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eSEPTIENIE ANNEE N. 7.(173 ABONNEMENTS 'moi), 12 h ; 6 mois, 23 fr., 1 an, 45 fr. pour un Ministère de la Santé publique pyetude des maladies sociales est, !l'hygiéniste de notre époque, (entablemeM décevante. Elle permet conle stator avec tristesse que les pouvoirs publics n'ont pas encore eu COUrage de les attaquer de front le C'eu : t à cette timidité coup b/e qu'on doit l'extension de ce - ¢1 c'est pourquoi nous devon =tu; e orts contre cette timidité. os eff partie, vaincue le Nous l'aurons, en r'e'cut maeresponsablebknund santé publique, ur là en face des maladies sociales, il n'y aura plus de ces trou- pes braves, mais dispersées, dont les efforts discordants sont vains, mais nue armée unique et compacte, al- Irons, aux ordres d'un seul chef, et qui, Marchant d'un même élan, pour- ra entamer avec succès la lutte con- tre les fléaux qui mettent la nation tu péril. Mors que les guerres, même les ins meurtrières, sont des accidents ! Ppgssagers qui anémient pour un temps p/us ou moins long, mais tau- bon limité, l'organisme d'un pays les inaludies sociales ont une action permanente. Elles s'écartent comme su chancre à travers la masse des ci- toyens, étendant sans cesse leur em- puse, accroissant toujours le nombre r leurs victimes Ce/a, bien entendu, dans un pays ai (comme le nôtre) rien de vrai- ment sérieux n'a été accompli ni pêvu pour les juguler ou les en- layer. Ouais ce pays,- dans le nôtre, sali- n combien la tuberculose, la plus grave maladie du siècle, occasion. de ravages ? Il suffit, pour répondre, de jeter les yeux sur la statistique parisienne des décès presque la moitié des dé- cès sont des décès prématurés, dus ils tuberculose 1 Une telle statistique n'a pas besoin Pitre commentée. Elle s'élève com- te un cri tragique vers nos gouver- nants, et l'on s'étonne qu'à ce cri, ses derniers n'aient pas encore tour- né la tête et volé au secours d'un Peuple entier qui, par leur faute, va s'éteindre. S'il n'est pas, actuellement, de re- /nide contre la tuberculose, il en ciste contre la contagion qui la pro- page. C'est donc contre cette conta- gion qu'il faut lutter ; c'est à elle qu'il faut s'attaquer. L'état de guer- re, que nous avons si longtemps subi, en a aggravé et multiplié les finales. Qu'a-t-on fait pour les ré- duire et les endiguer ? On a distribué des pensions aux dirtimes. Certes, c'est un geste méritoire, tuais aussi insuffisant que généreux. La pension entretient le tubercu- kas, elle ne le guérit pas ; elle en - Client aussi la tuberculose au foyer, elle contribue à répandre la maladie Pilleur du malade qui, craignant de ierir comp ' lètement et de perdre le bénéfice de son allocation, se refuse à toute disciptme. La pension est utile, indispensa- td niais elle n'est un bien que si f,,,11r donne au malade /e moyen de 1:1531Paire, à la fois, aux amblan- Pli peuvent perpétuer son mal, a ses semblables, parmi lesquels etzuselemment mais sûrement, il le 11 « point une question capitale au e vue santé publique, et au ,de laquelle la commission pp,'(fielle de la Chambre n'a pas, 1le sache, été consultée. .41).11Us faisons confiance au gou- , Meulent actuel. Il saura éviter de "retables erreurs mg;10,,,tête de la grande cité Ivon- efeî,, Edouard Herriot prouvvf, en eird, qUe les questions d'hygiène sa- t10 ne lui sont point étrangères, et os Passurance qu'après les llnqd ssiris,preonales, dans '111erI de la Franrcee,trstnephreer- ^,11,sera l'organisation ration- luirp tre administration sani- n,ip. entrale, et l'établissement dé- pliz.,15 ministère de la santé pu- Joseph CLAUSSAT. Nashangeltlent d'adresse e.ttmf PE..E0,:ANDsA NOS ABONNES 01 LIESSE D0171 El?ERE FCH.NACCNC/E11I 0 fr. 60 ET DE LA DERNIERE AU JOUR LE JOUR Les deux Ronsard me sue fendu de gains. sous pour arheter un timbre Ronsard. k l'ai longuement regardé avec l'intention A le trouver tris bien, mais ie mis obligé rhe reconnabre qa'a nest dri tout Le timbre Ronsard st laid, °m'am, laide les Penh.,, olympiques, comme sont laids lm timbres Paateur. C est moins l'arrangement de I« vignette qui est mauvais (bien mre cette téia au centre d'une lyre qui rcesemble à une Paire A eme,s, xll Pa. heareuse)- que sa gravure et sa carriaua J'a. étais à peskse, a. si Ronsard, aPrés la Geo." Olympique, après Pasteur, était si mal aué éest ce qu'a avait décidbnent pas moyen de f aire mieue dans la patrie de Launay et de Ficamt. Mais noie; ane sur une letms qu'un ami m'écrit de Paris, je nome 11 café de l'habituelle Senmec, en eut, timbre à l'effigie de Remarié, in timbre soi n a aucune valeur postale, confactianèé une impeimerte partkediére et placé là comme le cruel témoignagne de ce me P.t rieolotroo trooiott quand il n'est pus eux mains de t'ad., nisaation. Quelle différence entre ce Ronsard de fente,i, celui des P. T. T. I Autant 0,,s ,,r me, plat, autant rasa, a Je fine., de nao.clif, de e'r7 riré're n sard du s c ois à la 10,0,1,0 0,, from degigni, aux fampas astérie-scléreuses, mais il a Iras hante allure c est ce media., dilfémnce errold rocodd ont,, cor ozo,eitor..,,,,11,,tesi cotio,rzbfo r,à l'air d m'if L'imprimerie de Vausdrard (rmarZi ne Pee n.mmer (7) donne une dus leçon mix ateliers As P. T. T. qui, a le ridicule tuait encore, n'auraient Plus qu'a fermer boutique André NÉ.G1s. SLISERES DE FEMMES demoiselle Suzanne Marin aveugle de guerre Au lendemain de la fête de l'Armistice, qui oonmlmuro oie nfne tclapa que lu envers nos glorieux morts et les mutilée de la grande guerre il nous semble légiti- me de signaler le cas douloureux Mune jeune femme. qui est l'une des deux seu- les aveugles de guerre, females, victimes de leur devoir. Mlle Smatuse Marin s'ont engagee en avrtl 1918, comrne conductrice d'automo- biles. Envoyée au front sur sa demande, ell, fut affectée, quelques jours après à I, S. A. P. 11 de Nancy et conduisit des voitures d'ambulances. Oe ravitaillement ou de missi.. dans des points fort expo- sés du front. Le 11 juin Hall elle fut grièvement bles- sée h Chavigny, et, à /a suite d'une vio- lente commotion eérébrale. elle perdit suc- ment de cécité complete. Comment se fait-il que, dans ces ci, constances, le ministère des Pensinne, qui %i 'n se pl v c u'? avec 1000e4 rIsiS.'1'lliitno; M %, pué de 95 et de 100 %, lui ait brusquement fait savoir, il y a plus d'un an, que sa pension ut était supprimée, rril:., Prexte quelle ri, avait pas fie mi- o-erre Les troubles espagnols Madrid, 16 novembre. Ancrue nec, velte particulière n'a apporté la moindre précision sur la sentence rendne par le conseil de guerre de Pampelune contre/ les auteurs des troubles do Navarre. On sait setiement oplun emomandant d'état- major est sec-asti de Burgos peur Pompe- lune avec la sentence du conseil de garas- ne de Pampelune que eelni-ci, cordonné- ment au Cour militaire, avait soumis à 1:supra:galon du capitaine général de 13orgos. Les milieux officiels déclarent à ce e,,. letque la justice militaire de la capitai: renie générale de Burgos n'étant pas e accord avec la sentence mononcee trairre:iire'v'enr'Zvarliet Vr:Ce7i%.,1.'11 rue de la guerre et de /a Inerme cna, après examen, prononcera une sentence irrévocable e Seuse Manifestation contre M. Malvy Saint-Etienne, 16 novembre. M. Malvy devant assister à un banquet, un gnou. s'était fornVé sur le cours Victor- Humo pose manifester contre lui. La po- lice ayant obligé les manifestants à cir- culer:, ces dermers se formerent sua,,, colonne, dont le passage donna lieu à quelques conflits. Un des alnuersaires M. Nfalvy, encien profe.enr, assez se'-: riermement malmené, dut être Pansé an poste de police. Un incident italo-russe Rome, 16 novembre. Hier, des fas- cistes ont arraché le drapeau rouge qui ornait l'automobile de M.Youreney, am. bassadeur des soviets à Rome. Celoici se rendait au ministère cies affaires étrangères pour conférer avec M. Mus Cerst la troisièmes fois que Pareil full, se :produit. Au surplus, les fascistes ont insulté M. Youreney. Ils ont été :arrêtée et la police a présenté des excuses. SOCIALISTE Rélc,i0a gG, R0, Rog.,1.;àe TOULOUSE - Tg. 5-43 Compte Chèques postaux u 5.-77 BUREAUX A PARIS 3, Rue d'Aàboià, 3 (x. Afrondi.sement/ Téléphone 09-0(1 Les Dictatures aux abois MUSSOLINI, A SON TOUR, VEUT UN COUP DE FORCE ET IL LE PREPARE PAR UNE RIDICULE COMEDIE Irupossible de ne pas noter l'analogie des evenemunts ou se dérouslent en Es- pagne et en Ltalie. ' Les dictateurs ces deux pays mat en Parallèle dégringolade. Pendant nue treo ce Rivera poursuit au Maroc une ex-) péxition militante lamentable et que Mcnsolini s'efforce de pl.troner devant son parlement-crourpion, hem r'égimes agonisent dam l'isolement et la Mproba. lion dont les miteuse l'ePinion Et toue dieux en sont à chercher les n-Arros moyens déphapper à un destin désormais scellé. Si o1osoup Que soient encore les faits, il n'y a plus de doute que les troubles de Barcelone et les échauffourées ce lar frontière ont été machinés par les maori- tés et la police espagnoles, nue des ré, volutionnaires exilés sont tombés dans un piège ourdi cous donner au pays la urne de désordres et }DO, trouver un pré texte à frapPer 1..1,pm:tical menaçante- °r, c'est bien une opération analoghe qui promît en préparation de l'autre côté des AIPCS. Sinon, â quoi rimeraient ces bruits de complots lancés par /es fascistes, puis aérnentis par le gouvernement. ces ru- meus folles dune expédition communis- te ou ittsanes dune .1n-elle croisade ga- ribaldienne ? A quoi surtout répondrait ces navires de guerre qui croisent de San-Remo à Vintimille, ces bataillons expédiés à la houiller pour monter la garde contre une invraisemblable année de conspira- teurs ? Qu'en serait-il de ce rernueménage effarant? Il 11., a qu'une explication possible MUSSOLINI c'est one le dictateur italien cherche une diversion Elle sera ridicule si elle se borne là, car le Marius 01, manque qui s'organise sole les huit jours un simili-triomphe cou Notre confrère parisien te u Petit Bien a a interviewé plusieurs députes sur des su- jets divers. Nous relevons celles-ci M. BALDWIN ET LE RAPPROCHE51ENT FllANCO-ALLEMAND De Rognon, député socialiste : «lie cabinet Baldwin mima une Politi- que étrangere qui ne sera pas tellement différente de celle que pratiqua Ramsay Mac Donald. La plupart des accords stleivs ou bottes, conclut entre Herriot et Ram- sey Mac Donald, seront sans Mute salie- tiennes par le nouveau Premier britanni- que. Notamment, le cabinet Baldwin devra travailler, tout comme son prédécesseur, au reritoreement de la Société. des Nations, d'accord avec la France. a Cependant, il est bien certain qu'avec les travaillistes le gouvernement 'Herriot pourrait converser avec confiance et sans arrière-pensée. Il existait un synchroinsme politique entre Londres et Paris, une simit litanie de vues qui facilitait singulièrement la triche des deux gouvernements. « Maintenant, ce n'est pas tout à fait la même chusc. Des possibilités d'entente Par- faite et constante dusparaissent. Par exem- ple, M. Baldwin veut faire du traité de ersailles la base intangible de son action internationale. Or, nous, socialistes, qui constituons une bonne part de la majorité à la Chambre, nous contons la revision de ce traité, si injuste en certaines de des Par- ties. Nous voulons du rapprochement frac co-allemand. UNE QUESTION ANGOISSAIVTE De Charles Baron, spécialiste très averti de la question du pétrole : II y a du pétrole en France, Les rate ports d'ingénieurs américains travaillant pour le compte des grandes firmes pétroliè- res le ptunvent. Mals il s'agit de déter- miner où il se tr011Ve. Des travaux ont été commencés. Ils ont donné des résultats en- courageants. Malheureusement, les cri manquent. « Je propose au parlement le vole de 1511 minions de crédits. On .1,0.11525 ma , 1aenrs vaines naachinations du Maroc à 'Vintimille pitolin ne donnera pas à croire qu'il se,, bilise contre une nouvelle invasion de hordes subversives. Mais si ces mesures doivent être dé- veloppées, si elles ne sont qu'un prélu- PRIMO DE RIVERA de, alors d faut s'attendre une machi- nation crapuleuse, au coup de force ré- clame par les extrémistes oui veulem, avec le las de Miocène Farinacci, reclon- nes une bannesse au fascisme dans un lasse buis oie sang. Condamnée, la dictature italienne veut- elle demander un sursis à un ré:ou:Me- ntent de ses violences et dis sa terreur è Inutile t Elle Pouvais sriVr, malué, tares abjectes et ses mimes inumnonbra.. bles, quand elle donnait l'illusion d ette un mouvement national. Elln est perdue du fait qu'elle a aporté dans le pays les pires divisions et qu'elle l'a morcelé pour le laisser en proie à ses profiteurs. Même pan un coup de force, elle lié- vitera pas Effondrement. Ce qui se passe an Espagne peut-être ciéjà un avertissement pour Mussolini. 1-e a complot 5, I. arrestations, la justice sommarissime dos cours martiales, l'api. pel am Ismmeau n'ont pas arrêté l'agi- talion qui redouble. En Italie aussi, l'opinion en est à cette phase oh tee pires menaces et les pirm sévices ne peuvent plus la faire renoncer à la liberté dont elle entrevoit le retour et toute tentative Pour retarder sa victoi. re ne fera nu ajouter au terrible compte nu'elle demandera à Mussolini et à ses bandes. M. HAWEL. Quelques Interviewssur dos sujets divers > < Fronce, en des endroits qu'on aura au préa- lable soigneusement recherchés et délimi- tes, cent sondages, qui coûteront un mil- lions chacun on doit se baser sur ee s Du point de vue international, /a lutte flaUlt pour le pétrole diuvuein tu plu, Oeuuiuuuatr Itilinuoiteestes. noir LES MEDECINS ET L'IMPOT De Ni, Criante Je vais dép.er un amen- dement qui a son importance. I/ nous eu ers que les mé- decins fussent astreints à présenter lems /ivres au fisc afin de faciliter la pereeption de Ernmet. Jusqu'à présent, les- médecins échappaient à l'inquisition fucale ; leurs decilarantitoenns: suc aie,nt. continuer à ne pas FIVOir leurs livres ou- verts pour le Ose. Ouvrir leurs livres, c'est violer le secret professionnel. Peu de clients aimeraient qu'un &PPrtt qa'lis 50,1 traités par certains docteurs spécialistes. a J'estime d'ailleurs que le secret pro- fessionnel des avocats doit être également nespeeté par 1¢ fisc, et que leur déclara- tics de revenu doit suffire au percepteur. é Voyant qu'il ne réussira pas à faire montrer leurs livres aux médecins, le gott- cernotnent semble disposé à Pur appliquer Meut basé sur les signes exterienrs d, ,i.,hPSSC,, 511r le prix du loyer, par car,,,.« Soit !Mais alors il faut discriminer en- tre le loyer privé et le loyer professionnel. « Un médecin peut, s'il a cinq ou six en- fants, possédec na grand local et n'avoir pis pita cela des revenus consIdereb/es. C'est hi videur locative des piêces d'apPar- teillent servant au médecin O exercer sa profession qui doit être prise Pau, haie de s Quant à Eaufontobile du médecin, elle ne peut être non plus taxée. C'est un ins- trument de travail. a 001151 dans quel esprit cou. mon amendement, dans quel esprit le le Mea- drai. s LUNDI 1:7_ NOVEMBRE 1924 le, 20 CENT, La République das Soviets a un budget de la guerre do 4 milliards de francs. « C'était pas la peine, assu- rément » Ministres en tournée A DIJON Dijon. 16 novembre. A /a foire gas- tronomique do Dijon, :M. Reyna/t'y a pro- noncé un discours où il dit notamment a Que l'équilibre budgétaire réalisé par le projet du gouvernement soit maintenu par les Chambres ; quo j'emprunt réus- sesse ; quo les tonds qui en proviendront recolvent l'aff.tation que nous entendons leur donner et dans quelques mots notre situation financière et partant notre si- tuation économique ers seront heureuse- ment influencées. A nouveau, nous nous acheminerons vers la vie normale, vers /a vie â meilleur marche celle qui remettra é la disposition de toutes les belles et bonnes choses que vous exposes aujour- d'hui. Et nous ferons mieux encore. SI, une fois affranchis ded tenbenreè nous continuons O travailler, h produire toujours davantage, la France reprendra sous peu la place quoi lui revient dans la monde t la première' et sa marche vers ses immortelles destinéés. C'est à cet ave- nir, que je souhaite prochain, et que vous voulu avec moi, que je IêNe mon verre ». ATOURS Tours, 113 novembre. Los fêtes à. la ,gloire dn Ronsard débottent aujourd'hui sous In présidence de M. de Ynoro-Ciafferi, sous-secrétaire d'Etat h l'enseignement technique, par minauguration d'un monu men: e 'a trame:ce clui l'illustre écrivain. Il a célébré en lui te grand Pane .11iou01- LE GENERAL NOLLET A CHAUMONT Nollet, mimstre de la guerre, a prendé aujourd'hui l'inauguration du monument aux morts de Chaumont Son discours a été un panégyrique de nos assocleb amé- ricains r « Permeitecmoi de m'incliner, a-t-il dit devant le sacrifite des cinquanto mille citoyens de ta grandh république améri- caine qui vint, en une heure 00 la for- tune demeurait encore incertaine, nous apporter le bone.ns de ses fore.. Le mo- nument qui s'élève dans cette ville rap- 1 pelle qu'entre ces morts et les nôtres, la France ne semait distinguer et qu'elle entoure leur mémoire d'une nesse affec- tueuse piété. nu é Le prix d'une amende Un adhérent à la Chambre syndicale des débitants de vins de la Seine fut condamné en ...bonnette. le 23 mars mi, à 50 fr. d'amende pour défaut d'étiquetage. Le 22 septembre, ce debannt recevait de In percephon des amendes de Paris le pre- mier avis h payer. Il était ainsi libellé Amende. Principal fr. 50 a Décimes 112 30 Prats de Pille 786 80 Droits de poste 5 e Extrait du jugement Timbre de quatance Total Fr. 905 30 Cet exemple ne pourrait-il pas servir la dafe.e de la thèse soutenue par /e dé- ubé Dessein dars son projet de loi fendant attenuer l'exagération de la sévérité nt,. laquelle, ou répcitro le s0005an Im- port.. et souvent involontaires DES ETATS-UNIS Victor L. 0E00E:11 réélu. En même temps que les élections pri- meur. pour l'Oreetion présidentielle one eu lieu, en Amérique, les élections pour le e Congres » Ors Chambres). Ont Me élus à la Chambre des représentants r Républi- cains, en (gain SIL dérnoerates, 173 (perte t 231, Fermer Ixbour Party, 3, so- cialistes, 11 C'est un succès du Parti so- cialiste qui, jusque là, na eu qu'un seul élu autre camarade Victor L. Berger, M- ure du Milwaukee qui a été, rééln. Un autre sceialiste a fie élu h New-York. Me- ber I« Borgne os un des dOlt(lio'Gs do Parti amena:sin à l'Exécutif de l'Interna- tonale Ouvrière socialiste h côte de Mor- ris Ifillquit. LES SOCIALISTES ET LE SECOURS OUVRIER' INTERNATIONAL tinté ré.lution du Parti autriehien Après le Parti social-démocrate alle- mand qui, il y a quelques mois, a interdit aux membres du Parti l'adhésion au Se- cours Onouer International, c'est le Parti d'Autriche, qui, récemment, vient de s'oc- OUPOr de la Mémo question. Le Congrès du Parti a voté, à ce sujet, l'ordre du jour que voici « Le Congrès « Prenant acte de ce qu'il aété établi que le secours ouvrier international n'est qu'un instrument de la -Plaigne bolet.- viste ; « Considérant que les socialistm en me-1 fuseront â se laisser dirper par cette ma- ! noeuvre qui se car. sous le prétexte Utt front unique et sous le masque de la cha- rité ci Confirme la décision du Comité direc- teur du Parti invitant tes membres socia- listes du. Sedums ouvrier International à renoncer à leur adhésion 5. Cette résolution s Olé adoptée après un débat au tours duquel le citoyen Vider Stein, ancien président du groupe star, chi. du Secoure Ouvrier International, est intervenu pour dénoncer les manu- vres de cette organisation. dirigées contre les syndicats, notamment is l'occasion" de In recente grève des métallurgistes en Au- triche. LES DELEGUEM SUEDOIS A L'INTERNATIONALE L'entrée des citoyens Hjalmar Branting et Gustave Meellm au gouvernement sué- dois a automatiquement mis fin au man- dat !qu'ils sol occupé co.ne délégués du Annulation partielle des deties interallites New:York, 16 novembre. A propos ces projets de M. Bosnien et de Yr. Hua' bey relatifs aux dhttes interalliées, le t, New-York Herald publie l'informa- bon suivante : o La Question des dettes interalliées sera discutée à Paris, au cours des se- maines prochaines et il n'est pas Proba- ble do'on aboutisse à im arrangement. En ce <lui concerne la consolidation ce la dette française à l'Angleterre, il se peut nue cet arrangement comprenne une annulation partielle qui ouvrira la voie à une réduction similaire de la 0.5 ee.5 Etat-Unis. LE PAIEMENT DES INTERETS Lendre, lb novembre. Le beuil court que M. Gamelin profiterait de visite à Paris, en dlloembre prochain, lors de In téunion dee ministres des fi- manses xiii5, pom si ggerer que les pays clFbiteurs de la GrandeTketagne com, mencent à otayer à cette dem:ère les in- térêts de leurs Ciett. respectives. > La mort de deux bateaux LA DES1RUCTION DU » 'WASHINGTON a Philadelphie, 16 novembre. Le cri- sassé 'Washington, dou la destruction est prévue par la convention de Was- hington, a été remorqué à cuelckue kilomètres rie la côte. On fera *abord exploser, des mines près de sa coque, puis le navi, sera utilisé gomme cible pou, écu tirs d'artillerie, ainsi que cana l'avons annoncé. Si, après ces expériem ces, le cuirassé ne coule pas, il aera cté'. rnoli ç'a's un chantier maritime. UNE CANONNILI:LE SAUTE Londres, 16 novembre. -- Cn mande de Reval à Eagence Reiter qu'unie cm ncnn:lre esduceuenne, mena-méav ait dba- gage des mines cars le golfe ce de, a coulé vendre& près oie Narges h suite rie Fexplc,len x..ne nunc II y a deux tués et mx bessés. Lima do p(rIodes SainuEtienne, 16 novembre van: une lettre du ministre, Ce la guerre à Mi Louis Soulié, maire de Saint.Etien- ne, les jeunes gens nui effectuèrent, ati Mare:c ou au Lavant, au moins trois mois de service militaire dons la pArioce con, prise entre le 23 octobre 1919 et le les avril 1923, sont elispermes de la Ire Pé- rsoe dmstrucnon dans la meunière ré. La Vie socialiste à travers le monde DEUX SOCO1LISTES A LA CHAMBRE Parti socialiste suédois l'Exécutif de l'Internationale Ouvrière Socialiste. Pour es remp mer, le Parti vrent de désigner lês citoyens Arthur L'ngberg et Rickare Lindstreern. Le camarade Engberg, chia, leur uu I, S.bal-Dentokraten s, organe central du Parti, est bien connu dans BRANTING ternationale ayant pris part aux activi- tés internationales pendant la guerre. Ili' camarade Lindstroem a MI /e collabora- leur du citoyen Mortier au secrétariat du Parti dont il est rmintenant le secrétaire grinéral. Tout. les deux uni fait partie de la délégation suédoise au Congrès Inter- national de Hambourg. Le' départ de Branting produit un trè grand vide. Il jouait un rôle prépondérant di1113 let 111.17.SSiORg UN CONGRES Le Parti social-démocrate allemand si Pologne a convoqué son Congrès National pour les 7 et 8 décembre à Elle1112 Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

