Relativité Quantique à Effet Thermodynamique

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Thèse sur un modèle permettant d'unifier la mécanique quantique et la relativité générale dans une théorie plus étendue intégrant les deux théories. L'univers y devient un continuum espace-temps quantique à variation scalaire orchestré par des échelles de densité d'enchevêtrements, suivant une géométrie non-commutative et fractale qui génère le temps, les mouvements et les constantes.(Le soutien de chercheurs est souhaitée de la part de son auteur qui est un autodidacte passionné de physique théorique.)

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  • Relativit Quantique Effet

    ThermodynamiqueUn essai de Grande Unification de la physique moderne

    KF Hemmelig FrelserFvrier 2016

  • Thorie de Grande Unification(N.B. : L'avis de spcialistes en thorie quantique pour une valuation

    de ce modle est souhaitable.)

    I. Rsum :I.1. Ce papier consiste en une piste indite pour l'laboration d'une Thoriede Grande Unification. Le modle qui y est expos se fonde sur la thse queles units de Planck utiliss en Relativit Gnrale (RG), seraient soumises des variations infinitsimales obissant un rfrentiel quantique plus finsous-jacent, et une mtrique quantique non discernable censure de lasurface de l'espace-temps.

    I.2. Cette censure physique consistant en un clivage apparent de rfrentielsdu fait de perturbations de mtriques et variations scalaires s'oprant depuisl'chelle quantique. Des variations scalaires s'opreraient depuis lesprofondeurs du vide quantique infinitsimales et se propageraient en sedmultipliant vers la surface de l'univers en se cumulant insensiblement deproche en proche. Cela induirait un dcalage graduel des units de Planckindiscernable, au-del d'un seuil critique, depuis la surface de l'univers : carces units qui varient en constituent la base et la fondation de la mtrique etdemeurent indiscernables pour cette raison.

    Schma 2Illustration de l'expansion spatiale l'chelle de Planck par dsordonnance

    graduelle des sous-plans. D'un seul volume thorique dePlanck (comprendre d'un diamtre gal une longueur de Planck) qui grossitau gr de l'expansion de l'espace-temps, nous obtenons respectivement (ici

    en 2D) : 9 et puis 81 volumes de Planck juxtaposs dployant un maillage dequantum suivant un processus thermodynamique quantique. Chaque point

  • de l'univers opposant une inertie variable la force d'expansionthermodynamique initie lors du big bang.

    Orbitales d'un atome.Orbitales d'un atome illustrant visuellement le contact physique de toute la

    surface de l'espace-temps aux sous-plans quantiques (ici intersection 'x,y,z')dans un continuum rgi et orchestr par des chanes d'intrications ou

    densits enchevtrements hrits des sous-plans de l'hyperespace relativistequantique gomtrie fractale. La gomtrie de l'atome voque fidlement la

    reprsentation de l'image de droite supra (schma 2).

    I.3. Les sous-plans sont, dans notre modle, occups par des densitsvariables de quantum intriqus (agissant de faon corrle) qui se dploientvers la surface au gr d'une thermodynamique quantique, suivant unedsordonnance graduelle. Cela semble rsoudre le paradoxe de la quantitd'nergie contenue par volume de vide quantique qui devrait avoisiner les10^107 J/cm3 selon les calculs thoriques et qui est nglig par lesthoriciens afin de garder leurs modles acceptables. Rappelons quel'ensemble de l'Univers observable contiendrait seulement (!) 210^69 J dematire. La densit trop leve en quantum aux chelles infinitsimalesrendrait le sondage, ces niveaux de sous-plans, possible seulement deschelles de puissances proportionnelles celles qui rgnent. Puisqu'ensondant l'infiniment petit nous remontrions vers le pass.

    I.4. Un effet inertiel quantique produit par densits d'enchevtrements spatio-temporels de quantum infinitsimaux bidimensionnels emplissant le videquantique (tant l'origine de la masse des corpuscules, et des forcesd'interactions), dcroissant topologiquement en fonction du temps (suivant unprocessus de dsordonnance thermodynamique quantique), induirait uneexpansion isotrope de l'espace-temps, en obissant un quilibragegaussien des variations scalaires qui s'y oprent.

  • Schma 1Une structure fractale tisse par des quantum bidimensionnels infinitsimauxobissant des densits d'enchevtrements suivant un dgrad constituerait

    une structure fondant la trame de l'espace-temps. La matire comme lesforces d'interactions seraient des effets d'une inertie quantique sous jacente

    o s'opre un effet thermodynamique perptuel, avec une perte de niveau decorrlations logarithmique en fonction des chelles de grandeurs, qui serait

    l'origine de l'expansion de l'univers.

    I.5. Du fait du clivage de mtriques, nous obtenons une impressiond'intemporalit l'chelle quantique, qui se retrouve en RG dans la formuleRij=0 pour Tij=0. Les mouvements sous Planck demeurant indiscernablesdepuis la surface de l'espace-temps. Nous verrons dans ce papier commentles trangets de la physique thorique deviennent solubles dans le cadre denotre modle, que nous exposerons dans ce papier.

    I.6. Les quantum bidimensionnels (sous forme de segments de droitesinfinitsimales aux mouvements corrls) qui manent de la limite du bigbang, sont en interactions suivant des densits d'enchevtrements etcorrlations depuis les sous-plans. De proche en proche, en chaque point del'hyperespace fractal des profondeurs, elles arrivent la limite infrieure dePlanck, o elles forment une toile de sous-plan, aux comportementsquantiques synchroniss par chelles de grandeurs fixant les lois de la MQ.

    I.7. Les particules observables surgissent dans les limites de la mtriquelocale, sur la surface du mur de Planck, et entrent en interaction, suscitantune distorsion spatio-temporelle relativiste et gnrant la gravitation et lacourbure de l'espace-temps depuis les chelles infinitsimales.

  • Schma 3Illustration du confinement des spinons : un tel processus peut induire la

    cration des particules apparies deux deux. La perturbation des champsde quantum synchroniss par niveaux d'nergie induit, lors de l'expansion del'espace, la naissance de corpuscules miroirs : tels que les quarks ; suivant lagomtrie fractale de l'univers s'tendant par dploiement. (Chaque particuleemporte une partie de quantum orients suivant une mme configuration ou

    son contraire dans une direction ou dans la direction oppose.)

    I.8. Cet effet thermodynamique serait l'origine de la flche du temps, et dela dynamique d'une gomtrie non-commutative gnrant les distorsionsspatio-temporelles aux abords des limites extrmes d'une mtrique varianttopologiquement de faon diffomorphe : censurant la plage des vnementsse droulant sous le seuil de 1/C toute mesure exacte et induisant desdistorsions spatio-temporelles la limite de C. (Nous verrons commentappuyer cette thse plus loin.)

    I.9. C devient elle aussi (dans notre modle) une variable qui volueinsensiblement suivant la topologie des sous-plans de l'espace selon le degrde libert de mouvement. C fixe depuis la surface de l'espace-temps, la limitede discernement physique permise des vnements s'oprant des chellesde grandeurs voluant en dessous de C^-1 et au-dessus de C^(Cn) : ce quicensure la mtrique de la MQ depuis la surface de l'Univers et induit unemarge d'erreur aux chelles cosmiques (acclration de la vitessed'expansion de l'univers, masse manquante, nergie noire, ...).

    I.10. Ce dcalage de mtriques induirait l'mergence spontan d'un tenseurde courbure de type hamiltonien, issu de ce processus, qui serait d'unevarit particulire (Ricci/Klainerman) se rduisant asymptotiquement suivantla racine carre de sa propre valeur absolue chaque passage de pland'espace, lorsque nous remontons vers le pass de l'Univers. Chaque ligned'univers suprieure serait une bifurcation double de la ligne d'univers sous-jacente, charge d'nergie cintique et doublant sa masse globale, du faitd'une acclration logarithmique de l'expansion thermodynamique.

