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S Co T T R P Diagnostic Socio Économique Version arrêtée le 16 décembre 2008

SCoT Beaujolais Rapport de Présentation, Diagnostic Socio-Eco Demographie

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SCoT Beaujolais :Rapport de Présentation Diagnostic Socio-Eco Demographie

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S Co TDmographie / Habitat

Version arrte le 16 dcembre 2008

R P Diagnostic Socio conomique

Schma de cohrence territoriale du Beaujolais

Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte

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CERTU/JC CASTEL Version 04-11-2005

Existe-t-il des lois de la croissance urbaine ?Jean-Charles Castel, chef de groupe observation urbaine au CERTU Les villes ont-elles un intrt conomique crotre ? Le dveloppement doit-il se concentrer dans les mtropoles ou se rpartir dans les ples secondaires ? Comment les sciences conomiques et gographiques ont tent de comprendre la croissance urbaine partir de lois gnrales ? Que valent ces modles aujourdhui ?

Historiquement, lconomie a abord le thme de la croissance urbaine de la1

mme faon que le problme de la firme . Ce problme est le suivant : pour quelle raison conomique les individus se regroupent- ils au sein dentreprises ? Pourquoi alors toutes les entreprises ne fusionnent-elles pas en une seule ? La rponse montre que les entreprises voluent en rtroagissant entre deux forces contradictoires : une force de concentration pour faire des conomies dchelle 2 et limiter les cots de transaction3 , une force de dconcentration pour lutter contre les dsconomies dchelle et les cots dinformation internes. Lanalogie avec les villes est sduisante. 4 Elle a ouvert la voie des modlisations issues de la microconomie et de la gographie.

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Cette dcouverte a t publie dans un article fondamental de Ronald Coase en 1937 : The nature of the firm . Pour une synthse rcente et commente, voir COASE R. Lentreprise, le march et le droit. Traduit et prsent par Boualem Aliouat. Paris, Ed. DOrganis ation, Eyrolles, 2005, 245p.2

Lconomie dchelle Une conomie dchelle est une rduction du cot unitaire de production (un gain de productivit) qui dcoule dune hausse de la quantit produite, pour un cot fixe constant. La loi des rendements non proportionnels, connue depuis Turgot, explique que toute activit, comportant des cots fixes et des cots variables, passe par une phase de cots dcroissants (conomie dchelle), puis de cots croissants (dsconomie dchelle), mesure quelle augmente sa production. Cela signifie que les investissements gnrant des cots fixes ne sont pas infiniment divisibles. Ainsi, quand une entreprise veut augmenter sa production, elle ne peut pas acheter un dixime ou un quart de machine. Elle doit investir dans une machine entire. Sil ny avait pas de facteurs fixes, ou si les cots taient infiniment divisibles, il ny aurait pas besoin dentreprises. On peut faire le mme raisonnement pour une commune qui investit dans un quipement public.3

Le cot de t ransaction La notion de cot de transaction est due Ronald Coase. Elle avait t pressentie partiellement par lconomiste Piero Sraffa, dans un article paru en 1926 dans The Economic Journal, qui voquait la notion de cots de vente. Raliser des ventes cote du temps, donc de largent. Les cots de transaction dsignent tout le temps pass rechercher des partenaires, ngocier les contrats, surveiller leur excution. Ce sont des catgories particulires de cots dinformation. Absorber ses sous-traitants, les transformer en salaris, constitue une faon de rduire les cots de transaction, mais gnre en contrepartie dautres cots dinformation internes. Dans lentreprise, les cots de transaction du march sont remplacs par des cots dorganisation du fonctionnement hirarchique. A noter que la thorie les rendements non proportionnels ignorait lpoque de Turgot limportance des cots dinformation et les cots de transaction mis jour par Coase. Ceux-ci permettent de comprendre les dsconomies dchelles l o la seule explication lie aux facteurs de production est insuffisante.4

Elle avait dj t pose en 1933 par lconomiste anglaise Joan Robinson qui se demandait si les villes nont pas un intrt conomique se concentrer en un seul gratte-ciel ? ROBINSON J. The imperfect competition. Cite par Philippe Simonnot, in SIMONNOT P. Linvention de lEtat. Economie du droit. Paris, Ed. Les belles lettres, 2003. p 269.

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1. Lapproche conomique de la croissance urbaine Lide que lespace urbain est soumis des forces concurrentes de concentration et de dconcentration est au cur des recherches sur la modlisation urbaine. Depuis la thorie de la firme, la concentration urbaine trouve sa raison dtre dans lavantage que procure la proximit pour rduire les cots de transaction. Comme au sein des entreprises, lconomie urbaine intgre la loi des rendements non proportionnels, qui explique quau-del dun certain seuil, la croissance des cots fait baisser le rendement de la concentration urbaine. La taille des villes traduirait les adaptations entre ces forces contraires. Selon cette vision, il ny a pas de bonne solution durable, mais un va et vient entre ces forces. 2. La qute de la taille optimale On peut se demander sil existe des effets de paliers dans la croissance des villes, pour lesquels un optimum serait atteint. Dans les annes soixante, le commissariat gnral au plan s'est interrog sur la fixation de tailles optimales des agglomrations en fonction de leurs programmes d'quipements 5 , en tudiant les rapports entre conomies et dsconomies dchelles 6 . La qute dun optimum correspond une vision statique. Pour faire les calculs, elle impose de fixer les structures conomiques, les avances technologiques et les prfrences des consommateurs 7 . Pour tre ralistes, ces analyses doivent tre adaptes au cas par cas et rajustes. Loptimum se dplace ; il est toujours provisoire 8 . 3. Les lois du march des localisations Les approches issues de la gographie essaient daller un plus loin que le seul problme de la taille des agglomrations, en sintressant la localisation des diffrentes fonctions. Elles essaient de trouver des lois gnrales qui simulent la reproduction de ces localisations 9 . Un pan important de lconomie gographique, dvelopp notamment l'occasion du rapport Buchanan, repose sur les relations entre concentration/dispersion des activits et les cots de5

J-P PIECHAUD, P-A BELLOTTI Cot d'urbanisation : tudes d'agglomrations. Commissariat gnral au plan, CERAU, 1967. 6 Les questions dconomies dagglomration et de cots de transaction ou dinformation sont absentes de ces recherches. 7 Il sagit dapproches quantitatives issues de la macroconomie. 8 Voir sur ce point POLESE M. et SHEARMUR R. Economie urbaine et rgionale. Op. Cit. p87-89.9

Les modles de lconomie gographique Les approches spatiales de l'conomie existent depuis le XIXe sicle. Elles ont t dveloppes par des conomistes-gographes, la suite de Von Thnen (modle de dcroissance des rendements agricoles en cercles concentriques), Weber (modle doptimisation entre les zones dintrants et zones de vente), puis de Christaller (modle de hirarchie urbaine appel Thorie des lieux centraux ou Thorie des places centrales) et Lsch (modle des lieux centraux approfondi intgrant des irrgularits de lespace). Ces modles supposent une simplification de lespace et une homognit des acteurs conomiques qui nest que rarement raliste. La dformation des aires de march est sensible la prsence dinfrastructures ou de barrires naturelles. Les familles de modles utiliss aujourdhui se diffrencient par leurs principes dominants : une loi dattraction dans les modles physiques (loi gravitaire par exemple), un principe de permanence dans lorganisation de lespace li des marquages sociaux ( la suite de lEcole de Chicago), une capacit dauto organisation dans les modles dynamiques (automates cellulaires par exemple). Pour une synthse historique voir SCHEIBLING J. Quest ce que la gographie ? Paris, Ed. Hachette, 2004, pp. 200. Pour une synthse rcente, voir DERYCKE P-H, HURIOT J-M, PUMAIN D Penser la ville. Thories et modles. Paris, Anthropos, coll. Villes. 1996. Chaptre 1. pp. 7-51.

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transport10 . Selon ces modles, les conomies dchelle et la baisse des cots de transports poussent les activits la concentration. En labsence de cots de transport les entreprises se concentreraient la limite en un seul lieu pour profiter des conomies dagglomration11 , c'est--dire de lexternalit positive que constitue de la rduction de cots de transaction procure par leffet de concentration. Les mutations urbaines sexpliquent par le diffrentiel de la valeur de ces externalits et de la valeur de la distance, et donc du temps, selon les fonctions 12 . La ville apparat comme une pompe aspirante refoulante qui redistribue lallocation de lespace au gr des enchres des diffrentes fonctions. Elle connat un mouvement apparemment paradoxal de concentration/ddensification. La baisse des cots du transport favorise la fois la concentration autour des grands ples et ltalement autour de ces ples. Le facteur transports nexplique pas tout, car ltalement est aussi pouss par de nombreuses autres causes : laugmentation des m2 par habitant due la croissance des revenus, les dispositions rglementaires et scuritaires qui limitent la concentration, les prfrences de certaines populations, etc 4. Les effets de rente de localisation La ville est loin dtre un march parfait du fait du poids des externalits et des effets de rente. Le temps est rvolu ou lextension urbaine tait bien accueillie par lopinion. Maintenant que de nombreuses communes priurbaines ont fait le plein dhabitants, elles adoptent une politique durbanisme prcautionneuse, soucieuse dconomiser lespace et de ne pas engendrer de nouveaux cots dquipements. Il arrive que des communes attractives dcident10

La ncessit de mnager le temps, qui est une ressource rare, est la base de ces modles de localisation des activits. Les ressources conomises peuvent ainsi tre alloues dautres fonctions sans rduire le niveau gnral de bien tre conomique, cest dire en voluant vers un optimum de Pareto. Cet optimum volue sans cesse, sinon aucune activit ne pourrait changer de site.

