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EXEMPLAIRE DE DÉMONSTRATION Ce spécimen ne présente que de courts extraits d’articles

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3La Salida • n°83 • avril-mai 2013

Un accent américain à enflammer un western, mais le cowboyest devant le clavier d’un piano. Belle gueule, crinière blanche,léonine, un charme fou. Il raconte. « Elle m’a dit : “Non, cesi bémol-là, non, non !” » La note fatale est une redondancede la main droite à la main gauche, une basse incongrue dansla ligne mélodique. Le cowboy sourit : « J’ai 58 ans et me suissenti soudain comme un étudiant venu prendre sa première leçon.Mais disant cela, cette si vieille dame, presque aveugle, étaitcomme illuminée. » L’étudiant ainsi gourmandé est un foutriquet,un petit musicien de rien du tout... Leonard Bernstein. Que soitici remercié le bandonéoniste Victor Hugo Villena pour avoirrécemment partagé sur Facebook un lien vers le documentaireconsacré par le réalisateur Bruno Monsaingeon à celle quel’on appelait Mademoiselle : Nadia Boulanger. Car c’est là queBernstein rapporte l’anecdote, avec une immense tendressepour celle qui enseigna la musique aux plus grands talentsdu XXe siècle.Astor Piazzolla aurait eu 92 ans le 11 mars. Il appartint lui-mêmedans les années 1950 à la “Boulangerie” comme l’avant-gardesérielle, ironique, désignait alors le cercle des élèves deMademoiselle. Mais Bernstein relève que trente ans plus tard,son enseignement perdurait, aussi inspiré qu’intransigeant.On sait de quel poids pesa pour le maestro argentinl’encouragement de Nadia Boulanger à assumer les racinesde son univers musical. Dans le documentaire, on entendMademoiselle assurer à ses élèves : « Quand vous composez,j’aime mieux que vous vous trompiez si vous vous trompez,mais que vous restiez naturels et libres, plutôt que decommencer à vouloir paraître autre chose que ce que vousêtes... » Celle qui détestait les musiques “inutiles” et exigeaitune discipline de fer, faisait à ses élèves le don princier dela liberté. Piazzolla en usa goulûment et l’histoire nous rappelleque tout art a besoin de passeurs, de pédagogues sourcilleux. l

JEAN-LUC THOMAS

L’ÉDITO

Merci, Mademoiselle…

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P. 3 L’ÉDITO

P. 6 FLASH

P. 11 LE MOT DU TEMPS DU TANGO

P. 12 RENCONTREGerardo Jerez Le Cam

P. 16 RENCONTREEliana Sosa

P. 21 CAFETÍN DE BUENOS AIRESAmuse-toi bien, ma gentille Colombine…

P. 28 AUTOUR DES STYLESLe tango canyengue

P. 39 BUENOS AIRES HORA CERO

P. 40 LA DISCOGRAPHIELe tango en Uruguay

P. 42 ON A VU ON A LUEl Tiempo todo entero

P. 45 LES ÉCHOS DE

P. 46 ON A VU ON A LUMarathon

P. 48 ON A VU ON A LUInfancia clandestina

P. 51 LES PRATIQUES RÉGULIÈRES

P. 59 L’AGENDA

5La Salida • n°83 • avril-mai 2013

Sommaire

Photos de couverture :Eliana : DRGerardo : Thomas Hammje

P. 12 GERARDO

P. 16 ELIANA

P. 28 MARTHA ET MANOLO

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Demandez le programme !

Le mot du Temps du Tango

Plus encore tout à fait l’hiver, mais pas encorecomplètement le printemps. Comme le temps,cette Salida est également entre deux.Lorsque vous la lirez, l’assemblée générale duTemps du Tango aura été tenue à Paris, mais– bouclage oblige –, nous n’aurons pas été enmesure de vous en livrer tous ses “secrets”.Il vous faudra attendre le prochain numéro.