  • La gomtrie de l'univers serait fractale et fonde sur une srie de produitsd'octonions chaque passage d'un sous-plan un plan suprieur. La

    conjugaison est une involution de O.

    Schma 4Plan mnmotechnique de Fano : diagramme sept points et sept cercles (sur la figure plane, les segments joignant 3 points sont considrs commedes cercles en les prolongeant l'infini de chaque ct o ils se rejoignent)

    est appel le plan de Fano. Ce diagramme permet de visualiserune involution de O.

    I.11. Cet effet thermodynamique induit une variation de mtriques continueisotrope permettant, dans ces conditions, d'unifier les deux physiquescompltement dans un continuum espace-temps variation scalaireperptuelle.

    I.12. Ainsi, lorsque nous posons que les interactions quantiques, commerelativistes, de la matire consistent en un quilibre gaussien (hamiltonien)acquis par des cascades d'enchevtrements en densit plus ou moinsgrande de quantum bidimensionnels (infiniment plus petits qu'un photonrelativiste qui en rgissent toutes les proprits observables), hrites desous-plans plus profonds, nous obtenons une thorie tendue intgrant RGet MQ cohrente dans un continuum spatio-temporel gomtrie fractale, etvitons la singularit primordiale en obtenant une dclration asymptotiqueen remontant au big bang (v. point XV).

    I.13. Un tenseur de courbure lche (un produit hamiltonien d'octonions, ouune transformation de Lorentz) nat ainsi spontanment de ce processus,d'une dsordonnance ces niveaux de sous-plans quantique, qui conduit l'mergence d'une mtrique relativiste variations scalaires perptuelles lasurface de l'univers (RG), initie l'chelle de l'infiniment petit dansl'environnement spatio-temporel du big bang (MQ).

    I.14. Conformment la formule e=mC la matire ne devientobservable (discernable) depuis la surface qu' partir d'un seuil d'nergieminimal entrant dans les limites de mesurabilit de la mtrique relativisteindexe sur la valeur locale et ponctuelle de C.

  • I.15. Cette thorie du tout conduisant une n-sphre structure fractale, ouun bulbe fractal, obissant une relativit quantique variations scalairesrgissant des quantum bidimensionnels de dimension infiniment petite, dontla mcanique profonde est orchestre suivant des densit d'intrications ensous-plans, suivant une structure gomtrie fractale.

    I.16. C'est donc l'intrication qui orchestre le tout suivant des degrsd'enchevtrements ou de corrlations par ordre d'chelles de grandeurs :chaque niveau d'espace-temps tant censur des niveaux suprieurs etinfrieurs aprs un seuil critique de clivage mtrique spatio-temporel.

    La relativit quantique fractale, ou modle variation de mtrique perptuelleredevient causal et dterministe, mais prsente des effets suivant des

    processus hautement non linaires donnant une impression de noncausalit : caractrisant la MQ vu depuis la surface de l'Univers.

    I.17. L'nergie est transporte par des quantum en mouvements inertielscomplexes : qui sont des objets bidimensionnels infinitsimaux de taillecanonique interagissant depuis des chelles infinitsimales et setransmettant des mouvements corrls et des niveaux d'acclrationsen interagissant alatoirement selon une loi normale, en sorte que leursinteractions gnrent une cascade de comportement mcaniques gomtrie fractale : gnrant un effet de relativit quantique gomtrie fractale que nous soutiendrons infra.

    I.18. Cette variation de mtriques transporterait un processus de variation dedensit s'imprimant dans la trame de l'espace-temps relativiste au dessusdes limites de la mtrique de Planck, qui induirait et maintiendrait desconstantes physiques selon les niveaux d'chelles, en cascade : C, , G, ...,structurant l'Univers (brisures de symtries=bifurcations). Gnrant desinteractions orchestres par une forme de gravit quantique que nous

  • exposerons plus en dtails et soutiendrons dans cet article, engendrant unespace-temps relativiste quantique plus tendu.

    I.19. La gravitation quantique, serait rgie par l'inertie relative du videquantique induite et module par des degrs d'enchevtrements,garantissant l'apparition et la stabilit des particules de matire suivantl'quilibre inertiel relativiste devenant observable au seuil de : e=mC^2, oue=[(FC^2)/a]. Les sous-plans de l'espace-temps aparaissentainsi intemporels depuis la surface. La valeur de C correspondant bien ici une variation au-del des limites minima de la mtrique fixe par une valeurinstantane de C : chaque point de la surface de l'espace temps,correspondant a un volume sphrique d'un rayon d'une anne-lumirede l'espace-temps quantique au niveau du sous-plan quantique lalimite du mur de Planck.

    I.20. Les limites physiques et algbriques d'une mtrique variantdtermineront la mcanique relativiste tant leur tout orchestres par cetteconstante fondamentale C variant subtilement de faon indiscernable, du faitd'une dsordonnance la faisant driver galement de faonindiscernable : un dcrochage scalaire progressif des chaines decorrlations, par densits d'intrications, obissant un quilibreentropique invitable, serait la racine profonde et fractale des brisuresde symtries rgissant les forces fondamentales d'interactionsstructurant l'univers : l'origine quantique de l'intrication dans la mise enplace des interactions fondamentales justifiant l'tranget des chargesde couleurs slective nigmatique de faon inattendue et intelligible.

    II. Espace-temps quantique :"Les infidles ne voient-ils pas que les cieux et la terre formaient une masse

    compacte, et que nous les avons spars (ndl. dissoci), et quau moyen de leaunous donnons la vie toutes choses ? Ne croiront-ils pas ? [1]"

    (Cor. 21,30)

    "Le ciel, Nous lavons construit par Notre puissance : et Nous ltendons[constamment] : dans limmensit. [2]"

    (Cor. 51,47)

    II.1. La variation de mtrique s'oprant depuis les sous-plans de l'espace-temps, serait la cl de l'mergence et des structures et de la mcanique del'Univers, selon le processus d'un change d'nergie et decomportements mcaniques volutionniste transmis suivant lesdensits d'intrications dans un sous-espace quantique (o une infinit dequantum de taille infinitsimaux interagissent des degrs gradientsstochastiques gaussiens); avec l'espace-temps relativiste s'organisant sa

  • surface.

    II.2. L'intrication quantique orchestrerait les particules par un jeu d'quilibrespin-orbite. L'intrication n'tant jamais totalement annule de par lesproprits caractristique de l'espace hilbertien qui en dfinit lagomtrie. Laquelle synchroniserait l'ensemble, en maintenant par ailleurs lecontact avec le sous-plan quantique o le temps ne s'coule plus depuis lasurface de l'Univers tant soumise une censure d'une mtrique variable.

    III. Rapport longueur de Planck / temps de Planck :

    1,61610-35 m/5,39110-44 s = 299 758 857 (354 850)mq/sq

    C = 299 792 458 m/s

    III.1. La cl de la fusion entre MQ et RG rsiderait dans ce dcalage de ladimension d'un espace-temps quantique (longueur de Planck/temps dePlanck) plus petit en rapport la dimension d'une anne-lumire relativistequi s'organise selon la limite d'quilibre de clrit de la lumire (=vitesse degrossissement d'chelle, niveau de libert de mouvement & flche du temps).

    III.2. Or, selon la RG, les longueurs et le temps rtrcissent par un processusrelativiste rigoureux en fonction de la vitesse. Et l'cart entre longueur dePlanck/temps de Planck et anne lumire montre une faille qui est l'originede la naissance de notre Univers lors du big bang et de la rupture demtrique entre RG et MQ : la source des ingalits de Heisenberginduisant une marge d'incertitude aux abords des limites de Planck.

