PACES  -­‐  Année  2015-­‐2016          

UE 7 : Santé, Humanité, Société

Concours blanc du 25 avril 2016

Durée de l’épreuve : 2h Vérifiez que votre fascicule comporte 12 pages et 40 QCM.

Pour chaque question, répondre vrai ou faux à chacun des items.

Pour chaque QCM, il peut y avoir 0, 1 ou plusieurs propositions vraies. La calculette est interdite.

Ce fascicule est imprimé recto/verso. Vous pouvez utiliser la feuille de couleur située à la fin du questionnaire comme brouillon. Ce questionnaire sera ramassé en fin d’épreuve.

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SANTE PUBLIQUE Q1- A propos du cours sédentarité, activité physique et santé :

A. L’activité physique désigne tout mouvement corporel produit par les muscles squelettiques et qui entraine une dépense d’énergie.

B. 1 MET = 3,5 ml O2/kg/min = 1cal/kg/h.

C. Selon les recommandations, les adultes de 18 à 64 ans devraient faire au moins 60 minutes par jour d’activité physique d’intensité modérée à soutenue.

D. L’inactivité physique est le 4e facteur de risque de mortalité à l’échelle mondiale et conditionne la survenue de nombreuses maladies.

E. Il existe une relation dose réponse entre le volume d’activité physique et l’effet sur la santé, ce qui fait de la sédentarité ou de l’inactivité un facteur de risque modifiable.

Q2- Concernant les déterminants de l’état de santé, dites si les affirmations suivantes sont vraies ou fausses :

A. Pour mettre en évidence une association entre l’exposition à un facteur et une maladie on utilise des outils épidémiologiques mais pas d’outils statistiques.

B. En santé publique on parle de facteur de risque.

C. Pour mesurer l’effet d’un déterminant à l’échelle individuel on utilise un score.

D. Un déterminant de santé est, selon la définition déterministe, un facteur impliqué dans le mécanisme causal d’un état de santé.

E. Dans la classification d’Evans la santé a 4 dimensions : organique, fonctionnelle, perceptuelle et économique.

Q3- A propos de la iatrogenèse :

A. On peut définir la iatrogenèse comme tout incident préjudiciable à un patient hospitalisé survenu lors de la réalisation d’un acte de prévention, investigation ou traitement.

B. Un évènement iatrogène médicamenteux peut résulter de soins appropriés comme de soins inappropriés.

C. Les infections nosocomiales sont principalement provoquées par Escherichia coli, le Staphylocoque doré et Pseudomonas aeruginosa.

D. L’identification des évènements indésirables passe par le signalement spontané par les professionnels et une recherche active des erreurs et évènements dans les services.

E. Toute personne victime ou s’estimant victime d’un évènement indésirable doit être informée par le professionnel de santé au plus tard dans les 10 jours suivant la découverte de ce dommage.

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Q4- A propos du système de santé :

A. Le système de soin regroupe le système de santé, la protection sociale, la formation et la recherche, la prévention, la surveillance sanitaire et bien d’autres.

B. La globalité, l’accessibilité, et l’adaptabilité font parties des valeurs d’un système de santé.

C. La pertinence est le fait de prioriser les problèmes de santé reconnus comme les plus importants, mais pas de cibler sur des groupes qui en ont le plus besoin.

D. En France, les médecins sont à peu près au nombre de 500 000.

E. On compte plus de médecins libéraux que salariés en France.

Q5- A propos des indicateurs de l’état de santé :

A. L’épidémiologie évaluative permet l’étude de la distribution des problèmes de santé et de leurs déterminants au sein des populations humaines.

B. Un indicateur de l’état de santé est un agrégat de données résultant d’observations faites à l’échelle d’unités statistiques (le plus souvent la population).

C. La couverture vaccinale est le taux d’enfants vaccinés.

D. Le réseau sentinelle est un groupement de médecins libéraux qui déclarent sur une période donnée l’ensemble des maladies qu’ils recensent dans leurs cabinets.

E. Un taux est « une proportion dans le temps ».

Q6- A propos des addictions :

A. Puisque l’anorexie et la boulimie font intervenir l’alimentation, on les considère comme des addictions avec produits.

B. Les analgésiques sont des dépresseurs du système nerveux central.

C. La dangerosité sociale et médicale contient par exemple les critères du prix de la substance.

D. Le pouvoir addictif d’une substance se définit par la proportion de personnes dépendantes parmi ses consommateurs : celui du tabac est 2 fois plus élevé que celui de l’alcool.

