RAPPORT D’ACTIVITÉS 2018

Rapport d’activités OPI 2018

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TABLE DES MATIÈRES

MESSAGE DU PRÉSIDENT

MESSAGE DU DIRECTEUR

MESSAGE DU CONSEILLER D’ÉTAT

OPI, LE MOTEUR DU SUCCÈS À L’ÈRE DU NUMÉRIQUE

LES ORGANISMES DE SOUTIEN AUX PMEplatinnLe rôle de l’OPI et son écosystèmeActivités d’accompagnement 2018 platinn & OPI en quelques chiffresAlp ICTGeneva Creativity Center (GCC)

GROUPES DE TRAVAIL COMMUNAUTAIRE (GTC)GTC - EmployabilitéGTC - Machine LearningGTC - Blockchain

COORDINATION DE PROJETSCampagne Industrie-GenèveTOSADrones TaxiEchosmileSmart CityHydrogène

PÔLE D’EXCELLENCECluster GAIN

PRESTATIONS DE L’OPIIntelligence économiqueData Science

ACTIVITÉS DE PROMOTIONPetits-déjeuners de l’OPISalon EPHJ-EPMT-SMTActes’IndustriesÉvénement FOROMPrix de l’économie genevoise et prix de l’innovation 2018Cocktail de fin d’année

DANS LA PRESSE

COMPTES 2018Bilan au 31 décembre 2018Compte d’exploitation 2018

LISTE DES AFFILIÉS AU 31 DÉCEMBRE 2018

L’ORGANE DE GESTIONConseil de fondation

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4

6

8

99

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20202223242526

2727

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MESSAGE DU PRÉSIDENT

Internet fête ses trente ans et depuis trente ans la transition digitale bouleverse le monde et impacte profondément l’industrie. Dans le monde industriel actuel, les outils numériques sont omniprésents et cette transformation requiert de bons échanges entre l’être humain et la machine. Or, dans un mar-ché toujours plus disruptif, l’agilité tient une place prépondérante dans l’avenir de nos industries.

L’aptitude à susciter le changement s’inscrit désormais dans l’ensemble de l’organisation de l’entreprise, au moment où s’invite, dans les processus, l’intelligence collective et la co-création. Une co-création qui s’effectue entre industriels du même secteur ou non, entre parte-naires, ou encore entre générations. En effet, en 2025, les millennials occuperont plus du 60% de la po-pulation active. D’où la nécessité de s’adapter à de nouveaux modes de travail et de valoriser la formation intergénérationnelle – permettantd’échanger expériences et savoirs technologiques.

A l’ère de l’industrie 4.0, la robotisation et l’intel-ligence artificielle offrent d’excellentes perspec-tives mais suscitent autant de craintes, surtout en termes de perte d’emplois. Si elles vont supprimer certaines activités, elle ne détruisent pas le tra-vail. Bien au contraire, ces nouvelles technologies vont permettre de créer de nouvelles opportuni-tés. Selon une étude, 60% des métiers exercés en 2030 n’existent pas encore. Un potentiel dont

vous pourrez profiter pleinement avec le soutien de l’équipe de l’OPI dont je remercie chaleureuse-ment l’engagement.

Ivan MeissnerDirecteur général de QUALIMATEST SA Président de l’OPI

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MESSAGE DU DIRECTEUR

«Cela semble toujours impossible, jusqu’à ce

qu’on le fasse.

» Nelson Mandela

« Esprit entrepreneurial » le mot d’ordre de 2018 !

À l’issue de ces 14 premiers mois passés à la tête de l’OPI, comment trouver un fil rouge qui résume pleinement nos activités ? Nous avons parlé d’évo-lution organisationnelle, d’industrie 4.0, de déve-loppement durable, de formation et d’employabili-té, mais le réel engagement de l’OPI cette année se situe au niveau d’un thème plus transversal : la transformation 4.0.

Cette transformation 4.0 a été au centre de nos projets d’innovation – projets qui continueront d’être développés, déployés et renforcés par l’OPI sur ces prochaines années. Tout d’abord, à travers le projet Echosmile, qui consiste à développer une solution de mobilité intelligente et durable ; le pro-jet de bus « TOSA », première mondiale pour un véhicule qui se recharge à l’arrêt et qui pourrait bien révolutionner les transports urbains. Nous avons d’ailleurs célébré, en marge du Salon de l’automobile de Genève début mars, les 500’000 premiers kilomètres de ce bus. Enfin, le projet de drones-taxis, qui vise à mettre en place des drones

destinés aux transports de personnes, continuera d’être développé en 2019 par l’équipe de l’OPI.

Durant cette année, nous avons également mis en place plusieurs groupes de travail commu-nautaire (GTC) ciblés en fonction des besoins de l’écosystème industriel genevois. Grâce à son format, l’OPI permet à un groupe d’industriels pro-fondément hétérogène d’explorer de nouvelles idées, de recevoir des outils, des procédures, ou encore des bonnes pratiques à intégrer à leur en-vironnement et tout cela de manière collaborative.

À l’heure de tirer un premier bilan de ces GTC, nous sommes fiers d’avoir fait avancer, depuis juillet 2018, les réflexions autour de « l’employa-bilité et les compétences du futur » dont une di-zaine d’entreprises genevoises collaborent. Un deuxième groupe a été lancé en novembre 2018 sur l’intelligence artificielle et l’apprentissage de machines (« machine learning ») au service du contrôle optique. Mais également la « blockchain » au service des PME, le BIM (Building Information Modeling) et la gestion des données d’exploita-tions.

Après une année 2018 marquée par les innova-tions technologiques telles que la connectivité liée à l’usage de l’intelligence artificielle, l’avènement des voitures autonomes et connectées, les nou-velles opportunités de la 5G, de la blockchain ou encore de la réalité virtuelle, l’OPI participe égale-ment à une campagne de communication desti-née aux jeunes et au grand public. Dans le cadre de cette campagne Industrie-Ge-nève, l’OPI met sur pied, en collaboration avec différents partenaires, un projet d’une ampleur peu commune. Six émissions thématiques de 12 minutes qui font découvrir le savoir-faire, la diver-sité des métiers et les talents des entreprises à la pointe de l’innovation à Genève.

La transformation c’est aussi un thème que nous avons choisi de mettre au centre de l’organisation interne de l’OPI, notamment en renforçant notre unité d’intelligence économique et gestions des données, sujet clé dans la maîtrise de l’informa-tion.

Et finalement, favoriser la transformation 4.0, c’est aussi se tourner constamment vers l’avenir, tout

en gardant une certaine continuité. L’OPI porte ces valeurs et l’année 2019 s’annonce déjà pas-sionnante !

Frédéric DreyerDirecteur OPI

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MESSAGE DU CONSEILLER D’ÉTAT

«Genève doit insuffler l’esprit 4.0 dans ses entreprises.

»Depuis de nombreuses années, la Suisse caracole en tête des classements mondiaux de l’innovation. Les entreprises helvétiques figurent même parmi les championnes internationales de l’investisse-ment dans la recherche, avec 22,6 milliards de francs injectés dans le développement de nou-veaux produits et services, rien qu’en 2017. Le canton de Genève, dont les autorités soutiennent activement le développement d’un grand nombre de start-ups et de projets innovants, est l’un des principaux architectes de ce succès. En effet, l’État genevois se bat au quotidien pour dynamiser son économie locale, afin qu’elle reste ouverte au monde et créatrice de valeur. Genève met par ail-leurs tout en œuvre pour faire fructifier son capital entrepreneurial, grâce à un solide dispositif allant du conseil à l’accompagnement, en passant par la promotion des activités qui s’y déploient.

La 4ème révolution industrielle concerne autant les multinationales que les petites et moyennes entre-prises. Y entrer de plain-pied, en s’emparant des nouveaux outils qu’elle recèle permet d’attirer les talents, d’être plus efficace, de réduire les coûts et d’améliorer le service clients. Malheureusement, la transition numérique est encore trop souvent crainte, au prétexte qu’elle engendre des boule-versements technologiques et humains, ancrés dans des processus hérités du passé et qui n’ont parfois pas été redéfinis depuis plusieurs décen-nies. Pourtant, maintenir sa compétitivité actuelle,

pour mieux renforcer celle de demain, exige d’in-suffler l’esprit 4.0 dans son entreprise. Ce qui im-plique, inévitablement, de faire face aux défis qui s’y rattachent, en répondant notamment aux ques-tions suivantes : Quelle technologie nous faut-il ? Comment l’introduire dans notre entreprise ? Par où commencer ? A quel prix ?, etc.

