Avec le soutienfinancier de

Avec la disparition des quotas laitiers, un nouveau contexte de production se profile,fluctuant au rythme des marchés et des stratégies des laiteries.Pour les éleveurs, il va s’agir de saisir les opportunités qui ne manqueront pas de présentermais aussi de savoir faire face lors de périodes de turbulences. Tout l’art d’être flexiblepour sécuriser son revenu !Ce guide apporte un éclairage pratique et inédit sur la question des stratégiesd’adaptation des éleveurs laitiers au nouveau contexte de production d’après quotas.

Destiné aux producteurs laitiers, ce guide propose des repères et des outils de pilotage del’exploitation pour bien négocier le virage d’après quotas.Les quatre parties qui le composent visent à :• mieux comprendre les marchés laitiers et les stratégies des différents transformateurs français ;• évaluer le potentiel structurel de son exploitation et connaître ses marges de manœuvre ;• présenter les différents leviers techniques disponibles qui permettent de moduler le volume de lait produit ;• proposer une démarche de construction d’un projet flexi-sécurisé, intégrant les changements de contexte.

guide éleveur

Piloter mon exploitation laitièredans un contexte ouvertd’après quota laitierGuide de la flexi-sécurité en élevage

* 5 euros/exemplaire pour toute commande d’au moins 100 exemplaires, au lieu de 15 euros prix de vente public après souscription.

A paraîtreen juillet

2013

Offre spéciale

de souscription

5 euros au lieu de 15 euros*

Valable jusqu’au 30 mai 2013

Piloter mon exploitation laitièredans un contexte ouvertd’après quota laitierGuide de la flexi-sécurité en élevage

15 x 24 cm70 pagesquadri et illustrées

Sommaire

Partie 1 - Comprendre le marché du lait et connaître ma laiterie

Une demande potentielle en lait considérable - La France exporte des produits laitiersd’une grande diversité - Ajustement délicat entre l’offre et la demande - Le prix du laitde plus en plus dépendant des marchés mondiaux - Aires de commercialisation desdifférents types de produits laitiers - Les transformateurs français de produits laitiers : 4fiches de présentation - Mémo : Identifier la stratégie de ma laiterie

Partie 2 - Evaluer le potentiel structurel de mon exploitation

L’évaluation de la capacité productive de mon exploitation - La main-d’œuvre et letravail - La distribution des fourrages et des concentrés - Le couchage des vacheslaitières - Le système fourrager - Effet du système fourrager sur la composition du cheptel- L’installation de traite - Mon cahier des charges - La réglementation environnementale- Synthèse du diagnostic de capacité productive de mon exploitation - Analyser lacapacité productive de mon exploitation avec CAPACILAIT - Mémo : Capacitéproductive de mon exploitation

Partie 3 - Moduler ma production de lait à court et moyen terme

Demande en lait et choix des leviers techniques - Comment combiner les leviers entreeux ? - Les leviers « Alimentation » - Les leviers « Conduite du troupeau » - Les leviers «Fréquence de traite » - Trois fiches exemples - Mémo : J’actionne quels leviers, pour quelvolume et sous combien de temps ?

Partie 4 - Bâtir un projet flexi-sécurisé et analyser les trajectoires possibles

Les 7 étapes pour construire un projet flexible et sécurisé - Analysez vos résultats avantde décider de produire plus - Analysez la solidité de vos projets - Avez-vous intérêt àproduire un volume supplémentaire en activant ce levier ? - Testez vos capacitésd’adaptation à des changements de conjonctures - Quatre exemples concrets

Tarif spécial souscriptionValable jusqu’au 30 mai 20135,00 €/ex pour 100 ex et plus6,00 €/ex pour 50 à 99 ex7,00 €/ex pour 20 à 49 exPrix de vente public après souscription : 15,00 €

Pour commanderTechnipel – Institut de l'Elevagetechnipel@idele.frTél 01 40 04 51 71technipel.idele.fr

guide éleveur

Piloter mon exploitation laitièredans un contexte ouvertd’après quota laitierGuide de la flexi-sécurité en élevage

Extrait du guide

1110 PILOTER MON EXPLOITATION LAITIÈRE DANS UN CONTEXTE OUVERT D’APRÈS QUOTA LAITIER

- PARTIE 2 - ÉVALUER LE POTENTIEL STRUCTUREL DE MON EXPLOITATION

L’évaluation de la capacité productivede mon exploitation

En préalable à un projet, il est important d’appréhender les facteursles plus limitants de la capacité productive de son exploitation pourlever éventuellement ces freins.

