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P’TIT JOURNAL
JANVIER 2016
EHPAD « Auguste Arvier »
21360 Bligny Sur Ouche
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Janvier
Janvier est le premier mois des
calendriers grégorien et julien, l'un des sept mois
possédant 31 jours.
Etymologie
Le nom de Janvier provient du nom latin du
mois, ianuarius ou januarius, lui-même nommé en
l'honneur de Janus, dieu romain dieu des
commencements et des fins, des choix, des clés et
des portes.
Autres noms
En finnois, Janvier est nommé tammikuu,
c'est-à-dire « mois du chêne » ; cependant, son sens
originel est « mois du cœur de
l'hiver », tammi signifiant « axe » ou « noyau ».
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En tchèque, le mois est nommé leden, « mois de
glace ».
En ukrainien, Janvier porte le nom de січень,
« coupant » ou « tranchant ».
Histoire, origine
À l'origine, le calendrier romain est
composé de 10 mois, totalisant 304 jours ;
les 61 jours d'hiver ne font alors partie
d'aucun mois. Vers 713 av. J.-C., le roi
légendaire Numa Pompilius aurait ajouté les
mois de Janvier et Février, étendant l'année à 355
jours.
Longueur
Dans le calendrier de Numa ainsi que le
calendrier romain républicain, Janvier possède 29
jours. Il se voit attribuer les 31 jours actuels lors de
l'introduction du calendrier julien.
Début d’année
Mars est initialement le premier
mois de l'ancien calendrier romain.
Janvier le devient soit sous Numa, soit
sous les decemviri vers 450 av. J.-C.
4
Cependant, les années romaines sont identifiées
par deux consuls, qui prennent leurs fonctions
le 1er mai et le 15 mars avant 153 av. J.-C., puis
le 1er janvier après cette date.
Pendant le Moyen Âge en Europe, plusieurs fêtes
chrétiennes sont utilisées pour marquer le nouvel
an, dont le 25 Mars et le 25 Décembre. Cependant,
les calendriers médiévaux continuent à afficher les
années selon la coutume romaine, en douze
colonnes allant de Janvier à Décembre. À partir
du XVIe siècle, les pays européens commencent à
rétablir officiellement le 1er Janvier comme date de
début d'année.
Dictons et interprétations
Ces dictons traditionnels, parfois discutables, ne
traduisent une réalité que pour les pays tempérés
de l'hémisphère nord.
« Autant de bonnes journées en janvier, autant de
mauvaises en mai », « quand la lune chevauche
en janvier, autant de gelées en mai » car « les
douze premiers jours de
janvier indiquent le
temps qu'il fera les
douze mois de l'année »
« Janvier sec et sage
est un bon présage »,
5
« poussière de janvier, abondance au grenier »,
« si le soir des rois beaucoup d'étoiles tu vois,
sécheresse en été tu auras et œufs au poulailler »,
« quand sec est janvier, ne doit se faire plaindre
le fermier », « gelée (ou neige) en janvier, blé au
grenier », « neige en janvier, vaut du fumier »,
« janvier rigoureux, an très heureux »
Un temps de janvier froid et sec favorise
la dormance des graines et leur future germination,
ce qui annonce de futures bonnes récoltes.
« Si Janvier ne prend son manteau, malheur aux
arbres, aux moissons, aux coteaux », « janvier
d'eau chiche rend le paysan riche. »
Le couvert de neige protège du gel.
« Janvier détrempé, signe de cherté », « s'il tonne
en janvier, cuves au fumier. »
Un mois pluvieux donc doux empêche
la dormance des graines et leur future germination,
d'où des récoltes réduites.
« Si la grive chante au mois de Janvier, bouvier
prend garde à ton grenier » ou « si les mouches
dansent en Janvier, ménage ton foin au grenier. »
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Evènements en Janvier
Le nouvel an : 1er Janvier
L’Epiphanie : 6 Janvier
Journée des câlins : 21 Janvier
Le nouvel an des arbres : 25 Janvier
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L’Epiphanie
L'Épiphanie est une fête chrétienne qui célèbre
le Messie venu et incarné dans le monde et qui
reçoit la visite et l'hommage des rois mages. Elle a
lieu le 6 Janvier.
