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Septembre-Décembre 2015

Septembre Décembre 2015 - bibliotheque-mouscron.be · C’est celui de Michel Bussi que j’ai le moins apprécié. « Gravé dans le sable » Michel Bussi La veille du débarquement

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Septembre-Décembre 2015

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« La mort au Festival de Cannes » Brigitte Aubert

Elise Andrioli, tétraplégique, aveugle et muette depuis un attentat, est invitée au Festival de Cannes comme membre du jury. Elle débarque avec sa dame de compagnie, Yvette. Mais les membres du jury ne cessent de s'écharper et des morts suspectes se succèdent. Elise cogite tandis que le ca-pitaine Kevin Isidore mène l'enquête.

Il y a plein d’humour dans ce livre. C’est bien car on voit les coulisses du Festival de Cannes. C’est un policier comique.

« Le Cri du goéland » Gilbert Bordes

Lorsque Paul Bénalec est nommé prêtre dans une paroisse finistérienne proche de son pays natal, il sait que le temps de l'épreuve est venu : tout le monde se souvient de lui quand il n'était encore qu'un jeune marin-pêcheur fiancé à Marie, confiant en lui et en l'avenir. Jusqu'au jour où par sa faute, ses trois coéquipiers périrent noyés alors même qu'on lui avait déconseillé de prendre la mer. C’est magnifique, je l’ai lu en 2 jours et je n’ai pas pu le lâ-cher avant de l’avoir terminé. C’est aussi un livre qui critique les religions qui n’ont évolué depuis la nuit des temps.

« Le mas Théotime » Henri Bosco Pascal Dérivat mène une vie rude et laborieuse de pay-san en Provence. Après des années d'errance, sa cou-sine Geneviève, qu'il aime tendrement depuis son en-fance, vient vivre auprès de lui. Un jour, le cadavre de Clodius, son voisin et ennemi personnel, est découvert. Prix Renaudot 1945. Toute une histoire sur la vigne, sur les terres… Un beau moment de terroir. C’est toujours une histoire de 2 per-sonnages, on ne parle que d’eux.

Prochain rendez-vous

le 19 février 2016

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Informations pratiques L

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« La vie en Rosalie » Marie Burigat (trilogie) L'histoire de Rosalie, mère de 3 enfants nés de pères diffé-rents, qui profite pleinement de la vie. Premier roman.

« Fais ta valise on s’casse » Deux soeurs, Claudine, 59 ans, et Mireille, à la retraite, décident, sur un coup de tête et pour oublier leur quotidien devenu insupportable, de s'offrir des vacances au Maroc. Cette semaine au soleil va leur permettre de rééquilibrer leur existence et de réajuster leurs priorités.

« Betty Bulle » Betty est déprimée depuis sa rupture avec Jean-Boris. Elle retrouve sa tante Gabrielle lors de l'enterrement d'une amie et découvre que celle-ci héberge Mo', une jeune gothique mal dans sa peau. Ensemble, elles se raccrochent à la vie. Mais tout ceci pourrait bien ne pas être réel. J’ai adoré! C’est un livre de femme très pétillant, ça fait du

bien. Un concentré de bonne humeur, de joie de vivre, d’émo-

tion, de tendresse. Un vrai régal.

« Havre des saints » William S. Burroughs Havre des Saints est paru pour la première fois en Angle-terre en 1980. On y retrouve les personnages équivoques des Garçons Sauvages (1971) et d'Exterminateur (1976) : vieux camés, gentlemen vicieux, jeunes homosexuels mexi-cains, agents de la CIA et du FBI, marins de navires coulés corps et biens, gangsters des années vingt, spécialistes de la guérilla et hordes de garçons superbes menaçant tous les ordres existants. L'action se déroule partout et nulle part : à Mexico à Marrakech, aux Indes Occidentales comme à San Francisco. Lieu de tous les possibles, Havre des Saints s'ouvre et se referme, des mondes imaginaires jaillissent, fulgurants, puis s'évanouissent, des fantasmes traversent les phrases en un éclair. C’est un livre incroyable.

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« Maman a tort » Michel Bussi Malone, 3 ans, raconte au psychologue scolaire que sa mère n'est pas sa vraie maman. Contre toute attente, Vasile croit ce petit garçon aux souvenirs fragiles. Il pressent le danger et décide de se rendre au commissariat. Deux jours plus tard, tout bascule. C’est celui de Michel Bussi que j’ai le moins apprécié.