En préalable à tout projetL’analyse de la capacité productive présente un intérêt particulierdans un projet d’accroissement de la production laitière. Elle doitpermettre de dégager le potentiel initial de l’exploitationpréalablement à une analyse des besoins en logement des vachesou dans les équipements de traite. Elle consiste à répondre aux 2 questions suivantes :• Combien de lait puis-je produire avec les moyens existants ?• Combien de lait puis-je produire en investissant dans l’outil deproduction ?

A chaque fois que de tels projets se dessinent, il est important, dansune démarche de conseil, de poser le diagnostic de la situation del’exploitation laitière avant toute modification de sa structure et deson fonctionnement.

Une évaluation multifactorielleLes sept facteurs de production à évaluer sont : • la main-d’œuvre et le travail, • la distribution des fourrages et des concentrés, • le couchage des vaches laitières, • l’installation de traite, • la production fourragère,• la réglementation environnementale, • l’application éventuelle d’un cahier des charges spécifique.

Pour améliorer sa productivité, il est aussi possible de jouer sur lacomposition du cheptel. Cette composante est transversale aux différentsfacteurs de production. Conformément au choix fait dans CAPACILAIT, outilde l’analyse de la capacité productive, il est proposé d’étudier l’impact dusystème animal en parallèle à l’étude du système fourrager.

Les étapes de calcul de la capacité productive

Etape 1 : Calculer la capacité initialede l’exploitationLa situation initiale est à évaluer sans rienchanger ni à la structure, ni aufonctionnement de l’exploitation. Pour cela,se reporter aux résultats moyens des troisdernières campagnes.

Capacité initiale = effectif initial VL x productivité moyenne

(en litres de lait/VL/an)

Etape 2 : Calculer la capacitépotentielle de l’exploitationL’analyse de la situation potentielle prend en compte des adaptations de la structure et de son fonctionnement mais sansinvestissements lourds. Pour cela, déterminerl’effectif potentiel pour chacun des facteursde production.L’analyse de la situationpotentielle prend en compte des adaptationsde la structure et de son fonctionnementmais sans investissements lourds. Pour cela,déterminer l’effectif potentiel pour chacundes facteurs de production.

Capacité potentielle = effectif VL permis par le facteur x productivité objectif

(en litres de lait/VL/an)

La capacité potentielle réelle est la plus limitante des sept capacités obtenues. Vérifiez votre facteurlimitant à l’aide du « mémo » de la page 36.

Une enquête a étéréalisée dans une

centaine d’exploitationslaitières (CASDARFlexi-sécurité) pour étudierles facteurs limitants, lepotentiel laitier del’élevage.

Le tableau 1 ci-dessous montre que tous les facteurs méritent d’êtreétudiés. La baisse du nombre de facteurs limitants en situationpotentielle indique que denombreux freins peuvent être levés.Ils semblent cependant que lescontraintes environnementalesdemandent des aménagementsou des investissements plus importants pour être levées.

Facteurs de production

La main-d’œuvre et le travail

La distribution des fourrages et concentrés

Le couchage des vaches laitières

L’installation de traite

La production fourragère

Réglementation environnementale

Situationinitiale

33 %

19 %

30 %

27 %

44 %

28 %

Situationpotentielle

13 %

7 %

13 %

7 %

7 %

28 %

Tableau 1 : Proportion d’élevages pourlesquels le facteur de productionenquêté est limitant

7c’est le nombre

de facteursde production

à évaluer

a noter

a noterExtrait

1110 PILOTER MON EXPLOITATION LAITIÈRE DANS UN CONTEXTE OUVERT D’APRÈS QUOTA LAITIER

- PARTIE 1 - COMPRENDRE LE MARCHÉ DU LAIT ET CONNAÎTRE MA LAITERIE

Une stratégie « flexibilité » peut être envisagée par des laiteriescoopératives exposées aux cours mondiaux.