Prendre les bonnes décisions suppose tout d’abord de correctement se renseigner. C’est-à-dire d’identifier la technologie susceptible d’opti-miser son modèle d’affaires et de comprendre les changements qu’elle implique. Mais la démarche est vouée à l’échec si l’on fonce tête baissée. Il est primordial de respecter un certain nombre d’étapes incontournables, pour contrôler sa trans-formation numérique.

Aussi, les entreprises ne doivent pas s’imaginer qu’il suffit d’ajouter une stratégie numérique à leur stratégie actuelle pour sortir son épingle du jeu. La numérisation des industries doit au contraire être activée à la base, en tant que pilier de la trans-formation convoitée. La mise en place d’un élé-ment fondateur de cette nature nécessite beau-coup d’investissements financiers et autant de dépenses à caractère organisationnel complexe. À l’évidence, une telle mue ne peut pas s’accom-plir du jour au lendemain, sachant qu’elle exige par ailleurs l’engagement de l’ensemble des collabo-rateurs de l’entreprise, tous niveaux confondus,

lesquels doivent impérativement s’investir dans le processus afin de mieux en concrétiser la mise en œuvre.

La transformation numérique affecte la totalité de l’entreprise, en s’immisçant dans les moindres re-coins de son activité économique, jusqu’à bouscu-ler l’ensemble de ses actions. D’aucuns craignent ainsi que la numérisation ne s’accompagne d’une destruction nette d’emplois. Je suis de ceux qui pensent au contraire que la numérisation génére-ra de nouveaux besoins, engendrant ainsi de nou-veaux métiers. Ce qui nous amène à la notion de formation, notamment continue. Ou, plus exacte-ment, de l’importance accrue de ce qui aujourd’hui constitue un levier économique et social majeur. L’employabilité mérite désormais un suivi encore plus rigoureux, s’agissant de continuellement adapter le rythme et le contenu des formations, pour répondre aux enjeux des nouvelles technolo-gies et, ainsi, s’assurer de pouvoir relever les défis du monde du travail de demain. Il existe pour l’heure un décalage entre l’éner-gie déployée par les acteurs du monde industriel public ou privé, et les résultats mesurables. Pour preuve, sur le plan macroéconomique, le PIB in-dustriel et la création d’emplois dans le secteur secondaire commencent à peine à décoller, tan-dis qu’au niveau microéconomique, la vitesse de transformation des entreprises semble encore très inadaptée à l’accélération du temps.

Il tient à cœur à l’État d’inverser ces tendances, en s’appuyant derechef sur le rôle majeur que joue l’OPI pour encourager, guider et appuyer les en-treprises dans leur transition technologique. Ceci, à travers notamment des formats innovants en matière de collaboration, comme les groupes de travail communautaires (GTC), mis en place il y a tout juste une année et qui offrent la possibilité de réfléchir collectivement, pour ensuite agir en-semble, tout en mutualisant les coûts.

L’industrie contribue, de manière significative, à la prospérité de notre canton. Ce secteur représente 15% du PIB genevois et 60% des exportations, en valeur. Ses plus de 1’700 entreprises, qui as-surent quelques 25’000 emplois, forment déjà un puissant vivier de créativité. Genève a toutes les cartes en main pour transformer son tissu indus-triel existant, en véritable « atelier du futur », contri-buant ainsi à porter la Suisse sur les plus hautes marches du palmarès des pays les plus innovants au monde.

Pierre MaudetConseiller d’État chargé du département de l’économie (DDE)

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OPILe moteur du succès à l’ère du numérique

OPI, FAE et FONGIT, les trois organismes complémentaires de soutien aux entreprises ge-nevoises :

L’OPI offre un soutien aux PME grâce à :l’organisation de GTC (groupes de travail communautaire), ateliers de co-création ;la promotion (visibilité) des industries au travers d’actions de communication (relais d’actualités) et d’événements ;la mise en relation qualifiée (générateur d’opportunités) ;l’intelligence économique (veilles technolo-gique et concurrentielle) ;l’accompagnement stratégique pour l’inno-vation sous forme de coaching, consulta-tions ou mandats (platinn).

L’OPI est une fondation de droit privé créée en 1976 et soutenue par l’État de Genève.

L’OPI a pour but d’accompagner et de promouvoir les entreprises et les industriels genevois dans le virage de la transition numérique.

L’OPI soutient le développement des entre-prises, met en relation d’affaires, assure une veille technologique et économique et crée des liens entre l’industrie, les centres de recherche, les uni-versités et les hautes écoles spécialisées.

Depuis plus de 40 ans, près de 200 affiliés font confiance à l’OPI dans le développement d’affaires de leur transition numérique.

LES ORGANISMES DE SOUTIEN AUX PMEplatinn

Platinn soutient les start-up et les petites et moyennes entreprises (PME) dans leurs projets d’innovation d’affaires. Elle contribue ainsi au ren-forcement de leur capacité d’innovation et de leur compétitivité.

Les services sont fournis par un réseau de coaches accrédités. Si besoin, ils peuvent faire intervenir des partenaires spécialisés dans des domaines tels que la protection de la propriété in-tellectuelle, les finances, les questions techniques, juridiques et autres.

Pour que l’entreprise profite de manière durable des effets de ses projets, platinn aide à dévelop-per les ressources critiques des entreprises, à éta-blir des partenariats et des collaborations.

Le responsable de l’antenne et l’équipe de coaches indépendants platinn ont géré une quinzaine de projets, dont une bonne partie sont encore en cours.De par leur expérience en montage de projets et de consortium multi-entreprises, les collabo-rateurs accrédités ont participé dans le cadre de l’OPI à la conception et la mise en œuvre des groupes de travail communautaires.

www.platinn.ch

À l’heure de l’industrie 4.0, la start-up gene-voise Cogito Instruments (CI) déploie une

solution novatrice d’intelligence artificielle pour machines industrielles.

Parmi ces projets : 4 PME industrielles en phase de consolida-tion ou de renouvellement ;5 PME orientées Services et Digitalisation ;6 start-up dont une partie est hébergée à la Fongit et coachée par l’incubateur via platinn ;4 nouveaux coaches ont été accrédités pour renforcer l’équipe dans leurs missions.

« Nous sommes entrés en contact avec le coaching

platinn via l’OPI. Des premiers braintormings avec

Jean-Marc Hilfiker, nous avons continué à interfacer

avec Didier Mesnier puis Patrice Bendjouya. Nous

leur avons présenté notre projet et ils ont posé les

bonnes questions. Ils nous ont aidé à formaliser la

stratégie et le positionnement, à nous mettre en re-

lation avec les acteurs-clés, et à nous accompagner

sur les aspects financiers. Le coaching a été adapté

à notre situation, c’est ce côté sur-mesure qui est

très appréciable. »

Philippe Lambinet, CEO de Cogito et ex-dirigeant

chez ST Microelectronics

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OPISoutien des PME

Développement de

synergies entre indus-

tries & académie (R&D)

Geneva Creativity Center GCC (Unige / HES) *

Alp ICT *MicronarcCleantech AlpsBioAlps

CCIGFERUIGFTIDG DERIPartenaires de

campagne Indus-

trie-Genève

FAE **Cautionnement Romand

InnosuisseH2020Interreg

FONGIT **EclosionGenilemFusion

platinn *InnosuisseAlliance T-T

Promotion des nou-

velles technologies

FinancementCoaching

Soutien aux start-up

Partenaires R&D

suisses & européens

Soutien des intérêts

de l’industrie dans le

canton de Genève

* hébergés par l’OPI

** liés à l’OPI par un projet de loi

Le rôle de l’OPI et son écosystème Activités d’accompagnement 2018 platinn & OPI en quelques chiffres

Entreprises soutenues 2018 2017 2016

Tous types d’industries 48 64 52

Secteurs économiques 2018 2017 2016

Technologies de l’information 13 15 17

Industrie 12 17 14

Technologies propres 4 12 7

Autres* 19 20 14

* automobile, menuiserie, transports, commerce spécialisé, audiovisuel, habillement, biotech

Domaines d’intervention 2018 2017 2016

Stratégie et Marketing 11 17 14

Finance et investissement 2 11 10

Organisation et RH 5 14 8

Coopération 10 18 -

Multi-domaines** 20 4 6

** création d’entreprise, transmission, partenariats

Mises en relation qualifiées 2018 2017 2016

Tous types d’entreprises 55 58 53

Tailles d’entreprises 2018 2017 2016

Micro < 10 employés 29 14 39

Petite < 50 employés 15 40 8

Moyenne/Grande > 50 employés 4 10 5

48entreprises soutenues

55mises en relation qualifiées

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Une des actions phares d’Alp ICT est l’organisation d’événements « Connect » : un partage d’expé-riences entre pairs industriels sur une thématique numérique ciblée. Ces événements sont réservés aux acteurs du domaine industriel et sur invitation, afin de créer un réseau de proximité.

