2

2 2

2 3

Mr Sarkozy Nicolas

Président de la République Française

Objet : demande d’emploi au Ministère de la justice.

Monsieur le Président de la République Française,

Il y a quarante ans, Mme Hardy Gisèle, la femme qui m’a mis au monde, a écrit au chef de l’état pour une aide qu’elle na jamais eue.

Cette brave femme aurait écrit au Père Noël, c’eût été la même chose, et là, l’histoire se répéta, car on n’échappe pas à son destin.

M. Sarkozy, le 6 février 2009, à 16h05, je me suis présenté au commissariat de police à Montluçon (03), j’ai présenté ma carte d’invalidité pour déposer plainte contre Maître Pradillon Michel pour atteinte au nom de famille et, par là même, préjudice moral.

En effet cet avocat se permet de faire de l’humour avec mon nom de famille dans le cadre de mon divorce, ce dernier pense peut-être qu’un divorce est une partie de plaisir et que cela n’entraîne aucune douleur morale.

2 4

Monsieur le Président, si moi je me permets de faire de l’humour sur votre nom de famille, je serais inéluctablement condamné à une amende ainsi qu’à une peine de prison avec sursis.

Si je devais donner un nom à cela, j’appellerai cela de la discrimination contre un pauvre con de travailleur handicapé. L’agent de police qui m’a reçu s’est également permis de se foutre de ma gueule en me disant que l’humour de cet avocat était plutôt flatteur, mais qu’il le soit ou non, je ne permettrai à personne de faire de l’humour avec mon nom de famille car feu mon père ne l’aurait pas accepté.

D’autant plus que dans les rapports de conclusion de Maître Pradillon, je suis censé être diabétique et que je ne sais pas gérer les doses d’insuline que je suis amené à prendre. Autre bévue de cet avocat marron, ou pas tout à fait mûr, selon lui, j’ai reçu une lettre recommandée avec accusé de réception en date du 31 janvier 2007, qui a été retournée avec la mention « n’habite plus à l’adresse indiquée ». Or je n’ai pas déménagé et je suis handicapé mais pas abruti, je vérifie mon courrier tous les jours.

D’une part, Monsieur le Président, je voudrais vous rappeler l’abc du métier d’avocat et sa déontologie : « tout avocat s’engageant dans une affaire est obligé de la mener à son terme ». Il peut se décharger du dossier à deux conditions : s’il n’est pas payé ou bien s’il n’est pas d’accord avec son client et la façon qu’il a de le défendre. Au début de mon divorce, j’avais Maître Daffy Valérie qui est passée à l’ennemi en rejoignant le cabinet de Maître Pradillon Michel.

Un avocat peut-il abandonner l’affaire que vous lui aviez confiée ? La réponse est non, il peut accepter ou

2 5

refuser un dossier, mais s’il accepte, il doit en principe le mener à son terme. Toutefois, il peut se décharger de votre dossier si vous refusez de le payer ou s’il ne partage pas votre point de vue sur les moyens de vous défendre.

Seriez-vous assez aimable, M. Sarkozy, de me faire connaître l’adresse d’un bon commissariat de police où je pourrais, avec de la chance, porter plainte sans que je n’aie affaire à des passe-droits ou privilèges ?

M. Sarkozy, pensez-vous que je puisse prétendre à des indemnités de la part de la France ou faut-il que je passe par la Cour Européenne de Justice pour obtenir des dommages et intérêts ? Car je crois sincèrement que mes trois enfants et les handicapés de France et de Navarre valent bien tout l’or du monde et même pire.

Si je devais porter plainte contre notre pays, je le ferais pour les motifs et raisons suivantes : manquement au devoir, fautes professionnelles, vice de formes et de procédures pour pretium doloris, atteinte au nom de famille et préjudice, ainsi que le plus important discrimination d’une personne handicapée dans un commissariat de police ; en cause, un avocat avec qui je n’ai pas gardé les gauchistes, et justement en matière de politique, mes pensées et mes idées sont parfois gauches, autrement dit maladroites, pour conclure, je ne vote pas, je marche droit mais pour la France.

