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jean-francois
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lcau scanner mais par son étrangeté par rapport à l’homme,cet examen permet de comparer les structures communes à
Résumés des Posters
But de l’étude.— Les dissections posent toujours laquestion de leur intérêt, de leur valeur pédagogique, deleur perception par les étudiants. Chaque année nousréalisons une enquête à la fin des séances de dis-section afin de surveiller que notre message est bienpercu par les étudiants. L’objectif de cette étude estd’évaluer la perception de la dissection par les étudiants deDCEM1.
Matériel et méthodes.— Dans notre faculté il y avait 398étudiants en DCEM1 en 2006-7. 8 séances (une par semaine)obligatoires de dissection de 2 heures par étudiant permet-taient l’étude de tout le corps humain (4 pour les membres,1 tête et cou, 3 pour le tronc). Les dissections pouvaient êtrefaites par les étudiants ou par un enseignant. Un question-naire lors de l’examen de dissection explorait (voir annexe)le nombre de séance suivi, les régions disséquées, l’utilité dela dissection dans l’apprentissage de l’anatomie, la percep-tion de la salle de dissection et des sujets anatomiques. Tousles étudiants ont répondu. Les résultats ont été recueillis etanalysés sur EXCEL.
Résultats.— Il y avait plus de femme que d’homme ;l’age moyen était de 21 ans. Ils ont assisté à presquetoutes les séances, sauf pour les dernières séances. Ils préfé-raient disséquer eux-mêmes mais encadrés. Ils considéraientque les dissections étaient utiles pour l’apprentissage del’anatomie. La séance préalable de présentation a été jugéeutile. Les films de présentation avant chaque séance n’ontpas été vus comme indispensable. Le premier contact avecla dissection était défini par les termes de curiosité etd’angoisse.
Conclusion.— La dissection apparaît comme un élé-ment utile dans la formation anatomique. Les étudiantspréfèrent disséquer. La curiosité et l’angoisse sembleêtre les termes les plus adaptés pour définir le pre-
mier contact avec la salle de dissection. Cette évaluationannuelle semble indispensable pour garder la motivationdes étudiants.doi:10.1016/j.morpho.2007.09.160
t
d
145
3cannographie sériée de la tête entière d’une autrucheStruthio camelus)
atrice Le Floch-Prigent, Bernard Senecail, Jean-Francoishl
UFR de médecine Paris - Île-de-France-Ouest, UVSQ, institut’anatomie Paris-5, UFR de médecine de Brest
But.— Observer les résultats morphologiques obtenus parcanner de la tête entière d’une autruche (Struthio came-us) plus grand oiseau actuel (ratite) et les comparer auxtructures de l’homme.
Matériel et méthodes.— Une tête entière d’autruchevait été conservée par congélation ; (L = 175 mm, l = 70 mm,= 75 mm). Les yeux ont été injectés par plusieurs ml de for-ol car ils étaient déshydratés par la congélation prolongée.
lle a été scannographiée de manière systématiquementériée à l’hôpital Morvan de Brest. 31 coupes dans le planrontal tous les 5 mm, ont été retenues, de la pointe du becL = 115 mm), à l’entâme cervico-occipitale.
Résultats.— Le scanner détaille bien la morphologie duec très aplati, la structure interne des cavités nasalesvec une architecture en labyrinthe serré circulaire. Lesulbes de l’oeil sont volumineux, presque jointifs sur laigne médiane (diam. = 28 mm). Le cerveau, rétro oculaire,tait volumineux avec un diamètre transverse maximum de6 mm. La voûte du crâne était pneumatisée, du toit à laase, en passant par les parois latérales.
Discussion.— La complexité de constitution des os dea tête des oiseaux en général et de l’autruche en parti-ulier ne permet pas d’entrer dans le détail de chaque os
ous les vertébrés.
oi:10.1016/j.morpho.2007.09.161