Sept.-Octobre 2010 W - Contact Entreprises

WBimestriel n°85Sept.-Octobre 20104,60 € - Réf. C. 108

Entreprise du mois :

Axson

L’homme du mois :

Martial Letay

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contact108:CONTACT ENTREPRISES 22/09/10 10:46 Page 1


Edito

SOMMAIRE

Annonceurs

DOSSIEREntreprises de la Chimie.....p.5 à 10

ACE ...................................... p. 12-13

CARNET ...................................... p. 22

ACME PROTECTION - AMETIF -

BASE DE LOISIRS DE CERGY PONTOISE -

BNP PARIBAS - CCI VAL D'OISE/YVELINES

CEEVO - HOTEL MERCURE -

COMMUNAUTÉ D'AGGLOMERATION DE

CERGY-PONTOISE - CONSEIL GENERAL -

CHATEAU D'AUVERS - CRÉDIT DU NORD -

HEXATECH - ICI ET AILLEURS -

IRIS IMPRESSION - LA BONNE ENTENTE -

LA POSTE - LE LOY’S -

NISSAN NEUBAUER - PARTNET -

PROCARIST - ROYAUMONT -

Édition : MF PROMOTIONAgence Conseil en CommunicationB.P. 78447 - 95807 Cergy-Pontoise cedexTéléphone : 01 34 25 97 08Fax : 01 34 24 84 83Web : www.mfpromotion.frE-mail : [email protected]@mfpromotion.frSARL au capital de 7622,45 euros RCS Pontoise B 352 519 292 Code APE 744BTirage : 8 000 exemplaires

Rédaction & PublicitéRédacteur en chef :................Virginie PAVIOTRédaction : .......................... Audrey LE MEUR....................................................... MF. PAVIOT, Resp. Publicité :.............................. M. PAVIOTRéalisation & FabricationMaquette : ......................................Yann PENNFlashage et Impression : ......IRIS ImpressionAbonnementsTarifs et conditions (1 an, 6 numéros) 1 an : 40 €Réglement à l’ordre de MF PROMOTIONDirectrice de la publication : MF. PAVIOT

Préparons l’avenir,

Léger frémissement, c’est le terme employécommunément pour définir une reprise quetout le monde attend. En cette rentrée 2010,les entrepreneurs espèrent tous la croissanceet certains se donnent les moyens de

l’atteindre en participant aux nombreuses manifestations organiséespar les organismes consulaires. Salons professionnels, missions àl’export, rencontres dans les réseaux d’affaires. La CCIV est trèsactive dans ces domaines, et il faut rendre hommage aux élus et auxpermanents qui s’efforcent chaque jour de proposer des solutionsaux entrepreneurs qui les sollicitent. Bientôt, vous participerez aux élections consulaires pour élire vosreprésentants. La campagne débutera le 8 novembre, maisauparavant, il est bon de souligner le rôle important de la CCIV dansla formation des jeunes par l’apprentissage et l’alternance : du CAPau BAC + 5 diplôme d’ingénieur. C’est un devoir pour toutresponsable d’entreprise d’accueillir un jeune. Bien sûr, le tutorat estcontraignant pour une petite entreprise, mais c’est un bon moyen detrouver le collaborateur de demain, et les grandes entreprisesdevraient être plus performantes sur ce sujet. 6000 jeunes sontformés chaque année dans les écoles de la CCIV, d’autres sontencore à la recherche de stage ou d’entreprises, sachez leur ouvrirvos portes. Cette année verra le renouvellement des élus et de grandschangements dans les réseaux consulaires qui vont se réformerprogressivement, renforçant les pouvoirs des chambres régionales,tout en maintenant la proximité territoriale, difficile équilibre !C’est dans ce contexte que vos élus devront travailler. Présents surdes listes communes MEDEF / CGPME 50/50, ils seront 27 membres àreprésenter le commerce, les services et l’industrie. Un nouveaumoyen de participation sera inauguré avec le vote électronique,permettant à un plus grand nombre d’électeurs de choisir sans sedéplacer.Sachez que les élus sont bénévoles et prennent sur leur temps detravail pour aider au développement économique de leur territoire.VOTER c’est contribuer à leur engagement.Bonne rentrée à tous.

Sincèrement vôtre

Marie-France Paviot

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ENTREPRISE DU MOISASWO France, Axson..............................................p.14

L’HOMME DU MOISMartial Letay, Président de CREE p. 15

DÉTENTE .................................... p. 23

INFOS ENTREPRISES ............p. 16 à 21Réforme des réseaux consulaires

www.contact-entreprises.net

Septembre-Octobre 2010 – n°108 – Contact Entreprises




190 000 emplois directs (effectifs comprenantl’ensemble des activités de production, les siègessociaux et les activités de R&D) et 720 000 emploissi l’on considère les emplois indirects.

907 entreprises de plus de 20 salariés en France

80 % des entreprises chimiques sont des PME ré-parties sur l’ensemble

81,2 milliards d’euros de chiffre d’affaires (France+ export), dont 54,7% réalisés à l’exportationArkema, premier groupe de chimie français, né enoctobre 2004 de la réorganisation de la branchechimie de Total (effectif de 13 800 personnes)

*source SESSI

5Septembre-Octobre 2010 – n°108 – Contact Entreprises

Pour vivre heureux vivons cachés, cepourrait être l’adage de nombreuses en-treprises issues du secteur de lachimie… Souvent montré du doigt, dé-crié par les riverains car associé, à tortou à raison à la dangerosité, la nocivité,la pollution, ce secteur, que l’on pour-

rait qualifier “d’industrie de l’industrie” estpourtant l’un des premiers employeurs du pays (le2e secteur industriel de l’hexagone par l’importance

de son chiffre d’affaires). La chimie est au carrefour denombreux autres secteurs d’activité. Elle est liée à toutes les

industries de matières premières telles que les produits pétroliersou encore le gaz naturel… En aval, elle fournit tous les domaines industriels, avec,pour conséquence, l’impact sur des domaines aussi divers que l’alimentation, l’ha-bitat, la santé, l’hygiène, les transports, la culture, les sports, les loisirs… La France est le 2e pays producteur en Europe derrière l’Allemagne et n°5 dans lemonde. Ce secteur a connu depuis 20 ans d’incroyables progrès avec l’émergencede nouvelles molécules. Le nombre de molécules produites et commercialisées parles entreprises françaises représente plus de 30 000 entités allant des grands pro-duits de base minéraux et organiques aux médicaments en passant par les engrais,les matières plastiques, les arômes, les colles… On constate par ailleurs qu’un mou-vement de fond s’opère au sein de cette industrie, qui reconsidère ses process etprocédés de stockage, contrainte par les règlementations européennes sur la sé-curité et les impacts environnementaux, animée par une prise de conscience, uneresponsabilité industrielle, mais aussi poussée par une opinion publique de plus enplus sensible à ces problématiques. Le secteur veut changer son image, une muta-tion est en marche avec l’émergence de la chimie durable et de la chimie verte,domaines porteurs d'innovation, de croissance et d'emploi.

DOSSIER

L’industrie chimique en France :

LA CHIMIE DE BASEpermet de fabriquer à partir de matières premières organiques ouminérales des produits de base utilesà d’autres industries (matières plastiques pour l’industrie de la plasturgie par exemple)LA CHIMIE FINEa pour but d’élaborer des moléculescomplexes et des principes actifs àpartir des produits de la chimie debase, par exemple des molécules pharmaceutiques destinées à l’industrie pharmaceutique qui lestransformera sous forme de gélules,cachets… Ce domaine englobe la parfumerieet les arômes alimentaires. LA PARACHIMIEest la réalisation de produits finis issus de mélanges, de formulationschimiques complexes : colles, encres, peintures… LA CHIMIE VERTErepose sur 12 principes qui ont pourbut de réduire ou d’éliminer l’utilisation ou la génération desubstances dangereuses émanantdes processus de design, de fabrication et d’application de produits chimiques. Il s’agit notamment de minimiser les déchets à la source, de maximiserl’efficacité de l’atome, de réduirel’utilisation de réactifs toxiques, de conserver l’énergie et d’accroître l’utilisation de ressourcesrenouvelables.

LEXIQUE

chimieLes entreprisesde la

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Sol France, filiale du groupe italien Sol*, est implantée depuis 1996 àSaint-Ouen-l’Aumône. Dix ans après son arrivée, la société, spécialiséedans la production et la commercialisation de gaz médicaux et indus-triels, a engagé de grands travaux d’agrandissement aux Béthunes, quiont duré près de trois ans et viennent tout juste de s’achever. Le sites’étend désormais sur 20 000 m2 (contre 12 000 m2 auparavant), avec lacréation de nouveaux bâtiments et de bureaux, de nouvelles voies de cir-culation et une réorganisation totale du site. Six personnes ont étéembauchées pour un effectif aujourd’hui porté à 45 personnes. “Nousrecevons ici de la matière première liquéfiée, acheminée par camions ci-ternes, en provenance de notre unité de séparation de l’air située enBelgique, explique Agnès Gorré, directrice du site. Il s’agit d’air aspiré, quisubit un process de transformation pour séparer les molécules. Ces ca-

mions alimentent nos réservoirs en gaz (oxygène, azote, protoxyded’azote, argon…). Le gaz passe ensuite dans des lignes avant d’être“conditionné” en bouteilles à l’état pur ou sous forme de mélanges.”Les domaines d’application sont multiples, dans le secteur médical(hôpitaux, ambulances, pompiers, vétérinaires…) ou industriel : oxy-gène pour l’assistance respiratoire, protoxyde d’azote (usage

anesthésiant), CO2 (coelioscopies), gaz carbonique (conservation des pro-duits sanguins ou des organes). Dans l’industrie, l’acétylène associé àl’oxygène est utilisé en soudure, l’azote alimentaire permet d’inerter l’at-mosphère (sachets de salade sous vide par exemple)… quelques exemplesmais des champs d’utilisation multiples. Stockant des comburants et pro-duits inflammables, le site de Saint Ouen l’Aumône est classé Seveso(seuil bas), impliquant un suivi très strict de la DRIRE. “Nous ne sommespas “AZF !”, tient à préciser Agnès Gorré, dont l’établissement, égalementsous tutelle de l’Afssaps (l’oxygène étant classé comme médicament), bé-néficie par conséquent d’une surveillance double. *Groupe SOL : 2000 personnes, essentiellement implanté en Europe, 4 sites en France

