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Tous droits réservés - Décembre 2007 - © mvs-productions
Réalisé avec le soutien institutionnel de
Les Temps Forts de l’ESSM 2007www.medical-congress.com
SommaireSommaire
La sélection des informations a été réalisée sous la responsabilité d’un comité éditorial multidisciplinaire, constitué de :
• Pierre Bondil (Chambéry)• Marie-Hélène Colson (Marseille) • Jean-Roger Dintrans (Paris)
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Les Temps Forts de l’ESSM 2007www.medical-congress.com
Dysfonction endothéliale et dysfonction érectile d’origine vasculaire
IPDE-5 et satisfaction de la partenaire
IPDE-5 et préférence des partenaires
Maladie de Lapeyronie, douleurs et injections de corticoïdes
Ejaculation prématurée et degré de satisfaction chez les répondeurs
Dysfonction érectile et attitudes des hommes et des femmes
Dysfonction érectile, testostérone et cancer de la prostate
Oncosexologie et attitude des soignants
Dysfonction érectile et traitement continu prolongé
voirvoir
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voirvoir
voirvoir
voirvoir
SommaireSommaire
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Dysfonction endothéliale et dysfonction érectile d’origine vasculaire
D’après une communication d’Antonio Aversa
(Rome, Italie)(Master Lecture ML-03)
ESSM 2007
SommaireSommaire
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Physiopathologie de la dysfonction érectile d'origine vasculaire
Athérosclérose- Altérations de la relaxation
endothélodépendante- Altérations de la relaxation
neurogénique
Modifications structurelles
Modifications fonctionnelles
ARTERES
Sténose artérielle
Atrophie et fibrosecellules musculaires lisses
ARTERES
Vasodilatation altérée
Relaxation altérée
Réduction flux entrant
Excès flux sortant
Hypertension artérielle
Hypercholestérolémie
Diabète
Insuffisance artérielle
ESSM 2007 - D’après la présentation d’A. Aversa
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Dysfonction endothéliale et dysfonction érectile d’origine
vasculaireMéthodologie
• Etude ouverte, randomisée, en cross-over, sur 20 hommes souffrant d’une dysfonction érectile
• Tadalafil 20 mg, en prise régulière ou à la demande, pendant 4 semaines
• Evaluation de la fonction endothéliale et en particulier des marqueurs de la fonction endothéliale : vascular cell adhesion molecule (VCAM), endothelin-1 (ET-1), insuline et C-Reactive Protein (CRP)
ESSM 2007 - D’après la présentation d’A. Aversa
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Tadalafil et marqueurs de la fonction endothéliale
0
CRP ET-1 INSULINE
TADPrise régulière
TADA la demande
-10
-20
-30
-40
40
30
20
10
VCAM
∆/Etat initial (%)
P = 0,0001
ESSM 2007 - D’après la présentation d’A. Aversa
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Tous droits réservés - Décembre 2007 - © mvs-productions
Dysfonction endothéliale et dysfonction érectile d’origine
vasculaireConclusion
• La diminution des marqueurs de la fonction endothéliale a été plus marquée après un traitement régulier par tadalafil qu’après un traitement à la demande, et s’est maintenue 2 semaines après l’arrêt
• Le tadalafil en prise régulière améliore la fonction endothéliale
ESSM 2007 - D’après la présentation d’A. Aversa
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IPDE-5 et satisfaction de la
partenaire
D’après la communication de Marie Chevret-Measson (Lyon, France)
(Abstract MP-01-084)
ESSM 2007
SommaireSommaire
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Sildénafil et satisfaction de la partenaireMéthodologie
• Etude ouverte, multicentrique, de 14 semaines testant la satisfaction des partenaires de 57 hommes souffrant de dysfonction érectile
• Les hommes ont été traités par sildénafil à la demande, entre 25 et 100 mg
• La satisfaction de la partenaire a été évaluée par un questionnaire dédié : l’Index of Sexual Life (ISL)
ESSM 2007 - D’après la présentation de M. Chevret-Measson
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Sildénafil et satisfaction de la partenaire
Echelle Sexual Life Satisfaction
0
10
20
30
40
50
60
70
80
SLS Fonction érectile(IIEF)
Estime de soi (SEAR)
Evolution S14 / J0
Inclusion Semaine 14
p < 0,0001
ESSM 2007 - D’après la présentation de M. Chevret-Measson
