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BULLETIN MUNICIPAL DES ARéDIENS N° 76 FéVRIER 2011 | ACTUALITéS | Carapattes L’Esplanade, 1 an déjà ! | ZOOM SUR... | Comité des Fêtes | SERVICE PUBLIC | Le Service social et le C.C.A.S. SéCURITé ROUTIèRE La lutte contre l’insécurité routière est une préoccupation majeure depuis de nombreuses années en France. | DOSSIER | PAGES 4 à 6

Saint-Yrieix-sur-Charente - Magazine municipal 76 - Février 2011

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Carapattes, Sécurité routière, Service Social et CCAS, L'Esplanade 1 an déjà, Le comité de fêtes

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b u l l e t i n m u n i c i p a l d e s a r é d i e n sN° 76février 2011

| actualités | • carapattes • l’esplanade, 1 an déjà !

| zoom sur... | • comité des Fêtes

| service public | • le service social et le c.c.a.s.

sécuritéroutièreLa lutte contre l’insécurité routière est une préoccupation majeure depuis de nombreuses années en france.

| dossier | pages 4 à 6

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Le budget municipaL

vie municipale budget

La section de fonctionnementElle se compose de deux volets : les recettes et les dépenses qui doivent s’équilibrer (pas plus de dépenses que de recettes !).

La partie recette correspond essentiellement aux rentrées fiscales :

• impôts locaux directs (taxe d’habitation, taxe sur le foncier bâti et non bâti)

• impôts locaux indirects (taxe sur les droits de mutation, …) ou encore aux dotations versées par l’état.

Pour un ménage cela correspond aux différents revenus : salaires, pensions, allocations...Les recettes de fonctionnement servent à financer les dépenses de fonctionnement. Ces dernières concernent notamment des dépenses obligatoires qui incombent aux communes telles que les salaires des agents ou les intérêts d’emprunts.Elles concernent également les frais de fonctionnement (électricité, communication, fournitures pour travaux...) ou les subventions aux associations.Ces dépenses correspondent pour une famille au loyer, l’habillement, les loisirs, l’alimentation...

La section d’investissementComme celle de fonctionnement, elle est composée de la partie dépenses et de la partie recettes, qui là encore doivent être équilibrées.

Les recettes proviennent de différentes sources :• Autofinancement (correspond au solde positif entre

recettes et dépenses de fonctionnement)• Subventions (départementales, régionales, nationales,

européennes...)• Emprunt

A l’échelle d’une famille, cela correspond à de l’épargne, un héritage, des crédits / emprunts...

Le budget : une préoccupation de tous les instantsLe budget municipal est une préoccupation au long court. Le Maire réunit une commission des finances au début de l’automne pour faire un point sur le budget de l’année et évoquer les premières tendances du budget suivant (évolution des dotations, chantiers prioritaires...).

A partir de cet état des lieux, chaque élu prépare au sein de sa commission un budget pour l’année à venir en tenant compte des orientations évoquées en commission des finances. Courant février, le Maire convoque un Conseil Municipal particulier au cours duquel se tient le dOb (débat d’Orientation budgétaire). A cette occasion le bilan définitif de l’exercice précédent est présenté. Puis chaque partie du budget pour l’année en cours est évoquée. Les projets et besoins de financement associés sont étudiés puis arbitrés.

Enfin, avant le 31 mars, le Conseil Municipal adopte les résultats de l’année passée (compte administratif) et vote le budget prévisionnel pour l’année en cours. Il fixe également l’évolution des taux d’imposition locaux, et finalement donne pouvoir au Maire pour réaliser ce budget dans la limite des crédits votés.

Chaque année, chaque commune, chaque collectivité prépare son budget. Il ne s’agit pas juste d’un vote en Conseil Municipal mais d’un processus réfléchi, préparé très en amont. Comme pour une famille, il s’agit de prévoir les recettes afin de définir les dépenses possibles. Il s’agira des dépenses obligatoires (salaires, énergies, remboursements d’emprunts, …) mais aussi des dépenses d’investissement qui traduisent la volonté politique du Conseil Municipal de mener des chantiers d’envergure.

Ces recettes permettent le financement des dépenses d’investissement. ces dépenses financent des projets à moyen et long terme :

• la rénovation du patrimoine municipal• les grands chantiers de voirie• la construction de bâtiments publics• les acquisitions diverses pour les écoles, les salles,

les équipements sportifs….

Elles permettent aussi le remboursement des emprunts.

Pour un ménage, cela correspond à l’achat d’un logement ou d’une voiture, au remboursement de crédits, à l’achat d’équipements électroménagers...

Depuis six ans, le Conseil Municipal a fait le choix de ne pas augmenter les taux des impôts locaux afin de ne pas pénaliser les Arédiens. Cela suppose une gestion serrée et des choix rigoureux car si les missions confiées aux communes sont en hausse constante, les compensations, quant à elles, sont rarement à la hauteur.

evolution des taux

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Denis Dolimont

1saint-yrieix infosn° 76 - fĒvrier 2011

Ēditorial saint-yrieix infos

A travers tous les projets que nous avons menés à terme cette dernière année, et à travers ceux que nous préparons actuellement, je voudrais rendre hommage au travail des personnels communaux.

L’accueil des enfants, l’aide au maintien au domicile, les services en mairie, l’Esplanade, les économies d’énergie, les aménagements routiers, la restauration de l’église de Vénat… sont bien sûr l’aboutissement de choix politiques, mais rien ne se ferait sans l’implication du personnel communal.

Ce sont eux qui recueillent les informations pour permettre les choix des élus, puis qui montent les procédures internes ou externes (marchés publics) pour mettre en œuvre ces choix.

Ce sont eux qui accompagnent les élus de leurs compétences techniques pour le suivi des réalisations confiées à des entreprises.

Ce sont eux qui interviennent pour les travaux en interne, que ce soit l’équilibre alimentaire des menus de la restauration scolaire, la pose d’un arrosage économe sur le terrain de foot, la reprise des concessions au cimetière, la rénovation de la bibliothèque scolaire, l’entretien de nos nombreux bâtiments ou de nos espaces extérieurs…

Nous avons, vous avez la chance d’avoir une équipe de 90 agents compétents et motivés qui vous permettent de bénéficier d’un service public et d’équipements de qualité, qui nous permettent de mettre en œuvre les orientations pour lesquelles vous nous avez choisis.

