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199 EX/11 Conseil exécutif Point 11 de l'ordre du jour provisoire RAPPORT BIENNAL SUR LA STRATÉGIE GLOBALE POUR LES PARTENARIATS PARIS, le 4 mars 2016 Original anglais Cent quatre-vingt-dix-neuvième session Résumé Ce document donne suite à la décision 195 EX/IV du Conseil exécutif, dans laquelle celui-ci a prié la Directrice générale de lui présenter à sa 199 e session le prochain rapport biennal sur la stratégie globale pour les partenariats. Le présent rapport se compose d’une introduction et d’un rapport consolidé des progrès accomplis par rapport aux résultats escomptés, alignés sur le 37 C/5 pour chaque catégorie différente de partenaire pour la période du 1 er janvier 2014 au 31 décembre 2015.

UNESCO. Executive Board; 199th; Rapport biennal sur …unesdoc.unesco.org/images/0024/002439/243990f.pdf · 2017-01-26 · ... mise à jour de la base de données BSP/CFS 18 ... secteur

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199 EX/11 Conseil exécutif

Point 11 de l'ordre du jour provisoire

RAPPORT BIENNAL SUR LA STRATÉGIE GLOBALE POUR LES PARTENARIATS

PARIS, le 4 mars 2016

Original anglais

Cent quatre-vingt-dix-neuvième session

Résumé

Ce document donne suite à la décision 195 EX/IV du Conseil exécutif, dans laquelle celui-ci a prié la Directrice générale de lui présenter à sa 199e session le prochain rapport biennal sur la stratégie globale pour les partenariats.

Le présent rapport se compose d’une introduction et d’un rapport consolidé des progrès accomplis par rapport aux résultats escomptés, alignés sur le 37 C/5 pour chaque catégorie différente de partenaire pour la période du 1er janvier 2014 au 31 décembre 2015.

199 EX/11

Introduction

1. Lors de sa 195e session, le Conseil exécutif a accueilli favorablement le premier rapport biennal consolidé sur la stratégie globale pour les partenariats présenté par la Directrice générale dans le cadre du document 195 EX/4 Partie IV, qui offre un aperçu des progrès accomplis par rapport aux objectifs des différentes catégories de partenaires.

2. Au cours de cette même 195e session, le Conseil exécutif a prié la Directrice générale de lui soumettre à sa 196e session une annexe au 38 C/5, avec les objectifs et les résultats escomptés, pour chaque catégorie de partenaire couverte par la stratégie pour les partenariats et de lui présenter à sa 199e session le prochain rapport biennal sur la stratégie globale pour les partenariats, en intégrant les informations sur les sommes restant dues, la manière dont sont dépensées les contributions et le détail des protocoles d’accord annulés.

3. Ce rapport offre des informations à jour sur les progrès accomplis au 31 décembre 2015 par rapport aux objectifs pour chaque catégorie de partenaire. Il intègre également des informations sur les protocoles d’accord qui ont été annulés au cours de la période de référence, avec quelles implications financières. Cette disposition concerne les partenariats conclus avec le secteur privé.

4. Les motifs d’annulation de plusieurs protocoles d’accord/accords conclus avec des entités du secteur privé sont principalement la non-satisfaction partielle ou totale des obligations financières formellement conclues avec l’UNESCO. La résiliation de la coopération a été formellement notifiée à ses partenaires par l’UNESCO, conformément aux dispositions du protocole d’accord/de l’accord conclu avec chaque partenaire.

5. Le document 199 EX/4 Partie II détaille la manière dont les contributions des partenaires sont dépensées.

199 EX/11 – page 2 Progrès accomplis par rapport aux résultats escomptés, alignés sur le 37 C/5 pour la période du 01/01/2014 au 31/12/2015 :

A. Secteur privé

Progrès accomplis par rapport à l’objectif au 31/12/2015

Objectif quantitatif et/ou qualitatif (O)

Moyens de vérification (M) (sources des données) :

Données de référence

Indicateur de performance (IP) (trois maximum) :

Résultats escomptés

Sur la période considérée (2014-2015), 67 accords ont été conclus avec des entités du secteur privé. Étant donné que la période considérée couvre une période biennale, nous réalignons les données de référence sur 67 accords conclus par période biennale.

O 1 : 40

M1 : nombre de projets créés dans SISTER M2 : informations financières correspondantes dans FABS

36 accords en 2012 (entreprises, fondations, individus, etc.)

IP1 : nombre d’accords signés par année civile IP2 :

Résultat escompté n°1 : augmentation de 20 % en quatre ans du nombre d'accords avec le secteur privé

Sur la période considérée (2014-2015), 24 accords ont été conclus avec des partenaires des pays BRICS et des pays émergents. Étant donné que la période considérée couvre une période biennale, nous réalignons le périmètre de référence sur 24 accords conclus par période biennale.

O 1 : 20

M1 : nombre de nouveaux accords signés d’après les rapports de BSP/CFS au Conseil exécutif M2 : mise à jour de la base de données BSP/CFS

18 partenaires des pays BRICS en 2012

IP1 : nombre de nouveaux partenaires de pays BRICS par année civile IP2 : nombre de nouveaux partenaires de marchés émergents par année civile

Résultat escompté n°2 : Enrichissement de 20 % en quatre ans de la base de donateurs du secteur privé, y compris de nouveaux partenaires des pays BRICS et des marchés émergents Évaluation des progrès accomplis entre le 01/01/2014 et le 31/12/2015 Au cours de la période biennale, l’UNESCO a continué de diversifier sa base de donateurs du secteur privé en concluant des accords de partenariat avec des entreprises des pays BRICS, plus particulièrement un éventail d’entreprises chinoises à l’instar de Yong Xin Hua Yun Cultural Industry Investment, Tencent, Perfect World et Royal Air Maroc et OCP pour le Maroc. Des partenariats d’envergure ont été mis en place avec le secteur privé, à l’instar de ceux conclus avec Hainan Airline Group, Nestlé, Seabourn Cruise Ltd, Juventus Football Club, China World Peace Foundation, Weidong Group Ltd, SAMSUNG, Airtel Gabon, CJ et Ericsson, et des partenariats stratégiques reconduits, à l’instar de celui avec Jaeger LeCoultre, ou d’autres encore étendus, à l’instar de celui avec Panasonic. Des partenariats existants pourraient être étendus, à l’instar de celui avec Hamdan pour l’éducation, celui avec Microsoft pour l’alphabétisation mobile et l’apprentissage tout au long de la vie, et celui avec Panasonic pour l’équipement de la Salle I au Siège de l’UNESCO. De nouveaux accords ont également été conclus avec la Gordon and Betty Moore foundation, la Richard Lounsbery foundation et la Fok Ying Tung Foundation Limited, pour soutenir un projet culturel au Népal.

199 EX/11 – page 3

Les informations sur les protocoles d’accord/accords conclus avec le secteur privé et annulés au cours de la période considérée sont présentées ci-dessous. Les partenaires ont été dûment avertis par écrit de la résiliation de la coopération, conformément aux dispositions des protocoles d’accord/accords conclus.

1. Shenzhen Ruby Football Club : avis de résiliation de l’accord-cadre envoyé le 5 novembre 2015 ; motif de l’annulation : le partenaire n’a pas satisfait dans leur intégralité à ses obligations financières ; seuls des règlements partiels ont été perçus.

2. Shenzhen Huaqiang Holding : avis de résiliation de l’accord de partenariat stratégique envoyé le 25 janvier 2016 ; motif de l’annulation : le partenaire n’a pas satisfait dans leur intégralité à ses obligations financières ; seuls des règlements partiels ont été perçus.

3. CHIC Group : avis de résiliation de l’accord de projet envoyé le 25 janvier 2016 ; motif de l’annulation : le partenaire n’a pas satisfait dans leur intégralité à ses obligations financières ; seuls des règlements partiels ont été perçus.

4. Beijing Zhongkun Investment Group : avis de résiliation de l’accord de partenariat stratégique envoyé le 22 janvier 2016 ; motif de l’annulation : le partenaire n’a pas satisfait dans leur intégralité à ses obligations financières ; seuls des règlements partiels ont été perçus.

5. Changqing Investment Group Co. Ltd : avis de résiliation de l’accord-cadre envoyé le 5 novembre 2015 ; motif de l’annulation : le partenaire n’a pas satisfait à ses obligations financières ; aucun règlement n’a été perçu.

6. Fond Culturel Arts & Ouvrages : avis de résiliation de l’accord de projet envoyé le 10 novembre 2015 ; motif de l’annulation : le partenaire n’a pas satisfait à ses obligations financières.

7. Malaga Football Club : avis de résiliation de l’accord de partenariat stratégique envoyé le 1er juillet 2015 ; motif de l’annulation : le partenaire n’a pas satisfait à ses obligations financières ; seuls des règlements partiels ont été perçus.

199 EX/11 – page 4

B. Partenaires de financements bilatéraux

Progrès accomplis par rapport à l’objectif au 31/12/2015

Objectif quantitatif et/ou qualitatif (O)

Moyens de vérification (M) (sources des données) :

Données de référence

Indicateur de performance (IP) (trois maximum) :

Résultats escomptés

Les chiffres des contributions volontaires annuelles pour les six derniers mois de l’année 2015 n’étaient pas disponibles à la date d’envoi du rapport. Selon les chiffres disponibles pour l’année 2014 et les six premiers mois de 2015, 310 millions de dollars ont été reçus des partenaires de financements bilatéraux1. 240 nouveaux accords de projet ont été conclus avec les partenaires de financement bilatéraux entre le début de la période biennale et le 31 décembre 2015.2

O1 : Contributions volontaires annuelles des donateurs gouvernementaux bilatéraux entre 240 et 250 millions de dollars.

M 1 : chiffres du BFM sur les contributions annuelles au 31 décembre de chaque année

248 millions de dollars dépensés en décembre 2012

IP : contributions volontaires annuelles

Résultat escompté N°1 : stabilisation du niveau global des contributions des donateurs gouvernementaux bilatéraux

Entre le début de la période biennale et le 31 décembre 2015, 92 nouveaux accords de projet ont été conclus avec des donateurs émergents comme le Brésil, le Burundi, l’Indonésie, le Mexique, le Pakistan, le Pérou, notamment pour des activités d’action au profit du donateur et avec d’autres donateurs (y compris membres non DAC) à l’instar de l’Azerbaïdjan, la Chine, la Malaisie, l’Arabie saoudite, le Koweït, le Qatar pour les projets Sud-Sud et mondiaux.