Pour finir, ma plainte contre Mme Quervel Angélique pour accusations mensongères et diffamations ainsi que son ami pour violation de domicile, également contre A. Debray pour gestes déplacés sur ma fille Eva.

2 6

J’aimerais aussi vous rappeler les droits des personnes handicapées qui sont très important puisqu’ils reconnaissent le droit à la personnalité, à la qualité de vie, à la vie sociale, à l’identité perdue de la victime lorsque l’image de soi est modifiée, déformée ou brisée.

La perte de la qualité de vie pour une personne handicapée est un droit essentiel que l’on ne peut que reconnaître et indemniser largement pour faire droit à la réparation intégrale de son préjudice.

L’article 1er de la loi du 6 fructidor (23 août) 1794, et l’article IV de la même loi ajoutent par ailleurs : qu’« il est expressément défendu à tous les fonctionnaires publics de désigner les citoyens autrement que par le nom de famille et les prénoms portés à la naissance ». Moi c’est Monsieur Lefèvre et non Maître Lefèvre car là, je me retrouve en porte-à-faux avec la loi pour usurpation d’identité, j’aime l’ordre, la loi, et surtout la vérité, quoi qu’il m’en coûte.

J’aimerais également vous rappeler l’abc du métier de psychologue.

La qualité première de tout bon psy est en premier lieu le sens de l’écoute et viennent ensuite et seulement la retranscription par écrit et en dernier le sens de l’analyse, j’ai envoyé un rapport d’expertise qui à vos diplômés du premier rang rapport établi par un expert psychiatre qui, lui au moins, sait comment je m’appelle et comment se nomment les membres de ma famille, il faudra dire à Mme Vidal Halina, psychologue, d’arrêter la vodka à 10 heures du matin et en particulier lorsque cette dernière a une expertise à faire.

2 7

Il fallait que cela tombe sur moi, normal, ma vie avec Mme Quervel Angélique a été à l’image de mon divorce, nulle et non avenue comme le rapport d’expertise remis au tribunal de Montluçon par Mme Vidal Halina.

Monsieur le Président, dans toute procédure judiciaire, quand il y a trop d’erreurs et c’est le cas, on prend les mêmes et on recommence, c’est d’ailleurs pour cela que j’ai pris la décision d’écrire à M. Alain Leroy car le diagnostic de l’expert le DR Lesturgeon est indéniablement ce que je suis, il a lu en moi comme dans un livre ouvert, j’ajouterais même pour plus de précision que j’ai des tendances cycloïdiques qui se caractérisent par le fait que je passe par des états d’excitation intense et d’abattement profond.

Connais-toi toi-même, disait Socrate, et je peux vous dire que j’ai la perversion de l’homme comme les femmes peuvent avoir le vice dans la peau, c’est pour vous dire, je préfère écrire, lire et m’instruire que de m’envoyer en l’air, la particularité de certains psychotiques est qu’ils n’aiment pas qu’on les touche et je ne me permettrais pas de toucher une femme quelle qu’elle soit sans sa permission, ai-je été clair ?

Je suis censé être narcissique, il faut l’être mais pas trop. D’après la mythologie de Narcisse et la contemplation de soi, en ce qui me concerne, je n’aime pas les photos et je ne m’admire pas le nombril ainsi que je ne prends pas plaisir à m’occuper de ma personne. Concernant le manipulateur que je suis censé être, je préfère manipuler un homme politique, qu’une femme, ai-je été clair, Monsieur le Président ?

2 8

Liberté, j’ai pris celle de vous écrire, égalité, je vous demande et vu que privilèges et passe-droits sont monnaie courante dans votre république, je me permets de vous proposer mes services, ci-joint un curriculum vitae.

Je fais de la politique sans vraiment en faire depuis l’âge de dix ans et à ma connaissance, je n’ai jamais vu une personne handicapée occuper une fonction de ministre). Je désire, et c’est une évidence, le poste de Ministre de la Justice, et non de l’Injustice, mis à part, le détournement que l’état fait des lois, qu’il ne juge pas bonnes d’appliquer à lui-même, du style la politesse d’un commissariat à un avocat.