Qu’à cela ne tienne, en attendant, nous vous préparonsle programme de Prayssac. Des super maestros commed’habitude... et le soleil du Lot en prime. N’hésitez pas àaller vous renseigner sur notre site. Vous y trouverez trèsvite tous les renseignements nécessaires à ce momentde vacances tangueras. Vous pourrez également ydécouvrir que nous avons mis en place une pratiqueanimée, réservée aux élèves des cours fondamentaux dudimanche, du lundi et du jeudi du Temps du Tango. Cettepratique a lieu le dimanche de 15 h 30 à 17 heures à LaSourdière et se passe dans le prolongement du cours defondamentaux de 13 h 45. Une pratique “fermée” donc,durant laquelle, sous l’œil avisé de membres de LTDT,vous pourrez ainsi améliorer votre danse en toutesérénité. Celle-ci a lieu trois dimanches par mois, lequatrième étant réservé à des stages – autre nouveauté.N'hésitez pas à consulter la page d'accueil du siteletempsdutango.com (rubrique dernières nouvelles) pouravoir des informations précises. Richard Garrido ainauguré ces stages avec des “cours” de rythmique.Ceux qui les ont suivis en connaissent la qualité.Évidemment, les horaires n’étant pas extensibles, celas’est malheureusement fait au détriment des cours devalse et milonga que donnait Marc, qui pour l’heure, ontdonc cessé. Nous envisageons de les remplacer par desstages ponctuels. Et nous continuons à réfléchir à tout cequi peut vous apporter plaisir et connaissance du tango.Avec nos amitiés tangueras. l

LE TEMPS DU TANGO

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Gerardo Jerez Le Cam, le pianiste et compositeur argentincontinue de tracer son sillon sans souci de frontières et défend

avec un bonheur jamais émoussé son tango balkanique.

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Rencontre

PH

OTO

: TH

OM

AS

HA

MM

JE

Il a toujours letango nomade

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U n prénom d’origine ger-manique dont la très large dif-fusion le fait citoyen de lavieille Europe et le désigneétymologiquement comme unhabile manieur de lances et deflèches : Gerardo. Une villed’Andalousie et un nectar sub-

til au parfum d’ambroisie : Jerez. Mais ils’appelle (aussi) Le Cam, un patronyme àbouffer les embruns sur tous les océans ouà buriner le granit le plus dur... Le voici surscène où son piano guide une flotte légèreet ardente de l’Uruguay à la Roumanie,retour par la Moldavie jusqu’à BuenosAires après mille et une escales réelles ourêvées.

Ses concerts sont des voyages dontGerardo Jerez Le Cam aime à décrire,pièce après pièce, les destinations, person-nages et souvenirs qui s’y attachent,comme si la rencontre en soi comptaitautant que la musique. Un concert parisien

à l’Ermitage – le quatuor en rond au milieude la salle, le public tout autour, venu sechauffer au feu circulaire des cordes(piano, violon, grand cymbalum) attiséespar le souffle du bandonéon – nous offrit lerépertoire du dernier opus du compositeurargentin, Ofofof (Mañana, distributionNaïve). Le capitaine Le Cam, marin debelles fortunes, se fit conteur dans lesintervalles, offrit, l’air de rien, quelquesclés, titilla les imaginations, leva un coinde sa voile sur l’essence de ses portées. Ilserait faux cependant de s’en tenir à lagéographie des rencontres évoquées, car sielle précise le climat particulier de chaquecréation, elle livre assez peu sur la naturedes compositions.

Il faut plutôt regarder sur le livre de bordde ses navigations – son site internet* où ilest écrit notamment : « La musique estpour moi une manière d’exprimer le quoti-

Iacob Maciuca et Gerardo Jerez Le Cam en concert

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16 La Salida • n°83 • avril-mai 2013

Chanteuse d’orchestre et soliste brillante, la jeune interprètede Florencio Varela est vraiment un talent à suivre.

Et déjà bien repéré dans le circuit portègne.

