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EXEMPLAIRE DE DÉMONSTRATION Ce spécimen ne présente que de courts extraits d’articles

Salida92-Extrait Salida 29/01/15 16:59 Page1 lesTIONCe … · 2015. 1. 30. · La Salida • n°92 • février-mars 2015 7 L'exposition de caricatures, dessins et partitions Figures

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  • 3La Salida • n°92 • février-mars 2015

    L’ÉDITO

    Rester CharlieLe temps déjà a renvoyé des millions de Charlie à leur travail,à leurs études, à la vie vraie en somme, nous éloignant del’indicible qui engendra à rebours un abrazo aussi gigantesqueque fragile dans notre pays. Il y a à peine un mois, alors quecommençait à s’organiser votre première Salida de 2015,l’évidence s’était faite immédiatement qu’elle aussi serait,devrait être, Charlie.Une foudroyante évidence, à la mesure de l’horreur. Parce quela liberté de penser et de s’exprimer ne se divise pas, ne senégocie pas. Parce qu’en exposant dans notre précédentnuméro de tendres caricatures de Hermenegildo Sábat et JoséMuñoz, nous n’imaginions, pas plus que nos lecteurs sans doute,que l’on pouvait mourir de dessiner. Parce que, comme noscamarades de Tango de soie l’exprimèrent d’ailleurs très vite surleur page Facebook, nous savions que notre activité, cetteculture dont nous traitons dans nos pages, tend à rapprocher lesêtres, qu’une piste de bal est, dans son fonctionnement même,un lieu où l'idée de prendre soin de l'autre, son partenaire, maisaussi du couple qui danse à côté, est essentielle.C'est ici une forme anodine, dérisoire au regard des secoussesdu monde, mais réelle, de tolérance, quand bien même s'exerce-t-elle de façon imparfaite. L’important est de faire l’effort. Vivreensemble... Ne dit-on pas : « danse sociale » ? Alors oui, rienque pour cela, nous nous sommes sentis Charlie. Parce quel’effroyable cauchemar nous a soudain rappelé que notre libertéd’étreindre notre semblable tout en respectant le mouvement etl’espace partagés de tous ne nous est pas donnée. Cela procèded’une éducation – un mot guidant l’autre n’est-ce pas – aussisûrement que la liberté de la presse ne s’use que si on nel’exerce pas. Alors, face au laminoir du temps, aussi terriblequ’apaisant, de grâce, restons Charlie. Très affectueusement. l

    LA SALIDA

    Salida92-Extrait_Salida 29/01/15 16:59 Page3

  • P. 3 L’ÉDITO

    P. 5 SOMMAIRE

    P. 6 FLASH

    P. 9 LE MOT DU TEMPS DU TANGO

    P. 10 à 33 DOSSIERTrois passeurs s’en sont allés

    P. 12 Horacio Ferrer

    P. 24 Leopoldo Federico

    P. 32 Rodolfo Dinzel

    P. 34 BUENOS AIRES HORA CEROChe bandoneón...

    P. 36 RENCONTREDeux orchestres-écoles...

    P. 42 ON A VU ON A LU

    P. 53 DISCOGRAPHIE

    P. 56 L’AGENDA

    5La Salida • n°92 • février-mars 2015

    SommaireIllustration de couverture : Ces grands qui nous quittent :Ferrer, Federico, les morts de Charlie...

    P. 12 H. FERRER

    P. 24 L. FEDERICO

    P. 32 R. DINZEL

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  • 7La Salida • n°92 • février-mars 2015