Au travers de ces échanges et mises en relation qualifiées, Alp ICT :

contribue à l’essor des acteurs économiques de la région ;facilite le développement de projets inter-entreprises.

Les PME sont équipées afin de tirer le meilleur parti de cette révolution digitale qui représente avant tout une formidable opportunité de crois-sance et d’évolution.

La plateforme sectorielle Alp ICT est une initia-tive des cantons de Berne, Fribourg, Vaud, Neu-châtel, Genève, Valais et Jura. Elle est également soutenue par le SECO au titre de la Nouvelle Po-litique Régionale (NPR).

Alp ICT

www.alpict.com

Alp ICT accélère la digitalisation de l’éco-nomie suisse et soutient les PME dans leur transformation avec des services sur-mesure : information, partage d’expérience, connexion et accompagnement. Active tant sur le plan régional, national, qu’international, la plateforme sensibilise les entreprises aux opportunités offertes par l’ère numérique.

Son objectif est d‘agir comme un agent de liaison entre les divers acteurs de l’innovation numérique (entreprises, R&D, acteurs institutionnels et finan-ciers) afin de stimuler le développement écono-mique de la Suisse occidentale et de renforcer sa position prédominante en termes d’innovation sur l’échiquier mondial.

« Je voulais encore remercier Alp ICT pour votre

article concernant notre initiative. Cela nous a bien

aidé. Le Wagon est bien sur les rails maintenant

avec les premiers cours qui ont commencé il y a une

semaine déjà. »

Thibault Jaime, Driver Le Wagon Lausanne – inter-

viewé pour la création d’un article promotionnel

« La session m’a convaincu et m’a permis de faire

des contacts tout en découvrant des situations et

intégrations en entreprises particulièrement intéres-

santes. De plus l’organisation de ce premier ren-

dez-vous était très bonne et fortement appréciée. »

Michel Y. Jeanneret, Directeur des Opérations à

Schaublin – participant à un Industry Connect

TECH NATION

Industry Connect chez Mikron, à Boudry, sur les données de production

2018

Workshop IoT lors de FORWARD, Forum de l’Innovation pour les PME – 19 avril – Lausanne Black Alps, Cybersécurité pour PME – 29 mai – Yverdon-les-BainsTourism Connect au World VR Forum – 8 juin – Crans-MontanaMeet The Makers #blockchain – 25 juin – Genève Industry Connect #data – 16 novembre – Boudry

« L’événement ‘Tourism Connect’ était une belle

opportunité de rencontres professionnelles. L’évé-

nement s’est déroulé à merveille, notre attraction a

suscité l’intérêt des visiteurs comme des profession-

nels du tourisme. Je dois dire que c’était l’événe-

ment le plus agréable auquel j’ai participé. Merci

encore d’avoir pensé à nous et de vous être montrés

si professionnels et agréables. »

Barnabé Noël, Swisspeak Experience – intervenant

Tourism Connect

Reportage vidéo de l’entreprise IEM avec

l’interview de son CEO

Animation de la table ronde par Alp ICT lors du BIMO Forum à Delémont

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En 2018, le GCC a organisé, seul ou en partena-riat, 6 événements thématiques à l’attention des acteurs de la recherche et de l’industrie gene-voise, ainsi que 3 ateliers dans le cadre de mani-festations organisées par des tiers.

5 rencontres entre professeurs HES et UNIGE provoquées par des événements GCC ;16 nouveaux projets ont été initiés, facili-tés ou accompagnés par le GCC dans des domaines tels que la robotique, l’IoT, l’intel-ligence artificielle, les technologies immer-sives, la simulation numérique, le supply chain, etc… ;4 projets ont pu bénéficier de son subside d’aide au démarrage de projets innovants.

Geneva Creativity Center (GCC)

www.creativitycenter.ch

Le Geneva Creativity Center (GCC) est un espace de collaboration, de stimulation et d’émergence d’idées cofondé par l’Université de Genève, la HES-SO Genève, l’Office de Promotion des In-dustries et des Technologies (OPI) et l’Union In-dustrielle Genevoise, en vue de créer des ponts entre les mondes académique et industriel.

À cet effet, le GCC organise régulièrement des rencontres – TechLunches, OpenLabs, ateliers créatifs ou événements ponctuels – mettant en avant les outils de financement de projets d’inno-vation entre instituts de recherche et entreprises.

Au fil des années, son champ d’activités a dépas-sé les domaines de la physique et de l’ingénierie pour comprendre aujourd’hui l’économie, la ges-tion, l’environnement, l’agronomie, l’architecture et le design.

2018

Carrefour des Métiers et de la Formation, dans le cadre des Assises européennes de la transition énergétique– 1er février Comment Financer mes Projets de Recherche et d’Innovation ? – 26 févrierJournée Toitures Végétalisées, événement organisé avec HEPIA et la HES-SO, en partenariat avec Plante&Cité Suisse – 17 mai Bâtiments Multifonctionnels, TechLunch GCC organisé avec HEPIA, en partenariat avec la FTI – 26 juinSprint for Self-Reliance, événement organisé par le Centre de Commerce International (CCI), en collaboration avec le GCC – 20 septembreModélisation Informatique du Paysage (MIP), OpenLab GCC organisé avec HEPIA – 27 septembreGE-EN-VIE, rencontre tripartite (État de Genève - HES-SO//Genève - Université de Genève) organisée avec l’État de Genève, l’Université de Genève et la HES-SO//Genève – 6 novembreJeu de Rôle : Entrepreneur en Mission (GEW 2018), atelier créatif dans le cadre de la Semaine de l’entrepreneuriat – 15 novembre

« Par l’intermédiaire du GCC, nous avons eu la

possibilité d’être mis en relation avec l’HEPIA pour

initier des actions de R&D et pour intégrer différents

dispositifs d’aide à la recherche. L’accompagnement

du GCC a donc été particulièrement précieux pour

notre structure. »

Mathieu Pillet, président de EDAPHOS

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GROUPES DE TRAVAIL COMMUNAUTAIRE (GTC)

Les groupes de travail communautaire (GTC) ont été initiés en avril 2018 dans le but de favoriser l’échange de besoins et d’idées entre industries, et de ce fait réduire les coûts liés à

l’implémentation des mesures au sein de leur entreprise.

Les GTC sont des outils d’intelligence collective et permettent à un groupe de mandataires (au minimum deux entreprises) de constituer un groupe de réflexion et d’actions sur une problé-

matique particulière.

Les GTC permettent d’intégrer des instituts de recherche (UNIGE, HES-SO, CSEM, EPFL), des experts reconnus et des

entreprises partageant les mêmes préoccupations.

Les échanges entre les différentes parties prenantes per-mettent d’esquisser et de mettre en œuvre des solutions perti-

nentes.

GTC - Employabilité

Ce groupe est d’accord de mettre en commun, de partager et de faire bénéficier les autres membres du groupe des pratiques en matière de développement de l’employabilité, dans le res-pect et les limites imposées par la confidentialité et le secret d’affaire.

Le rôle de l’OPI a été d’analyser les besoins, de trouver les fournisseurs de solutions et d’aider au montage de projets collaboratifs. Ce travail se poursuit en 2019 avec une dizaine d’industries impliquées.