SOCIALISTE rémentimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1924/B315556101_MIDSOC_1924_11_17.pdfeSEPTIENIE ANNEE N. 7.(173 ABONNEMENTS 'moi), 12 h ; 6 mois, 23 fr., 1 an, 45 fr. pour un

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eSEPTIENIEANNEE N. 7.(173

ABONNEMENTS

'moi),12 h ; 6 mois, 23 fr., 1 an, 45 fr.

pour un Ministère

de la Santé publique

pyetude des maladies sociales est,

!l'hygiéniste de notre époque,

(entablemeMdécevante. Elle permet

conlestator avec tristesse que les

pouvoirspublics n'ont pas encore eu

COUragede les attaquer de front

leC'eu

:t à cette timidité coup b/e

qu'on doit l'extension de ce -

¢1 c'estpourquoi nous devon =tu;e

orts contre cette timidité.os eff partie, vaincue leNous l'aurons, en

r'e'cut maeresponsablebknund

santé publique,ur là en face des maladies

sociales, il n'y aura plus de ces trou-pes braves, mais dispersées, dont les

efforts discordants sont vains, mais

nue armée unique et compacte, al-Irons, aux ordres d'un seul chef, etqui, Marchant d'un même élan, pour-

ra entamer avec succès la lutte con-tre les fléaux qui mettent la nationtu péril.Mors que les guerres, même lesins meurtrières, sont des accidents !

Ppgssagers qui anémient pour untemps p/us ou moins long, mais tau-bon limité, l'organisme d'un paysles inaludies sociales ont une actionpermanente. Elles s'écartent commesu chancre à travers la masse des ci-toyens, étendant sans cesse leur em-puse, accroissant toujours le nombrer leurs victimesCe/a, bien entendu, dans un pays

ai (comme le nôtre) rien de vrai-ment sérieux n'a été accompli nipêvu pour les juguler ou les en-layer.

Ouais ce pays,- dans le nôtre, sali-n combien la tuberculose, la plusgrave maladie du siècle, occasion.de ravages ?Il suffit, pour répondre, de jeter

les yeux sur la statistique parisiennedes décès presque la moitié des dé-cès sont des décès prématurés, dusils tuberculose 1

Une telle statistique n'a pas besoinPitre commentée. Elle s'élève com-te un cri tragique vers nos gouver-nants, et l'on s'étonne qu'à ce cri,ses derniers n'aient pas encore tour-né la tête et volé au secours d'unPeuple entier qui, par leur faute, vas'éteindre.

S'il n'est pas, actuellement, de re-/nide contre la tuberculose, il enciste contre la contagion qui la pro-page. C'est donc contre cette conta-gion qu'il faut lutter ; c'est à ellequ'il faut s'attaquer. L'état de guer-re, que nous avons si longtempssubi, en a aggravé et multiplié lesfinales. Qu'a-t-on fait pour les ré-duire et les endiguer ?On a distribué des pensions aux

dirtimes.Certes, c'est un geste méritoire,

tuais aussi insuffisant que généreux.La pension entretient le tubercu-

kas, elle ne le guérit pas ; elle en -Client aussi la tuberculose au foyer,

elle contribue à répandre la maladiePilleur du malade qui, craignant deierir comp

'lètement et de perdre

le bénéfice de son allocation,se refuse à toute disciptme.

La pension est utile, indispensa-td niais elle n'est un bien que sif,,,11r donne au malade /e moyen de

1:1531Paire, à la fois, aux amblan-Pli peuvent perpétuer son mal,

a ses semblables, parmi lesquels

etzuselemment

mais sûrement, il le

11«point une question capitale aue vue santé publique, et au

,de laquelle la commissionpp,'(fielle de la Chambre n'a pas,1le sache, été consultée..41).11Us faisons confiance au gou-, Meulent actuel. Il saura éviter de"retables erreursmg;10,,,tête de la grande cité Ivon-efeî,, Edouard Herriot prouvvf, eneird, qUe les questions d'hygiène sa-t10 ne lui sont point étrangères, et

os Passurance qu'après lesllnqd ssiris,preonales, dans

'111erI de la Franrcee,trstnephreer-^,11,sera l'organisation ration-luirp tre administration sani-n,ip. entrale, et l'établissement dé-pliz.,15 ministère de la santé pu-

Joseph CLAUSSAT.

Nashangeltlent d'adressee.ttmf PE..E0,:ANDsA NOS ABONNES01

LIESSE D0171 El?ERE FCH.NACCNC/E11I0fr. 60 ET DE LA DERNIERE

AU JOUR LE JOUR

Les deux Ronsardme sue fendu de gains. sous pour arheter

un timbre Ronsard. k l'ai longuement regardéavec l'intention A le trouver tris bien, mais iemis obligé rhe reconnabre qa'a nest dritout

Le timbre Ronsard st laid, °m'am, laideles Penh.,, olympiques, comme sont laids lmtimbres Paateur.

C est moins l'arrangement de I« vignette quiest mauvais (bien mre cette téia au centre d'unelyre qui rcesemble à une Paire A eme,s, xllPa. heareuse)- que sa gravure et sa carriaua

J'a. étais à peskse, a. si Ronsard, aPrés laGeo." Olympique, après Pasteur, était si mal

aué éest ce qu'a avait décidbnent pasmoyen de f aire mieue dans la patrie de Launayet de Ficamt.

Mais noie; ane sur une letms qu'un ami m'écritde Paris, je nome 11 café de l'habituelle Senmec,en eut, timbre à l'effigie de Remarié, in timbresoi n a aucune valeur postale, confactianèéune impeimerte partkediére et placé là comme lecruel témoignagne de ce me P.t rieolotrootrooiott quand il n'est pus eux mains de t'ad.,nisaation.

Quelle différence entre ce Ronsard de fente,i,celui des P. T. T. I Autant 0,,s ,,r me,

plat, autant rasa, a Je fine., de nao.clif, de

e'r7 riré're nsard du s c ois à la 10,0,1,0 0,,from degigni, aux fampas astérie-scléreuses, maisil a Iras hante allure c est ce media.,

dilfémnce errold rocodd ont,, corozo,eitor..,,,,11,,tesi cotio,rzbfo r,à l'air d m'if

L'imprimerie de Vausdrard (rmarZi ne Peen.mmer (7) donne une dus leçon mix ateliers AsP. T. T. qui, a le ridicule tuait encore, n'auraientPlus qu'a fermer boutique

André NÉ.G1s.

SLISERES DE FEMMES

demoiselle Suzanne Marinaveugle de guerre

Au lendemain de la fête de l'Armistice,qui oonmlmuro oie nfne tclapa que lu

envers nos glorieux morts et les mutiléede la grande guerre il nous semble légiti-me de signaler le cas douloureux Munejeune femme. qui est l'une des deux seu-les aveugles de guerre, females, victimesde leur devoir.

Mlle Smatuse Marin s'ont engagee enavrtl 1918, comrne conductrice d'automo-biles. Envoyée au front sur sa demande,ell, fut affectée, quelques jours après àI, S. A. P. 11 de Nancy et conduisit desvoitures d'ambulances. Oe ravitaillementou de missi.. dans des points fort expo-sés du front.

Le 11 juin Hall elle fut grièvement bles-sée h Chavigny, et, à /a suite d'une vio-lente commotion eérébrale. elle perdit suc-

ment de cécité complete.Comment se fait-il que, dans ces ci,

constances, le ministère des Pensinne, qui

%i 'n se pl v cu'? avec 1000e4 rIsiS.'1'lliitno;M %, pué de 95 et de 100 %, lui aitbrusquement fait savoir, il y a plus d'unan, que sa pension ut était supprimée,rril:., Prexte quelle ri, avait pas fie mi-

o-erre

Les troubles espagnols

Madrid, 16 novembre. Ancrue nec,velte particulière n'a apporté la moindreprécision sur la sentence rendne par leconseil de guerre de Pampelune contre/les auteurs des troubles do Navarre. Onsait setiement oplun emomandant d'état-major est sec-asti de Burgos peur Pompe-lune avec la sentence du conseil de garas-ne de Pampelune que eelni-ci, cordonné-ment au Cour militaire, avait soumis à1:supra:galon du capitaine général de13orgos.