    III.3. Nous allons montrer (v. infra point XIII) que ce dcalage met nuune perturbation de mtrique canonique, qui rside l'origine de la mise enplace en cascade des constantes structurant l'Univers en surface, et luipermettant de subsister dans le temps. Cet cart remontant au mur de Planckserait l'origine de la brisure de symtrie, de un clivage des mtriquesentre la surface et les sous-plans ; lucidant mathmatiquement lestrangets quantiques, expliquant la mise en place des structures del'Univers, la gomtrie des orbitales des atomes en allant la forme enspirale des galaxies, et rsolvant l'nigme de l'acclration de l'Universobserve dans les centres d'observations.

    III.4. Remarquons, que nous travaillerons en termes d'ordres de grandeursconverties en valeurs proportionnelles, puisque nous serions en fait auxsources de l'instauration d'une mtrique mathmatisable variablecorrespondant notre paradigme d'un grossissement d'chelle relative

  • gomtrie fractale. Nous avons donc choisi d'crire mq et sq pour unemtrique approprie[note3] renomme afin de rendre ce procdindit intelligible.

    III.5. Nous allons prsenter dans le prsent article une dmonstration que cetcart entre l'espace-temps quantique et l'espace-temps cosmique aux limitesde Planck, dcoulerait de l'organisation canonique de quantum soumis unedsordonnance dans un continuum spatio-temporelle induisant uneperturbation de mtriques laquelle la RG est aveugle jusqu'aux chellesquantiques ou des chelles de grandeur de l'ordre de C^C (annes-lumires).

    III.6. La transmission nergtique des quantum ayant produit des cascadesde brisures de symtrie, s'tant imprimes sous l'aspect de cascades deconstantes s'imprimant depuis les sous-plans relativistes, fractals, quantiquetissant la trame de fond de l'espace-temps quantique du multivers.

    III.7. Nous allons montrer comment nous obtenons les constantes et Gdepuis ce transfert de densits d'intrications et cette variation canonique etlogarithmique de mtrique infra. Toute la mtrique serait ainsi le rsultat d'unseuil d'quilibre nergtique critique du cumul d'un dcalage d'un change depotentiel entre les sous-plans quantique et l'espace-temps relativiste, quinous apparatrait comme un tat d'quilibre perturb, faisant surgir d'un pointd'espace quantique unique d'un sous-espace quantique, un espacequadridimensionnel relativiste d'apparence isotrope -observ d'au-dessus duclivage de mtrique d'avec les sous-plans relativistes quantiques.

    III.8. Ce modle propose un mcanisme sous-jacent unifiant les modles dela RG et de la MQ, qui rendrait intelligibles et intuitifs toute une sried'trangets contre-intuitives, en partant de la courbure de l'espace-temps,en passant par la dualit onde-particule, l'intrication quantique. Ceci fonderaitl'ide charnire que tout drive de l'expansion isotrope vitesse variableavec une conservation d'chelle relative[note4]. Ce modle se calquerait ainsiaux fondations de la physique, mariant la RG et la MQ de faon inattendue.

  • Schma 5 & 5'Illustration des champs d'enchevtrements quantiques la conjoncture de

    huit "volumes" de Planck ( g.), quivalents un point unique de la surfacede l'espace-temps. La forme en tore n'chappe pas notre attention. Cercles

    de Vilarceau et tore leur intersection ( dr.).

  • Schma 6

    L'mergence des particules de matire consisterait un seuil mtriquecritique censur plus bas, des particules au seuil de e=mC^2. La densit

    d'enchevtrements fait converger l'nergie des photons et les pige dans dessous-plans obissant une mtrique diffrente de celle de la surface. Arriv

    saturation, un particule dtectable surgit depuis la surface de l'univers.

    Schma 7Illustration de l'effet de gravitation quantique : l'enchevtrement des quatum

    en densit variable induit un effet de rsistance apparente la vitessed'expansion. Les zones d'enchevtrement plus denses se maintiennent

    proportionellement plus denses que leur environnement malgr unchangement de proportions global du fait d'un processus thermodynamique.

  • La surface de l'Univers subit un dsalignement des godsiques du fait d'untenseur de courbure lche qui surgit d'un quilibre gaussien entre les

    variations de mtriques et le taux d'expansion de l'univers.[note5].

    IV. Limites de Planck :V.1. Les limites de Planck seraient dtermines par le rapport entre gravit quantique (inertie relative au mouvement) et gravit relativiste (perturbation de mtriques diffomorphe), qui serait l'origine de la topologie de l'espace-temps.

    IV.2. En effet, il est important que la vitesse de la lumire lie units de Planck la RG, comme dans le rapport de la longueur de Planck et du temps de Planck par exemple (permettant une comparaison) :

    1,61610-35 m/5,39110-44 s = 0,299 758 857 (354 850) x 10^-78 mq/sq

    IV.3. Cela est comparer avec la vitesse de la lumire qui est de 299 792458 m/s. C'est l'espace-temps quantique, avec un dcalage subi du fait d'untenseur de courbure d'une varit de Ricci, maintenant l'Univers dans un tatd'quilibre relativiste quantique (par l'hypercohrence du sous espace liant letout en un continuum spatio-temporel gomtrie fractale). La rpercutiondes variations scalaires s'oprant aux echelles quantiques devant tresensible l'chelle universelle partir de C^C, gnre par un dcalageentre l'espace-temps quantique et l'espace-temps relativiste.

  • Schma 8Le rapport entre gravit quantique et gravit relativiste serait l'origine de latopologie de l'espace-temps. L'quivalence d'un passage au point de contactentre l'espace quantique obissant C^-1 et l'espace relativiste gnr par

    une interfrence relativiste quantique gnrerait un dcalage identifi commeune acclration dans le cadre de la RG.

    IV.4. L'espace subi une transformation isomorphe continue, ce qui expliqueles effets de distorsion relativistes apparents de faon vidente et intuitiveinduites par un dcalage des godsiques indiscernable dans les limites dela mtrique relativiste fonde sur C, elle-mme soumise cestransformations s'oprant en sous-plans quantiques. L'alignement desgodsiques subissant une drive indiscernable dans le cadre de la mtriquerelativiste lucidant d'autre parts les effets d'apparence alatoires de lamcanique quantique soumise une mtrique dcale indiscernables depuisla surface : leurs tats paraissant incohrents et soumis des probabilitsmystrieuses.

    IV.5. Les objets acclrs la vitesse de la lumire se synchronisent auxrythme de la variation de mtrique selon le niveau d'acclration et s'alignentavec la gomtrie fractale de l'espace quantique. Ils rtrcissent en sechargeant d'nergie et progressent vers les sous-plans de l'hyperespace,jusqu'aux limites de Planck, et s'arrtent la limite du sous-espace quantiqueobservable o ils disparaissent en trou-noir.

    IV.6. Les photons n'ayant pas de masse seraient donc synchroniss aurythme de l'expansion soumise la variation indiscernable de mtrique del'espace indiffremment de leurs orientations, mais seraient dvis auxenvirons des objets selon leurs masses du fait que l'expansion y est moinsrapide qu'en surface. La matire n'tant qu'une forme fluctue de l'espacedformant sa topologie, les photons seraient soumis une mtriquediffomorphe et seraient pigs dans la matire. Lorsque le volume occuppar la matire est arriv saturation, un photon de mme charge etcaractristiques d'un photon incident serait mis pour maintenir son tatnergtique stable.