O1 : hausse de 10 % sur une période de 4 ans du nombre d’accords de projet conclus avec des donateurs émergents, y compris par le biais de la modalité d’action au profit du donateur.

M1 : données relatives aux projets extrabudgétaires dans SISTER

(b1) : 33 accords de projet conclus au décembre 2012

IP : nombre d'accords de projet conclus avec des donateurs émergents, y compris par le biais de la modalité d'action au profit du donateur

Résultat escompté N°2 : poursuite de la coopération avec les donateurs émergents y compris par le biais de la modalité d’action au profit du donateur (donateurs gouvernementaux bilatéraux)

47 réunions d’examen avec des donateurs gouvernementaux ont été organisées au cours de la période biennale, en plus des autres réunions ponctuelles portant sur les projets spécifiques mis en œuvre par l’UNESCO. Ce chiffre englobe les réunions avec des

O1 : entre 12 et 18 réunions d'examen organisées chaque année avec les donateurs gouvernementaux

M.1 : calendrier de prévisions de la Division de la coopération avec les sources de financement

b1) : 14 réunions d’examen en 2012

Pl : nombre de réunions d'examen organisées chaque année en vue d'une planification et d'un examen communs

Résultat escompté N°3 : maintien de partenariats solides et pluriannuels avec des donateurs gouvernementaux

1 Source : Bureau of Financial Management 2 Source : SISTER

199 EX/11 – page 5

donateurs bilatéraux pour examiner leur portefeuille global de projets et de programmes avec l’UNESCO ainsi que 3 réunions de donateurs aux programmes multidonateurs.

bilatéraux

extrabudgétaires. Rapports des responsables de projets décentralisés

bilatéraux

Évaluation des progrès accomplis entre le 01/01/2014 et le 31/12/2015 Même si les chiffres consolidés pour les contributions volontaires pour les six derniers mois de l’année 2015 n’étaient pas disponibles à la date d’envoi du rapport, l’examen des chiffres officiels pour l’année 2014 et les six premiers mois de 2015 révèle que le soutien reçu de nos partenaires gouvernementaux reste la plus grande source de financement de l’Organisation, avec 310 millions de dollars pour un total de contributions volontaires de 454 millions de dollars reçus entre le 01/01/2014 et le 30/06/2015. Les actions au profit du donateur, principalement en Amérique latine (y compris au Brésil), s’élèvent à 12 % du total des contributions volontaires reçues sur la même période. De nouveaux accords pluriannuels de coopération ont été conclus avec plusieurs de nos donateurs, y compris la Suède, la Norvège, la République de Corée et la Chine. La coopération avec les donateurs émergents, y compris pour la coopération Sud-Sud, est restée stable, notamment par le biais de la mise en œuvre opérationnelle des accords de coopération existants conclus avec plusieurs États membres à l’instar de la Malaisie, du Pakistan, de l’Azerbaïdjan, de l’Arabie saoudite, du Koweït, du Qatar. La coopération au profit du donateur avec l’Indonésie, le Brésil, le Pérou, le Mexique s’est également poursuivie au cours de la période. L’action de l’UNESCO pour les situations de crise et de transition continue d’attirer un soutien généreux de la part de nos donateurs gouvernementaux, y compris le Japon, l’Arabie saoudite (par le biais du Fonds saoudien pour le développement), le Koweït, la Suède, l’Italie, la Norvège, le Qatar et la France.

199 EX/11 – page 6

C. Organisations non gouvernementales (ONG)

Progrès accomplis par rapport à l’objectif au 31/12/2015

Objectif quantitatif et/ou qualitatif (O)

Moyens de vérification (M) (sources des données) :

Données de référence

Indicateur de performance (IP) (trois maximum) :

Résultats escomptés

Au cours de la période considérée, et suite à un processus d’évaluation rigoureux, dix-huit (18) nouvelles ONG ont été admises par la Directrice générale pour devenir partenaire officiel et sept (7) fondations pour des relations officielles dans le cadre des Directives correspondantes. Parmi elles, onze (11) ont leur siège dans une région sous-représentée, à savoir l’Afrique (2), l’Asie (4), la péninsule arabe (4) et l’Amérique latine et les Caraïbes (1). Par conséquent, sur le nombre total d’ONG et de fondations (418), 21 % sont issues de régions sous-représentées (soit un ratio de 79: 21) La Conférence internationale des ONG, qui se réunit tous les deux ans, représente le seul mécanisme permettant à toutes les ONG partenaire officiel de se réunir. Leur participation – aux alentours de 120 – à la Conférence de 2014 était similaire à celle enregistrée lors de la Conférence de 2012. La participation globale a toutefois augmenté avec, outre les représentants des ONG partenaires, quelque 40 observateurs représentant d’autres ONG, fondations admises pour entretenir des relations officielles ainsi que des représentants des États membres, pour un total de près de 340 participants. Conformément aux dispositions des Directives correspondantes, le Comité de liaison ONG-UNESCO, en étroite coopération avec le Secrétariat et avec le soutien de nombreuses ONG, a organisé

O 1: Ratio 75 : 25 O 2 : 160

M 1 : document statutaire soumis au Conseil exécutif Base de données M 2 : document statutaire soumis au Conseil exécutif

b1 : (81 : 19) b2 : 130

IP 1 : nombre de nouvelles ONG de régions sous-représentées devenant partenaire officiel IP 2: nombre d'ONG participant à la Conférence internationale des ONG (2015 et 2016)

Résultat escompté N°1 : revitalisation et élargissement du réseau d'ONG partenaires officielles de l'UNESCO, pour une plus grande représentativité en matière de diversité géographique et de statut de coopération

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les forums internationaux suivants pour les ONG, qui ont offert des opportunités de sensibiliser et de mobiliser les soutiens autour des domaines prioritaires de l’Organisation : • Deuxième forum sur l’« Accès à l’eau pour tous

en Afrique » (Yamoussoukro, Côte d’Ivoire, juillet 2014) avec le soutien du Gouvernement de Côte d’Ivoire et sa Commission nationale ;

• Troisième forum sur « Le rôle de la jeunesse dans la préservation du patrimoine matériel et immatériel », accueilli par la Sozopol Foundation avec le soutien de la Commission nationale de Bulgarie pour l’UNESCO (Sozopol, Bulgarie, septembre 2014) ;

• Quatrième forum sur « Le rôle des femmes dans la lutte contre la pauvreté » (Siège de l’UNESCO, juin 2015) ;

• Cinquième forum sur le « Rapprochement des Cultures : une humanité au-delà de la diversité » (Pékin, Chine, juillet 2015) avec le soutien de la Commission nationale chinoise pour l’UNESCO.

Le Comité de liaison ONG-UNESCO a également mobilisé les ONG au Siège de l’Organisation pour célébrer les journées thématiques ainsi que quelques journées mondiales revêtant une importance particulière pour le mandat de l’UNESCO : – l’événement « Éducation, Sport et Diversité

culturelle : de nouvelles attitudes pour promouvoir les droits humains dans le monde » le 6 mars 2014, avec la participation de 800 jeunes âgés de 18 à 35 ans ;

– Journée mondiale de l’alphabétisation, le 8 septembre 2014, avec un séminaire international sur « L’alphabétisation et l’éducation pour tous tout au long de la vie » ;

– Journée mondiale de la paix en coopération avec le Secrétariat, avec un événement d’envergure sur le thème « Dialogues, images, musiques et chants pour le droits des peuples à

O 3 : 6

M 3 : document statutaire soumis au Conseil exécutif

b 3: 6

IP 3 : nombre de manifestations organisées collectivement par les ONG

199 EX/11 – page 8

la paix », le 19 septembre 2014 au Siège de l’UNESCO avec 1 300 personnes venues assister au concert de l’ensemble Calliope, précédé d’une table ronde sur « Œuvrer pour les droits des peuples à la paix ».

N.A. Liste non exhaustive : 1. En partenariat avec le Conseil international des

sciences sociales (ISSC), l’UNESCO a participé au 3e Forum mondial des sciences sociales (Durban, 13-16 septembre 2015) sur le thème « Transformer les relations internationales pour un monde plus juste ». À cette occasion et sous l’égide du programme MOST, l’UNESCO a organisé 3 principaux événements : une session de recherche ministérielle sur la contribution des sciences sociales dans le cadre de l’agenda 2030, un panel sur l’égalité entre les sexes et le Panel Arthur Lewis Centennial.

2. Le séminaire international « Politiques pour l’égalité : carrefours sociaux et discussions sur l'avenir » (Port au Prince, 16- 21 juin 2014), organisé avec le Conseil des sciences sociales latino-américain (CLACSO) et l'Université d'État d'Haïti (UEH), a contribué à améliorer la coopération interdisciplinaire entre les sciences sociales. L’UNESCO a également soutenu la conférence régionale CLACSO-MOST sur le thème « Genre, féminisme et réflexion critique dans les sciences sociales latino-américaines et caribéennes », (San Jose, Costa Rica, 15-17 octobre 2014).

3. L’UNESCO a organisé avec ATD Quart Monde et l’ISSC une table ronde « Ne laisser personne de

O 1: 120 O 2 : 15

M 1: rapports soumis au Conseil exécutif M 2: Base de données

b 1 : 90 b 2 : 11

IP 1: nombre d'ONG participant aux consultations menées aux fins de la planification du programme IP 2: activités conjointes menées avec des ONG partenaires

Résultat escompté N°2 réalisation accrue des objectifs stratégiques de l'Organisation grâce à la contribution des ONG

199 EX/11 – page 9

côté ? L’extrême pauvreté dans l’agenda de développement de l’après-2015 » (14 octobre 2014, Paris).

