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Revue de presse de la semaine 1 2013

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Retrouvez une sélection des meilleurs articles de la presse immobilière de la semaine.

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La revue de Presse KYLIA

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LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE

Du 31 Décembre 2012 au 6 janvier 2013

LES ARTICLES DE LA SEMAINE

Les courtiers en crédit immobilier tirent leur épin gle

du jeu

Le 31/12/12

Malgré le fort recul de la production de prêts cett e année, les courtiers semblent ne pas avoir

trop souffert.

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L'année 2012 n'a pas été très faste pour le marché du crédit immobilier. En cumul, sur douze mois, la

production de prêts a reculé de 34 %, selon les chiffres de la Banque de France. Les courtiers ont

cependant été relativement épargnés par la contraction de l'activité. Selon Pascal Beuvelet, à la tête

de In&Fi, un réseau d'environ 130 agences en France, les courtiers ont même gagné des parts de

marché cette année, avec une croissance comprise entre 7 % et 10 %. « On estime que, dans cinq

ans, la part de marché des courtiers en crédits immobiliers devrait être de 40 %, contre 20 % à 25 %

aujourd'hui », indique-t-il.

« Dans un environnement financier complexe, les clients sont à la recherche de conseil indépendant

et d'expertise, et font donc de plus en plus appel à nous », analyse Hervé Hatt, directeur général de

Meilleurtaux.com. Le courtier en ligne, à la tête d'un réseau de 160 agences franchisées, a enregistré

depuis janvier une hausse de 8,4 % des demandes formulées (par rapport à 2011).

Boom des renégociations

Même constat pour son concurrent Vousfinancer.com. Sur l'ensemble de son réseau de

86 franchises, celui-ci enregistre une croissance de 20 % de son chiffre d'affaires. « Notre activité

s'est complexifiée et durcie mais cela ne signifie pas que la performance n'est pas au rendez-vous.

C'est plus difficile pour les petits courtiers indépendants », estime Jérôme Robin, président de

Vousfinancer.com. Celui-ci note que la contraction de l'activité est plus forte dans les grandes villes

que dans les zones rurales. « Sur de petits marchés locaux, les courtiers peuvent afficher jusqu'à

25 % de croissance pour un chiffre d'affaires de 450.000 euros. Dans les grandes villes, ils

enregistrent au contraire une baisse de 15 % », explique-t-il.

La fin d'année est marquée par une reprise de l'activité. « On voit les clients revenir en agence », note

Jérôme Robin. Chez Meilleurtaux.com, le nombre de dossiers transmis aux partenaires bancaires est

en hausse de près de 20 %, sur un an, au mois de décembre. « Une grande part concerne des

renégociations de crédit. Elles constituent, selon les jours, un tiers des demandes », précise Hervé

Hatt.

Celui-ci se dit « attentif, mais pas inquiet » pour 2013. Les conditions d'emprunt ne devraient pas,

selon lui, connaître de grands bouleversements. « On n'observe aucune tendance à la remontée des

taux. De même, les critères d'octroi des banques devraient rester stables, et il n'y a aucune raison

pour que le marché connaisse un effondrement des prix. Reste la question de la situation économique

globale », estime Hervé Hatt. « On espère que le recentrage du PTZ+ sur les ménages les plus

modestes, inscrit au projet de loi de Finances, sera épaulé par nos partenaires bancaires et nous

apportera de la croissance », ajoute Jérôme Robin. Artemis Courtage, spécialisé dans la région Ile-

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de-France, estime quant à lui que le dispositif Duflot devrait entraîner un rebond des transactions

dans le neuf l'an prochain.

Aurélie Abadie

Source : LesEchos.fr

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Successions: la Corse pleure la perte de son

exception fiscale Le 31/12/12

La décision du Conseil constitutionnel de refuser d e prolonger le système permettant aux

Corses de ne pas payer d'impôts sur les héritages f onciers suscite une véritable levée de

boucliers dans l'île. Elle met fin à un avantage fi scal de plus de 200 ans.

En refusant une nouvelle prolongation du système d'exonération de droits de succession sur les

immeubles situés en Corse, le Conseil constitutionnel a mis fin vendredi à un avantage fiscal vieux de

plus de deux siècles.

