SANTÉ DES ENFANTS DES JEUNES - fulltext.bdsp.ehesp.frfulltext.bdsp.ehesp.fr/Ensp/Crs_Prs/Nord_Pas_de_Calais/PRS/Sante... · Financement accordé au titre des PRS : 30 000 F - 4 573,47

SANTÉ DES ENFANTS

& DES JEUNES

Santé des Enfants et des Jeunes «Génération santé 2000-2025» - 1

■ Porteur du projetNord Collectif Deuil27, Rue du Dr Legay - 59110 LA MADELEINETél. : 03 20 44 63 52 - E-mail :[email protected] : Maryse DUMOULIN.

■ Niveau géographique d’intervention

Nord-Pas de Calais.

■ Contexte du projetL’accompagnement proposé par les soignants de la maternité du CHRU de Lille, lors d’une mort péri-natale à l’issue d’une grossesse unique a été évalué depuis 1996.

La prévention de l’apparition de troubles psychopathologiques dans la fratrie déjà née et à naître estattestée par de nombreux témoignages de parents et de soignants.

Ce même type d’accompagnement n’a jamais été étudié, quant à ses bénéfices, en cas de décès périna-tal d’un jumeau, pour l’enfant qui survit et le reste de sa famille. Ces situations fragilisent pourtant à lafois les familles et les professionnels qui les prennent en charge.

■ Objectifs du projet

• Prévenir à long terme les complications du deuil pour le jumeau sur vivant et sa famille.

• Etudier la population de parents ayant perdu un jumeau entre 1996 et fin 1999 au CHRU.

• Mettre en place une formation pour les soignants et le personnel administratif.

■ Bénéficiaires du projet

• Les familles prochainement endeuillées par une telle disparition.

• Les professionnels qui rencontreront ces couples, ces enfants.

■ Descriptif de l’action

• Etude qualitative, recherche bibliographique,série d’entretiens à domicile, groupes de travail avec lesprofessionnels.

• Recherche bibliographique, entretiens auprès des familles, groupes de réflexion avec les personnelssoignants et administratif sur les difficultés rencontrées dans le vécu de telles situations.

• Rédaction d’un rapport, restitution des résultats aux professionnels de Jeanne-de-Flandre.

• Diffusion plus large au plan régional puis national.

Evaluation.

■ Budget total de l’action : 90 000 F - 13 720,41 €

■ Financement accordé au titre des PRS : 30 000 F - 4 573,47 € par le Ministèrede l’Emploi et de la Solidarité et 30 000 F - 4 573,47 € par le Conseil Général du Nord.

L’un sans l’autre :la disparition d’un jumeau en période périnatale.

Santé des Enfants et des Jeunes «Génération santé 2000-2025»OBJECTIF DE REFERENCE DU PROGRAMME

Favoriser la qualité des liens d’attachement parents/enfantsNord-Pas de Calais

OBJECTIF DE REFERENCE DU PROGRAMME

Favoriser la qualité des liens d’attachement parents/enfants

Santé des Enfants et des Jeunes «Génération santé 2000-2025»

■ Porteur du projetAssociation «Materlait»112, Av. de la Libération - 59140 DUNKERQUETél. : 03 28 59 00 09Contacts : Michèle ALLENDER (Présidente), Françoise LEGRAND.


Nord-Pas de Calais.

■ Contexte du projetLe taux d’allaitement régional est inférieur à la moyenne nationale. Si le souhait d’allaiter chez lesfemmes est fréquent,le manque d’information et de soutien ne permet pas toujours de réussir ceprojet.

Pour permettre à toutes le femmes qui choisissent d’allaiter d’aller jusqu’au bout de leur projet, la dif-fusion d’un support d’information semble nécessaire.


• Faire connaître les bienfaits de l’allaitement maternel aux futures mamans.

• Apporter un soutien et une aide aux mamans qui allaitent leur bébé.

■ Bénéficiaires du projetLes futures mamans, les mamans et leurs bébés.

■ Descriptif de l’actionAchat de la plaquette «Le temps d’allaiter» avec diffusion à toutes les femmes qui souhaitent allaiter.


■ Financement accordé au titre des PRS : 50 000 F - 7 622,45 € par le Conseil Régional.

Plaquette de communication.

2 - Santé des Enfants et des Jeunes «Génération santé 2000-2025»


Une école de la santé à Lille-Sud.


■ Porteur du projetCentre de soins infirmiers462, Rue du Fg d’Arras - 59000 LILLETél. : 03 20 96 19 51 - Fax : 03 20 96 98 70Contact : Michèle ECHTER.


Lille et la région Nord-Pas de Calais

■ Contexte du projetEn partant du constat que nos actions et programmes, pratiqués depuis plus de 25 ans,faisaient peu àpeu école à la fois dans le quartier mais également à l’extérieur du quartier (nombreuses visites et inter-ventions),nous avons souhaité créer un «Espace Temps» au sein du Centre de Soins.


• Reconnaître et accompagner les habitants dans leurs dynamiques au sein de la cellule familiale.

• Développer précocement, et de façon continue,la prévention en éveillant des attitudes favorables à lasanté.

• Agir en Centre de ressources et de communication pour les habitants et les professionnels.

• Permettre la transmissibilité des compétences acquises en matière de Santé Communautaire duCentre de soins du Fg d’Arras.

• Renforcer l’évaluation des actions de Centre de Soins du Fg d’Arras menées depuis 20 ans, notam-ment l’outil «Les Amis de mon jardin».


• Pour le programme «les Amis de mon jardin» : 35 enfants de 5 à 7 ans et 35 familles ainsi que 15 professionnels.

• Pour l’accueil, l’information, la communication : 100 à 120 familles de Lille, Wattignies et Fâches,30 professionnels locaux et 550 de toute la région Nord-Pas-de-Calais.


• Enquêtes,études, recherches effectuées par le groupe de pilotage.

• Actions de prévention, d’éducation et de promotion santé mises en place par 9 infirmières.

• Accompagnement et accueil des habitants et des professionnels.


■ Financement accordé au titre des PRS : 45 000 F - 6 860,21 € par le Ministèrede l’Emploi et de la Solidarité.




Soutenir les parents isolés ou en difficulté


■ Porteur du projetCOLLINE-ACEPP Nord-Pas de Calais18 bis, Rue de Trévise - BP 72 - 59016 LILLE cedexTél. : 03 20 88 26 49Contacts : Isabelle ALIX (Présidente),Véronique SEHIER.


Nord-Pas de Calais.

■ Contexte du projetLe nouveau décret régissant les modes d’accueil rend obligatoire pour les structures d’accueil l’élabo-ration d’un projet social. Ce projet social prend en compte l’environnement de la structure (quartier,ville…) et inscrit clairement les parents comme partenaires des projets.

Ce décret survient à un moment où nombre de structures réfléchissent sur les nouvelles missions deslieux d’accueil de la Petite enfance, qui dépassent largement la simple réponse à un besoin de garde :accueil de l’enfant différent, travail sur la séparation,intégration des familles au niveau du quartier, tra-vail avec la PMI sur les places d’éveil...

D’où la nécessité d’un accompagnement des professionnels à l’élaboration de ce projet social ainsi qu’àla mise en place de temps de réflexion sur les évolutions de leurs pratiques en lien avec ces nouvellesmissions (travail avec les familles, inter-culturalité, accueil de l’enfant différent...).


• Permettre l’ouverture à tous des structures Petite enfance, et leur inscription dans un partenariatlocal.

• Renforcer la coopération parents-professionnels.


• Professionnels de structures Petite enfance (halte-garderies, multi-accueil, crèches…).

• Gestionnaires de ces structures (parents bénévoles, personnels administratifs, élus...).

• Parents des structures d’accueil.


• En interne : temps d’échanges et d’élaboration sur les pratiques et l’évolution des missions des lieuxd’accueil.

• En externe :

- Travail sur le contexte du quar tier ou de la ville (repérage des partenaires, évaluation des besoinsdes familles et des problématiques spécifiques).

- Travail sur les modes d’information et de mobilisation des familles.

• Elaboration d’un projet social de la structure avec professionnels et parents.

• Présentation du projet à l’ensemble des partenaires.



Projet social des structures d’accueil «Petite enfance».



Réduire les déficits sensoriels non pris en charge


■ Porteur du projetAssociation Régionale pour la Recherche en Orthophonie, (ARREO)Faculté de Médecine Henri-Warembourg - Institut d’Orthophonie G. Decroix - 59045 LILLE cedexTél. : 03 20 62 76 18Contact : Dominique CRUNELLE.


Nord-Pas de Calais.

■ Contexte du projetLa région Nord-Pas de Calais compte un pourcentage important (25% d’après les statistiques del’Education Nationale) d’enfants en situation d’échec scolaire en 6è. Cet échec, repéré essentiellementpar rapport à une non-maîtrise de la lecture peut générer l’illetrisme, et l’exclusion sociale et profes-sionnelle.

De nombreux travaux (Bernstein, Lahire) révèlent le lien entre ces difficultés scolaires et la non-maî-trise du language oral avant 6 ans.

Lors d’un colloque, que nous avons organisé en mai 2000 sur la prévention de l’illettrisme, auquel ontparticipé 600 professionnels d’horizons divers, s’est confirmé de la part des enseignants et des ortho-phonistes le désir de développer des partenariats pour essayer de prévenir l’échec scolaire. C’est l’ob-jectif essentiel de ce projet.


• Prévention de l’échec scolaire:dépister dès 3ans en maternelle les retards de langage et autres troublespouvant être à l’origine de difficultés dans les apprentissages fondamentaux.

• Proposer à l’école une pédagogie différenciée dans un partenariat orthophonistes et enseignants.


Les enfants de 9 classes de moyenne section maternelle, de zones sensibles, chez qui des difficultés oudes facteurs de risque sont confirmés.

■ Descriptif de l’actionProjet pluriannuel sur 3 ans. En 2001-2002 :

• In form a ti on , form a ti on , con cert a ti on en tre en s ei gn a n t s , ort h oph on i s te s , RA S E D, In s pecteu rsd’Académie.

• Dépistage à l’aide du DPL 3 dans les 9 classes. PER 2000 pour les enfants en difficulté ou à risque.

• Suivi des enfants repérés en difficulté ou à risque en moyenne section maternelle.

Les enfants présentant un déficit avéré sont orientés vers la médecine de ville pour diagnostic et priseen charge.


■ Financement accordé au titre des PRS : 90 000 F - 13 720,41 € par le Fonds National de Prévention d’Education et d’Informations Sanitaires (FNPEIS) et 90 000 F - 13 720, 41 €par le Conseil Régional.

Prévention de l’échec scolaire.



Lutter contre la maltraitanceSanté des Enfants et des Jeunes «Génération santé 2000-2025»

■ Porteur du projetProgramme de formation des personnels de l’Education Nationale,Institut Universitaire de Formation des Maîtres,IUFM2 bis, Rue Parmentier - 59650 VILLENEUVE D’ASCQ CedexTél. : 03 20 47 38 15 - Fax : 03 20 47 04 00 - E-mail : [email protected] : Philippe CHAUTARD.


Département du Nord et du Pas-de-Calais avec expérimentation initiale sur un site de chaque départe-ment.

■ Contexte du projetLa mise en oeuvre de la formation de lutte contre la maltraitance se heurte, sur le plan académique, aunombre considérable de personnes concernées.

Un projet de création d’outil pédagogique permettant une démultiplication des séances a été élaboré,s’appuyant sur une enquête de terrain et sur des actions de formation auprès de professeurs des écolesstagiaires de l’IUFM d’Arras.

Il a permis de dégager les principaux besoins et attentes de formation en matière de maltraitance etabus sexuels.


• Mieux repérer les maltraitances, améliorer l’évaluation et le signalement.

• Sensibiliser et former dans le cadre de la formation continue, à la prévention des maltraitances et laprotection de l’enfance.

• Améliorer la capacité à réagir face à une situation d’enfant en danger.


• Dans le 1er degrée : l’ensemble des professionnels travaillant autour de l’enfant en milieu scolaire.

• Dans le 2nd degrée : Conseiller principal d’éducation et enseignants.


• Création d’une mallette pédagogique avec :

- un support vidéo ;

- des fiches étude de cas ;

- des recueils «aide-memoire» ;

- des fiches bilans de séances.

• Des formations d’animateurs d’une journée (expérimentation sur 1 bassin pilote).

• Animation d’une demi-journée à l’échelon local (15 animations pour 23 écoles).



Maltraitances : reconnaître, évaluer, agir.




■ Porteur du projetCHRU de Lille2, Av. Oscar-Lambret - 59037 LILLE cedexTél. : 03 20 44 44 40Contacts : Didier DELMOTTE (Directeur Général), Françoise HOCHART (Responsable de l’UnitéMobile de l’Enfance en Danger).


Nord-Pas de Calais.

■ Contexte du projetLe pôle régional de référence de l’enfance maltraitée créé en 1999 a un rôle de conseil, de formation etde prévention. Il est pour cela en liaison directe avec l’ensemble des services de pédiatrie des hôpitauxde la région mais également avec tous les services extérieurs concernés.

Il est apparu nécessaire de renforcer le travail en réseau des différentes institutions intervenant autourde l’enfance maltraitée.


• Faire se rencontrer les différents partenaires impliqués dans la prise en charge de l’enfance en danger.

• Sensibiliser le personnel à l’accueil et au dépistage de l’enfance maltraitée.

• Informer le grand public.


• Les personnes des services de pédiatrie et d’urgence des 19 sites de la région Nord-Pas de Calais.

• Les médecins de familles.

• Pédiatres.

• CMP.

• Services des Conseils Régionaux du Nord -Pas de Calais (PMI, services sociaux…).

• Représentants de la justice et de l’enseignement.

■ Descriptif de l’actionJournée régionale sur l’enfance malt raitée :

• Création d’un comité scientifique.

• Elaboration du programme et sa diffusion.


■ Financement accordé au titre des PRS : 87 725 F - 13 373,59 €

Organisation de la première «Journée régionaled’Information sur l’Enfance maltraitée».



Permettre aux jeunesde gérer la prise de risque


■ Porteur du projetCoordination Régionale «Jeunesse au Plein Air, 59-62»56, Av. Kennedy - 59000 LILLETél. : 03 20 58 15 85Contacts : Jacques DUFRESNE (Président), Pierre DEBOSQUE.


Nord-Pas de Calais.

■ Contexte du projetDepuis de nombreuses années les comités JPA du Nord et du Pas-de-Calais organisent les opérations«Vacances du Coeur» et «Vacances au Soleil» pour faciliter l’accès aux Centres de Vacances et de Loisirsdes enfants et des adolescents les plus démunis. Cela concerne chaque année plus de 1300 enfants.

Ces jeunes ont toujours nécessité une attention tou te particulière sur tous les problèmes liés à leursanté. Ces constats apparaissent de façon récurrente lors des journées d’études sur les loisirs collectifsdes jeunes et des réunions de bilan des opérations vacances.

C’est afin de prolonger, de structurer, d’innover et de rendre plus efficace le travail entrepris, que laCoordination Régionale JPA 59-62 souhaite s’inscrire de façon plus volontariste dans une démarche desanté publique.


Initier et mettre en cohérence des actions de santé publique auprès des jeunes fréquentant des coloniesde vacances appartenant au réseau «Jeunesse au Plein Air».

■ Bénéficiaires du projet• Les enfants et les adolescents scolarisés (en général) et ceux accueillis (en particulier) dans les Centres

de Vacances et de Loisirs (CVL).

• Les parents, les enseignants, les encadrants et militants des 25 fédérations impliquées dans cettedémarche.

■ Descriptif de l’action• Evaluation des besoins de santé des jeunes et des actions menées en lien avec la santé.

• Formation des personnels des Centres de Vacances et de Loisirs.

• Applications et évaluation.



Actions de prévention.



Permettre aux jeunes de gérer la prise de risque


■ Porteur du projetCollège Carnot43, Bd Carnot - BP 227 - 59002 LILLE cedexTél. : 03 20 15 60 83Contacts : Yves DELFOLIE (Principal), Michèle VANHOENACKER.


Nord-Pas de Calais.

■ Contexte du projetL’Académie s’est mobilisée pour l’apprentissage du secourisme, dans un premier temps pour le secou-risme du travail (SST) en partenariat avec INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité) puisdans la formation d’infirmières monitrices (Brevet national de Premiers secours).

A ce jour, 80 IDE enseignent le secourisme aux élèves de collèges et lycées professionnels.Elles sont for-mées par 3 instructeurs infirmiers.


• Diminuer la violence au sein des établissements.

• Savoir faire face aux situations d’urgence


• Dans un premier temps, les infirmières et professeurs de l’Education Nationale.

• Puis les élèves,notamment de 3è des collèges volontaires.


• Formation d’un instructeur, puis de 100 moniteurs.

• Présentation du projet aux responsables d’établissement.

• Sensibilisation des parents.

• Formation des élèves au diplôme du secourisme.

• Former 10% des élèves de 3ème.

■ Budget total de l’action : 1 929 774 F - 294 192,15 €


Formation au secourisme des élèves de 3ème.



Favoriser le sentiment de bien-êtredes enfants et des jeunes


■ Porteur du projetAnimation Loisirs à l’Hôpital Hôpital Swynghedauw2, Av Oscar-Lambret - 59037 LILLE cedexContacts : Christine POLLET.


Nord-Pas de Calais.

■ Contexte du projet300 bénévoles visitent plus de 800 enfant par jour dans 34 services pédiatriques depuis 40 ans.

L’actuel déficit de l’accréditation amène les hôpitaux à s’assurer du sérieux des associations.

Le diagnostic réalisé par un étudiant en maîtrise de communication en 2000 a révélé la nécessité d’amé-liorer les connaissances et compétences des bénévoles présents dans les services lourds sur le plan psy-chologique, les compétences techniques en activités manuelles, de former et d’informer sur les patho-logies rencontrées, les étapes du développement des enfants et des jeunes, d’apporter des propositionsd’animations spécifiques.

De plus, l’association est partenaire de la «Charte des bénévoles à l’hôpital» qui induit une obligationde formation et de suivi des bénévoles.

Pour adapter au plus juste cette action, une étude des besoins et des attentes des malades, des familles,des bénévoles et des soignants est nécessaire.


• Connaître les besoins et les attentes des malades, des familles, des bénévoles et des soignants.

• Etablir un diagnostic pour former de la façon la plus adéquate les bénévoles.

• Créer des outils d’animation pour améliorer l’action des bénévoles.


300 bénévoles de l’association présents dans les 34 services de pédiatrie dont 3 de nourrissons qui visi-tent 150000 enfants et jeunes par an.


• Création d’un groupe de pilotage.

• Enquête et diagnostic : besoins et attentes des malades, des familles, des bénévoles et des soignants.Elaboration et diffusion de 1000 questionnaires. Analyse des réultats et propositions au Conseild’Administration des différentes options.

• Communication sur le projet.

• Bâtir un plan de formation cohérent.



«Aime-moi à guérir».





■ Porteur du projetThéâtre de la Mandragore218 b, Rue Paul-Théry - 59500 DOUAITél. : 03 27 94 08 16Contacts : Florence EECKOUT (Présidente), Frank DELORME.


Douai, Valenciennes, Lille et Arras.

■ Contexte du projetA la suite d’ateliers-théâtre menés par le Théâtre de la Mandragore auprès d’enfants porteurs de han-dicaps fréquentant Intégration Douai et de rencontres avec les parents, les deux associations ont déci-dé de collaborer afin de mettre au point une action visant à sensibiliser les enfants des écoles primairesau monde de l’enfance handicapée et, par là,favoriser l’intégration scolaire et sociale.

S’appuyant sur un programme ayant déjà fait ses preuves au Canada,«Vivre ensemble»,l’action menéeau printemps 2001 sous le nom «Les enfants de ma rue» remporta un vif succès (32 intervention, envi-ron 1400 élèves et 60 enseignants touchés).


• Permettre aux enfants d’exprimer leurs croyances et représentations sur la déficience.

• Favoriser le changement des représentations (diminuer les représentations négatives de l’handicap).

• Comprendre les différences.


• En premier lieu, les enfants du cycle 3 des écoles primaires qui participeront à l’action (8/11 ans).

• Puis, les enseignants concernés.

• Enfin, tous les enfants porteurs de handicaps moteurs ou mentaux scolarisés (40 interventions x 40enfants en moyenne) + environ 80 enseignants = 1.680 personnes.


• Animations dans les établissements scolaires sous la forme d’un spectacle de marionnettes.

• Discussion-débat animée par les 2 intervenants.



Les enfants de ma rue.



Santé bucco-dentaire :un enjeu dans le Nord-Pas de Calais.


■ Porteur du projetUnion Régionale des Caisses d’Assurance Maladie du Nord-Pas de Calais,URCAM11, Allée Vauban - 59662 VILLENEUVE D’ASCQ cedexTél. : 03 20 05 79 08 - Fax : 03 20 05 79 01


Nord-Pas de Calais.

■ Contexte du projetLes populations défavorisées de la région sont particulièrement touchées par la carie dentaire, du faitde l’absence de dépistage et de communication à un âge décisif dans l’évolution de la dentition.Par ailleurs, compte tenu de l’existence d’actions dans le domaine bucco-dentaire en direction des 5-6 ans et de la mise en place du dispositif conventionnel chez les 15-18 ans, il semble intéressant, enterme de santé publique, de positionner un «dépistage message» à une étape intermédiaire importantedu développement de l’enfant.


• Réduire l’incidence et la prévalence de la carie dentaire.

• Sensibiliser l’ensemble de l’environnement de l’enfant à la prise en charge précoce des problèmesdentaires.

■ Bénéficiaires du projetEnfants sco l a risés en CE2 et CM1 dans des écoles publ i ques classées en Réseau d’Edu c a ti on Pri ori t a i re etdes écoles privées implantées dans les mêmes secteurs. Environ 31000 enfants sont concernés.


• Sensibilisation à l’hygiène dentaire. Dépistage des anomalies bucco-dentaires. Information et sensi-bilisation des familles aux soins de suivi.

• Séances d’éducation sanitaire par les services prévention des CPAM.

• Dépistage des anomalies bucco-dentaires par des chirurgiens-dentistes coordonnés par l’APESAL etles CHBD, assistés d’un agent CPAM.

• Fiche épidémiologique pour évaluation.

• Envoi des résultats aux parents avec sensibilisation à la nécessité des soins et à leur facilitation(plaquette d’information, organisation d’un concours récompensant les classes qui auront enregistréun bon taux de participation aux soins de suivi).

• Sensibilisation des enseignants avec remise d’une documentation pédagogique. Soutien des servicesde santé scolaire.

Evaluation : à partir d’un programme informatique spécialement conçu pour la campagne par le CHRde Lille ; indice CAO par comparaison avec le niveau national, réalisé par l’échelon régional du servicemédical et la logistique UFSBD ; analyse effectuée par un comité technique et scientifique ; vérificationet évolution du taux d’accès aux soins par les CPAM.


■ Financement accordé au titre des PRS : 730 000 F - 111 287,78 € dont 150 000 F22 867,35 € par le Ministère de l’Emploi et de la Solidarité, 280 000 F - 42 685,72 € par le FondsNational de Prévention d’Education et d’Informations Sanitaires (FNPEIS), 150 000 F - 22 867,35 €par le Conseil Régional, 50 000 F - 7 622,45 € par le Conseil Général du Pas-de-Calais et 100 000 F -15 244,90 € par le Conseil Général du Nord.


Accompagner les jeunes dans leur prise d’autonomie


■ Porteur du projetUnion Régionale des Foyers de Jeunes Travailleurs du Nord-Pas deCalais,URFJT131, Rue Anatole-France - 59286 ROOST-WARENDINTél. : 03 27 80 02 70 - Fax : 03 27 80 02 49 - E-mail : [email protected] : Louis JEAN.

■ Niveau géographique d’interventionNord-Pas de Calais.

■ Contexte du projet

En mars 1999, suite à une rencontre régionale, il est décidé d’écrire un programme de développementrégional santé pour le réseau Union Régionale des FJT, dans l’optique de soutenir et d’harmoniser lesactions de santé dans les foyers de la région, de donner les moyens de développer et réaliser des projetsde santé, et ce, par l’intermédiaire d’un groupe de programmation qui s’est constitué (composé desacteurs des FJT : jeunes, professionnels, administrateurs, directeurs,institutionnels).

Quatre journées de programmation se sont tenues pour identifier les attentes des acteurs des foyers.


• Renforcer et développer des projets santé participatifs.

• Favoriser le suivi et l’évaluation du programme.

• Renforcer et développer les compétences des personnels de FJT dans une approche de prévention etd’éducation à la santé sur l’ensemble du territoire.

• Améliorer la communication et la valorisation des actions menées au sein du réseau des FJT à l’in-terne et à l’externe.


• Les jeunes en foyers (3.300 jeunes logés par an, 15.000 participants aux activités des foyers).

• Les professionnels (direction, équipe éducative, personnel de service).

• Les administrateurs-bénévoles.

■ Descriptif de l’actionIl s’agit de poursuivre l’action engagée en 2000 dans le cadre de la mise en oeuvre du Programme dedéveloppement harmonieux des jeunes et de leur capacité d’insertion dans la société autour de 5 axesop é ra ti on n els (coord i n a ti on , com mu n i c a ti on , form a ti on , a ppui méthodo l ogi que et éva lu a ti on )mutualisés et en appui de l’ensemble du réseau des Foyers de Jeunes Travailleurs (FJT) de la région.


■ Financement accordé au titre des PRS : 279 000 F - 42 533,28 € par le Ministèrede l’Emploi et de la Solidarité et 250 000 F - 38 112,25 € par le Conseil Régional.

Développement harmonieuxdes enfants et des jeunes,

capacité d’insertion dans la société.


Promouvoir une communication visant à susciterun regard positif sur l’enfant et le jeune


■ Porteur du projetInstitut de Médecine du Travail du Nord de la France1, Av. Oscar-Lambret - 59037 LILLE cedexTél. : 03 20 44 55 94 - Fax : 03 20 44 55 91 - E-mail : [email protected] : Sophie FANTONI,Stéphane VANDENBUSSCHE.


La région.

■ Contexte du projetLes jeunes en insertion professionnelle ne prennent pas souvent en compte la question de leur santé parrapport à leur projet professionnel, alors que de nombreux domaines professionnels dans lesquels ilss’engagent sont des secteurs à risque. Ils ont également besoin d’être informés et sensibilisés sur lethème de la santé-sécurité au t ravail avant d’entrer en entreprise.

Partant de ces constats, un par tenariat s’est tissé entre le Conseil Régional du Nord-Pas de Calais etIMTNF pour développer un dispositif de terrain sollicitant le concours des missions locales, des ser-vices médicaux du travail, des organismes de formation et du réseau local de santé. Une expérimenta-tion, menée durant l’année 2000 sur 4 bassins d’emploi,a permis de confirmer les besoins et de préci -ser les modalités du projet dans le but de généraliser le dispositif.


• Sensibiliser les jeunes aux risques,aux conditions d’hygiène, de sécurité et du travail par branche pro-fessionnelle.

• Accompagner les jeunes et leur donner le moyen d’être acteur de leur santé.

■ Bénéficiaires du projet3000 jeunes entre 18 à 25 ans en formation qualifiante relevant des domaines professionnels les plus àrisque.

■ Descriptif de l’actionSéances collectives de 2 h sur le thème santé et travail animé par un médecin du travail :

• 1ère animation : le réseau local de santé, les missions de la médecine de travail et les risques profes-sionnels.

• 2ème animation (après un stage en entreprise) : sensibilisation des jeunes à la prévention et à la sécu-rité au travail.


■ Financement accordé au titre des PRS : 150 000 F - 22 867,35 € par le Fonds National de Prévention d’Education et d’Informations Sanitaires (FNPEIS) et 100 000 F - 15 244,90 €par le Conseil Régional.

Coordination régionale des actions de santé en milieu de travail.





■ Porteur du projetPlanning familial du Littoral3 et 5, Rue Michel-de-Swaen - 59140 DUNKERQUETél. : 03 28 59 18 08Contacts : Monique TASTEVIN (Présidente), Joëlle BRUNEL.


Dunkerque, Hazebrouck.

■ Contexte du projetInformation et prévention auprès des jeunes scolaires dans les lycées, dans le domaine de la contracep-tion, IVG et Sida, MST.

Demande émanant des infirmières scolaires suite aux demandes de pilule d’urgence et au travail relaismis en place entre les lycées concernés et le Planning Familial du Littoral.


• Informer sur l’accès aux soins en matière gynécologique.

• Donner la possibilité aux jeunes d’avoir accès à la contraception.


• Les scolaires des lycées général et professionnel.

• Classe de seconde et première.

• Classe de BEP et Bac Pro.


Interventions en milieu scolaire avec :

• pièce de théâtre suivi d’un débat autour de la grossesse ;

• vidéo.

■ Action labellisée

Information-Prévention.