Elus et agents, nous sommes partis pour une nouvelle année, bientôt un nouveau budget, et pour continuer à faire de Saint-Yrieix cette commune agréable où nous avons le plaisir de vivre ensemble.

SommaireN° 76 - Février 2011

actualitéSCarapattes 2/3L’Esplanade, 1 an déjà ! 8

doSSierSécurité routière 4/6

Service publicLe Service social et le C.C.A.S. 7

Zoom Sur... Le Comité des Fêtes 9

travaux 10

vie municipale 11

brèveS 11

oppoSition 12

agenda 13

Edition :Mairie de Saint-Yrieix sur CharenteAvenue de l’Union - 16710 Saint-YrieixTél. 05 45 38 69 50 - Fax 05 45 38 13 15Mail : [email protected]

Rédaction : Commission Communication

Conception graphique : Christophe ANDré | ZESTUDIO

Crédit photos : M. LE BrAS M. VIgIErMAIrIE DE SAINT-YrIEIx COMITé DES FêTES

Impression : ComposervicesTél. 05 45 65 27 27 - Fax 05 45 65 27 00

Dépôt Légal : à parution Date de parution : Février 2011

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Joindre l’utile et l’agréable, créer du lien et favoriser l’environnement, développer la solidarité (s’adapter au rythme des autres) et prendre soin de sa santé (bouger plus), éduquer à la citoyenneté (apprendre le respect de l’adulte et du camarade), sensibiliser à la sécurité routière : c’est tout cela, et sans doute bien plus, que l’on trouve derrière le projet Carapattes !

saint-yrieix infosn° 76 - fĒvrier 2011

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actualitĒS carapattes

carapattes

Carapattes, c’est un moyen de transport original, novateur, éco-citoyen pour faire le trajet entre le domicile et l’école à pied, avec parents accompagnateurs et bénévoles référents (voisins – retraités…). L’idée du projet remonte à la réflexion mise en place dans le cadre du plan climat dans lequel il était évident d’associer nos écoles.

Présentée par Annie Lamiraud, adjointe à la vie scolaire, l’idée a vite convaincu un grand nombre de partenaires. En s’appuyant sur l’association des parents d’élèves, il a été possible de mobiliser de nombreux acteurs : Education Nationale,

Prévention Routière, ADEME, MAIF, Grand Angoulême et bien sûr la mairie et les équipes éducatives !

Quelques réunions plus tard, le tracé de plusieurs lignes était établi, une enquête auprès de l’ensemble des familles était lancée, la recherche d’accompagnateurs aussi. Ainsi, lors de son lancement, en Avril 2010, ce sont 4 lignes qui sont en fonction. Avec des itinéraires de 20 minutes maximum pour chaque école, elles permettent à 19 enfants de se rendre à pied à l’école, en toute sécurité avec l’implication de 17 accompagnateurs ! Pour chaque ligne, des horaires précis et

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actualitĒS carapattes

des points de rendez-vous au plus près du domicile des enfants sont déterminés avec comme exigence principale la sécurité du groupe.

Depuis, le succès ne se dément pas, essentiellement grâce au bouche à oreille. Interrompues durant l’hiver, les lignes rouvriront dès la rentrée des vacances de Pâques. Pour préparer cette reprise de nombreux aménagements ont été réalisés par les services techniques municipaux : nouveaux passages piétons, sécurisation des abords des écoles, renforcement de la signalétique... C’est le résultat de la collaboration entre les personnels éducatifs, l’association des parents d’élèves et la Police Municipale.

Alors, que vous vouliez voir votre enfant utiliser Carapattes ou que vous souhai-tiez rejoindre les accompagnateurs et permettre ainsi l’ouverture de nouvelles lignes, faites vous connaitre !

Ligne n°8

Ligne n°7

Ligne n°6

Ligne n°5

Ecolematernelle

Ecoleprimaire

témoignage de parents :

«Je trouve cette expérience superbe et de plus les enfants sont ravis de faire «carapattes» et je suis prêt à renouveler carapattes cette année.»

Mme L.

chaque enfant et accompagnateur se voit remettre un kit.

Kit Famille :• Plan de ligne• Arrêts et horaires• Liste des numéros

d’urgence• Coordonnées des

accompagnateurs• Charte des parents• Charte des enfants• Gilet jaune phosphorescent

Kit accompagnateur :• Plan de ligne• Arrêts, horaires, informations

sur les voyageurs• Charte de l’accompagnateur• Liste des numéros d’urgence

et procédure d’urgence• Gilet jaune phosphorescent

cOntacts

aipeb Madame Champagne (Présidente) :

06 07 75 01 79

service scolaire M. Tissot, Mme Fumé, Mme Lamiraud :

05 45 38 51 92

directeurs des écoles M. Villesange : 05 45 95 88 89 Mme Moret : 05 45 95 33 25

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doSSier sécurité routière

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La lutte contre l’insécurité routière est une préoccupation majeure depuis de nombreuses années en France. C’est bien sûr l’affaire de l’État : une structure interministérielle destinée à faire appliquer les mesures en faveur de la sécurité routière fait notamment le lien entre le volet contrôle et correction, le volet secours, le volet écologie, énergie, développement durable et aménagement du territoire et l’entretien des voiries et autoroutes. Mais sont également concernés les collectivités locales (le maire dispose notamment des pouvoirs de police de la circulation et du stationnement), les assurances, les entreprises, les associations et... tous les usagers. en un mot, c’est vraiment L’aFFaire de tous.

la sécurité routière

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doSSier sécurité routière

A une époque où tout doit aller vite, où il faut s’affranchir des distances et du temps, il est nécessaire que les piétons, les vélos, les automobiles, les transports publics, les camions, puissent se déplacer de façon fluide, sans heurt et en respectant l’autre. Des règles, propres à chaque type de véhicule, permettent ainsi de partager les axes de déplacements. Depuis 2010 et la nouvelle version du permis de conduire, le piéton est officiellement et légalement prioritaire sur tous les autres modes de déplacement et sur l’ensemble de la chaussée.