Les milieux officiels déclarent à ce e,,.letque la justice militaire de la capitai:renie générale de Burgos n'étant pase accord avec la sentence mononcee

trairre:iire'v'enr'Zvarliet Vr:Ce7i%.,1.'11rue de la guerre et de /a Inerme cna,après examen, prononcera une sentenceirrévocable

e Seuse

Manifestation contre M. Malvy

Saint-Etienne, 16 novembre. M.Malvy devant assister à un banquet, ungnou. s'était fornVé sur le cours Victor-Humo pose manifester contre lui. La po-lice ayant obligé les manifestants à cir-culer:, ces dermers se formerent sua,,,colonne, dont le passage donna lieu àquelques conflits. Un des alnuersairesM. Nfalvy, encien profe.enr, assez se'-:riermement malmené, dut être Pansé anposte de police.

Un incident italo-russe

Rome, 16 novembre. Hier, des fas-cistes ont arraché le drapeau rouge quiornait l'automobile de M.Youreney, am.bassadeur des soviets à Rome. Celoici

se rendait au ministère cies affairesétrangères pour conférer avec M. Mus

Cerst la troisièmes fois que Pareil full,se :produit. Au surplus, les fascistes ontinsulté M. Youreney. Ils ont été :arrêtéeet la police a présenté des excuses.

SOCIALISTERélc,i0a gG, R0, Rog.,1.;àe TOULOUSE - Tg. 5-43 Compte Chèques postaux u 5.-77

BUREAUX A PARIS 3, Rue d'Aàboià, 3 (x. Afrondi.sement/ Téléphone 09-0(1

Les Dictatures aux abois

MUSSOLINI, A SON TOUR,VEUT UN COUP DE FORCE

ET IL LE PREPAREPAR UNE RIDICULE COMEDIEIrupossible de ne pas noter l'analogie

des evenemunts ou se dérouslent en Es-pagne et en Ltalie.' Les dictateurs ces deux pays mat enParallèle dégringolade. Pendant nuetreo ce Rivera poursuit au Maroc une ex-)péxition militante lamentable et queMcnsolini s'efforce de pl.troner devantson parlement-crourpion, hem r'égimesagonisent dam l'isolement et la Mproba.lion dont les miteuse l'ePinion

Et toue dieux en sont à chercher lesn-Arros moyens déphapper à un destindésormais scellé.

Si o1osoup Que soient encore les faits,il n'y a plus de doute que les troubles deBarcelone et les échauffourées ce larfrontière ont été machinés par les maori-tés et la police espagnoles, nue des ré,volutionnaires exilés sont tombés dansun piège ourdi cous donner au pays laurne de désordres et }DO, trouver un prétexte à frapPer 1..1,pm:tical menaçante-

°r, c'est bien une opération analoghequi promît en préparation de l'autre côtédes AIPCS.

Sinon, â quoi rimeraient ces bruits decomplots lancés par /es fascistes, puisaérnentis par le gouvernement. ces ru-meus folles dune expédition communis-te ou ittsanes dune .1n-elle croisade ga-ribaldienne ?

A quoi surtout répondrait ces naviresde guerre qui croisent de San-Remo àVintimille, ces bataillons expédiés à lahouiller pour monter la garde contreune invraisemblable année de conspira-teurs ?

Qu'en serait-il de ce rernueménageeffarant?

Il 11., a qu'une explication possible

MUSSOLINI

c'est one le dictateur italien cherche unediversion

Elle sera ridicule si elle se borne là,car le Marius 01, manque qui s'organisesole les huit jours un simili-triomphe cou

Notre confrère parisien te u Petit Bien aa interviewé plusieurs députes sur des su-jets divers. Nous relevons celles-ci

M. BALDWIN ET LE RAPPROCHE51ENTFllANCO-ALLEMAND

De Rognon, député socialiste :

«lie cabinet Baldwin mima une Politi-que étrangere qui ne sera pas tellementdifférente de celle que pratiqua RamsayMac Donald. La plupart des accords stleivsou bottes, conclut entre Herriot et Ram-sey Mac Donald, seront sans Mute salie-tiennes par le nouveau Premier britanni-que. Notamment, le cabinet Baldwin devratravailler, tout comme son prédécesseur,au reritoreement de la Société. des Nations,d'accord avec la France.

a Cependant, il est bien certain qu'avecles travaillistes le gouvernement 'Herriotpourrait converser avec confiance et sansarrière-pensée. Il existait un synchroinsmepolitique entre Londres et Paris, une simitlitanie de vues qui facilitait singulièrementla triche des deux gouvernements.

« Maintenant, ce n'est pas tout à fait lamême chusc. Des possibilités d'entente Par-faite et constante dusparaissent. Par exem-ple, M. Baldwin veut faire du traité de

ersailles la base intangible de son actioninternationale. Or, nous, socialistes, quiconstituons une bonne part de la majoritéà la Chambre, nous contons la revision de

ce traité, si injuste en certaines de des Par-ties. Nous voulons du rapprochement fracco-allemand.

UNE QUESTION ANGOISSAIVTEDe Charles Baron, spécialiste très averti

de la question du pétrole :

II y a du pétrole en France, Les rateports d'ingénieurs américains travaillantpour le compte des grandes firmes pétroliè-res le ptunvent. Mals il s'agit de déter-miner où il se tr011Ve. Des travaux ont étécommencés. Ils ont donné des résultats en-courageants. Malheureusement, les crimanquent.

« Je propose au parlement le vole de1511 minions de crédits. On .1,0.11525 ma

,

1aenrs vaines naachinationsdu Maroc à 'Vintimille

pitolin ne donnera pas à croire qu'il se,,bilise contre une nouvelle invasion dehordes subversives.

Mais si ces mesures doivent être dé-veloppées, si elles ne sont qu'un prélu-

PRIMO DE RIVERA

de, alors d faut s'attendre une machi-nation crapuleuse, au coup de force ré-clame par les extrémistes oui veulem,avec le las de Miocène Farinacci, reclon-nes une bannesse au fascisme dans unlasse buis oie sang.

Condamnée, la dictature italienne veut-elle demander un sursis à un ré:ou:Me-ntent de ses violences et dis sa terreur èInutile t Elle Pouvais sriVr, malué,tares abjectes et ses mimes inumnonbra..bles, quand elle donnait l'illusion d etteun mouvement national. Elln est perduedu fait qu'elle a aporté dans le pays lespires divisions et qu'elle l'a morcelé pourle laisser en proie à ses profiteurs.

Même pan un coup de force, elle lié-vitera pas Effondrement.

Ce qui se passe an Espagne peut-êtreciéjà un avertissement pour Mussolini. 1-ea complot 5, I. arrestations, la justicesommarissime dos cours martiales, l'api.pel am Ismmeau n'ont pas arrêté l'agi-talion qui redouble.

En Italie aussi, l'opinion en est à cettephase oh tee pires menaces et les pirmsévices ne peuvent plus la faire renoncerà la liberté dont elle entrevoit le retouret toute tentative Pour retarder sa victoi.re ne fera nu ajouter au terrible comptenu'elle demandera à Mussolini et à sesbandes. M. HAWEL.

Quelques Interviewssur dos sujets divers> <

Fronce, en des endroits qu'on aura au préa-lable soigneusement recherchés et délimi-tes, cent sondages, qui coûteront un mil-lions chacun on doit se baser sur ee

s Du point de vue international, /a lutte

flaUltpour le pétrole diuvuein tu plu, OeuuiuuuatrItilinuoiteestes. noir

LES MEDECINS ET L'IMPOTDe Ni, Criante Je vais dép.er un amen-

dement qui a son importance. I/ nous euers

que les mé-decins fussent astreints à présenter lems/ivres au fisc afin de faciliter la

pereeptionde Ernmet. Jusqu'à présent, les- médecinséchappaient à l'inquisition fucale ; leursdecilarantitoenns:

sucaie,nt.

continuer à ne pas FIVOir leurs livres ou-verts pour le Ose. Ouvrir leurs livres, c'estvioler le secret professionnel. Peu declients aimeraient qu'un &PPrtt qa'lis 50,1traités par certains docteurs spécialistes.

a J'estime d'ailleurs que le secret pro-fessionnel des avocats doit être égalementnespeeté par 1¢ fisc, et que leur déclara-tics de revenu doit suffire au percepteur.

é Voyant qu'il ne réussira pas à fairemontrer leurs livres aux médecins, le gott-cernotnent semble disposé à Pur appliquer

Meut basé sur les signes exterienrs d,,i.,hPSSC,, 511r le prix du loyer, par

car,,,.«Soit !Mais alors il faut discriminer en-tre le loyer privé et le loyer professionnel.

« Un médecin peut, s'il a cinq ou six en-fants, possédec na grand local et n'avoirpis pita cela des revenus consIdereb/es.C'est hi videur locative des piêces d'apPar-teillent servant au médecin O exercer saprofession qui doit être prise Pau, haiede

s Quant à Eaufontobile du médecin, ellene peut être non plus taxée. C'est un ins-trument de travail.

a 001151 dans quel esprit cou. monamendement, dans quel esprit le le Mea-drai. s

LUNDI 1:7_ NOVEMBRE 1924

le, 20 CENT,

La République das Soviets aun budget de la guerre do4 milliards de francs.

« C'était pas la peine, assu-rément »

Ministres en tournéeA DIJON

Dijon. 16 novembre. A /a foire gas-tronomique do Dijon, :M. Reyna/t'y a pro-noncé un discours où il dit notamment

a Que l'équilibre budgétaire réalisé parle projet du gouvernement soit maintenupar les Chambres ; quo j'emprunt réus-sesse ; quo les tonds qui en proviendrontrecolvent l'aff.tation que nous entendonsleur donner et dans quelques mots notresituation financière et partant notre si-tuation économique ers seront heureuse-ment influencées. A nouveau, nous nousacheminerons vers la vie normale, vers /avie â meilleur marche celle qui remettraé la disposition de toutes les belles etbonnes choses que vous exposes aujour-d'hui. Et nous ferons mieux encore. SI, unefois affranchis ded tenbenreènous continuons O travailler, h produiretoujours davantage, la France reprendrasous peu la place quoi lui revient dans lamonde t la première' et sa marche versses immortelles destinéés. C'est à cet ave-nir, que je souhaite prochain, et que vousvoulu avec moi, que je IêNe mon verre ».

ATOURSTours, 113 novembre. Los fêtes à. la

,gloire dn Ronsard débottent aujourd'huisous In présidence de M. de Ynoro-Ciafferi,sous-secrétaire d'Etat h l'enseignementtechnique, par minauguration d'un monumen: e 'a trame:ce clui l'illustre écrivain.Il a célébré en lui te grand Pane .11iou01-

LE GENERAL NOLLET A CHAUMONT

Nollet, mimstre de la guerre, a prendéaujourd'hui l'inauguration du monumentaux morts de Chaumont Son discours aété un panégyrique de nos assocleb amé-ricains r

« Permeitecmoi de m'incliner, a-t-il ditdevant le sacrifite des cinquanto millecitoyens de ta grandh république améri-caine qui vint, en une heure 00 la for-tune demeurait encore incertaine, nousapporter le bone.ns de ses fore.. Le mo-nument qui s'élève dans cette ville rap- 1pelle qu'entre ces morts et les nôtres, laFrance ne semait distinguer et qu'elleentoure leur mémoire d'une nesse affec-tueuse piété.

nu é

Le prix d'une amendeUn adhérent à la Chambre syndicale des

débitants de vins de la Seine fut condamnéen ...bonnette. le 23 mars mi, à50 fr. d'amende pour défaut d'étiquetage.

Le 22 septembre, ce debannt recevait deIn percephon des amendes de Paris le pre-mier avis h payer. Il était ainsi libelléAmende. Principal fr. 50 a

Décimes 112 30Prats de Pille 786 80Droits de poste 5 e

Extrait du jugementTimbre de quatance

Total Fr. 905 30

Cet exemple ne pourrait-il pas servirla dafe.e de la thèse soutenue par /e dé-

ubé Dessein dars son projet de loi fendantattenuer l'exagération de la sévérité nt,.

laquelle, ou répcitro le s0005an Im-port.. et souvent involontaires

DES ETATS-UNISVictor L. 0E00E:11 réélu.

En même temps que les élections pri-meur. pour l'Oreetion présidentielle oneeu lieu, en Amérique, les élections pour lee Congres » Ors Chambres). Ont Me élusà la Chambre des représentants r Républi-cains, en (gain SIL dérnoerates, 173(perte t 231, Fermer Ixbour Party, 3, so-cialistes, 11 C'est un succès du Parti so-cialiste qui, jusque là, na eu qu'un seulélu autre camarade Victor L. Berger, M-

ure du Milwaukee qui a été, rééln. Unautre sceialiste a fie élu h New-York. Me-ber I« Borgne os un des dOlt(lio'Gs doParti amena:sin à l'Exécutif de l'Interna-tonale Ouvrière socialiste h côte de Mor-ris Ifillquit.

LES SOCIALISTES ET LE SECOURSOUVRIER' INTERNATIONAL

tinté ré.lution du Parti autriehienAprès le Parti social-démocrate alle-

mand qui, il y a quelques mois, a interditaux membres du Parti l'adhésion au Se-cours Onouer International, c'est le Partid'Autriche, qui, récemment, vient de s'oc-OUPOr de la Mémo question. Le Congrès duParti a voté, à ce sujet, l'ordre du jourque voici

« Le Congrès« Prenant acte de ce qu'il aété établi

que le secours ouvrier international n'estqu'un instrument de la -Plaigne bolet.-viste ;

« Considérant que les socialistm en me-1fuseront â se laisser dirper par cette ma- !

noeuvre qui se car. sous le prétexte Uttfront unique et sous le masque de la cha-rité

ci Confirme la décision du Comité direc-teur du Parti invitant tes membres socia-listes du. Sedums ouvrier International àrenoncer à leur adhésion 5.

Cette résolution s Olé adoptée après undébat au tours duquel le citoyen ViderStein, ancien président du groupe star,chi. du Secoure Ouvrier International,est intervenu pour dénoncer les manu-vres de cette organisation. dirigées contreles syndicats, notamment is l'occasion" deIn recente grève des métallurgistes en Au-triche.

LES DELEGUEM SUEDOISA L'INTERNATIONALE

L'entrée des citoyens Hjalmar Brantinget Gustave Meellm au gouvernement sué-dois a automatiquement mis fin au man-dat !qu'ils sol occupé co.ne délégués du

Annulation partielle

des deties interallites

New:York, 16 novembre. A proposces projets de M. Bosnien et de Yr. Hua'bey relatifs aux dhttes interalliées, let, New-York Herald publie l'informa-bon suivante :

o La Question des dettes interalliéessera discutée à Paris, au cours des se-maines prochaines et il n'est pas Proba-ble do'on aboutisse à im arrangement.En ce <lui concerne la consolidation cela dette française à l'Angleterre, il sepeut nue cet arrangement comprenneune annulation partielle qui ouvrira lavoie à une réduction similaire de la 0.5ee.5 Etat-Unis.

LE PAIEMENT DES INTERETS

Lendre, lb novembre. Le beuilcourt que M. Gamelin profiterait devisite à Paris, en dlloembre prochain,lors de In téunion dee ministres des fi-manses xiii5, pom si ggerer que les paysclFbiteurs de la GrandeTketagne com,mencent à otayer à cette dem:ère les in-térêts de leurs Ciett. respectives.

>

La mort de deux bateaux

LA DES1RUCTIONDU » 'WASHINGTON a

Philadelphie, 16 novembre. Le cri-sassé 'Washington, dou la destructionest prévue par la convention de Was-hington, a été remorqué à cuelckuekilomètres rie la côte. On fera *abordexploser, des mines près de sa coque,puis le navi, sera utilisé gomme ciblepou, écu tirs d'artillerie, ainsi que canal'avons annoncé. Si, après ces expériemces, le cuirassé ne coule pas, il aera cté'.rnoli ç'a's un chantier maritime.

UNE CANONNILI:LE SAUTELondres, 16 novembre. -- Cn mande

de Reval à Eagence Reiter qu'unie cmncnn:lre esduceuenne, mena-méav ait dba-gage des mines cars le golfe cede, a coulé vendre& près oie Nargesh suite rie Fexplc,len x..ne nunc II y adeux tués et mx bessés.

Lima do p(rIodes

SainuEtienne, 16 novembrevan: une lettre du ministre, Ce la guerreà Mi Louis Soulié, maire de Saint.Etien-ne, les jeunes gens nui effectuèrent, ati

Mare:c ou au Lavant, au moins trois moisde service militaire dons la pArioce con,prise entre le 23 octobre 1919 et le lesavril 1923, sont elispermes de la Ire Pé-rsoe dmstrucnon dans la meunière ré.

