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DDR initiatives - programme DDRRR - Programme de Désarmement, Démobilisation, Rapatriement, Réinsertion et Réintégration (DDRRR) de la MONUC Programme national de réinsertion et de réhabilitation communautaires (PNRRC). (Ivoire) LE PROGRAMME AMANI EST UNE DISTRACTION. http://www.kivupeace.org/programme_amani.html DIALOGUE AVEC LE HAMAS ET LE HEZBOLLAH CHERS AMIS, PAS BESOIN DE VOUS DIRE TOUT LE DANGER SE CACHANT DERRIÈRE CE "DIALOGUE", ENTRE LES ÉTATS-UNIS ET CES GROUPES TERRORISTES. LES NATIONS UNIES AYANTS RÉUNIES LES GROUPES REBELLES ET LES FORCES ARMÉES DANS PLUSIEURS PAYS, DÉJÀ NOUS POUVIONS VOIR TOUTE LA PERVERSION ET LE DANGER À VENIR. DE DIALOGUER AVEC LE HAMAS ET LE HEZBOLLAH N'EST PAS PLUS DIFFÉRENT, SAUF QUE LEURS MOTIFS SONT QUELQUES PEU DIFFÉRENTS. NON, SEULEMENT DERRIÈRE LE RÉGIME ISLAMISTE, NOUS TROUVONS DES LOIS QUI BRIMENT TOUTES LES LIBERTÉS AUTANT CHEZ L'HOMME QUE CHEZ LA FEMME, MAIS LE PEUPLE ÉTANT COMPLÈTEMENT SOUMIS AUX IMANS, QUI SONT COMME PERÇUS COMME ÉTANT LA VOIX DE DIEU, LA VOIX D'ALLAH ET DU PROPHÈTE MOHAMMED, TIENNENT CAPTIFS DES MILLIERS D'ÂMES. HORS DU CORAN, POINT DE SALUT! ILS SONT DIFFÉRENTS DES AUTRES PEUPLES, CAR DÈS LEUR NAISSANCE, ON LEUR APPREND À HAÏR LES JUIFS ET LES CROYANTS EN JÉSUS- CHRIST. DÈS LEUR NAISSANCE, ON LEUR APPREND LA HAINE CONTRE LES INFIDÈLES (VOUS ET MOI). DÈS LA NAISSANCE, ON LEUR APPREND LA HAINE ET LA DESTRUCTION. QUE PEUT-IL ARRIVER DE BON DANS UN TEL CONTEXTE COMME CELUI, OÙ ON VEUT LES INTÉGRER AUX FORCES MILITAIRES? DANS CE CONTEXTE D'ISLAMISATION DU MONDE ENTIER, IL EST À PRÉVOIR QUE TRÈS BIENTÔT, LES MILITAIRES EUX-MÊMES SERONT OBLIGÉS DE SE CONVERTIR À L'ISLAM. NOUS VOYONS DONC, PAR TOUT CE STRATAGÈME, COMMENT IL LEUR EST FACILE DE MONTER UNE ARMÉE MONDIALE, SOUS LE SIGNE DE LA FOI. LE CONDITIONNEMENT MENTAL EST TOUT AUSSI FORT QUE CHEZ LES FORCES ARMÉES QUI CROIENT ALLER LUTTER POUR LA DÉMOCRATIE DES PEUPLES ET POUR METTRE FIN AU TERRORISTE.

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How governments are using rebels groups and gang members to push chaos all around the world. After giving them impunity and help them to find a new job in the United Nations army.Comment les gouvernements utilisent les groupes rebelles et les groupes de gang de rue pour semer le chaos pour ensuite leur donner l'immunité et leur offrir un emploi au sein des forces militaires des Nations Unies.

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DDR initiatives - programme DDRRR - Programme de Désarmement, Démobilisation, Rapatriement, Réinsertion et Réintégration (DDRRR) de la MONUC

Programme national de réinsertion et de réhabilitation communautaires (PNRRC). (Ivoire)

LE PROGRAMME AMANI EST UNE DISTRACTION.

http://www.kivupeace.org/programme_amani.html

DIALOGUE AVEC LE HAMAS ET LE HEZBOLLAH

CHERS AMIS, PAS BESOIN DE VOUS DIRE TOUT LE DANGER SE CACHANT DERRIÈRE CE "DIALOGUE", ENTRE LES ÉTATS-UNIS ET CES GROUPES TERRORISTES. LES NATIONS UNIES AYANTS RÉUNIES LES GROUPES REBELLES ET LES FORCES ARMÉES DANS PLUSIEURS PAYS, DÉJÀ NOUS POUVIONS VOIR TOUTE LA PERVERSION ET LE DANGER À VENIR. DE DIALOGUER AVEC LE HAMAS ET LE HEZBOLLAH N'EST PAS PLUS DIFFÉRENT, SAUF QUE LEURS MOTIFS SONT QUELQUES PEU DIFFÉRENTS. NON, SEULEMENT DERRIÈRE LE RÉGIME ISLAMISTE, NOUS TROUVONS DES LOIS QUI BRIMENT TOUTES LES LIBERTÉS AUTANT CHEZ L'HOMME QUE CHEZ LA FEMME, MAIS LE PEUPLE ÉTANT COMPLÈTEMENT SOUMIS AUX IMANS, QUI SONT COMME PERÇUS COMME ÉTANT LA VOIX DE DIEU, LA VOIX D'ALLAH ET DU PROPHÈTE MOHAMMED, TIENNENT CAPTIFS DES MILLIERS D'ÂMES. HORS DU CORAN, POINT DE SALUT!

ILS SONT DIFFÉRENTS DES AUTRES PEUPLES, CAR DÈS LEUR NAISSANCE, ON LEUR APPREND À HAÏR LES JUIFS ET LES CROYANTS EN JÉSUS-CHRIST. DÈS LEUR NAISSANCE, ON LEUR APPREND LA HAINE CONTRE LES INFIDÈLES (VOUS ET MOI). DÈS LA NAISSANCE, ON LEUR APPREND LA HAINE ET LA DESTRUCTION. QUE PEUT-IL ARRIVER DE BON DANS UN TEL CONTEXTE COMME CELUI, OÙ ON VEUT LES INTÉGRER AUX FORCES MILITAIRES? DANS CE CONTEXTE D'ISLAMISATION DU MONDE ENTIER, IL EST À PRÉVOIR QUE TRÈS BIENTÔT, LES MILITAIRES EUX-MÊMES SERONT OBLIGÉS DE SE CONVERTIR À L'ISLAM.

NOUS VOYONS DONC, PAR TOUT CE STRATAGÈME, COMMENT IL LEUR EST FACILE DE MONTER UNE ARMÉE MONDIALE, SOUS LE SIGNE DE LA FOI. LE CONDITIONNEMENT MENTAL EST TOUT AUSSI FORT QUE CHEZ LES FORCES ARMÉES QUI CROIENT ALLER LUTTER POUR LA DÉMOCRATIE DES PEUPLES ET POUR METTRE FIN AU TERRORISTE.

JE VOUS SOULEVER UN POINT TRÈS IMPORTANT QUI NOUS MONTRE NON SEULEMENT QUE CE DIALOGUE DONT NOUS PARLE LE ROI ASSAD II, VA AVOIR DU SUCCÈS DU CÔTÉ DE L'AMÉRIQUE, MAIS QUE CE PROJET EST DÉJÀ BIEN AVANCÉ. JE VOUS AVAIS MIS DES ARTICLES SUR LE SUJET TOUT DERNIÈREMENT, MAIS MAINTENANT, C'EST CONFIRMÉ. LE PROJET DE LOI H.R. 1388, VA SE SERVIR DES TAXES DES CITOYENS AMÉRICAINS POUR AIDER À L'IMMIGRATION DES RÉFUGIÉS DU HAMAS http://paul-reveres-riders.ning.com/profiles/blogs/hr-1388-passed-tax-payer?xgs=1 . CE PROJET DE LOI

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EST PASSÉ, AU MOIS DE FÉVRIER DERNIER ET IL PRÉVOIT QU'UN MONTANT DE 20 MILLIONS DE DOLLARS SERA DÉBLOQUÉ POUR AIDER À LA MISE EN PLACE DE CE PROGRAMME.  

NOUS SOMMES MIS DEVANT L'ÉVIDENCE MÊME QU'IL Y A UNE GRANDE CONSPIRATION POUR UNIFIER TOUS LES GROUPES REBELLES AVEC L'ARMÉE DES NATIONS UNIES. MÊME SI LES RAISONS SONT DIFFÉRENTES POUR CERTAINS, LES BUTS DEMEURENT TOUJOURS LES MÊMES : METTRE EN PLACE UNE DICTATURE MONDIALE SOUS LE SIGNE DE L'EXTERMINATION DES POPULATIONS.

REMARQUEZ QUE VOUS N'ENTENDEZ JAMAIS PARLER DE CE GENRE DE DIALOGUE DANS AUCUN MÉDIA. VOUS N'ENTENDEZ JAMAIS UN JOURNALISTE DÉNONCER DE TELS MAGOUILLES POLITIQUES, QUI METTENT GRAVEMENT EN DANGER LA VIE DE MILLIERS DE GENS. CE N'EST QU'EN SUIVANT LA SITUATION DE PRÈS, VIA INTERNET, QU'ON FINI PAR DÉCOUVRIR CE VASTE COMPLOT. PERSONNE NE PEUT PARLER D'UNE THÉORIE DE COMPLOT, CAR JE VOUS AI APPORTÉ LA PREUVE MAINTES ET MAINTES FOIS.

DANS L'ARTICLE SUIVANT, AVEC LES FAITS CONNUS, ON PEUT VOIR QUE LE ROI ASSAD II ESSAIE DE NOUS EN PASSER UNE VITE. LA RUSE ET LE MENSONGE SONT CLAIREMENT DÉMONTRÉS RIEN QU'EN LISANT LA LOI HR1388. QUANT AU PRÉSIDENT OBAMA, NOUS AVONS ENCORE UNE PREUVE DE PLUS QU'IL TRAVAILLE POUR LE CAMP DE L'ENNEMI. NOUS AVONS LA DÉMONSTRATION D'UN HOMME (PARMI TANT D'AUTRES) S'EST INFILTRÉ DANS LE CAMP DE YAHWÉ POUR MIEUX LE DÉTRUIRE DE L'INTÉRIEUR.

C'EST PAR CETTE MANIÈRE MALHONNÊTE ET CORROMPUE QUE LA GRANDE ARMÉE INTERNATIONALE DES NATIONS UNIES VA S'UNIFIER POUR LANCER SA GRANDE INQUISITION FINALE CONTRE LES PEUPLES DE LA TERRE.

DIALOGUE AVEC LE HAMAS ET LE HEZBOLLAH      

Revue de Presse No 758du 04 mai 2009 10 Iyyar 5769

Dans une interview accordée à France 3, le président syrien Bashar el Assad a appelé l'administration américaine à dialoguer "directement ou indirectement" avec le Hamas et le Hezbollah, pour obtenir la paix au Moyen-Orient. Estimant que l'influence du Hamas notamment, était incontournable, Assad a proposé à Washington sa médiation pour l'ouverture d'un dialogue avec ces organisations, classées comme terroristes par les Américains.

Israël Info

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GUATEMALA : LA COMMISSION INTERNATIONALE CONTRE L';IMPUNITÉ PROROGÉE DE DEUX ANS

New York, Apr 21 2009  6:00PM

Le Secrétaire général de l';ONU, Ban Ki-moon, a répondu favorablement à la demande du gouvernement du Guatemala de proroger de deux ans la Commission internationale contre l';impunité (CICG).

Cette décision a été communiquée par écrit au ministre guatémaltèque des affaires étrangères, la semaine dernière, a annoncé la porte-parole adjointe du Secrétaire général, Marie Okabe, lors de son point de presse quotidien, au siège de l';ONU, à New York.

Les deux années supplémentaires commenceront le 4 septembre à l';expiration du mandat actuel de la Commission.

La Commission a été créée conformément à un accord entre les Nations Unies et le gouvernement du Guatemala pour aider ce pays à identifier et à démanteler les réseaux criminels clandestins liés au crime organisé et à la paralysie généralisée du système de justice. La Commission est dirigée par Carlos Castresana, de l';Espagne.

En acceptant de proroger la présence de la Commission, le Secrétaire général a souligné l';importance d';assurer la continuité des efforts déployés par la Commission, en appui aux efforts du Guatemala pour lutter contre l';impunité.Apr 21 2009  6:00PM    ________________

Veuillez consulter le site du Centre de nouvelles ONU pour plus d'information http://www.un.org/french/newscentre/

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THE PLANNED PALESTINIAN STATE MAY HAVE JUST RECEIVED A JOLT FORWARD, FROM THE PALESTINIANS OF ALL PEOPLE!April 15, 2009

NEWS BRIEF: "Hamas and Fatah reach 'historic accord': Central Palestinian Government ", Tehran Times, April 15, 2009

"DAMASCUS (AKI) -- Rival Palestinian factions Fatah and the Islamic resistance movement Hamas have reached an historic accord for the creation of a new 'confederation' with two governments to rule in the Gaza Strip and the West Bank ... Well-informed sources based in Damascus said the 'confederation is based on two governments : one in the West Bank led by Fatah and the Palestinian National Authority and the other in the Gaza Strip led by Hamas. It is a government for each of the two principal factions of the Palestinian conflict', the source said."

"Under the accord, a coordinating commission would supervise the two executives in a type of 'central government', sources said. The commission would not have particularly broad or binding responsibilities, it will co-ordinate the two governments so that they act like a single body ... The two governments will restrict themselves to managing reconstruction and election preparations, without a clear political function,” one source said."

This agreement sounds a little like a two-headed hydra monster, a totally unworkable "unity government". However, if this new unity can silence Hamas' strident opposition to the creation of a Palestinian State, this new type of government makes sense. For this scenario to occur, Fatah must be given preeminence over Hamas.

If Fatah's Masonic President, Abbas, can exercise nominal control over Hamas on this one issue, then the Western Illuminati can forge forward in its plans to declare a Palestinian State.

http://www.cuttingedge.org/newsletters/041509.html

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HAMAS AND FATAH REACH 'HISTORIC ACCORD': REPORT

DAMASCUS (AKI) -- Rival Palestinian factions Fatah and the Islamic resistance movement Hamas have reached an historic accord for the creation of a new “confederation” with two governments to rule in the Gaza Strip and the West Bank, sources have told Adnkronos International (AKI).

Top-level Palestinian sources told AKI that the two groups are waiting for the right moment to make an official announcement about the agreement.

Well-informed sources based in Damascus said the “confederation is based on two governments : one in the West Bank led by Fatah and the Palestinian National Authority and the other in the Gaza Strip led by Hamas”.

“It is a government for each of the two principal factions of the Palestinian conflict,” the source said.

Under the accord, a coordinating commission would supervise the two executives in a type of “central government”, sources said.

The commission would not have particularly broad or binding responsibilities, it will co-ordinate the two governments so that they act like a single body, sources said.

“The two governments will restrict themselves to managing reconstruction and election preparations, without a clear political function,” one source said.

However, the accord is expected to attract strong opposition from other Palestinian groups including the Democratic Front and the Popular Front since the plan excludes their participation, sources said.

A Damascus official from the Democratic Front for the Liberation of Palestine has already said that his organization is “totally opposed to this plan since it reinforces and perpetuates the divisions between the Palestinians, hampers the possibility of creating an independent Palestinian state and confirms the division of power between the two principal factions.”

“This option is nothing more than a way of escaping the problems and of finding a solution.”

Fatah and Hamas have been divided by a serious rift since Hamas took control of the Gaza Strip in mid-2007 after it won a surprise victory in the Palestinian parliamentary elections the previous year.

After the elections Hamas faced widespread political opposition and an economic boycott from western powers including the European Union.

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http://www.tehrantimes.com/index_View.asp?code=192289

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LA DÉMILITARISATION DU HAZBOLLAH TOUJOURS ESSENTIELLE À LA STABILITÉ DU LIBAN – rapport

1 mai 2009 – Le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, souligne l'importance de la démilitarisation des milices au Liban, au premier rang desquelles le Hezbollah, dans un nouveau rapport au Conseil de sécurité publié vendredi.

« Après l'élection du président Sleimane, le Liban a connu sa plus longue période de stabilité intérieure depuis l'adoption de la résolution 1559 (2004) du Conseil de sécurité. Je reste toutefois préoccupé par les incidents en matière de sécurité qui se sont parfois produits durant la période à l'examen et dont certains ont fait des victimes », a déclaré M. Ban dans ce rapport remis au Conseil de sécurité.

La dissolution et le désarmement des milices libanaises et non libanaises constituent un élément nécessaire pour la consolidation complète du Liban en tant qu'État souverain et démocratique, ajoute le Secrétaire général.

« Conscient des dimensions régionales de cette question, je demande à toutes les parties, à l'intérieur et à l'extérieur du Liban, de mettre immédiatement fin à tous les efforts visant à transférer et à acquérir des armes et à renforcer leurs capacités paramilitaires en dehors de l'autorité de l'État », dit-il .

M. Ban se dit « préoccupé par les incidents qui se produisent à l'intérieur et à l'extérieur des camps palestiniens ». « Tout en reconnaissant que la coopération entre les autorités libanaises et les factions palestiniennes s'est améliorée dans le domaine de la sécurité, des efforts restent nécessaires pour contenir la violence qui pourrait déborder sur les régions avoisinantes », ajoute-t-il.

Plus particulièrement, il demande aux autorités libanaises « de prendre les mesures nécessaires pour démanteler l'infrastructure paramilitaire à l'extérieur des camps de réfugiés du FPLP-CG et du Fatah al-Intifada, dont le siège est à Damas, compte tenu du fait qu'il incombe particulièrement à la République arabe syrienne d'aider les autorités libanaises dans ce domaine ».

Selon le Secrétaire général, le maintien par le Hezbollah d'une capacité paramilitaire constitue un défi majeur au monopole du gouvernement à l'égard de l'utilisation légitime de la force.

« Je demande au Hezbollah de mettre fin à toute activité militante à l'extérieur du Liban et d'achever de se transformer en parti politique uniquement libanais, conformément aux dispositions de l'Accord de Taëf. Les parties régionales, en particulier celles qui ont des liens étroits avec le Hezbollah, doivent l'encourager dans ce sens ».

Ban Ki-moon se dit par ailleurs inquiet des déclarations faites par les dirigeants du Hezbollah durant le récent conflit à Gaza, qui ont exhorté les militaires égyptiens à s'opposer à la direction politique, pour soutenir les militants du Hamas.

Par ailleurs, le Secrétaire général se dit encouragé par le fait que le DIALOGUE

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NATIONAL convoqué par le président Sleimane se poursuit régulièrement mais constate qu'il n'a engrangé jusqu'ici que des acquis limités.

Selon lui, les élections parlementaires prévues pour le 7 juin 2009 constitueront une nouvelle étape de la transition cruciale dans laquelle le Liban s'est engagé depuis l'adoption de la résolution 1559 (2004).

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=19057&Cr=Liban&Cr1=

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Who Is Arming the Mexican Drug Cartels?

Michael Gaddy

Lew Rockwell.com

Friday, March 27, 2009

The state, Mexican authorities and their US propaganda arm, known in most circles as

the Mainstream Media, have recently embarked on a huge disinformation campaign to

demonize the American gun owner as the supplier of weapons to the Mexican drug cartels.

Everyone in the media, with the possible exception of Lou Dobbs, has joined in the campaign

of lies.

Shown here, on a CBS special, is video proof of the lies and disinformation by CBS, US and

Mexican authorities. Anderson Cooper and Janet Napolitano are either ignorant or complicit

in the myth that M-203s, RPGs and hand grenades are readily available to the American gun

consumer. Most intelligent folks, and those without a state sponsored agenda, realize these

weapons are usually only available to the military.

This week, Secretary of Homeland Defense, Janet Napolitano, announced a new plan to curb

the alleged flow of weapons from the US into Mexico. This program, which will cost the

overwhelmed US Taxpayer another 700 million dollars plus, includes machines that employ

what is referred to as “virtual strip search.” This plan will supposedly slow down the number

of guns traveling south from the US to the drug cartels in Mexico. If this program has the

same success rate as the government’s efforts at stopping the flow of contraband north into

the US, the Mexican drug cartels will have nuclear weapons by the end of April!

While not stated as such, I am sure this will eventually morph into “the war on guns.” Funny,

is it not, every time our government “declares war” on something, it always increases

exponentially! Whether it is poverty, drugs, terrorism or guns, when the state declares war,

rapid growth and expansion of that which is the object of that war is inevitable.

Napolitano stated, “70% of the weapons in the hands of the drug cartels are coming from the

US.” The implication is obvious she is referring to private gun owners. The MSM sucks up

this propaganda like a large-mouth bass takes a worm, and regurgitates it to Boobus without

ever questioning the truthfulness behind the claim. Neither Mexican, nor US officials, has

ever produced an ounce of proof to back up these wild accusations.

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Wednesday, on MSNBC, in an interview by Andrea Mitchell, New York Congressional

Representative, Nita Lowey stated 97% of the guns in the hands of the Mexican drug cartels

originated in the US. Representative Lowey, in her support for a new Assault Weapons Ban,

alleges these firearms are coming from the American gun owner. She is correct in her

assertion many of the firearms being used by the cartels are coming from Americans. They

are, but, from the American taxpayer, not the American gun owner!

The fact is: the Mexican authorities have refused to release the serial numbers of weapons

confiscated from drug cartel members. Releasing the serial numbers would implicate the

corrupt governments of the US and Mexico and their involvement in arming the drug cartels.

Considering the above, it is my belief the Mexican drug cartels are procuring a large

percentage of weapons from the world’s largest supplier of these weapons: the United States

government!

The type of weapons confiscated and the unwillingness of those involved to supply weapon

serial numbers is a clear indicator.

Because of the “narco-wars,” the US government supplies the Mexican military with arms

and training. The Mexican military has trained at Ft. Bragg, North Carolina, and the arms

budget from the US to Mexico is in the billions.

Drug profits realized from the sale of drugs in the US by Mexico’s violent drug cartels are

estimated to be as high as 40 billion dollars per year. With that amount of money, is there any

question as to the ability of the cartels to purchase military weapons provided by the United

States government from corrupt Mexican government officials and members of their military?

In the mid 1990s, U.S. government statistics revealed at least six billion dollars a year was

spent by the cartels in bribes and payoffs to officials in the Mexican government and military.

