299
MINISTERE DU DEVELOPPEMENT REPUBLIQUE ISLAMIQUE DE RURAL ET DE L'ENVIRONNEMENT MAURITANIE Honneur - Fraternité - Justice SOCIETE NATIONALE POUR LE DEVELOPPEMENT RURAL SO. NA. DE. R. E-272 VOL. 4 Banque Mondiale/IDA ETUDE D'EEVALUATION ENVIRONNEMENTALE DU PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT INTEGRE DE L'AGRICULTURE IRRIGUEE EN MAURITANIE (PDIAIM) RAPPORT FINAL Volume 3: Annexes S.A. AGRER a N.V. avenue Louise 251, bte 23 B- 1050 Bruxelles (Belgique) Tél. +32264063 10 Fax +322 64875 38 E-mail agrer(arcadis.be AOÛT 1998 Public Disclosure Authorized Public Disclosure Authorized Public Disclosure Authorized Public Disclosure Authorized Public Disclosure Authorized Public Disclosure Authorized Public Disclosure Authorized Public Disclosure Authorized

World Bank Documentdocuments.worldbank.org/curated/en/468341468776773991/pdf/multi... · SOCIETE NATIONALE POUR LE DEVELOPPEMENT RURAL SO. NA. DE. R. E-272 VOL. 4 ... Le Consultant

  • Upload
    lycong

  • View
    226

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

MINISTERE DU DEVELOPPEMENT REPUBLIQUE ISLAMIQUE DERURAL ET DE L'ENVIRONNEMENT MAURITANIE

Honneur - Fraternité - Justice

SOCIETE NATIONALE POUR LEDEVELOPPEMENT RURAL

SO. NA. DE. R. E-272VOL. 4

Banque Mondiale/IDA

ETUDE D'EEVALUATION ENVIRONNEMENTALE

DU PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT INTEGRE DE

L'AGRICULTURE IRRIGUEE EN MAURITANIE

(PDIAIM)

RAPPORT FINAL

Volume 3: Annexes

S.A. AGRER a N.V.

avenue Louise 251, bte 23B- 1050 Bruxelles (Belgique)Tél. +32264063 10Fax +32 2 648 75 38E-mail agrer(arcadis.be AOÛT 1998

Pub

lic D

iscl

osur

e A

utho

rized

Pub

lic D

iscl

osur

e A

utho

rized

Pub

lic D

iscl

osur

e A

utho

rized

Pub

lic D

iscl

osur

e A

utho

rized

Pub

lic D

iscl

osur

e A

utho

rized

Pub

lic D

iscl

osur

e A

utho

rized

Pub

lic D

iscl

osur

e A

utho

rized

Pub

lic D

iscl

osur

e A

utho

rized

IR

a

g

MINISTERE DU DEVELOPPEMENT REPUBLIQUE ISLAMIQUE DERURAL ET DE L'ENN'IRONNEMENT MAURITANIE

Honneur - Fraierniué - Justice

SOCIETE NATIONALE POUR LEDEVELOPPEMENT RURAL

SO. NA. DE. R.

Banque Mondiale/IDA

ETUDE D'EN ALUATION ENVIRONNEMENTALE

DU PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT INTEGRE DE

L'AGRICULTURE IRRIGUEE EN MAURITANIE

(PDIAIM)

RAPPORT FINAL

Volume 3: Annexes

S.A. AGRER aNv.avenue Louise 251, bte 23B-1050 Bruxelles (Belgique)Tél. :+32264063 10Fax +32264875 38E-mail agrer(arcadis.be AOÛT 1998

à

ETUDE D'EN ALUATION ENVIRONNEMENTALE DU PROGRAMME

DE DEVELOPPEMENT INTEGRE DE L'AGRICULTURE IRRIGUEE

EN MAURITANIE (PDIAIM)

RAPPORT FINAL

Volume 1: Rapport exécutif

Volume 2: Texte principal

Volume 3: Annexes pub-ique

V'olume 4: Consultation publique

t

TABLE DES MATIERES

ETlDE D'EN'ALLUATION ENV'IRONNENIENT'ALE DI PROGRANIME

DE DENVELOPPENIENT INTEGRE DE L'AGRICULTURE IRRIGUEEEN MAURITANIE (PDIAIM)

RAPPORT FINAL

Volume 3: Annexes

Annexe I Aspects environnementaux en rive gauche du fleuve SénégalAnnexe 2 Cartographie de base de la zone d'étudesAnnexe 3 Fiches de présentation des projets

3.1. Projets soumis au financement de la Banque Mondiale dans le cadredu PDIAIM

3.2. Autres projets localisés dans la vallée du fleuveAnnexe 4 Géologie et hydrologie: tableaux et carnesAnnexe 5 Dimensionnement d'un Système d-Information Géoaraphique (SIG) pour le

suivi du développement du secteur irrigué dans le cadre du PDIAIMAnnexe 6 Références bibliographiquesAnnexe 7 Liste des institutions et des personnes rencontréesAnnexe 8 Procès-verbaux de réunions et autres documents de travail

8.1. Commentaires du Maître d'Ouvrage sur le rapport provisoire et aide-mémoire mission FAO/CP

8.2. PV de réunion - Comité de Suivi Environnemental du PDIAIM -23/07/1998

8.3. PV du séminaire no 2 - Comité de Suivi Environnemental duPDIAIM - 15/03/1998

8.4. PV du séminaire n° 1 - Comité de Suivi Environnemental duPDIAIM - 03/02/1998

8.5. Texte principal du rapport d'établissement - janvier 1998Annexe 9 Check list environnementale pour la viabilisation des périmètres irrigués et

pour la réalisation de nouveaux périmètresAnnexe 10 Termes de référence de la présente étudeAnnexe 11 Liste des principales abréviations

ANNEXE 1

Aspects environnementaux en rive gauche du fleuve Sénégal

A

Rapport final - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDWAIM

ANNEXE I

Aspects enIVironnementaux en Rive Gauche du fleuve Séné-al

1. Confornément aux Termes de Référence. le Consultant a vérifié la cohérence del'étude EE avec les mesures environnementales prises en rive gauche du fleuve Sénégal'..Le Consultant s'est par conséquent rendu à Dakar et Saint Louis du 9 au 12 février 1998.La présente note constitue un rapport de cette visite.

2. Durant sa visite à Dak-ar. le Consultant a eu l'occasion de s'entretenir avec desresponsables des institutions suivantes

(i) A Dak-ar

- OMVS- Commissariat à l 'Après-Barrage- Centre de Suivi Ecologique- Banque Mlondiale- ORSTOM

(ii) A Saint-Louis

- SAED- ISRAT

- ADRAO

3. Contrairement à ce qui est mentionné dans les Termes de Référence, il n'existeaucune EE préparée pour la rive gauche du fleuve Sénégal qui soit similaire à la présenteétude. Contrairement à la Mauritanie, aucune approche "Programme'" du secteur irriguédans la vallée du fleuve Sénégal n'a pu être élaborée et le processus de concertation entre leGouvernement et l'ensemble des bailleurs de fonds semble encore relativement loind'aboutir. Cette constatation a été confirmé au niveau de la représentation de la BanqueMondiale à Dakar.

4. Bien que n'ayant pas été rédigé dans le même esprit que le PDIAIM, le PDRG(Plan Directeur Rive Gauche!, constitue un document officiellement ratifié par leGouvemement Sénégalais. La coordination de la mise en oeuvre du PDRG est du ressortdu Commissariat à l'Après- Barrage. Le PDRG peut être considéré, du point de vuetechnique, comme le pendant de l'EAB (Etudes Après-Barrage). Le PDRG constitueactuellement au Sénégal, le document stratégique de mise en oeuvre de l'irrigué en rivegauche et définit également les mesures d'accompagnement nécessaires, notammentd'ordre environnementales.

voir page 12 des TdR, deuxième paragraphe

Rapport final - Volume 3 1 Etude environnementale du PDIAIM

5. Dans le cadre de i OMVS, le volet "Energie" doit faire l'objet d'une étudeenvironnementale dans le cadre des infrastructures d'électrification à réaliser depuisManantali. Il s'auit du PASIE. L'étude environnernentale définit les impacts causés par laréalisation des travaux et les impacts liés à l'emprise des lignes électriques en termed'expropriation. IUn plan d'atténuation de ces impacts est prévu.

7. Toujours dans le cadre du volet "Energie". il est également prévu une composanteGestion de l'Eau destinée à examiner l'impact des crues artificielles sur l'agricultureirriguée dans la vallée du fleuve. Cette étude de Gestion de l'Eau est menée parl'ORSTOMsI sur un financement FAC et devrait être réalisée au cours des trois prochainesannées. Il en sera fait mention plus en détail plus loin.

8. IJn Ohscrnatoire Environnemental a également été prévu au sein de l'OMVS.Des études préliminaires ont été menées. mais n'ont pas permis jusqu'à présent d'élaborerune stratégie satisfaisante pour la mise en oeuvre d'un tel observatoire. De nouvelles étudesdoivent démarrer dans le courant 1998 sur financement FADIBAD et devraient perrnettrede mieux définir la liste des paramètres et informations à collecter ainsi que la structureorganisationnelle de l'Observatoire en terme de collecte, gestion et de restitution desinforrmations.

9. Comme mentionné plus haut. une étude de Gestion de l'Eau vient de démarrer auniveau de l'ORSTOM. L'objet de cette étude est de:

(i) examiner l'impact de la crue artificielle telle que prévue dans les consignes de lâchésde Manantali sur les superficies de Walo inondées (entre 30.000 et 50.000 ha), sur lepourcentage de ces superficies inondées qui sont effectivement cultivées en décrue,en dégageant également les superficies pour lesquelles les crues sont tropimportantes, trop longues ou au contraire trop faibles ou trop courtes pour permettreune exploitation adéquate.

(ii) effectuer une approche cartographique des cuvettes inondées et étendre cette étudecartographique à l'ensemble de la vallée du fleuve par télédétection. Le format ARC-VIEW sera considéré comme standard. Il est à noter que ce travail constituera par lasuite une couche SIG intéressante pour les opérateurs des deux rives.

(iii) étudier l'impa.ct de la crue artificielle sur la remontée des nappes aquifères par unecampagne svstématique de relevé des piézomètres du réseau OMVS aussi bien enrive gauche que en rive droite.

L'étude doit durer environ trois ans. La rive droite fera l'objet de campagnes de mesuresspécifiques durant l'hivemage 1998. A noter cependant que le études de l'ORSTOM selimitent à la crue artificielle dont l'influence sur la ligne d'eau se limite aux alentours dePodor. La zone de vallée en aval de Podor est quand à elle influencée par le barrage deDiama et ne rentre pas en principe dans le cadre de cette étude.

10. Depuis 1990, la SAED a développé un observatoire des activités hvdro-agricolesen rive gauche. Cette initiative a été motivée par le désengagement de la SAED de ses

sources d'informations compte tenu de du développement rapide des périmètres privés etde la limitation prouressi\e de son rôle à la stricte gestion hydraulique des ouvrages.

Les outils développés à la SAED sont

(i) une Base de Données - BDD (logiciel FOX-PRO) dans laquelle on trouve plusieurstables dont- une table AHA (liste des aménagements hvdro-agricoles. et caractéristiques -

superficie. opérateur....)- une table OP (liste des opérateurs - organisations paysannes. privés. prestataires de

service....>)- une table LNIV (liste des Unités de Mises en valeur qui est l'unité gérée par un

opérateur) - définie par un code d'aménagement et un code d'OPLa BDD est délécuée au niveau de 4 sites: Dagana. Podor, Matam. Bakel quiassurent la collecte. la saisie, les premières corrections et une édition provisoire). Lastructure de la BDD. la nomenclature et les prises de données sont imposées. Il estprévu que les 4 sites soient prochainement mis en réseau avec la SAED St Louis.

De cette BDD. des statistiques de suivi agricole, de situation du matériel, su suivi desexploitations. commercialisation et prix sont effectués)

(ii) un SIG dont les couches sont formées de:- carte des périmètres irrigués à partir d'imagerie satellite (SPOT) - à noter qu'en

RINM. on a l'avantage de disposer d'une cartographie cadastrale en coursd'élaboration à partir de photos aériennes.

- collectes d'information de terrain afin de compléter et caler l'interprétationsatellitaire

- numérisation d'autres cartes (carte des sols FAO, carte de végétation - en cours)- BDD

Le locgiciel utilisé initialement était MAP-INFO, mais ce logiciel s'est avéré limité auniveau des possibilités d'analyse. Ils sont récemment passé à ARC-INFO et ARC-VIEW, plus performant, mais nécessitant une assistance technique plus lourde.Risque = transfert de technologie et maîtrise , maintenance par personnel nationalplus délicat.

(iii) Etudes spécifiques (salinité des sols, besoin en eau de la riziculture par modèle"BIRIZ", suivi agronomique, outil de base pour le POAS)Le SIG perrmet de mieux connaître les % de superficies exploitées, qui exploite et quin'exploite pas. les zones favorable et non favorables à la riziculture,...La SAED vient d'éditer un atlas - carte d'intensité culturale

(iv) Mise à disposition des cartes à la disposition des agents de terrain - motivation poureux car ils voient pourquoi ils ont acquis des données et également se sententcontrôlés.Mise à disposition des cartes pour les populations qui peuvent voir qui n'a pas mis envaleur et appliquer des sanctions si nécessaire.

P, r ,.. .2 F t fi(e epvirrnenempnt,,<ie PnlTAM

(v) Le SIG permet une meilleure gestion de l'eau (axes hydraulique, zones deconsommation excessive. zones non drainées)

Il. Le Centre de Suivi Ecolo-ique (CSE) de Dakar a également développé des outils desuivi environnementaux. Plusieurs études ont été menées. dont certaires en vallée dufleuve crâce à des analvses d'images satellitaires et photo-interprétation. Une cartede végétation de la zone du fleuve (rive gaucheO en 8 couleurs (combinaisons dedeux classes de véeétation humide et sèches et de 4 classes de recouvrement) a étéélaborée (Walo et Diéri) dans la zone de Dagana. Matam et Podor .

12. Ce même CSE est à présent chargé de la mise en oeuvre du PNAE (Plan Nationald'Action Env ironnementfl qui est le pendant sénégalais du PANE en coursd'élaboration en MNvauritanie. Le PNAE vient de sortir en édition définitive et doit êtreofficiellement ratifié par le gouvemement sénégalais dans les toutes prochainessemaines. Dans le cadre du PNAE, il est notamment prévu de définir les procédureset standards de mises en oeuvre des études d'impacts environnementales dans lesecteur irriguë.

13. Afin de gérer de façon environnementalement durable le délicat problème del'affectation des terres et, à terme, de fixer de façon et de façon concertée au niveaudes Comités Ruraux. les attributions foncières, la mise en oeuvre du POAS (Pland'Occupation et d'Affectation des Sols) constitue une pièce rnaîtresse de lastratégie environnementale Sénégalaise dans la vallée du fleuve. ]1' s'agit d'unedémarche participative de la part des comités ruraux qui vise à l'aménagement duterritoire rural. Des cartes de zones d'activités sont peu à peu élaborées à partir del'outil cartographique élaboré dans le cadre du SIG. Le domaine irrigable -est alorsintégré et limité en fonction d'équilibre avec les autres activités. La :recherche d'unconsensus dans ces matières délicates devrait fortement favoriser à terme la mise envaleur durable des ressources rurales, dont le domaine irrigable constitue un deséléments.

14. Il est prévu que les normes et recommandations en matière d'aménagements hydro-agricoles soient présentées dans le cadre du POAS sous forme d'une charte de bonneconduite dans un premier temps, pour devenir contractuel une fois que le POAS estfixé.

projets PREMINA et PROGENA

ANNEXE 2

Cartographie de base de la zone d'études

Rapportfinal - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDLAIM

1.

CCA A ;Ti0iMALE E i//

?EX~~~~~~~ r.2z ~ ~ ~ 8 g AK tq, 1£ .

EVALUATION~~~~~~~~~~ EN I O N M N A E D A MLE E D 0 ,ES, » ) i T8 8 t» ^

BOUHO~IO/ >'4

~~~~~~~tXE1 DOU PReJ () 'A0LAimiled a onTHa=_==-MD+ ?-s69s

JFID~~~~ ~~~~Cel l iud akoomun à s. wiPL 1 ' IOUX

_~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~n ("7 -'- ', /- \~ Jit GReR SERAD E _ w $ v g~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~1

3j <l] JRyIIK

6-- 'W 1 7e IO~~~~~~ fi/S7 6Ar

to ~ ~ ~ |4 »dpU6<i

EVALUATION ENVIRONNEMENTALE POIAIM LEGENDE. MY

(*)Larb abliatin e érmbre irig éspo rritcon er erto s es érmére, riés u olecif, e l V lle cf com enaiesSO ADRe-an ex 81 \

:~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~- ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ , ------

1 ;7'~~~~~~~~c

NZ\Nr~

I k~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~Nï

0010 ,

m cl~~~Yyo\ r

O ~~~~~~~~~~~0 sr~~~~~~~~~~~~~~~~~~ r ~ ~ ~ ~ ~ A

�-,,& p

r,

-�

- - �N'�' "

� Q

o� '�i

.- �- -\ -i �-,.'�o- -��" c

- o *�

�-� *,r, '�

.. � �

Y ,-�'-�4v.' - -� �

I � '-� Q

-� �c- .. �

\� �- � .a

� I �'�'

a -�

-- i �k-�--

..........~~~<C... . ................. CZ

..... .

~~~C -I/i \C\ *y.E~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~J'-~~~~~~.C) -~........