Nord




■ Porteur du projetCentre Hospitalier de DouaiRoute de Cambrai - BP 740 - 59507 DOUAITél. : 03 27 99 61 65Contacts : Jean-Marie POURCELOT (Directeur), Françoise TOURBEZ.


Nord.

■ Contexte du projet- Taux d’allaitement maternel faible par rapport au niveau national et régional (taux de 28% en

1999).

- Absence de politique locale du se cteur sanitaire relatif à l’allaitement maternel.

- Conduite à tenir et prise en charge des patientes allaitantes différentes des différents partenaires desoins (du médecin à l’auxiliaire de puériculture...).

- L’allaitement maternel du prématuré peu ou pas développé.

- Réglementation confuse du don du lait pour le personnel du pôle mère-enfant.

- Données épidémiologiques peu favorables du Nord-Pas de Calais.


• Promouvoir l’allaitement auprès des futurs parents, du personnel, des professionnels de santé et duréseau extra-hospitalier.

• Accompagner et guider l’allaitement maternel en pré, per et post natal.


• Le couple mère-enfant.

• La cellule familiale (père-mère-enfant).


• Formation du personnel hospitalier (1999-2000).

• Conférence auprès des services de Protection Maternelle et Infantile, des médecins traitants et spé-cialistes, Centres médico-psychologiques...

• Création d’un vidéoprogramme interne.

• Création d’une consultation à l’allaitement


■ Financement accordé au titre des PRS : 65 800 F - 10 031,15 € par l’ AgenceRégionale de l’Hospitalisation (ARH).

Promotion de l’allaitement maternel.



■ Porteur du projetNouveau Planning Familial du Cambrésis36, Place Aristide-Briand - 59400 CAMBRAITél. : 03 27 70 70 59 - Fax : 03 27 70 70 58Contact : Thérèse WATTIEZ-BERTEE.


Les 7 cantons du Cambrésis.

■ Contexte du projetL’association «Le Nouveau Planning Familial du Cambrésis» a été reconstituée en juin 1999.

Les interventions en milieu scolaire, collèges et lycéens, interrompues depuis deux ans, devraientreprendre avec l’ouverture prochaine d’un Centre d’Information implanté en centre ville à Cambrai.


• Apporter des informations sur la vie affective.

• Animer des séquences d’information sur la sexualité en milieu scolaire.

• Accompagner individuellement les jeunes dans leur prise d’autonomie de la sexualité.


Des adolescents du Cambrésis scolarisés ou non : 500 jeunes pourront être concernés en année pleine.


• 1er contact avec toutes les infirmières scolaires de l’arrondissement de Cambrai.

• Mise au point des plages horaires en concertation avec les responsables d’établissement :séances d’in-formation sur la vie affective et sexuelle.



Education à la sexualité.




■ Porteur du projetUnion Départementale des Associations Familiales, UDAF Nord1, Rue Gustave-Delory - BP 1234 - 59013 LILLE cedexTél. : 03 20 54 97 61 - Fax : 03 20 78 24 15 - E-mail : [email protected] : Pascal CAZE.


Lille-Métropole, Roubaix, Tourcoing et Valenciennes.

■ Contexte du projetL’U.D.A.F. établit plusieurs constats : les importantes difficultés que c onnaissent les familles les empê-chent de remplir leurs obligations par rapport à leurs enfants ; les problèmes du couple,l’absence d’unparent ou le grand manque d’affection rendent précaire l’équilibre familial et par conséquent affectentla santé de l’enfant.

Pour répondre au besoin d’écoute,l’UDAF crée un Centre de Médiation Familiale à Lille.


• Faire apparaître les signes de difficulté et amener les familles à les gérer.

• Aider les parents à s’approprier la responsabilité de leur fonction parentale.

• Favoriser la visée curative pour les parents d’adolescents confrontés au silence, à la violence, à l’ab-sentéisme scolaire.

• Mettre en lien avec d’autres partenaires.


• Parents, enfants, adolescents,jeunes majeurs, grands-parents,fratrie,nouveaux conjoints, couples enrupture et/ou en difficultés relationnelles.

• Actuellement, perspective de répondre à 70 situations de demandes spontanées émanant du publicci-dessus évoqué.

• Les relais d’information du projet : foyers d’hébergement, planning familial, AGSS, CIDF, notaires,juges, Police, Maison de la Médiation et du Citoyen de Lille, EDF, La Poste...

■ Descriptif de l’actionEn 2001 :

• Continuité de mise en lien des partenaires ; rencontres avec les partenaires institutionnels, orga-nismes, associations, instituts de formation en vue de promouvoir la médiation familiale/

• Réunions d’information.

• Permanences médiatiques au TGI de Lille.

• Accompagnement des familles exposées aux instabilités pour renouer le lien.



Médiation familiale.






■ Porteur du projetURIOPSS Nord-Pas de Calais34, Rue Patou - 59800 LILLETél. : 03 20 12 83 43 - Fax : 03 20 12 83 69 - E-mail : [email protected] : Bruno DELAVAL.


Les territoires de Lille-Sud et le Bassin minier.

■ Contexte du projetL’URIOPSS fédère plusieurs associations dans les secteurs de la petite enfance, des jeunes et de la famille.Elle prend en compte, par des réflexions et des actions interassociatives, une approche globale de l’en-fant et de sa famille dans son environnement social.

Les associations soulignent des difficultés liées au cloisonnement des interventions et des modes deprise en charge. Les actions préventives demeurent au coeur des préoccupations avec un regard spéci-fique pour soutenir les parents isolés ou en difficultés.


• Décrire les différentes trajectoires à partir de l’histoire des familles confrontées à une aide à domici-le suite à une décision institutionnelle.

• Décrire le parcours des professionnelles du secteur (aide-ménagères et travailleuses de l’interventionsociale et familiale).

• Dégager l’adéquation des réponses proposées au domicile, l’intérêt de ce travail social et d’apprécierl’efficience de ce mode d’intervention auprès de cette population.


• Les usagers et les professionnels du secteur concerné.

• Les associations et les par tenaires publics (Conseils Généraux, CAF, communes…).


Recherche anthropologique sur l’enfance et la famille aidées à domicile qui permet d’être davantage àl’écoute de la famille et de son histoire.

• Recherche bibliographique sur le sujet de l’aide à domicile.

• Entretiens avec les familles. Retranscription.

• Entretiens avec les professionnels de l’aide à domicile.

• Entretiens avec des travailleurs sociaux et des représentants des pouvoirs public.

• Analyse, présentations des résultats intermédiaires, rapport final, présentation et débat public.

Evaluation et communication.



Groupe intersectoriel.





■ Porteur du projetAPESAL2, Rue d’Iena - BP 01 - 59895 LILLE cedex 9Tél. : 03 20 42 34 14Contacts : Noël DEFFONTAINES (Président), Michel AUBRY.


Armentières, Dunkerque, Lille, Maubeuge, Roubaix, Tourcoing.

■ Contexte du projetDepuis l’année scolaire 1999/2000,une expérimentation de dépistage des troubles du langage oral chezles enfants âgés de 3 ans à 3 ans 1/2, est menée sur les circonscriptions des CPAM d’Armentières et deLille. Celle-ci révèle un pourcentage d’environ 25% d’enfants présentant des difficultés de communi-cation et de langage.

Un récent accord de partenariat avec l’Inspection Académique du Nord a amené l’Association«APESAL» à projeter l’extension en partenariat avec l’ensemble des professionnels compétents, de l’ac-tion de dépistage des troubles du langage sur toute sa zone géographique,dans un souci de préventiond’une inadaptation scolaire et sociale.


• Dépister les troubles du langage des enfants âgés de 3 à 3 ans 1/2 scolarisés dans les écoles maternellespubliques et privées.

• Sensibiliser les parents au suivi du développement du langage de leur enfant.

■ Bénéficiaires du projetEnfants âgés de 3 ans à 3 ans 1/2 scolarisés.


• Formation des enseignants par les orthophonistes.

• Dépistage à l’aide d’une méthode dite «DPL3».

• Information des résultats aux parents avec incitation éventuelle au recours au soin.



Dépistage des troubles du langage.





■ Porteur du projetAssociation ASRLCMP de Linselles - 73, Rue du Gal-de-Gaulle - 59126 LINSELLESTél. : 03 20 25 94 45Contacts : Jean-Marie CACHE (Directeur), Françoise BOIDEIN.


Nord.

■ Contexte du projetLa dysphasie est un trouble langagier responsable de difficultés scolaires. Elle est de mieux en mieuxconnue mais nombreux sont encore les enfants non dépistés par manque d’informations du corpsmédical et du corps enseignant.

A l’heure où des mesures ministérielles sont prises pour mettre en place tout un système de prévention,dépistage et prise en charge de ces enfants, il nous est apparu intéressant de travailler sur la réalisationet la diffusion d’un moyen d’information, dans un premier temps, du milieu enseignant.


• Informer les enseignants sur la dysphasie.

• Leur permettre le repérage.

• Savoir orienter les enfants pour le diagnostic.

• Savoir comment aider ces enfants.


• Les inspecteurs, enseignants des milieux scolaires ordinaires et spécialisés du public et du privé.

• Les médecins scolaires.


• Création d’une cassette vidéo.

• Révision des plaquettes d’information.

• Diffusion, lors de journées d’information auprès des professionnels.

Evaluation.



Dépistage de la dysphasie à destination des enseignants.



■ Porteur du projetAssociation REAJIS18 ter, Rue de Roubaix - 59242 TEMPLEUVETél. : 03 20 33 82 28Contact : Alain TITECA.


21 communes du Pevèle, sud-est de Lille.

■ Contexte du projetIdentification de jeunes en voie de marginalisation sur les 21 communes de notre secteur d’interven-tion.

Ces jeunes sont particulièrement fragilisés face aux conduites à risque et à la consommation de pro-duits psycho-actifs.


• Aller à la rencontre des jeunes sur leurs lieux de regroupement pour les aider à gérer la prise derisque.

• Requalifier l’image des jeunes sur la commune.


• 300 jeunes en voie de marginalisation. Entre 15 et 22 ans. Ces jeunes sont souvent en rupture fami-liale et en échec scolaire.


• Prise de contact avec les jeunes et mise en place d’un comité de pilotage.

• Visite hebdomadaire des jeunes sur leurs lieux de vie, construction de la relation de confiance.

• Médiation avec les élus locaux, requalification de l’image des jeunes.



Travail de rue avec les adolescentset les jeunes adultes.






■ Porteur du projetCentre Hospitalier de Sambre-Avesnois13, Bd Pasteur - BP 249 - 59607 MAUBEUGE cedexTél. : 03 27 69 44 72Contacts : Marc LEHOUCQ (Directeur), Philippe PARADIS.


Bassin de vie Sambre-Avesnois.

■ Contexte du projetDans le cadre du Comité de Pilotage de prévention et de promotion de la santé, la coordinatrice desIDE scolaires du bassin Sambre-Avesnois a exprimé son ressenti face aux difficultés rencontrées par sescollègues, difficultés liées à l’aggravation et à l’augmentation des situations auxquelles elle sontconfrontées dans le cadre de leur mission d’écoute. Suite à cette réflexion,a été organisée une rencontreentre les personnes intéressées.

Les problèmes rencontrés par les adolescents ne doivent pas être résumés au problème de consomma-tion qui n’est bien souvent que l’expression d’un mal-être. Les infirmières se retrouvent devant desjeunes en détresse psychologique et/ou sociale.

L’articulation et la coordination avec les structures locales d’aide et d’accueil des adolescents sont sou-vent complexes,les délais de prise en charge trop longs...

Pour aider à résoudre ces difficultés, un projet de formation est apparu comme solution. Elaboré surdeux modules, il est axé sur : l’analyse des difficultés rencontrées quotidiennement par les infirmières,sur l’évolution des concepts en matière de prévention et sur l’amélioration du travail en réseau.


• Développer les connaissances et la mise en réseau des IDE scolaires avec les différents partenairesassociatifs et institutionnels.

• Sensibiliser aux concepts d’addictologie et de prévention.

• Apporter des propositions d’aide concrètes aux IDE scolaires dans leur pratique quotidienne.


• Les infirmières diplômées d’Etat travaillant à l’Education Nationale.

• Le projet s’adresse à un groupe de 15 IDE scolaires.

■ Descriptif de l’actionAction d’accompagnement des infirmières scolaires :

• Réunion préparatoire avec l’ensemble des partenaires.

• Validation et présentation du projet.

• Premier module : formation de 3 jours, évaluation intermédiaire.

• Réalisation du deuxième module basée sur une journée mensue lle de rencontre-débat.

• Evaluation finale.



Adolescence et santé globale.



■ Porteur du projetCentre de Consultation psycho-pédagogiques16, Rue Négrier - 59042 LILLE cedexTél. : 03 20 12 54 43 - Fax : 03 20 12 54 44 - E-mail : [email protected] : Etienne QUINTIN.


Les bassins d’éducation de la Région Nord.

■ Contexte du projetDepuis 3 ans, le service a travaillé avec les enseignants et des formateurs pour élaborer un ou til d’ob-servation des prérequis à l’apprentissage scolaire. La dernière année a été consacrée aux ateliers deremédiation.

Pour opérationnaliser ce travail de recherche,il faut le rendre accessible à la majorité des écoles et éta-blissements avec lesquels nous travaillons.

L’outil, l’accompagnement par les psychopédagogues et la mise en place des entretiens ont un coût queles familles ne peuvent assumer.


• Diminuer le décrochage scolaire.

• Favoriser le sentiment de bien-être des enfants et des jeunes par une approche globale des jeunes.


• Les élèves de g rande section de maternelle, des classes primaires et du cycle d’adaptation en collège(6ème).

• Les parents des élèves.

• Les enseignants et cadres éducatifs concernés.

■ Descriptif de l’actionFormation des enseignants et animateurs-formateurs à l’utilisation d’un outil d’évaluation des proces-sus cognitifs mis en jeu dans les apprentissages fondamentaux.

Mettre au point les modalités d’évaluation.


■ Financement accordé au titre des PRS : 146 000 F - 22 257,56 € dont 46 000 F7 012,65 € par le Ministère de l’Emploi et de la Solidarité et 100 000 F - 15 244,90 € par le Conseil Régional.

Prévention des décrochages scolaires.


Diminuer le décrochage scolaire


Diminuer le décrochage scolaireSanté des Enfants et des Jeunes «Génération santé 2000-2025»

■ Porteur du projetService de Promotion de la Santé, Education NationaleInspection Académique de Lille1, Rue Claude-Bernard - 59033 LILLE cedexTél. : 03 20 62 20 02Contact : Colette COLLINET.


Nord.

■ Contexte du projetL’échec scolaire est particulièrement élevé dans le département. L’intégration scolaire est un détermi-nant de santé. L’échec scolaire mène à la perte d’estime de soi, à l’illetrisme et à l’exclusion sociale.

Certains facteurs des troubles de l’apprentissage peuvent être améliorés par un diagnostic et une priseen charge précoces.

Les travaux du laboratoire congniscience de Grenoble démontrent l’intérêt d’un bilan de la 6è annéeamélioré et étalonné ainsi que l’efficacité d’entraînements visuels et phonologiques dès la grande sec-tion de maternelle.


• Lutter contre le décrochage scolaire.

• Améliorer le suivi des enfants dépistés.

• Participer à la prévention des difficultés d’apprentissage.

• Améliorer la prise en charge en qualité et précocité par un travail en concertation.


• Les enfants de Grande Section Maternelle et Cours Préparatoire.

• Leurs parents.

• Les enseignants.

Augmentation progressive du nombre d’enfants.


• Sensibiliser les professionnels.

• Repérer précocement les enfants à risque.

• Mettre en route un suivi pédagogique et/ou médical.


Prévention du décrochage scolaire.





■ Porteur du projetMission Locale Pévèle-Mélantois Carembault52, Rue Carnot - BP 95 - 59155 FACHES-THUMESNILTel. : 03 20 62 05 93 - Fax : 03 20 96 34 08 - E-mail : [email protected]


46 communes du sud-est de l’agglomération lilloise.

■ Contexte du projetLes ateliers de santé visent à développer et à améliorer l’accompagnement des jeunes bénéficiaires dudispositif TRACE en fonction de leurs attentes et leurs besoins en matière de bien-êt re médico-psy-cho-social.

Lors des entretiens individuels avec les conseillers socio-professionnels, les problèmes de mal-êtrephysique et psychologique et les difficultés d’accès aux soins sont repérés.

■ Objectifs du projetPermettre à l’ensemble des jeunes :

• de s’exprimer sur leurs représentations de santé ;

• d’identifier leurs atouts et leurs difficultés ;

• de mieux connaître et d’accéder au réseau local de santé existant ;

• de bénéficier, s’ils le souhaitent d’un accompagnement spécifique de santé.

■ Bénéficiaires du projet90 jeunes âgés de 16-25 ans bénéficiaires du dispositif TRACE

■ Descriptif de l’actionAnimations collectives en éducation à la santé :

• Préparation et formalisation du projet.

• Présentation du projet aux équipes.

• Expérimentation avec évaluation et réajustement.

• Extension du projet.



Dispositif de sensibilisation à la santé.



■ Porteur du projetGEIST Nord8, Rue Léon-Gambetta - 59240 DUNKERQUEContact : tél. : 03 28 65 02 24 - Fax : 03 28 65 02 24 - E-mail : WWW.GEIST.NORD.ORG


Nord.

■ Contexte du projetC’est en 1982 que le GEIST Nord se constitue à l’initiative de parents, intégrant dans leur structureassociative et démarches, des médecins, chercheurs et professionnels. L’action a pour résultat essentieldepuis 18 ans :

- l’accompagnement de parents dans la santé de leur enfant ;

- parcours d’intégration scolaire réussi de 3 à 18 ans ;

- création d’un service de soins et d’aide à l’intégration (SESSAD-AIS) ;

- création d’un service de suivi SCAFI pour la formation sociale et professionnelle, l’insertion desjeunes trisomiques de 18 à 25 ans en milieu ordinaire de travail.


• Concourir à la santé de l’enfant et de l’adolescent porteur de trisomie dans la région.

• Faciliter son intégration scolaire et sociale en milieu ordinaire.

• Accompagner les parents et professionnels de la santé ou de l’intégration.

• Réinitialiser le Conseil scientifique du GEIST.


• Plus de 200 enfants et jeunes adultes porteurs de trisomie et déficients intellectuels.

• 300 à 400 médec i n s , k i n é s i t h é ra peute s , ort h oph on i s te s , p s ych o l og u e s ,p s ych om o tri c i en s , en s ei gn a n t s .


• Ecoute et réponses immédiates aux démarches des parents (y compris isolés).

• Proposition et organisation d’échanges collectifs à proximité du lieu de vie locale.

• Evaluation des avancées possibles sur : Santé, Intégration, Autonomie, Accompagnement.

• Orientation vers des profesionnels de la santé ou SESSAD, vers des structures adaptées (CLIS,UPI),vers des commissions (CCPE,CCSD, CDES)

• Perspective pour un accompagnement durable (Santé, Intégration) et mise en place d’un dispositifintégration cohérent, dans le cadre des textes en vigueur.


■ Financement accordé au titre des PRS : 50 000 F - 7 622,45 € par le Conseil Général du Nord.

Santé Intégration Trisomie.




■ Porteur du projetMission Locale d’agglomération Dunkerque66, Rue des Chantiers de France - 59140 DUNKERQUETél. : 03 28 22 64 90 - Fax : 03 28 22 64 85 - E-mail : [email protected] : Bernard LEVANT.


Communauté Urbaine de Dunkerque (18 communes).

■ Contexte du projetEn 1997,la ville de Dunkerque missionne plusieurs opérateurs dont la Mission Locale, pour la mise enplace d’un plan devant offrir des solutions à 1.000 jeunes Dunkerquois sans situation, repérés en croi-sant les données d’institutions diverses (INSEE, ANPE, Education Nationale, Mission Locale...).La réflexion aboutit au «Plan XXL».

La Mission Locale se voit confier le volet «Odyssée» du Plan, pour 250 jeunes de 1997 à 1999.


• Aider les jeunes en grande précarité à formuler un projet de vie clair.

• Donner aux jeunes des repères les aidant dans la résolution de leurs problèmes.

• Rendre les jeunes acteurs, dans un souci d’intégration sociale et citoyenne.


• Jeunes de 18 à 25 ans, c u mulant des difficultés, de formu l er un proj et profe s s i on n el , voi re proj et de vi e .

• 65 % des bénéficiaires ont à surmonter des problèmes de santé.


«Odyssée» consiste en un parcours de 10 mois et demi autour d’un projet attrayant (ex : constructionde cross-car), travail avec les jeunes sur la formation, l’accompagnement social, le sport, la promotionde la santé,l’aide aux projets.

- 1ère étape : 4 mois et demi, les jeunes sont stagiaires de la formation professionnelle.

- 2ème étape : 6 mois, les jeunes sont en CES.

- 450 h en centres : apports théoriques et pratiques ;

- 225 h en entreprise : découverte du monde du travail ;

- 200 h environnement social : sport, santé, vie sociale ;

- 200 h formation complémentaire liée au projet professionnel.

- Sortie d’«Odyssée» : filiarisation vers des étapes de parcours «classiques».

Evaluation : par grilles d’indicateurs (santé,logement,famille, accès aux droits) remplies en début et finde parcours. Evaluation à mi-parcours de la situation du jeune et 3 mois après sa sortie.

Communication : des articles dans «Contact Santé», «Dunkerque magazine», «Le Nord».


«Odyssée».






■ Porteur du projetService de Promotion de la Santé, Education NationaleInspection Académique de Lille1, Rue Claude-Bernard - 59033 LILLE cedexTél. : 03 20 62 20 02Contacts : Colette COLLINET, Dorothée QUERLEU.


Nord.

■ Contexte du projetLes tentatives de suicides et suicides en milieu scolaire ont poussé les équipes médico-sociales du dépar-tement du Nord à s’interroger sur la prévention possible et à élaborer un projet de prévention primaire(bien-être), secondaire (repérage de la souffrance), tertiaire (suivi après tentative de suicide et prise encharge d’un établissement après un suicide).


• Diminuer le nombre de suicide des adolescents.

• Améliorer le bien être des jeunes.


• Les adolescents scolarisés.

• Les personnels médico-sociaux et pédagogiques des établissements scolaires.

• Les parents d’élèves.


• Formation des équipes médico-sociales et pédagogiques au repérage de la souffrance des adolescentset aux signes d’appel.

• Améliorer l’accompagnement du jeune par une meilleure connaissance des différents acteurs (miseen réseau).

• Travail avec les adolescents et les parents sur l’estime de soi.


Prévention du suicide de l’adolescent.



■ Porteur du projetCentre d’Information et de Conseil Familial du Pas-de-Calais, CICFEntrée 1, «Les Merles» - Av. Léon-Blum - 62219 LONGUENESSETél. : 03 21 98 62 58 - Fax : 03 21 98 85 13Contact : Marie-Elysée XAVIER.


Zones rurales.

■ Contexte du projetProposer des entretiens de conseil familial et conjugal, de thérapie familiale et de médiation familiale àun public isolé et loin de toutes structures.

Proposer un lieu d’accueil et d’animation pour les tout-petits (0-4 ans).

Ce lieu existe sur l’Audomarois et la région de Lumbres sous le nom de «Petit-Pont».


• Animer des lieux d’écoute et de parole. Amener les personnes à réagir et à s’approprier le déroule-ment de leur vie, à d evenir acteur et à se responsabiliser face aux évènements. Trouver en elles lesmoyens et ressources pour évoluer. Sortir de l’isolement.

• Préparation à la séparation, lieu de socialisation précoce.


• Toutes personnes seules ou en couple.

• Parents en difficultés face à leurs enfants.

• Parents séparés ou divorcés.

• Enfants de 0 à 4 ans accompagnés d’un référent adulte.


• Accueil par des conseillères formées spécialement à la petite enfance et au conseil conjugual.

• Visites à domicile avec présentation de l’action.

• Distribution de plaquettes à l’occasion de rencontres, à la sortie des écoles et par le biais des mairies.



Soutien aux parents.


Soutenir les parents isolés ou en difficultéPas de Calais


■ Porteur du projetCentre d’Information et de Conseil Familial du Pas-de-Calais, CICFEntrée 1, «Les Merles» - Av. Léon-Blum - 62219 LONGUENESSETél. : 03 21 98 62 58 - Fax : 03 21 98 85 13Contact : Marie-Elysée XAVIER.


Zones rurales.

■ Contexte du projetProposer des entretiens de conseil familial et conjugal, de thérapie familiale et de médiation familiale àun public isolé et loin de toutes structures.

Proposer un lieu d’accueil et d’animation pour les tout-petits (0-4 ans).

Ce lieu existe sur l’Audomarrois et la région de Lumbres sous le nom de «Petit-Pont».


• Animer des lieux d’écoute et de parole. Amener les personnes à réagir et à s’approprier le déroule-ment de leur vie, à d evenir acteur et à se responsabiliser face aux évènements. Trouver en elles lesmoyens et ressources pour évoluer. Sortir de l’isolement.

• Préparation à la séparation, lieu de socialisation précoce.


• Toutes personnes seules ou en couple.

• Parents en difficultés face à leurs enfants.

• Parents séparés ou divorcés.

• Enfants de 0 à 4 ans accompagnés d’un référent adulte.


• Accueil par des conseillères formées spécialement à la petite enfance et au conseil conjugual.

• Visites à domicile avec présentation de l’action.

• Distribution de plaquettes à l’occasion de rencontres, à la sortie des écoles et par le biais des mairies



Soutien aux parents.






■ Porteur du projetCOLLINE-ACEPP Nord-Pas de Calais18 bis, Rue de Trévise - BP 72 - 59016 LILLE cedexTél. : 03 20 88 26 49Contacts : Isabelle ALIX (Présidente),Véronique SEHIER.


Pas-de-Calais.

■ Contexte du projetColline anime avec la Fédération des Centres Sociaux du Pas-de-Calais le dispositif des réseaux d’ap-pui à la parentalité mis en place par la Direction Interministérielle en 1999.

Ce travail a démarré en 1999 par un état des lieux des besoins en terme de repérage des actions exis-tantes, des besoins et attentes des porteurs de projets dans ce domaine, pour travailler avec les parentset/ou les associer aux actions qu’ils mènent.

Ce travail a fait l’objet d’un écrit présenté au comité d’animation départemental du Pas-de-Calaisréunissant partenaires institutionnels et associatifs impliqués dans ce dispositif. Ce dernier a validé l’in-térêt d’une animation départementale située à la fois dans la proximité et permettant les échanges inter-institutionnels,interassociatifs, au niveau départemental.

Colline et la Fédération des Centres Sociaux souhaitent poursuivre le travail engagé sur les territoires,poursuivre et amplifier la réflexion menée au niveau départemental.


• Favoriser réflexion, échanges et débat sur la notion de parentalité, pour une meilleure approche.

• Permettre une meilleure connaissance et une mise en réseau des porteurs de projet.

• Favoriser l’émergence de projets de territoires où la place des parents est reconnue.

■ Bénéficiaires du projetLes porteurs de projets institutionnels et associatifs des 5 territoires ciblés : professionnels de l’actionsociale (CAF, UTASS,…) du monde associatif (centres sociaux, clubs de prévention…) de structuresd’accueil enfance et petite enfance, de l’Education Nationale, et des bénévoles impliqués dans des pro-jets (parents d’élèves, accueil, centres de loisirs...).


• Mise en place et animation de comités locaux réunissant porteurs de projets et acteurs concernés parla notion de parentalité.

• En lien avec la DDASS : animation du Comité départemental des réseaux d’appui à la parentalité.

• Rédaction et diffusion d’un journal «Infos Réseaux».

• Information et rencontre de porteurs de projets.


■ Financement accordé au titre des PRS : 80 000 F - 12 195,92 € par le Conseil Général du Pas-de-Calais.

Animation départementale des réseaux d’appui à la parentalité.





■ Porteur du projetAPESAL 628, Rue Ernest-de-Lannoy - BP 357 - 62026 ARRAS cedexTél. : 03 21 22 84 70 - Fax : 03 21 22 84 72 - E-mail : [email protected] : Yves CHUFFART.


Arras, Lens et Bruay.

■ Contexte du projetLe dépistage, dans les écoles maternelles, des enfants ayant des troubles visuels est réalisé par laProtection Maternelle et Infantile. Les besoins d’améliorations sont au niveau :- de la réduction du délai du rendez-vous chez le spécialiste ;

- d’une prise en charge d’un 1/3 payant au niveau des prestations examens et équipements ;

- du suivi de l’action.


Cette intervention se situe en amont et en aval de l’opération de dépistage de la PMI. Elle consiste àamener l’enfant dépisté vers l’effectivité d’un soin approprié afin que l’ensemble des enfants ayant destroubles consultent le spécialiste et que ces enfants accèdent à un traitement approprié.