Au passage, pour la gouverne de l’avocat de votre république, sachez que je suis porteur d’une maladie qui me vient des colonies Anglaises et que j’ai plus d’humour Anglais qu’un Anglais lui-même et je ne suis pas diabétique du tout. Cet avocat offense le nom de famille que m’a donné mon père et se fout du dossier qu’il défend en se permettant de faire de l’humour avec le nom de famille que j’ai donné à mes enfants. Moi c’est Monsieur Lefèvre et non Maître Lefèvre.

A tout seigneur, tout honneur. L’honneur c’est ma vérité, c’est tout ce que la France m’a laissé et comme l’écrivait Voltaire : « La plus grande consolation que l’on puisse avoir dans la vie, c’est dire ce que l’on pense ».

Alors voici, M. Sarkozy, la politique ne doit pas être réservée à une caste particulière, ni même à une élite droite, gauche. C’est pourquoi je revendique la gratuité des cartes de membres d’adhérents à un parti politique quel qu’il soit, cela permettra peut être à des citoyens diminués de s’investir dans une noble cause

2 9

comme celle des handicapés, ce qui diminuera peut-être le taux d’abstention en France, juste au passage, comme ça, en 2004, le taux d’abstention en France était de 57,2% aux européennes.

Actuellement, je travaille au C.R.P. de la Motte, et pour l’instant, il n’y a pas de directeur, il sera nommé au mois de Septembre 2009 (il est valide) si je pouvais l’évincer, car pour un centre d’handicapés, il faudrait un directeur handicapé.

Parce que ce n’est pas très beau ce qui s’y passe, serment d’Hypocrâte non respecté, j’en parle en connaissance de cause, je pourrais vous donner un nom mais je ne balance pas.

Monsieur le Président, faut-il que j’écrive aussi à Madame Dati, car à la justice de l’homme, je préfère celle d’une femme. Un petit coup de piston pour un enfant de la République, privilèges et compagnie, sinon j’ai pensé à créer le parti politique des handicapés : the dignity labour handicap party, on se donne rendez vous en 2012, d’ici là, j’aurai sûrement mes cinq cents voix, un peu d’humour.

Mais restons sérieux, vous allez faire quoi avec le boulet de la société que je suis ?

En ce qui me concerne, je préfère nettement travailler et demander un poste, une fonction de ministre ou autre ; que de gagner de l’argent d’une manière qui ne me convient pas trop, question de dignité.

Alors, Monsieur le Président, quelle est la réparation que vous allez choisir ?? ? Prenez vos responsabilités car, moi aussi, je suis pragmatique, trois enfants égalent trois comptes en banques à

2 10

remplir pour assurer leurs avenirs, à défaut de les emmener au Mac Do.

Plus de deux ans de vie perdue pour une décision judiciaire bidon, je me pose la question à savoir, si vos hommes et femmes de loi ne sont pas socialistes, pour être aussi incompétents, il ne peut en être autrement. Comme je suis carré dans les emmerdements, si vous pouviez me faire parvenir une attestation de recherche d’emploi pour Pôle Emploi…

Maintenant, Monsieur le Président, faites l’expérience de demander aux plus abrutis, ainsi qu’aux plus érudits de vos ministres de vous dire simplement le 2ème couplet de la Marseillaise, voire le 3ème. Le résultat est édifiant et honteux.

Nous sommes la seule nation à ne pas connaître notre hymne national. Posez la même question à un Anglais, ou autre, au sujet de son hymne, même sous la torture, il ne l’oubliera pas mais vous rira au nez.

Cela ne serait pas du domaine de l’utopie d’apprendre aux écoliers la Marseillaise, elle pourrait réguler l’immigration, celui qui ne connaît pas la Marseillaise ne peut prétendre à acquérir la nationalité française. J’ai fait cette expérience dans toutes les classes sociales de la population, du clochard à l’homme politique, et également là ou je travaille, une personne m’a répondu : Monsieur Moubine Aamer, que je me devais de citer, handicapé tout comme moi. Vous croyez sans doute que parce que nous sommes handicapés, nous sommes des abrutis, nous sommes déjà assez humiliés comme ça, vous trinquerez à la santé des handicapés de France et de Navarre, pour ma part, je vous restitue ma carte

2 11

d’invalidité, ma carte d’identité ainsi que mon livret de famille, là encore c’est une question de dignité.