Y. s~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~.... .....

~~~~~~N.. ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ -. j o~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~.... .

N E j-~ ~ ~ ~~~~~~~~~~~>E

1~~~~~~~~~~~~)EH .. C

ANNEXE 3

Fiches de présentation des projets- ---

! -

j~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ Rapport final - Volume 3 ~~~~~~ Evaluation Environnementale du PDL4IM ~~~~C; s

ANNEXE 3.1.

Projets soumis au financement de la Banque Mondiale dans le cadre du PDIAIM

Rapport final - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDL4IM

I

Liste récapitulative des projet présentés au financement de la Banque Mondialedans le cadre du PDIAIM

No TITRE

' `,'Viabilisation des périmètres irrigués villageois entre Gani et Dar ElBarkla

2 Construction d'ouvrag7es de désenclavement dans le cadre de l'Appuiaux initiatives de base dans la zone de Gani à Dar El Barka

3 Investissements structurants des Unités naturelles d'équipement deKoundi I à 5

4(1) Investissements structurants de l'Unité naturelle d'équipement du Dirol(dans une optique de décrue contrôlée)

5( ) Projet d'arnénag-ement des infrastructures générales de M'Bagne

6 Gestion des Eaux de la Vallée du Gorgol

7 j Soutien à l'irrigation privée dans la vallée du Gorgol

Suivant les commentaires transmis par la SONADER (annexe 8. 1.)

les projets d'aménagement hvdraulique des plaines de Dirol et de Mbagne ne sont plusinscrits dans les priorités d'intervention de la Banque Mondiale,

- la réhabilitation des périmètres ne sera pas ciblée sur la zone de Gani - Dar El Barka,pas plus qu'elle ne sera limitée aux seuls périmètres villageois. Tous les périmètresdégradés de la Vallée. collectifs ou privés. pourront postuler au crédit de réhabilitation,seuls seront admis les dossiers les plus bancables.

Rapportfinal - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM

1. Viabilisation des périmètres irrigués villageois entre Gani et Dar El Barka

Zone d Î,2îern enî1ou-

Zone 1 Basse - Vallée / Gani-Dar El BarkaLe domaine du projet est circonscrit sur une bande de 80 km environ entre Gani (45 km à

l'Est de Rosso) dans le Trarza et Dar El Barka (60 km à l'Ouest de Boghé) dans le

Brak-na.

Documenis dc' céférences.1. Termes de réf'erence de l'enquête sur les périmètres irrigués - Cas des Périmètres

Irrigués Villageois (PIV) situés entre Gani et Dar El Barka et les périmètres privés

situés au niveau de la vallée du Gorgol - Janvier 1997

2. Projet de viabilisation des périmètres irrigués villageois (P.I.V.) dans le Trarza et le

Brakina - SONADER. Rapport provisoire - novembre 1997

Conlexte er;i i/Les périmètres irrigués v illageois (PIV) ont été aménagés et équipés par la SONADER et

sont mises en valeur par des exploitants regroupés au sein d'une coopérative villageoise.

Chaque exploitant dispose d'une parcelle de taille réduite (0.50 ha en moyenne).

L'irrigation sc f'ait au départ de stations de pompage équipées d'un groupe moto-pompe et

ensuite par tour d'eau à l'intérieur des quartiers hydrauliques. Dans une enquête

préliminaire. on a dénombré 148 PIV situés dans la zone du projet.

(b2Ci l/b' duroÉ'1cLe projet vise a réhabiliter I 150 ha de PIV sur base d'un recensement qui doit permettre

de dégager: (i) état des lieux et évaluation de la nature et les coûts des travaux de

réhabilitation pour les PIV; (ii) cerner la motivation des bénéficiaires: (iii) sélection des

groupements les plus performants. Ce projet constitue une première phase du programme

de réhabilitation prévu par le PDIAIM visant à terme la réhabilitation de plus de 10.000

ha sur des périmétres irrizués privés et collectifs.

Sicide de mise L'O oeuure du nroiet:Les enquêtes onlt été mises en oeuvre de la mi-août à fin septembre 1997. Les fiches

d'enquêtes ont été dépouillées en novembre et font l'objet du rapport provisoire

mentionné plus laut. Un total de 125 PIV totalisant 3630 ha a ainsi été recensé au stade

du rapport pro% isoire, un montant total de 617 millions de UM. soit une moyenne de

170.000 UIM par ha. Les critères de sélection des PIV tiennent compte de la situation vis à

vis du crédit agricole (UNCACEM), de l'ancienneté de l'exploitation, du taux

d'intensification. de la régularité de la mise en valeur, de la diversification et des résultats

techniques. Des scénarios de sélection ont été proposés. Mentionnons les constats

suivants: (i) sur le seul critère de l'enveloppe financière prévue (600 rnillions d'UM), la

presque totalité des périmètres pourraient être réhabilités (env. 3500 ha); (ii) sur le seul

critère de régularité envers l'UNCACEM. seuls 730 ha seraient éligibles.

Rapportfinal - Voluzme 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM

Phase d 'investissementDes études pour les travaux d'aménagements devront être menées pour chaque PIV àréhabiliter. Les "normes de conception des périmètres irrigués" éditées par la. Direction del'Environnement et de l'Aménagement Rural (DEAR) devront être respectées. A partir deces études, un dossizr de f'inancement devra être monté et présenté à l'organisme de crédit

pour financement dans le cadre d'une ligne de crédit long terme.

Phase de fonctionncuncnt'

Les dispositions à prendre pour la phase de fonctionnement n'ont pas été précisés dans lesdocuments à notre disposition.

Développemenl rermis nrar Ics investissements.En dehors du seul objectif quantitatif de la superficie à réhabiliter, aucune réflexion sur ledéveloppement perrm'is par les investissements ne ressort des documents à notredisposition.

Prise en comptc a('ctiuel/C des c-ontraintes environnementales:Les contraintes environnementales n'ont pas été prises en compte de façon explicites dansles estimation des coùts de réhabilitation des travaux. Il faut toutefois noter que le critère"diversification" a été intégré au niveau de la sélection, ce critère pouvant être considérépartiellement comme avant un impact environnemental à priori positif.

Raonort final - VoIlume 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM

2. Construction d'ouvrages de désenclavement dans le cadre de l'Appui auxinitiatives dc base dans la zone de Gani à Dar El Barka

Zone d nitererlo.Zone 1: Basse - 'allée: (iani-Dar El BarkaLe domaine du projet est circonscrit sur une bande de 80 km environ entre Gani (45 km àl'Est de Rosso) dans le lTrarza et Dar El Barka (60 km à l'Ouest de Boghé) dans leBrakna.

Docunments dtc rêlerences1. Termes de rétérence du projet d'étude de désenclavement des zones de production

aLricole. situées entre (iani et Dar El Barka - Janvier 1997

Contexte ryenerulLe Brakna et le '['rarza représente une zone de production agricole importante (près de24000 ha aménaués sur 40000 ha recensés). Elle est toutefois d'accès très difficile durantla saison des pluies. et tout particulièrement dans la zone de Gani- Dar El Barka. Laliaison Rosso-BoLue derait ctre réalisée prochainement (et plus particulièrement dansune première phase le tronçon Rosso-Lekseiba) sous la tutelle de la Direction desTravaux Publics. cet investissement n'entrant pas dans le cadre-du PDIAIM.

Obiet dn pro!et .-Le projet vise à équiper la zone de pistes secondaires, de bretelles d'accès et d'ouvragesde franchissement permettant une connexion des zones de production à la future routeRosso-Bogué (RN).

Stade de mise en oeuvre du p/'o(jetA ce stade, seul des TdR d'études préliminaires ont été élaborés. Ces études préliminairessont en cours (topographie hydrologie, génie civil. étude socio-économique) et un rapportd'études préliminaires devrait être disponible en janvier 98.

Phase d'investissement :En l'absence de rapport d'études, il est actuellement impossible de dégager la teneur de laphase d'investissements. A ce stade, 3 sous-zones à désenclaver ont été définies: (i)secteur localisé entre le N'Diawane et le Sénégal; (ii) secteur Koundi-cordon dunaire; (iii)secteur Leikseba - Leighet

Phase de fonctionnement:Aucune indication sur la phase de fonctionnement n'a été précisée à ce stade.

Dévelornnement permis par les investissements:Aucune indication sur le développement permis par les investissements n'a été précisé àce stade. Les études socio-économiques devraient toutefois apporter des éléments sur cepoint.

Prise en comple actulelle des contraintes environnementales:Aucune prise en compte des contraintes environnementales n'a été mentionnée dans lesTdR.

Rapportfinal - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM

3. Investissements structurants des Unités naturelles d'équipement de Koundi1 à5

Zone d'interientiofiZone 1: Basse - Vallée / Gani-Dar El BarkaLe domaine du projet est circonscrit sur une bande de 80 km environ entre Ciani (45 km àl'Est de Rosso) dans le Trarza et Dar El Barka (60 km à l'Ouest de Boghé) dans leBrakna.

Documents de références1. Termes de Référence pour l'étude préliminaire des infrastructures des UNE de

Koundi 1 à a, SONADER, janvier 19972. Schéma d' aménagement de l'Etude Après-Barrage, Groupement AGRER-SCET

AGRI-HASKONING, 19913. Etude de faisabilité de Koundi 3, SONADER/BCEOM, 1995

Contexte ZénérZL:Le tronçon de la vallée entre Gani et Dar El Barka est délimité d'une part par le fleuveSénégal et traversé par le Koundi et ses défluents, dont le Kiraye, le Koundi étant lui-même un défluent clu Sénégal. La présence de chenaux hydrauliques naturels rend la zonepropice au développement de la culture irriguée et de décrue en ce qui conceme lesdépressions. Aucun ouvrage hydraulique permettant de contrôler les niveaux de l'eau n'aété amnénagé dans la zone. Le schéma d'aménagement prévu dans les études après-barrages et dans les études de faisabilité de Koundi 3 s'avère à l'heure actuelle difficile àmettre en oeuvre, du fait, entre-temps de l'implantation non contrôlée et anarchique denombreux périmètres privés dans la zone.

Objet du proietLe projet devrait permettre d'améliorer les conditions de mise en valeur de la zone, àdéfaut de pouvoir envisager de façon réaliste de mettre en oeuvre un réel schémad'aménagement pour les raisons évoquées ci-dessus. Le constat actuel met en effet enévidence les contraintes suivantes: (i) un pourcentage important de terres aménagéesn'est pas mis en valeur, dont les causes sont d'ordre technique (déficience desaménagements réalisés quasi toujours sans études et sans respect des norrnes), d'ordrefinancier (accès au crédit et endettement), et aussi d'ordre spéculatif (obtention d'un droitfoncier conditionné à l'arnénagement sans réelle coercition si aucune mise en valeur n'estpratiquée par après); (ii) les réseaux de drainage sont totalement inexistants. ce qui àterme constitue un grave risque de dégradation des sols par salinisation des terres, cet étatde fait ayant déjà été constaté de façon critique dans le delta.

Stade de mise en oeuzvre du proie t:L'étude préliminai:re est en cours. Elle consiste à: (i) compléter les données de base(topographie, suivi -hydrologique); (ii) constituer une association d'usager desinfrastructures hydrauliques; (iii) à procéder à une enquête socio-agro-économique; (iv) àactualiser le schéma d'amnénagement de l'EAB; (v) élaborer un APS des ouvrages.notamment hydraulique.

p erf *f,,,, _ V,-,I,n' vEvaluatrion Environnementale,du lPDIAIM

Phase J jflV3S.sc'n!Aucune phase d'investissement n'est encore définie de façon précise à ce stade dans lamesure où unie stratécie doit d'abord être élaborée pour tenir compte des contraintestechniqucs. socio-cconomiques et environnementales. Les investissements suggérés dansles TdR poretent sur <(ji) la rccalibration de marigots pour en améliorer la débitance: (il) lamise en oeuv re de colFeteturs de drainage. la recherche d'exutoire posant toutefoisproblèmc: (iiih les ouvraces d'ari sur les grands marigots permettant d'assurer la gestiondes plans d'eau: (iv) un endiguement intérieur principal complémentaire à l'endiguementdu Sénégal-ri\ve droite de Rosso à Lekseiba (plusieurs scénarios doivent être étudiéstechniquement)

Phcase de cie tuuu?e?l-Non définie a ce stalde

Déi'elo,n7ernin7 i errnirs niar Ies investissements.Non défini à ce stade

Prise en Comn7ote actel/C des contraintes environnementalesLes besoins cen évaluation en\ironnementale sont exprimé clairement dans les TdR. enreportant l'anal\ se à la prcscnte ctude.

Rapportfinal - Iolume 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM

4. Investissements structurants de l'Unité naturelle d'équipement du Dirol (dansune optique de décrue contrôlée)

Zone d'intervention :Zone II: Moyenne - Vallée / M'Bagne-Kaedi

Documents de références.1. Termes de Référence d'un projet d'étude de développement agricole de la plaine du

Dirol, SON'ADER - Juin 19972 Etude USAID. 1983 - 1985

Contexte général:La plaine de Diroi est une vaste cuvette de décrue, inondée chaque hivemage par les eauxde l'Oued Gueliouar et par les débordements des eaux du fleuve Sénégal. C'est la crue dufleuve qui est toutefois la plus détermiinante pour l'inondation de la plaine. Dans lesconditions naturelles d'hydraulicité du fleuve, en année moyenne. la crue inonde unesuperficie dépassant les 8000 ha. Le caractère aléatoire du niveau de la crue, de sa duréeet la rapidité de la décrue font que la plaine est actuellement cultivée à un faible niveau deson potentiel.

Objet du proietLes études USAID mentionnées plus haut étaient orientées vers l'exploitation de la plainede Dirol en irrigué. A l'heure actuelle, il est plutôt question d`arnéliorer les cultures dedécrues par des ouvrages hydrauliques permettant un meilleur contrôle des plans d'eau(décrue améliorée).

Stade de mise en oeuvre du proiet:Les études préparatoires doivent débuter prochainement. Dans le cadre de ces études, ilest prévu: (i) une étude socio-économique de la zone du projet; (ii) une étude foncière;(iii) une étude hydrologique complémentaire; (iv) une proposition de schémad'aménagement de la plaine (avec altematives éventuelles); (v) un suivi hydrologique.

Phase d'investissement :Doit ressortir clairement des études préparatoires. Seule l'option décrue améliorée seraétudiée.

Phase de fonctionnement:Non précisé en temps que résultat des études préparatoires.

DévelopZpement rermis par les investissements:Non précisé en temps que résultat des études préparatoires.

Prise en compte actuelle des contraintes environnementales:Non précisé en temps que résultat des études préparatoires. La collecte de donnéespermettant ultérieurement de mieux caractériser le contexte environnemental estcependant prévue, spécialement en matière de suivi hydrologique et de problématiquefoncière.

RaDvort final - Volume 3 Evaluation Environnemensale du PDIAIM

5. P'rojet d'aménagement des infrastructures générales de M'Bagne

ZOnc' (i hiu71TlC?io-Zone Il N1o! ennc - Vallée , Bababe-M'Bagne

I)ocîll7?en ( d 'L i cc L'`] Etude de solutions alternatives de l'aménagement hvdro-agricole de l'unité

naturelle d'équipemient de M'Bagne - Mai 1992 - INYPSA (financement InstitutEspagnol de Coopération avec le Monde Arabe - ICMA)Etude de tactibîlité de l'aménagement hNvdro-agricole de l'unité naturelied'équipement de Nl'I3agne - Juillet 1992 - INYPSA (financement : InstitutEspagnol de C'ooperation avec le Monde Arabe - ICMA)

3. Termes je Rélérence pour les études de préparation et schéma d'aménagement -juin l).

( )71''['on exte 1 '!'!La zonc dui pr(oiet est située entre les villes de Bababé et M'Bagne. La zone d'étudemesure environ k) k em e long et 2 à 8 klm de large. Une vingtaine de village gravitentautour de la plaine. en bordure du tleuve ou à la limite de la zone du Diéri. La populationdans la zone est d'environ '3.000 habitants.

)h/evt c1il fl!O s.:/

L'étude dcs solutions alternatives a mis en évidence un potentiel aménageable de 20.000ha. l'étude de i'actihilité portant sur 6.000 ha. L'étude de factibilité a été menée dans unelogique d'amenagement de grands périmètres irrigués collectifs, ce qui ne rentredésormais plus dans le cadre stratégique du PDIAIM. C'est pourquoi, il a été décidé dereprendre les concepts à la base. Les TdR des études de préparation sont à présentorientés sur un concept d'amélioration de culture de décrue et/ou de réalisationd'ouv-rafles structurants devant permettre le développement de l'irrigation à petite échelle.Dans le cadre dc celte étude, il est prévu : (i) réalisation d'un schéma d'amenagement dela zone du proiet et d'un plan foncier à partir d'une étude hydrologique, d'une étudesocio-économiquu. d'une enquête foncière et de la caractérisation des infrastructuresgéniérales à réaliser (iii) conception d'un APD/DAO et priorisation pour la réalisation detranches d'init'rastructures générales (échéancier d'aménagement).

SadIle ti cie ('c oerlTe dut pr¢ielDémarrage des etudes préparatoires prévues au début 1 997, études devant étre exécutéespar la SONADER

Phase J inves,'t N.e,,zen

Non défini à l'lheure actuelle mais une première estimation devrait ressortir des étudespréparatoires

P17CaSe dle 10r7c'[ior7fleflt

Les TdR prévoient d'étudier (i) les coûts d'entretien: (ii) la répartition de ces coûts entrel'Etat et le paysan: (iii) le montage institutionnel pour la gestion des ouvrages

Rapportfinal - I olurme 3 Evaluatrion Environnementale du PDIAIM

Dév'elopnnenent 17ermis n)czr les investissements

Les TdR prévoient une estimation sommaire des coûts et avantages des différents typesd'anénagements. Une analvse fine des développement permis par les invest!-sementsn`est toutetois pas cnv,isa2ce de façon explicite.

Pri.se en comn2i iciculte/e dles contraintes environnementales

Les TdR prévoient que de développer un schéma d'aménagement en affectan: Aes zones à

l'irrigué, à la culturc de décrues. aux petites et moyennes exploitations villageoises, des

zones naturelles préservées et aménagées en conséquence, des zones de mises en défens

et des zones de boisement.

Rapport final - Volume 3 Evahiation Environnementale du PDIAIM

6. Gestion des Eaux de la Vallée du Gorgol

Zone d 'interLvention-Zone III: Vallée du Gorgol

Documents de' références1. Etude sur la gestion des eaux de la vallée du Gorgol. rapports phase I et Il,

Lahmever International - SONADER, oct 87 et juillet 882. Termes de Référence pour une étude générale de valorisation et d'optimalisation de

l'utilisation des ressources en eau dans la vallée du Gorgol. Dendros Internacional,févricr 1997.

3. Une version modifiée de ces mêmes TdR a été élaborée pour présentation auxbureaux short l stés invités à remettre offre. Nous n'avons pas eu l'autorisation deconsulter ce document.

(la description ci-dessous est donc basée uniquement sur le document 1)

CoileXiL' eL Lé'rI!

En 1984. le barrage de Foum Gleita a été établi sur le Gorgol Noir, ce qui a permis ledéveloppement de l'asgriculture irriguée. Dans la vallée coexistent deux typesd'agriculture la culture de décrue et la culture irriguée. Le barrage de Foum Gleita enamont et le pont vanne dce Kaedi en aval (confluence du Gorgol et du fleuve Sénégal)permettent dans cer.aines limites d'optimaliser l'utilisation des ressources en eau.Toutefois des améliorations conséquentes pourraient encore être apportée dans la mesureou l'axe hvdraulique entre ces deux ouvrages dispose également d'ouvrages de contrôlesou d'amélioration d'hldraulicité.

Obiet du2 roietL'objet du projet sera défini dans les études qui incluront les aspects suivants: (i) collecteet traitement des données de base (topographie), cartographie générale. hydrologie, socio-économie, pédologie. géotechnie; (ii) élaboration d'un schéma directeur d'aménagement(APS et APD!DAO des travaux prioritaires).

Stade de misc en7 oeuvre du Uroiet:Les études, objet des TdR mentionnés plus haut doivent être attribuées à un Bureaud'Etudes sur base d'appel d'offres qui devrait être lancé en décembre 1997. Elles aurontdonc lieu postérieurement à la présente étude.

Phase d inveshissementLe dimensionnement de la phase d'investissement doit constituer un résultat de l'étudegénérale au stade APS. Les investissements devraient toutefois comprendre: (i)infrastructures générales pour l'aménagement de 500 ha de périmètres à mettre en valeuren polder ou en décrue contrôlée; (ii) l'aménagement de seuil dans le Gorgol Noir pourfaciliter l'alimentation en eau des périmètres privés aménagés entre Foum Gleita etLeikseiba; (iii) l'aménagement du bief Leikseiba - Kaedi améliorant le transfert au PPGextension et équipé de petits ouvrages de prise pour la culture de submersion dans leOualo; (iv) construction de pistes de désenclavement

Rapportfinal - Volume 3 Evaluation Enivironnemenrale du PDIAIM

Phase de fonctionnementLes études doivent fournir des recommandations sur le fonctionnement des ouvrages.

Développement pernis par les investissements:Devrait ressortir des schéma d'aménagement.

Prise en comnte actuelle des contraintes environnementales

Non indiqué dans les TdR.

Ra.nnor,t fihno - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM

.Soutien à l'irrigation privée dans la vallée du Gorgol

Zone d interienhl(n

Zone III: Vallée du Gorgol

Documneni's cl' retci;rencc,s.

1. Termes de référence de l'enquête sur les périmètres irrigués - Cas des PérimètresIrrigués Villageois (Pl,') situés entre Gani et Dar El Barka et les périmètres privés situésau niveau de la vallée du Gorgol - Janvier 1997

C lexte<C £L;t(F!

On dénombre. selon la SONADER, 34 périmètres privés dans la vallée du Gorgol, ce quidoit totaliser environ 600 à 700 ha. Tous les périmètres actuellement exploités dans lavallée du CiorLoi entre Foum et Lekseiba pourrait rentrer dans le cadre de ce projetPDIAIM. à l'exception des aménagements existants et de l'extension prévue pour le(rand périmétre localisé en aval du barrage de Foum Gleita.

Oibet du p" ricr

Le projet vise à réhabiliter les périmètres privés sur base d'un recensement qui doitpermettre de dégager ti) état des lieux et évaluation de la nature et les coûts des travauxde réhabilitation: (ii) cerner la motivation des bénéficiaires: (iiî) sélection desbénéficiaires les plus perf`ormants. Ce projet constitue une première phase du programmede réhabilitation prévu par le PDIAIM visant à terme la réhabilitation de plus de 10.000ha sur des périmetres irrigués privés et collectifs.

Slade de m7ise en oeuvre cizd projet .Les enquêtes sont en cours. Les fiches d'enquêtes seront dépouillées prochainement.Nous ne disposons donc à ce stade d'aucune inforrnation quantitative supplémentaire.

Phascze d iniest1isc'zeentDes études pour les travaux d'aménagements devront être menées pour chaque PIV àréhabiliter. Les 'norrnes de conception des périmètres irrigués-' éditées par la Direction del'Environnement et de l'Aménagement Rural (DEAR) devront être respectées. A partir deces études, un dossier de financement devra être monté et présenté à l'organisme de créditpour financement dans le cadre d'une ligne de crédit long terme.

Pha.se dle fonclionnemen --

Les dispositions à prendre pour la phase de fonctionnement n'oni pas été précisés dans lesdocuments à notre disposition.

Dé'ieioencnement n2ermis par les investissementsEn dehors du seul objectif quantitatif de la superficie à réhabiliter, aucune réflexion sur ledéveloppement permis par les investissements ne ressort des documents à notredisposition.

Rapport final - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM

Prise en commene aÉic'/,clie dcl contrainies environnemenhalesLes contraintes enrvironnementales n'ont pas été prises en compte de façon e icites dansles estimation des coûts dc rehabilitation des travaux. Il faut toutefois note e le critère"diversificationi` a ete intceré au niveau de la sélection. ce critère pouvant - considérépaniellement commme anvant un impact environnemental à priori positif.

Rannort final - IVolume 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM

ANNEXE 3.2.

Autres projets localisés dans la vallée du fleuve

Rapport final - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDL4IM

Liste récapitulative des autres projets localisés dans la vallée du fleuve

NO TITRE

I Bassin de Gouère: Programme de développement intégré du Gouère

2 Bassin de Dioup - Diallo: Etude de faisabilité du projet de développement dusystème d'irrigation agricole dans le Haut Delta du fleuve Sénégal

3 Bassin de N'Diadier: Projet Aftout / Alimentation en eau de la ville deNouakchott

4 Garak - Sokarn: Projet de développement intégré de GARAK - SOKAM

5 Koundi 6 à 10: Etude hydro-agricole de Brakna Ouest - terme de référence

6 Réhabilitation de la plaine de M'Pourié

7 PPG extension (irrigué et décrue): Extension du Périmètre Pilote du Gorgol(Kaédi)

8 Etude d'exécution de Maghama III

9 Projet de consolidation et d'extension de Boghé Phase II

10 Aménagement Hydro-agricole du périmètre de Gouère Wassa (périmètre deBellara)

1 Infrastructures générales de Maghama - Amélioration des cultures de décrue

12 Actualisation de l'étude de la Route Rosso-Boghé

13 Digue Rosso - Lexeiba: Etude complémentaire des endiguements du fleuveSénégal

14 Projet / deuxième phase du Lac R'Kiz

15 Etude de l'aménagement des dépressions interdunaires Rosso-R'Kiz

16 Consolidation hydraulique du marigot de Laouvaja Rosso-R'Kiz

17 Etude de consolidation et d'extension du périmètre de Foum-Gleita (phase II)

1.Intitulé: 1. PROGRAMME DE DEVELOPPEMENI INTEGRE DUGOUERE

2. Maître d'ouvrage: SONADER

3. Maître d'oeuvre: SONADER et AGETA

4. Consultants: |SONADER

15. Objectifs du projet

- Travaux hydrauliques

. Prolongement du chenal d'amenée entre l'ouvrage OMVS et le marigot. réalisation de deux digues (M'Bah. Lakmar) et de deux ouvrages vannés. creusement de fossés de drainage collectifs et d'ouvrages de franchissement

6. Localisation géographique

La zone du projet est constitué par ie dans le bassin de Gouére situé à l'ouest de Rosso dans le Haut Delta.Le bassin du Gouère est limité par la digue rive droite du fleuve Sénégal au sud, le marigot Ibrahima à l'ouest,la piste nord de Rosso à Keur -Macène au nord, la limite ouest de la plaine de M'Pourié à l'est.

[7. Zone du projet:

La zone du projet se compose de neuf unités couvrant une superficie totale de 10 700 ha au nord de la digueet 2 200 ha entre le fleuve et la digue.

8. Données du projet:

- Population concemée

- Aspects environnementaux

a . travaux forestiers. stabilisation de 100 ha de dunes près de Dieuk dont 60 ha en reboisementmise en réserve de la forét de gonakiers de Lakrnar (500 ha), reboisement de 50 ha

. création d'une ceinture verte de 50 ha près de Breune

b. drainage envisagé: rejet dans des cuvettes

- Mesures d'accompagnement

. création d'une organisation professionnelle des usagers de Gouère

. appui à la commission nationale chargée de la gestion des ouvrages de l'OMVS

. maîtrise de la salinité daris les cuvettes et sur les périmètres irrigués

. mise en place d'attributaires des parcelles boisées

. essais fourragers et promotion de l'élevage laitier

Rapport final - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM

19.Timing du Projet

Travaux dinfrastructures structurants réalisés en 1995

10. Durée du projet: m]11. Coût du projet: 12,9 FF (303 millions UM)

1. Travaux hydrauhiques: 222 millions UM2. Travaux forestiers: 37 millions UM3. Mesures d'accompaonement: 14 millions UM4. Non affecté: 30 millions UM

112. Source

note de présentation Décembre 1994

1. Intitulé: 2. ETUDE DE FAISABILITE DU PROJET DE DEVELOPPEMENTDU SYSTEME D'IRRIGATION AGRICOLE DANS LE HAUTDELTA DU FLEUVE SENEGAL

12. Maître d'ouvrage: MDRE

13. Maître d'oeuvre: SONADER

14. Consultants: NIPPON KOEL CO., LTDTAIYO CONSUTANTS CO., LTDAERO ASAHI CORPORATION

5.Objectifs de l'étude:

1. Faisabilité du Projet de Développement du Système Agricole portant sur les bassins duDioup-Diallo situés dans la plaine alluviale de la rive droite du fleuve Sénégal à environ200 km au sud de Nouakchott. en vue de l'amélioration du niveau de vie de la population rurale,l'augmentation de la production alimentaire et la préservation de l'environnement.

2. Transfert technique à la contrepartie mauritanienne à travers l'exécution de l'étude.

16. Localisation géographique:

La zone du projet se situe au centre du haut Delta du fleuve Sénégal à 20 km à l'ouest de Rosso.Elle s'étend sur une bande de 20 km de long et 10 km de large , limitée par des dunes au nordet la digue rive droite au sud. La zone étudiée est rattachée administrativement à la moughataade Keur-Macène. Wilaya de Trarza.

17. Zone du projet:

environ 8 000 ha dans ie bassin de Dioup-Diallo et 10 000 ha dans celui de N'Diadier situé plusen aval.

8. Données du pro'et:

- Population concernée: 1 1 180 habitants (70 % de Maures et 30 % de Wolof)

- Aménagements prévus:. ouvrages structurants (réalisation par le projet). ouvrages quaternaires et parcelles (réalisation par le projet)

- Superficie totale: 4 730 ha.Riziculture: 3 940 ha.pâturage: 790 ha

- Spécuiation et production:. riz en saison des pluies. riz en saison sèche. pâturage

- Aspects environnementaux:. suivi de l'évolution de la qualité des sols. suivi de l'évolution de la qualité de l'eau. mise en oeuvre et suivi des mesures de protections contre la désertification et l'ensablement. suivi sanitaire. drainage envisagé: par pompage et rejet dans le fleuve

- Mesures d'accompagnement:. instruction et formation en matière de I 'entretien et de gestion des installationstransfert des installations et les équipements d'exploitation et d'entretien àl'Association des Usagers de Dioup (A.U.D)

Rnfl,7t" finn1 Vertlmo R Fvaluatinn Fnvirrnn7ementalp dv PDJ4 M

|9. Timing du Projet

année let 2: conception et préparationannée 3: aménagement d'un périmètre modèie de 810 ha incluant une ferme

de démonstration de 100 ha.année 4 à 7: poursuite des aménagements (3920 ha) et des installations de l'ensemble du projet

10. Durée du projet: 16 ans

I1. Coût du projet: 3 095 millions UM

Financement: Agence Japonaise de Coopération Internationale (JICA)

Frais d'exploitation et cl'entretien: 90,8 millions UM/an soit 19 200 UM/anJha

Bénéfice économique: 148 125,5 millions UM/ha.

12. Source

Rapport principal - juillet 1°97

1. Intitulé: 13. AEP A LONG TERME DE NOUAKCHOTT

12. Maître d'ouvrage: |MrNISTERE DE L'HYDRAULIQUE ET DE L'ElNERGIE

3. Maître d'oeuvre: SONELEC

14. Consultants: Appel d'offres en cours

5. Objectifs de l'étude:

Prévision de la demande en eau potable de Nouakchott et la zone du projet à l'horizon 2030Avant Projet Sommaire de variantes d'alimentation à partir de l'ouvrage de l'AftoutAvant Projet Détaillé et dossier d'appel d'offres pour la solution retenue

6. Localisation géographique: |

La prise de l'Aftout ES Sahel se situe à 250 km au Sud de Nouakchott en bordure du fleuve

7. Zone d'étude:

La voie d'eau envisagée (canai à ciel ouvert ou conduite en charge) doit longer le littoral atlantique

8. Données du projet:

Les données qui seront élaborées par le Consultant comprendront:.les besoins de la zone urbaine (domestiques, industriels ...).les besoins des zones rurales traversées (cultures maraîchéres).le système de traitement et la qualité de l'eau.le choix du tracé de la voie d'eau.le système de pompage à la prise de l'Aftout.les ouvrages et équipements requis (conduits, réservoirs, accès...).les aspects fonciers.l'impact du projet sur l'environnement.l'analyse des coûts et la rentabilité du projet.l'entretien et la maintenance des ouvrages et équipements

Rapport final - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDLAIM

9. Timing du Projet

1 998-2000: réalisation des études (18 mois)2000: début probable des travaux

|10.Durée du projet:

| 1. CoÛt du projet:

Financement: FADES I BID

~~~~~~~~r 1 r ; _ . T)Fr"/rrf

|1. Intitulé: 4. PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT fINTEGRE DEGARAK - SOKAM

2. Maître d'ouvrage: SONADER

3. Maître d'oeuvre: SONADER

4. Consultants: SONADER

5. Objectifs de l'étude:Définition d'un schema d'aménagement pour un projet de développement intégré de Garak -Sokam visant:- l'amélioration de la desserte en eau des périmètres situés à l'extrémité de certains marigots et/ou créationdes chenaux d'irrieation

- le drainage;- la protection contre les inondations:- l'amélioration de la décrue:- le désenclavement.