Objectifs opérationnels :

- obtenir des délais très courts (7 semaines) chez le spécialiste pour les enfants dépistés ;

- obtenir un 1/3 payant intégral sur les examens et traitement ;

- préparer une offre de traitement ;

- assurer un suivi en aval.


• Plus ou moins 1000 enfants de moins de 6 ans de la zone Arras-sud.

• Les parents des enfants pour l’après-dépistage.


Cette opération sera, tout d’abord, menée sur la zone d’Arras-sud, puis sur le département duPas-de-Calais.

• Mise en place d’un 1/3 payant intégral pour les soins, en accord avec la CPAM d’Arras, lesComplémentaires Maladie et les Professionnels de santé :

- définir, avec le Conseil de l’Ordre,nos modalités d’intervention pour les prises de rendez-vous chezles spécialistes ;

- négocier avec ceux-ci des rendez-vous dans les 4 semaines ;

- créer tous les documents nécessaires pour assurer un suivi de l’opération ainsi que des statistiqueset des études épidémiologiques.

• Assister administrativement la PMI lors du dépistage :

- prendre les rendez-vous chez les spécialistes ;

- assurer les relances et comprendre pourquoi les parents n’ont pas donné de suite ;

- sortir toutes les statistiques.


■ Financement accordé au titre des PRS : 250 000 F - 38 112,25 € dont 100 000 F15 244,90 € par le Ministère de l’Emploi et de la Solidarité et 150 000 F - 22 867,35 € par le Conseil Général du Pas-de-Calais.

Dépistage des troubles visuelset effectivité des soins.

Santé des Enfants et des Jeunes «Génération santé 2000-2025»Santé des Enfants et des Jeunes «Génération santé 2000-2025»



■ Porteur du projetInspection Académique20, Bd de la Liberté - 62000 ARRASTél. : 03 21 14 21 14Contacts : Rolande PRUVOST, Pascale HENNEBERT.


Pas-de-Calais.

■ Contexte du projet- 98/99 : recherche par le Service Santé en Faveur des Elèves d’un outil permettant d’aborder avec les

collégiens le problème de la violence et des abus sexuels. Achat par l’Inspection Académique de la cas-sette de B. Beltremieux (Je. Tu. Il) : «Cet autre que moi».

- 99/00 : Expérimentation dans une classe de 4ème par 2 assistantes sociales, 3 professeurs, 1 CPE.Evaluation : outil pertinent qui remplit les objectifs suivants : se protéger d’éventuels abuseurs ouagresseurs,ne pas devenir soi-même abuseur ou agresseur. «Se construire...» mais nécessite la consti-tution d’une équipe d’animateurs.


• Former des binômes pluri-disciplinaires susceptibles d’animer des séances de prévention auprès desclasses de 4 ème pour permettre un temps de réflexion sur sa propre attitude face à la sexualité, la vio-lence,l’abus sexuel.

• Apporter des notions techniques sur l’animation d’un groupe, gestion de la parole,l’approche du lan-gage et de la sexualité de l’adolescent.


• 1er niveau : adultes de la communauté éducative : éducation nationale, enseignants, documentaliste,assistantes sociales, infirmière,médecin, CPE, parents d’élèves et partenaires des CESC.

• 2ème niveau : tous les collégiens.


• Formation de 2 jours par groupes de 15 à 20 personnes éducatrices des collèges volontaires sur plu-sieurs sites de l’Académie.

• Information des équipes enseignantes de 4ème.

• Information des parents.

• Interventions auprès des collégiens à raison de 3 séances d’1 heure 1/2 par 1/2 classe.

Evaluation par questionnaire.


■ Financement accordé au titre des PRS : 18 000 F - 2 744,08 F € par le Conseil Régional.

«Cet autre que moi».



■ Porteur du projetMission Locale de Boulogne-sur-Mer34, Rue Monsigny - BP 193 - 62203 BOULOGNE-SUR-MER cedexTél. : 03 21 30 36 22 - Fax : 03 21 30 82 10 - E-mail : [email protected] : Brigitte DHAYNAUT.


75 communes de l’arrondissement de Boulogne-sur-Mer.

■ Contexte du projetPour favoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes de 16 à 25 ans, un «Espace santé » a étécréé au sein de la Mission Locale.

Ce service met en évidence, par son utilisation croissante, la nécessité d’un lieu d’écoute et de parolepour les jeunes.


• Favoriser, organiser et développer des actions de santé et de protection sociale visant au bien-être desjeunes.

• Développer et améliorer l’accompagnement des jeunes en fonction de leurs besoins et de leursattentes en matière de bien-être «médico-psycho-social».

• Développer et organiser le suivi médical.


• Les jeunes repérés par les correspondants à l’interne de la Mission Locale, par les partenaires duréseau sanitaire et social, ainsi que le bouche à oreille.

• Les jeunes de 16-25 ans en formation, en foyers d’hébergement…


• A partir des entretiens individuels, des rencontres conviviales hebdomadaires de l’espace santé et desséances collectives d’information santé dans les organismes de formation, le bilan de santé est pré-senté dans sa globalité pour que le jeune prenne en charge sa santé et soit «acteur» dans sa démarche.

• Lien avec le médecin de la Croix-Rouge et les généralistes pour les comptes-rendus des bilans et lesuivi des spécialistes.

• Accompagnement selon le souhait du jeune avec le Centre Hospitalier Général-Duchenne.

• Orientation vers les associations spécialisées (drogues, dépendances, hygiène, contraception...).

Suivi du jeune avec les partenaires internes et externes de la Mission Locale.



Favoriser les lieux d’écoute et de conseil,les réseaux de pairs aidants.






■ Porteur du projetMission Locale du Bruaysis121, Rue de la République - 62700 BRUAY-LA-BUISSIERETél. : 03 21 52 96 60 - Fax : 03 21 53 32 53Contact : Jean-Michel LEFEBVRE.


Bassin d’emploi Béthune-Bruay.

■ Contexte du projetL’état des lieux dynamique du CRES concernant les jeunes accueillis en Mission Locale fixe 5 axes detravail pour renforcer et/ou développer les capacités des jeunes demandeurs d’emploi de 16-25 ans enterme de santé. Le premier objectif du Programme vise à favoriser, organiser et développer les actionsde santé et de protection sociale ciblant le bien-être des jeunes de 16-25 ans par un accompagnementvers l’autonomie et dans un retour au droit commun.


• Développer et améliorer l’accompagnement de l’ensemble des jeunes.

• Aider les groupes dans l’émergence d’une thématique santé à travailler.

• Les accompagner dans les démarches leur permettant la connaissance et l’utilisation du Réseau localde santé.


• 5 groupes de 15 personnes en mobilisation DIP.

• Jeunes demandeurs d’emploi de niveau 6 et 5 bis émanant en partie du dispostif TRACE.


• Rencontre des organismes de formation et des jeunes afin de dégager les attentes et les besoins.

• Rencontre des partenaires locaux pour la mise en place du projet.

• Accompagnement des jeunes vers le réseau local à leur demande.

• Valoriser le travail réalisé par le groupe.

Evaluation.



Modules Santé.





■ Porteur du projetMission Locale de l’ArrageoisBP 278 - 62005 ARRAS cedexTél. : 03 21 71 83 93 - Fax : 03 21 71 45 10 Contact : Martine LOUVET.


Zone d’influence de la Mission Locale de l’Arrageois.

■ Contexte du projetAction permanente depuis 1997 qui se situe dans un contexte global Espace Santé. Des modules santéont été programmés depuis quelques années, en concertation avec le Conseil Régional,dans le cadre dela formation DIP appelée antérieurement mobilisation. En effet, les jeunes positionnés sur ce disposi-tif sont souvent en voie de marginalisation et ont une connaissance partielle ou minimale des disposi-tifs de santé.

La Mission Locale de l’Arrageois, à travers son réseau a mis en place ces modules.


• Généraux : rendre le jeune acteur de sa santé,réaliser un état des lieux sur la santé des jeunes et leursattentes, construire un contenu qui corresponde aux attentes des jeunes.

• Opérationnels : travailler les représentations de la santé chez les jeunes les plus en difficulté qui intè-grent la DIP et le dispositif TRACE.


• Jeunes de DIP et en DPP.

• Jeunes intégrés dans le dispositif TRACE.

• Jeunes de la zone rurale (déplacement vers l’existant).

A titre indicatif, 92 jeunes vus dans le cadre de modules santé (11 interventions : durée 1 heure 30 à 2heures) pour le 1er trimestre 2000, + 30 jeunes en TRACE.


• Création d’un centre de ressource documentaire.

• Permanences décentralisées de la Mission Locale.

• Module de santé pour les jeunes.

• Réunion d’information de lutte contre la maltraitance.

• Passage de l’Attestation de Formation aux premiers secours.



Rendre le jeune acteur de sa santé (photolangage).


■ Porteur du projetMission Locale de Boulogne-sur-Mer34, Rue Monsigny - BP 193 - 62203 BOULOGNE-SUR-MER cedexTél. : 03 21 30 36 22 - Fax : 03 21 30 82 10 - E-mail : [email protected] : Brigitte DHAYNAUT.


75 communes de l’Arrondissement de Boulogne-sur-Mer.

■ Contexte du projetPour favoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes de 16/25 ans,un «Espace Santé» a été crééau sein de la Mission Locale.

Ce service met en évidence, par son utilisation croissante, la nécessité d’un lieu d’écoute et de parolepour les jeunes.

En concertation avec l’équipe, une animatrice santé se charge d’accompagner les jeunes dans la résolu-tion de problèmes et développe des liens avec l’ensemble des partenaires associatifs et institutionnels.


• Assurer une efficacité toujours améliorée dans le suivi des jeunes.

• Mener une réflexion permanente sur la problématique santé des jeunes et sur la pertinence desactions à mener.


Jeunes de 16 à 25 ans inscrits à la Mission Locale (chaque année, la Mission Locale accueille plus de1600 nouveaux jeunes et est en contact avec plus de 4000 jeunes).


• Accueil,écoute, orientation et suivi en relation avec un réseau de partenaires sanitaires et sociaux.

Trois thématiques de travail à l’origine de réunions régulières de groupes de travail :

• Actions de promotion de santé et de prévention en direction des jeunes en formation

• Santé/logement des jeunes avec les organismes locaux gérant l’ALT et avec le Comité local des EGS.

• Parentalité.

L’évaluation s’appuie sur le nombre de jeunes accueillis, le nombre de partenaires intégrés dans leréseau, les résultats obtenus suite au besoins des jeunes, les compte-rendus des réunions, la réalisationdes actions et de projets avec le réseau de par tenaires.



Recenser, par territoire,l’ensemble des structures.







■ Porteur du projetCentre Hospitalier de Sambre-Avesnois13, Bd Pasteur - BP 249 - 59607 MAUBEUGE cedexTél. : 03 27 69 43 43Contacts : Marc LEHOUCQ (Directeur), Geneviève DELEBARRE.


Maubeuge.

■ Contexte du projetDepuis 5 ans, un programme de dépistage et de prévention des conséquences de la consommation deproduits psychoactifs et des difficultés relationnelles mère-enfant, a été mis en place.

Ce programme, initialement appelé «PROMAT», est basé sur le recueil d’une série d’informations enpré et post-partum. Cette grille permet de repérer les familles en difficulté.

Pour accompagner ces familles, il est apparu rapidement indispensable de constituer un réseau impli-quant les PMI, et certains services du Centre Hospitalier de Sambre-Avesnois : département de pédia-trie,néonatologie,s ervice de gynécologie, obstétrique,ECIMUD, service social,CMP, groupe de travail«Alcool-grossesse».


Dynamiser et renforcer le réseau local autour de la périnatalité.


• Les femmes qui accouchent dans le Sambre-Avesnois.

• Le personnel de santé.


• Recueil d’informations individualisées en pré et postanal.

• Rencontres régulières des professionnels et analyses des situations.

• Organisation d’un accompagnement.

• Evaluation du processus et des résultats.



Périnat.


Arrondissements du NordAvesnes-sur-Helpe




■ Porteur du projetCollège Camille-Claudel1, Rue Paul-Lafargue - 59610 FOURMIESTél. : 03 27 56 42 06Contact : Jean-Claude CHIROL.


Fourmies.

■ Contexte du projetDepuis plusieurs années, des actions ponctuelles sont mises en place au collège. Notre souhait est deréaliser un programme ambitieux à destination de tous les élèves de la 6è à la 3è.

Les professeurs, les professionnels sanitaires et sociaux, les encadrants et les parents ont souhaité por-ter leur effort dans l’année scolaire 2000/2001 auprès des élèves entrant en classe de 6 è.

Des actions importantes ayant déjà été réalisées sur les dépendances, elles porteront sur des thèmesautour de la violence, du mal-être et des comportements à risque.


Améliorer et/ou renforcer la santé des élèves.

■ Bénéficiaires du projetLes élèves du collège.


• Réalisation d’un état des lieux (en 6ème) à partir du baromètre santé.

• Création d’un comité de pilotage.

• Mise en place d’ateliers santé en lien avec les priorités dégagées (6 ateliers d’1 h 1/2).



Ateliers santé pour les 6ème.



■ Porteur du projetLycée Notre-Dame de GrâceQuai des Nerviers - BP 127 - 59602 MAUBEUGE cedexTél. : 03 27 53 00 66 - Fax : 03 27 64 97 73Contact : Guy VAN WYNENDAELE.


Maubeuge.

■ Contexte du projetLes tentatives de suicide répétées et la prise de produits toxiques grandissante ont amené l’équipe ensei-gnante à s’interroger sur la fragilité des lycéens, les possibilités de prise en charge de «mal-être» latentet les actions à mettre en œuvre.

Pour cela,l’établissement souhaite être accompagné au niveau méthodologique afin de réaliser un pro-jet d’éducation pour la santé pertinent et en cohérence avec les dynamiques locales.


• Améliorer la connaissance de 50 professionnels de l’établissement sur le repérage de la souffrance etsa prise en charge.

• Renforcer les comportements favorables à la santé chez les lycéens et l’équipe éducative.

• Favoriser la prise en charge de la souffrance des lycéens en articulation avec les professionnels duréseau local de santé.


• Tous lycéens de la seconde à la terminale scolarisés dans l’établissement (585 jeunes).

• L’équipe éducative du lycée (50 professeurs, 5 surveillants, 2 directeurs).

• Les partenaires du réseau local de santé de Maubeuge, de l’arrondissement d’Avesnes et les institu-tions.

■ Descriptif de l’actionA partir du diagnostic santé des élèves (en 2000) mise en place d’un groupe «pairs aidants» (élèves) sou-tenu par un groupe ressources (enseignants, professionnels de santé) en vue de l’animation des élèvespar les élèves autour des priorités retenues.



Mal-être des lycéens.




■ Porteur du projetVille de Maubeuge - Direction des Affaires Sanitaires et de la Petite EnfanceHôtel de Ville - Pl. du Dr Pierre-Forest - BP 269 - 59607 MAUBEUGE cedexTél. : 03 27 53 75 17 - Fax : 03 27 53 76 24Contact : Stéphanie MAUFROID.


Maubeuge.

■ Contexte du projetLe quartier de l’Epinette compte 5 216 habitants.

En matière de santé,l’alcoolisme et le repli sur soi sont importants. Des problèmes d’hygiène existent,les soins ne sont pas délivrés.

Les enfants sont bien souvent livrés à eux-mêmes et les parents se déclarent dépassés, démobilisés etdévalorisés. L’exercice, l’expérience et la pratique de la parentalité sont remises en cause.


• Accueillir et favoriser l’écoute des parents qui éprouvent des difficultés.

• Valoriser la personne par le biais d’activités supports visant à découvrir, transmettre et échanger lessavoir-faire et les compétences.

• Valoriser la fonction et le rôle des parents : échanger sur le thème des relations Parents/Enfants à partir d’expériences positives vécues et encourager les réflexions autour de l’éducation des enfants.

• Favoriser l’autonomie sociale et familiale par une information adaptée ; étudier les freins des parentspour accéder aux structures ; favoriser le changement de regard des professionnels.

• Soutenir les actions de solidarité (bourses, manifestations, expositions...).


• Parents d’enfants, pré-adolescents, adolescents et/ou jeunes adultes résidant le quartier.

• Dans un premier temps, l’action touchera une cinquantaine de familles.


• Accueil organisé tous les jeudis de 13h30 à 16h30 dans un espace et une ambiance conviviale etchaleureuse.

• Ecoute et échanges avec les professionnels

• Mise en place d’ateliers où sont proposées différentes activités visant à découvrir, transmettre etéchanger des savoir-faire. Activités intergénérationnelles avec les enfants.

• Supports vidéo et autres pour faciliter les échanges sur les thèmes des relations parents/enfants et dela parentalité. Rencontres avec les professionnels locaux et visites de structures.



Aide et accompagnement à la parentalité par la mise en place d’un point d’accueil et d’écoute.






■ Porteur du projet«A l’écoute» 104, Rue des Glacis - 59500 DOUAITél. : 03 27 97 57 00Contact : Bruno MAETZ.


Douai.

■ Contexte du projetLa prévalence de la surdité est estimée à 0,5 à 2 pour mille naissances.Dans de nombreux cas il existeun retard au diagnostique. Un manque d’information des familles et des professionnels mais égale-ment un manque de suivi coordonné en sont souvent la cause.

La précocité du diagnostic avant un an est importante pour permettre une prise en charge optimale.Le bilan de 9 mois nous a semblé un moment privilégié pour ce dépistage.

■ Objectif du projetDépister les enfants vus à 9 mois par le médecin traitant ou le pédiatre.


• 20 médecins traitants généralistes et des pédiatres.

• Environ 300 enfants bénéficiant d’un bilan de 9 mois.


• Mise en place d’un logiciel de dépistage de troubles auditifs chez l’enfant de 9 mois.

• Informer et former les médecins.

• Sensibiliser les familles.

• Mise en place d’un suivi de la surdité de l’enfant.

Evaluation de la faisabilité et des résultats.



Dépistage précoce des surditéschez l’enfant de 9 mois.


Douai




■ Porteur du projetCollège Jules-Ferry745, Rue du Fg de Béthune - 59500 DOUAIContacts : Dominique LITMANOWSKI (Principal), Marie REFIEUNA.


Douai, Cuincy, Esquerchin.


• Débât théâtralisé sur le thème de la violence : «Je m’en tape», présenté dans le cadre du ConseilCommunal de la Prévention de la Délinquance.

• Information aux classes de 3 è sur les conduites déviantes (toxicomanie,alcoolisme, tabagisme).

■ Objectif du projetInformer les jeunes tout en les rendant «acteurs» de leur propre réflexion sur les comportementsdéviants, sur la violence envers les autres et envers eux-mêmes.


• Toutes les classes de 4 è du collège : environ 140 élèves.

• Années scolaires suivantes : tous les autres élèves du collège (création de fiches-infos à disposition auCDI).


• Analyse de faits quotidiens : travail en cours de français.

• Débat théatralisé sur le thème de la violence.

• Travail de réflexion sur les droits et les devoirs du citoyen.

■ Budget total de l’action : 3 900 F - 594,55 €

■ Financement accordé au titre des PRS : 3 900 F - 594,55 € par le Conseil Général du Nord.

Conduites déviantes et incivilités.





■ Porteur du projetMission Locale pour l’Emploi des Jeunes dans le Douaisis417, Bd Paul-Hayez - 59500 DOUAITél. : 03 27 71 48 20Contacts : Jean-Jacques CANDELIER (Président), Jacqueline ROMMENS.


Douai.

■ Contexte du projetLes PAIO du Douaisis, devenues Mission Locale au 1er janvier 2001, ont mis en place des actions favo-risant le mieux-être des jeunes conformément aux déclinaisons du programme Régional des MissionsLocales et PAIO déposés dans ce PRS.

Ainsi, une action pour les jeunes en formation DIP est en cours (en partenariat avec les organismes deformation,le SPS, Douaisis Santé pour Tous,le CRS) ainsi qu’une autre pour les jeunes hors formation(en coanimation avec le SPS).

La Mission Locale participe aussi au Réseau Santé des Jeunes du Douaisis animé par le SPS.

Ces différentes actions ont permis d’identifier les attentes des jeunes : être mieux informés et identifierles lieux ressources.

Ainsi ce projet, en soutien des animations collectives citées ci-dessus,part des attentes de la populationdes jeunes 16-25 ans en lien avec la Mission Locale et sera réalisé par un groupe de jeunes du disposi-tif TRACE.


• Rendre les jeunes acteurs de santé.

• Permettre aux jeunes TRACE d’identifier les principaux partenaires du réseau local de santé à leurdisposition.

• Informer les 4500 jeunes accueillis par la Mission Locale sur les principaux partenaires du réseau.

• Valoriser les jeunes en démarche de santé positive et acteurs pour leurs pairs.


• 10 jeunes du dispositif TRACE pour la réalisation du d ocument.

• 4500 jeunes accueillis dans la Mission Locale.

• Et aussi les conseillers de la Mission Locale et les membres du réseau local.

■ Descriptif de l’actionAnimations collectives pour la conception,la réalisation et la diffusion d’un répertoire sur les différentspartenaires du réseau local de santé par les jeunes du dispositif TRACE.



Répertoire.





■ Porteur du projetCollège Jules-Ferry745, Rue du Fg de Béthune - 59500 DOUAITél. : 03 27 94 41 20Contacts : Dominique LITMANOWSKI (Principal), Marie REFIEUNA.


Douai, Cuincy, Esquerchin.

■ Contexte du projetDébat théâtralisé sur le thème de la relation amoureuse et le Sida : «Amour en péril», présenté dans lecadre du Conseil Communal de la Prévention de la Délinquance.

Information aux classes de 4è «Education affective et sexuelle» par le planning familial du CHR deDouai (24 et 25 janvier 2001).

■ Objectif du projetInformer les élèves tout en les rendant «acteurs» de leur propre réflexion sur les comportementssexuels.

■ Bénéficiaires du projetToutes les classes de 4è du collège : environ 140 élèves.


• Séquences d’information par les personnels de santé et partenaires.

• Exploitation et approfondissemnet en cours de SVT.

• Débat théâtralisé suivi par la mise en place de groupes de parole



Sexualité des élèves de 4ème.




■ Porteur du projetCentre de SantéPlace de l’Europe - 59760 GRANDE-SYNTHETél. : 03 28 27 97 34Contacts : Françoise NORMAND (Présidente), Christophe GUILLEMIN.


Grande-Synthe.

■ Contexte du projetUn groupe de travail «Prévention de la maltraitance de l’enfance» du Centre de santé a été créé en 1995réunissant différents professionnels intervenant au niveau de la petite enfance et enfance.

De 1997 à 1999, un diagnostic de l’enfance maltraitée a été réalisé sur le territoire de Grande-Synthe.

Une formation destinée aux instituteurs des écoles de la ville a été organisée.

A la suite de cette formation, des demandes d’actions dans les écoles ont émergé et le groupe de travaila été sollicité.


• Donner à l’enfant les moyens de se protéger, de connaître ses droits et faire respecter sa personne.

• Aider les parents à réfléchir et à prendre conscience que l’enfant est une personne dont le corps doitêtre respecté.

• Sensibiliser et former les équipes pédagogiques des écoles maternelles et élémentaires aux problèmesde la maltraitance et des abus sexuels.


• Les enfants de l’école Julie-Daubie (classée en REP) du quartier du Moulin (4 classes du premiercycle, soit 100 enfants âgés de 5 à 8 ans).

• Leurs parents.

• Le Directeur et les professeurs des écoles des classes concernées.


• Réunions préparatoires entre les professionnels du groupe de travail et les professeurs des écoles.

• Présentation de la pièce de théât re aux parents, suivie d’un débat.

• Présentation des 4 saynètes aux enfants, suivie d’un débat (animateurs du groupe de travail et ensei-gnants).

• Réunion intermédiaire (débriefing) après chaque saynète.

Evaluation.



Prévention de la maltraitance de l’enfance.


Dunkerque


■ Porteur du projetLycée de l’Europe809, Rue du Banc-Vert - BP 58 - 59944 DUNKERQUE cedex 2Tél. : 03 28 58 72 10 - Fax : 03 28 58 72 49 - E-Mail : [email protected] : Maryan OSTROWSKI.

■ Niveau géographique d’interventionDunkerque.


Les symptômes (alcoolisation, tabac, usage de substances psychoactives et mal-êt re) sont mesurés pardes taux de passages à la vie scolaire, à l’infirmerie et chez l’assistance sociale.

Des actions ont déjà été menées durant les années précédentes dans le cadre du Comité d’Education àla Santé et à la Citoyenneté (CESC) qui doivent être prolongées de façon pluriannuelle au bénéfice dela totalité des élèves (de 15 à 23 ans).

■ Objectifs du projetSous-objectifs par niveau :

• Informer, prévenir sur les conduites addictives.

• Promouvoir de nouvelles conduites alimentaires.

• Réduire les consommations de substances psycho-actives.

• Accompagner les jeunes dans leur prise d’autonomie.

■ Bénéficiaires du projetChaque sous-objectif correspond à un niveau de classe. Grâce à cette action pluriannuelle, la totalitédes élèves en bénéficieront.


• Elèves de Secondes : informer, prévenir.

• Elèves de Premières : équilibrer l’alimentation.

• Elèves de Terminales : agir sur la prise de conscience pour réduire les conduites à risque.

• Elèves Post-Bac : développer l’estime de soi pour une meilleure prise en charge de sa vie.

Présentation et discussion autour des différents produits (nocivité personnelle,incidence familiale etscolaire, diététique et rythme de vie, dynamique de groupe autour des comportements festifs et quo-tidiens).

• Intervention d’un médiateur de santé et suivi psychologique sur les troubles profonds.



Développer une meilleure connaissance de son corps pour accroître la confiance en soi.






■ Porteur du projetCollège Maxime-DeytsRue Jean-Moulin - 59270 BAILLEULTél. : 03 28 48 79 94Contacts : Claude ROUSSEL (Principal), Anne CALCOEN.


Bailleul.

■ Contexte du projetDurant l’année 2000-2001,nous avons organisé une sensibilisation aux gestes de premiers secours pourtous les élèves de 5ème et 3ème (collège + SEGPA) et proposé aux élèves de 3ème de préparerl’ Attestation de Formation aux Premiers Secours.

Parallèlement, 18 adultes ont suivi cette formation.


• Permettre aux élèves de 3ème de renforcer leur esprit citoyen.

• Proposer aux adultes du collège de se former aux premiers secours.


• Elèves de 3ème (collège + SEGPA) soit près de 300 élèves.

• Quelques adultes.

• 5 à 7 adultes déjà formés à l’AFPS.


• Sensibilisation aux gestes de premiers secours pour tous les élèves de 3ème.

• Préparation à l’AFPS pour les élèves de 3ème volontaires (formation pendant les congés scolaires).

• Formation des adultes volontaires (professionnels et parents).

• Sensibilisation aux gestes de premiers secours pour tous les élèves de 5ème par les élèves de 3ème for-més.



Encourager l’esprit citoyen des adolescents en favorisant une formation aux premiers secours.




■ Porteur du projetCollège du SeptentrionRue du Collège - 59123 BRAY-DUNESTél. : 03 28 58 82 30Contacts : Gilles FERYN (Principal), Christine DUTRY.


Bray-Dunes.

■ Contexte du projetA la suite d’une demande des parents d’élèves lors d’un conseil d’administration de l’année scolaire99/00,une demi-journée d’information sur la drogue a été organisée à destination des parents avec l’in-tervention des services de douanes.

Cette année, la demande est réitérée par le Conseil d’administration.

Nous souhaitons donc proposer, sous une autre forme, aux parents et aux personnels du Collège, uneréflexion sur l’adolescence et ses problèmes.

Cette action pourra aider les parents à mieux comprendre et à répondre aux besoins des enfants ; lesenseignants à s’adapter aux nouvelles situations qu’il rencontre face aux adolescents.


• Favoriser la communication parents/enfants/collège.

• Améliorer la connaissance sur le repérage des souffrances des jeunes.

• Mieux comprendre l’adolescent.


• Parents d’élèves.

• Adultes de l’établissement.

■ Descriptif de l’actionReprésentation théâtrale puis débat avec des médecins.



Etre à l’écoute de l’adolescence.



■ Porteur du projetMission Locale d’agglomération Dunkerque66, Rue des Chantiers de France - 59140 DUNKERQUETél. : 03 28 22 64 90 - Fax : 03 28 22 64 85 - E-mail : [email protected] : Bernard LEVANT.


Dunkerque.

■ Contexte du projetDepuis septembre 1999, le Conseil Régional du Nord-Pas de Calais a la compétence de la politique deformation professionnelle des jeunes. Dans ce cadre, est instauré un volet «Dynamique d’InsertionProfessionnelle» (DIP), la finalité étant de favoriser l’insertion durable de jeunes n’étant pas en capacitéd’intégrer directement des actions de formation générale ou qualifiante, des contrats aidés ou l’emploi.

A travers ces DIP et en lien avec le CRES, la Mission Locale veut favoriser, organiser et développer lesactions de santé et de protection sociale visant à l’autonomie et au retour au droit commun des jeunes16-25 ans, en matière de santé.