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Sildénafil et satisfaction de la partenaire Conclusion
• L’amélioration de la satisfaction des partenaires est objectivée par l’Index of Sexual Life (ISL) qui est une échelle sensible et reproductible
• L’amélioration des scores de cette nouvelle échelle est corrélée avec l’amélioration de la fonction érectile selon l’échelle IIEF et le domaine de l’estime masculine de la SEAR
• Les corrélation avec les satisfactions des 2 partenaires selon EDITS sont très fortes, indépendantes de l’âge et de la sévérité initiale
ESSM 2007 - D’après la présentation de M. Chevret-Measson
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IPDE-5 et préférence des partenaires
Tadalafil versus sildénafil
D’après une communication de Helen Conaglen (Cambridge, Nouvelle-
Zélande)(Abstract MP-01-085)
ESSM 2007
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IPDE-5 et préférence de la partenaireMéthodologie
• Etude ouverte, randomisée, multicentrique sur 100 couples hétérosexuels, dont le partenaire masculin souffre de dysfonction érectile
• Les hommes ont été traités par tadalafil ou sildénafil à la demande, sur 12 semaines, puis ils ont changé de groupe pour essayer l’autre traitement pendant 12 semaines
• L’efficacité a été mesurée sur le domaine de la fonction érectile de l’échelle IIEF et la satisfaction de la partenaire a été évaluée par le domaine partenaire de l’échelle Sexual Life Satisfaction
ESSM 2007 - D’après la présentation de H. Conaglen
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IPDE-5 et préférence des partenaires
Préférence par groupes du cross-over
0
5
10
15
20
25
30
35
40
45
50
Tadalafil puis sildénafil Sildénafil puis tadalafil
Nombre de femmes
Tadalafil Sildénafil
ESSM 2007 - D’après la présentation de H. Conaglen
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IPDE-5 et préférence de la partenaireConclusion
• 79 % des femmes ont exprimé une préférence pour la prise de tadalafil par leur partenaire et 16 % l’ont fait en faveur du sildénafil
• Ces préférences ont été corrélées à celles de leur partenaire masculin
• Les raisons exprimées pour cette préférence étaient au-delà de la seule qualité de l’érection selon l’échelle IIEF ce qui incite à proposer l’implication de la partenaire dans le choix initial du traitement IPDE-5
ESSM 2007 - D’après la présentation de H. Conaglen
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Maladie de Lapeyronie, douleurs et injections de
corticoïdes
D’après une communication de Pierre Bondil (Chambéry, France)
(Abstract MP-04-127)
ESSM 2007
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Maladie de Lapeyronie, douleurs et injections de corticoïdes
Méthodologie
• Etude ouverte chez 46 hommes consultant pour des douleurs liées à la maladie de Lapeyronie
• Evaluation de la douleur avant et après injection intracaverneuse de corticoïdes, sur une échelle visuelle analogique (EVA) de la douleur
• Technique : injection intracaverneuse de 100 mg d’hydrocortisone dans et autour du nodule, 1 fois par semaine pendant au moins 3 semaines
ESSM 2007 - D’après la présentation de P. Bondil
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Maladie de La Peyronie, douleurs et injections de corticoïdes
1998-2005 n = 45
rétrospective
2005-2007 n = 46
prospective
0%
25%
13,60%
61,40%
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
Augmentationdouleur
Stabilisationdouleur
Diminutiondouleur
Disparitiondouleur
0%
23%
17,30%
58,60%
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
Augmentationdouleur
Stabilisationdouleur
Diminutiondouleur
Disparitiondouleur
Effet sur la douleurEffet sur la douleur
ESSM 2007 - D’après la présentation de P. Bondil
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Maladie de La Peyronie et injections de corticoïdes
Disparition de la douleur en fonction du nombre d’injections
0
10
20
30
40
50
60
70
80
90
100
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12
%8
5
3
232
2 2
MoisGuérison
ESSM 2007 - D’après la présentation de P. Bondil
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Maladie de Lapeyronie, douleurs et injections de corticoïdes
Conclusion
• Cette étude prospective, ouverte, confirme le bénéfice sur la douleur observé dans la précédente étude pilote
