Pleine forme Par l alimentation - Blog Médecine Douce · plats en sauce et aux pâtisseries une place de choix –, sont heureusement remplacées par une cuisine beaucoup plus simple

Pleine forme Par l’alimentation

Jocelyne Haubert

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PLEINE FORME PAR L’ALIMENTATION

© 2014 www.blog-medecine-douce.com 3

Introduction ______________________________________ 4

Premier conseil : prenez votre temps _________________ 5

Deuxième conseil : mâchez _________________________ 7

Adoptez un régime naturel __________________________ 8

Connaître les vitamines ____________________________ 9

Les différentes catégories d’aliments ________________ 10

Quelques conseils pratiques _______________________ 11

Les boissons ____________________________________ 13

Le jeûne en question ______________________________ 16

Quand se mettre à table ? _________________________ 17

La nourriture comme facteur d’équilibre et de bien-être _ 18




Introduction

Vous allez redécouvrir aujourd’hui un vieil adage, qui semble une évidence pour beaucoup d’entre nous, mais qu’il est important de rappeler ici en préambule :

« Il faut manger pour vivre et non vivre pour manger. »

Se nourrir est une nécessité, et combler ce besoin s’accompagne d’un véritable plaisir.

Nourrir notre corps et en éprouver pleinement la satisfaction sont les conditions primordiales de la santé.

La vie moderne nous impose pourtant des horaires et un stress qui nous conduisent à des habitudes désastreuses pour ce qui est de notre alimentation.

Le matin, nos contemporains – quand ils prennent un petit-déjeuner –, avalent rapidement un bol de café chaud avec quelques tartines de pain et, l’estomac gonflé, file à leur travail.

À midi, au restaurant, ils avalent rapidement une entrée de charcuteries, un plat garni, du fromage et/ou un dessert : le tout est arrosé d’un inévitable quart de vin, et c’est à nouveau une demi-journée de travail sédentaire qui commence.

Le soir, la fatigue et la lassitude est grande. Le dîner en famille se déroule plus ou moins paisiblement et la télévision sollicite en général l’attention de tous avant la fin du repas.

L’alimentation ne consiste pas simplement à absorber de la nourriture. La quantité et la qualité de cette nourriture sont importantes, mais les conditions extérieures et le climat de tranquillité ou d’agitation qui est le nôtre à table sont des éléments dont il ne faut pas sous-estimer le rôle bénéfique ou perturbateur.




Premier conseil : prenez votre temps

Il est déconseillé de se mettre à table sans avoir pris le temps de se reposer, de se détendre un peu, ou au moins de laisser retomber progressivement la tension nerveuse des activités en cours.

Prendre son temps, se laver les mains sans hâte, s’installer dans la bonne humeur et s’apprêter à profiter de son repas : voilà un excellent préambule avant de se nourrir.

Prenez exemple sur le gourmet qui ne veut rien perdre du plaisir qu’il goûte, à l’opposé du goinfre qui se jette avidement sur le contenu de son assiette pour l’engloutir avec avidité.

Respirer un plat, en apprécier la couleur, en admirer la présentation, savourer le plaisir d’être assis devant une table proprement et dressée avec goût, voilà la meilleure préparation au repas.

L’eau vous vient à la bouche naturellement, ce qui est le signe que les fonctions digestives s’éveillent, et que votre corps est prêt à recevoir sa nourriture.

La respiration est activée, la circulation sanguine aussi, et une détente nerveuse se produit. Le début du repas est un moment agréable et heureux.

Manger rapidement est tout aussi préjudiciable que manger trop.

Sobre jusqu’à la frugalité, l’auteur de théâtre Bernard Shaw est un bon exemple du bénéfice qu’on peut tirer d’une bonne alimentation.

À 94 ans, il était sec, en parfaite santé et n’avait rien perdu de sa vivacité d’esprit. Il mangeait toujours seul et à des heures invariables.




L’importance d’une ambiance calme est en effet primordiale à une alimentation équilibrée.