• Mobiliser 50 % de jeunes dans la résolution de leurs problèmes de santé.

• Répondre aux attentes exposées par les groupes de jeunes.

• Connaître leurs besoins de santé.

• Permettre leur accès aux droits.


• Jeunes de 16 à 25 ans, intégrés dans les «Dynamiques d’Insertion Professionnelle».

• 152 jeunes répartis en 13 groupes sur 12 mois.


• Animations collectives.

• Accompagnements individuels et/ou collectifs.

• Propositions d’examen de santé.

• Dans le cadre du Réseau Local de Santé et plus spécifiquement avec les partenaires des DIP :

- réunions de réflexion et d’écriture du projet ;

- validation du projet ;

- échanges entre CRES, Centre de Prévention Santé, Maison de Promotion de la Santé et MissionLocale.

Suivi et évaluation. L’évaluation portera sur : vérification des droits des jeunes en matière d’accès auxsoins ;nombre de jeunes ayant entrepris une démarche de santé ; regard des jeunes sur leur propre santé :à l’entrée et à la sortie du DIP, puis 6 mois après,par l’établissement d’un questionnaire.


Dynamique d’insertion professionnelle.






■ Porteur du projetMaison de Promotion de la Santé de Dunkerque2, Rue Saint-Gilles - 59140 DUNKERQUETél. : 03 28 66 34 73Contacts : François LIBER,Philippe MARTIN.


Dunkerque.

■ Contexte du projetLa Mission Locale d’Agglomération a fait le constat qu’un nombre important de ces jeunes sont sujetsà des troubles psychologiques ou présentent des problèmes de santé graves entravant les efforts entre-pris dans le domaine de l’insertion sociale et professionnelle.

Les dispositifs traditionnels d’insertion professionnelle sont très souvent inadaptés à ce type de publicen raison d’un trop grand cloisonnement entre la formation, le social, et l’accompagnement indivi-duel...

Il s’avère donc nécessaire d’amener les professionnels à s’organiser afin d’engager un suivi global desjeunes inscrits dans un parcours plus ouvert aux différentes pratiques des champs du médical,du socialet du sport.

■ Objectif du projet

Redonner du sens à la vie des jeunes en situation de grande précarité.

■ Bénéficiaires du projetLes jeunes volontaires de 18 à 25 ans, repérés par la Mission Locale.

■ Descriptif de l’actionMise en place de «Modules Santé» :

• Constitution d’un groupe de pilotage et d’une équipe technique pluridisciplinaire.

• Mise en place de groupe de parole pour les jeunes.

• Animation santé périodique en rap port avec les besoins et problèmes recensés.

• Evaluations intermédiaires.


XXL - Odyssée «Modules Santé».





■ Porteur du projetLycée Béal à Lens, Atouts Ville3, Rue du Belvédère - 59820 GRAVELINESTél. : 03 28 51 81 20Contacts : Chantal SALOME (Présidente), Roger PERRETTE.


Gravelines.

■ Contexte du projet- A l’origine un rapprochement de travail partenarial entre l’école des parents de Grande Synthe et la

coordinatrice Secteur Petite enfance d’Atouts Ville, suite à une demande de parents fréquentant lesmulti-accueils d’Atouts Ville.

- Apprentissage participatif de type socio-cognitif, choix des thèmes par le g roupe.

- Action en place depuis début 1999 subventionnée par le Réseau d’Ecoute et d’Appui.

- Accompagnement des parents.


• Echanger parents/professionnels de la petite enfance sur des thèmes de la vie quotidienne.

• Dédramatiser certaines situations vécues.

• Valoriser le rôle parental.

• Privilégier la relation entre enfants et adultes.


• Mères et pères fréquentant les garderies,les écoles maternelles.

• Futures mères en lien avec la PMI.

■ Descriptif de l’actionInformations, échanges par des séances collectives de 3 h par semaine sur des thèmes choisis par lesparents.



Découvrir le jeune enfant.





■ Porteur du projetCollège Jules-Ferry20 bis, Rue Gustave-Fontaine - 59411 COUDEKERQUE-BRANCHETél. : 03 28 64 62 28Contacts : Luc WAYMEL (Principal), Annie DRIEUX.


Coudekerque-Branche.

■ Contexte du projetLe Collège Jules-Ferry, mal classé à l’enquête sociale, n’est toutefois pas en REP. Il recrute dans un milieumajoritairement défavorisé.

Les enquêtes, dans le cadre du Contrat Local de Sécurité, montrent que l’établissement est situé aucœur des problèmes de délinquance, de toxicomanie, de détresse familiale, d’absence de repères enmatière de citoyenneté.

Santé et Solidarité sont les maîtres mots de ce projet. Ils s’expriment pleinement par l’apprentissage depremiers secours, abordés de la même manière par les jeunes et par les adultes qui les encadrent tousles jours.


• Aborder la citoyenneté et redonner des repères aux jeunes par le biais de la santé.

• Apprendre à porter secours aux autres.


Classes de 3è année et 10 adultes volontaires (professeurs, ATOSS, parents).

■ Descriptif de l’actionFormation de 12 h aux premiers secours pour 75 élèves et 10 adultes.



Collégiens responsables et citoyens acteurs de santé.





■ Porteur du projetCollège Jean-ZayRue Jean-Zay - 59640 DUNKERQUETél. : 03 28 24 01 23Contacts : Jeanne TETELIN (Principal), Marie-France ROBIQUET.


Dunkerque.

■ Contexte du projetUn constat partagé entre l’Education Nationale, la Médecine Scolaire, les travailleurs sociaux (CAF,Conseil Général…) et la Maison de Promotion de la Santé, montre que certains jeunes du collège pré-sentent des facteurs de comportement à risque.

Ainsi, depuis 1998, la Médecine Scolaire et la Maison de Promotion de la Santé ont entamé plusieursprogrammes de prévention santé à destination des classes de 4è et de 3è.

Ces programmes de prévention santé ont été créés à partir de la mallette pédagogique «Acapulco» duCDPA. Les thématiques abordées sont : les dépendances, la sexualité, et l’hygiène de vie de manièregénérale.

La finalité de ce projet et de contribuer au «bien-être» de l’adolescent et de sa famille au collège et dansleur quartier.


• Susciter la réflexion des collégiens et de leurs parents autour des représentations de la santé des ado-lescents.

• Informer sur l’hygiène de vie, dépendance et comportements à risques


• Elèves et familles.

• L’équipe éducative du collège Jean-Zay du quartier de Petite-Synthe.

■ Descriptif de l’actionProjet pluriannueI en parallèle au programme scolaire :

• 6ème et 5ème : hygiène de vie.

• 5ème : sensibilisation sur les thématiques tabac et alcool.

• 4ème : programme d’animation sur «l’effet de mimétisme et les pressions du groupe».

• En fin d’année scolaire : exposition relative aux thématiques abordées.


Ma santé en 2001,2,3… partez !





■ Porteur du projetMaison de Promotion de la Santé de Dunkerque2, Rue Saint-Gilles - 59140 DUNKERQUETél. : 03 28 66 34 73Contacts : François LIBER,Philippe MARTIN.


Dunkerque.

■ Contexte du projetDepuis plusieurs années,l’Association Dunkerquoise de Gestion des Equipements Sociaux organise des«mini-camps» où les enfants vivent sous tente pendant 5 jours et p ratiquent des activités diverses. Cesséjours favorisent la vie en collectivité, ce qui devient un facteur d’éducateur et d’apprentissage.

En effet, le quotidien, dans sa gestion et dans les tâches qu’il impose, devient un outil éducatif à partentière.

C’est pour optimiser l’exploitation de ce séjour que l’association Association Dunkerquoise de Gestiondes Equipements Sociaux a sollicité des partenaires ayant des compétences diversifiées et dont la prio-rité est «les loisirs pour les enfants avec des expériences éducatives».

Dans le cadre de ses missions, la Maison de Promotion de la Santé se propose de gérer la partie «viequotidienne» à travers un travail sur l’hygiène de vie de manière générale ainsi que sur les conditionsde sécurité et de bien-être.


• Accompagner les enfants et les animateurs dans la gestion des rythmes et des règles pour une bonnehygiène de vie.

• Accompagner les adultes dans d’éventuelles conduites à risques


• Les enfants des maisons de quar tier.

• Les parents.

• Les animateurs de la MPS et Maison de l’Environnement.

• Les accompagnateurs ADUGES.


• En amont du séjour :

- Mettre en place des temps d’information autour de l’hygiène alimentaire, corporelle, du milieu.

- Préparation spécifique aux parents sur les conditions et le déroulement du camp.

- Informer les animateurs sur les modalités d’intervention.

- Travailler avec les animateurs les activités proposées lors du séjour pour y fondre le «temps santé».

- Création d’un référentiel «santé» destiné aux accompagnateurs,animateurs et aux parents (sur lesthématiques : alimentation, sommeil, hygiène et sécurité).

• Pendant le séjour :

- A travers les activités de loisir, garantir les règles quotidiennes élab orées en amont.

• Après le séjour :

- Réunions de bilan organisées avec les animateurs, accompagnateurs, parents et enfants.


Education santé lors de «mini-camps».





■ Porteur du projetCES Anne-Frank41, Rue Cortot - 59760 GRANDE SYNTHETél. : 03 28 58 75 11Contacts : Jean-Marie JAROCKI (Principal), Denise CASSIGNAT.


Grande-Synthe.

■ Contexte du projet- A partir de la classe de 4è, les élèves de SEGPA commencent à travailler en atelier : couture, cuisine,

maçonnerie, peintures.

- Coupures, brûlures, chutes, traumatismes sont autant d’accidents qui peuvent survenir.

- Apprendre aux élèves les risques spécifiques pendant les heures d’ateliers, donc à les prévenir ;apprendre à savoir faire «le geste» au moment de l’accident.

Apprendre à alerter, tel est le but du projet afin que chaque élève puisse être acteur de la sécurité de saclasse.

■ Objectif du projetEtre acteur de la sécurité tant dans la prévention que dans la situation d’urgence.

■ Bénéficiaires du projetElèves de 3è et 4è SEGPA.


• Recensement des risques spécifiques à chaque atelier.

• Apprentissage des gestes de survie.

• Examen de secourisme.



Un pas pour la vie : protéger, alerter, secourir.





■ Porteur du projetMaison de Promotion de la Santé de Dunkerque2, Rue Saint-Gilles - 59140 DUNKERQUETél. : 03 28 66 34 73Contacts : François LIBER, Philippe MARTIN.


Dunkerque.

■ Contexte du projetL’institut médico-éducatif dunkerquois accueille des jeunes déficients légers, moyens.

Pour certains jeunes,le séjour dans la structure se termine : ils ont peu de contact avec les services exté-rieurs et sont donc moins informés, plus vulnérables.

A l’approche de leur sortie, les démarches à l’extérieur sont accentuées, afin de favoriser leur insertionen milieu ouvert. Il faut donc les aider à repérer les lieux et les personnes ressources, leurs donnerconfiance dans les institutions.


• Sensibiliser les jeunes aux thèmes de santé globale.

• Organiser des rencontres avec des professionnels pouvant les orienter selon leurs demandes et leursbesoins.

• Découvrir un réseau associatif santé existant pouvant leur servir de repères

■ Bénéficiaires du projetEnviron 30 jeunes déficients léger, moyens.


• Réunions régulières autour de thématiques santé.

• Animation avec des outils ludiques.

• Création d’un jeu «Cap sur la Santé».

• Visites d’associations.

• Réalisation d’un journal.


■ Financement accordé au titre des PRS : 2 500 F - 381,12 € par le Ministèrede l’Emploi et de la Solidarité.

Education à la santé pour le public déficient.





■ Porteur du projetCHRU de Lille2, Av. Oscar-Lambret - 59037 LILLE cedexTél. : 03 20 44 62 98Contacts : Didier DELMOTTE (Directeur Général), Jean-Pierre DUBOS.


Lille.

■ Contexte du projetEn maternité, l’éducation et l’accompagnement des mères pour la santé de leur nouveau-né est uneactivité qui s’impose au personnel et fait l’objet d’une demande des accouchées.

A la maternité de l’Hôpital Jeanne-de-Flandre, une démarche de ce type a été entreprise, orientéenotamment vers l’alimentation de l’enfant (allaitement maternel et artificiel).

Une séance de puéricultrice est destinée,une fois par semaine,aux futures accouchées mais touche peude femmes (une dizaine alors que 85 femmes accouchent en moyenne par semaine).

Il paraît donc souhaitable de renforcer quantitativement et qualitativement cette activité de façon à enfaire bénéficier le plus de femmes possibles et de l’élargir à tous les aspects de la santé de l’enfant,notamment les aspects visant à la prévention et à la prise en charge des troubles relationnels précoceset des déficits sensoriels.


• Renforcer l’éducation et l’accompagnement des mères pour la santé de leur enfant en maternité.

• Mettre en place une activité structurée d’éducation à la santé de l’enfant pour les futures accouchées.


• L’ensemble des mères accouchant à la Maternité de l’Hôpital Jeanne-de-Flandre, soit 4.500 par anenviron.

• L’équipe soignante de la Maternité de l’Hôpital Jeanne-de-Flandre.


• Réunions collectives destinées aux futures accouchées sur les principaux thèmes concernant le santédes enfants.

• Mise en place de réunions collectives quotidiennes destinées aux accouchées.

• Ces réunions ont des supports variés,par exemple, des vidéos comme «L’oreille,une petite merveille»et «Attention les yeux».



Renforcement de l’activité d’éducationpour la santé en maternité.


Lille


■ Porteur du projetHôtel de Ville, Direction du Développement Social et de la Prospective, DDSP Service Petite Enfance19, Av. Clémenceau - BP 19 - 59130 LAMBERSARTTél. : 03 20 08 44 34 - Fax : 03 20 08 44 58 - E-mail : [email protected] : Sophie DELCOUR, Arnaud DEROO.

■ Niveau géographique d’interventionLambersart.

■ Contexte du projetEn 1992, la Ville signe un «Contrat Enfance» avec la Caisse d’Allocations Familiales. Ce contrat a pourfinalité de développer des actions quantitatives et qualitatives en faveur des enfants de moins de 6 ans.

Les rencontres font émerger une demande des parents fréquentant ces lieux, quant à leur besoin d’unsoutien dans leur rôle de parents. Cette demande est renforcée par les observations faites par les pro-fessionnels eux-mêmes.

Ce constat amène la création d’un atelier de soutien à la parentalité à partir d’octobre 1998.


• Enrichir les compétences relationnelles des parents dans la relation parent/enfant :

- Apprendre à écouter un enfant dans ses besoins, demandes et émotions.

- Favoriser chez les parents une autre approche éducative.

• Donner aux parents les moyens de repérer les besoins de l’enfant en lien avec son développement.

• Aider les parents à prendre conscience des croyances, attitudes et représentations développées face àl’éducation de l’enfant.

■ Bénéficiaires du projetParents de la commune ayant recours aux structures collectives de la Ville et aux assistantes maternellesde la commune pour l’accueil de leur enfant.


• Animation de groupes sur deux années à raison d’une séance par mois de 19h à 22h avec des apportspédagogiques, des techniques de communication, des mises en situation, des jeux de rôles.

• Communication auprès des structures. Dépôt du programme et présentation aux partenaires.

• Inscriptions.

• Confirmation de l’inscription et constitution de groupes.

• Démarrage de l’atelier.



«Dessine-moi un parent».




■ Porteur du projetAs s oc i a ti on Départem entale Nord Sa uvega rde Enfance Ado l e s cen ce , ADNSEA et Ma i s on «Arc - en - Ci el »199-201, Rue Colbert - 59045 LILLE cedexTél. : 03 20 06 77 50 - Fax : 03 20 06 77 51 - E-mail : [email protected] : Didier DETŒUF.


Lille.

■ Contexte du projetDes difficultés majeures de relations entre parents et enfants ont été détectées par les services sociauxet les services de PMI.

Il a donc été créé un lieu d’accueil parents-enfants qui fonctionne selon les principes de la «MaisonVerte» mise en place par Françoise Dolto, pour favoriser la relation mère-enfant et père-enfant.


• Re-narcissiser les parents par l’effet du groupe.

• Rem et tre les parents dans leur statut malgré leur pr é c a rité (foyer d’urgen ce ,h ô tel , l ogem ent pr é c a i re ) .

• Eviter que les enfants soient «parentifiés».


• La population du quartier du Fg de Béthune,les parents et enfants ayant quitté leur logement (vivantdans la famille, dans les foyers d’urgence, dans les CHRS…).

• Les familles immigrées (asile humanitaire, asile politique...) et les familles issues de l’immigration :20 personnes par après-midi.


• La maison «Arc-en-Ciel» est ouverte tous les après-midi (par souci de simplicité envers les parentsqui ont perdu tout repère du temps et des jours de la semaine)

• Mise en place d’un maillon entre les familles précarisées et la maison «Arc-en-Ciel»



Re-narcissiser les parents.




■ Porteur du projet«Avenir Enfance»84, Rue du Fg des Postes - 59000 LILLETél. : 03 20 52 30 75 - Fax : 03 20 52 11 34Contact : Marisette COMBLEZ.


Lille.

■ Contexte du projetLe comité du Secours Populaire Français de Lille organise des distributions alimentaires. Ses bénéfi-ciaires expriment leurs difficultés dans la relation avec leur enfant,parfois dès le plus jeune âge de l’en-fant, sans que l’équipe, composée en majorité de bénévoles, soit en mesure d’accompagner cette rela-tion parents-enfants.

Avenir Enfance, ayant les compétences et l’expérience, se propose donc de croiser ces potentiels par lamise en place de prestations pour les familles bénéficiaires du Secours Populaire Français.


• Soutenir, aider les familles pour éviter la rupture précoce du lien enfant-mère ou père.

• Initier des repères éducatifs chez les parents.

• Créer un lieu de rencontre communautaire familial pour échanger et développer une solidaritéconcrète.


35 enfants âgés de 3 mois à 12 ans et leur famille,bénéficiaires du Comité de Lille du Secours Populaire.


• Sensibilisation des familles : animation d’espaces-jeu pour les enfants afin de se rencontrer et faireconnaissance.

• Mise en place d’ateliers d’animation pour les enfants avec leurs parents.

• Création d’un espace familial d’échanges.

• Accueil de spécialistes en éducation en fonction de la demande des familles.

Evaluation : Constitution d’un groupe de coordination avec réunions mensuelles. L’identification de 5indicateurs quantitatifs et de 10 indicateurs qualitatifs pour mesurer les effets de l’action,à partir d’unegrille d’évaluation.



S.F.P. : Simplement Pour les Familles.






■ Porteur du projetAVENIR Enfance84, Rue du Fg des Postes - 59800 LILLETél. : 03 20 52 30 75 - Fax : 03 20 52 11 34 Contact : Marisette COMBLEZ.


Hôpital Saint-Antoine, Bd Victor-Hugo à Lille, dans le cadre des salles d’attente de consultation.

■ Contexte du projetBeaucoup de parents désemparés devant la maladie conduisent leur enfant à l’hôpital.

Il semble judicieux de proposer, dans le cadre des salles d’attente de Saint-Antoine, des prestationsd’animation éducatives qui favorisent chez ces parents en difficulté des pratiques éducatives et préven-tives en relais avec l’équipe professionnelle de l’Hôpital Saint-Antoine.


• Soutenir, aider les familles pour éviter la rupture précoce du lien enfant-mère ou père.

• Initier des repères éducatifs chez les parents.

• Apprendre les parents à valoriser leurs enfants.


• 80 enfants et leur famille dans le cadre des consultations.

• 35 enfant et leur famille qui s’impliqueraient dans une réflexion éducative en partenariat avec la PMIet les services sociaux et médicaux de l’hôpital Saint Antoine.


• Le «jeu» sera utilisé comme médiateur pour entrer en relation avec l’enfant et l’adulte (la marion-nette,la musique, le conte, l’expression).

• Animation d’un espace jeux pour les enfants : activité de sensibilisation.

• Ateliers d’animation éducatives, espace d’échange et de dialogue pour les parents.

• Constitution d’un groupe de coordination avec une réunion mensuelle.


■ Financement accordé au titre des PRS : 50 000 F - 7 622,45 € par le Fonds National de Prévention d’Education et d’Informations Sanitaires (FNPEIS).

Des mots pour des maux.





■ Porteur du projetEcole MontaigneRue du Gal-de-Gaulle - 59370 MONS-EN-BAROEULTél. : 03 20 56 62 95Contacts : Serge LEUILLETTE (Directeur), Brigitte WEENS.


Mons-en-Baroeul.

■ Contexte du projetL’école Montaigne (Maternelle et primaire) est située dans la ZUP de Mons-en-Baroeul dont la popu-lation est précarisée.

Des rencontres régulières entre le service de promotion de la santé en faveur des élèves,l’école,la PMI,le réseau d’aide spécialisé aux élèves en difficulté et le CMPP Binet à propos d’enfants et de leursfamilles ont amené ces professionnels à faire le constat suivant :

- Un nombre important d’enfants présentent déjà un retard du langage et du développement à l’en-trée au CP.

- Un nombre conséquent de troubles sensoriels dépistés (audition, vision) ne sont pas corrigés pardéfaut de continuité des suivis et par la banalisation des troubles.

- Les familles ont souvent une appréhension du système scolaire avec des représentations trop endécalage avec la réalité. Cela freine l’adhésion possible aux mesures d’aide proposées.

- Les familles repèrent insuffisamment l’intérêt et l’existence des structures dont elles pourraientbénéficier avec leurs enfants.

Il apparaît nécessaire aux professionnels de se regrouper pour proposer un lieu de parole.


Soutenir les parents :

- Les aider à trouver les réponses adaptées.

- Leur faire connaître les structures.

- Accroitre la capacité des parents,dans l’exercice de leur parentalité,à mieux reconnaître les besoinsde leurs enfants et les réponses possibles pour améliorer le développement de leurs enfants.

■ Bénéficiaires du projetLes parents d’élèves et leurs enfants de l’école Montaigne (maternelle et primaire, soit 300 élèves).


• 6 Animations de groupes de parents assurées par des professionnels sur des thèmes de santé concer-nant les enfants.

• Matinées «Portes ouvertes» avec :

- Présentation du projet.

- Echanges et dégagements de thèmes d’intérêt exprimés par les familles.


Parents, enfants : avançons ensemble.





■ Porteur du projetAssociation «Vieillir autrement»61, Rue de la Justice - 59000 LILLETél. : 03 20 57 04 67Contacts : Antoinette LE MAROIS (Présidente), Jacqueline GUGENHEIM.


Tourcoing.

■ Contexte du projetDepuis 1998, dans deux quartiers «Politique de la Ville», Marlière et Epidème, les acteurs locaux tra-vaillent en réseau pour favoriser la rencontre entre les générations

Dans ces quartiers «sensibles», les parents (en particulier les mères isolées et les pères) ont souvent dumal à prendre leur place dans l’éducation des enfants. Cela est d’autant plus vrai qu’ils sont isolés. Or,se construire un réseau social de proximité peut commencer par la participation à la vie scolaire desenfants, et plus généralement à la vie de l’école.

Nous avons donc mis en place, fin 1999, des «actions lecture» associant les parents.Elles se déroulent àl’école ou au collège pendant le temps scolaire.


• Renforcer le rôle éducatif des parents dans la vie scolaire de leurs enfants.

• Favoriser la participation des parents à la vie sociale de leur quartier.


Les parents des élèves des écoles maternelles Descartes et Kergonard, de l’école maternelle et primaire SteLucie et de la SEGPA du collège Mendès-France (quartiers de Tourcoing en Politique de la Ville :Marlière et Epidème).


• 2000-2001 : lancement des actions avec mobilisation des premiers parents.

• 2002-2005 : accompagnement et formation des parents avec rencontres parents /enseignants,parents/enfants autour du livre jeunesse, du jeu et rencontres avec les résidents des maisons de retraite.


Une dynamique éducative dans les quartiers,pour des liens plus forts entre les familles et l’école.



Repérer les dépressions du post-partumSanté des Enfants et des Jeunes «Génération santé 2000-2025»

■ Porteur du projetCollège Arthur-RimbaudRue du Chemin Vert - 59493 VILLENEUVE D’ASCQTél. : 03 20 84 14 91Contacts : Gérard BEHAGUE (Principal),Elisabeth CHEVRIER.


Villeneuve d’Ascq.

■ Contexte du projetL’établissement, implanté dans une grande ville, reçoit des élèves provenant de quartiers très différentsde Villeneuve d’Ascq et de communes de la Pévèle : une zone résidentielle d’Ascq, un quartier de ban-lieue sub-urbain, et une grande disparité socio-culturelle des villages de la Pévèle.

Le projet de l’établissement,dans son volet éducatif,axe ses actions sur la richesse de cette diversité (ori-gine socio-culturelle,attente et «performances» scolaires...).

Depuis deux années, l’infirmière de l’établissement animait, une fois par semaine, un Club santé.L’objectif de ce club était de répondre aux attentes des élèves en matière de santé en leur laissant le choixdu thème. Plusieurs sujets ont été abordés, Sida, tabac, secourisme, accidents domestiques... Bien vite,à chaque fois, la situation évoluait : les élèves désiraient avant tout «se rencontrer».

De ce constat est né le projet de création d’un Club «parole», club fonctionnant déjà dans d’autres éta-blissements de Villeneuve d’Ascq, notamment au collège du Triolo.


• Permettre aux élèves de s’exprimer et d’être écoutés.

• Les sensibiliser au respect de soi.

• Connaître les structures extérieures d’aide.

■ Bénéficiaires du projetElèves volontaires de la 6ème à la 3ème du Collège.

■ Descriptif de l’actionAnimations d’un groupe de parole.



Groupe de parole.



Repérer les dépressions du post-partumSanté des Enfants et des Jeunes «Génération santé 2000-2025»

■ Porteur du projetCHRU de Lille2, Av. Oscar-Lambret - 59037 LILLE cedexTél. : 03 20 44 62 53Contacts : Didier DELMOTTE (Directeur Général), Anne-Sylvie VALAT.


Lille.

■ Contexte du projetDans la métropole Lilloise,un nombre important de grossesses surviennent chez des femmes enceintesen grandes difficultés sur le plan psycho-social.

L’accompagnement de ces grossesses,tant sur le plan médical que sur le plan psycho-social,est très sou-vent insuffisant et est rendu encore plus difficile par la multiplicité des intervenants hospitaliers etextra-hospitaliers.

Pour améliorer cette situation,un réseau médico-psycho-social, réunissant l’ensemble des acteurs hos-pitaliers et extra-hospitaliers et orienté vers la prise en charge de ce public, a commencé à se concréti-ser en 2000.


• Améliorer la prise en charge de ces grossesses à risques en contexte particulier.

• Améliorer la prise en charge psycho-sociale à l’occasion de la grossesse et du séjour en maternité.

• Améliorer le fonctionnement du réseau médico-psycho-social.


• Les familles en difficultés psycho-sociales et notamment les enfants à naître. D’ores et déjà, entre 150et 200 femmes par an sont repérées dans ce cadre, dont 50 en situation de toxicomanie avérée.

• Les soignants de la Maternité de l’Hôpital Jeanne-de-Flandre.

• Les professionnels du réseau médico-psycho-social lillois.

■ Descriptif de l’actionCréation d’une cellule d’aide aux femmes enceintes en difficultés.



Cellule d’aide à la prise en charge des femmesenceintes en difficultés sur le plan psycho-social.





■ Porteur du projetAssociation de Promotion de la Santé Bucco-Dentaire, Centre Hospitalier de SeclinAv. des Marronniers - BP 109 - 59471 SECLIN cedexTél. : 03 20 62 70 00 - Fax : 03 20 62 70 54Contact : Thierry DUMOUSSEAU.


Seclin.

■ Contexte du projetDepuis l’année scolaire 1993/1994, une action de santé visant à amélio rer l’état de santé bucco-den-taire des enfants de Seclin a été mise en place. D’abord en école maternelle, elle a été étendue progres-sivement à tous les enfants scolarisés en primaire.


• Améliorer l’hygiène bucco-dentaire entre 6 et 12 ans.

• Favoriser l’accès aux soins dans les milieux précarisés.

■ Bénéficiaires du projetEnfants scolarisés dans l’ensemble des écoles primaires de Seclin.


• Education sanitaire avec un suivi pédagogique par les enseignants.

• Rinçage de la bouche hebdomadaire par une solution de fluor.

• Dépistage annuel.

• Accès au soin : remise de fiche de liaison destinée aux parents.



Améliorer l’hygiène dentaire des 6/12 ans.





■ Porteur du projetAssociation de Gestion du Centre Montfort53/55, Rue Jean-Jaurès, Bât.A,2éme étage - 59000 LILLE cedexTél. : 03 20 57 01 32Contacts : François JEANSON (Président), Philippe de BERNY.


Lille.

