ind ispensab le de la fa ire co n n a ître aux M embres H onorai­res e t aux R eprésen tan ts de la Presse qui ont b ien voulu nous fa ire l’honn-cur d ’as­s is ter à ce banquet.

« 11 est bon que chacun sache, recon ­naisse et répè te l’effort fou rn i du haut en bas de l’échelle, ju squ ’à ce jour.

« M. le M aire a loué tou t à l’heure com m e il convenait le Chef, les P rofes­seurs, les M usiciens et les Elèves, je ne pu is que m ’associer avec joie à ses p a ro ­les élogieuses, ca r assistan t fidèlem ent aux répé titions, j ’ap p réc ie m ieux que p e r­sonne la som m e de trav a il, de volonté et de dévouem ent dépensés p a r chacun dans la c irconstance .

« M. le P ré s id en t : vous avez toutefois com m is un oubli que je veux réparer, ca r vous avez négligé de p a r le r du rôle p e r­sonnel de M. le M aire de Senlis à la M usique. Je se ra i dons l’in te rp rè te des M usiciens en vous rem e rc ia n t de la solli­c itude que vous ne cessez de témoigner à leu r Société.

« Je lève m on v erre à vo tre santé et à la p ro sp é rité de l’H arm onie m unicipale de Senlis. » ™ .

Un to n n e rre de bravos a accueilli ldfc paro les de M. Gazeau et aussitôt, su r la p ro p o sitio n de M. le M aire, un ban a été battu en l’h o n n eu r des tro is dévoués p ro ­fesseurs : MM. Boulet, Boyenval et Bou-j deville.

P u is, M. H onoré V arlet, un ancien de la F an fa re , s’é tan t ap p ro ch é de la table d ’ho n n eu r, d it excellem m ent le sonnet su ivan t de sa com position :

L’an dernier, cher Monsieur Mouche, .T’avais parlé (le succès Que vous eûtes, en excès,Et que prédisait ma bouche.

Singeant la Sainte-Nitouehe,Je ne m’étends pas sur ces Compliments, car, je le sais,Bien peu le flatteur vous touche ;

vice m ilita ire , est ré in tég ré à la R ecette des finances de Senlis, en qualité de com m is-stagiaire, à com pter du 1" décem ­bre 1923.

Bal de Saint-EloiM. L egrand , négocian t en qu incaillerie ,

tré so rie r de la Société de Saint-E loi, a fait rem ettre à la M airie p o u r la Caisse des Ecoles, une som m e de 65 francs, p ro d u it du bal donné sam edi d e rn ie r p a r cette Société.

Tous sos rem erc iem en ts aux généreux donateurs qui on t eu cette bonne pensée.

Théâtre MunicipalT ournée Ch. B A R E T

T A B O Ü O H E(Priv ilège exclusif)

Le m e rc re d i 12 d é c e r n a i , les T ournées BARET v ien d ro n t d o n n er une rep rése n ­ta tion de 2’A BOUCHE ! l ’o p ère tte si célèbre.

Le g ran d im p résa rio C. B aret ne p o u ­vait m anquer de p ré se n te r à ses hab itués une œ uvre qui tien t une p lace énorm e d an s l’h is to ire de la m usique légère; les re fra in s sont dans toutes les bouches, et le quatuo r du deuxièm e acte est classique.

Nul doute que cette p ièce joyeuse dont p lus de sep t cen ts rep résen ta tio n s à P aris n ’ont pas épuisé la ca rr iè re ne trouve ic i le m êm e g ran d succès que dans les au tres villes.

La Sainte BarbeC’est ce soir, que no tre excellente C om ­

pagnie des S apeurs-P om piers cé léb re ra la fête de Sainte-B arbe, en un banquet qui au ra lieu à sept heures, sous la p ré s i­dence de M. Gâté, sous-préfet, dans les salons de l’Hôtel Henri-IV .

Ce banquet sera suiv i d ’un bal dont la renom m ée est b ien connue dans no tre ville.

Après le d îne r, une récep tion au ra lieu à la salle d ’h o n n eu r de la C om pagnie, au Magasin des Pom pes.

M

Souscription pour les S in istrés du JaponX-istes p récéden tes.................. G37 30

L o u â t.............................................. 10

T o ta l.......................... 647 30Les h ab itan ts sont inform és que la sous­

cription se ra close sam edi p rochain 8 co u ­rant inc lus. A vis à ceux qu i dés iren t y prendre part.

Club Sportif SenlisienR ésultats des m atches du d im anche 2

décem bre 1923.U~ S. C hantilly (1) bat C. S.

par 3 à 0U. S. C hantilly (2) ba t C. S.

par 8 à 1 .C S. Senlis (3) b a t U. S. C hantilly (3)

pa r fo rfait.

Senlis (1)

Senlis (2)

Pour remédier à la vie chèreP en d an t la nu it, des inconnus on t péné

tré dans le ja rd in de M. F e rn a n d Drou- lin, m écan ic ien , rue des Ja rd in ie rs et dans celu i contigu de sa belle-sœ ur, Mme T héro ine.

Ils ont fa it une râfle assez im portan te , chez le p rem ier, de 5 gros lap in s roux,1 b lanc, 8 poules, 2 coqs, chez Mme T h é­ro ine, ils ont em porté 3 gros lap ins.

C’est un p ré ju d ice d ’au m oins 350 fr. pour lequel p la in te a été po rtée à la gen­darm erie .

3VI. F \ O F L A IN T IE J F LCHIRURGIEN-DENTISTE

diplômé de la Faculté de Médecine de Parisreço it dans son C abinet,

S 3 , ru e d e la R épublique, à S en lis, les L u n d i, M ardi, J e u d i et V endred i,

de 9 h. à 18 h.PRI X MODÉRÉS

E xtraction avec anesthésie , 8 f r .D entier com plet à partir de 3 5 0 f r .

r é p a r a t io n s d a n s l a jo u r n é e258

Théâtre Municipal CinémaP rogram m e des 8 et 9 décem bre 1923 Sam edi, so irée à 8 heures 30.D im anche, m atinée à 2 heu res 30. —

Soirée à 8 h eu res 30.AVEC L E S LOUPS, g ran d d ram e en

5 p a rtie s , in te rp ré té p a r Irèn e R ick et Lée Schum w ay et le chien Vivax.

VIND ICTA, 2’ p é r io d e : l ’in t r u s ,L e R êve de T itine , com édie com ique en

2 actes.La Salle se ra b ien chauffée.

de

Mais je vous le dis ici,A vos moniteurs aussi,Car ils sont trois à la peine :

Ce qu’on a le plus goûtéC’est —. et le devoir l ’entraîne —La patiente bonté.

Honoré VARLET.Senlis, 2 décembre 1923.

Les in strum en ts ayan t assez sonné dans la jou rnée , le p e tit co n cert pou r c lô tu re r le banquet a été pu rem en t vocal. Les ch an teu rs et m onôloguistes ont obtenu un g rand succès, citons p a rm i les applau­dis M. le député P a isan t, les jeunes Rosier, Boucher, R oland Boyenval, Bon, Neveu Jacques, MM. Boulanger, Neveu, Henri

Fête 'annuelle de la Société Secours Mutuel

de Saint-François-XavierLa Société de secours-m utuels étab lie à

Senlis, sous le nom de S ain t-F ranço is- Xavier, a célébré d im anche d ern ie r, à la ca théd ra le , sa fête annuelle .

A 6 heures, en p résence d ’une très nom ­breuse assistance, M. l ’abbé P o irson , p ro ­fesseur de ré th o riq u e au sém ina ire de Beauvais, a p ro n o n cé une éloquente allo-

-eution su r le rô le de l’ap ô tre dans toutes les c lasses sociales.

Un salu t solennel a clô tu ré cette cé ré ­m onie.

Office départemental des Pupilles de la Nation

Section Cantonale de Sen lis. R éunion du bureau de la Section Can­tonale, le jeudi 13 décem bre, à 3 heures, M airie de Senlis (Salle de la Ju stice de P aix).

Banque de FranceNous ap p ren o n s avec p la is ir que M.

Roche, chef du bu reau aux ilia ire à Sen- lis, est nom m é d irec teu r de la succursale de no tre ville.

Comité de l’Arrondissement de Senlis

<t Pour supprimer ce Crime la Guerre »

G rande C onférence à l’H ôtel H enri-IV , p lace Henri-IV , à Senlis.