Depuis 1971, dans les pays où l'Épiphanie n'est pas
un jour férié, elle peut se fêter le deuxième
dimanche après Noël, c'est-à-dire le premier
dimanche qui suit le 1er janvier.
La fête s'appelle aussi « Théophanie », qui signifie
également la « manifestation de Dieu ».
Diverses coutumes sont observées à cette occasion.
En France, depuis le Moyen Âge, une « galette des
Rois », gâteau contenant une fève, est partagée ce
jour-là ; celui qui trouve la fève dans sa part de
galette est surnommé « roi ».
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Historique / A l’ origine une fête de la lumière
À l'origine, L'Épiphanie, fait partie du cycle
de Noël et tire son fond et son sens des
célébrations païennes de la Lumière. En effet,
Noël, avant d'être un jour, est d'abord un cycle qui
atteint son apogée au jour marquant le solstice
d'hiver, le 22 Décembre. Cette nuit du solstice —
la plus longue de l'année — annonce le
rallongement des jours et — par extension — la
renaissance de la Lumière censée être à l'origine de
toutes choses. Puis la célébration se prolonge après
le 25 Décembre durant un nombre de jours
hautement symbolique : 12 jours et 12 nuits.
Le nombre 12 représentant entre autres la Totalité
(12 mois, 12 heures, 12 dieux olympiens, 12 tribus
d'Israël, 12 apôtres, etc.)
Le cycle prend fin le 6 Janvier. C'est à ce moment
que les jours commencent à s'allonger de façon
sensible, que la promesse de la nuit solsticiale est
tenue, et c'est cette date que choisit le Père de
l'Église Épiphane de Salamine, dans son Panarion,
comme date de naissance de Jésus, afin de réfuter
une date concurrente proposée par la
secte gnostique des Alogoi. On célèbre alors
l'Épiphanie, la manifestation de la Lumière. Par sa
forme ronde et sa couleur dorée, la galette
symbolise le soleil. Il est à noter également que
c'est ce jour (en tout cas son équivalent, car le
calendrier alors en vigueur — le calendrier
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julien — diffère du nôtre) qu'avait lieu sous la
Rome antique la fête des 12 Dieux épiphanes
(autrement dit les 12 Olympiens).
La date de l'Épiphanie correspond aussi à
l'origine à une fête païenne : sous l'Antiquité, les
Romains fêtent les Saturnales qui durent sept jours
pendant lesquels la hiérarchie sociale et la logique
des choses peuvent être critiquées sinon brocardées
et parodiées.
À cette occasion, par exemple :
les soldats tirent au sort, grâce à une fève, un
condamné à mort qui devient « roi » le temps des
réjouissances. Une fois les Saturnales achevées,
la sentence est exécutée ;
parmi les jeunes soldats, un roi est élu et peut
commander tout ce qui lui plait;
peut être opéré un changement de rôle
uniquement durant la fête des Saturnales entre le
« maître » et l'« esclave » déterminé ou non par
tirage au sort.
Une fête Chrétienne
Jusqu'à la fin du IVe siècle, l'Épiphanie est la
grande et unique fête chrétienne « de la
manifestation du Christ dans le monde »
(manifestation exprimée d'abord, par la venue des
10
mages puis ensuite par différents épisodes : la
Nativité, la voix du Père et la présence d'une
colombe lors du baptême sur le Jourdain, le
miracle de Cana, etc.). Des pères de
l'Église comme Jean Chrysostome ont fixé des
traditions pour commémorer le même jour trois
événements lors de la fête de la théophanie :
l'adoration des mages, le baptême dans le
Jourdain situé trente ans plus tard et les noces de
Cana trente-et-un ans plus tard. Dès le Moyen Âge,
la liturgie chrétienne a rassemblé ces trois
événements mais la piété et l'art chrétiens ont
privilégié l'adoration des mages.
Depuis l'introduction d'une fête de la Nativité
(Noël) le 25 décembre, la liturgie actuelle de
l'Épiphanie met l'accent sur des sens spécifiques
selon les confessions et les cultures.
Depuis le XIXe siècle on l'appelle aussi le « jour
des Rois » en référence directe à la venue et à
l'adoration des rois mages.
