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Vaccination pour la grippe H1N1 : ALERTE Que peut-on en penser aujourd’hui ? Francis GLEMET Pharmacien industriel Président de la Coordination Nationale Médicale Santé Environnement A l’aube d’une vaccination massive (94 millions de doses de vaccins commandées en France), cette conférence a pour objectif d’ouvrir un débat pour que chacun puisse prendre sa décision à se faire vacciner ou non en toute connaissance de cause, et prendre de la hauteur face au battage médiatique et aux discours alarmistes. Au sein de la communauté médicale, ce virus a été décrit comme très contagieux mais peu virulent. De nombreuses questions restent donc en suspens : - Quelles sont les preuves scientifiques démontrant que les bénéfices de cette vaccination soient supérieurs aux effets secondaires en sachant qu’il a été fabriqué dans l’urgence et qu’il existe peu de recul pour son évaluation ? - Quels en sont les composants et ne risquent-ils pas de provoquer des maladies neurologiques (syndrome cognitif) et des neuro-myopathies (syndrome de Guillain Barré) ou des maladies autoimmunes ?

Programme du débat 1 ère Partie : le virus H1N1 et son environnement

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Vaccination pour la grippe H1N1 : ALERTE Que peut-on en penser aujourd’hui ? Francis GLEMET Pharmacien industriel Président de la Coordination Nationale Médicale Santé Environnement. - PowerPoint PPT Presentation

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Page 1: Programme du débat 1 ère Partie  : le virus H1N1 et son environnement

Vaccination pour la grippe H1N1 : ALERTE Que peut-on en penser aujourd’hui ?

Francis GLEMETPharmacien industriel

Président de la Coordination Nationale Médicale Santé Environnement

A l’aube d’une vaccination massive (94 millions de doses de vaccins commandées en France), cette conférence a pour objectif d’ouvrir un débat

pour que chacun puisse prendre sa décision à  se faire vacciner ou non  en toute connaissance de cause, et prendre de la hauteur face au battage

médiatique et aux discours alarmistes.

Au sein de la communauté médicale, ce virus a été décrit comme  très contagieux mais  peu virulent.De nombreuses questions restent donc en suspens :

- Quelles sont les preuves scientifiques démontrant que les bénéfices de cette vaccination soient supérieurs aux effets secondaires en sachant qu’il a été fabriqué dans l’urgence et qu’il existe peu de recul pour son évaluation ?- Quels en sont les composants et ne risquent-ils pas de provoquer des maladies neurologiques (syndrome cognitif) et des neuro-myopathies (syndrome de Guillain Barré) ou des maladies autoimmunes ?

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Programme du débat

1 ère Partie : le virus H1N1 et son environnement

2 ème Partie : Les dangers du vaccin H1N1 :

-les adjuvants(les adjuvants sont des substances ajoutées au vaccin pour le rendre plus efficace, ce qui permet d'économiser l'ingrédient actif (antigène) ». source OMS - les conservateurs -les antibiotiques - Risques liés aux lignées cellulaires continues, aux contaminations connues ou inconnues - Risques liés aux groupes ciblés par la population  -Evaluation des effets secondaires à long terme

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A partir de quand parle-t-on de pandémie ?Une pandémie est une épidémie touchant une part exceptionnellement importante de la population et présente sur une large zone géographique .L’OMS déclarera le niveau 7 d’alerte ,niveau 5 en France depuis juin

-22 décésà ce jourDans l’hémisphère Nord en revanche, la circulation du virus H1N1 est modérée mais la tendance est à l’augmentation dans certains pays, notamment aux Etats-Unis, au Japon et au Mexique. En fin de semaine 38 (du 14 au 20 septembre), le total mondial cumulé de décès depuis le début de la pandémie est de 4 094 (InVs). Il est aujourd’hui de 4.100 dans 191 pays et territoires

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H1N1 la compil : La curieuse composition du virus de la grippe mexicaineBaptisée trop rapidement « grippe porcine », cette nouvelle maladie devrait plutôt être appelée « grippe nord-américaine », ou « mexicaine », en raison de son origine. Ce qui

éviterait toute confusion hâtive avec un problème purement animal.  Les principaux syndicats agricoles (notamment Christiane Lambert, pour la FNSEA, et René Louail, pour la Confédération paysanne) ont rappelé avec raison que le problème est « plus humain qu’animal ». Ce qui le rend d’ailleurs plus sévère. Contrairement au virus de la grippe aviaire H5N1, celui du Mexique peut parfaitement être à l’origine d’une grave épidémie humaine, puisqu’il se transmet d’homme à homme.