Un groupe composé d’entreprises volontaires a été constitué pour accompagner l’employabilité de leurs collaborateurs dans le cadre des trans-formations de compétences requises pour la transition vers l’industrie 4.0.

Ce groupe se donne pour objectifs de se concen-trer à la fois sur :

les différents types de compétences gé-nériques (savoir, savoir-faire, savoir-être et le faire-savoir), nécessaires à tous sans négliger celles spécifiques aux besoins de chaque entreprise participante ;les dimensions cognitives, émotionnelles et communicationnelles ;les aspects motivationnels et humains né-cessaires au développement des compé-tences.

« Rares sont les organismes de soutien tel que l’OPI

qui offrent un aussi large réseau qu’on a l’occasion

de rencontrer dans un cadre plus informel. »

Anne-Pascale Marchand, Sous-directrice et respon-

sable du département surfaces industrielles en Suisse

romande

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GTC - Machine Learning

L’objectif du GTC Machine Learning est d’in-tégrer les méthodes d’apprentissage des ma-chines. En effet, il s’agit d’une activité répétitive pour laquelle la mécanisation / digitalisation est envisageable en général.

La mission du GTC Machine Learning se traduit en 2 axes :

Identifier et concevoir une méthode de contrôle automatique esthétique et dimen-sionnel valable pour des petits lots de pièces.Définir les systèmes d’éclairage et de cap-ture d’images nécessaires pour le contrôle automatique selon les différents standards de qualité industriels dans le secteur horlo-ger notamment.

Le point de départ a été un workshop qui a réuni des industriels (sous-traitants horlogers, marques horlogères, électroniques et microtechniques aé-ronautiques) et sept fournisseurs de solutions du marché romand, avec trois objectifs :

connaître les solutions pratiques pour le contrôle visuel automatique de défauts avec une estimation du prix ;suivre les nouveaux développements et l’ave-nir immédiat du secteur ;monter des projets autour d’une probléma-tique commune selon le modèle d’un groupe de travail communautaire, alliant fournisseurs technologiques, PME clients, coaches et fi-nancement externe.

Suite au workshop, un formulaire de collecte de besoins nous a permis de proposer deux projets, dont l’accueil a été chaleureux :

Projet A : contrôle de petits lots de pièces avec un coût accessible (spécifique PME)Projet B : éclairage et acquisition d’images pour le contrôle esthétique en horlogerie (spé-cifique au secteur horloger)

Ces projets démarreront dans une optique d’intel-ligence collective en 2019.

Les deux projets nous intéressent pour différentes

raisons :

• Le premier projet par rapport au coût réduit sur un

contrôle à 100%.

• Le deuxième projet est encore plus intéressant,

car la bonne définition des jeux d’éclairages utilisés

pour le contrôle esthétique et les différentes acqui-

sitions d’images feront de cette technique un futur

standard de contrôle esthétique en Horlogerie.

Cyrille Brachet, Référent qualité chez

Microedge, fabricant de composants horlogers

GTC - Blockchain

Fin 2018, l’OPI a lancé son troisième GTC consa-cré à la Blockchain. Une dizaine d’entreprises ont rejoint ce GTC.

L’objectif de ce GTC Blockchain est de permettre aux entreprises genevoises d’acquérir une meil-leure compréhension du système blockchain et de ses enjeux sur le long terme. Ce GTC vise une mise en application concrète du système blockchain imaginé et implémenté en intelligence collective au sein des entreprises.

Ce GTC est donné en collaboration avec des ex-perts genevois du système blockchain. Il permet aux industriels et professionnels :

d’apprendre des compétences pertinentes ;de profiter d’un accompagnement personna-lisé et un suivi constant via des outils collabo-ratifs à toutes les étapes de l’apprentissage.

Un premier workshop a été organisé en décembre 2018 entre les acteurs industriels du secteur aé-ronautique genevois. Une introduction au système blockchain et une analyse des besoins des entre-prises genevoises ont été réalisées. Une démons-tration de faisabilité va être faite durant l’été 2019.

Les premiers résultats d’implémentation de la blockchain au sein des entreprises genevoises sont attendus fin 2019.

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Campagne Industrie-Genève

L’OPI est l’un des animateurs et porteur de la cam-pagne Industrie-Genève avec l’Union Industrielle Genevoise (UIG), la Chambre de commerce, d’in-dustrie et des services de Genève (CCIG), la Fon-dation pour les terrains industriels (FTI) et la direc-tion générale du développement économique, de la recherche et de l’innovation (DG DERI).

Cette campagne a pour but de faire découvrir aux jeunes et au grand public les métiers de l’industrie à Genève, mais aussi les filières de formation, les innovations et les pôles d’excellence.

Cette campagne a débuté en août 2017 et se concrétisera en février 2019 par une émission télé sur Léman Bleu. « #Le Monde de Demain » amène le public au cœur des sociétés industrielles et technologiques, pour découvrir le savoir-faire, la diversité des métiers et les talents des entreprises à la pointe du secteur et leaders dans leur do-maine.

En plus de fédérer les acteurs industriels gene-vois, la campagne promeut les entreprises ge-nevoises grandes ou petites au rayonnement international important. Cette campagne permet de faire connaitre les innovations et des projets industriels au grand public, et sont dévoilés d’une façon pédagogique et accessible à tout le monde.

valeur des exportations de l’in-dustrie genevoise

héritage d’entreprises historiques et du dynamisme de sociétés tournées vers les technologies d’avenir et la recherche

60%

la Suisse est en tête des classe-ments internationaux récompensant l’innovation

fort développement des connaissances technologiques et scientifiques du futur

N° 1

COORDINATION DE PROJETS

« La place de l’industrie au sein du tissu écono-

mique genevois est fondamentale. Tournée vers

l’international, elle constitue un véritable condensé

d’innovation, de savoir-faire et de talents. Lorsque

l’industrie parle d’une seule voix elle se renforce ;

c’est le cas grâce à la plateforme industrie-ge-

neve.ch où elle s’enrichit avec une collaboration

conjointe des principaux acteurs que sont l’UIG, la

CCIG, l’OPI et la FTI. »

Nicolas Aune, Directeur Industrie et Innovation

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TOSA

La technologie de recharge flash TOSA est en service à Genève depuis plus d’un an. Dévelop-pés grâce à un partenariat d’intelligence collective réunissant l’OPI, les TPG, ABB et les SIG, les bus électriques équipés de cette solution ont parcou-ru un record de 500’000 kilomètres, transportant des millions de passagers et réduisant les émis-sions carbone d’environ 1’000 tonnes.

TOSA s’encre autour des concepts de la mobilité de demain, du développement durable, des nou-velles technologies implémentées de manière ité-rative en grandeur nature et est centré sur l’hu-main et sur les usagers.

TOSA est totalement encré dans l’air du 4.0 : celle de la révolution à la fois numérique, technologique mais surtout humaine.

Avec TOSA, moins de bus électriques sont néces-saires, et ils peuvent être plus facilement redé-ployés sur d’autres lignes. « C’est passionnant de voir à quoi la mobilité

durable de demain peut ressembler. Cela l’est

davantage en sachant que Genève est pionnière en

la matière. Imaginé et implémenté en intelligence

collective avec nos partenaires, nous avons dévelop-

pé une technologie unique. »

Frédéric Dreyer, Directeur de l’OPI

Drones Taxi

Dans le domaine des drones, la Suisse, et particu-lièrement la région lémanique, est l’un des centres les plus avancés au niveau mondial. Cette indus-trie compte plus d’une centaine d’entreprises et déjà 3’000 emplois. De plus, l’Office Fédéral de l’Aviation Civile et le contrôleur aérien Skyguide font parties des pionniers notamment grâce à la mise en place du service U-Space, une première en Europe. Ces deux entités font partie intégrante de l’initiative genevoise.

Grâce à l’interaction étroite avec la Commis-sion Européenne, l’OPI fait bénéficier le Canton de Genève d’une place dans un projet européen futuriste et de grande envergure : le transport de personnes par drone. Un manifeste d’intention a été signé le 31 mai 2018.