Les marges de manœuvre sont réduites pour les laiteries coopérativestrès spécialisées situées sur des bassins de collecte réduits.

Stratégie de livraison des produits laitiersDes coopératives ayant un lien fort avec leur territoire transforment le lait enfromages AOP (Appellations d’Origine Protégée). Leurs marges demanœuvre sont limitées. Prenons l’exemple des fruitières de Franche-Comté,archétype de ce type de transformateur.

Mode de valorisation très encadré• Tout le lait des adhérents ne peut être transformé en fromages sous signes

de qualité.• La production de Comté est très encadrée et les débouchés, certes

croissants, en Morbier et Mont d’Or ne peuvent absorber tous les volumessupplémentaires.

Stratégie d’approvisionnement et relations avec les livreursCertaines coopératives instaurent des prix différenciés selon les valorisations : • un prix A pour les volumes transformés en fromages AOP• un prix B pour les volumes commercialisés en l’état dans le cadre de

contrats avec des transformateurs industriels, • voire, un prix C pour les surplus vendus sur le marché « spot ».Les adhérents peuvent produire au-delà de leur quota de « plaques vertes »(un comté égale une plaque) et dans le respect du cahier des charges quiplafonne le chargement animal et la distribution d’aliments concentrés.

Stratégie de livraison des produits laitiersLa stratégie « flexibilité » est envisagée par des industriels coopératifs,implantés dans des régions à fort potentiel laitier qui veulent accompagnerla croissance de leurs adhérents sans pour autant dégrader la valorisationdu lait de ceux qui ne veulent pas grandir.

Un positionnement tourné vers le marché mondial• Ils souhaitent se placer sur le marché mondial• Une bonne part de leur collecte est valorisée sous forme d’ingrédients secs

ou en fromages ingrédients.• Ils investissent dans des capacités supplémentaires de fabrication de

produit pour l’exportation.• Ils commercialisent aussi des PGC, mais les débouchés nouveaux sont

limités.

Une collecte équitable• Ils s’engagent à collecter tout le lait de leurs adhérents.• Progressivement le paiement du lait est différencié : le volume historique,correspondant au quota de l’éleveur, est payé au prix interprofessionnel,tandis que le volume supplémentaire est payé au prix de la valorisation desfabrications beurre/poudre maigre ou fromage ingrédient/beurre.

Stratégie d’approvisionnement et relation avec les livreursPayer les volumes de lait qui entrent dans les fabrications de produits degrande consommation à un prix différent, moins volatil, que ceux transformésen ingrédients laitiers.

FIChE LAItErIE

Une laiterie coopérative exposée aux coursmondiaux propose une collecte flexible

Une laiterie coopérative très spécialisée :“AOP et prix différenciés”

Extrait

3938 PILOTER MON EXPLOITATION LAITIÈRE DANS UN CONTEXTE OUVERT D’APRÈS QUOTA LAITIER

- PARTIE 3 - MODULER MA PRODUCTION DE LAIT À COURT ET MOYEN TERME

Comment répondre à la demande en lait dema laiterie ?

Après avoir analysé la capacité productive et identifié les facteursde production limitants de mon exploitation, je peux envisager derépondre à une éventuelle demande en volume de ma laiterie. Enfonction des caractéristiques de la demande, je choisis les levierstechniques à actionner.

Quelle est la demande de ma laiterie ?L’analyse de la demande de ma laiterie doit prendre en compte :• le volume de lait à produire en plus ou en moins : est-il faible (< 5

%), intermédiaire (de 5 à 10 %) ou important (> 10 %) ? • le délai avec lequel il faut répondre à la sollicitation : la réponse

est-elle attendue à court, moyen ou long terme ?• la durée de la période concernée : sur toute la campagne ou sur

une période bien ciblée ?• la pérennité de la demande : est-elle ponctuelle sur la campagne

en cours ou sera-t-elle reconduite lors des campagnes suivantes ?