In February of 1997, the Clinton Administration announced it was certifying the Mexican

government as a “full ally” in the war on drugs. Clinton’s Drug Czar, Army General Barry

McCaffrey, described Mexican General Jesus Gutierrez Rebollo, who headed up the Mexican

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National Institute to Combat Drugs (INCD) as a “man of absolute unquestioned

character.”(Emphasis added) Shortly after McCaffrey’s statement, Rebollo was arrested for

taking bribes from one of the largest drug cartels in Mexico. Rebollo had been present at

secret meetings involving the White House, the Central Intelligence Agency and the Drug

Enforcement Agency.

When speaking of drug cartels and military weapons, one would be remiss in not covering the

involvement of the Central Intelligence Agency (CIA) and their decades-long involvement in

worldwide drug trafficking. The evidence produced at the Iran Contra hearings proved the

CIA was involved with smuggling cocaine in order to fund the Nicaraguan Contra Army. Is

there any question they are involved with the Mexican drug cartels and perhaps facilitating

their procurement of military weapons, or better yet, trading arms for drugs?

 

In 2007, then President George W. Bush, with help from Secretary of State Condoleezza Rice,

was able to get legislation passed that would provide Mexico with at least 1.4 billion dollars

for Mexican military and police forces.

In May of 2008, Kristen Bricker wrote of Plan Mexico, “Plan Mexico will provide resources,

equipment, and training to the Mexican government, police, and military. It will not give

Mexico liquid funds. The US military, government agencies such as USAID, and US defense

contractors such as mercenary firms and weapons manufacturers will receive funding to carry

out Plan Mexico. Plan Mexico is yet another bill to line the pockets of the military industrial

complex.”

Our government is certainly aware of the rampant corruption within the Mexican government

and military, yet we continue to provide them with money, military weapons and training,

including all of the military weapons mentioned earlier in this article and shown in film clips

by the mainstream media as proof positive we need a new Assault Weapons Ban. (AWB)

Our corrupt government, cooperating with Mexico’s equally corrupt government, has

embarked on a campaign to deprive American citizens of the means to defend ourselves from

tyranny, screening their own involvement in arming violent criminal drug cartels. We can

weakly submit, or stand for truth and liberty; the choice is ours.http://www.prisonplanet.com/who-is-arming-the-mexican-drug-cartels.html

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DANIELE GANSER - part 1: HOW FALSE FLAG CONSPIRATORS WERE RECRUITED

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Wednesday, Feb 18, 2009

In the comming days, I will post several german-speaking interviews with Dr. Daniele Ganser, an

academic historian from Switzerland who has researched false flag terrorism in Europe. Besides his

publicity around the 9/11 truth movement, I think also his historical work about the so-called “secret

armies” is extremly interesting.

If you want to get several examples which false flag operations have been definetly proven, how they

were uncovered, how they were interlocked with politicians or even brought to courts, Gansers work is

a good place to start.Here is the first video of several in a row. I try to translate about one segment

each weekend after work and post them here:

http://www.prisonplanet.com/daniele-ganser-part-1-how-false-flag-conspirators-were-recruited.html

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AFGHANISTAN - OBAMA EST PRÊT À NÉGOCIER AVEC LES TALIBANS MODÉRÉS

Mise à jour : 08/03/2009 20h05  

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La nouvelle en vidéoVideo 1

Écoutez les commentaires du lieutenant-colonel à la retraite, Raymond Taillefer.

Barack Obama ouvre la porte à des négociations avec les talibans modérés, en Afghanistan.

Dans une entrevue publiée ce matin dans le New York Times, le président envisage d'imiter la stratégie employée en Irak.

Là-bas, les forces américaines ont réussi à retourner des insurgés sunnites contre al-Qaïda.

D'après Barack Obama, il pourrait y avoir des opportunités semblables en Afghanistan, même s'il admet que la situation y est encore plus complexe.

Le président afghan Hamid Karzaï a réagi en saluant la volonté des États-Unis de se réconcilier avec les talibans les moins radicaux.

http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/lemonde/archives/2009/03/20090308-200520.html

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DARFOUR : UNE DÉLÉGATION DE LA MINUAD RENCONTRE AU TCHAD LES REBELLES DU MJE

Le représentant spécial conjoint des Nations Unies et de l'Union africaine au Darfour, Rodolphe Adada.

5 février 2009 – Une délégation de haut niveau de l’Opération hybride UA-ONU au Darfour (MINUAD), a effectué mercredi et jeudi une visite de deux jours à N’Djamena (Tchad) pour rencontrer les dirigeants du Mouvement pour la justice et l’égalité (MJE) qui ont annoncé le retrait de leurs troupes de la zone de Muhajeriya, au Sud-Darfour.

La délégation, qui était dirigée par le représentant spécial conjoint des Nations Unies et de l’Union africaine, Rodolphe Adada, a eu des discussions avec le président du MJE, le Dr. Khalil Ibrahim, et d’autres hauts responsables du mouvement. La rencontre s’inscrivait dans le cadre des efforts de la MINUAD pour établir une bonne relation de travail avec toutes les parties impliquées dans le conflit au Darfour et pour discuter des récents développements à Muhajeriya.

Le Dr. Ibrahim a informé M. Adada que son mouvement avait décidé de se retirer de Muhajeriya après la décision de la MINUAD de rester dans la zone et après les appels du Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, du président de la Commission de l’Union africaine, Jean Ping, et de la communauté internationale à garantir que la population locale soit préservée de tout danger imminent.

M. Adada a salué la décision du MJE. « Le retrait a sans aucun doute sauvé de nombreuses vies et empêché de tragiques conséquences pour les civils », a-t-il dit.

Le chef du MJE a déclaré que son mouvement souhaitait établir des relations de travail avec la MINUAD pour protéger les civils. Il a approuvé l’idée qu’il était nécessaire d’éviter des situations similaires à celle de Muhajeriya à l’avenir.

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=18377&Cr=darfour&Cr1=soudan

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SECURITY COUNCIL DEMANDS THAT UGANDAN REBELS SIGN PEACE ACCORD

Ambassador Neven Jurica of Croatia

22 December 2008 – The United Nation Security Council today strongly condemned recent attacks by the rebel Ugandan Lord’s Resistance Army (LRA) in the Democratic Republic of the Congo (DRC) and Southern Sudan, and demanded that it immediately sign a previously negotiated peace accord.

A presidential statement, read out by Ambassador Nevin Jurica of Croatia, which holds this month’s rotating presidency of the 15-member body, condemned the repeated failure of LRA leader Joseph Kony to sign the Final Peace Agreement negotiated between the Government of Uganda and LRA.

It recalled that the International Criminal Court (ICC) had issued arrest warrants for “certain LRA leaders” on charges of war crimes and crimes against humanity, including murder, rape and the enlistment of children through abduction. The ICC issued arrest warrants for Mr. Kony and two other LRA leaders, Okot Odhiambo and Dominic Ongwen, in 2005.

“The Council reiterates its deep concern at the long-running and brutal insurgency by the LRA, which has caused the death, abduction and displacement of thousands of innocent civilians in Uganda, the Sudan and the Democratic Republic of the Congo,” the statement said. “It demands that the LRA cease its recruitment and use of children and that it release immediately all women, children and other non-combatants.”

Noting that “it attaches vital importance to promoting justice and the rule of law, including respect for human rights, as an indispensable element for lasting peace,” the Council reaffirmed that “ending impunity is essential for a society recovering from conflict to come to terms with past abuses committed against civilians and to prevent their recurrence.”

It called on the LRA to sign the peace accord immediately and begin the process of disarmament, demobilization and reintegration to ensure a peaceful, political solution to the 21-year-long conflict.

The Council welcomed the re-establishment of peace and security in northern Uganda, which has seen the LRA disperse into Southern Sudan and eastern DRC, and called on the Ugandan Government to accelerate reconciliation, recovery and development in the north by disbursing anticipated financing without delay.

Last week the Council voiced support for a joint military operation launched by the DRC, Uganda and Southern Sudan to flush the LRA out of a remote national park in north-eastern DRC.

Meanwhile, the UN World Food Programme (WFP) has helped ship in 24 tons of food for 8,500 people in the DRC’s Dungu region affected by the LRA. “These people are very happy,” WFP programme manager Ibrahime Diallo said after helping to supervise the distribution. “They have been waiting a long time. Now they see that when we say we will do something, we will do something.”

Local men offloaded bags and cans of food bearing the logos of the United States Agency for International Development (USAID), ECHO (European Commission Humanitarian Office) and other donors. WFP’s feeding programme in the area is expected to last two or three months.

Dungu town’s population has grown as internally displaced persons (IDPs) arrived. With the area outside Dungu now considered by many a no-go zone, hunger is on the increase.

“The harvest season begins in January and they are unable to go to their farms and fields,” WFP Dungu sub-station chief Charles Gemenze said. “There is no famine but IDPs, host families and returnees need to complement what little food they still have.”

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http://www.un.org/apps/news/story.asp?NewsID=29392&Cr=lra&Cr1=

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RDC : OBASANJO VA LANCER À NAIROBI UN DIALOGUE ENTRE GOUVERNEMENT ET REBELLES

L'ex-président du Nigéria, Olusegun Obasanjo.

5 décembre 2008 – Le représentant spécial du Secrétaire général de l'ONU pour la région des Grands Lacs, l'ancien président du Nigéria Olusegun Obasanjo, sera à Nairobi lundi pour lancer un dialogue entre le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) et les rebelles du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP).

Les affrontements entre le CNDP dirigé par l'ancien général Laurent Nkunda et les forces armées régulières (FARDC) ont causé le déplacement de dizaines de milliers de personnes dans l'Est de la RDC depuis plusieurs mois.

M. Obasanjo se trouvera aux côtés de son homologue de l'Union africaine et de la Conférence internationale sur les Grands Lacs, l'ancien président tanzanien Benjamin Mkapa, pour lancer un ferme message aux parties concernant le respect du cessez-le-feu et l'assistance destinée à remédier à la crise humanitaire, a dit la porte-parole du Secrétaire général, Michèle Montas, lors de son point de presse quotidien.

La Mission de l'Organisation des Nations Unies en République démocratique du Congo (MONUC) a salué le résultat des négociations préalables des médiateurs avec les dirigeants régionaux, notamment la décision de normaliser les relations bilatérales ainsi que la coopération économique régionale.

La MONUC continue sur le terrain ses efforts pour maintenir un cessez-le-feu durable entre les combattants dans la province du Nord-Kivu et pour relancer les pourparlers de paix. La Mission redéploie aussi ses casques bleus et ses renforts, a précisé la porte-parole.

Des troupes francophones supplémentaires ont été envoyées à Goma pour renforcer les troupes assignées à la protection des civils et des troupes spéciales des Nations Unies surveillent la frontière avec le Rwanda ainsi que d'autres zones sensibles.

D'autre part, le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (UNHCR) a affirmé vendredi ne pas pouvoir trouver la trace de près de 90.000 déplacés dans la région de Rutshuru qui avaient trouvé refuge dans des camps de fortune.

Selon l'agence, ils ont dû rentrer dans leurs villages et leurs villes d'origine.

Enfin, selon le Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA) les raids de l'Armée de résistance du Seigneur (Lord's Resistance Army, LRA), groupe armé originaire de l'Ouganda, ont causé le déplacement de près de 83.000 personnes dans la Province Orientale. Ces raids se poursuivent et les travailleurs humanitaires sont de retour dans la région pour aider les populations.

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=17939&Cr=Congo&Cr1=Obasanjo

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BAN CALLS ON BURUNDI'S GOVERNMENT, REBELS TO QUICKLY COMPLETE PEACE ACCORD

4 December 2008 – Burundi’s Government and the rebel group Palipehutu-FNL must now summon the political will and courage to overcome outstanding issues and successfully conclude the peace process they agreed to two years ago, United Nations Secretary-General Ban Ki-moon said today.

“Time is of the essence,” he told a regional summit of the Burundi Peace Initiative in a message delivered by his Executive Representative for Burundi Youssef Mahmoud in Bujumbura, the small Central African country’s capital. “The crucial deadline for completing the full implementation of the Comprehensive Ceasefire Agreement is fast approaching.

“I therefore urge the Government and the Palipehutu-FNL to work with greater urgency and determination to reach compromises on the difficult issues which have so far hindered their efforts.”

Burundi is rebuilding after a brutal civil war between the Hutu majority and the Tutsi minority. In September 2006, the Comprehensive Ceasefire Agreement was signed between the Government and Palipehutu-FNL, the last major rebel hold-out group.

The group’s leader, Agathon Rwasa, returned home this May in what Mr. Ban the called a “significant development.”

Today, he thanked the Regional Initiative leaders, the South African Facilitation and the African Union for “their tireless efforts” to help the parties in their quest for a durable solution.

“I urge you to do your utmost at this Summit to achieve an outcome that helps restore hope for the Burundian people, and enables them to imagine a more prosperous and peaceful future,” he said. “For my part, I reaffirm the commitment of the United Nations as well as the Organization’s readiness to continue its support, in full coordination with regional and international partners.”

http://www.un.org/apps/news/story.asp?NewsID=29193&Cr=burundi&Cr1=

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BURUNDI : BAN APPELLE GOUVERNEMENT ET REBELLES À SIGNER RAPIDEMENT UN ACCORD DE PAIX

4 décembre 2008 – Le gouvernement du Burundi et le groupe rebelle Palipehutu-FNL doivent désormais démontrer leur volonté politique et leur courage pour surmonter les questions qui empêchent de conclure le processus de paix entamé il y a deux ans, a déclaré jeudi le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon.

“La date-butoir pour achever la mise en oeuvre complète de l'Accord global de cessez-le-feu approche à grands pas », a dit M. Ban dans un message lu par son représentant exécutif Youssef Mahmoud à Bujumbura au Sommet sur l'Initiative de paix au Burundi.

« Aussi, j'appelle le gouvernement et le Palipehutu-FNL à travailler avec un sentiment d'urgence et avec détermination pour trouver un compromis sur les questions difficiles qui pour l'instant ont entravé leurs efforts », a-t-il ajouté.

Le Burundi est en pleine reconstruction après une violente guerre civile entre la majorité Hutu et la minorité Tutsi. En septembre 2006, l'Accord global de cessez-le-feu avait été signé entre le gouvernement et le Palipehutu-FNL, le principal groupe rebelle.

Le chef du groupe, Agathon Rwasa, est retourné dans son pays en mai, ce que le Secrétaire général a qualifié de « développement important ».

Ban Ki-moon a également salué les dirigeants régionaux de l'Initiative, le facilitateur sud-africain et l'Union africaine pour « leurs efforts sans relâche destinés à aider les parties au conflit à trouver une solution. »

« Je vous appelle à faire tout votre possible lors de ce sommet pour obtenir un résultat qui permette au peuple burundais de retrouver l'espoir et d'imaginer un avenir plus prospère et pacifique », a-t-il dit. « De mon côté, je réaffirme l'engagement des Nations Unies à apporter leur soutien, en coordination avec les partenaires régionaux et internationaux ».

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=17930&Cr=burundi&Cr1=ban

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INTEGRATION OF MAOIST FIGHTERS IN NEPAL REMAINS DIFFICULT ISSUE, TOP UN ENVOY SAYS

Special Representative in Nepal Ian Martin

10 November 2008 – Cooperation among Nepal’s key parties remains “critical” to the success of the peace process, which has made important progress but still faces difficult issues such as the integration of the former Maoist combatants, the top United Nations envoy to the country said today.

The unresolved issue of combatants still remains “very important and quite difficult” for the United Nations Mission in Nepal (UNMIN), although its mandate is even more limited following Constituent Assembly elections, Special Representative in Nepal Ian Martin told a news conference in New York.

The peace agreement, which ended a decade-long civil war between Maoists and the then-government that claimed an estimated 13,000 lives, provides for a committee of all major political parties, including the Nepali Congress which went into opposition after the formation of the Maoist-led Government, to integrate and rehabilitate Maoist army combatants.

“The Government has announced the establishment of the special committee and indeed the Secretary-General welcomed that during his visit [earlier this month], but there is still a negotiation going on regarding both its composition and its terms of reference before the Nepali Congress is willing to nominate representation to participate,” Mr. Martin said.

Mr. Martin, who briefed the Security Council on Friday, said the country is going through “a very profound transformation” from what he experienced in 2005, when he arrived to the UN human rights office in Nepal at a time when armed conflict raged, the then king exercised executive authority and democratic rights were under attack.

“It is by any standards extraordinary that now only a little over three years later Nepal has taken decisions that have made it a republic,” he added, noting that it had declared itself a federal democratic republic but still had to draw up a new constitution to give reality to the transition to federalism. “That’s a difficult issue because different groups mean different things [when they speak of federalism],” he said.

“One of the most remarkable aspects of the transformation has been the coming to the fore of ethnic groups that have traditionally been marginalized and now for the first time are much more strongly represented in a uniquely inclusive constituent assembly.” He warned that such a profound transformation “should lead us to expect that it will have difficulties along the way.”

Mr. Martin stressed that the issue of former combatants would not be easy. “There are widely differing views among the political parties and sometimes within them regarding the extent to which Maoist army combatants should or should not be integrated into the State army and in what manner,” he said.

He cited other problems, such as the weak implementation of other peace process commitments which remain at issue among the parties and also commissions that have yet to be formed.

“Commitments to compensation to victims of the conflict, to investigations into the fate of those who disappeared, to the return of displaced persons and property seized during the conflict, to ensuring that the youth groups of political parties remain within the law – all of these need to move beyond rhetoric into practical measures to put them into effect,” he said.

Mr. Martin noted that the Security Council had itself called for the political parties to cooperate “in a spirit of compromise” to complete the peace process.

The Secretary-General noted that in his meetings with Mr. Ban in Nepal, Prime Minister Pushpa Kamal Dahal expressed his view that a UN presence in Maoist army cantonments would remain necessary pending integration and rehabilitation.

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But, given that “even under the most optimistic assumptions” that process will not be completed by the time UNMIN’s current mandate expires at the end of January, Mr. Martin said the Secretary-General had urged that the Government come forward very soon with any request for an extension.

“The Secretary-General and we all share the desire of the Council to bring UNMIN’s mandate to completion as soon as possible, to draw down further and close the mission, but of course in a manner that does not jeopardize the peace process,” he said.

http://www.un.org/apps/news/story.asp?NewsID=28882&Cr=nepal&Cr1=

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RÉINTÉGRER LES ANCIENS COMBATTANTS EST UNE PRIORITÉ POUR LE NÉPAL, SELON BAN

Le Secrétaire général Ban Ki-moon sur le lieu de naissance de Bouddha, au Népal.

3 novembre 2008 – La réintégration de milliers d'ex-combattants maoïstes après des années de guerre civile est une priorité pour le Népal dans le cadre du processus de paix, selon le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon.

« Le défi le plus immédiat est de réintégrer les combattants maoïstes », a déclaré samedi M. Ban lors d'une conférence de presse à Katmandou, à l'issue d'une visite au Népal.

Il a salué la récente création d'un comité spécial pour réintégrer ces ex-combattants et a appelé le nouvel organe à commencer à travailler dès que possible. Il a aussi appelé le gouvernement à avancer rapidement dans la démobilisation formelle de combattants mineurs.

Depuis la signature de l'accord de paix en 2006 mettant fin à une longue guerre civile qui a causé la mort d'environ 13.000 personnes, les combattants maoïstes restent cantonnés avec leurs armements dans des casernes sous la surveillance de la Mission des Nations Unies au Népal (MINUNEP), qui a été créée en janvier 2007 pour assister le processus de paix.

La Mission a également joué un rôle crucial en soutenant l'élection en avril de l'Assemblée constituante, qui a été chargée de rédiger une nouvelle constitution.

Le Secrétaire général a dit à l'Assemblée que la transformation politique du pays devait aller de pair avec la transformation économique et sociale. Il a appelé tous les partis au sein de la coalition gouvernementale à maintenir leur cohésion tout en continuant à travailler avec les partis ne faisant pas partie du gouvernement.

Avant de quitter le Népal, M. Ban s'est rendu à Lumbini, le lieu de naissance de Bouddha, au pied de l'Himalaya.

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=17697&Cr=népal&Cr1=

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LES ÉTATS-UNIS ENVISAGENT DE NÉGOCIER AVEC LES TALIBANS

Publié le 28 octobre 2008 à 07h53 | Mis à jour le 28 octobre 2008 à 09h43

Un membre de la milice des talibans

Photo: AFP

La Presse

(Washington) Les États-Unis envisagent de négocier avec les talibans en Afghanistan, affirme mardi le Wall Street Journal, qui cite des responsables anonymes au sein de l'administration américaine.

«Des responsables à la Maison-Blanche et au sein du commandement militaire estiment qu'engager des négociations avec certains talibans --à l'exclusion des leaders du mouvement-- permettrait d'inverser la spirale actuelle vers le bas en Afghanistan et au Pakistan voisin», écrit le journal sur son site internet.

Cette nouvelle approche était envisagée dans un avant-projet de recommandation d'un rapport classifié de la Maison-Blanche sur l'évaluation de la stratégie américaine en Afghanistan, précise le Wall Street Journal.

Les négociations seraient menées par le gouvernement afghan, «avec la participation active des États-Unis», ajoute le journal.

La version finale de ce rapport sur la stratégie américaine est attendue le mois prochain, après l'élection présidentielle du 4 novembre, toujours selon le quotidien.

Des responsables afghans ont rencontré début octobre à la Mecque, en Arabie Saoudite, d'anciens membres du régime des talibans (au pouvoir à Kaboul de 1996 à 2001), marquant une première ébauche de négociations à haut niveau entre les deux parties.

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En Afghanistan, les contacts informels sur le terrain n'ont cependant jamais cessé entre les représentants du gouvernement d'Hamid Karzaï (dont certains, en particulier dans les provinces, sont d'anciens membres de la milice fondamentaliste) et les talibans.

L'armée américaine est elle-même en contact depuis des années avec des ex-dignitaires talibans, comme Wakil Ahmed Muttawakil, ancien ministre des Affaires étrangères sous le régime de Mollah Omar, qui s'est rendu en 2002 aux soldats américains.

Vivant depuis lors en résidence surveillée dans son pays, Wakil Ahmed Muttawakil est susceptible de faire l'intermédiaire avec les leaders actuels du mouvement taliban et son nom a été cité dans la presse comme étant impliqué dans les négociations de la Mecque.

Les talibans ont lancé une insurrection meurtrière depuis qu'ils ont été chassés du pouvoir à la fin 2001 par une coalition internationale emmenée par les États-Unis.

Les violences ont redoublé d'intensité depuis près de deux ans malgré la présence de 70.000 soldats de deux forces multinationales, l'une de l'OTAN, l'autre sous commandement américain (Operation Enduring Freedom).