La réglementation a beaucoup évolué au fil du temps. En 1889, le premier examen de conduite sur tricycle à vapeur voit le jour ; Léon Serpollet est le premier à obtenir ce certificat provisoire qui ne permet pas de dépasser les 16 km/h ! Il faudra attendre près de 10 ans pour qu’une femme (la duchesse d’Uzès) obtienne à son tour le précieux sésame, en 1898. L’année suivante, un certificat de capacité spéciale permet de conduire jusqu’à 30 km/h sur route et 20 km/h en ville. En 1922, en même temps qu’apparaît la police de la circulation, le certificat de conduite est renommé «permis de conduire». En 1954, la limitation de vitesse en agglomération est portée à 60km/h. La conduite en état d’ivresse est sanctionnée dès 1959 mais ce n’est qu’en 1965 que la mesure d’alcoolémie par air expiré (alcootest) est mise en place.

Jusqu’en 1980, l’automobile reste le moyen privilégié de locomotion et les voies sont aménagées en priorité pour elle : chaussée large, trottoirs quasi inexistants, peu d’aménagements piétonniers... Depuis, les

autres modes de transports doux (vélo et à pied) ont peu à peu pris place dans le paysage routier grâce à de nouveaux équipements : pistes cyclables, passages piétons, carrefours et signalisation directionnelle optimisés afin de mieux répartir les différents flux de circulation...Pour accroître la sécurité, la réglementation sur l’alcoolémie est durcie en 1983 puis la vitesse en agglomération est abaissée à 50km/h en 1989 ; les premiers radars automatiques sont installés en 2003...Les solutions pour améliorer la sécurité des usagers de la route sont donc nombreux : évolution de la réglementation, préven-tion, formation et sensibilisation, aména-gements, répression... Un bon aménagement urbain est un gage de sécurité pour les usagers et les riverains. Il doit répondre à des besoins conciliant vie locale et environnement et allier sécurité, convivialité et accessibilité.

des modes de transports en constante évolution

A Saint-Yrieix, les efforts ont été nombreux pour accompagner les nouveaux usages de la route, pour sensibiliser chacun au rôle qu’il peut jouer pour rendre les déplacements plus sûrs, plus économes, plus respec-tueux des autres et de l’environnement. Nous avons souhaité présenter par exemple dans ce numéro le pédibus Carapattes (page 2), qui permet aux élèves du groupe scolaire de Bardines de faire les trajets domicile / école à pied, en toute sécurité. Cette démarche est

aussi l’occasion d’une sensibilisation concrète et quotidienne des plus jeunes à la probléma-tique de la sécurité routière. Les abords des écoles ont fait l’objet d’un soin particulier : des barrières de protection ont été posées afin de limiter le stationnement sauvage et des ralentisseurs ont été installés afin de réduire la vitesse. Car la vitesse, nul ne peut l’ignorer, est bien souvent à l’origine des accidents. Un événement banal à basse vitesse peut devenir un accident à vitesse élevée.

une attention toute particulière à nos infrastructures de transports

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Le saviez-vous ?

doSSier sécurité routière

Les premières routes sont liées à l’invention de la roue, du char et des chariots. Les Chinois disposaient d’un vaste réseau de routes. La «route de la soie» est un axe commercial très ancien. Les romains ont développé le premier grand réseau routier pavé par des esclaves. La plupart des anciennes voies romaines existe toujours.

Dans le passé, les routes étaient entretenues par la corvée, l’impôt en nature, sous forme de prestations imposées de travail ou d’apports de matériaux (cailloux, silex, chaux). Au début du XXe siècle, avec l’essor du trafic automobile mais aussi avec le développement de la bicyclette, qui avait besoin de chaussées de meilleure qualité, on revêtit ces dernières, préalablement tassées au rouleau compresseur, de goudrons, de pavés bitumineux ou d’asphalte, comme cela était déjà fait pour les trottoirs depuis le début du XiXe siècle. Le goudronnage des routes est demandé en France dès 1901 pour se protéger de la poussière soulevée par les voitures. En 1913, on compte mille kilomètres de routes goudronnées en France. Une partie importante des impôts sert encore à la construction, à l’entretien et à l’éclairage des routes.

tapis beRLinOis

Ils obligent les automobilistes à réduire leur

vitesse mais ne gênent pas la circulation des autobus :

grâce à leur largeur de 1,80 m, les autobus

passent de part et d’autre du coussin.

RappeL

En France, l’année la plus meurtrière fut 1972.

Auparavant, la courbe de mortalité suivait la

croissance de la circulation, à partir de là, les mesures

ont permis de faire baisser le nombre d’accidents malgré

la progression de la circulation :

entre 1973 et 2002, le nombre d’accidents

et de victimes a été divisé par deux alors que la

circulation routière a été multipliée par 2,5.

Les deux mesures importantes qui suivirent

l’année noire 1973 furent la limitation de la vitesse en

1973 et le port de la ceinture de sécurité en 1975.

Les services techniques, à la demande de la municipalité, ont réalisé un bon nombre d’aménagements visant à la réduire : terre plein central en 1995 route de Royan, double rond point avenue du Mas, haricot central (rue de Bellevue et rue Guynemer), rétrécissement de chaussée et zone limitée à 30km/h rue des Mesniers. Des gendarmes couchés ont été mis en place rue de l’Ancienne Mairie, rue des Févriers, rue de chez Migounet, rue de la Combe Garnier et rue Gérard de Nerval. Tout récemment le réaménagement de l’Avenue de l’Union (rétrécissement de chaussée, rond point, terre plein central...) et mise en place d’un «à toi / à moi» sous le pont rue de l’Epineuil. Notons également l’installation de deux tapis berlinois (Cf. encadré) rue de la Coutille.

Outre ces aménagements, la police nationale est présente pour des contrôles ponctuels sur les rues les plus sensibles.

Enfin, en favorisant les modes de circula-tions douces (aménagements de bandes cyclables, chemins piétonniers...) et l’utili-sation des transports en commun (parking relais, abonnement STGA, covoiturage...) la commune espère fluidifier le trafic en dimi-nuant le nombre de véhicules et bien sûr ré-duire son empreinte carbone.

Mais si l’évolution et l’entretien des infras-tructures ont une large part de responsabilité dans la sécurité, le comportement de cha-cun n’en demeure pas moins primordial.

N’oublions pas qu’au-delà du strict res-pect du Code de la Route, le bon sens permet bien souvent d’éviter le pire.