Tél. : 01 34 30 86 60

En rejoignant le groupe Brabant en 1979, la dis-tillerie Hauguel, installée à St-Ouen l’Aumôneet historiquement tournée vers la rectificationd’éthanol éthylique, a amorcé une progressivereconversion. La distillerie se recentre alors sur

une activité novatrice, la régénération d'alcoolset de solvants, métier que les dirigeants de Bra-bant, entreprise familiale née en 1860,développe depuis 1960, en proposant à leursclients de récupérer leurs solvants usagés pour

les recycler par latechnique de distilla-tion. L’objectif est depermettre aux indus-triels de réduire leurquantité de déchetset de réutiliser denombreuses fois lessolvants nécessaires àleur fonctionnement.Ce process consiste àfaire subir aux sol-vants souillés unedistillation fraction-née ou toutes autresopérations du géniechimique (filtration,décantation, neutrali-sation…) permettant

de séparer les composants réutilisables et lesproduits considérés comme déchets. Le groupedispose pour cela d’équipementsperformants (bouilleurs, évaporateurs, filtres,décanteurs colonnes de distillation…) permet-tant des séparations sous vide ou à pressionatmosphérique pour travailler une gammeétendue de solvants : alcools, cétones, acétates,hydrocarbures, chlorés, amides, diluants….La régénération intéresse de nombreuses activi-tés comme la chimie fine, l’industriepharmaceutique, les cosmétiques, les imprime-ries, les peintures et vernis, l’automobile, letraitement de surface, la pétrochimie…Elle per-met d’éviter l’importation de matières premièresen créant de la valeur ajoutée en France et defournir ces matières premières à un coût plusavantageux pour l’utilisateur. La distillerie Hau-guel, un des 7 sites du groupe Brabant, compteà ce jour 16 personnes, chimistes de formation,et a la capacité de purifier 9000 m³ de solvantspar an, pour des clients partout en France.

Tél. : 01 30 37 00 04 - www.brabant.fr

DOSSIER

Sol France conforte son activité à Cergy-Pontoise

La Distillerie Hauguelrecycle les solvants

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7Septembre-Octobre 2010 – n°108 – Contact Entreprises

DOSSIER

La société NYCO, spécialisée dans la conceptionet la fabrication de lubrifiants pour l’aviation etde bases esters* synthétiques, s’est installée en2008 à Neuville-sur-Oise, où se trouve au-jourd’hui son nouveau centre de R&D. Ce sitede 1000 m2 regroupe une équipe de haut niveaude 18 personnes, qui travaille à la mise au pointde nouvelles générations de produits, sans cesseaméliorés et plus compétitifs, en étroite collabo-ration avecl’usine deproduction,basée enB e l g i q u e .“ D e p u i sl ’ a v a n t -g u e r r e ,l’usine et lecentre deR&D étaientà ConflansS a i n t - H o -n o r i n e ,e x p l i q u eFrédériqueMagrin, di-r e c t r i c ef inanc ièredu groupe.Très rési-dentielle, laville s’estdéveloppée,l’environne-ment n’étaitplus adapté à notre activité, ne laissant pas lapossibilité de s’agrandir. En 1997, nous avonsdonc fait construire une nouvelle usine en Bel-gique, puis cherché un second site pour yimplanter notre laboratoire. La zone d’activitéde Neuville a été choisie car située au pied duRER A, permettant une liaison directe avec no-tre siège des Champs Elysées.”Créée en 1929, NYCO s’est tout d’abord spécia-lisée dans les produits dérivés pour l’industriepharmaceutique et les stabilisants pour le PVC.

Dès 1957, la société s’intéresse au marché deslubrifiants à base d’esters pour l’aviation et ob-tient sa première homologation par le ministèrefrançais de la défense pour une huile turbine.Dans ce domaine, le champ des applicationscouvertes est aujourd’hui très large : huiles lu-brifiantes pour turbines à gaz d’avions, d’hélicos,de porte-avions, huiles minérales et fluides syn-thétiques pour systèmes hydrauliques… C’est à

partir des an-nées 70 queNyco déve-loppe desapplicationspour l’industrie(engrenages,compresseursair ou frigori-fiques, chaînes,fluides diélec-t r i q u e s ,graisses…) etl’automobile.Depuis plus de20 ans, le groupepropose égale-

ment toute unegamme éco-compatible etbiodégradable(sous la marqueNyco Green),p renant encompte l e sp r o b l é m a -

tiques de non toxicité des produits. NYCO est undes leaders mondiaux et la seule société en Eu-rope à développer et à fabriquer les lubrifiantsaviation. PME française internationale, affichanten 2009 un chiffre d’affaires de 50 millionsd’euros, NYCO est présente dans plus de 90 payset réalise 80% de ses ventes à l’export.

* dérivés des acides carboxyliques, résultant de l'action d'un alcool sur cesacides avec élimination d'eau

www.nyco.fr

NYCO, les lubrifiants de demain mis au point à Neuville L’UIC, interlocuteur

des entreprises dechimieL'UIC est l'organisation professionnelle qui rassembletoutes les entreprises de la chimie, auxquelles elle offre desstructures d'échanges et derencontres. Elle les aide dansleur développement. Elle les représente et les défend dansles différents domaines où elleexerce ses missions. www.uic-idf.fr (au niveau régional)www.uic.fr (au niveau national)

REACH : la réglementation semet en placeVoté en 2007, REACH signifieEnRegistrement, Evaluation etAutorisation des substancesCHimiques. Ses principaux objectifs sont d'assurer un niveau élevé de protection de lasanté humaine et de l'environnement contre lesrisques que peuvent poser lesproduits chimiques, la promotion de méthodes d'essaialternatives, la libre circulationdes substances au sein du marché intérieur et de renforcerla compétitivité et l'innovation.REACH fait porter à l'industriela responsabilité d'évaluer et degérer les risques posés par lesproduits chimiques et de fournir des informations de sécurité adéquates à leurs utilisateurs.

EN BREF


Septembre-Octobre 2010 – n°108 – Contact Entreprises8

CHIMEXEN QUELQUES CHIFFRES*70 personnesau ThillayEffectif total de plus de 200 collaborateursChiffre d’affaires (2009) de 82 millions d’eurosSiège et R&D au ThillaySite de production en chimie fine basé à MourenxSite de production en biotechnologies baséà ToursPlateforme logistique internationale située àAmiens* au 31/08/2010

DOSSIER

LCW France(ex-Colorants Wackherr et aujourd’hui entité du groupe Sensient Technologies)est spécialiste des matières premières co-lorantes destinées à la cosmétique. Ellefournit également, à travers son activité“ingrédients” qui représente 60 % de sonchiffre d’affaires, un ensemble de matières premières (agents de texture polymères, additifs pour stabiliser les parfums, solubi-lisants…), entrant dans la fabrication dessavons, shampoings, dentifrices… A St-Ouen l’Aumône, le site de 115 per-sonnes regroupe les laboratoires de R&Det d’application, la production, le magasi-nage et les expéditions sur plus de12 000 m2. Avec un chiffre d’affaires de55 millions d’euros dont 80 % sont réali-sés à l’export, l’entreprise est un desleaders mondiaux dans son domaine.

PolyOneLe groupe chimique américain est spécia-lisé dans les mélanges maîtres pourmatières plastiques, couleurs à la de-mande, pour toutes applications(extrusion, fibres, soufflage). En 2006, legroupe a procédé à l’installation d’uneunité de soufflage de bouteilles bicouchessur son site de St-Ouen-L’Aumône. L’andernier, PolyOne, qui a souffert de la crisede l’automobile, son premier marché, a étécontraint de procéder à des restructura-tions sur ses différents sites, notamment àSt-Ouen l’Aumône avec 27 suppressionsde postes (sur 80 personnes).

Atotech, présent dans 30 pays sur les5 continents, est l'un des tous premiersfournisseurs mondiaux de procédés, deservice et d'équipement pour la galvano-plastie et la fabrication de circuitsimprimés. A Saint-Ouen l’Aumône, l’éta-blissement, construit en 1975 dans la ZACdu Vert Galant, a cessé son activité de fa-brication de produits chimiques en 2004pour ne garder que des activités adminis-tratives et des laboratoires. Employantplus de 2500 personnes dans le monde,Atotech fait partie de la holding chimiedu groupe Total.EN

BRE

F

La société Chimex, basée dans le Val d’Oise auThillay depuis 1948, couvre un large panel detechnologies, allant de la chimie de spécialitéà la biotechnologie en passant par l’intensifi-cation des procédés. “Dans le domaine de lachimie, nous développons des molécules des-tinées principalement à la cosmétique aveccomme 1er client L’Oréal. Ce sont des tensio-actifs, qui servent à mélanger des phasesaqueuses et des phases huileuses, utilisésdans les gels douche, confie Alain Pinchart,directeur commercial. Nous mettons égale-ment au point des polymères qui entrent dansla composition de produits de maquillage parexemple, des colorants capillaires, des actifs

(filtres solaires, anti-vieillissants, anti-oxy-dants, hydratants…)....”. La recherche estassurée au Thillay (centre de R&D et siège so-cial), tandis que la production est réalisée àMourenx, près de Pau (usine de productionspécialisée en chimie fine) et à Tours (usinede production spécialisée en biotechnologie).Le site valdoisien s’appuie sur une équipe deplus de 70 personnes. “L’intensification deprocédés est un autre de nos champs d’inter-vention, poursuit Alain Pinchart, qui consiste,via le développement de techniques et d'ap-pareils adaptés, à réduire de manièreimportante la taille des unités en rapport avecleurs volumes de production, leur consomma-tion énergétique... Deux enjeux essentiels sontconcernés : la compétitivité et le développe-ment durable.”Une démarche environnementale et une res-ponsabilité industrielle sur laquelle Chimexs’est engagée en privilégiant, par exemple,l’utilisation de matières premières d’origine,en cherchant en permanence à limiter les dé-penses énergétiques ou encore en utilisantdes ressources renouvelables… Par ailleurs,Chimex a mis en place depuis 2009 une nou-velle stratégie commerciale en s’ouvrant àd’autres secteurs (peinture, optique, plas-tique…) et à d’autres clients. La société prendpart à deux pôles de compétitivité (CosmeticValley) et Axelera (chimie et environnement)afin de participer à une dynamique fondéesur l’échange et le partage d’expertises avecdes industriels engagés, comme elle, dans lapromotion d’une chimie durable.