Le 8 octobre, le général américain David Petraeus, ancien commandant de la coalition en Irak et récemment nommé chef des troupes américaines dans les guerres d'Irak et d'Afghanistan, avait estimé que des tentatives devaient être entreprises pour ouvrir un dialogue avec les insurgés talibans.

Le général Petraeus avait également confirmé l'existence d'«initiatives locales» en Afghanistan pour de telles discussions.

L'officier est crédité d'avoir considérablement amélioré la sécurité en Irak en mettant en oeuvre une habile stratégie de retournement des insurgés sunnites, autrefois ennemis acharnés des troupes américaines, devenus à coups de dollars les supplétifs des GI's dans la lutte contre Al-Qaeda.

http://www.cyberpresse.ca/international/moyen-orient/200810/28/01-33592-les-etats-unis-envisagent-de-negocier-avec-les-talibans.php

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L'ONU SALUE UN NOUVEL ACCORD ENTRE LES PARTIES SOMALIENNES

Le représentant spécial du Secrétaire général pour la Somalie, Ahmedou Ould-Abdallah.

27 octobre 2008 – Le représentant spécial de l'ONU pour la Somalie, Ahmedou Ould-Abdallah, a félicité le gouvernement fédéral de transition et l'Alliance pour la re-libération de la Somalie pour leur coopération lors de trois jours de négociations à Djibouti qui a conduit à la signature de deux accords déterminants.

Selon les documents signés par les chefs des délégations du Comité conjoint de sécurité, un cessez-le-feu interviendra le 5 novembre 2008, indique un communiqué du Bureau politique des Nations Unies en Somalie.

L'accord prévoit aussi la relocalisation des troupes éthiopiennes et des mesures visant à éviter un vide sécuritaire, notamment en impliquant des forces de l'AMISOM, la Mission de l'Union africaine (UA) en Somalie, avec l'assistance de forces des deux parties, en attendant le déploiement de forces des Nations Unies.

Le représentant spécial a salué "l'établissement de principes très importants » et espère qu'ils seront mis en oeuvre pour le bénéfice du peuple somalien.

L'accord, signé par le Vice Premier ministre Ahmed Abdisalam Aden et le président de l'Alliance pour la re-libération de la Somalie, Sheikh Sharif Ahmed, prévoit une assistance de la part des Nations Unies et la création à court terme d'un gouvernement d'unité nationale.

Il affirme aussi que le gouvernement sera ouvert à tous les Somaliens et que le parlement devra avoir une composition diversifiée.

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=17644&Cr=somalie&Cr1=

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LA REINTEGRATION DES EX-COMBATTANTS DU SUD-SOUDAN EST EN BONNE VOIE

Ashraf Qazi, représentant spécial du Secrétaire général au Soudan.

9 septembre 2008 – Le désarmement et la réintégration des combattants au Soudan est entrée dans une nouvelle phase qui devrait bientôt conduire à sa mise en oeuvre, a annoncé mardi le chef de la Mission des Nations Unies au Soudan (UNMIS).

« Les politiques sont en place, la planification a commencé et le financement de certaines des étapes est disponible », a déclaré le représentant spécial du Secrétaire général et chef de l'UNMIS, Ashraf Qazi, lors d'une allocution à Khartoum devant le Conseil de coordination nationale du désarmement, de la démobilisation et de la réintégration (DDR).

Le DDR est une des tâches de base confiées aux missions de maintien de la paix pour éviter la reprise d'un conflit. Il s'agit de récupérer les armes, de former les anciens miliciens et de les intégrer dans l'armée nationale aux côtés des forces régulières. L'UNMIS a été mise en place à l'issue d'un accord global de paix qui a mis fin à 20 ans de guerre civile entre le Nord et le Sud Soudan.

Le représentant spécial a salué les efforts du Conseil de coordination pour son « approche constructive » concernant l'une des plus complexes et plus vastes opérations de DDR dans le monde.

Ashraf Qazi a annoncé que l'ONU s'engageait à lancer un projet pilote probablement dans l'Etat du Nil bleu avant la fin de l'année.

Il reste beaucoup à faire, a-t-il néanmoins prévenu, soulignant la nécessité de maintenir le niveau de financement adéquat.

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=17252&Cr=Soudan&Cr1=désarmement

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NORD KIVU : 67 COMBATTANTS RWANDAIS DÉPOSENT LES ARMES VOLONTAIREMENT

Des combattants rwandais déposent leurs armes volontairement au Nord Kivu.

1 août 2008 – Soixante sept combattants rwandais d'une faction dissidente des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR), ont déposé les armes jeudi à Kasiki, à environ 200 kilomètres au Nord de Goma, capitale du Nord Kivu, a annoncé vendredi la Mission de l'Organisation des Nations Unies en République démocratique du Congo (MONUC).

Cet événement s'est déroulé en présence d'une délégation des autorités congolaises conduite par le ministre des affaires étrangères de la République démocratique du Congo (RDC), Mbusa Nyamwisi, ainsi que des représentants de la « task force » du groupe de suivi du Communiqué dit « de Nairobi », a précisé la MONUC dans un communiqué.

Par le Communiqué dit « de Nairobi », signé le 9 novembre 2007 à Nairobi, le gouvernement de la RDC et le gouvernement du Rwanda, en présence de la communauté internationale (Union africaine, Union européenne, Etats-Unis, Royaume Uni, Afrique du Sud et Nations Unies), se sont engagés à œuvrer ensemble, dans le cadre d'une approche commune, à l'élimination de la menace que constitue la présence des combattants FDLR à l'Est de la RDC, pour la sécurité de la RDC, du Rwanda et de l'ensemble de la région des Grands Lacs.

Les soixante sept combattants rwandais qui ont déposé volontairement les armes à Kasiki font partie d'une faction du FDLR, le Rassemblement pour l'unité et la démocratie (RUD), et se sont présentés avec une centaine de leurs dépendants. Ils ont remis quelque 45 armes, pour la plupart des AK 47 ainsi que de nombreuses munitions aux équipes du Programme de Désarmement, Démobilisation, Rapatriement, Réinsertion et Réintégration (DDRRR) de la MONUC.

La MONUC salue cette initiative, notant que le désarmement volontaire simultané d'un tel nombre de combattants FDLR n'a plus été effectué depuis 2006.

Depuis lors, la MONUC a continué de recevoir, sur base volontaire de nombreux candidats au programme DDRRR, mais, sur base individuelle ou par petits groupes.

Le nombre des combattants rejoignant le processus est en augmentation depuis la signature du Communiqué de Nairobi (une moyenne de 60 combattants par mois, soit une augmentation de plus de 30% par mois par rapport à la moyenne mensuelle de l'an dernier).

Cependant la MONUC observe avec regret que beaucoup de combattants continuent d'être instrumentalisés par certains de leurs dirigeants qui empêchent leur libre participation au processus de désarmement, de démobilisation et de retour au Rwanda.

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=16977&Cr=RDC&Cr1=MONUC

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TANCREDO CONCERNED MILITARY OFFICIALS ARE UNAWARE OF GANG INFILTRATION IN U.S. ARMY

http://www.borderfirereport.net/latest/tancredo-concerned-military-officials-are-unaware-of-gang-infiltration-in-u.s.-army.html

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Kivus : LA MONUC SE FÉLICITE DE LA SIGNATURE D'ACCORDS DE PAIX

Des personnes déplacées au nord de Bukavu, la capitale de la province du Sud-Kivu.

24 mars 2009 – Le représentant Spécial du Secrétaire général de l'ONU en République Démocratique du Congo, Alan Doss, se félicite de la signature d'accords de paix entre le gouvernement congolais et les rebelles du Congrès National pour la Défense du Peuple (CNDP), ainsi qu'entre le gouvernement et les autres groupes armés du Nord et du Sud Kivu.

Les accords prévoient la fin des hostilités, la transformation des groupes armés en partis politiques, le retour des déplacés et des réfugiés chez eux et l'intégration des cadres de tous les groupes armés dans la vie politique nationale, a précisé la Mission de l'Organisation des Nations Unies en République démocratique du Congo (MONUC) dans un communiqué.

La cérémonie de signature, à laquelle de M. Doss a participé, a eu lieu lundi à Goma, capitale provinciale du Nord-Kivu. Elle s'est déroulée en présence des co-facilitateurs, l'ancien Président nigérian Olusegun Obasanjo, Envoyé Spécial du Secrétaire général de l'ONU pour la région des Grands Lacs, et Benjamin Mkapa, ancien Président tanzanien, nommé par l'Union africaine, qui ont signé en tant que témoins.

Des représentants de la facilitation internationale ont également été présents à la cérémonie. Le gouverneur du Nord Kivu, Julien Paluku, et les négociateurs principaux du gouvernement et du CNDP, le ministre de la Coopération régionale et internationale, Raymond Tshibanda et Desiré Kamanzi, Président du CNDP, aussi bien que les Co-facilitateurs ont brièvement pris la parole. Tous les intervenants ont souligné le tournant que représentent les accords dans les efforts pour la paix dans l'Est de la RDC.

“Ce qui compte aujourd'hui, c'est la mise en oeuvre”, a souligné Alan Doss après la cérémonie. Il a également souligné la nécessité d'aller vite pour mettre en exécution les accords afin de profiter de la dynamique qu'ils ont créé. Il a promis que la MONUC “accompagnera le processus en étroite collaboration avec tous les acteurs impliqués pour sa réussite. Cet accord doit servir d'outil pour mettre fin à la souffrance de la population, et à l'impunité ».

« Les populations de l'Est de la RDC, et surtout les femmes et les enfants, ont été trop longtemps des victimes de conflits armés, de déplacements et de violences sexuelles. S'ils sont respectés ces accords peuvent avoir un impact extrêmement positif sur la vie des populations des deux Kivu », a-t-il ajouté.

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=18762&Cr=Congo&Cr1=MONUC

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SOUDAN : LE PROGRAMME DE DÉMOBILISATION D'EX-COMBATTANTS LANCE LA PHASE DE RÉINTÉGRATION

Alain Le Roy rencontre des membres de la nouvelle Unité conjointe de police intégrée lors de sa visite au Soudan.

26 mars 2009 – La démobilisation de plus de 180.000 ex-combattants de la guerre civile qui a opposé le Nord et le Sud du Soudan entre dans une nouvelle phase avec le lancement de la composante réintégration à la vie civile, a déclaré jeudi la Mission des Nations Unies au Soudan (UNMIS).

« L'opération de désarmement, démobilisation et réintégration (DDR) au Soudan a atteint une nouvelle étape importante avec le lancement le 24 mars de la composante réintégration du programme à Ed Damazin, dans l'Etat du Nil bleu », a précisé l'UNMIS dans un communiqué. Les ex-combattants se voient offrir une assistance technique et matérielle pour réintégrer socialement et économiquement la vie civile.

Cette semaine, 14 participants, dont quatre femmes, ont été reçus par le Service de référence et de conseil personnel (ICRS) au bureau de la Commission conjointe (Nord-Sud) DDR à Ed Damazin. Ils ont tous reçu un kit destiné à les aider à générer un revenu.

Des 5.000 ex-combattants destinés à être démobilisés dans l'Etat du Nil bleu cette année, un total de 1.300 l'a été depuis le début de l'opération il y a six semaines.

Les préparatifs sont bien avancés pour qu'une opération similaire démarre dans les localités de Julud et Kadugli dans le Sud-Kordofan, début avril.

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=18788&Cr=soudan&Cr1=démobilisation

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RDC : DIX COMBATTANTS REBELLES SE RENDENT À UNE PATROUILLE MONUC/FARDC

Des membres des FDLR en RDC

27 avril 2009 – Dix combattants des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) lourdement armés et 31 de leurs dépendants (12 femmes et 19 enfants), se sont rendus vendredi à une patrouille conjointe de la Mission de l'Organisation des Nations Unies en République démocratique du Congo (MONUC) et des forces armées congolaises (FARDC), dans la province du Nord-Kivu, à l'Est de la RDC, s'est félicité lundi la MONUC.

Ils ont été confiés à l'équipe de Démobilisation, Désarmement, Rapatriement, Réintégration et Réinsertion (DDRRR) de la MONUC et transférés à Goma, la capitale du Nord-Kivu, ce week-end, « en vue de leur rapatriement dans la sécurité et dans la dignité au Rwanda, ainsi que de leur intégration au sein du Programme national de démobilisation et de réinsertion dans la vie civile », a souligné la Mission dans un communiqué.

Lors de leur reddition qui a eu lieu dans la localité de Mikumbi, au sud-ouest de Masisi, à 90 kilomètres de Goma, les combattants ont remis neuf armes (six AK47, 2 M-16, 1 carabine 9mm), et un important stock de munitions.

La MONUC lance un nouvel appel urgent aux autres combattants FDLR pour qu'ils saisissent la chance qui leur est toujours donnée, dans le cadre de la campagne KIMIA 2, de déposer pacifiquement les armes, et de rejoindre le programme DDRRR de la MONUC, qui reste ouvert. « La pression militaire en cours et qui va s'accentuer a déjà fortement affaiblie les structures militaires, d'approvisionnement et d'accès aux ressources des FDLR. La vie en brousse va continuer à se détériorer et devenir de plus en plus difficile », estime la Mission.

La MONUC les encourage à se dissocier de l'aile dure des dirigeants de leur mouvement qui les tient otages et à penser à l'avenir de leurs familles et de leurs enfants en choisissant de leur offrir une vie décente comme l'ont déjà fait bon nombre de leurs compatriotes.

Entre le 1er janvier et le 25 avril 2009, la section DDRRR de la MONUC a rapatrié 1.668 ex-combattants FDLR et leurs dépendants (586 ex combattants et 1082 dépendants). La moyenne mensuelle de rapatriement des ex combattants depuis le début de l'année 2009 est d'environ 146, soit quatre fois plus que la moyenne mensuelle en 2008, qui s'élevait à 37.

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=19010&Cr=Congo&Cr1=FDLR

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NIGER : BAN SALUE LA RENCONTRE ENTRE LE PRÉSIDENT ET LES CHEFS DES REBELLES TOUAREGS

UNE NOUVELLE ALLIANCE INFÂME SUR LE POINT DE SE FAIRE???

Des combattants Touaregs.

4 mai 2009 – Le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a salué lundi les récents développements positifs au Niger, dont la rencontre dimanche entre le Président Mamadou Tandja et les chefs des rebelles Touaregs, à Agadès, dans le nord du Niger, dans le cadre des efforts pour mettre fin au conflit dans cette région.

M. Ban « considère ces développements comme significatifs et encourage les parties à poursuivre le dialogue afin de résoudre toutes les questions en suspens », a précisé sa porte-parole dans une déclaration.

« Les Nations Unies se tiennent prêtes à apporter leur aide à tels efforts de la façon jugée la plus appropriée par les parties », a-t-elle ajouté.

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=19076&Cr=niger&Cr1=ban

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BAN PAYS TRIBUTE TO NEW FORUM PROMOTING REINTEGRATION OF EX-COMBATANTS

Ex-combatants from North and South Sudan, including women, symbolically handing over weapons

4 May 2009 – Secretary-General Ban Ki-moon today welcomed the opening of a new forum for the United Nations to advance its work on the disarmament, demobilization and reintegration (DDR) process in countries emerging from armed conflict.

Mr. Ban noted that there have been nearly one million beneficiaries of DDR efforts worldwide over the past 20 years, in a message to the International DDR Congress in Cartagena, Colombia.

“DDR is designed to advance security and stability in post-conflict environments so that recovery and development can firmly take root,” Mr. Ban said in a message that was delivered on his behalf by Assistant Secretary-General for Rule of Law and Security Institutions Dmitry Titov.

“Our experiences in Mozambique, Sierra Leone and many other places have shown how effective DDR initiatives can be in helping ex-combatants build a new life for themselves and a better future for their countries,” he added.

The message highlighted the first edition of the Integrated DDR Standards launched in November 2006 to guide the design and implementation DDR programmes.

“I am glad there is now a wider forum where we can join with other partners to push this work forward,” Mr. Ban stated, welcoming the Congress’s focus on how DDR can fit into peacebuilding, and how DDR can be better coordinated with broader projects.

http://www.un.org/apps/news/story.asp?NewsID=30693&Cr=demobilization&Cr1=

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SOMALI PIRATES QUIDED BY LONDON INTELLIGENCE TEAM, REPORT SAYS

Document obtained by Spanish radio station says 'well-placed informers' in constant contact by satellite telephone

Giles Tremlett in Madrid guardian.co.uk, Monday 11 May 2009 12.59 BST Article history

The Somali pirates attacking shipping in the Gulf of Aden and Indian Ocean are directed to their targets by a "consultant" team in London, according to a European military intelligence document obtained by a Spanish radio station.

The document, obtained by Cadena SER radio, says the team and the pirates remain in contact by satellite telephone.

It says that pirate groups have "well-placed informers" in London who are in regular contact with control centres in Somalia where decisions on which vessels to attack are made. These London-based "consultants" help the pirates select targets, providing information on the ships' cargoes and courses.

In at least one case the pirates have remained in contact with their London informants from the hijacked ship, according to one targeted shipping company.

The pirates' information network extends to Yemen, Dubai and the Suez canal.

The intelligence report is understood to have been issued to European navies.

"The information that merchant ships sailing through the area volunteer to various international organisations is ending up in the pirates' hands," Cadena SER reported the report as saying.

This enables the more organised pirate groups to study their targets in advance, even spending several days training teams for specific hijacks. Senior pirates then join the vessel once it has been sailed close to Somalia.

Captains of attacked ships have found that pirates know everything from the layout of the vessel to its ports of call. Vessels targeted as a result of this kind of intelligence included the Greek cargo ship Titan, the Turkish merchant ship Karagol and the Spanish trawler Felipe Ruano.

In each case, says the document, the pirates had full knowledge of the cargo, nationality and course of the vessel.

The national flag of a ship is also taken into account when choosing a target, with British vessels being increasingly avoided, according to the report. It was not clear whether this was because pirates did not want to draw the attention of British police to their information sources in London.

European countries have set up Operation Atalanta to co-ordinate their military efforts

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in the area.

http://www.guardian.co.uk/world/2009/may/11/somali-pirates-london-intelligence

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GRANDS LACS : L'ONU ET l'UA S'ACTIVENT POUR LA MISE EN OEUVRE DES ACCORDS DE PAIX

Distribution de rations alimentaires par le PAM dans un camp de personnes déplacées au Nord-Kivu.

9 avril 2009 – « Après des années de conflit et de crise humanitaire, la région aspire maintenant à la paix et la communauté internationale attend la mise en œuvre des accords récemment signés », ont souligné Olusegun Obasanjo, Envoyé Spécial du Secrétaire général de l'ONU pour la région des Grands Lacs, et Benjamin Mkapa, Représentant de l'Union africaine, qui viennent d'effectuer une tournée dans la région des Grands lacs.

Après avoir rencontré le président du Kenya, Mwai Kibaki, président de la Conférence internationale sur le Grands lacs, les deux Co- facilitateurs ont se sont rendus à Kinshasa et Kigali, pour y rencontrer les présidents Kabila de la République démocratique du Congo (RDC) et Kagamé du Rwanda, selon la déclaration faite par les deux responsables à l'issue de leur tournée.

Ils ont fait à Mwai Kibaki le point sur les accords politique et sécuritaire signés, il y a quelques semaines, entre le gouvernement congolais, les rebelles du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP), et d'autres groupes armés dans les Kivus. Et avec les chefs d'Etat congolais et rwandais il a été question des suites de ces accords et de la fin de la récente opération conjointe menée contre les Forces Démocratiques pour la Libération du Rwanda (FDLR).

Les deux Co-facilitateurs ont salué le courage et la volonté politique du gouvernement de RDC, qui a ouvert la voie à la signature de ces accords. Ils ont, en outre, rappelé les parties que la mise en œuvre rapide et de bonne foi est la clé de la réussite, et ils leur ont demandé de procéder urgemment à cette mise en œuvre, conformément aux engagements proclamés et au calendrier établie accepté.

Olusegun Obasanjo et Benjamin Mkapa ont appelé l'ONU, l'UA et la communauté internationale à poursuivre leur soutien critique en vue de maintenir l'élan de la paix. Ceci implique, ont-ils indiqué, de poursuivre le soutien matériel et politique, mais aussi le renforcement des capacités et l'assistance financière, notamment.

De son côté, le Représentant Spécial du Secrétaire général de l'ONU en RDC, Alan Doss a estimé jeudi devant le Conseil de sécurité, que d'« importants progrès avaient été enregistrés en matière d'intégration des combattants du CNDP, et d'autres groupes armés, et dans les opérations conjointes contre les groupes armés rwandais, les FDLR ». Il a cependant reconnu que le processus d'intégration au sein de l'armée congolaise « faisait face à des difficultés considérables ».

« J'espère que la consolidation de la situation sécuritaire à l'Est permettra dans un avenir proche de réduire progressivement la présence de la Mission de l'Organisation des Nations Unies en République démocratique du Congo (MONUC), à travers tout le pays et de préparer notre départ », a-t-il ajouté.

Pour leur part, les membres du Conseil de sécurité se sont félicités de l'amélioration des relations entre les pays de la région, qu'ils ont encouragé à continuer de renforcer leur coopération politique, militaire, et économique en vue de garantir la stabilisation de la région des Grands Lacs sur le long terme.

Dans une déclaration à la presse lue par la Présidence du Conseil, ils soulignent l'importance de la réforme du secteur de la sécurité, et déclarent appuyer les opérations planifiées et conduites conjointement par les forces armées congolaises (FARDC) et la MONUC contre les Forces Démocratiques pour la Libération du Rwanda (FDLR), l'Armée de résistance du Seigneur (LRA) et les autres groupes armés.

Les membres du Conseil se déclarent gravement préoccupés par la poursuite des déplacements des populations et les violations massives des droits de l'homme. Ils se disent particulièrement « consternés par les nouvelles faisant état de violences sexuelles généralisées et de la persistance du recrutement de mineurs dans les groupes armés ». Ils soulignent qu'il était urgent de mettre fin à l'impunité des personnes responsables de ces violations des droits de l'homme et du droit international humanitaire.

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http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=18894&Cr=Congo&Cr1=MONUC

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QUÉBEC - «TU NE SAIS PAS À QUI TU AS AFFAIRE. ON EST DES BLOODS»

Publié le 14 août 2008 à 00h00 | Mis à jour le 14 août 2008 à 17h14

 Caroline TouzinLa Presse

La présence des gangs de rue de la grande famille des Rouges empoisonne la vie des citoyens du secteur nord-est de Montréal-Nord depuis plus de 20 ans.