Leur nombre est bien inférieur à ceux causés par la grippe classique, note le Dr Jean-Louis Thillier, consultant scientifique et expert européen en évaluation des risques sanitaires. « En France, pendant les quelques mois d’hiver, la grippe que tout le monde connaît tue près de 5.000 personnes, et de 35.000 à 50.000 aux Etats-Unis en une seule année », explique l’expert, qui précise que n’ayant encore pas muté, le virus mexicain, issu d’un réassortiment génétique, est aujourd’hui faiblement pathogène et 500 000 dans le monde . C’est moins que le nombre d’enfant mourrant de malnutrition :1,5 millions

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Or, la composition de ce virus, dévoilée le lundi 27 avril 2009, révèle des souches de provenances différentes. « Ce qui fait de ce virus un cas totalement inédit », indique le Dr Thillier. D’autant plus

que la séquence totale du virus montre des origines géographiques très éloignée La génétique de ce virus de la grippe mexicaine (à huit chromosomes et à dix gènes) me rend perplexe. C’est une souche H1N1 qui combine un triple assortiment de gènes de virus de la grippe humaine, porcine et de la grippe aviaire, tous identifiés séparément dès 1998

S’y ajoutent deux nouveaux gènes du virus H3N2 de la grippe du porc d’Eurasie, eux-mêmes d’origine humaine. Ce réassortiment génétique complexe est pratiquement impossible à obtenir dans un élevage de porc mexicain, même industriel. Fuite d’un laboratoire ? Acte terroriste ? », s’interroge le spécialiste

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Le Dr Thillier poursuit : « Ce n’est pas un virus mutant progressivement comme le H5N1 – qui est en réalité peu dangereux pour l’homme –, mais un virus dont la génétique complexe est si inhabituelle que les êtres humains ont peu de chances d’avoir un minimum d’immunité en mémoire à celui-ci.

L’actuel vaccin contre la grippe, qui vise une autre souche H1N1, n’est pas non plus susceptible d’offrir une protection. A l’opposé du H5N1, le virus mexicain a donc évidemment un potentiel pandémique, bien qu’il n’y ait pas, pour l’instant, de début de pandémie. En outre, il est peu probable qu’on puisse assister à une pandémie capable de décimer des millions d’individus, comme en 1918 avec la grippe espagnole ».

a

En revanche, « on assiste peut-être là à une épidémie classique de grippe qui peut prendre toutes les dimensions, sévères ou non », indique le Pr François Bricaire, spécialiste des maladies infectieuses et tropicales à la Pitié-Salpêtrière (Paris )

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En France, le plan de lutte contre une pandémie grippale est prêt. Elaboré par différents ministères, sous l’autorité du Premier ministre François Fillon, ce plan, dont la dernière version date du 20 février 2009, comprend six niveaux, du plus bénin au plus

dramatique. Ceci est officialisé par la circulaire du 21 août signé par Me Bachelot et Mr Hortefeux .

a

On crée donc 1080 de vaccinations avec 360 vaccinations par groupe mobile de 4 personnes et sur 4 H ( médecin 66€ de l’heure -infirmière- 28€ de l’heure -secrétaire et chauffeur) qui doit vacciner 15 000 personnes de novembre à fin janvier soit 16 millions de personnes en 2 doses soit 8 Millions de personnes vaccinées .94 millions de doses sont prévues ( 47 millions de vaccinés pour un coût de1,2 milliards d’€ ) que fait –on du surplus ?LIVRAISONS ATTENDUES DES VACCINS GSK 50 millions de doses Novartis 16 millions de doses Sanofi‐Pasteur 28 millions de doses

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Le Réseau Environnement Santé s’interroge donc sur le fondement scientifique de la campagne de vaccination annoncée par les autorités sanitaires contre le virus de la grippe A (H1N1) et demande que les preuves scientifiques soient fournies démontrant que le bénéfice de cette vaccination est

supérieur aux effets secondaires attendus.

L’AFSSAPS (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) par la voix de sa chef du département de pharmacovigilance vient en effet de rappeler que les vaccins contre Le virus de la grippe A (H1N1)  présentent un risque individuel non négligeable (entre autre le syndrome de Guillain-Barré, maladie auto-immune pouvant être mortelle et entraînant des séquelles graves pouvant aller jusqu'à une paralysie des membres).

En 1976, une campagne de vaccination massive portant sur 45 millions de personnes contre un précédent virus H1N1 a été arrêtée aux Etats-Unis en raison de la survenue de cas de syndrome de Guillain-Barré. En tout, 4000 personnes ont porté plainte ultérieurement. 30 décès et 500 Guillain Barré

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 Actuellement c’est la souche la plus rencontrées, mais d’autres types peuvent également être rencontrés tels que : H1N2, H3N1, H3N2

 

Structure of the H1N1 virus H  Hemagglutinin            

- N   Neuraminidase d’où le nom H1N1

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L’Hémagglutinine liée aux cellules détermine la spécificité et la virulence du virus. La liaison à l'alpha 2-6 du site,  indique qu'elle se  lie aux cellules de l'homme tandis que la liaison alpha 2-3 indique une préférence pour les cellules de virus des voies respiratoires des animaux.

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•Le haut conseil de la santé publique (HCSP), donne les recommandations et les niveaux de priorité concernant la vaccination grippale : 1 - toutes les personnes désireuses de se faire vacciner, devront pouvoir l'être, eu égard de certaines priorités : Priorité 1 : femmes enceintes, les nourrissons de 6 mois à 23 mois (avec facteurs de risque) et leur proche entourage.