Et pour terminer cette lettre, dont je pourrais vous faire la fin dans le plus pur style de Maître Pradillon, en deux mots « salut Nicolas », mais je ne mange pas de ce pain là, à tout seigneur, tout honneur.

Recevez, Monsieur le Président, l’assurance sincère de toute la considération des handicapés de France et de Navarre.

A mes enfants De ma patrie Vous êtes mon jour de gloire Vous, mes enfants Ma seule patrie

Particularités

Voici mon parcours en quelques mots : J’ai grandi au milieu de deux autres noms de

famille, deux Hardy ainsi que deux Caudroy, quand à moi je me suis toujours posé la question, à savoir, si je n’étais pas le seul membre de ma famille le plus proche, je fus placé sous juge des tutelles dès l’âge de seize ans, j’ai vite compris que mon nom de famille ne servait qu’à signer des documents pouvant débloquer des fonds (soutien de famille, et au passage Monsieur Sarkozy sous le régime socialiste, j’ai été condamné pour une faute d’ingérence qui ne m’est pas imputable, mais l’est à Madame Hardy). Déjà très jeune, j’ai eu vite fait de faire rimer avec maladie, mépris et les Caudroy avec droit, moi, je ne rime avec rien mais je suis là :

2 12

Marlon Brandon disait, je cite : « Si tu es le gardien de ton frère, au moins ne sois pas son bourreau », les Caudroy ont été des alliés et mes meilleurs souvenirs, c’est à eux que je les dois, cela résume sans plus de commentaire, je pense être clair. Encore une fois, quand on grandit comme j’ai eu la douloureuse et pénible expérience de le faire, ou n’a pas d’autre choix que de se connaître, et vite, et ce sur tous les plans. Alors, le diagnostic du Docteur Lesturgeon ne me surprend pas du tout, j’ai su de moi, dès l’âge de six ans, que je ne serais jamais quelqu’un de normal, alors, j’ai fait sans la normalité. Ceci dit, les personnes borderline comme moi sont capables de maîtriser leur flux émotionnel et ont en effet une remarquable capacité à se redresser, et sont également capables d’opérer de remarquables et rapides conduites de réinsertion dans les zones maximales de leurs capacités intellectuelles. Pour en finir sur ma maladie, le syndrome borderline est une psychose conflictuelle, qui est aussi considérée comme une psychose réversible, et là, j’inverse la tendance tout seul, simple question de volonté à laquelle se mêle la dignité, comme disait Andy Warhol, chaque être humain connait son quart d’heure de gloire, restons Français. Monsieur le Président, je préfère un jour de gloire pour un restant de vie dans la normalité à peu de chose près, j’insiste encore et toujours sur le rapport d’expertise établi par Mme Halina Vidal et je pense qu’à l’avenir toute expertise devrait être filmée et enregistrée, aucune contestation possible comme cela. Le jour où on pourra percer tous les mystères de l’inconscient, Madame Vidal sera la première à mettre la clé sous le paillasson et aller pointer à Pôle Emploi…

2 13

Maintenant, mon parcours judicaire : j’ai perdu la virginité de mon casier judicaire pour avoir dans la nuit du 4 au 5 octobre 1994, commis une voie de fait, une agression sur la personne de Madame Bobier Laurette pour les motifs que je vais vous narrer, une semaine avant cette agression que j’ai mémorisée, j’ai enregistré une conversation téléphonique avec cette personne et passez-moi l’expression, elle s’envoyait en l’air avec son fils tout en me parlant d’où l’agression dont elle fut victime ce fameux jour. Quinze ans après les faits, je tiens toujours ces deux cassettes à la disposition de la justice, mais pour la loi il y a prescription. Justice extrême et extrême injustice : devinez où je me place ? Dans l’histoire je perdis mon casier ainsi que toute chance d’intégrer la police, j’ai effectué un mois de prison, vingt-trois jours exactement avec les remises de peine, alors que j’étais primaire aucune condamnation jusqu’à ce jour, et comme disait Molière dans le misanthrope « j’ai pour moi la justice et je perds mon procès ? » La justice m’a roulé une fois à cause d’une garce, une garce mais pas deux, la loi sur les écoutes téléphoniques est arrivée trop tard pour moi. Cette loi ne vous fait pas penser à quelqu’un ? La France a toujours vingt-cinq ans de retard sur les Américains ainsi que sur les Anglo-saxons, la justice écoute aux portes de la beauté mais là, j’ai découvert qu’elle a été très laide pour moi, ensuite j’ai commis des violences conjugales, même si aucune raison n’est valable pour frapper une femme, je perdis le contrôle de ma personne en brutalisant Madame Quervel Angélique, mon ex-femme, car ces lapsus révélateurs, avec elle, je me suis appelé tour à tour, Sébastien et Dominique, et ce lors de nos relation intimes. Je l’ai