La présence des gangs et les problèmes socio-économiques qui y règnent ont valu à ce secteur le surnom de Bronx. D'honnêtes commerçants y sont extorqués, uniquement parce qu'ils se trouvent «sur le territoire» des Rouges, aussi nommés Bloods.

Les frères Paul, soupçonnés par la police de Montréal d'être des membres des Bloods, résident dans ce quartier. Au moins quatre membres de cette famille ?Philistin, 30 ans, Grégoire, 28 ans, Jocelyn, 21 ans, et Miguel, 20 ans ? ont des antécédents criminels.

«Tu ne sais pas à qui tu as affaire. On est des Bloods», aurait dit Miguel, 20 ans, au commerçant du Danny's Wear lors d'un vol en mai au magasin de vêtements situé au coin des boulevards Léger et Rolland. Le commerçant aurait été menacé après avoir porté plainte contre Miguel. Le jeune homme est accusé de ce vol, mais aussi d'un vol avec séquestration qu'il aurait commis avec son frère Grégoire dans un café italien. Ce dernier événement s'inscrit dans le contexte d'une nouvelle guerre entre les Bloods et la mafia qui a fait cinq victimes en juillet dans des cafés italiens du nord de la ville. Philistin Paul a été l'une de ces victimes atteinte par balles. Il a survécu à ses blessures.

«Ils n'hésitent pas à dire qu'ils sont membres des Bloods à qui veut l'entendre», a résumé la juge Hélène Morin la semaine dernière pour justifier son refus de libérer Grégoire et Miguel Paul. Lors de l'arrestation de Grégoire, un pistolet à décharge électrique emballé dans un foulard rouge a été saisi chez lui.

Les gangs de rue de Montréal sont de plus en plus organisés. Ils sont une « copie conforme» de ceux de Los Angeles, en Californie, lieu de naissance du phénomène, selon l'expert en gangs de rue du Service de police de la Ville de Montréal, Jean-Claude Gauthier. Ce dernier avait donné ce cours de «gangs de rue 101» au procès du gang de la rue Pelletier, premier gang de rue inculpé de gangstérisme au Canada, en 2006. Les noms sont pareils: Bloods et Crips. Les couleurs et les crimes (fusillade au volant d'une voiture, braquage de domiciles, trafic de drogues, proxénétisme) aussi.

Les Bloods seraient moins nombreux, formés de gangs plus hétérogènes, mais tout aussi violents que les Crips, selon des experts de la scène criminelle montréalaise.

«Des Haïtiens de Montréal-Nord qui ne sont même pas membres de gangs attendent l'autobus dans Saint-Michel et se font tirer dessus. C'est grave», avait raconté le sergent-détective Gauthier lors du procès. Autre exemple: un jeune homme, Raymond Ellis, pris à tort pour un Rouge a été assassiné par au moins un membre des Crips, Grégory Dardignac, au bar Aria en 2005. Dardignac a été reconnu coupable du meurtre non prémédité et ses coaccusés subiront leur procès en septembre.

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À leur apparition dans la métropole en 1985, les gangs portaient fièrement leurs couleurs. La rivalité entre les gangs haïtiens de Montréal-Nord et de Saint-Michel remonte à cette époque. Ces gangs ont porté plusieurs noms. Aujourd'hui, les deux grandes familles ennemies sont les Bloods, présents notamment dans Montréal-Nord et Rivière-des-Prairies, et les Crips, qui sont notamment dans Saint-Michel.

Une récente étude d'une criminologue de l'Université de Montréal révélait toutefois qu'il ne fallait pas résumer le phénomène de gangs dans la métropole à cette rivalité. Le tiers des gangs ne serait pas affilié à l'un ou l'autre. Et des membres de gangs supposément ennemis s'associent parfois pour commettre des crimes. De son côté, la police de Montréal affirme qu'il y a une vingtaine de gangs majeurs regroupant entre 350 et 500 membres.

Ce procès a aussi démontré qu'il ne fallait pas résumer les gangs de Montréal-Nord aux gangs des Rouges. Le chef du gang, Bernard Mathieu, n'était affilié ni aux Rouges, ni aux Bleus.

Et pourtant, son réseau vendait du crack dans la rue Pelletier en face de la polyvalente Calixa-Lavallée. Mathieu faisait des affaires avec les Rouges et les Bleus.

Il était à ce point puissant qu'il pouvait garantir à un membre des Ruffriders (Bleus) de venir en toute sécurité à Montréal-Nord. À l'époque, deux trafiquants approvisionnés en crack par le gang de Mathieu vendaient au coeur du «Bronx» sur les boulevards Rolland et Langelier.

http://www.cyberpresse.ca/article/20080814/CPACTUALITES/80813277/6488/CPACTUALITES/?utm_campaign=retention&utm_source=bulletinCBP&utm_medium=email

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ALLIANCE À VENIR

Sri Lanka says Tigers defeated COLOMBO (Reuters) - Sri Lankan President Mahinda Rajapaksa on Saturday said the Tamil Tigers had been militarily defeated as soldiers seized control of the entire coastline for the first time in a 25-year war.

Rajapaksa, on a visit to Jordan, said he would return to Sri Lanka on Sunday "as a leader of a nation that vanquished terrorism."

Rajapaksa spoke after troops took control of the Indian Ocean island nation's entire coast for the first time since war broke out in 1983, cutting off the Tigers' last hope of escape from a military advance aimed at crushing separatist resistance.

Intelligence reports indicated that Vellupillai Prabhakaran, founder-leader of the Liberation Tigers of Tamil Eelam (LTTE), and other leaders were surrounded by soldiers in barely a square km (half a sq mile) of land near the northeastern coast.

The LTTE's conventional defeat has been a foregone conclusion for months. The only question remaining has been the fate of tens of thousands of people the United Nations and others say the Tigers are holding in harm's way as human shields.

Explosions rocked the battlefield as the LTTE set off its ammo dumps, the military said.

"My government, with the total commitment of our armed forces, has in an unprecedented humanitarian operation finally defeated the LTTE militarily," Rajapaksa told a meeting of 11 developing nations in Jordan.

A presidential official who declined to be named said Rajapaksa's statement was not the official declaration of victory, which would come in a TV address after his return.

Nearly 11,900 people fled rebel areas on Saturday, bringing the total to more than 25,000 since Thursday, military spokesman Brigadier Udaya Nanayakkara said.

TIGERS WARNING

The LTTE said a conventional defeat would only result in a new phase of Asia's longest modern war.

"Colombo's approach, to finish the war in 48 hours through a carnage and bloodbath of civilians, will never resolve a conflict of decades," the pro-rebel website www.TamilNet.com quoted the LTTE's S. Pathmanathan as saying.

"On the contrary, it will only escalate the crisis to unforeseen heights."

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Pathmanathan, believed by diplomats to be somewhere in southeast Asia, has for years been the Tigers' chief weapons procurer, and is wanted by Interpol.

The Tigers have answered early battlefield losses with suicide bombings in the capital, Colombo. Their widespread use of assassinations and suicide blasts has prompted the United States, European Union and India to class them as terrorists.

U.N. Secretary-General Ban Ki-moon's chief of staff, Vijay Nambiar, was due in Colombo to make a last-ditch attempt for a negotiated end to the war.

The Tigers this week again refused to surrender or to free civilians, while the government rejected calls to pause its assault to protect civilians.

Each side accuses the other of killing civilians, and diplomats say there is evidence both have done so. The U.N. rights chief on Friday said she backed an inquiry into potential war crimes and humanitarian violations by both sides.

British Prime Minister Gordon Brown called for an immediate end to fighting and said Sri Lanka "must understand that there will be consequences for its actions."

Nambiar's visit, U.N. and Western condemnation and U.S. threats to withhold a $1.9 billion International Monetary Fund (IMF) loan all appear to have come too late to stop a fight to the finish between uncompromising foes.

The Red Cross called the civilians' plight an "unimaginable humanitarian catastrophe" because of the lack of food, water and medical care in the battle zone, where the United Nations estimates 30,000-80,000 people are trapped.

"We have not eaten for weeks," a Tamil woman who escaped told Derana TV.

"Tell your leader to rescue all our children, all the Tamils. There are children without legs, some are dead on the streets. After seeing so many, I have lost interest in life."

ECONOMIC CHALLENGES

Many analysts expect the LTTE to return to its hit-and-run guerrilla roots with financing from the global Tamil diaspora, but the military says it is ready to face that threat.

The LTTE has vowed to attack economic targets.

That could complicate Rajapaksa's plans to revive Sri Lanka's $40 billion economy, reeling from falling revenues from garment and tea exports, a balance-of-payments deficit, a declining rupee, and depleted foreign exchange reserves.

Despite the U.S. threats, the IMF on Friday indicated it expected the loan to be worked out in a few weeks.

Prabhakaran began his fight for a separate state for Sri Lanka's minority Tamils in the early 1970s, and it erupted into full-scale civil war in 1983.

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Tamils complain of marginalization at the hands of successive governments led by the Sinhalese majority, which came to power at independence in 1948 and took the favored position the Tamils had enjoyed under the British colonial government.

http://ca.news.yahoo.com/s/reuters/090516/world/international_us_srilanka_war

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MS 13: WORLDS MOST DANGEROUS GANG 1 OF 3 streaminghttp://www.dailymotion.com/video/x29ex5_ms13-worlds-most-dangerous-gang-1-o_street

Obama targets Pakistan Who's behind it?

US troops are being pulled from Iraq...and sent to Afghanistan, one country closer to Pakistan.

Obama has shown a consistent "interest" in Pakistan.

One of his first acts as President was to authorize a drone attack inside the country's border which happened to have collateral damage (i.e. innocent civilians, including women and children were killed.)

What's behind Obama's "interest" in the country which until his term was off radar?

That question is best answered by looking into who is behind Obama.

http://www.youtube.com/watch?v=cckAY1gHeR4&feature=player_embedded

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RIVAL PALESTINIAN FACTIONS RESUME UNITY TALKS IN CAIRO

Last update - 17:37 16/05/2009 By The Associated Press  

Rival Palestinian factions Hamas and Fatah began a fifth round of talks Saturday aimed at forming a deal to share power, the latest session in months of fruitless negotiations.

The key stumbling block in the Egyptian-mediated talks remains the political program of a unity government that would be in power until elections are held in January 2010.

The international community says it will only deal with a Palestinian government that recognizes Israel , a concession the Islamic militant Hamas is unwilling to make.

Hamas seized Gaza by force in June 2007, four months after its previous power-sharing deal with President Mahmoud Abbas's Fatah movement collapsed.

Each side set up its own government, Hamas in Gaza and Abbas in the West Bank.

The division has complicated Israeli-Palestinian peace efforts and hindered the reconstruction of Gaza after Israel's devastating three-week offensive against the coastal strip's Hamas rulers in December and January.

Egyptian intelligence chief Gen. Omar Suleiman, the top mediator in the talks, expects to receive a final response to an Egyptian compromise proposal, according to an Egyptian official close to the talks.

Under that proposal, Hamas would stay out of the transitional government, allowing the moderate Abbas to run it. In return, Hamas and other Palestinian factions would become part of an advisory committee that would be given a say in the government's decisions.

The Egyptian official spoke on condition of anonymity because he was not authorized to speak to the media.

Hamas' Gaza strongman, Mahmoud Zahar, at the start of Saturday's session said the group was still studying the Egyptian proposal. He repeated the group's position that it will not be part of any government program that involves the recognition of Israel.

http://www.haaretz.com/hasen/spages/1085862.html

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[g][couleur=#f00e00][size=4]RÉINTÉGRER LES ANCIENS COMBATS EST UNE PRIORITÉ POUR LE NÉPAL, SELON BAN[/size][/couleur][/g]

[img]http://www.un.org/News/dh/photos/2008/204502-ki-moon.jpg[/img]

[g]Le Secrétaire général Ban Ki-moon sur le lieu de naissance de Bouddha, au Népal.

3 novembre 2008 – La [couleur=#ff0000]réintégration de milliers d'ex-combattants maoïstes [/couleur]après des années de guerre civile est une priorité pour le Népal dans le cadre du processus de paix, selon le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon.

« Le défi le plus immédiat est de réintégrer les combattants maoïstes », a déclaré samedi M. Ban lors d'une conférence de presse à Katmandou, à l'issue d'une visite au Népal.

Il a salué la récente création d'un comité spécial pour réintégrer ces ex-combattants et a appelé le nouvel organe à commencer à travailler dès que possible. Il a aussi appelé le gouvernement à avancer rapidement dans la démobilisation formelle de combattants mineurs.

Depuis la signature de l'accord de paix en 2006 mettant fin à une longue guerre civile qui a causé la mort d'environ [couleur=#ff0000]13.000 personnes[/couleur], les combattants maoïstes restent cantonnés avec leurs armements dans des casernes sous la surveillance de la Mission des Nations Unies au Népal (MINUNEP), qui a été créée en janvier 2007 pour assister le processus de paix.

La Mission a également joué un rôle crucial en soutenant l'élection en avril de l'Assemblée constituante, qui a été chargée de rédiger une nouvelle constitution.

Le Secrétaire général a dit à l'Assemblée que la transformation politique du pays devait aller de pair avec la transformation économique et sociale. Il a appelé tous les partis au sein de la coalition gouvernementale à maintenir leur cohésion tout en continuant à travailler avec les partis ne faisant pas partie du gouvernement.

Avant de quitter le Népal, M. Ban s'est rendu à Lumbini, le lieu de naissance de Bouddha, au pied de l'Himalaya.[/g]

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=17697&Cr=népal&Cr1=

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BAN KI-MOON PRÔNE LA RÉCONCILIATION

Associated Press (AP)  22/05/2009 14h25  

Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon  

© AP/Susan Walsh

Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a appelé le gouvernement du Sri Lanka aujourd'hui à profiter de sa victoire sur les rebelles tamouls pour satisfaire aux réclamations de longue date de la minorité tamoule, victime de discriminations de la part de majorité cinghalaise.

M. Ban, qui devait arriver au Sri Lanka dans la soirée pour une visite de 24 heures, comptait demander à Colombo de permettre aux camps qui abritent quelque 280 000 réfugiés de la guerre de recevoir davantage d'aide humanitaire.

Il comptait survoler en hélicoptère la zone dévastée par la guerre dans le nord-est du pays, où l'armée vient d'écraser la rébellion des Tigres tamouls après 35 ans de guerre civile.

Comme d'autres hauts responsables de la communauté internationale, Il avait appelé à la suspension des combats pour des raisons humanitaires.

Le chef de cabinet de M. Ban, Vijay Nambiar, a déclaré que le secrétaire général des Nations unies évoquerait la nécessité d'entamer un processus de réconciliation avec les Tamouls qui comptent pour 18 pour cent de la population.

http://www.canoe.com/infos/international/archives/2009/05/20090522-142556.html

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CÔTE D'IVOIRE : DISCUSSIONS SUR LE DÉPLOIEMENT D'UNITÉS MIXTES

3 juin 2009 – L'Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire(ONUCI) a participé mardi à des discussions sur le déploiement d'unités mixtes, composées d'anciens rebelles et de forces gouvernementales, pour assurer la sécurité dans le cadre du processus électoral en cours.

Il s'agissait de la première réunion militaire hebdomadaire visant à créer un cadre de discussion pour le suivi de l'Accord 4 de l'Accord politique de Ouagadougou, a indiqué mercredi la porte-parole du Secrétaire général lors du point de presse quotidien au siège des Nations Unies à New York.

Le chef de la police des Nations Unies en Côte d'Ivoire, Pierre André Campiche, et le commandant adjoint de la Force, Benjamin Freeman Kuzi, ont participé à cette réunion tenue au bureau du représentant spécial du Facilitateur en Côte d'Ivoire, Bouréima Badini.

S'exprimant à la fin de la rencontre, M. Campiche a expliqué que l'ONUCI était venue pour recevoir les requêtes et aider les acteurs politiques et militaires ivoiriens pour une application effective de l'Accord politique de Ouagadougou.

Selon le chef d'état-major des Forces armées des Forces nouvelles (FAFN), le général Soumaila Bakayoko, la réunion a permis de faire le point sur le déploiement des unités mixtes dans le cadre de la sécurisation du processus électoral en cours.

« Nous avons également évoqué les problèmes que les militaires rencontrent sur le terrain par rapport à l'exécution de leur mission notamment des difficultés d'ordre logistique », a-t-il indiqué au sortir de la rencontre qui a rassemblé les ministres ivoiriens de la défense, Michel Amani N'Guessan et celui de l'intérieur, Désiré Tagro.

Les deux ministres se sont félicités de cette rencontre entre militaires et civils engagés dans le processus en tant qu'acteurs principaux, et dont l'objectif est entre autres de « répertorier ensemble les problèmes et leur apporter une solution ». « Nous sommes en plein dans la partie militaire de l'Accord politique de Ouagadougou notamment l'Accord 4 », a indiqué M. Tagro

M. Amani N'Guessan a pour sa part noté la nécessité de mieux coordonner les actions. « L'accord politique est un accord, il faut maintenant et de façon technique, voir les problèmes financiers, les problèmes de cadre d'accueil des redéployés, la mission même de l'opération et un certain nombre de points techniques », a-t-il souligné, annonçant par ailleurs qu'à ce jour 500 éléments des FDS étaient déployés à Bouaké et 101

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éléments FAFN à Abidjan.

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=19307&Cr=Ivoire&Cr1=

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SRI LANKA: LES REBELLES TAMOULS SE DISENT PRÊTS À NÉGOCIER LA PAIX

Publié le 14 avril 2009 à 08h18 | Mis à jour le 14 avril 2009 à 08h22

Un militaire sri lankais.Photo: Reuters

Agence France-PresseColombo

Les rebelles tamouls du Sri Lanka, qui ont de facto perdu la guerre contre l'armée gouvernementale, se sont dits mardi prêts à conclure un cessez-le-feu sous l'égide de la communauté internationale et à réamorcer des NÉGOCIATIONS DE PAIX avec Colombo, qui a rejeté cette offre.

Ce pays en guerre depuis 37 ans observe depuis lundi une trêve de 48 heures, consentie par le gouvernement sous pression internationale pour soulager ou laisser partir les 100.000 civils tamouls pris au piège dans la zone du conflit dans le nord-est de l'île.

Mais le mouvement séparatiste des Tigres de libération de l'Eelam tamoul (LTTE), militairement acculé sur une quinzaine de km2, a qualifié cette brève accalmie de «trompeuse».

Ce cessez-le-feu annoncé dimanche par le président Mahinda Rajapakse à l'occasion du Nouvel an bouddhique (célébré par la majorité cinghalaise et la minorité tamoule) ne représente que «deux jours de vacances pour l'armée», ont fustigé les Tigres dans un communiqué.

Le Sri Lanka «plastronne pour tromper la communauté internationale et le peuple tamoul», a accusé la guérilla en se déclarant en revanche disposée à sceller une trêve durable sous patronage international.

«Un tel cessez-le-feu servirait de base à des négociations politiques», ont insisté les

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Tigres, ce qui mettrait fin à la phase militaire d'un conflit séparatiste qui a fait depuis 1972 des dizaines de milliers de morts, dont 2.800 civils depuis le 20 janvier selon l'ONU.

Le Sri Lanka a balayé cette proposition de «DIALOGUE à propos d'un règlement politique» qui ne servirait à l'insurrection qu'à «gagner du temps pour se regrouper», selon le porte-parole du gouvernement, Lakshman Yapa Abeywardena.

La mini-trêve avait été saluée par le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, qui avait toutefois déploré un répit plus court que le «cessez-le-feu humanitaire» de «quelques jours» qu'il appelait de ses voeux.

La Grande-Bretagne -puissance coloniale au Sri Lanka jusqu'à l'indépendance de 1948- a aussi réclamé, par la voix du ministre des Affaires étrangères David Miliband, une prorogation du cessez-le-feu.

Mais son homologue sri-lankais Rohitha Bogollagama a argué qu'une trop longue pause ne garantissait nullement que le LTTE laisse partir les populations tamoules utilisées comme «boucliers humains». L'insurrection pourrait même en profiter pour se réarmer, redoute Colombo.

Depuis que le Sri Lanka a lancé en janvier son offensive «finale» contre le LTTE, la communauté internationale s'émeut du sort des civils tamouls dans le nord-est coupé du monde et auquel seule la Croix-Rouge a accès.

Grâce à la forte diaspora sri-lankaise tamoule, des manifestations se multiplient depuis des semaines en Occident, notamment à Londres où 100.000 personnes ont défilé ce week-end.

Les bailleurs de fonds du Sri Lanka et médiateurs du conflit -Etats-Unis, Union européenne, Japon et Norvège- avaient sommé la semaine dernière les belligérants de cesser les hostilités.

Certes, Colombo a fait brièvement taire les armes, mais il a aussi annoncé lundi ne plus vouloir d'Oslo comme médiateur de paix, un rôle tenu depuis janvier 2000.

Un cessez-le-feu entre les Tigres et l'armée avait été conclu sous l'égide de la Norvège en février 2002, avant d'être rompu par Colombo en janvier 2008, après l'échec de négociations en octobre 2006 à Genève.

Personne n'a fait officiellement le lien entre ce camouflet infligé à la Norvège et l'assaut la veille par des Tamouls contre l'ambassade du Sri Lanka dans la capitale norvégienne. Colombo a accusé la Norvège d'avoir failli à sa «mission de protection» de sa chancellerie. Oslo a présenté ses excuses.

http://www.cyberpresse.ca/international/asie-oceanie/200904/14/01-846235-sri-lanka-les-rebelles-tamouls-se-disent-prets-a-negocier-la-paix.php

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SRI LANKA : BAN RÉCLAME UNE RÉCONCILIATION IMMÉDIATE AVEC LES TAMOULS

Un centre de distribution alimentaire pour des déplacés au Sri Lanka.

11 juin 2009 – La réconciliation avec les populations tamoules au Sri Lanka après la victoire militaire des troupes gouvernementales sur les Tigres de libération de l'Eelam tamoul (LTTE) doit commencer immédiatement, a lancé jeudi le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon.

M. Ban a insisté pour que cette réconciliation commence tout de suite, « afin que l'histoire ne se répète pas ».

L'armée sri lankaise a remporté à la mi-mai une victoire militaire sur les LTTE qui militaient par la violence depuis 25 ans pour l'indépendance du nord du pays, au prix de nombreuses victimes civiles et du déplacement de près de 300.000 personnes vivant dans 40 sites d'urgences dans le pays.