■ Contexte du projetLe développement sensoriel harmonieux de l’enfant, et spécialement celui de l’audition,est une préoc-cupation dès les premiers jours de vie, à un double titre :

- d’une part, l’éveil auditif est une des composantes du développement psychomoteur de l’enfant,

- d’autre part, un déficit auditif va concerner 2 enfant sur 1.000 (la moitié dépistable dès la naissance).

Une collaboration ancienne du CAMSP Montfort avec la Maternité a permis, entre 1995 et 1999,d’as-surer l’intervention de personnels spécialisés auprès des parents pour assurer leur sensibilisation àl’éveil auditif de leur enfant.

Un vidéofilm a été spécialement conçu pour servir de support à cette action.


• Sensibilisation des parents à l’éveil auditif de leur enfant et aux facteurs de risque de déficit auditif.

• Aider au repérage des troubles de l’enfant pouvant avoir des conséquences sur le développement psy-chomoteur.

• Sensibilisation et formation de l’équipe pédiatrique et paramédicale.


• L’ensemble des mères (et leur conjoint) accouchant à la maternité de l’Hôpital Jeanne-de-Flandreainsi que les nouveaux-nés (non transférés en néonatologie) soit environ 4.000 par an.

• L’équipe pédiatrique et soignante de la Maternité de l’Hôpital Jeanne-de-Flandre.


• Vis-à-vis des mères :

- Sensibilisation à l’éveil auditif et au déficit auditif de façon individuelle et collective (par vidéo pro-jection suivie d’une discussion).

• Vis-à-vis du personnel de la maternité :

- Sensibilisation par sa collaboration aux actions auprès des mères.

- Formation par des réunions à visée scientifique organisées régulièrement.


Sensibilisation à l’éveil sensoriel et au dépistage du déficit auditif à la maternité.



Réduire les déficits sensorielsnon pris en charge


■ Porteur du projetCREAI54, Bd Montebello - 59000 LILLETél. : 03 20 17 03 03Contacts : Michel REYNS (Président), Dominique JUZEAU.


Lille.

■ Contexte du projetDeux groupes de travail,un dans le cadre du Schéma régional des jeunes déficients auditifs,l’autre dansle cadre des PRS Santé des Jeunes, se sont réunis autour d’une thématique commune à l’éveil sensorieldu Tout-petit.

Trois priorités se sont dégagées de la réflexion :

- Sensibilisation à la santé en maternité.

- Sensibilisation des jeunes parents par l’intermédiaire des pharmaciens.

- Projet de formation au dépistage des médecins généralistes et pédiatres.

■ Objectif du projetSensibiliser les jeunes parents à l’observation de l’éveil sensoriel du Tout-petit.

■ Bénéficiaires du projetFamilles avec de très jeunes enfants.


• Conception et réalisation d’une plaquette d’information.

• Sensibilisation des pharmaciens à l’éducation à la santé.

• Diffusion de la plaquette par les pharmaciens.



Surveillance de l’éveil sensoriel du Tout-petit.



■ Porteur du projetVille de Roubaix13, Rue Pellart - 59100 ROUBAIXTél. : 03 20 81 56 85 - Fax : 03 20 81 57 49 - E-mail : dilefebvre@mairie-roubaix-frContact : Didier LEFEBVRE


Roubaix.

■ Contexte du projetDe façon régulière, les enseignants sont confrontés à des comportements, des signes, laissant supposerun phénomène de «maltraitance», qu’elle soit physique, morale ou par négligence.

Ils sont souvent mal à l’aise face à cette situation, ne sachant quelle attitude adopter face à ce doute età la souffrance de l’enfant.


• Parvenir à enrayer la progression du phénomène de maltraitance.

• Renforcer le travail avec les familles fragilisées.


• Familles en situation de fragilité sociale, juridique et psychoaffective repérées par les différents pro-fessionnels.

• Professionnels de la Petite enfance et de l’éducation (environ 900 personnes).

• Enfants en souffrance repérés dans le cadre d’activités diverses.


• Définition des objectifs puis préparation des actions de façon concertée avec les partenaires du groupede travail qui se réunit de façon mensuelle.

• Envoi de questionnaires pour la préparation du forum, des tables rondes et du guide.

• Rapport établi après chaque rencontre



Ensemble contre la maltraitance.


Lutter contre la maltraitance


■ Porteur du projetCollège des Rouges-BarresComité d’Education à la Santé et à la Citoyenneté, CESC 95, Allée Gabriel - 59700 MARCQ-EN-BARŒULTél. : 03 20 72 50 66 - Fax : 03 20 72 57 27Contact :Véronique DELERUE.


Collège et environnement immédiat.

■ Contexte du projetDès 1995,création au collège d’un CESC dans un contexte d’aggravation des problèmes (malveillance,mal-être, conduites dangereuses, détresses familiales) confirmée par les résultats «épidémiologiques»relevés par la santé scolaire lors des bilans médicaux de 6ème et 3ème.


• Apprendre à gérer sa prise de risque :

- envers les produits entrainant une dépendance ;

- envers sa sexualité (MST, Sida, contraception).

• Apprendre à porter secours.


Tout collégien entrant au collège, chaque année, pendant 4 ans. Soit la totalité des collègiens (460).


• Classes de 5ème :

- conférence-débat avec expositions sur tabacotest, fumeurs mécaniques ;

- exposition :création d’affiches à thème (ex :alcool) réalisées par les élèves de 5ème à l’intention des«grands» de 4ème et 3ème et des adultes.


- conférence-débat, sexualité, contraception (film) ;

- initiation aux gestes d’urgence (matériel de secourisme).


- sexualité, Sida,MST (conférence-débat, film).



Apprendre à gérer sa prise de risque.




■ Porteur du projetCollège des Rouges-BarresComité d’Education à la Santé et à la Citoyenneté, CESC 95, Allée Gabriel - 59700 MARCQ-EN-BARŒULTél. : 03 20 72 50 66 - Fax : 03 20 72 57 27Contact : Evelyne LEMAITRE.


Marcq-en-Barœul.

■ Contexte du projetDès 1995, création au collège d’un Comité d’Education à la Santé et à la Citoyenneté, CESC dans uncontexte d’aggravation des problèmes (malveillance, mal-être, conduites dangereuses, détresses fami-liales) confirmée par les résultats «épidémiologiques», relevés par la santé scolaire lors des bilans médi-caux de 6ème et 3ème.


• Apprendre à être responsable de son alimentation : acquérir les connaissances nécessaires à l’équilibrealimentaire.

• Améliorer son comportement alimentaire.

■ Bénéficiaires du projetElèves de 6ème (classique et SEGPA) : 160 élèves.


• Actions Petit-déjeuner et Journée alimentation.

• Enquêtes.

• Théorie.

• Sensibilisation/dégustation.

• Organisation de petits-déjeuners.

• Visite de lieux de fabrication.

• Evaluation.



Apprendre à être responsablede son alimentation.




■ Porteur du projetMairie de Lambersart, Direction du Développement Social et de la ProspectiveBP 19 - 59831 LAMBERSARTFax : 03 20 08 44 58 - E-mail : [email protected] : Christine SARELS.


Lambersart.

■ Contexte du projetDans le cadre du Conseil Communal de Prévention de la Délinquance (CCPD),l’ensemble des acteurssociaux a déterminé un réel besoin de communication et d’information au profit des jeunes dans ledomaine de la santé. Les thématiques les plus repérées sont : sexualité, hygiène de vie (alimentation,sommeil, consommations de toxiques, déprime).

Fort de ce constat,une «Semaine santé» a été mise en place depuis 5 ans pour informer les jeunes,maissurtout les amener à réfléchir sur leurs propres comportements, et dynamiser le réseau sanitaire etsocial afin de valoriser son savoir-faire.

■ Objectif du projetDévelopper des «Ateliers santé» dans les collèges et lycées.

■ Bénéficiaires du projetLes six établissements scolaires secondaires de la commune,soit : 1 atelier par an par établissement sco-laire pour 15 élèves en moyenne, mais ayant pour objectif d’avoir un impact sur l’ensemble de l’éta-blissement.


Créations d’ateliers : recherche-action dans le but de créer une «action» au profit des élèves de l’éta-blissement scolaire et valorisation dans le cadre de la «Semaine santé» (journal, vidéo, représentationthéâtrale).



Ateliers santé auprès des jeunes et adolescents.




■ Porteur du projetMission Locale de Roubaix2, Rue des Champs - BP 204 - 59054 ROUBAIX cedexTél. : 03 20 69 10 10 - Fax : 03 20 26 28 99 - E-mail : [email protected] : Patrick GARCIA.


Roubaix.

■ Contexte du projetLes accidents de la circulation constituent la première cause de mortalité chez les 16/25 ans dans leNord-Pas de Calais.

Le projet «Roulez Santé Trace» propose à 10 jeunes dans le dispositif TRACE (Trajet Accessibilité àl’Emploi) de bénéficier d’une action qui pourra les conduire à un emploi stable, répondre à des pro-blèmes de santé et de formation.


• Permettre aux jeunes de gérer la prise de risque.

• Diminuer les accidents de la circulation en formant des conducteurs responsables.

• Connaître les gestes qui sauvent.

• Faciliter leur insertion professionnelle par l’inscription.

■ Bénéficiaires du projet10 jeunes de 18-25 ans inscrits à la Mission Locale de Roubaix et demandeurs d’emploi dans le dispo-sitif TRACE.


• Module prévention routière (10 à 15 h).

• Formation AFPS (Attestation Formation Premiers Secours) avec la Croix-Rouge sur 5 jours.

• Accompagnement collectif individuel.

• Réunion de validation du projet avec les partenaires, travail sur le contenu du module «PréventionRoutière» (la conduite en état de fatigue,le port de la ceinture et du casque,le danger des substancespsychoactives,les conduites à risque).



«Rouler Santé TRACE».






■ Porteur du projetCollège Marie-Curie20, Rue d’Austerlitz - 59200 TOURCOINGTél. : 03 20 01 07 40Contacts : Michel ASCHER (Principal),Mme BILAUD.


Tourcoing.

■ Contexte du projetLes partenaires du CESC pensent qu’à travers une préparation au secourisme, c’est à dire tournée versl’AUTRE, nos élèves auront une perception concrète de ce que peut être une implication citoyenne.

Des actions du tutorat (élèves de 3ème/6ème) ont déjà été mises en place dans le même esprit.


• Diminuer les incivilités au quotidien.

• Apprendre à porter secours.

■ Bénéficiaires du projetTous les élèves de 3ème du collège (160).


• Information des élèves (hors temps scolaire).

• Formation à l’Attestation des Formations aux gestes de Premiers Secours.



Secourisme et citoyenneté.





■ Porteur du projetOCCE,Ecole publique mixte du Parc59552 COURCHELETTESTél. : 03 20 38 80 20Contact : Martine OLIVIER («Les Amis de mon jardin»).


Armentières.

■ Contexte du projet- En mai 2001, Journée régionale d’échanges de pratiques de témoignages et de réflexions sur la pré-

vention des conduites addictives chez l’enfant autour de l’outil «Les amis de mon jardin».

- Sur le terrain : enseignants et partenaires locaux sont déjà engagés dans des actions de santé glo-bale et de prévention de la maltraitance.

- Ceci a conduit à l’élaboration d’un projet permettant de développer précocement les compétencespsycho-sociales de l’enfant : estime de soi, confiance, respect... pour être «bien dans son corps, biendans sa tête».


• Développer précocément la prévention en éveillant des attitudes favorables à la santé chez les enfantset les parents.

• Développer la confiance en soi.

• Développer les capacités à analyser et à résoudre eux mêmes les problèmes.

• Développer les ressources internes des enfants.


• Les enfants de 5 à 7 ans de 4 écoles (maternelle/primaire) de la circonscription d’Armentières (envi-ron 150 enfants) en 2001.

• Les enfants qui leur succéderont dans ces mêmes écoles les prochaines années scolaires.

• Et en 2002, les enfants d’autres écoles de la circonscription.


• Formation (3 jours) d’une équipe pluridisciplinaire à l’utilisation de la mallette «Les Amis de monjardin», par le CRES.

• Animation auprès des enfants autour de la mallette pédagogique.



«Les Amis de mon jardin».





■ Porteur du projetInstitut Familial d’Armentières 16 ter, Rue Lamartine - BP 7 - 59426 ARMENTIERES cedexTél. : 03 20 77 00 13Contacts : Daniel DELAMBRE (Directeur), Virginie PIRES.


Armentières.

■ Contexte du projetL’établissement a conclu un partenariat avec la Marine Nationale et Ikea.

Dans le cadre de l’éducation à la citoyenneté, les jeunes se sont montrés motivés pour participer àune formation aux gestes de premiers secours.


• Sensibiliser à la prévention des risques.

• Acquérir les connaissances nécessaires à la bonne exécution des gestes de 1er secours.

• Intervenir efficacement face à une situation d’accident.

• Implication, responsabilisation des jeunes.


• 150 élèves de 15 à 20 ans : CAP Agent de Prévention et Sécurité et Terminale Bac Pro.

• 50 professeurs et membres du personnel Ikéa.


• Formation des formateurs.

• Formation des élèves et du personnel.



Développer la citoyenneté en formant aux gestes qui sauvent.





■ Porteur du projetCollège Léon-BlumPlace Léon-Blum - 59650 VILLENEUVE D’ASCQTél. : 03 20 91 48 16Contacts : Jean-Pierre CHEVALIER (Principal), Françoise FARDEL.



■ Contexte du projetCe projet s’inscrit dans le cadre d’une par tie du Projet d’établissement du Collège.

En effet plusieurs commissions ont été créées en liaison avec le Conseil d’Administration du Collège(Commission hygiène et sécurité,Commission d’action à la santé et à la citoyenneté, Commission d’in-vestissement...) et une Commission communication.

Cette Commission s’est donnée plusieurs objectifs : une meilleure communication entre les membresde la communauté scolaire, élèves et parents.

Il est apparu qu’une meilleure communication pourrait améliorer la qualité des rapports entre tous etparvenir à «inscrire les jeunes dans une démarche citoyenne».



• Accompagner les jeunes dans leur prise d’autonomie.

• Leur donner des éléments pour devenir acteurs.


• Des élèves en «désarroi» scolaire.

• Des élèves en «désarroi» familial.

• Des élèves qui souhaitent devenir «acteurs» vis-à-vis de certains camarades de classes et qui ne saventpas comment faire (en principe niveau 4ème et peut-être quelques 5ème).


Mise en place d’une action dans le cadre d’une structure théâtrale :

• Rencontre avec l’ensemble des personnes concernées,les comédiens et des élèves.

• Intervention théâtrale.

• Expression écrite ou verbale.



Permettre aux jeunes de gérer la prise de risque.





■ Porteur du projetCollège Pablo-Néruda99, Rue de la Boutillerie - 59150 WATTRELOSTél. : 03 20 75 69 08Contacts : Christian DELPLANQUE (Principal), France VAN DEN BUSSCHE.


Wattrelos.

■ Contexte du projetLe collège est fortement engagé dans une politique de prévention et d’éducation à la santé et cetteaction s’inscrira dans le projet d’établissement.

Un de ces objectifs est de responsabiliser l’élève par rapport à lui-même et aux autres.

■ Objectifs du projet• Permettre aux jeunes de gérer la prise de risque.

• Apprendre à porter secours, à devenir des adultes responsables.

• Revalorisation de l’élève par l’obtention d’un diplôme pour promouvoir son bien être.

■ Bénéficiaires du projetLes élèves volontaires de 3è. Constitution de deux groupes de douze élèves.

■ Descriptif de l’action12 h de formation aux premeirs secours en 6 séances de 2 h pendant 6 semaines avec préparation àl’Attestation de Formation aux Premiers Secours.



Formation «Attestation.de Formation aux Premiers Secours».




Diminuer le décrochage scolaire

■ Porteur du projetVille de Roubaix13, Rue Pellart - 59100 ROUBAIXTél. : 03 20 21 56 25 - Fax : 03 20 81 57 49 - E-mail : dilefebvre@mairie-roubaix-frContact : Didier LEFEBVRE.


Roubaix.

■ Contexte du projetDans le cadre du projet «Lieux Ressource Santé», les permanences d’accueil se tiennent sur le site del’école permettant de rapprocher les parents,d’enrichir les échanges et de changer les «regards».


• Améliorer les conditions d’accueil des parents à l’école.

• Permettre un rapprochement des familles les plus en difficulté.

• Tenir compte de l’environnement social et familial des enfants.

• Redonner aux parents leur rôle d’éducateur privilégié.


• Habitants et parents.

• Enseignants (environ 600 sur la ville).

• Enfants.


• Rencontres régulières sous forme de permanences conviviales permettant de faire remonter progres-sivement, les interrogations et problématiques.

• A partir de là,réflexion commune sur la mise en place d’une action concrète ou chacun participe entant qu’acteurs par la valorisation des compétences individuelles et collectives.


Accueil des parents à l’école.




■ Porteur du projetAssociation Départementale du Nord pour la Sauvegarde de l’Enfant à l’Adulte,ADNSEADispositif d’Intervention Roubaisien en Education, DIRE199-201, Rue Colbert - 59045 LILLE cedexTél. : 03 20 06 77 50 - Fax : 03 20 06 77 51 - E-mail : [email protected] : Marie-Christine FARAUT.


Quartier Nord-Ouest de Roubaix où se trouve le DIRE (dans les locaux de l’école Quinet-Bert) etextension à d’autres quartiers et écoles envisagée.

■ Contexte du projetDIRE est un SESSAD-CLIS pour enfants ayant reçu un avis d’orientation de la CDES et qui sont enattente de place en établissement spécialisé. Les orientations de DIRE s’articulent autour de 2 hypo-thèses principales :

- La mise en évidence que les difficultés des enfants s’originent autant dans une précarité écono-mique, sociale, culturelle, qu’affective.

- L’enfant est d’autant plus troublé dans son développement et sa scolarité qu’il est soumis à des sol-licitations contradictoires émanant des personnes qui les entourent et qui ne communiquent pasentre elles (parents, enseignants,animateurs de quartier, travailleurs sociaux...).


• Rompre l’isolement des familles.

• Donner à chacun des moyens d’expression et d’échange sur la difficulté d’éduquer les enfants.

• Valoriser leurs compétences.

• Sensibiliser les parents au respect du corps (le leur et celui de leurs enfants).

• Apporter du lien entre école et parents, et avec les autres acteurs de terrain.


• Les parents des enfants accueillis dans la structure dans un premier temps, puis extension à d’autresparents et à d’autres écoles.

• Familles démunies vivant dans une grande précarité et qui n’ont plus accès à l’école.

■ Descriptif de l’actionMise en place d’ateliers parents-enfants mensuels pour travailler sur «leur petit monde» :

• ces ateliers sont construits autour de supports destinés aux enfants (cassettes vidéo, livres...) ;

• élaboration de nouveaux supports avec la participation des parents et des enfants.

Evaluation.



«Leur petit monde».




■ Porteur du projetAssociation «L’Ecole avec les Parents»Groupe scolaire Albert-Camus221, Rue Robert-Schuman - 59200 TOURCOINGTél. : 06 60 16 19 44Contact : Catherine HERCHUELZ.


Tourcoing.

■ Contexte du projetDepuis deux ans,l’association «L’Ecole avec les Parents» du groupe scolaire Albert-Camus mène un tra-vail de fond autour des questions de santé, de comportements, pouvant être liées à la relationparents/enfants, en collaboration avec le Dr Reyns (pédopsychiatre).

Selon lui, la kinésiologie est une méthode qui favorise la latéralisation et qui permet d’exploiter lepotentiel des enfants en difficultés.

Le projet tend à multiplier la pratique du brain-gym entre parents et enfants,expliquer aux parents l’in-térêt du mouvement dans l’apprentissage.


Expliquer aux parents comment aider leurs enfants en difficultés d’apprentissage.


• Les parents et enfants repérés du groupe scolaire A. Camus.

• Les familles qui en font la demande.

■ Descriptif de l’actionRencontres et formations sur la pratique du brain-gym :

• Information et formation des enseignants.

• Information auprès des parents et enfants.

• Séances de brain-gym régulières (1 fois par semaine).

Evaluation régulière.



Brain-gym.



■ Porteur du projetMaison de Quartier, Centre Social Godeleine-Petit24, Rue des Archives - 59800 LILLETél. : 03 20 06 17 22 - Fax : 03 20 06 50 65Contact : Caroline DUPUIS.


Vieux-Lille.

■ Contexte du projetLe projet est né d’un constat de terrain partagé par les salariés de la Maison de Quartier et les parte-naires : les parents d’adolescents sont isolés, démunis face aux difficultés rencontrées par leurs jeunes.Ils ont du mal à communiquer avec leurs enfants ou se sentent inutiles (dégradation du rôle éducatif).

L’année 1999 a été l’année de réflexion et de mise en route d’action par la mobilisation des partenaireset des familles.


• Re s t a u ra ti on de la com mu n i c a ti on et dével oppem ent du sen ti m ent de bi en - ê tre au sein de la famill e .

• Mobilisation des parents dans leur rôle éducatif.

• Rupture de l’isolement et déculpabilisation des parents par l’écoute et l’échange.

• Gestion de la prise de risque par les jeunes et accompagnement de la prise d’autonomie.

■ Bénéficiaires du projetJeunes du quartier et leurs familles (30 familles aujourd’hui repérées).


• Animation de lieu d’éducation à la santé pour les adolescents et leurs parents.

• Création de groupes de parole (parents-parents,parents-professionnels, adolescents-adolescents).

• Ecoute et collecte des problèmes de santé (violence, drogues, tabac et alcool).

• En fonction des situations rencontrées, des orientations sont envisagées pour les adolescents.



Champs du possible :atelier parentalité, public adolescents.




■ Porteur du projetEspace Santé Jeunes86, Rue Pasteur - 59200 TOURCOINGTél. : 03 20 01 54 61 - Fax : 03 20 01 54 61Contact : Frantz GENTHOLZ.

■ Niveau géographique d’interventionTourcoing.

■ Contexte du projetLes jeunes en souffrance n’osent pas demander d’aide auprès des professionnels.


• Améliorer la connaissance des jeunes sur leur état de santé et sur leurs représentations de la santé.

• Repérage,par leurs pairs, des jeunes en difficulté.

• Accompagnement des jeunes et prise de relais vers les structures de soins adaptées.


• Elèves et étudiants de plus de 16 ans, sur la base du volontariat.

• Les nouveaux Emplois-Jeunes-médiateurs, en contact avec le public adolescent.


• Formation d’un groupe de pairs, encadrés par des adultes, professionnels. Cinq modules d’une demi-journée chacun (atelier de 10 personnes).

• Suivi de l’action sur l’année par le groupe même.

• Multiplication des actions de formation, à l’intérieur de l’établissement, par les groupes formés (pairs + adultes).

Le suivi se fera par le groupe de pilotage, sur l’année de l’action en cours.

L’évaluation au niveau de l’établissement sera basée sur la fréquentation du service santé et servicesocial,l’évolution de l’absentéisme…(évaluation à 1 an et à 3 ans). Grille élaborée avec le CRES.

Communication : supports informatiques : CD + site Web ESJ, plaquettes ESJ (sous forme de BD).



Formation des pairs aidants.




■ Porteur du projetEspace Santé Jeunes86, Rue Pasteur - 59200 TOURCOINGTél./Fax : 03 20 01 54 61 - E-Mail : en coursContact : Frantz GENTHOLZ.


Tourcoing.

■ Contexte du projetA partir de leur expérience d’accompagnement de toxicomanes, quatre médecins généralistes s’int er-rogent sur la genèse des troubles.

Le sens du projet est d’identifier les facteurs de vulnérabilité des adolescents à risque et d’éviter auxpetits frères de ces toxicomanes le dérapage de leurs aînés.


• Favoriser chez les jeunes la prise en compte de leur propre santé.

• Encourager la rencontre des jeunes à risque avec des professionnels de santé.


• Public adolescent et pré-adolescent avec ou sans difficultés psycho-sociales.

• Professionnels : éducateurs, infirmiers et équipes éducatives enseignants.

• Parents.


• Participation des médecins à des événements regroupant des publics jeunes 12/20 ans autour de leurspréoccupations ayant un lien avec leur santé.

• Jeux d’écoute, dynamique de groupe, ateliers théâtre.

• Mise en place d’un forum «Santé jeunes» en octobre 2001.

• Participation à «Graine de vie»,le dispositif de prévention suicide de la ville de Tourcoing.



Participation des médecins généralistesen prévention adolescents.




■ Porteur du projetAssociation «Nazareth»2 bis, Bd Montebello - 59000 LILLETél. : 03 20 17 07 17 - Fax : 03 20 17 07 19Contact : Caroline SMITH.


Lille.

■ Contexte du projetL’évaluation des besoins des jeunes fréquentant ce Foyer de Jeunes Travailleurs a montré que, pour unnombre important de jeunes, la problématique santé était centrale.

Face à ce constat, l’établissement a décidé la création d’un «Espace santé».

Le premier travail s’articule autour de l’estime de soi. L’estime de soi est une valeur qui est au cœur desstratégies visant à prévenir de nombreux comportements à risques (tels que violence, conduites suici-daires ou conduites addictives).


• Améliorer l’estime de soi des jeunes accueillis.

• A partir de l’évaluation et de l’accompagnement effectués,amener les jeunes à prendre conscience deleurs difficultés.

• Amener les jeunes du foyer à repérer à l’extérieur de l’institution les partenaires du champs médico-social en fonction de leur besoins et demandes.

• Développer ou renforcer le réseau partenarial de proximité en capacité de répondre aux attentes desjeunes.

■ Bénéficiaires du projetLes jeunes accueillis dans le FJT de Nazareth, âgés de 16/25 ans, soit 30 jeunes environ, en privilégiantles jeunes ayant un suivi éducatif soutenu.


• Mise en place, avec les jeunes, d’un atelier d’écriture et d’expression théâtrale à raison de deux foispar semaine avec une présentation du travail à l’intérieur et à l’extérieur de l’institution.

• Par le biais d’un atelier peinture,ouverture d’un «Espace santé» décoré et investi par les résidents encoordination avec les membres de l’équipe.

• Réalisation avec les jeunes d’un calendrier où seront fixées les dates de conférences.

• Les sujets et les thèmes sont choisis avec les résidents.

• Création d’un lieu ressources (fonds documentaires).

Le suivi du projet sera assuré par un représentant de l’association gestionnaire et par un responsable duprojet en coordination avec les instances de suivi mises en place.

L’évaluation sera quantitative et qualitative : quantitative à travers des grilles d’évaluation individuali-sées et qualitatives à travers des intervi ews indivi du els et co ll ecti fs à divers mom ents mais aussi à traversles synthèses des situ a ti ons des jeu n e s . Un bilan annu el de l’activité sera ad ressé aux parten a i res con cer-n é s .



Améliorer l’estime de soi ou favoriser la «bientraitance».




■ Porteur du projetMission Locale de Roubaix2, Rue des Champs - BP 204 - 59054 ROUBAIX cedexTél. : 03 20 69 10 10 - Fax : 03 20 26 28 99 - E-mail : mission locale [email protected] : Patrick GARCIA.


Roubaix.

■ Contexte du projetLe projet a pour but de renforcer ou de développer les capacités de santé des jeunes 16/25 ans en lienavec le réseau des Missions Locales et PAIO, réseau dont l’axe est de favoriser, d’organiser et de déve-lopper les actions de santé et de protection sociale visant au bien-être des jeunes par un accompagne-ment vers l’autonomie et un retour au droit commun.


• Permettre à 100% des jeunes d’avoir un accès aux droits.

• Améliorer de 50% la prise de conscience du concept santé positive.

• Améliorer de 50 % la connaissance par les jeunes du réseau de santé à leur disposition.

• Amener 50% des jeunes à faire volontairement le point sur leur santé.

• Mobiliser 50 % des jeunes dans la résolution de leurs problèmes de santé.

■ Bénéficiaires du projetLes jeunes de 16/25 ans du bassin d’em p l oi , s t a gi a i res du dispo s i ti f Dy n a m i que d’In s erti onProfessionnelle (DIP), soit 240 jeunes pour 16 groupes en formation.


• Modules de 20 h répartis sur 5 interventions en collectif.

• Bilan de santé individuel pour chaque jeune

• Suivi individuel et/ou collectif.

■ Budget total de l’action : 29 400 F - 4 482 €

■ Financement accordé au titre des PRS : 10 500 F - 1 600,71 € par le Ministèrede l’Emploi et de la Soidarité.

Modules Santé Jeunes V.N.E.






■ Porteur du projetCESC du Collège des Rouges-Barres95, Allée Gabriel - 59700 MARCQ-EN-BAROEULTél. : 03 20 72 50 66Contacts : Roger ROELENS (Principal),Véronique DELERUE.


Marcq-en-Baroeul.

■ Contexte du projetL’utilisation des outils multimédia prend de l’importance dans not re vie personnelle et professionnelle.Il est donc nécessaire d’acquérir des habitudes et un matériel ergonomique. Il est important que ceschoix soient élaborés et étudiés par les jeunes eux-mêmes. .