La Vie socialiste à travers le mondeDEUX SOCO1LISTES A LA CHAMBRE Parti socialiste suédois l'Exécutif de

l'Internationale Ouvrière Socialiste. Poures remp mer, le Parti vrent de désigner

lês citoyens Arthur L'ngberg et RickareLindstreern. Le camarade Engberg, chia,leur uu I, S.bal-Dentokraten s, organecentral du Parti, est bien connu dans

BRANTING

ternationale ayant pris part aux activi-tés internationales pendant la guerre. Ili'camarade Lindstroem a MI /e collabora-leur du citoyen Mortier au secrétariat duParti dont il est rmintenant le secrétairegrinéral. Tout. les deux uni fait partie dela délégation suédoise au Congrès Inter-national de Hambourg.

Le' départ de Branting produit untrègrand vide. Il jouait un rôle prépondérantdi1113 let 111.17.SSiORg

UN CONGRES

Le Parti social-démocrate allemand siPologne a convoqué son Congrès Nationalpour les 7 et 8 décembre à Elle1112

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: SOCIALISTE rémentimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1924/B315556101_MIDSOC_1924_11_17.pdfeSEPTIENIE ANNEE N. 7.(173 ABONNEMENTS 'moi), 12 h ; 6 mois, 23 fr., 1 an, 45 fr. pour un

Le CarnetUNA TOULOUSE

STADE TOULOUSAINBAT STAMIC:STE PARBAIS

par II points 13 easais, I but a 3 st.t.t. Il bot.se coop banc)

Partie peu intereemnie, carvellée s pke sou-vent et qui seulement à la fin de la deuxième mi-le* revêtit un cerfeln intérêt.

Dès k débm lee avants bkncs descendent entrombe et ratent le drm de peu: mais Sui coMfram k Stade envahit à eon tore lç camp duNada et sur déplacement de Piqueras' l'essai estmanqué d'un rien. Le jeu se poursuit au ralentiassez égal et les coups francs Plementr soudaind'un cakellage Struma ,'échappe, ettilitéDucomso il pas. à Pépon qui marque. Stade

3; peu après Balatrn trntre dans lee bute selva.mais, ne mut aplati, le Stade domine mainte-n.t mais cafeuille k bal/on et la me temps eetsifflée.

A la reprise le Stade attaque m maintient les

Tarbes dans km camp: ceux. torque. cons-tamment m se font souventsur coup de pied à euivre ks Tachais arrivent dansles 22 du Stade qui est à l'ouvrage: fi tté ee dé.sagp grke à un vigoureux deib,N.g de Ser-

res et de Pénion et ane charge de Pionernali NStade reprend le commandement des opérationeGa* Rn. pases à Corbmrieu oill marque. Stade8- mais enuom sur un coup de pied à sevre,Saverne rate le ball et Mos* et un rouge sof-Ment, l'arbitre n'accorde pas Tees,: le Stadese dégarv péniblement mais dans se. 22, untenu de Saverne motive un coup franc et Du-cousso5 rémet. Stado, 3 pente; le Stade réagitUne dargermse échappée de Carnet est sur le

pelai de carvi*. S1M inêlée., Gala, lance saligne, Bordn trour et arrive devant D.oueso, ilpame à Troussa qui marque et c'est lo Rn. Suale,I I der

Comment ils ont jouéLes avants tarbais très a`Métimee fournirent

une bonne partie, jouant en naque, ms.; itsmenIf," d'excellents dribblinge. La touche cour.te est 1,a.ts jouée et la rnélés eet on modèle dugentr; A rcommtirnent onglet,. te Stadefut nettement ben Roue. Vignau m Morale fa-tent les meilleurs, le demi de mêlée trop °morvesfit preuve d'une grosse a.vitéi Touverure semome, très trois-quarte quelconqueatm, défendirent assez Nem Ducousso ne iâè-

paz ea réputatio,ii rao **tee fes kball, par exemple. ri futi napeccable aro l'homme.

Les avants madistes parurent jouer e sani ara,forcer g faut dire armai me traie st inéme qua-tre d'entre eux faisaient leur remrée mimaientparmi les éclepés de /a steel, ranis ore remarquasurtout que la deuxième ligne du Stade ne pous-mu pas sen* d habitude: en suite de que Inraillée toulousaine (nt enfoncés. Maury fut deàrrégoâo lé meilleur, Biot. ee distinma maisj/ Peu ...eut hoe jeu, Serres revient en for-mer gros défaut que nous ne comm.,

mr-lia. or ne plaque pas ass. eux jambe,Red tram°, derrière *Fe, mais sa nessenomes de précisa, et sors ses:tee à la *Meest parfois défectueux. Galau parait ae réserver,trots fois il consentit à se livrer et trois fois lesmuge et noir allèrent près de "essart enquera Emde fut comme *Mos Tantrnateur, deea I gne et Ri seul mit ramamer k ballon en vi.tees, Ballerin aeVra se deshabitum de faire lapasse en tournoyant sur loi-mêmsr Piquemal nenosis fit gubro d'impression; Corna., a desqualités, mea il est jeune ri!!a besoin d'apurera-a...Sc-verne ne cmornit que deux fautes; Tunetorve 3 pente et l'autre amena ks Tarbaie dans k

madisteM. Laurens arbitre, Le trop souvem débordé et

par le jeu et par ke Lomme qui criadent à IPAMteux G. D.

PAMIERS BAT MONTA UBANUNE SECONDE FOIS

par 8 pointa à a..-Ce m fat pas joli sur k ground, mars ce

kt bien pittoresque dans tes tribunes qui avaientSté à ce point envahies par I,, eIPPortereAeux elulge et même meute nnierkIeuszInt considérable. Tom était plein

Qoalle ardeur justes dieux 1 du dit,S,,,, te moindre incident A s,.d'411"munds de boxe s'échangeaient ,r," p;

que les joueurs, malgré leur évidente vo-lonté de demeurer bien sage, sentaient tom demême par intermittences et vis/Gement, rardéérdes ...terra déborder dans leur et mêmedans leurs godillots

Pertie confuse, cafouillées, jouée sans rvence.et avec, de part et Teno, an eml souci 1 em-pécher l'aidvervaire de marquer.

Heureusement, il y a chez tes epparnéens deuxou trois bons joueurs oe xraem 9rie P.JA

faut moquer' semgme, et par sumo° ontte sens de l'au...

La ,t-ta,, eu fond fut assez égale, et le» essaisdes vainqueurs furem obten. Par surmisenon pas à la suite d'un effort mllecrif ors iffkoNoues clasequea.

Cependant, Pamiers mérite ea vimorm, ce, sison jeu n'a pae paru plus scientifique que irehiiAs Montas*, if a nem. un cep, d'érvinephre atecemué.

Moins fournie en individmlies brillantes, lmappamêens som mieux soudée

Cependant il Weet pas certain qu'ils euseentgagné e les vers n'avaient pes été amputés dedeuz hommes t q, expulse et un blessé.

L'international Poue arbitrait. Qukoee qu'lla joie le pauvre rvacon ! Ajourons m'il s'estpeu soucié des vociféotiom, il a km fait, carelles étaient injustes, et ion im.rtimitr ne eau-rait être mise en dame plus me sa alaire/mue.

-- Après cette rencontre, le team second car.casseuses, au pack impressionnant. ben un moueréserve. du Toec, par II pointa à 3, après unepartie tonte à l'avantage des vertsurs

A PARIS

BELLE VICTOIRE DU T. O. E. C.SUR LE STADE FRAPUAIS

Il point, à 13 essais 1)

Lee Toulousains se présenthem avec uneligna clavante privée de traie itulaires. Au Stademanque Jaurréguy. La foule set dense, car onsait à Paris que le Tom a fie bar, réez.-ment Ne chamnione de France.

La partie fut correcte ot agréable Per. 0.strès eue.. Men que ks emam aes toulorteensMent Ste marqués par les avance. Num ies lignesda team vainqueur donsraree mem une.,et les trok-ouarts mords 'ment phlegme attaquesde très grand style lis le purent parce ove la A.lé, fm favorable aux mauve ré Ems et orie Pi-on ouvrit à outrvnce. La cavadene meuve prouvaqu'elle était l'égale des meilleures et see offensevee gagnèrent Nuirons beamoup de ter.ain.

Lee avants aussi firent une exeellente partie emdominèrem nettement le pis I, adverse.

Dans Tenrvmble l'équipe emorieuse a été deloin, la meilleum et e//e.a dominé nettement' Ktl'emai des moisiesi, n'euratt p5s été marqué siLagedelle avait été à son poste d arrière à cemoment là. Mais il avait été bleesé un peu aups.ravant et avait quitté k maxi,. Le jeune Brunetvenait de le remPlamr

Les équipes étaient ainc rano.. tT. O. E. C. - Lagard -61arress, Fort, Bou-

ohet, Gens. Demi., (lazenave, Gay-*d, Soulé, Valette, Latour, Griotteay, Lane,Belo,

A, bout A 20 minutea As jeu Lagradelle, tourché fut remplacé par Brunet.

Stade Francais. - Souglaci Piron, Fbtlémt. Ber-nad. Floudet Dossier., de Chambrer, Olive°,Bade,, Thiercelin, Flemme, Levasse. Carv-rm,d, Ander, Mondoec

k reLtempe le more marquait t Tm. 3.

L'AVIRON

du SportmanPEU PARTOUT COMITE DU LANGUEDOC

NarbonneRéunion du Bureau du Comité

du mercredi 12 novembrePrésents MM. Artigue, Allemane, Barde, Bon.

nauo. Bru, Brutus, Castel, D.P.., Gomar/Giraud. Guy, Pic. Soue* Vidal. Viten.,

Excusés t MM. Amal, Earales. Trilha.Commission des arbitres t MM. Cenelle, Fon-

tes, Graule.Commiser» de eSlection Pescara/.Le comité autorise les joueurs t Boch

Cualrat Francois, Bassons ejan, Alrhrt curéao.à téétét ts dimanche 16 novembre avec rutététstéééttté Bagéenne.

Délégués aux marehee ok 16 novembreCAB - Quille, à Nes/bonne t M. Assigne.Rimes - Montpellier à Ni,"., r M. Giraud/N'Ornés aux matehes du 23 novembre t

ABC (1) - ASB (I) à Careaseonne 'M Assigne.FOL)!) USP (I) à Lézignen M Allemane.Rimes - CAB à Rime. : M. Pic.Quins QuIllan à Perse/men t M. Vidal.

es A Bayonne, es mer moi rent a ente. Heno des rencontrea à PenpIgnanEmba.,s et surtous ForhA Biarritz basent, émer. LNP (2) ECL (2) à 13 heures.nea. Loi demis bayonnale furent impérieuse à Qum, (I) (/) à /4 h, 30.ceux de Bierrit. en troismorts /Mark* et CI, Le rem, dér,Idr de 66chaque furent les meilleurs biarratet à Bayonne. erm,Moarimmi B Homesde. ',Marna.< ituranurabN. Le R. C Coureannais fornmie une réclamationArnaudi, eommit quelques fautes. pour brmalités menaces vsies de fie', contre

ecnee veU. S. QUILLANAISE BAT C. A BITERROIS

J ss SportiLéesnariese.Par 3 à 0 /a touche par l'arbitre M. Massette pour brute-

tésréciproques.L'affaire est trenerese à la menuisaient dee rè-

glements.

BAT LE BIARRITZ-OLYMPIQUE-par- G bersf a zéro

D. le debm ks équine. prennent alternative-ment Tammage, la lutte eet très eve et la dé!,sr,impeccable amie la minemps arrive alorsoue le obleau eet vierge.

Ais reprise Bianio domine un moment, maksur touche Etchrvvin donne un petit coup depied, Magnanou surgit happe le ball et marque.Fort ttrnsforme. A. B., 5 points. Dès Ions Bley

tie désunit et l'Aviron domine. nettemmtN'agneno, réussit un but aur titiribi, A. B6 punk, peu marna ie méme Magromou servifile C mt plaqué ms lee burs biarrste, mais Du-mont peut prendre k balle et marquer A. R.ints, et c est la fin.

Biarritz dosnina s, Ire mimants, Bayonneen 2a. mais 6 fam dire à la décharge des Biar-rots qu'à ce moment ne hemiem qu'à 13.

/eus demi de mêlée et kit, arrière eyant êté

Partie très amenons disputée. A la Première mirtemps. Quilles qui e le ballon fait &mer ses li-gues arrières. mais elles se monoent maladroiteset de plus k défense biterroise em impeccable.A k reprise le C. A. B muera un moment lemeilleur, mais acculés un moment sur kurs butsBedoe marque en face. Lee Bitertois donnentatm à fond. marquent même un éssai .refusé le pomelo du hall étant Passé en trimshe

c est a n.

C. TOULONNAIS BAT S. O. AVIGNONAISP. 9 à 3

Pendant toute k momie,, trildempe le jett estégal ,Sit,,, n'est marqué. A la reprise Avignonmarque un joli essai. Dès Ime /es avants Toulon-nes eont déehatnést le jeu em dmi trete Avignen-nais eont touchés et coup mup Toulon marri.3 emais.

Avignon a fait une bene partie et s'il avait P.jouer à 15 les 80 minutes durant, il aurait étédifficile de prédire I. vainque-.

A PERPIGNAN. - Perte,* bat Bègles per41 nome il I emais, cinq, cinq buts). à LMpetits G szati, 1 but am coup franc, 1 but)

eL résultat dispense de tom commentaires. IseCatalans surclasrvrem lee mmrdeare. Cette miseen eraftie des a sua et or s !eu sera tres pro-f taVe il st clair qu'à I herbe acmelie k tramgales,e par dessus ...aux <irae.

A TOULOUSE. - En chaMpiannat des Pyré-nées Gr Football-aub toulousain batLalande-Okomioue par 5 nein. (I essai, I but)à O.- En championnat de 3' série. PU. A. S. deCroix-Daurade bat le Rama par 9 porv. (3 emaie)a O.

A CAHORS - Es champiom,et dee Pyrénées.Gadliallnivervité-C196 toulousain, bat l'Aviron

cadurcien par 3 à 0A GRAULHET. - Es, championne Graulhet

bat l'intime Sportive touloumine par, 23h 0.A CARMAUX. -E,, championnat. te F. C.

carmes°, (/) bat Tockey-Club toulousain (I) per

COM/05310, DEO CATENDRIENS

Houralogedion dee matches du 9 nosembre 192AAS13 (1) bat ECU (I) par 9 pointe à (1.AT3 (2) lm ECL f21 P.. 9 pointe à 0RCN (!) B ASC (I), match nul 0 à O.ABC G) et BON (2). match nul 6 à 6./LON (3) be ASC (3) par 2.0 Perm 5 5.Le match CAB - Q 'II j D h

16 Nrvernbra, à 14 k 30. sur k orme du Ra-cing.Club Narbmnais. Le peoage de k rereties'effectuera k mode adopté pour ke mat-ches en terrain neutre.

Cousus.. DES ARBITRE9Mate/tes du 23 Noomike 1524

Division d'Excellence14 h. 30 1 ABC (1) - ASB (I). Arbitre X.

Touche r Roomine, Bad..14 h. 31) 458 G) ABC (2). Arbito r M.

Carbonne Tomhe Miro, Mes..13 h. t ASC (3) -A53 (3). Arnioe M. Radie.

'Touche 1 Rouanne, Samitré.14 h. 30 t FOL (I) - US? (I). Arbitre M.

Carrié. Touche t Roche, Falgas.13 h. t USP (2) - FCL 12h Arbitre : M. Bel-

o. Touche Py, Maury.Diviçion d'Honneur

4h. 30 : NImee (I) - CAB (I). Arbitre : M.Maynadier. Torne, r seront désignés sm pi,,.

14 h. 30 Quine (I) - QitiIlsit(I). Arbitre : M.Mailhan. Touche t MM. Py, Maury.

Pour les matches de k division d'honneur, duG Décembre, /a Commiesion enregistre l'accordQuilles-Montpellier eur le nom de M. Maux.Quine (I) -CAR (1) su, le nom de M Grec.Qmns (2) CAB G), M. Maynadier. Le 7 dé-combre : Montpellier - Quine, M. Capelle.

M. Ladeech remplacera k 16 Novembre M.Alaux, indisponible, au maxh Montpellier (2) -Rimes (2).

COMMISSION DES RkeLksoirrs

Récierration FL contre la qualification duMlle.' Dan- Attendu qu résulte des aen-A MOI SSAC. - L'Avenir meseagaie bat Ai. ,rni ,j.,

gmllon par /7 pointe (5 emais, 1 brrr) à xés.1. k joueur LALs M.. en France de père étrenger,"lan 1" ,"»,,,,, de mère née en Franc, est Francais. Que celallrlsr élrl5rs5 q,;"""" ,,,s,,rl'u"."" résulte d. 1 de rét-

L" ":""`"" et"- "i" ow. 8 du code ciel, dont doit être fait éot.efficaces, dominèrent même à le fin de le Parne1 Qu'en col-mémo..., Lieu doit Me conederdiilean" P!" ""à comble Français, mus condition résokrobe inatreize.A AGEN. - En championnat A Périgord-Age-

nais (2, série), /es Cheminots agenes battent leBurvAthlhique-Cluto par 29 points 17 essaie, 4

bme) à 0.A VILLENEUVE-SUR-LOT. - En chempino

ne. Villeneirve bat Sertes par 17 Point. O essais,1 but) à3 points (1 emai)

C/ub athlétique villeneuvois (I) bat Belvàs(I) par 23 à 0.