La double vied’Eliana Sosa

O N DIT qu’àF l o r e n c i oVarela, l’air estplus pur. L’al -titude sans dou -te, car la villese trouve à lahauteur de...

l’Obélisque, à trente kilo-mètres de là. Est-ce cet air quipermet aux belles voix des’épanouir ? « En tout cas,raconte avec malice ElianaSosa, c’est là que ce sontréfugiés de riches Portègnes àl’époque de la grande fièvrejaune. Et l’on voit encorequelques belles maisons destyle colonial. » C’est danscette partie du grand BuenosAires qu’a grandi la chanteu-se qui partage aujourd’hui lascène du show de la EsquinaHomero Manzi avec le vété-ran Carlos Rossi. Et si ellehabite depuis peu la capitale,le mundito tanguero a déjàbien repéré son talent quis’affirme.

Ado, elle chantait du rockavec son groupe, Zona Sur. Etvoyez comment sont leschoses, trois musiciens seformaient aussi au répertoirepopulaire à l’école d’Ave -llaneda. Eliana, elle, a poussé

la porte du seul lieu dévolu autango à Florencio Varela,l’Association des amis dutango où le bandonéonisteErnesto Porto lui passa sespremières partitions. C’estdans l’ADN de Zona Surqu’est donc née la típica LaVidú dont Eliana fut la voix.Avant de travailler avecMisteriosa Buenos Aires, undes orchestres actuels les plusaboutis, puis d’en arriver àréaliser son premier disque desoliste, Sinergia tanguera,sorti à l’automne dernier*.

Nous avions fait connais-sance autour du micro deFractura Expuesta, où la

chanteuse venait défendreson premier travail discogra-phique personnel. Totaleréussite : finesse de l’expres-sion, qualité vocale, créativitédes arrangements, tout étaitlà, comme une évidence dechoix solides, sans faute degoût.

Nous avons rappelé Elianaau téléphone, évoqué son par-cours, cette “double vie” detango qu’elle affectionne, à lafois chanteuse d’orchestre etsoliste, deux rôles où elleexcelle et qui en font une desinterprètes les plus intéres-

Rencontre

Eliana Sosa au micro de Fractura Expuesta

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Cafetín de Buenos Aires

Le carnaval estarrivé en France, etil est reparti sansque quasimentpersonne ne s’enaperçoive. Il a euun peu plus derépercussions àBuenos Aires, oùdepuis quelquesannées on sent unléger frémissementgrâce, en particulier,à l’envie des jeunesdes quartiers sud

qui rêvent de ressusciter lesmurgas et les comparsas. Maisrien à voir encore avec les grandscarnavals portègnes de naguère,ceux qui ont eu lieu jusqu’audébut des années 1950, lorsqueles corsos, c’est-à-dire, lesdéfilés, paradaient joyeusementle long des avenues de Mayo et9 de Julio, pleines de monde,avec leurs cortèges de carrosses,de déguisements, de serpentinset de confettis de toutes lescouleurs. Et, bien entendu, avecleurs bals dans les stades defoot, animés par tous les grandsorchestres de tango de jadis.Avant c’était autre chose etnaturellement le tango, miroirde Buenos Aires, a enregistréabondamment ces fêtespaïennes et populaires où lemonde tourne à l’envers. Plusde quarante tangos se réfèrent,d’une manière ou d’une autre, aucarnaval, incluant le plus célèbred’entre tous, La Cumparsita,diminutif de comparsa,groupement de jeunes qui

dansaient dans les rues, donnantvie et couleurs aux défilés decarnaval et autres parades (lesparoles de La Cumparsita, écritesquelques années plus tard parPascual Contursi, n’ontcependant rien à voir avec lecarnaval). Plusieurs tangos sur lecarnaval sont très beaux, dontSiempre es carnaval (d’Osvaldoet Emilio Fresedo), Soy unArlequin (Discépolo), Carnavalera(Manzi et Piana), et Colombina(Cadícamo et Julio de Caro),et ils montrent bien que tous lesgrands poètes et musiciens dutango ont voulu apporter leurcontribution à ce sujet. J’ai choisid'en traduire deux autres, Siga elcorso et Carnaval, pas seulementpour leur beauté, mais aussiparce qu’ils ont été composés,tous les deux, par le mêmebinôme, le poète FranciscoGarcía Jiménez (1899-1983) etle bandonéoniste Anselmo Aieta(1896-1964). C’est donc unebonne occasion pour parler d’euxet faire connaître leur œuvre, carFrancisco García Jiménez etAnselmo Aieta comptent parmiles créateurs les plus significatifsdu tango. Ils ont composéensemble plusieurs autres tangostrès importants, tels que Almaen pena, Bajo Belgrano,La Violetera, Suerte loca, ainsique la superbe valse Palomitablanca. Francisco GarcíaJiménez a été un poète trèsprolifique (il a écrit les parolesde près de quatre-vingts tangos,