    L'exposition de caricatures,dessins et partitionsFigures de tango (voir La Salida n° 91) du Centreinternational du dessinde presse à Saint-Just-le-Martel, se poursuitjusqu'au 13 mars. Le Salondu dessin d'humour lancépar le Centre il y a plusde trente ans, avait grandigrâce à la complicité très

    active et bienveillantedes Cabu, Wolinski, etquelques autres auteursde Charlie et du CanardEnchaîné. C'est pourquoila tragédie a étéparticulièrement ressentiedans cette proche banlieuede Limoges qui leur arendu un très belhommage. Si vous n'avezpas encore vu l'exposition

    et avez le tango chevilléau corps, ne manquez pasles rendez-vous du7 février (milonga etconcert) et du 6 mars(nuit du ciné-tango) etsachez que vous serezaccueilli dans ce voyageimagé à Buenos Airespar les deux dessins icireproduits : une Marianneéplorée de HermenegildoSábat et un autoportraitaux larmes de José Muñozoffrant l'éternité à sescopains de Charlie,les deux dessinateursayant tenu à s'associeraux hommages de leurprofession.

    J.-L. T.

    lLes dessinateursdu tango solidairesde Charlie Hebdo

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  • 9La Salida • n°92 • février-mars 2015

    Le mot du Temps du Tango

    Fraternité partagée

    Àl’aube de cette nouvelle année secouéepar de tragiques événements, bien sûrque Le Temps du Tango restera Charlie,car nous aussi sommes attachés à laliberté de parole, la liberté d’être.Le Temps du Tango ne peut qu’adhérerà cette image de respect de l’autre, dansl’abrazo avec son ou sa partenaire, et le respectdes autres dans la milonga. Appliquons cesprincipes dans tous les cours, stages et milongasque nous fréquentons. Pendant la semaine passéeà Kerallic, tous ceux qui s’y sont retrouvés ontressenti cette amitié, cette fraternité partagée à toutinstant de la journée et de la nuit. D’ailleurs, à la finde ce festival, un des participants nous disait :« Quand on repart d’ici et que l’on rentre chez soi,on se sent un peu orphelin et en manque del’Autre. » Rien ne pouvait nous faire plus plaisir etnous savons que bien des participants attendentdéjà le prochain moment de partage. En attendant,retrouvons-nous pour les cours réguliers ainsi quepour les stages d’approfondissement et les week-ends des maestros. N’oubliez pas non plus lapratique de La Sourdière où vous êtes de plus enplus nombreux et où vous pourrez mettre enpratique ce que vous aurez appris et retrouverde bons moments de convivialité.Nous vous attendons et vous souhaitons pour 2015de fructueuses et agréables rencontres. l

    LE TEMPS DU TANGO

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  • 12 La Salida • n°92 • février-mars 2015

    C E SOIR, CAFETÍN EST EN DEUIL.Coup sur coup, en quelquesjours, juste avant la fin de l’an-née, nous avons perdu deuxgrands du tango, un immensepoète d’abord (Horacio Ferrer),un superbe musicien ensuite(Leopoldo Federico). Le dossierlourd d’histoire qu’ouvre cette premièreSalida de l’année rend par ailleurs à LeopoldoFederico l’hommage qu’il mérite. Quant ànous, alors que l’heure est arrivée (« ahoraque es la hora... »), comme disait le lutin deMaría de Buenos Aires, nous voulons souli-gner à quel point nous estimons la poésie et lafigure de Horacio Ferrer, et à quel point noussommes émus. Il a révolutionné l’univers dutango, lui ouvrant de nouvelles possibilités,lui offrant une vie supplémentaire. Il a permisau tango d’exprimer l’âme du Buenos Airesdu dernier tiers du vingtième siècle.

    Pour la plupart des amateurs du tango,Horacio Ferrer n’était que le parolier d’AstorPiazzolla, celui qui a composé les textesmagnifiques de la Ballade pour un fou et laBallade pour ma mort. Ferrer était beaucoupplus que cela, et le réduire au rôle de simpleparolier d’un grand musicien n’est pas seule-

    ment injuste, cela, surtout, ne traduit pas lagrande importance que cet homme a eue dansl’histoire du tango et dans la poésie de BuenosAires. D’abord parce que, outre Piazzolla, il acomposé des textes pour des compositeursaussi importants que Raúl Garello, HéctorStamponi, Osvaldo Tarantino, LeopoldoFederico et même pour Julio de Caro, AníbalTroilo et Osvaldo Pugliese. Très prolifique,son répertoire dépasse largement la centainede tangos. Il a écrit également les textes deMaría de Buenos Aires, la Operita (le petitopéra) mise en musique par Astor Piazzolla,