■ Objectif du projetApprendre à concilier besoins du corps et choix du cadre de vie.


Tous les enfants du collège, SEGPA comprise.

■ Descriptif de l’actionAménagement des locaux en prenant en compte l’ergonomie :

• Sensibilisation aux conséquences médicales des postes de travail.

• Exposés sur les solutions par des professionnels.

• Etudes de recherche de financement.

• Aménagement des ateliers (postes de travail) de façon progressive.


Apprendre à respecter son corps dans son environnement personnel et professionnel.





■ Porteur du projetAFIIEH42, Rue Roger-Salengro - BP 8 - 59260 HELLEMMESTél. : 03 20 43 95 60Contacts : Louis VALLEE (Président), Patricia MASSON.


CUDL.

■ Contexte du projetL’AFIIEH, association composée de parents de jeunes enfants porteurs de handicaps, des responsablesde structures d’accueil et de professionnels de soins, travaille, depuis sa création en 1994, sur l’intégra-tion des enfants déficients (0 à 6 ans) dans les structures de la Petite enfance.

Une étude, que nous avons réalisée en 2000 dans le cadre du contrat Petite enfance avec la CAF et laville de Lille, confirme :

- L’intérêt, pour l’enfant et sa famille, de son accueil en collectivité.

- La volonté d’une grande majorité de structures Petite enfance d’accueillir ces enfants.

- Le besoin de formation et d’accompagnement des équipes accueillantes.

Des actions de sensibilisation et de formation ont déjà été réalisées sur un public restreint. Six films surles différentes déficiences ont été réalisés. Un film de synthèse est en cours de réalisation.


• Améliorer la qualité de l’accueil des enfants déficients.

• Sensibiliser les parents sur les possibilités d’accueil pour leur enfant.

• Soutenir et renforcer les compétences des équipes.

• Développer les réseaux soins accueil


• Les crèches, halte-garderie, CLSH, et assistantes maternelles.

• Les parents, les associations de parents d’enfants déficients.

• Les travailleurs hospitaliers, les PMI, les libéraux médicaux et paramédicaux.

• Les services de soins spécialisés pour le jeune enfant (CAMSP, SESAD...).

• Les centres de formation (écoles d’EJE, éducateurs spécialisés, puéricultrices...).

■ Descriptif de l’actionProjet pluriannuel :

• 1ère phase : organisation d’une journée colloque sur le thème de «l’intégration de l’enfant handicapé»autour de la projection de films, table ronde et débat.

• 2ème phase : suivi et accompagnement des structures d’accueil demandeuses.



Mieux accueillir l’enfant déficientdans les structures Petite enfance.





■ Porteur du projetCPAM6, Rue Rémy-Cogghe - BP 769 - 59065 ROUBAIX cedex 1Tél. : 03 20 11 43 32Contacts : Georges MINDER (Directeur), Bernard SIX.


Roubaix.

■ Contexte du projetDepuis deux ans, le projet «Prévention tabac» a débuté dans un collège par une action «bien-être» etune réflexion sur la santé globale grâce à une semaine d’animation «Mixados».

Les résultats sont positifs avec une meilleure communication entre professeurs,élèves et infirmière sco-laire (beaucoup plus perçue comme une confidente et un relais possible en cas de problème).

La presse ayant bien relayé cette action, de nouveaux établissements ont contacté la CPAM pour orga-niser et animer une semaine «Mixados».

En 2001,le service a répertorié 8 demandes de collèges.


• Aider à la prise de conscience des éléments de la vie favorisant le bien-être.

• Informer sur l’existence de structures spécialisées.

• Apprendre aux jeunes à chercher de l’aide auprès de personnes relais.


• Collégiens de 11 à 16 ans d’origines ethniques et culturelles différentes et de niveaux socio-culturelsmodestes.

• Elèves de 4è et 3è ainsi que les élèves de classes de SEGPA.

■ Descriptif de l’actionSemaine d’animation avec l’outil «Mixados» et ateliers avec jeu «Destination Santé».


■ Financement accordé au titre des PRS : 50 000 F - 7 622,45 € par le Fonds National de Prévention d’Education et d’Informations Sanitaires (FNPEIS).

Le bien-être chez les Jeunes.





■ Porteur du projetAssociation «Avenir Enfance»84, Rue du Fg des Postes - 59000 LILLETél. : 03 20 52 30 75Contacts : Christine BOUBET (Présidente), Marisette COMBLEZ.


Lille.

■ Contexte du projetDurant l’année 2000,un diagnostic du temps de restauration scolaire a été mené dans trois restaurantsscolaires de la ville de Lille.

Il est apparu qu’il fallait améliorer la qualité de l’animation de ce temps périscolaire. Pour ce faire lessolutions proposées sont :

- l’amélioration des compétences professionnels des animateurs ;

- un travail dans la durée ;

- un partenariat entre les différents acteurs.

Durant l’année 2001,un service d’animateurs «repères» à temps partagé a été mis en place. Ces ani-mateurs sont chargés de mettre en place le projet pédagogique d’animation dans les restaurants sco-laires et de l’animation dans les centres de loisirs.


• Permettre aux enfants d’identifier le temps du repas comme un moment de convivialité.

• Permettre aux enfants de se rendre compte en quoi leur alimentation agit dans leur vie de tous lesjours.

• Permettre aux enfants de découvrir d’autres habitudes culinaires et alimentaires.


• Les enfants fréquentant 7 restaurants scolaires de la ville de Lille (âgés de 6 à 12 ans).

• 35 animateurs de la Caisse des écoles.


• Au travers d’activités ludiques, durant le temps de restauration scolaire, les enfants des classes pri-maires sont initiés aux plaisirs de la table et sont sensibilisés à la notion d’équilibre alimentaire.

• Réalisation de fiches techniques d’animation.

• Réalisation de mallettes pédagogiques.



Bien dans son assiette, bien avec les autres.





■ Porteur du projetAssociation Régionale d’Art-Thérapie du Nord-Pas de Calais215, Rue d’Arras - 59000 LILLETél. : 03 20 76 75 97Contacts : Michel TARDAT (Président), Colette LARCANCHE.


Lille.

■ Contexte du projetCette action part de notre constat d’une difficulté d’ordre psychique des jeunes et des enfants en crois-sance. Celle-ci peut se manifester de façon spectaculaire par l’agressivité et violence, mais aussi demanière plus incidieuse au travers de l’inhibition, de l’angoisse à être et de la dépression.

Nous rencontrons ces jeunes dans nos ateliers ouverts sur la cité mais aussi à l’école, depuis 2000,dansces espaces d’art-thérapie financés avec le Contrat Ville.

Nous souhaitons, sur la base de cette expérience, développer un axe prévention santé plus significatifen articulant ces propositions à une implication plus importante de la famille et des enseignants, quin’était pas prise en compte auparavant.


• Diminuer la souffrance psychique des enfants et des jeunes.

• Réduire la tension douloureuse et le sentiment d’échec ou de dévalorisation.

• Permettre l’expression des affects.


• Enfants de l’école primaire Arago.

• Pré-adolescents et adolescents du collège Jean-Macé.

■ Descriptif de l’actionPrévention, accompagnement et soutien de l’enfant et du jeune en difficulté :

• Réunions d’information,sensibilisation (professionnels, parents, jeunes).

• Séances d’ateliers d’art-thérapie (après repérage et sur demande du jeune).

• Mise en place de groupes de parole, d’échanges et de réflexion.



Santé et Prévention par les médiations artistiques en milieu scolaire.





■ Porteur du projet

Association Régionale d’Art-Thérapie du Nord-Pas de Calais215, Rue d’Arras - 59000 LILLETél. : 03 20 76 75 97Contacts : Michel TARDAT (Président), Colette LARCANCHE.

■ Niveau géographique d’interventionLille.

■ Contexte du projetA partir des ateliers développés à l’école Duruy en maternelle et primaire,il s’agit, pour nous, de se don-ner des moyens de développer une étape importante : celle d’accompagner de manière plus signifiantel’enfant ayant été repéré en difficulté psychoaffective pouvant se manifester par une grande instabilitédes comportements, voire de l’agressivité ou à l’inverse un repli massif, globalement un mal-être pré-pondérant.


• Diminuer la souffrance psychique des enfants et des jeunes.

• Réduire la tension douloureuse et le sentiment d’échec ou de dévalorisation.

• Permettre l’expression des affects.


• Enfants de l’école Philippe-de-Comines à Lille (3/6 ans) et de l’école Victor-Duruy à Lille (6/12 ans).


Prévention, accompagnement et soutien de l’enfant et du jeune en difficulté :

• Réunions d’informations,sensibilisation (professionnels, parents, jeunes).

• Séances d’ateliers d’art-thérapie (après repérage et sur demande du jeune).

• Mise en place de groupes de parole, d’échanges et de réflexion.



Ateliers de prévention et santépar les arts-thérapies dans le cadre

de l’aménagement des rythmes de l’enfant.





■ Porteur du projetEspace Santé Jeunes86, Rue Pasteur - 59200 TOURCOINGTél. : 03 20 01 54 61Contacts : Gérard SABBE (Président), Christian VANDENBERGHE.


Tourcoing.

■ Contexte du projetInitialement conçues comme outils de formation pour les professionnels de l’adolescence,«Rachid» et«Titoune», 2 pièces de théâtre écrites par le Dr Gérard SABBE sont proposées comme supports péda-gogiques de prévention santé des jeunes (elles ont été présentées respectivement 200 et 300 fois dans larégion).

A ces 2 pièces abordant la problématique de l’adolescence sont venues s’ajouter 2 nouvelles pièces :«Suzanne» et «Ali et Christian».

Ces 4 supports théâtraux sont suivis de débats/échanges par un professionnel de santé avec les publicsdes établissements scolaires, centres sociaux, forum jeunes et la participation souhaitée des parentsd’élèves.


• Aller à la rencontre de jeunes sur leurs lieux de vie pour les interpeller sur leurs connaissances descomportements à risque.

• Sensibiliser le grand public et les professionnels aux enjeux de l’adolescence.

• Mobiliser les professionnels sur l’approche préventive.


• Le public jeune.

• Les parents d’élèves.

• Les professionnels, acteurs sociaux et autres responsables en relation directe ou indirecte avec lesjeunes.

Il est prévu 10 représentations de chacun des 4 spectacles, ce qui nous permettrait de toucher plus de3.000 jeunes spectateurs accompagnés ou non de leurs parents.

■ Descriptif de l’actionApproche préventive avec un support pédagogique théâtralisé sur un thème de santé touchant lesjeunes.

• Analyse préalable des besoins auprès de l’équipe éducative.

• Travail sur les représentations du problème abordé avec les professionnels de l’établissement.

• Intervention théâtralisée suivie d’une animation débat.

• Reprise des réflexions en classe.

Evaluation.

■ Budget total de l’action : 146 269,45 F - 22 298,63 €

■ Financement accordé au titre des PRS : 96 269,45 F - 14 676,18 € par le Conseil Général du Nord.

Théâtre et santé des Jeunes.





■ Porteur du projetL’Ecole et son Quartier260 bis, Rue Pierre-Legrand - 59800 LILLETél. : 03 20 56 73 75Contact : Nicole TAQUET.


Lille-Fives.

■ Contexte du projetEnseignants et acteurs du système éducatif, assistantes sociales, psychologues scolaires, membres duréseau d’aide sont confrontés depuis plusieurs années à une violence verbale et gestuelle qui se mani-feste de plus en plus tôt. Par ailleurs, sur ce quartier, des situations de violences sexuelles ont été repé-rées.

Face à ces comportements, les acteurs du système éducatif se sentent démunis. Des échanges menésdans le cadre de réunions sur ce thème montrent la diversité des réactions et donc la nécessité deconstruire une culture commune, pour réagir de manière cohérente chaque fois que la question se pose.

Le travail enclenché en novembre 2000 est le résultat d’une demande très forte des enseignants. Maisrapidement s’est imposée la nécessité d’un travail engageant la totalité des partenaires, pour s’appuyersur les potentialités existante et dégager une vraie cohérente.


• Redonner aux adultes et aux enfants des repères autour de la sexualité.

• Diminuer les violences sexuelles sur le quartier.


• Les enfants du quartier : 2/15 ans qui fréquentent les écoles de Fives.

• Les associations du quartier qui ont ce même public et leur familles.


• Formation des adultes volontaires.

• Réunions de travail interprofessionnelles.

• Mise en place d’un dispositif de ressources pour le quartier.

• Constitution d’un groupe de pilotage.



L’enfant, son corps, sa sexualité.





■ Porteur du projetVille de Roubaix, DGAS, Service Santé 13, Rue Pellart - 59100 ROUBAIXTél. : 03 20 81 56 85Contacts : Daniel PREVOST, Didier LEFEBVRE.


Roubaix.

■ Contexte du projetCette action est partie d’un besoin exprimé par un certain nombre de familles roubaisiennes dont l’en-fant était incarcéré en Maison d’Arrêt de Loos. Ce sont en majorité des mères qui souhaitent un lieu derencontre et de soutien.

Un groupe de parole a été mis en place à l’Etape, Antenne d’accueil et d’écoute, d’orientation et demédiation. Il est animé par un psychologue chargé des relations familiales. Il répond aux demandesd’information, d’orientation et de soutien personnel.

L’accompagnement se poursuit aussi longtemps que les demandeurs le souhaite. Un transport est orga-nisé chaque samedi matin pour favoriser le lien entre le détenu et sa famille.


Soutenir et écouter la famille afin de prendre en compte sa souffrance

■ Bénéficiaires du projetLe public roubaisien dont un membre, un proche est incarcéré.


• Groupes de parole.

• Suivi individuel.



Transport et soutien aux familles de détenus.





■ Porteur du projetMission Locale de Villeneuve d’AscqFerme Dupire - Rue Yves-Decugis - 59650 VILLENEUVE D’ASCQTél. : 03 20 43 87 17Contacts : Jean-Michel STIEVENARD (Président), Brigitte BOBEK.



■ Contexte du projetLa Mission Locale de Villeneuve d’Ascq a mené des entretiens avec les jeunes fréquentant la structurepour connaître leurs besoins en santé, lors d’un partenariat avec le CRES et le SPS.

Suite a cette analyse,La Mission Locale a mis en place des «ateliers santé».


• Permettre l’expression de leur représentation en matière de santé.

• Faire émerger leurs questions et attentes.

• Sensibiliser le public à la prise en charge de leur santé.

• Leur permettre d’accéder au réseau local santé existant.

■ Bénéficiaires du projetDe septembre 2001 à décembre 2002 : 90 jeunes (16/25 ans) bénéficiaires du dispositif TRACE (doncen situation d’exclusion ou en voie de l’être) soit six groupes (se rencontrant deux fois) de 15 jeunes.

Deux groupes en 2001 et quatre en 2002.

■ Descriptif de l’actionMise en place d’ateliers santé :

• Janvier-juin 2001 : préparation, formalisation et présentation du projet.

• Septembre-décembre 2001 : expérimentation à raison de 2 groupes x 2 rencontres x 3 h.

• Janvier-décembre 2002 : 4 groupes x 2 rencontres x 3 h.

Suivi, évaluation, réajustement tout au long de l’action.

Communication.



Ateliers santé.





■ Porteur du projetCollège Triolo11, Rue Trudaine - 59650 VILLENEUVE D’ASCQTél. : 03 20 05 06 07Contacts : Geneviève GANTOIS (Principale), Christine LABAIL.



■ Contexte du projetCe projet vient en continuité du travail effectué en partenariat avec «Danse à Lille», en 1998-1999 avecCyril Vialon (Cie «Les Caryatides»), et en 1999-2000 avec Jean-Luc Caramelle.

Ces ateliers ont permis la restitution d’un travail chorégraphique lors de la «Fête du livre».

Pour une bonne intégration des élèves déficients moteurs,il est nécessaire de prolonger ces ateliers quileur permettent de mieux accepter leur différence.


• Favoriser l’intégration des jeunes déficients moteurs.

• Leur donner de l’assurance,malgré le handicap.

• Améliorer l’estime de soi.

■ Bénéficiaires du projetUne vingtaine d’élèves de 6ème, valides et non valides ; certains en fauteuil manuel ou électrique.


Initiation à la pratique de la danse.

• Travail d’espace, de direction, d’espace par rapport à l’autre et de confiance en l’autre.

• Travail d’énergie : ressentir les différentes énergies et qualités liées au mouvement.

• Travail d’improvisation et de recherche : expression des sensations.



L’intégration par la danse.





■ Porteur du projetLP Turgot76, Rue du Collège - BP 135 - 59053 ROUBAIX cedexTél. : 03 20 73 75 27 - Fax : 03 20 73 66 54Contact : Marie-France OWCZARCZAK.


Elèves du lycée professionnel Turgot.

■ Contexte du projetLes élèves de cet établissement,souvent en difficultés scolaire,familiale, sociale,psychologique, ont desrichesses qu’ils ne savent pas toujours exprimer.

Marc Hellebuid, photographe, a déjà réalisé des expositions qui ont permis à des personnes (habitantsde Lille, jeunes de Missions Locales...) d’exprimer par la photo ce qu’ils ont à dire.

■ Objectif du projetPermettre aux jeunes de se mettre en scène pour proposer une image positive d’eux-mêmes.

■ Bénéficiaires du projetDeux classes de BEP : 1ère année de BEP Vente, 1ère année de BEP Productique (36 élèves).

Base de volontariat : 28 élèves ont accepté de travailler autour de cette action.


• Présentation du projet aux deux classes : rencontre avec le photograhe autour de la question«Qu’est-ce qu’un lycéen aujourd’hui ?».

• Travail autour de la photo, mise en scène par les jeunes d’un objet.A partir des premiers tirages défi-nis «Qu’est ce que je veux montrer de moi-même ?» et «Qu’est-ce que je veux dire ?» .Echanges,dis-cussion permettent d’établir un climat de confiance pour que les jeunes puissent «savoir se dire».

• Adhésion des élèves et des adultes au projet.

Evaluation : sur l’appréciation du comportement global des classes participantes tout au long de l’an-née (rencontres régulières avec les jeunes et entretiens semi-directifs à la fin de l’action).

Communication : vernissage exposition.


Regarde-moi, j’ai des choses à dire.

Santé des Enfants et des Jeunes «Généra tion santé 2000-2025»




■ Porteur du projetMission Locale des Weppes137, Rue du Mal-Foch - BP 90 - 59373 LOOS cedexTél. : 03 20 07 94 23Contacts : Daniel RONDELEARE (Président),Laurence GLANC.


Haubourdin,La Bassée et Lomme.

■ Contexte du projetSur la période du 1er novembre 2000 au 31 janvier 2001,nous avons effectué une étude sur les besoinsde santé de 961 jeunes. Nous avons identifié plusieurs freins : la méconnaissance des dispositifs de santéexistants, par les jeunes, par certains conseillers qui ne se sentent pas toujours à l’aise pour aborder enentretien le thème de la santé.

Certains thèmes abordés par les jeunes nécessitent d’être «très au point» sur ses propres représentationsde santé.C’est pourquoi en 2001/2002,les dix conseillers de la Mission Locale des Weppes suivront unmodule de 5 jours organisé par le CRES sur «L’accueil,l’écoute et l’orientation des jeunes accueillis enMission Locale en matière de santé» dans le cadre du Programme d’Animation Régionale.

La Mission Locale des Weppes se propose donc de réaliser un répertoire du réseau santé et l’actualiserchaque année. Ceci afin de répondre à la demande des jeunes et des professionnels. Ce guide consti-tuera un outil qui facilitera le dialogue avec les jeunes en matière de santé.


• Favoriser une meilleure information des jeunes accueillis.

• Augmenter les compétences des conseillers de la Mission Locale.


• 1.700 jeunes, soit tous les jeunes en contact avec la Mission Locale des Weppes.

• Les dix conseillers en insertion professionnelle de la Mission Locale des Weppes (soit l’ensemble del’équipe).

• Les partenaires qui figureront dans le guide (les partenaires engagés dans l’action).


Réalisation et réactualisation régulière d’un guide de ressources locales de santé :

• Recueil et analyse des besoins et attentes des jeunes.

• Préparation et formalisation du projet.

• Collecte des informations sur les partenaires du réseau local santé.

• Finalisation de l’outil.

• Diffusion et évaluation.

Parallèlement, formation des conseillers à «Accueil, Ecoute et Orientation».


■ Financement accordé au titre des PRS : 27 907,96 F - 4 254,54 € par le Conseil Général du Nord.

Répertoire du réseau local de santé.



■ Porteur du projet«La Pose»9, Rue Abel-de-Pujol - 59300 VALENCIENNESTél. : 03 27 47 22 99 - Fax : 03 27 30 44 04 - E-mail : [email protected] : Francine DELOGE.


Valenciennes.

■ Contexte du projetLes personnes qui recourent à nos services le font consécutivement à une situation de crise des parents(difficultés conjugales, séparations).

Il s’agit de les accompagner en rétablissant la communication et le dialogue. La responsabilité parentaleest mobilisée, et le couple parental peut trouver des solutions qui prennent en compte l’intérêt desenfants.


• Préserver l’intérêt de l’enfant, du jeune dans les situations de crise entre les parents (séparations, vio-lences…).

• Aider l’enfant à vivre ces événements difficiles qui vont changer et/ou modifier sa vie quotidienne etpsychologique.


• Essentiellement les enfants et les jeunes qui,dans ces situations de crise, sont en risque de rupture delien et/ou en conflit avec l’un de leurs parents.

• Les parents qui peuvent exprimer leur souffrance autrement que dans l’agir.

■ Descriptif de l’actionLa médiation familiale est proposée dans le cadre d’une démarche non judiciaire. C’est un outil com-plémentaire d’aide psychologique.Elle est proposée sous forme de séances d’1h30, en fonction des dis-ponibilités des personnes concernées et des situations de crise.

Evaluation : une grille d’évaluation a été mise au point. Cette grille précise les caractéristiques sociolo-giques des parents,l’origine de la démarche,le nombre d’entretiens et le devenir de la Médiation fami-liale.



Médiation familiale.



Valenciennes


■ Porteur du projetAuprès des Jeunes Adolescents de la Rue, AJAR55, Rue du Fg de Paris - BP 374 - 59307 VALENCIENNES cedexTél. : 03 27 30 01 59 - Fax : 03 27 33 53 24Contacts :Véronique CHOTEAU, Christelle POUILLY.


Valenciennes et ses environs.

■ Contexte du projetDepuis environ deux ans, nous sommes confrontés à de jeunes parents qui fréquentent nos structuresd’accueil de jour avec leurs enfants. Ces nouveaux parents ont des difficultés à se diriger vers d’autresstructures. Ils formulent continuellement leurs demandes auprès de notre équipe.

Nous avons donc souhaité réaliser un travail d’accompagnement à long terme avec ces familles.


• Créer un lieu d’écoute pour que chacun puisse s’exprimer.

• Soutenir et accompagner les parents dans leur rôle éducatif.

• Valoriser les parents dans leur rôle d’échange de savoir et savoir-faire.

• Créer une entraide, une solidarité entre eux.


• Environ 16 enfants sont accueillis ponctuellement au Point-Accueil Ecoute Jeunes.

• Moyenne d’âge de la mère : 20 ans ; du père : 25 ans.

• Les 3/4 de ces jeunes parents sont en rupture familiale et ont été placés dans leur enfance.

• Ils ont tous des ressources précaires.


• De janvier à mars 2001, préparation des ateliers avec les parents.

• A partir d’avril,mise en place des ateliers d’échanges au rythme d’une fois par semaine avec des inter-venants différents et des outils divers (groupes de parole,diffusion de documentations, présentationd’institutions).



Ateliers Parents-Enfants.






■ Porteur du projetCollège BayardRue du Stade Bayard - BP 247 - 59723 DENAINTél. : 03 27 44 79 89Contact : Rachel CORDIER.


Denain.

■ Contexte du projetInfirmière et médecin de santé scolaire constatent régulièrement les insuffisances de sommeil, lescarences alimentaires et l’absence de prise en charge sérieuse de l’hygiène de vie.

■ Objectif du projetFaire prendre conscience à l’enfant de l’importance d’une bonne hygiène de vie quelque soit son milieusocial.


Elèves de 6ème et 6ème SEGPA.

■ Descriptif de l’actionTravail sur l’année scolaire :

• 1er trimestre : hygiène de vie, c’est quoi ? Repérage des habitudes.

• 2ème trimestre : travail sur l’alimentation.

• 3ème trimestre : travail sur l’hygiène du corps et de l’environnement.

■ Budget total de l’action: 5 100 F - 777,49 €


Vers une prise en charge de son hygiène de vie.




■ Porteur du projetCollège Madame d’EpinayRue du Chemin-Vert - 59300 AULNOY-LEZ-VALENCIENNESTél. : 03 27 45 58 12Contacts : Christiane MARANDE (Principal), Bernadette LEBLOND.


Aulnoy-lez-valenciennes.

■ Contexte du projetPour lutter contre les bagarres et les incivilités, des groupes de parole en 6è ont permis de mettre en évi-dence que

- Les élèves de SEGPA se sentent humiliés, différents des autres.

- Les élèves de 6è et les autres élèves du collège ont une image négative de la SEGPA.

- Les élèves de SEGPA réagissent aux insultes par des bagarres. Ils ne se mêlent pas aux autres (courde récréation, couloirs). Ils expriment le désir d’être reconnus par les autres élèves.

Deux collèges sont concernés, ayant tous deux des SEGPA et des élèves assez semblables, ayant lesmêmes problèmes d’intégration.


• Valoriser les potentialités des jeunes par l’intermédaire du cheval.

• Valoriser les expériences positives des enfants et des jeunes pour lutter contre l’image négative parl’intermédiaire d’un reportage photo.

■ Bénéficiaires du projetLes élèves de 5è SEGPA des collèges de Thiant et d’Aulnoy-les-Valenciennes (distants de 8km), soit 32élèves.


• Acquisition des compétences en équitation.

• Réalisation d’une exposition photo.

• Valorisation des acquisitions par des reportages dans la presse.

• Rencontres et échanges des expériences entre les 2 classes des 2 collèges.



Au petit trot ou au grand galop…A cheval vers l’estime de soi.



■ Porteur du projetMission Locale Jeunes du Valenciennois25, Rue Paul Vaillant-Couturier - 59770 MARLYTél. : 03 27 32 38 00 - Fax : 03 27 32 38 09 - E-mail : [email protected] Contact : Béatrice LEFEBVRE.


Arrondissement de Valenciennes.

■ Contexte du projetDe 1983 à 1992, la dynamique Santé, lancée sur l’arrondissement par la Mission Locale avec ses parte-naires, a fait ressortir des problèmes de santé importants chez les jeunes de 16/25 ans.

Une action de prévention et de dépistage en direction des jeunes inscrits à la Mission Locale,sans solu-tion d’insertion, avait été décidée de façon concertée entre la Mission Locale, le Conseil Général et laCPAM. Une convention tripartite a créé les permanences «Ecoute, Suivi, Santé» (de 1991 à décembre1999, date d’arrivée de la CMU). Le Comité Régional des Politiques de Santé a demandé à la ML deretravailler ce projet en lien avec le CRES.


• Favoriser une réflexion sur l’accès aux soins des jeunes 16/25 ans.

• Informer 900 jeunes sur leurs droits et partenaires santé.

• Permettre à l’ensemble des jeunes par ticipants de régulariser leurs droits à la Sécurité Sociale.

• Accompagner 450 jeunes, en fonction de leur besoin et leurs attentes,dans leur prise d’autonomie etdans un retour au droit commun.

■ Bénéficiaires du projet900 nouveaux jeunes de 16 à 25 ans accueillis ou intégrés dans le programme TRACE.


• Informer 900 jeunes âgés de 16 à 25 ans sur la CMU et les partenaires santé de la zone.

• Favoriser une réflexion sur l’accès aux soins des jeunes de 16-25 ans.

• Permettre à l’ensemble des jeunes de régulariser leurs droits à la Sécurité Sociale.

• Accompagner 450 jeunes dans la prise en compte de leurs problèmes de santé.



Animation sur l’accès aux soinsavec des Jeunes de 16-25 ans.




■ Porteur du projetAssociation des Centres Sociaux et socio-culturels de la Région de Valenciennes, ACSRV71, Rue Jean-Jaurès - 59410 ANZINTél. : 03 27 29 98 40 - Fax : 03 27 29 72 18Contact : Edith SONNEVILLE.


Valenciennes.

■ Contexte du projetLors de la journée des droits de l’enfant 1999,la Maison de Quartier de Saint-Waast a mis en place unstand jardinage et découverte du goût.

Nous avons remarqué un véritable engouement pour le jardinage, un manque d’information et uneignorance dans le domaine des légumes et des fruits, que ce soit chez l’enfant ou chez le parent.

Nous avons donc mis en place un atelier jardinage pour que notre public enfant et parent puisse décou-vrir ou redécouvrir un mode d’alimentation.