Tél. : 01 34 04 74 00

Chimex,la chimie éco-responsable

ILS ONT CHOISI LE VAL D’OISE

Extrudeur


La société Jacret (le Thillay),lauréate PM’up en 2009, estspécialisée dans la conception,la production et la distributiond’adhésifs acryliques, depuisp lus de 25 ans . Cet te PMEfami l ia le commerc ia l i se e tfabrique sa propre gammed’adhésifs structuraux sous lamarque Aderis. Utilisés notam-ment dans l e s sec teursaéronautique, automobile,ferroviaire et nautique, ilspermettent de réaliser des as-semblages par collage entrematériaux (métaux, dont le ti-tane, matériaux composites,thermoplastiques, verres...). Ja-cret est également importateurexclusif en France des produitsLoxeal (second fabriquantmondial de résines anaérobies).La société mène actuellementun projet commun avec la so-ciété CREE (voir rubrique“entreprise du mois”) dans lecadre de Perform’Aero, pland’action mis en place par lepôle de compétitivité Astech.Ce dispositif vise à accompa-gner les PME – PMI de la filièreaéronautique et spatiale sou-haitant se regrouper dans lecadre de développements mu-tualisés. “Jacret possède déjàune très bonne maîtrise de latechnologie des adhésifs struc-turaux méthacrylates avecplusieurs demandes de breveten cours qui protègent des in-novations tout à fait majeures,

précise Arnaud Curet, dirigeantde la société. Aujourd’hui, no-tre grande ambition avecMartial Letay, PDG de CREE, estde réussir à innover dans lesadhésifs époxydes, technologiedont il a la parfaite maîtrise.Cette alliance nous permettrade mettre au point ensemble,des formulations d’adhésifsstructuraux époxy “sur-me-s u re ” p o u r r é p o n d re a u xnouveaux besoins du marchéaéronautique et spatial. ChezJacret, notre laboratoire R&Dpossède une forte expertisedans le collage pratiqué dans lesecteur du transport (ferro-viaire, automobile, nautisme, etconstruction navale) avec descapacités de production suffi-santes, également adaptées àla technologie des Epoxy. Cesadhésifs seront donc produitset commercialisés sous lamarque Aderis par Jacret surnotre site du Thillay.” L’unionfaisant la force, les deux diri-geants ont saisi l’opportunitéofferte par le dispositif, pour seregrouper autour d’une activitécommune. L’objectif est de par-venir à devenir ensemble “unfournisseur de taille dans lesadhésifs” et ainsi de pouvoirrépondre aux s t ra tég iesd’achats et nouveaux besoinsdes grands groupes.

Tél. : 01 34 38 80 40www.jacret.com

Jacret et CREE ,rapprochement des compétences


DOSSIER

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DOSSIER

La création de la CGI (Compagnie Générale desInsecticides) remonte aux années 50. Le nom decette PME de 23 personnes est peu connu du

grand public. Pourtant, sesproduits, conçus et fabri-qués à Saint-Ouenl’Aumône, sont présentsdans les rayonnages desmagasins de bricolage,jardineries et grandessurfaces alimentairessous les marques Acto,Mortis, Ferox, Retroou Diablotin. La CGIconçoit et fabrique detrès nombreusesspécialités : gammed'insecticides pour

éliminer les parasites

type araignées, guêpes, mouches, puces, ram-pants, cafards…, raticides et taupicides sousforme d'appâts ou de pièges et répulsifs pourempêcher les nuisances dues aux animaux do-mestiques. La société développe également desproduits pour allumer, ramoner et entretenir lescheminées, les poêles et les barbecues ou en-core des désinfectants et désodorisants pour lamaison. La vente de produits destinés aux par-ticuliers représente près de la moitié du chiffred’affaires de l’entreprise (15 millions d’euros),qui fournit aussi les collectivités (dans le cadred’opérations de dératisation, désinsectisation etdésinfection) et s’est imposée auprès des pro-fessionnels avec sa marque leader, Pirigrain,produits agrochimiques pour protéger lesgrains en silo contre les insectes.Tél. : 01 34 02 46 60www.la-cgi.com

CGI, pionnière sur le marché des insecticides

Créée en 1952 par Jean Collet, la société Janvic s’implante en 1954 à Mont-magny, en lieu et place d’un ancien tonnelier. La superficie de cette PME -toujours indépendante - est de 9000 m² dont 4500 m² de surfaces cou-vertes. Le site regroupe deux entités : TF Chimie (35 personnes) en chargede la conception/fabrication de produits à base de résine époxydique ou derésine polyuréthane, et Janvic (10 personnes) qui assure leur distribution etdemeure le nom commercial de la marque. Au démarrage, l’entreprise fa-brique des polyuréthanes pour sols bi-composants et compte parmi sespremiers chantiers les hangars d’avions Air France à Orly. Aujourd’hui, lesecteur du bâtiment représente son principal marché. La gamme ne cessede s’élargir et les différentes familles de résines utilisées sont les méthacry-lates, les vinyl-esters, les acryliques, avec une évolution permanente dansle domaine des polyuréthanes ISO et des époxys EPO. Les domaines d’ap-plication sont très larges : ateliers, usines, réfectoires, laiteries, locauxpublics (salles d’opération, couloirs…), copropriétés, entrepôts, parcs de sta-tionnement, surfaces de vente… Depuis quelques années, la mobilisationpour la protection de l’environnement a amené le laboratoire de recherches

de Janvic à développer des produits ayant un taux de COV proche de 0,avec des polyuréthanes acryliques en phase aqueuse sans odeur et unelarge gamme d’époxy sans solvant ou en phase aqueuse.

Tél. : 01 39 83 67 22 - www.janvic.fr

Janvic, spécialiste de résines pour le bâtiment


Septembre-Octobre 2010 – n°108 – Contact Entreprises 11



InfosACE

Vie du club …

Plus d’une centaine de participants au Barbecue de Flowtech

Michel et Guillaume Delsaux ont reçu dans leurs locaux une centained’invités à l’occasion du barbecue annuel de Flowtech Metal, à Ma-rines, le 23 juillet dernier. Flowtech Metal est spécialisée dans lafabrication d'ouvrages chaudronnés et de tuyauterie, notamment pourle transport et l'assainissement de l'eau. Les convives ont pu visiterl’activité, les locaux et découvrir une nouvelle machine de roulage degrande capacité, acquise en avril dernier. “Celle-ci permet de formerdes tôles épaisses jusqu’à 30 mm d’épaisseur, un outil dont peu d’en-treprises de chaudronnerie disposent, précise Guillaume Delsaux. Cettemachine de marque Picot, très réputée dans le domaine du roulage, estfabriquée en France. A travers ce choix, nous voulions aussi soutenirl’industrie française.” Ce déjeuner convivial et “bon enfant”, qui serasans nul doute reconduit l’an prochain, a rassemblé les adhérents duclub, des membres du Lyons, des entreprises de la zone industrielle etles salariés de la société. Rendez-vous en 2011 et un grand merci auxorganisateurs pour cette rencontre sympathique.

Le Trophée de golf des Entreprises organisé parle Club ACE se déroulera le 1er octobre au golfHôtel de Mont Griffon. Cet événement (départen shotgun, formule stableford) est organiséavec l’appui de l’AIBT (association interentre-prises des bassins territoriaux du centre Vald’Oise) et le soutien de nos nombreux parte-naires sponsors. Pour les non-golfeurs, une initiation de deuxheures encadrée par un professeur sera propo-sée. Le trophée s’achèvera par une remise de prixet une grande soirée, à partir de 20h. Un dînersera servi pour les golfeurs, amis et conjoints quisouhaitent prolonger la journée, nouer descontacts et échanger dans un cadre privilégié.

L’événement est ouvert à tous les réseaux et àtous les sponsors qui souhaiteraient le soutenir(apport de lots, soutien logistique…). Remercions tout particulièrement nos fidèlessponsors, engagés pour certains depuis plusieursannées, qui fournissent lots et participation fi-nancière : Aviatec, Hexatech, Iris Impression,ISS Espaces verts, le Canelé Pressac, groupeLacroix, les Caves du Bon Temps, Lucien Bar-rière, MF Promotion, Hôtel Mercure Cergy,Motralec, Procarist, les Relais d’Alsace, Sigex,Sogedem et Vicomte A. Inscrivez vous auprès de Virginie Paviot au 01 34 25 97 08 ou Thierry Guillemot au 01 34 64 33 35

Le club fête ses 20 ansRetenez cette date :

Vendredi 3 décembre Le club fêtera ses 20 ans au golf de

Cergy. Nous préparons à cette occasion une soirée conviviale à

laquelle sont conviés tous les adhérents ainsi que les anciens

membres du club ACE. De nombreusessurprises sont en préparation pour

fêter dans la convivialité cet anniversaire, auquel nous vous

espérons nombreux.