M” H enri-D em ont, avocat à la Cour d ’Appel de P aris , p rés id en t-fo n d a teu r de l’A ssociation U niverselle P our supprim er ce crim e ; LA GUERRE, fera une Confé­rence à l’Hôtel H enri-IV , à Senlis, le d im anche 9 décem bre 1923, à 2 heures 30.

Il tra ite ra ce sujet : Supp rim o n s les Guerres.

N’oublions pas que chacun de nous a son ex istence, celle de ses en fan ts, de sa femm e, de son m ari et de sa fam ille in ti­m em ent attachée à la supp ression de ces

tout spécia lem en t invitées. _____— -------------- ♦ -

Violet, Louis V iolet, D elvienne, L ux isgJ meincn P ie r r a r d , F l ip o n , Moquet, M ar in p è re , etc?T^“u—Lles ' , . ,

E ncore u ne S a in te -C éc i le d o n t on se , c_ . e. y o n fe r e n c e 'e s Dames y sont rappellera .

En résum é, jou rnée excellen te pour l’art m usical, toute faite d ’enseignem ents pour les p a re n ts des élèves et les Senlisiens Aux p rem iers, la ce rtitu d e que les efforts des en fan ts ne so n t pas vains, aux seconds le reg re t de n ’être pas o u 'musi­ciens ou in té ressés au fonctionnem ent de la M usique. U reste à dem ander aux Sen­lis iens la possib ilité d ’encourager la Société, soit en s’v in té ressan t comme aud iteu rs, soit en lu i fa isan t le plaisir d ’une in sc rip tio n com m e membre hono­ra ire .

Alphonse CIGOGNEHORLOGER

38, Rue de P aris

C h o i x c l e C A D E A U X

pour Jfoël et Jour de t ‘ JTn A PAR T I R DE 1 5 FR.

Ouveri le Dimanche jusqu'à midi r . C. Senlis 3945 257

R encon tre du d im anche 9 décem bre C. S. Senlis (IV con tre une excellente

équipe p aris ien n e .; '/*Belle p a rtie am icale, le C. S. S. ayant

quelques joueurs ind ispon ib les, m e ttra m algré tou t une belle équipé su r p ied , ca r ce rta in s joueurs de seconde n’étant pas loin de la valeu r de ceux de p re ­m ière. On peu t p ré v o ir un onze hom o­gène.

♦--------Le C réd it Im m obilier

P a r a r rê té du M inistre de l’H ygiène, de l’A ssistance et de la P révoyance sociales, en date du 27 novem bre 1923, on t été approuvés les sta tu ts de la Société ano­nym e de C réd it Im m o b ilie r de l’Oise, dont le siège est à l’H ôtel de Ville de Senlis.

Messe AnniversaireUne m esse d ’an n iv e rsa ire sera dite

le m ard i 11 décem bre, p o u r le repos de l’âm e de Mme Veuve G autrin , belle-m ère du cap ita in e Leroi. La m esse de fam ille sera d ite à 8 heures. 5634

Société de Secours aux Blessés Militaires

Le Comité de Senlis de la Société F ra n ­çaise de secours aux Blessés M ilitaires ̂Croix-Rouge de F ran ce ), fera cé lébrer, en l ’église ca th éd ra le de Senlis, dem ain dim anche, à neuf heures, une m esse p o u r les m ilita ire s décédés des arm ées de te rre et de m er.

NécrologieUne délégation de la Section de l’Union

N ationale des C om battants, avec son dra-p e a u , a c o n d u i t à sa d e r n iè r e dem eure*ap rès un service célébré à la ca théd ra le , M. A lfred T ourm ente , ja rd in ie r , avenue des A rènes, décédé à l’âge de 44 ans, des suites de m alad ie con trac tée au fron t pendan t la guerre.

Le m alheureux avait dû su b ir l’am pu­ta tion d ’une jam be, m ais le te rr ib le mal dont il é ta it a tte in t n ’a pu ê tre vaincu m algré les efforts de la science.

Au cim etière, M. de M artignae, au nom des C om battan ts, a p ro n o n cé quelques paroles émues.

Nous adressons à sa veuve qui reste avec q u atre en fan ts, nos sincères condo léances.

Mme Veuve T ourm ente et la fam ille rem erc ien t toutes les personnes qu i ont bien voulu assis te r aux obsèques de leur ch e r défun t et en p a rtic u lie r les A nciens C om battants et M. de M artignae qui p ro n o n cé quelques touchan tes paro les.

M. C harles V anet, coiffeur, et Mme Vanet, v iennen t d ’être très éprouvés p a r la m ort de leu r belle-m ère et m ère , Mme Georges D eray, décédée à P a ris , dans sa 60” année.

Nous ad ressons à M. D eray et à M. et Mine V anet, nos p lus sincères condo­léances.

Agression. ^ Dimanoha % décembre, vers 8 heures du so|r, M. Lamoret Joseph sortait du café Hourdillat, rue Jeap -Jau rès Où il prend pension, pour aller faire une course. A peine venait-il de sortir, q u ’il croisa un groupe d’individus, deux hommes et deux femmes, sans provocation de sa part, oes individus le prirent à partie et le rouèrent de coups, le laissant inanimé sur la chaussée. Eveillés par ces bruits nocturnes, les voisins du café Hourdillat voulurent prendre la défense du pauvre homme, ils commencèrent par essayer d’a rrê te r cette bande de brutes, mais ceux-ci qui étaient décidés à se battre , opposèrent une vive résistance. L’arrivée des gendarmes calma tout, et non sans peine, ces batailleurs furent conduits au violon; ils se nomment Dutrillaux Louis, 22 ans, et Dioni- lid Constantin, 21 ans, su jet russe. Ils furent relâchés le lendemain en a ttendant que leur compte soit réglé. M. Lamoret a été blessé sérieusement,, mais ses Jours né sont pas en danger.

Pharmacie ouverte le dimanche 9 décem­bre 1923 : M. Berber, rue Gambetta.

N o û V é I I c sP ES

Ç o n j r p û Q c sBALAGN Y - S U R - T H E RAI N

Dans la promotion de l’Exposition In terna­tionale d’Hygiène de S trasbourg (Centenaire de P a s te u r ) , nous relevons avec plaisir la . nomination au grade d ’ofllcier de la Légion d’honneur, de M. Poiret (Théodore) , indus­triel à Paris.

M. Poiret est le très actif P rés ident du Conseil d ’administration de la Société des Filatures et. Teintureries de Saint-Epin, si connu dans l’Oiâe, et à qui nous sommes h eu­reux d ’offrir nos plus vives félicitations.

CHAMBLYNomination d’un maire et d’un deuxième

connu dans l’Oise, et à qui nous sammes heu- Chambly, complété par l’élection de M. E. Legrand, a procédé le samedi l ”r décembre dernier, à la nomination d ’un maire et d’un adjoint. M. Decourtray, conseiller municipal, i été élu maire ; M. Gaudefroy demeure I *r adjoint et M. Delacour a été également élu 2* adjoint.

CHANTILLYConférence de M. Louis Eecavy su r le Cré­

dit Immobilier. — Lundi dernier, â 8 h. 1 /2 du soir, dans la salle des réunions, à la Mairie (le Chantilly, M. Louis Escavy a fait un exposé très substantiel et très documenté sur le Crédit, Immobilier. Son utili té et son application.

Un grand nombre de nos concitoyens assis­taient à cette intéressante conférence que présidait M. Vallon, maire de Chantilly, entouré de MM. Guilleminot, président du Syndicat d’initiative, Mercier, président de l’Union Commerciale de l’Industrie et Joly, président de la Société d’Habitations à Bon Marché.

Des projections de la maison Guilleminot nt clôturé la réunion.

COYE-LA-FORET On dit que :Beaucoup de gens se figurent que les fonc­

tions municipales endossées par beaucoup de braves et honnêtes citoyens sont destinées à être la risée de ceux qui n’ayant pas eu l’hon­neur d ’être élus, se vengent comme ils peu­vent.

Ces gens là ont tort.Se dévouer quand rien ne vous oblige, c’est

parfait, et comme le disait il y a quelques mois un de mes spirituels collègues à un évincé de la liste adverse, je suis conseiller et toi tu ne le sera jamais.

Ceci pour rem ettre les choses au point.E. LONGA.

CREPY-EN-VALOIS Fanfare des Trompettes . — Le Ralliement

et, les Amis Crépinois réunis, fê teront la Sainte-Cécile le samedi 8 décembre 1923. Un banquet aura lieu à 19 heures à l’Hôtel des Trois Pigeons. Un bal suivra, à 22 heures, en la salle du même Hôtel.