Flickr/http://www.flickr.com/photos/http2007/

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" Dramatique ", " incompréhensible ", " politique "... La décision, vendredi, du Conseil constitutionnel

de ne pas prolonger un système fiscal dérogatoire vieux de plus de deux siècles en Corse était

critiquée de quasiment tous les côtés de l'échiquier politique de l'Île de Beauté, à l'exception notable

du Front de gauche et de la CGT, comme l'explique le site de France3 Corse ViaStella.

En jeu : la fin de l'exonération des droits de succession sur les biens immobiliers dont les Corses

bénéficient depuis plus de deux siècles. Créé par le conseiller André-François Miot, comte de Mélito,

par un arrêté le 21 prairial an IX (10 juin 1801), ce régime dérogatoire avait pour but de compenser le

handicap de l'insularité. Il ne constitue en fait pas une exonération à proprement parler mais permet à

tout un chacun de ne pas payer d'impôt sur la transmission d'une maison, d'un appartement ou d'un

terrain. Comment ? Tout simplement en ne prévoyant pas de sanction en cas de non déclaration.

Selon Les Echos, ce dispositif aurait ainsi coûté 24 millions d'euros à l'Etat en 2011.

Un couac pour les élus corses de l'opposition

Mis en cause depuis 1998, il devait normalement disparaître à partir de la fin 2013. Toutefois, sous la

pression des élus locaux, un ultime sursis de 5 ans lui avait été accordé en octobre dernier par le biais

de deux amendements adoptés lors de la discussion du projet de loi de finances 2013. Le

gouvernement ne s'y était pas opposé, et la majorité des députés PS s'était abstenue. Tout semblait

donc réglé jusqu'à ce que 120 élus de l'opposition, parmi lesquels les trois députés UMP corses

Sauveur Gandolfi-Scheit, Camille de Rocca Serra et Laurent Marcangeli, saisissent le Conseil

constitutionnel sur l'ensemble du projet de loi de finance. Pas de danger, croyaient-ils, car ce recours

ne visait pas les amendements en particulier. Le problème, c'est que cette saisine globale a permis

aux Sages de pencher sur la question. Comme quoi, le gouvernement, critiqué pour son amateurisme

sur la taxation à 75%, n'est pas le seul à faire des erreurs...

"Considérant que le maintien du régime fiscal dérogatoire applicable aux successions sur des

immeubles situés dans les départements de Corse conduit à ce que, sans motif légitime, la

transmission de ces immeubles puisse être dispensée du paiement de droits de mutation; que la

nouvelle prorogation de ce régime dérogatoire méconnaît le principe d'égalité devant la loi et les

charges publiques; (..) L’article 14 doit être déclaré contraire à la Constitution", ont statué vendredi les

gardiens de la constitution.

Haro sur le Conseil constitutionnel

D'où les attaques directes portées par des élus de l'Ile de Beauté contre l'impartialité du conseil

constitutionnel. Craignant de se voir reprocher la perte de cet avantage fiscal, les députés UMP

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insulaires tentent de se défausser en accusant le conseil de s'être auto-saisi. De fait, le maire divers

gauche d'Ajaccio, Simon Renucci, ne s'est pas privé de mettre en cause, dès dimanche, leur "

manque de discernement ". Mais il s'est surtout élevé, à l'instar de la grande majorité de la classe

politique corse, contre les conséquences selon lui catastrophiques de la décision du conseil.

"Personne n'aurait osé imaginer que notre fiscalité dérogatoire, qui perdure depuis plus de deux

siècles, soit ainsi balayée d'un simple revers de main", déplore-il. L'élu craint que "de nombreux

Corses (soient) obligés de revendre leurs biens, pour s'acquitter de droits successoraux faramineux"

et "que les appétits spéculatifs se déchaînent, accélérant de fait la folle spirale de la dépossession."

Evoquant lui aussi des " conséquences désastreuses ", le parti nationaliste Corsica Libera se montre

encore plus alarmiste. "Par cette décision de nature politique, les prétendus 'sages' plongent dans le

désarroi des milliers de familles corses déjà touchées par une situation économique et sociale

préoccupante", affirme-t-il dans un communiqué.