Pour tout renseignement :Magali Pailloux au 01 34 44 75 77

Compétition de golf : les inscriptions sont lancées

A 30 ans, Philippe Larnicol a rejoint il y a quelques mois la franchise Low Cost CE, qui proposeaux salariés de PME et TPE de moins de cinquante personnes d’accéder à un ensemble de par-tenaires à tarifs collectivités, sur le principe des comités d’entreprises dans les grosses structures.Ce nouvel acteur s’appuie sur un réseau de franchises maillant le territoire national. Cette forcede frappe a permis à cette entreprise très bien structurée de négocier des accords globaux avecles plus gros acteurs du marché (France Billet, club Med, Look Voyages, Maeva…). Philippe Larnicol a suivi des études techniques en génie climatique, puis travaillé chez différentsinstallateurs, en tant que technico-commercial et responsable commercial. Animé par une vé-ritable envie d’entreprendre, il mûrit son projet pendant de longs mois, avant de découvrir etd’être séduit par le concept proposé par Low cost CE. Le jeune dirigeant a en charge le déve-loppement commercial de la franchise sur une partie ouest du Val d’Oise (Cergy-Pontoise et sarégion). Marié et père d’un petit garçon de 2 ans, ce sportif - qui aurait aimé ouvrir un club deremise en forme - est aussi amateur de voitures de course et de collection. Tél.: 06 28 32 88 95 - [email protected] - www.lowcostce.fr

Nouv

eaux

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AdhérentsPhilippe Larnicol, Low Cost CE



Amoureux de la nature et de l'archi-tecture paysagère, Jacky Bichaudest directeur de l'agence ISS Espacesverts à Pierrelaye. L'agence est spé-cialisée dans l'aménagement,l'entretien ou encore la créationd'espaces verts à destination desentreprises et des collectivités. Agéde 58 ans, Jacky Bichaud a faittoute sa carrière dans ce secteur.Pendant trente ans, il a gravi leséchelons : chef d'équipe, conduc-teur de travaux, il occupe ensuite

des postes à responsabilité dans des PME et grandsgroupes tels que la Compagnie Générale des Espaces Verts(CGEV), reprise par ISS. Désormais au sein du groupe lea-der mondial du "facility service", Jacky Bichaud dirige unecentaine d'employés qui interviennent auprès des entre-prises de tous secteurs (hôtellerie, médias, hôpitaux,industries, commerces...) pour sublimer leurs espaces detravail. L'agence centralise également les services d'unemarque d'ISS Espaces Verts, Aqua Plant, spécialisée enpaysagisme d'intérieur, dédiée à la conception de patios,jardins d'intérieur, terrasses, décoration intérieure par l’en-tretien ou la location entretien de plantes d’intérieur ...Une expérience que Jacky Bichaud, golfeur durant sontemps libre, souhaite aujourd'hui échanger et partageravec les autres adhérents du club. Tél.:01.34.32.50.00 [email protected]

Christian Garnier, 49 ans, diplômé deCentrale Lyon, a derrière lui un bril-lant parcours professionnel :responsable d’études puis responsa-ble commercial des produits fax ettéléphone à la Sagem, il rejoint en-suite Johnson Controls en tant quechargé d’affaires du compte Renaultpour les produits d’après-vente. Aprèsune dernière expérience réussie entant que business développement, ilquitte SPX l’an dernier, avec la volontéde mettre à profit l’expérience acquise

au sein de ces grands groupes. Depuis le début de l’année,Christian Garnier a endossé la casquette de coach en rejoi-gnant le réseau Action coach, franchise leader dans sondomaine. L’objectif est d’aider les dirigeants (TPE et PME) àprendre le recul nécessaire et à développer leurs affairespar la mise en place d’un plan d’action et d’objectifs clairs :management et motivation des équipes, gestion des fi-nances, développement commercial, organisation du tempset des priorités pour se recentrer sur la gestion réelle del’entreprise. En s’appuyant sur Action coach, Christian Gar-nier bénéficie d’un suivi personnel, de formations support,de méthodologies, tout en étant capable de s’adapter à desenvironnements divers et d’apporter des solutions au caspar cas. Christian Garnier est aussi père de deux grands en-fants, amateur de sport (gym, vélo, tennis) et de lecture. Tél.: 01 34 32 06 [email protected]/christiangarnier

Pierre Milandou, 51 ans, est directeur de l'association ALICE(Agence de Liaison pour l'Insertion, la Création etl'Echange), créée en avril 1991 et basée à Cergy. L'inser-tion professionnelle et la création d'entreprise sont lesdomaines de prédilection de ce père de famille de trois en-fants. Après des études de sciences économiques àl’université de Paris 2 Panthéon-Sorbonne, Pierre Milandoua travaillé plusieurs années en tant que consultant encréation d'entreprise et responsable de projet. Depuis2003, il dirige la quinzaine de salariés de l'associationALICE, spécialisée dans le conseil et l'accompagnement deprojet de création d'entreprise, l'orientation profession-nelle, la recherche d'emploi, la VAE, ainsi que les bilans decompétences. ALICE a aujourd’hui un rayonnement dé-

partemental. L’association développe actuellement un réseau deparrains bénévoles et souhaite engager des collaborations avec des en-treprises pratiquant le mécénat de compétences. Passionné de football,jogging et de randonnée pédestre, ce sportif désire être un membre ac-tif du club, développer ses contacts en se rapprochant des réseauxprofessionnels. Tél.: 01 34 35 34 50 - [email protected]

Pierre Milandou, Association ALICE

Jacky Bichaud, ISS Espaces verts

Christian Garnier, Action coach

Pierre Originaire de Pologne, Barbara Guedes-Zurawska viten France depuis plus de 20 ans et a fait toute sa carrièredans le domaine de l'import-export (automobile, aéronau-tique, salons internationaux) en tant que gestionnaire etresponsable commerciale export notamment. De son paysnatal, elle a gardé l'accent, et une parfaite connaissancedes marchés polonais et russes (elle a suivi des études su-périeures en littérature comparée franco-russe à Paris etparle couramment aussi cette langue). Installée à Versailles,Barbara Guedes-Zurawska a créé ADDEUROP en février2009. Elle intervient aujourd'hui auprès des PME-PMI pourles conseiller, les accompagner dans leur développementinternational et organise des missions commerciales enEurope de l'est (Pologne, Russie, Kazakhstan essentielle-

ment, qui intéressent de près les investisseurs). BarbaraGuedes-Zurawska travaille actuellement en complémentarité avec Bé-nedicte Fontugne avec laquelle elle partage sa connaissance desmarchés à fort potentiel, au niveau commercial-export et technique.Dans les mois qui viennent, elle prévoit la création d’une filiale en Po-logne pour mieux accompagner sur place des PME françaises installéeslà bas. Barbara Guedes-Zurawska est amatrice de tourisme, cinéma,psychologie, de golf, de sports aquatiques et de randonnées.Tél.: 06 63 09 37 77 - [email protected]

Barbara Guedes-Zurawska, Addeurope

Il y a un an et demi, Bénédicte Fontugne, 40 ans, a crééEdera Export Dévelopment, une agence de conseil en dé-veloppement commercial à destination des PMI. Sonparcours et son expérience professionnels l'ont naturelle-ment conduite à créer son entreprise. Après, avoir suivides études d'ingénieur en électricité et mécanique, sonMBA en poche, Bénédicte Fontugne travaille 15 annéesau sein d'une entreprise internationale en tant qu'ingé-nieur sur des projets internationaux, tant en Europe qu’enChine, en Argentine, ou encore au Mexique. Aujourd'hui,elle accompagne une clientèle d'industriels dans les sec-teurs mécanique, électronique, aéronautique ou encoreautomobile et dynamise le développement de leur actioncommerciale à l'étranger et plus précisément en Europe.

La dirigeante continue son ascension en mettant ses compétences pro-fessionnelles en partenariat avec Barbara Guédès-Zurawska deADDEUROP pour monter des événements de bourse de coopérationindustrielle, de rencontres d'affaires entre PMI françaises et d'Europede l'Est. Mère de deux enfants, Bénédicte Fontugne pratique égalementla natation et s'intéresse à la littérature anglaise.Tél.: 06 86 86 24 90 - [email protected]

Bénédicte Fontugne, Edera Export DévelopmentNouveaux A

dhérentscontact108:CONTACT ENTREPRISES 22/09/10 10:47 Page 13

14 Septembre-Octobre 2010 – n°108 – Contact Entreprises

Cœur névralgique et centre de décision d’Axson, l’usine de St-Ouen l’Au-mône (110 personnes) est le premier site de production du groupe, avecune capacité de 1000 t par mois et la recherche permanente d’un très hautniveau de qualité. Le site concentre aussi les compétences en matière derecherche et de développement, avec une vingtaine de chimistes dédiés àla mise au point des produits industriels de demain. L’innovation, qui plusque jamais demeure un moteur d’expansion, permet à la société d’être pré-sente sur un très large éventail de marchés, de l’aérospatial, à l’automobile,en passant par le bâtiment, les énergies renouvelables, le transport, la fon-derie, l’électronique ou encore l’art et la décoration.

Des applications dans tous les domainesLes résines polyuréthanes sont essentiellement utilisées pour la productionde modèles et de prototypes (prototypes de portes, de sièges ou de piècesdans l’automobile, modèles de bateau en pâte d’extrusion, outillages d’em-boutissage, moules de pâles d’éoliennes…), alors que les résines époxy lesont sur le marché des composites hautes performances. Axson intervientégalement dans deux autres domaines d’expertise, les adhésifs et résinesdestinés à l’encapsulation et protection des dispositifs électroniques. “Cesdeux dernières activités croissent fortement, précise Lionel Puget, présidentd’Axson. Nous avons dernièrement réalisé un de nos plus gros chantiers,d’abord pour Gaz de France–Provalis avec le collage de cuves de trois mé-thaniers, cargos conçus pour le transport du gaz naturel liquéfié puis enéquipant une douzaine de méthaniers coréens pour le compte de Quatar gasTransport Company. Le secteur de l’environnement et des énergies renouve-lables est aussi un marché d’avenir, avec la mise au point de matériauxcomposites toujours plus légers pour les éoliennes par exemple. Dans le do-maine du traitement de l’eau, nous développons par exemple des films encomposite permettant la réfection de canalisations sans tranchée.”