ÉTAT CIVIL DED écès

S E N L I S

du 40 Novembre au 8 Décembre30. — Jean Bœzorski, 2 5 ans, ouvrier

agricole, 1, rue du faubourg Saint-M artin.1". — Célestine-Jeanne Saltel, veuve P i-

chot, sans profession, 69 ans, rue aux Che­vaux.

3 . — Alfred-Adricn Tourm ente, 43 ans, jardinier, avenue des Arènes, 2 4 .

3. — Pauline Béranger, épouse Monteux, 60 ans, bonnetière, rue du faubourg S a in t-M artin, 1.

4 . — Alphonse-François-Joseph Broque- laire, 6 3 ans, manouvrier, rue du faubourg Saint-M artin , 1.

5 . — Louis-Emile Léchevin, 74 ans, sans profession, rue du faubourg Saint-M artin , 1.

PH A R M A C IE O U V E R T E :Dimanche g Décembre .- M. Lesage, piaee

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C R E I LBqx0. — Une surprise. — On a vaguement

parlé il y a quelque temps de la formation d ’une nouvelle Société de boxe à Creil, et l’on aurait pu croire que ne donnant plus signe de vie, cette société, comme tant d ’au ­tres, é tait morte. Mais une grosse surprise a ttend le public Creillois; travaillant dans l'ombre depuis six mois à la mise au point de scs jeunes athlètes, cette Société organise pour le 22 courant, des grands combats am a­teur et professionnel avec le concours de la Fédération Française de Boxe.

On annonce à cette fête deux champions.Prière de retenir ses places à l’avance,

Café de l'Univers, rue Jules-Juille t.Prix des places : Tour du ring : 7 fr. ;

2* tour du ring : 5 fr .; 3” tour du ring ; 3 franes.

Les approvisionnements en charbonUne demande

de M. le Sénateur Delpierre

Des in d u strie ls s’é ta n t p la in t à M. le S énateu r D elp ierre qu ’ils ne recevaien t pas J e ch arb o n suffisant à l’approv ision- nenfent de leurs usines, faute de m atérie l m is à la d isposition des m ines, M. Dei- p ie rre s’est ad ressé à M. le M inistre des Travaux P ub lics et en a reçu la réponse su ivan te :

« P aris , 12 novem bre 1923.« M onsieur le S énateur,

« Vous avez b ien voulu m e signa le r ce rta in e s difficultés ren co n trées p a r des in d u strie ls du dép a rtem en t de l’Oise p o u r o b te n ir le charbon nécessaire à leurs usines faute de w agons p o u r a ssu re r les tran sp o rts .

« J ’ai l’h o n n eu r de vous fa ire c o n n a î­tre qu’en effet, p en d a n t la p rem ière qu inzaine d ’octobre , les réseaux on t été un peu gênés p o u r fo u rn ir to u t le m até­rie l dem andé p a r les expéd iteu rs .

« Toutefois, à m a conna issance ce tte gène n ’a pas été assez sérieuse p o u r com ­p ro m ettre T approv isionnem ent en c h a r ­bon des usines p réc itées.

« D’a illeu rs , la s ituation est m a in te­n an t norm ale et tou tes les dem andes sont régû lièrem nct sa tisfaites.

« Veuillez ag réer, M onsieur le Séna­teu r, T assurance de m a hau te considé­ra tion . »

Le M inistre des T ravaux Publics, LE TROCQUER.

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A soixante-six a n s . . . .A soixante dix a n s . . . .A quatre-vingts a n s . . .A quatre-vingt-dix ans (Arrérages payables par semestre).

La C o m p a g n ie d ’A s s u r a n c e s G é n é ­r a le s su r la V ie , entreprise privée assu­jettie au Contrôle de l’Etat, fondée en 1819, est la plus ancienne des Compagnies sim ilaires.

Depuis l’origine de la Com pagnie le total des capitaux assurée est de 4 M il­l i a r d s 2 1 8 M i l l i o n s ; c e l u i d e s Reniesconstituées, 4 5 3 M illion » . Pendant l ’exer­cice 1922, le chiffre des capitaux assurés s’est élevé à 1 8 3 M illio n s 349.343 francs; celui des Rentes constituées à 5 M illio n s 434.119 francs.

Envoi gratuit de notices et tarifs sur demande adressée soit au S iège Social de la Compagnie, 87, rue de R ichelieu , à Paris, soit à l ’un de ses représentants dans les départements, notamment à ;

M. Paul GONTANT, directeur particulier, i i , rue du Prévôt, à Beauvais.

M. L. DAELMAN fil?, t6, rue d’Alger, i Goropiègne.

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Avis t rè s im portantLes néoessltée de tirage et

d’expédition de notre journal noua mettent dana l'Impossibi­lité absolue d’insérer toute an- nonoe qui parvient après le Jeudi, 12 heures, A nos bu­reaux.

Toute Insertion noue parve­nant plus tard sera reportée d’offloe au numéro suivant.

A N N O N C E S J U D I C I A I R E SArticle 1.

E tudes de M® L u c ien CHASTAINGavoué à Senlis

e t de M® PETIT, no ta ire à Senlis.

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situées terroir d’ApremontET

UNE MAISONsituée à

L’adjudication aura lieu p a r le le s t sépare par ui m in istè re de M* PETIT, notaire à I s a p roprié té , d S enlis, com m is à ce t effet, savoir : I ruelle du P uits <

Jard in d e rriè re .Le tou t d 'une superficie de 7 ares

88 cen tia res, te n an t par devant a la rue, p a r d e rriè re à l’artic le cin­quièm e ci-ap rès, d ’un côté est a M ademoiselle D uiardin, e t d autre côté à M ademoiselle V an de Veide.

C adastrée section D, n° 565 partie.

Mise à prix : 3 .0 0 0 fr.Deuxièm e lo t

Une M aison, sise m êm e com ­m une, rue du C im etière, n" 66, com posée de cuisine e t cham bre ; à la su ite, g range et to it à porcs.

G ren ier au-dessus de la maison d ’habitation e t cave dessous.

Cour devan t ces bâtim en ts et pe tit jard in deirière .

Le to u t d’une superficie de 2 ares 48 cen tia res, ten an t par devant à la rue, par d erriè re e t d un côté est à M onsieur Lom aire, e t d au tre côté à M- Mahieu.

C adastrée section D, n*73 partie.

Mise à prix : 1 .5 0 0 fr.Troisièm e lot.

Une M aison, sise m êm e com ­mune, rue du Buhat, n” 11, com po­sée de cuisine, arriè re-cu isine et d e u x cham bres, g ren ie r au-dessus,grange à la su ite , cave dessous.

Cour devant ces bâtim ents avec buanderie, ce llier dans lequel se trouve la descen te de cave et clapiers.

Jard in d e rr iè re dans lequel se trouven t deux puits.

Le to u td ’une superficie de 11 ares environ, tenan t par devant à la rue, p a rd e rr iè re à l'artic le sixième c i-ap rès, dont le présent article

un m ur qui reste ra un côte es t à la

ruelle du P uits de la Tandellière. i r i i m q . .N v i f R * b o x i et à l’article onzièm e c i - a p r è s ,e t | Le JEU D I 3 JANVIER 1 9 2 4 , | ,j'aulire côté à Mademoiselle Ap-

à 14 heures, en la Maison d’Ecolej ‘ .im.ir Ips i m m enhl es I POUfCnaUXd'Apremont, pour les im m eubles

situés te rro ir d ’Apremont ;E t le SAMEDI 5 JANVIER

1 9 2 4 , à 15 heures, en la Mairie de Vineuil Saint-Firmin, pour l’im- | m euble situé en ce tte com m une.

Cadastrée section D, n s 382 p., 383 e t 384.

Mise à prix : 2 .0 0 0 fr.Q uatrièm e lot.

On fait savoir à tous ceux qu'il appartiendra :

Q u’en v ertu e t en exécution

Une M aison, sise m em e coin m une, rue de la H aute-Pom m e- raye, n» 4, com prenant :

1» Un bâtim ent sur rue à gauche d ’un jugem ent rendu sur requête J de ja po rte d’en trée, divisé en eui- pur le T ribunal civil de prem ière | s jne et cham bres avec gren ier au- înstance de Senlis, le 13 novem-1 dessus auquel on accède par un b re 1923, en reg istré . esca lier extérieur.