  • V. Dualit onde-particule :V.1. La dualit onde-particule trouverait une explication s'lucidant par unclivage de mtriques rendant idiscernable les vnements mcaniquess'oprant dans les sous-plans quantiques, soumises une relativitquantique induisant un quilibrage logarithmique de mtriques. Selonl'chelle de grandeur, le degr de libert de mouvements se rduitasymptotiquement et les objets se dplacent suivant leur trajectoire inertielleen s'alignant avec la courbure spatio-temporelle locale ; elles se mouventsuivant une spirale plus ou moins aligne sur leur trajectoire inertielle enfonction du rapport entre leur nergie cintique et leur inertie.

    Schma 9Lors des interactions cintiques entre les objets l'chelle quantique au

    niveau d'nergie de l'chelle macroscopique, les objets quantiques subissentun effet de distorsion spatio-temporelle local tant dvies en spirale le longde leur trajectoire induite selon le niveau de perturbation de mtriques : le

    degr de libert de mouvement dcroissant asymptotiquement mesure durtrcissement de l'chelle spatio-temporelle. Ce qui explique les

    comportements d'apparence ondulatoires des particules l'chellerelativiste.

    V.2. Lors d'interactions avec un effet relativiste perturbateur, les particulessemblent se dmultiplier : ceci vient d'une perturbation des mtriquesrespectives induisant des distorsions diffomorphes spatio-temporellesquantiques, qui, vu depuis notre chelle est qualifie comme un taux deprobabilit. Les mouvements fins se droulent des chelles indiscernables notre chelle de mtriques locale. Nous avons l'impression d'observer lesmmes objets en diffrents endroits en mme temps.

    V.2. Le degr de distorsion relativiste quantique produirait un dcalage pardes passages en sous-plans plus profonds de l'hyperespace, induisantparfois un effet de tunnel s'oprant sous la marge d'incertitude identifie parHeisenberg.

  • Schma 10La dualit onde-corpusculaire serait un effet relativiste quantique d la

    distorsion du vide quantique des degrs de prcisions variantindiscernablement depuis notre base mtrique brute, induisant des taux de

    deviations non-linaires de leur trajectoire se manifestant l'chellerelativiste comme un comportement probabiliste[note6].

    Schma 11Reprsentation de l'effet de l'espace relativiste l'chelle quantique, et les

    fentes d'Young ( g.). Les particules subissent une distorsion spatio-temporelle dans les sous-plans des niveaux de puissances fines

    indiscernables depuis notre chelle mtrique locale, induisant lors de lamesure des dviations obissant une loi normale. Ce que la MQ tudie

    comme un domaine de probabilit.

  • VI. Intrication quantique et non localit :VI.1. L'intrication est un effet relativiste quantique faisant paratre lesobservables mesures, au seuil critique de Planck, intemporels. Lesparticules intriques mis en phase restent corrles : la corrlation -desquantums confins dans les corpuscules intriques- induite lors de la mesureen surface se retrouve sur la seconde particule indiffremment du tempsrelativiste qui s'coule entre les deux mesures opre depuis la surface del'univers du fait du clivage de mtriques de l'ordre de 1/C (comme expliqusupra).

    VI.2. Lors de l'intrication les particules entrent en phase suivant la mtriquetemporelle propre leur chelle selon un rapport d'chelle degrandeur bas sur 1/C. En sorte que le temps s'coulant ensuite notrechelle entre les deux mesures demeure proportionnellement insignifiant. Laparticule tant pour notre chelle fige suivant un rapport de vitessesrelativiste de C/(C^-1), ainsi le temps de la mesure du double corrl, laparticule reste fige temporellement en sous plan jusqu' la seconde mesureavec une prcision inviolable notre chelle de temps.

    VI.3. L'intrication ne disparat jamais compltement dans les sous-plans mais se dgrade de faon asymptotique gnrant une flche du temps et un effet thermodynamique quantique.

    VI.4. Cet effet explique la gnration canonique des quarks suivant le mme processus en fonction de la saturation nergtique de l'environnement dans lequel ils ont t crs : les comportements miroirs des particules de mme gnration sont des tats corrls briss par des bifurcations dans un pass commun (produit hamiltonien accompagnant la thermodynamique quantique),hrits des conditions identiques caractristiques au lieu de leur cration. Lesclivages de mtriques de sous-plan demeurant dans les limites de la mtrique relativiste se prsentent sous forme de paires obissant un effet de miroir.

  • Schmas 12 & 13Reprsentation de l'intrication quantique en rapport au sous-plan quantique,

    restant interconnectes jusqu' une interfrence avec de la matire nonsynchronise mtriquement. Cela est le secret de la stabilit des quarks. Etsuggre que les univers parallles sont trs ressemblantes au ntre vers le

    pass l'infini.

    VII. Energie noire, matire noire...VII.1. Un tenseur de courbure dcalant la mtrique au gr du concours desvnements, et fixant la limite de C -devenant indiscernablement variabledepuis la surface- serait la solution de l'nigme de l'nergie noire. Du fait d'uncumul de dcalage entre l'espace-temps quantique et l'espace-tempscosmique, l'expansion observable de l'Univers s'acclre au fil du temps etles rgions occupes par la matire augmentent en densit d'nergie. Ce quiexpliquerait notre qute d'une masse manquante. La densit des rgions del'espace-temps occupes tant suprieure celle de l'espace vide dematire, la lumire provenant des confins de l'Univers subirait unralentissement proportionnel la distance des objets qui l'ont mise deschelles suffisamment importantes (de l'ordre de C^C).

    VII.2. La diffrence de synchronisation entre le sous espace et la surfaceserait la source de l'effet de gravitation et d'expansion. Un moyen de testerma thorie en structure fractale chaque passage un espace-suprieur estle suivant ;

    VII.2.1. Evaluation de la masse manquante et de l'nergie noire selon notremodle :

    (1) Matire ordinaire = 4,9% (masse des particules ordinaires connues)

  • (2) Matire noire = 4,9e2 = 24,01% (masse des particules du plan suprieur, aprs une bifurcation vers une n-sphre suprieure)

    24.01% ~ 26.8% 24.01% < 26.8%

    (3) Energie noire = 4,9/2* = 2,45 (masse des particules du plan suprieur, aprs une bifurcation vers une n-sphre suivante : l'ensemble de la surface bifurque en deux et la moiti devient inobservable localement)

    (2,45^4) = 36,0336,03 * 2 = 72,06 %

    72.06% ~ 68.3% 72.06% > 68.3%

    * Pour l'nergie noire, c'est la matire contenue dans la ligne d'Univers dudernier plan -observable localement.

    Schma 14Schma de l'tat de densit du 4-plan local (1/1) (matire ordinaire -cerclejaune-), de la matire noire du 5-plan (1/2) & (2/1) -cercles oranges-, et de

    l'effet de dcrochage et une bifurcation au 6-plan -observable seulement enpartie (nergie noire -cadre rouge-) : ( 3/5, 5/2, 2/5 & 5/3). (1/4, 4/3, 3/4 &

    4/1) : inobservable -cadres gris-. Les rgions de l'univers situes au-del ducercle bleu sont inobservables du fait de la distance spatio-teporelle qui nous

    en spare.