• La mauvaise réputation des corticoïdes dans les phases aigues de la maladie de Lapeyronie ne semble pas justifiée
• Le bénéfice pourrait être immédiat (diminution rapide de la douleur dans 76 % des cas) et à plus long terme, grâce à une diminution des séquelles fibreuses secondaire à la réduction de l’inflammation
ESSM 2007 - D’après la présentation de P. Bondil
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Ejaculation prématurée et critères de satisfaction
chez les répondeursà la dapoxétine
D’après une communication de Jacques Buvat (Lille, France)
(Abstract P-05-047)
ESSM 2007
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Ejaculation prématurée et critères de satisfaction chez les répondeurs
Méthodologie• Analyse post-hoc de l’étude multicentrique, randomisée dapoxétine, 30 ou 60 mg à la demande, versus placebo
• Les répondeurs ont été définis comme les sujets ayant présenté une amélioration d'au moins deux points dans le contrôle de l'éjaculation ET une diminution d'au moins un point de la souffrance personnelle en relation avec le trouble de l'éjaculation
• Cette nouvelle méthode d’évaluation permet de mieux rendre compte de l'impact du traitement, les résultats n'étant plus dilués par les données des sujets non répondeurs
ESSM 2007 - D’après la présentation de J. Buvat
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Ejaculation prématurée et répondeurs Délai avant éjaculation intravaginale chez les
répondeurs
0
2
4
6
8
Avant traitement A 24 semaines
Dél
ai a
van
t éj
acu
lati
on
in
trav
agin
ale
Répondeurs NR
5,98 6,34
5,98 6,34
1,82 1,95
1,82 1,95 0,83
0,490,83
0,49
0,97 0,500,97
0,50
ESSM 2007 - D’après la présentation de J. Buvat
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Ejaculation prématurée et répondeurs Satisfaction chez 3 répondeurs sur 4
70,474,9
13,0 12,8
0
25
50
75
100
A 12 semaines A 24 semaines
%de patients rapportant une impression globale d'amélioration
ou de nette amélioration
Répondeurs Autres
(n = 260) (n = 794) (n = 267) (n = 787)
ESSM 2007 - D’après la présentation de J. Buvat
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Ejaculation prématurée, répondeurs et sujets normaux
Un degré de satisfaction assez proche
Sujets
répondeurs Echantillon de la population
Bon ou très bon contrôle de l'éjaculation
67 % 78 %
Pas ou très peu de gêne personnelle
80 % 91 %
Satisfait ou très satisfait des rapports sexuels
72 % 92 %
Pas ou très peu de gêne relationnelle
89 % 98 %
ESSM 2007 - D’après la présentation de J. Buvat
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Ejaculation prématurée et degré de satisfaction chez les répondeurs
Conclusions
• Cette méthode permet de mieux rendre compte de l'impact du traitement, les résultats n'étant plus dilués par les données des sujets non répondeurs : alors que le délai avant éjaculation intravaginale est de l'ordre de 3,5 minutes pour l'ensemble des malades traités, il atteint 6 minutes chez les sujets répondeurs
• Les bénéfices observés ne se limitent pas à cette possibilité de prolongement du rapport. Les scores témoignent tous d'un vécu positif du traitement : amélioration de la perception du contrôle de l'éjaculation, diminution de la gêne personnelle et de la gêne relationnelle en rapport avec le trouble de l'éjaculation et rapports sexuels plus satisfaisants
ESSM 2007 - D’après la présentation de J. Buvat
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Dysfonction érectile, attitudes des patients,
attitudes des partenaires
D’après les communications de Ian Eardley (Leeds, UK) et
David Edwards (Oxforfshire, UK) (Abstract P-04-034 et P-04-035)
ESSM 2007
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Dysfonction érectile et attitudes des hommes
Méthodologie• Données collectées auprès de 630 hommes selon un questionnaires établi d’après 20 interviews en face-face
• Analyse de l’attitude des patients après prise d’un premier traitement
• Dans cette population d’hommes ayant tous pris au moins un traitement et dont l’âge moyen est de 55 ans, le délai moyen avant la recherche active d’une prise en charge était d’un an et demi
ESSM 2007 - D’après la présentation de D. Edwards
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Tous droits réservés - Décembre 2007 - © mvs-productions