Le Secrétaire général a déclaré s'apprêter à envoyer une lettre au Président sri lankais Rajapaksa pour qu'il remplisse ses engagements, en particulier concernant une enquête transparente et responsable sur les violations éventuelles du droit international lors des dernières étapes du conflit.

Il s'est dit encouragé par l'engagement du gouvernement à ramener 80% de la population déplacée dans leurs foyers d'ici à la fin de l'année, mais il a déclaré vouloir pousser le gouvernement à améliorer la liberté de circulation des personnes.

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=19373&Cr=sri&Cr1=ban

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CARTER WANTS OBAMA TO REMOVE HAMAS FROM TERROR LIST

VOUS SAVEZ MAINTENANT DE QUEL CÔTÉ SE POSITIONNE L'ANCIEN PRÉSIDENT CARTER. SI CELA EST ACCEPTÉ, LE HAMAS POURRA ALORS JOINDRE LES RANGS DES FORCES INTERNATIONALES DE LA GRANDE ARMÉE ONUSIENNE. LE HAMAS POURRA ALORS SE FONDRE DANS LES DIFFÉRENTS CORPS MILITAIRES ET POURRA AINSI ÊTRE DÉPLOYÉ DANS TOUS LES PAYS DU MONDE.

COMME L'ISLAM AVANCE À GRAND PAS PARTOUT SUR NOTRE BELLE PLANÈTE, NOUS POUVONS VOIR LE DANGER À VENIR POUR LES PEUPLES "INSOUMIS" ET "INFIDÈLES".

LES LIENS ÉTROITS ENTRE LES ÉTATS-UNIS ET LES CLANS TERRORISTES ISLAMIQUES VOUS ONT ÉTÉ CLAIREMENT DÉMONTRÉS DANS DES ARTICLES QUE JE VOUS AI MIS CES DERNIERS MOIS. NOUS SOMMES DONC BIEN AU FAIT DE CETTE GRANDE CONSPIRATION ET INQUISITION QUI PREND PLACE. NOUS DEVONS DONC NOUS PRÉPARER À Y FAIRE FACE AUTANT SPIRITUELLEMENT QUE PHYSIQUEMENT.

CE SERA LE DERNIER ROUND POUR L'HUMANITÉ POUR LA PRISE DE POUVOIR DE CETTE PLANÈTE PAR LES ILLUMINATI ET LA DESCENDANCE DE LA RACE DES ANGES DÉCHUS, DES DESCENDANTS DE LA RACE DE CAÏN, PARTIE INFÉRIEURE DE LA GRANDE STATUE DE NEBUCADNESTAR.

PAR L'INITIATIVE DES DIFFÉRENTS GOUVERNEMENTS VENDUS À CE NOUVEL ORDRE MONDIAL TOTALITAIRE, LE SERPENT AURA SON HEURE DE GLOIRE POUR QUELQUES ANNÉES. MAIS AU TERME FIXÉ PAR LE CRÉATEUR, UN GRAND ROCHER (YESCHOUA) ÉCRASERA LES 10 ORTEILS DE LA STATUE POUR METTRE FIN À CE CHAOS MONDIAL SI HABILLEMENT MIS EN PLACE PAR LUCIFER ET SES AGENTS.

Wednesday, Jun 17 '09, Sivan 25, 5769 by Zalman Nelson  

The Obama Administration should remove Hamas from the terrorist list, former President Jimmy Carter told media following his visit to Gaza today. He said he plans on pushing for the change when he meets with U.S. officials on Thursday to discuss his latest trip to the Middle East.

Carter’s comments came during a joint press conference with Hamas leader Ismail Haniyeh following their meeting today in Gaza.  The former president said he tried to convince Hamas leaders to denounce violence, accept the existing interim agreements and recognize the right of the Jewish state to exist.

"Hamas leaders want peace and they want to have reconciliation not only with their Fatah brothers but also eventually with Israelis to live side by side, with two nations, both sovereign nations recognized by each other and living in peace," Carter said.

Haniyeh told Carter that he supported any plan that aims at preserving Arab rights and

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leads to the establishment of a sovereign Arab state on all the territories that were occupied by Israel in 1967 "with Jerusalem as its capital." He urged Carter to pressure Israel to lift the security blockade which was imposed on Gaza’s border crossings to prevent weapons smuggling.

During his visit Carter handed over a letter from kidnapped Israeli soldier Gilad Shalit’s parents and asked the group to deliver it on humanitarian grounds. He shared his version of a prisoner swap proposal which included releasing PA women, children, and parliament members he claimed were being held by Israel.

Haniyeh said Hamas desired to end the Shalit case and welcomed Carter's mediation efforts.

Asked about his feeling after touring Gaza, Carter said, "My feeling is a feeling of sadness, anger and despair after seeing all this destruction that was caused to innocent people." He said that he would send President Obama a report explaining in details the situation in Gaza.

Carter said he felt personally responsible that American weapons were during Israel’s offensive in Gaza in January to stop terrorists from launching rockets against Israeli civilians in the south. "I know that the Israeli destruction of houses, infrastructure, and factories in Gaza was carried out by American weapons. I hope that this won't be repeated again," he said.

http://www.web-view.net/Show/0XDAD61738BAC54FCB4D64DA8D700CF89B001E04F11E9434438186735DBD637488

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SECURITY COUNCIL EXTENDS UN FORCE IN GOLAN HEIGHTS FOR FURTHER SIX MONTHS

UNDOF military observer on duty in Mount Hermon, Golan Heights

23 June 2009 – The Security Council today extended for another six months the mandate of the United Nations force in the Golan Heights that has been tasked with supervising the disengagement accord between Syrian and Israeli forces after their 1973 war. The Council, in a unanimously adopted resolution, renewed the mandate of the UN Disengagement Observer Force (UNDOF) until 30 December 2009.

In his recent report on the Force, Secretary-General Ban Ki-moon said that the situation in the Golan Heights has remained generally quiet.

“Nevertheless, the situation in the Middle East is tense and is likely to remain so, unless and until a comprehensive settlement covering all aspects of the Middle East problem can be reached,” he added.

Therefore, he considered the continued presence of UNDOF in the area to be “essential.”

http://www.un.org/apps/news/story.asp?NewsID=31236&Cr=middle+east&Cr1=

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LA MISSION DE L'ONU AU GOLAN RECONDUITE POUR SIX MOIS

23 juin 2009 – Le Conseil de sécurité a renouvelé mardi pour une période de six mois, soit jusqu'au 30 décembre 2009, le mandat de la Force des Nations Unies chargée d'observer le dégagement (FNUOD).

Le Conseil, par sa résolution 1875 (2009), adoptée à l'unanimité, a ainsi suivi la recommandation du Secrétaire général, dans son rapport sur les activités de la FNUOD au cours des six derniers mois.

Le président du Conseil de sécurité, M. Baki Ilkin (Turquie), dans une déclaration lue au nom de ses membres, cite le paragraphe 11 du rapport de M. Ban Ki-moon, où il est indiqué que « la situation au Moyen-Orient est tendue et le restera probablement, à moins que l'on ne parvienne à un règlement global portant sur tous les aspects de la question au Moyen-Orient ». « Cette déclaration du Secrétaire général reflète le point de vue du Conseil de sécurité », précise le président du Conseil de sécurité.

Dans son rapport, le Secrétaire général estime « indispensable », au vu de la situation actuelle, le maintien dans la région de la présence de la Force, créée en mai 1974 afin de superviser le cessez-le-feu prévu par la résolution du Conseil de sécurité et l'accord de dégagement entre les forces syriennes et israéliennes du 31 mai 1974.

Le Secrétaire général observe que « la situation dans le secteur Israël-Syrie reste d'une manière générale calme ». La FNUOD « a continué de s'acquitter de sa tâche de manière efficace, avec la coopération des parties », écrit M. Ban dans son rapport.

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=19456&Cr=Israël&Cr1=Golan

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MOYEN-ORIENT : RENOUVELLEMENT DU MANDAT DE LA FNUOD POUR SIX MOIS

New York, Jun 24 2009 11:00AM

Le Conseil de sécurité, par sa résolution 1875 (2009), adoptée à l'unanimité, a renouvelé hier mardi, pour une période de six mois, soit jusqu'au 30 décembre 2009, le mandat de la Force des Nations Unies chargée d'observer le dégagement (FNUOD).

Le Conseil, a ainsi suivi la recommandation émise par le Secrétaire général dans son rapport sur les activités de la FNUOD au cours des six derniers mois. Dans ce Document, Ban Ki-moon estime « indispensable », au vu de la situation actuelle, le maintien dans la région de la présence de la Force.

Dans une déclaration lue au nom de ses membres, le Président du Conseil de sécurité, M. Baki Ilkin (Turquie), cite le paragraphe 11 du rapport de M. Ban Ki-moon, où il est indiqué que « la situation au Moyen-Orient est tendue et le restera probablement, à moins que l'on ne parvienne à un règlement global portant sur tous les aspects de la question au Moyen-Orient ».  « Cette déclaration du Secrétaire général reflète le point de vue du Conseil de sécurité », précise le Président du Conseil de sécurité.

La Force des Nations Unies chargée d´observer le dégagement  a  été établie à l'origine par la résolution 350 (1974) du Conseil de sécurité en date du 31 mai 1974 pour surveiller le respect du cessez-le-feu entre Israël et la Syrie, le dégagement des forces israéliennes et syriennes, et les zones de séparation et de limitation des armements, conformément à l´Accord sur le dégagement. Depuis sa création, le mandat de la Force a été renouvelé tous les six mois

Reçu de l'ONU

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NÉPAL : L'ONU SALUE LE DÉBUT DE LA DÉMOBILISATION DES COMBATTANTS MAOÏSTES

New York, Jul 17 2009 12:00PM

La Mission des Nations Unies au Népal (MINUNEP) a salué vendredi la décision du gouvernement népalais et du Parti communiste unifié du Népal-maoïste (UCPN-M) de lancer formellement le 17 juillet 2009 le processus de démobilisation et de réinsertion de 4.008 militaires maoïstes, dont 2.973 mineurs.

« Ceci marque une étape cruciale dans le processus de paix », déclare la MINUNEP dans un communiqué. « Il est important que l'UCPN-M coopère avec le gouvernement pour s'assurer que le programme de démobilisation et de réinsertion est mené à terme avec succès ».

La Mission des Nations Unies juge également encourageant que l'accord reconnaisse l'importance du respect des critères internationaux conformément à la résolution 1612 (2005) du Conseil de sécurité sur les enfants et le conflit armé, et s'engage à mener un processus de démobilisation et de réinsertion qui permettra aux ex-combattants de choisir librement entre une série de programmes d'assistance à la réinsertion dans les mois à venir.

« Les Nations Unies se tiennent prêtes à fournir un soutien et une assistance à cet égard », ajoute le communiqué.

Reçu de l'ONU

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NÉPAL : BAN JUGE PRIORITAIRE LA RÉINSERTION DES MEMBRES DE L'ARMÉE MAOÏSTE

20 juillet 2009 – Les deux principales tâches à accomplir dans le cadre du processus de paix au Népal sont l'intégration et la réinsertion des membres de l'armée maoïste et la rédaction de la nouvelle constitution, affirme le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, dans un nouveau rapport au Conseil de sécurité.

« On a observé pendant le premier trimestre de 2009 des signes prometteurs de progrès indiquant que les parties avaient commencé à avancer dans la recherche d'une solution concernant l'avenir du personnel de l'armée maoïste », souligne M. Ban dans ce rapport sur la Mission des Nations Unies au Népal (MINUNEP).

La semaine dernière, la MINUNEP a salué la décision du gouvernement népalais et du Parti communiste unifié du Népal-maoïste (UCPN-M) de lancer formellement le 17 juillet 2009 le processus de démobilisation et de réinsertion de 4.008 militaires maoïstes, dont 2.973 mineurs.

Le rapport du Secrétaire général a été rendu public le jour de sa présentation au Conseil par Karin Landgren, la représentante spéciale de Ban Ki-moon pour le Népal, lors de consultations à huis clos.

Le Secrétaire général estime nécessaire de « lancer un processus de planification pour mettre en oeuvre l'engagement pris dans l'Accord de paix global et la Constitution provisoire de démocratiser et de définir la taille appropriée de l'armée népalaise tout en veillant à ce que cette institution reflète la diversité du Népal et soit empreinte des valeurs de démocratie et des droits de l'homme ». « Toutes les parties ont souligné l'importance d'une armée strictement professionnelle et apolitique », ajoute-t-il.

« Les arrangements concernant le cantonnement des membres de l'armée maoïste, le casernement de l'armée népalaise et la surveillance des armements et des armes ont été conçus comme des mesures temporaires visant à créer des conditions propices à l'élection de l'Assemblée constituante et non comme des solutions à long terme », rappelle-t-il.

Aux termes des accords de paix, les personnes ne remplissant pas les critères retenus (dont la plupart étaient âgés de moins de 18 ans en mai 2006) au titre de la vérification de l'armée maoïste devaient être démobilisées sans délai tandis que les autres devaient bénéficier de mesures d'intégration ou de réinsertion. L'ONU a sans cesse demandé qu'une solution rapide soit trouvée concernant l'avenir des éléments de l'armée maoïste et qu'il soit mis fin aux cantonnements prolongés.

Page 61: Programme DDRRR - Programme de Désarmement, Démobilisation, Rapatriement, Réinsertion et Réintégration (DDRRR)

Les dirigeants politiques népalais ont laissé entendre que la présence de la MINUNEP était nécessaire jusqu'à l'intégration et la réinsertion du personnel de l'armée maoïste.

Au plan politique, le Secrétaire général souhaite que « les parties s'accordent sur un idéal et une feuille de route communs, au moins jusqu'à la fin du processus d'élaboration de la Constitution et la consolidation des institutions clefs du pays".

Les principaux dirigeants politiques ont indiqué qu'un gouvernement d'unité nationale était maintenant nécessaire. Ils reconnaissent ainsi, à la lumière de la crise actuelle, que seule l'unité entre les parties peut garantir le succès du processus de paix.

Mais les problèmes à l'origine de la crise politique et de la démission de l'ancien Premier ministre Prachanda, notamment les pouvoirs du président en vertu de la Constitution provisoire, les mécanismes de gouvernance et de contrôle civil de l'armée ainsi que les questions comme la restitution des biens saisis pendant le conflit et le recours à la violence et à l'intimidation par les groupes de jeunes des partis politiques, ne sont toujours pas résolus et pourraient engendrer d'autres différends, selon le rapport.

Le Secrétaire général estime aussi qu'il faut trouver des solutions politiques aux motivations politiques (plutôt que criminelles) à l'origine de la violence continue dans la région du Terai.

En attendant, Ban Ki-moon recommande que le Conseil de sécurité proroge le mandat de la MINUNEP pour une nouvelle période de six mois, jusqu'au 23 janvier 2010.

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=19662&Cr=Népal&Cr1=MINUNEP

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THE PRESIDENTIAL HIT SQUAD

VIDEOS : http://www.youtube.com/watch?v=17hm4HIyaOw&feature=player_embedded

http://www.youtube.com/watch?v=10wew_a9Ncg&feature=player_embedded

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LA MISSION DE L'ONU AU NÉPAL PROROGÉE JUSQU'EN JANVIER 2010

En 2006, les rebelles maoïstes et le gouvernement népalais ont signé un accord de paix historique.

23 juillet 2009 – Le Conseil de sécurité a prorogé, à la demande du gouvernement népalais, le mandat de la Mission des Nations Unies au Népal (MINUNEP) jusqu'au 23 janvier 2010, en tenant compte de la poursuite des activités de contrôle et de gestion des armes et du personnel armé convenues dans l'Accord entre les partis politiques du 25 juin 2008.

Par la résolution 1879 (2009), adoptée à l'unanimité, le Conseil de sécurité convient avec le Secrétaire général que le dispositif de contrôle actuel est une mesure temporaire et non une solution à long terme et qu'il faut que le gouvernement népalais envisage les mesures nécessaires pour réduire les responsabilités actuelles de la MINUNEP en la matière, indique un communiqué.

C'est pourquoi, le Conseil de sécurité, aux termes de ce texte, demande au gouvernement népalais de continuer à prendre les décisions voulues pour créer des conditions propices à l'achèvement des activités de la MINUNEP d'ici au 23 janvier 2010, notamment en appliquant l'Accord du 25 juin 2008, afin de faciliter le retrait de la Mission du Népal.

L'accord conclu le 25 juin 2008 par une Alliance de sept partis stipulait que l'intégration et la réinsertion membres de l'armée maoïste s'effectuerait dans un délai de six mois. Celle-ci a finalement commencé au mois de juillet 2009.

La semaine dernière, la MINUNEP a en effet salué la décision du gouvernement népalais et du Parti communiste unifié du Népal-maoïste (UCPN-M) de lancer formellement le 17 juillet 2009 le processus de démobilisation et de réinsertion de 4.008 militaires maoïstes, dont 2.973 mineurs.

Par ailleurs, la Haut Commissaire aux droits de l'homme, Navi Pillay, a envoyé jeudi également une lettre au gouvernement du Népal confirmant son acceptation de l'extension des accords entre le Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH) et le Népal.

Le gouvernement népalais a accepté de reconduire le mandat du HCDH jusqu'au 9 juin 2010.

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=19688&Cr=népal&Cr1=

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NEPAL'S PEACE PROCESS IS STAGNATING, TOP UN ENVOY WARNS

Maoist army personnel in Nepal are in need of rehabilitation and integration

23 July 2009 – The peace process in Nepal has stagnated, the top United Nations envoy to the South Asian nation said today, as the Security Council extended the world body’s mission there for an additional six months.

Today’s unanimous Council resolution extends the mandate of the mission, known as UNMIN, until 23 January 2010.

Karin Landgren, the Secretary-General’s Special Representative and head of UNMIN, voiced hope that today’s resolution sends a signal to the Government and parties “to take the peace process forward.”

Established following the signing of the 2006 peace deal by the Government and the Maoists to end the country’s decade-long civil war, UNMIN has been assisting with key tasks, such as monitoring of the management of arms and armed personnel of the Maoists and the Nepal Army.

“The peace process has had significant successes since its inception,” Ms. Landgren told reporters in New York.

But she pointed to several issues that could derail the process, such as polarization among the parties and the controversy over the roles of the army and the president.

In his most recent report to the Council on Nepal’s request for UN assistance in support of the peace process, Secretary-General Ban Ki-moon said that progress on the peace process has slowed since the onset of the crisis sparked by the resignation of Prime Minister Pushpa Kamal Dahal (“Prachanda”) in early May, which occurred one day after the Chief of Army Staff – who he had fired – was reinstated.

A senior leader of the Communist Party of Nepal-Unified Marxist-Leninist (UML), Madhav Kumar Nepal, was elected Prime Minister on 23 May and subsequently formed a new coalition Government with the support of 21 other political parties but without the participation of the Maoists.

The resolution passed by the 15-member Council today called on “all parties to take full advantage of the expertise and readiness of UNMIN, within its mandate, to support the peace process.”

It urged all sides to “work together in a spirit of co-operation, consensus and compromise in order to continue the transition to a durable long-term solution.”

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In a related development, the UN human rights chief today voiced her continued support for Nepal as it rebuilds after a decade-long civil war, with the mandate of the Office of the High Commissioner for Human Rights (OHCHR) in the country also being extended until next year.

In her letter to the Nepalese Government confirming her acceptance of that agreement, High Commissioner Navi Pillay wrote that OHCHR “remains strongly committed to further strengthen the national human rights protection system, in particular the National Human Rights Commission, through continued cooperation and capacity building,” according to a press release issued in Kathmandu.

The Office’s mandate is now set to expire on 9 June 2010.

Last weekend, a new UN-backed project was launched to help heal the scars left by Nepal’s civil war, using transitional justice mechanisms to spur reconciliation.

The “Peace through Justice” initiative, financed through a $2 million grant from the UN Peace Fund for Nepal (UNPFN), seeks to aid in setting up effective transitional justice systems provided for in the 2006 peace agreement.

OHCHR said that “a systematic approach to dealing with the past can help societies heal and work their way back to normality. Establishing the facts of the conflict, acknowledging the losses suffered by the victims and providing a platform for justice helps end impunity and aids reconciliation.”

The project, which will run initially for 12 months, will support the Ministry of Peace and Reconstruction (MoPR) to set up bodies, such as the Commission on Inquiry on Disappearances, and will focus on documenting human rights and international humanitarian law violations committed during the conflict, which claimed some 13,000 lives.

http://www.un.org/apps/news/story.asp?NewsID=31558&Cr=Nepal&Cr1=

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OBAMA'S NEW WAR - HE DIDN'T START IT BUT HE'S GOING TO ESCALATE IT

« NORTH AMERICAN SUMMIT ADDED TO OBAMS'S AGENDA - THE TIME THE N.Y. TIMES FORGOT

The New York Times appears content to ignore history on the origins of Al Qaeda and the Taliban. In a recent article titled “Iraq Veterans Find Afghan Enemy Even Bolder,” it’s author RICHARD A. OPPEL Jr. elaborates on how the enemies our troops are fighting in Afghanistan seem to have had a bit of tactical training.

NAWA, Afghanistan — In three combat tours in Anbar Province, Marine Sgt. Jacob Tambunga fought the deadliest insurgents in Iraq.

But he says he never encountered an enemy as tenacious as what he saw immediately after arriving at this outpost in Helmand Province in Afghanistan. In his first days here in late June, he fought through three ambushes, each lasting as long as the most sustained fight he saw in Anbar.

“In Iraq, they’d hit you and run,” he said. “But these guys stick around and maneuver on you.”

The New York Times reports this without once mentioning that our own government trained, funded, and armed these same groups all through the 1980’s and 90’s via our surrogates in Pakistan, the Inter-Services Intelligence (ISI).

Wikipedia – Although there is no evidence that the CIA directly supported the Taliban or Al Qaeda, some basis for military support of the Taliban was provided when, in the early 1980s, the CIA and the ISI (Pakistan’s Inter-Services Intelligence agency) provided arms to Afghans resisting the Soviet invasion of Afghanistan, and the ISI assisted the process of gathering radical Muslims from around the world to fight against

Page 67: Programme DDRRR - Programme de Désarmement, Démobilisation, Rapatriement, Réinsertion et Réintégration (DDRRR)

the Soviets. Osama Bin Laden was one of the key players in organizing training camps for the foreign Muslim volunteers. The U.S. poured funds and arms into Afghanistan, and “by 1987, 65,000 tons of U.S.-made weapons and ammunition a year were entering the war.”