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Externalits et conomies dagglomration Lexternalit est leffet de valorisation ou de dvalorisation dun bien sur son environnement ou linverse la valorisation quil tire ou la dvalorisation quil subit de son environnement. Lexternalit positive est galement appele conomie externe, lexternalit ngative est appele dsconomie externe. La caractre positif ou ngatif est un jugement qui peut tre relatif. Le nom deffet externe est attribu Alfred Marshall (Principles of Economics, 1961), mais lexpos de lide revient avant cela lconomiste anglais Arthur Pigou (1932), que lon considre comme le pre du principe pollueur payeur. Pour un expos sur le problme des effets externes en amnagement, se reporter au numro 84 de la revue (automne 1999) pp. 17-21. Les conomies dagglomration dsignent lavantage produit par la proximit spatiale des services et entreprises. Plus une ville est grande plus les conomies dagglomration sont importantes. Cest une conomie externe. Mais cette externalit est aussi compense par des dsconomies dagglomration comme les nuisances et la congestion qui font que, partir dun certain niveau, le rendement marginal quune entreprise ou un mnage peut retirer des conomies dagglomration doit dcrotre. Cela peut tre le cas lorsque des emplois quittent le centre pour la priphrie. Lexternalit que reprsente les conomies dagglomration est plus ou moins intgre dans les prix fonciers et immobiliers. La mthode des prix hdoniques permet dapprocher les lments constitutifs de cette valeur. Pour ltude et la critique de cette mthode, se reporter aux numros de la revue n 74, 76, 78 (mars 1997, sept 1997, mars 1998).12

Sur ce point, voir POLESE M. et SHEARMUR R. Economie urbaine et rgionale. Paris, Ed. Economica, deuxime dition, 2005. p85.

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de limiter leur croissance. Cela a pour effet daugmenter les prix immobiliers et la rente de localisation13 des propritaires en place aux dpens des nouveaux entrants14 . Encore faut- il que les conditions de lattractivit aient t runies pralablement. La rente de localisation est une rente de lattractivit. La rduction de loffre foncire dans ces communes augmente de faon relative lattractivit des communes situes plus loin, et accrot encore ltalement. 5. Apports et limites des approches dductives Les modles issus de la microconomie et de la gographie incitent voir la ville comme une source dconomies dagglomration dont le niveau dtermine limportance de lattractivit conomique et de la productivit, ainsi que le rang des services et des quipements collectifs. Ils ne disent pas si une ville dense est plus performante quune ville tale, parce que chaque type de ville doit correspondre son propre optimum. Lcono mie est tautologique, cest sa limite. On ne peut pas trancher cette question sans sortir de lhypothse de loptimisation qui est le fondement mme du modle 15 . La question de la concentration ou de la dispersion est essentiellement apprhende travers le problme des cots du transport. En cas de hausse des cots du transport, laire de march des entreprises se rduit, favorisant les ples de rang infrieur aux dpens des ples suprieurs16 . Ces modles donnent une vision simplifie du dveloppement des villes une large chelle. Ils donnent des ides sur la faon dont le march risque dintgrer certaines volutions conomiques et politiques. Ils permettent aussi de comprendre des notions telles que conomie dchelle ou externalit , qui sont fondamentales en amnagement. Ils ne permettent pas dapprhender les variations conjoncturelles du march immobilier, ni les configurations locales, lchelle du quartier par exemple. Plus fondamentalement, lanalogie ville-entreprise a des limites. Au demeurant, de nombreuses entreprises ne simplantent pas selon ces modles, lheure de la tertiarisation et de la mondialisation. Dautres faons danalyser lurbanisation se sont dveloppes depuis, sans essayer de formaliser des lois gnrales par dduction de comportements doptimisation. Lide mme que lurbanisation puisse se dcrire avec de telles lois fait lobjet de critiques. Reste que laugmentation du cot du ptrole sera un test, car il faudra bien que chacun loptimise sa faon.

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Le rente de localisation provient du fait que loffre de biens fonciers est relativement inlastique : chaque terrain est un lieu unique. Les possibilits de substitution sont limites. 14 Les modles contemporains issus de la dynamique des systmes (modles de croissance fractale ou automates cellulaires) sont des modles de rente de localisation. Ils affectent le comportement de chaque cellule par une valeur sensible lattractivit de son environnement immdiat. Chaque dcision microscopique est une fonction des externalits du voisinage. Au lieu de conduire une expansion en tache dhuile, ces modles mnagent des trous dans la progression de la croissance urbaine. Ils permettent de reconstituer des simulations de lurbanisation passe qui peuvent parfois surprendre par leur ralisme. Il sagit de modles inductifs, qui visent seulement la similitude avec le rel, sans prtendre produire des lois explicatives comme les modles issus de la microconomie. 15 Comme le dit Mises, l'auteur qui a le plus investit ce sujet : "De quelque manire que l'on s'y prenne, l'on ne parviendra jamais formuler la notion d'action irrationnelle sans que son irrationalit ne soit fonde sur un jugement de valeur arbitraire." L VON MISES L'action humaine, Trait d'Economie (traduit de l'amricain par R. Audouin), Paris, PUF, 1949. 16 Dans les mtropoles, la hausse du cot des transports pourrait encourager la suburbanisation des emplois, afin de permettre aux employeurs de profiter de bassins de main duvre suburbaniss qui nont plus accs au centre. POLESE M. et SHEARMUR R. Economie urbaine et rgionale. Op. Cit. p291.

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Troisimes rencontres nationales des SCOT Grenoble les 29 et 30 Mars 2006 : un SCOT, oui mais pour quoi faire ?

La force de dilution de l'espace urbain : une opportunit de remise en cause de l'urbanismePar Jean-Charles Castel, Chef de groupe Observation Urbaine au CERTU.1. Pourquoi les riverains rejettent la densification ?

En raison de la capitalisation des externalits positives, la densit de 1'urbanisation a tendance s'autobloquer.

Compte tenu de la baisse de densit dmographique, ou, ce qui revient au mme, de l'augmentation du nombre de mtres-carr par habitant, une ville qui ne construit pas perd des habitants. Ainsi, par exemple, la ville de Marseille doit construire 3000 logements par an, seulement pour maintenir sa population. Alors que les associations d'habitants n'hsitent pas se mobiliser contre le btonnage ds que les grues se rpandent, la croissance de la densification physiquement apparente fausse l'impression de densit dmographique, laquelle a dj du mal se maintenir. La rsistance des riverains la densification de leur quartier comporte deux explications, l'une sociologique, l'autre conomique. L'explication sociologique renvoie l'ide qu'il existerait une forme croissante d'appariement slectif et de NIMBY. Ce dernier terme caractrise un comportement de disjonction ente l'adhsion apparente des objectifs d'intrt gnral et le souci de chacun que ces objectifs ne soient pas mis en oeuvre juste sous sa fentre. Mon ide est que l'explication sociologique est fortement imbrique avec l'explication conomique. Celle-ci est due au fait que le dveloppement du march de la construction de logement s'est transform de plus en plus en un march capitalistique, dont il s'agit de protger les actifs comme des placements. Or, l'conomie immobilire a cette particularit d'tre trs dpendante des externalits. Ainsi, les propritaires qui ont fait construire leur maison en limite de village et bnficient d'une vue sur les espaces naturels ou agricoles, se conduisent en gnral en groupe de pression pour que leur vue soit prserve et que les parcelles situes devant eux restent inconstructibles. Le mme raisonnement s'observe en ville pour protger le moindre arbre existant. Chaque propritaire veille ne pas tre priv d'une vue ou d'un peu d'ensoleillement, car sinon, son cadre de vie serait atteint et la valeur mme de son logement pourrait baisser. II en va de mme pour un parc public. Les terrains appartenant aux collectivits ou I'Etat sont particulirement soumis la pression des habitants pour ne pas tre densifis, et il se trouve gnralement un lu ou un candidat aux lections, pour s'attirer les faveurs des riverains, en promettant qu'il en fera un espace vert. Plus gnralement, la densification peut-tre assimile par les habitants des quartiers une dgradation de la qualit de vie. Celle-ci apparat d'autant plus objective qu'elle peut se traduire par un manque gagner. La mthode dite des prix hdoniques permet de calculer comment ces avantages de riverainet- sont capitaliss dans les valeurs immobilires. La protection d'une vue ou d'un espace bois constitue ainsi une rente de situation pour les riverains. En raison de la capitalisation des externalits positives, la densit de l'urbanisation a tendance s'autobloquer. Ce mcanisme conomique de rente se retrouve galement dans la production des voies en impasse dans les lotissements. Les logements situs dans une voie en impasse ont plus de valeur parce qu'ils bnficient de la protection de leur espace de proximit. Ils s'isolent des flux de passage et du bruit, tout en pouvant se brancher sur les axes de circulation. Il s'agit d'une rponse au niveau microscopique qui permet d'avoir les avantages de la prsence d'un quipement public sans les inconvnients. La gomtrie fractale et le recours aux modles de croissance utilisant des automates cellulaires sont utiliss pour modliser spatialement les effets de ces dynamiques. Ils permettent de simuler comment l'urbanisation se dveloppe en mnageant des (( trous ,des vides , des sauts )) d'urbanisation et des effets de (( grappe )) autour de voies en impasse. Dans tous les cas, cela signifie que la logique de proximit des riverains s'impose la focale plus large des urbanistes.La force de dilution de l'espace urbain : une opportunit de remise en cause de l'urbanisme Page 1 sur 6

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La crise de l'urbanisme, que provoque la dilution urbaine aujourd'hui, n'est rien d'autre que la crise de l'conomie d'chelle de ce qui est collectif:

Ceux-ci ont tendance privilgier la composition des espaces publics et le trac des trames structurantes l'chelle de l'agglomration. La prsence de populations d'un standing social infrieur constitue de la mme faon une externalit environnementale ngative, tandis que La garantie d'une slection sociale entre-soi est un moyen de protger la valeur de son patrimoine d'un risque de dgradation. L'utilisation de l'espace, notamment de l'espace vert, devient un moyen de mise distance d'autrui. En mnageant des coupures l'espace vert devient un rempart , dans une certaine limite, contre les risques d'influence des externalits ngatives. L'cologie, qui favorise les coupures vertes, et le comportement conomique fonctionnent de concert. D'une faon gnrale, le succs des politiques d'environnement les condamne a tre rcupres par le capitalisme. En effet, lorsque les valeurs environnementales ne se traduisent pas dans les prix, les cologues n'ont de cesse de plaider pour l'intgration des externalits, au nom de la vraie valeur des choses. Mais lorsque les valeurs environnementales se retrouvent dans les prix, elles deviennent un march de valeurs suprieures, c'est dire un march fortement slectif du point de vue social. 2. Pourquoi la baisse des densits l'emporte-t-elle ?

