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TEMPS FORT RENCONTRE MIGRATIONS ET MONDIALISATION INVITÉS: Daniele Incalcaterra réalisateur de El Impenetrable Marco Bechis réalisateur de La Terre des hommes rouges ANIMÉE PAR ERICK GONZALEZ, PROGRAMMATEUR CINÉLATINO, RENCONTRES DE TOULOUSE VENDREDI 22 MARS _ 17H00 CAVE POÉSIE 20H _ ABC REMISE DES PRIX DE LA COMPÉTITION DOCUMENTAIRE RETROUVEZ SUR LE BLOG LINTÉGRALITÉ DE LENTRETIEN AVEC GONZALO TOBAL, LE RÉALISATEUR DE VILLEGAS AINSI QUE LES DEUX ACTEURS PRINCIPAUX ESTEBAN BIGLIARDI ET ESTEBAN LAMOTHE. www.arcalt.fr/blog MAEVE COOKE, TANIA CAMPOS. ILS SONT ARRIVÉS RENAISSANCE L’EAU ET L’OUÏE TOUS VICTIMES RENCONTRE AVEC MAURICE LEMOINE vendredi 22 mars _ 18h _ Librairie Terra Nova Après avoir travaillé pour France Culture et Amnesty International, il devient rédacteur en chef du Monde diplomatique (2006-2010). Spécialiste de l’histoire politique de l’Amérique latine, il livre un nouveau roman situé dans un village tropical au cœur du conflit colombien, Sur les eaux noires du fleuve aux éditions Don Quichotte. LA PELíCULA www.cinelatino.com.fr Les 25 es Rencontres de Toulouse le quotidien de Cinélatino Le film en compétition Polvo est le quatrième long-métrage du réalisateur guatémaltèque Julio Hernández Cordón qui a coécrit le scénario avec Mateo Iribarren (Tony Manero). « Le film, nous dit Hernández, parle de la vengeance, de l’après-guerre au Guate- mala, de la paternité et de la relation que peut établir un réalisateur avec ses per- sonnages. Comme dans mon pays il n’y a pas de fonds pour faire du cinéma, j’ai cherché des soutien pour réussir à racont- er mon histoire. Ainsi, le film est en copro- duction avec le Guatemala, l’Espagne, le Chili et l’Allemagne ». Une constante de ses films, très remarqués au niveau international, est l’improvisation. C’est un film captivant par la force de ses images, l’enthousiasme et l’humour de ses protagonistes. Comme point de départ du projet artistique de Cildo Meireles, il y a ce jeu de miroir entre les mots RIO et OIR. C’est le cas de le dire, l’œuvre sera inouïe : une sculpture sonore des grands fleuves brésiliens. D’abord, il faut de la matière, du son brut capté sur le terrain. On part donc à la suite d’une ingénieur du son à l’inventivité débridée ; on l’accompagne dans sa quête du saint-glouglou, sa traque du plic-ploc magique. Moments intenses ! Et le constat, la réflexion s’imposent peu à peu : la virginité des cours d’eau, même Pas d’images, juste le son d’une voix haletante, puis de l’eau qui coule. Après quelques secondes, un homme, tout aussi stressant que son souffle, ap- paraît à l’écran. Il passe un coup de fil puis se met à frapper sur tout ce qui l’entoure. Alejandro est, à l’image des premières minutes de Carne de perro, un person- nage mystérieux mais surtout torturé, à la fois fictif et inspiré de la société chi- lienne actuelle. « J’aimais bien l’idée de provoquer chez le spectateur un dilemme éthique, entre sympathie et haine pour ce personnage », explique le jeune réalisa- teur Fernando Guzzoni, qui signe son pre- mier long métrage. Beaucoup de non-dits et une ambiguïté qui font toute la subtilité « J’aime bien travailler avec des amateurs et tourner sans être attaché à un scé- nario. Mes films parlent de moi-même et de ma perception