6. Localisation géographique:

La zone du projet. correspond à la bande de Walo comprise entre la ville de de Rosso et le village de Gani

7. Zone du projet: l

La zone du projet est constituée par les UNE GA I , GA2.

8. Données du projet:

- Population concernée:

- Aménagements prevus:. ouvrages structurants (realisation par le projet)

ouvrages quatemaires et parcelles (réalisation non spécifiée)

- Superficie irriguée: 1500 haPérimètres collectifs: 1000 haPérimètres privés 500 ha

- Décrue: 2000 ha

- Aspect environnementaux:fixation des dunes pour la protection des marigots contre l'ensablement: 130 h ha seront stabilisés(fixation mécanique et biologique)

. protection et régénération des forêtsdrainage envisagé: par pompage et rejet dans les cuvettes ou dans les cours d'eau naturels.

- Mesures d'accompagnement:mise sur pied d'un fonds de recherche - développement.

Rarnor>rt final - Volum, °rn' 3 r v A DrVt rrr

19. Timing du Projet Z-

110. Durée du projet: Z-11. Coût du projet: 32 318 millions UM

Financement: Caisse Française de Développement

Frais d'exploitation:

Bénéfice économique: -

112. Source: 3Rapport provisoire - septembre 1997

1. Intitulé: 5. ETUDE HYDRO-AGRICOLE DE BRAKNA OUESTTERMES DE REFERENCE

12. Maître d'ouvrage: MDRE

3. Maître d'oeuvre: SONADER

4. Consultants: OCDN BAD

5. Objectifs de l'etude:

- Réalisation d'un schema d'amenaerement des infrastructures générales et principales- Réalisation d'un avant projet détaillé et un dossier d'appel d'offre ainsi que la faisabilité financière

et économique d'une prerniere tranche

6. Localisation géographique:7-

La zone de l'étude se situe dans la Wilaya du Brakna à l'ouest de Boghé. Le projet concerne les comrmunesde Dar El Avia, Ould Birane et Dar et Bark-a

7. Zone du projet:

La zone du projet comprend les unités naturelles d'équipement (UNE) de Koundi 6 à 10. Elle est constituéepar une succession de cuvettes s'étendant sur une longueur de 80 km en bordure du fleuve Sénégal,entre Boghé en amont et Donave en aval

8. Données du projet:

- Population concemee 15 000 habitants

- Superficie totale 18 630 ha- Superficie à amena-er pour la première tranche: 4 000 ha

- Aspects environnementaux:évaluation des impacts du projet sur le milieu

. proposition d'un programme d'actions de correction et de mitigation

- Mesures d'accompagnement:séminaire de sensibilisation et d'information

RaDwort final - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM

19.Timing de l'étude

démarrage début 1998

10. Durée de l'étude:- 16 mois

l 11. Coût de l'étude: -

Financement: FAD / FAT / Etat Mauritanien

112. Source

1. Intitulé: 16. REHABILITATION DE LA PLAINE DE M'POURIE

12. Maître d'ouvrage: MDRE

13. Maître d'oeuvre: DIRECTION DE LA PLAINE DE M'POURIE

4. Consultants: GERSAR -SCP

5. Objectifs du projet:

Etude de factibilité de la réhabilitation de la plaine de M'Pourié

6. Localisation géographi ue:

La plaine de M'Pourne se situe le long du Fleuve Sénégal à l'ouest de la viile de Rosso

7. Zone du projet: 1

La zone du projet se situe dans la plaine de M'Pourie et couvre une superficie totale de 1525 hadont 725 ha sont exploités

88. Donhées du proJet

- Population agricole: 600 à 800 familles

- Aménagement prévu:. ouvrages structurants (réalisation par projet). ouvrages quaternaires et parcelles( réalisation par le projet et les bénéficiaires)

- Spéculation et production:. riziculture irrigu&e. production annuelle: 2 200 tonnes (une seule culture /an. production commercialisée: 1 100 tonnes

- Aspects environnementaux:drainage envisagé: Pompage et rejet dans le fleuve

- Mesures d'accompagnement:. mise sur pied d'un organisme chargé:

* de distribution de l'eau' d'exploitation et de la maintenance des ouvrages* d'organisation des tours d'arrosage' de recouvrement des redevances.

Ravnort final - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM

9. Timing du projet

Durée des études: 6 moisLancement du dossier d'appel d'offre 6 moisDurée des travaux 18 moisTravaux achevesExploitation en cours

|IO.Duréeduprojet: 6 ans

[I 1. Coût du projet: 1514 100.000 UM

Financement FIDA

Frais d'exploitation 105 472 UM / 1.8 ha

Bénéfice économique 80 829 UM / 1.8 ha

|12. Source:

Etude de factibilité - juillet 1989

LI. Intitulé: 17. EXTENSION DU PERIMETRE PILOTE DU GORGOL (KAEDI)

j2. Maître d'ouvrage: |MDRE

13. Maître d'oeuvre: SONADER

14. Consultants: IFAGRARIA - DENDROS INTERNACIONAL

[5. Objectifs du projet:

. Aménagement d'un périmètre irriguéAménagement d'une zone d'essai pour la culture de décrue contrôlée et améliorée

. Aménagement d'une zone de décrue contrôlée

. Réalisation de deux digues de protection d'une longueur totale de 15 km environ

16. Localisation géographique:

Le périmètre est constitué par une partie du vaste territoire plat compris entre la digue de de protectiondu périmètre pilote de Kaedi, la dune longeant le fleuve Sénégal et un tronçon du lit de Gorgol

7. Zone du roet:

La zone du projet se situe à l'est de l'ancien Périmètre Pilote du Gorgol (PPG) .

j8. Données du projet:

- Population concernée:

- Aménagements prévus:. ouvrages structurants (réalisation par le projet).ouvrages quaternaires et parcelles (réalisation par le projet + bénéficiaires)

- Superficie totale de: 2 500 ha. périmètre irrigué : l 188 ha. décrue contrôlée et améliorée: 137 ha. décrue contrôlée : 571 ha

- Aspects environnementaux: -

.drainage envisagé: par pompage et rejet dans le Gorgol

- Mesures d'accompagnements:

Rapport final - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDIlIM

19. Timing du Projet

1991 - 1997: construction1997: début d'exploitation

10. Durée du projet:

111. Coût du projet: 1.464.011.148 UM

Financement: Fonds Européen de développement (FED)

Frais d'exploitation et d'entretien:

Bénéfice économique:

112. Source

DENDROS rNTERNACIONAL

Il. Intitulé: 8. ETUDE D'EXECUTION DE MAGHAMA III

12. Maître d'ouvrage: MDR

13. Maître d'oeuvre: SONADER

4. Consultants: EUROCONSULT

5. Objectifs du projet:

Aménagement de la plaine pour la culture irriguée avec une disponibilité en eau toute l'année qui permettrad'augmenter l'intensite culturale d'un facteur qui peut s'élever jusqu'à 1.6.

16. Localisation géographique:

La zone du projet se situe dans le bassin inférieur du fleuve Sénégal à 23 km au sud de Maghama entre leslocalités de Wali et de Toulèl.

7. one du projet:

Unité naturelle d'équipement de Maghama III (MD3)

18. Données du projet:

- Population concernée 6 747 habitants. agriculteurs 2 968 habitants

- Aménagements prévus:. ouvrages structurants (réalisation par le projet). ouvrages quaternaires et parcelles ( réalisation par le projet)

- superficie totale brute: 1000 ha. superficie riziculture 470 hasuperficie polyculture 530 ha

- Spéculation et production. riz d'hivernage 366 ha. riz contre saison 220 ha. sorgho 271 ha. maïs 348 hajardin 23 ha

- Aspects environnementaux:. drainage envisagé: mixte (par gravité et pompage) et rejet dans le fleuve

- Mesures d'accompagnement:mise en place d'une équipe d'assistance technique composée d'un agro-économiste, d'uningénieur aménagiste et d'un électromécanicien afin d'assurer le fonctionnement du projetet la formation de son personnel durant les premières années

RcRannnrr final - Volume 3 Evaluation Environnementale di, PDIAIM

19. Timing du Projet l

Les travaux sont achevés

1 0. Durée du projet: 1 12 mois

11. Coût du projet: 1 200 millions UM

financement du projet Banque Islamique de Développement (B.l.D)

Frais d'exploitation et d'entretien

Bénéfice économique

112. Source

Avant projet détaillé - Novernbre 1990PDIAM: Infrastructures et arnénagement - juillet 1995

|1. Intitulé: 19. PROJET DE CONSOLIDATION ET D'EXTENSION DE BOGHIE -PHASE Il

12. Maître d'ouvrage: MDRE

13. Maître d'oeuvre: SONADER

4. Consultants: |OCDN / BAD

1S. Objectifs du projet:

Les objectifs du projet sont:- La réhabilitation de 790 ha.- L'aménagement de 660 ha complémentaires,- Le renforcement de la station de pompage,- Le renforcement des coopératives en vue de la mise sur pied d'une union des coopérativeset une société de gestion du casier

6. Localisation géographique:_]

Le périmètre de Boghe est situé en bordure Nord de la vallée du fleuve Sénégal à une distance(à vol d'oiseau) de 220 k-m de la cote atlantique.

7. Zone du projet: l

La zone du projet est constiruée par la plaine de Boghé située entre Boghé et Sarendogou, elle est complètementendiguée. Sa partie amont est occupée par le casier pilote et la partie aval est prévue pour l'extension

8. Données du projet:

- Population concernée:

- Aménagements prévus:ouvrages structurants (projet)ouvrages quaternaires et parcelles (projet + bénéficiaires)

- Superficie totale 1 450 ha. réhabilitation 790 ha. extension 660 ha

- Production et spéculation:. riz 1 800 tonnes (en année de croisière). autres céréales: 1 350 tonnes (en année de croisière). produits maraîchers: 3 000 tonnes (en année de croisière)

- Aspects environnementaux:. suivi des principaux indicateurs d'impact au niveau du développement des maladies d'origine hydrique.l le dépistage et le traitement des foyers de prolifération.l la reforestationl le contrôle de l'utilisation des produits agro-chimiques etc....

. drainage envisagé: mixte (par pompage et par gravité) et rejet dans le fleuve- Mesures d'accompagnement:

renforcement des coopératives .

i P,,,,,,rtf #Xs7I _-T 1n1,,e 6 2t ralvtion Env" rn,nnm,,ntcle Jv Pnr.t/f

9. Timing du Proet

Année I et 2 Etude pour la consolidationAnnée 3 Aménasgement de la zone alimentée par la station de pompaee du CPB

Démarrage prévu en 1998

10. Durée du projet: 24 ans

11. Coût du projet: 142.97 Millions UM ( 10,73 Millions UC)

- Financement: FAD. Etat Mauritanien. Bénéficiaires.

- Frais d'exploitation et d'entretien:

12. Source:

Rapport d'évaluation 1997' BAD

|I. Intitulé: 10. AMENAGEMENT HYDRO-AGRICOLE DU PERIMETRE DEGOUERE WASSA (PERIMETRE DE BELLARA)

12. Maître d'ouvrage: MDRE

13. Maître d'oeuvre: SONADER

4. Consultants: SONADER

5. Objectifs du projet:

Aménagement du périmètre irrigué de Bellara pour la réalisation:- d'un réseau de canaux d'irrigation- d'un réseau de canaux de drainage- d'une station d'alimentation et d'exhaure

6. Localisation géo-ra2 h.ue:

La zone du projet se situe dans le delta du fleuve Sénégal à proximité de Keur-macène.Elle se trouve au sud du marigot de Diallo qui constitue sa source d'alimentation.

7. Zone du projet:

Le périmètre est limité au sud par l'endiguement rive droite du fleuve Sénégal, à l'Esrpar la digue route reliant Keur-Macène à Rosso et à l'Ouest par un périmétre privé.

8. Données du projet:

- Population concemée

- Aménagement prévus. ouvrages structurants (réalisation par le projet). ouvrages quaternaires et parcelle (réalisation par le projet)

- Superficie totale: 250 ha

- Spéculation et production: riziculture

- Aspects environnementaux:

. drainage envisagé: pompage et rejet dans une cuvette endéroïque

Ran7r'o-r final - Volume 3 Fvaluation EnvironnemÉnralp dv PVJ14 Tv

19. Timing du Projet

Travaux de construction en cours.

110. Durée du projet: 12 mois (travaux en cours)

11. Coût du projet: 21.71130.000 UM

- Financement: Banque Islamique de Développement (BiD)Fonds Saoudien de Développement (FSD)

- Frais d'exploitation et d'ent-etien

- Bénéfice économique

112. Source

Mémoire descriptifMarché N 30 /96 CCM

~' .-

._:1

1. Intitulé: 11. INFRASTRUCTURES GENERALES DE MAGHAMAAMELIORATION DES CULTURES DE DECRUE

2. Maître d'ouvra e: MDRE

3. Maître d'oeuvre: CELLULE DE PLANIFICATION

14. Consultants: S.A. AGRER - SCET AGRI - HASKONING - AFRECOM.

5. Objectifs du projet:

- Etendre et consolider l'agriculture traditionnelle (décrue) sur les UNE MD1 à MD5 par une valorisationdes apports des oueds Gorfa. Niordé et désili (travaux phase 1)

- Favoriser le développement de l'agriculture irrigué grâce notamment aux endiguements de protectioncontre les crues et à un réseau routier de désenclavement prévu dans la partie amont (MD4,MD5) en phase 2

6. Localisation géo2raphi ue:

La zone du projet s'étend de Wompou à Maghama. elle appartient à la moyenne vallée du fleuve Sénégal.

7. Zonedu projet:

La zone du projet engiobe les UNE de MD5. MD4, MD3,MD2 et MD i et couvre une superficie totalede 35 550 ha,dont 21 691 ha irrigable.

8. Données du projet:

- Population concernée: 20 000 personnes- Aménagement prévus:

. ouvrages structurants (réalisation par le projet)

- Surface totale inondée: 22 500 ha brute et 13 500 ha (nette).bief I (MD5) : 3 400 ha

.bief 2 (MD4) : 3 600 ha

. bief 3 (MD 1+MDD2-+MD3): 15 500 ha

- Spéculation et production:. sorgho sur 80% de la surface cultivée avec un rendement 0,8 t / ha. maïs sur 18 % de la surface cultivée avec un rendement de 0,6 t / ha

l légume sur 2 % de la surface cultivée avec un rendement de 6 t I ha

- Aspects environnementaux:. drainage envisagé: par gravité et rejet dans le fleuve

- Mesures d'accompagnement:. cours des services de l'Etat dans les domaines suivants:

* gestion de l'eau* sélection des semences* protection des végétaux* stockages, conservation et transport des récoltes* commercialisation des produits

Rarnrort final - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM

19. Timing du Projet

les travaux sont en cours

il0. Durée du projet: 12 ans

|11. Coût du projet: 547 700 000 UM

- Financement:

- Frais d'exploitation et d'éntretien: 2 300 000 UM / an

- Bénéfice économique:.sorgho: 16 305 UM /ha. mais: 12 265 UM ha

[Ir iu

Rapport principal - Janvier -1991

r. Intitulé: 12. ACTUALISATION DE L'ETUDE DE LA ROUTE ROSSO-BOGHE

2. Maître d'ouvrage: MINISTERE DE L'EQUIPEMENT

3. Maître d'oeuvre: |DIRECTION DES TRAVAUX PUBLICS

14. Consultants: BCEOM

|5. Objectifs du projet:- dynamiser ie développement de l'agriculture dans la région du fleuve- favoriser l'intégration de la région du fleuve dans l'espace économique national par le renforcement du grand

axe de communication national Ouest - Est. Nouakchott - Rosso - Bophé - Kaédi - Sélibabi

6. Localisation géographique- La route Rosso - Boghé doit relier les villes de Rosso - Boghé.

17. Zone d'influence du projet: l- La zone d'influence du projet constitue le premier centre d'approvisionnement en produits vivrières de la

capitale. Elle couvre une superficie aménageable en cultures irriguées de plus de 75 000 hectares etdispose du plus fort potentiel de développement agricole du pays.

|8. Données du projet:- population de la zone d'influence du projet 128 000 habitantssuperficie irrigable dans la zone d'influence 76 625 ha- superficie aménageable en cultures irriguées 15 600 ha- nombre d'unités naturelles d'équipement (UNE) 1 l- longueur de la route 190 km

- Aspects environnementaux

- Mesures d'accompagnement

I D _zz-< S;nol _ rtelotnss ÉEvaluation Environnementale du PDIA M

19. Timing du Projet:

1998: lancement de l'étude de faisabilité et du dossier d'appel d'offres sur financement de l'Union Européenne

|10. Durée du projet:

11. Coût du projet: (étude BCEOMI

- Financement Fonds d'Aide et de Coopération

- Frais d'entretien 9 373 055 UM en 1995 à 35 469 155 en 2014

- Taux de rentabilité Interne 1 1.25 à à 13,14 % selon les variantes.

12. Source

Rapport économique - janvier 1991

I. Intitulé: 13. ETUDE COMPLEMENTAIRE DES ENDIGUEMENTSDU FLEUVE SENEGAL

2. Maître d'ouvrage: |OMVS

3. Maître d'oeuvre: HAUT COMMISSARIAT DE L'OMVS

4. Consultants: COYNE & BELLIER

5. Objectifs de l'étude:

Définition d'un aménagement garantissant:.une exploitation à la cote 2.5m de la réserve du barrage de Diama..une meilleure gestion des ressources en eau dans le delta et la basse,. un niveau de protection elevé contre les crues.

l la mise hors d'eau des zones basses lors de l'exploitation du barrage à la cote +2,50 m.

6. Localisation géographique: }

Amont et aval immediat de Rosso (raccordement avec la digue existante)

17. Zone d'étude:

Elle s'étend de Rosso a Boghé, limite de la zone d'influence du barrage de Diama.

8. Données du pro'et:

- Les données qui seront elaborées par le consultant porteront sur:l la population concernée par le remous.la surface concernée par le remous,l l'hydrologie.la topographie,

. la géotechnique,l'hydraulique et le génie civil.l'agro-économiel l'impact du projet sur l'environnement en particulier les modifications biophysiques.

Ravport final - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM

|9. Timing de J'étude

étude en cours

1 l 0. Durée de l'étude: 15 mois

| I i. Coût du projet:

- Financement: CFD

|1. Intitulé: j 14. ETUDE D'EXTENSION DE LA DEUXIEME PHASE DULAC R'KIZ

2. Maître d'ouvrage: MDRE

13. Maître d'oeuvre: |SONADER

F4. Consultants: |SCET- TUNISIE / OADA

.5. Objectifs du projet:

Aménagement d'un réseau d'irrigation et de drainage sur 853 ha nets irrigables avec volets mise en valeuret mesures d'accompagnement.

|6. Localisation géographique:

Le Lac R'kiz qui est une vaste dépression de 30 km de long sur 5 km de large se trouvant à une trentaine dekilomètres du fleuve Sénégal en rive droite et immédiatement au sud de la localité de R'kiz

17.Zone du proet:

La zone du projet est un prolongement du périmètre pilote de 60 ha et couvre une superficie nette de 853 ha

8. Données du projet:

- Population concernée: 25 000 habitants- Superficie nette: 853 ha- Aménagements prévus:

aménagements structurants réalisés par le projet. aménagements quatemaires et parcelles: ( réalisés par le projet + bénéficiares)

- Spéculation et production. riziculture

- Aspects environnementaux

. drainage envisagé: gravitaire et rejet dans des cuvettes endéroiques.

Rar,ort final - Volume 3 Fvaluartir Envirnn,ormorp71p di' PPiTJrTU

9. Timing du Projet

Travaux achevés 1997

110. Durée du projet:

|11. Coût du projet: 997 503 700 UM

- financement: BID- coût mise en valeur et besoins

en financement: 89 440 500 UM sur 2 ans

1 2. Source

Avant projet - Volume 2: Socio-économie !Janvier 1991Projet en cours ou requis aupres de la Banque Islamique de Développement SONADER - novembre 1996

|1. Intitulé: 15. ETUDE DE L'AMENAGEMEN^T DES DEPRESSIONSINTERDUNAIRES ROSSO-R'KIZ

12. Maître d'ouv'rage: IMDRE

3. Maître d'oeuvre: | SONADER

14. Consultants: | BCEOM

15. Objectifs du projet

L'objectif du projet est d'étudier l'amenagement des cuvettes de Tin Yeddir à l'Ouest, Léounne, Tambasset Diguinet, afin d'y perrmettre les cultures de décrues. L'idée générale est de limiter l'inondation lors des cruesdu fleuve par une digue et de laisser passer dans les dépressions le voiume d'eau nécessaire à la culture de décrue

r6. Localisation géographique

La zone étudiée est située à une trentaine de kilomètres au Nord- Est de Rosso et au Sud du Lac R'kiz

17. Zone du projet:

La zone du projet est constituée par les cuvettes de Tin Yeddir, Léourine, Tambass et Digumet etcouvre une superficie de 1564 ha

8. Données du projet:

- Aménagements prévus:. ouvrages structurants (réalisation par le projet)

- Superficie exploitable en décrue:.Tin Yeddir 608 ha.Tambass 650 ha. Léourine 166 ha. Diguinet 140 ha

- Spéculation et production. culture de sorgho. production annuelle 1880 tonnes

D- w~AI T/AZa~A 7 Fvczluar iorn En iTv""i"'nentaipror du PDlAT4

19. Timing du Projet

110. Durée du projet:

|11. Coût du projet: (Investissements et fonctionnement): 177 300 000 UM

Tin Yeddir 24 572 000 UMTambass 57 120 000 UMGrande Diguinet 3 708 000 UMLéourine 91 900 000 UM

- Taux de rentabilité intemne.T Tin Yeddir 20.9 %

.Tambass 15,20%

. Grande Diguinet 38,40%-Léourine < 0 %

12. Source

Avant - Projet Détaillé I Rapport Général I Septembre 1991

.*g-

[1. Intitulé: 16. CONSOLIDATION HYDRAULIQUE DU M-ARIGOT LAOUVAJA

(Lac R'kiz)

12. Maître d'ouvrage: | MDRE

13. Maître d'oeuvre: |SONADER

4. Consultants:

l5. Objectifs du projet

L'objectif du projet est le recalîbrage du marigot Laouvaja alimentant la cuvette orientale du lac R'kiz.L'étude s'atteliera à préciser les tronçons qu'il y a lieu de récalibrer et ceux pour lesquels un curage peut suffir

6. Localisation géographique

Le projet se trouve entre Gani. situé sur le fleuve Sénézal et le Lac R'Kiz

17. Zone du projet:

La zone du projet est constituée par le marigot de Laouvaja

8. Données du projet:

Les données qui seront élaborées par le projet porteront sur:le régime d'écoulement du marigot.l la variation des débits en fonction des différents niveaux du plan d'eau dans ie marigot à sa confluenceavec ie fleuvel les scénarios de gestion en fonction des cotes de calage du fond du marigot.Ies conditions dans lesquelles devront être exécutées les futurs travaux et les engins à même de leseffectuer

b .' , rPAI.,w- v Fvaluatinn Enviro.nnementale du PDIAIM

9. Timing du Projet l

Requête de financement lancee auprès de la BID

10. Durée du projet: mois

11. Coût du projet: m 27 500 000 UM

Financement requête adressée à la BID.

12. Source

Consolidation hydraulique du marigot de LaouvajaRequête de financement. Octobre 1996

|1. Intitulé: 17. ETUDE DE CONSOLIDATION ET D'EXT:ENSION DUPERIMETRE DE FOUM-GLEITA ( Phase Il)

12. Maître d'ouvrage: MDRE

13. Maitre d'oeuvre: SONADER

14. Consultants: |EURO-CONSULT / SODESE Engineering

5. Objectifs de l'étude:

Le projet comprend deux volets:- Consolidation de la première phase du périmètre de Foum-Gleita par:

la réalisation de 3 ponts suppiementaires sur les canaux principaux PI et P2,l la réalisation d'un pont sur le Gorgoil la réalisation d'une passereile sur le canal d'amenée et l'agrandissement du dalot au PK 900 m sousle canal d'amenéel la construction d'une route d'accès reliant la base vie a la route nationale

- Extension du périmetre

6. Localisation géographique:

Le projet d'aménagement de Foum-Gleita est situé dans la vallée du Gorgol Noir. Il se situe à 120 km deKaédi et à 30 kilomètres a l'Ouest de M'Bout.

7. Zone du roet:

La zone d'extension est à l'aval du périmètre existant et couvre une superficie de 2520 ha brute.