E. L’usage social est apparenté à l’usage simple : le risque autant pour l’individu que pour la société est acceptable.

Q7- Concernant le concept de santé, dites si les affirmations suivantes sont vraies ou fausses :

A. Selon R.Dubos la santé est la capacité de s’affirmer face au milieu.

B. Le désavantage correspond à une restriction de participation.

C. Une communauté est un ensemble d’individu groupé naturellement pour un but commun.

D. Un problème de santé publique est une difficulté de santé au niveau populationnel qui doit être corrigée par la mise en place d’interventions à visée collective.

E. Il n’y a pas de réponses satisfaisantes pour l’accès aux trithérapies dans les pays en développement.

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Q8- Concernant les caractéristiques sociodémographiques en France :

A. Depuis 2004 le recensement est étalé sur 5 ans.

B. Dans les communes de moins de 10 000 habitants 40% des immeubles sont recensés chaque année.

C. Le taux de natalité en 2014 est de 5,4 pour mille.

D. Le phénomène de compression de la morbidité est dû à l’allongement de l’espérance de vie, suivi de l’augmentation de l’espérance de vie sans incapacité et de la réduction de la durée de vie en situation de dépendance.

E. Entre 1990 et 2010 il y a eu un recul des cancers.

Q9- Concernant l’économie de la santé :

A. La définition substantive de l’économie consiste en l’ensemble des biens et services ayant une valeur d’échange : c’est celle proposée par Robbins.

B. L’approche micro-économique se caractérise par les comptes satellites de santé.

C. Les complémentaires retraite ne sont pas obligatoires, tout comme les mutuelles de santé.

D. Dans les assurances privées, les représentants sont élus par les assurés.

E. Le ticket modérateur, c’est ce qui n’est pas remboursé par la sécurité sociale.

Q10- A propos des indicateurs de l’état de santé :

A. Un indicateur spécifique décrit un phénomène global dans une population sans aucune distinction de caractéristiques des sujets.

B. Le taux de mortalité brut désigne le nombre de décès pendant une période T / population moyenne pendant la période T.

C. Un indicateur simple recense un évènement d’une seule nature.

D. La standardisation est un procédé statistique qui permet d’augmenter l’effet d’une ou plusieurs caractéristiques de la population.

E. L’IDH (Indice de Développement Humain) est un exemple d’indicateur composite.

Q11- Concernant la nutrition, dites si les affirmations suivantes sont vraies ou fausses :

A. Une carence en énergie est appelée kwashiorkor.

B. La consommation des produits céréaliers, légumes secs et féculents a augmenté.

C. Il y a une diminution des glucides complexes et des apports en micronutriments dans notre alimentation.

D. La consommation de poisson est un facteur protecteur vis-à-vis des maladies cardio-vasculaires.

E. Le risque pour un adolescent obèse de le rester à l’âge adulte est plus élevé chez la femme que chez l’homme.

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Q12- Toujours à propos du système de santé :

A. Le médecin généraliste de premier recours a pour mission de coordonner les soins nécessaires aux patients et de faire la synthèse des informations transmises par les différents professionnels de santé.

B. Les prestations de services consistent en des versements en espèces.

C. Dans le système Beveridge de financement des soins, on a la règle des 2 U.

D. La CAF et la CPAM sont des organismes de la sécurité sociale qui sont tous les 2 acteurs au niveau départemental.

E. Les employés de la fonction publique, de la SNCF, et d’EDF-GDF sont dans le régime général des travailleurs salariés.

Q13- A propos de l’économie de la santé :

A. Pour les soins dentaires, la part financée par les mutuelles est en moyenne plus grande que la part remboursée par la sécurité sociale.

B. Le modèle de protection sociale Bismarckien se retrouve fragilisé si le chômage augmente.

C. La notion d’état providence contient la volonté d’offrir le maximum aux citoyens.

D. L’état providence se compose d’une partie résiduelle se caractérisant par des droits inaliénables, et d’une partie institutionnelle, qui intervient quand la famille et le marché échouent à répondre aux besoins.

E. Un système d’assistance avec des indemnisations faibles et une stigmatisation favorise un processus de démarchandisation.

Q14- A propos des principaux problèmes de santé en France et dans le monde :

A. Les pays développés subissent un double fardeau : les maladies transmissibles et chroniques.

B. Dans les pays en développement, plus de 20% des enfants sont allaités ce qui permet de réduire le risque d’infection.

C. Parmi les grands problèmes de santé dans le monde on peut noter la malnutrition juvéno-infantile, le paludisme et les comportements sexuels à risque.