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Service public service sociaL

Les conditions sociale et économique se dégradent fortement depuis quelques années. Des personnes, jusque alors épargnées, se retrouvent en situation de précarité nouvelle. Cette précarité grandissante se traduit, y compris à Saint-Yrieix, par des sollicitations auprès du C.C.A.S. de plus en plus importantes et fréquentes. Ainsi, entre 2009 et 2010, les attributions d’aides alimentaires d’urgence ont plus que doublé. Il faut savoir également que cette précarité matérielle cache bien souvent une profonde détresse morale notamment chez les personnes âgées, handicapées ou isolées.Il appartient donc à chacun d’être attentif aux personnes qui nous entourent.Maryse rOUx (Maire Adjointe aux Affaires Sociales, Vice-Présidente du CCAS).

action en faveur du logement auprès des bailleurs sociaux : les dossiers de demande, disponibles à la mairie, sont déposés par les intéressés à l’organisme, puis proposés et appuyés par l’élue siégeant à la commission d’attribution.

le Service Social et le c.c.a.S.Le service social, service interne à la mairie, et le Centre Communal d’action sociale, établissement public administratif, sont complémentaires et sont à l’écoute des personnes et des familles qu’ils accueillent, assistent et orientent en fonction de leurs besoins.depuis 1995, chaque commune doit constituer un C.C.a.s. Cette structure a une personnalité juridique distincte - avec son conseil d’administration et son propre budget - et travaille en étroite collaboration avec le service social de la mairie. Les autres services peuvent également être amenés à être en relation avec le C.C.a.s.La commission sociale propose des orientations qui sont ensuite validées par le conseil d’administration du C.C.a.s. Celui-ci travaille en partenariat avec les assistantes sociales et les différents organismes sociaux qui interviennent sur la commune.

A Saint-Yrieix, nous assurons différentes missions légales ou facultatives de prévention et d’insertion au titre du dé-veloppement social sur la commune, ainsi que des actions spécifiques.

• Les missions légales sont l’ensemble de prestations défi-nies par le Code de la Famille et de l’Action Sociale :Il s’agit d’aider à la constitution des dossiers d’aide sociale générale ou légale ou orientation vers les services com-pétents pour les demandes suivantes : A.P.A. (Allocation Personnalisée d’Autonomie), aide ménagère, admission à l’aide sociale du département (frais d’hébergement en mai-son de retraite)…

• Les missions facultatives quant à elles, sont décidées par le conseil d’administration du C.C.A.S. en fonction de la situation ou de critères déterminés : secours d’urgence, aides financières attribuées par le conseil d’administration, aides à l’enfance, aide au transport pour les personnes âgées ou handicapées

• Les actions spécifiques sont organisées ponctuelle-ment : participation à la collecte des Restos du Cœur, plan Canicule en faveur des personnes isolées, réseau de solida-rité, opération «1 enfant - 1 jouet» , repas des Anciens

L’agent du service social est à votre écoute pour vous orien-ter, vous conseiller, vous aider dans vos démarches. Natha-lie SOULLARD (ou en son absence, Estelle PONTAILLIER), vous reçoit les lundi, mardi, jeudi et vendredi après-midi de 13 h 30 à 17 h 30. En cas d’urgence, le maximum sera fait pour vous recevoir le plus rapidement possible.

Les demandes d’aide financière, de plus en plus nom-breuses, passent en priorité par les assistantes sociales de la M.D.S. (Maison Des Solidarités) qui travaillent en étroite collaboration avec le secrétariat du service social. Les per-sonnes en difficulté ont aussi la possibilité de s’adresser directement à l’agent du service social qui présentera leur dossier en conseil d’administration pour avis.

Les personnes âgées ou isolées bénéficient également d’une écoute. Dans une volonté de les accompagner, la commune a souhaité mettre en place un réseau de solida-rité qui établit un lien entre bénévoles et personnes seules.

Maryse ROUX (à gauche), Adjointe aus Affaires Sociales et Nathalie SOULARD

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A peine 1 an après son ouverture, la bibliothèque devenue médiathèque a plus que trouvé son public : le nombre d’inscrits est passé de 1 342 (dont 881 Arédiens) à 2 369 (dont 1 460 Arédiens). Ces 1 460 inscrits représentent 20% de la population Arédienne, la moyenne nationale en la matière étant de 17 %.L’évolution du nombre de prêts est toute aussi impressionnante puisqu’elle a pres-que triplé : 59 200 prêts tous supports confondus (livres, CD, DVD, revues).Au-delà des chiffres, nous constatons que les publics se sont appropriés l’espace, que la médiathèque est plus qu’un lieu de retours et d’emprunts de documents : on y flâne, on s’y installe, on s’y rencontre, on échange (plus ou moins bruyamment d’ailleurs !). C’est un lieu de vie, c’est ce que l’on espérait ! Ce succès, on le doit au lieu - agréable, lumineux et chaleureux -, aux collections offertes, à l’accueil des bibliothécaires et à vous, habitants de la commune qui avez fait de ce lieu «votre» médiathèque.Les premières animations ont vu le jour : exposition, contes pour enfants, «Speed Booking Coups de cœur» pour échanger en duo sur ses coups de cœur, Pochettes Surprises pour découvrir des sélections de documents proposés par les bibliothécaires.Les classes de la commune qui le souhaitent sont accueillies une fois par trimestre pour des «heures du conte» ou pour participer à des projets. Les enfants de la crèche et leurs assistantes maternelles bénéficient également d’un accueil spécifique.

Après cette première année, l’Esplanade «se porte bien». Elle intéresse, elle attire, elle questionne, elle rassemble, elle donne envie d’y venir pour découvrir, pour se rencontrer, se former, travailler, aider l’autre, participer, créer, lire, jouer, écrire. On peut parler d’un lieu ouvert à tous où l’accueil reste une priorité pour l’équipe du CSCS Amicale Laïque.La salle de réunions est de plus en plus demandée et a permis la tenue d’une centaine de réunions pour de nombreuses associations.