18. Données du projet:

- aménagement prévus. ouvrages structurants ( réalisation par le projet). ouvrages quaternaires et parcelles ( projet + bénéficiaires).

- Spéculation et production. riziculture

- Aspects environnementaux. reboisement autour et à l'intérieur du périmètre..drainage envisagé: gravitaire et rejet dans le Gorgol

PR,7trt fina!f- Vn!Vm' 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM

19. Timing du Projet

Appel d'offres pour l'exécution des travaux de consolidation est lancé.

10. Durée du projet:

11. Coût du projet: 6 600 000 000 UM pour la consolidation

- Financement Fonds Abou Dhabi

112. Source

. Avant-projet détaillé I Volume I - Rapport général - juin 1989

. Entretien SONADER

\~~~~- --- -- --- e -* r -~ - - -~-- ~~ ~~~ -- - - -~--a-~---

- - - t - -;

t

N N:E X E4

r b

X- -- -3'< -' ` -.

-<t. f>s ` -~--Géologie et hydrologie tableaux et cartes ~|

s _ -~ ta-

I Cartes géologiques et hydrogéologiques l

i .

I

.Mn D.NOUADHIBOU _I_I_.Axe de la dorsaledu socle ancien

*t.*,.,-.*'., 5 Profondeur (en m.)

|J^n""s`gA A l . Eocene

Inférieur jPa (eoce ne

I N C H I R I r1,qu,s

/>() ,18 \- "u . . '~~~r~~ , - _t-

ir7 t j\\ ,,s | << - A D R A R

5r 20/4 1000,20 1

T R A R Z A .

I * M / | .- B R K N A

PrYofondeur (lu toit clu Cretucé (Mc,estrichtien)

I F-ig:l Source : :,IJ / I7

t I- ." ........... p ~~~~~~Prof ondieur (en m.)

D- NOUADIIIBOU . . Exlension du ftrr

\.Extension duQuaterrnaire martnrecent

(,Nouakchott i e n)

\ \ ;:~~~~~~~~~ E xtens,on du

\ a I N C Ht I R I CQuaterrnire marin

/ .'\- \ ancien

R n \ âX A\ ` -\ ` ;)Tn~~~~~~~~~9 f cri t ien )

2 n- `

\ 40 ~~30 t/°

\ \ N'N ~~ ~ KN

. E N E G A L

_ . L _ Y..15N _ 1Y. .

Profondeur du toit du Continentail Terminal (C T)

< ~~~~( en m. )

r:_ c~~~~~~~~

O t'/ fUADF OU5| -.. -I- Axe de la

dorsale du

socle ancie n

Profondeur (en m.)

i ' It C 'il 1 R I

-. r4 1 ̀> " ^ * '

I~~~~ .r. t A p A) / A R 1x ... r7

t. Ct,1 #.

, / // # - > / s B É R XA N A \~~~~~~ 1'.

J f ! _ r, B K N

\ ~~~I n a I

\ g~~~ ~~~~~ /r I'&.j .... ~ --lii' "-' '"'

L\ 4 . \ R f tI S rl A U , I '..5,

P ro fond eur rie ic, QrSe du Continental Termina( (CT).

Fig~ 3 .&ource: iAU /i .7 / j

g T 3

e

-UOc I

', -4

� c

I -

'"'r

r -<- H

* M

Mr-' o-

f <s

I-, I r

* -- ) Ift 'r * r'

-r- -k --

- M! \�r' - r- -

I - Ar'

-- 'Oto ---

- - - -

I Hydrologie dufleuveI

I i,

Tableau 1 Profil en long du fleuve Sénégal

13AKEL MATAM KAEDI SAL.DE BOGHE Zéro échelle: m IGN

(Xm3/s) H1(cm) m ION Q (m3/s) il (cm) m IGN Q (m3/s) H (cm) m IGN Q (n3/s) H (cm) m IGN Q (m3/s) H (cm) m ION PK de Si - Louis

20 94 12.10 -13 6.19 -24 3.61 52 1.84 100 0.43 Zéro Oualia :118.112

30 106 12.22 O 6.32 l 3.74 66 1.98 109 0.52 Zéro CGourbas : non ran

50 123 12 39 23 6.55 12 3.97 86 2.18 121 0.64 Zéro Kayes :21.55

75 142 12.58 50 6.82 39 4.24 110 2.42 136 0.79 Zero Bakel :11.16

100 157 12.73 71 703 60 4.45 132 2.64 150 0.93 Zuro Matam: 6 32

125 171 12.87 91 723 80 4.65 150 2.82 161 1 04 Zéro Kaédi 3.85

150 184 13.00 109 7.41 98 4.83 167 2.99 172 1.15 Zéro Saldc 1.32

200 210 13.26 145 7.71 133 5.18 205 3.37 196 1.39 Zéro 13oghc -0.57

250 231 13.47 174 806 162 5.47 232 3.64 213 1.56 Zéro Podor :444

300 251 13.67 202 8.34 195 5.80 266 3.98 234 1.77 Zéro Dagana -0.44

500 320 14.36 291 9.23 303 6.88 378 5.10 330 2.73

750 393 15.09 379 10.11 389 7.74 468 6.00 417 3.60

1000 454 15.70 452 10,84 460 8.45 546 6.78 493 4.36

1250 507 16.23 516 11.48 522 9.07 608 7.40 553 4.96

15(0 561 16.77 569 12.01 574 9.59 660 7.92 603 5.46

1750 612 17.28 608 12.4 610 9.95 702 8.34 643 5.86 PK Kayes :948 Km

2000 659 17.75 635 12.67 630 10.15 723 8.55 663 6 06 Pl B3akel :794 Km

2250 704 18.20 661 12.97 649 10.34 744 8.76 683 6.26 PK Matam :623 Km

2500 748 18.64 687 13.19 668 10.53 768 9.00 706 6.49 PK Ka6di :532 Km

2750 788 19.04 710 13.42 685 10.70 790 9.22 727 6.70 PK Saldc 474 Km

3000 825 19.41 731 13,63 700 10.85 810 9.42 747 6.90 PK Boghé :379 Km

3250 856 19.72 749 13.81 713 10.98 821 9.53 757 7.00 PKDagana: 169Km

3500 885 20.01 766 13.98 726 11.11 833 9.65 769 7.12

3750 911 20.27 781 14.13 716 Il.21 842 9.74 777 7.20

4000 939 20.55 797 14.29 148 11.33 852 9.84 787 7.30

4250 966 20.82 813 14.45 7 863 9.95 797 7 40

4500 991 21.07 827 14.59 770 11.55 872 10.04 806 7.49

4750 1017 21.33 N42 1-1 74 781 1 1.6(W 88# 10 13 815 7.581

[ sùof1 _10421 21.58 857 14.89 792 11.77 891 10.23 8241 7.671

Source: Logiciel Progesen (OMVS)

Fig 5. Hydrogramme du fleuve Sénégal 4 Bakel 1996

3550

3000

2500

2004nn

1000. /

500

01-aoù-96 05-aoû-96 09.o-96 13-aoû-96 17-aoû-96 21-aoû-96 25-aoû-96 29-t-96 02 -sep-96 06sep-96 1Osep-96 14-sep-96 18-sep-96

JOURS

1~ ~ ~ ~ ~~~

Inondation des cuvettes

Superficie inondées (ha) en fonction des débits

du fleuve à Bakel

Débit du fleuve à BakelU.N.E (m3/s)

1 800 2 750 3 000

MBI 1 972 2 896 3 007MB2 2 747 4 780 5 109MB3 600 2 805 3 424KI 6 442 8 556 8 967

GAI 1 280 1 574 1 661GA2 1 478 2 005 2 290KOI 1 309 2 289 2 554

K02 1 293 2 561 2 886K03 2 243 4 487 5 325K04 114 1 321 1 609KO5 1 886 4 468 5 386K06 523 2 745 3 280

K07 47 247 490

Total 21 934 40 734 45 988

Superficie inondées (ha) en fonction de la cote de gestiondu barrage de Diama pour un débit d'étiage de 50 m3/s

Cote de gestion de DiamaU.N.E (m)

1.50 2.25

MBI = OMB2 0 MB3 O OKI _ OGAI 1671 3 428GA2 1690 2 902KOI 778 I 547K02 250 I 086K03 283 1 158K04 __

KO5 0 0K06 0 0K07 O _

Total _ 4 672 10 121

1

!~~~~~~~~uef'isiode nfnto e éisd luei ae

U.N E MB l

Répartition hypsométrique des surfacesAltitude absolue du 0=6cote relative (m) 0 0-1 1-2 2-3 3-4 4-5 Surface totale (ha)cote absolue (m IGN) 6 6-7 7-8 8-9 9-10 1-11surface (ha) 20 745 1165 10()5 64< 25 3600Surface cumuilée(ha) 20 765 1930 2935 3575 360)0)

Surface bnite cultivablc= 31928 cote niloNclie: 7 9Surface nette irrigable 2945 Coie berge: 9-1<)surface cultivée en décrue (1970-1971) 1450 Cote plan d'cau: n

Hlauteur dc pompage: 7-X

Surface inondée en fonction du débit à Bakelperte de charge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3

Q(m3/S) cote fleuve cote cuvette Surface inondée(mlGN) (tnIGN) (ha)

1800 8.34 8.04 19722750 9.22 8.92 28963000 9.42 9.12 3007

Surface inondée en fonction du débit du fleuve à Bakel9.5 3100

9.1 2900

8.9570

8.78.5 200

7.9 2100

7.7

7.5 19001800 2750 3000

cuoe fleuve (miON)débit du fleuve à O"j (m31à) cote auvete (rOmIN)

+ Surface inondée (ha)

U.N.E MB2

Réprttition hypsométrique des surfacesAltitude absolue du 0=6cote relative (m) O 0-1 1-2 2-3 3-4 4-5 6-7 Surface totale (ha)cote absolue (m) 6 6-7 7-8 8-9 9-l1) lU-11 12-13surface partiellc(ha) ()295 2360 2310 120<) 375 10 655(Surface cunîulée(ha) C 295 2655 4965 6165 6540)

Surfacc bhite cuItivabIc-- 629)0 cote moMcInc: X 3Surface nette irrigable 4718 Cote bergc: lo-11surface cultivée en décmie (1910-1911) 458( Cote plan d'cau: 2.6

Hauteur de pompage: 8

Surface inondée en fonction du débitperte de charge entre le fleuve et la cuvette (m) 0.3

Q(m3/S) cote du fleuve cote cuvette Surfac inondée(mlGN) (miGN) (ha)

1800 8.34 8.04 27472750 9.22 8.92 47803000 9.42 9.12 5109

Surface Inondée en fonction des débits à Bakél9.6 .5500

9.6

9.2 ~~~~~~~~~~~~~~~4500

18.8 ~~~~~~~~~~~~4000j18.6 3500

8.43000

8 225001 800 2750 .i _ _ _-4-cote du fleuve (mlON)

d4bht du 0rue à klaW1 (m3ts) -cote cuvette (<ulON)1 -Surface inondée (ha)

U.N.E MB3

Répartition hypsométrique des surfacesAltitude absolue du 0=4cote relative (m) O 0-I 1-2 2-3 3-4 4-5 5-6 6-7

cote absolue (m) 6 6-7 7-8 8-9 9-10 10-Il 11 -12 12-13

surface (ha) 130 65 305 2505 3495 2475 270 55

Surface cumulée(ha) 130 195 500 3005 6500 8975 9245 9300

Surface brute cultivable= 8379 cote moyenne: 9 4

Surface nette irrigable. 6285 Cotc berge; 11-12

surface cultivée en décrue (1970-1971) 705 Cote plan d'eau: 2.8Hautetir dc pompage: 8-9

Surface inondée en fonction du débitPerte de charge entre fleuve et cuvette (m)- 0.3

Q(m3/S) Cote du fleuve cote cuvette Surface inondée(mlGN) (mIGN) _ (ha)

1800 8.34 8.04 6002750 9.22 8.92 28R5

30(NI 9.42 9.12 3424

Surface inondée en fonction du débit à Bakél9.5 3500

9 30004

& t 5 l <2500 *{2(000

7 500t800 2750 3000

D f B Cote du fleuve (mlON)Débit du lleuve i Bal (tn3h) a cote cuvette (mION)

4 Sutrface inondée (ha)

U N E KI

Répartition hypsométriqtue des surfacesAltitude absolue du 0=6cote relative (m) 0-1 1-2 2-3 3-4 4-5 5-6 6-7

cote absolue (m) 6 6-7 7-8 8-9 9-1( 10-Il 11-12 12-13

surface (ha) I ( 650 1280 2095 3285 2740 138(0 215

Surface cumulée(ha) 30 800 2080 4175 746() 10200) 1158(< 11795

Surfacc bnmitc cuIlivablc- 1<16() >cotc flo\cfillc 'J 4

Surface nette irrigablc. 762) Cote berge 12

surface cultivée en décrue (1970-1971) 5285 Cole plan dcau 4

lauiiteur dc pompage: 8

Surface inondée en fonction du débit

Perte de char ge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3Q(m3/S) Cote du fleuve cote cuvette Surface inondée

(mlGN) (mlGN) (ha)1800 9.99 9.69 64422750 10.7 10.4 85563000 10.85 10.55_ j 8967

Surface Inondée en fonction du débit à BakélI l > 9000

10.8 ~~~~~~~~~~~~~~~~850010.6 80010.4 _oo00 10.2 750

10 7000 jg 9.8 6500 8

9.6 6000

9.49.2 5500

9 50001800 2750 3000

DébIt du~ â B.kl (013/) -O-Coe du fleuve (mION)Débt du fleuve à Bnkel (m3lo) | -cote cuvette (miON)- Surface inondée (hla)

U N E GAI

Répartition hypsomnétrique des surfacesAltitude absolue du 0=0cote relative (rn) ( 0-1 1-2 2-3 3-4 4-5 Surface totale (ha)cote absolue (m) 0 0-1 1-2 2-3 3-4 4-5surface partielle (ha) 10 250 1470 6065 2450 155 104()Surface cumtuléc (hl) Il 260 1730 7795 10245 10400

Surface brute cultivable .(>145 colc moxneill 2.3Surface nette irrigable 7609 Cote berge: 4surface cultivée en décrue (1970-1971) 1210 Cote plan d'eau

Hautecur dc pompage 4Surface inondée en fonction du débitPerte de charge eitre fleuve et cuvette (m)= 0.3

Q(m3/S) Cote du fleuve cote cuvette Suîrface inondée(mlGN) (mlGN) (ha)

1800 2.04 1.74 12802750 2.21 1.91 15743000 2.26 1.96 1661

Surface Inondée en fonction du débit à Bakel2.4 1800

2.2

1 16000

14001.60

1.4

1.2 12000

1900 2750 -300(*---Coted leue(IN

débih du fleuve à Bakil (m3/a) é-cole cuvette (mlON)

-- Surface inondée (ha)

U N.E GA2

Répartition hypsométrique des surfacesAltitude absolue du 0=1cote relative (m) 0-1 1-2 2-3 3-4 Surface totale (ha)

cote absolue (m) I 1-2 2-3 34 4-5

Surface partielle (ha) 0 1760 40()80 840 120 6800

Surface cumulée (ha) 0 1760 5840 66X0 68t)0

Surface brite cullivable: 6715 cotc mowennc 2 4

Surfaçe nette irrigable: 5036 Cotc beige: 4

surface cultivée en décrue (1970-1971):= 2575 Cote plan d'eat t

Hlauletir de pompage 4

Surface inondée en fonction du débit

Surface inondée en fonction du débitPerte de charge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3

Q(m3/S) Cote du fleuve cote cuvette Surface inondée(mIGN) (mIGN) (ha)

1800 2. 14 1.84 14782750 2.36 2.06 20053000 2.43 2.13 2290

Surface inondée en fonction du débit à Bakel

2.5 24002.4 22002.322 2000 -

5 2.1 ueo

1.9 ~~~~~~~~~~~~~~~~600 -

1.67 ^1.5 1000

1800 2750 3000

débit du deuve à 8edt1 (m3/*) Cote du fleuve (mION)débit d fleuvtA Baké <m3/m)àâ--c<e cuvette <mION)

-- *-surface kwondée (ha)

UJN.E KOI

Répartition hypsométrique des surfacesAltitude absolue du 0=0cote relative (m) ( 0-1 1-2 2-3 3-4 4-5 5-6 Surface totale (lia)

cote absolue (m) 0 O-1 1-2 2-3 3-4 4-5 5-6

Surface partielle(ha) 70 70 665 2650 1730 205 9(l 5480

Surface cumulée (ha) 70 140 805 3455 5185 539<) 5480)

Surface bniie cultivable= 529(0 cote noNctinic 2 4

Surface nette irnigable 3968 Cote bergc=4

surface cultivée en décrue (1970-1971) 2220 Cote plan d'eaîv(0Hatileur dc pompage= 4

Surface inondée en fonction du débitPerte de charge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3

Q(m3/S) Cote du fleuve cote cuvette Surface inondée

(mlGN) (mlGN) | (ha)

1800 2.49 2.19 1 i309

27S0 2.86 2.56 2289

3000 2.96 2.66 2554

Surface inondée en fonction du débit à Bakél

3 30002.82.6 2500

~2.4c~2.2

1.2î 1000

1800 2750 3000

déblt du lieuve à Bmêli (m3hs) _Cote du fleuve (miON)- cote cuvette (mlON)

+ Swface inondée (ha)

U.N.E K02

Répartition hypsométrique des surfacesAltitude absolue du 0=0cote relative (m) 0 0-1 1-2 2-3 3-4 4-5 Surface totale (ha)cote absolue (m) I 1-2 2-3 3-4 4-5 5-6Surface partielle (ha) 20 240 2950 5850 950 9( 10100Surface cumulée (ha) 20 260 3210 960 10010 1010()

Surface brute cultivable= 966(3 cote moycnne. 1 2Surfacç nette irrigable 7247 Cote berge: 4-5surface cultivée en décrue (1970-1971) 975 Cote plan d'cau 0

Hauteuir de pomnpagc: 4-5

Surface inondée en fonction du débit

Perte de charge entre fle ve et cuvette (m) 0.3Q(m3/S) Cote du fleuve cote cuvette Surface inondée

(mlGN) (rnlGN) (ha)1800 2.65 2.35 12932750 3.08 2.78 25613000 3.19 2.89 2886

Surface inondée en fonction du dèbit à Bakél.S5 3000

§25 e X2500~25 200

2

1.5 1500

1800 2750 3000 -- CoWdufleiuv (mlON)

ddbtt du flne à Bal (n3ts) cote cJvette (nmlON)+ Surface inondée (ha)

UNE KO3

Répartition hypsométrique des surfacesAltitude absolue du 0=0cote relative (m) O 0-1 1-2 2-3 3-4 4-5 5-6 Surface totale (ha)

cote absolue (m) I 1-2 2-3 3-4 4-5 5-6 6-7

surface partielle (ha) 110 180 3100 6450 5050 500 10 15400

Surface cumulée (ha) 110 290 3390 9840 14890 1539() 15400

Surface bnitc cultivablc= 15025 cote moycnnc: 3.6

Surface nette irrigable 11268 Cotc berge: 5-6

surface cultivée en décrue (1970-1911) 1210 Cote plan d'eau: 0Hauteur de pompage: 5-6

Surface inondée en fonction du débit

Perte de charge entre fleuve et cuvette (m)= 03Q(m3/S) Cote du fleuve cote cuvette Surface inondée

(m2GN) (t .GN) (ha)

1800 2.93 2.63 22432750 3.47 3.17 4487

3000 3.6 3.3 5325

Surface inondée en fonction du débit à Bakél

4 5500

3.5 - 1350004500 4000

c., ~~~~~~~~~~35002.5 3000 .

20(001300

I ~~~~~~~~~~~~~~~10001800 2750 3000

-*-Cote du fleuve (mION)débit du fleuve à Bakl (nm3/t) .= ote uvette (mlON)

-+Surface inonde (lu)

U N E K04

Répartition hypsométrique des surfacesAltitude absolue du 0=2Cote relative (m) () I I-2 2-3 3-4 4-5 Surface totale (ha)Cote absolue (m) 2 2-3 3-4 4-5 5-6 6-7Surface partielle(ha) 5 IIl( 1800 260)0 81(> 75 54()Surfaccecumnulée (ha) 5 115 1915 -1515 5 3 25 540<)

Surface brute ciltivable= 5273 colc momcnnc 4 3Surface nette irrigable .1954 Caoie berge. 6Surface cultivée en décrue (1970-1971) X8( (Coie plani d'caîî (

hlalitClit de pornpag cb

Surface inondée en fonction du débitPerte de charge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3

Q(m3/S) Cote du fleuve cote cuvette Surface inondée(mlGN) (ml;GN) (ha)

2750 3.97 3 67 13213(0() 4.13 I 3.83 1609

Surface Inonnlée en ronction diu d(ébit à Bakél4.5 1800

4 1 1600t- ~~~~~~~~~~~~~~~~~1400

1200

1.5 20

1 800 2750 3000

Débi du fleuve à B.II (m3/) _ICote du fleuve (ml(N)- cote cuvette (mlON)

- Surface inondée (ha)

U.N E KO5

Répartition hypsométrique des surfacesAltitude absolue du 0=2cote relative (m) 0 0-1 1-2 2-3 3-4 4-5 5-4 6-7 Surface totale (ha)

cote absolue (m) 2 3-4 4-5 5-6 6-7 7-8 8-9surface partielle (ha) 30 600 2920) 5400 410() 185<) 39() 1 t) 153()(Surface cumuléc(lia) 30 630) 355( 8950) 13(5() 1490)U 15290) 151((

Surface brutc cultivablc= 146()( cote moNcuIc: 4 XSurface nette irrigable 10950 Cote berge: 6-1surface culüvée en décrue (1970-1971) 4420 Cote plan d'cau. < 2

Hauteiur dc pompagc. 6

Surface inondée en fonction du débit

Perte de charge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3Q(m3/S) Cote du fleuve cotc cuvette Surface inondée

(rnlGN) (mlGN) (ha)1800 3.73 3.43 18862750 4.47 4.17 44683000 4.64 4.34 5386

Surface inondée en fonction du débit à Bakél

5 6000

500<

3.5 4000

fi2.5 3000 e

'.51000

1800 2750 3000O Cote du fleuve (mION)

Débit du fleuve à Rakil (mh)a cote cuvette (mlIGN)[-4-Surface inondée (ha)

U NE K06

Répartition hypsométrique des suirfacesAltitude absolue du 0=3cote relative (m) ( 0-1 1-2 2-3 3-4 4-5 5-6 6-7 7-Xcote absolue (m) 3 3-4 4-5 5-6 6-7 7-8 8-9 9-10 10-Ilswface partielle (ha) 200 340 3150 405() 3850) 1050 15 5Surface cumulée(ha) 200 54() 3690 7740 1159( 12640 12655 12655 12660

Surface brute cultivablc= 11795 cotc movcnlinc: 5<Surface nette irrigable 8845 Cote berge: 7surface cultivée en décrue (1970-1971) 1325 Cote plan d'cau ().3stirface cultivée en décrue (1971-1972) 2305 laiuntetir dc pormpagc: 7

Surface inondée en fonction du débit

Perte de charge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3Q(m3/S) Cote du fleuve cote cuvette Surface inondée

(mlGN) (mlGN) (ha)1800 4.25 3.95 5232750 5 4.7 27453000 5.17 4.87 3280

Surface inondée en fonction du débit à Bakél6 3nno0

1800 2750 30002500

1500

2 1000

500

0 O1800 2750 3000

_e-Cote du fleuve (ml(N)DêbIt du fltUVC A Ili'UI (iti3li> -&-cotc cuvette (miON)

- Surface inondée (ha)

U.N.E K07

Répartition hypsométrique des surfacesAltitude absolue du 0=4Cote relative (m) 0 0-1 1-2 2-3 3-4 4-5 Surface totale (ha)

Cote absolue (m) 4 4-5 5-6 6-7 7-8 8-9

Surfacepartielle (ha) 0 130 1200 2100 1100 70 4600

Surface curmulée(ha) 0 130 1330 3430 4530 4600

Surface brute cultivable= 4470 cote moyenne: 6.4

Surface nette irrigable. 3352 Cote berge: 7-8

Surface cultivée en décrue (1970-1971) Néant Cote plan d'eau: 0.4Hautetir de pompage: 7

Surface inondée en fonction du débit

Perte de chage entre fleuve et cuvette (m)= 0.3Q(m3/S) Cote du fleuve cote cuvette Surface inondée

(mlGN) (mlGN) (ha)1800 4.66 4.36 472750 5.42 5.12 2743000 5.6 5.3 490

Surface inondée en fonction du débit à Bakél

6 300

53 400

300

4.5

4

3.5 0

3 1800 2750 3000

-E--Cote du fleuve (mlON)Mâbltdu fleuve à Bakel -aàcote cuvette (mlON)

-4--Surface inondée (ha)

Superficies inondées en fonction de la cote de gestion de DL4MA pour un

débit d'étiage du fleuve de 50 m3/s à Bakel

i

4

U.N.E K04

K04: Superricie Inondée en fonction de la cote de gestion de Diama pour un débit d'étiage de 50 m31s

perte de charge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3

Q(m3/S) cote Diama cote fleuve cote cuvette Surface inondée

(mlGN) (mlJN) (mlGN) (ha)