« Gravé dans le sable » Michel Bussi La veille du débarquement en Normandie, face à une mort quasi certaine, certains sont prêts à promettre n'importe quoi pour ne pas y aller. C'est ce que découvre Alice Queen, jeune veuve de 20 ans, dont l'enquête l'emmène de la France aux quatre coins des Etats-Unis. Prix Sang d'encre 2007 et Ancres noires 2008. Premier roman.

C’est bien, j’ai bien aimé.

« Vague de chaleur » Richard Castle Richard Castle, l'auteur de best-seller, héros de la série té-lévisée Castle diffusée sur France 2, retrace l'enquête de Nikki Heat sur le meurtre d'un magnat de l'immobilier dont le corps a été retrouvé au bas de son immeuble à Manhattan. On retrouve tous les personnages et l’humour de la série. J’ai fort bien aimé. C’est humoristique tout en ayant une en-quête sérieuse. J’aime bien mettre un visage sur les person-nages. Je ne regrette pas de l’avoir lu.

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« Le voile de Téhéran » Parinoush Saniee Le combat courageux de Massoumeh, une adolescente de 16 ans, contre les contraintes d'une tradition qui touche à la digni-té de la femme dans la société iranienne. Alors qu'elle entrete-nait une relation amoureuse innocente avec son voisin, sa fa-mille le découvre et la force à se marier avec un étranger. S'y opposant, elle est mise au ban de la société et apprend à se débrouiller seule. Magnifique livre à lire.

« La Femme qui pleure » Zoé Valdés Quelques années après sa rupture avec Picasso, Dora Maar fait un dernier voyage à Venise pour tenter d'échapper à l'emprise du peintre et de se reconstruire en tant que femme. A son retour, elle se réfugie dans son appartement parisien, vivant en recluse jusqu'à sa mort. J’ai appris beaucoup de choses sur cette époque, mais je n’ai pas aimé qu’elle lâche toute sa haine du castrisme et de la nostalgie de son île. Mais si on est intéressé par l’époque et ses peintres de l’époque c’est un livre inté-ressant.

« Le silence de la mer » Vercors Une famille française s'oppose par le silence à l'officier allemand qu'elle est obligée de loger. Cette oeuvre, paru clandestinement en 1942, fut diversement accueillie à l'époque. Certains ont contesté le portrait valorisé de l'oc-cupant, homme de grande culture, humain et attachant. Mais la plupart des lecteurs ont compris qu'à travers le personnage de von Ebrennac, Vercors invitait à ne pas être dupe ou complice du régime nazi. Prix Femina 1944. Un classique, très beau.

« La petite fille de Monsieur Linh » Philippe Claudel Monsieur Linh est un vieil homme. Il a quitté son village du Vietnam dévasté par la guerre, n'emportant avec lui qu'une valise contenant quelques vêtements usagés, une photo jau-nie, une poignée de terre de son pays et avec un nouveau-né dans ses bras, Sang Diû, sa petite-fille qui a perdu ses pa-rents. Après un long voyage en bateau, il arrive dans une ville froide et grise, avec d'autres réfugiés. Magnifique. Conte plein d’humanité en prise sur le réel, c’est un vrai beau conte philosophique. Ça vaut la peine d’être lu.

« Monsieur a la migraine » Valérie Cohen Anna, Noémie, Lucia et Julie, quatre femmes qui peinent à ressentir pleinement leur féminité, se croisent dans le cabinet de Patrice Denis, un sexothérapeute aux mé-thodes originales. C’est un livre que je conseille aux hommes pour en sa-

voir un peu plus sur les femmes.

« L’avenir de Dieu » Jean Delumeau L'historien du christianisme dresse le bilan de soixante ans de recherche intellectuelle et spirituelle qui l'ont conduit à prendre position concernant les enjeux religieux du monde contemporain. Intéressant à lire. C’est un livre de 280 pages et il com-mence à la 250

ème. On pourrait caricaturer le livre en disant

que c’est une critique de l’Eglise. Il faut être chrétien et in-téressé par ce qui se passe ou s’est passé dans l’Eglise pour bien comprendre le livre. Pour ceux qui n’ont pas été élevés dans la religion, ce peut être difficile.