    DOSSIER

    Horacio Ferrer est mortà Buenos Aires« Moriré en Buenos Aires » – je mourrai à Buenos Aires –, avait écrit legrand rénovateur de la poésie tanguera. Il a accompli son destincomme il le souhaitait et le tango a perdu beaucoup plus qu’unparolier. Un historien, un poète prolixe, un bohême étincelant.

    Homme de la nuit et de l’aube, dela fumée et de l’alcool, il était avanttout un poète, créateur d’imagesd’une surprenante beauté(

    Raúl Garello et Horacio Ferrer

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  • 25La Salida • n°92 • février-mars 201524 La Salida • n°92 • février-mars 2015

    N OUS NOUS ÉTIONS HABITUÉS À NOUSrendre, année après année, auxconcerts de Leopoldo Federicocomme on visite un ami lointain,avec le sentiment que ces visitessont rares et qu’il n’en faut riengâcher. Il lui arrivait de devoirannuler tel ou tel engagement carsa santé, de plus en plus, bridait sa prodigieusevitalité musicale. Nous retrouvions l’auteur deCabulero (rebaptisé Neotango par AstorPiazzolla, ce qui en disait déjà long...), Éramostan jóvenes (Nous étions si jeunes), Caprichootoñal, Sentimental y canyengue ou Mi fueyequerido au milieu d’un orchestre qui mariait lesgénérations à travers les pupitres. Il y irradiaitle bonheur de jouer, de la première à l’ultimenote, et nous rappelait ce vieil oncle dont onboit la parole à la table familiale, les jours defête, celui qui a tout connu mais en apprendtoujours à travers le partage, encore et encore.

    Nous l’avions écouté dans des festivals, à LaFalda, à Buenos Aires, dans des concerts decélébration à l’image de cette éblouissante jour-née du bandonéon 2011 où ses pairs – il y avaitce soir-là Marconi, Pane, Mosalini, Ríos... –avaient laissé respectueusement à l’aîné le soinde baisser le rideau de La Trastienda. Il nousavait alors gratifiés de solos magistraux, dontun Caminito au canyengue enjoué. Ses solosrappelaient quel précieux arrangeur était ce“malade du son” autoproclamé lorsqu’il s’agis-sait de magnifier son instrument. Il nous avaitrégalés dans des lieux plus intimes, au TorquatoTasso, plus récemment à Clasica y moderna,dans un récital partagé avec son quatuor etSusana Rinaldi. Leur complicité dans La Últi-ma Curda, La Última Grela, faisait merveille.

    Et partout se reproduisait la même scène.L’octogénaire apparaissait appuyé sur sacanne, soutenu par un de ses musiciens, le dosperclus, quasiment courbé à quarante-cinqdegrés comme s’il allait s’abîmer en dévotion.Il s’asseyait, installait son fueye sur sesgenoux et entamait avec lui un corps à corpstendre et furieux à la fois. Soudain, Federicoavait 20 ans, l’œil pétillant, souriant, inspiré,formidablement expressif, engagé dans samusique comme s’il ne devait pas y avoird’après. Si vous avez la curiosité de voir surle Net le programme Encuentro en el studioqui lui fut consacré, vous l’entendrez raconterceci, souvenir de sa relation avec AstorPiazzolla au sein de l’Octeto Buenos Aires :« Baisse la tête et vas-y à fond ! Ne joue pasen dedans comme si tu avais peur (disaitPiazzolla). C’est ainsi que j’appris à jouer defront, à me jouer la vie comme le faisaitAstor. »