4. Contribution du Conseil international pour l’éducation physique et la science du sport (CIEPSS) à l’examen de la Charte de 1978 pour l’éducation physique et le sport (cf. résolution 194 EX/9)

5. La Septième rencontre CCONG/EPT co-accueillie par la Campagne latino-américaine pour le droit à l’éducation (CLADE) (Santiago du Chili, mai 2014) où des représentants des ONG internationales, régionales et nationales ont adopté une Déclaration finale qui appelle à la continuation d’un « processus EPT revitalisé et d’une structure à l’horizon 2030 » et pour que l’agenda de développement de l’après-2015 tienne compte des perspectives d’apprentissage global universel et fondé sur les droits. 76 participants représentant 37 organisations membres de CCONG/EPT et issues de toutes les régions du monde ont participé à la réunion, ainsi que 18 observateurs.

6. Le forum des ONG 2015, organisé en connexion avec le Forum mondial sur l’éducation 2015 (Incheon, mai 2015). Le forum des ONG 2015 a offert aux ONG un espace pour se rencontrer et pour convenir d’une vision collective de la société civile pour l’éducation de l’après-2015 ainsi que pour réfléchir aux stratégies d’engagement de la société civile dans la finalisation et la mise en œuvre de l’agenda Éducation 2030. Les participants du Forum des ONG recensaient 238 représentants de 149 organisations non gouvernementales nationales, régionales et internationales, ainsi que des organisations de la société civile venues de toutes les régions du monde, dont la plupart sont membres de la Consultation collective des ONG de l’UNESCO sur l’EPT (CCONG/EPT), ainsi que 45 observateurs.

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7. Par le biais de CCONG/EPT, des consultations ont été menées auprès de la société civile pour faciliter l’action du Groupe de coordination de CCONG/EPT afin de soutenir les contributions de la société civile aux débats autour de l’agenda Éducation de l’après-2015, du projet de Cadre d’action Éducation 2030 et du projet de Déclaration du Forum mondial de l’éducation 2015.

8. Élaboration de la Recommandation relative à la protection et à la promotion des musées et des collections, de leur diversité et de leur rôle dans la société ; à la suite de la demande des États membres d’élaborer un nouvel outil de définition de normes non contractuelles pour les musés, l’UNESCO a travaillé en étroite coopération avec le Conseil international des musées (ICOM) pour préparer le projet de Recommandation, qui a été adopté par la Conférence générale lors de sa 38e session.

9. La campagne globale pour les bénévoles du patrimoine mondial, coordonnée conjointement par le Centre pour le patrimoine mondial et CCIVS (54 projets de camps de jeunes sur 53 sites organisés par 44 organisations locales/nationales dans 33 pays). En coopération avec 52 ONG locales de jeunes dans 46 pays dans le monde, l’UNESCO a organisé dans le cadre du « Programme d’éducation au patrimoine mondial » des camps pour mobiliser et investir les jeunes dans la préservation du patrimoine culturel et la promotion de la diversité culturelle à l’aide d’outils d’éducation non formelle mise en œuvre par le biais de méthodes d’apprentissage participatif et créatif.

10. En leur capacité de Co-présidents du Conseil de gouvernance de Future Earth, l’UNESCO et l’ICSU ont coopéré pour rendre l’initiative Future Earth pleinement opérationnelle. Celle-ci peut désormais déléguer son rôle de contributeur

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crucial pour consolider la base de connaissances nécessaire à l’interface science-politique, en lien avec le changement global, y compris le changement climatique.

11. L’UNESCO et The Human Variome Project (HVP) ont co-organisé en 2014 la 5e réunion biennale de HVP et les deux premières réunions du Breast Cancer (BRCA) Challenge en 2014 et 2015 ; les deux organismes ont également eu l’opportunité de sensibiliser la communauté internationale à la génétique et à la génomique à l’occasion de la Journée mondiale de la science 2014 par le biais d’une exposition sur l’histoire de l’ADN.

12. La célébration de la Journée mondiale de l’océan au Siège de l’UNESCO le 8 juin 2015 a été organisée conjointement avec la « Ocean & climate platform », une alliance qui réunit la société civile, les institutions scientifiques, les entreprises, les organisations intergouvernementales, ayant un lien avec l’océan et le climat : 1 200 participants ont été mobilisés pendant une journée de discussions avec la participation de décisionnaires et de chefs d’État. L’événement a permis la production de messages clés promus au cours d’autres événements planifiés en aval de cette journée.

13. Pendant la COP21 au Bourget, près de Paris, la Commission océanographique intergouvernementale et la Ocean and Climate Platform, ont co-organisé trois événements phares, hébergés sur les Espaces générations climatiques (ouverts au grand public) du centre des congrès du Bourget : le forum Océans et climat (3 décembre), la Journée des océans à la COP21 (4 décembre) et le Moment Océans et climat (10 décembre).

14. La Journée mondiale pour la liberté de la presse

199 EX/11 – page 12

(5-6 mai 2014) : l’UNESCO s’est associée à 14 ONG (dont l’Association mondiale des journaux et des éditeurs (WAN-IFRA), L’Union européenne de radio-télévision, le Comité pour la protection des journalistes (CPJ), la Fédération internationale des journalistes (FIJ), Reporters sans Frontières (RSF), l’Asian Media Information and Communication Centre (AMIC) et Internews International).

15. En juin 2014, l’Asia-Pacific Broadcasting Union et la Fédération internationale des journalistes ont accepté leur nomination au rang de membres du comité de pilotage international de l’Alliance mondiale Genre et médias.

16. Journée mondiale de la radio 2014 et 2015 : L’Organisation s’est associée avec succès à un grand nombre d’organisations externes pour promouvoir cette Journée tant en 2014 qu’en 2015. Un grand nombre de stations de radio dans le monde célèbrent chaque année la Journée mondiale de la radio. Par le biais d’échanges de lien réciproques et d’une promotion transversale sur les réseaux sociaux, le message de l’UNESCO a également été porté par 20 organisations internationales de diffusion.

17. L’AMARC est le modérateur du sous-groupe sur la communauté médiatique dans le cadre de WSIS+10. Le rapport du modérateur a été présenté le 12 juin. Il confirmait que la radio est menacée par le manque d’accès aux ondes, de cadres réglementaires clairs, de ressources financières, etc.

18. En 2015, l’UNESCO s’est associée à Small Earth Nepal pour entreprendre un exercice détaillé de gestion des connaissances climatiques en vue de développer les connaissances à l’échelle des microbassins à partir des données hydroclimatiques observées et prévues disponibles. Le projet a impliqué le recueil des prévisions d’inondations en temps réel observées

199 EX/11 – page 13

et modélisées à l’aide de plusieurs techniques, notamment l’observation dans l’espace et la science citoyenne.

19. En 2015, l’UNESCO a collaboré avec Technovation Challenge (ONG, États-Unis) dans le cadre de la YouthMobile Initiative, pour avoir accès à son réseau exhaustif de femmes mentores dans le domaine du développement d’applications et encourager les jeunes femmes, notamment en Afrique, à participer à son programme 2015.

L’UNESCO travaille très étroitement avec la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge ainsi qu’avec Save the Children afin de promouvoir la réduction des risques dans le monde (contribution de l’UNESCO aux rapports sur les catastrophes dans le monde 2014 du IFRC ; Alliance mondiale pour la prévention des risques de catastrophe dans le secteur de l’éducation (GADRRRES). Un vaste exercice de cartographie – intégrant les secteurs de la programmation et d’autres services de l’UNESCO, des Bureaux hors Siège, des ONG partenaire officiel et des fondations admises à entretenir des relations officielles – a été lancé en août 2013 pour recueillir des informations pertinentes sur le statut actuel des partenariats. Suite à la requête du Conseil exécutif (195 EX/Décision 24), les résultats réunis au cours de cet exercice ont servi de source pour élaborer le rapport quadriennal de la Directrice générale à la 38e

session de la Conférence générale (doc. 38 C/34) et ont été complétés par une consultation des Commissions nationales pour l’UNESCO entre mars et juin 2015. Par conséquent, le document 38 C/34 contenait également une liste des organisations dont l’absence de collaboration devrait entraîner la résiliation automatique de leur partenariat avec l’UNESCO. En outre, conformément aux Directives relatives aux

O 1: 1

M 1 : Base de données

b 1 : 1 b 2 : 0

IP 1: examens réguliers des différents partenariats établis et des recommandations appliquées (y compris résiliation des partenariats)

Résultat escompté N°3 amélioration de l'évaluation et de l'appréciation de l'impact du partenariat avec les ONG

199 EX/11 – page 14

relations officielles de l’UNESCO avec des fondations, la coopération avec 4 Fondations a été évaluée, entraînant la reconduction des relations avec 3 d’entre elles et leur résiliation avec l’une d’entre elles. Les relations avec deux fondations complémentaires sont en cours d’évaluation. Conformément aux Directives correspondantes, la Directrice générale a soumis à la 38e session de la Conférence générale son rapport quadriennal sur les contributions aux activités de l’UNESCO des organisations qui maintiennent un partenariat formel avec l’Organisation (doc. 38 C/34). Ce document présente un aperçu de la coopération avec les ONG depuis l’adoption des Directives en 2011, et couvre la période 2012-2015. Si la partie du rapport limitée aux données quantifiables ne couvre que les ONG partenaire officiel de l’UNESCO pour lesquelles les statistiques sont disponibles, les parties qualitatives tiennent compte des relations avec d’autres ONG qui ne maintiennent pas de relations statutaires avec l’UNESCO, ce afin d’offrir une image exhaustive de la coopération de l’Organisation avec les ONG.