Pour l'conomiste, le phnomne de rejet de la densit n'est pas nouveau. Mais l'individu a la fois intrt se rapprocher des autres et s'en carter. En fonction des techniques sa disposition, l'une ou l'autre de ces forces l'emporte. Si la ville se dilate aujourd'hui, il faut, en grande partie, en chercher l'explication dans ce que rvle l'conomie. Cette explication comporte plusieurs dimensions. L'une se situe du ct des conomies de la production de masse, l'autre du ct des cots normatifs et assuranciels, la troisime concerne le rapport entre l'conomie et les solidarits formelle et informelle. Nous allons les exposer successivement. En premier lieu, l'industrialisation a permis de faire baisser les cots de production de nombreux produits qui rendent l'individualisation plus performante que les solutions collectives. C'est particulirement le cas du march de la voiture et de la maison individuelle. Bien sr, on peut opposer que les prix de march ne refltent pas les calculs de cots globaux intgrant des cots normatifs. Cela ne contredit pas l'explication, mais montre seulement que, si l'on veut changer les choses, il faut modifier les conditions actuelles des arbitrages individuels. Reste que, l'conomie d'chelle des biens collectifs traditionnels est sans cesse battue par l'conomie d'chelle de la production industrielle de biens individuels. Ce mouvement est inexorable. En matire de btiment il est d'autant plus important que le souci de cadre de vie a amen les urbanistes rduire la taille des immeubles collectifs autoriss. Chaque immeuble collectif devient un costume taill sur mesure, l ou la maison individuelle a invent l'conomie du prt porter. Au final, il est impossible de produire de l'immeuble collectif aujourd'hui moins de 1200 euros le mtre-carr habitable HT, tandis que la maison individuelle de base sur catalogue se construit 600 euros le mtre-carr, soit moiti prix. La crise de l'urbanisme, que provoque la dilution urbaine aujourd'hui, n'est rien d'autre que la crise de l'conomie d'chelle de ce qui est collectif. Avec l'volution des techniques, la production des biens collectifs est toujours provisoire. Elle reprsente toujours une solution subsidiaire, par dfaut, tant que la technique et l'industrialisation ne permettent pas de trouver des solutions individuelles plus avantageuses. Du point de vue de la formation matrialiste des urbanistes, la disparition d'un service collectif est souvent interprte comme un signe de rduction du bien commun et d'affaiblissement des liens sociaux de solidarit. Pour l'conomiste, il s'agit souvent du rsultat d'un systme tomb en dsutude avec la croissance conomique et le progrs technique, dont il ne faut pas s'mouvoir. Aujourd'hui, tout le monde ou presque possde une salle de bains, et personne ne pleure sur la disparition des bains douches municipaux, comme s'il s'agissait d'un signe dramatique de destruction du lien social. Il en va de mme pour les cabines tlphoniques. La force d'autonomisation des individus fait que le march est toujours demandeur de techniques bas prix qui permettent de s'affranchir des contraintes de la gestion collective. La technique aLa force de dilution de l'espace urbain : une opportunit de remise en cause de l'urbanisme Page 2 sur 6

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ainsi un pouvoir destructeur de tout ce qui est collectif au niveau matriel. Compte tenu que la France a tout fait pour sortir du religieux et pour ancrer le collectif dans le matrialisme, elle ne peut que se trouver en situation de dpression aggrave par la fuite en avant de la technique.

L'cartement de l'espace et des localisations diminue la concentration des risques, des normes et, partant, des surcots affrents.La deuxime explication vient de la reprsentation des risques. La vie en communaut impose de brider une part de son autonomie en change des liens communautaires, qui sont notamment des liens de protection rciproques. Chaque poque optimise sa faon l'quation entre le besoin de protection et le besoin d'autonomie. Les rponses collectives au besoin de scurit se ralisent lorsque le produit qui en rsulte cre une conomie d'chelle qui profite aux personnes, davantage que ne le feraient des rponses individuelles. Ainsi, dans les villes denses historiques, la production d'une enceinte collective ou de fortifications est apparue, pendant des sicles, comme le meilleur moyen d'optimiser la scurit d'un groupe de personnes. Le paradoxe de la technique est qu'elle invente des solutions pour se prmunir des risques ou pour gagner de la vitesse ou de la productivit, mais que ces volutions engendrent elles-mmes de nouveaux risques1. Ainsi, plus les avions sont de gros porteurs, plus l'incident peut se transformer en catastrophe. Plus les digues prmunissent des inondations, plus les populations s'entassent proximit et s'exposent un risque de rupture. Cette volution du risque a ouvert la voie la cration du march de l'assurance, qui a commenc avec le trafic maritime, fin de la Renaissance. Dans l'cart de prix de construction entre l'habitat collectif et individuel, l'essentiel du surcot est li des techniques et des normes plus exigeantes, ncessitant des prestataires particuliers et, partant, des cots de gestion et d'assurance spcifiques. Plus les biens sont massifis, plus la prise de conscience du risque se traduit par des niveaux de normes levs, qui renchrissent les cots techniques et les cots d'assurance. Les urbanistes n'ont pas vu arriver ces surcots normatifs, qu'ils ont pourtant contribu produire. Ils sont souvent rests sur l'ide simpliste, hrite des grands ensembles, selon laquelle ce qui est collectif doit produire des conomies d'chelles. Cette poque est rvolue. Une industrie dangereuse situe au milieu du tissu urbain paye une assurance plus chre que si elle se situait en rase campagne. Dans la socit contemporaine, la prsence non choisie de l'autre est evenue un danger, une source de risque. C'tait le cas galement autrefois, mais les avantages comparatifs de la prsence d'autrui, par rapport au risque qu'il reprsentait, faisaient pencher la balance du ct des solutions collectives. L'cartement de l'espace et des localisations diminue la concentration des risques; des normes et des surcots affrents. On le voit par exemple propos des normes sur les bassins de rtention. Dans une recherche sur la comparaison de cots d'urbanisation, j'avais t frapp par le fait que, dans une rgion, tous les lotissements faisaient moins d'un hectare. Il s'agissait en fait du seuil au del duquel la cration d'un bassin de rtention tait rendue obligatoire. Cette observation a permis de comprendre comment les effets de seuil normatifs favorisent l'miettement de l'urbanisation. Un projet qui cherche massifier son intervention sur un primtre plus important se heurte des surcots normatifs, des cots de complexit, de transaction, de dlais, qui annulent les conomies d'chelle qu'il peut esprer par ailleurs. La cl conomique de la dispersion urbaine se trouve ici. La densit ne cre plus d'conomies d'chelle, du moins au sens de ce qui est montaris par les constructeurs et leurs clients. Or, ce sont eux qui constituent le maillon de la chane dcisif, partir duquel la ville se btit.

3. Quand l'espace devient une assurance

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Sur cette question voir laccident originel de Paul Virilo, Ed. Galile. Paris, 2005,158p.

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4. Quand la crise urbaine reflte la transformation du social par les liens contractuels

Partout o il y a du collectif l'externalisation de sa production se traduit en cot financier.

Le contrat constitue la premire forme de prcarisation des rapports entre personnes, en mme temps qu'une forme de libration. II rompt l'hrdit, la transmission entre gnrations, la garantie de la reproduction sociale. L'invention du contrat, mise au service de l'autonomie des personnes, a permis une externalisation de la production du bien collectif, son entretien et sa protection. Ainsi, par exemple, dans le cas de la gestion d'un immeuble collectif, l'absence de liens communautaires entre copropritaires est rendue possible grce l'externalisation contractuelle de l'excution des services communs. La production du collectif ne se situe plus l'intrieur du groupe, mais est confie des prestataires extrieurs, en l'occurrence une entreprise, un syndic, un assureur par exemple. Cette contractualisation de la protection se traduit par des flux financiers. Partout o il y a du collectif, l'externalisation de sa production se traduit en cot financier, l o les solutions individuelles ou communautaires rglent le problme en partie de faon non montarise. L'air de la ville rend libre dit-on. En protgeant l'anonymat, la ville remplace les liens communautaires par des contrats et des flux montaires. Ce dveloppement ouvre une perspective plus large sur le rapport entre le social et le montaire. La mesure conomique du dveloppement urbain ne sait lire que les flux formels. Elle ignore les activits non montaires et les solidarits informelles. Quand on essaie de comparer des cots globaux entre des secteurs d'habitat collectif et individuel, on remarque l'importance des surcots du mode de vie collectif. Mais on dcouvre ensuite qu'une grande partie de ces surcots est li au fait qu'il s'agit de relations montarises l o elles ne le seraient pas pour de l'habitat individuel. Cela est particulirement visible en matire de cots d'entretien et de scurisation. La ville bourgeoise haussmannienne cotait beaucoup moins cher, l'poque o elle tait alimente et entretenue par des armes d'ouvriers bas salaire et de domestiques. A partir du moment o ces flux se transforment aujourd'hui en salaires, prestations, avec charges, TVA et assurances, alors la production de la gestion d'un bien collectif devient un luxe. La ville ne peut s'en sortir qu'en se gentrifiant. La ddensification et l'individualisation du dveloppement urbain correspondent une chappatoire devant la croissance des cots immatriels de la prise en charge des interactions lies la densit.