Dysfonction érectile et attitudes des hommes
En cas de 1ère prise non satisfaisante
• Perte de l’estime de soi 68 %• Perte de confiance dans le traitement 58 %• Se sentent déprimés 32 %• Se sentent incurables 24 %• Ne re-consultent pas 33 %
ESSM 2007 - D’après la présentation de D. Edwards
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Dysfonction érectile et attitudes des hommes
Raisons de la résignation
Principale raison de la « résignation » : explications insuffisantes lors de la prescription initiale
• Prescription sans aucune information : 46 %
• Aucune information sur la DE et sa prise en charge : 15 %
Au final, 66 % des hommes ont recherché une information sur la DE après la consultation
ESSM 2007 - D’après la présentation de D. Edwards
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Dysfonction érectile et attitudes des femmes
Méthodologie
• Enquête par envoi d’un questionnaire aux partenaires féminines des hommes qui avaient participé à l’enquête MALES (Men’s Attitudes to Life Events and Sexuality) en 2004
• Ce questionnaire à 65 items visait à faire le point sur les croyances et les attitudes de femmes vis-à-vis de la dysfonction érectile de leurs conjoints
ESSM 2007 - D’après la présentation de I. Eardley
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Dysfonction érectile et attitudes des femmes
Discordance hommes / femmes• Il s’agit d’un problème lié au vieillissement 45,2 %
• Je n’ai pas d’idée concernant la cause de la DE 53,2 %
• Ce problème n’est pas si important qu’il affecte ma vie sexuelle 49,4 %
• Je donnerais tout pour traiter ce problème d’érection 51,3 %
• Il est assez facile de parler des problèmes d’érection avec ma/mon partenaire 43,7 %
• Je voudrais trouver une solution mais je ne sais pas où 56,1 %
ESSM 2007 - D’après la présentation de I. Eardley
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Tous droits réservés - Décembre 2007 - © mvs-productions
Dysfonction érectile et attitudes des hommes et des femmes
Conclusions
• La dysfonction érectile a un impact négatif non seulement sur le malade, mais également sur sa partenaire, et doit donc être regardée comme une véritable maladie de couple
• L’approche qui consiste à informer à parité les 2 partenaires lors de la première prescription est essentielle pour le succès thérapeutique
ESSM 2007 - D’après les présentations de D. Edwards et I. Eardley
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Dysfonction érectile, testostérone et cancer de la
prostate
D’après la communication de Claude Schulman (Bruxelles, Belgique)
(Abstract R-01-03)
ESSM 2007
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Dysfonction érectile, testostérone et cancer de la prostate
Incidence du cancer de la prostate et testostérone
Miller et al., J Natl Cancer Inst 1993, 85:1023Madersbacher er al., Urologe [A] 2001, 540
1,600
1,400
1,200
1,000
800
600
400
200
05040 60 70 80
5
10
15
0
20
Inci
den
ce c
ance
r p
ar 1
00 0
00
Tes
tost
éro
ne
(pg
/ml]
)
Incidence cancer Testostérone
Age (ans)
ESSM 2007 - D’après la présentation de C. Schulman
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Dysfonction érectile, testostérone et cancer de la prostate
Testostérone basse : un marqueur de cancers plus agressifs
Les patients avec un score de Gleason de 8 ou plus ont des taux bas de testostérone
5
76
410370
430
0
100
200
300
400
500
n = 156* p < 0,01
8
280 *T
esto
stér
on
e sé
riq
ue
(ng
/dl)
Score de Gleason
Hoffman MA, et al. J Urol 2000, 163,: 824-827Schatzl G et al. Prostate. 2001;47:52-8
ESSM 2007 - D’après la présentation de C. Schulman
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Dysfonction érectile, testostérone et cancer de la prostate
Modification du PSA après 1 an de traitement substitutif chez des hommes avec ou sans néoplasie
intraépithéliale prostatique (PIN)
Rhodel ML and Morgentaler A, J Urol 2003, 170:2348-51
ESSM 2007 - D’après la présentation de C. Schulman
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Dysfonction érectile, testostérone et cancer de la prostate
Conclusion
• Le lien entre testostérone et cancer de la prostate serait remis en cause
• Ceci ouvre la perspective d'utiliser la testostérone après résection prostatique, en cas d’hypogonadisme symptomatique