D. En France, les maladies cardiovasculaires constituent la première cause de mortalité chez la femme.

E. On compte environ 350 000 nouveaux cas de cancer par an, 150 000 décès dus au cancer dont 80 000 seraient évitables.

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Q15- Concernant les addictions :

A. Les usages à risque et nocifs peuvent éventuellement causer des dommages, mais sont réversibles.

B. La consommation à risque se caractérise uniquement par la situation (voiture, grossesse) et la quantité (quand elle est excessive).

C. Les 3 grands piliers de l’addiction sont le produit, l’individu, et l’environnement.

D. Le tabagisme régulier depuis 2000 est plus faible quand le niveau de diplôme est plus élevé.

E. L’alcool est responsable de 50 000 décès par an environ, dont la moitié par cancer.

Q16- Parlons un peu des inégalités sociales de santé en France :

A. Il y a 3 années d’écart d’espérance de vie à la naissance entre le Nord de la France et le Sud.

B. On peut observer un gradient social au sein même d’une catégorie socio-professionnelle entre les moins qualifiés et les plus qualifiés.

C. Lors d’une étude européenne comparant le risque de mourir entre travailleurs manuels et non manuels, la France avait montré des différences peu importantes.

D. Chez les adultes, le nombre de caries ne diffère pas selon les catégories socio-professionnelles.

E. La prévention est tout de même plus efficace chez les catégories sociales basses.

Q17- A propos de la iatrogenèse :

A. L’étude pilote ENEIS 1 montre que 50% des évènements indésirables sont considérés comme évitables.

B. D’après l’étude ENEIS 1, le coût des EIG évitables serait de 150 millions d’euros par an.

C. L’étude EVISA a pour but d’évaluer la iatrogenèse ambulatoire en France.

D. L’étude EMIR s’intéresse aux infections nosocomiales.

E. L’institut National de Veille Sanitaire montre pour la iatrogenèse chirurgicale un surcoût de 460 à 760 millions d’euros.

Q18- A propos des principaux problèmes de santé en France :

A. Le dépistage est une forme de prévention primaire qui s’appuie sur des signes cliniques.

B. On observe de faibles inégalités sociales d’accès au dépistage.

C. L’évaluation des risques cardio-vasculaires populationnels peut s’effectuer par le score de Framingham, où sont considérées mortalité et morbidité.

D. Le plan d’action national 2010-2014 contre les AVC (1ère cause de handicap acquis à l’âge adulte) comporte 4 axes.

E. Le surpoids concerne 50% des adultes. Il est deux fois plus fréquent chez les femmes.

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Q19- Concernant la consommation médicale :

A. La résidence influe sur la consommation médicale, ainsi un citadin consomme davantage qu’une personne vivant en milieu rural.

B. Les contrats d’objectifs sont des mesures coercitives.

C. Les soins en ambulatoires diminuent avec les revenus élevés.

D. Les pathologies et la protection sociale sont des facteurs liés à l’offre.

E. Le système de financement est un facteur lié à la demande.

Q20- A propos des indicateurs de l’état de santé :

A. La mortalité infantile est égale au nombre d’enfants nés vivants décédés avant 1 an / nombre total de naissances vivantes la même année.

B. La mortalité périnatale est un bon indicateur socio-économique.

C. L’INSEE est chargée d’étudier les problèmes démographiques.

D. Les observatoires sont un exemple d’enquêtes permanentes en population.

E. Les indicateurs de mortalité sont très utilisés car ils sont mesurés en routine dans la plupart des pays.

HOMME ET SON ENVIRONNEMENT Q21- A propos des zoonoses :

A. Le paludisme est un exemple de zoonose.

B. Les trichines sont des zoonoses transmises par déjection.

C. L’échinococcose alvéolaire est fréquente dans les régions d’élevage de moutons.

D. La toxoplasmose est transmise par un parasite de type protozoaire.

E. La toxoplasmose peut atteindre le fœtus d’une femme enceinte.

Q22- A propos des plantes et des animaux pathogènes :

A. Les venins contiennent de nombreuses molécules de petit poids moléculaire.

B. L’histamine est présente dans certains venins. Elle cause une constriction des vaisseaux, perturbant le flux sanguin.

C. La phase d’état de l’Ascaris lumbricoïdes se traduit par de la toux accompagnée de fièvre.

D. L’hôte définitif de Taenia saginata est le bovidé.

E. L’Etre humain est contaminé par le taenia par ingestion de viande insuffisamment cuite ou fumée.

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Q23- A propos des vecteurs :