11 sera , aux requêtes, poursuites. I 2° A droite de la porte d en trée, e t diligences de : I p e tit bâtim ent à us»g« de buan-

1“ Madame A ugustine -llen rie lte derie.Guiniè>, b lanchisseuse , dem eu- 3 ° A u t r e bâtim ent en tre cour e t J J U ,

ran t à Vineuil - Saint - F irm in , I ja rd in ,d iv isé en cuisine e t cham bre épouse de M onsieur Em ile-G us- r avec g ren ie r au -dessus auquel on j tave Bigue, « ag issan t au nom e t I on accède par un esca lier e x te - j ,

Dixième lot.

10 ares 77 cen tia res de jardin, lieudit Le P uits Saint-M artin, te nan t d ’un côté es t à M onsieur Bigue Edouard, d 'au tre coté à Madame veuve M ahieux-Xavier, d’un bout nord à M onsieur le ba­ron de R othschild , e t d ’au tre bout à la sen te du clos.

Cadastrés section D, n°* 91 p. et 92 partie.

Mise à p r ix : 2 5 0 fr.

Onzième lot,11 ares 66 cen tia res de jard in ,

lieudit La G rille, ten an t d ’un côté es t à M onsieur Dupré, d 'au tre côté aux artic les 3 e t 6 ci-dessus, d un bout nord à l’artic le douzième ci- après, e t d’au tre bout à M nsieur le baron de Rothschild, e t à la ruelle du P uits de la Tandellière.

Cadastrés s-c tion D , n° 373 partie.

Mise à p rix 1 1 5 0 fr.

Douzième lot.13 ares 35 cen tia res de te rre et

bois, lieudit Le P etit Bosquet, te ­nan t d un côté est à Monsieur Tauret, d ’au tre côté à la r t ic le 6 ci-dessus, d’un bout nord à Mon­sieu r le baron de R othschild, et d’au tre bout à l’artic le p récédent e t à Monsieur Dupré.

C adastrés section D, n" 374.Mise à p rix s 1 5 0 fr.

Treizièm e lot.

16 ares 42 cen tia res de te rre , lieudit La N orm andie, tenan t d ’un côté e s t à Monsieur Thielem ans, d’au tre côté à M onsieur Vande- velde, d’un bout nord aux jard ins du village, et d ’au tre bout à Mon­sieur D eleplanque.

T raversés au nord par la sente de la Mare.

C adastrés section D n°638 partieMise à p rix s 2 0 0 fr.

II.Terroir de Vincuil-Sl-Firmn

Quatorzièm e lot.Une M aison, sise à., V ineuil-

Etant ici fait observer que cette propriété était autrefois grevée d ’un droit de passage, mais que ce droit a été abandonné par M. Adrien Maubertier, qui en était proprié­taire, par acte sous signatures pri­vées en date au dit Tillôt, du 23 mai 1905, enregistré à Neuilly-en- Thelle, le 19 juin 1905, folio II, case 8, aux droits de trois francs 75 centimes, par M. Sené, receveur.

2° Deux ares dix-huit centiares de jardin, au dit Tillet, lieu dit le chemin de Précy, tenant d’un côté les héritiers Tantôt, d’autre côté Veuve Lecomte, d ’un bout par devant la rue, et d’autre bout Veuve Duval.

3° Et sept ares soixante-six cen­tiares de terre, plantés de pom­miers, au lieu dit En Descendant la Villeneuve, tenant par devant la route, par derrière l’ancien chemin d ’Ereuis, d ’un côté Jeynes, et d ’au­tre côté représentant Henneguy.

Et ce, moyennant le prix princi­pal de trois mille sept cents francs

Avec déclaration que la dite noti­fication lui était ainsi faite confor­mément aux prescriptions de l’art 2194 du Code Civil, pour qu ’il ait à prendre dans le délai de deux mois, telles inscriptions d ’hypothèques

3* Mademoiselle G eneviève - Madeleine D ebraine, dem euran t à l'fris, rue Nicolo, n’ 44,

Pris tous tro is com m e héritie rs d j M. E ugène-E rnest D ebraine et Marie-Madeleine Milhit, leurs père etm ère décédés ;

1° M. Jules Milhit, docteur en hjédecine, dem euran t à P aris, rue Laborde, n° 36,IPris comme cu ra teu r à l’ém an­

cipation de André-Jean Debraine et Geneviève-Madeleine D ebraine, susnommés,

dom iné à cotte fonction par dé- ération du conseil de fam ille

es susnom m és, tenu sous la pré­sidence de M. le Juge de Paix du 16® arrondissem ent de P aris, le 20 mai 1922,

Ayant pour avoué M ” Adolphe

Ih(le:

Ar t . 5.

Etude de M" Louis ESCAVYdocteur en droit avoué à Senlis,

7. rue de Villevert

Du 18 N o v em b re 1 9 2 3 !

Adoption Ruillier - SpéliersR é p u b l iq u e F r a n ç a i s e

A u n o m d u P eup le F rançais : Le Tribunal civil de Première

Instance de l’arrondissement de Senlis, département de l ’Oise, a rendu en son audience publique du treize novembre mil neuf cent vingt trois, le jugem ent sur requête dont la teneur suit. A Messieurs les P r é ­

légales qu’il aviserait et que faute Ayant pour avoué M’ H enri La­pai- lui de ce faire dans le dit dAfiufM», exerçant près le Tribunal de

liaquin, exerçau t près le T ribunal .skient et Juges^composant le Tribu- civfi de la Seine, dem euran t â Paris, rue Drouot, n° 7,

E t encore en présence dé , i* Madame Debraine, veuve de

II. Porron, dem eurant à Beau- mont sur-O ise (Seine-et-Oige) ;

2’ M. E r ie s t D ebraine, ancien employé des postes, dem euran t a |ea u m o n t - su r - Oise (Seine - et-|i«e)-

com m e tu trice de M onsieur Emile- ] rieur.

Saint - Firm in, rue Poissonnière, en tre cour e t jard in , com prenant ;

Au re z -d e -c h a u ssé e , couloir, cuisine, salle à m anger, salon et cham bre.

Au p rem ier étage cinq cham bres.G ren ier au -dessus e t cave sous

la maison.Cour et jard in , puits dan» la

cour, a telier, buanderie, écurie e t rem ise avec g ren ie r au -dessus.

to u t d 'une superficie de m étros, tenant par devant

su r 17 m. 05, la rue Poissonnière,

G ustave Bigue, son m ari, en é ta t d ’in terd iction légale, nom m ée à ce tte fonction, q u e lle a acceptée, aux term es d’une délibération du conseil de fam ille de son m ari, tenue sous la présidence de Mon sieu r le Juge Paix du canton de S enlis, le vingt-six octobre mil n eu f cen t v in g t- t r o is , en re g is­trée ».

2 M ademoiselle Lœ titia-M arie Bigue, m aîtresse de pension de fam ille , dem euran t à Vineuil Saint-F irm in.

3- M onsieur A drien-Paul Bigue ja rd in ier, dem euran t à Saint-N i- colas, com m une de C ourteuil.

4- Madame M arie-M adeleine Bigue, épouse de M onsieur Geor- ges-L éonard Hall, jockey, avec lequel e lle dem eure à C hantilly , au Bois Suint-Denis, e t ce d e rn ie r

d ’un côté à M onsieur Laqué,4° Petit bâtim en t dans le jard in ,pau tre côté à M essieurs Calais et

à usage de débarras avec greniei au-dessus e t cave dessous.

Cour au m ilieu de ces bâtim ents.Jard in derrièreLe to u t d ’une superficie de 5 ares

environ, ten an t par devant a la rue par d errière à M. Thielemans, d’un côté nord a M. R ennann e t d’autre côté à M. D am iens

D roit de com m unauté par cana­lisation à l'eau du puits dit de la M ontagne, appartenant à Monsieur le baron de R othschild .

C adastrée section D, n’’ 209,210, | fixées par 221 p. e t 222.

3 .0 0 0 fr.