ESSM 2007 - D’après la présentation de C. Schulman
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Tous droits réservés - Décembre 2007 - © mvs-productions
Oncosexologie et attitudes des soignants
D’après la communication de Pierre Bondil (Chambéry, France)
(Abstract PP-10-282)
ESSM 2007
SommaireSommaire
Tous droits réservés - Décembre 2007 - © mvs-productions
Oncosexologie et attitudes des soignants Méthodologie
• Après un cancer, au même titre que le traitement de la douleur ou de la maladie, préserver la vie sexuelle est un un enjeu majeur de qualité de vie
• En préalable à l’ouverture d’une consultation d’oncosexologie dans un hôpital général, une enquête a été réalisée (n =112) sur les notions des soignants (médecins, infirmières, psychologues…) concernant la sexualité des patients cancéreux et leur capacité d’écoute et de prise en charge
• Le questionnaire concernait la sexualité dans son sens le plus large : image corporelle, relations amoureuses, versant ludique. Il s’agit d’un questionnaire pédagogique, le questionnaire FGP pour Fréquence-Gravité-Problème
ESSM 2007 - D’après la présentation de P. Bondil
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Oncosexologie et attitudes des soignants Résultats(score moyen)
Fréquence de la demande : 1,4 sur 2
Attitude proactive : 0,5 sur 2
Réactivité : 1,2 sur 2
Prise au sérieux : 1,9 sur 2
Difficultés pour orienter le patient : 1,8 sur 2
Connaissances techniques et théoriques :
- Médecins : 0,5 sur 2
- Non médecins : 0,1 sur 2
ESSM 2007 - D’après la présentation de P. Bondil
SommaireSommaire
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Oncosexologie et attitudes des soignants Conclusions
• Le projet de mise en place d’une structure d’onco-sexologie à l’hôpital recueille un véritable plébiscite (1,9 sur 2)
• Il existe un intérêt réel pour la sexualité des patients cancéreux : sur une échelle de 2, l’intérêt est coté à 1,8. En revanche les connaissances, elles, sont très insuffisantes (0,4 sur 2 pour les connaissances théoriques, 0,1 sur 2 pour les connaissances pratiques)
• Si cette enquête témoigne d’un véritable intérêt, il faut combler les lacunes des connaissances de la majorité des personnels soignants au contact des patients cancéreux
ESSM 2007 - D’après la présentation de P. Bondil
SommaireSommaire
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Dysfonction érectile et traitement continu prolongé
D’après la communication de Hartmut Porst (Hambourg, Allemagne)
(Abstract P-06-053)
ESSM 2007
SommaireSommaire
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Dysfonction érectile et traitement continu prolongé
Méthodologie
• Analyse poolée du suivi en ouvert de 2 études à long terme tadalafil en traitement continu regroupant - 234 malades à 1 an suivi de 4 semaines sans aucun
traitement- 238 malades à 2 ans
• Evaluation de l’efficacité sur IIEF et SEP
• Recensement des effets secondaires
ESSM 2007 - D’après la présentation de H. Porst
SommaireSommaire
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Score IIEF (domaine de la FE) : Questions 1-5 et 15 de l’IIEF, mesurant la fonction érectile
Dysfonction érectile et traitement continu prolongé
Etude LVCV : score IIEF (domaine de la FE)
14,1 1513,1
22,8
0
5
10
15
20
25
Inclusion Evaluation
Score moyen IIEF (domaine de la FE)
Placebo (n=54)
Tadalafil 5 mg(n=107)
Ensemble des patients
* P < 0,001 versus placebo
Bras 10 mg non présenté car non retenu par l’AMM
ESSM 2007 - D’après la présentation de H. Porst
SommaireSommaire
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SEP Question 2: ”Avez-vous été capable d’introduire votre pénis dans le vagin de votre
partenaire ?”
Ensemble des patients
SEP Q2 : Pourcentage moyen par patient
* p<0.001 versus placebo
Dysfonction érectile et traitement continu prolongé
Etude LVCV : score SEP - Question 2
40% 42%42%
79%
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
Inclusion Evaluation
Placebo (n=54)
Tadalafil 5 mg(n=109)
Bras 10 mg non présenté car non retenu par l’AMM
ESSM 2007 - D’après la présentation de H. Porst
SommaireSommaire
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SEP Question 3: ”Votre érection a-t-elle duré suffisamment longtemps pour que le rapport soit
réussi ?”