Sous le pilotage du département des In-frastructures (DI) et du département de l’Écono-mie (DDE), l’OPI a la mission d’inventorier toutes les entreprises et les acteurs capables d’offrir des technologies, des compétences ou des services dans les domaines des drones : smart city, télé-communications, cartographies, implication des citoyens, …

Plus d’une centaine d’entreprises ont répondu po-sitivement à ce projet d’envergure dans le but d’y intégrer leur technologie respective.

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Echosmile

Echosmile est un projet transfrontalier dont la mis-sion est de développer des solutions de mobilité intelligente et durable pour les usagers régionaux.

Ce projet « Interreg » a deux objectifs :À moyen terme : déployer une offre inno-vante de mobilité entre les sites d’Archamps Technopole et la zone industrielle de Plan-les-Ouates.À long terme : répliquer les déploiements réalisés sur un ensemble de sites du Grand Genève … et ailleurs.

Devenir un laboratoire de la ville pour la mobilité de demain

Ce projet est en phase de développement de concepts innovants en matière de mobilité créa-trice de valeur, ainsi qu’en parallèle la concrétisa-tion de design expérimentaux pour l’utilisation de navettes autonomes qui seront testées en gran-deur nature en 2019.

Smart City

La digitalisation touche de plus en plus d’entre-prises et ouvre de nouveaux horizons notamment dans les business models, les produits et services ainsi que dans les relations avec les clients.

Le Smart City permet, entre autres, l’amélio-ration de l’efficience énergétique, l’optimisation des processus de fabrication ou la réduction des coûts de production. Il permet également l’avène-ment et l’intégration des véhicules électriques ou des énergies renouvelables.

Le réseau international tissé par l’OPI permet d’avoir une veille très précise des tendances pour méticuleusement aiguiller les entreprises gene-

voises sur les secteurs porteurs ainsi que dans le domaine de la protection des données.L’OPI a rapproché les entités publiques comme les villes ou le Canton avec le tissu industriel ge-nevois. Cela permet d’identifier les besoins et de trouver les entreprises qui peuvent y répondre tant avec des projets de collaboration ou par la créa-tion de nouveau business models.

Plusieurs projets ont été initiés et implémen-tés notamment dans les parkings, la mesure du bruit, l’amélioration de la consommation d’élec-tricité, la recharge de voitures électriques ou une meilleure utilisation de l’eau.

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Hydrogène

Le remplacement des véhicules thermiques par des voitures électriques est de plus en plus intense.

Pour les solutions qui nécessitent de plus grandes capacités, comme des camions, l’hydro-gène offre d’excellents résultats tant du côté en-vironnemental que de la distance parcourue avec un seul plein.Un nombre croissant de constructeurs de camions utilitaires offrent leurs services. Hyundai a choisi la Suisse comme projet pilote au niveau européen.

Les différents acteurs cantonaux, autant du côté de l’administration que de la technologie et des entreprises, qui bénéficieront de cette nouvelle source d’énergie sont fédérés, grâce au rôle de

l’OPI, par ses contacts transversaux et sa mission d’innovation.

L’OPI a pris langue avec les entreprises qui offrent des solutions afin de produire et de livrer l’hydro-gène dans le canton. De par ses contacts avec la Commission Européenne, elle suit les différents projets qui pourraient être pertinent pour le Can-ton et son tissu industriel.

Sous l’égide de l’Office Cantonal de l’Énergie (OCEN), le Canton de Genève travaille sur la mo-bilité à hydrogène et ambitionne d’offrir cette nou-velle énergie aux entreprises genevoises.

PÔLE D’EXCELLENCECluster GAIN

L’association a pour but de favoriser les synergies entre les différentes sociétés genevoises du sec-teur aéronautique. Le monde de l’aéronautique genevois franchit une nouvelle étape. Un an après la création du pôle d’excellence, ses membres fondateurs Jean Gallay, Kugler Bimétal, Mercury Mission Systems International et Niklaus intensifient leur attracti-vité en se constituant en association, dénommée GAIN – Geneva Aero Industry Network.

La mission de ce pôle d’excellence est de renforcer la compétitivité des sociétés dans ce domaine et ainsi, optimiser les solutions offertes à leurs clients.

L’alliance officialisée entre ces sociétés permet de développer le partage d’informations, les réseaux et les infrastructures ainsi que de tirer profit de certains retours d’expériences.

En 2018, la constitution formelle de l’association a été établie : statuts, comité et logo.Des thèmes essentiels ont été abordés dans un contexte d’analyse des besoins :

traçabilité et certification des pièces et com-posants des fournisseurs et sous-traitants ;liens avec GRPM et Armasuisse ;participation à des salons ;présentations de sociétés potentiellement in-téressées à participer au cluster.

Un groupe de travail communautaire portant sur la blockchain dans l’aéronautique a été initié et se poursuivra en 2019.

« Les actions du GAIN se concrétisent et s’am-

plifient, ce qui renforce définitivement le position-

nement de Genève dans l’industrie aéronautique

mondiale. »

Pierre Maudet, Conseiller d’Etat

GAIN a été créé sous son impulsion.

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PRESTATIONS DE L’OPIIntelligence économique

L’OPI a mis en place depuis 2017, une cellule d’in-telligence économique.

Dans ce cadre, l’OPI propose des veilles concurrentielle, technologique et industrielle ac-cessibles aux PME genevoises. Mais également des analyses décisionnelles, des cartographies in-dustrielles, des SWOT et des rapports spécifiques en fonction de la demande. Enfin, l’OPI dispose de solutions sur-mesure via des conseils et des mises en relation qualifiées.

Les activités d’intelligence économique effec-tuées par l’OPI ont pour objectifs :

de détecter les menaces et les opportunités pour les entreprises ;d’aider les entreprises à prendre des déci-sions appropriées ;d’assurer une veille technologique, juridique, économique et des marchés ;de mettre en relation les industriels, les centres de recherche, les universités et les hautes écoles spécialisées.

Fin 2018, une étude a été réalisée auprès de plus de 300 entreprises et industriels genevois. Les ré-sultats de cette étude basée sur les besoins des industriels ont abouti à un panel de prestations. Des outils de veille ont été mis en place et testés durant l’année 2018 par l’équipe technique d’in-

telligence économique.

Plus de 80 veilles sectorielles ont été réa-lisées durant l’année 2018 et ont été adressées à l’ensemble des partenaires économiques gene-vois.

Enfin, des études de préfaisabilités ont été réali-sées sur demande d’entreprises genevoises. Des analyses de la chaîne de valeur, des veilles tech-nologiques, des estimations de la taille du marché, des analyses de risque et des accompagnements personnalisés ont été mis en œuvre afin de sa-tisfaire les demandes des entreprises genevoises.

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Data Science

Chaque jour, l’humanité produit près de 2,5 tril-lions d’octets de données. À tel point que 90% des données dans le monde ont été créées au cours des deux dernières années seulement. Ces données sont au cœur de l’activité ou des usages de chacun et doivent nous aider à prendre des décisions, à concevoir et à fournir les bons services aux consommateurs ou usa-gers.*

Rapprocher la science de données aux so-ciétés genevoises : qu’elles puissent s’approprier des nouvelles méthodes de description, prédiction et prescription afin d’ajouter de la valeur à leurs activités.

Les objectifs sont les suivants :instaurer une culture de stockage, classifica-tion et valorisation de données ;permettre l’extraction de données publiques de sources externes pertinentes pour les ac-tivités de la société ;

permettre les études descriptives de Bu-siness Intelligence ;permettre les études prédictives et prescrip-tives de Machine Learning.

Tout d’abord, un catalogue de bonnes pratiques et de sociétés de conseil est en train de se construire. De plus, un catalogue interne de pres-tations de l’unité Data Science est en développe-ment, incluant : le stockage, l’extraction, l’analyse et la visualisation de données, ainsi que la prédic-tion avec du machine learning.

Conseil en analyse de données pour une société industrielle concernant des séries de données temporelles provenant de cap-teurs : amélioration des performances.Extraction de données publiques pour les ac-tivités d’intelligence économique, permettant d’établir une cartographie des sociétés pour chaque secteur d’activité et des marchés.