J’étudie les leviers en tenant compte de leurs effetsEn dehors de l’effet quantitatif et du délai de réponse, chaque levierdoit être analysé sur les aspects suivants : • sa faisabilité : le levier est-il facile à mettre en place ? Vais-je

modifier en profondeur la conduite de mon système d’exploitation(avancer l’âge au 1er vêlage,…) ou simplement l’adapter (quantitéde concentré à distribuer,…) ?

• sa réversibilité : l’arrêt du levier permet-il de revenir à la situationinitiale ?

• sa rémanence : après le retrait du levier, des effets sur la lactationen cours ou sur la lactation suivante se font-ils encore sentir ?

Pour tous les leviers, l’ampleur de la réponse dépend de la répartition desvêlages et de l’effectif de vaches sur lequel il peut s’appliquer. En vêlagesétalés, les leviers touchant aux effectifs (avancer ou retarder les réformes)auront un effet moins marqué qu’en vêlages groupés car, à un instant t, lenombre d’animaux concernés est moins important.

typede levier

Traite

Conduitedutroupeau

Alimen-tation

Levier

La monotraite

Trois traites et +/jour

Moins de laitaux veaux

Acheter desgénisses pleines

Baisser la duréede tarissement

Augmenter la durée de tarissement

Délai deréponse

Court

Court

Court

Court

Tableau 1 : Caractéristiques des différents leviers d’action possibles pour moduler la production laitière

Avancer lesréformes

Retarder lesréformes

Augmenter le tauxd’élevage

Avancer l’âge au1er vêlage

Moduler laquantitéde concentré

production

Moduler la quantitéde correcteur azoté

Qualité,complémentarité

des fourrages

Court

Court

Court

Court

Moyen àlong

Moyen àlong

Court

Court

Court

réversi-bilité

Oui

Oui

Oui

Oui

Oui

Oui

Non

Oui

Oui

Non

Oui

Oui

Non

réma-nence

Oui

Oui

Non

Oui

Oui

Oui

Oui

Oui

Oui

Oui

Non

Non

Oui

Effet positif surle volume de lait

-

+ 10 %

+ 220 à + 540 l/veau

+ 70 à 80 % de laproduction d’une

vache en lactation

En fin de lalactation : de + 10à + 15 l de lait/j

de tarissement enmoins

Sur la lactationsuivante : jusqu’à250 l par VL/an(controversé)

-

+ 10 à + 20 l/VL/j

70 à 80 % de laproduction d’une

vache en lactation70 à 80 % de la

production d’unevache en lactation

au prorata dutemps gagné

de 0 à + 0,9 kg delait/kg de

concentré deproduction en plus

+ 0,9 kg de lait enpassant de 100 à110 g de PDIE/UFL

Plus ou moins 5 kg suivant la quantité de fourrage

+ 0,4 kg de lait enpassant de 110 à120 g de PDIE/UFL

Effet négatif surle volume de lait

- 20 à - 40 %

-

-

-

Sur la lactationsuivante :

de - 200 à - 1 700 lpar VL/an

En fin de lactation :de - 10 à - 15 l/jourde tarissement en

plus

de - 10 à - 20 l/VL/j

-

-

-

de 0 à - 0,9 kg delait/kg de

concentré deproduction en

moins

- 1,7 kg de lait enpassant de 100 à 90 g de PDIE/UFL- 3,3 kg de lait enpassant de 90 à80 g de PDIE/UFL

Levier à délai de réponse court, réversible et non rémanent.Levier à délai de réponse court à long, réversible et rémanent.Levier à délai de réponse court à long, non réversible et rémanent.