L'enchantement du collectif par la planification et le projet urbain apparat de plus en plus comme irrel.La croyance dans la stabilit du systme fond par le contrat de travail a t prise de court par la vitesse du progrs technique. La machine, la robotisation permettent de s'affranchir des liens entre personnes, rduits de simples liens contractuels. Tant que la solidarit sociale sera fonde sur le travail contractuel et montaris, elle fera grossir la population des exclus, classs au rang d'inutiles, rduits a seule fonction subsidiaire de consommateurs. Face cette prcarisation, l'appropriation de l'espace est devenue un moyen de rassurance. L'accessibilit un parcours social ascendant dpend de moins en moins du statut des personnes, et de plus en plus de la possession de capital comme vecteur de reconnaissance, de garantie et de possibilit de dveloppement. Pour les classes moyennes, cela se limite souvent l'espoir d'acqurir une maison individuelle, quelque part dans le priurbain, l o le terrain n'est pas trop cher. Est-il besoin de dire quel point la planification urbaine ne peut rien faire contre une telle lame de fond ? Elle suit le mouvement. Les POS regardent 99% vers le pass. Ils ne parlent plus que de patrimoine. Leur luxe de dtails rglementaires ne servent pus qu' sauvegarder les droits acquis et les rentes de situation des propritaires riverains. La partie rellement consacre des enjeux de projet de transformation de l'espace se rduit quelques actions ponctuelles.La force de dilution de l'espace urbain : une opportunit de remise en cause de l'urbanisme Page 4 sur 6

5. Pourquoi la planification et le projet urbain sont-ils inefficients

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Le changement d'poque que nous vivons constitue un tournant de civilisation. Parmi les ferments principaux de cette transformation se trouvent la vague de fond des droits de l'homme, la conception cyberntique du vivant et de l'conomie, et la relation de mfiance de l'homme contemporain la technique. II ressort de ce nouveau paradigme que l'organisation des rapports humains autour du capital et du risque rend dsute la production du collectif par le discours de projet et de production de rgles a priori. L'urbain n'est plus une ralit ontologique extrieure, isolable comme un chantillon, enfermable dans une historicit, assignable une promesse de dpassement, faonnable comme une ralisation. Le fait urbain n'est pas totalisable. 11 se dploie dans la nouvelle ralit faille de la condition humaine, o chaque champ obit sa lgitimit et sa logique propres, celui de la rationalit technique et conomique (universalit), celui du vivre ensemble politique (pluralit), celui du sentiment thique (individualit)2. A l'oppos, l'urbanisme ne s'est toujours pas dptr du vieil attirail qu'il s'tait constitu peu peu depuis la Renaissance. II continue d'apprhender la chose urbaine et l'action publique de faon historiciste et projective. Le savoir faire de l'urbanisme dont nous avons hrit est en train de mourir de sa prtention sotriologique matrialiste, qui a voulu tout embrasser. La production de normes spatiales locales fait semblant d'tre investie du pouvoir de rsoudre ces questions conomiques et sociales, qui trouvent en ralit leur source dans des transformations de la socit bien plus fondamentales. L'incantation l'impratif catgorique de projet territorial, ainsi que la volont d'arraisonnement du dveloppement durable, en l'hypostasiant dans des normes et des indicateurs, marquent le dernier soubresaut de rsistance de l'urbanisme d'hier. Son dernier ftiche fut la loi SRU. Elle a souvent t prsente comme un renouveau de la planification urbaine et du projet urbain. Mais elle en rvle encore davantage la crise. Cet urbanisme l ne peut que mourir de boulimie. II a prtendu pouvoir souder l'individu, le social, la technique et l'histoire, comme si les diffrents univers pouvaient se rduire la mme dimension. La socit de demain devra apprendre grer ces carts cratifs plutt que de tenter de les assimiler dans une fusion force. La crise actuelle du politique trouve son explication ici, comme l'urbanisme qui, pour l'essentiel, sert fabriquer du discours politique. Elle met nu sa difficult produire encore de l'enchantement pour relier le je et le nous , ce qui constitue traditionnellement sa fonction principale. L'enchantement du collectif par la planification et le projet urbain apparat de plus en plus comme irrel, comme factice ou au mieux comme une opration de communication. II ne peut en tre autrement. Le PADD est l'opium de l'urbanisme. II ne promet plus que des paradis artificiels, parce que, dans notre socit, c'est toute la production du bien selon une thique de la promesse3 qui touche sa fin. Le changement d'poque que nous vivons constitue un tournant de civilisation. Il ne s'agit pas moins que de la sortie progressive de tout l'hritage accumul pendant des sicles par l'empilement du rationalisme et de la sotriologie chrtienne, rpublicaine, et marxiste 6. L'urbanisme l'action publique

Ce qui peut arriver de mieux ci un SCOT est qu 'il ne soit jamais approuv.

Les conceptions traditionnelles de l'thique de l'action publique passent par la production de projets et de rglements. Elles sont en crise, compte tenu de leur faon de poser le bien a priori et de prsupposer la lgitimit de l'exercice de la violence publique pour atteindre ce bien. Face cela, se dveloppe une nouvelle forme d'thique de prcaution et de gestion. Elle est lie aux situations d'indcidabilit, notamment face aux risques non calculables, ou aux situations liant plusieurs dcideurs ou parties. L'action publique est inspire de l'cologie ou les systmes complexes sont en interaction et sont soumis sans cesse des risques divergents. Les enjeux socitaux d'aujourd'hui se dploient dans cette dimension : risques environnementaux, prcarisation sociale, attractivit conomique.Voir la philosophie au pige de lhistoire , Philippe Mengue, Ed. la diffrence, Paris, 2004, 367p. Voir la philosophie au risque de la promesse , sous la direction de Marc Crepon et Marc de Launay, Ed Bayard, Paris, 2004, 209p.2 3

La force de dilution de l'espace urbain : une opportunit de remise en cause de l'urbanisme

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La lgitimit de l'action rside dans la rigueur de la gestion de l'information, de la capacit de rajustement au cas par cas et de la ractivit au fil du temps. II n'y a ici pas de grand projet dfini en plein, pas de plan avec un horizon final, pas de promesse ou de lutte finale. Le cadre de l'action se prsente davantage en ngatif, sous forme de seuils viter pour maintenir les quilibres, accompagns d'un dispositif de veille, rquilibrs sans cesse par des actions successives. L'action publique devient une action de gestionnaire de risques et de rgulations en temps rel. Pour gagner demain, il ne suffira pas que chaque lu dans son primtre de comptence affiche des projets, des programmes ou des solutions a priori. Les mtropoles gagnantes seront celles o les acteurs publics parviendront se coordonner, rduire les cots de transaction, de non coopration, pour augmenter la productivit collective et qui sauront communiquer dessus. Elles sauront donner le sentiment de la confiance au monde conomique, de la responsabilit au monde de l'environnement, de la solidarit au monde social, c'est--dire la capacit de faire face aux risques. Cette confiance ne passe plus du tout par les anciens rflexes planificateurs, la production de rglements d'urbanisme et les maquettes de beaux projets pour attirer les investisseurs. Le changement essentiel rside dans le passage d'une action dfinie a priori vers une action dfinie a posteriori. Cette approche impose de passer de la prvision isole la construction de CO-visibilits entre partenaires, et de la projection la rtroaction. Ce mode de pense est rsolument empiriste et multilatral. II convient aux jeunes gnrations, la gnration Internet, dont la reprsentation du rel est formate par les moteurs de recherche, les liens, les rseaux, sans centre ni hirarchie, et dont l'action est rflexive, base sur l'essai-erreur et la mise en commun des expriences dans des forums. Ici les attributs classiques du pouvoir disparaissent : sa conception mono-centre, sa tension bilatrale entre majorit et opposition, son culte de la dcision. Les dmarches de SCOT qui s'exprimentent aujourd'hui exprimentent parfois sans le savoir ce mouvement de rgulations souples et continues. Ce qui peut arriver de mieux un SCOT est qu'il ne soit jamais approuv, qu'il n'entre jamais dans le droit positif afin qu'il ne tue pas le multilatralisme qui constitue sa source d'intelligence. JCC 27-03-2006

La force de dilution de l'espace urbain : une opportunit de remise en cause de l'urbanisme

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Lexique

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Quelques donnes nationales 1/2

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Quelques donnes nationales 2/2

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Une occupation dispersedu Haut-Beaujolais

InterScot Communesde la Rgion de Beaujeu

du Beaujolais Val de Sane

de la Haute Valle d'Az ergues

2

0

5 3du Pays d'Am plepuis Thizy

Beaujolais-Vauxonne

Beaujolais Nizerand Morgon

de l'Agglom ration Villefranche

8

1

4des Pays du Bois dOingt

7 9 6du Pays de Tarare

Beaujolais-Sane Pierres Dores

Monts d'Or Azergues

du Beaujolais Val d'Azergues

source BD Carto IGNSchma de cohrence territoriale du Beaujolais Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte page 16/ 354

Une faible densit gnraledu Haut-Beaujolais

Densit (hab/km)2 350 - 9 430 - 2 110 30 0210 350 430 110 30de la Haute Valle d'Azergues

InterScot Communes

du Beaujolais Val de Sane

2

0

5 3du Pays d'Am plepuis Thizy Beaujolais Nizerand Morgon de l'Agglom ration Villefranche

8

1

4des Pays du Bois dOingt

7Beaujolais-Sane Pierres Dores

9 6du Pays de Tarare Monts d'Or Azergues

du Beaujolais Val d'Azergues

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Plus de personnes ges moins de jeunes

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Construction neuve et dcohabitation : ce qui fait bouger

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Une intensification de la construction neuvedu Haut-Beaujolais

du Haut-Beaujolaisde la Rgion de Beaujeu

du Beaujolais Val de Sane

de la Rgion de Beaujeu du Beaujolais Val de Sane

de la Haute Valle d'Azergues Beaujolais-Vauxonne Beaujolais Nizerand Morgon

de la Haute Valle d'Azergues

du Pays d'Amplepuis Thizy

de l'Agglomration Villefranche

priode 1994 - 1998

des Pays du Bois dOingt

Beaujolais-Vauxonnedu Pays de Tarare

Beaujolais-Sane Pierres Dores Monts d'Or Azergues du Beaujolais Val d'Azergues

du Pays d'Amplepuis Thizy

Beaujolais Nizerand Morgon des Pays du Bois dOingt

de l'Agglomration Villefranche

priode 1999 2003Beaujolais-Sane Pierres Dores Monts d'Or Azergues du Beaujolais Val d'Azergues

du Pays de Tarare

1 500 logements

Taux de construction pour 1000 logements135 55 50 30 0 1000 135 55 50 30

p rio e1 9 - 1 9 d 90 93

750

150

Source SitadelSchma de cohrence territoriale du Beaujolais Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte page 20/ 354