L’ouverture de l’Esplanade a permis à notre association de bénéficier d’un bureau plus fonctionnel pour recevoir l’inscription de nos adhérents .Il faut reconnaître également que les échan- ges et les rencontres entre les responsables associatifs sont maintenant facilités. Toutefois, nous regrettons vivement que nos adhérents ne puissent bénéficier d’une telle structure culturelle pour la pratique de nos activités artistiques telles que : piano, guitare, et danses. Ces dernières sont restées éparpillées dans les structures anciennes et inadaptées.Les personnes intéressées peuvent venir découvrir nos activités sportives, artis-tiques, d’expressions corporelles, et de maintien en forme...

la médiathèque centre Socio culturel et Sportif – amicale laïque

association « expressions »

actualitĒS L’espLanade

�nOuveauX hORaiRes :Mardi et mercredi : 10h à 12h30 et 14h30 à 18h30 Vendredi : 14h30 à 18h30 Samedi : 10h à 13h et 14h à 18hTél. 05 45 38 95 00 Site : www.fileasweb.fr

Pour fêter ses 1 an, l’Esplanade et l’ensemble de ses acteurs préparent un programme spécial que vous pouvez découvrir dès à présent sur le site de la Mairie : retenez déjà cette date samedi 5 mars 2011 !

L’espLanade, 1 an déjà !après cette année d’ouverture, un premier bilan sur l’utilisation de cet espace public par ceux qui le font vivre, l’animent et vous accueillent chaque jour.

L’atelier répond à un réel besoin en termes d’activité. Depuis l’ouverture, 4 activités «enfants» et 9 «adultes» ont été organi-sées : elles ont concerné plus de 200 par-ticipants (anglais, cuisine, scrapbooking, calligraphie, peinture sur porcelaine…).L’espace public numérique a déjà permis l’accès à Internet à plus de 50 personnes avec un accompagnement de notre animateur et depuis janvier 2011, le CSCS a signé une convention avec Pôle Emploi afin de permettre aux demandeurs d’emploi d’effectuer certaines démarches par Internet. Nous constatons avec plaisir la venue croissante d’un public «16-25 ans» qui a également la possibilité d’accéder au Relais Informations Jeunesse (jobs d’été, démarches administratives…).L’espace familles propose un accueil social et familial à travers des actions vacances, ateliers, parentalité… ainsi qu’un soutien scolaire trois fois par semaine.L’installation de la ludothèque dans les nouveaux locaux, au centre des lotissements et des services de proximité, a généré un intérêt très vif. Depuis la rentrée de septembre, le nombre des adhérents vient d’atteindre celui que nous avons eu précédemment en 1 an : de 246 à 443 adhérents (+80%).

Une «mamy» déclare : «ce centre d’intérêt très éducatif et convivial a beaucoup apporté à mon petit fils au niveau de l’éveil, de la communication avec les autres et de la confiance en lui ».Des espaces adaptés à chaque tranche d’âge et un espace jardin aux beaux jours permettent à chacun de s’y sentir bien.Le Centre SocioCulturel et Sportif Amicale Laïque accueillera toujours avec plaisir de nouveaux bénévoles pour la ludothèque, le soutien scolaire et le travail en commissions. N’hésitez pas à rejoindre l’équipe, vous aurez l’occasion de vivre de bons moments de convivialité tout en étant utile aux autres.

Ouverture du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 18h30Tél : 05 45 92 14 82 Courriel : [email protected] Site : www.cscsal-aredien.com

Ouverture tous les après-midi du mardi au vendredi de 15h à 18h.Tél. 05 45 93 14 97Site : www.expressions16.fr

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9saint-yrieix infosn° 76 - fĒvrier 2011

Zoom Sur ... Le comité des fêtes

le comité deS fêteS : ses manifestations

La journée plein air (en juin) organisée depuis 1995, se compose d’un concours de pêche le matin et d’un concours de pétanque l’après-midi avec remise de lot à chaque participant. A midi, un repas convivial est servi au bord de l’eau : soit près de l’écluse de Thouérat (étang prêté par Thierry Niort), soit à Ludarédie (étang prêté par l’EDF). L’étang est empoissonné la veille par le comité.

Le concours communal des maisons décorées (du 15 décembre au 5 janvier) récompense les Arédiens qui déco-rent et illuminent leurs maisons, lors du concours intercommunal avec Fléac, la Grande-Garenne et Puymoyen. Saint-Yrieix se classe chaque année dans le haut du tableau.

Le bric-à-brac (le 4ème dimanche de septembre) installé d’abord près de la mairie, puis à Vénat depuis 2008, attire chaque année environ 120 exposants et de nombreux visiteurs. Sur place, nous proposons une restauration rapide.

pour le réveillon de la saint-sylvestre, le comité des fêtes accueille environ 130 convives à la salle de la Combe pour danser et s’amuser jusqu’au bout de la nuit.

Parmi les différentes manifestations qui ont été organisées par le comité des fêtes (frairies, bal, pièces de théâtre, concours de vélos fleuris, courses de trottinettes, courses de vélos, bal du 14 juillet, lotos, soirées dansantes…), il en est une qui a fait la notoriété de Saint-Yrieix, en France, ce sont les «24 heures solex». Première édition lancée en 1980, la dernière en 1998. Pendant les «24 heures», ont été proposés : saut à l’élastique, baptême en montgolfière ou en hélicoptère… Quelques chiffres : 2 000 entrées durant les 24 heures, 150 personnes (bénévoles associations…), 600 repas servis par le comité, 1 000 bottes de paille pour sécuriser le circuit et 1 602 kms parcourus par un solex en 1994 pour une moyenne de 66,79 km/h. !

Les membres du comité :

Guy Chaperon (président), François Blancher, Michel Laplagne, Robert et Jocelyne Sémavoine, Patrick Couturier, Marie-Christine Guillonneau, Thierry Clément et Ginette Chaperon.

Pour s’inscrire aux manifestations que nous organisons, contactez-nous au 05 45 38 25 56

Si vous êtes intéressés par le bénévolat, vous pouvez nous contacter par mail à l’adresse suivante : [email protected]

Vous êtes également invités à participer à l’assemblée générale qui aura lieu le : 17 février 2011 à 20h30 à la salle de la combe

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Les travaux de voirie représentent une forte part de l’activité du service technique. Notons notamment au cours des derniers mois :

• réalisation d’enrobés rue Basse et impasse, rue de Chez Migounet.

• gravillonnage : fin des trottoirs rue Maurice genevois, goulbenèze, Jacques Chardonne et Anatole France.