A. Les insectes sont des chélicérates.

B. Un diptère nématocère a une allure de mouche trapue.

C. L’Anopheles est un vecteur de la dengue.

D. La simulie est porteuse de l’onchocercose.

E. 3 espèces de tiques peuvent donner la borréliose (ou maladie de Lyme).

Q24- Indiquez pour chaque proposition si elle est vraie ou fausse :

A. L’Homo ergaster est une évolution d’Homo habilis.

B. L’homme de Néandertal a un torus orbitaire peu marqué.

C. L’homme de Néandertal est surtout présent en Afrique.

D. L’homme de Denisova est une évolution locale de l’Homo Ergaster.

E. L’Homo Habilis est une espèce robuste.

Q25- A propos des procaryotes, virus et prions :

A. L’inventeur de stratégies de vaccinations s’appelle Van Leeuwenhoek.

B. Une coloration de Gram utilise, entre autre, du cristal violet et du lugol.

C. M. Koch observe des colonies bactériennes sur des tranches de pomme de terre bouillies.

D. La technique de coloration de Gram permet de colorer en rose les bactéries gram + car elles ont une couche épaisse de peptidoglycane.

E. Au 20ème siècle, M. Fleming participe au développement des antibiotiques, notamment avec la découverte de la pénicilline.

Q26- Que sait-on à propos des virus ?

A. Les virus sont des parasites intracellulaires absolus possédant tous un génome à ADN.

B. Le virus de l’hépatite C a une spécificité d’espèce stricte et provoque une infection chronique.

C. Pour détecter un virus, on peut rechercher les antigènes viraux grâce à la technique ELISA.

D. Les infections chroniques subissent des réactivations régulières, qu’elles soient symptomatiques ou non.

E. Le VIH est un virus possédant une enveloppe lipidique constituée de protéines de matrice et de glycoprotéines.

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Q27- Commençons à aborder la notion d’écologie avec quelques définitions :

A. Une population est un groupe d’individus d’une espèce qui habite dans un milieu donné à un moment donné.

B. Une communauté est un groupe d’individus d’une espèce qui habite dans un milieu donné à un moment donné.

C. Il existe plusieurs biomes sur notre planète, on y retrouve notamment les écosystèmes continentaux.

D. La biosphère est composée de l’hydrosphère, une partie de la lithosphère et une partie de l’atmosphère.

E. Le biotope est composé d’éléments inertes, d’énergie ainsi que des facteurs abiotiques.

Q28- Concentrons-nous maintenant sur l’écosystème en lui-même :

A. Les organismes détritivores se nourrissent de la matière organique en décomposition.

B. Les consommateurs tertiaires se nourrissent d’organismes carnivores.

C. Les flux énergétiques s’écoulent d’un niveau trophique à un autre, et on a de ce fait diminution de la quantité d’énergie.

D. La niche écologique fondamentale est celle que l’on retrouve habituellement dans l’environnement.

E. La loi de la tolérance stipule que pour tout facteur de l’environnement, il existe un domaine de valeur durant lequel tout processus écologique pourra se dérouler normalement.

Q29- La sélection parentèle :

A. Explique l'apparition d'un comportement altruiste.

B. Favorise le patrimoine génétique d'un individu.

C. Concerne, par exemple, les fourmis.

D. Favorise la reproduction de certains individus.

E. Permet une organisation en société.

Q30- A propos des changements de l'environnement :

A. Sans l'effet de serre, la température moyenne de la Terre serait de -18°C.

B. Lors de changements climatiques, on fait facilement la distinction entre les influences naturelles et celles dues à l'Homme.