Une forte consommation de terrain pour les logementsSurface moyenne de terrain par logement (source : SITADEL 1997-2002) 1 444 1 514 1 391 1 599

1 295 917 1 029 1 038 1 080 1 086

243

SEPAL

Total gnr al

Sud Loir e

Val de Sane- Ouest lyonnais Bugey Ctir e Beaujolais Val Dombes Plaine de l Ain de Sane

Nor d 38

Les Rives du Rhne

Haut-Rhne Dauphinois

La Dombes

Exploitation Agence durbanismeSchma de cohrence territoriale du Beaujolais Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte page 21/ 354

Une consommation annuelle reprsentant la commune de Belmont dAzergues

Exploitation Agence durbanismeSchma de cohrence territoriale du Beaujolais Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte page 22/ 354

Accueillir 35 000 nouveaux habitants en 2030 ?Soit lquivalent de Villefranche Soit 2 familles par an et par communeInsee OMPHALESchma de cohrence territoriale du Beaujolais Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte page 23/ 354

Vers un fort vieillissement : plus de personnes ges, moins de jeunesLes projections de population du Scot Beaujolais95 et plus 90-94 85-89 80-84 75-79 70-74 65-69 60-64 55-59 50-54 45-49 40-44 35-39 30-34 25-29 20-24 15-19 10-14 5-9 0-4

Insee OMPHALESchma de cohrence territoriale du Beaujolais

8000

6000

40002000

20002010

02020

2000

40002030

6000

8000

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Une augmentation de la population mais une stabilit des actifsLvolution de la population et des actifs230 000 210 000 190 000 170 000 150 000 130 000 11 0 0 0 0 90 000 70 000 2000Insee OMPHALESchma de cohrence territoriale du Beaujolais Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte page 25/ 354

2005

2010

2015

2020

2025

2030

Une profonde modification de la populationLvolution de quelques indicateurs27 26 25 24 23 22 21 20 19 18 17 2000Insee OMPHALESchma de cohrence territoriale du Beaujolais

Indice de vieillesse

Indice de jeunesse

Indice de Charge Sociale

1,5 1,4 1,3 1,2 1,1 1,0 0,9 0,8 0,7

2005

2010Insee OMPHALE

2015

2020

2025

2030

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Une taille de mnage en baisseTaille du mnage2,60 2,55 2,50 2,45 2,40 2,35 2,30 2,25 2000Insee OMPHALESchma de cohrence territoriale du Beaujolais

2005

2010

2015

2020

2025

2030

Insee OMPHALERapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte page 27/ 354

Un besoin plus grand en logement100 000 Population 95 000 90 000 85 000 80 000 75 000 70 000 2000Insee OMPHALESchma de cohrence territoriale du Beaujolais

225 000 Mnages 220 000 215 000 210 000 205 000 200 000 195 000 190 000 185 000 180 000 2005 2010 2015 2020 2025 2030

Insee OMPHALERapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte page 28/ 354

Des besoins en logement et en foncier consquents+ 25.000 mnages dici 2030 soit 3250 ha soit quivalent Amplepuis Les besoins en construction de logements neufs correspondraient un accroissement du parc de + 16.000 logements lhorizon 2015 En moyenne, 1.300 m ont t mobiliss pour chaque logement construit entre 1997 et 2002 Entre 2000 et 2015, 150 hectares seraient ncessaires chaque anne pour rpondre aux besoins de logements

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Le Scot Beaujolais et lagence durbanismepour le dveloppement de lagglomration lyonnaise

vous prsentent

Patrick BRUN Scot Beaujolais Mardi 14 fvrier 2006Schma de cohrence territoriale du Beaujolais Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte page 30/ 354

La dmographie dans le Scot BeaujolaisAGENCE D'URBANISMEpour le dveloppement de l'agglomration lyonnaise

Scot Beaujolais Mardi 14 fvrier 2006Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte page 31/ 354

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Le Scot BeaujolaisChap 1 Dans lInterscot Chap 2 Le Scot Chap 3 Les EPCI du ScotAGENCE D'URBANISMEpour le dveloppement de l'agglomration lyonnaise

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CHAPITRE 1

Le Scot Beaujolais dans Lespace Interscot

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Scot Beaujolais Mardi 14 fvrier 2006Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte page 33/ 354

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CHAPITRE 1

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CHAPITRE 1

Habitants evo 90/99 Solde naturel

Scot 184 000 +0,7 +6 000

InterScot 2 644 000 +0,5 +133 000 -23 000

(7%)

(4%)

Solde migratoire +5 000

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CHAPITRE 1

Lvolution de populationBase 100 en 1954260 240 220 200 180 160 140 120 100 1954 1964 1974 1984 1994 2004 BaseOuest lyonnais Val de Sane Dombes Nord-Isre Haut-Rhne Dauphinois La Dombes Bugey Ctire Plaine de l'Ain Les Rives du Rhne Lyon Beaujolais Sud Loire

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CHAPITRE 1

Le solde migratoire entre 90 et 99

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CHAPITRE 1

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CHAPITRE 1

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CHAPITRE 1

Les dplacements domicile-travail dessinent de nouvelles interdpendances

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CHAPITRE 1

Les surfaces moy. consommes pour chaque nouveau logement

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Source SItadel / Dre 1997-200214 fvrier 2006page 43/ 354

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CHAPITRE 1

La construction individuelle

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CHAPITRE 2

Le Scot Beaujolais Fiche didentit

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CHAPITRE 2

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CHAPITRE 2

Scot beaujolais Superficie Densit Habitants 1999 Gain en 9 ans 1 560 Km2 118,6 hab / km2 184 366 +11 800

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CHAPITRE 2

Le Scot Beaujolais Structure de la populationScot Beaujolais Mardi 14 fvrier 2006Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte page 49/ 354

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CHAPITRE 2

Pyramide des ges95-99 90-94 Source : Insee - RP 9 9 ex ha ustif 85-89 80-84 75-79 70-74 H 65-69 60-64 55-59 50-54 45-49 40-44 H F 35-39 30-34 25-29 20-24 15-19 10-14 5-9 0-4 6% 5% 4% 3% 2% 1%

15 16 17 18 19

Nombre de rsidences principales constr av 1915 RP99 Nombre de rsidences principales constr 1915-48 RP99 Nombre de rsidences principales constr 1949-67 RP99 Nombre de rsidences principales constr 1968-74 RP99 Nombre de rsidences principales constr 1975-81 RP99

F

S ot B jolais c eau InterS ot cAGENCE D'URBANISMEpour le dveloppement de l'agglomration lyonnaise

20 Nombre de rsidences principales constr 1982-89 RP9 21 Nombre de rsidences principales constr partir 1990 R 22 Rs princ maisons ind/fermes constr avt 1915 RP99 23 Rs princ maisons ind/fermes constr 1915-48 RP99 24 Rs princ maisons ind/fermes constr 1949-67 RP99 25 Rs princ maisons ind/fermes constr 1968-74 RP99 26 Rs princ maisons ind/fermes constr 1975-81 RP99 27 Rs princ maisons ind/fermes constr 1982-89 RP99 28 Rs princ maisons ind/fermes constr partir 1990 RP99 29 Rs 2% 3% 4% constr 6% 0% 1% princ ds immeubles collectifs 5% avt 1915 RP99 30 Rs princ dans immeubles collectifs constr 1915-48 RP9 31 Rs princ dans immeubles collectifs constr 1949-67 RP 32 Rs princ dans immeubles collectifs constr 1968-74 RP 33 Rs princ dans immeubles collectifs constr 1975-81RP914 fvrier 2006page 50/ 354

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CHAPITRE 2

Scot Homme Femme Etrangers Taille mnages 49% 51% 5% 2,5

InterScot 48% 52% 6,9% 2,4

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14 fvrier 2006page 51/ 354

CHAPITRE 2

Niveau de formation16 17 Source : Insee - RP 9 9 ex ha ustif Dipl. suprieur 18 19 Bac + 2 20 Bac + Brevet prof. 21 22 CAP BEP F 23 BEPC 24 25 CEP 26 27 sans diplme 28 en cours d'tudes 29 30 0% 31 S ot B jolais c eau 32 InterS ot c 33Nombre de rsidences principales constr 1915-48 RP99 Nombre de rsidences principales constr 1949-67 RP99 Nombre de rsidences principales constr 1968-74 RP99 Nombre de rsidences principales constr 1975-81 RP99 Nombre de rsidences principales constr 1982-89 RP99 Nombre de rsidences principales constr partir 1990 RP99 Rs princ maisons ind/fermes constr avt 1915 RP99 Rs princ maisons ind/fermes constr 1915-48 RP99 Rs princ maisons ind/fermes constr 1949-67 RP99 Rs princ maisons ind/fermes constr 1968-74 RP99 Rs princ maisons ind/fermes constr 1975-81 RP99 Rs princ maisons ind/fermes constr 1982-89 RP99 Rs princ maisons ind/fermes constr partir 1990 RP99 Rs princ ds immeubles collectifs constr avt 1915 RP99 Rs princ dans immeubles collectifs constr 1915-48 RP99

5% 1 0% 1 5% 20% 25% Rs princ dans immeubles collectifs constr 1949-67 RP99Rs princ dans immeubles collectifs constr 1968-74 RP99

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Agence durbanisme pour le dveloppement de lagglomration lyonnaiseSchma de cohrence territoriale du Beaujolais Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte

14 fvrier 2006page 52/ 354

CHAPITRE 2

Le Scot Beaujolais Evolution de la populationScot Beaujolais Mardi 14 fvrier 2006Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte page 53/ 354

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Schma de cohrence territoriale du Beaujolais

CHAPITRE 2

Les dynamiques dmographiques se jouent de plus en plus lchelle de linter-ScotLes volutions communales de la population lchelle du Scot Beaujolais

1954 - 1968 1968 - 1982 1982 - 1999

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14 fvrier 2006page 54/ 354

volution annuelle de la population entre

1954 et 1962

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Schma de cohrence territoriale du Beaujolais

CHAPITRE 2

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volution annuelle de la population entre

1962 et 1968

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Schma de cohrence territoriale du Beaujolais

CHAPITRE 2

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volution annuelle de la population entre

1968 et 1975

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Schma de cohrence territoriale du Beaujolais

CHAPITRE 2

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volution annuelle de la population entre

1975 et 1982

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Schma de cohrence territoriale du Beaujolais

CHAPITRE 2

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volution annuelle de la population entre

1982 et 1990

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Schma de cohrence territoriale du Beaujolais

CHAPITRE 2

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volution annuelle de la population entre

1990 et 1999

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Schma de cohrence territoriale du Beaujolais

CHAPITRE 2

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volution annuelle de la population entre

1999 et 2004Estimations Agence urbanisme

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Schma de cohrence territoriale du Beaujolais

CHAPITRE 2

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page 61/ 354

volution annuelle de la population entre

1999 et 2004Estimations Agence urbanisme

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Schma de cohrence territoriale du Beaujolais

CHAPITRE 2

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CHAPITRE 2

Le Scot Beaujolais La population active

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Scot Beaujolais Mardi 14 fvrier 2006Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte page 63/ 354

Schma de cohrence territoriale du Beaujolais

CHAPITRE 2

70%

Le taux dactivit

60% 50% 40% 30% 20% 1 0% 0%

57% 56%

2% 9% 1

Taux d'activit

Taux de chmage51% 47%

60% 50% 40% 30% 20% 10% 0%

57%54%

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S ot B jolais c eau InterS ot c

Femmes

Longue dure14 fvrier 2006page 64/ 354

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CHAPITRE 2

Le chmage

7 600 chmeurs

InterScot

16,7%

65,4%

17,8%

moins 24 ans de 25 49 ans > 50 ans Scot Beaujolais18,1% 62,2% 19,7%

0%

10%

20%

30%

40%

50%

60%

70%

80%

90% 100%

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14 fvrier 2006page 65/ 354

CHAPITRE 2

Le type dactivitouvriers employs Prof. Inter Cadres Artisans Agriculteurs0,0% 10,0% 20,0% 30,0% 40,0%

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S ot B jolais c eau InterS ot c14 fvrier 2006page 66/ 354 Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte

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CHAPITRE 2

Les contrats de travailNon salaris CDI Fonctionnaires CDD SIFE CES empl. Jeunes intrim apprentis 15,7% 12,1% 7,2% 6,4% 0,6% 0,4% 1,7% 1,5% 2,1% 1,8% 1,2% 1,2% 11,2% 17,3% 60,3% 59,3%

InterScot Scot Beaujolais

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14 fvrier 2006page 67/ 354

CHAPITRE 2

Le Scot Beaujolais Les logements

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Scot Beaujolais Mardi 14 fvrier 200614 fvrier 2006page 68/ 354 Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte

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CHAPITRE 2

Scot Logements Rsidences principales Logements vacants 83 269 85 % 7%

InterScot

88 % 8% 3% 1%14 fvrier 2006page 69/ 354

Rsidences secondaires 7 % Logements occasionnels 1 %Agence durbanisme pour le dveloppement de lagglomration lyonnaiseSchma de cohrence territoriale du Beaujolais Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte

CHAPITRE 2

Le statut doccupation60,0% 50,0% 40,0% 30,0% 20,0% 10,0% 0,0%Locataire non HLM Propritaire Locataire HLM Autre14 fvrier 2006page 70/ 354

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S ot B jolais c eau InterS ot cRapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte

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CHAPITRE 2

Le type de rsidences principales2,3% Autre 3,0%

InterScot Scot Beaujolais

Immeuble collectif

58,1% 32,8%

39,6% Maison indiv. 64,2%

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CHAPITRE 2

Le nombre de pices par logement35% 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0%Scot Beaujolais InterScot

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Schma de cohrence territoriale du Beaujolais

pi c e 2 pi c es 3 pi c es 4 pi c es 5 pi 6 c pi c es es ou pl us

1

Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte

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CHAPITRE 2

Lanciennet du parc45% 40% 35% 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% Scot Beaujolais InterScot

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Schma de cohrence territoriale du Beaujolais

an t1 91 19 5 15 19 19 48 49 19 19 67 68 19 19 74 75 19 19 81 82 pa 19 rti 89 rd e 19 90

av

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CHAPITRE 2

Taille des immeubles70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Maison ou Maison ou Immeuble 1 seul log. immeuble de 10 log 2 9 log. ou plus Autre Scot Beaujolais InterScot

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Schma de cohrence territoriale du Beaujolais

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CHAPITRE 2

Lvolution entre 1990 et 1999Rs. principales Rs. secondaires Log. vacants Log. occasionnels- 50% - 40% - 30% - 20% - 10% + 0% + 10% + 20%

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Schma de cohrence territoriale du Beaujolais

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CHAPITRE 2

Lvolution entre 1990 et 1999

60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Propritaire Locataire non HLM Locataire HLM Autre14 fvrier 2006page 76/ 354

1999 1990AGENCE D'URBANISMEpour le dveloppement de l'agglomration lyonnaise

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CHAPITRE 3

Le Scot Beaujolais et ses structures intercommunales

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Scot Beaujolais Mardi 14 fvrier 2006Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte page 77/ 354

Schma de cohrence territoriale du Beaujolais

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CHAPITRE 3

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14 fvrier 2006page 78/ 354

CHAPITRE 3

La dmographieAgglomration de Villefranche Pays de Tarare Pays d'Amplepuis Thizy Beaujolais-Sane-Pierres Dores Beaujolais - Val de Sane Pays du Bois dOingt Monts d'Or - Azergues Rgion de Beaujeu Beaujolais-Vauxonne Haute Valle d'Azergues Beaujolais Nizerand Morgon Haut-Beaujolais Beaujolais - Val d'Azergues

46 21 21 19 15 14 12 11 10 5 4 4 3

0AGENCE D'URBANISMEpour le dveloppement de l'agglomration lyonnaise

10

20

30

40

5014 fvrier 2006page 79/ 354

Milliers d'habitants

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CHAPITRE 3

Les jeunes et les seniors ( +60 ans)Beaujolais Nizerand Morgon Beaujolais - Val d'Azergues Monts d'Or - Azergues Beaujolais-Vauxonne Pays du Bois dOingt Beaujolais-Sane-Pierres Dores Beaujolais - Val de Sane Agglomration de Villefranche Rgion de Beaujeu Pays de Tarare Haute Valle d'Azergues Pays d'Amplepuis Thizy0 0,05 0,1 0,15 0,2 0,25 0,3 0,35

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14 fvrier 2006page 80/ 354

CHAPITRE 3

Les jeunes (60 ans)

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14 fvrier 2006page 82/ 354

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CHAPITRE 3

Estimation de lvolution 1999 2004

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14 fvrier 2006page 83/ 354

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CHAPITRE 3

Estimation de lvolution 1999 2004

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14 fvrier 2006page 84/ 354

CHAPITRE 3

Le Scot Beaujolais Les dplacements pour le travailScot Beaujolais Mardi 14 fvrier 2006Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte page 85/ 354

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CHAPITRE 3

Les modes de dplacements8% 2% 69% 4% 7% 10%

InterScot

8%

2% 73%

3%

Scot Beaujolais7% 7%

pas de transport pied seul plusieurs modes 2 roues voiture TC

1 mode

0%

20%

40%

60%

80%

100%

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CHAPITRE 3

Les migrations domicile-travail

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14 fvrier 2006page 87/ 354

CHAPITRE 3

Les migrations domicile-travail

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CHAPITRE 3

Les migrations domicile-travail

AGENCE D'URBANISMEpour le dveloppement de l'agglomration lyonnaise

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14 fvrier 2006page 89/ 354

Adquation emploi - habitatPart des emplois des communes de laire mtropolitaine occups par des actifs rsidents

1975

1999

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CHAPITRE 3

Politiques de transport : la poursuite des tendancesRoutes et autoroutes : poursuite de la politique dquipement Des territoires o la voiture est devenue indispensable

2030 2005 1975

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490 km 670 26014 fvrier 2006page 91/ 354 Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte

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CHAPITRE 3

Consquence : la dpendance automobile1999 1990 1982

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14 fvrier 2006page 92/ 354

CHAPITRE 3

Consquence : la dpendance automobile1975 1982 1990 1999

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14 fvrier 2006page 93/ 354

Lier les choix durbanisation la desserte ferroviaire ?