Priorité 2 : les sujets âgés de 2 ans à 64 ans « avec facteurs de risque »

Priorité 3 : les nourrissons de 6 à 23 mois « sans facteurs de risque » et les personnes agées de plus de 65 ans "avec facteurs de risque".

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Priorité 4 : les personnes 2 ans à 18 ans « sans facteurs de risque »

Priorité 5 : les 19 ans et plus « sans facteurs de risque ».

2 - Le schéma vaccinal arrêté, le Haut Conseil confirme qu'il sera de deux doses espacées de 21 jours.Concernant le schéma vaccinal, le Haut Conseil confirme qu’il sera « de deux doses espacées de 21 jours ».

3 - L'utilisation  des vaccins avec adjuvant,  n’est pas conseillée pour les enfants de 6 mois à 23 mois, les femmes enceintes et les sujets immunodéprimés.

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Les patients souffrant de la grippe porcine ont exactement les mêmes symptômes que la grippe habituelle (saisonnière).

On constate, après une incubation (période comprise entre la contamination par la grippe A H1N1 et l'apparition des premiers symptômes) de 24 à 48 heures :

Une élévation importante de la température pouvant aller jusqu'à 41° centigrades. Des douleurs surtout de type musculaire dans l'ensemble du corps et, comme pour la grippe habituelle, dans le dos essentiellement.

Des douleurs au niveau de la gorge associées à des maux de tête (céphalées). Une prostration (avec affaiblissement extrême) quelquefois avec fatigue intense mais variable selon les individus.

Des difficultés à respirer, quelquefois très importantes. Une toux plutôt sèche qui a d'autre part la caractéristique d'être profonde et qui apparaît sous la forme de quintes (d'accès, d'épisodes).

Un jetage (c'est-à-dire un écoulement par le nez) très important. Des diarrhées (assez rarement). Des vomissements (assez rarement). Une perte d'appétit survenant brutalement

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L'évolution de la grippe A H1N1 est variable selon les individus. Avec le nouveau virus, il est impossible de prévoir l'évolution avec certitude. Habituellement, la grippe A H1N1 évolue favorablement vers la guérison en une semaine (parfois

plus). Prise de Paracétamol ou d’Aspirine pour les douleurs et la fièvre ,500 mg de vitamine C,le plus possible d’origine naturelle ,reconnue plus efficace

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Prévention de la pandémie

La CNMSE approuve la poursuite des efforts en ce qui concerne la prévention pour limiter la contamination interindividuelle. Celle-ci passe par un bon lavage des mains notamment dans les écoles, mais pourquoi n’y a-t-il, selon l'AFSSA, en moyenne que 1 robinet pour 150 enfants et dans 20 % des cas ni savon ni moyen propre/jetable de s’essuyer les mains ? Utiliser aussi des solutions hydroalcooliques ( milieux professionnels et scolaires)

La prévention passe aussi par un message nutritionnel adapté. Les liens entre alimentation et immunité sont clairement démontrés. Toute malnutrition augmente la vulnérabilité aux infections. La dénutrition (30 millions de personnes en Europe) augmente le risque infectieux et la suralimention (excès de consommation de certains lipides et de produits avec sucres ajoutés) est un facteur identifié de dépression immunitaire.

Éviter de cracher et de postillonner autour de soi comme beaucoup d’adolescents ou jeunes adultes le font trop fréquemment ,préférer le mouchoir en papier à jeter dans une poubelle fermée plutôt qu’une corbeille à papiers .Cela suppose la mise à disposition de sacs biologiques .

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Le virus est détruit par une température de 70 °Cc.Il est important de choisir un programme de lavage le plus long possible et à la t° la plus haute possible .Pour le linge délicat le laisser le plus longtemps possible dans un endroit fermé et le laver aussi avec des programmes plus fort que d’habitudeEn cas de grippe déclarée à la maison ,placer le malade dans une chambre isolée plusieurs jours ( 3 à 4 jours) et porter le masque le plus adapté à la situation :

Le masque anti-projections dit "masque chirurgical". Il est destiné à éviter la projection, par le porteur de sécrétions des voies aériennes supérieures ou de salive. Bref, il inutile de porter ce genre de masque si l'on n'est pas malade et si l'on veut se protéger. Il est particulièrement utile sur une personne présentant les symptômes de la grippe, car il limitera la projection.