Un repas pris dans la hâte, tout en poursuivant des discussions, en suivant un programme télé ou en ruminant des soucis, ne sera pas digéré normalement.

La tension nerveuse freine l’élaboration des sucs gastriques, paralyse les mouvements des organes, et un acide corrosif se forme dans le tube digestif qui peut, à plus ou moins longue échéance, provoquer des ulcères.

Nous sommes ici confrontés avec les réalités de l’interdépendance du corps et de l’esprit.

Le surmenage émotionnel est l’ennemi n°1 de notre organisme et de notre métabolisme.

Accorder de l’importance à l’atmosphère paisible –comme aux plaisirs simples, esthétiques et gustatifs du repas –, est capital pour profiter pleinement des bienfaits de notre nourriture.

Pour nous aider dans cette démarche, la pratique régulière du yoga ou de la méditation sont des solutions utiles et tout à fait recommandées.




Deuxième conseil : mâchez

La digestion commence dans la bouche.

Si vous broyez finement votre nourriture en la mâchant correctement : elle sera parfaitement mélangée à la salive. Le travail du système digestif sera alors facilité par l’action des sucs salivaires et gastriques qui permettront ainsi une meilleure assimilation des aliments en énergie utilisable.

Manger trop vite équivaut à escamoter la transformation des amylacés (pain, pâtes, farineux) en sucres assimilables.

Conséquence : ces aliments mal digérés encombrent l’intestin, le gonflent et sont stockés sous forme de graisse.

Pour maigrir, vous devez mâcher !

C’est à partir d’une rééducation de la mastication que peut se créer un renouveau de votre vitalité.

Manger lentement, mastiquer longuement, évite les fringales qui poussent tant de nerveux ou d’insatisfaits à se nourrir avec excès et à grignoter en permanence.

Ne vous privez surtout pas : apprenez simplement à retrouver du plaisir à vous nourrir, à manger lentement et à bien mâcher.

Le besoin de manger trop disparaîtra, et vous trouverez tout naturellement un nouvel équilibre et une nouvelle vitalité.




Adoptez un régime naturel

On aurait tort de penser que le régime végétarien est l’alimentation qui garantit exclusivement une bonne santé.

Les raisons qu’on peut avoir de s’abstenir de viande et de préférer une nourriture composée de légumes, fruits, céréales et produits laitiers sont bonnes dans la mesure où elles représentent un choix qui se fonde sur des motifs positifs.

Se « priver » de viande, n’est pas forcément une obligation.

Mais, si vous faites le choix d’une alimentation simple par goût, ou pour obéir à une décision personnelle, comme par exemple le désir de frugalité et de simplicité, vous ferez bien.

Toutefois, si vous préférez manger comme votre entourage : vous aurez également raison.

La pratique du yoga et la méditation – tout comme les habitudes de modération et de maîtrise de soi que vous développerez –, vous permettront d’équilibrer votre appétit en fonction de vos besoins réels.

Bien connaître la valeur des aliments vous aidera encore à équilibrer judicieusement vos repas, selon les besoins de votre organisme.

Faites le choix de ce qui vous tente et de ce que vous aimez parmi les aliments sains et délicieux qui s’offrent à vous.

Rééduquez ainsi très progressivement votre appétit : vous arriverez petit à petit à vous détourner d’une friture au profit d’un plat de légumes quand l’habitude sera prise de vous régaler à chaque repas.




Connaître les vitamines

Il faut distinguer les aliments naturels, non préparés, et les aliments cuisinés. On en connaît aujourd’hui suffisamment sur l’importance des vitamines.

La vitamine A

C’est un anti-infectieux.

On trouve cette vitamine dans les carottes, les fruits rouges, les légumes verts, le lait et les abats.

La vitamine B

Elle favorise la digestion.

Vous trouverez cette vitamine dans les farines complètes et le pain préparé avec de la farine non dévitalisée.