    D’où vient alors la retenue que l’onéprouve à l’heure d’écrire sur ce personna-ge qui semblait si proche, qui transpiraitl’humilité et répétait volontiers que sa car-rière devait surtout à « la chance ». Rien deplus faux évidemment. Est-ce sa disparitionqui crée cette mise à distance, impose lapudeur de peser bien les mots ? Ou plussimplement ce que l’on ressent à revisiterles archives pour tenter de restituer ladimension de ce musicien hors normes ?Aussi accessible et modeste qu’il fut, levoici pour le coup et très au-delà du cliché,bien plus grand mort que vivant. On seretourne sur une carrière longue de soixan-

    DOSSIER

    C’était le conseil que donnait Astor Piazzolla à Leopoldo Federico.Ce dernier l’appliqua toute sa carrière, mais avec une immensehumilité, tant comme instrumentiste que comme directeur d’orchestre.

    “Baisse la tête et vas-y à fond…”

    La suite dans La Salida sur papier...

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  • 32 La Salida • n°92 • février-mars 2015

    Trois mille six cents figures p

    À LA MAISON, (SON)PÈRE AVAIT UNprincipe : sesenfants devaientapprendre, avantd’aller à l’école,une disciplinear t i s t ique . . . »Pour Rodolfo “Cacho”Dinzel, ce fut le folkloreargentin. Dès l’âge de 4 ans,les parents du gamin né en1950 dans le quartier de SanTelmo à Buenos Aires l’ins-crivent comme élève à l’Éco-le nationale de danses folklo-riques. Deux années plustard, il y participe à son pre-mier concours. C’est dire quel’enfant manifestait déjà debelles qualités. Très vite, dèsqu’il le peut, il économisel’argent qu’il gagne pour par-tir à la campagne à la ren-contre des gauchos qui dan-sent le malambo comme lui,car il veut connaître les per-sonnes qui partagent son art.

    Il devient danseur profes-sionnel de folklore, tra-vaillant avec les principauxchorégraphes du genre enArgentine. Il aurait pu le res-

    ter s’il n’avait découvert, à17 ans, la milonga. « À uneépoque où seuls les “vieux”la dansaient. » Il se découvrepar la même occasion unepassion qui ne le quitteraplus : le tango. C’est un anaprès qu’il rencontre, parhasard et a priori pour uneseule émission de télévision,Gloria Varo, danseuse de for-mation classique. Son nom,pourtant, deviendra insépa-rable du celui du maestro.

    Rodolfo a donc complète-ment abandonné le folklorepour le tango et retrouvéGloria. C’est en couple – LosDinzel dorénavant – qu’ilsparticipent à la compagnie deJuan Carlos Copes. Et c’estensemble qu’ils commencentà travailler, dès 1972, à ce quiva devenir d’abord le styleDinzel, puis le systèmeDinzel – dont s’inspire mêmele théâtre du Bolchoï.

    Parallèlement, ils partici-pent à de nombreux spec-tacles dans les plus grandessalles du monde, dont, de1984 à 1989, le célèbreTango argentino de Claudio

    Grand danseur et pédagogue, Rodolfo Dinzel tentait de résoudreavec son système le paradoxe de la codification contraignante

    et de l’improvisation libératrice.

    DOSSIER

    Segovia produit par HéctorOrezzoli. Un spectacle quifut, on peut le dire, à l’originede la renaissance du tangodans le monde, présenténotamment à Broadway et àParis au Châtelet. À BuenosAires, ils partagent égale-ment la scène du mythiqueViejo Almacen...

    Cette anxieuserecherche...

    “Cacho” et celle qui estdevenue son épouse sont destravailleurs infatigables.Rodolfo ne tarissait pasd’éloges envers elle, enton-nant un hymne à l’amour desa femme-muse : « J’ai eu lachance de danser avec lameilleure danseuse de tangodu monde, la chance de ren-contrer celle qui peut être tonamie, ton amante, ton épouse,la mère de tes enfants, tamère, ton guide... »

    Ensemble, ils créent leuracadémie en 1991 à SanTelmo. Écrivent nombre delivres, dont le plus connu, El

    Le système Dinzel : un ensembled’idées scientifiques et philosophiques(

    La suite dans La Salida sur papier...