50 1.5 2.26 1.96 O2.25 2.58 2.28 0

KO5: Superficie inondée en fonction de la cote de geStion de Diama pour un débit d'étiage de 50 m3/s

perte de charge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3

Q(m3/S) cote Diamna cote fleuve cote cuvette Surface inondée_(mlGlGN(mlCN) (mlGN) (ha)

50 I.S 1_5_ 1.21 O

2.25 2.25 1.95 O

K06: Superricie inondée en fonction de la cote de gestion de Diama pour un débit d'étiage de 50 m31s

perte de charge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3 ___

Q(m3/S) cote Diama cote fleuve cote cuvette Surface inondée(mlGN) (mlGN) (mlGN) (ha)

50 1.5 1.52 1.22 O2.25 2.25 1.95 ()

K07: Superficie Inondée en fonction de la cote de gestion de Diama pour un débit d'étiage de 50 m31s

perte de charge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3

Q(m3/S) cote Diama cote fleuve cote cuvette Surface inondée_ ___________ __________ (mlGN) (mlGN) (mIGN) (ha)

50 1.5 1.52 1.22 02.25 2.25 1.95 O

UJ.N.E GAI

GAI: Superficie inondée en fonction de la cote de gestion de Diania pour un débit d'étiage (le 50 m3/sperte dc charge cnire fictive et cuvette (m)= 0.3

Q(M3/S) cote Diama cote fleuve cote cuvelle Surfiacc inondée(mlGN) (mlGN) (mIGN) (ha)

50 1.5 2 26 1.96 16712 225 2582 2X2 3428

GA2: Superficie inondée en fonction de la cote dc gestion de Diamna pour un débit d'étiage dc 50 m3/sperte de charge enire fleu e et cuvette (m)= _ _ 1

Q(mn3/S) cotc Diania cote fl1uze cote cu elte Suir-Lcc iîolidèc(mlGN) (nmlGN) (iilGN) ._ ha)_,

50 1.5 2.26 1.96 16902.25 2.58 2.28 2902

KOI: Superficie Inondée en fonction de la cote de gestion de Diama pour uin débit d'étiage de 50 m3/sperte de charge entre fleuve et cuvette (m)= ( .3

Q(m3/S) cote Diama cote fleuve cote cuvelle SSurface inondée(mIGN) (mlGN) (mnIGN) (ha)

5() I 5 2 26 1.96 7782.25 2,58 2.28 1547

K02: Superficie inondée en fonction de la cote de gestion de Diama pour un débit d'étiage de 50 m3/sperte de charge entre fleuve et cuvette (nî)= (.3

Q(mY3S) cote Diama cote fleuve cote cuvette Surface inon(lée(mlIGN) (mlGN) (mlGN) (ha)

50 1I5 2.26 1.96 25(0225 2.58 2.28 It)86

KO3 Superficie inondée en fonction (le ta cote de gestion de Diama pour lin débit (l'étiage de 50 m3/sperte de charge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3

Q(m3/S) cote Diama cote fleuve cote cuvette Surface inondée(mlGN) (mlGN) (mlGN) (ha)

50 1.5 2.26 1.96 2832.25 2.58 2.28 1158

U.N. E MB i

MBI: Superficie Inondée en fonction de la cote de gestion de Diama pour un débit d'étiage de 50 m3/sperte de charge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3

Q(mn3/S) cote fleuve cote cuvette Surface inondée(mIGN) (nmIGN) (ha)

50 2.26 1.96 0

MB2: Sutperficie inondée en fonction de la cote de gestion de Diama pour un débit d'étiage de 50 m33sperte de charge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3

Q(m3/S) cote fleuve cotc cuvette Surface inondéei(mlGN) (mIGN) (ha)

50 2.26 1.96 0

MB3: Superficie inondée en fonction de la cote de gestion de Diania pour un débit d'étiage de 50 m3/sperte de charge entre fleuve et cuvette (m)= 0.3

Q(m3/S) | cote fleuve cote cuvette Surface inondée| (mlGN) (mlGN) (ha)

50 1 2.26 1.96 j ()

KI: Superficie inondée en fonction de la cote de gestion de Diama pour un débit d'étiage de 50 m3/sperte de charge entre fleuve et cuvette (nm)= 0.3

Q(m3/S) cote fleuve cote cuvette Surface inondée(mlGN) (mlGN) (ha)

50 4.06 3.76 0

récapitulatif

Superficies inondées en fonction des débits du fleuve à Bakel

U.N.E MMBI MB2 MB3 KI GAI OA2 KOI K02 K03 K04 KO3 K 06 K07 Totlal Débii à Bakel (m3 7sjI_

18()( 1972 2 747 6)) 6442 1128 17 I 13(9' 1293 2243 114 I XX 523 -17 23732750 2896 4780 2805 8556 1574 2005 2289 2561 4487 1321 4468 2745 274 43511301)() 3007 5109 3424 8967 1661 2290) 2554 2X86 5325 1609 5386 3280 49( 48988

ANNEXE 5

Dumensionnement d'un Système d'Information Géographique (SIG) pour le suivi

du développement du secteur irrigué dans le cadre du PDLAIM

&Rapportfinal - Volevan Envwromementale du

ETUDE D'EVALUA1ION ENVtONNEMENTALE DU PDIAIM MISE EN PLANE D'UN SIG

REPUBLIQUE ISLAMIQUE DE MAURITANIEHonneur - Fraternité - Justice

MINISTERE DU DEVELOPPEMENT RURAL ET DEL'ENVIRONNEMENT

SOCIETE NATIONALE POUR LE DEVELOPPEMENT RURAL

BANQUE MONDIALE

EVALUATION ENVIRONNEMENTALE DU PDIAIM

MISE EN PLACE D'UN SIG

S~APEGEIngénieun Conseils

Siège Social: Parc de l'le - 15/27. Rue du Port - B.P. 727 - 92007 Nanterre Cedex - FranceTél. 33 (0)14614 71 00 - Fax 33 (0) 1 47 24 77 88 - Télex 612611 F

!

E11rDE D'EVALUA1bON ENVIRONNEMNTALE DU PDIAIM MISE EN PLACE DUN SIG

TABLE DES MATIERES

INTRODUCTION ..... ............

I FONCTIONNALITES D'UN OUTIL SIG .............. 5

1.1 QU'EST CEQU'UN SIG.S1,1.1 Definition.51.1.2 Aspects graphiques.51.1.3 Aspects alphanumériques.7

1.1.4 E:xploitation d'un SIG.91.2 LES DONNEES NECESSAIRES. 10

1.2.1 Fond de plan.101.2 2 Structuration des objets....................I.............l...........l... ................... 1

2 R ESSOURCES NECESSAISARES .................................................................................................... 13

2.1 LE FOND DE PLAN, BASE CARTOGRAPIQUE .132.1.1 Fond de plan vectorisé .132.1.2 Images satellites.14

2.2 LES DONNEES.17

2.2.1 Format informatique.. 172.2.2 Résultat d'études .172.2.3 Regroupement par thème .182.2.4 Modélisation hydraulique .20

2.3 EXPLOITATION DU SIG.21

3 MISE EN OEUVRE D'UNE CELLULE SIG DE SUIVI DU SECTEUR IRRIGUE ........ ....... _ 25

3.1 FONCTIONNEMENT D'UNE CELLULE SIG .253.1.1 Matériel et logiciels.253.1.2 Alimentation et restitution de données .27

3.2 INTEGRATION DE LA CELLULE SIG DANS L'ORGANIGRAMME SONADER .313.2.1 Organisation ................................................................. , 313.2.2 Niveau de responsabilité des intervenants .313.2.3 Flux d'informations et niveau d'accès .313.2.4 Service informatique SONADER .323.2.5 Manuel de procédure .32

IS-''''-'-'-D'''O-'IIJs-9soD 3X3NNV'

- ()S P w - -- ~~~~~~~~~~~~~~~s2nÔsruf C9

6t? ....................................... .... N3Sl N3 SN0113n l 9il '

617 ..............' SNOISflJNOD 9

.3 5 D if - -in d -r na. -. O.- .- ;....................... - - . .. .... .. ........ . ..fE,- - ----- -- ---- sviouvzsaig trz

. t ----.............................n.of o saszp. g 'S. , ------- ---- ----- ------- - -saatit-uuojZ'S

Z,6- , .............. ........ ................ aso / 9J?tI I''

0fr. ~auNnos]S SJ sa ImT

6E. ............. 3MAI30 K~3 3SIh 30 S.lIO S

DIS NIIQ 33DJNS 33SW IKAJiICd .3 31YL%33IN2SOXIARNB NuneX:lVl3GW.3ru

ETUDE D'EVALUAlON ENVIROrNNEMENTALE DU PDIAIM MISE EN PLACE D'UN SIG

INTRODUCTION

Ce rapport s'inscrit dans le cadre de l'étude d'évaluation environnementale du PDIAIM,confiée à la S.A. AGRER N.V.

Il s'agira, à terme, de disposer d'un outil d'aide à la décision et à la gestionenvironnementale de type "observatoire de l'environnement" qui pourra être constituéd'un serveur de réseau (de type intranet ou internet par exemple) et d'un Systèmed'Informations Géographiques (SIG) propre, permettant de superposer différentescouches d'informations intersectorielles, qui resteront alimentées et gérées par chaqueinstitution compétente. Une faisabilité technique et institutionnelle détaillée devra êtreréalisée préalablement. Vu l'absence actuellement d'outil de ce type relatif au secteurirrigué et afin de permettre dans les meilleurs délais d'améliorer la prise en compteobjective des critères environnementaux dans les stratégies d'aménagement et l'appui ausecteur irrigué, nous avons étudié plus en détails la faisabilité d'un SIG de suivi dusecteur.

La mise en place d'un SIG passe par la constitution d'une base de donnéescartographiques permettant le stockage d'informations à la fois graphiques etalphanumériques.

Le SIG permet de réunir de façon synthétique des informations provenant d'horizons etde domaines de compétences très divers. C'est un outil indispensable dans une approcheglobale et intégrée d'un programrne de planification dans le secteur de l'environnementMauritanien.

Banque de donnée à la fois graphique et alphanumérique, le SIG tend à rationaliser lesétapes à mettre en oeuvre dans cette étude. C'est une image très proche des situations deterrain auxquelles sont confrontés les spécialistes (Géologie, état sanitaire,développement d'ouvrages, pollution, ...).

Son élaboration et son exploitation couvrent les différentes phases du projet:

En amont de l'étude, en réunissant des acteurs de compétences variées dont le savoir etle concours mutuel seront. indispensables à l'élaboration de ce creuset d'informations,

ETUDE DEVALUAklON ENVIRONNEMENrALE DU PDIAIM MISE EN PLACE DUN SIG

Au cours des différentes phases du projet, par l'enrichissement des études, en offratdes bases objectives de décision. L'intégration des différentes couches physiques duSIG sera un excellent indicateur du degré d'avancement du projet.

Dans une prospective à mooyen et à long terme, le SIG est une richesse offerte aupouvoir décisionnel. Il s'agit d'un outil partagé, fédérateur des organismes intervenant.L'ère des communications et du partage des données, bien loin de diminuer lesprérogatives de chacun, a jusqu'à présent porté les fruits du développement et de laréussite des entités s'y étant impliquées.

Le SIG deviendra un puissant outil de gestion des terres agricoles au niveauenvironnemental mais les connaissances acquises pourront être aussi exploitées entermes de démograplhie, de cartographie ou de management économique.

La mise en place d'un outil informatique demande une rigueur et une organisationindispensable à son rnaintien dans le temps.

E-1UDE D'EVALUArON ENVIRO'<NEMEN-TALE DL PDIAIM MISE EN PL&CE DUN SIG

PREMIERE PARTIE

L'OUTIL SIG

E1UDE DEVALUATnON ENVMONNEMENTALkE DU PDLAIM MISE EN P?ACE D'UN SIG

i~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

l

!

i

l

ET'UDE D'EVALUAIION ENVIRONNEMENTALE D'u PD[A[M MISE EN PLACE D' lNSIG

Fonctionnalités d'un outil SIG

1.1 Qu'est ce qu'un SIG

1.1.1 Définition

Un SIG est un outils de cartographie qui dispose en plus de fonctionnalités d'analyse etde manipulation des données. Il permet d'explorer les relations spatiales qui existententre les objets.

Les fonctionnalités de dessin et d'édition du SIG permettent de modifier les donnéesgéographiques et tabulaires, de voir en temps réel comment ces transformations serépercutent sur les cartes.

1.1.2 Aspects graphiques

Un système d'information géographique s'appuie naturellement sur une représentationgraphique des objets dans l'espace.

Trois types d'éléments peuvent être représentés

. Les points

. Les lignes (simples ou complexes)

. Les surfaces

! ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~5

ET1DE D'EVALUAfION ENVIRO%NENIENTALE Du PDIA[M MISE EN PLACE D'ON SIG

Les éléments ponctuels

Ce sont des objets graphiques représentés par des symboles. La forme et la c ,eur dusymbole peuvent varier.

Les éléments linéaires

Ce sont des objets représentés par des lignes ou des polylignes. L'épaisseur, le type et lacouleur peuvent permettre la différenciation entre entités.

Les éléments surfaciques

Ce sont des objets linéaires délimitant des zones closes. La couleur de remplissage est lemoyen le plus pratique de différencier les entités.

Choix du tvpe graphique

En ce qui concerne les éléments de tvpe point, il est judicieux de choisir une symboliqueévidente pour éviter tout ambi-uïté lors de la consultation des cartes.

Par exemple la présence d'un aéroport pourra être svmbolisée par ce symbole

Selon l'échelle à laquelle la vision de la carte s'effectue la localisation du symbole peutêtre imprécise. Au 1/20000, il sera difficile de déterminer si un élément ponctuel comnmeun forage limitrophe de deux zones d'études se trouve dans l'une ou dans l'autre.

Zone A Zone A

.~ ~ ~ ~ ~~~~~~~~~~~~~Zn Zoc

Vue au 1/5000 Le forace est visiblement dans Vue au 1/200000: L'echelle gomme les détailsla zone A de la limite. Zone d'appartenance difficile à

déterminer.

ETUDE DEVALUA1ION ENVIRONNEMENTALE Du PDLAIM MISE EN PLACE DlN SIG

Le choix entre un objet de type ligne ou surfacique est aussi délicat et dépend del'échelle d'exploitation des éléments.

Le fleuve SENEGAL peut, selon l'échelle choisie être représenté par une série de lignesou comme une surface englobant les deux berges. Dans ce cas le choix d'un typesurfacique est déterninant si l'on souhaite connaître la surface exacte du fleuve.

i Etude enviuonnementale .ri X

Dans l'exemple présenté ci-dessus, les puits sont des entités de type point (carrés), lespistes ainsi que l'axe de migration du bétail sont représentés par des lignes. Le contourdes communes est un objet surfacique.

1.1.3 Aspects alphanumériques

Le système d'information géographique va au delà d'une simple représentationcartographique. Des informations sont associées aux entités graphiques. Ellespermettent de stocker des valeurs caractérisant l'objet. (Débits, surfaces, type,...) ainsique des liens les unissant. (code commun à deux tables)

! Attributs de Puits et forages Mg E3

Point 5940000.000. 9487. 1.ii 4680000000 9715. 2.

i Point 4001296.500 9905 3 jPoint 4745000.000 9635IPoint 3280000000 si8 si Î ______

I Point 328000.0000 9181. 7.:

Chaque ligne de ce tableau décrit un forage. Un code l'associe à l'éléments graphique.

7

E1r1DE D EVALUA-nON ENVIRONNEMiENTALE DU PDLAIM MISE EN PLACE DUN SIG

--.

8

ErvDE D'EVALUAnON PNVIRONNEMENTALE DL PDLAIM MISE EN PLACE D'UN SIG

1.1.4 Exploitation d'un SIG

L'exploitation d'un SIG permet de répondre à différentes attentes des utilisateurs. Dustockage de l'information à l'outil d'aide à la décision, chaque intervenant peut tirerpartie du système.

Stockage de l'information

La mise en place d'un SIG permet de disposer de l'historique des informations saisies.Le format inforrnatique est à l'abri des altérations dues au climat, aux manipulation descartes....

Il est possible d'imprimer à tout moment les plans à l'échelle souhaitée.

Ces données sont ré-exploitables lors de différents travaux concernant la même zonegéographique.

Requêtes

La base de données associée contient la description des objets enregistrés.

L'interrogation du svstème sous la forme de requêtes portant suI- certainescaractéristiques permet de localiser, de regrouper les objets répondant à des critèresprécis sous la forme de jeux de sélection.

Ces sous ensembles sont exploitables pour des opérations très diverses: Somme deschamps numériques, édition de cartes thématiques, jointure avec des objets enrelation,...

Rapports, illustration

Les études menées doivent, pour être exploitables, présenter leurs résultats de façonclaire et synthétique.

L'exploitation des données alphanumériques permet très simplement de produire desrésultats statistiques. Quant aux données graphiques, l'illustration de l'analyse et desconclusions d'une étude sous la forme de plans thématiques permet une évaluationimmédiate de son impact géographique.

Aide à la décision

De part la clarté des études exposées, les décideurs peuvent plus aisément évaluerl'impact à court et à long terme des solutions proposées.

La possibilité d'effectuer des simulations en faisant varier plusieurs facteurs permet dedisposer d'altematives dans la prise de décision.

g

ETUDE D'EVALUAMON ENVIRONNEMENTALE DL' PDLAIM MISE EN PLACE DVUN SIG

1.2 Les données nécessaires

1.2.1 Fond de plan

C'est l'élément indispensable dans la mise en place d'un SIG puisqu'il permet de sepositionner dans l'espace.

Le fond de plan peut être de deux natures

Le vecteur, constitué d'éléments graphiques dessinés sous la forme de lignes, desurfaces,...

Le raster, constitué de points. C'est le cas des photographies.

Type de fond de plan Commentaire

Vecteur Basé sur la saisie de plans papiers existants ou surla base de photographies à l'aide d'une table àdigitaliser.

Le fond de plan est modifiable à posteriori.

Coût: Matériel de digitalisation, personnel formé,temps de réalisation élevé.

Raster Intégré au logiciel graphique à une échelle donnée.

Non modifiable

La taille du plus petit point (pixel) donne laprécision possible.

Coût : Achat des photographies, mises à jourrégulières pour suivre l'évolution terrain.

ETUDE D'EVALUAn1ON ENVIRONNEMENTAtE nu PDIAIM MISE FN PLACF D'UN Sl(

1.2.2 Structuration des objets

L'organisation des données est primordiale dans l'élaboration d'un SIG. La structuration des objets porte à la fois sur le graphiqule et les

données alphanumériques.

Les données graphiques s'organisent sous la forme de couches. Chaque couche correspond à un thème particulier.

Base de donnéesVolume troupeau pour un

accès bétail-. ........ \, rpiu _ . / / Données linéaires

j +Pistes, axes, parco urs élevage-.

Base de donnée"

Surface exploitée,... GraphiqueCouvert végétal, développement

Biise de données / ~ / parasitaire,

Base de données"_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _

Coût station, volume Graphique

pompé,... ( Données ponctuelles

_ _ _ _ _ _ Station de pompage,...

------- Cbhargement des différents thèmes

Jointure entre les tablesconstituant la base de

données

.zIiiiIliiiiz I s EXPLOITATION DU SYSTEME

REQUETES SQL REQllETES SPATIALES Carte thématiquesStatistiqtues

Exportation tableursEdition de rapports

Il ~g .''

ETUDE D'EVALUAkION ENVIRONNEMENTALE DL PDIAIM MtSE EN PLACEDuN SIG

12

ETUDE D'EVALUAT-ON ENVIRO'JNEMENTALE DU PDIAIM MISE EN PLACE D'UN SIG

2

Ressources nécessaires

2.1 Le fond de plan, base cartographiqueUne gestion de type vecteur du fond de plan et l'exploitation d'images est envisageable.Ces solutions ne sont pas antagonistes. Le fond de plan vectorisé pouvant servir de baseinitiale de saisie alors que les images satellites peuvent permettre l'appréciation del'évolution dans le temps des phénomènes.

2.1.1 Fond de plan vectorisé

Le MDRE dispose d'un SIG dans le cadre de la gestion des parcelles agricoles (Bureaudes Affaires Foncières).

Données FDP

La digitalisation est basée sur les photographies aériennes de l'IGN au 1/12500. Leséléments observés sont interprétés puis digitalisés sur table AO.

L'ensemble du projet représente 150 planches. A ce jour, 60 planches ont étédigitalisées.

Données terrain

Des relevés terrain du foncier sont effectués in situ et saisis sur un portable. On stocke lecode de parcelle exploitée ainsi que les points de relevé de son contour.

Ces données sont ensuite injectées dans le SIG GEOCONCEPT et le contour réel de laparcelle est digitalisé.

Structuration

Les données sont structurées par thème.

13

ETJ'DE D'EVALUATION ENV1RO\NEME\T.ALE DU PDIAIN¶ Mi!SE N PLACE D'UN SIG

Thème Eléments! Corrnmentaire

Occupation du sol Type de terrain. nature du sol....

Hydrographie Fleuves. rivières

Plans d'eau temporaire/permranents

Mares avec ou sans végétation

Terrains Occupation du sol de part les activités humaines

Habitat Communes, cimetières, mosquées,...

Ouvrages hvdrauliques Canaux d'irrigation, digues, stations depompage....

Limites Haies, zériba (haies épineuses), talus. barbelés,.

Voies de communication Routes, chemins, pistes, ponts....

Points de repère géodésiques Relevés GPS

Exportation et intégration des données existantes

Les éléments identifiés pourraient venir s'intégrer directement comme objets SIG maisle format d'exportation du logiciel du MDRE ne tient pas compte des liensalphanumériques. La version du SIG utilisé au ministère de l'environnement exporte lesdonnées au format DXF.

Des test d'importation doivent être effectués pour s'assurer que les données présentessont compatibles avec d'autres SIG plus récents et mieux adaptés à la gestionenvironnementale. Les données graphiques récupérées serviraient alors de fond de plan.

2.1.2 Images satellites

Les satellites à haute résolution (Landsat et Spot) permettent de disposer d'images dontla qualité ne cesse de s'améliorer. La résolution des images obtenues est de l'ordre de 10mètres. Le lancement de nouveau programrmes pourrait conduire à une résolutionaméliorée à 5 mètres.

Les scènes enregistrées couvTent un terrain d'environ 60 km sur 60 km.

Le niveau de détail des images obtenues permet de détecter l'état des surfaces, de lesclasser selon l'occupation et l'utilisation des sols. Cependant, la précision n'autorise pasl'observation d'éléments de faible taille telles les pistes.

ETUDE D'EVA LUAlkON ENVIRO,N EMENTA LE DL PDIAIMli MISE PE PUCE D'JN SIG

La prise des photographies peut être faite à intervalle régulier (annuel, saisonnier,..)Cette possibilité présente l'avantage, dans le cadre d'une étude environnementale, depouvoir comparer les répartitions et mesurer l'impact des mesures mises en oeuvre.

Les photographies satellites foumies ont besoin de subir des transformations (échelles,calage,...) avant d'ètre intégrées. Ces opérations peuvent être effectuées par unprestataire de service spécialisé ou à l'aide de logiciels de transformation d'image. Lecoût et les connaissances techniques nécessaires pour l'utilisation de ce tvpe d'outilincitent à préconiser la premiere solution.

L'acquisition d'un logiciel permettant de retravailler les photographies satellites pourraitêtre programmée à plus long terme. D'autant que dans ce type de domaine relativementrécent, les coûts ont tendance à diminuer.

)l

îWpt

`j>

EUIAI UDEVALUAIIUN hNVIKUfON-EM`NIALE DUr DiAIM MISE EN PLACE DiJN SIG

Une image satellite SPOT sur la vallée du fleuve SENEGAL

C~~~~~,t cuv s164

1<~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~1

% ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ '

ETUDE D'EVALUATION ENVIRONNE>4rkTALE DU PDIAIM MISE D PUŒC DUN SIG

2.2 Les données

2.2.1 Format informatique

Les données disponibles au forma.t informatique sont en général simples à intégrer.

Il peut s'agir de plans existants dont le format d'échange est compatible avec le systèmechoisi. L'existence d'une localisation d'objets sous la forme de listes de pointsgéoréférencés (coordonnées spatiales) permet de les intégrer directement aux cartes. Cespoints peuvent notamment être obtenus par des relevés GPS.

Une base de données existante peut aussi être exploitée. Il suffit pour cela de disposerd'un code permettant de réaliser un lien avec des objets graphiques existants.

Des systèmes existants peuvent communiquer avec le SIG mis en place. Le logiciel duMDRE évoqué précédemment pourrait échanger des informations. La direction del'Hydraulique dispose aussi d'un système d'information, IRHW, dont les donnéesgraphiques et alphanumériques sont compatibles avec la plupart des logicielsbureautiques du marché.

2.2.2 Résultat d'études

Les données papier résultant d'études antérieures doivent naturellement être saisies.