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CHAPITRE 3

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14 fvrier 2006page 94/ 354

Michel Snelet SCOT BEAUJOLAIS

Patrick Brun AGENCE DURBANISME Pour le dveloppement de lagglomration lyonnaise 18 rue du Lac 69003 Lyon

172 boulevard Vermorel 69400 Villefranche sur Sane

AGENCE D'URBANISMEpour le dveloppement de l'agglomration lyonnaise

Scot Beaujolais Mardi 14 fvrier 2006Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte page 95/ 354

Schma de cohrence territoriale du Beaujolais

Originede Villefranchesur-Sane Total Actifs Attraction Interne Evasion Externe dont Reste Beaujolais Extrieur Beaujolais dont Grand Lyon (57) du Pays de l'Arbresle Porte Ouest de la Dombes du Mconnais- Val de Sane le Grand Roanne de Montmerle Trois Rivires du Canton de Belmont de la Loire Destination du Maconnais-Beaujolais de l'Est Lyonnais Val de Sane Chalaronne de Miribel et du Plateau du Pays entre Loire et Rhne du Canton de Saint Laurent de Cham de Villefranche-sur-Sane du Pays d'Amplepuis Thizy du Beaujolais - Val d'Azergues Monts d'Or - Azergues de la Haute Valle d'Azergues du Beaujolais - Val de Sane Beaujolais-Sane-Pierres Dores Beaujolais-Vauxonne du Haut-Beaujolais du Pays de Tarare des Pays du Bois d'Oingt de la Rgion de Beaujeu Beaujolais Nizerand Morgon Beaujolais Courly 57 Courly 55 17 723 11 147 62,9 6576 37,1 2150 12,1 4426 25,0 15,3 0,6 3,0 2,1 0,5 0,1 0,3 0,0 0,1 0,2 0,1 0,2 0,0 11 147 17 34 264 36 426 739 287 8 48 138 79 74 13 297 2 711 2705 9 380 31 3 1 6 843 371 368 532 674 670 9 35 1 du Pays d'Amplepuis Thizy 8 075 6 281 77,8 1794 22,2 562 7,0 1232 15,3 4,6 0,5 0,0 0,0 0,0 3,6 0,0 2,1 0,0 0,0 0,0 0,0 1,3 33 6 281 2 13 79 4 7 du Beaujolais Val d'Azergues 1 366 264 19,3 1102 80,7 268 19,6 834 61,1 49,3 6,1 0,5 0,5 0,1 0,0 0,0 0,0 0,0 0,6 0,0 0,2 0,0 55 7 264 93 5 4 57 2 Monts d'Or Azergues 4 928 1 096 22,2 3832 77,8 461 9,4 3371 68,4 60,1 1,7 2,0 0,4 0,1 0,1 0,0 0,0 0,0 0,5 0,1 0,4 0,0 231 7 27 1 096 4 15 135 5 2 15 13 4 3 1 557 2 961 2960 de la Haute Valle d'Azergues 1 911 1 111 58,1 800 41,9 440 23,0 360 18,8 12,9 1,1 0,6 0,0 0,2 0,2 0,1 0,1 0,1 0,2 0,1 0,1 0,1 112 90 8 20 1 111 20 27 7 27 15 74 38 2 1 551 246 246 Val de Sane 6 176 3 477 56,3 2699 43,7 1573 25,5 1126 18,2 7,0 0,1 1,0 0,9 1,6 0,0 2,2 0,0 0,6 0,1 1,2 0,1 0,0 827 4 1 38 21 3 477 81 257 28 3 6 302 5 5 050 431 430 48 133 8 18 4 456 3 028 3023 Beaujolaisdu Beaujolais - Sane-Pierres BeaujolaisDores 8 257 2 209 26,8 6048 73,2 2247 27,2 3801 46,0 36,7 1,7 2,5 0,6 0,2 0,1 0,1 0,0 0,0 0,3 0,0 0,5 0,0 1 475 15 86 322 11 71 2 209 60 Vauxonne 4 285 1 644 38,4 2641 61,6 1906 44,5 735 17,2 9,4 0,4 1,2 1,4 0,6 0,0 0,9 0,0 0,0 0,3 0,3 0,2 0,0 1 335 4 3 24 10 327 96 1 644 3 4 13 63 24 3 550 403 402 1 177 79 79 6 770 954 952 2 34 36 2 8 956 1 1 79 du HautBeaujolais 1 508 956 63,4 552 36,6 221 14,7 331 21,9 5,2 0,1 0,2 0,1 4,2 0,3 0,3 0,5 0,0 0,2 0,3 0,0 0,0 52 6 du Pays de Tarare 8 658 6 178 71,4 2480 28,6 592 6,8 1888 21,8 11,0 6,9 0,1 0,1 0,0 0,3 0,0 0,0 0,0 0,1 0,0 0,0 0,3 119 205 12 48 17 10 47 5 6 6 178 121 2 des Pays du Bois d'Oingt 6 120 2 164 35,4 3956 64,6 1652 27,0 2304 37,6 28,2 4,8 0,8 0,3 0,2 0,1 0,0 0,0 0,0 0,4 0,0 0,2 0,0 751 39 95 150 78 30 285 25 3 176 2 164 8 12 3 816 1 724 1721 Beaujeu 4 819 3 136 65,1 1683 34,9 943 19,6 740 15,4 4,9 0,0 0,4 0,3 3,7 0,1 0,4 0,0 2,3 0,1 0,5 0,1 0,0 290 3 4 15 21 440 25 60 74 3 4 3 136 4 4 079 234 234 Beaujolais de la Rgion de Nizerand Morgon 1 787 484 27,1 1303 72,9 967 54,1 336 18,8 12,4 0,4 1,8 1,1 0,3 0,0 0,1 0,0 0,0 0,2 0,2 0,1 0,0 750 1 3 20 15 19 79 39 1 7 24 9 484 1 451 222 222 Beaujolais 75 613 40 147 53,1 35466 46,9 13982 18,5 21484 28,4 18,6 1,9 1,4 0,8 0,7 0,5 0,3 0,2 0,2 0,2 0,2 0,2 0,2 17 177 6 679 539 2 105 1 442 4 879 3 789 2 399 1 117 6 887 2 757 3 732 627 54 129 14 038 14012

Destination CC CC du CA de sur-Sane Total Apport Interne Apport Externe (CA) Apport externe (Beaujolais) Apport externe (hors Beaujolais) dont % COURLY (57) CC Porte Ouest de la Dombes CC de Montmerle Trois Rivires CC Sane Valle CC du Pays de l'Arbresle CC du Canton de Belmont de la Loire Origine CC du Pays entre Loire et Rhne CC Val de Sane Chalaronne CA le Grand Roanne CA de Villefranche-sur-Sane CC du Pays d'Amplepuis Thizy CC du Beaujolais - Val d'Azergues CC Monts d'Or - Azergues CC de la Haute Valle d'Azergues CC du Beaujolais - Val de Sane CC Beaujolais-Sane-Pierres Dores CC Beaujolais-Vauxonne CC du Haut-Beaujolais CC du Pays de Tarare CC des Pays du Bois d'Oingt CC de la Rgion de Beaujeu CC Beaujolais Nizerand Morgon Beaujolais COURLY (57) 23 816 11 147 46,8 12 669 53,2 6 030 25,3 6 639 27,9 8,1 7,2 2,6 3,4 0,7 0,0 0,0 0,8 0,0 11 147 33 55 231 112 827 1 475 1 335 52 119 751 290 750 17 177 1 918 CC du Pays Thizy 9 172 6 281 68,5 2 891 31,5 398 4,3 2 493 27,2 3,0 0,0 0,0 0,1 0,6 6,1 4,2 0,0 4,2 17 6 281 7 7 90 4 15 4 6 205 39 3 1 6 679 277 12 95 4 3 539 131 Villefranche- d'Amplepuis Val 839 264 31,5 575 68,5 275 32,8 300 35,8 15,6 0,4 0,2 1,1 12,0 0,0 0,1 0,0 0,1 34 2 264 27 8 1 86 3 d'Or 4 261 1 096 25,7 3 165 74,3 1 009 23,7 2 156 50,6 29,9 1,9 0,4 3,9 4,9 0,0 0,0 0,1 0,1 264 13 93 1 096 20 38 322 24 2 48 150 15 20 2 105 1 276 CC de la Valle 1 660 1 111 66,9 549 33,1 331 19,9 218 13,1 5,2 0,8 0,4 0,2 0,7 1,1 0,1 0,1 0,1 36 79 5 4 1 111 21 11 10 34 17 78 21 15 1 442 87 CC du Val de 6 421 3 477 54,2 2 944 45,8 1 402 21,8 1 542 24,0 3,1 1,1 7,1 0,5 0,2 0,0 0,0 3,7 0,0 426 4 4 15 20 3 477 71 327 36 10 30 440 19 4 879 199 BeaujolaisCC Vauxonne 2 836 1 644 58,0 1 192 42,0 755 26,6 437 15,4 3,8 1,2 4,3 0,7 0,2 0,0 0,0 1,2 0,0 287 2 5 7 257 60 1 644 8 5 25 60 39 2 399 109 3 956 6 3 74 1 1 117 198 2 27 28 Beaujolais 1 555 956 61,5 599 38,5 161 10,4 438 28,2 12,7 0,1 0,1 0,1 0,4 0,6 0,0 0,1 0,1 8 9 de Tarare 8 573 6 178 72,1 2 395 27,9 709 8,3 1 686 19,7 4,8 0,1 0,0 0,1 4,1 0,1 1,9 0,0 0,6 48 380 9 15 15 3 48 4 1 6 178 176 3 7 6 887 414 Pierres Dores 5 140 2 209 43,0 2 931 57,0 1 580 30,7 1 351 26,3 10,8 3,4 0,7 3,5 2,1 0,0 0,0 0,2 0,0 739 7 57 135 27 81 2 209 96 2 47 285 25 79 3 789 556 CC des Pays du d'Oingt 3 443 2 164 62,9 1 279 37,1 593 17,2 686 19,9 9,5 0,2 0,2 0,3 5,2 0,0 0,1 0,0 0,1 138 31 35 13 74 6 133 13 1 121 2 164 4 24 2 757 328 Beaujolais- CC du Haut- CC du Pays Bois CC de la CC Rgion de 4 322 3 136 72,6 1 186 27,4 596 13,8 590 13,7 3,7 0,7 0,8 0,2 0,1 0,1 0,0 0,9 0,0 79 3 1 4 38 302 8 63 79 2 8 3 136 9 3 732 162 12 4 484 627 62 3 2 5 18 24 Beaujolais Nizerand 744 484 65,1 260 34,9 143 19,2 117 15,7 8,3 0,8 0,7 0,3 0,1 0,0 0,0 0,5 0,1 74 1 Beaujolai s 72 782 54 129 74,4 18 653 44,8 0 0,0 18 653 25,6 7,9 2,9 1,8 1,7 1,7 0,8 0,8 0,7 0,6 13 297 6 843 532 1 557 1 551 5 050 4 456 3 550 1 177 6 770 3 816 4 079 1 451 54 129 5 717 Beaujolais - CC Monts Haute Beaujolais - Sane-

d'Azergues Azergues d'Azergues Sane

Beaujeu Morgon

Schma de cohrence territoriale du Beaujolais

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Les migrations domicile travail inter CommunautsCC de Matour et sa rgion CC du Pays Clayettois CC du Mconnais Charolais CC du Maconnais Beaujolais