de l’endroit où j’habite. J’aime raconter des histoires dont les per- sonnages sont des outsiders ». Son deuxième film, Las marimbas del infierno, a obtenu le prix Coup de cœur du Festival Cinélatino en 2011. « C’est un festival de cinéma important pour moi, que j’admire, et dans lequel je me sens à l’aise, d’autant plus qu’il a aidé à ce que mon film sorte en salles dans plusieurs pays de l’Union Européenne. » P.O. brésiliens, n’est plus qu’une illusion. Alors le projet artistique initial évolue pour pren- dre en compte la réalité. En regardant le film de Marcela Lordy, on songe au barrage de Belo Monte qui noiera les villages indigènes du Haut-Xingu. Cinéma... Politique... JF.M. de cette fiction. Quelques signes anodins renseignent le spectateur sur le passé du personnage : un drapeau chilien, une con- versation avec un ancien compagnon, des médailles… Un passé qu’il tente d’oublier, des souvenirs enfouis aux répercutions palpables et comme seul apaisement, l’eau. Sous la douche, dans la mer ou la piscine : « c’est comme si l’eau était in- consciemment un élément guérisseur ». Une fiction riche en symboles et en inter- rogations sur les conséquences qu’une étape sombre de l’Histoire peut provoquer sur une population. A.C. POLVO JULIO HERNÁNDEZ CORDÓN/GUATEMALA 2012/1H20 22 mars_19h45_Cinémathèque 1 CARNE DE PERRO FERNANDO GUZZONI/CHILI-FRANCE-ALLEMAGNE 2011/1H21 22 mars_22h_Gaumont Wilson OUVIR O RIO MARCELA LORDY/BRÉSIL 2012/1H12 22 mars_17h30_ABC 1 [COMPÉTITION FICTION] Au Guatemala durant la dictature du général Efraín Ríos Montt (1982-1985), 440 villages ont été rasés, près de 200 000 Mayas ont été massacrés. 40 000 réfugiés ont fui vers le Mexique. [COMPÉTITION DOCUMENTAIRE] Cildo Meireles, né en 1948 à Rio de Janeiro, est un plasticien et sculpteur brésilien, principalement connu pour ses installations dont la plupart expriment une résistance à l’oppression politique brésilienne. En 1970, dans un Brésil en pleine dictature, il élabora un projet d’art politique qui visa un large public tout en évitant la censure. Il réalisa l’impression d’images et de messages sur divers éléments déjà largement diffusés et qu’on ne pouvait pas facilement détruire comme des billets de banque et des bouteilles de Coca-Cola. Il a continué cette action jusqu’en 1976. [COMPÉTITION FICTION] En 2010, Fernando Guzzoni a été sélectionné à la Résidence de Cannes, ce qui lui a permis d’écrire le scénario de Carne de perro. Il a également remporté le Prix du meilleur film au festival San Sebastián en 2012. APÉRO CONCERT 18H30_COUR DE LA CINÉMATHÈQUE EL GATO NEGRO Y SU CUMBO TROPICAL Fusión Cumbia, Son Reggae n ° 7 vendredi 22 mars 2013 Suivie du film Tropicália de Marcelo Machado AUTRES FILMS EN COMPÉTITION PROJETÉS AUJOURD’HUI CIVILIZACIÓN de Rubén Guzmán [Argentine – 2012 - 1h18] 12H15 _ ABC 1 LAS LÁGRIMAS de Pablo Delgado Sánchez [Mexique - 2012 - 1h08] 13H50 _ ABC 1 ERA UMA VEZ EU, VERÔNICA de Marcelo Gomes [Brésil, France - 2012 - 1h31] 16H00 _ GAUMONT WILSON “La magie du cinéma permet de transmettre certaines émotions à travers une démarche intuitive : c’est fascinant de voir que certaines énergies de la vie réussissent à apparaître dans un film!” RETROUVEZ L INTÉGRALITÉ DE L ARTICLE SUR LE BLOG DU FESTIVAL RETROUVEZ L INTÉGRALITÉ DE L ARTICLE SUR LE BLOG DU FESTIVAL