Plus dequarantetangos seréfèrent aucarnaval.Parmi eux,la célèbreCumparsita

Amuse-toi bien, ma gentille Colombine...

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DÉBUT 2011, ledirecteur duFestival de tangode Buenos Aires,Gustavo Mozzi,m’a proposé deprésenter aupublic un projet

qui m’intéressait. Ce fut pourmoi l’occasion de mettre enplace une “conférence dan-sée” sur les mythes et les réa-lités du tango-danse, une idéequi me tenait à cœur depuisdéjà plusieurs années. Uncouple de danseurs montre-rait ces danses sur de lamusique et moi-même, jedévelopperais certains thèmesauxquels j’avais pensé : lesdifférents “genres” ; leconcept de l’abrazo ; lesorchestres et le bal ; la milon-ga ; l’érotisme du tango ; lesstyles de danse. Concernantce dernier, j’ai pensé qu’il

Il revienttoujours…

Laura Falcoff, danseuse, conférencière et historienne est allée à larencontre de Martha Anton et Manolo "El Gallego" pour évoquer ce style

tombé en déshérence mais qui connaît aujourd'hui un étonnant renouveau.

Le tango canyengueAutour des styles

Martha et ManoloLa suite dans La Salida sur papier...

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On a vu on a lu

PH

OTO

: GIO

VAN

NI C

ITTA

DIN

I CE

SI

Antonia, jouée par PilarGamboa, et Lorenzo,

interprété parEsteban Bigliardi

El Tiempo todo entero

Théâtre enapesanteur…

LIBREMENT inspiréede La Ménagerie deverre de TennesseeWilliams, RominaPaula (voir encadré)signe une pièce bou-leversante. Quandon pénètre dans la

salle de spectacle, on est saisinon seulement par la visiondes acteurs déjà en place surla scène ouverte, figés dans ledécor, mais aussi par leur trèsforte présence que l’on res-

sent à la première seconde, etqui se révélera constante jus-qu’au bout.

Un salon délimité par desparois de verre retenues parune structure métallique. Unelumière blanchâtre, im -muable, comme pour traduireune sensation d’irréalité. Lapièce commence par unechanson triste que nous écou-tons tout comme les acteurs,une chanson d’amour et demort qui parle de la douleur

de la séparation. Puis, ils semettent à danser, avec le plusgrand naturel. Deux autresmusiques* seront utilisées –une façon d’appeler le rêve ?

Nous sommes en Argen -

Le Temps tout entier de la compagnie El Silencio… Une révélation venue de la scène théâtrale de Buenos Aires.

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On a vu on a lu

Marathon

On achève bienles milongueros…

M A R A T H O N ,pièce du théâ -tre argentinengagé deR i c a r d oMonti, vientd’être montéeet proposée

par la Compagnie Vol denuit, au théâtre deMénilmontant à Paris. Jouéedès 1980 dans une salle deSan Telmo à Buenos Aires,elle illustre parfaitement lefameux tango d’EnriqueDiscépolo, Cambalache(1934). Même référence à laDécade infâme des annéestrente argentines, évocationd’un avant-goût de l’Enfer,mise en scène d’un “bazar”incroyable, comme “uneinsulte à la raison”, “commeune vitrine irrespectueuse”de la société immigrée por-tègne où affleurent tour àtour les archétypes de la

La compagnie théâtrale des personnels d’Air France a empoignéavec audace et réussite Marathon, pièce cruelle du dramaturge

argentin Ricardo Monti.