Sens chrétien de l’Epiphanie
L'Épiphanie chrétienne célèbre, ainsi que le
rapportent l'évangile et la tradition, la
manifestation publique du fils de Dieu incarné,
Jésus, au monde, non pas comme dans la
mythologie grecque à partir d'une révélation
extérieure à l'humanité et faite sous les apparences
11
de l'humanité, mais sous la forme d'un enfant
engendré, en un temps historique donné, au sein du
peuple juif (dans la lignée de David). Le Messie,
qui, après avoir rencontré les petits et les proches
(les bergers), prend place et rencontre le monde
dans toute sa diversité, telle qu'elle est symbolisée
par des mages, que l'on dit être rois ou savants, de
toutes origines (l'un est noir) et venus de pays
lointains (situés à l'est de l'Orient). Ainsi est
réaffirmée la dimension universelle du message
évangélique.
Dans l’église latine
Cette fête célèbre la visite et l'adoration de
l'enfant Jésus par les « mages », relatée dans
l'Évangile selon Matthieu. Bien que la Bible ne
donne pas leur nombre et ne parle que de « savants
venus d'Orient », la tradition a fait qu'ils sont
habituellement appelés les trois Rois mages et sont
nommés respectivement : Gaspard, Melchior et
Balthazar, noms dont les initiales reprennent celles
de la bénédiction : « Christus Mansionem
Benedicat », « que le Christ bénisse la demeure ».
Elle est la quatrième des cinq grandes fêtes
cardinales de l'année liturgique catholique.
Dans certains pays, la célébration liturgique de la
fête est reportée à un dimanche, en vertu
d'un indult papal. Il s'agit de permettre aux gens de
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célébrer la fête dans les cas où ils doivent travailler
le 6 janvier si ce jour n'est pas férié. Ainsi,
en France et en Belgique, cette fête est célébrée le
deuxième dimanche après Noël. En Espagne, où la
célébration de l'Épiphanie est particulièrement
importante, le jour est férié.
L’Epiphanie dans la tradition populaire
La tradition veut que l'Épiphanie soit
l'occasion de « tirer les rois » : une figurine est
cachée dans une pâtisserie et la personne qui
obtient cette fève devient le roi de la journée.
Cette pratique trouverait son origine dans
les Saturnales de la Rome antique. Pendant ces
fêtes païennes célébrées début janvier, les rôles
étaient inversés entre les maîtres et les esclaves qui
devenaient les « rois d'un jour».
Ce n'est que vers 1875 que les figurines en
porcelaine remplacent les fèves. Les Romains
pratiquent déjà l'usage d'une fève dissimulée dans
un gâteau pour désigner le roi. Existait également
chez les Romains, la tradition selon laquelle le plus
jeune enfant de la famille se glisse sous la table et
désigne la part revenant à chaque convive.
En France
Depuis le XIVe siècle, on mange la galette des
Rois à l'occasion de cette fête. La tradition veut
que l'on partage la galette en autant de parts que de
convives, plus une. Cette dernière, appelée « part
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du bon Dieu », « part de la Vierge » ou « part du
Pauvre », est destinée au premier pauvre qui se
présenterait au logis.
Usage actuel
La traditionnelle fève est accompagnée ou
remplacée par un petit sujet caché à l'intérieur de la
pâte de la galette des Rois. La personne ayant dans
sa part la fève est symboliquement couronnée roi
ou reine (de plus en plus, entre amis et/où surtout
dans le contexte professionnel : le roi se doit
d'offrir la prochaine galette ; et lorsqu'il y a un
sujet, celui qui l'a, se doit d'offrir la boisson
(mousseux, muscat, ou champagne selon la
bourse...)).
Lorsqu'il y a des enfants, l'un d'entre eux – en
général le plus jeune – doit se placer sous la table
et, tandis que la personne qui fait le service choisit
un morceau, l'enfant désigne le destinataire de cette
portion.
Autres variantes
Certaines familles s'arrangent pour que la fève
ou la figurine revienne à un des plus jeunes
enfants. Il est couronné roi ou reine et il choisit
alors son roi ou sa reine (qui est souvent sa mère
ou son père).
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Fréquemment, les « Rois » sont tirés plusieurs fois
au cours de la période.