• réfection des chemins de la Borne et des Vignobles, rue de la Combe garnier.

• Aménagements divers : avenue de l’Union, rues de la Combe garnier, de l’Epineuil, guynemer, traversée sur rue de royan.

Les bâtiments publics ne sont pas en reste, avec notamment de très importants travaux sur l’école Claude roy, à «la BCD». cette classe est refaite de a à Z. Les peintres viennent d’entamer la phase finale avec la pause du revêtement de sol. Ces modifications ont été réalisées dans le cadre des nouvelles normes d’économies d’énergie.

Un autre chantier d’envergure, là encore entièrement réalisé par les agents techniques de la commune, s’achève : l’intérieur de l’eglise de vénat. repiquage des murs, sablage, mise en valeur de la pierre, réfection des joints et de toute l’alimentation électrique ; les services techniques ont offert à notre église une seconde jeunesse, malgré des conditions climatiques très dures !

Comme chaque année, le service des espaces verts a repris le ramassage des feuilles et la taille des arbres sur l’ensemble de la commune durant l’automne, avant de se mobiliser fortement en décembre dernier pour lutter contre la neige et le verglas et permettre à chacun de circuler aussi normalement que possible.

Enfin, même si ce chantier n’a pas été réalisé par nos services, évoquons l’avenue de l’union. Nous vous présentions le chantier dans le précédent numéro, il est à présent quasi terminé. Il reste à effectuer certains marquages au sol et la pose de résine sur les centres des ronds-points, pose qui nécessite des conditions particulières et qui sera finalisée dès que les températures et les conditions météorologiques le permettront.

saint-yrieix infosn° 76 - fĒvrier 2011

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travaux cadre de vie

travaux

Eglise de Vénat

Avenue de l’Union

Classe «la BCD» de l’école Claude Roy

Cet hiver encore, les agents des services techniques ont bravé le climat. il est un fait que des travaux, il y en a toujours. a peine un chantier fini, un autre s’ouvre ! C’est grâce à ce travail sans relâche au service de la commune et de ses habitants que saint-Yrieix est une ville qui attire, qui plait, aux jeunes comme aux anciens.

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11saint-yrieix infosn° 76 - fĒvrier 2011

brèveS

en bref a saint-yrieix

jumelageLe Comité de Jumelages organise un séjour dans la ville jumelle de Bedzino (Pologne) du 20 au 30 avril. Quarante cinq Arédiens, dont une vingtaine de jeunes issus des clubs de sport de la commune, vont participer à ce nouvel échange et partager des moments inoubliables avec leurs amis polonais.

inscriptions scolairesLe service scolaire invite les familles à venir en mairie pour inscrire, dans tous les établissements scolaires de la commune, les enfants nés en 2008, et procéder également à la préinscription des enfants nés au cours du 1er trimestre 2009

vœux du maireComme chaque année, Monsieur le Maire et Madame la Directrice Générale des Services ont présenté leurs vœux aux agents et élus de la commune. A cette occasion, le sérieux et la rigueur du travail des agents ont été soulignés ainsi que le très bon esprit d’équipe entre l’ensemble des services.

5 agents municipaux ont reçu la médaille du travail : trois, celle d’argent pour leur 20 ans au service de la commune : Nathalie Soulard (Social / Etat Civil), Patricia Couraud (Urbanisme), Sandrine Doignont (Espaces verts) et 2 celle de vermeil pour 30 ans de service auprès de la collectivité : Hubert Montaletang (Batîment), Rémi Cheyrade (Espaces verts). Notons enfin que 2 élus, Michel Tamisier et Maurice Fougère ont reçu la médaille d’argent pour leur engagement au sein de la Municipalité depuis 1989.

Repas des anciensC’est devenu une tradition pour nos aînés, chaque début d’année, ils sont les invités du CCAS à la Combe pour passer un agréable moment et partager le repas préparé par le service de la restauration scolaire.

Cette année encore, ce sont près de 200 personnes qui se sont ainsi retrouvées le 8 janvier autour d’un menu de qualité dans une ambiance festive animée par l’orchestre «Roger Louis».Monsieur Dolimont a remercié les anciens comme les nouveaux participants pour leur présence à ce moment d’échanges privilégié. Il a également chaudement félicité l’équipe du CCAS et de la restauration pour la préparation et l’organisation de cet évènement.

vie municipaLe

compte-rendudes délibérationsLe conseil municipal :A l’unanimité :• Emet un avis favorable, dans le cadre de l’exercice 2009, sur les rapports

annuels du service public d’eau potable, de l’assainissement collectif et non collectif et d’élimination des déchets.

• Autorise Monsieur le Maire Adjoint à l’urbanisme à signer la convention de passage permettant à au Grand Angoulême d’aménager et d’entretenir le chemin dénommée «La Coulée Verte» pour permettre le passage des piétons et cyclistes.

• Accepte l’institution d’une prise en charge partielle du prix des titres d’abonnement correspondant aux déplacements effectués par les agents entre leur résidence habituelle et leur lieu de travail.

• Autorise Monsieur le Maire à signer une convention de rétrocession à la commune d’une concession perpétuelle dans le cimetière de Saint-Yrieix.

• Accepte de modifier le règlement intérieur de la médiathèque municipale en vue de réglementer la venue des mineurs.

• Accepte de valider les tarifs d’entrée fixés par la commission Vie Culturelle et Patrimoine pour le spectacle de la compagnie OpUS et le concert du groupe Almacita.

Par 23 voix «pour» et 5 abstentions :• Décide de constater la désaffectation de l’ancien stade des Pins situé

au lieu-dit «Le Poteau», d’en prononcer le déclassement du domaine public communal et son incorporation dans le domaine privé communal et d’habiliter Monsieur le Maire à signer toutes les pièces se rapportant à cette affaire.

Le conseil municipal :A l’unanimité :• Dans le cadre de l’aménagement de la rue de la Chantoiselle, accepte

l’acquisition des parcelles cadastrées AD 346 et 347 et autorise Monsieur le Maire à signer l’acte notarié et toutes pièces s’y rapportant.

Dans le cadre des prévisions budgétaires 2010 :• Approuve les modalités de calcul et d’attribution de l’indemnité spécifique

de service.• Accepte de créer un emploi d’adjoint technique de 2ème classe contractuel

ainsi qu’un emploi d’adjoint administratif de 2ème classe à temps complet à compter du 2 novembre 2010.