A PERIGUEUX. - En championnat, l'UnionOnOttiVe Berger*. bat Club athlétique P./gour-din (I) par 3 points (I essai) à O.

A EYMET. - En championnat du P. A. dedeuxième série, /e F. G. Miramonmis bat k S A.Ey-metern ne, 6 points G essaie à aéra

Partie chaudement dleputée, devant une foulenombreuse, Miramom domina constamment clansto. Ies econpartiments du inu. A EY... Fe°é,firm le meilleur. Arbitra. magietral M Dupont

A TONNONS. - En championnat du P. A.,l'A. S T. (1) bat Stade eainthivraduis par 38points (IO assai.. 2 bms, I ohm goal) à zéro.

A CASTELJALOUX. - Les Cadets de Gas-cogne Mixte) battent TU. S. densawasise P. ISpoime D emaie, 1 lut, 1 drop g.1) à zéro.

A GOURDON. - Courden bat Dervan par12 à 3

A CONDOM. - Ruelay-Emplorve d'Agen lmA. condomese par 6 points àzéro.A MARNAN.NDE. -- Union sportive marner,

daise (I) lm Section burdigalienne per 5 peint.Il mese lb,,) à aéro.

A LEZIGNAN. - Le Football-Club Reg/lamiebe siaintiVe des Chemin.. de Toulonsepar 21 points (5 essais, 3 buts) à 7 »Os drop-goal. 1 emai).

A EAUZE- Le S. C. éluyate (1) let Castel.jaloux G) pal' 21 poime à 3.

A CARPENTRAS. - En championnat du Lit--tore' (d.i.ion d'honneur), Camentrae bat Salonpar 12 ,setlts à 9 points

Partie indécise jusqu'eu an de 'el. fuit,,!.Solo. fut /mn de sa forme de dimanche P...con, Mamelle e son énertnent en deuxièmemhtenaps lui a coûté la vicier,

A DECAZEVILLE. - En championnat d'Au-vergne (Ire .riel. Ie Sporting-Club decazevilloisbat le Stade airelles,. par, 16 points (4 ses., I

A,,,,) à zéro.Le sr., représesue la physionomie de la Per-

qui fut tome à l'avantage des Inca.. Les De.cazevillois jouant avec une fourve, surtout endeuxième mi-temps, marquèrent ou.. ro., gonmnefornes.

A BORDEAUX. - En championnat de la Càted'Argent idivizinn Tisonne., l'Aesociation etre-tive ris, R T. T. bat Cadillac par *Nit.

- L'Aasociallon sportive du Mi. be Bordeauxfituffizzo-Club par g points à 3 Maten de classe-ment

A SAINT-GAUDENS. - St ...Gaude. bat St.-Girons Sporting-Club mar 8 pointa (2 éé;é. I but)à 0. - E, première mrvemosle k, est ...or-donné et l'avant.e de St.-Gtrons. Par la mireSaint-Gaudens se *mies et prend gerce au tra-vail de ses avant., une nette supériorité; un es-sai est marqué à la Mx d'une Maque mor-e, par Bernés Le deuxième esse de toute beautéfe l'oeuvre de Le.ure.

Les lignes arrières de Sa-Cardans posronrgetre ut isées us souvent.

qu'au 15 avril 1925.Pom ces motifs, k commission rejette la ré.-

motion tant du FOL que celle du RGN au sujetd, Mari

En ce qui concerne tee réserves formatées P.rAsc tt, sujet de Senorargues, la commise*décide de ne pas lui donneyeite, les déesionede la commiesion d'ameemisme ne relevant pasA son xssert.

Laig La NouralluFleuru. sera etatuéune prochaine séance.

Comession Scout.Hate des engagés

Pyr.-Orient. - Collège. Ecole Normee et &oieSupérieure de Perpignan, Ece/e Supérieure dePrades, Collège S»vaLmis de Perpignan.

Hérault. - Collège Bée*, Lycée Montpellier,Eeole Trinité/Matera.

Gord. - Lycée de Rimes.Aude. - Feel. Normale et Lycée de C,,,...

s.,,,, Rank de Commerce et Collège de Nar-boun,

Lienoux.Collège

de Castelnaudary, Ecole Supé-rieure

To.I /5 engagéeLimite d'hue. - Juniors t Molina de /8 al,. an

ler Crvobre 1924. Seniors : Main, de 21 anelm Octobre 1924.

- L. Comité invite les Asseutationg scolaire àg, pretue en NIus ten les /ivres scolaires. Leschampionnats dm mus-comités sencrs devrontIl,. terminés /e 5 Décembre. Les championnatsuniore commenceront qu'an.. le I, janvier.

Le Secrétaire.ALLENIANE.

CYCLISME

AU VELODROME D'HIVERGRASS/N ET CAEUDAL VAINQUEURParis, 10 novembre. - La réunion du Vé-

lodrome d'Hiver s'est déroulée devant unesalie comme ; elle_gobfporian .111.sus de demrafond crerriere mot.. La pre-mière lut remportee par Grass. et la se-coude par Catudal.

Voici quels furent les principaux résulfats de la réunion

Degni-fond, prix Paul-Bor (2 manches/- Premiers namehe (15 1.,,) n 1. Paillara,13' 46" 1/5 ; 2. /leude/ à 5 mètres ; 3. Fos.sier, à 220 m.; 4. Goehvier, è 1.000 m.

Deuxième manche (25 km) : 1. Catudal,22' 32" 1/5 ;2. Godivier, à 250 mètre!',3, Paillard, à 300 m.- 4. Fossier, à 500 na

Classement générai ler Gala./ 3 P.;2e Paillard, 4 p.; 3e Godivier, à p.; 9e Fos-sier, 7 p.

Demi-fond, prix Tom Linton (3 man-ches). - Première manche (20 km) Il. Lisnart, 17' 32" 3/5 ; 2. Gressin, à 300 m. ;3. Keenan, à 450 m.; 4. Semés, à 1.500 m.(panne de moto).

Deuxième manche 130 Pm.) 1. Gressin,2612" 4/5 ; 2. Linart, â 950 in. (crevaison);3. Keenan, à 1.250 m. ; 4. Sérês, à. 2.250 na.(panne de moto).

Troisième manche (10 km.) 1. Sérê ,8' 53" 4/5 ; 2. Gressin, à 125 métres ;

A PAU. -Én chamoigonst Cao baisa., KAAAAA' ' 9° t'os

2e Unart, 7 3., Sérès, 9 p. 4c :erten°geil) à 0

L. melleme équipe a gag. et auraitfaire plus noprieueervent si dl, n'avait pu étéhypnotisée pas le binefice ded 4 points du début

- En kver de rideau, Seetion pallia, (3) eiAsaociation morose hayonniae (3) font ma..h nul t0 à O.

A DAX, - En championnat l'Union slz,osestdacquoise bat le Sport Athlétique Saint-Séverinpar 6 pointe 12 "mie) à O.

finale de le poule B, la S.ection paloise bat l'As. Cia.ement général t ler Grassin p ;

AUTOMOBILES A CITAIT

10 55 la ÉolditalNenta

:::"...eitinne erni2i.s'AVritrer,s3

PETITS FAITSUN CAMION SUR UN TROTTOIR

Béziers, 16 novembre. - Il),, vers15 heures 15, un One grave accident s'estproduit dans noire ville, devant I. maga-s., « Paris-Eléziers s. Un eamien ante -mobile a tamponné une voiture Alivrai-son, occasionnant la mort eltim garçon li-vreur et blessant plusieurs peiteOrtPeS.

10. Français Pav.r, livreur, était occu-pé, av. plusieurs employés, charger unfourneau sur la voiture de livraison desmagasins ti Paris-Béziers qui station-nait devant la porte principale de l'éta-blissement, au bord du trottoir, d'une lar-geur de 4 m. 40 à cet endroit. A ce mo-ment-M., un camion automobile descendantl'avenue de Nanas. survient et, arrivéhauteur de la voiture, par suite d'une rup-ture de la direction et d'une déviai,o,, oe-casionnée par les raits du tramway, heur-te violemment le véhicule qui est projetédans la devanture de la droguer), de M.Garrigues. située environ S aie méttlles Ru-des/ms.

Le garçon livreur Pavter eu Dreier-tedans le ruisseau et tué sur le .up. Relevéimmédiatement par quelques Passants. Mncorps a été transporté è la Morgue. Lemalheureux a eu les côtee enfoncées et latête broyée.

Le air.. livreur, Viotor Papary,ans, qui l'aidait à charger le fourneau,avait quelques contusions dans /e aga.

Le conducteur de la voiture, Louis rté-veillon, 53 ans, se -trouvait sur R Ratierà R téte de son cheval. Il f'ut quelque peubousculé et reçut des contusions qui neparaissent Ras avoir de gravité.

Mme Garrigues a été grièvement bleeséepar le camion qui a défoncé la vitrinejleson magasin. Transportée à l'hôpital, on aconstaté de multiples contusions, en parti-culier â la jambe genette qui est en partiedéchiquetée.

Deux autres personnes ont eu aussi desMessieeu légères. mals après panementont pu rejoindre leur domIcile.

L'IL/VIII 1925 SEGA RIGOUREUXAprés mi été pourri, de mauvais

présages nous .noncent un hiverrigoureux.

Voici déjà le froid d'automne, mal-sain et pén,étrant. Chauffez-vousagréablement et proprement avecLE RADIATEUR PARABOLIQUE LE-MERCIER FRERES /03 francs chezles éleetriciens.

Voir Fannonc en que/rems page

UN ENFANT SE NOIELe Barcarês (Pyrénées-Orientales) 16 no-

vembre. - Vendredi dernier. Mme Genet,s-apercegant de Pabsenee de son jeune filsâgé de 3 ans, se mit à sa recherche. ElleS; tarda pas h découvrir le bébé, qui, sansdoute tombé acadentellernent dans un despetits canaux de Panel-en Salin gisait ina-nimé. Bite le retira de Peau mais ne putmalgré les soins empressés, le rappeler

la vie.

Congres agricoleTours, 16 niniembre. - Hier s'est tenu

un important C011e'rèS agricole réunissanlplusieure centaines de détéigués des asso-Mations des (dix départements agricolesdu Centre. M. Jules Gatier, o,,,", fer d'E-tat, président de la Confédération end-rale des Associations agrieole, Présidai,

11Rs vux ont été adoptés demandantque M projet. de loi sur la spéculation il-IMite ne solt pas étendu aux producteurn;que l'évaluation soit basée sur la valeurproductive Melte des ters ; que re5-seignement agricole soit indus dans lesprogrammes de l'enseignement primaire.

Un banquet a eu lieu tai à réuni don,,cents eonvives.

L'ordre du jour du trente-troisième

Congrès national

de la Libre Pense

L'appel suivant, avec Perdre du jour du33e Coogrès National, est adressé aux or-ganisatioas laïques et aux groupementsadhérents, par la Fédération Française,propoa du 33e Congrès National, qui eetiendra le 30 novembre et le ler décembreproehain au Médical Hôtel, 26, faubourgSaint-Jacques, de 1 h. 5! h.

Aux Libres Penseurs,a La oh/loir, raie/Raine du 11 mai der-

nier serait incomplète si vous ne compre-niez l'absolue nécessité de redoubler d'ef-forts et de vigilance pour briser Poffen-sive cléricale qui s'arganise contre la Ré-publique et son oeuvre de laicité.

La Fédération Française de la LibrePensée 0,1,5e moins de deux ansées,,réalisé, p,» sa réorganisation mem, et unepeopagande inlassable, l'union de toutes lesfoaces libres penseuses en France, vousconvie à assister en foule, le 30 novembre,au 33e Congrès National de /a Libre Pen-sée Française, où les plus graves problè-mes de l'heure actuelle seront étudiés dansRer rapport avec la Libre Pensée etseront arrêtées toutes les résolutionsqu'exige une action continue et buta.,

« Le Conseil Centrer.a Adresser au Secrétaire général, Paul

Dobette, 98, boulevard de laiôpital, Pa-ris (13e), les adhésions, accompagnées d'unbon de poste ou mandat de emq francspour les organisations affiliées et de dixGan. pour ma outre, CE phur les inscrip-tions individuelles. De meule, faire par-venir, avant cette date, les noms des délé-gués, pour les réductions éventuelles dutarif des transports ; et, à défaut de délé-gués, un mandai signé du président ouseerétaire de t'organisation dont la repré-sentation. effective au Congrès sera ainsiassurée.

Ordre du jour t« I. Réception des délégués. Vérification

des pouvoirs,Rapport moral. Situation financière.

Rapport du contrôle.Etude de Porganisalion régionale de le

Libre Pensée en Iman..Retations de fa L. P. avec la Société

des Na!!,,,, et le Bureau international duTravail.

Enseignement Droits de i'Etat surt'éducation philosophique de /Mutant ; ba-ses scientifiques a, la morale ; l'Ecole Mo-derne et l'Histoire.

Le travail obligatoire. Chaque arenormaloment organisé doit produire l'équi-valent de sa consommation.

I. Suppression des couvents et de telesles congrégations religieuses, même non

Exclusion des ministres d'un culte detoutes fonctions PribliMMS.

Application immédiate de la Loi de, Séparation par la restitution à /a NationIdes édifices cultuels,

(Restions et divers./I. Fixation de la date et du lieu du pro.

h 1 Congrès. Banquet de clôture..

Queen rayants de InnParis, 16 novembre. - La ceninassion

des finances a examiné hier, les disposi-tions proposées par M. Clémente' complé-tant /es articles de la loi do finances de1935, à savoir

1/ Le relevement du taux del, taxe detrautunission sur les titres an porteur etdu taux de l'impôt sur le revenu des va-leurs mobiliereà étrangères non abonnéesau timbre.

T Le relèvement du droit de COIISDMIlla-/ion sur l'alcool.

3. Le relévement de ceribi.s taxes Ion'

En ce qui concerne la première ineStee,elle a adopté Partiel, perlant a 2,!

pour cent en priacipal le taits dudroit de transmission.

Quant a la taxe appticable aux valeursmobilières étrangères non abonnées et auxtitres de rente des gouverner.u!i étoth-gess, la commission a Lvé cette trac à 1pour cent, sans addition de décimes,lteu de 20 pour cent proposées par le gen-vernement

Elle a accepté le texte du gouvernementen ce qui concerne le droit de consomma-tion sur l'alcool 100 francs d'augnillal.tion par hectentre.

Pour les taxes postales, la colnmission adécidé de porter le tarif des lettres en-voyées à l'étranger à 0 fr. 85 au heu de1 fr., comme le proposait le gouvernetnefilt.

Pour les cartes postales à. t'étranger, ellea fixé le tarif à 50 centimes. Peur les let-tres et paquets cl., le tarif n'est pas MO-difié jusqu'à 20 gramm., mais il est portéAs 20 à 50 grammes, 5 50 centimes au lieude 45, et de 50 P 100 grammes à 75 centiimes au lieu de 60. Enfin, le tarif du pneu-matiques, actuelllement de 0 fr. 75; ex"poilé à 1 franc.

Enfin, f, commiasien a relevé à 1 francle tarif des lettres par avion. Le droit fixede recommandation est porté de 0 D. 00

0 fr. 75.La commission, saisie d'un ...bic de

dispositions avant pour ,blet d'autoriserl'Afrique Equatoriale française à contra.ter un emprunt de 300 millions pour l'a-chèrement du chemin de fer de Brazzaville

l'Océan, a décidé de renvoyer ees aidacies f l'examen de la commisaion des co-lonies, afin gué ce/le-ci présente un mn -

port qui fera l'obier d'un avis de la corn.mission des finances.

La commission a ainsi termite l'examende la totalité des tutu tkpr,so propoaéspar le gouvernement, sous /a seule réservede l'impôt sur le chiffre d'affaires, audouble décime et des articles relatifs S laplus-value des immeubles ei fonds de com.merce.

<

L'enseinnement religieux

dans les Unies de Phenanie

UNE LETTRE DE ST HERRIOTDO, le début de l'occupation de la Ilhé-

name, le gouvernement français a .66 desécoles primoires dans les principaux cen-tres, afin de permettre aux officiers et auxfonctionnaires d'y faire instruire leurs en-fants.