Après la mise en place d'un SIG, les études et les analyses de terrain devront êtreréalisées en tenant compte de leur possibilité d'intégration au SIG. Les experts, lesresponsables de travaux peuvent saisir directement leurs résultats à l'aide d'un ordinateurportable. Il peut s'agir de relevés topographiques, de plans de réalisation, de résultats demesures,...

La restitution de ces données au niveau du SIG de référence doit faire l'objet deprocédures d'importations normalisées.

17

ETUDE DEVALUATnON FNViROiNEN4ErrALE DU PDLALM MISE EN PL"CE DvUN SIG

2.2.3 Regroupement par thème

Les données résultant des études environnementales vont être regroupées par thèmes. Al'intérieur de chaque thème, selon le type de données (localisation, sur.aces, ...) desobjets SIG seront créés.

Thème |Couches Type d'objet

Hydrologie Fleuves Surfacique

Axes d'irrigation Linéaire

Unité Naturelle d'Equipement (UNE) Surfacique

Unité Autonome d'Exploitation (UAE) Surfacique

Pompage Ponctuel

Axes de drainage Linéaire

Environnement Villages, démographie Pointsocioculturel

Caractéristiques ethniques Surfacique

Pédologie Nature de la végétation (Type de culture, forêt, ...) Linéaire

Nature du sol Surfacique

Sanitaire Localisation des structures médicales Point

Localisation des cas épidémiologiques recensés Point

Z'ones de localisation des vecteurs Surfaciqueépidémiologiques (anophèle,...)

Z'ones d'épandage de produits traitants Surfacique

Structures Réseau routier et pistes Linéaire

FPonts Linéaire

Barrages Linéaire

Salinité Mesures de salinité des sols Point

Front salé Linéaire

18

E1I`DE D'EVALUAllON E VRO1'NENfEXNTALE DU PDIAIM MISE EN PLACE D'UN SIG

Thème Couches Type d'objet

Climat Températures, hygrométrie. Régime des vents A préciser selon leniveau d'informationrequis

Hydrogéologie Nappes Surfacique

Ecologie Sources de pollution Point

Zone de protection Surfacique

Point d'observation des espèces menacées Point

La liste précédente n'a pas la prétention d'être exhaustive. La souplesse du SIG est depouvoir très simplement créer de nouveaux thèmes selon les besoins exprimés et desdonnées disponibles.

Chaque Ministère. Direction ou Institution continuera de développer et d'alimenter lescouches d'informnations relatives à ses compétences et pourra disposer de son propre SIGet BDD sectoriels (;viDRE,'DEAR/SONADER; SANTE, HYDRAULIQUE, STATIS-TIQUES, ...). A terme, les couches d'informations devront toutefois pouvoir êtreutilisées et croisées au niveau d'un observatoire de l'environnement qui pourra êtreconstitué d'un serveur de réseau (de type intranet ou internet par exemple) et d'un SIGpropre. Une faisabilité technique et institutionnelle détaillée devra être réaliséepréalablement. Nous proposons dans le chapitre suivant un outil de suivi du secteurirrigué devant permettre dans les meilleurs délais d'améliorer la prise en compteobjective des critères environnementaux dans les stratégies d'aménagement et dansl'appui au secteur irrigué.

19

ETUDE D'EVALUATON EVIROINENENrALE DU PLUAM MISE E RACE DUN SIG

2.2.4 Modélisation hydraulique

Pour peser l'impact des ouvrages d'irrigation, il est nécessaire d'élaborer un systèmepermettant de matérialiser l'interdépendance des structures. L'appréciation des besoinsen eau et de la disponibilité des ressources passent par la conception d'un modèlerelationnel.

L'organisation de la base de données doit refléter les liens unissant ces structures:

Trois grandes entités . les Unités Naturelles d'Equipement (UNE), les Unités Autonomesd'Exploitation (UAE) et l'Exploitant (E) sont reliées de la manière suivante:

| UNE 7 ( Gere E

Divise en Cultive

La terminologie 'UNE regroupe les objets impliqués dans le processus d'irrigationFleuve Sénégal et ses adducteurs (affluents/effluents), stations de pompage, axesd'irrigation, périmètres irrigués et axes de drainage. Chaque UNE est dominée par unestation de pompage ou un ouvrage hydraulique d'alimentation.

L'Exploitant peut étre une entité individuelle ou collective. Son implication dans lagestion des ressources en eau est indispensable. Ces individus ou organisationsconvenablement inforrnés et motivés seront des facteurs déterminants dans la régulationdes facteurs environnementatLx. L'utilisation de l'outils SIG pour présenter des cartesexplicites peut s'avérer un moyen simple et direct d'expliquer les situations locales.

L'UAE, incluse dams l'UNE, représente la superficie gérée par l'Exploitant selon l'usagequ'il en fait. Cultivée, abandonnée, inexploitable,...

Un lien de chaînage de type père/fils entre les aménagements permet de rendre comptedes réalités hydrauliques au sein d'une UNE.

f Fleuve Sénégal

I. ~~~~~~Pompage Axe- d'irrigation Surface UTNE irriguée

|Auents/Effluents mAxe de drainage

20

ETUDE D'EVALUAllON ENVIROENEMENTALE DU PDLNIM MISE EN PLACE D'UN SIG

2.3 Exploitation du SIGL'exploitation du SIG permet d'étayer objectivement les hvpothèses et les projets à l'aidede recoupement entre les différentes sources d'information.

Présenter les informations sous forme de cartes

L'édition de canes est nécessaire pour intervenir sur le terrain ou illustrer le résultatd'une étude.

cr Analyser des lieux

La diversités des éléments représentables permet de détenir un outil d'analyse trèspuissant.

Les points de mesure de la salinité des sols apparaissent en évidence sur les cartes. Leurrépartition peut etre analvsée dans un contexte topologique, agricole.... Cela permetd'expliquer les taux observés en tenant compte des facteurs environnementaux.

- Trouver des sites potentiels répondant à certains critères

Identifier les capacités d'irrigation en fonction d'un couvert végétal ou d'un projet deculture devient possible.

__ Etablir des cartes démographiques pour cibler l'urgence des besoins

Les zones prioritaires sont immédiatement visibles. Plusieurs critères peuvent intervenirsimultanément.

Dans le domaine sanitaire, il est possible d'optimiser des zones de mise en place demesures de protection en fonction d'études de terrain. Les campagnes d'information despopulations, les zones d'épandage de substances traitantes peuvent être optimisées enfonction du nombre de cas observés, de la proximité de structures médicales,...

Optimiser les allocations de ressources

La planification en fonction de critères évolutifs permet au décideur de prévoir lesactions à mener.

- Intégrer des cartes contenant des informations de sources diverses

La compatibilité croissante des outils graphiques autorise les échanges de données avecd'autres organismes.

Actualiser facilement les cartes existantes

La possibilité de mise à jour des plans à partir de relevés ou de photographies satellitespermet de disposer d'une information proche de la réalité.

- Suivre dans le temps l'évolution d'un phénomène

La possibilité de stocker les informations lors de différentes étapes d'une étude met àdisposition un historique. Confronter les situations dans le temps permet d'établir destendances.

21

ErUDE D'EVALUArION ENVIRONNEMiENTALE DU PDIAIM MISE EN LACE D'UN SIG

22

ETUDE D'EVALUAMTON MMVTRONNEMENTALE DU PDtAIM MISE EN PLACE D'UN SIG

SECONDE PARTIE

ORGANISATION DU SITE

23

ETUDE D'EVALUATTON ENVIRONNEMENTALE Du PDLAIM MISE EN PLACE D'UN StG

24

EThUDE D'EVALUATION ENViRONNE\IE(TALE DU PDIAINI MISE EN PLACE D'L-9 SIG

3

Mise en oeuvre d'une cellule SIG de suivi

du secteur irrigué

3.1 Fonctionnement d'une cellule SIG

3.1.1 Matériel et logiciels

L'ensemble matériel et logiciel doit permettre la saisie et la maintenance des donnéesgraphiques et alphanumériques, ainsi que l'édition de cartes et de données résultant del'exploitation. (graphiques. rapports,...)

Le matériel

3.1.11. Poste de gestion graphique

. Un P.C. suffisamment puissant pour manipuler des données graphiques,

. Une imprimante et/ou un traceur couleur pour l'impression des cartes,

Une table à digitaliser permettant d'effectuer la saisie à partir de supports papiers.

3.1.12. Poste de consultation

. Un P.C. du type bureautique est suffisant pour manipuler le SIG. L'utilisateur pourrautiliser toutes les capacités d'analvse et de thématisation du système.

Une imprimante et/ou un traceur couleur pour l'impression des cartes.

3.1.13. Saisie terrainLors des mission de terrain, le personnel sera équipé en matériels et logiciels permettantde saisir les données directement au format informatique.

25

ETUDE D'EVALUATION ENVIRONNE.MENTALE DU PDIALM MISE EN PLACE DOUN SIG

. PC portables

. GPS autorisant des mesures en cinématique ou en statique

3.1.14.Serveur

Dans mesure où l1a SONADER se dote d'un serveur et d'un réseau interne, il estrecom.mandé de placer les données sur cette machine. Les accès pourront s'effectuer autravers du réseau i n tormatiQue.

La gestion des versions et des sauvegardes est ainsi simplifiée.

Les logiciels

. SIG bureautique.

. Logiciel de dessin pour la digitalisation.

. Logiciel de gestion de bases de données (SGBD) pour les contrôles et rmises à jourpurement alphanumeriques.

Divers logiciels Bureautique,

. Logiciel de modélisation hydraulique.

. Logiciel de traiternent et d'analyse des images satellites.

Il est à noter que le logiciel de dessin peut remplir d'autres fonctions que ladigitalisation. Notamment la réalisation de plans architecturaux, d'ouvrages de géniecivil,...

Formation

L'exploitation correcte du logiciel SIG bureautique ne nécessite pas une formation trèspoussée. Par contre, une assistance à la mise en route est indispensable pour appréciertoutes les phases d'intégration de données, de restitution de plans, ...

L'utilisation du logiciel de dessin demande des connaissances particulières dans cedomaine et une formation spécialisée.

La connaissance des SGBD relationnels est une condition fondamentale dans la gestiondes tables. Le développement de macro-commandes doit être un élément clé du contrôledes données entrantes.

La mise en place cd'un logiciel de modélisation hydraulique est un aspect indispensablequi appartient à une phase avancée. En effet, cela demande des compétences techniquesque les opérateurs devront acquérir par étape.

Il en va de même du logiciel de modélisation et de traitement des images. Sonintégration ne sera programmée que lorsque les outils SIG seront bien maîtrisés.

26

ETUDE D'EVALUATlON ENVIRONNEMENTALE DU PDLAIM MILE EN PLACE D UN SIG

3.1.2 Alimentation et restitution de données

Les données de l'étude environnementale du PDIAIM viendront alimenter le système.Chaque thème sera intégré par la saisie des éléments graphiques et des mesureseffectuées. Une phase d'automatisation de la saisie passe par l'équipement technique desmissions de terrain (Portable. GPS,...)

La synthèse de ces travaux sera produite au travers du SIG. La vision globale desdifférents aspects (environnement, économie, sanitaire,...) de l'étude permettrad'apprécier l'impacts des projets d'irrigation mis en oeuvre.

Le phasage dans l'espace (par site) et dans le temps (Evolution du milieu) sera géré sousla forme de sites indépendants.

Saisie de l'existant

La collecte des données existantes permettra d'évaluer la situation avant la mise enoeuvre des projets d'irrigation. Il s'agira de saisir manuellement l'ensembles desdocuments graphiques présentant un intérêt pour la description de la situation actuelle.

Le ou les sites saisis seront Figés et serviront de référence lors des études ultérieures.

Saisie des résultats

Chaque étude spécialisée viendra s'intégrer au système, soit par modification desdonnées déjà saisies. soit par ajout des nouvelles mesures.

La cellule SIG peut. par l'intermédiaire des images satellites, élaborer un suivi ducouvert végétal et des structures hydrauliques observables sur les zones étudiées.

Des procédures de collectes de données terrain directement au format informatiquepermettront de simplifier l'intégration des résultats. Des procédures visant à rationaliserles collectes seront définies.

Les données de terrain peuvent aussi être collectées et géoréférencées à l'aide de GPS enopération statique. Il peut s'agir de la localisation d'un site ou d'un objet. L_e relevé peutêtre dynamique. C'est la cas d'un relevé de parcours par enregistrement périodique descoordonnées du GPS embarqué.

Lors des différentes phases d'avancement, un site peut toujours être figé comme étantl'appréciation de la situation à cette étape du projet. Ce site une fois dupliqué peut ànouveau faire l'objet de modifications tenant compte de l'enrichissement desconnaissances environnementales.

ContrôleUne phase de contrôle précède toujours l'intégration des données. Ces contrôles peuventêtre automatisés en déterrninant des règles logiques. (Surface irriguée inférieure à lasurface réelle d'une parcelle,...)

27

ETTUDE D'EVALUAT1ON BNVIRONNEMENTALE DU PDIAIM NISE EN PLACE DUN SIG

Prospective et transfert technologiqueLe SIG et les logiciels mis en oeuvre doivent devenir des outils intégrés aufonctionnement de la SONADER.

Le format informatique permet la réutilisation à volonté des plans. Cette véritablebanque de données permettra à cet organisme de disposer d'une autonomie dansl'élaboration de projets futurs.

Les résultats obtenus dans l'étude d'évaluation du PDIAIM resteront vivants et pourronttrès simplement servir de base de travail.

28

ETUDE DEVALLAllON ENV1RONNEMENrTALE DU PDIAIM MISE EN PLACE DUN SIG

Flux de données entrnt et sortant du SIG

Collecte Saisie/lntégration oitationContrôle J _

Saisie des fiches de terrainprédéfinies

Consommables

Résultats d'études uti(Valeurs quantitatives ou Saisie des resuitatiqualitatives sur papier) Statistiques

Données terrain saisies surPotGrpquportable Poste Graphique

(Travaux de réalisation.enquêtes ... )

__== M IntMgrauon Tirage de plansautomatique

Relevés GPS Cot ol de(Liste de points géoréférencés) oL ..__

Outils cartographiques et SIGcompatibles Gmphes

(Récupération de donnéesexistantes, communication _avec dautres organismes) _

Production de pians divers

Cartes et relevés papiers(Résultats d'études sous la Digitalisation a

forme de cartes, ...) 'aide du logicielde dessin , - Rapports

29

EluDE D'EVALUÀATON ENVIRONNEMENTALE DU PDIAIM MISE E4 PLACE D'UN SIG

i 30

-~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~I

ETUDE D'EVALUATION ENVIRONNEMEMTALE DL PDIAIM MISE EN PLAcE DuN SIG

3.2 Intégration de la cellule SIG dans l'organigrammeSONADER

3.2.1 Organisation

La gestion du SIG vient s'intégrer dans le cadre d'un service existant. Après étude del'organigramme des directions de la SONADER. la cellule Planification SuiviEvaluation pourrait assurer le rôle d'encadrement. La centralisation de la banque dedonnées et la responsabilisation des personnes chargées du maintien du système sont lesconditions indispensables au fonctionnement du SIG. Les directions nécessitant desinformations pourront disposer de postes de consultation ou formuler des demandesauprès du service responsable. (Besoin de tirages papier....)

3.2.2 Niveau de responsabilité des intervenants

Pour la maintenance système, plusieurs personnes devront suivre les forrnationsappropriées afin d'éviter une perte des compétences du fait des mouvements depersonnel.

Un responsable encadrera ce personnel. Il aura à la fois un rôle directeur dansl'organisation et la saisie des données, mais il servira aussi d'interface avec lesdemandes exprimées par les autres directions.

Le responsable sera chargé de la gestion des consommables.

3.2.3 Flux d'informations et niveau d'accès

Accès aux données

Seul le poste graphique détient le pouvoir de modification/création/effacement dedonnées. Les postes de consultation auront un accès direct via le réseau au SIG etpourront l'exploiter. La possibilité de saisir ou de modifier des valeurs dans les tablespeut être accordée aux postes de consultation sous réserve d'une définition de droitsspécifiques.

Les niveaux de droits seront gérés par l'administrateur SIG qui affectera un mot de passeaux utilisateurs. Cette mesure a pour objet de limiter les possibles actions malveillantes,mais aussi de contrôler les erreurs et les maladresses toujours possibles de la partd'utilisateurs insuffisamment formés.

Flux d'information

Le circuit de l'information entre les services doit permettre de répondre aux attentes dechacun tout en préservant la planification des travaux des opérateurs SIG.L'établissement de règles, de demandes écrites et justifiées est une conditionincontournable d'un bon fonctionnement du système dans son ensemble.

31

ETUDEDEVALUATION ENVIRONNE}MEN4TALE DU PDIAIM MISE E PLACE eUN SIG

Les directions f-ormulent leurs requêtes auprès de la Cellule Planification SuiviEvaluation. Le responsable SIG analyse les demandes (Edition de plans, création denouveau objets SIG en vue d'une étude,...) et planifie les travaux des opérateurs SIG.Une fois la tâche terminée. la validation du demandeur vient clore les démarches.

Les données seront disponibles sur le réseau SONADER, consultable par les utilisateurshabilités. Ce réseau pourra s'ouvrir vers d'autres systèmes afin de permettre deséchanges de données. Cette possibilité est très importante à l'heure du développementdes réseaux de communication informatiques.

Les locaux

Physiquement. les accès aux locaux devront être contrôlés. Seuls les personneshabilitées auront droit de manipuler les machines et les logiciels. L'utilisation desconsommables sera aussi réglementée.

L'équipement des locaux informatiques est déterminant. Le sable pouvant détériorer trèsrapidement le matériel, il est indispensable d'isoler la cellule SIG. Compte tenu desconditions climatiques. un local hermétique équipé d'une climatisation par recyclaged'air est la solution la moins coùteuse et la plus sûre.

3.2.4 Service informatique SONADER

Le service inforrnatique tient une place non négligeable dans l'architecture de la celluleSIG.

La mise en place d'un réseau permettra de stocker les données sur un volume commun,ce qui fiabilisera et simplifiera la gestion du système.

L'assistance de premier niveau doit etre prise en charge par ce service pour permettreune réponse rapide aux utilisateurs en difficulté.

3.2.5 Manuel de procédure

Un manuel de procédures sera rédigé. Il permettra de préciser et d'adapter l'organisationgénérale et le planning des activités nécessaire à la bonne marche du système.

Ce document définira les responsabilités des différents acteurs impliqués à tous leséchelons.

32

EmDjE D'EVALUATION ENViRONN 4ENrALE ou PDIAIM MISE EN PLACE DItN SIG

Intégration de la cellule SIG dans l'organigramme SONAI)ER

DIRECTION ETUDES ET DIRECTION EXPLOITATIONTRAVAUX

Poste de consultation C3, Poste de consultation t

I ' Validation l tRemise des trvaux Fornula tion des demandes Remise des travaux ValidattonClassemen: de la réalises (Plans, évolution des objets SiG I réalisés Classement de la

t demande , dmirots d'accès,...) ,

CELLULE PLANIFICATION SUIVI EVALUATION

RESPONSABL I

Prise en compte e t Compte rendu de travauxplanification des requêtes réalisés

fortnules I

CELLULE SIGOPERATEURS SIG

__I

Acccès et exploitation directe Accès et exploitation directtdes données par le réseau des données par le réseau

SONADER SONADER(NOVELL. NT) (NOVELL, NT)

Poste graphique

1'_"

: ( ~~~~~~~Stockage et traitement des données SIG )I I

SERVICE INFORMATIQUESERVEURSONADER __

PARTENAIRES DE LA SONADER (MDRE, OMVS,_.)

33

sl

ETUDE DEVALUATON ENVIRONNE\tErTrALE DU PD!ALM MISE EN PLUCE D'UN SIG

Transfert d'informations dans un contexte général et élargi

__= COLLECTE TERRAIN

Données terrain Résultats d'études Saisie de cartes papy

SIG

BASE DE TRAVAIL SUR LE SERVEUR SONADERAIMPOrATION

RESTITUTIO

Exploitation Expor-tation de donnéesTirage pians Format tableurStatistiques Extrait de plans digital isés

Graphes..

COMMUNICATIONSERVEUR SONADERINTERFACE PUBLIC Plans

Résultats d'étudesDonnées diverses

DIRECTIONS SONADERORGANISMELA SONADER

(MDRE. OMVS,....

34

t h

Er',DE D EVALUATION ENVIRONNEMENTALE DU PDIAM MISE EN PLAUE DUN SIG

f

TROISIEME PARTIE

MISE EN OEUVRE

35

EntDE D'EVALUAlON ENVIRONNEMErrALE DU PDIAIM MISE EN PLACE DVUN SIG

1

36

ETUDE D'EVALUATION ENVIRONNEMtErrALE DU PDI.AIM\ MISE EN PLACE DWUN SIG

4

Planning

Les étapes du projet doivent conduire à un développement rationnel des activités, à uncontrôle technique rigoureux et au transfert progressif des compétences.

Le planning de mise en place de l'outil SIG est présenté en annexe.

Phases | Description

Ia) Initialisation L'environnement technique initial doit faire l'objetd'une attention particuliere.

La cellule SIG doit disposer d'un local particulier,suffisamment étanche pour se libérer des contraintesclimatiques.

Cette phase permettra d'assurer une mise en placecorrecte des matériels et logiciels.

La collecte des données fond de plan, vecteur ouraster, est une étape préliminaire indispensable.

lb) Modélisation Cette phase permettra de construire l'architecture duSIG. Des documents décrivant les modes detraitement et de saisie des données seront rédigéspour formaliser la collecte.

Ic) Installation - Formation La formation doit être accompagnée d'une aide audémarrage pour s'assurer que toutes les notions sontacquises.

37

ETUDE D'EVALUAT7ON ENVIRO>NEMENTALE DU PDIAIN/ MISE EN PL4CE D'UN SIG

Phases Description

II) Phase de montée en charge Le système sera enrichi par saisie, intégrat -m etimportation de données.

L'utilisation du réseau interne et externc à laSONADER simplifiera les échanges.

lIla) Phase d'exploitation L'exploitation des données ne s'effectuera passeulement au niveau de la cellule SIG. Lesutilisateurs pourront interroger le système parl'intermédiaire des postes de consultation.

Des présentation permettront de valoriser les étudesauprès d'organismes externes.

IIIb) Suivi technique Un suivi régulier est indispensable au maintien et àl'évolution du SIG. Des contrôles périodiques seronteffectués. Le transfert de compétence et la maîtrisedes outils s'effectueront progressivement.

L'extension à d'autres sites géographiques permettrade valoriser l'expérience acquise.

IV) Mise en place d'outils La mise en place d'outils avancés nécessite uneavancés parfaite maîtrise technique et un volume de données

suffisamment important. Cette orientation ne seraprise qu'une fois le SIG parfaitement fonctionnel.

38

ETUDE DEVALUATTON ENVIRONNEMENrALE Du PDILM1 MISE EN PL,'CE eUN SIG

5

Coûts de mise en oeuvre

5.1 Recommandations techniquesCompte tenu de l'évolution rapide des matériels et des logiciels, les indications fournies

sont indicatives. Il faudra. à l'initialisation du système choisir les produits les plusperformants pour un coût comparable.

5.1.1 Caractéristiques Matériels

Poste graphique

Unité centrale PENTIUM dernier modèle,

Carte graphique,

Carte audio,

Carte modem-fax,

Carte réseau

Lecteur CD-ROM,

Disque dur 2 Go ou supérieur, cache intégré.

Mémoire 128 Mo RAM

Ecran 21"

Poste de consultation

Unité centrale PENTIUM 200 ou supérieur,

Carte graphique,

Disque dur 1 Go.

39

ElUDE D'EVALUATION ENVIRON\F\çN'TALE Du PD[AIM MISE EN PLACE DuN SIG

Carte réseau

Mémoire 64 Mo RAM

Ecran 17" ou supérieur

Table à digitaliser

Table AO Curseur 12 boutons

Impressions

Traceur AO Couleur, jet d'encre

24 Mo de RAM

Imprimante A4!A3 Couleur, jet d'encre

12 Mo de RAM

5.1.2 Portable

Unité centrale PENTIUM 200 Mhz ou supérieur,

Carte graphique,

Carte modem-fax,

Lecteur CD-ROM,

Disque dur 2 Go ou supérieur, cache intégré.

Carte réseau

mémoire 80 Mo RAM

Ecran 122"

5.1.3 GPS

Récepteur mobile avec antenne,

12 canaux,

précision métrique,

traitement statique et cinématique,

système temps réel avec collecteur de données.

5.1.4 Logiciel

Environnement

Système d'exploitation Windows NT ou 95

Utilitaire d'exploitation des disques (Défragmenteur, anti-virus,...)

40

ETt'DE D'EV&LUATION ENVfRO.NNEME'TALE DU PDLAINI IUSE EN PLACE D'UN SIG

Logiciels

Les logiciels utilisés reflètent la diversité des modes de gestion des données. En plus du

coût d'achat. il faut prévoir le provisoirement de la mise à jour des licences.