La vitamine C

C’est la vitamine de l’énergie, de la vitalité et de la croissance. Son pouvoir anti-infectieux et catalytique est bien connu.

On la trouve dans les fruits et les légumes crus. C’est la vitamine de jeunesse des tissus vivants.

La vitamine D

Elle favorise l’assimilation du calcium, et entretient la santé des organismes que la baisse de lumière solaire, durant l’hiver, rend plus vulnérables.

On la trouve dans le foie, les abats et les huiles de poisson.




Les différentes catégories d’aliments

Il existe de nombreux sites qui traitent de diététiques sur internet. Ils vous permettront de composer vos menus de telle sorte que les éléments essentiels à votre alimentation figurent dans chacun de vos repas.

Les principales catégories d’aliments que vous devez connaître sont :

• Les protéines : viande, poisson, lait écrémé, tous les fromages.

• Les hydrates de carbone : tous les sucres, le miel, farineux, céréales.

• Les graisses : beurre, huile, graisse animale.

• Les vitamines.

• Les sels minéraux : plus votre alimentation est variée, plus votre ration en sels minéraux est assurée régulièrement.

Informez-vous soigneusement, puis laissez-vous guider par votre appétit, en gardant à l’esprit qu’il est indispensable de manger un peu de tout à chaque repas pour que la digestion se déroule normalement.

Un régime alimentaire naturel, qui facilite la composition de menus aussi bons que parfaitement équilibrés en principes nutritifs, deviendra vite pour vous un art simple, facile et agréable à maîtriser.




Quelques conseils pratiques

Le choix des ingrédients et de la préparation culinaire sont les principes de base d’une alimentation santé.

Les recettes d’autrefois – quand la cuisine donnait aux plats en sauce et aux pâtisseries une place de choix –, sont heureusement remplacées par une cuisine beaucoup plus simple et naturelle.

Les crudités et les grillades ont une bonne réputation.

La salutaire « peur de grossir » fait que de nombreuses personnes s’intéressent de nos jours aux régimes basse-calories en apprenant à évaluer la valeur nutritive des aliments.

Voici maintenant quelques conseils dont tout le monde tirera profit…

Le pain blanc est fait de farine dévitalisée. Le pain complet, voire le pain de seigle, même un peu rassis, est préférable.

Préférez également, en apéritif, un jus de tomate ou un jus d’orange.

Dans les magasins spécialisés en produits naturels et bio vous trouverez du riz complet non décortiqué, et des pâtes de farine complète.

Il est bon de servir la salade avec ses feuilles les plus vertes. Évitez l’endive, qui est un légume malade artificiellement privé de sa couleur naturelle.

Les potages aux légumes ont l’avantage de nous faire consommer une eau de cuisson riche en sels minéraux solubles.

Votre réfrigérateur peut aussi être un faux ami. Les légumes, les viandes et les laitages ne s’y conservent pas sans se détériorer insidieusement.




Achetez, chaque jour, de préférence les produits les plus frais possibles.

Après le travail, il reste peu de temps pour cuisiner. Alors pour les repas, privilégiez des plats simples et des produits naturels comme les noix, les olives, les fromages et les yaourts.

Même de simples sandwichs avec du pain complet, des feuilles de salade, des tomates, des œufs et toutes sortes de choses naturelles peuvent constituer un excellent repas complet.

Les enfants accompagneront ces repas-express d’un verre de lait.

Lavez très soigneusement les légumes et épluchez-les le moins possible. Ils peuvent presque tous être consommés crus. La cuisson à la vapeur des légumes est recommandée.

Utilisez généreusement les fines herbes du jardin, de l’ail dont les vertus sont certaines, et de l’oignon cru pour donne du goût à vos salades de crudités.

Plutôt que le vinaigre, utilisez le jus de citron.

Le sucre blanc, raffiné industriellement, n’a pas la valeur énergétique du miel, de la mélasse, ou du sirop d’érable. Une cuillerée de miel dans une tasse de thé léger dissipe la fatigue en quelques minutes.