• Développer les sens de l’individu : ouïe, odorat, toucher et goût.

• Réapprendre à cuisiner, à apprécier les légumes et les fruits.

• Utiliser le jardinage comme support de bien-être et de santé.


• Les enfants de 5 à 12 ans.

• Les jeunes de 13 à 23 ans.

• Les adultes.


• Création d’un jardin sur le quartier.

• Ateliers du goût, ateliers jardinage en famille.

• Ateliers sur les bienfaits des légumes,fruits, vitamines…

• Travaux pratiques : jardinage, plantation, visite de serres…

• Interventions du CPS et du CHAA pour les valeurs nutritionnelles et retombées sur les individus desmanques et des troubles dus à une mauvaise alimentation et mise en pla ce d’ateliers dégustations etpréparation de repas équilibrés.

• Observations, études : découvertes et exploitations du jardin comme support éducatif et de renfor-cement des liens parents/enfants.

L’évaluation répondra aux questions suivantes :

- qu’a-t-on récolté? ;

- nombre de parents, de jeunes et d’enfants investis dans l’action ;

- assiduité des publics ;

- reprise de l’action la saison prochaine.

Communication : presse, câble, tracts.



La santé au cœur du jardin.




■ Porteur du projet«La Pose»9, Rue Abel-de-Pujol - 59300 VALENCIENNESTél. : 03 27 47 22 99 - Fax : 03 27 30 44 04 - E-mail : [email protected] : Francine DELOGE.


Valenciennes.

■ Contexte du projetAprès avoir étudié les attentes des différents acteurs familiaux, l’association «La Pose» vient de réaliseravec un premier groupe de pères, un «atelier», espace de parole et de production photographique, surla fonction paternelle.

Les pères participants y ont souvent exprimé leurs inquiétudes quant à la santé physique et psycholo-gique de leurs enfants et adolescents et leur désir d’être porteur de soins.


• Valoriser le rôle et la compétence des pères dans le domaine du «soin physique et moral» à apporterà eux-mêmes, surtout quand ils sont confrontés à des difficultés personnelles ou sociales.

• Apporter aux plus jeunes des modèles et des principes d’hygiène de vie.

■ Bénéficiaires du projet15 pères du Va l en c i en n oi s ,d ’ â ge et de situ a ti on familiale et sociale divers , souhaitant éch a n ger sur le rôledu père en tant qu’ é du c a teur de santé et , par là, m i eux con c r é ti s er une rel a ti on inter g é n é ra ti on n ell e .

■ Descriptif de l’actionAfin de permettre le lien entre les générations, l’atelier propose chaque mardi des rencontres de 3 h avec :

- échanges sur l’identité et la fonction paternelle ;

- des temps de qualification sur la santé familiale ;

- des temps de création de «jeux de coopération» sur la santé...

Les rencontres sont interactives et proposent une avancée dans les savoir-être, les savoirs et la trans-mission de savoir-faire. Durant cette année 2001,plusieurs jeux seront finalisés.



Atelier «Etre père et acteur de la santé familiale».






■ Porteur du projetEcole maternelle Paul-Bert5 bis, Rue Jean-Jaurès - 59125 TRITH-SAINT-LEGERTél. : 03 27 34 32 96Contact : Yolande BLAS.


Trith-Saint-Léger.

■ Contexte du projetLes enseignants constatent que les enfants de 5 à 6 ans deviennent de plus en plus agressifs, qu’ils neparlent qu’en criant, qu’il ne savent plus attendre leur tour, ne veulent pas prêter, ne respectent plusguère le matériel. Certains refusent même toute contrainte. Pour améliorer la situation :

- Nous avons engagé le dialogue à partir de situations vécues pour faire élaborer par les élèves eux-mêmes des règles de vie commune : commenter des contes et en faire des mise en scène moralisa-trices.

- Nous avons traduit nos émotions par les arts plastiques.

- Multiplié les activités de défoulements ou relaxantes, les jeux d’opposition.

- Rencontré les parents pour élaborer une échelle de récompenses et sanctions.

- Travaillé, cette année, avec la valise pédagogique du CRES «Les Amis de mon jardin».


• Sensibiliser les enfants aux problèmes engendrés par la violence, le handicap physique, le racisme, ladrogue,la peur de l’autre, la tricherie.

• Trouver comment y remédier.

■ Bénéficiaires du projet120 enfants et leurs familles.


• Stage «Les Amis de mon jardin» pour 2 enseignants.

• Mise en place d’activités théâtrales.



«Les Amis de mon jardin» au théâtre.





■ Porteur du projetADSU3, Rue Frédéric-Degeorge - BP 345 - 62026 ARRAS cedexTél. : 03 21 51 69 22Contacts : Yves DELRUE (Président), Marie-Christine DELEPINE.


Arras.

■ Contexte du projetLors de tables rondes, de proximité,les acteurs de terrain ont fait le constat de difficultés éducatives ren-contrées par des parents.

Cette action se veut être un moyen d’impliquer les habitants,les parents et de développer un tissu socialet relationnel autour d’un projet collectif dans le quartier Jean-Jaurès.


• Favoriser la relation mère-enfant en positivant ce qui se fait.

• Améliorer la confiance en soi (connaître mes capacités, trouver en moi mes ressources, accepter meslimites, exprimer mon ressenti, oser faire, oser dire, oser être).

• Contribuer à une meilleure reconnaissance de l’autre (accepter l’autre et s’enrichir de sa différence,créer des liens, découvrir le plaisir de donner et de recevoir).

• Créer des lieux de rencontre pour échanger sans jugement de valeur.


• Les parents du quartier Jean-Jaurès en Politique de la Ville.

• Des gens issus des Gens du voyage.

■ Descriptif de l’actionMise en place d’ateliers parents-enfants de 2 h par semaine avec un temps de parole, un temps derelaxation, un temps de conte,un temps d’activité créatrice.



Etre en lien avec son enfant et avec d’autres parents.


Arrondissement du Pas-de-CalaisArras



■ Porteur du projetCCASMairie - 62760 PAS-EN-ARTOIS.Tél. : 03 21 60 15 00Contacts : François LEFEL (Président), Yveline BENEDIT.


Pas-en-Artois.

■ Contexte du projetOn constate, en milieu rural, des difficultés d’accès en matière d’information sur les structures per-mettant l’aide et le soutien en matière de maltraitance à l’enfance.


• Donner une information sur la maltraitance et les moyens de prévention en milieu rural.

• Reconnaître qu’il est difficile d’être parent et qu’il est possible d’être écouté et aidé.

• Mettre en place un réseau de partenaires locaux sensibilisés à la maltraitance et informés sur les res-sources existantes.


• La population de Pas-en-Artois et alentours.

• Les acteurs locaux (professionnels sociaux médicaux, enseignants, gendarmerie, association locales :FJEP, Parents d’élèves, Foyer rural…).

■ Descriptif de l’actionRéflexion du Comité local de la maltraitance d’Arras :

• Diffusion de l’information par un théâtre de rue.

• Accompagnement de l’information par une exposition sur la parentalité.

Evaluation.



Parents : pas si facile.





■ Porteur du projetEntente sportive de Buissy-BaralleMairie de Buissy - 35, Grand-Rue - 62860 BUISSYTél. : 03 21 24 23 28Contacts : Jean Pierre LESTOCARD (Président), Josette BRASSART.


Buissy, Baralle, Marquion-Quéant, Sains-les-Marquion, Inchiyes-en-Artois.

■ Contexte du projetLes clubs sportifs regroupent les jeunes des communes de Buissy, Baralle, Marquion-Quéant, Sains-les-Marquion, Inchiyes-en-Artois, soit 100 jeunes allant des débutants au moins de 15 ans.

Les clubs, ainsi que les communes, veulent permettre à la fois un recrutement renouvelé et la mise enplace d’une action de sensibilisation aux préventions de la santé.

C’est à partir de cette situation que nous avons proposé l’action suivante.


Sensibiliser les jeunes à la santé (bucco-dentaire, hygiène corporelle, alimentation et dopage).


• Les 100 jeunes des clubs sportifs

• Les personnels d’encadrement.

• Les parents des communes de Bar rale, Buissy, Marquion-Queant, Sains-les-Marquion, Inchiyes-en-Artois.


• Information des équipes d’encadrement sur la prévention de la santé (cassettes vidéo, dépliants...).

• Réalisation d’un petit-déjeuner en commun.

• Vidéo et discussion autour de l’hygiène corporelle.

• Réalisation d’un T-shirt comportant un «message santé» réalisé par les enfants.

• Information sur le brossage des dents.

• Vidéo-discussion sur le dopage.


■ Financement accordé au titre des PRS : 20 284,10 F - 3 092,29 € par le Conseil Général du Pas-de-Calais.

Sport et Santé pour nos Jeunes.



■ Porteur du projetFoyer de Jeunes Travailleurs Anne-Frank21, Rue du Bloc - 62000 ARRASTél. : 03 21 71 24 83 - Fax : 03 21 23 08 44 - E-mail : [email protected] : Jean-Claude GIROT.


Arras.

■ Contexte du projetLes résidents des Foyers de Jeunes Travailleurs vivent la précarité et connaissent des difficultés d’inser-tion, voire d’exclusion (chômage,difficultés familiales, santé).

De nouveaux leviers de socialisation sont utilisés pour atteindre l’objectif de l’insertion professionnelledont la «santé» fait partie.

Le Foyer Anne-Frank a développé des «actions santé» dont l’évaluation a servi aux autres partenairesdu réseau et conforte l’idée d’utiliser l’axe santé comme levier de socialisation des jeunes accueillis.


• Favoriser le bien-être des jeunes et leur insertion sociale.

• Lutter contre les conséquences de la maltraitance des jeunes et avoir une prévention de la maltrai-tance pour leur avenir de futurs parents.

• Valoriser les potentialités des jeunes.

• Lutter contre la désaffiliation sociale et l’exclusion.

• Permettre aux jeunes d’accéder à l’autonomie.


Jeunes de 16/25 ans de toutes origines ayant besoin d’un logement et d’un accompagnement social.


• Recensement des besoins auprès des jeunes par la méthode CREAPLAN.

• Mise en place du calendrier annuel d’interventions et d’animations.

• Contact avec les différents partenaires et intervenants.

• Information et intervention prévues auprès des usagers.

• Réalisation des actions d’information et de prévention.

• Confrontation et échanges de savoir-faire dans le cadre du Réseau régional et national des Foyers deJeunes Travailleurs.

Une évaluation sera écrite après chaque intervention (mesure des écarts entre objectifs de départs etrésultats). Rapport d’activités annuel.



Contribuer à la socialisation et au bien-êtrephysique et moral des jeunes de 16/25 ans.






■ Porteur du projetMission Locale Rurale Ternois-Haut-Pays31, Rue des Procureurs - 62130 ST POL-SUR-TERNOISETél. : 03 21 03 26 10Contacts : Roger PRUVOST (Président), Martine BONIFACE.


Saint-Pol-sur-Ternoise.

■ Contexte du projetLes jeunes qui sont dans des actions liées à la construction d’un parcours d’insertion sociale et profes-sionnelle ont souvent évoqué des problèmes liés à leur santé quotidienne.

Cela est vrai également pour les jeunes du programme TRACE.

Il faut donc disposer des réponses adaptées qui pourront être utilisées à la demande (animation édu-cation à la santé).


• Amener les jeunes à réfléchir sur leur représentation de la santé.

• Répondre sur la santé globale.

• Connaître le réseau local de santé.

• Amener le jeune à l’autonomie en santé.

■ Bénéficiaires du projetJeunes de la dynamique d’insertion professionnelle «DIP». Par groupe de 12 jeunes. 5 groupes par an,soit 60 jeunes concernés.

■ Descriptif de l’actionAnimations collectives à partir d’un photolangage :

• Connaître des représentations.

• Faire émerger les problèmes de santé à aborder.

• Réunions sur les thèmes définis.

• Présentation du réseau local de santé.



Module santé en dynamique d’insertion professionnelle.





■ Porteur du projetCollège Saint Jean-Baptiste1, Rue de l’Eglise - BP 42 - 62452 BAPAUME cedexTél. : 03 21 07 11 87Contact : Jean-Bernard COURBOIS.


Bapaume.

■ Contexte du projetUne équipe mène depuis 6 ans un travail auprès des enfants et adolescents de l’établissement autourde : «D’où je viens ?», «Où je vis ?», «Qui je suis ?».

Pour assurer une meilleure cohésion du projet initial, nous souhaitons ajouter d’autres dimensionsautour de l’estime de soi (mieux se connaître et s’accepter) pour aller vers l’autre, le connaître, accep-ter sa différence et ainsi mieux vivre ensemble.

Un projet qui s’inscrit tout au long des 4 années de vie au collège et qui permet d’appréhender desdimensions différentes.


• Améliorer les compétences relationnelles des jeunes.

• Créer un espace lieu et temps avec des règles sécurisantes.


Tous les élèves du co ll è ge sont con cern é s , sur tous les niveaux de classe (6è, 5 è ,4 è , 3è) dans la con ti nu i t é .

■ Descriptif de l’actionProjet pluriannuel sur l’ensemble des classes :

• En 6ème : «D’où je viens ?» : transformations corporelles.

• En 5ème : «Se connaître» : ateliers sensoriels ; «Aller vers l’autre» : ateliers médiation (terre, peinture,conte).

• En 4ème : «Moi qui change» : quelques repères pour que l’adolescent se construise.

• En 3ème : «La relation» : avec soi, avec les autres.



Education à la relation.





■ Porteur du projetService Action Santé de la Communauté du Bruaysis et du District de la Région d’AuchelHôtel de ville - BP 23 - 62700 BRUAY-LA-BUISSIERETél. : 03 91 80 01 10Contacts : Pierre MOREAU (Président), Delphine PARENT.


Bruay-la-Buissière.

■ Contexte du projetLors du forum Santé 2000, organisé par le Service Action Santé du Bruaysis et de l’Auchellois,un débat-échange s’est organisé sur le thème : «Sida, MST, hépatites, sexualités, contraception… Alors adultes,comment en parler ?».

De jeunes adultes et adolescents ont participé à cette manifestation. Ils ont pu exprimer leurs interro-gations par rapport aux thèmes cités précédemment.

Durant un temps d’expression et d’écoute des jeunes, des adolescents d’un quartier de Bruay-la-Buissière ont émis la volonté d’établir un projet concret autour des thèmes de la contraception et de lasexualité. La vidéo leur apparaît un bon vecteur de communication auprès de leurs pairs.


• Inscrire les jeunes dans une démarche citoyenne à travers la mise en place d’une réflexion sur la ges-tion de la prise de risque.

• Renforcer les connaissances d’un groupe de jeunes et travailler sur les représentations sur le thème«contraception et grossesses précoces».

• Valoriser les actions des jeunes.

■ Bénéficiaires du projetDix jeunes (filles et garçons) d’un quartier de Bruay-la-Buissière, ayant entre 12 et 20 ans.


Réalisation d’une vidéo micro-trottoir sur le thème de la contraception et des grossesses précoces :

• Mise en place de séances d’information du planning familial.

• Travail sur la mise en place d’un questionnaire pour le micro-trottoir.

• Réalisation de la vidéo.

• Projection aux animateurs des CAS l’été 2001.

• Présentation de la vidéo aux infirmières scolaires.

2002 : formation de jeunes «Relais Info» avec diffusion de la cassette dans les collèges.


■ Financement accordé au titre des PRS : 6 333 F - 965,46 € par le Conseil Général du Pas-de-Calais.

Réalisation d’une vidéo micro-trottoir sur la contraception et les grossesses précoces.


Béthune



■ Porteur du projetEtablissement Public de Santé Mentale du Val-de-Lys, EPSMRue de Busnes - 62330 SAINT-VENANTTél. : 03 21 63 66 37 - Fax : 03 21 63 76 65Contact : Serge CROWYN.


Béthune.

■ Contexte du projetA la demande de la Mission Locale de Béthune, et dans ses locaux,s’est mise en place une action de sou-tien psychologique, en partenariat avec le secteur de psychiatrie adulte.

En 1999, ce dispositif a été complété par la création d’un Point-Ecoute (le mercredi) et d’un Groupe deparole Jeunes.

■ Objectif du projetFaciliter l’accès ou l’orientation vers les dispositifs de soins existants.


• Les jeunes de 16 à 26 ans suivis par tous les chargés d’accueil de la Mission Locale, en situation deprécarité, d’échec ou présentant des troubles psychiques plus importants.

• Les jeunes relevant de dispositifs d’accompagnement spécifiques comme le programme TRACE(Trajet Accessibilité à l’Emploi).

■ Descriptif de l’actionConsultations d’infirmière de soutien psychologique, sous forme d’animation d’un Point-Ecoute etd’animation d’un Groupe de parole Jeune.


Consultations infirmières.






■ Porteur du projetLP Mendès-FranceRue de St-Omer - 62700 BRUAY-LA-BUISSIERETél. : 03 21 61 99 09Contacts : Guy BERTIN (Proviseur), Pascale HENNEBERT.


Bruay-la-Buissière.

■ Contexte du projet- 97/98 : participation à l’action expérimentale nationale «Lutte contre les conduites de consomma-

tion».

- 98/99 : mise en place de l’action au sein du lycée sur la base du volontariat dans le cadre d’unedémarche de prévention globale.

- 99/00 : extension et développement de l’action qui s’intègre à l’emploi du temps de 3 classes (deux1ère année de BEP, une 1ère année de CAP). Evaluation des besoins à par tir d’un questionnaire.


• Préserver le capital santé : rendre l’élève capable et libre de choisir un comportement responsable.

• Rendre le jeune acteur de sa santé pour tendre vers le bien être à travers les ateliers hebdomadairesde prévention


70 élèves par an : classe de 1ère année de BEP électrotechnique, 1 classe de 1ère année de BEP bioser-vices,1 classe de CAP CMAC (conduites de machines automatisées de conditionnement).

■ Descriptif de l’action1 h par semaine, mise en place d’ateliers santé basés sur les thématiques repérées par le questionnairepréliminaire. Les jeunes participeront aux différents ateliers, par rotation, toutes les 6 à 10 semaines.

Evaluation après chaque cycle.



Élèves acteurs de prévention.



■ Porteur du projetSIVOM de la Communauté du BruaysisHôtel de Ville -BP 23 - 62700 BRUAY-LA-BUISSIERETél. : 03 91 80 01 10 - Fax : 03 91 80 01 14Contact : Delphine PARENT.


Communauté du Bruaysis, District d’Auchel

■ Contexte du projetDepuis septembre 1999,une animatrice de Santé Communautaire est chargée de coordonner et mettreen œuvre une politique de Santé sur le Bruaysis et l’Auchellois. Afin de décliner cette politique, uncomité de pilotage «Action Santé», composé d’élus, d’institutions, de structures locales a été mis enplace.

Selon l’étude de l’ORS et du CDES, ainsi que le diagnostic partagé du groupe de travail «Enfance», lesrelations Parents-Enfants se dégradent sur le territoire.

Par ailleurs, la Communauté du Bruaysis et du District de la Région d’Auchel ont créé une MaisonIntercommunale de Prévention et de Promotion de la Santé ouverte à la population et aux partenaires.


• Développer, au sein du groupe de travail «Enfance», des connaissances autour du concept de laParentalité, afin de mettre en œuvre des actions communes et concrètes auprès des parents et desenfants.

• Savoir mettre à disposition des outils (documentation, supports pédagogiques) autour de laParentalité, animer un lieu d’accueil.


• Le gro u pe de travail «Enfance » : les profe s s i on n els de l’en f a n ce et de l’édu c a ti on , des missions loc a l e s …

• Le grand public dans la Maison Intercommunale de prévention et de Promotion de la Santé.


• De mars 2001 à janvier 2002,les groupes se réuniront toutes les 6 semaines. Les séances d’animationdes ateliers autour de la parentalité durent une heure. Travail mené sur la culture minière et la routedu patois.

• 2002 : travail avec les professionnels et la population ayant participé aux ateliers à la réalisation d’unepièce de théâtre sur le thème de la Parentalité ; présentation de la pièce de théâtre.

• 2003 : journée de bilan et de restitution, travail avec les partenaires et la population.

Le suivi se fera par le Comité de Pilotage «Action Santé» et l’évaluation de la formation se fera par legroupe de travail lui-même. Lors de la journée du 28 septembre, un questionnaire d’appréciation (letaux de participation, la dynamique rencontrée,le niveau d’adhésion aux formes proposées et les solli-citations pour la continuité des actions) sera distribué. Le taux de participation aux ateliers parentalité,l’investissement et l’assiduité de la population seront également des éléments d’évaluation.

Il est également prévu l’évaluation des formateurs et réajustement de leur pratique.


■ Financement accordé au titre des PRS : 5 350,50 F - 815,68 € par le Conseil Généraldu Pas-de-Calais.

Travail autour du concept de la parentalité.






■ Porteur du projetCPAM47, Bd Mariette - 62321 - BOULOGNE-SUR-MER cedexTél. : 03 21 87 70 25Contacts : Bernard LAMARRE (Directeur),Edith DELOBEL.

■ Niveau géographique d’interventionBoulogne-sur-mer.


Quartier classé en réseau d’éducation prioritaire où le taux d’alphabétisme ainsi que celui du chômageest plus élevé qu’en Centre-ville de Boulogne-sur-Mer. La violence est également présente. La délin-quance est présente de façon cruciale (incendies de voitures, commissariat).

Du fait de la situation familiale existant,les enfants vivent sans repère, sans respect des autres et d’eux-mêmes.

Des actions de prévention sont déjà menées dans le quartier.



• Inscrire les jeunes dans une démar che de citoyenneté en santé.

■ Bénéficiaires du projetEcoles maternelle, primaires et collège du Chemin Vert (cohorte de 300 enfants) à Boulogne-sur-Mer.Quartier classé en REP (Réseau d’éducation prioritaire).La dimension nouvelle donnée à l’action miseen place en 2000 qui est la première phase du projet étend l’action entreprise auprès des maternelles àla circonscription de la CPAM (arrondissements de Boulogne et Montreuil).

■ Descriptif de l’actionAction de prévention en milieu scolaire avec utilisation de l’outil «Les amis de mon jardin», écrituresde nouveaux contes


■ Financement accordé au titre des PRS: 35 000 F - 5 335,72 € par le Fonds National de Prévention d’Education et d’Informations Sanitaires (FNPEIS).

Education à la santé,de la Maternelle à l’entrée au Collège.


Boulogne-sur-Mer




■ Porteur du projetCollège Pilâtre-de-RozierBP 35 - 62126 WIMILLETél. : 03 21 32 44 57 - Fax : 03 21 32 28 84 - E-mail : [email protected] : M. MILLE.


Wimille et Wimereux.

■ Contexte du projetUne action de prévention des conduites addictives a été mise en place dans l’établissement depuis deuxans en coopération avec le CHAA de Boulogne-sur-Mer, la Troupe Arcadia financée par la CPAM deBoulogne-sur-Mer et l’Association Vie Libre. Ce projet concerne tous les élèves de 5ème, 4ème, 3ème.

A ce projet, s’est ajoutée depuis trois mois, une action sur le même thème qui concerne une classe deSEGPA, l’équipe médicale, l’équipe Vie Scolaire et les enseignants concernés en collaboration avec leRelais et la Santé de la Troupe Arcadia.

■ Objectif du projetSensibilisation aux conduites déviantes.

■ Bénéficiaires du projetLes élèves et leurs parents.


Réalisation d’un spectacle de théâtre interactif.

• Elaboration de saynètes par les élèves avec les enseignants et le Relais de la Santé.

• Mise en scène encadrée par les acteurs de la Troupe Arcadia.

• Spectacle fin juin intégré au spectacle de fin d’année du collège à destination de tous les élèves et deleurs parents.




Spectacle de théâtre interactif.




■ Porteur du projetVille de Boulogne-sur-MerHôtel de Ville - BP 729 - 62321 BOULOGNE-SUR-MERTél. : 03 21 87 80 80Contacts : Frédéric CUVILLIER,Edith DELOBEL.


Boulogne-sur-Mer.

■ Contexte du projetLe quartier du Chemin Vert de Boulogne-sur-Mer est classé en REP (Réseau d’Education Prioritaire).La population est essentiellement constituée de personnes en situation de précarité (RMIstes, famillesmonoparentales). La violence et la délinquance sont présentes (alcool, drogue, détérioration de maté-riel...).

Les conditions socio-économiques ne favorisent pas l’hygiène de vie. Il est à noter que le sommeil, quiest pourtant nécessaire tant à la croissance physique qu’au développement des facultés intellectuelles,est grandement perturbé. Les repères liés à une vie saine et équilibrée ne sont pas présents.

Deux enquêtes,l’une menée auprès d’élèves et l’autre auprès d’enseignants,montrent que les enfants secouchent tard et ont des troubles de la concentration durant la journée.


• Amener les parents à connaître les besoins de sommeil de leurs enfants.

• Permettre à l’enfant de mieux resp ecter son rythme de sommeil.


• Parents et enfants du quar tier du Chemin Vert.

• Enseignants des écoles élémentaires du quartier du Chemin Vert.


• Formation des acteurs volontaires (parents, enseignants, associations) sur les rythmes de l’enfant.

• Ecriture et réalisation de sketchs.

• Construction d’un «petit train» représentant toutes les phases du sommeil, leur rôle et leur influencesur la santé.

• Travail autour du «petit train» dans les écoles.

• Représentation des sketchs et débat.



Animations autour du sommeil.



■ Porteur du projetInspection Académique du Pas-de-Calais1, Rue Jean-Monnet - 62137 COULOGNETél. : 03 21 97 12 12 - Fax : 03 21 97 24 10Contacts : Daniel MARCQ, Martine JOLY.


Collège Jean-Monnet, Coulogne.

■ Contexte du projetDevant le constat des difficultés de l’accueil de dyslexiques lourds par le corps enseignant (manque deconnaissances) et l’échec pour les jeunes, deux réunions de travail animées par Mme Crunelle,Directrice de l’Institut d’Orthophonie de Lille, nous ont permis d’en savoir plus sur la dyslexie et demesurer les difficultés auxquelles l’élève et sa famille se trouvent confrontés.

Ces élèves se retrouvent rapidement classés dans la catégorie très hétéroclite des jeunes en échec scolaireet vivent mal leur scolarité.


• Aider les enseignants à adapter leur enseignement aux troubles spécifiques des dyslexiques accueillisen 6ème.

• Créer un protocole d’accueil des élèves dyslexiques destiné aux autres enseignants pour les annéessuivantes.


• Enseignants de la classe concernée où sont accueillis 4 dyslexiques sévères.

• Elèves dyslexiques scolarisés en 6ème.


• Aider à l’élaboration d’outils permettant aux enseignants d’adapter leur pédagogie (leur mode d’éva-luation des résultats, reformulation d’énoncés, meilleur statut de l’oral).

• Suivi hebdomadaire des enseignants pour permettre un travail de réflexion sur leurs pratiques quo-tidiennes.

• Apport d’outils de compensation (magnétophone et/ou ordinateur), oralisation plus importante.

L’évaluation sera réalisée par le suivi des élèves, et pour l’orthophoniste sur la charge de travail.



Aider les enseignants à adapterleur enseignement aux troubles des dyslexiques.


Diminuer le décrochage scolaireCalais




■ Porteur du projetEspace-Fort2 bis, Rue d’Ajaccio - 62100 CALAISTél. : 03 21 34 55 33Contacts : Jean-Jacques TRIQUET (Directeur), Blandine RENARD.


Calais.

■ Contexte du projetLe CLSH «Escale» d’Espace-Fort et le Club ados touchent ,par leurs activités, un nombre croissant,d’année en année, de jeunes filles.

Nous avons constaté à plusieurs reprises un manque de soins, de présentation de certaines d’entreselles,un manque de confiance en elles dont la conséquence est une mauvaise image de soi et une appré-hension du regard de l’autre.

Il est toujours difficile d’aborder ces thèmes avec ce public. Nous avons imaginé la création d’un «Clubesthétique» dont l’objectif est la découverte des métiers de l’esthétique, en pratique et en théorie, afind’aborder dans un deuxième temps des actions de prévention santé, dont l’hygiène corporelle qui peutdéborder sur la contraception, la sexualité, la prévention sida.


• Améliorer l’image de soi.

• Prendre en charge son corps et sa santé.

• Découvrir des horizons professionnels.

■ Bénéficiaires du projet20 à 30 jeunes filles fréquentent le CLSH et le Club Ados.


Création d’un club esthétique : mise en place d’activités 1 soir par semaine, le mercredi après-midi etpendant les vacances scolaires

• 1ère phase théorique : les métiers et le monde de l’esthétique.

• 2ème phase pratique : ateliers «relook».



Image de soi : «Club esthétique».





■ Porteur du projetAssociation de la Fondation Etudiante pour la Ville215, Rue d’Arras - 59000 LILLETél. : 03 20 49 00 32Contacts : Nicolas DELESQUE (Président), Anne KOROBELNIK.