Poulain ou ayant droit, e t par d e rriè re à M onsieur Sauvanet.

et ieelui passé, les immeubles donts’agit seraient et demeureraient aux mai-ns du requérant définitivement purgés et libérés de toutes hypo­thèques de cette nature non ins­crites. i

Que les anciens propriétaires des immeubles, outre les vendeurs, étaient :

Maison et jardin.Communauté Grison Laureiice-

Zéphir Filiion et Madame Joséphine Courbe, son épouse ; Louis-Mathieu Adam et Madame Rose-Julienne- Louise Millet, son épousé ; Madame Marie-Madeleine-Scholastique Sa- lentin, veuve Jaeques-Antoine-Ni- colas Penon ; Madame Marie--Made- leine-Eiisabeth Legourieux, veuve Jean-Louis Salentin ; Communauté Salentin-Lescurieux ; Louis Salen- tin et Madame Geneviève Drouart, son épouse ; Louis-Barthélomy Tel- lier et Madame Marie-Afarguerite Salentin, son épouse ; Madame Ga- therine-Elisâbeth Salentin. épouse Louis-Ilonoré Millet ; Rose-Julien ne-Louise Millet, épouse Louis- Mathieu Adam ; Paul Brophard,

Pièce de terre.Alexandrme Langy, veuve Aima-

b le-Joachim-Joseph Laurence; mi neur Maubertier.

Et que tous ceux du chef clos- quels il pourrait être pris des ins eriptions d ’hypothèques légales, n ’étant pas connus du requérant, il ferait publier la présente notifica­tion dans un journal d’annonces judiciaires, conformément à l’avis du Conseil d ’Etat des 9 mai et 1 " juin 1807.

(Signé) G. LOIR

MI S ES A P RI XO utre les charges, clauses et

conditions insérées au cah ier des charges d ressé par M* Belît, no­ta ire à Senlis, com m is à ce t eftet, e t déposé en son étude, où toute personne peut en p rendre connais­sance, les enchères se ron t reçues su r les m ises à prix sus-indiquées

le jugem en t sus-daté.

Mise a prixC inquièm e lot.

12 ares 63 cen tia res de jard in ,ta n t en son nom personnel au J faisant suite au jardin de hi maqsonbesoin que pour ass is te r e t au to - 1 désignée sous la r t ic le p rem iei,

Fait e t rédigé par l’avoué pour­suivant soussigné.

S enlis, le 7 décem bre 1923.S igné : L. CHASTAING.

E t en reg istré .

r ise r la dam e son épouse sus­nom m ée.

5’ Monsieur Raym ond - H enri Bigue, professeur de golf, dem eu­ran t à V ineuil-Saint Firm in.

6» Madame M arcelle B ig u e , épouse de M onsieur E rnest-P ierre- M axim e-Louis Bréinaud, ajusteur, avec lequel elle dem eure â Chan tilly , rue du C onnétable, n° 60, et ce dern ie r ta n t en son nom p e r­sonnel au besoin que pour assiste r et au to riser la dam e sou épouse sus-nom m ée.

désignée sous l’artic le prem iei lieudit D errière l’E glise, tenan t d’un côté e s t à M ademoiselle Du­iardin, d ’au tre côté à M essieurs V andevelde et Maulin, d un bout nord à l’artic le p rem ier, e t d autrebout à l’In s titu t de France. ̂^ ^ _

T ra v e rs é s p a r le chem in do L I q u d e s charges.Porte du Parc.

C adastrés sectionD, n*565partie.

Mise à p rix » 2 0 0 fr

S 'adresser pour les renseigne m en ts à t

1* M* L. CHASTAING, av ou é a S en lis , p o u rs u iv a n t la v en te ;

2 M* PETIT, notaire â S enlis chargé de la vente e t dépositaire ■ • ■ - - ’--------- 5630

Art . 2.Etude de M” Gaston LOIR,

avoué à Senlis,3, rue Saint-Yves-A-l’Argent

Sixièm e lot.

îs-noinuiee. . 11 ares 33 cen tia res environ de

Bigue, ------profession, dem euran t a Vineuil S ain t-F irm in .

Poursu ivants, ayan t pour avoué constitué M’ L. C hastaing, dem eu­ran t à Senlis, ru e S ain te-G ene- viève.

E t en p résence ou lui dûm ent appelé de :

M onsieur Edouard - Dieudonné B igue, en trep reneu r de m enu i­se rie , dem euran t à V ineuil-Saint- F irm in , « pris au nom e t comme subrogé-tu teur de M onsieur Emile- Gustave Bigue, en é ta l d in te rd ic­tion légale, nommé à ce tte fonc­tion qu ’il a acceptée, aux term es d’une délibération du conseil de fam ille de l’in te rd it, tenue sous la présidence de M onsieur le Juge de Paix de Senlis, le 26 octobre 1923, eç iÿ g is tré e ».

N’ayant pas d'avoué constitué.P rocédé aux jours, heures et

lieu x ci-dessus indiqués, par le m in istè re de M* P etit, notaire à Senlis, com m is à ce t effet, à la v en te su r ücitatiou , aux enchères publiques, aux plus offrants et d ern ie rs enchérisseurs, des im ­m eubles dont la désignation su it :

DÉSI GNATI ONj. — Terroir d’Apremont.

P rem ier lotUne M aison, sise à A prem ont,

canton de Oreil sur-O ise, rue Louis-W allon, n” 67, com posée de cu isine , salle à m anger et cham bre, g ren ie r au-dcssu§ auquel on accède par un esca lier ex térieu r e t cave sous la m aison, à gauche de la maison bûcher.

Cour d e v a it la m aison avec buanderie e t clapiers.

tenan t d’un côté es t aux articles l i e t 12 ci-après, d au tre coté et d’un bout nord à M onsieur le baron de R othschild , e t d’au tre bout au m ur du ja rd in de l’article tro i­sièm e ci-dessus.

C adastrés section D, nos 379. 380, 381 e t &82 partie.

Mise à p r ix s 2 0 0 fr.

Septièm e lot.1 hec ta re 14 are s 91 cen tiares

de te rre , lieudit Le Chanteloup, tenan t d’un côté nord à Monsieur le baron de R othschild d au tre côté au chem in d ’A prem ont à Au- inont d’un bout es t à M onsieur T hielem ans e t d’au tre bout au chem in d’A prem ont à Mal assise.

C adastrés section C, n” 141 p. 142, 143 p., 144, 145, 146 p,. 147 p., 148, 149, 150 e t 151 p.

Mise à prix : 2 .0 0 0 frH uitièm e lot.

51 arès 32 een tia res de bois lieudit Les U sages d 'A prem ont ten an t de tou tes parts à M onsieur le baron de R othschild

Cadastrés section D, n» 2 partie

Mise à prix : 1 .5 0 0 fr.N euvièm e lot.

10 ares 75 cen tiares de bois lieudit La Butte Ronde, tenan t d’un côté nord à M onsieur Bigue Edouard, d’au tre côté e t d un bout à M onsieur T hielem ans, e t d au tre bout es t à M onsieur le baron de de Rothschild.

C adastrés section D, n° 18 partieMise à p rix i 1 5 0 fr.

Art. 3.

Etudes de Me FERRY, notaire à B éth isy-S ain t-P ierre (Oise)

et, de M* A ym é BONNIN, avoui à P aris , rue d’Anjou, n" 20.

Vente sur Licitationai plus enrant et dernier enchérisseur

A u x E n c h è r e s P u b l i q u e sen la

2\Æ air*i© d ’O R R O U Y EN DEUX LOTS

P R E M I E R L O T — U N E

M A I S O Nsise lieu dit

LE MOULIN D’ORROUY

Avec droit aux Dommages de Guerre D E U X I È M E L O T

13 ares 51 cent, de Terresis te rro ir d ’O rro u y

lieu dit Le Vary ou Le P on tdu Vary

, — Prcla peine, dem euran t à P aris, rue Saint-Dominique, n” 22 ;

11 sera le sam edi 5 janv ier 1924, procédé à la vente aux enchères publiques, au plus offrant et d e r­nier enchérisseur, en la Mairie

’Orrouy, à 2 heures de relevée, en deux lots, des im m eubles sis au village d’O rrouy, dont la dési­gnation suit :

D É S I G N A T I O NPREMIER LOT

0 MAISON s is e lie u d i t Le M oulin-d’O rrouyCette maison, constru ite en

pierres, comprend corps de logis divisé en pièces d 'habitation , aveo grenier au-dessus.

Grange.Cour devant.Jardin sur le côté e t derrière . L’ensem ble, con tenant 19 a re s

10 centiares 1/ 2 , tien t par devant la rue, par derriè re M. Babin, d’un côté la sente du V ary, d ’au tre côté M. Babin, avec lequel le pignon est mitoyen.

Section G, n ’ 362, 363, 364, 365, 366 et 367, pour 20 ares 10 cen tiares.