2 14

surprise une fois dans un plaisir solitaire et entendis encore un autre prénom que le mien. Elle m’écrit une lettre pour essayer d’expliquer ses frasques sexuelles et s’excuser misérablement, où elle me disait que je devais la haïr et que je devais regretter d’avoir croisé son chemin un jour. Ce que femme veut, Dieu le veut, les femmes parviennent toujours à leurs fins. La seule personne que je hais, c’est moi-même, je n’ai pas le temps pour haïr les gens. Elle en est arrivée à me faire regretter d’être un père de famille à peu de choses près, normal, elle m’accuse de viol et si elle avait pu ça aurait été de pédophilie. Les violeurs c’est moi qui les arrête et c’est dans sa famille qu’il faut chercher, car si moi j’ai violé cette femme comme elle le prétend, alors je l’ai violée trois fois de trop, je pense à son frère Monsieur Quervel Eric, quitte à violer autant choisir une garce et la première qui n’a subi (Madame Bobier Laurette) aucune ITT de plus de huit jours, plus de peur que de mal.

C’est pourquoi, Monsieur le Président, je vous repose la question : où puis-je porter plainte, dans votre pays, contre mon ex-femme pour accusations mensongères et diffamation, ainsi que contre Maître Pradillon, et contre Madame Vidal Halina, ainsi qu’un commissariat de police ???

Mais la liste de toutes mes conneries n’est pas finie, je suis coupable également d’avoir sauvé deux vies, Monsieur Bourkika Jean-Pierre ainsi que Monsieur Quervel Sébastien, je vous laisse un courrier car Madame Quervel m’a aidé à sauver son frère ; j’ai honte d’avoir arrêté un violeur Monsieur Hadjab Abdelkarim, qui à l’époque a été condamné à treize ans de réclusion, et je donnerais ma tête à couper que cette personne a récidivé, à l’époque

2 15

j’avais classé ce monsieur dans les esprits séparés (schizophrène), juste comme ça, renseignez-vous, l’instinct ne trompe pas. Je parierai, vu que je suis joueur, je jouerai bien ma vie pour une vision que j’avais eu de cette personne qui a sûrement récidivé dans la connerie, j’ai malheureusement mis deux pyromanes en fuite mais sans pouvoir les attraper, j’ai eu une lettre de remerciement pour avoir fait preuve de civisme, bravoure et dévouement de la part de l’office HLM de Montluçon, que je me suis empressé de mettre à la poubelle, cela ne mérite pas de gâcher du papier.

Quand les conneries ont leurs contraires, on peut appeler cela des bonnes actions, et des conneries dans genre là, j’en ai fait également à Berlin est, aux Etats Unis, la Nouvelle Orléans pour être exact, ainsi qu’en Angleterre, mais là bas, ce sont les policemans qui ont fait une bonne action pour moi, pas comme votre commissariat de police, j’ai conservé des photos de mes amis Anglais, de bons policemans eux au moins, mais ceci est mon jardin secret, cela reste à peu près potable pour un parcours de vie chaotique et surtout pour un handicapé.

En ce qui me concerne, j’ai retrouvé ce qui n’a pas de prix, la paix intérieure, et dans l’histoire la meilleure bonne action que j’ai pu faire est d’écrire au président pour une noble cause.