Des républicains de la région avant si-gnalé à la Ligue des Droits de l'Hommeque Rs principes de %Rite . seroblaientpaa strictement appliqués en Rhênanie, laLigue demanda à M. Herriot de prendretoutes mesures utiles pour que la libertéde conscience fût respectée dans ces écolescomme dans Belles de France.

M. Herriot vient de répondre it M. Buis-son ces termes :

a M. Tirard a prescrit une enquête ap-profondie an sujet des faits d'ordre géné-ral sur lesquels voue aviez .cru devoir ap-peler men attention. Mais, avant môme deennnattne les résultats de cette enquête. M.Tmard tient h faire remarquer que, sida. certaines écoles des territoires occu-pa, il avait été donné un enseignement re-ligieux empiétant sur l'emploi du tempsrégulier, ces faits n'auraient pu se pro-duire qu'à titre exceptionnel et par trans-gression formelle des ordres écrits à cesujet.

En effet d'après /a note de servi,,, endate du 5 1920, gni régit l'emploi dutemps dans les écoles primaires françaises,l'enseignement religieux doit are obliga-toirement dons4 en dehers des heures deMasse. a

a d <

Herriot riiez groode duchesse_DE LUXEMBOURG

Luxembourg. 16 novembre. - kt Herriots'est rendu, au milieu des acclamations.à Luxembourg. La ville est pavois)e auxcou/curs françaises, belges et luxernbour-geoiem.

A 10 h. 30, M. Herriot va déposer unegerl, sur le monument du Souvenir et serend ensuite au palais ducal oû il est reçuen audience privée par la grande-duchesseCharlotte et!, prince Ftilix.

Aprha l'audience, M. Herrlot, accompa-gné de 51. Bénezet, du général de Larde-malle et d. personnalités de sa suite,s'est rendu au eitnetière.

Le cortège officiel a traversé le cime-tière et est arrivé au monument crypte

ciel ouvert sur /es murs de laquelle sontgravés les noms des soldats rrançais en-terrés h Luxembourg. Au centre du mo-nument repose le légionnaire luxembour-geois inconnu.

8111111. Herriot et Thennis déposent desprrbpo ri,

Plus, SI. ifei'6i7ots.tpts.'enranreaniettale, eom-menee par dire l'émotion qu'il éprouve àsaluer les héros de la terre luxembour-geoise qui, pleine de charme est privilé-giée de tant de souvenirs historiques. Ilexalte Phabismn des légionnaires luxem-bourgeois et II ajoute

IA France veut d'abord travailler àla sécurtté des allés et h la Menne propre.C'est p/uS que son droit ; c'est la rigou-reuse obligation qui s'imnose à fous,»,,gouvernernénts. Mais il n'y aura de sécu-rité définitive que da. Id paix organisée/il ne serait pas suffisant de faire succéder

un si effroyable conftit, un régime detraités et de céunpromR eomme cola qui anes ln à tant de guerres. Les traités in-tangibles eux-rnemes deirmt If. suivisd'une organimli. réeinnalo dent nousagons pos6 récemment lei orinoipes f Ge-nève avec Ie concours et de nos amis bel-ges et de votre propre délégation. A eateenivre, la France travaille de toute son

latie" e't ' riemonde h le paix.SI. répondant in cet appel de la France,les peuples se haussaient inequ'à sen RiadMei. 'tomme tant d'autres berne les Il-

giormaires luxemEaurgeois ne seraient pitemorts en vain et comme l'on vat dansvotre cher pays. au printemps, des rocssévères se parer de roses éclatantes, l'holo-causte de Des frères aurait fait germersur les tombes la paix que depuis l'au-rore des siècles, la trista humanité pour-suit de sea venu a.

Causeriemédicale

Je vous ai dit icieoire. trop mec'

cP diurétique sens 'En

d.

ri, 55 l,ntocrètement if lohalol;end un peu hé,lIri,00rlerein dehors dee régt

rie se prêo'c'crir p%sr,L'ail était bien ce nu "'Grena PaPpelaient

fusaient !entrée des te" oen avaient mange.déjà ses qualités vermifUgréelles. Dans nos campag-débarrassent les enfades en kur admini...es a bien fiinumération d'ailWein, dof are un baux axydres la plase

L'ail doit cette pronqu'il renferme et alt,-mélange A, sulfurprenant naissance dand'un ferment, l'allisinesulfurié Pallisine, parlogae pelai quimoutarde dans la ra

Cette essence, oMmes. est douée deque,. incorporée

71.:11melemp:ohe le

inoffensrv''eune peu. tout au pl

drnansalle

illnérgon:dge'l

nitre trai'teinraeillit'UeCette essence, absorbé

passée dans le sang, g'sface de la muqueusel'haleine se eharge, hélun peu canailles. Maisenne a produit les efyeux sur .tteses produits secrétémci incontestablement.précieux dans les -fétides et même dansraire ; i/ a produit ithentiques. Secondairem14beesnermdee,l'ierrnittraettieonn?

h,r,;,,ri7PtervIirseIt,r"s.'toux fait de même, qt[anna'elquêe par l'abondance des ara

Ces effets bienfaisants ont é

succès, rions...entent dans les entharres bronchique, mais môme dans IPtuberculose pulmonaire oh les inter..smondaires des bronohes et des m.,,puent toujours un grand rôle. N'en comchiez pas trop vite que l'ail peut péri,In tuberculose, M /a te., ni surtout 18congestlion pulmonaire grave MI légéreigrippe ou rhume. Il désinfecte simpiament les crachats mais c'est déjà beau,coup.

Enfin, tout récemment, on a trouve il/Mil de nouvel/os propriétée qui seraientplus pro,',» ne, encore. Ce serait un exicollent remède de PhyperRnsien miesrielle, oc ma moderne i répandu, qatçonduit. on /e duit, à Parié/lie-galéra.Après les expérienees de M. Che/net-Bert,de HM. LeePor et Dehray. il n'ai a plus àen douter, puisque la chose u été vérifiéedans le laboratoire sur les animaux me-me, avec la technique instrumentale /aplus précise.

Très rapidement en effet, Pingestiadd'ail fait tomber les tension, artérieltotrop élevées, et cette action se prolongependant au moins vingt-quatre heures: latension maxima peut tomber d, 24 à lemla tension minima, do 12 e Mais lmne corrige que Ise qui est exagéré tiraitension normale n'est pas influencée POlui. Il n'y a pag, semble-V-1h d'effet iisrdet sur 1-énergie mterculaire du acmé,mais, par la réduction de robstsele èvaincre, ee//e-el s'accuse cependant 1.8un pouls plus ampie et moins rapide.

Dans la pratkae, on ample.la teia-

fur° préparée av. la gausse fraiche /al-

coolature) h la dose de 30 à 50 noiti/l.par jour, en deux fois, prRe par sérielde deux jours, avec de,,, joie de repos:on peut utiliser aussi des peules faitesavec la gousse écrasée, el bien enrobées,

procédé plus facilement au spi!, surtout

Fa» les enfants.Je n'insiste pas sur ces fitité,

mise iI application dans chaqiil..falève du médettin. Je n'oserais inas

Uriner .que l'hypertension artérieltee - 1.!

inconnue dans le srégions de la Vrit.0, .011Inil est de consommation ee.,..2;:A.,4me faudrait. pour ce/a, d...établies dans notre chersèment on ne dédaigne pas s que

appeler Phyp.elltenston verbales.:,»J'ai voulu seulement vous r:115,.,ê

foR de plus1 que oe.',,{' t

re,1 CoVer,In e de

corimea r» 01,0» 015 ft IBvante des laboratoires. L "`bons serviteurs dédaigna.

Maie je ne vous £11 point dit pose

cersLa France a. déjà dortntitio

rrul esit."'len'Iarobonnes *ex.?.retrasnocrber 'du errière un

Elleoutrancier.

doit persévérer dans

r lus netternenChsest cPe'lle,P/à comme

ail.et doit venir l'exemple.

que ce fût un s',",'">D' BLeel)r

h l'exploitelide rellonelle

des forces hydreitleees feafeed

nExe portateur Français

veLrsa Flaravnécreu ent pd:ixf

diale, si désirable, mais si diff euser. La reconnaissance depublique Soviétique effectuéeriot, dans tes conditions Ve,indiquées, la oonclusio n d

la Relg!qor q,dvi,e,nedblmiierstveias

franco-polonais sont autantétapes vers le rbglement d

mreolajdioeus commercial. abee

Mais le chemin est encorecourir. Certes, lorsqu'en sepen pleine guerre, une hetin,roû la victoire militaire com..ranger à nos côtés,rtous nos traités de ,rmr5ereena

nenfie 'f'il'rit,"Ito

Pogi'lers:

ee1405

01,

et

»Mei y LE MIDI SOCIALISTE OMMAM41.0__.__.eggra...Xlissa

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: SOCIALISTE rémentimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1924/B315556101_MIDSOC_1924_11_17.pdfeSEPTIENIE ANNEE N. 7.(173 ABONNEMENTS 'moi), 12 h ; 6 mois, 23 fr., 1 an, 45 fr. pour un

de Toulouse

Vnd libér . trouvaient llnaaiesGazellem Gros Danos di-

Grand_Ro e filee. Toio, eTour à

tour' M.'jGa

Ise etc ete

cote du Nord et de' van' ri* ''F'-outa président du tata-

o,,,EZ LE JARDIIWES-PLANTES ;net doOurtgarneitS:Lti3O1,.litS.,,,..19:119con Cat-

gouTE L9E LA GRANDE-Al-LEE seitin rri"see colMeme gr'ideor,ET LA

m

Nous remercionssincèrement cents, it.eleatnesnrier

vnelireausa'brPeleri'dEulit' geguns'l_

5,2:18staient, nalL emendiant notre , Alpes, tantôt danéses/

r ont rencM, quoique des Monts geigSsoarnrveagt:tfnent

nette bonne Telol't enfin de:use qui a prouque vu ses débuts dans 1 enseignement etoù il est venu terre nec sa carrière offi-cielle et prendre ses quartiers de retraite.

Tous ses orateurs vol rappelé les sa-vanta travaux historiques et souligné les

enppd I s msee a nouveau,

la elisposom des Tou- rarm qualités de M. Clos compétence, teliectuelle et admintstrative, profonde

compréhension de /a psyehologie de sesessi subordonnés, bonté inépuisable a i'egard

able et noce admettrions pz s acces

ie latanesicé/riact. ne des ddfaillants occasionnels, fermeté, par-pour l'instant, étant dont. foi, stoïque, quand des circonstances Mt-pdp roprès-midi de treize ceptionnelles le révéraient et enfin, mu-

s On pourrait même, à la , deste, bonhomie, familiarité digne vis-h-ë, 1. via dl toute ceux qu'il eonnaissait depuis

prendre la mesure cid 1.9; , a'.1r teaïsVnt'e ému, lui a offert au nomf ce!one, luaqos n ,none.; du personnel :enseignant de Toulouse, uneieuch et le donanekc.. admirable réplique du plus beau chef-

ardr combien roua Soinndes ramon- d'ceuvre de la statuaire greôque et la fille-t pue fie ! de Praxiték, mutilée comme nus - glorieux

vo poilus, est allée orner le cabinet de Ire-Reste la ritraveiDmanise vett d'un érudit historien, d'un nourrisson

p, bordure du isrdim.N.-Plat./.., ; de Cie, qui a toujours vécu dans le coin-

GrandeAlléeLes tombeaux qui ohm menue des muses et pour qui les arts an-

disparu. Elle est libre, en- ! tiques n'ont plus de secret. Par une heu-

-taè'rerrsentlibre. Pour le sonate à la couse inspiration du Comité, l'art

ausfir.it ,,,,stall, à ppu jearzetLarelaga,àafraterniser avec son

p.àis il y en a dal. le. Oejsint nu dereeùlee anur'X'neeidn.

de laclôture de giroccc , tes admirablement harmonisées et mises

k long ces palmiers ce -À bordent , en ',Oie!' PO, Superbe /muguet diceillets,

,rallons qui, nota . muttion/ores sali é-enfermait.route ce oot

giaaas, doivent être, framée chaque 1 IV Cru, retraré jusqu'au plus profondde cen coeur, a remercie affectueusement

sois ses anciens collaborateurs de, leur délicateentent la mmare quo Fun a attenCon. Il a reconnu quel existe des

minutes exclames qui récompensent larges.mcet Mule une vie de devoir et de de-vouernent loute une vie de besogne par-fois fastidieuse souvent ingrate, car uninspecteur. doit toujours éplucher, criti-quer et distribuer pas Mal de blâmes pourdttellreS èhges, hélas trop rares. Il aajon que le véritable rôle d'un inspec-te. consiste moins à sermonner et â tra-casser ses Subordonnés qu'A les entralnervers le mieux en mettant en évidence eequ'il y a de bien ou d'asur bien, mêmePuer les plus médiocres. En agissant au-trement, on décourage 1m niai doués etle rendement périclite au lieu de s'amé-liorer.

Des applaudissements répétés ont mon-tré ô, le Io:rennel eneragnant approu-vait unanimement reste manière de faire.

M. Gaian a profité de l'occasion goursouhaiter gentiment, au nom de ses Col-tègues. la bienvenue à 'Nt Ambielle, suc-cesseur de M. Gros. M. Ambielle a remer-cié en quelques phrnsm particulièrementheureuses et assuré tout le personnel deson affectueuse et constante sollicitude.

Mt l'Inspecteur d'Académie a résumé ad-mirablement, comme d'habitude, les en-seignements que l'en petit tirer de cetteréunion. oh Clefs et suborvionnés avaientcommunié sons les espèces de la plus tou-c,hante fraternité et les assistants se sontretirés en souhaitant que de pareilies ma-nifestations puissent se rienonveler.' Cin-que fois rinun bon ettPf de service seraappelé à cesse, ses fonctions

Se:1p; nt, dès hier metin emmanche,d'Rone aux enfants et à leurs f

Gtan

maintendra, la partie du

?,l,dee.Plantets a...née par 1 Expos,-

, anse pour rétablir le passage entre le

Gueula Crand-Rond ut le que

aén ersi.:Là aussi, il y :a, sur l'allée ALphonsetkyrat, des pavillons, comme sur

Cetande-Allée ; ce qui suffit à protéger

les uns ne doit-il pas suffire à protéger

les entres ?

Nous n'hésuous pas à aire, que eottcpeste s'ilrecese. Avec la Mari. mtisem.Mère des affaires, la circulation est de-venue très intense sus l'unique voie de

Etrandk-ddiée accessible aux trame

caps, few cardent., alla automobiles etaux cyclistes La police pourrait térmoi-gner que, Cette semaine même, deuscollisions qui miraient Pu avoir rie gravesconséquences, se sont prodkites danscette rus. Atteedrad-on qu'il y ait Mortd'homme POTT prendre une décision ?

Si l'on s'y aversturait, Fan ne po,rraitres dire que nous n'avons pas averti,pans ce journal, les autorités responsa-bles. Et puisque nous perlons de respon-sabilités, je ne crois pas trahir le senti-ment ce mes collègues du Gmeeil géné-ral qui siègent à la Commission de con-gèle end n'est pas dissoute en al-sent one nous aurons, du moins, en faceàe la municipalité, et à toutes fine utiles,ciénigagé publiquement la nôtre. E. P.

Poor M. le Direeteur des iramweys

Est-il permis à un « cochon de pa.yant s, _gui ne verse pas moins, hélas

tri franc soixante centimes par jour,Pour Quatre voyages, de somn,ettre uneréflexion à l'orgueilleuse Compagnie desTranavays de Toulouse ?

Nous ignorons à queille heure ois jourou de la nuit se fait la vérification oumatériel roulant. Elle ne doit pourtantPard se faire d'impeccalde manière, pins-Cu'll arrive qu'à la recette même où elledot quittes le dépôt, une ceinte ma re-tirer de la circulation et remplacée Pareste autre. Conséquence un décalageclans la périodicité des départs des voi-tures successives de la mente ligne, quise tranforme, dans l'heure cati suit, Pour1.6 voYageurs, en une attente inarnentProlongée.

i.e fait se Produit souvent, Il s'est pro-kl;)lit il Y a peu de jours. Une voitured une ligne très fréquentée a été. iesais, reformée à 6 heures du matin, sibien'ou avaa de norr-boeuxsur on point de la ligne, rai attenduion tram, vem sept heures et demie,

durant un quart Amure, sous la pluie etsans abri...

JO veux bien et tous les Toulousainsobligatoirementfrsec aveu moi vesces ce

ante par jour a la Cnspagnie

lactranrivays pour nie rendre à mon

allais mais la prions tous enserre. daigner organiser Ok telle srate la

,Perjfkation de ses voitures es la régula-ide de leur départ, que nota soient é...,/nés smart que possilde Etadmil.