Le masque de protection respiratoire (FFP2) C'est un maque filtrant, qui est lui destiné à protéger le porteur contre les risques d’inhalation d’agents infectieux, transmissibles par voie aérienne. L'État a décider de réserver ces masques de type FFP2 à usage unique, pour les personnels de soins et pour les personnes à risque d’exposition. aggravée

Transmission des virus grippaux : les mesures physiques sont aussi efficaces que la vaccination ( Journal International of medecine -59 études le prouvent au niveau international 29 /09/09

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Propagation du virus en France et Europe4/10/2009 Bulletin Le nombre de cas de grippe reste stable

Selon les données du Réseau des GROG, la semaine dernière,

• sur les 1.115.000 cas d’infections respiratoires aiguës (IRA), la grippe A(H1N1)2009 a représenté seulement 39.800 cas soit environ 3% des consultations médicales pour IRA, • en médecine générale, 1 patient sur 8 a consulté pour IRA (soit 3 IRA/jour/médecin), • en pédiatrie, 1 patient sur 6 a consulté pour IRA (soit 4 IRA/jour/médecin).

Dans les prélèvements GROG, les virus respiratoires saisonniers responsables des IRA non grippales sont surtout le rhinovirus, incriminé dans environ 36% des cas et les entérovirus.

Le nombre des infections respiratoires aiguës s’est stabilisé. La part de la grippe dans ces IRA reste faible mais constante, confirmant que le virus A(H1N1)2009 est présent dans toutes les régions métropolitaines, prêt à provoquer une vague épidémique

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On ne peut pas parler de suractivité médicale

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2 ème Partie : Les dangers du vaccin H1N1 :

-les adjuvants(les adjuvants sont des substances ajoutées au vaccin pour le rendre plus efficace, ce qui permet d'économiser l'ingrédient actif (antigène) ». source OMS - les conservateurssont chargés de faire stabiliser tous les composants entre eux

a

-les antibiotiques doivent empêcher le développement bactérien au sein d’une préparation riche en milieux biologiques ( cultures cellulaires et cultures sur œufs - Risques liés aux lignées cellulaires continues, aux contaminations connues ou inconnues

- Risques liés aux groupes ciblés par la population 

-Évaluation des effets secondaires à long terme

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H1N1 : 4.100 morts selon l'OMSLa grippe saisonnière tue environ 500 000 personnes

Au total, la région "Amérique" a enregistré trois quarts des décès constatés dans le monde, avec 3.020 victimes, relève ainsi l'OMS. En Europe où la grippe H1N1 a fait au moins 176 morts et plus de 56.000 malades, les pays les plus affectés restent la France, l'Irlande et le nord du Royaume-Uni où le seuil épidémique est dépassé depuis plusieurs semaines.

Parmi les pays tempérés de l'hémisphère nord où la maladie évolue actuellement, les Etats-Unis sont particulièrement touchés. "La transmission est géographiquement étendue et continue d'augmenter", explique l'OMS. Le Mexique, d'où le virus est parti au printemps, est également confronté à une deuxième vague d'infection. "Un nombre élevé de maladies respiratoires a été rapporté ces deux dernières semaines", ajoute l'organisation.

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Les dangers du vaccin H1N1 :

http://www.emea.europa.eu/ A ce jour 3 vaccins ont obtenus les AMM Européenne

aAutres composants : Les autres composants sont : thiomersal

Focetria de Novartis : Substance active : Antigènes de surface du virus de la grippe (hémagglutinine et neuraminidase)* de la souche : A/California/7/2009 (H1N1)v souche analogue utilisée (X-179A) 7,5 microgrammes** par dose de 0,5 ml Adjuvant MF59C.1 contenant: Squalène 9,75 milligrammes polysorbate 80 1,175 milligrammes trioléate de sorbitan 1,175 milligrammes Contre-indications Antécédents de réactions anaphylactiques (c.-à-d. mettant en jeu le pronostic vital) à l’un des composants ou aux traces de résidus (aux protéines des oeufs et de poulet, à l’ovalbumine, à la kanamycine et au sulfate de néomycine, au formaldéhyde et au bromure de cétyltriméthylammonium (CTAB)) présents dans ce vaccin. Si une vaccination est considérée nécessaire, un équipement médical de réanimation doit être immédiatement disponible en cas de besoin.

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Pandemrix de GSK :

Virus de la grippe fragmenté inactivé, contenant l’antigène* analogue à :A/California/7/2009 (H1N1)v-souche analogue (X-179A) 3,75 microgrammes*** cultivé sur oeufs** hémagglutinineL’adjuvant AS03 est composé de squalène (10,69 milligrammes), de DL-α-tocophérol(11,86 milligrammes) et de polysorbate 80 (4,86 milligrammes)

Excipients : le vaccin contient 5 microgrammes de thiomersal

CI : enfants de 6 mois à 3 ansSi la vaccination est jugée nécessaire, la posologie envisagée peut être identique à celle recommandéechez les enfants âgés de 3 à 9 ans. Mêmes Contre-indicationsGrossesse et allaitementIl n’y a actuellement aucune donnée disponible concernant l’utilisation de Pandemrix durant lagrossesse. Les données chez les femmes enceintes vaccinées avec différents vaccins grippauxinactivés saisonniers sans adjuvant ne suggèrent pas de malformations ou de toxicicté fétale ounéonatale.