Pelicula du 22 Mars 2013

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Version complète de La Pelicula du 22 Mars 2013

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T E M P S F O R T

RENCONTRE MIGRATIONS

ET MONDIALISATIONInvItés:

Daniele Incalcaterra réalisateur de El Impenetrable

Marco Bechis réalisateur de

La Terre des hommes rouges

AnImée pAr erIck GonzAlez, proGrAmmAteur cInélAtIno,

rencontres de toulouse

VEnDrEDI 22 Mars _ 17h00CAvE POéSIE

20H _ ABC

REMISE DES PRIX DE LA COMPÉTITION DOCUMENTAIRE

RetRouvez suR le blog l’intégRalité de l’entRetien avec gonzalo tobal, le RéalisateuR de villegas ainsi que les deux acteuRs pRincipaux esteban bigliaRdi et esteban lamothe.

www.arcalt.fr/blog

MAEVE COOKE, TANIA CAMPOS.

ils sont arrivés

r e n a i s s a n c e

L ’ e a u e t L ’ o u ï e

t o u s v i c t i m e s

rencontre avec maurice Lemoine

vendredi 22 mars _ 18h _ Librairie Terra Nova

Après avoir travaillé pour France Culture et Amnesty International, il devient rédacteur en chef du Monde diplomatique (2006-2010). Spécialiste de l’histoire politique de l’Amérique latine, il livre un nouveau roman situé dans un village tropical au cœur du conflit colombien, Sur les eaux noires du fleuve aux éditions Don Quichotte.

La PELíCULa

www.cinelatino.com.fr

Les 25es rencontres de Toulouse le quotidien de Cinélatino

Le film en compétition Polvo est le quatrième long-métrage du réalisateur guatémaltèque Julio Hernández Cordón qui a coécrit le scénario avec Mateo Iribarren (Tony Manero).« Le film, nous dit Hernández, parle de la vengeance, de l’après-guerre au Guate-mala, de la paternité et de la relation que peut établir un réalisateur avec ses per-sonnages. Comme dans mon pays il n’y a pas de fonds pour faire du cinéma, j’ai cherché des soutien pour réussir à racont-er mon histoire. Ainsi, le film est en copro-duction avec le Guatemala, l’Espagne, le Chili et l’Allemagne ».Une constante de ses films, très remarqués au niveau international, est l’improvisation.

C’est un film captivant par la force de ses images, l’enthousiasme et l’humour de ses protagonistes. Comme point de départ du projet artistique de Cildo Meireles, il y a ce jeu de miroir entre les mots RIO et OIR. C’est le cas de le dire, l’œuvre sera inouïe : une sculpture sonore des grands fleuves brésiliens.

D’abord, il faut de la matière, du son brut capté sur le terrain. On part donc à la suite d’une ingénieur du son à l’inventivité débridée ; on l’accompagne dans sa quête du saint-glouglou, sa traque du plic-ploc magique. Moments intenses !Et le constat, la réflexion s’imposent peu à peu : la virginité des cours d’eau, même

Pas d’images, juste le son d’une voix haletante, puis de l’eau qui coule. Après quelques secondes, un homme, tout aussi stressant que son souffle, ap-paraît à l’écran. Il passe un coup de fil puis se met à frapper sur tout ce qui l’entoure. Alejandro est, à l’image des premières minutes de Carne de perro, un person-nage mystérieux mais surtout torturé, à la fois fictif et inspiré de la société chi-lienne actuelle. « J’aimais bien l’idée de provoquer chez le spectateur un dilemme éthique, entre sympathie et haine pour ce personnage », explique le jeune réalisa-teur Fernando Guzzoni, qui signe son pre-mier long métrage. Beaucoup de non-dits et une ambiguïté qui font toute la subtilité

« J’aime bien travailler avec des amateurs et tourner sans être attaché à un scé-nario. Mes films parlent de moi-même et de ma perception de l’endroit où j’habite. J’aime raconter des histoires dont les per-sonnages sont des outsiders ».Son deuxième film, Las marimbas del infierno, a obtenu le prix Coup de cœur du Festival Cinélatino en 2011. « C’est un festival de cinéma important pour moi, que j’admire, et dans lequel je me sens à l’aise, d’autant plus qu’il a aidé à ce que mon film sorte en salles dans plusieurs pays de l’Union Européenne. » P.O.

brésiliens, n’est plus qu’une illusion. Alors le projet artistique initial évolue pour pren-dre en compte la réalité.En regardant le film de Marcela Lordy, on songe au barrage de Belo Monte qui noiera les villages indigènes du Haut-Xingu. Cinéma... Politique... JF.M.

de cette fiction. Quelques signes anodins renseignent le spectateur sur le passé du personnage : un drapeau chilien, une con-versation avec un ancien compagnon, des médailles… Un passé qu’il tente d’oublier, des souvenirs enfouis aux répercutions palpables et comme seul apaisement, l’eau. Sous la douche, dans la mer ou la piscine : « c’est comme si l’eau était in-consciemment un élément guérisseur ». Une fiction riche en symboles et en inter-rogations sur les conséquences qu’une étape sombre de l’Histoire peut provoquer sur une population. a.C.