O 2 : 1

M 2: document statutaire soumis au Conseil exécutif et à la Conférence générale

IP 2: examen global de l'ensemble de la coopération menée avec les ONG

Évaluation des progrès accomplis entre le 01/01/2014 et le 31/12/2015 L’achèvement des résultats escomptés en matière de partenariat avec les ONG est en bonne voie. Les objectifs ont été atteints et parfois dépassés. Comme rapporté de manière exhaustive dans le document 38 C/34, la coopération de l’UNESCO avec les ONG reste productive, étendue, et pleinement pertinente pour l’Organisation. Elle prend la forme de partenariats solides pour une mise en œuvre efficace du programme de l’Organisation ou la mise en œuvre et le suivi des cadres réglementaires, par exemple dans les domaines de la culture et du sport. La liste non exhaustive des activités conjointes établie ci-dessus montre en quoi les partenariats avec diverses ONG permettent à l’UNESCO d’accroître la portée de son programme et d’améliorer grandement sa visibilité. Ces partenariats portent sur tous les champs de compétences de l’Organisation et toutes les formes de coopération, y compris la progression et la diffusion des connaissances, les fonctions de conseil technique et intellectuel de l’UNESCO, la mise en œuvre du programme, son financement et sa visibilité. En ce qui concerne le réseau d’ONG partenaire officiel de l’UNESCO, des progrès sont lentement accomplis en matière de répartition géographique, avec une légère augmentation du nombre d’ONG dans les régions sous-représentées. Des efforts restent toutefois à faire pour promouvoir une plus grande diversité géographique dans le réseau d’ONG partenaire officiel. La coopération collective coordonnée par le Comité de liaison ONG-UNESCO, revitalisé et renforcé par les Directives, a confirmé la nouvelle mobilisation des ONG en faveur de l’organisation d’événements correspondants aux priorités de l’UNESCO. Les forums internationaux d’ONG incarnent sans conteste une

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force de mobilisation, qui permet aux ONG de découvrir les activités de l’UNESCO et de les encourager à continuer de travailler avec l’Organisation. Ces forums sont le fruit d’un effort conjoint du Comité de liaison ONG-UNESCO, du Secrétariat et des ONG, parfois avec l’aide et le soutien des États membres. Ils ont prouvé leur caractère crucial pour le développement de nouveaux réseaux et de nouveaux projets et efforts concertés. L’absence de sources financières clairement spécifiées reste toutefois un défi car l’organisation de ces réunions se fonde principalement sur des ressources humaines et financières très limitées.

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D. Partenaires du domaine des médias et de la communication

Progrès accomplis par rapport à l’objectif au 31/12/2015

Objectif quantitatif et/ou qualitatif(O)

Moyens de vérification (M) (sources des données) :

Données de référence

Indicateur de performance (IP) (trois maximum) :

Résultats escomptés

2 400 articles publiés par des partenaires En termes de partenariats médias, ces deux années ont permis de développer deux types de partenariats :

a) Partenariat formalisé durable (PRISA, Phoenix TV, Xinhua agency, TASR, BTA Bulgarian News Agency,

b) Partenariats ponctuels sur des événements / projets spéciaux (France Culture, SIPA Press, Magnum, INYT, Libération,

O 1: nombre d'articles de presse obtenus auprès des partenaires O 2 : nombre et nature des partenariats établis avec des sociétés de médias et de communication

M 1: rapport mensuel de la DPI de l'UNESCO sur sa visibilité : nombre d'articles/vidéos, entretiens, tribunes libres, M2 : mise en place d'un réseau de relations institutionnelles avec une équipe de médias (gestion, documentaires et partenariats notamment)

IP 1: poursuite de l'établissement de partenariats avec les médias, en les complétant sur le plan des pays et de la nature des médias concernés, de façon à toucher un plus large public IP2 : élaboration de campagnes de communication médiatiques dans des pays clés où la marque nécessite particulièrement d'être valorisée, en ciblant notamment les jeunes, grâce à des partenariats durables avec des agences de médias et/ou de publicité.

Résultat escompté N°1 renforcement et augmentation de partenariats avec les médias afin d'accroître la visibilité de l'UNESCO par des partenariats durables et actifs

199 EX/11 – page 17

De nombreux projets de communication ont été mis en œuvre grâce au modèle tripartite, qui sert l’image et la notoriété de l’Organisation ; À titre d’illustration, Journeys to school (avec SIPA, Transdev et Winds production) s’est décliné avec :

- L’exposition présentée dans 29 villes (France, États-Unis, Monaco et Espagne,

- 7 000 livres distribués - Un film vu par 2,7 millions de

personnes dans 22 pays - Une série TV (20 documentaires

de 20 min) diffusée par 103 chaînes dans le monde.

Campus UNESCO (avec Salon Films and Engie Foundation) a permis :

- 22 Campus dans 6 domaines stratégiques de l’UNESCO

- 27 écoles / 6 000 jeunes de régions défavorisées

- 25 partenaires impliqués en tant qu’experts

Au-delà de ces projets de partenariat, la Section a développé un réseau durable qui intègre 8 producteurs TV/ciné, 3 agences de photo, 12 entreprises privées (Transdev, Klorane, Renault, Saln Films, LG, Phoenix TV, Panasonic, Engie, Li Ka Shin Foundation, etc.), de nombreux organisateurs de conférences (Université de la Terre, Netexplo, Ateliers de la Terre, TEDx, INYT Conference Art for Tomorrow, Académie des César, etc.) ainsi qu’un réseau croissant de VIP et de personnalités.

O 1: visibilité accrue de l'UNESCO dans la région grâce à des projets de communication régionaux ou mondiaux O 2 : nombre de manifestations organisées en partenariat avec l'UNESCO et comptes rendus relatifs aux principales manifestations en partenariat faisant état du volume et du profil du public touché

M 1 : nombre de projets de communication répondant aux besoins spécifiques des Secteurs en matière de communication (éducation, océans, développement durable, etc.) M2 : reconduction annuelle des manifestations et relations fructueuses entretenues avec les partenaires du domaine de la communication et des médias

IP 1 : mise en place de projets de communication spécifiques (expositions, publications, conférences internationales, etc.) concernant les priorités des Secteurs et de manifestations stratégiques selon un modèle tripartite : UNESCO/média/sponsor privé IP2 : créer des possibilités de communication avec les ONG, fondations, sociétés de production de cinéma ou d'audiovisuel, agences de presse, etc. afin d'élargir le réseau de partenaires de manifestations de l'UNESCO et de l'associer à des manifestations clés (où l'UNESCO peut profiter de précieuses plates-formes de communication pour faire passer ses messages)

Résultat escompté N°2 renforcement du soutien des acteurs de la société civile en vue de développer davantage des projets de communication spécifiques, augmentant ainsi les chances de visibilité

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Évaluation des progrès accomplis entre le 01/01/2014 et le 31/12/2015 Le déploiement du partenariat a rencontré un franc succès : tous les projets de communication ont été sponsorisés à 100 % et ont contribué de manière significative à l’amélioration de l’image de l’UNESCO et de sa valeur auprès d’un large public. Nouveau domaine de communication, ces années ont également servi de laboratoire, permettant à l’équipe de s’adapter, d’apprendre comment optimiser et surtout de diffuser sa méthodologie et ses opportunités à travers les différentes Secteurs.

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E. Parlementaires Résultats escomptés

Indicateur de performance (IP) (trois maximum) :

Données de référence

Moyens de vérification (M) (sources des données) :

Objectif quantitatif et/ou qualitatif(O)

Progrès accomplis par rapport à l’objectif au 31/12/2015

Résultat escompté N°1 participation des parlementaires à l'action normative de l'UNESCO, y compris la ratification de conventions internationales, et échanges d'invitations aux assemblées générales respectives

IP 1: augmentation de la visibilité de l'action de l'UNESCO, notamment normative, dans le milieu législatif IP2 : association des commissions nationales à cet effort de partenariat avec les parlementaires qui votent les budgets nationaux dans les domaines intéressant l’UNESCO et ratifiant les conventions internationales

M 1: participation de l'UNESCO à des conférences parlementaires et organisation de réunions parlementaires par l'UNESCO M2 : constitution de partenariats triangulaires entre l'UNESCO, les commissions nationales et des parlementaires afin de sensibiliser et de mobiliser en faveur du programme de l'UNESCO, de ses objectifs et de ses priorités

O 1 : participation d'institutions parlementaires aux comités de l'UNESCO sur l'EPT et les conventions internationales O 2 : représentation accrue de parlementaires dans les principaux organes des commissions nationales

Au cours de la période biennale 2014-2015, l’UNESCO a continué de sensibiliser et d’investir les parlementaires aux priorités de l’Organisation, notamment l’ Éducation pour tous, la bioéthique, la protection du patrimoine culturel et la promotion de la créativité, et la liberté d’expression. Ces démarches ont inclus une coopération avec le parlement panafricain, la Commission économique pour l’Afrique, l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, et différents parlementaires des différentes régions du monde. Plusieurs parlementaires de toutes les régions se sont investis avec le soutien de l’UNESCO dans le 7e Forum mondial de la science, organisé par l’UNESCO et ses partenaires (Budapest, Hongrie, 7 novembre 2015), notamment la session spéciale de l’UNESCO sur « Encourager la science par le biais de la gouvernance parlementaire. »

Résultat escompté N°2 obtention d'un soutien plus large des parlementaires en faveur de l'UNESCO, notamment dans les

IP 1: poursuite de la coopération entre l'UNESCO et les organisations parlementaires internationales et régionales dans le domaine de l'action normative

M 1 : élargissement de la base de soutien de l'Organisation dans les États membres en augmentant le nombre de parlementaires participant à des manifestations de l'UNESCO sur l'action normative, notamment

O 1 : visibilité accrue de l'UNESCO dans les cercles de décision et création des conditions favorables à

L’UNESCO a continué et continue de revitaliser sa coopération et ses relations de longue date avec l’Union interparlementaire, en se concentrant plus spécifiquement sur le changement climatique à l’occasion de la 21e session de la Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP 21), et sur la protection du patrimoine matériel et immatériel. Ainsi, les parlementaires de

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PMA

dans le domaine de l'EPT, la culture et les science s

l'élargissement de la base de soutien de l'Organisation dans les États membres O 2 : implication et mobilisation visibles des parlementaires grâce aux commissions nationales et aux Bureaux hors Siège dans leurs pays respectifs, en particulier les PMA

l’Union interparlementaire ont adopté en décembre 2015 une déclaration contractuelle qui les engage à évaluer les progrès de la lutte contre le changement climatique par le biais d’un mécanisme de contrôle annuel des résultats, et à s’attaquer à la question de la protection du patrimoine culturel contre les menaces et la destruction à la 134e session de l’Union interparlementaire en mars 2016. Le Secteur de la Culture de l’UNESCO a prodigué des conseils pour tenir compte des préoccupations à l’égard de la protection du patrimoine culturel en zone de conflit et encourager la ratification des conventions culturelles de l’UNESCO dans le cadre d’un projet de résolution qui doit être étudié par l’Assemblée générale de l’Union interparlementaire.