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Le Celvapan de Baxter vient également d'être autorisé,il est sans adjuvantSubstance active: Vaccin grippal à virion entier, inactivé, contenant l’antigène de souche pandémique* : A/California/07/2009 (H1N1) 7,5 microgrammes** par dose de 0,5 ml * cultivée sur cellules Vero (lignée cellulaire continue d’origine mammifère- Singe vert d’Afrique du Sud très sensible au VIH) ** hémagglutinine

Grossesse et allaitement Il n’y a actuellement aucune donnée disponible concernant l’utilisation de Celvapan pendant la grossesse. Les données chez les femmes enceintes vaccinées avec différents vaccins grippaux saisonniers inactivés sans adjuvant ne suggèrent pas de malformations, ou de toxicité foetale ou néonatale.

Effets Indésirables Très rare: • vascularite (inflammation des vaisseaux sanguins pouvant entraîner des éruptions cutanées, des douleurs articulaires et des problèmes au niveau du rein) • troubles neurologiques telles qu’encéphalomyélite (inflammation du système nerveux central), névrite (inflammation des nerfs) et un type de paralysie connue sous le nom de Syndrome de Guillain-Barré affecte moins de 1 patient sur 10000) Autres composants: Les autres composants sont: trométamol, chlorure de sodium, eau pour préparations injectables, polysorbate 80polysorbate 80

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Effets indésirables Rares:

Névralgie, paresthésie, convulsions, thrombocytopénie transitoire. Des réactions allergiques conduisant, dans de rares cas, à un choc anaphylactique ont été rapportées.

Très rare: Vascularite avec atteinte rénale transitoire. Troubles neurologiques, tels qu’encéphalomyélite, névrite et syndrome de Guillain-

Barré

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Les adjuvants

le Squalène est la base des stimulateurs de l’immunité utilisé .Il est contenu naturellement dans l’huile de foie de requin et il ne produit aucune allergie particulière par ingestion Par voie intramusculaire il mobilise le système immunitaire

Métaboliquement, le Squalène stimule une réaction immune excessive et non spécifique. Plus de deux douzaines d’articles scientifiques, passés en revue par les paires, dans dix laboratoires différents à travers les États-Unis, l’Europe, l’Asie, et l’Australie ont été publiés, documentant le développement de maladies auto-immunes chez les animaux soumis aux adjuvants basés sur le Squalène. Une proposition convaincante sur le pourquoi de ces réactions inclut le concept « de l’imitation moléculaire » dans laquelle un anticorps est créé contre le Squalène dans le MF59 ( Novartis et l’ASO3 de Glaxo) peut interagir avec le Squalène du corps à la surface des cellules humaines. La destruction du Squalène propre au corps peut mener à des maladies auto-immunes débilitantes et liées au système nerveux central. »et en particulier le Guillain Barré

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Le GBS est une neuropathie autoimmunine inflammatoire du système nerveux périphérique débutant par une parésie des membres inférieurs évoluant vers une paralysie bulbaire des centres de la déglutition et des voies respiratoires Schonberger,L.B. & al. Guillain-Barre syndrome following vaccination in the nationalinfluenza immunization program, United States, 1976-1977. American Journal ofEpidemiology, t.110 (2), p. 105-123 ; 1979

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Les conservateurs :garder stable la solution dans le temps 2 conservateurs sont retenus dans les vaccins Le Thiomersal et l’hydroxyde d’aluminium

le Thiomersal ou Ethyl mercure

Eli Lilly Material Data Safety Sheet. Exposure to mercury in utero and in children may cause mild to severe mental retardation and mild to severe motor coordination impairment. 1999. http://www.whale.to/vaccine/eli_lilly_material_data.html

--Autism and Vaccination—The Current EvidenceLisa Miller, MD, MSPH and Joni Reynolds, RN, MSN

CONCLUSIONS. Rigorous scientific studieshave not identified links between autism andeither thimerosal-containing vaccine or the(rougeole;oreillons et rougeole étude épidémiologique)Dans les amalgames dentaires au mercure beaucoup de publications font le lien avec la dégénérescence neurologique ,maladie d’Alzeimer

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Les pathologies éventuellement liées au Hg sont très variées : psychologiques (dépression, troubles de l’humeur…), neurologiques (maladie d’Alzheimer, sclérose en plaques, maladie de Parkinson, épilepsie, handicaps de naissance, …), dermatologiques (eczéma, …), immunitaires (infections à répétitions, allergies, maladies autoimmunes : maladie de Crohn, maladie de Gougerot-Sjögren etc.), digestives (colite …), cardio-vasculaires (tachycardie, artériosclérose, cardiopathie cardiaque dilatative…) rénales, rhumatismales, et même cancers (tumeurs cérébrales : glioblastomes, plus fréquents chez les dentistes).