Choisir les leviers d’action adaptés à la demande

Le tableau 1 récapitule l’ensemble des leviers d’action pouvant êtreactionnés en vue de moduler le volume de lait produit. Ils sont présentésselon leur type et se distinguent par leur délai de réponse, leurréversibilité, leur rémanence et leur effet sur la production laitière.

a noter

Extrait

0000 PILOTER MON EXPLOITATION LAITIÈRE DANS UN CONTEXTE OUVERT D’APRÈS QUOTA LAITIER

- PARTIE 4 - BÂTIR UN PROJET FLEXI-SÉCURISÉ ET ANALYSER LES TRAJECTOIRES POSSIBLES

L’analyse du projet 3• La flexibilité opérationnelleElle est plus importante avec le bâtiment complémentaire. Il est tout àfait possible de moduler le volume de lait comme le montre letableau ci-dessous.

• La sécurisation des projets- En année défavorable (prix du lait à 270 €/1000 l), il faut constituer

une épargne de précaution de 35 000 €. - Augmenter le volume de lait (en limitant les réformes et en

augmentant le concentré) requiert 20 000 € de trésorerie sur 3 -4mois.

- Augmenter des effectifs (9 VL), stocker 25 t de fourrage en plus.

• Les points fortsComplémentarité entre céréales et lait

• Les points de vigilance- Montants des investissements- Evolution du prix de la mozzarella- Dynamique de collecte du lait sur la zone

Les données d’avant projet• Mes souhaitsPréparer l’installation de mes deux fils enaugmentant les volumes de lait. • La stratégie de ma laiterie coopérative- Souhaite augmenter les quantités de fromage (mozzarella)commercialisées à l’export.

- Cherche à saturer l’outil industriel (situé à 250 km de monexploitation) par une meilleure linéarité de la production.

- Propose des volumes B au prix mozzarella, caséine, beurre et poudre.- Est située dans 2 bassins de collecte (incertitude sur les volumescollectés dans ma zone).

• Ma capacité productiveLe bâtiment actuel est la première limite structurelle (85 VL maxi)(figure 1).

Les projets étudiésParmi les 3 projets étudiés, le projet 3 est finalement retenu. Il est présenté enpage suivante.

Situation de départ :2,5 UMO240 ha

dont 185 ha de cultures,580 000 litres de lait

Facteur deproductionlimitant

Trav

ailDist

ribut

ion

Loge

men

t

Trait

eFo

urra

ges

Envir

onne

men

t

Cahier

Nombre de VL

- 20

0

20

40

60

80

100

120

140

160

180

200

Avec prise en comptede modi�cations

Potentiel initial

Après modi�cations

A partir de la situation initiale(structure et fonctionnementconstant)

Figure 1 :

Analyse du potentiel structurelinitial de l’exploitation

Projets étudiés

Faire avec le bâtiment existant (85 VL)

Remplacer l’aire paillée par des logettes pour atteindre uneffectif de 97 VL. Coût : 65 000 €

Investir dans un bâtiment complémentaire pour atteindre unecapacité de 140 VL. Coût : 255 000 €.Effectif présent : 116 VL

Laità livrer

700 000 l

795 000 l

950 000 l

Surfaceen culture

150 ha

142 ha

135 ha

Stratégiepossible

Leviers àactionner eteffets sur laproductionlaitière

Intérêtéconomique

Produire plus :1 010 000 litres

• Réduire la durée detarissement : • Retarder les réformes : • Augmenter le concentréde production : Total :

Économiquement intéressant avecdes prix de céréales inférieurs (150€/t) et un prix du lait de 320 €.

Produire moins :770 000 litres

• Augmenter les réformes : • Diminuer la quantité decorrecteur : • Augmenter la durée detarissement : Total :

La baisse des volumes de lait (à 270 €)n’est pas intéressante car les levierslibèrent trop peu de surface fourragère.

Situation initiale : 950 000 litres

P aroles d’éleveur«L’étude nous a permis de prendre lamesure de l’impact des investissements surle revenu et la trésorerie. Il faudra anticiperla montée en puissance (achat de veaux)et différer les annuités.»

FIChE PrOjEt

1

2

3

+ 14 000 l+ 27 000 l

+ 11 000 l+ 52 000 l

- 110 000 l

- 41 000 l

- 30 000 l- 181 000 l

Une exploitation dans laVienne : zone de polycultureà faible densité laitière

Extrait

-

.

. ..

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