  • VII.2.2. Rapport direct avec les volumes d'espaces de n-sphres et topologie fractale :

    4-sphre >> 1/2 pi^2 * 1 = 4.93480 ~ 4,9% (! la ligne d'univers de la matire est quivalente au volume entier d'une 4-sphre !)5-sphre >> 8/15 pi^2 * 4.9348 = 25.9757460259 ~ 26.8%6-sphre >> (1/6 * pi^3 * 25.79)/2 = 67.1175973546 ~ 68.3%

    Schma 15La gravit quantique -ou inertie quantique- limite la vitesse des photons enles condamnant s'aligner suivant la courbure spatio-temporelle de leurenvironnement. Depuis chaque point de l'espace-temps, une dilatation

    induite par un effet thermodynamique attribue une distance maximale deprogression des photons qui se dplacent au gr de la force d'expansion del'espace-temps. En s'approchant d'objets massifs, les photons subissent unetransformation de leur trajectoire. Si ils pntrent dans le volume d'espace

    occup par la matire elles y sont piges.

  • Graphique.1Graphique illustrant l'cart de fond entre l'expansion C^2 initial et

    l'expansion locale observable la vitesse de la lumire. Un recoupement descourbes entre x=3 et x=4 semble indiquer le moment o la matire loignedevient observable depuis chaque point de l'Univers. Le point de dpart enordonne y de l'espace-temps relativiste plus haute que celui du sous-plan

    n'chappe pas l'attention. L'intersection des deux courbes correspond avecune acclration notable qui rappelle l'acclration vers 3 4 milliards

    d'annes lumires dtecte dans les observatoires[3].

    VII.2.3. Le temps s'coule de faon asynchrone, en sorte que present, passet futur coexistent de faon entrelace. Ainsi, ce qui est interprt commematire sombre et nergie sombre ne seraient autre que la matire contenuedans les n-sphres suprieures localement observables.

  • VII.4. Nous montrererons infra, au point XIII comment depuis la valeurmtrique d'une anne-lumire (locale) compare celle d'un temps de planckpour une longueur de Planck, nous trouvons un dcalage que nous avonsnomm d'une valeur de 0,000033601, et montrerons comment noustrouvons depuis elle la valeur de la constante de structure fine, ainsi que lavaleur de la constante G de la gravitation.

    VII.2.4.1. Nous allons par ailleurs montrer comment obtenir une valeurcanonique de G diffrente de celle obtenue avec le cosinusdu dcalage correspondant un transfert ondulatoire longue porte deproche en proche de densit d'interacrions (induisant la marge d'incertitudesous Planck), par l'inverse de C (correspondant l'inertie ponctuelle de lalimite de vitesse du photon).

    VII.2.4.2. Restait donc mesurer l'tat moyen de l'quilibre entre ces deuxvaleurs pour G et confronter avec les bases de donnes observationnellesplus fines.

    " Sachant que la valeur pour G obtenue partir de la valeur de la frontire de la mtrique de Planck a une valeur fortementsuprieure celle obtenue par la valeur inverse de C notre tempslocal contemporain. Autrement dit un indice d'un relachement dela force gravitationelle depuis la barrire mtrique de Planck,l'nigme de l'nergie noire et de la matire noire retrouve parune voie diffrente de la prcedente prsente infra.. Consolidepar une valeur de galement lgrement suprieure la valeuractuelle. "

    VII.5. D'autres parts, les effets de rotation et de rvolution mergent de mmespontanment par un effet scalaire angulaire du fait que l'quilibre dstabiliset limit par C. Chaque systme subit une dviation angulaire en fonction deson environnement topologique.

  • Vision de l'accentuation de la perturbation primordiale de densit. Les pointsde densit interfrent en grossissant suivant deux directions topologiquementopposes (ton chaud ou ton froid). On peut noter l'apparition de sous-plans des chelles spatio-temporelles dcales initiant une brisure de symtrie et

    de densit aux limites de la mtrique de Planck, ne prsentant pasd'anysotropie observable.

  • Schma 16Illustration de l'effet gomtrique gnr par un changement d'chelle

    suivant un agrandissement isotrope asynchrone : on obtient les effets derotation et de rvolution qui refltent fidlement les grandes structures de

    l'Univers observable ; les systmes stellaires, les amas d'toiles (infra g.),les galaxies spirales ( dr. infra), les galaxies elliptiques plus vieilles...

    Schma 17La structure en spirale des galaxies rflte la variation continue du tenseur de

    courbure rmanent de la gomtrie fractales hrite des sous-plansquantiques.

  • VIII. Les tats de superposition quantiques : VIII.1. Les particules n'tant pas en interaction avec un lment suscitant desperturbations relativistes restent au contact du sous plan quantique etobissent une mtrique physiquement indiscernable depuis la surface.

    VIII.2. La MQ et la RG se marient parfaitement dans notre modle, comme lavitesse de changement d'tats d'une particule non perturbe dans le sousespace quantique n'est physiquement pas discernable depuis la mtriqueoprant en surface qui varie elle-mme insensiblement.

    IX. Expansion quantique et conservation d'chelles :IX.1. La dsordonnance des quantum dans les sous-plans de l'hyperespaceinduit un effet thermodynamique et une expansion spatio-temporelle del'univers.

    IX.2. Les quantum obissent des densits d'enchevtrements variablesgnrant respectivement la flche du temps, le vide (fractal) quantique, lesforces d'interactions, la matire.

    X. Relativit du temps et de l'espace :X.1. A l'chelle quantique, le temps s'coulerait une vitesse indiscernablepar rapport l'coulement de notre temps local, et il compenserait lechangement d'chelle par diffomorphisme. Cette variation spatio-temporellerelativiste dterminerait la flche du temps par un effet thermodynamique.

    X.2. La flche du temps serait dtermine par le dcalage diffomorphed'chelle gnrant une brisure de symtrie canonique. Une desconsquences de cette dynamique serait l'explication de l'effet casimirtmoignant de l'tat d'quilibre de potentiel non parfait : du des objetsindiscernables se trouvant dans les sous-plans quantiques.

  • Lorsqu'un objet macroscopique (discernable avec les units de Planck) estacclr, il acquiert une densit d'nergie qui le ramne aux sous-plans

    induisant un effet relativiste de dformation spatio-temporelle vu depuis lasurface.

    XI. Origine des forces physiques :XI.1. Une des consquences induites par ce modle conceptuel est que lesforces d'interactions ressortent comme un niveau relatif d'inertie par rapport une expansion de l'univers. C'est ainsi le rapport entre le grossissement del'espace-temps et l'inertie de la matire suivant une densit d'enchevtrementvariable qui induit l'illusion d'un effet de force d'interaction magique oprantmystrieusement distance.

    XI.2. La topologie de l'univers devient une fractale qui bifurque chaquetape en deux, d'une faon induite par des cascades d'intrications et l'effetthermodynamique de la dsordonnance des quantum qui constituent la trameultime de l'hyperespace. Ce double effet organisant chaque espace empli dequantum par densit de corrlations variant en puissance de synchronisationselon les chelles spatio-temporelles.

    XI.3. Le sous-espace apparat en surface quand les observables surgissentdu seuil de la limite de mtrique discernable depuis la surface de l'Univers.

    XI.4. En l'absence de perturbation exogne, les quantum constituant lesparticules, restent dans un tat quantique obissant exclusivement aumaintient inertiel des mouvements corrls hrits par un pass commun o

  • ils sont entr en interaction, agissant de faon coordonne avec leursjumelles, s'organisant en systmes cohrents, variant proportionnellementaux perturbations subies sur leurs trajectoires respectives : les atomessurgissent.

    XI.5. Les particules qui entrent dans l'environnement d'autres particulesinduisent des distorsions spatio-temporelles les faisant interfrer desvitesses propres leur environnement spatio-temporel, et s'organisent sousforme de systmes cohrents.

    XI.6. Les distances relativistes quantiques obissant une structure fractalequi induit les interactions fondamentales, expliquent l'acclration del'expansion de l'univers et la concentration d'apparence anormale de lamatire ordinaire, contredisant les prdictions de la RG du fait d'un dcalagescalaire nglig dans la formulation de la thorie par son fondateur.