Calais.

■ Contexte du projetL’activité principale de l’AFEV consistait en un programme d’accompagnement scolaire. A ce titre, ellea consaté la dégradation de l’état de santé des populations défavorisées et les conséquences sur le vécuscolaire des enfants.

Sollicitée et interpellée régulièrement par ses partenaires locaux, elle a souhaité s’investir dans le domainede la promotion de la santé en initiant l’action «Les Volontaires de la santé».

Cette action a été expérimentée en 1999-2000 dans 10 sites en France, dont Calais.


• Rendre les enfants impliqués «Vecteur de santé» auprès de leur environnement.

• Créer des groupes constitués d’étudiants bénévoles ayant des compétences en santé et en animationd’enfants désireux de découvrir et de s’approprier la santé.


• 20 enfants de 8 à 12 ans impliqués dans l’action au sein de l’espace Fort de Calais, Centre de loisirs.

• Indirectement,l’environnement de ces enfants et les autres enfants fréquentant le Centre de loisirs.

• Directement, les destinataires de l’action en santé réalisée par les enfants impliqués (en fin d’annéescolaire).


• Recrutement des étudiantes dans l’IFSI de Boulogne-sur-Mer.

• Phase de découverte et d’éveil à partir des questions et des représentations des enfants sur la santé.

• Phase d’élaboration et de réalisation d’une action choisie par les enfants.

• Bilan avec partenaires et étudiantes.



«Les Volontaires de la Santé».





■ Porteur du projetCentre de formation de l’Association Départementale du Nord pour la Sauvegarde de l’Enfant et de l’Adolescent,ADNSEA301, Bd Gabriel-Péri - 62110 HENIN-BEAUMONTTél. : 03 21 08 96 30 - Fax : 03 21 08 96 31 - E-mail : [email protected] : Philippe RICHARD.


Hénin-Beaumont.

■ Contexte du projetDes professionnels de la santé travaillant dans les Consultations d’Enfants (CE) d’Hénin-Beaumontobservent qu’un nombre important de jeunes mamans ont tendance à nourrir leur bébé de manièredéséquilibrée entrainant souvent une surcharge pondérale.

Face à ces constats,une enquête réalisée dans les CE a mis en évidence, en outre, de nombreuses lacunesen matière de diététique et d’équilibre alimentaire des parents.


• Permettre aux jeunes parents fréquentant les CE d’acquérir de meilleures connaissances en matièred’équilibre alimentaire.

• Améliorer, par ce biais, leurs relations avec leurs enfants.


• Dans un premier temps, les jeunes parents fréquentant les CE d’Hénin-Beaumont.

• Dans un deuxième temps, tous ceux qui fréquentent les CE du département du Pas-de-Calais.


• Finalisation des textes des fiches pédagogiques avec évaluation de la compréhension de ces textes parun groupe de parents fréquentant les CE

• Réalisation technique des fiches

• Conception et réalisation d’un guide «Mode d’emploi» de ces fiches destinées aux professionnels avecparallèlement création d’un concept d’animation en CE ayant comme support les fiches pédago-giques.


■ Financement accordé au titre des PRS 50 000 F - 7 622,45 € par le Conseil Généraldu Pas-de-Calais.

Education à la santé en consultation d’enfants.

Santé des Enfants et des Jeunes «Génération santé 2000-2025»Santé des Enfants et des Jeunes «Génération santé 2000-2025»

Lens


■ Porteur du projetAssociation «Soleil de Noël»24, Rue Basly - 62800 LIEVINTél. : 03 21 44 43 43 - Fax : 03 21 29 92 29Contact : Jean-Claude MILLION.


Liévin.

■ Contexte du projetLe groupe de pilotage local souhaite inscrire son action de promotion du bien-être dans la durée pourla rendre lisible, en particulier pour les parents, et pour développer une réelle synergie parentale.

■ Objectif du projetAméliorer en 5 ans l’estime de soi des enfants de 0 à 12 ans et de leur famille par la promotion d’unconcept positif de la santé.


• Les enfants et leurs parents à travers les écoles maternelles, élémentaires et les collèges de la Ville deLiévin,les UTASS et les Maisons de Quartier.

• Les professionnels par le renforcement de leurs compétences.


• Réalisation d’un photolangage par les parents.

• Présentation de la démarche à l’Education Nationale (conférence pédagogique le 24 mars 2001).

• Expérimentation de l’outil auprès de 4 g roupes de parents.

• Formation de 30 personnes du secteur associatif à l’outil «Les Amis de mon jardin».

Evaluation : sur l’expérimentation et les effets de l’outil sur les relations parents-enfants.


■ Financement accordé au titre des PRS : 80 000 F - 12 195,92 € dont 40 000 F6 097,96 € par le Ministère de l’Emploi et de la Solidarité et 40 000 F - 6 097,96 € par le Conseil Général du Pas-de-Calais.

Rendez-vous des Parents.






■ Porteur du projetGRAFER7, Rue Emile-Zola - 62410 MEURCHINTél. : 03 21 74 55 11Contacts : René DEMERVAL (Président), Nathalie COULON.


Leforest.

■ Contexte du projetAfin d’améliorer les prestations proposées aux parents,la Direction de la PMI du Pas-de-Calais a enta-mé une réflex i on sur les modalités d’interven ti on pr é coce à partir du «Child Devel opm en tProgramme» appliqué en Grande-Bretagne auprès des mères primipares.

Les interventions éducatives mensuelles au domicile des parents (de la naissance aux 2 ans de l’enfant)consistent à amener les parents à observer le développement de leur enfant et,à partir de scénarii illus-trés opposant deux pratiques de soins, à échanger leurs idées et points de vue avec le professionnel quin’impose pas les siens. L’évaluation montre que ce type d’intervention, qui informe les parents tout enles encourageant à trouver par eux-mêmes des solutions aux problèmes rencontrés avec leur enfant,améliore la satisfaction parentale et le sentiment de compétence ainsi que la santé de l’enfant.

En concertation avec le service de PMI du Conseil Général, nous proposons donc de mettre au pointun programme d’accompagnement des parents primipares en retenant les principes éducatifs générauxdu programme anglais. Des scénarii de type bandes dessinées aborderont diverses facettes des interac-tions parents-enfants et seront construits à partir des besoins repérés.


• Valoriser et développer les compétences parentales des parents primipares.

• Améliorer la capacité des professionnels à valoriser et soutenir les compétences parentales.

• Favoriser le développement d’attachement parents-enfants.


• Parents primipares et leurs enfants.

• Professionnels de l’action sanitaire et sociale.

■ Descriptif de l’actionProjet pluriannuel sur 3 ans :

• En 2001-2002 :

- Recherche documentaire pour la préparation des outils.

- Constitution d’un comité de pilotage.

- Constitution d’un groupe de travail pour établir le protocole d’intervention et le contenu desfiches qui serviront de support pédagogique.

- Formation du personnel de l’UTASS de Leforest.

- Début d’une campagne d’information de la population et des professionnels de santé.

• En 2003 : début de l’expérimentation et évaluation.



Programme d’accompagnement des parents primipares.





■ Porteur du projetLycée VoltaireRue A Peze - 62410 WINGLESTél. : 03 21 77 34 34Contacts : François GENU (Proviseur), Anne CASTELAIN.


Wingles.

■ Contexte du projetLe Lycée Voltaire regroupe environ 1300 élèves dans une région du Pas-de-Calais de faible niveau socio-économique. La population est féminine à 60%.

Sur les conclusions d’une enquête réalisée auprès des Secondes et des besoins constatés par les ensei-gnants et le service de santé scolaire : mise en évidence d’une sexualité à risque. Ceci est en accord avecles chiffres sur l’évolution de la proportion des moins de 18 ans parmi les femmes ayant subi une IVGde 92 à 96 dans le Pas-de-Calais (supérieur à la moyenne nationale) (source DRESS, traitement ORS).

Une éducation à la sexualité est mise en place depuis 5 ans en collaboration avec le planning familial deLens, mais une action de plus grande ampleur semble nécessaire.


• Apporter des informations sur la vie aff ective.

• Orienter les élèves vers des comportements propices à l’épanouissement personnel.


La totalité des élèves pour l’année scolaire 2001-2002, soit environ 1.300 élèves de la Seconde aux sec-tions BTS (dont 60% de filles). Public âgé de 15 à 21ans.

■ Descriptif de l’actionAction programmée sur 15 jours :

• 1ère semaine :

- Questions-réponses sur le réseau internet de l’établissement.

- Débats organisés dans les classes (professeurs, élèves, infirmières).

• 2ème semaine :

- Accueil d’intervenants extérieurs (planning familial,AIDE, sexologue).

- Projection d’un film.

- 3 expositions suivies d’un jeu-concours.

Evaluation en fin d’année.



L’amour, dans tous ses états.





■ Porteur du projetLycée RobespierreRue Léon-Blum - 62307 LENS cedexTél. : 03 21 08 12 00Contacts : Richard GORNY (Proviseur), Dominique DEVISE.


Lens.

■ Contexte du projetLes accidents de la route constituent la première cause de mortalité chez les 16/25 ans dans le Nord-Pasde Calais.

Au lycée, des élèves sont directement concernés par le problème : 2 comas suite à un AVP voiture(1 AVP voiture sans conséquence physique pour 10 élèves/3 décès (1 rollers, 1 voiture, 1 moto/1 élèveen chaise roulante suite à un a ccident de mobylette). Ceci en l’espace de 5 années.

Le projet «Conscience sans inconscience» devrait permettre aux lycéens de gérer les risques liés à leurspropres moyens de locomotion et les inciter à se sentir plus responsables de leur santé ainsi que celledes autres.


• Prendre conscience des différents risques d’accident liés aux moyens de locomotion.

• Diminuer les accidents en responsabilisant les élèves.

• Connaître les gestes qui sauvent.

■ Bénéficiaires du projetLycéens : CAP, BEP 1ère année (15/17 ans), BAC PRO (18/20 ans).


• Mise en place de module de prévention.

• Pièce de théâtre, exposition.



Conscience sans inconscience des risques liés aux différents moyens de locomotion des lycéens.




■ Porteur du projetLycée Henri-DarrasChemin des Manufactures - BP 134 - 62800 LIEVINTél. : 03 21 72 65 65 - Fax : 03 21 72 65 66Contact : Corinne PRZYMENSKI.


Liévin.

■ Contexte du projetL’établissement s’engage dans une démarche volontariste pour renforcer les liens élèves-familles-insti-tution scolaire.

Un mouvement significatif est perceptible concernant les sollicitations des familles vers l’institutionscolaire (démarches individuelles, fréquentation aux réunions de parents, implication aux instancesinstitutionnelles).

L’établissement en concertation avec l’association des parents d’élèves souhaite soutenir cette tendance.


• Favoriser l’interaction Famille/Ecole.

• Recenser les besoins pour sensibiliser, former, animer, accueillir, impliquer les parents.


L’ensemble des parents d’élèves du Lycée Henri-Darras de Liévin (2200 familles).

■ Descriptif de l’actionQuestionnaires à destination des familles :

1ère phase :

• Recenser les besoins et attentes des parents pour créer et renforcer les liens famille-école.

2è phase :

3 projets en instance destinés à favoriser ces liens :

• Informer les parents sur le fonctionnement et le personnel de l’établissement.

• Créer des rencontres mensuelles.

• Créer un lieu de rencontres identifié au sein de la structure scolaire.




Interaction famille-école.



■ Porteur du projetLP Joliot-Curie9, Rue Léo-Lagrange - 62590 OIGNIESTél. : 03 21 08 64 80 - Fax : 03 21 08 64 81Contact : Michel VANDENBERGHE.


Elèves qui sont domiciliés dans le district.

■ Contexte du projetDans le cadre d’une formation-action pluriprofessionnelle sur la problématique de la prévention desconduites suicidaires,le groupe a renégocié les objectifs autour de la «Prévention du mal-être», avec uneapproche plus globale et préventive de la conduite suicidaire.

Lors d’une deuxième phase, une enquête auprès des acteurs de terrain, jeunes et adultes, sur les repré-sentations du mal-être et sur les solutions à y apporter, a été mise en place et analysée.


• Développer des formes d’échanges et de coopération entre les acteurs et professionnels divers sur lesecteur d’Oignies.

• Prévenir les problèmes de mal-être des jeunes scolarisés au sein du LP.


• Les membres du groupe formation-action

• Les professionnels éducatifs, administratifs,médico-sociaux.

• Les jeunes du LP.


• Avril : forum thématique à partir du vécu des élèves et des enseignants, et non à partir d’uneapproche théorique.

• Février-mars : préparation débat théâtralisé photo langage, vidéos ou autres supports.

• Fin avril : enquête de terrain.

• Février-mars : approche méthodologique, élaboration d’un questionnaire.

• Mai-juin : analyse des résultats.

• Septembre : diffusion des résultats.

• Pré-rentrée septembre : à partir des résultats, offre de service aux enseignants (compétence desmembres du réseau, présentation d’outils).

• Présentation et distribution de la plaquette aux élèves de 1ère année.


Prévention du mal-être.






■ Porteur du projet

Collège Gérard-Philipe199, Place Wagon - BP 57 - 62251 HENIN-BEAUMONT cedexTél. : 03 21 20 30 02Contacts : Didier THIERY (Principal), Annie DEBARGE.

■ Niveau géographique d’interventionHénin-Beaumont.

■ Contexte du projetFace au manque de motivation des jeunes et à leur incapacité à faire face aux difficultés, tant scolairesque sociales et familiales, les enseignants ont formulé le souhait de suivre une classe pendant 2 ans(5ème et 4ème) pour mieux aider ces jeunes.

Depuis septembre 2000,la CPE, en collaboration avec le CDPA, a construit avec la classe une réflexionsur le bien-être et l’estime de soi.

Par une production annuelle, il s’agit de permettre au jeune, entre autres, de trouver sa place dans legroupe et, ainsi, d’être valorisé.


• Favoriser la socialisation par des repères citoyens.

• Développer la responsabilité et l’autonomie.

• Aider le jeune à trouver son équilibre.

• Prévenir les conduites à risque.


• 25 élèves d’une classe de 4ème (environ) pour le travail autour de la comédie musicale + travail deprévention.

• Production destinée à un travail «postérieur» avec environ 200 autres jeunes (CM2+SEGPA).

■ Descriptif de l’actionEn 2001-2002 :

• Travail sur la prévention des conduites à risque avec l’outil «Acapulco».

• Etude du conte «Le Chaudoudou».

• Travail de préparation à la comédie musicale.

• Représentation et enregistrement de la comédie.



Apprendre à construire son bien-êtredans le respect de l’autre.





■ Porteur du projetLP Joliot-CurieRue Léo-Lagrange - 62590 OIGNIESTél. : 03 21 08 64 80Contacts : Michel GRANADO (Proviseur), Sonia VASSEUR.


Oignies.

■ Contexte du projetDans le cadre d’une formation-action pluriprofessionnelle sur la problématique de la prévention desconduites suicidaires,le groupe a renégocié les objectifs autour de la «Prévention du mal être», avec uneapproche plus globale et préventive de la conduite suicidaire. Lors d’une deuxième phase,une enquêteauprès des acteurs de terrain, jeunes et adultes, sur les représentations du mal-êt re et sur les solutionsà y apporter, a été mise en place et analysée.

Impulsion d’un réseau composé de personnel du lycée, d’élèves- relais, de parents d’élèves et de parte-naires extérieurs avec formation aux techniques d’écoute et à l’utilisation de l’outil «Sacado». Puis,expérimentation de l’outil «Sacado» auprès de plusieurs classes.


• Renforcer les échanges et la coopération entre les différents acteurs.

• Prévenir les problèmes de mal-être des jeunes scolarisés au sein du lycée professionnel.

• Améliorer l’aide à apporter aux élèves et aux adultes.


• Les membres du réseau.

• Les professionnels éducatifs, administratifs,médico-sociaux et les jeunes du lycée professionnel.


• Distribution de la plaquette (élaborée par les jeunes en 2000-2001) aux nouveaux élèves.

• Sondage auprès des jeunes sur les thèmes qui les concernent.

• Formation à l’écoute à 2 niveaux :

- pour les nouveaux participants ;

- approfondissement pour les autres membres.

• A partir des résultats du sondage : mise en place d’ateliers d’expression (communication, relaxation,théâtre,mime…).

• Réalisation d’une exposition.

• Participation à un débat théâtralisé.

• Création et représentations de saynètes autours des mêmes thèmes dégagés par l’enquête.



«T’as un problème? On t’aide».





■ Porteur du projetLP «La Peupleraie»Rue J Mattez - BP 61 - 62430 SALLAUMINESTél. : 03 21 40 58 55Contacts : Pierre BERTIN (Proviseur), Annie DUFOUR.


Sallaumines.

■ Contexte du projetNous nous trouvons face à une population issue de milieux défavorisés, en échec scolaire, en mal-être,connaissant de gros problèmes et pour certains en rupture avec le milieu familial.

En 2000, des actions ponctuelles sur le thème général de l’hygiène ont été menées avec les classes deCAP, BEP vente et CAP EVS.

Il semblait intéressant d’approfondir ce travail en mettant en place un projet cohérent autour de l’hy-giène corporelle.


Etre capable d’appréhender dans sa globalité les problèmes liés à l’hygiène en général afin de préserverson capital santé et une image de soi satisfaisante.

■ Bénéficiaires du projetLes élèves des classes de CAP et BEP vente et de CAP EVS.

■ Descriptif de l’actionAteliers santé sur :

• Questionnaire-débat autour de l’hygiène.

• Animation autour de l’hygiène vestimentaire, alimentaire et bucco-dentaire.

• Travail sur le corps et l’apparence physique.



Pour une meilleure image de soi.





■ Porteur du projetCollège Pierre et Marie-CurieRue Jules-Guesde - 62800 LIEVINTél. : 03 21 70 60 20Contacts : Franck LECOCQ (Principal), Valérie FALL.


Liévin.

■ Contexte du projetLe collège Curie est classé en Réseau d’Education Prioritaire. A l’enquête sociale départementale d e1999,il fait partie du groupe des établissements majoritairement défavorisés (114è sur 126).

Depuis 1995,une «action mime» en direction des élèves en difficultés comportementales (tant inhibés,qu’extravertis) est reconduite annuellement. L’évaluation de cette action fait apparaître un changementde comportement des jeunes concernés (respect des autres, diminution de l’agressivité, implicationdans la vie de classe...) ainsi qu’une amélioration de leurs résultats scolaires.

Ce bilan positif nous a amenés sur la mise en place d’autres outils pouvant apporter un soutien.


• Modifier les comportements des élèves à problèmes afin d’obtenir dans l’établissement une vie plussereine.

• Combattre l’absentéisme.

• Augmenter l’implication des parents.


• Les professionnels éducatifs, médico-sociaux et de prévention ainsi que les parents d’élèves.

• Les jeunes scolarisés au Collège Curie et dans les écoles avoisinantes (quartier des Marichelles) :10 à16 ans, et leur parents.


• Formation à la relaxation pour 12 personnes (professionnels et parents d’élèves).

• Mise en place d’ateliers mime : 1 fois par semaine.

• Dès la fin de la formation relaxation : mise en place d’ateliers relaxation pour les élèves.



Prévention du mal-être et de l’absentéisme.





■ Porteur du projetCollège Léonard-de-Vinci Contour de Buqueux - 62220 CARVINTél. : 03 21 40 40 10 - Fax : 03 20 08 44 58Contact : Marie-Dominique DELANT-AUBERT.


Collège recevant les élèves de Carvin (Pas-de-Calais), Nord-Est du Bassin minier et 2 villes limitrophes(Estevelles, Pont-à-Vendin).

■ Contexte du projetCarvin, Ville du Nord-Est de l’ex-bassin minier du Pas-de-Calais est en reconversion. La populationsubit des changements socio-économiques et culturels importants. Le collège Vinci reçoit un pourcen-tage important de jeunes issus de classes sociales reconnues défavorisées (74%). Il occupe le 95ème rangsur 126 collèges du département.

L’audit diagnostic de prévention-sécurité fait apparaître un mal-être se traduisant par une consomma-tion excessive d’alcool, de cannabis et des actes de violence et délinquance de jeunes incontrôlés, inves-tis d’un fort sentiment de toute puissance et d’impunité.


• Faire bénéficier l’ensemble des élèves d’actions de promotion de la santé et du bien-être.

• Savoir repérer les jeunes présentant des signes de souffrance.


• Environ 200 élèves collégiens, garçons et filles de 14 à 16 ans et plus particulièrement 25 d’entre euxen grande difficultés personnelles.

• Un groupe de 12 adultes (enseignants, aide-éducateurs et surveillants).

• Parents des élèves volontaires sur invitation à différentes actions.


Prévention et accompagnement d’adolescents en milieu scolaire.

• Savoir repérer les souffrances et acquérir des techniques d’écoute active par 3 journées de sensibili-sation animées par l’AROEVEN de Lille.

• Soutenir plus partiellement une classe de 4ème dans leur recherche d’autonomie, la gestion desrisques environnementaux en favorisant la communication entre pairs, parents, enseignants (suivirelationnel avec professeur principal et équipe santé).

• Journées thématiques de promotion de santé (association Olympio) et travail pour tous les élèves de4èmes (par groupe).



Chacun sa route, chacun son chemin.



Promouvoir une communication visant à susciterun regard positif sur l’enfant et le jeune.


■ Porteur du projetCollège Gérard-PhilipePlace Wagon - 62110 HENIN-BEAUMONT cedexTél. : 03 21 20 30 00Contacts : Didier THIERY (Principal), Annie DEBARGE.


Hénin-Beaumont.

■ Contexte du projetUne action de formation à la citoyenneté et d’apprentissage de l’autonomie en faveur des élèves délé-gués a été définie comme un des axes du projet des 3 collèges de la commune.

Les collèges J. Macé et G.Philipe ont décidé d’harmoniser leurs pratiques pour apprendre aux élèves de6ème et 5ème (une action sera également mise en place ultérieurement pour les 4ème et 3ème) à appré-hender tout type de situation et à communiquer avec des élèves et des adultes qu’ils ne connaissent pasforcément.


• Mettre en contact 2 publics différents pour lever les préjugés, changer les regards, favoriser l’ouver-ture d’esprit et la communication.

• Faire des élèves délégués des relais auprès de leurs camarades.

■ Bénéficiaires du projetElèves délégués de 6ème et 5ème des collèges J. Macé et G. Philipe, soit 42 élèves répartis comme suit :

• 24 élèves (6 classes de 6ème : 12 délégués, 6 classes de 5ème : 12 délégués) du collège G.Philipe.

• 18 élèves de J. Macé (6ème et 5ème + 4 élèves de 6ème et 5ème SEGPA).


• Rencontre et élaboration d’un plan de formation par les équipes éducatives et de santé des 3 établis-sements.

• Formation de 2 jours des délégués autour de 3 thématiques :

- atelier «Je me connais , je suis bien dans ma tête : donc, je peux m’occuper des autres» : activité d’aide

- atelier «Je connais les autres».

- atelier «Je connais mon établissement».

Evaluation.



«Je suis bien dans ma peau :donc je peux m’occuper des autres».





■ Porteur du projetCollège départemental Jacques-Brel34, Rue de la Gare - 62310 FRUGESTél. : 03 21 67 44 76Contacts : M. HILMOINE, Brigitte DEPREZ.


Fruges.

■ Contexte du projetDe nombreuses actions de prévention sont menées dans les établissements du 2è degré de l’Artois-Ternois, sur des thèmes de santé, de citoyenneté sur les conduites addictives, l’estime de soi.

Les statistiques du service social en faveur des élèves sont faites chaque année. Celles du bassin A.T.montrent que les indicateurs du mal-être des jeunes sont en augmentation : difficultés personnelles,familiales, augmentation des tentatives de suicide, des suicides.

Des formations à la relax ont fait leurs preuves dans la gestion du stress,la préparation aux examens, lanotion du mieux-être vécue par les jeunes (et les personnels formés).La relaxation crée un climat favo-rable aux échanges,aide à une meilleure communication.


• Former des binômes ou trinômes à des techniques de relaxation personnelle volontaires au sein del’établissement.

• Pratiquer ces techniques auprès des élèves dans le contexte d’un travail sur l’estime de soi, le respectdes autres,l’autonomie.


• 2 à 3 adultes volontaires par établisssement.

• Les élèves de 4ème, 4ème SEGPA,4ème techno.


Actions de formation d’adultes volontaires aux techniques de relaxation :

• Présentation du projet de l’équipe éducative.

• Présentation aux parents.

• Réalisation de la formation.

• Evaluation.



«Relaxado».


Montreuil-sur-Mer




■ Porteur du projetCentre Hospitalier de la région de Saint-OmerBP 357 - 62505 SAINT-OMER cedexTel. : 03 21 88 72 50Contact : Geneviève DUVAL.


Zone de recrutement de la maternité de l’Hôpital de Saint-Omer.

■ Contexte du projetLe dépistage universel de la surdité à la naissance par oto-émissions acoustiques n’est actuellement pasréalisé dans notre région.

Dans le bassin de vie de l’Audomarois, les conditions sont réunies pour expérimenter cette approche(maternité unique, durée de séjours en moyenne de 5 jours, personnel de maternité formé aux oto-émissions acoustiques et motivation des pédiatres).

Un travail de partenariat s’est mis en place pour les examens de contrôle (potentiels évoqués auditifs)et le suivi en cas de besoin.


• Dépister de la surdité chez 100% des nouveaux-nés de l’Audomarois.

• Sensibiliser les parents au développement auditif de leur enfant.


Les nouveaux-nés de l’Audomarois.


• Information des familles et des médecins traitants.

• Réalisation des OEA entre J3 et J5.

• Vérification en cas de doute.

• Communication des résultats des OEA aux parents et aux médecins traitants.

• Information des parents sur le développement de la communication chez l’enfant.

• Formation continue des médecins traitants avec diffusion d’une plaquette sur la surdité.


Evaluation de la réalisation des OEA en maternité.


Saint-Omer



■ Porteur du projet«Balise la vie»18, Place Jehan-d’Aire - 62120 AIRE-SUR-LA-LYSTél. : 03 21 39 10 07Contact : Marie-Christine GRYSON.


Saint-Omer.

■ Contexte du projetAprès 10 ans d’expérience,la prévention dans le domaine de la maltraitance est confrontée à des limitesde résultats.

En effet, lors de suivis thérapeutiques et d’expertise, on a pu constater que les enfants victimes avaientbénéficié d’actions de prévention. Aussi,l’association recherche d’autres modes d’approches pour com-pléter l’existant préventif.

Dans ce but, l’association a construit avec des comédiens la mise en scène de la cassette «Mon corps,c’est mon corps».


Permettre une prévention plus efficace de la maltraitance.


• Des enfants de 6 à 11 ans accompagnés des parents.

• Enseignants, travailleurs sociaux.

■ Descriptif de l’actionPièce de théâtre interactive.



Le théâtre de la vie.





■ Porteur du projetSEGPA du Collège René-Cassin42, Rue E. Leducq - BP 1 - 62570 WIZERNESTél. : 03 21 93 21 30Contacts : Michel FOLLET (Principal), Nadine LECAT.


Helfaut.

■ Contexte du projetL’élève de SEGPA présente généralement une dépréciation certaine de son image, dépréciation peufavorable à la réussite.

L’objectif principal est de permettre à chaque élève de retrouver une identité positive et ainsi de déve-lopper une estime de soi porteuse de réussite,l’hypothèse étant qu’une estime de soi forte est favorableà la réussite scolaire, à l’insertion sociale et professionnelle.

■ Objectif du projetDévelopper une estime de soi positive.

■ Bénéficiaires du projetLes élèves de la SEGPA de Wizernes.


Programme pluriannuel monté sur l’ensemble de la scolarité en collège :

• 6ème :

- Activité autour de l’outil «Les Amis de mon jardin» : réalisation de saynètes jouées devant les élèvesde CP.

- Education aux choix portant sur la connaissance de soi.

- Education à la santé avec participation à un jeu avec la SEGPA de Lumbres sur le mode «Questionspour un champion».

• 5ème,4ème :

- Activités sur le développement de moyens de s’exprimer.

- Education au choix portant sur la découverte des métiers.

- Education à la santé avec participation à un jeu avec la SEGPA de Lumbres sur le mode «Questionspour un champion».

• 3ème :

- Activités autour de l’intervention d’une troupe de théâtre.

- Education au choix avec stage en entreprise.

- Education à la santé avec participation à un jeu avec la SEGPA de Lumbres sur le mode «Questionspour un champions».



Valorisation de l’estime de soi en SEGPA.


Documents

SANTÉ DES ENFANTS DES JEUNES - fulltext.bdsp.ehesp.frfulltext.bdsp.ehesp.fr/Ensp/Crs_Prs/Nord_Pas_de_Calais/PRS/Sante... · Financement accordé au titre des PRS : 30 000 F - 4 573,47