Évaluation des progrès accomplis entre le 01/01/2014 et le 31/12/2015 Le travail avec les parlementaires se poursuit même s’il se fait à un rythme réduit, en vue de promouvoir la pertinence de l’UNESCO pour le travail des organisations parlementaires nationales et internationales ainsi que des parlements nationaux dans toutes les régions, et de militer pour le soutien des parlementaires à la mission globale de l’Organisation et ses actions à l’échelle des pays.

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F. Associations, Centres et Clubs pour l’UNESCO

Résultats escomptés

Indicateur de performance (IP) (trois maximum) :

Données de référence

Moyens de vérification (M) (sources des données) :

Objectif quantitatif et/ou qualitatif(O)

Progrès accomplis par rapport à l’objectif au 31/12/2015

Résultat escompté N°1 Obtention du soutien des associations, centres et clubs en faveur de l'action de l'UNESCO

IP 1: conformité des activités des associations, centres et clubs pour l'UNESCO avec la mission et les objectifs de l'UNESCO IP2 : plus grande participation des femmes et des jeunes aux activités des clubs

b1: FMACU et fédérations régionales des Clubs UNESCO (6 entités en tout) b2 : WFU FMACU et fédérations régionales des Clubs UNESCO (6 entités en tout) mobilisées pour diriger les activités qui ciblent ces groupes

M 1: résultats des examens des clubs UNESCO menés par les commissions nationales pour l'UNESCO M 2: rapports d'activités des commissions nationales soumis dans le cadre du Plan d'action du groupe de travail tripartite

O 1 : davantage d'activités conformes aux objectifs et aux priorités de l'UNESCO présentées dans le cadre de l'examen des clubs et les rapports d'activités des commissions nationales (r1 : mobilisation de la FMACU et des fédérations régionales de clubs UNESCO (6 entités en tout) pour mener des activités conformes à la mission et aux objectifs de l'UNESCO O 2 : davantage d'activités de clubs ciblant spécifiquement les femmes et les jeunes, ou comptant leur participation

Dans le courant de l’année 2015, ERI a entrepris une étude des Clubs, Associations et Centres pour l’UNESCO. Au 31/12/2015, 1 839 Clubs, Associations, et Centres pour l’UNESCO, y compris les fédérations nationales, ont été recodés en se fondant sur les retours reçus des 51 États membres via leurs Commissions nationales ou Clubs, Associations et Centres pour l’UNESCO individuels. Le répertoire mis à jour régulièrement est disponible en ligne à l’adresse unesco.int dédiée au États membres. À l’occasion du 9e congrès mondial de la FMACU organisé en juillet 2015 à Pékin, en Chine, le Secrétariat de l’UNESCO a insisté sur la nécessité pour les activités des Associations, Clubs et Centres pour l’UNESCO de se conformer aux activités prioritaires de l’UNESCO. Les résultats de l’enquête susmentionnée indiquent que le nombre d’activités des clubs qui ciblent spécifiquement les femmes et/ou les jeunes a augmenté.

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Résultat escompté N°2 renforcement du partenariat entre les clubs et les commissions nationales

IP 1: accréditation par les commissions nationales des associations, centres et clubs UNESCO présents dans leurs pays respectifs, et suivi et évaluation de leurs activités selon que de besoin IP2 : usage approprié du nom et de l'emblème de l'Organisation par les Clubs pour l'UNESCO

M 1: examen global de l'ensemble de la coopération avec les associations, centres et clubs pour l'UNESCO au niveau des pays M2 : diminution de l'utilisation à mauvais escient du nom, de l'acronyme, de l'emblème et des noms de domaines Internet de l'UNESCO par les clubs

O 1 : rapport soumis à l'UNESCO (ERI) sur la recommandation 6 du Plan d'action du groupe de travail tripartite O 2 : sensibilisation de 100 commissions nationales à leur rôle de garants du bon usage du nom et de l'emblème de l'UNESCO lors de l'ensemble des manifestations organisées pour les commissions nationales, et expression de cet engagement au niveau du pays

Le Rapport d’avancée sur la mise en œuvre du Plan d’action (196EX/5 Partie III, mars 2015) auquel près de 40 Commissions nationales ont participé, montre que plusieurs Commissions nationales ont adopté de nouvelles mesures pour l’accréditation et le suivi des activités entreprises par les Clubs, Association et Centres pour l’UNESCO. En ce qui concerne le rôle des Commissions nationales pour l’utilisation du nom, de l’acronyme, de l’emblème et du nom de domaine de l’UNESCO, nombre d’entre elles ont indiqué endosser effectivement cette responsabilité. Le Secrétariat et les Commissions nationales coopèrent étroitement pour assurer l’utilisation appropriée du nom et de l’emblème de l’UNESCO. Les informations pour les Commissions nationales sur l’utilisation du nom, de l’acronyme, de l’emblème et du nom de domaine de l’UNESCO par le Mouvement des Clubs, Centres et Associations pour l’UNESCO, ont été publiées en ligne à l’adresse UNESCO.int.

Évaluation des progrès accomplis entre le 01/01/2014 et le 31/12/2015 Depuis l’adoption du Plan d’action par la Conférence générale en 2013, des changements d’envergure ont été apportés car les Clubs, Associations et Centres ne rendent plus directement compte au Secrétariat de l’UNESCO mais à l’échelle nationale aux Commissions nationales. Cette démarche a favorisé un nouvel environnement et un meilleur contrôle de l’utilisation du nom et de l’emblème de l’Organisation. Les abus sont plus systématiquement pris en compte.

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G. Universités et autres établissements d’enseignement supérieur, instituts de recherche de l’enseignement supérieur

Progrès accomplis par rapport à l’objectif au 31/12/2015 Objectif quantitatif et/ou qualitatif (O)

Moyens de vérification (M) (sources des données)

Données de référence

Indicateur de performance (IP) (trois maximum) :

Résultats escomptés

• 73 chaires et 6 réseaux établis entre janvier 2014 et

décembre 2015) De nouveaux pays ont rejoint le Programme : Irak, Norvège, Slovénie

• Réseau des chaires UNESCO sur le dialogue interculturel /

• Réseau UNITWIN sur le genre, la culture et le développement, basé à la Boston University

• Réseau des chaires UNESCO d’enseignement supérieur dans la région LAC

• Réseau des chaires en EDD • Réseau global des chaires UNESCO sur les enfants,

les jeunes et les communautés • Regroupement des chaires sur les ressources en eau • Réseau des chaires UNESCO sur les droits humains

et la démocratie 45 chaires UNESCO de 27 pays ont assisté à la Réunion des chaires UNESCO sur l’enseignement supérieur, les TIC dans l’éducation et le développement des enseignants (23-24 janvier 2014, siège de l’UNESCO) Les principaux objectifs de cette réunion étaient de renforcer la coopération de l’UNESCO avec les chaires/réseaux d’enseignement supérieur, les TIC dans l’éducation et le développement des enseignants, et de faciliter la mise en réseau des chaires/réseaux d’intérêt mutuel. Au sein des conférences régionales et internationales dédiées à l’agenda de l’après 2015

- Les chaires ont contribué en tant que groupes d’experts à la conférence internationale des TIC de Quindao (23-25 mai Qingdao, Chine)

- Le Forum mondial politique de haut niveau sur l’enseignement supérieur en ligne, ouvert et

O 1 : 50 Chaires UNITWIN/UNESCO (éducation) 17 chaires et 2 réseaux établis (éducation)

M 1: rapports annuels ou biannuels

IP 1: nombre de Chaires UNITWIN/UNESCO mobilisées pour appuyer l'exécution des domaines prioritaires de l’UNESCO

Résultat escompté N°1 renforcement de la coopération et de la mise en réseau et mobilisation de l'expertise universitaire en vue de contribuer à l'exécution du programme de l'UNESCO dans ses domaines prioritaires

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flexible pour l’avenir que nous voulons (UNESCO, 9-11 juin 2015)

Publications, livres et multimédia Plus de 250 publications et supports multimédia ont été produits par les chaires UNESCO et les réseaux UNITWIN au cours de la période biennale 2014-2015. Par exemple :

- Contribution à la publication de « Rethinking Education: Towards a global common good? » (2015)

- « Au‐delà des cibles pour l’éducation au‐delà de

2015 : Quelle qualité ? » Mémoire sur la qualité déposée par la Chaire UNESCO de développement curriculaire, Canada

- « Healing Under Fire: The Case of Southern Thailand », par la chaire UNESCO pour les études sur la paix et les conflits de la Prince of Songkla University, Thaïlande

- « Quatre priorités interculturelles libanaises » de

Prof. Messara, Responsable de la Chaire UNESCO d'Etude Comparée des Religions, de la médiation et du dialogue, Université St Joseph, Liban

Spots/Expositions

- Version anglaise du spot produite par la chaire régionale UNESCO Femmes sciences et technologies pour les filles dans le monde à la Journée TIC 2014 (24 avril 2014). La version espagnole a été vue par plus de 2 200 personnes. Site Web du spot https://www.youtube.com/watch?v=zN7-xjvU0OA

- Le Réseau UNESCO/UNITWIN présente l’autonomisation des femmes d’Afrique occidentale : une exposition de photographies co-organisée à

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Boston par le Réseau UNITWIN sur le genre, la culture et le développement, basé à la Boston University, et destiné à célébrer la Journée internationale des droits des femmes. Lancée en collaboration avec Unbound Visual Arts (affilié d’UNITWIN) et Friends of the Faneuil Branch Library, l’exposition a mis en avant quatre décennies de travail de l’UNESCO et du PNUD au Burkina Faso en faveur de l’éducation et de l’autonomisation des femmes. Elle s’est étendue sur toute la durée du Mois de l’histoire des femmes et a concilié les deux domaines prioritaires de l’UNESCO, égalité entre les sexes et Afrique. https://sites.google.com/a/unboundvisualarts.org/uva-website/exhibitions/exhibit-venues/faneuil-library-art-gallery/brenda-gael-mcsweeney-west-african-womens-empowerment .