    XI.7. L'absence de d'anti-matiere s'explique par une bifurcation fondamentalesparant deux univers soeurs en miroir. Rendant l'anti-monde inobservable,prservant les deux mondes de l'annihilation.

    Schma 18La variation d'chelle induit un effet d'indtermination de la position exacte

    des particules qui, une fois entre dans un volume d'espace o leurprobabilit de se trouver se recoupent, semblent entrer en interaction : effet

    induisant l'impression de l'action mystrieuse de champs de forces.

  • Schma 19Les forces physiques fondamentales.

    Schma 20Comment les particules fondamentales se dforment et se disloquent selonla physique thorique, ici respectivement la sparation d'un proton en deux

    quarks ( g.) et la sparation d'un neutron en hadrons ( dr.).

    XI.8. Chaque particule aurait des caractristiques dtermines en fonction deson environnement local, suivant sa densit, son orientation et sa vitesseinstantanes. Toute particule est un tat d'enchevtrement ponctuel induisantune brisure de symtrie entre les quantum de l'espace occup par la particuleet ceux de son environnement immdiat. Chaque type de particules tantcaractrise par un des comportements de corrlations hrites dans unpass commun dans un mme environnement quantique.

  • XII. Renormalisation :XII.1. Lorsque nous nous basons sur les limites de Planck, comme justifisupra, et faisons une projection de ce qui se produirait dans un espacerpondant aux proprits soutenues dans notre modle, en prenant commeunits de mesure des interactions minimales planckiennes : sur lesdimensions une, deux et trois, nous retombons semble-t-il une formespontane de normalisation permettant de produire un effet de fluctuationquantique. Du moins, des rapports de 1/7 et de 1/4 caractristiques destentatives d'unifications mathmatiques des interactions fondamentalessurgissent spontanment.

    XII.2. La surface de l'espace temps serait de dimension 2^2 du fait que Cobit un quilibre quantique de type 2^2.

    Schmas 2, 21 & 22Chaque cercle reprsente une interaction minimale simplifie rduite en deux

    dimensions sur base d'une longueur de Planck. Nous visualisons la faondont les interactions quantiques conduisent aux proprits des observables

    quantiques. Les forces agissant selon des corrlations des un contactcommun de la gense des particules, elles sont soumises des symtries

  • brises par l'intrication lucidant de manire triviale l'nigme des interactionsslectives suivant des charges de couleurs.

    XII.3. L'interaction perturbatrice initiale sur deux dimensions gnrel'interaction gravitationnelle et l'interaction lectromagntique, et un rapportstructurant canonique de 1\3 ou 2\3 en dformant la trame du temps sur deuxdimensions. La gomtrie minimale de huit volumes de Planck donne unrapport 1\4 trois dimensions, et la dimension 3 qui doit donner 6orientations vectorielles est tendue 7 (6+1) ou localement confine 5 (6-1) du fait du rayon de l'interaction des systmes structurs qui dlimite lesinteractions forte et faible.

    Conformation de la structure des atomes ( g.) avec notre modle d'espace-temps quantique (rappel Schma 2 dr.).

  • Interaction ThoriecouranteMdiateur

    s

    Masse

    (GeV/c2)

    Puissancerelative

    approximative

    Rayond'actio

    n(m)

    Dpendancede distance

    ForteChromodynamiquequantique (QCD)

    8 gluons 0 1 2,51015

    lectromagntique

    lectrodynamiquequantique (QED)

    photon 0 10-2

    Faible Thorie lectrofaible W+, W-, Z080, 80, 91 10-5 1018

    Gravitation Relativit gnralegraviton(postul) 0 10-40

    XII.3. Nous pouvons ainsi projeter cela en trois dimensions de telle sorte quesi je commence en une seule dimension, j'aie une longueur de Planck uniqueau premier temps de Planck qui est gal elle-mme, et un chevauchementcomplet par les moitis de deux longueurs de Planck au second temps dePlanck qui lve sa "densit" au carr. En deux dimensions cela est lev 3, et en trois dimensions 4. Je retrouve ainsi un rapport de 1/4 : voir laconstante de structure fine associe l'interaction spin/orbite.

    XII.4. La renormalisation pouvant ainsi s'expliquer par le grossissementd'chelle lgrement acclr lissant continuellement l'espace-temps. Lafluctuation se conformant un cart canonique entre le grossissementd'chelle et le sous-plan quantique.

    XII.3. Il est noter que la valeur de , si nous faisons abstraction de l'ordrede grandeur de puissance se situe dans les environs de la constante degravitation :

    G = 6,6738450.10 +/- 0,00080 ~ 7,297.10

    XII.4. Ceci n'est pas un lment suffisant pour lier RG et MQmathmatiquement, mais si nous tenons compte que notre modle suggreque la fluctuation primordiale de densit est la cl de la physique ultime, untel dcalage semble intuitivement pouvoir s'expliquer par une forme deperturbation primordiale justifiant un cumul d'un dcalage en changeantl'chelle d'interactions que nous allons tenter d'identifier prsent.

  • XIII. Evaluation de l'effet du cumul dudcalage (perturbation primordiale) entre le rapport desconstantes de Planck et valuation de la cohrence et lacompltude du paradigme de notre modle :

    XIII.1. Rapport mtrique trange entre constante dePlanck et une anne lumire relativiste :

    1,61610-35 m/5,39110-44 s = 299 758 857 (354 850) mq/sq

    .299.758.857.354.850 m/s ~ .299 792 458 m/s (1)

    XIII.2. Dcalage espace-temps quantique et espace-temps relativiste : .299.792.458- .299.758.857---------------------- .000.033.601 (2)

    = 0.000.033601

    * Le dcalage de imprim travers l'espace-temps quantique de Planck,fixera la constante de structure fine ; qui n'est rien d'autre que le point decontact entre RG et MQ, ou entre l'espace-temps relativiste et le sous-espacequantique qui s'est retir sur le mur de Planck au point de cration de notreespace-temps. Il est assimilable , ou marge d'incertitude (mtrique) deHeisenberg laquelle nous parvenons atteibuer une valeur dans le cadrede notre modle prsent dans cet article.

    * Ce paramtre sera le point de perturbation et de brisure de symtrie quignrera l'univers suivant, en commenant chelle rduite et variant selonles niveaux de puissances, jusqu' aboutir G par son cosinus qui est en faitl'cho de l'ondulation de la surface primitive de l'Univers naissant. Lesquantum d'nergie traversant comme une couture les deux espacesuperposs afin de les maintenir lis.

  • X.III.3. Cumul de lors de l'interaction entre quatrevolumes de Planck au mur de Planck :

    33601 . 2 = 67202 (3)

    XIII.4. Rapport entre et la constante d'ajustement fin :(h) = 0.000033601 = 7,297.10^-3

    4.1. Evaluation de l'ordre de grandeur proportionnel de partir de :

    4.1.1. En tenant compte de la permissivit du vide au mur de Planck :

    = e^2/(4 . pi . 0,000033601 . 299.792.458) = e^2/7,789982e6= e/4 . pi . .000033601 . C = 7,789982e-3

    4.1.2. A partir de l'interaction moyenne de entre quatre points d'espace (! volumes de Planck) :

    (2 x .000033601x ) 4 = 0.014530014091 2 = 7.265e-3

    7,789e-3 > 7.297e-3 > 7,265e-3

    >> La valeur obtenue est tonnamment proche de la valeur de pour unecharge minimale, localement depuis notre environnement actuel.

    >> Sans constituer une preuve d'un lien tranch entre ce dcalage et lesingalits de Heisenberg, la valeur ainsi obtenue attire notre attention sur unpossible lien de cause effets.