Les pathologies éventuellement liées aux autres métaux sont probablement très variées mais moins bien connues.(Marie Grosman et André PicotJuin 2007 Agrégée de l’Université en sciences de la vie et de la Terre2 Toxicochimiste, Directeur de recherche honoraire au CNRSDeux études chez les animaux indiquent cependant que, durant la grossesse, une exposition au mercure n'ayant aucun effet chez la mère peut provoquer des changement subtils du comportement chez ses petits. Le problème des métaux lourds est la bioaccumulation avec les vaccinations répétées pouvant aller jusqu’à 20 vaccinations ( la dernière est celle de l’hépatite B)

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A partir de l'adolescence, des pathologies peuvent se développer comme : un état dépressif, de la violence, des comportements à risque (vol, mensonge, anorexie, boulimie, drogue etc.), de la schizophrénie.

Les publications de chercheurs tels que Pr K, Reichelt (hôpital universitaire d'Oslo), Pr Boyd Haley (université du Kentucky USA), Pr Massimo Montinari (hôpital de Bari, Italie), Pr Andrea Pelliccia (hôpital La Sapienza de Rome, Italie), Pr Andre Picot (CNRS, France), Pr Sami Sandhaus (Directeur du Forum Odontologicum à Lausanne-Suisse, et enseigne à l'université Marie Curie, Paris VI), peuvent être consultées à tout moment sur le site www.stelior.org ou commandées

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Toxicité de l’aluminium établie par différentes études dont :

Gherardi RK. Lessons from macrophagic myofasciitis: towards definition of a vaccine adjuvant-related syndrome. Rev Neurol (Paris). 2003 Feb;159(2):162-4

Jean Pilette. Aluminium et vaccins. 2009 (+ de 1770 réf. Bibliographiques

Là aussi ce sont des troubles neurologiques qui sont avancés

Toxicité du formaldéhyde ( ou formol )établie :

Le CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer, dépendant de l’OMS) a classé le formaldéhyde comme cancérigène de grade 1 (communiqué de presse n°153, 15 juin 2004) http://www.iarc.fr/en/media-centre/pr/2004/pr153.html Yaqin Pan  et  William J. Rea, Formaldehyde Sensitivity, Clinical Ecology  VI(3): 79-84 http://www.aehf.com/articles/A44.htm Tous les vaccins de la grippe contiennent du Formaldéhyde

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Toxicité possibles d’autres composants des vaccins contre la grippe A

(sur la base des notices des différents vaccins contre la grippe saisonnière) : 1 - La bêta-propiolactoneLa Commission de la Santé et de la Sécurité du Travail du Québec indique dans son Répertoire toxicologique au sujet de cette substance les propriétés pathologiques suivantes : effet irritant et corrosif, différents effets aigus mais également effet cancérogène possible chez l’homme et certain chez l’animal, et possible effet mutagène chez l’homme. Cet organisme se base notamment sur les rapports du CIRC,

dépendant de l’OMS

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2--Le polysorbate 80

« N’est pas destiné à être injecté » peut-on lire sur ce rapport de sécurité d’un fabricant de cette substance : http://www.jtbaker.com/msds/englishhtml/t7683.htm Coors EA, Seybold H, Merk HF, Mahler V. Polysorbate 80 in medical products and nonimmunologic anaphylactoid reactions. Ann Allergy Asthma Immunol. 2005 Dec;95(6):593-9

3--L’éther de polyéthylèneglycol et d’octylphénol (« octoxynol 9 », aussi connu sous le nom de « Triton X-100 ») utilisé dans les vaccins contre la grippe saisonnière Fluzone et Vaxigrip de Sanofi  Pasteur MSD

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Dans la section “Informations toxicologiques” du site Science Lab.com, on peut lire à propos de cette substance : - « Peut causer des effets secondaires sur la reproduction (venant de la mère) selon des données sur l’animal. - Peut affecter le matériel génétique (effet mutagène) - Produit pouvant contenir des traces d’oxyde d’éthylène lequel peut causer le cancer et des maladies congénitales ou d’autres effets nocifs sur la reproduction ». http://www.sciencelab.com/xMSDS-TRITON_X_100-9927635 Cet effet mutagène semble en tout cas compatible avec les résultats d’une récente étude sur la génétique des plantes

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4--D’autres substances pouvant présenter un risque d’allergie grave peuvent se retrouver dans ces vaccins :

- ovalbumine (pour les vaccins produits à base d’œufs, la règle pour les vaccins contre la grippe saisonnière) - antibiotiques présents à l’état de traces (gentamycine,

néomycine, polymyxine B, etc.) Risques lies à l’ADN hétérogène contaminant (pouvant venir soit des cultures cellulaires soit des techniques d’ADN recombinant/génie génétique

;

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Rapport d’un groupe d’étude de l’OMS, Série de Rapports techniques, 747. Acceptabilité des

substrats cellulaires pour la production de substances biologiques. OMS 1987.

On ne peut pas plus affirmer l’absence TOTALE d’ADN et du risque qui lui est lié dans les produits obtenus en lignées cellulaires continues, que dans les produits issus de cultures primaires de cellules et de cultures de cellules diploïdes ».