WorldwideEn 1988, Lionel Puget rejoint la société. Lorsqu’il en reprend la direction en1994 suite au rachat, le PDG, actionnaire majoritaire avec 37% des parts,met en place une stratégie globale afin de développer Axson hors du vieuxcontinent. Le groupe se structure comme une grande entreprise. Diplôméen gestion et finances après des études menées aux Etats-Unis, Lionel Pu-get est convaincu que l’avenir du groupe s’écrira avec la mondialisation.Des filiales et sites de production sont créés sur tous les continents au

cours des 15 dernières années : Europe centrale, Japon, Chine, Amériquedu nord, Mexique, Inde, Emirats Arabes. Ces pays émergents dopent et ti-rent la croissance de la société (+ 70% en Chine en 2009), qui ne réaliseplus en France qu’un quart de ses ventes. Grâce à cette présence mondiale,Axson (n°1 en Europe et n°2 mondial) est aujourd’hui en mesure d’accom-pagner ses clients aux quatre coins du globe et entend rapidement devenirle leader sur ses principaux marchés (résines et composites).

Tripler le chiffre d’affairesEnregistrant actuellement 60 millions d’euros de chiffre d’affaires, le pa-tron nourrit d’autres ambitions pour son groupe. Pour atteindre la taillecritique de 200 millions d’euros de CA, Lionel Puget envisage de s’adosserà un groupe aux activités complémentaires, dans le cadre d’une alliance oud’un rachat. “Alors que tout va très vite en Asie, en Inde, au Brésil, il nous fautsaisir ces opportunités. Un tel rapprochement nous donnerait la possibilitéd’investir dans nos filiales en développement où la demande est très forteet de désendetter l’entreprise afin qu’elle croisse plus vite. Je souhaiterais sipossible conserver le centre de décision en France. Bien sûr, il faut du tempspour formaliser ce type de rapprochement.” Après une année 2009 difficile,des mesures de chômage partiel mises en place en France, et des baissesd’effectifs dans certaines filiales, le groupe renoue avec la croissance(+15% par rapport à 2009), tiré par les bons résultats réalisés en Asie, tan-dis que la reprise en Europe et aux Etats-Unis continue de se faire attendre.

Une conjoncture qui suscite encore la prudence mais ne freinepas pour autant Axson dans son expansion, avec toujours untemps d’avance en matière d’innovation et un positionnement surles marchés d’avenir tels que l’environnement. Dès 2011, une ac-tivité production devrait également démarrer en Inde et laréouverture d’un site au Brésil est, elle aussi, envisagée dès l’an-née prochaine.

La société Axson Technologies s'est hissée parmi les leadersmondiaux dans le domaine des élastomères et des résines appliquées à la conception, à l’outillage et au prototypage,avec des produits destinés à la réalisation de modèles et demoules. La société a été fondée en 1994 suite au rachat de ladivision Euroresins au groupe américain Hexcel par LionelPuget, PDG d’Axson, de cadres et bailleurs de fonds. Elleconnaît aujourd’hui un développement international, avec unedouzaine de filiales et 6 usines implantées à travers le monde. Retour sur le déploiement mondial de cette PME.

Chiffre d’affaires : 60 millions d’euros dont 75% à l’exportEffectif St-Ouen l’Aumône : 110 personnesEffectif total : 320 personnes - 12 filiales et 6 usines à travers le mondeAdresse : rue de l’Equerre BP 40 444 – 95 005 Cergy cedexTél. : 01 34 40 34 60 - [email protected] - www.axson.fr

Axson Technologies,une PME taillée

comme un grand groupe

Entreprise du mois

Axson est intervenu pour le collage de cuves de méthaniers



Votre société dispose de 10 000formules chimiques en portefeuille, pouvez-vous nousprésenter votre activité ?La société CREE est spécialisée dans la création,la mise au point et la fabrication de formulationsspécifiques à base de résines synthétiques, de pro-duits chimiques, de solvants. Nous disposons d’unlaboratoire de recherche, ce qui nous permetd’étudier, de créer et de proposer des produits in-novants. Nous réalisons des formules à lademande pour l’automobile (shampoings carros-serie, nettoyants jantes, polish…), le bâtiment etpatrimoine (anti-graffiti, anti-mousse, décapants“VERTS”, protection du bois…), le grand public etles collectivités (savons, produits moquettes, pro-duits d’entretien, traitement des textiles…).Nous pouvons intervenir dans les finitions in-dustrielles (détergents, traitement desmétaux…), dans la maintenance (colles époxy,nettoyants machine, traitement des eaux uséeset recyclage…).Nous avons lancé une gamme de produits écolo-giques pour être présents dans l’industriealimentaire, le nettoyage, le décapage, la cosmé-tique et les piscines.

Comment êtes-vous devenu président de cette société ?De formation ingénieur-chimiste, j’ai eu unpremier emploi en 1976 de chercheur dansune entreprise de chimie à Saint Ouen l’Au-mône. Au bout de quelques années, j’aiproposé à mon patron de racheter l’entreprisecar j’étais à l’origine de nombreuses innova-tions ; notamment une seringue pourappliquer résines et colles, mais cela ne s’est

pas fait et c’est un grand groupe qui l’a reprise. En 1980, j’ai voulu voler de mes propres ailes, avecles premiers brevets que je devais déposer. Je mesuis associé et j’ai vécu une période difficile avecl’incendie de l’entreprise, dans lequel j’ai été bruléà 60 %, et un associé qui n’a pas fait face. En 1985, j’ai créé CREE en famille, et proposédes produits uniques, originaux qui intéressenttoute société revendant des produits sous sapropre marque.

Quelle est la recette du développement d’une entreprisecomme la vôtre ?Je me suis appuyé sur trois vecteurs : la rechercheet l’innovation, l’export et les réseaux. Il faut direque j’appartiens aussi au réseau des DirigeantsCommerciaux de France (DCF) depuis une quin-zaine d’années, ce qui a permis à l’ingénieur queje suis de mettre en place des techniques com-merciales efficaces. Notre laboratoire derecherche est à la pointe de la technologie, le per-sonnel formé par la maison est particulièrementperformant. Notre directeur technique arrivécomme technicien supérieur, a franchi tous les ni-veaux avant de diriger la production. Sur20 salariés, nous comptons 4 chimistes, 2 ingé-nieurs et un chercheur issu du CNRS.Les salariés de CREE sont aussi responsables desrésultats. Si l’année 2009 n’a pas été très valori-sante, 2010 démarre un peu mieux, et noustravaillons sur des “niches” à forte valeur ajoutée.Notre prochain objectif est la conquête de lagrande distribution.Toujours en quête d’innovation, nous participonségalement au projet “Delta 3”, dont le porteur estRhodia, qui vise à développer de nouvelles formu-

lations de solvants plus respectueux de la santéet de l’environnement via l’association de molé-cules provenant de végétaux ou de la valorisationde sous-produits.

On vous sent plutôt paternalistedans vos relations avec le person-nel, est-ce un style demanagement adapté ?Il y a très peu de turn-over dans la société, la plu-part des salariés ont débuté chez nous. J’utilisebeaucoup l’alternance et fait progresser les salariésqui le souhaitent et le méritent. J’en attends de lamotivation, de la volonté, de la force de travail etl’esprit d’équipe. De plus, CREE compte toujoursplusieurs jeunes apprentis dans ses effectifs.

Beaucoup de générosité chez ce chef d’en-treprise, membre titulaire de la Chambrede Commerce Val d’Oise-Yvelines, investidans la défense de ses homologues auConseil d’administration de la CGPME,président des DCF Ile de France ; Dutemps consacré aux autres, de l’expé-rience partagée pour cet homme discret,aimable au regard franc et honnête.

CREE : Chimie Recherche Environnement EvolutionEffectif : 20 salariésChiffre d’Affaires : 2,5 M€Adresse : ZAC des Châtaigniers 27, rue des Entrepreneurs – 95150 TavernyTél. : 01 30 40 58 58 [email protected]

Homme du mois

Martial Letay, président de CREE CHIMIERECHERCHE ENVIRONNEMENT EVOLUTION

Très impliqué dans les réseaux d’entrepreneurs, Martial Letay, 60 ans, ingénieur-chercheur avant tout, a mené durant toute sa vie

professionnelle une carrière de patron dans l’industrie chimique.Homme de dialogue et de contact, il n’hésite pas à donner de sontemps et de son expérience pour aider la communauté économique de notre département.Gros plan sur un manager à l’écoute des autres.

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Une idée naît parfois autour d’un dîner amical.C’est ainsi que Frédéric Daniel est devenu “Jus-

tin Verre”. Anciendirigeant d’une fon-derie de bronze d’art,il se lance depuisquelques mois dansla mise en place

d’une nouvelleactivité : la com-mercialisation devins de cépageproposés dans depetites bouteillescapsulées et éti-quetées, de 18,7cl (l’équivalentd’un quart debouteille). Sagamme (18,7cl et75cl), composée

de 14 vins diffé-rents, se destine en premier lieu auxrestaurateurs, mais aussi aux particuliers (ventesur le site de la société www.justin-verre.fr).“Ces petites bouteilles garantissent au consom-mateur un vin neuf, dont il connaîtra laprovenance et les origines”, explique FrédéricDaniel. Le restaurateur n’a plus, de son côté, à

gérer les stocks de bouteilles déjà ouvertes etpeut offrir davantage de choix à ses clients. Lagamme comprend des vins français (rouge, roséet blanc) mais aussi du monde (Chili et Afriquedu sud), ainsi que deux vins bio. La société Jus-tin Verre mise sur ce format de petitesbouteilles, dans l’air du temps : boire sans ex-cès, consommer avec modération, sans dépasserles quantités d’alcool autorisées. “L’idée a pu voirle jour grâce à son ami œnologue, négociant envins du monde entier et embouteilleur, principa-lement de petits conditionnements (ndlr sociétéPaul Sapin à Mâcon). L’entreprise fournit lescompagnies aériennes, le ferroviaire et possèdeun outil de production certifié bien rodé.” S’ap-puyant sur ce savoir-faire, Frédéric Daniel selance à son tour et vise pour sa part une autreclientèle, les restaurateurs et les particuliers,ainsi que les professionnels pour des cadeauxd’entreprise. Un marché complémentaire qu’ilespère séduire rapidement. Parmi ses clients, laCriée à Eragny, la Fontaine de Trévi à Pontoise,Le Rohan à Vigny, du Bon Côté de la crêpe àCourdimanche, les restaurants des golfs deCergy et Gadancourt, proposent déjà le conceptauprès de leur clientèle.