* * *

2 16

Le 15 Juin 2009

Mr Lefèvre Jean-Pierre 1 Rue des tours 03350 Cérilly 06 37 78 33 26

Madame Dati Rachida Ministère de la justice

Madame la Ministre de la justice

Je vous fais parvenir des photocopies d’une lettre que j’ai écrite à M. Sarkozy Nicolas, Président de la République Française, pour la simple raison qu’à la justice de l’homme je préfère celle d’une femme, et que je ne sais pas si le président tient en compte les colis qu’il peut recevoir.

Je souhaiterais attirer votre attention sur ma situation, de même sur ce que je vis actuellement, lorsque je me rends à l’association parentèle dans le cadre de mon divorce et en particulier sur ce que mes enfants sont amenés à dire de moi et je me demande bien qui influence mes enfants, leur mère leur beau père ou leur belle mère ?

Je dirais les trois, en espérant que cela n’est pas trop de répercussion contre eux car cela n’est pas le but.

Donc, j’apprends par un de mes enfants que je suis un voyou qui a fait six mois de prison selon les dires de leur maman ainsi que de leur beau-père (vingt-trois jours, vous vérifierez, j’explique tout au Président de la République).

2 17

D’autre part, je trouve intolérable pour un père de famille d’apprendre, encore et toujours de la bouche de son fils, que celui-ci a été hospitalisé pour ces amygdales et cela un an après l’opération qu’il a subie.

Si vous pouviez m’expliquer les droits d’un père de famille, si toutefois j’ai des droits sur leur mode de vie, leur éducation et leur santé, et tout ce qui peut faire de moi un père de famille à peu près digne d’en avoir un jour la garde mais le plus vite possible ?

J’estime que mes trois enfants sont sous l’influence de Madame Debray Micheline, tous trois se retrouvent au catéchisme et à la messe tous les dimanches. Je suis en droit de penser que mes trois enfants se trouvent endoctrinés par cette personne qui n’a, je vous le rappelle, aucun lien de parenté avec mes enfants, et qui agit comme s’ils étaient ses petits enfants.

Il faudrait rappeler à cette personne que toute forme de prosélytisme religieux est interdit par la loi en particulier la xénophobie, surtout que je sais de source sûre que Madame Quervel est non-croyante, étant moi-même agnostique.

J’aimerais vous rappeler un des nombreux articles sur la déclaration des droits de l’Homme et du citoyen : « Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ».

« Chacun est libre de développer avec conviction son opinion ou ses croyances, mais il ne peut les imposer à ceux qui ne veulent pas les partager.

La formule des républicains du début du XXe siècle reste vraie. La loi protège la foi aussi longtemps que la foi ne prétend pas dicter la loi.

J’estime et me réserve le droit de porter plainte contre Madame Quervel Angélique pour manquement

2 18

au devoir de mère de famille car je trouve qu’elle délaisse nos enfants et qu’elle délègue trop son rôle de mère à sa belle-mère Madame Debray Micheline qui, et j’en suis sûr, fait un transfert sur mes enfants car elle a du subir un choc, un manque certain et évident de ne pas avoir ses propres petits-enfants ce que je peux comprendre aisément.

D’ailleurs, comme j’aime la vérité, la première fois que j’ai serrée la main de cette personne, c’était au cours d’un anniversaire et j’ai vu beaucoup de bonté dans son regard.

Mais là, j’estime qu’elle porte atteinte à leur libre arbitre, le choix de croire ou non, sans qu’ils de fassent embrigader d’office. Et là, Madame Dati, je vous pose la question :

Qui a décidé que mes enfants iraient à la messe tous les dimanches ? Sûrement pas Madame Quervel (c’est pourtant elle qui l’amène ! Sinon, notez le prénom.)et certainement pas moi. Vous avez trouvé, ce n’est pas dur.

Un autre exemple, sorti droit de la bouche d’un de mes enfants, lors d’un des rares moments que votre justice m’accorde au sein de l’association « Parentèle », et au passage, il n’y a que des femmes qui y travaillent et certaines se permettent de vous lancer des piques, un homme régulerait un peu l’humeur et la méchanceté gratuite qu’ont certaines employées.

Pour en revenir à l’exemple, mon fils s’est vanté, tout sourire, d’avoir insulté sa maîtresse.

Pensez vous, Madame Dati, que je fus content d’apprendre une telle chose, le laisser-aller qu’ont Madame Quervel ainsi que sa belle famille, qui