Extrait :« Un des grands problèmes soulevés est le risque de malignité que pourrait présenter à long terme un ADN contaminant hétérogène, en particulier s’il s’avère qu’il contient des séquences codantes ou régulatrices potentiellement oncogènes. Ce point est réellement préoccupant, car de nombreuses personnes en bonne santé, notamment des nourrissons, seront peut-être vaccinés avec des produits issus de lignées cellulaires continues ou les recevront de toute autre manière. […)

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5 --Risques liés aux groupes ciblés par la population 

. Femmes enceintesElles sont toujours exclus des protocoles d’étude Les différentes notices de vaccins contre la grippe saisonnière font toutes état de données limitées relatives à ce groupe-là. La toxicité de plusieurs composants possibles des futurs vaccins (thimérosal, polysorbate 80 etc) pour la mère et l’enfant est établie

. EnfantsPas d’efficacité chez les enfants de moins de 5 ans. Arch Pediatr Adolesc Med. 2008 Oct;162(10):943-51. The Cochrane Database of Systematic Reviews. Vaccines for preventing influenza in healthy children. 1-(2006)

. Malades chroniquesSujets agés risque d’augmenter les pneumonies

. Professionnels de santé Rien n’est démontré que cette population est protégée

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6 Population ciblée pour la vaccination par l’OMS

Dans le journal Le Soir du 18/08/09, le Pr Van Laethem, qui préside le comité scientifique qui fera les recommandations déclare qu’ « il y a peu de chances que nous nous écartions des recommandations de l’OMS ».

Cette dernière énumère comme groupes à vacciner les catégories suivantes : professionnels de la santé, femmes enceintes, patients de plus de 6 mois atteints d’une maladie chronique sévère (dont asthme et obésité morbide), enfants en bonne santé, adultes entre 15 et 49 ans en bonne santé, les 50-65 ans en bonne santé ainsi que les plus de 65 ans en bonne santé.

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7 Evaluation de l’efficacité à long terme

Celle-ci n’existe pas : d’une part en raison de la chute rapide (en quelques mois) du taux d’anticorps artificiellement produits par la vaccination et, d’autre part, du fait de la mutation incessante du virus grippal. Rien ne dit donc que les gens vaccinés avec ce vaccin pandémique ne se verront pas

proposer un autre vaccin pandémique à chaque nouvelle mutation…

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8 Evaluation des effets secondaires à long terme

Vu les risques possibles, inhérents à l’usage de différents composants vaccinaux qui incluent notamment des risques de cancérogénèse, de tératogénèse, de mutagénèse et d’affections auto-immunes, il est impossible de pouvoir évaluer leur fréquence sur la base d’évaluations cliniques pré-commercialisation d’une durée limitée à 2 mois. Le rapport bénéfices/risques qui sera donc présenté aux gens qui recevront ces

premières doses sera donc forcément biaisé.

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Selon un rapport du Forum Européen de Vaccinovigilance (EFVV) datant de 2004 et portant sur 1000 cas d’effets secondaires de vaccins, tous âges et tous types de vaccins confondus :

« Les trois quarts des réactions post-vaccinales observées se sont produits dès les premières heures après l’injection jusqu’à environ 60 jours après l’injection. Les autres réactions ont eu lieu au-delà des deux mois qui ont suivi l’injection. Enfin, pour certaines personnes, l’effet indésirable marquant s’est déclaré plusieurs

années après l’injection ».

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De plus, avec le développement constant de nouveaux vaccins, les gens sont de plus en plus vaccinés or l’effet toxique cumulatif d’injections vaccinales répétées au cours du temps ne peut être exclu : White CS 3rd, Adler WH, McGann VG. Repeated immunization: possible adverse effects. Reevaluation of human subjects at 25 years. Ann Intern Med. 1974 Nov;81(5):594-600

9.La présence d’anticorps vaccinaux n’est pas forcément synonyme de protection“The findings of efficacy studies have not demonstrated a direct correlation between antibody response and protection against pertussis disease”. MMWR, March 28, 1997/Vol.46/N).RR-7,p.4.

Les résultats d'études d'efficacité n'ont pas démontré de corrélation directe entre la réponse d'anticorps et la protection contre la maladie de coqueluche"

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La vaccination contre la grippe saisonnière est d’une efficacité contestable :

Jefferson T. Influenza vaccination : policy versus evidence. BMJ 2006;333;912-915

Différentes déclarations de spécialistes renommés et d’experts compétents dont :

- Dr. Anthony Morris (Anciennement chef du Contrôle des vaccins, gouvernement des Etats-Unis). « Il n’y a pas de raison de croire que le vaccin de l’influenza (grippe) soit capable de prévenir ou de diminuer la maladie. Ceux qui fabriquent ce vaccin savent qu’il ne sert à rien mais ils continuent à le

vendre tout de même 

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-Dr Marc Girard, médecin, statisticien, expert en pharmacovigilance et en

pharmacoépidémiologie, Il y a véritablement extrêmement peu de preuves d’une efficacité du vaccin contre la grippe  l’efficacité est loin d’être démontrée et dont la toxicité reste une problématique qu’on devrait considérer à part entière et on ne le fait pas ! »

a

- Pr Antoine Flahaut, épidémiologiste, directeur de l’école des hautes études en Santé publique (EHESP). « Le vaccin n’est pas très efficace, le virus mute sans arrêt, et des réservoirs animaux multiples ne permettent pas d’espérer un jour une éradication . Nous ne disposons pas d’une seule étude probante - à ma connaissance - sur l’efficacité du vaccin utilisé comme barrière épidémique. Nous ne disposons pas d’études sur la sécurité d’utilisation du vaccin - ni du vaccin pandémique ce qui est normal, ni des vaccins saisonniers - en cas d’utilisation dans de larges segments de la population jeune