POLVOJULIO HERNÁNDEZ CORDÓN/GUATEMALA 2012/1H20

22 mars_19h45_Cinémathèque 1

CarnE DE PErrOFERNANDO GUZZONI/CHILI-FRANCE-ALLEMAGNE 2011/1H21

22 mars_22h_Gaumont Wilson

OUVIr O rIOMARCELA LORDY/BRÉSIL 2012/1H12

22 mars_17h30_ABC 1

[compétition fiction] Au Guatemala durant la dictature du général

Efraín Ríos Montt (1982-1985), 440 villages ont été rasés, près de 200 000 Mayas ont été massacrés. 40 000 réfugiés ont fui vers le Mexique.

[compétition documentaire] Cildo Meireles, né en 1948 à Rio de Janeiro, est

un plasticien et sculpteur brésilien, principalement connu pour ses installations dont la plupart expriment une résistance à l’oppression politique brésilienne. En 1970, dans un Brésil en pleine dictature, il élabora un projet d’art politique qui visa un large public tout en évitant la censure. Il réalisa l’impression d’images et de messages sur divers éléments déjà largement diffusés et qu’on ne pouvait pas facilement détruire comme des billets de banque et des bouteilles de Coca-Cola. Il a continué cette action jusqu’en 1976.

[compétition fiction] En 2010, Fernando Guzzoni a été sélectionné

à la Résidence de Cannes, ce qui lui a permis d’écrire le scénario de Carne de perro. Il a également remporté le Prix du meilleur film au festival San Sebastián en 2012.

APÉRO CONCERT18H30_COUR DE LA CINÉMATHÈQUE

EL GATO NEGRO Y SU CUMBO TROPICAL

Fusión Cumbia, Son Reggae

n°7 vendredi 22 mars 2013

Suivie du film Tropicália de Marcelo Machado

A U T R E S F I L M S E N C O M P É T I T I O N P R O J E T É S A U J O U R D ’ H U ICIVILIZACIÓN de Rubén Guzmán [Argentine – 2012 - 1h18] 12h15 _ aBC 1LAS LÁGRIMAS de Pablo Delgado Sánchez [Mexique - 2012 - 1h08] 13h50 _ aBC 1ERA UMA VEZ EU, VERÔNICA de Marcelo Gomes [Brésil, France - 2012 - 1h31] 16h00 _ GaUMOnT WILsOn

“La magie du cinéma permet de transmettre certaines émotions à travers une démarche intuitive : c’est fascinant de voir que certaines énergies de la vie réussissent à apparaître dans un film!”

RetRouvez l’intégRalité de l’aRticle suR le blog du festival RetRouvez l’intégRalité de l’aRticle suR le blog du festival

ConCeption graphique : MArTINA SANTuArIMise en page : MArTINA SANTuArI ET SIlVIA CABACOphoto : NICO FrOMENT ET NICOlAS PArENT

cinéaste, n. masc. fém.

métiers de l’ombreCinélatino, en collaboration avec l’Université Toulouse II Le Mirail, a proposé un atelier « Cinéma, Genre et Poli-tique ». Cette manifestation, qui implique des profes-sionnels des mondes scientifique et cinématographique, compte avec la participation des réalisateurs Marialy Rivas (Joven y alocada) et William Vega (La Sirga).Les réalisateurs sont invités pour parler des enjeux de la représentation des genres dans les sociétés latino-américaines. « Tous les sujets d’identité sexuelle ou même d’identité féminine sont normalisés par Dieu et les hommes », confie Rivas. « Dès lors, la quête des femmes pour trouver leur propre identité est inévita-blement politique. Pendant la dictature au Chili, par exemple, il n’y avait pas d’espaces pour l’expression artistique, ni des hommes ni des femmes. La démocra-tie les a ouverts, cependant la présence des femmes dans la production cinématographique reste aléatoire. Des femmes réalisatrices font des choses très inté-ressantes (D. Sotomayor, A. Scherson, C. Luz Parot). Je pense que nous, les femmes, parlons plus de la mé-moire et faisons donc plus volontiers des documentaires. Dans le cinéma, les hommes ont gardé leurs espaces de prédilection, essentiellement de l’action dans des longs- métrages de fiction. Le cinéma féminin du Chili est plus intimiste et personnel. » P.O.