Tél. : 06 99 49 54 54www.justin-verre.fr

Justin Verreveut démocratiser les petits contenants

La société Spécialités Gourmandes, fabricant decanelés bordelais frais et surgelés, de financierset financiers au chocolat “chocamande”, ins-tallée à Montmagny depuis 2000, vient dechanger de mains. Le fondateur historique decette maison, Frédéric Pressac a laissé les clefsà deux nouveaux associés, qui ont repris l’af-faire en avril dernier. Sylvain Brjost, expertcomptable, dirigeant du cabinet CBS, et JulienVasquez, restaurateur à Epinay-sur-Seine, s’ap-puient sur une nouvelle gérante, Agnès Brjost.L’équipe compte également unpâtissier, Kevin, ainsi queJacques, livreur. Sylvain Brjostet Julien Vasquez entendent ca-pitaliser sur l’image de qualitédes Canelés Pressac en conti-nuant de fournir la clientèlehistorique de l’entreprise, à sa-voir les hôtels, les grandestables, les traiteurs et les bou-langeries, les grandes épiceries,mais aussi les comités d’entre-prise, essentiellement à Paris eten région Ile-de-France. Les di-rigeants ne ferment pas la porte

à la grande distribution, mais favorisent uneapproche “au coup par coup”, avec une pré-sence lors d’opérations ponctuelles. “Noussouhaitons rester une petite équipe de 5 à 6personnes, et conserver la production haut degamme aujourd’hui associée à la marque.” Unevolonté de faire de la qualité avant tout pourcette nouvelle équipe à qui nous souhaitonsréussite et succès. Une pensée pour FrédéricPressac dans ses nouvelles entreprises. Tél. : 01 34 05 80 05

Canelés Pressac :nouveau départ

Resto Kdoremet le couvert Les restaurateurs des Yvelines et du Vald’Oise se mobilisent à nouveau les 16, 17 et18 novembre 2010 lors de l’opérationResto Kdo. L’occasion de se faire plaisir àmoindre coût. Pendant 3 jours, ils offrirontà leur clientèle un repas gratuit (hors bois-sons) pour chaque repas acheté, sur unemême table (de 8 couverts maximum), aucours du même repas. Tout client entrantdans l’un des restaurants participant à cesdates se verra automatiquement attribuerla promotion.En 2009, 51 restaurateurs ont participé àResto Kdo, plus de 10 000 couverts ont étéservis en 3 jours. L’établissement choisit letype de prestations qu’il offre à sa clien-tèle, soit en conservant la carte habituelle,soit en élaborant un menu spécifique res-pectant la qualité et les produits utiliséshabituellement. La société Métro aide aussiles restaurateurs participants en leur of-frant un bon d'achat de 120 €, pour toutachat de 600 € sur la période.

Information, inscription et liste des restaurants participants sur :www.restokdo.com, ou auprès de Catherine Stéphant : 01 30 84 79 56Philippe Taillard : 01 30 75 35 46 De gauche à droite : Julien Vasquez, Agnès

Brjost et Sylvain Brjost




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La concession Nissan de St-Ouen l’Aumône(une des trois concessions Nissan du groupeNeubauer dans le Val d’Oise avec St-Brice etSt-Gratien) vient de s’installer à la Cité del’Auto. Jusqu’ici un peu “esseulée” en centreville, la marque a rejoint la plus grande zoned’activité dédiée à l’automobile dans le Vald’Oise. Un nouvel emplacement tout neuf,plus visible, adapté et valorisant, dont dépen-dront une quinzaine de personnes. Après destravaux amorcés début janvier, le déménage-ment a eu lieu en septembre. Le showroom de300 m2 permet désormais d’exposer toute lagamme Nissan, avec en vedette le Qashqai,modèle qui représente actuellement près de40 % de ses ventes. La concession dispose

également d’un pôle occasions, avecplus d’une centaine de véhicules pro-posés à la vente, d’un atelier deréparation (SAV, pièces de rechange)et d’un atelier carrosserie. Alors que lemontant de la prime à la casse a étéramené à 500 euros au 1er juillet der-nier, la marque capitalise sur lelancement de la nouvelle Micra (en find’année) et du Juke, son tout derniercrossover, attendu à partir d’octobre,pour doper les ventes. Les profession-nels pourront également découvrirune gamme élargie d’utilitaires.

Tel : 01 30 37 84 84

En janvier dernier, nous présentions le projet d’Isabelle Giguet, amatrice de 4X4 et de raids.Loin de son environnement de travail quotidien, l’agence BNP Fortis de Pontoise où elle estconseillère clientèle privée, cette valdoisienne de 40 ans prendra le 7 octobre prochain ledépart du Trophée Rose des Sables au Maroc. Grâce au soutien d’un groupement de spon-sors qui contribuent au financement de son équipement, Isabelle Giguet et sa coéquipière,Cécile Huguel, ont presque bouclé leur budget. C’est à bord d’un 4X4 Toyota qu’elle défen-dront leurs couleurs. Après être arrivée 2e de ce même trophée en 1998, l’objectif est cettefois-ci d’arriver “au moins” dans les 10 premières. “La tâche ne sera pas simple, explique-t-elle. Chaque année, le nombre de participantes augmente, la compétition devient de plusen plus ardue. Il faudra compter avec une centaine de participantes.”

Pour les amateurs de raids, M6 diffusera du 7 au 18 octobre un résumé quotidiende la course à 19h45. Le site http://fr.trophee-roses-des-sables.com/ permettraégalement à l’équipe de donner quotidiennement des nouvelles de la course surune page qui lui sera dédiée. Nous lui souhaitons bonne chance !

Une Valdoisienne au départ du Trophée Rose des Sables

Le Groupe A+ (impression et reproduction dedocuments noir et couleur) s’agrandit et dou-ble sa surface d’exploitation dans la zoned’activité d’Ennery à partir du mois de septem-bre. “Nous avons pris un local juxtaposant lenôtre, précise Jean-Charles Ribard, dirigeantde la société, ce qui nous permet désormais dedisposer de 600 m2 et de réorganiser notre es-pace de travail. Nous allons optimiser l’atelierde façonnage ainsi que l’espace pour la reliureet les finitions.” Cet agrandissement accom-pagne la croissance de la PME (1,7 milliond’euros de chiffre d’affaires), qui en 2008 et2009, a déjà fait l’acquisition d’équipementsde haute performance et renouvelé une partiede son parc machines, notamment pour desmatériels d’impression et de façonnage. La

PME de 8 personnes, rachetée en 2008 par lasociété ISE (spécialisée dans l’archivage élec-tronique), dispose aujourd’hui d’une douzainede machines extrêmement performantes(jusqu’à 7 mètres de long). “La souplesse dunumérique nous permet d’imprimer des docu-ments, de quelques unités à plusieurs milliersd’exemplaires, avec une capacité de traitementde 5 millions de copies noir et blanc chaquemois et de 1,5 million de copies couleur.” Déjàlabellisé ‘Imprim’vert’, le Groupe A+ a par ail-leurs entrepris une nouvelle démarcheenvironnementale et vient d’être récompensépar l’attribution du nouveau label ‘Envol’.

Pour tout contact : Denis Breinlen au 01 30 30 84 84

Le groupe A + s’agrandit et gagne en productivité

Midest :40 ans derencontresindustriellesLe monde de la sous-traitance se donnerendez-vous au Midest 2010, le numéro1 mondial des salons de sous-traitanceindustr ie l le , du 2 au 5 novembreà Par is Nord V i l lep inte . Près de1750 sous-traitants, spécialisés dans latransformation des métaux, des plas-tiques, caoutchouc et composites,l’électronique et l’électricité, les micro-techniques, les traitements de surfaceset finitions, les fixations industrielles etles services à l’industrie y participeront.www.midest.com

Nissan arrive à la Cité de l’Autoto

Nouvelle Nissan Micra


Les réseaux consulaires s’apprêtent à vivre de profonds change-ments. La loi de juillet 2010 relative aux réseaux consulaires, aucommerce, à l’artisanat et aux services est maintenant belle et bieneffective. Jean-François Bernardin, président de l’ACFCI et de la CCIVet artisan du projet de loi, indiquait au Figaro en avril dernier quecette réforme cherchait à mieuxrépondre aux besoins des entre-prises. “Elle vise à conjuguerémergence de l'échelon régional etmaintien de la proximité territo-riale, précisait il y a quelques moisJean-François Bernardin. D'où lamise en place de chambres de ré-gion et de chambres territoriales.Cette réforme est suffisammentsouple pour permettre à chaquerégion, en fonction de ses spécifi-cités, de décider de ce qu'elle veutconserver au niveau local et de cequ’elle veut mutualiser au niveaurégional (moyens généraux, infor-matique, paie, services juridiquesau niveau régional, coordinationdes politiques lourdes de forma-tion ou d'appui à l'international…),tout en restant solidement implan-tée dans les départements.”Le texte renforce ainsi le rôle del’ACFCI en tant que tête nationaledu réseau et surtout des chambresrégionales, pour une meilleuresynergie des moyens des chambreslocales ou “territoriales”, qui, fin2010, seront au nombre de 125.Les présidents et le directeur gé-néral de la CCI territorialeconserveront la responsabilité hié-rarchique. Pour le personnel des chambres territoriales, rattachéjuridiquement aux chambres de région à partir de 2013, cette moder-nisation devrait s’étaler sur plusieurs années. S’agissant des CCI, la campagne débutera le lundi 8 novembre 2010.L'ouverture du scrutin aura lieu du jeudi 25 novembre 2010 au mardi7 décembre 2010. Les résultats seront connus au plus tard le 16 dé-

cembre 2010. Les 27 membres (issus du commerce, des services etde l’industrie) seront élus pour 5 ans. A noter que les électeurs peu-vent aussi voter par voie électronique.Les élections de la CMA se tiendront quant à elles le 13 octobre 2010,avec l’élection d’un nouveau président.