* https://medium.com/reputation-squad/la-science-des-donn%C3%A9es-au-service-de-lentreprise-e4358c93d4df

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ACTIVITÉS DE PROMOTIONPetits-déjeuners de l’OPI

Événements organisés par l’OPI en 2018

L’OPI organise depuis toujours des visites d’en-treprises appelés «Petit-déjeuner OPI». Ils rem-portent un vif succès et cela grâce aux entreprises qui ouvrent chaleureusement leurs portes.

Durant l’année 2018, deux entreprises membres ont accueilli plus de trente participants dans le but de faire découvrir leurs activités et savoir-faire :

Fasteris nous a fait découvrir les secrets de l’ADN. Comment déchiffrer le livre de la Vie afin

de mieux comprendre les maladies, l’évolution, ou réaliser un diagnostic médical. Ces labora-

toires sont équipés d’instruments de séquençage d’ADN à très haut débit (NGS), basés sur une technologie inventée à Genève par les fonda-

teurs.

Agenhor perpétue la longue tradition de qualité et de créativité des horlogers, alliant technologie moderne et héritage des anciens. Spécialisée dans la conception de mécaniques et de mou-vements horlogers complexes, la société met sa créativité à la disposition des marques horlogères prestigieuses.

Agenhor

Fasteris

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Salon EPHJ-EPMT-SMT

La 17ème édition du salon EPHJ-EPMT-SMT, qui s’est tenue du 12 au 15 juin à Palexpo Genève, a accompagné le développement et le savoir-faire de l’industrie de la haute précision, tant horlogère que micro-technologique ou médicale.

Il s’agit du plus important salon professionnel de Suisse, avec :

850 exposants20’000 visiteurs

L’État de Genève, avec la coordination de l’OPI et en collaboration avec les principaux acteurs du soutien à l’innovation et au développement des entreprises genevoises, a organisé pour la 7ème

année consécutive un pavillon de 200 m2 où ont été exposées les innovations des écoles et des laboratoires de recherche.

Afin de donner davantage de visibilité à nos entreprises-membres, l’OPI a réalisé pour la deuxième année consécutive une série de vidéos en dévoilant le savoir-faire et les produits des entreprises présentes au salon EPHJ. Des conférences ont été organisées sur les thématiques telles que :

l’entreprise ouverte : le partage de res-sources au sein des écosystèmes indus-triels, comment s’enrichir avec ses don-nées ? le lean : comment devenir agile et flexible dans un environnement en perpétuel mou-vement ? une table-ronde : l’industrie 4.0 est-elle une chance ou un danger pour les PME ?

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Actes’Industries

L’innovation au rendez-vous !

Environ 120 personnes étaient présentes à l’évé-nement Actes’Industries, le rendez-vous incon-tournable du secteur industriel genevois organisé par l’OPI, la FTI, la CCIG et l’UIG, qui cette année a mis en lumière le thème de l’innovation à la Haute École de Gestion de Genève (HEG) le 17 avril.

Les participants ont pu échanger sur trois théma-tiques principales. Ces réflexions, issues d’ateliers menés par des entrepreneurs et représentants du monde économique et académique, ont fait l’objet d’un compte-rendu.

L’innovation de ruptureLa disparition graduelle de la notion de propriété a été soulevée dans cet atelier. Cette disparition s’annonce comme une nouvelle tendance dans le cadre de l’innovation de rupture. Exemplifiée par Uber et Airbnb, qui bouleversent le marché en créant un environnement efficace sans être pro-priétaires des biens, ces nouveautés surpassent les solutions existantes et se diffusent à la vitesse de l’éclair en intégrant la participation des usagers.

Une activité basée sur la méthode de « concept et connaissances » a été proposée dans cet ate-lier, dans le but de mettre en œuvre une solution innovatrice à un concept donné. L’une des conclu-sions : pour innover il n’est pas nécessaire de chercher d’abord des résultats et des solutions, il faut surtout savoir se poser des questions, puiser les éléments de base et avoir une attitude appre-nante. Il faut détruire des idées reçues pour ainsi permettre de reconstruire un nouveau modèle.

Le soutien à l’innovation Dans cet atelier les participants se sont intéressés à faire des propositions aux organismes de sou-tien aux entreprises, soit :

avoir un seul vecteur crédible pour fédérer toutes les informations des organismes de soutien, et éviter ainsi la perte d’informations importantes à cause de l’excès et la disper-sion des informations ; promouvoir les synergies, en stimulant la co-création.

L’innovation de proximité ou comment favoriser les collaborations interentre-prisesL’innovation ne doit pas seulement se produire sur le plan technologique, mais dans la durabilité, à travers de bonnes pratiques auprès des collabora-teurs, des partenaires, sur les modèles d’affaire, la gouvernance et le lien avec la collectivité :

conditions qui permettent d’innover : la volon-té de l’entreprise, celle de prendre du recul ;gouvernance : pour passer à l’action ;un lieu pour favoriser la gouvernance de proximité : création d’une plateforme ou coopérative pour faciliter les collaborations interentreprises. Le but est de promouvoir la cristallisation d’alliances entre sociétés voisines pour mutualiser les échanges, et le financement pourrait venir de crowdfunding par exemple ;transformation des zones industrielles qui ne

sont pas très attractives aujourd’hui : elles doivent changer d’identité et se transformer en éco parcs, des quartiers qui valorisent l’image et l’utilisation de ces espaces. La tendance est de recréer ces lieux, pour qu’ils deviennent plus attractifs et favorisent les échanges entre les acteurs.

« Attitude, aptitude et altitude. Ce sont les trois

éléments qui me semblent clés aujourd’hui pour

l’innovation et qui résument cette journée. Il faut

d’abord changer d’attitude, en gardant les yeux ou-

verts pour être sensible à la nouveauté. Ensuite avoir

l’aptitude, développer des compétences nécessaires

pour innover. En réalité, les grandes entreprises ont

de la peine de trouver sur le marché du travail des

professionnels qui aient la formation et la capacité

de produire des réflexions sur l’innovation. Et enfin

prendre de l’altitude, savoir trouver la bonne échelle,

prendre un peu de recul et donner du sens à l’inno-

vation. »

Pierre Maudet, Conseiller d’État

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Événement FOROM

« L’intelligence économique, un outil pré-cieux pour les industries manufacturières et de services. »

Le 30 octobre 2018, FOROM et l’OPI ont accueilli près de 150 personnes à la Haute École de ges-tion de Genève (HEG Battelle). Une conférence/table-ronde a été organisée pour débattre de ce thème.

La veille et l’intelligence économique sont deve-nues stratégiques pour la prise de décision dans les entreprises, particulièrement pour l’industrie. Comprendre l’impact des évolutions technolo-giques, suivre de près les tendances du secteur propre à son industrie et mieux connaître ses concurrents et clients.

Le but de l’intelligence économique est d’ana-lyser les bonnes informations et les exploiter, pour permettre aux patrons de positionner leurs entreprises de la meilleure manière et d’éviter des dépenses inutiles.

Dans un monde inondé par la désinformation, ces données précieuses peuvent aider à anticiper les changements réglementaires et politiques, mais aussi à suivre les bonnes pratiques dans un envi-ronnement compétitif et en perpétuelle évolution.

Prix de l’économie genevoise et prix de l’innovation 2018

Les Prix 2018 récompensent le leader mondial du logiciel bancaire et une startup à la pointe de l’In-ternet des objets (IoT).

Le Prix 2018 de l’économie genevoise est décer-né à Temenos et le Prix 2018 de l’innovation re-vient à Orbiwise.Ces récompenses ont été remises le 22 no-vembre, par la CCIG, l’État de Genève et l’OPI lors d’une cérémonie à la HEG Battelle.

Ces deux Prix ont été créés en 2012, dans le but de promouvoir et valoriser le tissu économique genevois. Ils visent également à honorer des en-treprises dont la réputation et le rayonnement véhiculent une image positive et dynamique de Genève.

TEMENOS le leader mondial du logiciel bancaire

Ses solutions permettent aux banques, quelle que soit leur taille, de mettre en œuvre leur transfor-mation digitale tout en restant à la pointe dans un environnement en pleine mutation. Temenos porte une attention constante à l’innova-tion : 20% de ses revenus sont réinvestis en R&D. Cet investissement R&D est fortement orienté vers les dernières technologies disruptives, allant du cloud computing et des techniques analytiques avancées jusqu’à l’intelligence artificielle.