C. L'activité volcanique a diminué sur la Terre ces 15 dernières années.

D. Le pollen permet la mesure indirecte des variations climatiques.

E. Un modèle climatique a pour but de reproduire le climat terrestre.

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Q31- A propos de la contamination de l’eau :

A. Les eaux des piscines publiques peuvent contenir 50 Escherichia Coli pour 100mL.

B. Il n’y a jamais eu d’eau contaminée dans les piscines privées.

C. Les eaux de rivière sont de bonne qualité si la contamination est inférieure à 500 E.Coli pour 100mL.

D. Une eau est potable s’il y a très peu de contamination fécale.

E. A l’hôpital, il faut 0 pseudomonas pour 100mL d’eau.

Q32- A propos de l’intoxication au mercure :

A. La forme HgS correspond à la forme élémentaire liquide qui est la forme la plus stable.

B. L’activité humaine peut contribuer à multiplier la concentration locale en Hg de plusieurs milliers d’unités.

C. En Amazonie, la contamination au mercure de la population est due à l’ingestion de poissons empoisonnés.

D. La catastrophe de Minamata est due à de grandes quantités de mercure rejetés dans la baie, et à la stagnation des eaux, qui a favorisé un milieu anaérobie, d’où une transformation en MeHg.

E. La forme diméthyl-Hg est une forme volatile et instable qui est moins préoccupante et moins toxique que le méthyl-Hg.

Q33- Les antibiotiques :

A. Ont une action bactériostatique ou bactéricide.

B. Sont peu consommés en France qui est l’un des plus faibles consommateurs d'antibiotiques d'Europe.

C. Peuvent persister dans l'environnement comme l'amoxicilline.

D. Consommés par l'Etre humain ne sont presque pas transformés par l'organisme.

E. Utilisés en aquaculture sont l'oxytétracycline, la sulfamérazine et la streptomicine.

Q34- Le principe de précaution :

A. Impose une évaluation par des instances indépendantes.

B. Est un équilibre entre interdire et laisser faire.

C. Ne doit pas retarder l'adoption de mesures visant à prévenir un risque.

D. Consiste à réaliser des tests de danger (toxicité des produits synthétisés).

E. Est autorisé sous conditions.

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Q35- A propos des toxines bactériennes :

A. La toxine botulinique est une protéase.

B. La présence de toxine botulinique peut être due à des conserves non acidifiées ou insuffisamment traitées par la chaleur.

C. L'entéroxine est une toxine ADP ribosylante.

D. L'entérotoxine est utilisée pour traiter certains handicaps.

E. La toxine cholérique est produite par le Clostridium perfringens.

Q36- La cellule végétale :

A. La paroi pecto-cellulosique se trouve à l’intérieur de la membrane plasmique.

B. La vacuole a des fonctions importantes, elle contient notamment des composés du métabolisme primaire et secondaire.

C. Les blastes sont semi-autonomes, spécialisés, et contiennent leur propre génome.

D. Le métabolisme secondaire produit, par chimie fine, des molécules qui favorisent la vie du végétal.

E. Le métabolisme primaire produit des molécules indispensables à la vie du végétal.

Q37- Concernant les traitements issus de l’environnement :

A. La consommation de cyclosporine induit une dermatose flagellée.

B. Le tabac peut être génétiquement modifié pour produire de la lipase de chien, utile dans le traitement de la maladie de Crohn.

C. Le corail est un animal, mais il est biologiquement inerte, ce qui le rend utile pour remplacer les os lors de chirurgies.

D. La phagothérapie utilise des phages (virus) détruisant les cellules cancéreuses.

E. Les bactéries sont utilisables pour l’élimination des composés organiques, carbonés comme les sucres, les graisses ou les protéines.

Q38- A propos des substances issues du pavot :

A. Elles permettent la synthèse de molécules à propriétés anticancéreuses.

B. Elles permettent la synthèse de molécules à propriétés anti diarrhéiques.

C. Elles peuvent causer la morphinomanie ou "maladie du soldat".

D. Elles sont utilisées pour isoler la vincristine et la vinblastine.

E. Elles ont été en vente libre dans les pharmacies comme pilule antitussive.

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Q39- A propos des Ascomycètes :

A. Les Ascomycètes produisent des spores et des gamètes flagellés.

B. Les Ascomycètes se reproduisent de manière asexuée par la formation de conidies.

C. Les Ascomycètes comprennent, entre autres, la truffe et la morille.

D. Les Ascomycètes sont hétérotrophes par absorption.

E. Les microsporidies sont des parasites unicellulaires appartenant aux Ascomycètes.

Q40- Concernant les origines de la vie :

A. La théorie de la génération spontanée a été proposée par Pasteur.

B. Buffon est le fondateur de la paléontologie stratigraphique.

C. Selon Buffon les espèces sont partiellement modifiables.

D. Lamarck utilise l’exemple de la girafe pour prouver que le besoin crée l’organe.

E. La théorie de la sélection naturelle a été complétée par Mendel suite à ses travaux sur la génétique et l’hérédité.