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« Le Livre des Baltimore » Joël Dicker Marcus Goldman raconte l'histoire de sa famille, les Gold-man de Baltimore, à l'occasion d'un voyage en Floride, huit ans après le drame qui a tout fait basculer. Je l’ai lu en 2 jours, je ne savais pas le lâcher. Je n’ai pas

été déçu du tout par ce livre. Il est très bien fait. On passe

tout le temps d’une époque à l’autre. On aurait pu appeler

ce livre « Rivalité » car c’est le fond de l’histoire. Beaucoup

d’hommes font le maximum pour briller et être admiré et

leur orgueil fait que beaucoup de drames auraient pu être

évités.

« Le liseur du 6h27 » Jean-Paul Didierlaurent Guylain Vignolles est préposé au pilon et mène une existence maussade et solitaire, rythmée par ses allers-retours quotidiens à l'usine. Chaque matin en allant travailler, comme pour se la-ver des livres broyés, il lit à haute voix dans le train de 6 h 27 les quelques feuillets qu'il a sauvés la veille des dents de fer de la Zerstor 500, le mastodonte mécanique dont il est le servant. Un jour, Guylain découvre les textes d'une mystérieuse incon-nue qui vont changer le cours de sa vie... Très original comme livre. J’ai vraiment bien aimé. Ça promet

pour un premier roman.

« Adrienne ne m’a pas écrit » Michelle Fourez

Un pianiste de renommée internationale et une professeure d'histoire, tous deux meurtris, entretiennent une relation épisto-laire qui se mue en amour. Seule la musique réussira à les réu-nir.

Très bien écrit, les phrases sont bien construites.

« La petite fille qui avait avalé un nuage grand comme la Tour Eiffel » Romain Puertolas Jeune factrice parisienne, Providence Dupois est persua-dée que plus elle s’agite, plus elle a de chance de réussir sa vie. Alors qu’elle se prépare à se rendre en Afrique cher-cher la petite fille qu’elle adore, un volcan islandais para-lyse le trafic aérien en Europe. Providence entreprend alors un voyage haletant. C’est très comique. Bien si on veut changer de la littérature qu’on lit d’habitude mais il faut aimer un peu ce côté « déjanté ». Il y a un côté poétique aussi. C’est une façon amusante de parler d’un sujet plus grave. Je le conseille.

« Déjà dead » Kathy Reichs Une macabre expertise va mener en première ligne de l'en-quête le docteur Temperance Brennan, médecin légiste, seule, en butte à l'hostilité de son collègue policier face à un assassin pervers qui collectionne les victimes féminines... et commence à serrer de près Tempérance elle-même. Un thriller diabolique. Tiré de la série Bones mais on ne retrouve rien de la série à part Temperance Brennan. Dans certaines scènes il y a trop de détails.

« Le Divin Chesterton » François Rivière Journaliste, G.K. Chesterton (1874-1936) fut l'infatigable contradicteur des idées marxistes de H.G. Wells. Roman-cier et poète, il a bâti une véritable cathédrale de fiction et de fantaisie. L'auteur lui rend hommage avec cette biogra-phie. Beaucoup d’humour, respire vraiment l’optimisme.

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« Central Park » Guillaume Musso Alice, jeune officier de police, et Gabriel, pianiste de jazz amé-ricain, se réveillent menottés l’un à l’autre sur un banc de Cen-tral Park. Alice a son chemisier tâché de sang et il manque une balle dans son arme. Les deux jeunes gens ne se sont jamais croisés auparavant. Pour comprendre ce qui leur arrive, ils décident d'unir leurs forces et leurs talents. C’est une belle histoire, une fin inattendue. C’est bien, j’ai bien aimé.

« Venu d’ailleurs » Paola Pigani En 1999, Mirko et sa soeur Simona, des Albanais du Koso-vo, fuient leur pays déchiré par la guerre. Après avoir passé quelque temps en Italie puis dans un centre de transit de Haute-Loire, ils décident de s'installer à Lyon. Simona trouve rapidement du travail, apprend le français et noue des ami-tiés tandis que Mirko vit dans la nostalgie de son pays. Une nuit, il rencontre Agathe.

C’est en pleine actualité des migrants. On comprend mieux ce qui se passe dans leur tête.

« Un homme en fuite » Patrick Poivre d’Arvor Aurélien est un chirurgien renommé lorsqu'il s'écroule pen-dant une opération. Après des analyses, on découvre qu'il avait bu plus que de raison. Ecrasé par la honte, il fuit sa vie personnelle désastreuse, sa radiation de l'ordre des méde-cins et le jugement moral des patients. A Bordeaux, un homme vient le voir pour avoir de l'aide pour son fils autiste. Prix Touraine (Forêt des livres 2015). Très bien écrit, de belles phrases et de beaux mots. Magni-fique livre parce que ça peut arriver à n’importe quel chirur-gien. Il prends conscience de son acte un petit peu à la fois grâce à ses amis.