The claim that there is no evidence that the CIA directly supported the Taliban and Al Qaeda is laughable, when in the same sentence it is explained exactly how they did it indirectly through Pakistan. The denial is the admission of guilt, how’s that for double-think?

Wikipedia – (1982) ISI, CIA and Mossad carried out a covert transfer of Soviet-made weapons and Lebanese weapons captured by the Israelis during the Israeli invasion of Lebanon in June 1982 and their subsequent transfer to Pakistan and then into Afghanistan. All knowledge of this weapon transfer was kept secret and was only made public recently.

Wikipedia – (1982-1997) ISI played a central role in the U.S.-backed guerrilla war to oust the Soviet Army from Afghanistan in the 1980s. That Central Intelligence Agency (CIA)-backed effort flooded Pakistan with weapons and with Afghan, Pakistani and Arab “mujahideen”, who were motivated to fight as a united force protecting fellow Muslims in Soviet occupied Afghanistan. The CIA relied on the ISI to train fighters, distribute arms, and channel money. The ISI trained about 83,000 Afghan mujahideen between 1983 and 1997, and dispatched them to Afghanistan. B. Raman of the South Asia Analysis Group, an Indian think-tank, claims that the Central Intelligence Agency through the ISI promoted the smuggling of heroin into Afghanistan in order to turn the Soviet troops into heroin addicts and thus greatly reducing their fighting potential.

I was going to say something silly like, “The New York Times must have a short memory,” but I know very well that they know what you and I know. This is a deliberate effort to re-write history for those of us that DO have a short memory or no understanding at all. Fortunately, we are not all drinking the municipal water.

VIDEO : http://www.youtube.com/watch?v=cckAY1gHeR4&feature=player_embedded

-Goodman Green

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Possibly related posts: (automatically generated)

news to meTargeting ISI: By S.M. HaliCan Pakistan Be Untangled from the Taliban?Leaks in the Pipeline

http://goodmangreen.wordpress.com/2009/07/26/cia-and-pakistan-trained-funded-and-armed-the-taliban/

Page 68: Programme DDRRR - Programme de Désarmement, Démobilisation, Rapatriement, Réinsertion et Réintégration (DDRRR)

Conseil de sécurité

6117e séance – après-midi

LE CONSEIL DE SÉCURITÉ PROROGE JUSQU’AU 30 AVRIL 2010 LE MANDAT DE LA MISSION AU SAHARA OCCIDENTAL ET DEMANDE AUX PARTIES DE POURSUIVRE LES NÉGOCIATIONS

Le Conseil de sécurité a prorogé, cet après-midi, d’un an, jusqu’au 30 avril 2010, le mandat de la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO).

En adoptant à l’unanimité de ses 15 membres la résolution 1871 (2009), le Conseil demande aux parties de poursuivre les négociations sous les auspices du Secrétaire général, sans conditions préalables et de bonne foi, en tenant compte des efforts réalisés depuis 2006 et des faits nouveaux survenus depuis, en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui pourvoie à l’autodétermination du peuple du Sahara occidental.

Le Conseil se félicite de ce que les parties aient accepté la proposition de l’Envoyé personnel tendant à tenir des pourparlers informels, restreints dans la perspective d’une cinquième série de négociations.  Il rappelle qu’il fait sienne la recommandation du Secrétaire général selon laquelle il est indispensable que les parties fassent preuve de réalisme et d’un esprit de compromis afin de maintenir l’élan imprimé au processus de négociation.

Par la résolution qu’il vient d’adopter, le Conseil leur demande de continuer de faire preuve de volonté politique et de travailler dans une atmosphère propice au dialogue afin d’engager plus résolument des négociations de fond et de garantir ainsi l’application de ses résolutions 1754 (2007), 1783 (2007) et 1813 (2008) ainsi que le succès des négociations.

Prenant la parole à l’issue du vote, le représentent de la France a indiqué que son pays continuait d’attacher la plus haute importance à la proposition d’autonomie du Maroc de 2007, qui constitue, selon lui, une feuille de route crédible dans la mesure où elle respecte le principe d’autodétermination.

Les représentants de l’Ouganda et du Costa Rica ont cependant regretté que le Conseil de sécurité n’ait pas inclus dans le mandat de la MINURSO une composante « droits de l’homme ».

...

http://www.un.org/News/fr-press/docs/2009/CS9650.doc.htm

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SOUDAN : L'ONU SE FÉLICITE DU RETOUR À LA VIE CIVILE DE 15.000 ANCIENS SOLDATS

Il est faux de dire que les enfants-soldats sont retournés à la vie civile. Le programme de désarmement, démobilisation et réinsertion (DRR) a pour but de désarmer les groupes rebelles (contrôlés par les NU) pour ensuite les intégrer dans les forces militaires internationales des Nations Unies. Ces enfants-soldats qui ont souvent été enlevés à leur famille dès leur enfance et ont été formés pour devenir de bons petits esclaves tueurs par la contrainte et la torture. Ces jeunes n'ont connu que cette misère tout au long de leur enfance. Ils sont donc bien conditionnés pour semer la terreur, là où ils seront déployés.

Enfants-soldats dans un camp militaire de Nyal, Sud Soudan (avril 2005)

4 novembre 2009 – Le représentant spécial du Secrétaire général pour le Soudan, Ashraf Jehangir Qazi, a salué le processus de désarmement, démobilisation et réinsertion au Soudan qui a permis cette année à plus de 15.000 anciens combattants de retourner à la vie civile.

L'objectif de ce programme, qui a été lancé en février dans le cadre de l'Accord de paix global de 2005 ayant mis fin à la guerre civile entre le Nord et le Sud-Soudan, est d'assurer à terme la réinsertion de quelque 180.000 anciens combattants à travers le pays.

« L'élan actuel est impressionnant et se poursuit alors que de nouveaux sites deviennent opérationnels », a souligné M. Qazi lors d'un rassemblement mardi de partenaires impliqués dans la mise en œuvre de ce programme.

Le processus de désarmement, démobilisation et réinsertion « a donné de l'espoir aux ex-combattants et à leurs communautés alors qu'ils voient quelque chose de concret fait pour promouvoir la paix », a ajouté M. Qazi, précisant que l'ONU avait commencé à travailler avec ses partenaires soudanais pour étendre les opérations.

Notant un manque d'argent pour financer les efforts du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) pour démobiliser les enfants soldats, le représentant spécial a souligné qu'il était important de relancer la réinsertion des enfants associés aux groupes armés pour les empêcher de retourner vivre dans des casernes.http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=20516&Cr=Soudan&Cr1=

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TOP UN OFFICIAL IN SUDAN HAILS RETURN TO CIVILIAN LIFE OF 15,000 FORMER CIVIL WAR SOLDIERS

Small arms at a disarmament collection point in Akobo, Sudan4 November 2009 – The top United Nations envoy to Sudan has praised the disarming, demobilization and reintegration so far this year of over 15,000 former combatants from the African nation’s north-south civil war.

It is hoped that as many as 180,000 ex-combatants across Sudan will return to civilian life under the Disarmament, Demobilization and Reintegration (DDR) scheme that was launched in February as part of the 2005 Comprehensive Peace Agreement (CPA), which ended the war.

“The momentum built up thus far is impressive and continues to grow as new sites will become operational in the Three Areas and Southern Sudan,” the Secretary-General’s Special Representative for Sudan Ashraf Jehangir Qazi told a gathering of partners involved in implementing the DDR on Tuesday.

The DDR process “has given hope to ex-combatants and their communities as they see something concrete being done to promote peace,” said Mr. Qazi, adding that the UN has started to work with its Sudanese partners to extend DDR operations.

Mr. Qazi, who also heads the UN Mission in Sudan (UNMIS), stressed that the return to society of former fighters from the Sudan Armed Forces (SAF), Popular Defence Forces and Sudan People’s Liberation Army (SPLA) was “critical to creating a conducive environment for the upcoming elections.”

Highlighting a funding shortfall faced by the UN Children’s Fund (UNICEF) in their efforts to demobilize child soldiers, Mr. Qazi that it is “important we regain momentum on the release and reintegration of children associated with armed forces to prevent children from returning to life in the barracks.”

At the partnership meeting, held in the Sudanese city of Kadugli, the representative from Norway announced an additional pledge of around $5 million to support adult and child DDR.

Demobilized combatants are provided with opportunities for alternative livelihoods in agriculture, micro-businesses, vocational training or formal education. The North and South Sudan DDR Commissions implement the programme with support from the Integrated UN DDR Unit, comprised of UNMIS, the UN Development Programme (UNDP), UNICEF, the World Food Programme (WFP) and the UN Population Fund (UNFPA).

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http://www.un.org/apps/news/story.asp?NewsID=32837&Cr=Sudan&Cr1=

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TALIBAN TO PLAY ROLE IN AFGHAN GOVT: UK

Wednesday, 18 Nov, 2009

     Britain's Foreign Secretary David Miliband addresses delegates during the 55th Annual Session of the NATO Parliamentary Assembly in Edinburgh, Scotland, November 17, 2009. – Photo by Reuters.

EDINBURGH (Scotland): Ending the war in Afghanistan would include senior Taliban commanders sitting in Afghan government, Britain’s foreign secretary said on Tuesday.

David Miliband also told a meeting of Nato’s parliamentary assembly that military action must be accompanied by a political surge to restore Afghans’ faith in their corruption-scarred government.

He said the vast majority of Taliban fighters were not committed to a global jihad and could be persuaded to stop fighting.

He said a settlement must include the top Taliban commanders prepared to renounce violence.

‘Once reintegration gains momentum, and the insurgency is starting to fray, we will need to support President Karzai in reaching out to those commanders that can be persuaded to renounce Al Qaeda and pursue their goals peacefully within the constitutional framework,’ he said.

‘Blood enemies from the Soviet period and the civil war now work together in government. Former Talibs already sit in the parliament. It is essential that, when the time is right, members of the current insurgency are encouraged to follow suit.’ — AP

http://www.dawn.com/wps/wcm/connect/dawn-content-library/dawn/news/world/19-taliban-to-play-role-in-afghan-govt-uk-hh-05

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SUD-SOUDAN : ADOPTION PAR UN GROUPE ARMÉ D'UN PLAN POUR DÉMOBILISER LES ENFANTS SOLDATS

Comme nous l'avons vu dans un article, il y a quelques semaines, le problème des enfants soldats, qui ont été enlevés de force à leur famille et qui ont subi des traitements terribles pour les obliger à devenir des tueurs et des tyrans par des groupes obscures, qui je vous le rappelle, travaillent secrètement pour les Nations Unies afin de créer le chaos à travers le monde, sont ensuite ramenés à la vie civile avec la collaboration de l'Unicef.

Le but n'est pas d'aider ses jeunes à reprendre une vie normale, ni à les sortir de cette terreur constante à laquelle ils ont été soumis depuis leur enlèvement. Ce que ces jeunes ont vécu n'est que la première partie du plan.

Dans l'article présent, l'Unicef dit qu'elle n'a pas les moyens financiers pour assurer un autre avenir à ces enfants du Sud-Soudan. Nous savons que pour d'autres groupes d'enfants "libérés", des montants dérisoires leur ont été accordés pour soit-disant les aider à réintégrer une vie normale. Ce qu'ils ont reçu n'est rien, en comparaison aux montants accordés aux différents groupes paramilitaires pour créé ces différents chaos.

Ces enfants qui ont été habitués à vivre ainsi souvent depuis de nombreuses années se font offrir un poste de soldat au sein de la force internationale de Paix des Nations Unies, sous le programme DRRR. Cela est la deuxième partie du plan.

Que leur dit-on pour pouvoir ainsi les convaincre de s'enrôler? Que malgré tout ce qu'ils ont vécu, ils auraient quand même acquis de l'expérience et que cette expérience pourrait maintenant servir pour la Paix? Les salaires offerts pourraient grandement aider à convaincre ces jeunes de s'enrôler. De jeunes enfants qui ont subi les pires traitements tant physiquement que psychologiquement durant de nombreuses années et qui tombent maintenant sur des gens qui disent se préoccuper d'eux, voilà un bien grand piège pour ces milliers de jeunes et un autre grand danger pour les peuples.

Ces jeunes que l'on a abusé de toutes les manières possibles et qui souffrent tous de déficiences quelconques seront par la suite déployés dans différents pays sous le couvert du "maintien de la Paix." Il y a des milliers d'enfants qui sont pris dans ce système démentiel. Et dire qu'il y en a qui pense encore que l'Unicef et les Nations Unies sont là pour mettre en place un monde meilleur.

L'Unicef a aussi un programme nommé "La convention sur les droits des enfants" afin d'aider les enfants qui vivent dans les pays sous-développés. Ce programme "United Nations Children's Fund" a été créé par l'assemblée générale des Nations Unies, le 11 décembre 1946, pour apporter de l'aide concernant la nourriture et les soins médicaux aux enfants. La seule chose que nous voyons surgir de tout cela est un contôle alimentaire des plus sévères, qui fait que des milliers d'enfants meurent chaque année car ils ne reçoivent pas assez pour vivre et même survivre. Quant au programme des soins de santé, celui-ci est avant tout une couverture pour le programme eugénique qui passent par toutes sortes de campagnes de vaccination et de stérilization des populations. Quant aux soins qu'ils apportent à la population, le minimum est fait. Quand nous regardons tout l'argent qui est dépensé par ces hommes-dieux qui dirigent le monde, pour construire leurs nouvelles ambassades, l'argent dépensé pour bâtir de

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grandes places pour le monde de la culture et ainsi de suite, nous voyons que l'argent ne va pas là où elle devrait aller.

Combien de bénévoles et de missionnaires se rendent dans ces régions pour aider ses peuples, qui n'ont bien souvent qu'un pauvre bâtiment en décrépitude ou une simple tente comme hôpital.    

Ce qu'ils font à nos enfants est terrible. Vous n'avez qu'à regarder de plus près le programme de l'Unicef, qui ne sert en réalité qu'à faire de nos enfants des êtres soumis à ce Nouvel Ordre Mondial, en les invitants à dénoncer leurs parents et voisins s'ils n'endossent pas les vues de ces tyrans. Cette organisation internationale sert également de base pour détruire l'innocence des futures générations avec leur programme sur l'homosexualité et ses dérives.

Comme les nouvelles générations sont de plus en plus micro-pucées dès leur naissance, le pire est sûrement à venir.

Quant à ces enfants soldats, ils continueront à semer la terreur car c'est tout ce qu'ils ont appris depuis qu'ils sont tout petit. Malheur à celui qui fait du mal aux petits enfants, dit le Seigneur.

SUD-SOUDAN : ADOPTION PAR UN GROUPE ARMÉ D'UN PLAN POUR DÉMOBILISER LES ENFANTS SOLDATS

Enfants-soldats dans un camp militaire de Nyal, Sud Soudan (avril 2005)

23 novembre 2009 – La Représentante spéciale du Secrétaire général pour les enfants et les conflits armés, Radhika Coomaraswamy, a salué la signature à Juba, au Sud-Soudan, d'un plan d'action par l'Armée populaire de libération du Soudan (APLS) pour démobiliser et réinsérer les enfants soldats.

Mme Coomaraswamy, qui vient d'effectuer une visite de neuf jours au Soudan, s'est félicité de l'engagement par l'APLS de ne pas enrôler ou réengager des enfants dans ses forces armées. Dans un communiqué publié vendredi, elle a aussi rappelé les efforts de son secrétariat en collaboration avec le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) pour financer la réinsertion de ces enfants dans la vie civile.

La Représentante spéciale a par ailleurs précisé que l'UNICEF manquait de fonds nécessaires pour assurer un autre avenir à ces enfants du Sud-Soudan.

Elle s'est aussi inquiétée de la participation d'enfants soldats dans d'autres factions au Darfour, dans l'ouest du Soudan, notamment dans le Mouvement pour la justice et l'égalité (MJE) et l'Armée de libération du Soudan (ALS).

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Plus encore c'est l'internationalisation du conflit qui a alarmé Mme Coomaraswamy avec la participation du groupe rebelle ougandais l'Armée de résistance du seigneur (LRA) au Sud-Soudan. Lors de sa visite, elle a pu rencontrer des enfants victimes d'enlèvement par la LRA et qui ont subi les pires sévices.

Mme Coomaraswamy a par ailleurs déploré dimanche les peines de mort prononcées à Khartoum contre six enfants qui sont soupçonnés d'avoir participé à des attaques au Darfour. Le ministre de la justice soudanais lui a cependant promis que ces six enfants ne seraient pas exécutés.

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=20657&Cr=Soudan&Cr1=

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SECRET U.S. PLAN TO SUPPORT AFGHAN MILITIAS ECHOES CANADIAN GENERAL'S IDEAS

By Jonathan Montpetit (CP) – Nov 23, 2009

KANDAHAR, Afghanistan — A secret U.S. plan to support anti-Taliban militias, which is raising concerns about further destabilizing Afghanistan, echoes similar ideas being voiced by the head of Canada's army.

Lt. Gen. Andrew Leslie, chief of land staff, has been arguing in recent interviews that tribal militias should be factored into Afghanistan's security architecture.

Over the weekend, reports emerged that the U.S. is doing just that with a program dubbed the Community Defence Initiative.

Said to have the support of NATO's Afghanistan commander, Gen. Stanley McChrystal, the program aims to provide resources to encourage tribal groups to fight the Taliban.

Supporting militias is a tactic that was debated by a group of international advisers early after the fall of the Taliban in 2001, but was ruled out because warlords were considered too strong, Leslie said.

Now, it seems, things have changed.

"The Afghan National Army now is a powerful entity, and so there is no longer the same danger of arming tribal auxiliaries," Leslie said in an interview last week before news of the U.S. initiative emerged in weekend media reports.

"In the absence of any other silver bullet idea, I think its time to open a debate about arming some of the local auxiliary forces."

Ultimately, the decision to do so would have to come from the Afghan government, said Leslie, who stressed that the Canadian military has no plans of its own to train or arm tribal militias.

American officials are reportedly seeking to encourage the growth of anti-Taliban militias in the southern and eastern reaches of the country. The UK's Guardian newspaper reported U.S. special forces were supporting militias in 14 areas, including Paktia province, northeast of Kandahar.

The Canadian military declined to comment on the report Monday; Kandahar Governor Tooryalai Wesa said he had not heard of it.

American military officials have indicated the program does not include providing weapons to the tribal groups, many of whom are already armed. But it does include ammunition, food and other resources.

"The last thing you want to do is scatter thousand of weapons across the entirety of Afghanistan because there is already enough here, thank you very much," Leslie said last week.

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"So you have to carefully select who you arm and who you don't."

He highlighted the danger of recreating the tribal warlord systems that have dominated Afghanistan's recent history and which essentially prevented the emergence of a strong central government, indirectly fomenting the growth of the Taliban.

The Canadian military is already making limited use of tribal militias in Kandahar to provide security at reconstruction project sites.

But Leslie floated the idea of taking such projects one step further, tying development aid to a tribe's ability to secure their region.

"Now, professional aid workers don't like to hear that, because it potentially makes aid directly linked to support for indigenous governments," he said.

"But I like that idea. That's the good tension between long-term and short-term aid."

http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5hiWW00gEcem8_vDXG43J4z168TnQ

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UN AND NEPAL SIGN ACTION PLAN FOR RELEASE OF NEARLY 3,000 MAOIST CHILD SOLDIERS

Minors with the Maoist army

16 December 2009 – The United Nations, the Nepalese Government and Unified Communist Party of Nepal-Maoist (UCPN-M) today signed an action plan to accelerate the release of nearly 3,000 child soldiers who served in the Maoist army during the country’s decade-long civil war and remain in temporary camps three years after a peace deal ended the conflict.

“Today, the minors who have spent the last three years in Maoist army cantonments with their lives on hold will finally be able to take the next step towards a more positive future,” Secretary-General Ban Ki-moon’s Special Representative for Children and Armed Conflict Radhika Coomaraswamy said at the ceremony in Kathmandu, the capital.

The move will constitute the first step in deleting the UCPN-M from the list of parties which recruit and use children in conflict. The UN and the Government will assist in the orderly rehabilitation of the minors to ensure that they have the choice to participate in programmes that return them to a civilian environment and are not recruited by violent or criminal gangs.

They will have access to a range of rehabilitation options developed by the UN Children’s Fund (UNICEF), the UN Population Fund (UNFPA) and the UN Development Programme (UNDP), financed by the UN Peace Fund for Nepal.

“The Government of Nepal, the United Nations and our partners are prepared to ensure that these disqualified benefit from rehabilitation packages, including education and skills training to create a brighter future,” UNICEF Representative Gillian Mellsop said.

Calling it “a historic step” in Nepal’s peace process, Mr. Ban’s Representative in the country Karin Landgren added: “We hope that it will encourage other steps to unblock the current political stalemate.”

Last month, Ms. Landgren reported little progress in overcoming the political impasse that emerged earlier this year when the President revoked the Army Chief’s dismissal by the then-Government and the ruling UCPN-M stepped down.

The 2006 peace agreement ending the civil war led to the establishment of the cantonments to provide temporary shelter for Maoist ex-combatants in several localities

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across Nepal and they were slated to be discharged after completion of the verification process, as repeatedly called for by the Security Council.

http://www.un.org/apps/news/story.asp?NewsID=33280&Cr=nepal&Cr1=

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LE CONSEIL DE SÉCURITÉ RENOUVELLE LE MANDAT DE LA MISSION DE L'ONU EN RDC

La MONUC réhabilite des infrastructures dans l'est de la République démocratique du Congo.

23 décembre 2009 – Le Conseil de sécurité a renouvelé à l'unanimité jusqu'au 31 mai 2010 mercredi le mandat de la Mission de l'Organisation des Nations Unies en République démocratique du Congo (MONUC), avec l'intention de le prolonger encore de 12 mois par la suite.

La résolution 1906 adoptée à l'unanimité autorise le maintien d'effectifs pouvant atteindre 19 815 militaires, 760 observateurs militaires, 391 policiers et 1 050 membres d'unités de police constituées. Le Conseil souligne qu'il compte envisager de réexaminer et de modifier le mandat de la Mission dans une résolution ultérieure.

Le Conseil de sécurité a décidé que la MONUC, en étroite collaboration avec les autorités de Kinshasa, aurait pour mandat d'assurer la protection des civils, du personnel humanitaire, ainsi que du personnel et des installations des Nations Unies.

La Mission devra aussi mener des activités élargies de désarmement, de démobilisation et de réintégration des groupes armés congolais. Elle aura aussi en charge le désarmement, la démobilisation, le rapatriement, la réinstallation et la réintégration des groupes armés étrangers. Enfin, la MONUC devra appuyer la réforme du secteur de la sécurité menée par le gouvernement.