. SIG Bureautique

. Outil de dessin et de dittitalisation

. Gestionnaire de bases de données

. Tableur. traitement de texte

. Post-traitement GPS

. Outil de modélisation hvdraulique

. Outil d'analyse des imaiges satellites

41

ETUDE DlVALUAklON DMIRONNEMENTALE Du PDLAIM MISE EN PLACE DUN SIG

5.2 Coûts

5.2.1 Matériel et logiciel

Coût par poste

5.2.11.Poste graphique

Montant en USD

Matériel |vMicro-ordinateur 5 000,00

rable à digitaliser AO 7 500,00

Fraceur AO 4 000,00

Imprimante A4/A3 1 000,00

Logiciels SIG Bureautique 4 000,00

Outil cartographique 9 500,00

Gestionnaire de base de données 500,00

Outils bureautiques 500,00

Total 32 000,00

5.2.12.Poste consultation

Montant en UJSD

Matériel Micro-ordinateur 4 000,00

=Imprimante A4/A3 I 000,00

Logiciels SIG Bureautique 4 000,00

Total 9 000,00

42

ETUDE D'EVALUAnON ENVIRONNE-MENTALE DU PD[LAI4 MISE EN PLACE D'UN SIG

5.2.1 3.Terrain

Montant en USD

Matériel Micro-ordinateur 4 000,00

GPS 6 000,00

Logiciels Logiciel GPS Traitement différé -

Total 10 000,00

5.2.14.Outils avancés

Logiciel Montant en USD

Outil de modélisation hydraulique 25 000,00

Outil de traitement des images satellite 35 000,00

Total 60 000,00

<ç`J Récapitulatif (*)

Poste f Qté Total poste Montant en USD Phases

Graphique _ 32 000,00 32 000,00 I

Consultation 2 9 000,00 18 000,00 II

Terrain 2 10 000,00 20 000,00 I et Il

Outils avancés 1 60 000,00 60 000,00 IV

Total 130 000,00

(*) Prévoir en outre dans l'hypothèse où la SONADER n'a pas encore mis en place sonréseau informatique interne:

- l'aménagement du local informatique,

- une unité de sauvegarde des données.

43

EruDE D'EVALUATION ENVIRC:N\FNTENALE DL PDArM MISE EN PLACE D'UN SIG

5.2.2 Données

Provision pour l'acquisition de 6 images satellites

Données Coût unitaire Qté Montant en USD Phases

Image satellite 6000 6 36 000,00 II(2) et III (4)

Total |36 000,00

5.2.3 Mises à. jour logiciel

IEnontt en USD Phase

Provision pour le suivi des versions des logiciels 15 000,00 IIIexploités.

Total f 15ooo,ool

5.2.4 Prestations

Phase Durée (Homme/Mois)

I) Initialisation 1

1) Modélisation 1,5

I)Installation - Formation 1,5

II) Phase de montée en charge 4

III) Phase d'exploitation 2

III) Suivi technique 5

IV) Mise en place d'outils avancés 3

Total I 18

44

En'DE D'EVALUATION ENVIRONNEMENTALE DU PDIANM MISE EN PVŒCE DUN SIG

5.2.5 Coût total par phase

Phase Mise en oeuvre Prestation(investissements) (Hommeimois)

(USD)

PHASE I - ivise en oeuvre du SIG

Durée: l an

Initialisation du SIG avec les données existantes 42 000,00 4 (*)

Formation du personnel SONADER

PHASE Il - Actualisation - extension de la base

Durée: 1 an

Collecte de données 40 000.00 4 (*)

Saisie de masse et imponation

PHASE III - Déploiement SIG

Durée: 5 ans

Echanges de données avec les partenaires 39 000,00 7

Exploitation des résultats

Suivi - évaluation

Intégration de nouveaux sites

PHASE IV - Outils avancés

Durée: 1 an

Mise en place et exploitation d'outils avancés dans 60 000,00 3modélisation hydraulique et le traitement desimages satellites.

Total 181 000,00 18

(*) Sur base de l'expérience de projets similaires, une assistance technique permanenteserait souhaitable durant les deux premières années.

45

ETuDE D EVALUAT1ON EN% IRONNE.MENTA LE DU PDALXML% MIsE EN PLACE D0 N SIG

46

QSow

a~~

c,~~~~~~~~~~~~-O

o~ ~

o~ ~

ETUDE DEVALUAlON ENVIRONNEMENTALE DU PDIAIM MISE EN PLACE DUN SIG

48

-7

E1'DE D'EVALUATTON ENVIRONNEME!TALE DU PDIALM MISE E PLACE o3m SIG

6

Conclusions

6.1 Questions en suspensz Le fond de plan permettant de débuter simplement et rapidement l'implantation desobjets SIG pourrait provenir du logiciel utilisé par le bureau foncier au MDRE(GEOCONCEPT).

Cette possibilité dépend des capacités d'exportation de ce SIG vers un systèmed'information plus récent.

Des contacts ont été pris avec les fournisseurs de ce logiciel pour déterminer lespossibilités d'exportation:

. Fonctionnalité du logiciel dans sa version actuelle d'exporter dans un formatcompatible

. Actualiser la version logiciel présente à la MDRE

. Fourniture d'un programme de transformation des données au format actuel vers unforrnat lisible par les SIG récents.

L'une de ces solutions doit pouvoir répondre aux besoins évoqués. Le fournisseur nousa précisé que les fichiers d'export DXF créés par la version 3.00b de GEOCONCEPTsont au format Autocad 12

La SONADER mène actuellement une réflexion sur la mise en place d'un réseauinterne. Il serait souhaitable que ces investissements accompagnent le développement duSIG.

49

ETIJDE D'EVALUAknON E VIROINE.MI.ALE DU PDAMN M,sE EN PLkE DUN SIG

6.2 Réserves

Il faut déterminer précisément au moment de la mise en place du système 1l ilveaude compétence requis du responsable SIG et des opérateurs. Un bon encadr :ent, lerespect des règles permettront de produire des travaux de qualité.

L'autonomie, les capacités d'exploitation rationnelle des données passer.- par uneresponsabilisation des intenrenants. Le rôle hiérarchique du responsable Sl-~ doit êtresuffisamment solide pour assurer l'assise de la cellule SIG.

e Pour que le transfert de technologie s'effectue vers l'organisme exploitant, il fautsouligner l'importance de l'assistance au démarrage et du suivi-évaluation. Ces phasesont pour finalité d'assurer une mise en route optimale du système mais surtout sonmaintien sur site.

r Pour que l'exploitation du SIG soit vivante et dvnamique, il est indispensable derépercuter l'information détenue vers des services décentralisés. Ce but peut être atteinten mettant à disposition des oreanismes intervenant sur le terrain des plans actualisés.

Faire connaitre les capacités du système est la meilleur façon de garantir son succès.

6.3 RisquesLe risque majeur est de voir progressivement le SIG mis en place s'isoler des autresstructures. Il faut développer les possibilités de communication pour empêcher cephénomène.

La mise à jour régulière des versions logiciel est indispensable au maintien d'unecompatibilité. Le système d'exploitation, les formats de données et d'exportation doiventrester conformes au standard du marché pour pouvoir comuniquer avec de nouveauxproduits.

50

E1IDE D'EVALUATtON ENViRONNEMENTALE DU PDIArm MiSE EN PLACE DUN SIG

ANNEXE

CHRONOGRAMME

51

ETUDE D'EVALUAfION ENVIRONfNEMENTALE DU PDLAIM MISE EN PLACE DVN SIG

52

I Année 1

Plannina I MOIS1 2 I

lZli[;al;5aljOIr MOI5 18 | MO;S 19 I ~~~~~~~~~~~~MOiS 20 IMOiS 21 IMi22 i OS2 OS 24

`qUiPCîIIeIl donU local SIG

AChalt installatlioI logiciel nuItCnel Elcqnisitivîl i ics sui ue t i g saiellites

I titégratjoni dCS imnlaes

T'ests fonctioluiels

Mise à nireait logiciet AIDRE

Tranferil dea donodées

Tests lbnctioIuiels

,1 Iodd;lisaliLoll

Anallyse (lcs donn1lees disponibles

Défiiîîtioiî du modèle de doiuiées

Organisation p1ar thIèi1es et coUch1es gral)phiqties

Non11e de Collecte terrain

hisxallatjozî - J`oruilaîio,i

linstallat;olI outil - miiodèle

lrorxiinîtnlIs tCclIuI;Cic:îs SIG

Assistalce aiu dénuiarige

OrgatisaItion dC la cellule SIG

D)ocîUUenIt de l)rocédUres dC oIbnctiomueinent

P'1jae ide ,niinée eth cLlarge

Collecte de diîleiéer- lerrîiîii

Fonlatioll personnîcl

TestS terrainI

OrLiuiiat iOI dCS pi ocedures d'îtpoilation

Digifal.saxioiu saisie base de d,aunices

Nonîialisatîoîs des smties

Saisir dc mlisse

I'rocedurcs dc coniitiîle

saisie ijle r s&iaif s diétudes

Nontalisatlloi iles doiutecs

- l'rtrdoi es dc cottile

Tran1sfert deL dnnh vrç i u lr. îIîiirtrev .çiwfèines

Proiocoles d'accus resC;II

- P~~~~Irnc :dtires dL traitaslcr

'lhIIae d'es pliiati i) i

I )LI jOIttlOI d ts rcq aitems

Rc:ilieiwtzltn de docsîieis dc tttiscil te ;vtièfnepLl~~~~c I

P1,nn~c.,,rii ceo~SIG - vii ed-m..ie

PA" nlnotoairree~~~~Wu-~~~~~~dm m ,- a

Mduif.ri di. rid i eiiî

T"y d dwunrihndomi

Aflayries d dli d bSIG ,

DAfmteI ri.ian ,.dcle d dririeri ÔO,pmu.n j-ei.c I r-r- oe ptl oeqir

Na. c u.. tam

IeIiin.exs - ol F em u ru

ph.-~~~~~~~~~

* T ~~~~Fonm pr. .

Peuvm.. edmm ô. O g..m m

O.pn.ua d e. blhde SIG

TS. der d. -

CU.c.ede d.eet,ru

Friece. poin-

Ta., fensi.

.iu.o.- d. U i iu

hie . do dueaIh

NefiumÂndu ne iure.d , h

t_ .. do_ -

ibl cn l de i. d

Noefuia . du d,e.i

PmO one dc Icwildc

Di6e de .«j l:

PCieieri de m,f n t

0_eue dri c,r uwl

A.ie.ieflh , deUiioiif

N riuauo,c ptie.Cn.m.l.

Rri,..,de de.rie denc dced.u

if-- i..deeeb e'riiDm ______

llJ,. pdeed e,.dâan yiii.i

dice Eloçnia

Per,iéri ifeujyril

a

l ~~- -- a- -~ - -~ -,

-Ir. et;, r -_

--ik3-> ---- '-'

n _ - _- -r

zg -ma ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ - -

I, _J _ ,g __e_ __-

I ^ r _a t

- -~~~-

aiI- -' '-e3 --a-t-- on ,_ -- dI ~~~~ =r~~t - _ - -r- ,E 11

~~~ aFescrvt - _ -

1rt- -mZ- =y~ w _ '_ _v n 34"-~, r

- _>- ~ ~ - _ = 2- r- <.=__

~~~ r -, _ - . | __~c

< ' _ ,~~~~~~~~~~ - . _ ? r

- f< .---- -~- * -A N tN;- E X . -. -

w~~~~~~ - - . ; - -ss~ - F- f @

~~-t ~-- = - -'Références bibhographiques ,- r -

I~~ ~ - 4#

| > _r ~ ~- - -

cj - _r:- t- < _a*-t W+ 'c'

-3 i" prria - -olwn - /ts ngz

1~~~~~~~~'~-___½ç-pt

ANNEXE 6

Références bibliographiques

MAURITANIE

1 Programme de Développement Intégré de l'Agriculture Irriguée en Mauritanie (PDIAIM) - Rapport Général.MDRE, Juillet 1995

2. Programme de Développement Intégré de l'Agriculture Irriguée en Mauritanie (PDIAIM) - ContexteInstitutionnel. MDRE. Juillet 1995

3 Programme de Développement Intégré de l'Agriculture Irriguée en Mauritanie (PDIAIM) - Protection del'Environnement. NIDRE. Juillet 1995

4. Programme de Développement Intégré de ['Agriculture Irriguée en Mauritanie (PDIAIM) - Contexteéconomique, MDRE, Juillet 1995

5. Programme de Développement Intégré de l'Agriculture Irriguée en Mauritanie (PDIAIM) - Infrastructures etAménagements. MDRE, Juillet 1995

6. Programme de Développement Intégré de l'Agriculture Irriguée en Mauritanie (PDIAIM) - Actes et synthèsedes travaux de la réunion consuitative, MDRE. Novembre 1995

7. Offre pour la réalisation des études de préparation des projets PDIAM - SONADER - Juin 1997 et Termes deRéférences pour:* Projet d'Aménagement des Infrastructures de la Plaine de M'Bagne / Etude de préparation et schéma

d'aménagement* Etude préliminaire des infrastructures des UNE de Koundi I à 5* Projet d'étude d'un schéma de développement agricole de la plaine de Dirol* Enquete sur les périmètres irrigués: cas des périmètres irrigués villageois (PIV) situés entre Gani et Dar

El Barka et les périmétres privés situés au niveau de la vallée du Gorgol* Projet d'étude de désenclavement des zones de production agricole, situées entre Gani et Dar El Barka* Etude générale de valorisation et d'optimisation de l'utilisation des ressources en eau dans la vallée du

Gorgol

8. Mission FAO/CP d'appui à la finalisation de la préparation du PDIAIM - mai 1998

9. Profil de l'environnement de la vallée du Fleuve Sénégal - EuroconsultlRIM, 1990

10. Projet de viabilisation des périmètres irrigués villageois (P.I.V.) dans le Trarza et le Brakna, SONADER -rappport provisoire. novembre 1997

Il . Evaluation des impacts sur l'environnement du PGRNP - Plan de gestion environnemental - Tropica Sari -Financement IDA, janvier 1997

12. Expertise technique en vue de la résolution du problème d'alimentation en eau de l'extension du PPG àKaedi, Dendros Internacional - SONADER - FED, avril 1997

13. Etude d'application des schémas directeurs de la vallée et du delta rive droite du fleuve Sénégal - rapportgénérai - Groupement AGRER-SCETAGRI-Haskoning, MDR, Cellule de Planification, 1991

14. Etude sur la gestion des eaux de la vallée du Gorgol, rapports phase I et II, Lahmeyer International -SONADER. oct 87 et juillet 1988

1 1~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

15. Etude de faisabilité du projet de développement du système d'irrigation agricole dans le haut delta du fleuveSénégal - Nippon Koei Co.. Ltd - SONADER, juillet 1997

16. Etude d'impact du projet d'aménagement et de désenclavement de quatre moyens périmè-res irrigués dans larégion de Kaecdi-Gourave. SONADER, SCET-TUNISIE -MCG, rapport provisoire, décembre 1997

17. Programme de Développement intégré du Gouere, Note de présentation - SONADER, déc 1994

18. Etude de consolidation et d'extension du périmètre de Foum Gleita, Phase Il - Extension du périmètre,Euroconsult - Sodese Engineering, SONADER, AID, nov 1988

19. Etude d'exécution de M1aghama 1I1. Avant-projet détaillé, Euroconsult - SONADER, nov 1990

20. Etudes d'exécution de la deuxième phase du Lac R'Kiz, SCET Tunisie, SONADER. financement BID,janvier 1991

21. Inventaire des ressources du sud-ouest: Géologie. Sols. Forêt. Pâturages - Gestion des ressourcesrenouvelable. Prépare par Remote sensing institute (institut de télédétection) South DAKOTA STATEUNIVERSITY (USAID; AID! Afr c-1619)

22. Législation (principaiux textes): Ordonnance n' 84 208 portant code d'Hygiène, ordonnance 85-144 (code del'eau), décret 951060 (CNED). décret 22193/PM (MDRE), loi 97-006 (code chasse et protection nature), loi97-007 (code forestier), décret 009-98 (MSAS). ordonnance 83-127 (foncier), décrets 84-009 et 90-020(foncier),...

23. Le virus de la fièvre hémorragique de CRIMEE - CONGO ( C.C.H.F ) en Mauritanie. Cahier ORTOM, ser.EnL Méd. El ParasicoL. Vol XXIV n° 2, [986: 129 - 13

24. Enquête sur la prevalence de la schistomiase à schistoma Mansoni dans la Wilaya du Trarza Dr Ly CentreNational d'Hygiene 8 - 18 / 09 / 1993

25. Bilharziose Génito - Urinaire et Intestinale étude bibliographique - CNH 19/04 / 1995

26. Enquête Epidémiolos,ique dans la région du Brakna résultats préliminaires - CNH Juin 1996

27. Etude de la prévalence des maladies parasitaires au Trarza CNH - DRASS Trarza - Octobre 1997

28. Bilan de l'Action Sanitaire et Sociale DRASS du Trarza - Janvier 1998.

29. Enquête sur la valeur prédictive du diagnostic Présomptif du Paludisme dans les formations sanitaires duHodh el Gharbi. - Dr Ahmed O/ Aïda, Dr Dieter Kôcher Aïoun Avril 1997.

30. Enquête sur les schistomiases dans le sud Brakna Yéro Hamadi, Sandrine Daniaud, Lucien EROBU; CNH 10- 18 Juin 1995.

31. Situation du Programme National d'Eradication du Ver de Guinée en République Islamique de Mauritanie.Réunion des Coordinateurs des Programmes d'Eradication du Ver de Guinée. Niamey (Niger) 24 - 26 -Mars 1997.

32. Rapport d'enquète sur la chimiosenssibilité de Plasmodium Falciparum à la Chloriquine dans la région duBrakna 5 /10 au 6 /12 / 1996; Diallo A., Lam Thièrno, Niang Saidou, Sagna M. Sidibé O.

33. L'Epidemie de fièvre à Boghé: Mission d'enquête du CNH 15 -17 Avril 1993 M.G. Siviwardane, LINSHUPE, Dieynaba Dia, Larn Thierno, Sidi O/ Alouemine.

34. Poiitique et stratégies nationales de lutte contre le paludisme en Mauritanie - septembre 1997

2

35. Rapport annuel d'activités - Année 1997; équipe Cellule d'Appui aux Initiatives de Base en Mauritanie(CAIB) - Groupe de Recherche et de Réalisations pour le Développement Rural - GRDR -janvier 1998

36. Un quart de siècle au service de la promotion humaine; Caritas Mauritanie - CARITAS - décembre 1997

37. Plan de formation du personnel du MDRE, MDRE, Coopération Mauritano-Allemande - Pr. Dr. CheikhSaad-Bouh KAMARA, 1997

38. Lettre de mission, 1er janvier 1994 - 31 décembre 1996 - SONADER, 1994

39. Politiques et Stratégies générales pour le Développement du Secteur Rural - Horizon 2010, MDRE, RIM -MDRE, 1998

40. Principes de maintenance-gestion des ouvrages collectifs; élaboration de contrats-types, SONADER, RIM -SFCD-FAAR, 1994

41. Etude « Activités de vulgarisation. formation et désengagement », SONADER, RIM - BDPA, 1997

42. Cadre d'action pour la mise en place d'un système de suivi-évaluation au projet GIRNIEM, projet GIRNEM,MDRE/DEAR, Cooperation Mvlauritano-Allemande, J. Gely. février 1998

43. Séminaire constitutif de l'initiative des Maires Mauritaniens Défenseurs des Enfants, UNICEF, DCL-AMM,RIM, avril 1996

44. Projet des services agricoies. revue à mi-parcours, aide mémoire, Banque Mondiale. mai 1997

45. Situation du secteur de l'hydrnulique - sous-secteur de l'hydraulique rurale, Direction de l'Hydraulique,MHE. RIM. décembre 1997

46. El Belediya - bulletin d'information de la direction des collectivités locales, Min. Intérieur, Postes etTélécom., RIM - n=3-1995, n'4 et 5 - 1996, n° 6 - 1997

47. Etude d'impact sur l'environnement de Boghé

48. Rapport concernant la vulgarisation agricole dans la vallée du Sénégal et sur les aménagements hydrauliques,SONADER, RIM, JC Dubasque et JR Demouiin, mars 1995

49. Tableau de bord global du développement intégré du bassin du fleuve Sénégal en rive droite - MHE -CN/OMVS - PNUD, juin 1995

50. Base de données des projets sur l'environnement - BDENV - manuel d'utilisation - DEAR-MDRE-UNEP,août 1997

51. Document de stratégie environnementale - Mauritanie - Banque Mondiale, 1994

52. PDIAIM - volet foncier - problématique et termes de référence de l'étude foncière, MDRE, février 1997

53. Projet de gestion rationnelle des ressources forestières, DEAR-MDRE, rapport n°3 - aménagement forestier,juin 1997

Documents de travail provisoires (simple consultation)

54. Contrat-programme entre l 'Eat zMauritanien et la Société Nationale pour le Développement Rural,SONADER - MDRE, 1,1 998 - 1212000 - SONADER, 1997

55. Proposition de loi-cadre prenant en compte les observations du PNUE et du groupe de travail surI 'Environnement - MWohamed Nltahmoud Ould MOHAMED SALAH, 1997

3

56. Etude diagnostic sur le fnetionnement actuel de I 'LNC4CEAI et réflerion stratégique sur I' politique decrédit agricole adaptée à la mise en valeur de la vallée du Fleuive Sénégal, ULCACE.ll CFD - LG-SOFRECO, 1997

57. Etude de lafilière r:: en .tlauritanie. SONADER. RlI - GCG. 1998

58. Etude de ratîonal:sî ur des actwit-irs de ia Direction de I 'Hydrauilique - rapport diagnosti. MHE, RIMAf-SATEC. 1997

59. Document d'appuii à la formuiatîon cd'zun programme de gestion et de protection de lenvm iement,CE:DRA4 T PVUD. Rl RI. :décembre 1997v

60. Code pratique annot' d adlmnitstratzon des collectivités territoriales, Min. Intérieur, RLW, 1998

SENEGAL

6 1. Etude de la salinite a Thiazar - Utiiisation d'un conductivimètre électromagnétiaque. Projet de Gestion del'Eau, Coopération Scientifique KULeuven - S.A.E.D., Septembre 1996

62. Plan National d'Action pour i'Environnement, CONSERE, Ministère de l'Environnement et de la Protectionde la Nature. Sénégal. septembre 1977

63. Utilisation de l'imagerie satellitaire à haute résolution. Centre de Suivi Ecologique, Sénégal, 1996

64. L'imagerie NOAA.AVHRR dans la veille environnementale, Centre de Suivi Ecologique, Sénégal, 1995

65. Recueil de Statistique de la Vallée du Fleuve Sénégal, Annuaire 1995/1996, S.A.E.D, Ministère del'Agriculture. Aoùt 1997

66. Soul Salinization Processes in Rice Irrigation Schemes in the Senegal River Delta. J. Ceupiens, M.C.S.Wopereis, and KM. \vliézan. Soil Science Society of America Journal, Volume 61, n°4, Jliiy-August 1997

67. Preserving soil qualitv under irrigation in the Senegal River Valley, M.C.S.Wopereis, J.Ceuppens, P.Boivin,A.M. Ndiave and A.Kane. WARDA-ADRAO, feb 1998

68. Impact of non-drained îrrigated rice cropping on soil salinization in the Senegal River Delta, J.Ceuppens andM.C.S. Wopereis, WARDA-ADRAO, feb 1998

69. La dégradation des terres irriguées dans la moyenne vallée du fleuve Sénégal - P. Boivin, Chargé deRecherches - ORSTCOM. Dakar - Atelier SCOPE, nov 1993

70. Etude et méthodologie pour la mise en oeuvre d'une stratégie environnementale dans la vallée du fleuveSénégal - document introductif pour la table ronde de Dakar - CAB - Ministère de l'Economie, des Financeset du Plan. Rép du Sénégal. GM. 1995

O.M.V.S. I REGIONAL

71. Etudes des problèmes d'environnement et de protection des milieux naturels dans le delta du fleuve Sénégal -Phase 1 - Bilan et Diagnostic. OMVS - Fonds d'Aide et de Coopération (France) - BDPA-SCETAGRI,'ORSTONiMSECA/AFID/SERADE, déc 1994. Volume principal et annexes

72. Etudes des problèmes d'environnement et de protection des milieux naturels dans le delta du fleuve Sénégal -Phase 1[1 - Projets pr-oritaires. OMVS - Fonds d'Aide et de Coopération (France) - BDPA-SCETAGRI/ORSTOM/SECA/AFID/SERADE, janvier 1995

4

73. Etudes des problèmes d'environnement et de protection des milieux naturels dans le delta du fleuve Sénégal -Synthése générale, ONIVS - Fonds d'Aide et de Coopération (France) - BDPA-SCETAGRI/ORSTO vM SECA,'AFID/SERADE, mai 1995

74. Atelier sur la Mfise en Oeuvre du Programme d'Attéunation et de Suivi des Impacts sur l'Environnement(PASIE) - OMVS - Projet Energie Manantali - Rapport de la réunion de concertation. 17 et 18 novembre1997