Dans le Sud (Est ET Ouest) de la France,
traditionnellement on ne prépare pas une galette
(au sens littéral) mais une brioche en forme de
couronne, (nommée « còca » en occitan) et qui est
couverte de sucre granulé, en plus du sucre, elle
peut être garnie et/ou couverte de fruits confits.
Dans le Sud-Est, un santon (généralement
santon-puce) tend à remplacer la fève.
Cette « couronne des Rois » est encore très
présente dans le Sud-Ouest, même si elle se fait
concurrencer par la galette, parfois moins chère
(les fruits confits seraient coûteux) mais surtout de
fabrication et conservation plus facile, (voire de
manipulation !), et elle tendrait à diminuer dans le
Sud-Est.
À Paris, les artisans boulangers-pâtissiers
offrent tous les ans la galette de l'Élysée. Cette
galette ne contient pas de fève de façon que le
président de la République ne puisse pas être
couronné. Cette tradition remonte à l'année 1975,
date à laquelle fut offerte à Valéry Giscard
d'Estaing une galette géante d'un mètre de
diamètre.
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Galette des rois et laïcité
Alors qu'en 2014, la présence de crèches dans
des lieux publics avait généré une importante
polémique en France, la galette entraîne, elle,
rarement des crispations identitaires. Toutefois, par
exemple lors de la préparation des cérémonies des
galettes en 2013 à Brest, la mairie a décidé de
retirer toutes les couronnes. Les services
expliquent que « Cette année, sur la couronne était
inscrit le mot « Épiphanie ». À nos yeux, c'était
faire rentrer le religieux à l'école, ce qui est interdit
par la loi ».
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Journée des câlins, Hug Day
Un câlin, que ça fait du bien... Qu'il vous soit
donné par un enfant, un parent, votre chéri(e), ou
simplement par une personne amicale, le câlin
apaise et rassure. Ce constat a inspiré la création
d'une journée dédiée aux câlins, le 21 Janvier
chaque année. Nous allons vous raconter l'histoire
de cette journée bonne pour le moral et d'utilité
publique !
"Hug Day" ou "Journée des câlins"
C'est le 29 Mars 1986 à Caro dans le Michigan que
le révérend Kevin Zaborney créa la première
journée des câlins. Il avait fait le constat que la
période située entre la fin des fêtes de fin d'année
et la St Valentin était propice à la déprime.
Pourquoi ? Tout simplement parce qu'après avoir
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bénéficié de la chaleur humaine des fêtes passées
en famille, un grand nombre de gens souffraient
d'un manque de contact émotionnel. Plutôt que de
les laisser patienter jusqu'à la Saint Valentin pour
recevoir des marques d'amour, il était
donc bénéfique d'encourager les gens, vers la fin
Janvier, à libérer leur affectivité.
Le mouvement "câlin gratuit", "Free Hugs"
En parallèle de la
Journée des câlins, une
autre bonne raison de
mettre le câlin à
l'honneur est le mouvement "Free Hugs" que l'on
peut traduire par "Câlin gratuit". Le principe est
simple : un individu propose, dans un lieu
public, une accolade sans contrepartie et le
manifeste par une petite pancarte sur laquelle il est
écrit "Free hugs" ou "câlin gratuit". Ce concept a
été inventé en 2004 en Australie par Juan Mann.
Ce dernier, loin de sa ville natale et trouvant la
grande ville triste et dépourvue de chaleur
humaine, eut l'idée de réchauffer l'atmosphère en
brandissant une petite pancarte réclamant des
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câlins. Le succès fut immédiat et le concept se
propagea dans le monde entier.
Envoyez des câlins
En l'honneur de la journée des
câlins, nous vous proposons trois
résolutions à prendre pour se faire
du bien et faire du bien autour de
soi :
- Serrer dans ses bras des personnes que l'on
apprécie mais à qui on ne l'a jamais dit (voisins,
amis, collègues...)
- A tous ceux que vous ne pouvez serrer dans vos
bras parce qu'ils sont loin, nous vous
suggérons l'envoi d'une carte papier câlin.
- Vous avez remarqué une personne qui vient de
s'installer dans votre quartier ? Pourquoi ne pas
aider cette personne en lui présentant vos voisins,
en lui indiquant les commerces de proximité ou les
pôles d'activité tels qu’équipements sportifs,
médiathèque, cinéma... Si vous n'osez pas lui
proposer un câlin, au moins optez pour le sourire !