Afin d'affiner les objectifs de la MONUC, le Conseil prie le Secrétaire général de procéder d'ici au 1er avril prochain à un examen stratégique de la situation et des progrès réalisés par celle-ci dans l'exécution de sa tâche. En étroite coopération avec les autorités congolaises, ainsi qu'avec les pays fournissant des effectifs militaires et de police, le Secrétaire général devra déterminer les modalités de la reconfiguration du mandat de la Mission. Il s'agit de définir en particulier les tâches essentielles dont elle devra s'acquitter avant d'envisager un retrait progressif.

Au chapitre de la protection des civils, le Conseil de sécurité exige notamment de tous les groupes armés qu'ils cessent immédiatement toutes formes de violence et de violation des droits de l'homme visant la population civile, les actes de violence sexuelle en particulier. Le Conseil désigne nommément à cet égard les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) et l'Armée de résistance du Seigneur (LRA).

Il exige par ailleurs des autorités congolaises qu'elles prennent immédiatement les mesures voulues pour protéger les civils, notamment les femmes et les enfants, les engageant à assurer l'application intégrale de sa « politique de tolérance zéro ».

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Le représentant congolais a pris la parole pour rappeler que son pays n'était pas à l'origine des troubles dans la région des Grands Lacs. C'est la RDC qui a été la victime d'une agression armée, aujourd'hui unanimement reconnue mais curieusement jamais qualifiée comme telle par le Conseil, a-t-il affirmé. Il a regretté par ailleurs que, malgré les efforts fournis par son gouvernement, la résolution 1906 pointe du doigt l'indiscipline « supposée ou avérée » de l'armée congolaise.

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=20872&Cr=RDC&Cr1=

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DR CONGO: UN PEACEKEEPERS TO USE ‘ALL NECESSARY MEANS’ TO PROTECT CIVILIANS

Who's considered to be "rebel" under international laws? A christian, a jew, a liberal and all infidels. Under the Security Council, they now ask to the  United Nations peacekeepers to “use all necessary means” against these "rebels" (to protect their luciferian kingdom.... sorry to protect the civilians).

FARDC troops rest outside the MONUC Mobile Operating Base in North Kivu, DRC

23 December 2009 – Faced with widespread reports of massacres and other serious human rights abuses by Government soldiers and rebels in the Democratic Republic of the Congo (DRC), the Security Council today again called on United Nations peacekeepers to “use all necessary means” to protect civilians from threats from any party.

In a unanimous resolution adopted under Chapter VII of the UN Charter authorizing the use of force, the 15-member body stressed that ensuring effective protection of civilians is the first priority of the UN mission in the DRC (MONUC), which has been aiding the national army (known as FARDC) with logistics and firepower to keep rebels from reclaiming areas previously under their control.

Extending the 10-year-old mission’s mandate at a strength of some 22,000 military and police personnel until 31 May, with the intention of renewing it then for a further 12 months, the Council called on MONUC to work “in close cooperation with the Government” to continue its coordination of operations with FARDC brigades in the strife-torn east “premised on the protection of civilians as a priority.”

Such operations are aimed at disarming foreign and Congolese rebel groups to ensure their participation in previously signed agreements for their demobilization and reintegration into the national army or civilian society, holding cleared territory to ensure civilian protection, helping the Government restore its authority, and enhancing efforts to end smuggling of the country’s vast natural resources, such as gold and tin, that fund the illegal armed groups.

MONUC has been aiding the so-called Kimia II offensive launched in eastern DRC by Congolese and Rwandan troops against the mainly Rwandan Hutu rebel group know as FDLR with helicopter lifts, medical evacuation, fuel and rations, as well as firepower support to FARDC, but the operation has been seriously tarnished by allegations of widespread human rights violations.

Noting the “dilemma” of MONUC’s mandate to protect civilians while at the same time working with FARDC, which includes elements responsible for killings, widespread rape

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and the recruitment of child soldiers, Secretary-General Ban Ki-moon’s Special Representative in DRC Alan Doss last week asked the Council for “clear guidance in this respect.”

At the same time UN Special Rapporteur on extrajudicial executions Philip Alston, citing two FARDC commanders, Innocent Zimurinda and Bosco Ntaganda, said it was “a contradiction of basic UN principles for UN peacekeepers to cooperate with a military operation led by individuals who stand accused of war crimes and grave human rights abuses.”

Today’s resolution stressed that MONUC support for FARDC-led operations against rebels “is strictly conditioned on FARDC’s compliance with international humanitarian, human rights and refugee law,” and that the mission must withdraw support from any suspect units.

It “demands that the Government… immediately take appropriate measures to protect civilians, including women and children, from violations of international humanitarian law and human rights abuses, including all forms of sexual violence,” and calls for full implementation of its proclaimed “zero-tolerance policy” on FARDC abuses, including sexual and gender-based violence.

The Council called on MONUC to help the Government with security sector reform based on setting up “a core, well-vetted, multi-ethnic force.”

It demanded that the FDLR, the Ugandan rebel Lord’s Resistance Army (LRA) blamed for massacres and other abuses in eastern DRC, and other armed groups “immediately cease all forms of violence and human rights abuse against the civilian population,” stop recruiting child soldiers, and lay down their arms pending reintegration under a MONUC-backed process.

“MONUC shall deter any attempt at the use of force to threaten the Goma and Nairobi processes [signed by some rebels for their reintegration] from any armed group… and undertake all necessary operations to prevent attacks on civilians and disrupt the military capability of armed groups that continue to use violence in that area,” it added.

Since its inception MONUC has seen a return to relative stability in much of the vast country, culminating in the first democratic elections in more than 40 years, but fierce fighting has persisted in the east, particularly in North and South Kivu, where Hutu militants blamed for the Rwandan genocide of 1994 have fled, compounding hostilities in a region already beset by ethnic tensions.

http://www.un.org/apps/news/story.asp?NewsID=33335&Cr=democratic&Cr1=congo

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RABBI'S MURDERERS TRAINED BY BARACK AND BARAK?

Friday, Dec 25 '09, Tevet 8, 5770 by Gil Ronen  

The announcement by the Al Aksa Martyrs organization that its men are the ones who killed Rabbi Meir Avshalom Chai raises some difficult questions, when one bears in mind that the United States assists the Fatah organization through military training under the supervision of Gen. Keith Dayton.

Interviewed by Ben Bresky Thursday night, journalist David Bedein reminded Arutz Sheva's audience that the Al Aksa Martyrs formally joined Fatah's security forces at the Fatah convention in August. Fatah receives military training from US military forces with the full approval of Israel Defense Minister Ehud Barak.

Bedein noted that as a journalist, he recently submitted a query to the Minister of Defense and directed a similar question to the US authorities. In his queries he noted that despite their claims otherwise, the Al Aksa Martyrs are a terror group whose men receive financial aid which the US gives the group.

He has not received an answer to the query.

Bedein's descrïption of the matter means that the United States (headed by President Barack Obama), with the Israeli government's passive agreement, has indirect responsibility for training and funding the terror force which murdered Rabbi Meir Chai.

http://www.web-view.net/Show/0XDAD61738BAC54FCB94E15A4D0158A551A56DEF2B44CF57B98186735DBD637488

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Conseil de sécuritéCS/9828  

Département de l’information • Service des informations et des accréditations • New York

LE CONSEIL DEMANDE AU GOUVERNEMENT DE LA R É PUBLIQUE CENTRAFRICAINE DE FAIRE EN SORTE QUE LE PROCESSUS DE DÉSARMEMENT SOIT ACHEVÉ AVANT LES ÉLECTIONS DE 2010

Le Conseil de sécurité a de nouveau demandé, ce matin, au Gouvernement de la République centrafricaine d’intensifier et d’accélérer les efforts de réforme des institutions du secteur de la sécurité, élément crucial de la consolidation de la paix dans le pays et du règlement des problèmes de l’impunité généralisée et du respect des droits de l’homme.

Aux termes d’une déclaration présidentielle lue par le Président du Conseil pour le mois de décembre, l’Ambassadeur Michel Kafando du Burkina Faso, le Conseil de sécurité demande aussi au Gouvernement centrafricain de mener à bien sans tarder, dans la transparence et le respect du principe de responsabilité, le processus de désarmement, démobilisation et réintégration (DDR) et de faire en sorte que le désarmement et la démobilisation soient terminés avant les élections de 2010.

Le Conseil de sécurité engage la communauté internationale, y compris le Bureau intégré des Nations Unies pour la consolidation de la paix en République centrafricaine (BINUCA), à apporter en temps voulu un concours approprié à la mise en œuvre de ce processus.  Il se félicite de la création du BINUCA, avec effet au 1er janvier 2010 et pour une période d’un an.  Le Conseil de sécurité estime que « le concours apporté par le BINUCA, avec les équipes de pays des Nations Unies, à l’action menée aux niveaux nationale et local pour consolider la paix, améliorer la gouvernance et achever le processus de DDR est nécessaire et revêt une importance cruciale ».

Déclaration présidentielle

Le Conseil de sécurité ayant examiné, à sa 6250e séance, le 21 décembre 2009, la question intitulée « La situation en République centrafricaine », son Président a fait en son nom la déclaration suivante:

« Le Conseil de sécurité se félicite des efforts déployés en faveur de la réconciliation nationale en République centrafricaine sur la base de l’Accord de paix global de Libreville (2008) et des engagements pris dans l’Accord de Syrte (février 2007) et l’Accord de Birao (avril 2007).  Il encourage le Gouvernement de la République centrafricaine à continuer de veiller à ce que les recommandations issues du DIALOGUE politique inclusif soient mises en œuvre dans les plus brefs délais et dans leur intégralité.

« Le Conseil demande à nouveau au Gouvernement de la République centrafricaine d’intensifier et d’accélérer les efforts de réforme des institutions du secteur de la sécurité, élément crucial de la consolidation de la paix dans le pays et du règlement des problèmes de l’impunité généralisée et du respect des droits de l’homme.  Il lui demande

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aussi, à nouveau, de mener à bien sans tarder, dans la transparence et le respect du principe de responsabilité, le processus de désarmement, démobilisation et réintégration (DDR) et de faire en sorte que le désarmement et la démobilisation soient terminés avant les élections de 2010.  Dans cette perspective, la transparence du financement et de la coordination des programmes de réintégration aura une incidence déterminante sur le succès à long terme de ces programmes.  Le Conseil engage la communauté internationale, y compris le Bureau intégré des Nations Unies pour la consolidation de la paix en République centrafricaine (BINUCA), à apporter en temps voulu un concours approprié à la mise en œuvre de ce processus.

« Le Conseil condamne vigoureusement les attaques que mène actuellement l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) en République centrafricaine et demande aux pays de la région et aux missions des Nations Unies de se coordonner et de mieux partager l’information relative à la menace que représente la LRA pour la population.

« Le Conseil exige que le Gouvernement de la République centrafricaine et toutes les parties politiques concernées fassent en sorte que les préparatifs et la réalisation des élections de 2010 se fassent de manière libre, régulière, transparente et crédible et que ces élections aient lieu dans les délais fixés par la Constitution.  Il demande au Gouvernement, à l’Organisation des Nations Unies et aux autres parties concernées de consacrer des ressources suffisantes à ce que les préparatifs des élections s’effectuent dans les délais.

« Le Conseil se félicite de la création du BINUCA, avec effet au 1er janvier 2010 et pour une période d’un an.  Il demande instamment à la Représentante spéciale du Secrétaire général de prendre toutes les mesures voulues pour que le Bureau intégré devienne opérationnel le plus tôt possible après le 1er janvier 2010, comme le prévoit le mandat défini pour lui, le 7 avril 2009, par son Président (S/PRST/2009/5).  Il confirme qu’il appuie sans réserve les efforts déployés à cette fin par la Représentante spéciale du Secrétaire général, Mme Sahle-Work Zewde.  Le concours apporté par le BINUCA, avec les équipes de pays des Nations Unies, à l’action menée aux niveaux national et local pour consolider la paix, améliorer la gouvernance et achever le processus de DDR est nécessaire et revêt une importance cruciale.

« Le Conseil demande par ailleurs au Secrétaire général de proposer, dans son prochain rapport, un ensemble de paramètres de référence mesurables qui puissent guider l’action de la mission et permettre au BINUCA d’évaluer les progrès accomplis par rapport à son mandat.

« Le Conseil se félicite de l’appui fourni à la République centrafricaine par la Commission de consolidation de la paix et demande à nouveau aux donateurs de renforcer leur soutien dans les secteurs jugés déterminants pour la réalisation d’une paix et d’un développement durables en République centrafricaine, comme prévu dans le Cadre stratégique pour la consolidation de la paix élaboré par la Commission de consolidation de la paix. »

*   ***   *

http://www.un.org/News/fr-press/docs/2009/CS9828.doc.htm

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CONFÉRENCE SUR L'AFGHANISTAN - UN PLAN DE RÉCONCILIATION AVEC LES TALIBANS AU MENU

Programme DRRRR (Programme de Désarmement, Démobilisation, Rapatriement, Réinsertion et Réintégration (DDRRR). Il peut porter un autre nom sur ce continent, mais c'est toujours le même programme pervers qui se répète dans tous les pays. Les talibans, je vous le rappelle, sont sous le contrôle des États-Unis et sont utilisés pour déstabiliser le pays afin de mettre en place les forces militaires).

Associated Press (AP)  Gregory Katz et Deb Riechmann 26/01/2010 11h23  

Hamid Karzaï  © Photo AP / Archives

Comment gagner la guerre en Afghanistan? La question est au coeur de la conférence qui réunira jeudi à Londres les chefs de la diplomatie d'une soixantaine de pays, et portera notamment sur un plan afghan de réconciliation visant à convaincre les combattants talibans de déposer les armes.

La conflit afghan est sans doute à un tournant alors que le président Barack Obama a décidé récemment l'envoi de 30 000 soldats américains en renfort tout en annonçant un début de retrait des troupes en 2011. Les pays participant à la Force internationale d'assistance à la sécurité (ISAF) de l'OTAN doivent pour leur part dépêcher sur place 7000 soldats supplémentaires.

La guerre est encore loin d'être gagnée. Les pertes des forces occidentales sont en augmentation alors que le soutien au conflit dans les pays de la coalition est en baisse, et que les talibans se montrent de plus en plus audacieux, comme l'ont montré leurs attaques sanglantes du 18 janvier en plein coeur de Kaboul.

La conférence de Londres réunira le Premier ministre britannique Gordon Brown, le président afghan Hamid Karzaï, le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon et les ministres des Affaires étrangères d'une soixantaine de pays. Elle devrait approuver, et peut-être financer, un plan du gouvernement afghan visant à inciter les combattants talibans de base à déposer les armes et à rejoindre le processus politique. Une stratégie soutenue par les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, même si les dirigeants talibans la jugent vouée à l'échec.

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«L'insurrection n'est pas monolithique. Elle comprend de nombreux groupes différents qui ont dans une plus ou moins large mesure coopté des combattants étrangers, des tribus locales, ceux qui sont impliqués dans le trafic de drogue et des combattants mercenaires payés à partir de seulement 10 dollars par jour», explique le chef de la diplomatie britannique David Miliband. «Nous savons que les différents groupes (...) se soutiennent mutuellement. Mais avec la bonne stratégie politique (...) nous pouvons exploiter ces divisions.»

Le gouvernement Karzaï compte proposer des emplois, des formations professionnelles et des incitations financières pour convaincre les combattants rebelles de retourner à la vie civile. L'objectif est d'amener 20 000 à 35 000 combattants à quitter les rangs talibans. Certains observateurs doutent toutefois du succès de l'opération, faisant valoir que de nombreux insurgés pensent être bien partis pour gagner la guerre.

La conférence devrait soutenir un nouveau calendrier pour l'extension des forces de sécurité afghanes et le transfert à celles-ci du contrôle de régions du pays dans la perspective d'une réduction des forces de la coalition dès la mi-2011, si possible. Les chefs de la diplomatie discuteront également du renforcement de l'aide internationale à l'Afghanistan tout en cherchant à lutter contre la corruption au sein du gouvernement afghan.

La réunion pourrait en outre aboutir à la nomination d'un nouveau haut coordinateur civil pour l'Afghanistan. «La conférence de Londres est cruciale pour l'avenir et la réussite de l'engagement en Afghanistan», affirme dans un communiqué l'ambassade d'Afghanistan en France.

Reste qu'elle a été conçue au moins en partie pour soutenir deux dirigeants en difficulté: Gordon Brown et Hamid Karzaï. Le Premier ministre britannique espère redorer son blason à l'approche d'élections générales prévues au plus tard en juin, tandis que le président afghan souhaite démontrer que son gouvernement bénéficie toujours d'un large soutien international.

http://www.canoe.com/infos/international/archives/2010/01/20100126-112332.html

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LA PAIX EN AFGHANISTAN PASSE-T-ELLE PAR LES TALIBANS?

Les Talibans modérés réintégrés dans la vie civile et politique? Y a-t-il des talibans modérés au sein d'Al Qaeda? Les talibans, pions de la CIA à travers le monde nous a montré toutes les horreurs dont ils sont capables.

Nous avons vu que tous les pays, un coup le chaos mis en place faisait le même genre d'alliance avec les groupes rebelles.

Voyez comment prend place cette future alliance de "Paix" = Islam radical, plan soutenu par plusieurs joueurs internationaux, dont Goldon Brown, premier ministre de la Grande-Bretagne.

"On leur tend la main avec des billets verts." On va les remercier pour leurs loyaux services d'avoir aidé à créer ce climat de tension et de répressions envers les populations afghanes. Cette réconciliation n'est autre qu'une immunité accordée à des criminels tout en tentant de nous faire croire que ces talibans ne sont pas associés à Al Qaeda. Pourquoi, alors, proposerait-on des milliers de dollars à des talibans qui sont dans leur village et sans emploi?

Comme vous le voyez, au lieu de mettre en prison tous ces gens qui ont tué, violé et détruit tout un peuple, on va le couvrir de cadeaux et d'honneur et leur procurer des emplois (sûrement dans les forces de Paix des Nations Unies). À ce jour, le plan aurait été rejeté par les talibans, mais cela fera-t-il arrêter tous ces attentats en Afghanistan pour autant?

Voyez comment Rémi Landry, retraité des forces canadiennes et chercheur à l'Université de Montréal tentent de nous convaincre du bien-fondé d'une telle initiative. Le mensonge est roi, en ces jours, et on nous en gave chaque jour un peu plus pour nous faire croire à cette guerre contre le terroriste, alors que tout cela n'est qu'une vaste pièce de théâtre qui ne sert que les intérêts des grands de ce monde au service du prince de ce monde.   

VIDÉO PARTIE 2/5 : http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=/global/Medianet/dernier/Dernier_RDI_24HeuresEn60Minutes.asx

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REBELS ACCEPT SANAA OFFER

Agencies     SANAA: The leader of Yemen’s northern rebels announced Saturday a cease-fire with government forces, and said he accepted the government’s terms for a cease-fire.

“In order to avoid ... the annihilation of civilians we reiterate our acceptance of the five points” for a cease-fire, Abdul-Malik Al-Houthi said in an audio recording posted on the Internet.

Government conditions include a rebel withdrawal, the removal of rebel checkpoints and clarification of the fate of kidnapped foreigners. The rebels must also return captured military and civilian equipment and refrain from intervening in local authority affairs.

Houthi said the rebels had launched three previous initiatives to end the conflict but had been rebuffed by the government.

Yemen is under international pressure to end the conflict quickly to free up resources to confront a separate threat from Al-Qaeda’s offshoot in the country.

The latest round of fighting broke out Aug. 11, when the military launched “Operation Scorched Earth,” an all-out assault against the rebels. Saudi Arabia was forced to join the fighting on Nov. 4, a day after the rebels killed a Saudi border guard and occupied two villages inside Saudi territory. The rebels announced Jan. 25 that they had withdrawn from Saudi land. The Kingdom said they had been driven out.

The Yemeni government offered the rebels the conditional cease-fire in September.

The UN refugee agency said Friday fighting in northern Yemen was spreading and that the five-year conflict had driven 250,000 people from their homes, deepening a humanitarian crisis. The number of displaced in the country has doubled since August when the latest round of fighting between the government and the rebels erupted, it said. The office of the UN High Commissioner for Refugees said in Geneva the fighting has moved gradually from Saada city to the northwest, while more people were fleeing the province because they could not sustain themselves.

About 12,000 of the displaced have sought shelter in the capital Sanaa.

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Meanwhile, Yemeni forces on Saturday captured an Al-Qaeda militant wearing an explosive belt who was planning a suicide attack on “economic facilities,” a government official said.

The man was detained while driving a motorbike in the Khalf area in the Hadramaut region, the Ministry of Interior official said in a statement. He was identified as Saleh Abdul-Habib Saleh Shawash.

“The primary interrogation of this terrorist (revealed) he was planning a suicide attack against economic facilities in Hadramaut ... the interrogation is ongoing to reveal more information about this and to see who else might be involved in the plan,” a ministry source said.

Yemen has gained a reputation as a haven and a training and recruiting center for Al-Qaeda militants since the Sept. 11, 2001 attacks in the United States. Authorities stepped up operations against the group after its Yemeni wing said it was behind an attempt to blow up a Detroit-bound US airliner on Dec. 25.

http://www.arabnews.com/?page=24&section=0&article=132175&d=31&m=1&y=2010

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NÉPAL : NOUVELLE VAGUE DE DÉMOBILISATION D'ENFANTS SOLDATS

En 2006, les rebelles maoïstes et le gouvernement népalais ont signé un accord de paix historique.

8 février 2010 – Un total de 268 hommes et femmes enrôlés alors qu'ils étaient mineurs par l'armée maoïste au Népal ont retrouvé la vie civile lundi après trois ans passés dans un cantonnement.

« La libération de ces jeunes gens n'est pas seulement un symbole pour le pays, c'est aussi une étape fondamentale pour ces jeunes hommes et femmes qui ont passé leurs années de formation dans une structure militaire sans développer les aptitudes essentielles à leur vie adulte », a déclaré la représentante du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) dans le pays, Gillian Mellsop.

« Toutes les personnes concernées doivent agir maintenant et rapidement pour garantir une réintégration réussie et aider à reconstruire une société népalaise fracturée après ce long conflit », a-t-elle ajouté.

En tout, 2.973 mineurs ont été démobilisés de l'armée maoïste après un processus de vérification conclu par les Nations Unies en décembre 2007. 500 d'entre eux ont toujours moins de dix-huit ans aujourd'hui, et 15 ont moins de 16 ans.