    >> Le dcalage entre une distance d'une anne-lumire cosmique et sontquivalant aux chelles de Planck, semble pouvoir tre li la constante destructures fines.

    >> Ce dcalage est compatible avec notre modle : les forces d'interactions

  • sont un effet induit au gr de la densit d'enchevtrements synchronisantselon les chelles de grandeur relativistes, subissant des variations scalairesdepuis les sous-plans de l'hyperespace. Le dcalage peut remonter unebrisure de symtrie plus primordiale qu' l'chelle des limites de Planckspatio-temporelle locale ayant drive galement depuis le dernier point declivage de mtriques.

    XIII.5. Rapport entre G et :Cosd (672) = 0.66913060G = 6,693 (72)^-11 [4]

    5.1.1. Ordre de grandeur de : 10^-3 (a)

    5.1.2. Ordre de grandeur du carr de : 10e-6

    5.2. Ordre de grandeur de est de : 10e 5 (b)

    5.3. Valeur de Cosd(672) renorm : .66913060

    == > .66913060 x 10e-6 x 10e-5 = 0.000 000 000 066 913 060 = 6,691 306 x 10e-11 (4)

    6,691 306 x 10e-11 ~ 6,693 (72)^-11= G

    XIII.6. Constante de Gravit quantique, fonction inverseet valuation de la brisure de symtrie :XIII.6.1. Rapport justifiant un effet relativiste quantique, et Gq comme fonctioninverse de C.

    >> En effet, la gravitation ne doit pas avoir d'emprise en-dessous de l'nergieminimale d'un photon unique. Pour le sous plan quantique, il n'y aurait pasd'effet de gravit, mais une expansion en deux directions opposes loignantdeux quanta en deux directions opposes.

    XIII.6.2. Valeur de 1/C : 1/299 798 458 = 3,335741e-9 (gravit quantique)

    XIII.6.3. Effet d'loignement dclr en deux directions opposes :

    3,335741e-9 x 2 = 6.6710942e-9

    XIII.6.4. Cette valeur se rapproche proportionnellement de la valeur de G =

  • 6,67384e-11[5] avec une diffrence scalaire de l'ordre de 10e-2, qui revient l'illusion de rapprochement temporelle :

    6.6710942e-11 ~ 6,67384e-11= G 3,335741e-9 >> 6,691 306 x 10e-11

    > 49.8492004185/1 <

    XIII.6.5. Rappel du rapport du dcalage avec le sous-plan de Planck(0,00033601/1) et comparaison avec la variation scalaire :

    .33601 > .33357e-8 ~ 0.000005150484/1

    XIII.6.6. Le sous-espace quantique s'tendrait au carr de la vitesse de lalumire, tandis que l'espace-temps surgirait la surface de l'Universimposant C comme vitesse maximale permise. Cela justifierait la disparitiondes effets du temps caractrisant la MQ. La gravitation tant un effettopologique, gomtrique fix par la vitesse maximale physiquement permisequand l'espace-temps n'est plus en phase avec le sous-plan quantique.

    XIV. L'apparition dans notre modle d'une rgioninconnue en interaction permanente avec le sous planquantique liant RG et MQ :XIV.1. Soulignons comme notre modle conduit retrouver une originepertinente d'une source d'nergie nglige par les thories respectives de laRG et la MQ au contact physique de ces deux thories et leurs domaines decomptences. Cela mrite d'approfondir les recherches dans la piste de notremodle.

    XIV.2. Nous avons montr comment la confrontation rigoureuse entreespace-temps relativiste et espace-temps quantique permet de trouver unparamtre absent l'chelle de Planck sur l'image rmanente du mur dePlanck qui est prsente en chaque point de l'espace-temps, lequel gnre laperturbation de l'espace naissant l'chelle fine sous la surface de l'Universet gnre de proche en proche la gravit qui fait onduler la surface commedes vagues, et la relie au mur de Planck fermement.

  • XV. Conjecture de courbure L^2 :Rcemment, Sergiu Klainerman a publi une dmonstration d'une conjecturefondamentale permettant de contourner mathmatiquement le paradoxe del'infini et d'une singularit rendant la RG insoluble l'origine du big bang[6].

    Le tenseur de courbure est un objet mathmatique qui mesure lacourbure de lespace-temps. Il peut, par exemple, dcrire commentdeux godsiques initialement parallles divergent. Le tenseur estune fonction des coordonnes despace-temps. La condition deSergiu Klainerman consiste multiplier le tenseur par lui-mmeet lintgrer sur lespace-temps (plus prcisment intgrer lecarr de la valeur absolue de la fonction). Si le rsultat ne devientpas infini, la fonction est dite de carr intgrable. Cette classe defonctions, note L^2, donne son nom la conjecture deKlainerman : la conjecture de courbure L^2. Aprs plus de dix ansde travaux, Sergiu Klainerman, Igor Rodnianski et Jrmie Szeftelont dmontr cette conjecture. La dmonstration vient dtre publiedans une prestigieuse revue de mathmatiques, InventionesMathematicae [7].

    Selon notre modle de Relativit Quantique Variations Scalaires Spatio-Temporelle, ce tenseur de courbure est multipli par lui-mme en srisfractales (L^2). Ainsi, notre modle d'unification de la physique thoriquedemeure mathmatiquement abouti, et permet potentiellement l'criturecomplte du processus de gnration d'une mtrique, mise en placegaussienne en cascade des constantes universelles, les modes d'interactionsstructurantes organisant l'espace-temps et obtenir les structures de notreUnivers. Mais ceci ne pourrait se confirmer que par une simulationinformatique, du fait que le processus est hautement non-linaire, mais obit la loi normale.

    XVI. Moyenne dcalage norm et valuation des effetsde la brisure de symtrie :Les valeurs obtenues ont pu se stabiliser par un effet d'intrication en sous-plan quantique, dans les limites de et de G que nous avons retrouv partir de la valeur canonique de .

    Nous avons montr comment on obtient une valeur de G par le cosinus de lamarge du dcalage . Et comment obtenir une valeur canonique sans cedcalage par le carr de la fonction inverse de la valeur de C se diffusant endeux directions opposes sans dclration.

  • La diffrence entre la premire valeur de G aprs la dclration relativiste etla valeur canonique de G la limite de la mtrique accessible la RG, sanscet effet de variation de mtrique expliqu mathmatiquement l'effetd'acclration de l'expansion quantique de l'Univers.

    Ci-dessus, le graphique de la variation scalaire de la fluctuation nergtiquemesure sur le fond diffus cosmologique par le satellite Planck. La courbeoscille entre l'entrainement du sous-plan quantique indtectable censure

    sous les limites de Planck et les premires interactions perturbatricesrelativistes induisant une perturbation primordiale de densit et une brisure

    de symtrie.

    * * *Il est souligner que notre modle Relativit Quantique Topologie Fractalese fonde sur le paradigme que lors du big bang, le sous-plan quantique s'estetendu obissant un tenseur de courbure particulier d'une varit du genreRicci/Klainerman, gnrant une perturbation primordiale de densite desaturation critique l'espace-temps relativiste. Cela conduisant ungrossissement d'chelle lgrement acclr asynchrone par rapport aupoint de clivage de mtriques la rapport au sous-plan quantique. Nos calculsexposs supra, suggrent qu'un paramtre comme la permissivit relative duvide quantique ou la distorsion de l'coulement du temps dterminer plusrigoureusement reste peut-tre tablir pour ventuellement encore ajusteret affiner de faon exacte nos valeurs de et de G de faon plus prcise.

  • Graphique2Projection de l'effet du dcalage de .333601 dans le processus d'expansion.