2 DOMMAGES DE G UERR ELes indem nités dues pour dom ­

mages subis par la maison c i dessus on t été fixées par décision de la com m ission cantonale de C répy-en-V alois, en date du 2 fé­vrier 1923, hom ologuée purem ent et sim plem ent par le Tribunal des dommages de guerre de Senlis le 22 m ars suivant.

Ils com prennent :P erte subie : deux cen t

quatre-vingts f ra n c s ........Frais supplém entaires ;

sept cents f ra n c s —Au total : neuf cen t

quatre-vingts f ra n c s ___

280 fr.

700

980 fr

DEUXIÈME LOT

18 a re s 51 c e n t ia r e s d e TERRE, lie u d i t Le V a r ou Le P ont-du-Y ary

Tenant d’un côté acquéreur Eu gène Barberye, d 'au tre côté h éri­tiers Désiré R uelle d 'un bout le chemin du V ary, d ’au tre bout M. le comte D ona.

Section C, n”’ 468 e t 469, pour t2 ares 75 centiaires.

et

Suivant exploit du ministère de M" Lenoir, huissier à Senlis, en date du vingt huit novembre 1923, en egistré.

Et à la requête de Monsieur Armand Rivière, boulanger, demeu

ant à Paris, 16, rue Manin.P o u r lequel domieile est élu

Senlis, en l’étude ne M8 Gaston Loir, avoué près le Tribunal civil de la dite ville.

Notification a été faite à Monsieur le P rocureur de la République près le Tribunal civil de Senlis.

De l’expédition dûment en forme d un acte dressé au Greffe du Tri- bunl civil de Senlig, le trois no­

mbre 1923, enregistré, constatant dépôt fait le dit jour, au dit

greffe par M8 Gaston Loir, avoué du requérant, de la copie dûment timbrée, eoUationoée, signée et en­registrée, de l’expédition d'un acte reçu par M8 Mellottée, notaire Mclte, le-tseate juin 1923, enregis­tré, contenant adjudication à la requête de Madame Cathcrine- Alexandrine Laurence, propriétaire demeurant précédemment à Tillet. commune de Cires-les-Mello et ac­tuellement yà Ully-Saint-Georges, veuy.e de Monsieur Eugène-Ferdi- nand Grison ;

Au profit du requérant.De : 1° Une maison, sise à Tillet,

commune de Cires-les-Mello, en la rue du Sable, composée d'une cui­sine..: d 'une chambre, grenier au- dessus couvert en tuiles, cour avec hangar couvert en tuiles, jardin.

Le to u t contenant cinq ares dix eentiares, t ien t d ’un côté Courtois, d ’autre côté une mare communale, d ’un bout à la rue e t d-autre bout M. Erouart et autres.

L'adjudication aura lieu LE SAMEDI 5 JANVIER 1 9 2 4

à deux heures de relevée J

On fait savoir à tous ceux qu’il appartiendra :

Q u’en exécution d ’un jugement con trad icto irem en t rendu entre les parties par la deuxième Cham bre du Tribunal civil de la Seine, le 12 ju ille t 1923, enregistré e t signifié.

E t aux requête , poursuites et diligence de :

1» M ademoiselle Renée-Berthe D ebraine, cé libataire majeure^ dem euran t à N euilly-sur-Seinej rue de l’Ecole-de Mars, n° 10 ;

2* Madame Marcelle - Eugénie D ebraine, épouse de M Edouard From ant, m édecin m ejor au 32j corps d’arm ée, arm ée d’occupation du R hin , e t ee dern ie r pour l’asf s is ter et l’au to riser, demeurant ensem ble àN eu stad t;

3j M ademoiselle Yvonne-Luciê D ebraine, cé libata ire m ajeure, de­m euran t à N euilly-sur-Seine, rue de l’Ecole-de-M ars, n8 10 ;

4* Madame Borthe - Eugénie- DèVaux, épouse divorcée de M- E rnest D ebraine dem euran t ladite dame à N euilly-sur-Seine, rue de l'Ecole-do-M ars, n‘ 10,

A yant pour avoué M« Aymé Bonnin, exerçan t près le Tribunal civil de la Seine, dem eurant a Paris, rue d’Anjou, u° 20 ;

En p résence de ;1“ M. Guy Debraine, brigadier

au 12 rég im ent de dragons, en garnison à Colm ar ( Alsace j, de­m eurant à Paris, rue N icolo, n’44 ;

2» M. André Jean Debraine, HH* n eu r ém ancipé, dem euran t à P a­ris, rue Nicolo, n“ 44 ;

MI SES A PRI XOutres les charges, clauses

S5«tiitions insérées au cah ier des charges déposé en l’étude de M» Ferry, notaire à B éthisy-Saint- P ierre, les enchères seron t reçues sur les m ises à prix fixées par le jugem ent du 12 ju ille t 1923, sus énoncé, savoir : j Pour le prem ier lot, à la somm e(le quatre m ille francs, 4.000 fr

Pour le deuxièm e lot, somme de quatre centsfrancs, c i ..............

Total des m ises à prix : quatrem il le q u a t r e c e n t s 4.400 fp.francs, c i . ........

i Fait e t rédigé à P aris, le 3 dé­cem bre 1923, par l’avoué poursu i­vant soussigné.

Signé : Aymé BONNIN.E nregistré à Paris, le Sdécernbre

1923, f* 97, c” 20. Reçu 3 francs.Signé illisib lem ent.

S'adresser pou r les renseigne­m ents :

{• A M’ FERRY, notaire à Bé­th isy-S ain t-P ierre (Oise), déposi­ta ire du cah ier des charges ;

2* A M« A ym é BONNIN avoue, dem eurant à Paris, rue d’Anjou, 20 ;

3» A M* HAQUIN avoué, de- jam oran t à P aris , rue D rouot, 7 ;

4” A M= LABAT, avoué, dem eu­rant à P aris, rue Sâint-Dom inique 2 2 ;

5° AMe COUSIN, notaire à Paris> Place Saint-M ichel, 6 ;

6 - Et à M» DE MEAUX, no ta ire à 1 aris. rue Saint-D om inique, 39.

5637

nal civil de Senlis. — Monsieur Pierre Ruillier, voyageur de com­merce, propriétaire, demeurant à Chantilly, au bois Saint-Denis. — Ayant M" Escavy, pour avoué. A l’honneur de vous exposer. — Que par acte en date du vingt-deux sep­tembre mil neuf cent vingt-trois, enregistré, passé devant Maître Vidy, notaire â Chantilly, il a dé claré adopter Mademoiselle Lisne- Yvonne-Marguerite Spéliers, née è Paris, Huitième arrondissement, le vingt juin mil neuf cent quatre, de Monsieur Jean-François-Léon Spé­liers et de Madame Julie-Yvonne Sarouille, son épouse, laquelle a accepté et consenti : Que le père de l’adoptée est dans l’impossibilité de manifester son consentement ; en effet, les recherches les plus minu tieuses pour découvrir sa résidence ont été faites sans succès. —- Que

'ailleurs il n’apparait pas qu’aucu­ne difficulté puisse être soulevée 4 "occasion de cette adoption, car par jugement du vingt huit janvier mil neuf eent treize de ce Tribunal, Ma­demoiselle Liane Spéliers a été confiée à la garde de Monsieur Ruillier qui s’est occupé exclusive­ment depuis sa plus tendre enfance de son entretien, de son éducation

de son instruction, sans que aucun des époux soit jamais inter­venu à quelque titre que ce soit. — Que dans ces conditions, il est ma­nifeste que la mesure sollicitée par Monsieur Ruillier est assurément dans l ’intérêt de l’enfant et ne peut qu’être approuvée par les parents

Pourquoi il conclut qu’il vous plaise. — Messieurs. Vouloir homologuer l’acte d’adoption passé chez Maître Vidy, le vingt, deux sep tembre mil neuf cent vingt trois, et prononcer l’adoption de Mademoi s e l le Liane - Y von n e - Marguerite Spéliers par Monsieur Pierre Ruil lier, et ce en vertu des articles trois cent soixante-deux et suivants du code civil. — Statuer ce que de droit, quant aux dépens. — Sous toutes réserves. Et ce sera justice (signé) Louis Escavy. — Soit com muniqué à Monsieur le Procureur de la République pour sur ses con durions, et le rapport de Monsieur Herbet, juge au siège, être statué ce que de droit. — Donné à Senlis, le treize novembre mil neuf cent vingt trois. — Le Président ('Signé) Henry Jorrot. — Vu au' parquet saîte opposition. — Senlis, le treize novembre mil neuf cent vingt trois. Le Procureur de la République (si­gné) Dubois. — Jugement. — Le Tribunal, vu : Primo. — La requête qui précède et les pièces à l’appui.