« Juste une mauvaise action » Elizabeth Georges Lynley et Barbara Havers aident leur ami Taymullah Az-har à retrouver ses deux petites filles, enlevées par leur mère. Leurs recherches vont les conduire en Toscane. C’est une belle histoire, mais c’est long, long… Il y aurait eu moins de pages ça aurait été aussi bien.

« Le Poète de Bellevue » Gérard Georges

Issus de la bourgeoisie clermontoise, deux frères phti-siques vibrent pour les poètes et aspirent à intégrer les grands cercles littéraires du XIXe siècle. Il y a des auteurs qui écrivent des livres pour dire d’en écrire. C’est plus poétique vers la fin. Il n’y a pas vraiment d’histoire.

« La dernière à mourir » Tess Gerritsen (Suite) Pour la seconde fois, Teddy a survécu à un massacre. A celui de sa famille, deux ans plus tôt, et maintenant à celui de ses parents adoptifs. L'enquête est confiée à Jane Rizzoli. Elle découvre que ce qui semblait être une coïncidence est en fait le calcul implacable d'un tueur qui sait très bien ce qu'il fait. Attention c’est une suite, mais c’était bien. C’est vraiment une

belle enquête. Les personnages sont là mais ça n’a rien à voir

avec la série.

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« La cuisinière d’Himmler » Franz-Olivier Giesbert Le portrait de Rose, cuisinière et personnage truculent, qui a traversé le XXe siècle et les vicissitudes de l'histoire sans jamais perdre sa joie de vivre et sa sensualité. Avec quelques recettes en fin d'ouvrage. Quelle affaire…Cette femme vit 105 ans et nous fait visiter toute l’histoire du 20ème siècle. Elle a couché avec tous les hommes sauf Hitler. On a vraiment rien d’intéressant, je m’attendais à quelque chose d’autre. C’est du même style que « La femme a 1000°C ».

« A l’origine notre père obscur » Kaoutar Harchi Dans la maison des femmes sont redressés les torts, réels ou supposées, des épouses, sœurs, filles... Une jeune femme qui y est enfermée cherche l'amour de sa mère, qui elle n'at-tend que la délivrance de son mari. Fable cruelle sur fond de domination patriarcale où la rupture avec l'être aimé est par-fois la condition de la survie. Magnifiquement bien écrit.

« La fille du train » Paula Hawkins

Rachel habite dans la banlieue de Londres et prend le train pour rejoindre la capitale deux fois par jour. De la fenêtre du train, elle observe un couple qu'elle imagine aussi parfait que l'était le sien avant que son mari ne la trompe, puis la quitte. Un matin, Rachel voit un inconnu dans leur maison. Prix du meilleur roman international (Festival polar de Cognac 2015). Premier roman. Très bien écrit, ce n’est pas un policier mais un thriller. Il y a du suspense. On pense connaître la fin mais elle est inatten-due.

« Blue Sun » Anne Hory Louise a 17 ans : c'est l'âge de tous les possibles. Ce prin-temps-là, elle rencontre son destin auprès d'un bel améri-cain. 23 ans plus tard, Florence, infirmière à domicile, est appelée au chevet de Louise. Son entrée dans l'univers de sa malade ne sera pas sans conséquence pour elle. Saura-t-elle trouver son chemin et dénouer l'écheveau des vies qui s'entrecroisent ? Un bon roman qui montre l’amour qu’il peut y avoir entre un soldat américain et quelqu’un d’ici.

« Travail soigné » Pierre Lemaitre

Camille Verhoeven, policier atypique, enquête sur un meurtre à Courbevoie. L'affaire se complique lorsqu'il for-mule une hypothèse hors normes qui le met seul face à un assassin qui semble avoir tout prévu. Prix Cognac 2006. J’ai essayé 2 fois, je n’ai pas accroché.

« J’ai épousé un inconnu » Patricia Macdonald Emma et David passent leur lune de miel dans une cabane en forêt. Emma, enceinte de deux mois, travaille dans un centre de soins psychiatriques. Depuis quelques mois, elle reçoit des lettres anonymes la pressant de ne pas se ma-rier... Intéressant pour celui qui n’a pas vu le téléfilm. On ne se

doute absolument pas de la fin.