Qouelle

llothine et rdeprésiesveuille bien considérer,

enri.

si sue tout voyageur qui s'alite de sonest, pom elle, un client moments-

rire sinon définitive/rent, perdu I

eiss,1011M,MS,

G.SIRIECHCeieuranoi-Derrore TOUrptIn V01 EL%

TOUS NOS TEOVeUX SONT PARMI'

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La 27'ne Fête

du Guidon Saint-Cyprien

Hier soir, à 19 heures, le Guidon Saint-Cyprien fêtait, en un joyeux et fraternelbanquet, sa 27e fête annuelle, à 11-10te1 deParis. Le banquet était présulé par M. Be-ke, le président du du6 en des clubs cy-Castes, ayant à ses côtés M. Salainon, re-présentant le maire de Toulouse, M. Piques,président de la commission sportive et lesvedettes de fit pédale qui illustrent le pal-marès cycliste de t'année 1924,

Après le repas, dailleurs très bien servi,m. selon prit la parole et remercia en ex-cellents termes tous ceux elt, de lirês onde loin, apportent lem coneours au Gui-don Sent-Cyprien. Il excusa ceux quin'avaient pu venir à cette manifestationfraternelle et sportive, et donou la paroleS M. Salomon,

Celui-ci, avec beaucoup d'esprit, excusale maire, retenu hors Toulouse, et exposases débuts de cycliste, puis tout son atta-chement à ce sport si intéressant à touspoints doser, Il félicita le G. S-C.les performances de ses coureurs et butsa prospérité,

M. Venzel, notre confrère de la « Dépê-che », un des vieux membres du club, pro..nonça quelques paroles émues et très sin-cères, en son nom et en celui de la Presselocale, puis souhaita le plus franc succèsau G. S-C.

ieAprès lui

depari de M. l'Inspecteur Gros rielnpersineeinitIrt

, 14,51. Sarre et Redéan hMeNt

l'intérêt que présentent les sports cyclis-tes et toute la sollicitude que doivent mn-

'''. de nos plus sympathiques fonction- contrer auprès des pouvoirs publies et desos, inspecteur primaire de maisons de cycles les groupements cyclis-

te, vient d'être admis h la ce- tes,effet du fer octobre dernier. Ensuite, M. Piques, président de la cran-

does et les instituteurs placés mission sportive, lut le Palmarès du Gui-epp,. rdres depuis 18 ans n'ont pas don pour l'année /924, palmarès où nouss !;,ler quitteras, fonctions sans relevons les noms de Téqui, Morel,Co..éd%Ie auquel il :Zeit partie 1'èr me

t d

qu p C aMi ortèrent loin h les couleurs dud novembre conrant, f henuresr,n1U Enfin, M. Guy, le fondateur du G, S-C.,,dartirnité du personnel enseignant but aussi à la prospérité de Pceuvre qu'il a

:et Primaire supérieur de 'l'ou- créée et dont il voit le brillant épanouis-ris place sur les gradins de semant.

de l'ancienne Facidté des Nos félicitations au G. S.-C,

eitn%eaTé'udf..;Lbtsaima :raijaatemukcalalaâ menti estatron,

k;e0t,OW résidait la riunesener Gi7Metaut, M. Ambielle, 'son rerna'a

inspecteurs primaires duPtIquignot, directeur desupérieure de Garçons deecret secrétaire de l'ins-TiA M. Longaud, dire,adino

ieure en retrait. et, sur./15- Ehèmicele, se

RHum EXLT:t 13 rus

29, Pue Pharaon

GA ET LAORPHELINS DE GUERRE

Asad/Cations philardropiques usa profes-sionnelles exercent le patronage des Or-phelins de Guerre.

Elections du ter mars 1925 en vue durempleeement d'une déféquée au Con-soli dadministration à l'Office départe-mental des Pupilles de la Nation.Par arrêté du 15 novembre 1924, le Pré-

fet de la Haute-Garonne appelle les as-sociations philantropiques ou profession-nelles exerçant le patronage des Orphelinsde Guerre à procéder h. l'élection d'unedame comme dé ignée au conseil d'admi-nistration à PORI, départemental des Pu-pilles de la Nation. Les opérations élerao-rales auront lieu le ter mars 1025.

Les présidents des Groupements qui dé-sirent participer au scrutin auront à en

faire parvenir la déelaration b la mairiede leur réside.« dans un délai de vingtJoncs h dater de le publication de l'arrêtéciest-h-dire jusqu'au 6 décembre inclus.

HOSPICES CIVILS DE TOULOUSEA la suite du concours ouvert le 3 no-

vembre 1924, M. le docteur Chatellier a éténommé vénéréologiste adjoint des Hôpi-taux.ECOLE MENAGERE AGRICOLE

DE lob HAUTE-GARONNEAprès plusieurs sessions dans diverses

communes rurales du départment, l'Ecoleménagère agricole vient d'être intallée auDomaine de Monlon près Saint-Simon. àLaffitteaol ette-Tout rase.

Elle dispose de tous les moyens moder-nes permettant d'enseigner aux jeunes fil-les d'agriculteurs, 0000 cc Mil'administration inferieure d'une ferme etl'art de retirer de ce travail le maximumde bénéfiees.

Le dornaine est pourvu t1. d'un chai outillé ;2- d'une laiterie permettant d'enseigner

la beurrerie, la froMagerie, la conserYa-tion et la pasteurisation du /ait

3. salles de classe ;13asse-cour et sida. bien instaïlés ;

5. vaeherie moderne, ete...En outre des notions thértriees relatiees

aux applications de Ia science à l'agrieul-bure, l'enseignement te l'Eeole VISO sil,loin les réeullets pratiques couture.coupe des vAtements. lingerie. repassage,etrisine, tenue et admirdstration de labasse-cour. sélect:Mn des Volailles au pointde vue de la pente et de production de laVendu, elimenlattion, 'ravage mecalique,

Fabrication des gelées el .0e/tu/T.,conservation des fruits et légumes, jardi-nage, tenue et administration du jardin.

Par ce rapide aperçu du programme, onpeut se rendre compte que toutes les ico-nes filles d'oc...Meurs de la région avantanie nonne instruclinn primaire ou serra-laire auront le plus grand profit de sui-

vre pendant fp/ratines mois cet enseigne-ment.

demmules d'inscription peuvent êtreadressée, dès aujourd'hui h Mlle la Direc-irkie de lEeole ménagère agrieole de laRante-Garonne. domaine de hionlon, près

T.sfnurguelte-Teulrame.

COMME,IICE EXTER/EtUR

L'agent rdetônal du Commerce Extérieurde Prame fait ronnatire mue, par raisonbudgétaire et suivant dérision , dee du6 novembre 7.2. sis M. le Mhitre des ne-lettes au Conseil d'Etat directeur de Pût-

l'or National rai Commerce Extérieur, l'A-son, rée/anale de l'Office National duEmma., Extérieur, établie b ToMouse,est germée.

Les personnes résidant dans la régionqui usalent des services de cette Agencesont invitées Pn eonséquence h s'adresserdésormais direetemenl h l'Offire Nationaldu Commerce Extérieur. 2? avenue 'Vic-tor-Emmanuel 515 h Paris Oka.

!Elles sont informées. en outre, que leservice, des renseignements commerriauxcontinuera h ôtre assuré par les organis-mes de Beordeaux et de Montpellier, oùil leur sera loisible de s'adresser égal,mentCHAMBRE de COMMERCE

FRANTA3-m.u,,ALEDE TOULOUSE

Une Exposition de Illabitatcen à MadridLe président de ta Chambre de Commer-

ce franco-espasnole de Toulouse a l'hon-neur d'informer les industriels et comme,tante de la région qu'une exposition de laConstruetion et de l'Habitation aura lieuh Madrid. du 17 :janvier au 2 février 1925.

Pour tous les détails, on peut s'adresserdirectement à. M. d'Aveley, secrétaire gé-nées l du Palais d¢ Glace. h Madrid, ou anSecrétariat de /a Chambre de commereefranco-espagnole, 34 rue de Metz, Tou-louse.

ALLOCATIONS AILLITAIRESLe Maire de Toulouse a l'honneur d'in-

former 100 familles dont les sniatiens se-ront appelés sous les' drapeaux avec lapremière fraction du contingent de laclasse 1926 [M'elles devront se présenterd'urence à la Mairie (bureau militairea,les jours féries exceptés, de 8 h, eu h18 h. 30, jusqu'au 30 novembre inclus. Pourétablie le nouvel imprimé qui remplacerah l'avenir la lettre de demande d'allocationprécédemment exigée.

Conformément aux prescriptions de lacireulaire de M. le Préfet de la Haute-Garonne en date du 7 novembredossiers devront étrte transmis à la Pré-PeetUre le 25 déeembre ail plus tare.

MALADE DANS LA RUEAvant-hier SOir, à 9 h, 30, Mme 13...,

âgée de 64 ans, de passage à Toulouse, sedisant domiciliée à Castelnau-d'Estrete-fonds, trouvée malade sur la voie pubililjue,place Dupuy, a été transportée à l'Hôtel-Dieu et admise salle Sainte-Marie.

LES VOLS

Si.' Te de Police du hue ar-rondissement, de service à la Permanence,procède à des enquêtes relatives

1. Au vol d'une somme de 150 francs etdeux bagues en or, qui se trouvaient dansson porte-monnaie, vol commis hier .irdans un tramway au préindiee de hl. MeRYFerdinand, chaudronnier, demeurant ruePort-Garaud, 15 bis.

2. Au vol de la somme de 330 Franns enbillets de banque, commis ce matin au do-micile et au préjudice de Mme Penly Julie,veuve Grasse, demeurant avenue de Lyon,numéro 18.

CAMBRIOLAGESM. Lassalle, directeur des magasins e Au

Capitole v, constata Iller, que la porte del'immeuble numéro 44, rue Volta, où ha-bite M. Lernoine, actuellement dans sa pro-priété de Chambord, prés Limoux (Aude),avait été forcée.

M. le commissaire de police du 4me ar-rondissement, avisé, s'est immédiatementrendu sur les lieux pour procéder auxconstatations C a ouvert une enquête. Dy a eu cambriolage.

Le montant du vol ne peut être évaluéavant Perrivée du propriétaire, prévenu té-

légraphiquement.Hier soir, vers 16 h. 15, en rentrantchez elles, 7, rue Philippe-Réaa/, Mlles Me-

thilde et Emma Birr., 72 et 55 ans, trou-

au rez-de-chaussée, fracturée. L'armoire et ff-eimumerwitvèrent la porte de leur appartement, nvoyez Vete Lettren, "lez eeet

situé _,,

les meubles avaient été fouillés et une som-me de 50 à 70 francs au minimum, deuxtitres de rente de 500 francs au porteur,

1 ireAu MAROC p AVION.e °haine giletière en or et une enveloppe hune da 'manage et a CifSithialle tas III Suescontenant des valeurs confiées en gardeaux victimes du cambriolage avalera dis- Pte ses Ver osTaeelae,ss.Cacaisldeau 91$18..»

Atire et LOI ie. 66. Semas agates SIs, 56

LE RAMONEUR L'ECRAPPE BELLEHier matin, vers 9 h. 30, M. Marcel Fil-

tous, ramoneur, demeurant rue Meus-Dues barrière de Muret), ramis/eleqrnpagnie de M. Charbonne] Vincent, do-micilié rue Villeneuve, 11, les cheminéesde Pinuneuble numéro 21 de la route deRevel. Le toit était glissant cula cheminéeaprès laquelle billons se t,ait, manquantde solidité, céda.

Il voulut se maintenir après néa. autrequi céda également, et il tomba d'une hau-teur de 5 m. 50 environ.

Transporté immédiatunent à l'Hôtel-Dieu, l'interne de service diagnOstiqua descontusions braco-abdominales, Son état neparaît pas grave.

LES LUNETTES Qin S'EN VONTHier soir, vers 14 heures, Mme Cal Marie,

ouvreuse au Théâtre du Capitole, demeu-rant 7, rue Amélie, avait loué une paire delorgnettes, valeur 150 fran., à un specta-teur qui, la représentation terminée, ne lesa pas restituées et a disparu. Une plaintea été déposée contre inconnus

DISPARITIONSI. Terrisse Marius, 36 ans, chaisier, de-

meurant avenue de Lombes (hors barrière),a signalé bien soir la disparition de sonfils Louis, 14 ans.

Le jeune homme est recherché.

TROUVAILLESRéelanaer ; à l'agent Rumeau, rue TOI,-

aune, 1, une pincede modiste ; au Bure.des Epaves, ou portemonnaie .ntenantune petite somme et objets, un paquet con-tenant des reçus ; à M. Badbé René, négo-ciant à Pouy-de-Touges (II.-G.), une bar-rette ;la M. Serres, rue Périgord, 18, unepaire de pinces ; au bureau de police placeDuruy, use clé de sûreté ; à Mme Lafar-gue, châle jardin du Capitole, une gour-mette ; à M. Narcisse Jean, rue Nazareth,14, une couverture de cheval à Padminis-Patton des tramways, un poitemonnaie etun parapluie.

Réclamer s b M. Gascar, pet/tante Saint.Rome, 8, une barrete de dame ; au restau-rant « Rosbif n, ru - Lafayette, un trous-seau de petites ciels', à M. Rouzeaud, rueAgathoise, 22, Musieurs parapluies ; à M.'tout, avenue des Minimes, 46, un paquetde sucre ; à Mme Laffargue, tchâlet du jar-din du Capitole, un sac en toile ; an Bu-reau des Epaves, un livre de ehimm.

Avauces pour CousiruireEembounenta à court ou à long Irma

au gré dao clients. Combla/lao» manaset laiénunantes

rrets HypothécairesSOUtIt rosutet

5, Rue du Sénéchal, 5TOULOUSE Téléphone 6-55

THEATRE OU CAPITOLELa Traviata

Pots moi, critique, s La Traviata n estUn de ces monstres de cru.. eudene onen rencontre deux ou trois bonnes dou-zaines, dans le répertoire du grand opéra.Cruel., parce qu Cie me Sali arifulgaeuse-ment souffrir, à l'Instar des autres remgaines du père Verdi, et que ma plume naPas les moyens de me venger, si faiblementcela soit, comme elle peut lé tenter quandil s'agit d'une nouveauté fragile dont monsymeme nerveux a matsupperté la médiatcrité insolente. La vieille « traviala ta, cui-rassée par sa renommée séculaire, se riraitde mes attaques ; je prefe. m'abstenir I

La fantaisie du librettiste a situé au%Ville siècle la vie amoureuse et la mortmisérable de Violette la fantaisie de MlleBrandt lui a fait placer au-dessous de sesépaules, qui sari fort belles, un joli cor-sage 1830, qui rajeunit un peu trop sonpersonnage. Il est vrai de dire que MlleBrandt n'a peut-être pas eu le temps decompléter Ta gunite-robe, aYant été Priéeun peu tard de remplacer Mlle VictoriaFer, indisPO.,et

Elle s'acquitta de sa tâche avec beaucoupd'élégance et de gentillesse.

M. Maison fut un Rodolphe prestancieux,à la voix juste et bien timbrée.

Onant à M. Ifirrigaray, il nuança avesune délicatesse charmante ses couplets du2me acte et d'une façon générale tous lespassages intéressants de son rôle paternel;il obtint un réel succès.

Un bon point, sans ironie, an :personneldes chceurs, qui a enl,é avec brut le finaldu 3me acte, et tous nos compliments auchef d'orchestre, M. Bourmanek, qui a faitde son mieux pour animer la partition deVerdi. G-. A.

COURONNES MORTUAIRESPARURES TE MARTRE

A EIMMORT'ELLE, mie Rémusat, 6

COURS ET CONFERENCES

LUNDIS LITTERAIRESAujourd'hui 17 novembre, a 17 h. YS,

aura lieu la deuxième conférence de PA. G.des Etudiants, dans le grand amphithéâtrede l'ancienne Faculté des Lettres, rue deRémusat.

51. Mengaud, professeur au Lycée, par-krassur u Le Massif du Mont-Perdu e. Unesérie de projections illustrera cette confé-rence.

La location des places numérotées seraclose au Ménestrel à 12 heures préclkes.Les pertes de la salle seront ouvertesh 16 h. 30.

Il est rappelé à /91/es et MM. les étu-clients membres de l'A. G. qu'ils entrerontgratuitement sur présentation de leurcarte.

PARTI SOCIALISTES. F. I. O.