Un autre groupe de 1.035 jeunes a été démobilisé car ils ont été recrutés après le cessez-le-feu de mai 2006 qui a mis fin à dix ans de conflit armé dans le pays. Environ un tiers de ces individus sont des femmes.

Les jeunes démobilisés ont à leur disposition des cours et des formations, notamment dans le domaine de la santé et à la création de petites et micro-entreprises   . Ils ont douze mois à compter de leur démobilisation pour bénéficier de ces mesures offertes par le gouvernement et les Nations Unies.

Ces mesures sont une composante essentielle du Plan d'action signé en décembre 2009 par le gouvernement népalais, le Parti communiste du Népal (maoïste) et les Nations Unies.

« La conclusion de ce processus de démobilisation est une étape positive dans le processus de paix alors qu'il est capital de renforcer la confiance entre les parties », a souligné la Représentante du Secrétaire général au Népal, Karin Landgren.

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=21168&Cr=Népal&Cr1=

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JOINT UN-AFRICAN UNION ENVOY TO DARFUR TALKS PEACE WITH ARMED REBEL MOVEMENTS

Ibrahim Gambari, head of UNAMID, at its headquarters in El Fasher, Darfur.

9 February 2010 – The newly appointed head of the joint African Union-United Nations peacekeeping mission in Darfur, known as UNAMID, today met with members from key rebel militia as part of a series of talks on the prospects for a durable peace in the war-scarred region in western Sudan.The meeting, which took place in the Qatari capital of Doha, was held between UNAMID Joint Special Representative Ibrahim Gambari and negotiators from the Justice and Equality Movement (JEM) and the Sudan Liberation Army/Armed Revolutionary Front (SLA/ARF).

UNAMID noted that the talks, covering a range of issues relating to cooperation between the joint peacekeeping operation and the rebel groups, were transparent, constructive and promising, with all parties committed to working closely to advance the peace process in Darfur.

The JEM and SLA/ARF militia also underscored the need to reach an agreement to end all hostilities and tackle the root causes of the conflict in Darfur.

In addition, the parties voiced their desire to cooperate with UNAMID, which was set up in late 2007 to protect civilians and quell the violence in Darfur, where an estimated 300,000 people have been killed and another 2.7 million have been forced from their homes since fighting erupted in 2003, pitting rebels against Government forces and allied Janjaweed militiamen.

At the end of last month, Mr. Gambari held talks with Sudanese officials in Khartoum, where he expressed appreciation for the warm welcome he received from the Government and people of Sudan since arriving in the country and vowed to do his utmost to promote lasting peace and security in Darfur.

http://www.un.org/apps/news/story.asp?NewsID=33726&Cr=unamid&Cr1

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DARFOUR: IBRAHIM GAMBARI RENCONTRE LES MOUVEMENTS ARMÉS IMPLIQUÉS DANS LE CONFLIT

Ibrahim Gamabri au siège de la MINUAD à El-Fasher, au Darfour.

9 février 2010 – Le chef de la Mission conjointe des Nations Unies et de l'Union africaine au Darfour (MINUAD), Ibrahim Gambari, a rencontré mardi à Doha des représentants des groupes armés impliqués dans le conflit au Darfour.

« Ces rencontres ont été transparentes, constructives et prometteuses, toutes les parties étant engagées à travailler ensemble et de manière coordonnée pour faire avancer le processus de paix et soutenir le médiateur conjoint de l'UA et de l'ONU, Djibril Bassole », a indiqué la MINUAD dans un communiqué publiée dans la capitale qatarie.

« Toutes les parties ont convenu d'accélérer le processus politique et de renforcer leur coopération », est-il ajouté.

Ibrahim Gambari a rencontré le médiateur du Mouvement justice et égalité (JEM), Ahmed Tagod Lissan, les signataires de la Feuille de route d'Addis-Abeba, représentés par le Dr. Sharif Harir, Yousef Ibrahim Azzat et Tajadine Bashir Niam, ainsi qu'un représentant de l'Armée de libération du Soudan, Abdulaziz Abu Namesh.

Il s'est également entretenu avec une délégation du gouvernement du Soudan emmenée par le Dr. Amin Hassan Omar.

Tous les participants ont rendu hommage au rôle constructif joué par le Qatar et à tous les efforts visant à parvenir à une paix durable et globale aussi tôt que possible au Darfour. Ils ont réaffirmé la nécessité de cesser les hostilités dans le contexte de l'Accord-cadre qui doit s'attaquer aux causes premières du conflit dans la province soudanaise.

La MINUAD souligne également que « toutes les parties ont exprimé leur désir et leur volonté de travailler ensemble afin de garantir que la Mission mette en oeuvre son mandat et ont convenu de relever collectivement les défis et les difficultés auxquels le processus de paix est confronté ».

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=21185&Cr=Darfour&Cr1

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DARFOUR : LES GROUPES ARMÉS APPELÉS À NÉGOCIER AVEC LE GOUVERNEMENT

Un nouveau groupe à ajouter sur la liste du programme DRRR, qui consiste à engager les groupes rebelles dans les forces armées des Nations Unies après qu'ils aient complété le programme de destruction d'un pays, tel que planifié par leur propre gouvernement pour pouvoir instaurer la dictature militaire afin de s'ajuster aux nouvelles normes de sécurité internationale. Ces gens appartenants à ces groupes sont ensuite appelés des "Peacekeepers" et participent aux différentes missions de "Paix" à travers le monde. Vous sentez-vous en sécurité de savoir cela?

Un convoi de la MINUAD au Darfour.

6 juillet 2010 – Le Représentant spécial conjoint de l'ONU et de l'Union africaine, Ibrahim Gambari, les envoyés internationaux au Soudan et les représentants des organisations internationales et régionales, réunis ce week-end à El-Fasher, au Nord-Darfour, ont appelé les groupes armés au Darfour (Soudan) à négocier avec le gouvernement soudanais.

Cette réunion était destinée à faire le point sur la situation dans la région depuis une précédente rencontre à Kigali, au Rwanda, en février.

Après avoir salué le bon déroulement des élections présidentielle et législatives soudanaises en avril, les participants ont réitéré leur soutien à la Médiation, dirigée par le médiateur conjoint ONU-Union africaine pour le Darfour, Djibril Bassolé. Ils ont également appelé à une résolution définitive du conflit avant la fin de l'année, afin que la paix règne au Soudan quand se déroulera le référendum d'autodétermination au Sud-Soudan, en janvier prochain.

Evoquant ensuite la stabilité et la sécurité de la région, les participants se sont dits très préoccupés par la détérioration de la situation au Darfour ces derniers mois. Ils ont appelé le gouvernement soudanais et le Mouvement pour la justice et l'égalité (JEM) a cessé immédiatement les combats et à reprendre le dialogue. Ils ont formulé la même demande à l'encontre de tous les autres groupes armés rebelles, appelés à rejoindre les pourparlers de paix de Doha.

Depuis le mois de mai, plusieurs représentants de l'ONU au Soudan se sont déjà inquiétés d'un regain de violence au Darfour, notamment de la reprise des combats entre forces gouvernementales et groupes rebelles, en dépit du cessez-le-feu intervenu dans le cadre des pourparlers de paix de Doha, du nom de la capitale du Qatar où ils se déroulent depuis 2009.

Les participants à la rencontre d'El Fasher ont également fait part de leur

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préoccupation quant au regain de violences ethniques ces dernières semaines au Darfour. Ils se sont inquiétés du développement croissant de la criminalité, en particulier de la pratique des enlèvements d'employés internationaux et des attaques contre le personnel de la Mission des Nations Unies et de l'Union africaine au Darfour (MINUAD).

Mettant enfin en avant les liens existants entre sécurité, retours volontaires des déplacés et des réfugiés et développement humain, ils ont rappelé au gouvernement soudanais son rôle et sa responsabilité dans la construction d'un environnement sûr et de perspectives durables de développement au Darfour.

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=22356&Cr=Darfour&Cr1=

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NORD IVOIRIEN: DÉMOBILISATION DES EX-REBELLES OFFICIELLEMENT ACHEVÉE

(AFP) – Il y a 5 heures

DABAKALA — La démobilisation de milliers d'éléments de l'ex-rébellion qui contrôle le nord ivoirien depuis 2002 s'est officiellement achevée samedi à Dabakala (500 km au nord d'Abidjan), un mois et demi avant le scrutin présidentiel du 31 octobre, a constaté l'AFP.

"La démobilisation s'est terminée aujourd'hui (samedi)" dans le nord tenu par les FN depuis le putsch manqué de 2002, a déclaré lors d'une cérémonie Klo Fagama, un responsable du Programme national de réinsertion et de réhabilitation communautaires (PNRRC).

Commencé en mai 2008 et relancé en juin dernier, ce processus a conduit à la démobilisation de plus de 17.000 ex-combattants, dont seuls "5.000" ont pu être pris en charge par les programmes de réinsertion professionnelle, a-t-il affirmé.

Par ailleurs, 5.000 autres éléments FN doivent être cantonnés et désarmés, en attendant leur intégration à terme dans la nouvelle armée réunifiée.

Cet "encasernement" est officiellement quasi-achevé, conformément au dernier accord de paix qui prévoyait sa réalisation avant la présidentielle, attendue pour le 31 octobre après de multiples reports depuis 2005.

Cependant, selon des sources concordantes, pas plus de 2.500 éléments ont en réalité été cantonnés lors de cette opération politiquement sensible - puisqu'elle touche au pouvoir des FN au nord - et financièrement coûteuse.

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5gFuCaEHB_SVIfnsK_JbiqiYNexvA

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NEPAL: UN CALLS FOR RAPID ACCORD ON MAOIST COMBATANTS AS MISSION DRAWS TO CLOSE

Maoist combatants

15 December 2010 – The top United Nations official in Nepal has called on the Government and political parties to reach rapid agreement on the reintegration of Maoist army personnel, in addition to other monitoring-related issues, as the UN wraps up its mission to help the country recover from a decade-long civil war.

The UN Mission in Nepal (UNMIN) – set up a in 2007, a year after the Government and Maoists reached a peace agreement ending a war that claimed 13,000 lives – is due to leave the country on 15 January, as its Security Council mandate expires then.

UNMIN’s activities have included monitoring the management of arms and armed personnel of the Nepal Army and the Maoist army as well as helping the parties implement their agreement on the management of arms and armed personnel.

It is in the interest of all parties to have a common understanding about supervisory arrangements that are to be in place following UNMIN’s departure,Secretary-General Ban Ki-moon’s Representative in Nepal and the head of UNMIN, Karin Landgren, stressed that it was in the interest of all parties to have a common understanding of follow-on arrangements by the time the mission leaves.

“We encourage the parties to expedite an agreement on all aspects of monitoring and supervision, how cantonments will be supervised, including a clear legal framework and a formal dispute resolution mechanism that will be applied following the withdrawal of UNMIN,” she wrote in a letter to Prime Minister Madhav Kumar Nepal and the Chairman of the Unified Communist Party of Nepal-Maoist (UCPN-M), Pushpa Kamal Dahal, released today.

“It is in the interest of all parties to have a common understanding about supervisory arrangements that are to be in place following UNMIN’s departure,” the letter added. “To date, only notional elements of the arrangement have been shared with the United Nations.”

Earlier this month, the Under-Secretary-General for Political Affairs, B. Lynn Pascoe, visited Nepal and reported to the Security Council that he had found a greater sense of urgency and willingness to compromise, but that no concrete results had emerged from the readiness to engage.

The future of the Nepalese and Maoist armies and the drafting of a new constitution are among the major remaining issues. In September, the political groups reached the so-

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called Four-Point Agreement on completing these tasks by 14 January, calling for Maoist combatants to be brought under a so-called Special Committee set up to address the supervision, integration and rehabilitation of former fighters.

In her letter, Ms. Landgren sought clarification on several monitoring-related issues ahead of the withdrawal of UNMIN arms monitors, including planned supervisory arrangements and the disposition of the UN monitoring-related equipment.

She noted that the UN had always recommended that rather than establish a new monitoring regime, the parties should concentrate on reaching rapid agreement on the integration and rehabilitation of Maoist army personnel, but as long as there was little progress on this, follow-on supervisory arrangements would need to be considered.

http://www.un.org/apps/news/story.asp?NewsID=37075&Cr=nepal&Cr1=

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NÉPAL : À DIX JOURS DU RETRAIT DE LA MINUNEP, LE PROCESSUS DE PAIX EST DANS L'IMPASSE

À lire avec grande attention. Le but est de remplacer la (MINUNEP) par des ex-rebelles maoïstes "réhabilités" et qui seront réengagés dans les forces de "Paix" des Nations Unies. Quel plan pervers, mes amis. Immunité totale de groupes qui tuent, violent et déciment des populations depuis des années et ils appellent cela un plan de réhabiliation. Et comme vous avez pu le voir, ceci est un plan qui existe dans presque tous les pays.

Et vous, si vous osez critiquer le gouvernement ou si vous possédez une arme ou un gramme de pot, on vous considère comme un terroriste et on vous jette en prison et on vous traite comme le pire des criminels. Mon amie Sandra Malloon, une québécoise qui est dans une prison du Panama depuis plus de 17 mois, ayant été accusée de possession de drogue alors que cela était faux, Radio-Canada ayant aidé à détruire sa réputation, son ex-avocat ayant reçu des menaces de la part d'individus peu scrupuleux a dû se retirer du dossier et je pense qu'ils ont fait de même pour ceux et celles qui administraient son site Facebook car sans avertir ont abandonné le bateau et ont reçu ordre de leur avocat de ne plus avoir de contact avec Sandra. Bravo Canada, terre de liberté.....

Dans la prison, où elle est, les prisonnières n'ont plus d'eau depuis quelques jours et une personne à qui elle a parlé, ces derniers jours, à l'Ambassade du Canada dit qu'elle n'a pas le temps d'aller lui en porter et aux autres paliers du gouvernement, on se lance la balle. Mais ces terroristes, eux on va les aider à se réintégrer. Ne voyez-vous pas le jeu qui se joue? Et ensuite, on se demande pourquoi les femmes sont violées et torturées?  Et ils sont là, à nous endormir avec leurs engagements solennels!!! N'entendez-vous pas la voix du démon qui tente de vous endormir?

NÉPAL : À DIX JOURS DU RETRAIT DE LA MINUNEP, LE PROCESSUS DE PAIX EST DANS L'IMPASSE

6 janvier 2011 – A dix jours du retrait de la Mission des Nations Unies au Népal (MINUNEP), programmé le 15 janvier, la Représentante de l'ONU et chef de la mission, Karin Landgren, a estimé dans son dernier exposé devant le Conseil de sécurité mercredi, que le risque d'échec du processus de paix n'était pas à exclure et que la gestion future des armements et du personnel armé maoïste restaient la principale question en suspens.

Soulignant qu'il y avait eu peu des progrès sur les questions les plus critiques -la formation d'un nouveau gouvernement, l'intégration de 19.000 ex-rebelles maoïstes et la rédaction d'une nouvelle constitution- elle a indiqué que le processus de paix était « en grande partie dans l'impasse » et que « les prévisions de son échec pourrait devenir une

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prophétie auto-réalisatrice ».

« Alors que le Népal avait enregistré des gains politiques peu susceptibles d'être perdus, les risques ont néanmoins clairement augmenté », a poursuivi Karin Landgren, avant d'expliquer qu'« il y avait encore des craintes parmi de nombreux Népalais sur une éventuelle « révolte des peuples », une démission du président, ou un coup d'Etat soutenu par l'armée ». « De telles mesures menacent la paix et la démocratie fragile du Népal », a-t-elle insisté.

Créée en 2007, après l'accord de paix entre le gouvernement et les maoïstes qui a mis fin à une guerre civile qui a fait plus de 13.000 morts, la MINUNEP était chargée de surveiller la gestion des armes des armées népalaises et maoïstes et le personnel des forces armées du Parti communiste unifié népalais-maoïste (PCUN-M). Les parties étaient en revanche chargées de compléter la réinsertion et la réhabilitation des ex- rebelles maoïstes , soit au sein de l'armée et la police nationale, soit dans d'autres secteurs d'activités.

Selon la Représentante de l'ONU, si le contrôle des armes a été « remarquablement réussi », les parties n'ont en revanche pas encore trouvé d'accord sur un mécanisme de surveillance remplaçant la MINUNEP après son départ. « On ne sait pas ce qui se passera après le retrait », a-t-elle ajouté, mettant engarde contre les risques posés par le « vide juridique » laissé.

« A maintes reprises, j'ai souligné la nécessité pour les parties d'éclaircir la question de la gestion de ces arrangements après le départ de la Mission », a-t-elle poursuivi, avant d'indiqué qu'elle avait reçu, le 3 janvier, une lettre du gouvernement népalais indiquant que le Comité spécial chargé de la supervision, de l'intégration et de la réinsertion des membres de l'armée maoïste succèderait à la MINUNEP dans l'accomplissement de ces fonctions.

Karin Landgren a estimé qu'il n'existait pas de consensus au sein dudit Comité et que ces mesures semblaient « dévier de manière significative de la Constitution provisoire ». Elle a d'ailleurs rappelé que la proposition du gouvernement népalais avait d'ores et déjà été rejetée par le Parti communiste unifié népalais-maoïste. « Les divisions existant au sein du Comité spécial empêchent cet organe de régler des questions politiques en suspens », a-t-elle insisté.

« L'absence de progrès dans le processus de paix a renforcé ceux qui le considère comme improductif ou beaucoup trop lents», a-t-elle encore déclaré devant les membres du Conseil de sécurité, avant d'exhorter les parties à « faire preuve de souplesse et de compromis pour tracer la voie à suivre ».

« Ce processus de paix peut être achevé de deux manières: de façon satisfaisante, grâce à la résolution négociée des questions en suspens, ou de manière précoce, avec une ou plusieurs parties qui manquent à leurs engagements solennels », a-t-elle conclu. « Les échecs et les défis sont inévitables, mais il est dans l'intérêt du pays, de la région et de la communauté internationale que le processus de paix soit maintenu, respecté et finalisé correctement ».

http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=24118&Cr=Népal&Cr1=

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Népal : l'ONU salue un accord sur la surveillance des armes et des armées

En 2006, les rebelles maoïstes et le gouvernement népalais ont signé un accord de paix historique.

15 janvier 2011 – La Représentante du Secrétaire général au Népal, Karin Landgren, a salué samedi l'accord conclu vendredi soir entre le gouvernement du Népal et les Maoïstes sur un nouveau mécanisme permettant de surveiller les armes et les armées après le départ de la Mission des Nations Unies au Népal (MINUNEP).

Créée en 2007, après l'accord de paix entre le gouvernement et les Maoïstes qui a mis fin à une guerre civile ayant fait plus de 13.000 morts, la MINUNEP était chargée de surveiller les armes les armées des deux parties. Son mandat s'achève le 15 janvier à minuit.

"Je félicite le gouvernement et le Parti communiste unifié du Népal-Maoïste pour avoir convenu d'arrangements pour surveiller les armes, ce qui est crucial pour renforcer la confiance dans le processus de paix. J'espère que les parties s'appuieront sur ce succès pour assurer la mise oeuvre, attendue depuis longtemps, de l'intégration et de la réinsertion des soldats maoïstes", a dit Mme Landgren dans un communiqué.

"Même s'il est arrivé au dernier moment, l'accord devrait ouvrir la voie à l'examen par le quartier général de l'ONU d'un prêt temporaire et ensuite d'une donation au gouvernement d'un circuit de télévision interne et d'autres équipements associés qui peuvent être transférés selon les procédures de l'ONU. La nécessité d'un accord sur la poursuite des arrangements en matière de surveillance avant que tout transfert d'équipements de l'ONU puisse être considéré semble avoir été remplie", a-t-elle ajouté.

La Représentante de l'ONU a indiqué que l'ONU continuerait d'apporter un soutien au nouveau mécanisme de surveillance. "Même s'ils doivent partir dans quelques heures, les inspecteurs de la MINUNEP se préparent pour former les membres du nouveau mécanisme de surveillance", a-t-elle ajouté.

Le Conseil de sécurité de l'ONU a réaffirmé vendredi « son soutien au processus de paix » au Népal et a exhorté le gouvernement népalais et tous les partis politiques « à redoubler d'efforts et à continuer de travailler de concert dans un esprit de consensus ». Il les a encouragés « à achever la rédaction de la nouvelle constitution dans les délais prévus".

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NEPAL: UN ENVOY WELCOMES AGREEMENT ON ARMS AND ARMIES MONITORING

Special Representative Karin Landgren

15 January 2011 – The outgoing United Nations envoy to Nepal, Karin Landgren, today welcomed an agreement reached overnight between the Government and the Unified Communist Party of Nepal-Maoist on arrangements to continue the monitoring of arms and armies after UN mission's mandate ends tonight.

“I congratulate the Government and the Unified Communist Party of Nepal-Maoist for agreeing on arms monitoring arrangements, which are so crucial to reinforcing confidence in the peace process. I hope the parties will build on this to implement the long-awaited integration and rehabilitation of the Maoist army personnel,” said Ms. Landgren, the Representative of the Secretary-General to Nepal.

“Although it came at the last hour, the agreement should also pave the way for UN headquarters to consider a temporary loan and later donation to the Government of the closed circuit television (CCTV) equipment and other monitoring-related assets that can be transferred under UN procedures. The need for agreed follow-on monitoring arrangements before any transfer of UN assets could be considered appears to be met,” she added.

The mandate of the UN Mission in Nepal (UNMIN), which Ms. Landgren headed, ends at midnight tonight. The mandate included monitoring the management of arms and armed personnel of the Nepal and Maoist armies, while the parties themselves were to complete the reintegration and rehabilitation of the former Maoist rebels either with the Nepal army and police or in other sectors.

UNMIN was set up in 2007 after the Government and Maoists reached a peace agreement ending a war that claimed 13,000 lives. The Security Council decided to end its mandate after the Government and the Maoists pledged to complete the remaining tasks of the peace process.

“The UN will continue to offer all the support that it can to the new monitoring mechanism. Even as they are hours away from leaving the cantonments, UNMIN arms monitors are preparing to brief the members of the new monitoring mechanism,” said Ms. Landgren.

Yesterday, the Security Council reaffirmed its support for the peace process and called on the Government and the parties to work together in the spirit of consensus to fulfill their commitments to resolve the outstanding issues of the peace process, including the completion of a new constitution by 28 May.

http://www.un.org/apps/news/story.asp?NewsID=37282&Cr=Nepal&Cr1=