Évaluation des progrès accomplis entre le 01/01/2014 et le 31/12/2015 Les avantages apportés par l’UNESCO aux partenariats noués au sein du programme de Chaires UNITWIN/UNESCO peuvent se résumer comme suit : La mise en réseau interuniversitaire a été renforcée par la mise en œuvre de l’UNITWIN et la stratégie de partenariats de l’UNESCO, notamment en regroupant les chaires UNESCO au sein des réseaux thématiques des domaines prioritaires de l’UNESCO, à l’instar du dialogue interculturel, des droits humains, du genre, de l’éducation au développement durable, de l’enseignement supérieur, du développement des enseignants et des TIC pour l’éducation, le changement climatique et les ressources en eau. Ces réseaux dynamiques de chaires sont utilisés par l’UNESCO pour servir d’experts internationaux dans son domaine de compétence, et ont contribué aux principales activités programmatiques de l’Organisation (conférences régionales, internationales, et principaux documents et publications (cf. liste des Conférences et réunions ci-dessous). Ils jouent le rôle de think tanks au niveau régional et international, ainsi que de passerelles entre les universités, la société civile et les parties prenantes politiques. Le partenariat avec les Commissions nationales a lui aussi été renforcé dans le cadre du Programme (réunions annuelles organisées au niveau national, réunions au Siège, etc.). Conférences régionales et internationales

- Conferencia y Encuentro Regional de Cátedras UNESCO intitulée « La Responsabilidad Social de las Universidades: Implicaciones para la América Latina y el Caribe », 26-28 mars, San Juan, Puerto Rico 2014. (organisée par l’IESALC)

- « Le développement des compétences interculturelles : de l’éducation au management » 11 juin, par la chaire UNESCO Mémoire, cultures et interculturalité, de l’université catholique de Lyon (France).

- Conférence des chaires UNESCO TIC pour l’éducation, co-organisée par le comité national des chaires UNESCO en Russie et IITE, (Saint-Pétersbourg, juin 2014 et 2015)

- Contribution de quelque 20 Chaires UNESCO Éducation au développement durable à la Conférence EDD de Nagoya, Japon, novembre 2014. - Participation de certaines chaires et réseaux UNESCO à la Semaine de l’apprentissage mobile (Siège de l’UNESCO, 23-27 février 2015) - Conférence internationale « Enseignement supérieur et numérique : quelles attentes des sociétés Africaines ? », organisée conjointement avec le Comité

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national français 6-7 mai 2015, Siège de l’UNESCO - Réunion régionale des chaires UNESCO Enseignement supérieur dans la région LAC « Producción y gestión del conocimiento: El rol y alcance de las

Cátedras UNESCO en la cooperación inter universitaria en América Latina y el Caribe », Guadalajara/México, 4-6 mai 2015 - Réunion régionale des experts sur L’éducation au changement climatique pour le développement durable en Amérique latine, Université de la Paix

(UPEACE), Costa Rica. Co-organisée par la chaire UNESCO EDD à l’Earth Charter Institute (12-14 mai 2015, UPEACE, Costa Rica) - Contribution en tant que groupe d’experts issus des chaires UNESCO au « Forum mondial politique de haut niveau sur l’enseignement supérieur en ligne,

ouvert et flexible pour l’avenir que nous voulons » (UNESCO, 9-11 juin 2015) - Réunion annuelle : 2015 un Paradigma hacia la Agenda Global de Desarrollo post 2015. 11-12 juin, 2015, Facultad de Ciencias Políticas y Sociales de la UNAM,

par la Chaire UNESCO Droits humains, UNAM, Mexico - 3e congrès de toutes les Russies des chaires UNESCO dédiées à l’Agenda 2030, (décembre 2015, Saint-Pétersbourg, Fédération de Russie) - Forum universitaire des chaires UNESCO sur le dialogue interculturel et interreligieux (Baku, Azerbaïdjan, 18-20 mai 2015)

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H. Réseau du système des écoles associées de l'UNESCO (réSEAU)

Progrès accomplis par rapport à l’objectif au 31/12/2015

Objectif quantitatif et/ou qualitatif (O)

Moyens de vérification (M) (sources des données) :

Données de référence

Indicateur de performance (IP) (trois maximum) :

Résultats escomptés

Au cours de la dernière période biennale, l’UNESCO a reçu les informations et les supports des membres du réSEAU sur leurs programmes et leurs activités par le biais de canaux multiples, y compris des rapports nationaux formels, des courriers et des e-mails, des articles de presse, des annonces dans les réseaux sociaux et des rencontres. Dans le cadre de la stratégie réSEAU 2014-2021 : « défis mondiaux : renforcer la citoyenneté mondiale et promouvoir le développement durable », l’UNESCO a soutenu le réSEAU en renforçant l’apprentissage, les partenariats et la collaboration par l’utilisation des TIC et des médias sociaux : • L’Outil en ligne pour le réSEAU a été développé

pour faciliter la gestion et l’administration du réSEAU à l’échelle nationale, régionale et internationale ; renforcer la collaboration entre ses membres à travers le monde, en vue de créer des synergies pour le partage des connaissances et l’apprentissage mutuel au sein des écoles et pour accroître la visibilité du réSEAU globalement. 10 % des Coordinateurs nationaux du réSEAU ont pris part au pilotage et à la mise à jour des listes d’établissements.

• La plateforme de collaboration en ligne : Le

réSEAU en action : citoyens du monde connectés pour le développement durable » (http://fr.unesco.org/aspnet/globalcitizens/ ) a été lancée en juin 2014 en anglais et en français avec le soutien de Japan Funds-in-Trust. Elle a

O 1 : 20% des membres du réSEAU

M 1: rapports nationaux

IP 1: nombre de membres du réSEAU soutenus ayant mis en œuvre des programmes et des projets de qualité dans les domaines de la paix, des droits humains et d’autres priorités de l’UNESCO et des Nations Unies

Résultat escompté N°1 soutien aux pays en matière de développement des connaissances, des valeurs et des compétences dans le domaine de la paix et des droits humains ainsi que d’autres priorités essentielles de l’UNESCO et des Nations Unies

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mobilisé environ 1 120 participants de 104 pays, y compris les Coordinateurs nationaux du réSEAU, les directeurs d’établissements, les enseignants et les étudiants qui ont activement contribué à la plateforme en partageant des récits et des idées créatives. 11 « campagnes de sensibilisation » ont été organisées autour des Journées internationales (par ex. Paix, Alimentation, Pauvreté, Enseignants, Environnement, Eau, Droits humains, Tolérance, etc.). • Dans le cadre de la Conférence mondiale sur

l’EDD organisée à Aichi-Nagoya, au Japon (10-12 novembre 2014) pour célébrer la clôture de la Décennie des Nations unies (2005-2014), plus de 1 000 enseignants et étudiants du réSEAU (environ 200 de 31 pays et 800 du Japon) ont participé à une série d’événements EDD du réSEAU à Okayama (4-8 novembre 2014) pour partager leur avis sur la manière de relever les défis auxquels fait face le monde et leurs ambitions pour un avenir durable. Les étudiants du réSEAU ont adopté une déclaration sur leur manière de contribuer à l’EDD.

• 55 écoles du réSEAU (Coordinateurs nationaux, enseignants et étudiants) venues de 11 pays ont participé au Séminaire international du réSEAU « Se préparer au changement climatique : la réponse des écoles du réSEAU au changement climatique », qui s’est tenu les 7 et 8 décembre 2015 au Siège de l’UNESCO dans le cadre de la COP21.

• 3 publications ont été préparées, avec des contributions des écoles du réSEAU, et seront publiées au début 2016 : - Écoles en Action : Citoyens du monde connectés pour le développement durable (Un guide pour les étudiants et un Guide pour les enseignants) ; - Guide pour l’action globale sur le changement

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climatique. Évaluation des progrès accomplis entre le 01/01/2014 et le 31/12/2015 Le réSEAU a joué son rôle de laboratoire d’innovation dans les principaux domaines de l’EDD et de l’ECC. Au moins 20 % des écoles du réSEAU se sont engagées dans de nombreuses activités significatives et ont bénéficié de conseils, de soutiens et de supports de la part de l’UNESCO. Le développement de services en ligne a commencé à faciliter l’interconnexion entre les écoles dans le monde pour apprendre et échanger globalement et soutenir les communications avec les pairs. Le nouvel outil en ligne pour le réSEAU a été développé avec succès pour améliorer la gouvernance et l’assurance qualité ainsi que la visibilité du réSEAU au cours de la prochaine période biennale, au bénéfice de tous les membres.

I. Ambassadeurs honoraires et de bonne volonté

Progrès accomplis par rapport à l’objectif au 31/12/2015

Objectif quantitatif et/ou qualitatif (O)

Moyens de vérification (M) (sources des données) :

Données de référence

Indicateur de performance (IP) (trois maximum) :

Résultats escomptés

Au cours de la dernière période biennale (2014-2015), neuf personnalités ont rejoint la famille des Ambassadeurs honoraires et de bonne volonté de l’UNESCO. Tous disposent d’un plan d’action préparé en consultation avec les Secteurs du programme de l’UNESCO et/ou les Bureaux hors Siège. Ces plans d’action prévoient une priorité ainsi que des projets et des activités en lien avec le champ de compétences et les domaines prioritaires de l’Organisation. Tous les nouveaux plans d’action intègrent des événements auxquels sont invités les Ambassadeurs honoraires et de bonne volonté dans leur capacité honoraire. Ces événements servent à ces personnalités pour sensibiliser le grand public aux domaines prioritaires de l’UNESCO ainsi qu’à communiquer, par le biais de la presse et des médias sociaux, sur l’action de l’UNESCO. Au cours de la période biennale 2014-2015, le patronage de l’UNESCO a été attribué à huit événements initiés par les Ambassadeurs honoraires et de bonne volonté

O 1 : 40% O 2 : 40%

M 1: participation active des ambassadeurs honoraires et de bonne volonté à des manifestations, activités et réunions organisées par l'UNESCO M2 : utilisation accrue du nom et de l'emblème de l'UNESCO

b 1 : 16% b 2 : 16%

IP 1: pourcentage de l'ensemble des plans d'action correspondant au programme, aux objectifs et aux priorités de l'UNESCO IP2 : pourcentage des plans d'action qui contiennent une stratégie de communication visant à accroître la visibilité de l'UNESCO

Résultat escompté N°1 plan d'action à la disposition de l'ensemble des ambassadeurs honoraires et de bonne volonté

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de l’UNESCO. En outre, ces personnalités sont encouragées à utiliser le nom et l’emblème de l’UNESCO à l’occasion des événements qu’elles préparent dans leur capacité honoraire. Les Bureaux hors Siège de l’UNESCO sont consultés sur les Plans d’action préparés au cours de la période biennale 2014/2015. Dans certains cas, un plan d’action est intégralement basé sur les activités à engager en lien avec les Bureaux hors Siège de l’UNESCO. Dans le cas où le Plan d’action n’intègre pas d’activité liée au Bureau hors Siège, les Ambassadeurs honoraires et de bonne volonté restent encouragés à entreprendre une visite sur le terrain et initier les activités en étroite coopération avec les Bureaux hors Siège de l’UNESCO. Les Ambassadeurs honoraires et de bonne volonté de l’UNESCO doivent s’impliquer dans les activités de l’UNESCO sur le terrain. Ils sont encouragés à être en contact direct avec les collaborateurs des Bureaux hors Siège. En outre, les plans d’action doivent inclure les coordonnées des collaborateurs en charge de chaque projet, événement et/ou activité mentionné dans ce document.