Alain Spadoni, le président du conseil régional des notaires, se veut encore plus précis dans ses

accusations. Sur le plateau de France 3, il estime "qu'il s'agit d'une imposture, le rapporteur au

Conseil constitutionnel étant Michel Charasse, c'est celui qui avait fait abroger l'arrêté Miot. Il est donc

juge et partie".

Quelles conséquences ?

En fait, l'application du droit commun des successions en Corse risque de se heurter à une difficulté

pratique. A savoir que, compte tenu du régime dérogatoire pendant près de deux siècle, près de 4/5e

des biens sur l'Ile de beauté ne seraient pas clairement identifiés. En l'absence de déclaration de

transmission obligatoire, beaucoup sont encore en " indivision inorganisée ", expliquait déjà Le Figaro

en 2011. Or si la succession n'a pas été réalisée sur plusieurs générations, les héritiers risquent de

payer une taxation dépassant alors la valeur des biens transmis, explique à l'AFP un notaire de l'île.

C'est d'ailleurs ce qui justifie le délai supplémentaire de 5 ans accordé en octobre, aux yeux du député

PS du Val-d'Oise François Pupponi. "Il n'y a pas de volonté des Corses d'échapper à l'impôt mais de

rentrer dans le droit commun (...). Il faut juste un peu de temps pour élaborer des actes qui n'existent

pas. Plus de 3.000 actes ont déjà été rédigés depuis 2009 et permettront la rédaction des déclarations

de succession", avait souligné M. Pupponi, ancien inspecteur des impôts et Corse d'origine.

D'où l'espoir de certains élus qu'une nouvelle mouture de l'article 14 soit proposée avec le soutien du

gouvernement. C'est notamment le cas de Pierre Chaubon, le président de la commission des

adaptations législatives à l'assemblée de Corse. Interviewé dans Corse Matin, il préconise dy ajouter

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"un vrai exposé des motifs" susceptible d'éviter une nouvelle censure du Conseil constitutionnel, "à

savoir, en tout premier lieu le désordre juridique généré par la difficulté à reconstituer les titres, mais

aussi en modifiant la durée de la prorogation : trois voire deux ans au lieu des cinq initiaux. " Cela dit,

pour lui " le seul moyen de survivre à cette affaire, c'est de donner une place spécifique à la Corse

dans la Constitution."

En attendant, si rien de tout cela n'arrive, les Corses commenceront à payer des impôts sur les

transmissions de biens immobiliers effectuées dès l'année prochaine. Mais le retour au droit commun

sera progressif car le taux d'imposition des successions sera réduit de 50% jusqu'à la fin 2017. La

presse corse n'en parie pas moins sur une très forte mobilisation au début de l'année prochaine. Les

indépendantistes de Corsica Libera ont appelé à "une grande manifestation populaire dans les

semaines à venir", tandis que les autonomistes de Femu A Corsica ont mis en ligne une pétition pour

le maintien des arrêtés Miot ayant a recueilli lundi plus de 1.600 signataires en 48 heures.

Source : L’Expansion.fr

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Immobilier: Mme Duflot dénonce la hausse des prix

due aux anciens dispositifs

Le 2/1/2013

@LePoint.fr

La ministre du Logement Cécile Duflot a dénoncé la "hausse artificielle depuis 2008" des prix dans

l'immobilier, qu'elle attribue notamment aux précédents dispositifs dans le secteur et s'engage à

relancer la construction en 2013, dans un entretien au journal Les Echos.

La ministre du Logement Cécile Duflot a dénoncé la "hausse artificielle depuis 2008" des prix dans

l'immobilier, qu'elle attribue notamment aux précédents dispositifs dans le secteur et s'engage à

relancer la construction en 2013, dans un entretien au journal Les Echos.

"Je ne veux pas de nouvelles bulles spéculatives, ma priorité est de relancer le secteur de la

construction (...) avec l'objectif clair d'une baisse des prix de l'immobilier, du foncier et des loyers",

indique-t-elle dans le quotidien à paraître jeudi.

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La ministre a indiqué qu'elle "ne prendra pas de mesures à l'emporte-pièce, non ciblées et sans

contrepartie comme l'on fait (ses) prédécesseurs", une allusion notamment au précédent dispositif

Scellier de l'ancien gouvernement.

Selon la ministre, ces mesures ont "provoqué depuis 2008 une hausse artificielle des prix de

l'immobilier, unique en Europe".