    Nous notons qu'une partie de la fonction se situe dans une zonephysiquement inaccessible censure par la variation scalaire relativement

    la clrit de la lumire.

    Graphique3Projection du carr de la clrit de la lumire rduit du carr du dcalageavec l'espace-temps quantique : l'Univers semble se projeter l'infiniment

    petit avant le mur de Planck. La mtrique planckienne n'a pas encore atteintson seuil critique.

  • XVII. Conclusions et interprtations :Il est souligner que nous retrouvons spontanment des valeurs proches de et de G quand nous remontons au mur de Planck portant la marque d'unebrisure de symtrie. En effet, du fait du grossissement d'chelle au mur dePlanck, l'interaction des tout premiers volumes de Planck immdiatement aumur de Planck a d imprimer une constante inviolable, en sorte qu'aucuneparticule de matire ne peut se dplacer une vitesse suprieure la clritde la lumire. Fixant ainsi des valeurs canoniques de et de G, peut-tredevoir rvaluer avec une marge d'erreur attribuer un effetthermodynamique ?

    Il est noter que la valeur moyenne de donne un dcalage attnu avecune diffrence de l'ordre suivant 7.265e-3 < 7,297e-3 mais une valeuraccentue la limite suprieure avec 7.791e-3 > 7,297e-3, alors que lavaleur de G donne un dcalage attnu avec 6,691 306 x 10e-11 > 6,693(72)^-11. Si mon modle est exact, alors il devrait tre possible de confirmerou d'infirmer les effets de ce dcalage par une tude fine du fond deradiation cosmique : l'Univers devrait subir une perturbation en mosaqueobissant aux critres perturbatifs soumis ici, dans cet article.

    * * *

    P.S. : Nous avons tabli ici un rapport entre un paradoxe fondamental de la physique thorique et un essaid'exgse littral du Coran, mais les calculs tablis sont rfutables et rpondent des critres devrifiabilit. Nous prions les lecteurs de ne pas mler la critique scientifique de notre modle et notredmarche conceptuelle fonde sur une lecture d'un livre sacr caractre religieux.

    Annexes.

    ---------------------------

    [1] Traduction selon Albert Kazimirski de Biberstein : 1808-1887.

    [2] Traduction selon Muhammad Hamidullah : 1959.

    [3] Saul Perlmutter et al., Measurements of Omega and Lambda from 42High-Redshift Supernovae, Astrophysical Journal, 517, 565-586 (1999),astro-ph/981213.

    [4] J.B. Fixler, G. T. Foster, J. M. McGuirk et M. A. Kasevich, Atom

  • Interferometer Measurement of the Newtonian Constant of Gravity, Science, vol. 315, no 5808, 7 janvier 2007, p. 74-77(DOI 10.1126/science.1135459, Bibcode 2007Sci...315...74F)

    [5] CODATA 2010 Recommended Values of the Fundamental PhysicalConstants , Peter J. Mohr, Barry N. Taylor, et David B. Newell - NationalInstitute of Standards and Technology (NIST), Gaithersburg, Maryland,20899-8420, USA, 2012 (consult le10 octobre 2012)

    [6] Igor Rodnianski, de luniversit Princeton, et Jrmie Szeftel, dulaboratoire Jacques-Louis Lions (CNRS et universit Pierre-et-Marie-Curie),Sergiu Klainerman a rcemment, dmontr cette conjecture.

    [note1] Mes recherches se sont inspires de l'exgse du Coran. Selon leCoran, l'Univers est le fruit de la puissance divine immense et il s'tend dansl'immensit sans mention de contraction contre sens, l'univers coraniqueest issu d'un volume initial condens ayant subi une dislocation. Tout doitdisparaitre. Si nous nous bornons strictement au sens littral de ce verset,alors la cration de l'univers consiste en l'expansion organise d'une formed'nergie potentiellement infinie.

    [note2] Une des ambigut du modle est que la clrit de la lumire qui estaux fondements de la dynamique qui la rgit, se retrouve tre une variablequi subit une variation, qui conduit un cart entre le sous-plan quantique etla surface de l'Univers. Cela doit justifier les effets relativistes, et lestrangets quantiques. Un quilibre entre la densit d'nergie emplissantl'espace-temps quantique et l'nergie se trouvant dans les volumes de Planckmaintenant l'Univers dans le temps. Une des autres consquences de cettethorie est qu'elle permet d'expliquer le mcanisme des champs de force defaon triviale, rendant les trangets de la RG et de la MQ intuitives etintelligibles. De mme qu'elle prdit une acclration de la vitessed'expansion observable de l'Univers et le confinement des galaxies sansrecours de la matire excdentaire invisible.

    [note3] Il est par ailleurs souligner que nous travaillons par ordre degrandeur du fait du paradigme fondateur de notre thorie, qui est fonde surune chelle de grandeur croissance scalaire. Mais nous trouvons avecnotre modle, la source de l'mergence de la mtrique-mme, qui en devientune consquence vidente. Or, nous travaillerons sur base mtrique lors dela renormalisation. Ceci n'est pas une mthode ad hoc, mais se fonde sur leprincipe que la physique se fonde sur les mathmatiques de haute prcision,et que la physique thorique, sur le fond de laquelle nous travaillons, estmtrique et dcimale.

    [note4] Si l'espace subissait un grossissement global l'chelle d'une anne

  • lumire ou un multiple de celle-ci, les effets de distorsion relativistesapparents s'expliqueraient de faon vidente et intuitive. En effet, la limite detoute vitesse ainsi que la stabilit de la vitesse de la lumire s'expliqueraientcomme une forme d'inertie maximale : le grossissement s'oprant de faonisotrope. Les distances et le temps s'annuleraient donc ponctuellement sinous atteignions cette vitesse de grossissement dans une rgion de l'espace.Ainsi, les objets ne pouvant plus grossir sembleraient rtrcir jusqu'descendre en dessous des limites de Planck, le temps ne pouvant pluss'couler semblerait s'arrter. Les photons n'ayant pas de masse seraientdonc transports au rythme de l'expansion de l'espace sans aucune forme dersistance.

    [note5] Nous parlons bien d'un espace euclidien par simplicit, or, pour quela thorie devienne parfaitement intuitive, il semblerait que tout comme lesforces en interaction qui sont immatrielles, l'espace plat dans lequel sedroulerait ce grossissement d'chelle isotrope asynchrone suivant desvariations scalaires spatio-temporelles serait plutt un matrode immatriel etabstrait gnr dans ce processus, sans qu'il s'agisse d'un espace euclidienprexistant et infini o surgirait mystrieusement une source d'nergie..Conceptuellement, l'effet tunnel qui demeure stochastiquement acausal dansles fondements de la MQ, mais dont on observe ponctuellement des effets,serait l'origine de l'mergence initiale de l'Univers, mais tant compens parla densit d'nergie globale de l'espace-temps satur en nergie. Il estpermis de penser qu'un mouvement unique dans le vide absolu puissegnrer une source d'nergie inpuisable en l'absence de tout frottement parune acclration inertielle relativiste ?

    [note6] Le dcalage ponctuel entre la vitesse d'expansion travers l'espace-temps quantique doit se cumuler proportionnellement la distance ( lasurface mesurable de l'univers), gnrant des brisures de symtriesstandards relatives l'chelle des interactions. Une telle proprit de typelastique pourrait avoir des consquences fondamentales, y compris enbiologie quantique jouant un rle dans l'mergence de la consciencefavorisant la synchronisation des neurones travers le sous-espacequantique, ou encore dans la fermet de l'ADN du fait de sa structure endouble spirale, le rendement nergtique de la photosynthse... !

    KF, Hemmelig Frelser, le 25 Fvrier 2016.