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  • 36 La Salida • n°92 • février-mars 2015

    À L’IMAGE de l’or-chestre-école deBuenos Aires, Fer -nando Maguna, pia-niste et bandonéonis-te, dirige de main demaître deux formations, àMarseille et à Toulouse. Sonactivité se fonde sur un trèsriche parcours personneldébuté à Avellaneda, au seinde l’école de musique popu-laire animée alors parOrlando Tripodi. Suivant undouble cursus de musique etde... médecine, Fernandoeffectue en 1995 une tournéeen Grèce au sein d’un quintet-te. Elle lui donne envie devivre en Europe. Un an plustard, il se fixe à Paris, com-mence à travailler avec desmusiciens de tango et à joueravec l’orchestre de Juan JoséMosalini. Parallèlement, ildécouvre le bandonéon enautodidacte, joue dans la rue,à Montmartre, place desVosges... avant de créer en 1998 un duo ban-donéon-guitare avec Diego Trosman. Le vio-lon d’Anne Le Corre se joint à eux entre 2000et 2003 dans un trio tourné vers la danse, LaMurga. Depuis, les formations et les concertsà travers l’Europe se sont enchaînés... Maisc’est bien pour faire le point sur les orchestres-écoles que La Salida a souhaité rencontrerFernando Maguna.

    La Salida : Comment vous est venuel’idée de créer ces structures ?Fernando Maguna : J’avais déjà eu uneexpérience de ce genre à Paris il y a dix-sept ans, et quand je suis venu vivre dans leSud, j’ai réalisé que cette formule manquaitterriblement. J’avais en tête le concept de l’or-

    RENCONTRE

    “Un travail permanentd’adaptation”Fernando Maguna dirige deux orchestres-écoles à Toulouse etMarseille. À travers eux, il a déjà formé près de soixante-dix musiciensà l’interprétation du tango. Mais la disparité des niveaux lui imposed’adapter constamment l’effort demandé à chacun.

    Diego Trosman et Fernando Maguna

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  • 61La Salida • n°92 • février-mars 2015

    Vous voulez comprendre les parolesdes tangos sur lesquels vous dansez ?

    Commandez-la en envoyantce formulaire accompagné d’un chèquebancaire ou postal de 15€ franco de port

    à l’adresse indiquée ci-dessousLE TEMPS DU TANGOOEPF - 5 rue du Moulin-Vert

    75014 Paris (France)

    NOM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

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    Adresse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

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    Ville . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

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  • 62 La Salida • n°92 • février-mars 2015

    Directeur de la publication etresponsable des abonnementsLuis BlancoDirecteurs de la publication déléguésMarc PiankoFrancine PigetFrance Garcia-FicheuxMembres fondateursSolange BazelyMarc PiankoRédacteur en chefJean-Luc Thomas Secrétaire de rédactionFrance Garcia-FicheuxRédactionIrene AmuchásteguiAlberto EpsteinPhilippe FassierMarie-Anne FurlanFrance Garcia-FicheuxBernardo NudelmanFrancine PigetJean-Luc ThomasA participé à ce numéroDominique FicheuxResponsable publicitéFrancine PigetContactez-nous avant le 10 mars 201501 43 54 18 14 [email protected] Internet et mailingCatherine CharmontMichel VargozDirection artistiqueMarie-Françoise MarionPhotos et mise en pagePhilippe FassierImprimeurTypoform - 4 rue du Vaulorin - 91320 WissousLes informations de l’agenda sont gratuiteset publiées sans autre critère que denous parvenir avant le 10 mars 2015et formatées comme indiqué sur le site.

    [email protected]

    Tirage de La Salida n° 92 en 1 700 exemplairesCommission paritaire n° 1114G78597

    Dépot légal à parutionToute reproduction, totale ou partielle,

    de cette publication est interdite sans autorisation

    Bimestriel publié par l’association Le Temps du Tango

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  • 63La Salida • n°92 • février-mars 2015

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