Concernant la réforme du prêt à taux zéro (PTZ) entrée en vigueur le 1er janvier, Mme Duflot souligne

que cette mesure "sera recentrée sur les ménages les plus modestes" alors que le "précédent

dispositif était accessible sans plafond de ressources et ouvert à l'immobilier ancien".

A propos du dispositif fiscal "Duflot" prévu pour encourager l'investissement locatif, la ministre indique

qu'il "bénéficiera aux locataires car les loyers seront inférieurs de 20% au marché".

Le dispositif d'aide à l'investissement locatif prévoit une réduction d'impôt de 18% "sur le revenu pour

l'acquisition ou la construction d'un logement neuf en zone tendue". En contrepartie, le propriétaire

devra mettre son bien en location pendant neuf ans au minimum, à un loyer plafonné et inférieur au

marché, et à des locataires sous plafonds de ressources, a indiqué le ministère du logement, en

présentant ce dispositif qui est entré en vigueur depuis le 1er janvier.

Source : LePoint.fr

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Immobilier : ces réformes qui vont concerner les

propriétaires et les investisseurs en 2013

Le 2/1/2013

© REA

Resserrement du prêt à taux zéro, nouvelles aides aux investisseurs… zoom sur les mesures phares

qui vont frapper le secteur de l’immobilier dès le 1er janvier.

> Plus-values immobilières : la refonte retoquée pa r le Conseil constitutionnel

Le projet de loi de Finances modifiait l'imposition des plus-values sur les ventes de terrains à bâtir,

pour l'aligner sur le barème de l'impôt sur le revenu à partir de 2015. Le Conseil constitutionnel a

estimé que cette mesure pouvait porter jusqu'à 82% le taux d'imposition marginal de ces plus-values.

Un seuil considéré comme excessif par les Sages, qui ont supprimé l'article.

La refonte du régime fiscal des plus-values immobilières sur le foncier bâti (hors résidence principale),

voulue par le gouvernement, a, elle aussi, été sérieusement écornée. Le Conseil a en effet supprimé

l'abattement supplémentaire de 20% qui devait être accordé pour les gains dégagés en 2013.

Au final, les plus-values immobilières restent donc taxées à 19%. En y rajoutant les prélèvements

sociaux (15,5%), le taux d’imposition atteint toujours 34,5%. Les propriétaires continuent aussi à

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bénéficier d’un abattement pour durée de détention : de 2% par an entre la sixième et la dix-septième

année de détention, puis de 4% par an au-delà de la dix-septième année, et enfin de 8 % chaque

année au-delà de vingt-quatre ans. Ce qui conduit donc à une exonération totale au bout de 30 ans.

Toutefois, après application des abattements, les propriétaires réalisant des plus-values supérieures à

50.000 euros sont désormais soumis à une surtaxe, dont le taux oscille entre 2 et 6%.

> Un nouveau prêt à taux zéro : prime aux acheteurs modestes

Le prêt à taux zéro version 2013 est réservé aux primo-accédants, dont les revenus sont modestes et

qui réalisent une opération dans le neuf. Pour bénéficier du nouveau PTZ, une personne seule doit

par exemple déclarer au maximum entre 16.500 euros et 36.000 euros de revenu fiscal de référence,

selon les régions. Le nouveau dispositif ne peut pas dépasser 35% du coût total du crédit.

Investissement locatif : le Duflot à la place du Sc ellier

Le dispositif d’investissement locatif Duflot entre en vigueur dès le 1er janvier. Son principe : les

particuliers, qui achètent dans l’immobilier neuf pour louer, bénéficient d'une réduction d'impôt

équivalente à 18 % du montant investi, dans la limite de 300.000 euros. Seules conditions pour en

profiter : louer son bien durant 9 ans à des loyers 20% en dessous des moyennes constatées dans

chaque quartier.

Le nouveau dispositif s’applique aux logements situés en zone A et A bis (Paris et son agglomération,

une partie de la Côte d’Azur et du Genevois français, certaines communes de Haute-Savoie, du Var et

des Alpes-Maritimes), B1 (Agglomérations de plus de 250 000 habitants, Corse, grande couronne

parisienne, avec, au cas par cas, des plus petites villes jugées chères, comme Annecy). La zone B2

(villes de 50.000 à 250.000 habitants) pourrait, elle aussi, devenir totalement éligible en cours

d’année.

Notez que le dispositif "Duflot" sera bonifié pour les investissements outre-mer : les investisseurs qui

achètent dans l’immobilier neuf pour louer dans les Dom-Tom bénéficieront d’une réduction d'impôt

égale à 29 % du montant investi, dans la limite de 300.000 euros (contre 18% pour les

investissements en métropole).

> Résidences de services meublées : le Censi-Bouvar d prolongé

Le dispositif d’investissement locatif Censi-Bouvard, qui devait initialement s’éteindre fin 2012, est

finalement prolongé jusqu’à fin 2016. Pour rappel, le Censi-Bouvard cible les particuliers qui

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investissent dans une résidence de services meublée (résidence de tourisme, étudiante ou maison de

retraite médicalisée). Il donne droit à une réduction d’impôt équivalente à 11% du montant de

l’investissement, dans la limite de 300.000 euros. Soit jusqu’à 33.000 euros de ristourne fiscale, étalée

sur neuf ans.

> Logements vacants : la taxe renforcée

La taxe sur les logements vacants est étendue à toutes les agglomérations de plus de 50.000

habitants, où il existe un déséquilibre important entre offre et demande. Elle s’applique aux logements

inoccupés depuis plus d’un an. Son taux s’élève à 12,5 % la première année d’imposition, puis à 25 %

à compter de la 2ème. Pour rappel, cette taxe est calculée sur la base de la valeur locative du bien,

qui sert aussi de référence à la taxe d’habitation.

Source : Capital.fr

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Taux de crédits immobiliers: à leur plus bas

historique Le 3/1/2013

Vue aérienne, depuis la Place de la République, sur des immeubles parisiens.Jean-Christophe

MARMARA / Le Figaro

, la plupart des emprunteurs (95,5 %) ont souscrit un emprunt immobilier à un taux inférieur à

4 %.

Les ménages français n'ont jamais eu l'occasion de s'endetter à si bon compte! En décembre, les taux

des prêts immobiliers ont en effet atteint un plus bas historique depuis 1945 à 3,23 % en moyenne

(hors assurance), selon l'observatoire Crédit Logement/CSA. Le précédent record datait de novembre

2010 (3,25 %). Le mois dernier, la plupart des emprunteurs (95,5 %) ont souscrit un emprunt

immobilier à un taux inférieur à 4 %. Ils n'étaient que 50 % au premier trimestre 2012. Mais, entre

mars et décembre 2012, les taux des emprunts ont reculé de 0,72 % en moyenne, dans le sillage de

ceux de l'OAT à dix ans (actuellement à 2,07 %), qui sert de référence aux prêts à taux fixe.

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À la fin de l'année dernière, les emprunteurs ont été un peu plus nombreux que les mois précédents à

profiter de cette aubaine. «Comme cela s'était déjà produit en 2011 à la même époque, la production

de crédit s'est redressée dans le neuf en novembre et décembre», précise l'observatoire. Certains

ménages ont ainsi saisi l'occasion pour investir dans du «Scellier» qui disparaîtra en mars 2013 et

sera alors remplacé par le nouveau dispositif fiscal «Duflot». D'autres ont aussi acheté leur premier

logement par anticipation pour profiter une dernière fois du prêt à taux zéro (PTZ) ouvert à tous les

acquéreurs dans le neuf, sans conditions de ressources. Depuis le 1er janvier, le PTZ est recentré sur

les ménages les plus modestes, qui ont des difficultés à accéder à la propriété.

Malgré ce sursaut de fin d'année, le nombre total de crédits immobiliers accordés par les banques a

plongé de 33,1 % en 2012 (en glissement annuel). Ce qui s'est rarement vu. La peur du chômage, les

inquiétudes sur le pouvoir d'achat et des prix de la pierre toujours élevés ont dissuadé les acheteurs

potentiels.

Source : LeFigaro.fr

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Les prêts immobiliers ont chuté en 2012... Malgré

des conditions attractives Le 3/1/2013

Copyright Reuters

Malgré des conditions de crédits très attractives et un point bas atteint en décembre à 3,23%, le

nombre de crédits immobiliers accordés a chuté de 33,1% en 2012 par rapport à 2011, selon

l'Observatoire Crédit Logement.

Après une année exceptionnelle en 2011, le nombre des prêts immobiliers accordés a reculé

de 33,1% en 2012, selon l’Observatoire Crédit Logement. Si l’année n’avait pas bien

commencé, la production ne s’est pas pour autant ressaisie durant l’été. L’organisme

spécialisé dans la caution de prêts à l'habitat pointe la dégradation de la production de crédits

immobiliers en décembre (-4,1%), comme cela est généralement habituel à cette période de

l’année. Cependant, elle s'affiche en sensible recul par rapport à décembre 2011 (-38,3 %).

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Un point bas atteint en décembre 2012

Les conditions de crédits étaient pourtant très attractives. Le point bas de novembre 2010

(3,25 %) ayant été atteint. En effet, les taux des prêts immobiliers sur l'ensemble du marché

(ancien, neuf et travaux) ont continué de reculer en décembre à 3,23% en moyenne contre

3,31% le mois précédent, selon les chiffres de l'Observatoire. Ce qui équivaut à un recul de

"72 points de base" depuis mars 2012. "Cette baisse des taux bénéficie autant au marché du

neuf (3,22 % contre 3,93 % en février) qu’à celui de l’ancien (3,23% contre 3,97 % en février)

ou à celui des travaux (3,24 % en novembre contre 3,93 % en février)", ajoute Crédit

Logement.

La durée moyenne des prêts en recul

La durée moyenne des prêts s’est elle établie à 208 mois en décembre 2012. Crédit Logement

souligne un recul brutal de la durée constaté en avril 2012 à 200 mois contre 214 mois depuis

le début de l’année 2011. Ce qui a "accompagné les difficultés d’un marché en dépression et

confronté à la transformation de ses clientèles (suppression du PTZ+ dans l’ancien et recul de

l’accession des ménages modestes sur tous les marchés)", commente l’organisme de caution.

Depuis, les durées se sont redressées et elles semblent maintenant stabilisées dans l’ancien,

soit 217 mois en moyenne depuis avril contre 226 mois en moyenne en 2011, comme dans le

neuf , c'est-à-dire 226 mois en moyenne depuis avril contre 233 mois en moyenne en 2011.

Source : LaTribune.fr

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Les taux des crédits immobiliers n'ont jamais été

aussi bas, et alors?

Le 4/1/2013

Le taux moyen pour un emprunt immobilier a atteint 3,23% en décembre, du jamais vu depuis

la Libération. Des conditions de financement qui pe rmettent d'éviter le pire, mais qui ne

suffiront pas à relancer le marché.

Immobilier Paris. Rue Pierre Semard, dans le IXème.

© Jérôme Chatin

Bonne nouvelle, le taux moyen des crédits immobiliers en France a atteint en décembre son plus bas

niveau historique. Mauvaise nouvelle, cette situation inédite va aussi de pair avec un prix du m2

encore très élevé malgré un mouvement de baisse entamé l'année dernière de façon inégale dans

certaines régions. Conséquence, ces bonnes conditions de financement ont seulement permis aux

prêts à l'habitat, déjà en nette baisse par rapport à 2011, de ne pas s'effondrer fin 2012.

Selon l'Observatoire Crédit Logement/CSA publié jeudi, le taux moyen s'est affiché à 3,23%, soit en-

deçà du précédent record de 3,25% qui datait de novembre 2010. Pour Crédit Logement, cette

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configuration des taux, "totalement inédite depuis la Libération", permet aux établissements de crédit

de limiter "la chute d'activité d'un marché particulièrement déprimé".

La baisse concerne l'ensemble du marché aussi bien dans l'ancien, avec un taux moyen passé de

3,97% en février à 3,23% en décembre, que le marché du neuf, où le taux a reculé de 3,93% en

février à 3,22% à la fin de l'année dernière. "Il y a une action des banques qui permet d'éviter que la

crise ne soit plus grave encore", estime Michel Mouillart, professeur d'économie à l'Université Paris-

Ouest et auteur de l'étude.