O 1 : 40% O 2 :40%

M1: participation accrue des ambassadeurs honoraires et de bonne volonté à la mise en œuvre de manifestations et de projets organisés par les Bureaux hors Siège de l'UNESCO M2 : activités lancées par des ambassadeurs honoraires et de bonne volonté conformes aux priorités des Bureaux hors Siège de l'UNESCO

b 1: 11% b 2: 11%

IP 1: pourcentage d'ambassadeurs honoraires et de bonne volonté qui programment une visite de Bureaux hors Siège dans leur agenda professionnel IP2 : pourcentage d'ambassadeurs honoraires et de bonne volonté établissant, si nécessaire, des contacts directs avec les Bureaux hors Siège

Résultat escompté N°2 renforcement de la coopération entre les Bureaux hors Siège et les ambassadeurs honoraires et de bonne volonté

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Au cours de la période biennale 2014-2015, plusieurs Ambassadeurs honoraires et de bonne volonté de l’UNESCO ont réalisé des contributions en nature et financières à l’œuvre de l’Organisation. Ces contributions ont été faites pour soutenir financièrement les activités initiées par l’UNESCO dans ses domaines prioritaires. En étroite coopération avec le Programme des Ambassadeurs honoraires et de bonne volonté ainsi que les Secteurs programmatiques, les Ambassadeurs honoraires et de bonne volonté de l’UNESCO mobilisent également des ressources extrabudgétaires pour soutenir financièrement les projets, les événements et les activités, en lien avec les domaines prioritaires de l’Organisation.

________________

Le détail des contributions effectuées par les Ambassadeurs honoraires et de bonne volonté

de l’UNESCO sur la période entre le 1er janvier et le 31 décembre 2015 est disponible dans le

tableau de bord d’exécution

O 1 : 25% O 2 : 40%

M1 : contributions financières des ambassadeurs honoraires et de bonne volonté reflétées dans les outils de communication de l'UNESCO M2 : collaboration des ambassadeurs honoraires et de bonne volonté avec des partenaires publics et privés reflétées dans les outils de communication de l'UNESCO

b 1: 12 % b 2: 22 %

IP1 : pourcentage d'ambassadeurs honoraires et de bonne volonté qui apportent des contributions financières personnelles en faveur des programmes, projets et activités prioritaires de l'UNESCO IP2 : pourcentage d'ambassadeurs honoraires et de bonne volonté qui mobilisent des ressources extrabudgétaires et mettent au point des mécanismes de co-financement en étroite coopération avec l'UNESCO

Résultat escompté N°3 poursuite de la collecte de fonds par les ambassadeurs honoraires et de bonne volonté au profit du programme, des objectifs et des priorités de l'UNESCO

Évaluation des progrès accomplis entre le 01/01/2014 et le 31/12/2015 Le mandat des Ambassadeurs honoraires et de bonne volonté de l’UNESCO nommés avant la période d’introduction du délai de deux ans, a été reconduit pour la période 2016-2017. Au cours de cette période, la consultation avec ces Ambassadeurs honoraires et de bonne volonté se poursuivra afin de déterminer le domaine d’intérêt et établir un plan d’action approprié.

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J. Réseau UNEVOC

Progrès accomplis par rapport à l’objectif au 31/12/2015 Objectif quantitatif et/ou qualitatif (O)

Moyens de vérification (M) (sources des données) :

Données de référence

Indicateur de performance (IP) (trois maximum) :

Résultats escomptés

O1: 25 centres UNEVOC ont validé les rapports nationaux sur l’EFTP dans la base de données. Ce qui porte le nombre de rapports validés à 80. Les rapports sont publiés en ligne. (http://www.unevoc.unesco.org/go.php?q=World+TVET+Database) 6 conférences en ligne ont été organisées à la fin de la période biennale. 37 pratiques prometteuses sur la jeunesse et le développement des compétences et candidatures d’Éco-responsabilisation de l’EFTP ont été recueillies auprès du réseau UNEVOC. 27 d’entre elles sont en cours étude qualitative. O2 : Plus de 30 centres UNEVOC de toutes les régions ont été mobilisés dans des programmes d’EFTP soutenus par l’UNEVOC destinés à accroître les capacités des différents aspects de la mise en œuvre de l’EFTP et d’assurer les programmes de coopération régionale. Parmi eux, 20 centres UNEVOC en Afrique ont bénéficié d’une ou plusieurs opportunités sur les 6 activités de consolidation du réseau et de développement des capacités organisées par l’UNEVOC.

O3 : 36 % des membres du réseau ont planifié leurs activités conformément aux priorités de l’UNEVOC (cf., plans biennaux pour la période 2016-2017 collectés en décembre 2015). 11 nouveaux membres ont été acceptés pour adhésion dans la période biennale.

Remarque : La reconduction de l’adhésion au réseau se fait tous les quatre ans

O 1 : validation de 60 centres UNEVOC et mise à jour de la base de donnée sur l'EFTP ; organisation d'au moins 12 conférences en ligne et présentation d'au moins 40 pratiques prometteuses issues d'au moins 25 initiatives de centres UNEVOC O 2 : 40 centres UNEVOC bénéficiaires O 3 : 50 % de participations reconduites avec succès

M 1: base de données mondiale sur l'EFTP, pratiques prometteuses, forums et conférences en ligne M2 : rapports du centre international UNEVOC sur les activités (par exemple, réunions, rapports, actes de conférence) M3 : mise à jour du portail du réseau

24 Pas de données disponibles Pas de données disponibles

IP 1 : nombre de centres UNEVOC contribuant activement aux mises à jour de la base de données en ligne sur l'EFTP, aux pratiques prometteuses fondées sur des faits et à la modération de forums de discussion en ligne IP2 : nombre de centres UNEVOC bénéficiant de programmes de renforcement des capacités IP 3: nombre de centres UNEVOC dont la participation a été reconduite avec succès

Résultat escompté N°1 renforcement du réseau UNEVOC en développant les activités de renforcement des capacités et de gestion des connaissances

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sur la base des nouvelles recommandations incarnées dans la stratégie de partenariat. Dans le cadre du programme d’adhésion en vigueur, la reconduction formelle de l’adhésion de tous les membres 2015 sera réexaminé en 2019.

Évaluation des progrès accomplis entre le 01/01/2014 et le 31/12/2015 En s’appuyant sur l’intérêt renouvelé en 2013 des centres UNEVOC à s’investir dans les transformations de l’EFTP et la consolidation du réseau, un engagement accru des centres UNEVOC a été confirmé dans la période biennale par le biais de la participation et de la coopération aux programmes de développement des capacités et de contributions aux activités de compensation et de gestion des connaissances du centre international UNEVOC à Bonn. 30 pour cent des participants des discussions au 6e forum en ligne étaient issus des centres UNEVOC – soit une hausse de 34 % par rapport aux données de la période biennale antérieure. Néanmoins, le niveau de contribution des membres du réseau doit être stimulé pour bénéficier pleinement des plateformes d’apprentissage et d’échange des connaissances disponibles et transformer les participants « passifs » en contributeurs plus actifs. Des plans pour la réorganisation des discussions e-Forum en langues régionales sont également à l’étude. Entre le 01/01/2014 et le 31/12/2015, on constate une hausse de 30 % de l’adhésion au e-Forum depuis la dernière période biennale. Celui-ci recense désormais 4 250 membres de 183 pays. Le Réseau UNEVOC est toujours plus adapté à l’analyse des politiques d’EFTP et à la formulation stratégique de l’UNESCO. Cinq centres UNEVOC (Fédération de Russie, Côte d’Ivoire, Costa Rica, Jordanie et Allemagne) ont été impliqués dans la révision des recommandations de l’UNESCO pour l’EFTP ; 193 centres UNEVOC ont été invités à participer à l’enquête d’évaluation de la stratégie de l’EFTP (2010-2015) (n= 32 %). Ces membres qui participent fortement aux discussions en ligne ont également été engagés à débattre et à contribuer à la formulation de la nouvelle stratégie d’EFTP (2016-2021). 36 % des membres du réseau alignent leurs plans d’action biennaux sur les priorités UNEVOC pour l’EFTP. Ce qui se traduit en un nombre significatif de centres UNEVOC investis dans leur rôle à l’égard du réseau mais à des degrés variés en matière d’adhésion et de niveau de contribution. L’UNEVOC développe à l’heure actuelle un outil d’examen systématique des tendances afin de mieux analyser l’utilisation de la plateforme de mise en réseau et de mesurer le produit/résultat et les avantages d’une participation au réseau. Priorité globale Afrique : 20 centres UNEVOC en Afrique ont bénéficié d’une ou plusieurs opportunités sur les 6 activités de consolidation du réseau ou de développement des capacités organisées par l’UNEVOC au cours de la période biennale. La consolidation du Réseau a été renforcée dans les cinq régions au cours de la période. Les contributions et l’expertise des centres UNEVOC ont été mobilisées pour soutenir le développement régional de l’EFTP, les collaborations de recherche et la mise en œuvre nationale de la stratégie et des argumentaires de développement de l’UNESCO pour l’EFTP. Plus de 30 centres UNEVOC de toutes les régions se sont mobilisés pour des programmes d’EFTP soutenus par l’UNEVOC destinés à accroître les capacités des différents aspects de la mise en œuvre de l’EFTP et la co-fourniture des programmes de coopération régionale. L’ UNEVOC a engagé les partenaires stratégiques au sein du réseau à concevoir et fournir des programmes de consolidation des capacités en s’appuyant sur l’expertise locale disponible. 5 propositions de projets initiés par les centres UNEVOC ont été sélectionnées pour un déploiement entre 2015 et 2016.