Le nom des acteurs ou du réalisateur, voilà ce que l’on retient d’un film. Pourtant, ce sont des centaines de noms qui défilent dans le générique, ces personnes dont le rôle est primordial. Le chef opérateur, appelé aussi directeur de la photographie, fait partie de ces acteurs de l’ombre.Paradoxal, puisqu’il s’occupe de la lumière, coordonne les caméras et filme. « La capacité d’observation est une compétence importante », explique Everardo González, à la fois réalisateur et directeur de la photographie de Cuates de Australia. Un homme à qui la double casquette donne un petit air schizophrène : « Je suis aussi directeur de la photographie donc je passe mon temps à me battre avec moi-même ! » À travers l’objectif de sa caméra, il réalise « une interprétation très personnelle, car filmer c’est pren-dre des décisions et jouir d’une très grande liberté ». Un métier qu’il aime pour son côté artistique et créatif même s’il reproche à la nouvelle génération de s’attarder plus sur la technologie que sur l’histoire racon-tée par les images.Celles-ci dans la boîte, c’est au tour du monteur de pren-dre le relais. Everardo González a d’ailleurs passé onze ans avec le même monteur : « c’est une des personnes les plus importantes et il faut avoir confiance en elle. » a.C.

CHANGEMENTSVendredi 22 mars à 10h au Gaumont séance supplémentaire

du film Era uma vez eu, Verônica

Vendredi 22 mars à 17h45 à la Cinémathèque : le film la chica del sur est parlé en anglais et coréen, sous-titré en anglais

l’utilisation d’images documentaires dans des longs-métrages de fiction par collage est récurrente dans les années 1970-1980. Au-delà des contraintes budgétaires, ces films ont deux objectifs : révolutionner le cinéma et utiliser les films pour promouvoir et défendre les mouvements révolutionnaires. On l’appelle « esthétique de l’urgence ».

pouR en savoiR plus : Revue cinémas d’améRique latine n°21 p.42

TOuS LES jOuRS à L’ENTRéE DE LA CINéMAThèquE

LES MéDIATEuRS DE L’ACCuEIL PubLIC SONT hEuREux DE vOuS INfORMER,

vOuS CONSEILLER ET éChANGER AvEC vOuS. ILS VOUS ATTENDENT !

06 48 01 73 43

CHAPArE « un des premiers combats d’Evo Morales. » Géraldine

NOSTAlGIE DE lA luMIÈrE « une odyssée bouleversante. » Carmen

108, CuCHIllO DE PAlO « Ça questionne sur les Droits de l’Homme. » AC.

PArA lOS POBrES, PIEDrAS « On a l’impression d’être dedans, de suivre leur vie. » Patricia

COruMBIArA « une plongée dans la forêt amazonienne. » rené

L ’ A V I S D E S S P E C T A T E U R SSaviez-vouS que ?

P a L a B R a S :

“ Los que tienen memoria, son capaces de vivir

en el frágil tiempo presente ”

“ Ceux qui ont de la mémoire, sont capables de vivre dans le

temps fragile du présent. ”

DireCteur De publiCation : FrANCIS SAINT-DIzIEr CoorDination générale : MurIEl JuSTISCoorDination : lAurA SOl, MArIE-FrANÇOISE GOVIN ET SONIA CONTI

assistants De réDaCtion : MArIE-FrANÇOISE GOVIN ET CéDrIC léPINEréDaCtion : JEAN-FrANÇOIS MABIT, PAulA OrOSTICA, ANAïS CHATElIEr

25 ans de

c i n É L a t i n o

dans le film NOSTALGIE DE LA LUMIÈRE

ImprImé pAr nos soIns. ne pAs jeter sur lA voIe publIque!

HABANA MuDA « un film avec plein de surprises. » Myriam

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