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Agenda du 1er au 16 juin 2013

Rolan Van Loor (danse),Gilberto Pereyra et GabrielVallejo (création musicale), chor.Carla Foris, suivi d’un bal tango.Spectacle à 20h, EspaceKalimera. 03 20 56 29 97

http://8renverse.free.fr

Samedi 1er juin - Nîmes (30)Stage intensif de 3h avec DiegoAmado & Laura Boucaya LeNeuder au Mas de Sagnier de15h à 18h. Inscr.: 06 19 71 36 15

www.toutango.com/lauraboucaya

Dimanche 2 juin - Nîmes(30)

Stage “Embellissements” pourfemmes avec Laura Boucaya LeNeuder au Mas de Sagnier de11h à 13h (voir 1er juin).

Dimanche 2 juin - Paris IerPratique de 17h à 19h45, 4€ à la

Sourdière (voir 7 avr. et Pub p.38)

Dimanche 2juin

St-Marcel-lès-Valence (26)

Ateliers mensuelsde Jenny & Guy etMilonga au"Glam's", ZI LesPlaines. De 13h à18h30, ateliers puis"Milonga de laTarde y Noche" de18h30 à 1h (aub.esp.) 04 75 60 3909 - 06 08 54 6235 www.tangoma-dame.fr

Dimanches 2 et 9 juin

Vous voulez comprendre les parolesdes tangos sur lesquels vous dansez ?

Commandez-la en envoyantce formulaire accompagné d’un chèquebancaire ou postal de 11€ franco de port

à l’adresse indiquée ci-dessousLE TEMPS DU TANGOOEPF - 5 rue du Moulin-Vert

75014 Paris (France)

NOM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Prénom . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Adresse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

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Ville . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

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Email . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Tél . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

[[[[[

Fabrice Hatem a réalisé pour vous uneanthologie bilingue, avec la traductioncommentée de 150 chansons parmi les

plus belles et les plus fameuses.

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Directeur de la publication etresponsable des abonnementsLuis BlancoDirecteurs déléguésMarc PiankoFrancine PigetFrance Garcia-FicheuxMembres fondateursSolange BazelyMarc PiankoRédacteur en chefJean-Luc Thomas Secrétaire de rédactionFrance Garcia-FicheuxRédactionIrene AmuchásteguiAlberto EpsteinPhilippe FassierMarie-Anne FurlanFrance Garcia-FicheuxBernardo NudelmanFrancine PigetJean-Luc ThomasOnt participé à ce numéroLaura FalcoffLouise LecointeResponsable publicitéFrancine PigetContactez-nous avant le 10 mai 201301 43 54 18 14 [email protected] Internet et mailingCatherine CharmontMichel VargozDirection artistiqueMarie-Françoise MarionPhotos, mise en page et agendaPhilippe FassierImprimeurPolycolor - 56, av. Jean-Jaurès - 94230 CachanLes informations de l’agenda sont gratuiteset publiées sans autre critère que denous parvenir avant le 10 mai 2013et formatées comme indiqué sur le site.

[email protected]

Tirage de La Salida n° 83 en 1 700 exemplairesCommission paritaire n° 1114G78597

Dépot légal à parutionToute reproduction, totale ou partielle,

de cette publication est interdite sans autorisation

Bimestriel publié par l’association Le Temps du Tango

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Bulletin d’abonnementun an et cinq numéros

q 15€ si adresse en Franceq 20€ si adresse à l’étrangerq Abonnement collectif

minimum 10 exemplaires . . . x 12€ = . . . €

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Téléphone . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Je souhaite que mon abonnement débuteq à partir du prochain numéroq à partir du dernier numéro paruparutions 01/02 01/04 01/06 01/10 01/12Chèque à l’ordre de “Le Temps du Tango”

à envoyer à Le Temps du Tango

OEPF - 5 rue du Moulin-Vert75014 Paris (France)

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