Les céréales naturelles comme les flocons d’avoine, le millet, le sarrasin, le couscous et la polenta sont économiques et nutritifs.




Les boissons

L’habitude de boire en mangeant a des inconvénients si évidents que tous les diététiciens et les médecins la dénoncent.

La nourriture est en effet diluée dans l’estomac par les liquides et les sucs digestifs n’agissent pas normalement.

Les substances nutritives sont ainsi perdues pour l’assimilation, et il s’ensuit des carences qui sont souvent à l’origine de ces faims intempestives et de ces envies de manger à toute heure.

L’organisme en carence est dans un état de besoin, malgré la quantité de nourriture absorbée.

Seul un repas bien composé et une digestion facilitée permettent une assimilation normale et une satisfaction de l’appétit avec des rations non excessives.

En revanche, boire entre les repas est conseillé. La meilleure boisson est l’eau minérale la plus pure, et la moins riche en sels.

Buvez 6 à 8 verres d’eau chaque jour. Ce n’est pas une nourriture, mais un des composants importants de notre corps.

Le liquide de vos tissus doit être constamment renouvelé. Nous éliminons de l’eau sans arrêt par les glandes sudoripares, par la respiration et par les voies digestives.

Selon un processus automatique et continu, il se produit un va-et-vient de liquide en nous : les toxines, les poisons, les déchets cellulaires sont dilués, brassés et évacués. L’eau que nous buvons lave les reins, purifie le sang et facilite le transit intestinal.




Un verre d’eau au réveil et un autre avant de s’endormir sont une excellente habitude à prendre : il s’agit d’un véritable nettoyage de l’organisme, comme nous l’avons vu.

L’eau glacée est une boisson déconseillée : le froid paralyse la digestion et peut provoquer des crampes d’estomac. Préférez l’eau tiède sinon à température ambiante.

Toutes les tisanes et les infusions, comme le thé léger, sont conseillés.

Les jus de fruits et de légumes frais sont presque autant des aliments que des boissons. Ils sont tous recommandables dès lors qu’ils sont préparés à maison.

Une précaution à ne pas oublier : consommer le jus aussitôt qu’il est préparé. Une déperdition des vitamines par oxydation se produit très rapidement. Et évitez les jus du commerce qui sont beaucoup trop sucrés.

Le lait est lui aussi un véritable aliment. Sa richesse en protéines – mais aussi en sucre, sels minéraux assimilables et graisses –, en fait un aliment de croissance et de santé.

Si le lait est un peu difficile à digérer, consommez-le à petites gorgées en alternant avec des bouchées de pain mâchées lentement : cela le rendra plus digeste.

Tous les produits laitiers sont recommandés.

On évoque souvent les bienfaits du yoghourt et du kéfir. Ces laits fermentés permettraient aux paysans de l’Oural de vivre centenaires !

Les ferments lactiques qu’ils contiennent favorisent la digestion avec une action détox qui suffit à justifier leur bonne réputation.




Certaines boissons comme les limonades chimiques, et les sodas produisent une stimulation qui finit, à la longue, par dérégler les réactions du système nerveux. Leur consommation provoque des moments de torpeur contre lesquels on essaie de lutter par l’absorption de nouveaux stimulants... L’organisme entier s’en ressent : le tonus baisse et l’insomnie s’installe.

L’alcool est également une habitude que vous devez supprimer de votre quotidien alimentaire. Réservez plutôt cette habitude à de rares occasions en privilégiant la modération et du bon vin par exemple.

Là encore, n’aspirez pas à obtenir de vous-même un résultat dans ce domaine par un effort violent. Privilégiez un retour progressif vers un équilibre de santé harmonieux et normal. Là encore, le yoga et la méditation sont des pratiques qui peuvent vous aider à atteindre vos objectifs.

Adoptez une discipline souple et réduisez peu à peu l’usage de l’alcool. Un jour viendra où le besoin que vous avez, qui ne correspond à aucune nécessité naturelle du corps, s’apaisera et disparaîtra. Vous ne ressentirez alors plus le désir de boire de l’alcool.