75. Etude de l'Environnement du Delta du Fleuve Sénégal. OMVS / BDPA-SCETAGRI-ORSTOM-SECA-AFID-SERADE (1995)

76. Notice explicative relative aux inventaires des points d'observations hydrogéologiques série A et 8 rivesdroites et gauche. Les eaux souterraines de Mauritanie. Projet PNUD/ DTCD / MAU / 87/ 008- Direction del'Hydraulique (Février 1990)

77. Bureau de recherche géologique et minière. Etude géologique et hvdrogéologique des formationssédimentaires de la vallée du Sénégal

78. Etude hydro-agricole du fleuve Senégal, SEDAGRI 1973

79. Etude socio-économique du bassin du fleuve Sénégal. Réédition 1984

80. Etude hydro-agricoles du bassin du fleuve Sénégal. Atlas des Unités Naturelles d'Equipement - RAF /65 /061 - CHAUMENY - juin 1975

8 1. Etude macro-économique d'un programme de développement intégré du Bassin du Fleuve Sénégal - OMVS -AGRER - septembre 19Q4

DOCUNIENTS GENERAUX

82. Environmental Assessment Sourcebook (Volume 1, [I and III), World Bank Technical Paper Number 139 -Environmental Department - The World Bank - Washington D.C., 1991

83. Environmental Impact Assessment of Irrigation and Drainage Projects, FAO Irrigation and Drainage Paper53 - Rome. 1995

84. Environmental economics and sustainable development, Mohan Munasinghe, World Bank EnvironmentPaper n° 3, 1993

85. Sustainabilitv-oriented project appraisal for developing countries, Michiel J. F. Van Pelt, CIP-Data,Koninklijke Bibliotheek. Den Haag

86. Salt-affected soils and their management, FAO Soils Bulletin 39 (1988)

- ~~5

g

~~~~~~~~~~iP

}~~~~~~~~~~~~ lI

ANNEXE 7

Liste des institutions et des personnes ressources rencontrées et contactées par la mission

MINISTERE DU DEVELOPPEMENT RURAL ET DE L'ENVIRONNEMENT

Baba Ould BOMEISS Cellule de PlanificationAhmed YOURA O/ IMANE Coordinateur PDIAIMDendou O/ TAJEDINE Directeur Unité de Coordination du PDIAIM (8/98->Paul GINIES Conseiller Technique (UE) - PDIAIMChristian LEDUC Conseiller Technique (UE) - PGRNP/Lac D'AlegSephan NEU Conseiller Technique (GTZ)Alain BERNARD Conseiller Technique (FAC)P. BOULANGER Assistant Technique au Bureau des affaires foncières

DIRECTION DE L'ENVIRONVVEiEiT ET DE L'AMENVA GEIENT R URAL (DEAR)Oumar FALL DirecteurCOULIBALY Directeur AdjointCheikna Ould BARE Responsable du Service de la Protection de la NatureDjibrill SARR Responsable du Service HydrologiqueSoen CHEY Conseiller technique environnement (Coop Franç)François CAZOTTE Conseiller Génie Rural (Coop. Franç.)Cheikh Ahmed Ould KHALIFA Programme PAN/Fonds Nat. Lutte contre la désertificationDr Kebir Ould SELAMI Resp. du Progr. de Formation et Inform. sur l'Envir. (PFIE)

SONADERMohamed Ould BABETTA Directeur GénéralAlassane Chérif GUISSET Conseiller du Directeur GénéralAmadou Moussa NGAIDE Directeur Technique des Etudes et TravauxMohamed ALY DET/Chef de service étudesNdiongo OUSMANE DET/Chargé d'étudesBeddou Ould SALEK DET/Chargé d'étudesSidi Mohamed Ould MOINE DET/Chargé d'étudesAbdoulaye Ould BABA Directeur Régional de RossoBrahim Ould AHMED Directeur Régional de Kaedi

CENTRE NA TIONVAL D 'ELE VA GE ET DE RECHERCHES VETERINAIRES (CNER P)Dr Boubacar DIALLO Directeur

PGRNPHamada Ould DIDI DirecteurBa Thierno OUSMANE Chef du Département FormationMohamed Lemine Chef du Département Suivi-EvaluationAhrned Ould BRAHIM Chef du Service Technique

page I

Projet Lac d'AlegN'Gaïdé HAMAD Directeur du ProjetSidati Ould MACIRE- Responsable "Volet Structurant"

DELEGA TIONS REG1O,OM ILES DU .lIDREDr Moharned Abdarrahmana 0/ Limam Délégué Régional du GorgolMome Ould HAMAHOUJLLAH Délégué Régional du Trarza

MINISTERE DE L'HYDRAULIQUE ET DE L'ENERGIE

DIRECTION DE L HYDRA L'LIOUEElle Ould EL HADJ Directeur de l'HydrauliqueMoustapha Ould MIA.OtJLOUD CT/CN OMVSJean LE PRIOL Conseiller technique (coop. franç.)JP SASMAYAUX Conseiller technique (coop. Franç)

SONELECBrahirn Ould ABDELLALI Projet Aftout - adduction d'eau de Nouakchott

MINISTERE DE L'INTERIEUR, DES POSTES ET TELECOMMUNICATIONS

N'Diave KANE Directeur des Collectivités LocalesMoctar Ould EL ACEN Directeur de l'Aménagement du TeritoireMohamed Ould SIDI: MIOHAMED Régisseur Foncier, chargé de missionNicolas WIDMER Conseiller Technique (FAC)André HARNISTE Conseiller Technique (FAC)

COMMUNVESAlioune Ould AOUBEK Maire de Tékane

MINISTERE DE L'EQUIPEMENT ET DES TRANSPORTS

DIRECTION DES TRA VA UX PUBLICSMohamed Mahmoud Ould Sidi Chef du Service des Etudes

MINISTERE DES PECHES ET DE L'ECONOMIE MARITIME

DIRECTION DE LA PECHE ARTISANIALEAbderahmane O/ SIDI ALI Coordinateur projets japonaisElemine O/ SID'AHMED Service pèche continental

page 2

MINISTERE DES MlINES ET DE L'INDUSTRIE

DIRECTIOiV DES MINESIbrahim Wane Ingénieur

MINISTERE DE L'EDUCATION

FACUL TE DES SCIE.VCES ET DES TECHNIQUESAhrnedou Ould HAOUBA DoyenMohamed Limine Ould BABA Secrétaire Général

MINISTERE DE LA SANiTE ET DES AFFAIRES SOCIALES

DIRECTIOiV DE L1 PROTECTION SANITAIREDr Ibrahima KANE Directeur

DIRECTIONS REGIO.N'4LES DE L 'ACTIOi SANITAIRE ET SOCIALEDr Cheikhna DIAGANA Directeur DRASS Trarza (Rosso)Dr Saïdou NIANG Directeur DRASS Brakna (Aleg)Dr Sidi O/ MOHAMED LAGHDAF Directeur DRASS Gorgol (Kaedi)

CENTRE NA TIONAL D 'HYGIENEDr Moharned Lemine O/ EL HAJ DirecteurDr Cheikh DIALLO Inspecteur Général de la Santé

BANQUE MONDIALEM MAZURELLE Représentant RésidentKarim OKA Task Manager (Washington) - Agriculture/Environ. Afrique

Mohamed Ould TOLBA Chargé du PDIAIMCheikh A. Ould HOUEIBIB EconomisteSouleymane SOW Chargé du DIU-AmextipeFrançois GADELLE Senior irrigation engineer, Agric.and Nat. Ress.Dept.Rémi KINI Economiste de l'environnement, consultant

DELEGATION DE LA COMMISSION EUROPEENNE EN RIMMazochi Allemani Ambassadeur, Chef de DélégationFrank GREILING Conseiller en Développement RuralAlfonso RUIZ DE AZUA Conseiller en Génie CivilJérome DENDURAS Assistant du Conseiller en Développement Rural

page 3

CAISSE FRANCAISE DE DEVELOPPE.MENTMarc JAUDOIN' DirecteurFrédéric BOURDILL,AT Conseiller

OMSDr. El Hadi BENZERROUG Représentant résidentDr. Carlo URBANI Consultant "Bilharziose"

PNUDMariem BEKAYE Prograrnrnes PAN et PANE

UNICEFDr Issa COULIBALY

FAOReprésentant résident

UTNCACEMJean Pierre GRAILLE Conseiller technique(CFD)

SOCIETE CIVILE, ONG, ORGANISATIONS PROFESSIONNELLES

UICNOlivier Hamerlvnck Conseiller Technique

AGETASidi Ould MAYOUF Président du Conseil d'AdministrationJacques MAUBUISSON Conseiller technique

CARITAS (ONG)Daniel VERGER Directeur

DEVELOPPEMENT DURABLE (ONG)Mohamed Abdellah ould TOLBA Président

Divers exploitants privés et responsables d'associations d'exploitants dans la vallée

page 4

l - s t -

| - s - - - -

l,« -. S =

'< - v - -

; - 7

_ r

A -_ , 2t _ _ _

r -

ttL - {

.

_ _ �< * _ _

l '_I _ «

-8--5,wL -

_ _ - n _ _

_ _ _ 3- g _ _ _

_ _ - -_ _

, ,z, z _ _

. - ^ w v _

| _ w -.

_ < _ s

._ -;» _

- - - ANNEXE 8* ) [ r - ^4 eAju S C- -

* - * -- Procés-verbaux de réumons et autres documents de travall '>eF- _ = ;Et: -- « - ' _ ' - 7--

! _ � _ - �>+-t '- cw > � � - - � ` -> ^ � ̂ +- - ->

I:-c , _,_ -;s > > e _",X,; _;

_ Z F- >+ _ s " : r - _ S _

__ "ts _ i_n x <_ _ _ "a t- _ i >!' S7-

} } _ 4"x - = - s _ = ' 9 + _ iÉ ] 1 * < , -- - -�- :VR,RT. - W

J - _ ' � ' s __ _ _ _ ,s - � < ^,s _ �t>_ r j

t 1 T� -' = -- - - =7 - _ _'_ _ t , ;2e;- -

I irL _ = w - _ - x _;o_ _s _J_ L _

. _ ' A _ _ S <

I Z 1 - > ,a ' t - q wo 5 -- - ^ E.S-f? m

t J � - ltapportfinal- Volwne 3 -;* � EvaluatzonEnvtronnementole dWPDL{lM

rt

ANNEXE 8.1.

Commentaires du Maître d'Ouvrage sur le rapport provisoireet aide-mémoire mission FAO/CP

p

Rapport f nal - Voluwme 3 Evaluation E:nvironnementale du PDL4IM

SOCI ETE NATIONALE k 45FPOUR LE DEVELOPPEMENT

RURAL

SO.NA.DE.R

B.P 321- Tél. 521-61 & 518-00 A l 1 1 1: Io - 1

Télex 807 MTN - Nouakchott - A '

DGi/Y0.MfMvNÆMBOSi98

Nouakchott, le G 3

LE DIRECTEUR GENERAL

A

Monsieur le Directeur Généraldu bureau AGRER

OBJET :Etude d'impact environnemental du PDIAIM

Monsieur le Directeur Général,

J'ai l'honneur de vous adresser ci-joint les remarques de l'Administration sur le rapportprovisoire de l'étude d'impact environnemental du Programme de Développement Intégré del'Agriculture Irriguée en Mauritanie (PDIAIM), que votre bureau a menée pour notre compte.

Vous en souhaitant bonne reception, je vous prie de recevoir mes meilleures salutations.

Mohamed Yah u IMohamed Mahmoud

Pièces jointes. - Observations Sonader sur EIE PDIAIM \ Y' x,- Observations de la DEAR

AmRDilation:- UCIPDIALIM- CTDAGE, DET. SE. DET/Beddou

SONADER

REMARQUES SUR LE RAPPORT PROVISOIRE DE L'ETIUDE D'IMPACT

ENVIIRONNEMENTAL DU PDIAIM

* Tout au long de la preparation du PDIAIM, la composante Banque mondiale du programme a évolué,

dans sa forme et dans son contenu. C'est ainsi que, au lieu d'une programmation en deux phases de cinq

années chacune, la 13anque mondiale a proposé une conception de type «prêt pour programme

ajustable » (APL), qui. permettra d'envisager le programme en trois phases (3 ans - 4 ans - 3 ans)

couvrant une pénode totale de 10 ans De même, les composantes du projet soumis à la Banque ont été

revues, et, s'agissant des mvestissements, il convient de souligner que:

- les projets d'a.menagement hydraulique des plaines de Dirol et de Mbagne ne sont plus

inscrits dans les pnorites d'intervention de la Banque Mondiale.

- la réhabilitation des périmetres imgués ne sera pas ciblée sur la zone de Gan; - Dar El

Barka, pas plus; qu'elle ne sera limitée aux seuls périmètres villageois. Tous les périmètres

dégradés de la 'Vallée, collectifs ou privés, pourront postuler au crédit de réhabilitation, seuls

seront admis les dossiers les plus bancables.

C'est pourquoi il conviendra de revoir le document provisoire en intégrant ces éléments. Pour une

définition détaillée du projet Banque mondiale, se référer au dernier Aide-Mémoire de la FAO/CP du

mois de mai 1998.

* P 19, point 13. Le Ministère du Plan a changé d'appellation. Il s'appelle désormais « Ministère des

affaires écononiques et du développement ». En tenir également conpte dans les montages

institutionnels du Programme.

* P 23, point 30. La direction de l'artisanat n'est pas au Ministère des Mines et de l'Industrie.

P 62, point 4. - « ( .) 240 villages repartis entre 6 Moughataa composées de 14

communes... », pourquoi seulement 14 communes" Sur le tableau de la mème

page, vous en avez déjà 16, bien que la commune de Bogué n'ait pas été

recense.

- Sur le tableau, on ne voit pas à quoi correspond le total 18(>.058 habitants. Il

ne s agit nu du total pour les Moughataa, ni du total pour les communes.

* P 63, point 4 (suite). Le tableau n'intégre pas les données pour la Moughataa de Boghé.

Par ailleurs. il aurait fallu commenter la coïncidence parfaite (à l'habitant près)

entre la population projetée pour l'année 1993 et la population foumie par

l'Etat Civil, dans le cas des deux Moughataa de Mbagne et de Bababé. Est-ce

une erreur d'écriture?

- P 64, point 10. « Precisons tout simplement que les dérivées de l'évolution historique ont fait des

H.alpulaaren, Soninko et Wolof des sociétés fortement hiérarchisées qui s'organisent autour d'un double

principe vertical et honzontai avec prééminence de l'âge. », phrase pas claire.

* P 65, point 14. Aux paragraphes I et 2 le mot statuaire (relatif à statue) est utilisé à la place du mot

statutaire (relatif à statut).

' P 69, point 35. On ne voit pas de quelle «contrainte générée par la mise en oeuvre de la législation

foncière » vous parlez.

* P 69, point 4. Pourquoi voulez vous que l'Administration applique cette circulaire, puisque vous dites

dans la note bas de page n°23 que « le décret de 1990 met fin à son application »?

P 72, point 48. « Ce comportement dû fondamentalement à l'attachement viscéral à la terre ancestrale

peut constrtuer, en l'absence d'une approche participative réelle et de lieux de consensus, une contrainte

dans le développement du secteur privé et du développement durable des infrastructures d'irrigation

dans la zone », phrase pas claire.

* P 115 et suivantes Dans les tableaux du planning de mise en oeuvre du plan d'atténuation des impacts

du programnme, l'inscription dans le FNAE de tiroirs eau et assainissement nsque de créer une

duplication de l'invest1ssement, puisque dans le cadre de la composante Banque mondiale du PDIAIM,

il est prévu à part un voiet infrastructures sociales, qui prend en considération ces aspects.

Une étude pour identifier les besoins des populations dans ce domaine ainsi que les financements requis

est en cours, et doit couvrir la zone de Gani - Dar El Barka et la zone de la vallée du Corgol.

fait le 2/8/98

`Ministere àuI Ùeve:oppveîrent rur.at ,e, de -. ,'-I 'Environnemnent 1'1;1Li i41ii,

Direction de l'Environnemert et e t - ;cle i'Ar-nénagernent Rural ____ _-.

sT': 1'7r: T&o 5`5Y 7 8 -7Ri 5O7. ........ FA

49 $ W / NoLiai chi-t,v- ie ,i2 7 Ji g -

A Monsieur le Directeur Généralde la SO.NA.DE.R.

Objet: remarques sur le rapport provisoire de l'étude PDIAM

Faisant suite à votré lettre n°0611 du 19 Juillet 1998, relative au rapport provisoirede l'éude cfimpact e irtmemental du PDIAM, j'ai l'honneur de vous transmettre ci-jointnos remarques et observations sur ce document en vue de prise en compte.

POR LE D TRFTEUR ABSENTLE T JOINT

P.J.: 1Observations sur le documnent

'k ̂ E

OBSERVATIONS DE LA DEAR SUR LE RAPPORTPROV1[SOfRE DE L'ETUDE D'EVALUATION

ENVIRONNEMENTALE DU PDIAM

Cadre institutionnel

,' Teii compte des structures institutionnelles existantes, notamment le conseilnational Environnemrent Développement- (CNED) et ses organes annexes ComitéTechniqiuéEnviroô nient Développement (CTED) et Conseils régionaux EnvironnementDévelop-p'men`t(CREID). -

Aspect straté2igue

Prendre en compte les documents stratégiques existants, à savoir Plan Directeur deLutte contre la Désertification (PDLCD), le Programme Multisectoriel de Lutte conte laDésertification (PMLCD), la Stratégie Nationale de Conservation (SNC), la StratégieNationale d'Aménagement des Forêts Classées (SNAFC), le Programme dElaboration duPAN pour la désertification ainsi que le Programme dElaboration du Fonds National pourl'Environnement (FNEB.

Aspect létislatif

En plus des lois sectorielles de gestion de la flore et de la faune, prendre en lignede compte la validation du projet de loi cadre sur l'environnement et les codes spécifiquesde gestion des ressources naturelles et d'exploitation des fonds halieutiques etc... pour unevision globale et une intégration parfaite de la dimension environnementale.

Aspect Particivafif

Dans le cadre de la participation des populations à l'étude d'impactenvironnemental, l'aspect participation des populations ne sort pas clairement à travers ledocument présenté. Pour une meilleure adhésion de la société civile au suivi il y a lieu deressortir par des activités concrètes cet aspect. de participation.

La dimension participative des populations aux activités environnernentales pourlesquelles la DEAR a réalisé des grands efforts dans la vallée (création de coopérativesforestières, responsabilisation de ces dernières pour l'exécution des travauLx dépose de'clôtures et de plantation etc ) semblent être ignorées par le document.

Outils d'étude à la décision et zestion environnementale

Le document présenté passe sous silence, les efforts menés jusque là par la DEAR,eni matière de suivi environnemerital qui dispose actuellement d'une base de donnéesenvironnementales. qui méritait une intégration dans le document pour une ;analyse de laqualité voire une amélioration future.

Plan d'occuDation des sols (POS)

L'analyse menée à ce niveau a occulté certains programmes de restauration del'environnement que la DEAR a effectué ou entrain d'exécuter dans la vallée à savoir lePGRRF, Barrière Verte de Trarza, fixation des dunes et le projet réhabilitation de laChemarma en'voie de démarrage. La DEAR dispose actuellement d'un schéma de pland'aménagement pour la foret classée de Gani et pouvant être extrapolé aux autres forêts.Un tel_butil pourra ser-ir de base de plans d'occupation des sols prévus. I1 convient desouligner à ce titre que les plans d'occupation des sols doivent s'inspirer du projet de loienvironnementale en cours de finalisation pour le suivi et l'évaluation des impactsenvironnementa=x.

Etablissement et diffusion des normes

Le diamnostic dans ce cadre doit s'inspirer des méthodes et pratiques menées jusquelà, par les projets de la DEAR. Le document doit prendre en compte les expériencescapitalisées par les projets(PLEMvfVASP, PGRRF, GERIN?, etc...) de la DEAR enmatière de normes.

Fonds d'accompaenement environnemental

Les études en vue de la création et la mise en place d'un fonds national pourl'environnement sont en court, les documents de base, ont été déjà élaborés. Un consultantInternational a procédé à la finalisation des documents, en conséquence, le fondsd'accompa2nement environnemental doit être orienté vers le mécanisme national mis enplace (FNE).

Présence de point d'eau

Le document prévoie l'implantation de point d'eau pour servir d'abreuvement etautres activités populaires, néanmoins le point d'eau en lùi même est un lieu dedésertification. A cet effet le document ne renseimne en rien sur la couverture spatiale, ladensité, le nombre et les modalités de gestion.

* -'~Biodiversité

En matière de biodiversité, le document ne fait aucunement cas de la riche biologiede la zone. La faune n'a pas disparu comme mentionnée. Il y a des gazelles, des tortues,des outardes, etc... dans la Wilaya de Guidimakha, Gorgol, Trarza. Tenir compté- de ladiversité de faune, flore, avifaune. r.

En matière de pêche continentale, le ministère de la pêche et de l'économiemaritime et en particulier les directions spécialisées doivent être contactées pour lesnormes et bases de données.

D'autre part l'aspect participation des populaire aux activités piscicoles a éténégligé. - --

Santé humaine

Les services spécialisés du ministère de la santé n'on, pas été contacté pour d'unepart les normes appropriées et d'autre part les normes préventives et curatives àdévelopper et vulgriser dans la zone.

ForTmation

Le document doit prendre en compte la consolidation et le renforcement descapacités nationales. en matière d'appréhensions le suivi-évaluation ides problèmesevironnementaux.

SALINSATION DES SOLS

Le document n'a pas donné des précisions sur les superficies et le degr cesalification du Trarza et du Brakna.

REPUBLIQUE ISLAMIQUE DE MAURITANIE

PROGRAMMIE DE DEVELOPPEMENT DE L'AGRICULTURE IRAIGUEE ENMAURITANIE (PDIAIM)

(composante Banque mondiale)

MISSION FAO/CP D'APPUI A LA FINALISATION DE LA PREPARATION(mai 1998)

Aide-mémoire

i. Une mission de la FAO (Centre d'Investissement), composée de MM. A. Soumaila(chef de mission, FAOiCP), F. Gadelle (ingénieur d'irrigation. IPTRID/Banque mondiale), N.Gergely, (économiste, consultant), O. Roussel (agronome, consultant), R. Bensaid (spécialiste desinstitutions rurales, consultant), A. Soukehal (zootechnicien, consultant) et JM. Voisard(spécialiste en exportations de produits horticoles, consultant de la Banque inondiale) a séjournéen Mauritanie du 4 au 31 I mai 1998. à la demande du Gouvernement et de la Banque mondiale,pour un appui à la finalisation de la préparation du Programme de développement de l'agricultureirriguée en Mauritanie (PDIAIMI, composante Banque mondiale). La mission a bénéficié de lacontribution d'une équipe ad-hoc dans la formulation du volet recherche/développement(irrigation et drainage)l. Elle a travaillé en étroite colLaboration avec une équipe de cadres dehaut niveau mise en place par le Gouvernement; cette équipe était dirigée par M. Ahmed YouraOuld Imame, Coordonnateur du PDIAIM.

. ^A Nouakchott, la mission a eu des entretiens avec les responsables des Directionscentrales et établissements publics sous tutelle du Ministère du Déveioppement Rural et del'Environnement (MDRE), en particulier la Direction du développement des ressources agro-pastorale (DRAP), la Direction de la recherche, la formation et la vulgarisation (DRFV) quiexécute le Projet des services agricoles (PSA) appuyé par la Banque mondiale, la Direction del'environnement et de l'aménagement rural (DEAR), la Société nationale pour le développementrural (SONADER), le Centre National de recherche agronomique de développement agricole(CNRADA), le Centre national d'études et de recherche vétérinaire (CNERV).. Elle a par ailleursrencontré des responsables de l'Administration de l'Hydraulique, des Travaux Publics, duCommerce, de l'Intérieur/Postes/Télécommunications sur différentes questions liées au PDIAIM,ainsi qu'avec l'Union nationale des coopératives agricoles de crédit et d'épargne de Mauritanie(UNCACEM). La mission a rencontré les responsables des principaux bailleurs de fonds de laMauritanie dans le secteur rural présents à Nouakchott (Banque mondiale, Mission française deCoopération, Agence française de développement, Union européenne, FAO). Elle a été reçue parMonsieur le Ministre du Développement Rural et de l'Environnement. La mission a effectué desvisites de terrain dans les Willaya du Trarza, du Brakna, et du Gorgol, et rencontré lesresponsables régionaux de la SONADER, des responsables de projets, d'organisations paysannes(OP) et des exploitants individuels.

3. A l'issue de son séjour en Mauritanie, la mission et l'équipe mauritanienne ont établile cadre logique détaillé du programme, rédigé et adopté les documents de travail conformes aucadre logique et nécessaires au montage du rapport de préparation. Une réunion de synthèse a eu

A. Savatier, hydraulicien, spécialiste en pompes d'irrigation, JC. Lozoya Sanchez, spécialiste en drainage, E.Perry, spécialiste en technologies manuelles à faible coût, K. