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REVUE DE PRESSE
SEPTEMBRE 2016
Sept - Oct Page 1/1 – Imprimé à 518 000 exemplaires
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Le 5 sept 2016 Page 1/1 – Imprimé à 37 919 exemplaires
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Le 6 sept 2016
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Le 7 sept 2016
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Le 8 sept 2016
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Le 14 sept 2016 Page 1/1 – Imprimé à 37 919 exemplaires
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Le 14 sept 2016 Page 1/1 – Imprimé à 37 919 exemplaires
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Le 14 sept 2016 Page 1/1 – Imprimé à 37 919 exemplaires
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Le 14 sept 2016 Page 1/1 – Imprimé à 37 919 exemplaires
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Le 14 sept 2016 Page 1/1 – Imprimé à 37 919 exemplaires
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Le 15 sept 2016
Page 1/2 – Imprimé à 377 768 exemplaires
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« Je n’aime pas qu’on me mente. Ce n’est pas une question d’argent, mais de principe. » Guy
Cocheteux est un tenace. Et il trépigne sur le banc des parties civiles à chaque intervention des
prévenus. Ce retraité de L’Isle-Adam de 73 ans, venu au palais de justice de Paris avec sa
valise remplie de documents liés à l’affaire, ne perd pas une miette du procès d’une vaste
escroquerie jugée depuis lundi devant la 11e chambre correctionnelle.
Il a perdu 50 000 € après avoir investi 80 000 € dans un produit financier soi-disant miracle,
qui lui promettait un rendement de 16 % par an. Sur le papier, Marble Art Invest (MAI)
assurait ces revenus financiers grâce à l’achat et à la revente de tableaux d’art contemporains.
Un produit commercialisé en 2010 avec le concours de courtiers.
Ami d’un des prévenus, il mord à l’hameçon avant de comprendre qu’il y a un loup. « J’avais
dit à mon ami : si tu me truandes, je ne te lâcherai pas. Le premier trimestre s’est bien passé.
J’ai été payé. Pas le second… J’ai appelé un des peintres qui m’a confié qu’ils n’étaient
jamais venus chercher les tableaux commandés. »
Menant sa propre enquête, rencontrant tous les protagonistes du dossier, il recueille des
documents décisifs qu’il transmet au parquet financier de Paris et à l’AMF, l’Autorité des
marchés financiers. « J’ai tout fait tomber. »
Le 15 sept 2016
Page 2/2 – Imprimé à 377 768 exemplaires
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Un produit financier soi-disant miracle, promettant un rendement de 16 % par an
L’intervention de Tracfin (la cellule de Bercy chargée de la lutte contre le blanchiment
d’argent), qui a repéré des mouvements financiers suspects, et surtout les promesses de
rendement impossibles à tenir sont à l’origine de l’information judiciaire ouverte en 2011.
Elle a mis en évidence une véritable cavalerie.
Les premiers investisseurs obtenaient leurs revenus avec l’apport des suivants. Quant aux
tableaux, si des achats ont bien été effectués, aucun n’a été revendu. L’enquête a également
montré que d’importants retraits d’argent ont été opérés par les six prévenus, notamment en
Russie, pour assurer leur train de vie. Des voitures de luxe ont été saisies : une Maserati à 117
000 €, deux Bentley Continental à 100 000 et 200 000 €, deux Range Rover.
Mickaël Seghier, 46 ans, la tête pensante du système, a reconnu ce jeudi sa responsabilité. Il a
déjà été condamné à un million d’euros d’amende par l’AMF en juillet dernier, ses
coprévenus devant verser plusieurs centaines de milliers d’euros. Six prévenus sont, au total,
poursuivis pour escroquerie en bande organisée, une partie également pour blanchiment
aggravé.
Le système, appelé aussi « Chaîne de Ponzi », a fait des dégâts. Plus de 360 particuliers ont
investi dans MAI, pour un total de 15,7 millions d’euros. Plus de 350 victimes ont été
remboursées partiellement, retrouvant un tiers environ de leur mise.
Parmi les victimes, une jeune Brestoise. « Elle avait perdu un bras dans un accident et avait
été indemnisée de 200 000 € », a plaidé ce jeudi son avocat. « Mal conseillée, elle a investi
dans MAI. Cette jeune fille fragile, bousculée pour la vie, a perdu 129 000 €. Le contrat était
une chimère. Ils ont vendu la lune à des pigeons. » Réquisitions du procureur et plaidoiries de
la défense ce vendredi.
leparisien.fr
Le 15 sept 2016 Page 1/1 – Imprimé à 37 919 exemplaires
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Le 16 sept 2016
Page 1/1 – Imprimé à 377 768 exemplaires
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Le 16 sept 2016
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Le 16 sept 2016
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Le retraité de L’Isle-Adam est tout sourire. « Tout est bien dans les propos de la procureure. Pas une erreur ! » Guy Cocheteux quitte la salle d’audience de la 11e chambre correctionnelle de Paris ce vendredi matin alors que le parquet vient de requérir 4 ans de prison, dont deux ans de ferme, à l’encontre du cerveau de l’arnaque aux produits financiers fondée sur des œuvres d’art. Mickaël Séghier, 46 ans, qui a reconnu à l’audience sa responsabilité, au contraire des cinq autres prévenus, a également entendu le parquet lui réclamer 100 000 € d’amende ainsi qu’une interdiction définitive d’exercer. L’autorité des marchés financiers (AMF) lui a déjà réclamé 1 M€ d’amende. La procureure a requis à l’encontre des autres prévenus des peines allant jusqu’à 2 ans dont un an ferme et 50 000 € d’amende. La décision sera rendue le 4 novembre prochain.
« C’est parfait », ajoute le retraité de L’Isle-Adam qui avait investi 80 000 € dans Marble Art Invest (MAI), misant une partie de la succession de sa femme décédée. Il pensait gagner 16 % par an comme promis, il a perdu 50 000 € et porté plainte à la gendarmerie de Parmain. Il a ensuite mené sa propre enquête, contribuant à faire tomber les escrocs en communiquant ses pièces au parquet financier de Paris et à l’AMF.
Plus de 360 personnes ont mordu à l’hameçon, investissant plus de 15 M€. C’était une chaîne de
Ponzi : les premiers investisseurs étaient payés avec l’apport des suivants. Les toiles contemporaines
censées générer le profit, c’était du vent.
La procureure a conclu son réquisitoire sur les victimes abusées, leurs familles que les prévenus ont ignoré, du cerveau jusqu’aux courtiers, en passant par l’huissier de justice qui crédibilisait le système et donnait un coup de fouet à l’escroquerie, avant de paniquer et commencer à rembourser. Me Hélène Feron-Poloni, l’avocate de Guy Cocheteux, représente 36 autres victimes dont un marin pécheur de Quimper. « Vous voyez son visage et ses mains, vous comprenez qu’il a investi toute une vie de labeur. Ils lui ont tout pris. Comme toutes les victimes. Ici, il n’y a pas de gagnants du loto. »
leparisien.fr
Le 16 sept 2016
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Le 17 sept 2016
Page 1/1 – Imprimé à 377 768 exemplaires
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Les escrocs aux tableaux risquent de 2 à 4 ans de prison >Le Parisien>Val-d'Oise|Frédéric Naizot|17 septembre 2016, 7h00 | MAJ : 17 septembre 2016,
8h51|
Le retraité de L'Isle-Adam est tout sourire. « Tout est bien dans les propos de la procureure.
Pas une erreur ! » Guy Cocheteux a quitté la salle d'audience de la 11e chambre
correctionnelle de Paris, hier matin, alors que le parquet venait de requérir 4 ans de prison,
dont 2 ans ferme, à l'encontre du cerveau de l'arnaque aux produits financiers fondée sur des
œuvres d'art.
Ils ont piégé plus de 360 personnes
Mickaël Séghier, 46 ans, a reconnu à l'audience sa responsabilité, au contraire des cinq autres
prévenus. Le parquet lui réclame 100 000 € d'amende et une interdiction définitive d'exercer.
L'Autorité des marchés financiers (AMF) lui a déjà réclamé 1 M€ d'amende. La procureure a
requis à l'encontre des autres prévenus des peines allant jusqu'à 2 ans, dont un an ferme et 50
000 € d'amende. La décision sera rendue le 4 novembre .
« C'est parfait », ajoute le retraité de L'Isle-Adam qui avait investi 80 000 € dans Marble Art
Invest (MAI), misant une partie de la succession de sa femme décédée. Il pensait gagner 16 %
par an comme promis. Il a perdu 50 000 € et porté plainte à la gendarmerie de Parmain. Il a
mené sa propre enquête et a communiqué ses pièces au parquet financier de Paris et à l'AMF.
Plus de 360 personnes ont été piégées, investissant plus de 15 M€. C'était une chaîne de
Ponzi : les premiers investisseurs étaient payés avec l'apport des suivants. Les toiles
contemporaines censées générer le profit, c'était du vent.
La procureure a conclu son réquisitoire sur les victimes abusées, que les prévenus ont
ignorées, du cerveau jusqu'aux courtiers, en passant par l'huissier de justice qui crédibilisait ce
système d'escroquerie, avant de paniquer et commencer à rembourser. Me Hélène Feron-
Poloni, l'avocate de Guy Cocheteux, représente 36 autres victimes, dont un marin pécheur de
Quimper. « Vous voyez son visage et ses mains, vous comprenez qu'il a investi toute une vie
de labeur. Ils lui ont tout pris. Ici, il n'y a pas de gagnants du loto. »
Le Parisien
Le 17 sept 2016
Page 1/1 – Imprimé à 377 768 exemplaires
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Avec 5 000 m 2 de terrain rue de Vauréal à Cergy, il était temps de passer à la mécanisation
pour les quatre travailleurs en insertion du Maillon. « Nous avons même récupéré des terres
de particuliers qui ont vu que l'on s'occupait bien de ces champs communaux », ajoute Félis
Moreira, directeur de l'association du Maillon. Chaque année, 5 t de fruits et légumes sortent
d'ici pour être vendues à l'épicerie sociale. C'est pourquoi la banque BNP Paribas, l'Etat et le
député-maire de L'Isle-Adam Axel Poniatowski ont financé l'achat d'un tracteur (notre photo),
de sa benne, ses fraises et son récolteur de pommes de terre pour un coût de 30 000 €.
Prochain objectif : passer de 4 à 6 tunnels de serres et doubler la production en 2017.
L'association présentera le tracteur lors du pique-nique annuel du Maillon ce midi.
Le Parisien
Le 21 sept 2016 Page 1/1 – Imprimé à 37 919 exemplaires
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Le 21 sept 2016 Page 1/1 – Imprimé à 37 919 exemplaires
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Le 26 sept 2016
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