• Accepte, sur proposition de la commission des finances du 19 octobre : l’offre formulée par le Crédit Agricole Charente Périgord pour la réalisation d’un emprunt dans le cadre des prévisions budgétaires 2010. La proposition de réaménagement du prêt souscrit en 2008 auprès du Crédit Agricole Charente Périgord.

Par 23 voix «pour» et 4 abstentions :• Décide de céder la parcelle cadastrée BK 434 à la SA Le Foyer et autorise

Monsieur le Maire à signer tout acte administratif ou notarié à intervenir.

Pas de séance.

Le conseil municipal :A l’unanimité :• Autorise Monsieur le Maire à signer le Contrat Enfance Jeunes «2ème

génération» au 1er janvier 2011 pour une période de quatre années avec la Caisse d’Allocations familiales.

• Autorise Monsieur le Maire à signer une convention de mise à disposition temporaire de collections de DVD entre Grand Angoulême et Saint-Yrieix.

• Accepte d’éliminer les magazines proposés par l’équipe de la bibliothèque ; ces documents seront proposés aux lecteurs avant destruction.

Par 22 voix «pour» et 5 abstentions :• Approuve la convention avec Logelia Charente pour la mise à disposition

temporaire de terrains communaux nécessaire à la desserte de son opération de constructions de 50 logements au lieu-dit «La Grosse Pierre».

• Accepte, pour l’euro symbolique, l’intégration des espaces communs du Lotissement «Clos de Bellevue 2» dans le domaine communal.

• Accepte l’acquisition, pour l’euro symbolique, de deux parcelles cadastrées BD 139 et 142, constituant une partie de la future voie dénommée «rue Jean Monnet» assurant à terme la liaison directe avec la rue de Bellevue.

Septembre 2010

octobre 2010

novembre 2010

dĒcembre 2010

Page 14: Saint-Yrieix-sur-Charente - Magazine municipal 76 - Février 2011

saint-yrieix infosn° 76 - fĒvrier 2011

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vie municipaLe

espace d’expression réservéau groupe d’opposition

droitde réponse

on ne vouS dit paS tout !On ne vous dit pas que la Médiathèque, équipement communal, et le Camping, équipement du Grand Angoulême, ont été mal étudiés et sont mal gérés et c’est peu de le dire !

une médiathèque mal étudiée et mal gérée

Mal étudiée : • La Médiathèque connaît les aléas du changement climatique, 18°

dans la bibliothèque, 26° dans les bureaux, pour un équipement qui se veut HQE (haute qualité environnementale) : où sont les économies d’énergie ?

• Une mauvaise distribution de l’espace intérieur : une ludothèque trop petite, une salle de réunion inadaptée et peu utilisée, un hall d’entrée trop grand.

Mal gérée : • On ne vous dit pas que les horaires ne sont pas uniformes, non

adaptés aux attentes de la population mais que l’on se rassure un sondage est actuellement destiné aux utilisateurs soit à peine 17% de la population arédienne ! Pourquoi ne pas avoir consulté l’ensemble de la population via un coupon réponse attaché au bulletin municipal ! C’est une idée !

• On n’a pas pensé à installer une boîte aux lettres pour remettre les documents ! Cette nouvelle installation coûterait près de 4000 euros, une bagatelle !

un camping mal pensé et mal géré

Mal pensé : • Un camping 4 étoiles avec piscine de 10 m sur 4 m à côté d’un

centre nautique en souffrance et d’un plan d’eau, cherchez l’erreur !

• On ne vous dit pas que même les journalistes ne connaissent pas l’existence du camping. En atteste un article d’une journaliste de Charente Libre après le festival de Musiques Métisses s’étonnant qu’il n’y ait pas de camping à proximité : pas de plan de communication digne de ce nom et aucune signalétique !

Mal géré :• Nous avons appris par la presse que la piscine connaissait quelques

malfaçons si peu importantes qu’il faut refaire la piscine et réinjecter 240000 euros, avec votre argent !!! Mais on ne vous dit pas qu’après les 240000 euros, il faudra bien financer le fonctionnement de la structure si cela ne marche pas !

• On ne vous dit pas que le taux d’occupation s’élevait à 10% en 2009 et 20% en 2010.

• L’environnement paysager du camping mérite le déplacement, la plupart des arbres sont morts !

• Enfin on ne vous dit pas que le Maire de Saint-Yrieix, Premier Vice-Président de l’Agglomération de Grand Angoulême a porté ce projet de bout en bout et qu’à un moment donné on ne peut s’empêcher de se poser la question des responsabilités dans ce qui semble être un début de fiasco !

• On ne vous dit pas que Bernard Vigier, le correspondant Sud Ouest a pris sa retraite il y a quelques mois. Nous avons apprécié pendant des années sa présence lors des conseils municipaux et ses comptes rendus, mais également son engagement au sein des commissions municipales et des associations de la commune et nous regrettons que la municipalité n’ait pas organisé un pot de départ pour le remercier pour les services qu’il a pu rendre.

Pour contacter vos élus de l’opposition :

∞ Michel Tamisier : [email protected]∞ Patricia Ophele : [email protected]∞ Benoît Miège-Declercq : [email protected] ∞ Nicole Guirado : [email protected]∞ Jean-Claude Montalétang : [email protected]

Nous sommes à votre entière disposition

En découvrant le tissu de contrevérités présent dans l’article du groupe d’opposition je me suis demandé si je n’allais pas m’opposer à sa publication. Puis je me suis finalement dit qu’avec quelques informations facilement vérifiables et des données précises vous feriez vous-même la part des choses.

26° dans les bureaux de l’Esplanade, c’est faux. Il y a pu y avoir quelques écarts de températures durant la période de réglage (pour cette première saison d’hiver) en plus comme en moins, mais l’objectif à l’Esplanade est atteint : comme dans tous les bâtiments communaux la température est maintenue entre 19 et 20 degrés.

Une ludothèque trop petite, c’est faux. Nous avons réfléchi la superficie en concertation avec le Centre Social – Amicale Laïque qui la gère. Une ludothèque plus grande ne pouvait pas fonctionner sans personnel supplémentaire et la mairie n’a pas les moyens d’augmenter sa participation financière. Quant au hall et à la salle de réunion, il suffit de passer voir leur utilisation...