Schma de cohrence territoriale du BeaujolaisCC Haut Beaujolais CC du Canton de Chauffailles CC Rgion Beaujeu CC de Belmont de la Loire CC B. Val de Sane CC de Montmerle Trois Rivires CC B. Vauxonne CC Amplepuis Thizy CC Nizerand Morgon C Villefranche A CC Porte Ouest de la Dombes CC du Pays de Charlieu CC Haute Azergues CA le Grand Roanne CC du Pays de Perreux CC Val de Sane Chalaronne CC P Bois dOingt CC du Pays entre Loire et Rhne CC P Tarare CC B. Pierres dores CC Mt dOr Azergues CC Val dA. CC de Miribel et du Plateau CC Sane Valle CC de Balbigny CC du Pays de l'Arbresle 250 CC e Saint Laurent de Chamousset CC des Vallons du Lyonnais CU de Lyon (COURLY) 500 1000 NB ne sont reprsents que les mouvements suprieurs 250 1500 Nb le Grand Lyon configuration 57 communes 2000

Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte

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Sources : Insee RP 1999, DGCL 2006

Syndicat mixte du SCOT Beaujolais

PR DIAGNOSTICCommission Homme

Mai 2005Schma de cohrence territoriale du Beaujolais Rapport de prsentation : Diag Socio-Co Version arrte page 98/ 354

Sommaire1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 Sommaire Zones urbanises Densit de population Densit des zones urbaines Solde migratoire Solde naturel Naissances et dcs rcents Age moyen Pyramide des ages Indice de jeunesse Indice de vieillesse Indice de charge sociale Les longues tudes Les tudes courtes Le taux dactivit Le rapport emploi sur actif 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34

Homme CommissionLes travailleurs non salaris Les salaris prcaires Les mnages imposs sur le revenu Les revenus moyens les retraites dans le revenu Les carts de revenus La taille des mnages La dcohabitation Petits et grands mnages La taille des logements Les logements inoccups les propritaires occupants le taux de construction la construction neuve individuelle la construction 1999-2003 la structure de la population en 2030

Le but de chaque commission est de !comprendre et analyser les mcanismes de fonctionnement du territoire au regard de la thmatique !comprendre et analyser ses forces et ses faiblesses !comprendre et analyser opportunits et les menaces !dresser les enjeux et les dfis relever avoir une vision prospective des mcanismes

Commission Homme Deux volets principaux ? La dmographie o Les derniers mouvements dmographiques o Les projections de populations : rpercussions spatiales (nombre de logements), conomiques (volume d'actifs, formation), quipements (maisons de retraites, lyces, collges).. o .. ? L'habitat o Les formes urbaines o La construction neuve o Les produits les plus demands : consquences sur le fonctionnement urbain o Les personnes assignes rsidence dans les divers parcs o La mobilit rsidentielle et les trajectoires rsidentielles o .Schma de cohrence territoriale du Beaujolais page 99/ 354

Rapport de prsentationBeaujolais Pr-diagnostic Mai 2005 Syndicat Mixte du Scot : Diag Socio-Co Version arrte

Une forte concentration urbaine et une occupation spatiale disperseLes zones urbanises

Homme Commission

du Haut-Beaujolais

de la Rgion de Beaujeu

du Beaujolais Val de Sane

de la Haute Valle d'Azergues

Beaujolais-Vauxonne

du Pays d'Amplepuis Thizy

Beaujolais Nizerand Morgon

de l'Agglomration Villefranche

des Pays du Bois dOingt Beaujolais-Sane Pierres Dores

du Pays de Tarare

Monts d'Or Azergues

du Beaujolais Val d'Azergues

InterScot Communes

2

0

5 3

8

1

4

7 9 6

Schma de cohrence territoriale du Beaujolais

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Une occupation htrogne de lespacede l'Agglomration de Villefranche du Beaujolais - Val d'Azergues Beaujolais-Sane-Pierres Dores Monts d'Or - Azergues du Beaujolais - Val de Sane Scot Beaujolais Beaujolais-Vauxonne du Pays de Tarare des Pays du Bois dOingt du Pays d'Amplepuis Thizy Beaujolais Nizerand Morgon de la Rgion de Beaujeu de la Haute Valle d'Azergues du Haut-Beaujolais

Homme Commission

La densit des communauts de communes du Beaujolais

0

200

400

600

800

1000

La densit de population en 1999

du Haut-Beaujolais

de la Rgion de Beaujeu

du Beaujolais Val de Sane de la Haute Valle d'Azergues

Beaujolais-Vauxonne

du Pays d'Amplepuis Thizy

Beaujolais Nizerand Morgon

de l'Agglomration Villefranche

des Pays du Bois dOingt Beaujolais-Sane Pierres Dores du Pays de Tarare Monts d'Or Azergues du Beaujolais Val d'Azergues

InterScot Communes

Densit (Hab/km) 500 - 9 310 125 - 500 115 - 125 50 - 115 050

InterScot Inter Communalit

2

0 5 3

2

0 5 3

8

1

4 8 1

4

7 9 6

7

9 6

0 - Val de Sane - Dombes ; 1 - Agglomration lyonnaise ; 2 - Beaujolais ; 3 - Bugey Ctire Plaine de l'Ain ; 4 - Haut-Rhne Dauphinois ; 5 - La Dombes ; 6 - Les Rives du Rhne ; 7 - Nord-Isre ; 8 - Ouest lyonnais ; 9 - Sud Loire

Schma de cohrence territoriale du Beaujolais

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Une faible densit gnraleLa densit des zones urbanises

Homme Commissiondu Haut-Beaujolais

du Beaujolais Val de Sane

de la Haute Valle d'Azergues

du Pays d'Amplepuis Thizy

Beaujolais Nizerand Morgon

de l'Agglomration Villefranche

des Pays du Bois dOingt Beaujolais-Sane Pierres Dores

du Pays de Tarare

Monts d'Or Azergues

du Beaujolais Val d'Azergues

Densit (hab/km) InterScot Communes2 350 - 9 210 430 - 2 350 110 - 430 30 - 110 030

2

0

5 3

8

1

4

7 9 6

Schma de cohrence territoriale du Beaujolais

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Un territoire globalement attractifdu Beaujolais - Val d'Azergues Monts d'Or - Azergues Beaujolais-Sane-Pierres Dores des Pays du Bois dOingt Beaujolais Nizerand Morgon du Haut-Beaujolais Beaujolais-Vauxonne de la Haute Valle d'Azergues de la Rgion de Beaujeu Scot Beaujolais du Beaujolais - Val de Sane du Pays de Tarare du Pays d'Amplepuis Thizy de l'Agglomration de Villefranche

Homme Commission

Le solde migratoire des communauts de communes du Beaujolais

-0,40%

0,10%

0,60%

1,10%

1,60%

Le solde migratoire 1990 - 1999

du Haut-Beaujolais

de la Rgion de Beaujeu

du Beaujolais Val de Sane de la Haute Valle d'Azergues

Beaujolais-Vauxonne

du Pays d'Amplepuis Thizy

Beaujolais Nizerand Morgon

de l'Agglomration Villefranche

des Pays du Bois dOingt Beaujolais-Sane Pierres Dores du Pays de Tarare Monts d'Or Azergues du Beaujolais Val d'Azergues

taux annuel InterScot Communes1,5 0,5 0 -0,6 -2,9 - 10,3 % - 1,5 - 0,5 - 0 - -0,6

InterScot Inter Communalit

2 2 2 2 2 2

0 0 0 0 0 0

2 5 5 5 5 5 5 3 3 3 3 3 3

0

5 3

8 8 8 8 8 8

1 1 1 1 1 1

4 4 4 4 4 4 8

1

4

7 7 7 7 7 7 9 9 9 9 9 9 6 6 6 6 6 6

7

9 6

0 - Val de Sane - Dombes ; 1 - Agglomration lyonnaise ; 2 - Beaujolais ; 3 - Bugey Ctire Plaine de l'Ain ; 4 - Haut-Rhne Dauphinois ; 5 - La Dombes ; 6 - Les Rives du Rhne ; 7 - Nord-Isre ; 8 - Ouest lyonnais ; 9 - Sud Loire

Schma de cohrence territoriale du Beaujolais

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Un solde naturel excdentaire sauf au nord ouestdu Beaujolais - Val d'Azergues de l'Agglomration de Villefranche Monts d'Or - Azergues du Beaujolais - Val de Sane Beaujolais Nizerand Morgon Beaujolais-Vauxonne des Pays du Bois dOingt Scot Beaujolais de la Rgion de Beaujeu du Pays de Tarare Beaujolais-Sane-Pierres Dores du Pays d'Amplepuis Thizy du Haut-Beaujolais de la Haute Valle d'Azergues

Homme Commission

Le solde naturel des communauts de communes du Beaujolais

-0,40%

-0,20%

0,00%

0,20%

0,40%

0,60%

0,80%

1,00%

Le solde naturel 1990 - 1999

du Haut-Beaujolais

de la Rgion de Beaujeu

du Beaujolais Val de Sane de la Haute Valle d'Azergues

Beaujolais-Vauxonne

du Pays d'Amplepuis Thizy

Beaujolais Nizerand Morgon

de l'Agglomration Villefranche

des Pays du Bois dOingt Beaujolais-Sane Pierres Dores du Pays de Tarare Monts d'Or Azergues du Beaujolais Val d'Azergues

taux annuel InterScot Communes0,7 0,2 0 -0,6 -100 - 103 % - 0,7 - 0,2