Ce que dit la réformeChambre de commerce et d’industrie :Dans le cadre de la réforme des CCI, le pouvoirdes Chambres de Commerce et d’Industrie dela région sera renforcé. Les CCIR se voientconfier les attributions auparavant dévoluesaux seules CCI : représentation des intérêts del’industrie, du commerce et des services, ac-compagnement des créateurs et repreneursd’entreprises, développement international etexportation, formation professionnelle initialeou continue grâce, notamment, aux établisse-ments d’enseignement gérés ou financés parla Chambre… Les CCIR ont en outre pour mis-sion d’encadrer les activités des CCIterritoriales (CCIT), de définir une stratégiepour l’activité du réseau dans leur circonscrip-tion. Elles disposent du pouvoir financier,répartissent le budget entre les CCIT. Une so-lidarité financière régionale est égalementinstaurée.Tél. : 0 800 00 78 95 (numéro gratuit)

Chambre de métiersLes CMA ont la possibilité de créer des cham-bres de métiers et d’artisanat de région(CMAR), si plus de la moitié des CMA d’unerégion le décident. Dans les autres régions, le

schéma actuellement en vigueur perdure : CMA de département rat-tachée à la CRMA (Chambre régionale de métiers et d'artisanat). Dansles deux cas, les missions au niveau régional évoluent : définition dela stratégie pour l’activité du réseau dans la région, abondement dubudget des CMA départementales…Tél. : 01 34 35 80 00

Réforme des réseaux consulaires : la réorganisation en marche

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Jean-François Bernardin, président de l’ACFCI et de la CCIV

Nouvelle Nissan Micra



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AA2C surfe sur la vaguedes “Smart Phones” Le mobile classique est déjà obsolète, la généra-tion Smart Phone prend aujourd’hui la relève.Créée en 2008 et spécialisée dans la communi-

cation sur Internet (référencement de sites,campagne addwords sur Google…), la sociétéAA2C, forte de ce constat, a développé un outilpermettant d’afficher correctement les sites In-ternet sur les téléphones mobiles “Iphone” (ouautres téléphones dits “intelligents”). “Un site vi-sible sur PC est au moins 6 fois plus petit sur lestéléphones mobiles, précise Lionel Mantovani,un des trois associés de AA2C. En réduisant à

l’aide du zoom pour afficher la page entière, toutdevient pratiquement illisible. De plus, aucun dessmartphones actuels ne gère les animations enflash.” Si les gros sites ont déjà développé desversions dédiées aux smartphones, la majoritédes entreprises n’ont pas encore ajouté “la mo-bilité” à leur site Internet. Pour palier cemanque, AA2C conçoit des pages d’accueil(smarts pages) destinées exclusivement auxmobiles. Ces pages, à la présentation simplifiée,sont optimisées pour l'écran de l'Iphone, facili-tant nettement la consultation du site. Ellespeuvent par ailleurs bénéficier de la technique“auto-switch”, développée par la société, quipermet de détecter le type d’appareil utilisé parl’internaute. “Si l’on se connecte avec un PC, lesite classique sera affiché normalement ; si laconnexion est établie depuis un Iphone, l’appa-reil sera reconnu automatiquement pourprésenter la page au bon format. Ces solutionssont particulièrement adaptées aux petites en-treprises mais aussi aux professionnels dutourisme par exemple qui ne doivent pas négli-ger ce nouveau mode de communication,sachant que l’internet mobile représente à cejour près de 25 % des connexions.”

Tél. : 09 6035 4019 www.aa2c.com

Procarist : 3e concours de caristes au profit du MaillonProcarist, centre de formation prévention et sé-curité basé à Saint-Ouen l’Aumône, organise le5 novembre, de 8h30 à 12h30, et pour la 3e an-née consécutive, son concours de caristes.Btissam et Jalil Tati, gérants de Procarist, ontsouhaité donner un nouveau sens et une di-mension sociale à la manifestation en reversantl'intégralité des bénéfices du concours à l'asso-ciation le Maillon. Celle-ci aide chaque annéeplus de 1300 familles en situation de précarité. A l’occasion du concours, le centre accueilleraune quarantaine de candidats issus d'entre-prises valdoisiennes. Le concours porte sur desépreuves d'adresse et de précision en manipu-lation de chariots Caces® 3 et Caces®5. Lescandidats sont évalués par un jury de responsa-bles logistique, responsables sécurité, gérantsd'entreprises. A la clef cette année, un week-endpour deux personnes parmi les destinations auxchoix pour les gagnants de chaque catégorie.Les fonds récoltés permettront de concrétiserun projet d'aide à l'insertion professionnelle. Ce-lui-ci s’appuie sur l’exploitation d’un “jardind'insertion” de 3200 m2 (Cergy), qui permet decréer un emploi à plein temps et deux emplois

à mi-temps, de financer la formation profes-sionnelle de deux demandeurs d'emploi et denourrir de légumes frais et non traités des fa-milles dans le besoin. Le Maillon a aujourd’huibesoin de matériel et d'équipement pour l’amé-nagement du jardin. Cette ambition ne peutaboutir sans la participation financière de par-tenaires souhaitant s’impliquer localement.

37, avenue des BéthunesSaint-Ouen l'AumôneTél. : 01 30 37 02 52

Long métragerecherchesponsorsJean-Baptiste Lawson s’est lancé il y aquelques mois dans un projet cinéma-tographique qui lui tenait à cœurdepuis très longtemps. Commercialdans une société de nettoyage, ce Ta-bernacien est le réalisateur d’un filmintitulé “les Mythomanes”, pas encoresorti dans les salles obscures et pourcause. Jean-Baptiste Lawson re-cherche des financements pour lemontage et la production de son longmétrage. L’histoire met en scèneFranck et Joe, deux amis d'enfance (is-sus de la même cité de Taverny) quiont eu un parcours diamétralementopposé. Franck est devenu directeurd'une agence bancaire. Joe, quant à lui,sort de prison et compte bien se rache-ter une conduite. Grâce aux liensd'amitié, voire de fraternité, qui lesunissent, Franck parvient à sortir sonami du guêpier dans lequel il “s'étaitfourré” après un braquage et lui trouvemême un travail en tant que vigile.Derrière cette comédie, le jeune réali-sateur entend aussi faire passerplusieurs messages : issus de la ban-lieue ou pas, nous avons tous lapossibilité de faire des choses, les choixindividuels des deux protagonistes ensont le témoignage. Le projet est déjàsoutenu par plusieurs acteurs écono-miques locaux : Emilie et Pommeret(Beauchamp), la société SDI, les trans-ports Labbé, mais les fonds récoltés nesont pas encore suffisants pour per-mettre au grand public de découvrircette comédie nouvelle générationdans les salles obscures. Avis donc, à tous les entrepreneurscinéphiles…

L’équipe organise une manifestation devant la mairie deTaverny le lundi 4 octobre à 14h.

Venez les découvrir.

Tél : 06 65 63 52 39www.lesmythomanes.com



Infos entreprises

Speed-meeting : les jeunes auront “7 minutes pour convaincre”

La CGPME 95 :équipe renforcée

La CGPME 95 vient de recruter unechargée de mission, Jöelle Weg, 49ans, qui épaule désormais Alexis Dau-bail, secrétaire général de la structure.Jöelle Weg a occupé plusieurs postesd’assistante (Fauchon, Bon Marché…),monté une société d’informatique,puis participé à la création d’uneagence immobilière. Sa connaissancedes réseaux d’entreprises, du mondede la TPE et de la PME va lui permettrede s’atteler au développement de laCGPME95, qui souhaite étoffer lenombre de ses adhérents sur le dépar-tement. La confédération, qui compteactuellement 180 membres dans le Val

d’Oise, souhaite doubler cet effectif d’ici un an. “Jusqu’ici, le réseau s’estconstitué au gré des rencontres, nous n’avions jamais « démarché » direc-tement les entreprises”, précise Alexis Daubail. Présidée par Jean-PierreCormier, la CGPME regroupe essentiellement des entreprises de 1 à 50 sa-lariés, créateurs, petites entreprises qui profitent des réunionsd’information et des formations proposées. “Nous tenons à garder l’espritPME qui nous anime, la convivialité, l’entraide, l'esprit d'action et d'initia-tive.” Le montant des cotisations varie en fonction du nombre de salariéset comprend un service de protection juridique dont peut bénéficier l’en-treprise en cas de litige prud’hommal.CGPME : 01 34 30 05 76

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Le 22 octobre prochain, le CJD, Centre des JeunesDirigeants, organise la 2e édition du speed-mee-ting, rencontre entre les entreprises et les jeunesà la recherche d'un stage sur l'agglomération deCergy-Pontoise. Cette année, l'événement estréalisé en collaboration avec l'Université de Cergyqui accueillera dans le Hall des Chênes de l'Uni-versité de Cergy-Pontoise, les élèves de 3e ainsique les étudiants de DUT etde licence générale ou tech-nologique. En 2009, sur 100collégiens, la rencontre apermis à 70 d'entre eux detrouver leur stage. Près de500 collégiens et 700étudiants issus de l'agglo-mération de Cergy-Pontoisesont attendus. Ils auront 7minutes pour convaincre ettrouver le stage qui leurconvient parmi la centained'entreprises présentes. Ceséchanges permettent aussiaux jeunes de découvrir lemonde professionnel et defaciliter leur insertion dans lavie active.

Une multitude de partenaires a répondu pré-sente aux cotés du CJD et de l’Université deCergy-Pontoise pour faire du speed-meetingun rendez-vous solidaire (CGPME, CEEVO,STIVO, Ville de Pontoise, ACE, CCI, MEDEF95, MEVO, Communauté d’agglomération deCergy-Pontoise, Réseau Entreprendre, So-ciété générale et la Poste).