COMMISSION ADMINISTRATIVERéunion mardi 18 novembre a 21 Imora. as

siège, mité Chebeeu.Ordre bijou, : Adhé.ions, mures de la ,es-

mission du rOrdementi cérémonie JiterèS à Albiet à Pets: ...emblée générale: midetiose di-verse

ts Secrétaire Peul Vicies

BONS TOURNEURS sur métaux deman-dés m. FONDERIES ET ATELIERS DELA GARONNE., Pont-des-Demolselles. S'yprésenter.

Lryendt effifiRierMilga, leATÉCOgelge Pe,-e, es ledowee-Ziontenutra.

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de vouloir bise Isisa eeneahre par la vd5 de sonkerne, noie Fédération Régimele fle Retraitésloin de solideries avec ne grommumwcontre, de mut sieur eves les fonctionnaire> «mirevenditmeat ru, jute raison une améliore,. deIse modeste situation.

Ouvriers et any:Jaya, dee Chemine de Fer duSerd-Orreet. Los oham, orea e cheminots dusnd_Cieee, sem priée ea.eI.,r s Is rhumm géné-rale donée per la Caisse Fra,reelle, le mercredi19 eoverobre, à 8 h. Ri de ,i,, ejle eté Emme.

Ordre da jour : Diaposition. générale à pren-dra en vec de l'impliostion du nouveau régime

tmlmr...Syndicat odes Fatrasie, Une Rets., cs

gm/le ..e>t glissée hier dans le texte gee nousavons publié de l'ordre de jour adopté par ce,ndiest le 12 écoelé.

Nom le résidus.> ci-desoesLes ouvriers pâtissier> réuni, en assemblée

aisé/tale de ce jour 12 novembre envoiem barsale tramps/ atm syndicalistes espagnol. vie,mee du gouvennermnt de Paimo de Rivera et pro-testent contre l'acte des ...rué, fermeime d'avoirshah la loi de l'hospiteitté, se bisent ainsi rom'rimes d'un gouvernement gni a sué pend,t latuerie hentik à te Franee et toujours à kémenci-canon des travailieurs; et demande au emmerde-ment Lamais de faire prendre dee mesure, suams des incidentsuseiwiea de ce genm ne se re-nouvellent.

là, resr de Réms,smt, 25

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THEATRE DU CAPITOLE Mardi à 20 h.Le Huguenote, auge le concours de M. Chem,Mmc Corne Pams MM Stmard.Mlles Brandt. Gelard.

jeudi Le Vie d, Soligme, 50« le concours d.M. Lemaire. Mme Victoria Fer.

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Sur plus d'un tiers db l'étendue situ dé-partement ce la Haute-Garonne, les ter-res manquent de chaux. La petite oseille,certaines fougères, la matricaire pous.sent abondamment dans ces terrains etaisparaissent après le chaulage.

On esoit chauler pendant I. moisd'hiver de novembre à. mars. La mailsleure chaux agricole est la chaux grassevive en pierre.

Quoique rasent certaines Personnes neconnaissant pas la question, seule lachaux vive en pierre donne le maximumd'efficacité. La chats éteinte vendue ensacs, a absorbé' pour s'hydrater près d'untiers de son poids d'eau , elk s, é.gale-ment pn se carbonate, or qui admis-rueson efficacité.

On trouve de la bonne chaux grassees /scene , Fours ce Gourdan-Polignan(M. Saints.): Fours de Maricoux prèsMaeéres ore le Salat (M. Piques ; Foursdc Saisrdean-de-Verges par Varilhes(Ariègel Fours de Rabarat (Ariège).

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los Par hectare en terres légères, taus lestrom ATM

3.1:633 hiles par hectare, tous les huitans, dans les terres compactes et argileu-ses.

Disposer la chaux en petits tas soc lesol recouvrir cet tas d'une couche okIO centimètres de terre. Attendre eneinxejougs pour ope la pierre de chaux sete, foissonne rame déduire en poudre t larétancee ensuite uniformément à laPelle.

Dans les terres labourables, enfouir en.suite par un labour; clans les prairies, ber.ser énergiquement.

Encouragements au chaulageLe conseil d'administration de l'office

agricole départemental ce la Haute-Ga.riennr a décidé* ,Faccorder au titre neparticipation à l'achat, le tiers du mon-tant ce la facture acouittée par le four-

,as, agriculteurs ami auront chauslé.

Le maximum de partici/nation de l'of-fice est de 5.000 kiloe pour les partiram.lime, et de 10.000 kilos pour les synci-cotte agricoles-

Les dementibs de subvention au chas-lege devront etre adressées à M. le pré-Piens de l'Office agricole, préfectureToulouse. 11 sera don.né satisfaction auxias.é.sces par ordre d'inscription ses dermandes et jusqu'à épuisement des cré-ai. cdsPonlbles Post cet objet.

DIRECTION DES SERVICES AGRI.OOLES DE LA HALTEçGARONNE.

NI le ministre des Finances informela direction des Services agricoles que leservice d'apurement des Coinnte. sPéiidm. du Trésor du Ministère c.es Einemces doit procéder le 19 novembre pro-chais, à 14 heures. à l'Administration.centra/e rais comptes spéciaux dvs Tri.SCT, 64, avenue de Tokio. Paris, 16e, àIn vente par ariljudioation et par lot etpar appel d'office, d'une grande quan-tité de matériel agricole, comprenant z

Charrues brabants. cultivateurs Plis.unnoies, Il ents Extirpateurs char

Eassincesmes ii BeiSids ;

200 litres I àouleal. divers ; HersesHoues vigneronnes I iaveleuces I sape.

à moisonnier Houes à mainLouchets avec. manche i Binettes avcamanches ; Pics divers avec manche ; re-tenus ; fourches I arracheurs de posn-nom de serre', fournitures de bourrellesrie cultivateurs canadiens, etc,, etc.

Ce matériel est entreposé dans le campde (rustres (Aubra conumme et haltede Mairières le Grande Paroisse.

On MUR consulter le cehier des char-ges Eaticeication à la direction desservices agricoles e la HantsCaronne,préfecture Tou/nese, to, les louas die9 horkes à midi et de 14 à 17 heures.

CAzERES

EN L'HONNEUR DE JAURES.A l'occasion du transfert descente deJean ...laurés au Panthéon, la seetion so-cialiste de Carères organise une mani-festation rêne/eche 23 novembre pl.chaira à laquelle sont invités tous lescamarades et les .Publicains de la rd.clou.

Afin de commémorer le souvenir dece grand citoyen et ardent patriotr quiillustra nt honora la Tribune françaiseainsi que celui de toutes les victimes dela g,uerre, la section en corps groceietous les républicains qui se joindsont aiscortège ira déposer une gerbe ce flemsau Monument aux morts.

Le dépars aura lieu à II h. 15, caféNcedès. La mairie sera pavoisée en cet.te circonstance selon la promesse faitepar M le maire. t

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L'ISLE-EN-DODONMANIFESTATION DU SOUVENIR.

La cérémonie organisée le II no-vembre fut ce qu'elle promettait toutesimple et imposante cependant. A deuxheures, le cortège formé sin la place de laMairie se met en marche. A la suite desPupilles de la Nation et des enfants denos trois éceles portant des brassc'es defleira et des gerbes magnifiques, vien-nent les sociétés locales, les nélésentersanciens cornhattants auxquels se sontjoint la population entière de la com-mune

Devant le monument dont le soiclecisperaît sous les fleurs, M. le docteurDucessé, conseiller général, parlant aunom de la Mttnicipalité. M. Careneuveddirecteur die l'Ecole, au nom des an.<cens combattants, M. Martm, Maire deElsiccen-Docron, au nom des vétérants,retracent Eceuvre des soldats de la cran.de guerre et /eus apportent l'homanagede la reconnatssa.nee et ak souvenir.

M. Masson, président de la Fédéra,fion départementale des Mutilés ancienscombattants, veuves et orphelins ce /Seguerre, vient proclamer les volontés denos gramils morts et les droits de ceuxqu'ils ont laissé. Choeur, des orateurs,tout en se plaçant à un point de vueparticulier, nrit dans ces paroles le meil-leur de son coeur.

L'harmonie s l'Union l'Isloise ,t, pan lechoix des morceaux et par /a façon

ternarcorable dont ils furent exécutés, re-haussa le caractère solermel de la céré-monie. Les enfants serrent asmsi routeleur fime abris le Cham du Souvenir ikmais leur voix, emprisonnée par unsfoule de quinze cents personnes, ne putque s'évader, lointaine, caresse. vers ceux.que la guerre ne rend pas

En on mot, cérémonie bien touchanteet qui fait honnestr à tous ceux sont teecornes, ce jour-là, b,attirent à l'unisson,clans la ferveur cfune grande amitié re-connaissante.

CARBONNESECTION' SOCIALISTE. La section'

adopte à l'unanimité l'ordre oh tom sui-vant

P Réintémation des cheminots z Queles élus so.cialistes au Parlement s'inspi-rent seulement des dircreives ers eid/é.gués des syndicats des cheminots sanefaire de concessions quelconque soit auXCompagnies, soit au gouvernement.

2. La section demande' égalementque nos élis fassent le nécessaire pour 19suPPreSSiOn ces Conseils de gratte cettences de yeux.

3' Considérant que la politique finerr.cière vin la France exige des réformes'énergiques, émet le veau que la CAP.'étuede sasma le moine.ile retard la truono-polisation des ascerances alsm,o qu'ab.brojet sur Ein.peit sur le capital qui ondoit pas rester une promesses électorale:

4. Au pornt de vue municipal, la soo.,don proteste corme les prestationssont un impôt inique et qui dament etrersmplacés par la taxe vipinale. Lahtigsant les maires libres cl opter pour lesPrestations ou pour la taxe vicinale. 10section dernan.dle que cette taxer soi/»natte obligatoire,

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Le Pont des Soupirs

DEUXIEME PARTIE

Es Mats de ïenisePar Mtchel ZEVAGO

Bembo, écumant, épouvantable h voir.Lisait des bons désordonnés dans latambeau. Des gens de Nervem assuré-rent plus tard ot, ils avaient entendu avecdaorreur des clameurs insensées qui tom-baient de la montagne.

C'étaient les cris de Bembo.Le travail de la fermeture au moyen

ide blocs cimentés dura une heure. Lors.<te le. mut fat à hauteur d'homme etqu'il n'y eut plus que quelques Pierresn Placer, un éclat de rire effmgable fi/pîtlir les cent hommes qui assistaient àcette exécution...

Bembo était devenu for. I

Avant de placer la dernière Mets,l'un dus ouvriers qui travaillaient à cettemacabre besogne eut licite de jeter uncoup d'oeil dans l'intérieur rie la tombe,êt il nitre cardinal 'étendu en travers ducercueil de Bissacs.

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dissements de ponmite que ne, avions machdemment recommandés à nos lecteurs, et le ea,ohm véitablement Mietique de ce travail. noueMuge à faire os nouvel appei à ace lecteurs easa laveur.

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Lorsque l'ouverture eut été entière-ment fermée, des blocs de rochers ft,rent entassés là, les uns sur les autres.

Dans les interstices, on jeta ce laterre végétale-

Dans cette terre, on planta des pauséses de lentisques et aatres arbustes sautvages.

Ces pousses prirent pied...En nover dpe, q:uel,,,,,ortzerjetneso,

volrot

au monde n'eûtentassement de rochers cachait la

Canular tin Bianoa. fille de la comtiseneimiséria, et de Bembo, cardinal-évequede Venise.

Après l'exécution, Roland laissa à InCrotte-Noire un poste de vingt hommeschargés de surveiller la tombe pendantun mois.

Puiss. accornpag. de Scalabrino, ildescendit la montagne, monte à chenal,gagna Mettre, puis tes bords de la la.gune. eu le soir. vers mx heures, d arri-vait à la m,aison de l'île d'Olivolo.

XX

atXUTRE TOMBE

Il était environ dix heures lorsque Roland et Scalabrino atteignirent l'îlelivolo. Le premier soin de Roland fat de.,..551,res que rien rte fâcheux n'était antic& à son pùre pendant son absence.

Le vieux doge disrmait comme un en-fant, selon l'heureux privilège de qu'el-

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<tes cas de folie. Roland /e contemplaquelques minutes avec icettig é:motionspekiale de l'homme 4.i vient d'êtremêlé à quelque tragédie et qui éPlhugecas rue rassurante a retrouver des etresqui lui sont chers.

Ce n'est pas que Roland Candianoressentit une inquiétude, un remords del'épouvantable supplice qu'il avait imPigé à Bembo. Mais il était ému de cettescurde trépidation cérébrale qui suit lesactions anormales.

Saisir un hen.m et le muter vivantdans un tombeau, avec le cercueil de savictime, cet homme eût-il été un abosminable criminel, potnra paraître à 9.el-qUes per5onneS 1211 acre, d excessive Joa-b.. Sans vouloir prendre parti, et tonten nous cantonnant dans notre modestesôle de conteur, il nous est difficilene pas faire observer que les sn.ales semodifient sVer: les siècles.

L'époque sautante et gmnehose dentnous avons entrepris en diveon ouvragesde tracer une esquisse, cou:Pontait /outnaturellement de ces excès. L'Italie d'a-lors, Ileum de bataille sanglant, do/ai-sée par les lueurs des incendies. Pava-née par las bandes de partisans et lesarmées hérissées de poignard', ronge desang, substance d espions et oc reines,l'Italie en pleine fournaise de luttes géan-tes, da débauches fastueuses, étonnaitle monde par ses excès. Le crime s'ap-pelait Borgia I mais l'aru plus excessifencore uute le crime, portait ce nom fo.rojdable Michel-Ange I C'était un pan.demoniur, oit rugissaient les conque.-rant, ou les vaincus pou.sient d, cria

de détresse qui ont traversé les siècles,où chantaient des poètes incomparablw,où apperarssaient en troupeaux subli-mes des génies que l'art moden. coPieencore

Oui, tout était excès.La vengeance de Candiano (bit être

ainsi éclairée, si on la veut juger debonne foi.

Quoi qu'il en soit, Roland n'avaitéprouvé aucune pitié pour Bembo, puis-e:s'il celui avait pas fait grâce. L'exé-cution terminée, il n'en eut point de re-mords. Dans cet esprit lucide, la posai.bdtte d un remords anses I execubon eutappelé la pitié avant, et cette pitié, quien lui n'était lamais théocicam, se ftittraduite par csie grâCe.

Etait-ce à cer choses que réfléchissaitRoland devant son vieux père endormi ?Cherchaitat sur le douloureux visage del'aveugle ces signcs de souffrance quijustifiaiera sa terrible vengeance ?

Quoi qu'il en soit, lorsqu'il redescen-dit dans la salle du bas où Scalabrinol'attendait.Roland mentrait une physio.nennie apaisée,

Roland qui, depuis longtemps, consi-démit l'ancien bandit, l'ancien canclamné à mort, comme son unique ami,causa queleues minutes avec Scalabrino,comme if Ieisvio tous les sous.

Ils carièrent de chosas indifférentes,comme si lems esprits eussent eu. besoinde quelque repos.

Ces un mot ne fut dit ni de Bianca,ni d'huméria. ni da Bembo, ni de ref-rayante tragédie dm matin.

Puis Roland se retira.

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Alors Scalabrino sortit de la maisonet s'éloigna de Ille d'Olivolo, se diri-sxant vers les vieux quais du Lia,. Hmarchait lentement, ruminant peut.êtreun projet qui devait lui être personnel,car il n'eu avait pas souff16 mot à Ro.land.

Dans cette natuae farouche, violenteil y avait en effet, une étmnge timidité.

Il paraissait d'ailleurs paisible, et lestrès rares passants qu'il rencontra Cutrentle prendre pour un bourgeois regagnantson logis après quelque fête-

Scalabrino rmrvenu à l'encoignureo un large canal, s arreta, inspecta leumaisons qu'il avait devant lui. et Mur-111,4219

C'est là...C'était une maison basse et pauvre, à

face leromuse-Au-dessrès de la porte et maceesus de

la fenêtre du mamie, une sorte d'en-seigne en fer découpé s'avançait. sou.terme par une barre de fer. Cette ensei-gne ngerésentait une ancre qui jadisavait dû être dorée.

C'était en effet, le cabaret je PAnered'Or, tenu par le digne Bartok, que sesclients nommaient de préférence le Bor-gne.

Scalabrino vit qu'un filet de lumièrePassait à travers les barreaux de fer quiprotégeaient rentrée.

Il supposa que des buveursse

tonalvaient encore cons le cabaret ettendit.

On se souvient peut-être qu'à cétté dela ponte nui ouvrait directement sur lecabaret, s entr'ounxait une autre porte

dormant mu un couloiz ParbtoOVstt ltgat.lertivz,,t. pépettes chas

e,rac de

Sclablayholnovaita'ttnevnidrit,n'Icerstenla17_ <'_,7rA.

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