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Le nouvel an des arbres
Tou Bichvat est une fête juive qui, dans le
calendrier luni-solaire hébraïque, a lieu le 15 du
mois de Chevat. En hébreu, "Tou" désigne le
chiffre 15 et le nom de cette fête correspond donc à
la date à laquelle on la célèbre. L'équivalent de
cette date dans le calendrier occidental, le
calendrier grégorien, varie d'année en année et en
2016, Tou Bichvat tombe le 25 janvier. On
l'appelle aussi nouvel an des arbres, car c'est une
fête qui célèbre le renouveau de la nature puisqu'en
Israël cette date marque la fin de l'hiver.
En Israël, à Tou Bichvat, la coutume veut que
l'on plante des milliers de jeunes arbres, destinés à
faire reculer le désert et à bien marquer le lien
étroit qui existe entre l'homme et la nature. Les
Juifs de la Diaspora qui ne peuvent être sur place
peuvent faire un don pour qu'un arbre soit planté
en leur nom.
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Festin de fruits
Lors de Tou Bichvat, on se
régale de fruits, parmi lesquels
figurent généralement le raisin,
la grenade, la figue, la datte, l'olive, les fruits du
caroubier et de l'amandier. La beauté de la fête
exige que l'on réunisse sur la table au moins quinze
sortes différentes de fruits, les plus rares et les plus
exotiques ajoutant encore au plaisir des convives.
Une fête écologique :
Ce jour de fête est l'occasion d'activités en
pleine nature puisque Tou Bichvat est par
excellence une fête écologique. Les jeunes enfants
sont sensibilisés à la beauté de la nature, par des
promenades dans des sites naturels. Ce n'est
cependant pas la seule occasion symbolique de
planter des arbres.
En effet les Juifs ont coutume de planter un cèdre à
la naissance d'un garçon et un cyprès à la naissance
d'une fille.
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Galette des rois
Temps de préparation : 15 minutes
Temps de cuisson : 40 minutes
Ingrédients (pour 6 personnes) :
- 2 pâtes feuilletées
- 100 g de poudre d'amandes
- 75 g de sucre semoule
- 1 œuf
- 50 g de beurre mou
- quelques gouttes d'extrait d'amande amère
- 1 jaune d'œuf pour dorer
- 1 fève
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Préparation de la recette :
Disposer une pâte dans un moule à
tarte, la piquer avec 1 fourchette.
Mélanger dans un saladier tous les ingrédients
(poudre d'amandes, sucre, œuf, beurre mou et
extrait d'amande amère).
Etaler la préparation sur la pâte, y mettre la fève
(sur un bord, pour minimiser les chances de tomber
dessus en coupant la galette!).
Refermer la galette avec la seconde pâte
et bien souder les bords.
A l'aide d'un couteau, décorer la pâte en y traçant
des dessins et dorer au jaune d'œuf (dilué dans un
peu d'eau).
Percer le dessus de petits trous pour laisser l'air
s'échapper, sinon elle risque de gonfler et de se
dessécher.
Enfourner à 210°C (thermostat 7) pendant 30
minutes environ.
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LES ANNIVERSAIRES DE DECEMBRE
Mme LARCHER
Jeanne, 101 ans
Mme DURAND
Rolande, 85 ans
Mme LAGRANGE
Paulette, 86 ans
Mme MADON
Gisèle, 79 ans
25
Mr ANUS Jean Yves,
81 ans
Mesdames CUGNEY
Lucienne 96 ans,
MONIN Maria 89 ans
Mesdames ROCHER
Lucienne, DEBOIBE
Marie Louise 90 ans
26
Les résidents ont crée toutes sortes de
décoration de table pour le repas de Noël
ANIMATIONS
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Nous souhaitons la bienvenue à
Mr EMORINE Alfred. Entré le 15 Décembre
2015.
NOUVEL ARRIVANT
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Nous nous sommes retrouvés le 12 Décembre
pour célébrer le repas de Noël de la maison de
retraite.
EVENEMENT
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JEUX
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34
REPONSES JEUX