ORBIWISE la connexion des objets avec un réseau sans fil peu coûteux en énergie

Le produit phare d’Orbiwise permet de contrôler des stations de base installées sur les toits (émet-tant 50 fois moins d’ondes qu’un smartphone) et de déployer des applications dans des domaines aussi variés que l’industrie 4.0, les villes intelli-gentes ou l’agriculture de précision. Les utilisa-teurs finaux n’ont, par exemple, plus besoin de circuler en voiture pour relever des compteurs ; ils peuvent aussi éviter d’arroser en connaissant finement l’humidité dans le sol.

Michel Balestra, Didier Helal (Orbiwise), Max Chuard (Temenos), Juan Carlos Torres, Frédéric Dreyer (de g. à dr.)

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Cocktail de fin d’année

En 2018, le traditionnel cocktail de fin d’année de l’OPI et de l’UIG s’est tenu à la Bluebox à Plan-les-Ouates le 3 décembre. Une occasion pour tous de partager un moment convivial et d’inviter les entreprises membres et partenaires.

C’est lors de ce cocktail de fin d’année que l’UIG a remis le Prix CEP-UIG 2018 aux sept meilleurs apprentis, en présence de M. Pierre Maudet qui, à cette occasion, a félicité les lauréats en tant que conseiller d’État devant plus de 200 personnes. Cette rencontre annuelle fut l’occasion pour les nombreux invités de se rencontrer et d’échanger dans une ambiance conviviale propice au dévelop-pement d’opportunités d’affaires.

Cette année le format de la célébration a fait peau neuve. Suite à la traditionnelle remise du prix CEP-UIG aux meilleurs apprentis 2018, l’innova-tion genevoise a été mise en lumière au travers de différentes zones d’expériences « Rétrospec-tive OPI ». Ces espaces interactifs ont levé le voile sur quelques projets et partenariats en dévelop-pement à l’OPI.

Projet Drone TaxiLe projet Drone Taxi est piloté par l’OPI et soute-nu par la Commission Européenne. Lors de notre cocktail de fin d’année, l’entreprise genevoise WindShape, spécialisée dans la construction de souffleries pour tester des drones, a fait voler ses drones pour montrer que cette industrie est en plein essor en Suisse.

Émission Industrie-Genève La campagne de communication « Industrie-Ge-nève, Le Monde de Demain » gagne une nouvelle dimension, avec une émission télé qui mettra en valeur les technologies et le savoir-faire novateur des entreprises genevoises. Lors de notre célé-bration de fin d’année, le nouveau plateau télé de Léman Bleu, où l’émission sera tournée à partir de février 2019, a été dévoilé à travers un casque de réalité virtuelle.

GTC Employabilité et Compétences du Fu-turCe groupe de travail communautaire, lancé en 2018 par l’OPI dans le but d’anticiper la transfor-mation des métiers et d’assurer la performance future des collaborateurs, a été représenté par le test cognitif Serious Game de l’UNIGE. Les « serious games » sont des jeux multitâches d’en-traînement à la plasticité cognitive, basés sur des situations tirées de la vie réelle, nécessitant des actions relativement complexes et des prises de décision rapides.

GTC Machine LearningCe groupe de travail communautaire, qui sera lancé début 2019 par l’OPI, traitera du contrôle qualité visuel automatisé pour des produits ma-nufacturés. « Entrainée » préalablement à recon-naître une grande quantité d’images de pièces, la machine est capable de prendre une décision au moment où les pièces en production sont exami-nées par le lecteur optique. L’horlogerie a été la première à s’intéresser à cette technologie, mais on peut l’appliquer dans d’autres industries pour le contrôle visuel à grande échelle. Pour illustrer ce GTC, l’entreprise genevoise Cogito a montré sa solution novatrice d’intelligence artificielle pour machines industrielles.

Projet Echosmile Cet espace a présenté le projet Echosmile, qui a pour but de proposer une solution de mobilité intelligente et durable à partir des études de be-soins des usagers du Grand Genève, particulière-ment sur la zone industrielle de Plan-les-Ouates. Soutenu par Interreg, ce projet est conduit par l’OPI en partenariat avec Archamps Technopole.

Le Geneva Creativity Center (GCC), le clus-ter qui favorise l’innovation collaborative entre les mondes académique et industriel, a aussi mis en place deux zones d’expériences :

la zone HEPIA a présenté une application lu-dique de la réalité augmentée, représentant la topographie en temps réel d’une maquette de paysage en 3D ;la zone UNIGE : deux chercheurs du Phy-siscope ont fait découvrir à nos invités deux phénomènes physiques : la supraconductivi-té et la force gyroscopique.

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DANS LA PRESSE

« Tosa est un bus 100% électrique, […] une innovation avant-gardiste ‘made in Switzerland’. »

www.bulletin.ch/fr/news-detail/lofen-decerne-le-prix-suisse-de-lenergie.html

www.lemanbleu.ch/replay/video.html?VideoID=35443#

www.bilan.ch/techno/geneve-recompense-temenos-et-orbiwise

« La mission de l’EPHJ, c’est de mettre en exergue tout un vivier d’industries, principalement orientées sur la sous-traitance horlogère,

joaillère, médicale et technologique, de faire un regroupement qui est un lieu d’échanges, de rencontres, de partage et de business également. L’EPHJ permet une mise en relation avec des potentiels prospects et

clients afin de pouvoir mettre en avant son innovation, sa technologie, sa technicité. » www.fer-ge.ch/web/fer-ge/-/l-opi-veut-aider-les-petites-

industries-a-entrer-dans-l-ere-4-0

www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/bus-autonomes-zi-plo-archamps/story/31275820

« Serial Transformer »

« Baptisé Echosmile, le projet est développé par le site fran-çais ainsi que l’Office genevois de Promotion des Industries et Technologies (OPI) avec plusieurs partenaires dont les TPG ou

Car Postal France. »

« [L’innovation et l’industrie 4.0] sont des questions ex-trêmement importantes, que tout est en constante évolution et qu’ils doivent s’approprier les technologies et les outils tels que le machine learning, la smart factory, les réseaux

intelligents ou l’internet des objets pour assurer la pérennité de l’entreprise. C’est pour cela que nous avons commencé à

développer des groupes de travail communautaire. »

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COMPTES 2018Bilan au 31 décembre 2018

2018 (CHF) 2017 (CHF)

ACTIF

Actifs circulantsLiquidités 10 540.35 10 329.70

Caisse centralisée de l’Etat de Genève Alp ICT 51 537.71 50 088.98

Débiteurs 134 376.35 288 325.25

Provision perte s/débiteurs (22 836.00) (18 708.90)

Compte de régularisation actif 174 890.70 255 959.35

Total des actifs circulants 348 509.11 585 994.38

Actifs immobilisésImmobilisations corporelles 509 586.95 491 572.20

Immobilisations incorporelles 52 835.00 52 835.00

Fonds d’amortissement immobilisations corporelles (455 382.18) (434 784.58)

Fonds d’amortissement immobilisations incorporelles (52 835.00) (43 010.00)

Total des actifs immobilisés 54 204.77 66 612.62

TOTAL DE L’ACTIF 402 713.88 652 607.00

PASSIF

Capitaux étrangers à court termeCaisse centraliés de l’Etat de Genève OPI 178 749.54 186 731.37

Créanciers et dettes fournisseurs 57 976.70 141 275.63

Compte courant plateforme 98 177.25 242 694.07

Compte de régularisation passif 46 004.22 61 542.15

Total des capitaux étrangers à court terme 380 907.71 632 243.22

Capitaux étrangers à long termePart de la subvention non dépensée à restituer à l’échéance du contrat (103.27) (1 184.86)

Total des capitaux étrangers à long terme (103.27) (1 184.86)

Total des fonds étrangers 380 804.44 631 058.36

Fonds propresCapital versé 40 000.00 40 000.00

Part des subventions non dépensées (18 451.36) (17 844.51)

Résultat de l’exercice 360.80 (606.85)