Bien entendu, si vous en avez l’occasion, boire un verre de bon vin à un repas peut-être un grand plaisir. Ne vous en privez pas. Mais n’abusez pas non plus et buvez avec modération, vous apprécierez davantage la qualité du vin.

Pour l’alcool comme pour le tabac, la méthode pour se libérer de la contrainte de l’habitude est une méthode de réduction progressive des doses.

Le yoga et la méditation vous procureront des forces et un bien-être qui remplaceront largement les satisfactions que vous pouvez tirer des excitants.




Le jeûne en question

Abordons maintenant la question du jeûne.

Les maîtres yogis ont la réputation de pratiquer des jeûnes prolongés. On assure même qu’ils sont capables de réaliser de véritables prouesses en n’absorbant aucune nourriture pendant des semaines.

Ne demandons pas à notre corps de dépasser son niveau d’activité normale. C’est déjà pour nous un but ambitieux que de chercher à atteindre un équilibre normal et naturel de notre personne et de notre vie.

Avant de tenter l’expérience du jeûne qui, dans certains cas doit être placé sous contrôle médical, il est préférable de pratiquer la modération à table.

Il est ainsi bon d’achever un repas avec l’impression d’avoir “encore de la place”, et de rester sur sa faim.

Ensuite, pour reposer l’organisme et le nettoyer, vous pouvez rester un jour ou deux, chaque mois, à manger frugalement. Ces jours-là, buvez normalement à votre soif et vivez comme d’habitude : mangez seulement une pomme ou un bol de riz à l’heure du repas.

Si vous êtes souffrant, ou très fatigué, pratiquez une diète pendant 48 heures, en ne prenant qu’une alimentation très légère et frugale. Et si les symptômes persistent, consultez votre médecin traitant.

Les animaux nous donnent l’exemple de cette réaction instinctive de mise au repos des fonctions digestives en cas de maladie.

Cette pratique du jeûne ainsi maîtrisé, vous permettra de retrouver cette libre communication avec la “sagesse du corps”. Vous apprendrez aussi à mieux connaître votre corps et à lui faire confiance quant à ses besoins en termes de nourriture.




Quand se mettre à table ?

Nous avons été dressés, de par notre éducation, à manger “de tout”, à manger avec ou sans appétit, et à manger “tout ce qui se trouve dans notre assiette”.

Les psychologues s’accordent à conseiller aujourd’hui aux parents la plus grande prudence dans l’éducation et les règles de vie qui touchent aux fonctions naturelles.

La nécessité de manger à heures fixes est une des contraintes de notre vie civilisée. On en arrive à s’asseoir à table et à avaler un repas sans tenir compte de notre appétit.

Si vous n’avez pas faim, à l’heure du repas, sautez ce repas. Vous attendrez le suivant, en vous aidant au besoin d’un ou deux fruits.

Si vous êtes soucieux, énervé, tendu : ne vous mettez pas à table. Faites à la place quelques exercices de yoga ou de méditation pour reprendre votre calme : dispersez vos pensées négatives et reprenez le contrôle de votre rythme intérieur.

On surestime beaucoup trop l’importance des repas réguliers. Nous possédons en nous des réserves d’énergie calorique largement suffisantes pour nous permettre des moments d’abstinence, et il est bon de mobiliser ces réserves qui se peuvent se reconstituer très vite.




La nourriture comme facteur d’équilibre et de bien-être

En vous nourrissant ainsi avec discernement, vous obtiendrez un tonus physique et mental qui vous surprendra.

Vous développerez aussi un meilleur teint de peau, un œil vif, un cheveu brillant, et une intelligence plus vive, et plus créative.

Vos problèmes de constipation, de diarrhées et d’insomnie disparaîtront également.

Vous deviendrez aussi, pour vous-même et pour les personnes qui vous entourent, un compagnon plus agréable.


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