On n’a pas pensé à installer une boîte aux lettres pour le retour automatique de documents, c’est faux. On y a pensé, mais dans la lignée de la volonté qui nous a toujours guidés sur le projet de l’Esplanade, nous avons finalement fait le choix du contact humain !

Parlons du camping maintenant, bien que la commune n’ait rien à y voir en terme de gestion puisqu’il s’agit d’un équipement communautaire, géré par Grand Angoulême.

Les malfaçons de la piscine amènent à réinjecter 240.000 euros, c’est faux. Il n’y a pas de malfaçon mais un conflit avec l’architecte. La piscine sera ter-minée pour la saison prochaine dans le budget initial qui est de 100.000 euros. Pas de surcoût !

« Le maire de Saint-Yrieix a porté ce projet de bout en bout ». Je serais fier de l’avoir porté de bout en bout car les élus que j’ai accompagnés sur ce projet ont fait un travail remarquable et difficile face à plusieurs entreprises qui n’ont pas respecté leur contrat. Mais la vérité c’est que ce projet est au départ l’œuvre de Philippe Mottet et le suivi a été réalisé par la direction «Développement économique» présidée par Jean-Claude Beauchaud.

Ce camping, je me bats aux côtés de mes collègues pour en faire un outil de développement de l’agglomération et je trouve scandaleux que des élus n’aient de cesse de «taper» sur cet équipement depuis 3 ans en donnant ainsi une image désastreuse qui n’encourage pas sa fréquentation.

Denis Dolimont

Page 15: Saint-Yrieix-sur-Charente - Magazine municipal 76 - Février 2011

13saint-yrieix infosn° 76 - fĒvrier 2011

agenda

l’agenda de saint-yrieixfĒvrier

avril juin

jeudi 17comité des Fêtes : assemblée générale,salle de La Combe à 20h30.

samedi 19 févrieratelier cuisine : Goûter africain

à l’Esplanade de 15h à 17h

mardi 22club de l’age d’Or : repas du Mardi Gras

du 21 février au 4 marsvacances d’hiver au centre de Loisirs Ludarédie : activités autour du thème de l’Afrique et du Carnaval. Organisées par le CCAS de Saint-Yrieix tél 05 45 38 69 50

mercredi 23 et samedi 26 février« Fabrication d’un jeu géant »à la ludothèque

dimanche 3société de chasse : repas salle de La Combe à 12 h. Renseignements auprès de Monsieur Bertet Président : 05 45 69 34 10

dimanche 10club de l’age d’Or : Portes Ouvertes

samedi 16concert «almacita» : salle de La Combe à 20h30 - 5€

mardi 19club de l’age d’Or : repas Portes Ouvertes (pour remercier les bénévoles de leur investissement)

du 18 au 29 avrilvacances de pâques au centre de Loisirs Ludarédie : activités diverses. Organisées par le CCAS de Saint-Yrieix tél 05 45 38 69 50

jeudi 9club de l’age d’Or : voyage, les Jardins d’Eyrignac et les Grottes de Lascaux 2.

mercredi 15«portes Ouvertes» à Ludarédie. Renseignements à Ludarédie au 05 45 69 35 10

vendredi 17a partir de 20 h : Fête de la musiqueParvis de l’Esplanade Participation des enfants et animateurs du périscolaire et de la pause méridienne.

dimanche 19société de chasse : repas salle de La Combe à 12 h. Renseignements auprès de Monsieur Bertet Président : 05 45 69 34 10

marS

mai

1ère quinzaineFncR : participation de l’amicale à la cérémonie des Anciens d’Indochine (voir le jour et l’heure dans la presse).

samedi 5«Fabrication de masques africains»L’Esplanade de 10h à 11h30 et de 14h à 15h30. Atelier parents/enfants5 à 12 ans - Places limitées

mercredi 9«maman et bébé africain»L’Esplanade à 20h. Soirée débatavec Geneviève Dumortierde l’association «Grain de Mil»

samedi 12

soirée musicale – danse L’Esplande à partir de 19h30Avec Sang MêléDanses orientales et ContesRepas des afriques :Tarif : adulte 10€ - enfant (5 à 10 ans) 5€Places limitées

jeudi 17club de l’age d’Or : repas fruits de mer

vendredi 18soirée ludothèque«Grand jeu collectif» à l’Esplanade

mardi 3club de l’age d’Or : fête trimestrielle des anniversaires

dimanche 8FncR : commémoration 1939/1945 organisation par l’Amicale.

mardi 10 maiclub de l’age d’Or : loto

jeudi 12dons du sang : salle Georges Hyvernaud domaine de La Combe de 17 h à 20 h

mercredi 18pause-théâtre : «croc-choc» 15 h à Puymoyen : des rencontres inattendues… le choc des générations ! Spectacle gratuit. contact 05 45 92 74 62

a partir du 17début des inscriptions d’été au centre de Loisirs Ludarédie : le mercredi de 7 h 30 à 18 h 30 au centre et les mardis et jeudis de 13 h 30 à 16 h 30 pour les Arédiens. Pour les enfants hors commune, les inscriptions seront prises à partir du 1er juin.

prochain numéro de saint-Yrieix infos en juin 2011 | autres informations sur la vie municipale : www.saintyrieixsurcharente.fr

samedi 19FncR : participation aux côtés de la FNACA commémorant le cessez-le-feu pour la guerre en Algérie. L’horaire sera communiqué ultérieurement.

mercredi 23débat moringa Oliefera«L’arbre de vie qui allaite»L’Esplanade à 20h

samedi 26 mars

carnaval 14h30 - Place des rochers

expositions à l’esplanade

18 février au 3 mars«images d’afrique»Photos, dessins, aquarelles, carnets de voyage, Patchwork, textiles…

4 au 18 mars«L’art de se vêtir au sénégal»

12 au 27 mars«au cœur de l’afrique noire»

18 au 30 mars«L’art de jouer au sénégal»

Page 16: Saint-Yrieix-sur-Charente - Magazine municipal 76 - Février 2011

Samedi 16 avril à 20h30La Combe (salle Georges Hyvernaud)

Entrée : 5 €

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