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En tout, 27 pratiques prometteuses ont été recueillies auprès du réseau pour modéliser des initiatives autour de la jeunesse et du développement des compétences et les applications d’éco-responsabilisation de l’EFTP. Neuf d’entre elles ont été présentées en octobre 2014 au forum global UNEVOC sur l’EFTP et les Compétences professionnelles et personnelles de l’après-2015. Ces pratiques ont illustré l’innovation et son impact, le potentiel de duplication et l’extensibilité des initiatives dans les centres UNEVOC. En 2014, l’adhésion à l’UNEVOC a été validée pour 2 centres en Géorgie et en Colombie ; puis en 2015 pour 9 autres membres (Brunei Darussalam, Ghana, Mexico, Tanzanie; Namibie, Brésil, Royaume-Uni, Botswana et Grenade). Les nouveaux membres doivent bénéficier des développements positifs au sein du réseau. Les nouveaux membres les mieux placés stratégiquement et les mieux dotés en ressources doivent en outre effectuer des contributions ciblées dans les projets du réseau. Défi : L’UNEVOC s’efforce d’assurer un réseau « sain » en analysant les tendances et les niveaux d’activité des membres existants et en appliquant des mesures d’action appropriées. Cette démarche doit autoriser une meilleure compréhension des approches stratégiques pour investir les centres UNEVOC et mobiliser leur potentiel de soutenir les transformations de l’EFTP au niveau national et régional. Étant donné que certains centres UNEVOC ont enregistré un large éventail de niveaux d’activité – faible, moyen élevé –, l’UNEVOC va s’efforcer de déployer le niveau actuel de coopération institutionnelle et régionale au sein du Réseau en améliorant les capacités institutionnelles de l’EFTP. L’UNEVOC va optimiser ses ressources en gérant les adhésions en fonction du niveau de soutien nécessaire et du potentiel régional pour soutenir les autres processus de développement de l’EFTP. Une analyse du Réseau montre que le niveau d’activité du Réseau UNEVOC reste plus élevé que d’autres réseaux existants dans le domaine de l’éducation.

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K. Instituts et centres de catégorie 2 placés sous l'égide de l'UNESCO

Progrès accomplis par rapport à l’objectif au 31/12/2015

Objectif quantitatif et/ou qualitatif (O)

Moyens de vérification (M) (sources des données) :

Données de référence

Indicateur de performance (IP) (trois maximum) :

Résultats escomptés

Conformément à la Stratégie exhaustive intégrée pour les instituts et centres de catégorie 2, des mises à jour complémentaires des informations correspondantes ont été effectuées : (i) conclusion d’accords pour seize nouvelles entités ; (ii) reconduction des accords pour plusieurs instituts/centres existants ; (iii) alignement de certains accords sur la stratégie actuelle ; (iv) ajustement programmatique des activités des instituts/centres sur les objectifs stratégiques de l’UNESCO pour la période couverte par son programme et son budget (document 37 C/5).

O 1 : mises à jour des fiches d'information sur 82 instituts et centres de catégorie 2, y compris en ligne

M 1: rapports réguliers des instituts et centres de catégorie 2 à l'UNESCO M2 : rapports globaux de l'UNESCO sur les activités des instituts et centres de catégorie 2

IP 1: nombre d'instituts et de centres de catégorie 2 ayant contribué au Programme ordinaire de l'UNESCO

Résultat escompté N°1 Contributions programmatiques des instituts et centres de catégorie 2 aux objectifs stratégiques de l'UNESCO

Afin de stimuler la capacité des instituts et des centres de catégorie 2 à contribuer efficacement aux objectifs stratégiques de l’UNESCO et aux résultats escomptés, l’Organisation a organisé des réunions périodiques dans ses domaines respectifs, comme suit : • Secteur Éducation – neuf instituts/centres ont participé à la 3e Réunion biennale des instituts et centres de catégorie 2 de l’UNESCO pour l’Éducation (Dubaï, Émirats arabes unis, 5-7 mars 2013) et à la 4e réunion biennale à Manille, aux Philippines, 25-27 mai 2015 ; • Secteur Sciences naturelles – Les centres pour l’eau ont participé à la réunion annexe au cours de la 21e session du Conseil de l’IHP (18-20 juin 2014);

O 1 : participation d'au moins 50 % des instituts et centres de catégorie 2 à des réunions du réseau annuelles et/ou ordinaires O2 et (b2) : application, à la totalité des évaluations de reconduction, des orientations et des critères

M 1: comptes rendus de réunions M2 : évaluations de reconduction

IP 1: nombre de réunions internationales, interrégionales et régionales des instituts et centres de catégorie 2 IP2 : nombre d'instituts et de centres de catégorie 2 reconduits

Résultat escompté N°2 renforcement de la coopération avec les instituts et centres de catégorie 2 et de la mise en œuvre de la stratégie globale intégrée concernant les instituts et centres de catégorie 2

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Six entités ont participé à la Semaine mondiale de l’eau à Stockholm en 2014 et 2015 ; les centres pour l’eau ont participé à 30 sessions thématiques, 8 sessions science et technologie, 5 sessions régionales, 10 événements annexes et 3 sessions spéciales lors du Forum mondial de l’eau en République de Corée (2015) en contribuant au renforcement de l’interface science-politique pour promouvoir la sécurité de l’eau. Lors de la COP21 (décembre 2015, Paris, France) l’IHP, avec le soutien de Water Family, a organisé 13 événements au Bourget, avec la participation de 28 instituts et centres ; le Comité consultatif scientifique en écohydrologie recense 7 représentants de centres pour l’eau et chaires UNESCO de Catégorie 1 et 2 ; réunion des directeurs des instituts et centres de Catégorie 2 à Coblence (15-17 décembre 2014), et réunion des instituts et centres de catégorie 2 à Paris, pendant la COP21, avec le WWAP et UNESCO-IHE en vue d’accroître la coordination pour soutenir IHP VIII et la mise en œuvre de l’Agenda 2030 ; Atelier de formation international sur les technologies spatiales pour la réduction des catastrophes, 23 novembre-4 décembre 2015). • Secteur Culture – Patrimoine mondial : neuf instituts/centres ont participé à la Réunion des centres de catégorie 2 dans le domaine du Patrimoine mondial (Shanghai, Chine, 23-26 mai 2014 ) ; Patrimoine culturel immatériel : huit instituts/centres ont participé à la deuxième réunion annuelle de coordination des centres de catégorie 2 dans le domaine du patrimoine culturel immatériel (Paris, France, 6 juin 2014) et six d’entre eux ont participé à la troisième réunion annuelle de coordination (Guiyang, Chine, 6-8 juillet

de la stratégie globale intégrée concernant les instituts et centres de catégorie 2

199 EX/11 – page 37

2015) ; une première réunion de coordination avec les centres de catégorie 2 et les chaires UNESCO associées à la culture a été organisée le 14 décembre 2015. La réunion a réuni 16 centres de catégorie 2 et 35 chaires UNITWIN/UNESCO œuvrant dans les différents champs culturels. Reconduction des accords pour dix instituts/centres existants, conformément aux dispositions de la Stratégie.

Évaluation des progrès accomplis entre le 01/01/2014 et le 31/12/2015 Le cadre actuel de coopération avec les instituts et centres de catégorie 2 est régi par la Stratégie exhaustive intégrée pour les instituts et centres de catégorie 2, tel que défini par la Conférence générale à sa 37e session, sur la base des recommandations du Conseil exécutif (document 37 C/18 Partie I), en vue de renforcer encore les procédures de reconduction du statut de catégorie 2, améliorer l’alignement des opérations des instituts/centres de catégorie 2 avec l’approche de gestion de l’UNESCO fondée sur les résultats, et ses stratégies sectorielles, renforcer les exigences de contrôle et de reporting du réseau, et réduire le coût pour l’UNESCO du maintien de ce réseau en termes de ressources humaines et financières, ainsi que pour les besoins spécifiques des pays en développement. En ce qui concerne les coûts, y compris les coûts des études de faisabilité, des exercices de reconduction, ainsi que de la coordination stratégique permanente, du contrôle et du reporting, une disposition spécifique de la Stratégie modifiée stipule désormais que les États membres ou les instituts/centres individuels doivent financer intégralement les études de faisabilité pour l’UNESCO, la participation de l’UNESCO dans les organes de gouvernance des instituts ou des centres, les évaluations d’analyse de reconduction, et toute réunion annuelle de coordination. Cette dimension est également incluse dans les articles pertinents de l’accord modèle correspondant. À la suite de la décision du Conseil exécutif relative à la charge de travail de ses sessions, une nouvelle disposition sur l’étude de ces envois pour désignation a également été introduite dans la Stratégie ; le Conseil exécutif examinera désormais les propositions pour la création des nouvelles entités de catégorie 2 une fois seulement par période biennale, au cours de sa session qui précède immédiatement la session ordinaire de la Conférence générale

Ce docum

ent est imprim

é sur du papier recyclé.

199 EX/11 Conseil exécutif

Point 11 de l'ordre du jour provisoire

RAPPORT BIENNAL SUR LA STRATÉGIE GLOBALE POUR LES PARTENARIATS

CORRIGENDUM

Ajouter un projet de décision en tant que paragraphe supplémentaire 6.

Décision proposée

6. Compte tenu de ce qui précède, la Conseil exécutif souhaitera peut-être adopter une décision libellée comme suit :

Le Conseil exécutif,

1. Rappelant la décision 195 EX/4 Partie IV,

2. Ayant examiné le document 199 EX/11,

3. Prend note du Rapport biennal sur la stratégie globale pour les partenariats pour 2014-2015 ;

4. Prie la Directrice générale de lui soumettre le prochain rapport biennal pour 2016-2017 à sa 204e session au printemps 2018.

Ce document est imprimé sur du papier recyclé.

PARIS, le 4 avril 2016

Original anglais

Cent quatre-vingt-dix-neuvième session Corr.