De 9h30 à 11h30Navettes au départdes collèges Inscription surwww.speedmee-ting95.comUCP, 33, bd du Port àCergy

Un président élupour un anAmaury Simon, 39 ans,est l’actuel président duCJD. Diplômé d’uneécole de commerce, ceNantais d’origine est ar-rivé dans le Val d’Oise en2000. Il est aussi diri-geant de SGIV Avemce,

société de 20 salariés créée en 2004, spécialiséedans les enseignes et les enseignes lumineuses,signalétique et identification. La société, basée àMéry-sur-Oise, est dotée d’un bureau d’études eninterne et d’un atelier de fabrication. Dans sonentreprise, Amaury Simon poursuit une logiqued’investissement continu, d’innovation technolo-gique et de développement durable. La mise enplace de ces actions bénéficie de l’expertise duCJD, qui accompagne dans sa mission tout jeunedirigeant soucieux d’améliorer sa performance etcelle de son entreprise, dans une logique de pro-gression personnelle.

Programme des rencontres CJD 2010/2011Le 25 novembre :

La fragilité des dirigeants, avec Olivier TorresLe 12 février 2011 :

Table ronde sur l’innovation : identifier les le-viers d’innovation pour nos PME’s

Le 17 mars 2011 : ouvrir son capital, contraintes ou opportunités

Le 28 avril 2011 : “démondialisation” : croissance durable ou

croissance soutenable


Resto Du MoiS

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En cette rentrée, nous avons choisi de vous faire découvrir unrestaurant ouvert depuis maintenant deux ans par une jeuneBurkinabée, Maïmouna Bécart passionnée par la cuisine, aucœur du nouveau quartier de Vauréal. Baptisé Dinogo, le lieuau décor soigné, très “nature” et épuré, propose une cuisineexotique et invite à la découverte de nouveaux horizons culi-naires. Chaque midi, elle propose une formule du jourdifférente (entrée, plat, dessert à 15,90 euros), mettant à l’hon-neur des ingrédients d’ailleurs. Après un kir pétillant exotiqueà la violette et à l’hibiscus, nous avons dégusté en entrée, surfond de musique du monde, une verrine de mousse de thon,

avocat et mascarpone, légère et savou-reuse, concoctée par la jeune chef quiœuvre en cuisine. En plat du jour, le pou-let façon Nouvelle Orléans, très tendre etcopieux, a révélé un doux mélange su-cré-salé. Maïmouna Bécart prépareégalement des spécialités africaines,comme la Thieboudienne, le fameux rizau poisson du Sénégal, un met nationaldont nous avons apprécié la prépara-tion et les saveurs. D’autres metstypiques sont proposés : brochettes degambas et litchi au Pimandou, pouletyassa, mafé au bœuf... Les moins té-méraires pourront néanmoins se

satisfaire de plats clas-siques (canard, ongletde bœuf...), et les pluspressés, de salades,snacks ou tartines. Endessert, des raviolesd’ananas fondantes enbouche nous ont étéservies, avec une crème vanille et une pointe de basilic. Nousavons apprécié cette cuisine colorée de qualité qui change, lavariété des plats proposés, mais aussi l’état d’esprit de Maï-mouna qui met du cœur et beaucoup d’elle même pour fairede son restaurant un lieu convivial et vivant. L’accueil est sym-pathique et efficace (menu du jour servi en une heure), laprésentation dans l’assiette soignée et harmonieuse. En termede qualité/prix, la formule permet, avec boisson, de déjeunerpour une vingtaine d’euros. Rien à redire, si ce n’est vous in-citer à découvrir cette adresse qui ne vous décevra pas. Alors"na ci jamm bare !" (bon appétit en wolof).

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Dinogo, bienvenue chez Maïmouna

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Directeur, 47 ans, de formation DESS marketing,

sciences politiques, licence de scienceséconomiques, cherche à reprendre la

direction générale d’une filiale ou d’uncentre de profit dans un contexte

haut de gamme pour des produits àforte valeur ajoutée.

Expériences précédentes : création etdirection pendant pus de 10 ans de lafiliale française d’un acteur majeur de

l’industrie de l’optique mondial, directeur du développement

commercial de 1er fournisseur deschaines de restauration rapide…

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Jeune femme, 30 ans, dynamique et polyvalente, recherche

un poste d’assistante de gestionPME – PMI. Compétences multiples :accueil, standard téléphonique, prise

de rendez-vous, gestion administrative et comptable,

compétences commerciales…Contact : 06 58 95 92 80

carnetPhilippe Prevost, Banque de FranceNommé le 19 juillet dernier, Philippe Prevost est le nou-veau directeur de la banque de France dans le Val d’Oise.Il succède à Luc Algan, parti au siège où il est mainte-nant en charge d’harmoniser la mise en œuvre dusurendettement. Après avoir passé une partie de sa carrière sur les mar-chés financiers, en charge de la gestion des portefeuillesde la Banque de France, il bifurque vers l’analyse finan-cière des entreprises où il gère un service central desrisques. Il prend ensuite la direction de la succursaled’Evreux de la Banque de France avant de rejoindre toutrécemment celle de Cergy. Comme son prédécesseur,Philippe Prevost sera en charge de la médiation du cré-dit, dispositif créé en octobre 2008 et aujourd’huipérennisé. Dans le département, l’action de la Banquede France porte aussi sur le surendettement des particuliers, en augmentation depuis le débutde l’année dans le Val d’Oise (+7 %). Philippe Prevost, qui rencontre depuis la mi-juillet l’en-semble des acteurs économiques, a noté une vraie “vitalité sur le territoire.” Il entend égalements’attacher à nouer des contacts avec le monde de l’enseignement.

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Dinogo, bienvenue chez Maïmouna



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L'Apostrophe fait danser James BondProposée en partenariat avec les villes de Saint-Ouen l'Aumône, Eragny sur Oise et RGB99.2, les 14 et 15 octobre, Pacifique est la prochaine création danse de Nasser Martin-Gousset qui mettra en scène le personnage phare de Ian Fleming. La chorégraphieconstruite autour du thème de l'eau, se dévoilera à travers les différents danseurs quiinterpréteront James Bond se retrouvant sur une plage du Pacifique. Nasser MartinGousset propose une danse théâtre originale et unique en son genre avec un agent 007comme on ne l'a jamais vu. Réservations au 01 34 20 14 14 - www.lapostrophe.net

Le Théâtre 95sur les traces de Molière Du 5 au 23 octobre, le Théâtre 95 (Cergy) reprend un classique du dramaturge,"les Femmes Savantes", comédie de mœurs sur l'éducation des femmes. Miseen scène par Marie Montegani, la pièce revient sur l'histoire d'amour entreHenriette et Clitandre et leurs difficultés à se marier face aux objections desfemmes savantes de la famille, ferventes de philosophie et de science. Cettepièce sera l'une des dernières de la saison 2010 à avoir lieu au sein du théâ-tre originel, actuellement en rénovation, avant l'inauguration du nouveauthéâtre prévue au dernier trimestre 2011.Réservations : 01 30 38 11 99 - www.theatre95.fr

Royaumont, escale marocaineDu 8 au 10 octobre, la création musicale d'AndyEmler "du slam à l'Atlas" propose un échangemusical et culturel entre traditions et expres-sions urbaines. Slam et poésies performées etchorégraphies viendront se mêler aux chantsmaghrébins, trompettes et saxophones aux so-norités d'Afrique du Nord telles que le guembriou l'oud. Avec la participation de la chanteuseamazighe Raissa Fatima Tabaamrant, musiciensmarocains et français offriront un passionnantvoyage au cœur de la parole et du rythme. Tél. : 01 34 68 05 50www.royaumont.com

Un flot de jazz en Val d’OiseDu 5 novembre au 5 décembre aura lieu la 15e

édition du festival "Jazz au fil de l'Oise". Pen-dant un mois, une vingtaine de communesvaldoisiennes plongeront au cœur de la mu-sique d'Armstrong. Cette année, Sylvain Rifflet,artiste en résidence, ainsi que beaucoup d'au-tres musiciens, nationaux et internationaux,viendront partager avec le public leur passionpour la musique. De nombreux concerts, expo-sitions et autres animations culturelles diverseset variées viendront rythmer ce festival no-made. Rendez-vous intergénérationnel, "Jazzau fil de l'Oise " propose un automne musicaldans l'ensemble du département.Rés. au 01 34 48 45 03 de 9h30 à12h30 ou au 06 37 24 90 24 de14h à 20 hwww.jafo95.com

Festival baroque : 25e édition autour du mondeDu 17 septembre au 24 octobre, le Festival Ba-roque de Pontoise présente "l'Infini désir d'unautre monde", événement qui mêlera la mu-sique baroque aux musiques du monde. Del'Afrique à l'Asie, des musiques médiévales auxmusiques traditionnelles, entre opéra, requiem,théâtre, danse et poésie, cette 25e édition pro-met d'être haute en couleurs. On y retrouvera,dans des lieux emblématiques comme l’ÉgliseNotre-Dame, de nombreux artistes venus desquatre coins de la planète.De 5 à 30 eurosTél. : 01 34 35 18 71www.festivalbaroque-pontoise.fr

Un autre regard sur le VexinLes Guides du Vexin français proposentchaque dimanche une balade au cœurde la nature. Encadrées par des accompagnateurs, ces sorties invitentles curieux à découvrir le patrimoinenaturel, architectural ainsi que les en-droits cachés du Vexin. A noter leprogramme des “balades du dimanche”à partir du mois d'octobre : 3 octobre : Noisement, flore et pay-sages de la Viosne (Chars)10 octobre : Moments d'histoire(Nesles-La-Vallée)17 octobre : Mémoire de l'eau(Vienne-En-Arthies)24 octobre : Les Buttes de Rosne, sauvages et apprivoisées (Le Heaulme)31 octobre : Chemins de peintres etd'écrivains (Valmondois)7 novembre : Voyage au fil de l'Aubette avec des ânes (Longuesse)5 euros, gratuit pour les moins de 10 ansTél. : 0 810 16 40 45 ou 06 47 17 49 85

A découvrir à pied…… le sentier des Lisières, chemin de randonnée bordant la forêt de Montmorency, long de 35 km. Agrémenté par 17 panneaux explicatifsprésentant les caractéristiques du patrimoine naturel et les richesses culturelles des villes traversées (Andilly,Bouffémont, Taverny…), ce sentier a nécessité 4 ans de réaménagement.

Thé

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Plei

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