Ensemble des patients
SEP Q3 : % moyen par patient
de réponse “oui”
* p<0.001 vs. placebo
Dysfonction érectile et traitement continu prolongé
Etude LVCV : score SEP - Question 3
Bras 10 mg non présenté car non retenu par l’AMM
23%
37%
22%
67%
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
Inclusion Evaluation
Placebo (n=51)
Tadalafil 5 mg(n=105)
ESSM 2007 - D’après la présentation de H. Porst
SommaireSommaire
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Pourcentage de patients avec
un score IIEF FE ≥ 26
54 109
Patients avec un score IIEF FE < 26 au début de l’étude
Dysfonction érectile et traitement continu prolongé
Etude LVCV : patients normalisés à la fin de l’étude
8%
51%
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
PlaceboTadalafil 5 mg
* p<0.001 versus placebo
Bras 10 mg non présenté car non retenu par l’AMM
ESSM 2007 - D’après la présentation de H. Porst
SommaireSommaire
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Etude 1 (LVCV)Etude 2 (LVFP)Analyse groupée
165 200 3650102030405060708090100
Patients avec un score IIEF EF < 26 à l’entrée dans l’étude
55,2 %49,5 %
52,1 %
Pourcentage de patient avec score
IIEF EF normal en fin d’étude *
* normal est défini par un score IIEF EF ≥ 26
Dysfonction érectile et traitement continu prolongé
Analyse poolée : efficacité à 12 mois score IIEF EF
ESSM 2007 - D’après la présentation de H. Porst
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Tous droits réservés - Décembre 2007 - © mvs-productions
EI survenant chez ≥ 3% des patients
Analyse groupée des données Cialis 5mg OAD
(N=472)
Dyspepsie 30 (6,4 %)Céphalées 26 (5,5 %)Douleurs dorsales 26 (5,5 %)Hypertension 17 (3,6 %)Syndrome pseudo grippal 16 (3,4 %)
Sorties d’essai dues aux EI
18 (3,8%)
Données internes - Eli Lilly and Company, Indianapolis, IN. « Pooled 12-month data from LVCV and LVFP »
Dysfonction érectile et traitement continu prolongé
Analyse poolée à 12 mois : EI les plus fréquents
ESSM 2007 - D’après la présentation de H. Porst
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Tous droits réservés - Décembre 2007 - © mvs-productions
EI survenant chez ≥ 3% des sujets (groupe tadalafil 5mg OAD)
Tadalafil OAD à long terme (5 mg)1
(N = 238)
Tadalafil OAD à long terme (5/10/20 mg)2
(N = 1173)
Hypertension 15 (6,3 %) 48 (4,1 %)
Rhinopharyngites 14 (5,9 %) 134 (11,4 %)
Sinusites 14 (5,9 %) NR*
Dorsalgies 12 (5,0 %) 96 (8,2 %)
Reflux gastro-esophagien 11 (4,6 %) NR*
Arthralgies 9 (3,8,%) 41 (3,5 %)
Dyspepsie 9 (3,8 %) 139 (11,8 %)
Infections respiratoires hautes
8 (3,4 %) NR*
Sorties d’essai en raison d’EI
14 (5,9 %) 74 (6,,3%)* NR = EI Non Rapporté dans la publication (<2%)1 Données internes - Eli Lilly and Company, Indianapolis, IN : « 24-month data from LVFP » 2 Montorsi, F et al. Eur Urol 2004;45:339-345.
Dysfonction érectile et traitement continu prolongé
Analyse poolée à 24 mois : EI les plus fréquents
ESSM 2007 - D’après la présentation de H. Porst
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Tous droits réservés - Décembre 2007 - © mvs-productions
• Les données concernent 234 malades à 1 an et 238 malades à 2 ans de traitement continu
• Parallèlement à une persistance de l’amélioration du score IIEF, aucun décès n’est survenu au cours des 2 ans de suivi, de même qu’aucun effet secondaire sérieux en rapport avec le tadalafil
• Les effets secondaires rapportés dans plus de 5 % des cas sont déjà tous connus, et non nécessairement en rapport avec le tadalafil (dyspepsie, céphalée, lombalgie, syndrome grippal, HTA, pharyngite et sinusite)
Dysfonction érectile et traitement continu prolongé
Conclusion
ESSM 2007 - D’après la présentation de H. Porst
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