Le marché reste bloqué

Certes. Mais les banques continuent parallèlement de se montrer plus sélectives en demandant

notamment un apport plus important. En moyenne, celui-ci atteindrait désormais 50.000 euros selon le

courtier en ligne Empruntis. De façon générale, on observe d'ailleurs une exclusion de ménages

modestes du marché du crédit immobilier.

Résultat, en 2012, le volume de prêts accordés s'est contracté de 33,1% par rapport à l'année

précédente. Et ce même si la fin de l'année a correspondu à une stabilisation à des niveaux bas plutôt

qu'à une poursuite de la dégradation.

Le nombre de transactions immobilières a lui aussi chuté mais plus modérément: soit un recul de

11,8% sur les 12 mois d'octobre 2011 à septembre 2012, selon l'indice Notaires-Insee le plus récent.

"Si on était dans une situation avec des taux à 5%, on serait mort", considère M. Mouillart. En

décembre 2012, 95,5% des crédits accordés l'ont été a des taux de 4% ou moins.

C'est le moment de renégocier

Reste que s'il ne suffit pas à relancer un marché bloqué, ce niveau historiquement bas des taux

d'intérêt rend possible et avantageux les renégociations de prêts immobiliers. De fait, les courtiers

sont assaillis de demandes à ce sujet. Le site meilleurtaux.com faisait ainsi état récemment d'un

triplement du nombre des dossiers reçus en octobre par rapport à la moyenne mensuelle du 1er

semestre 2012. Idem pour son concurrent Empruntis qui conseillait à tous ceux qui disposent d'un

crédit à un taux supérieur à 4,50% de " renégocier sans plus attendre ".

La baisse continue du taux des crédits immobiliers a été rendue possible par la poursuite inattendue

du repli des taux d'intérêt. Souvent considéré comme la référence des taux des crédits immobiliers, le

taux de l'obligation d'Etat française à 10 ans est ainsi passé sous les 2% pour la première fois début

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décembre sur le marché secondaire. Le Trésor vient par ailleurs de procéder à une émission de titres

à 10 ans au taux également jamais vu de 2,07%.

La baisse des taux des prêts immobiliers aurait même pu être plus spectaculaire mais a été atténuée

par l'arrivée du nouveau cadre réglementaire dit Bâle III, qui renchérit le coût de financement moyen

des banques. Les établissements de crédit ne disposent donc pas d'une marge de manoeuvre

significative pour abaisser encore beaucoup plus les taux de leurs prêts à l'habitat.

Pessimisme sur les mesures du gouvernement

Or, pour M. Mouillart, le nouveau dispositif d'incitation fiscale à l'investissement locatif, baptisé

"Duflot", qui remplace le "Scellier" depuis le début de l'année 2013, n'a pas convaincu les

investisseurs. Il pâtit notamment, selon lui, de l'obligation faite de louer 20% en-deçà des prix du

marché qui, couplée à l'encadrement des loyers, en vigueur depuis début août 2012, induit que

l'investisseur ne pourra jamais s'aligner sur le marché, même au terme du dispositif (9 ans minimum).

"Tout le monde a bien vu que le dispositif d'après n'était pas intéressant", considère M. Mouillart.

En outre, la refonte, début 2013, du PTZ+ (prêt à taux zéro), marquée par un abaissement sensible

des plafonds de ressource, bride la puissance d'un des moteurs du crédit à l'habitat et de l'acquisition

immobilière. M. Mouillart prévoit, dès lors, un nouveau repli de 10% du volume de crédits immobiliers

(neuf, ancien et travaux) en 2013 par rapport à 2012.

Source : L’Expansion.fr

Page 20: Revue de presse de la semaine 1 2013

La revue de Presse KYLIA

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KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau 100% web composé d’une famille d’enseignes immobilières toutes spécialisées dans un domaine de transaction. Le concept KYLIA repose sur 3 idées fortes : • La dématérialisation de l’agence avec vitrine permettant une meilleure rémunération des agents et la pratique de taux de commission jusqu’à deux fois inférieurs par rapport aux agences immobilières traditionnelles. • L’hyperspécialisation des agents engendrant une plus grande réactivité sur le terrain, plus de professionnalisme mais surtout plus d’efficacité vis-à-vis des clients. • La culture du partage permettant de fédérer l’ensemble des équipes autour d’un objectif commun : La croissance ! Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA Immobilier

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