Secondo. —- l'ordonnance de Monsieur le Président mise à la suite, désignant, M. Herbet, Juge au siège, pour faire rapport. — Tertio, —- Les conclusions de Mon­sieur le Procureur de la Républi­que. — Après avoir entendu Mon­sieur Herbet, juge, en son rapport, le Ministère Public en ses conclu­sions orales, conformes à celles écrites, et après en avoir délibéré conformément à la loi. — Attendu que par acte en date du' vingt deux septembre mil neuf cent vingt trois, enregistré, passé devant Maître Vidy, notaire à Chantilly, Monsieur Ruillier exposant a déclaré adopter Mademoiselle Liane-Yvonne-Mar- guerite Spéliers, née à Paris, Hui­tième arrondissement, le vingt juin mil neuf cent quatre, de Monsieur François-Léon Spéliers, et de Madame Julie-Yvonne Saroui.Ue, son épouse, laquelle a accepté et consenti. Attendu que le père de l’adoptée est dans l’impossibilité de manifester son consentement qu’en effet, les recherches les plus minutieuses pour découvrir sa rési dence ont été faites sans succès. — Attendu que d’ailleurs il n’apparaît pas qu’aucune difficulté puisse être soulevée à l’occasion de cette adop- ion, car par jugement du vingt huit

janvier mil neuf cent treize de ce Tribunal. Mademoiselle Liane Spé­liers a été confiée k la garde de Monsieur Ruillier qui s’est occupé exclusivement depuis sa plus tendre enfance de son entretien, de son éducation et de son instruction, sans qu’aucun des époux soit jamais intervenu à quelque titre que ce soit. — Attendu que dans ces con­finons, il est manifeste que la mesure sollicitée par Monsieur Ruillier est assurément dans l’inté­rêt de l’enfant et ne peut qu’être approuvée par les parents. — Par ces motifs. — Le Tribunal homolo­gue l’acte d'adoption passé chez Maître Vidy, notaire à LJiantilly, le vingt-deux septembre mil neuf cent vingt trois, enregistré, et prononce

Premier Président près la Cour d’appel d’Amiens, pour composer le Tribunal. — En présence de Monsieur Fernand Dubois, procu- eur de la République. — Assisté

de M. Pierre Delorme, greffier en chef du Tribunal. (Signé) Henry Jorrot et Delorme. — En marge se trouve la mention d 'enregistre­ment suivante, enregistré à Senlis, le dix neuf novembre mil neuf eent Vingt trois, folio quatre vingt, numéro mille vingt-six. Reçu eent cinquante francs (signé) Sauvat. — En conséquence le Président de la République Française mande et or­donne. —- A tous huissiers sur ee requis do, m ettre les présentes à exécution. — Aux Procureurs Gé­néraux et aux Procureurs de la République près les Tribunaux de Première instance d’y tenir la main.

A tous commandants et officiers de la forcé publique de prêter main, forte lorsqu’ils en seront légale­ment requis. —- En foi de quoi les présentes ont été scellées du sceau de ce Tribunal. Pour grosse certifiée conforme délivrée par nous Greffier du Tribunal civil de Pre mière Instance de l’arrondissement de Senlis, département de l’Oise, soussigné (signé) Delorme et scellé.

Art. 10.

TRIBUNAL DE COMMERCE DE SENLIS

Les créanciers de la faillite du sieur TONNELIER Em ile, cyeles à P ont Sainte-M axence, son t in­v ités à se trouver le V endred i 14 D écem bre 1023, â 10 heures 1/2 d u m atin , au Greffe du T ribunal de Com m erce de Senlis, pour re c e ­voir e t a rrê te r le com pte de la gestion de M" C hastaing, syndic dé la dite faillite.

Le Greffier,5641 MIGNOT.

Art , 11.

TRIBUNAL DE COMMERCE DE SENLIS

P ar jugem en t en date du 23 no­vem bre 1923, le Tribunal de Com­m erce de Senlis a, su r requête d’un créancier, déclaré le sieu r René DUMÛNT, en trep ren eu r de battages à Barbery, en é ta t de faillite.

A fixé provisoirem ent à ee jour la date de la cessation des paie­m ents ; a nommé M. M equet, juge com m issaire e t M' E scavy , syndic provisoire ; a ordonné l'exécution provisoire du p résen t jugem ent nonobstant Opposition ou appel sur m inute e t avant en re g is tre ­m ent vu l’urgence,

L e G reffier,5642 MIGNOT.

A r t . 6 .

Etude de M* Gaston LOIR, avoué à Senlis

3, rue Saint-Y ves-è-l’Argent.

Assistance Judiciaire.A d m iss io n du 20 Ja n v ie r 1023.

D’uu jugem en t rendu par défaut par le Tribunal civil de Senlis, on date du v ingt-six juiu 1923, en reg istré .

E n tre Monsieur M aurice LAHA- OHE, m anouvrier, dem eurant à M onlataire, rue M ertian, n° 5.

E t Madame B crthe-M arie-V a- lérie GUILBERT, épouse de M ..M aurice L A H A C IIE , avec lequel 1» Im itation de la N ue-Propriété elle dem eure de droit, m ais ré Si - N u « e Maison d’habitation sise a dan t de l'ait à L aigneviüe, rue de C répy-en-V alois, rue Joséphine, la R épublique, n° 100, chez Mon- j UUïHer® sieu r Joseph D elacourt.

Ar t . 12.

E tude de M® LOT, avoué â P aris rue du M ont-Thabor, n” 34.

E F I F I A T T J I Æau C ourrier de l'Oise du 2 décem ­bre 1923 coneernant notam m ent

Il ap p ert :Que le divorce a été prononcé

d en tre les d its époux Lahache- G u ilb e rt, à la requête e t au j profit du m ari.

Pour ex tra it : 5619 S igné : G. LOIR

Ar t . 7.

Etude de M« L O U A T , notoireà Senlis

DEUXIEME INSERTION

Aux te rm es d 'un acte reçu par

L IR E k la 4« page, l r* colonne, à la R ligne de la désignation :

« Ea N ue-P rop rié té g revée de l 'u su fru it (bénéficiaire née Je 19 fév rier 1852), d’une m aison, e tc . » 5621 Signé : LOT.

au Palais, à P aris, 26 D écem bre 1923, à 2 heures

I Terres dans l’Oiseà L 'E g la n tie rs . Ferm . 1.200 fr. M. à p. 28 000 fr. 2’ 4 2 h. 8 7 a., à A vrign y, e tc ., can ton s C ler- m ont e t Lianeoupt. F erm . 3.131. M. à p. 70.000 fr. 3« 1 8 h. 0 8 a.,

Me Louât, no ta ire à Senlis, les 201 A E rq u in v illiers. F erm . 1.125 fr. e t 21 novem bre 1923, contenant Mise à jx y D iin n iiiili les opérations de liquidation e t gg qoo fr. 4* Wilo • rruOTlBHS

existé en tre M onsieur Em ilien- Maison à Crépy-en-Valois XÀmédée-Théophile COCU, dem eu- Joséphine. 895 m ètres. U su tru i- ran t à Thieux (Oise), e t Madame ü ère 71 Rns M à p lg ^ fr

|r0 ^ m qébitmReie r ldm neuran t'nà | S ’adresser : à M* LOT, avoué, Senlis, place Aula’s-de-la-B ruyère, 3*, rue du M m it-Thahor, M énard , n* 9 qnn £nouse 1© fo n d s d e S &voué, M oreau, not^ir© à P aris, e o m m e r c e d e m a rc h a n d d e V allée, no ta ire à C répy-en-V alois v i n s , r e s ta u r a te u r e t h ô te l m e u b lé , exp lo ité à Senlis, place A ulas-de-la-B ruyère, n* 2, a é te | a ttribué en tou te proprié té à Ma­dam e FOY , su s-n o m m ée , avec | jouissance à com pter ré tro ac tiv e­m ent du six avril 1923.

Les oppositions se ron t reçues I dans les dix jours qui su iv ron t la p résen te insertion , en l E tude de Me Louât, notaire, où dom icile a | é té élu.

Pour deuxièm e insertion 5631 F. LOUAT.

Ar t . 4.