Total des fonds propres 21 909.44 21 548.64

TOTAL DU PASSIF 402 713.88 652 607.00

Compte d’exploitation 2018

2018 (CHF) 2017 (CHF)

PRODUITSContrat de prestation Etat de Genève 1 132 910.00 1 132 910.00

Contrat de prestation Etat de Genève - GCC 210 000.00 210 000.00

Contrat de prestation Etat de Genève - Cleantech (1 081.59) 1 820.57

Contributions Vaud 25 000.00 50 000.00

Produits des cotisations des affiliés 149 200.00 156 000.00

Produits de promotions générales 58 646.00 82 903.00

Mandats 443 103.85 467 642.00

Produits de prestations fournies 143 887.00 371 126.00

TOTAL DES PRODUITS 2 161 665.26 2 472 401.57

CHARGESFrais de personnel 1 379 668.65 1 658 413.30

Loyer, énergies et frais d’entretien 172 310.40 171 660.40

Coûts de prestations 161 768.77 137 138.35

Activités plateformes Alp ICT / GCC 285 311.91 369 987.31

Amortissements mobiliers 30 422.60 34 781.00

Frais administratifs 113 638.94 88 851.10

TOTAL DES CHARGES 2 143 121.27 2 460 831.46

RÉSULTAT D’EXPLOITATION 18 543.99 11 570.11

Produits financiers 1 253.20 898.65

Charges financières (24 082.78) (28 847.49)

Résultat financier (22 829.58) (27 948.84)

Perte sur débiteurs et attribution provision ducroire (19 529.00) (18 147.50)

Autres résultats (19 529.00) (18 147.50)

Produits sur exercices antérieurs 26 829.80 0.00

Charges sur exercices antérieurs (16 346.23) (2 737.62)

Résultat exceptionnel 10 483.57 (2 737.62)

RÉSULTAT DE L’EXERCICE I (12 250.43) (39 084.42)

Attribution résultat projet Alp ICT 13 692.82 36 657.00

RÉSULTAT DE L’EXERCICE II 1 442.39 (2 427.42)

Subventions non dépensées à restituer à l’échance du contrat (75%) 1 081.59 (1 820.57)

RÉSULTAT DE L’EXERCICE APRÈS RÉPARTITION 360.80 (606.85)

Rapport d’activités OPI 2018 Rapport d’activités OPI 2018

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LISTE DES AFFILIÉS AU 31 DÉCEMBRE 2018Les nouveaux affiliés 2018 sont signalés en bleu

ABB Sécheron SAAccès Personnel SAAdecco Ressources Humaines SAAgenhor SAAgentil SAAgie Charmilles New Technologies SAAIM Services SAAlliance-EPFLAlpemploi SAALTAIR ConsultingAnteis SAAprotec SAAqua + Tech Specialities SAAscor SA

Bacardi-Martini B.V., AmsterdamBalestrafic SABoost Academy Switzerland SàrlBoucledor SABugnion SA

Caran D’Ache SACentre de formation dans le domaine de l’horlogerie

SàrlChallenge Optimum SAChambre arabo-suisse du commerce et de l’IndustrieChambre de Commerce et d’Industrie Suisse-AlgérieChambre de Commerce Suisse-ChineChambre de Commerce Suisse-IsraëlChambre de commerce, d’industrie et des services de

GenèveCitec Ingénieurs Conseils SACobweb Development SàrlCogito Instruments SAContexa SA

DevillardDFI Service SADP Solutions Digital pen corporation Sàrl

Ecoservices SAELCA Informatique SAEnergy Management SA

EPI Établissements publics pour l’intégrationESM École de Management SAExeLOP SA

Fasteris SAFédération genevoise des méters du bâtimentFibre Lac SAFirst EIE SAFongitFranck Miller Watchland SA

Genève-AéroportGepy-Papaux SAGESO Groupement Électronique de Suisse

OccidentaleGIT SAGreenIT ConsultingGriffes Consulting sAGroupement Romand de l’InformatiqueGuggenheim & Associés SA

Hacknet SAHelicar Wash SAHepta Services SAHES-SO Direction GenèveHewlett-Packard (Suisse) SàrlHonegger SAHRC-Synoptic SAHuman Asset SA

IBM (Suisse) SAIE Industrial Engineering Zürich, succursale de NyonIEM SA Ingénierie Électronique & MonétiqueIFAGEIlem SAInterface Entreprises - État de Genève - Département

de l’instruction publique, culture, sportItecor Suisse SA, Genève

Jaeger & Bosshard SA

Kugler Bimétal SAKyos Sàrl

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EJ

K

Lem International SALemsys SALumatec SALysoft SA

Mathys SAMécatestMeroz Ressorts SAMicroGestion SAMistral EnginesMTF Quadra SA Administration RHMulti Personnel SA

Nexavis SàrlNiklaus LNI SANovImmune SA

OK Job SAOlivier Vaucher SAOmniScience SAOPAGEOrbiwise

Papirec SAPCA ServicesPeopleWeek SAPerformance Delevopment PartnersPI Management SàrlPlanair SA - Succursale de GenèvePorts Francs et Entrepôts de Genève SAPRO Entreprise Sociale PrivéeProcab Studio SAProexpoPSiDEO SA

Qualimatest SA

Radix Technologies SARandstad (Schweiz) AGRapp Technique du Bâtiment SARéaliseRetripa SARhodior SA

RL Global Gestion SàrlRollvis SA

Safe Host SASaint Jean Aero (Suisse) SASalon International des Inventions de GenèveSaunier SASedin SASelba SASerbeco SAServices Industriels de GenèveSES Société d’Énergie Solaire SASGS M-Scan SASIL Services Suisse SASmartcockpit SASmartcopter SàrlSocar Research SASoft-Finance SASopra Steria SASpeno International SASPG Intercity Geneva SASQLI Suisse SASurcotec SASwiss-Etics SASwitzerland Global EntrepriseSyvaco SàrlSZ Informatique SA

Tapania Communication Tecas SATransports Publics GenevoisTVP Solar

Université de Fribourg - iimtUniversité de Genève

VTX Deckpoint SA

WISeKey SA

Zanetti Ingénieurs-Conseils

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Rapport d’activités OPI 2018

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L’ORGANE DE GESTIONConseil de fondation

Pour l’État de GenèveMme Emanuela DOSE SARFATIS, Directrice gé-nérale adjointe, Direction Générale du Développe-ment Économique, de la Recherche et de l’Innova-tion (DG DERI), Département de la Sécurité et de l’Économie (DSE) (jusqu’à juin 2018).

M. Daniel LOEFFLER, Secrétaire général ad-joint, Secrétariat Général du (DDE), Département du développement économique (DDE) (dès juin 2018).

Pour l’État de VaudM. Raphaël CONZ, Chef ad-interim du service de la promotion économique et du commerce (SPECo).

Pour l’Union Industrielle GenevoiseM. Simon SIGGEN, Vice-Président des Opéra-tions de Lem SA, Président de l’Union Industrielle Genevoise.

M. Nicolas AUNE, Secrétaire Général de l’Union Industrielle Genevoise, Trésorier.

M. Jean-Luc FAVRE, Directeur Général d’ABB Sé-cheron SA.

Pour la Chambre de commerce, d’industrie et des services de GenèveM. Juan Carlos TORRES, Président et Directeur ad-interim de la Chambre de commerce, d’indus-trie et des services de Genève.

M. Bernard GIROD, Administrateur de Serbeco SA.

Pour les industriesM. Ivan MEISSNER, Directeur général de Quali-matest, Président.

M. Jean-Max ARBEZ, Directeur de Boost (Suisse) SA.

M. Michael BALESTRA, Directeur de Balestrafic SA.

Pour l’Université de GenèveM. Didier RABOUD, Secrétaire général adjoint du rectorat de l’Université de Genève.

Pour la HES-SO GenèveM. François ABBÉ-DECARROUX, Directeur gé-néral de la HES-SO Genève.

Pour l’Office de Promotion des Industries et des TechnologiesM. Frédéric DREYER, Directeur (dès avril 2018).

Avec le soutien de:

Office de Promotion des Industries et des Technologies

Chemin du Pré-Fleuri 31228 Plan-les-Ouates

+41 22 304 40 40 admin@opi.ch www.opi.ch

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