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.Dr Thomas Jefferson, épidémiologiste qui après avoir compilé quarante ans de recherches, conclut que les vaccins antigrippaux sont d'une efficacité très limitée. « Protéger la population mondiale contre une chose aussi inoffensive

qu'un rhume? C'est de la folie! »

--Dr Margaret Chan, actuelle directrice de l’OMS dans le guide de l’OMS à l’intention des journalistes (en 2005). « Aucune intervention humaine n’a jamais permis jusqu’ici de stopper une pandémie une fois qu’elle s’est déclenchée ». Mme Chan a annoncé en date du 11 juin 2009 : « La pandémie de grippe

A(H1N1) a maintenant commencé ».

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Projection en France de la pandémie grippale ;source du NEJM à propos d’une étude australienne et néo zélandaise

sur 722 hospitalisations de 30 cas pour 1 Million d’ha - -les femmes enceintes (9,1 % des patients contre 1 % dans

la population générale), - les sujets obèses (28,6 % avaient un IMC supérieur à 35 contre 5,3 % dans la populationgénérale),- les sujets ayant des antécédents broncho-pulmonaires (32,7 %).

5 % des lits de réanimation occupés par des patients atteints de grippe

Plus de 15 % de décès prévisibles parmi les patients admis en réanimation

on peut doncs’attendre à environ 2 000 hospitalisations supplémentaires en réanimation durant cet hiver(ce qui est inférieur à ce que laissait prévoir une estimation antérieure basée sur les donnéesbeaucoup plus limitées provenant de Nouvelle Calédonie).

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Les chiffres attendus

- Femmes enceintes 182 décès 28

- Obèses 572 morts 86

- Antécédents broncho-respiratoires : 654 décès 98

Grippe A : 47 millions de vaccins 300 morts combien d’effets indésirables ;qui prend en charge ces patients le pays injecteur ou l’Europe

grippe B :15 millionss de vaccins 3000 à 5000 morts

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Par F. William Engdahl ,Journaliste américain spécialisé dans l’économie et dans la politique dit Le 14 septembre 2009

Des nanoparticules ont été trouvées dans les vaccins homologués par les autorités gouvernementales responsables de la vaccination contre le présumé virus H1N1 de la grippe porcine. Depuis plusieurs années, les fabricants de vaccins expérimentent l'utilisation de nanoparticules comme moyen de « doper la charge » vaccinale. Il s’avère à présent que des vaccins, dont l’usage est homologué en Allemagne et dans d'autres pays européens, contiennent des nanoparticules sous une forme qui attaquerait les cellules saines et

pourrait être mortelle.

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En 2007, des chercheurs de l'École Polytechnique Fédérale de Lausanne ont annoncé dans un article de la revue Nature Biotechnology la mise au point d’une « nanoparticule pouvant fournir des vaccins plus efficaces, avec moins d'effets secondaires et à une fraction du coût des technologies vaccinales actuelles. »

Il n'y a qu'un seul petit problème avec les vaccins contenant des nanoparticules, ils peuvent être mortels ou du moins provoquer de graves problème de santé irrémédiables..

L'article se poursuit en décrivant les effets de leur percée : « Faisant à  peine 25 nanomètres, ces particules sont si minuscules que, une fois injectées, elles circulent à travers la matrice de la membrane extracellulaire, directement vers les ganglions lymphatiques. En quelques minutes, elles atteignent une concentration des milliers de fois plus grande que dans la membrane. La réponse immunitaire peut alors être extrêmement forte et efficace. Il n'y a qu'un seul petit problème avec les vaccins contenant des nanoparticules, ils peuvent être mortels ou du moins provoquer de graves problème de santé irrémédiables.. 

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Conclusions :engagement de la CNMSE

On a ainsi favorisé le passage de la barrière humaine qui n’était franchie pour la grippe aviaire

F.Glémet Pharmacien Industriel

--Lancement d’études d’efficacité et de tolérance à grande échelle car cette pandémie est une ‘’grippette ‘’ mais avec la composante aviaire dur virus A il est fort probable d’une pandémie post-vaccinale à H5N1 par mutation du virus Aet là nous ne serons pas prêts à faire face à la pandémie aviaire qui sera meurtrière

-- prise en charge des effets indésirables par le pays injecteur et par l’Europe

--réserver la vaccination aux seules personnes à risques certainement pas à l’enfant de 6 mois à 2 ans ni la femme enceinte