Ftude de M- Lucien CHASTAING. avoué à Senlis

LA VENTE d ’un im m euble sis a Plailly, annoncée pour avoir lien le Mardi 18 D écem bre 1923 au Tribunal civil de Senlis,

N’AURA PAS LIEU 5626

A r t . 8,

E tude de M® GAZEAU, no ta ire à Senlis.

Suivant co n tra t reçu p ar M' Gazeau, notaire â Senlis, le 3 dé­cem bre 1923, M. G eorges-A rthur M A R C H A L , en trep reneu r de m açonnerie à M ontlognon, a cédé

M. D elphin-Lucien LAVAUIt, m açon, dem euran t à Senlis, rue du P érie r, n° 3, le fon d s de co m ­m erce d’en trep r ise de m açon ­n erie qu’il exploitait à Montîo- gnon.

Les oppositions, s’il y a lieu se ro n t faites en l ’E tude de M® Ga­zeau, no ta ire , dans les dix jou rs qui su ivront la deuxièm e insertion ,

Pour prem ière insertion 5620 GATEAU.

l’adoption de Mademoiselle Liane-

E tude de M® GAZEÀU, notaire à Senlis.

VENTE PAR ADJUDICATIONEN QUATRE LOTS

avec faculté de réunion le V endredi 1 4 D écem bre 1 9 2 8

à quatorze heuresà SENLIS

en l’Etude de M® GAZEAUDES

(Coupes de Bois TaillisET

Arbres de Haute Futaies u r 2 3 H e c t . 0 6 A r e s d e B o isdépendant du Domaine do Chaînant

près Senlis

S ’adresser :Pour v isiter, au G arde du Qhateau; E t pour tous ren se ig n em en ts / k

M. F’AUQUEUX, 61, rue de Mau- beuge, h P aris, e t à M® GAZEAU. no ta ire à S enlis. 5609

A T 1 H B K I

MAISONA SAINT-LÉONARD

rez-de-çhaussée , p rem ier étage Etude de M® M arcel VIDY, notaire | en to u t 6 pièces et g ren ie r, cour.

Ar t . 9.

k Chantilly.

D EU XIEM E IN SERTIO N

S ’ad resser à M® I notaire à Seqljs,

LANGLOIS,5608

Suivant acte reçu parM c VIDY, J le 21 novem bre 1923, M. Louis]

Yvonne-Marguerite ^ Spéliers, _ par [ B RA 1ZU LIER e t Madame Eugénie. r i M b e r T , son épouse, dem eu­

ran t à Boran, place du Carouge, ont vendu à M. Céiestin RAFFY. sans profession, e t M adame Flé- lène SIMON, son épouse, dem eu­ra n t à Frépillon, le com m erce de v in s, restau rateu r , h ôtel, exploité à Boran, place du Gar- rouge, sous l’enseigne Café de la Gare, avec to u t ce qui en dépend-

Les oppositions se ro n t reçues dans les dix jou rs qui su iv ron t la p résen te in sertion , en l ’E tude de M®VIDY, nota ire à C hantilly , do m icile élu .5601 Signé : VIDY.

Monsieur Pierre Ruillier, sus-nom­mé, et ce en vertu.dçs articles trois cent soixante-deux et suivants du eode civil. — Ordonne l’emploi des dépens en frais privilégiés, et en prononce distraction au profit de Maître Escavy, avoué aux offres de droit. — Ainsi jugé en Chambre du Conseil, et prononcé en l’audience publique du Tribunal civil dé P re­mière Instance, séant à Senlis, en l’une des salles de l’ancien évêché, place Notre-Dame, le mardi treize novembre mil neuf cent vingt trois par Messieurs Henry Jorrot, prési- sident ; Herbet, juge ; Et Paul

lapide Senlis, délégué par Monsieur le

w

Etude de M® L o v to G U R T IMgradué ea droit

huissier à Chantilly.

A COYE, Grande Rue, n° 19V E N T E V O L O N T A IR E

aux enchères publiquesDE

Bons Meublesle Dimanche 9 Décembre 1933

à Pi heures par le m in istè re de.M* GUÉTIN

huissier à Chantilly.

A» Comptant, • F rah ordinaire» 5614

LE COURftijgït UF L’OIS»

E tude de M* M arcel TOUCHAUDcom m issaire-priseur

de l’arrond issem ent de Senlis suce ' d e M”H. D e l im o g e s .

Le Dimanche 16 Décembre 1923à quatorze heures

A. S E N S s EN L ’ H O TEL D E S V E N T E S

14, rue de Beauvais

V E N T E V O L O N T A I R Eaux ®nohèr®8 publiques

DEBEAUX & BONS

M E U B L E SA la requête

de d ivers p ro p r ié ta ire s .

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Au comptant. 15 °/„ en sus

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Etude de M* L O U A T , notaireà Senlis.

A vendre par adjudication volon­ta ire , une M aison de Rapportsise à P lailly, rue d En-Haut, et un V erger sis même com m une, lieudit p rès le P u its à Loups, le Sam edi 22 D écem bre 1923, à q u a­to rze heu res tren te , à P lailly , eu une des salles de la Mairie, par le m in istè re de Me Louât, notaire.

E tude de M- LANGLOIS, notaire à Senlis.

T e r r a i n entouré de m urs, pou­van t convenir à l’industrie , de 3.350 m ètres, à la Gare de Senlis, à vendre à l’am iable.

V ille de Senlis. — A vendre par adjudication, à la requête de fa V ille de Senlis, le Lundi 24 Dé­ce m b re 1923, à qu a to rze h e u re sl ’H ô te l d e V il le , i 4 4 A r b r e s dediverses essen ces, situés sur le te rr ito ire de Senlis.

Etude de M ' R o b e r t B O IL E T notaire à Pont-Ste-Maxence

A vendre par adjudication, en un seu l lot, en la Mairie de Ver- neuil e t par le m in istè re de M* R . Boilet, notaire à P o n t-S ain te- Maxence, le Sam edi 22 D écem bre 1923, à tro is heu res de relevée, M aison avec Jard in s, lib re de location, sise à M ontlaville, com ­m une de V erneuil sur-O ise.

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Etudes de M' L. CHASTAING,avoué à Senlis

Et de M" PILLEBOUT,notaire à Crépy-en-Valois

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27 Décembre 1823, à 14 heures,en l’Ecole de Fresnoy-la-Rivière par le ministère de M' Pillebout notaire à Crépy-en-Valois, com mis à cet effet.

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L ’adjudication aura lieu le V en­d red i 21 D écem bre 1 9 2 3 ,14 heures, en l’E tude e t p a r l.e m in istè re de M ’ RAIMONDI, notaire à La Ferté-M ilon(A isne) commis à ce t effet.

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V ente M obilière, à P récy -su r- Oise, rue de Gorée ou de Blain­court, en la m aison où est décédé M. Thom as, le D im anche 23 Dé cem bre 1923, à une heu re du soir, par le m in is tè re de M6 Lacroix, notaire.

E tude de M® BOILEAU, notaire à N anteuil-le-H audouin.

A vendre à l’am iable, M aison sise à N anteuil-le-H audouin, rue aux F ouarres.

E tudes de M® Gaston LOIRavoué à Senlis

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L ’adjudication aura lieu le JEUDI 1 8 DECEMBRE 1 9 2 3 , à q u a ­torze heures trente, en la Mairie de B orest, par le m inistère de M' LOUAT, no ta ire à Senlis.

Etudes de M” L. CHASTAING,avoué à Senlis

Et de- M' PILLEBOUT,notaire à Crépy-en-Valois

V ente su r licitation de : une M aison, sise au Voisin, com m une de Bonneuil-en-V alois, e t de 1 4 P ièces de T erre e t P ré, sise te rro ir dudit Bonneuil, en 15 lots L’adjudication aura lieu le Jeudi

20 Décembre 1823, à 14 heures, en l’école des garçons de Bon­neuil-en-Valois, par le ministère de Me Pillebout, notaire à Crépy en-Valois, commis à cet effet.

E tudes de M' G eorges MORANDavoué à Senlis

e t de M' FERRY, notaire à Béthisy- S ain t-P ierre .

V ente sü r lic itation de : une M aison, sise à G laignes, rou te d ’Orrouy à Crépy-en-V alois.

L’adjudication aura lieu le Jeudi 2 0 D écem bre 1 9 2 3 , à qua­torze heures, en la Mairie de G laignes. par le m inistère de M® FERRY, notaire à Béthisy- S a in t-P ierre , commis à ce t effet.

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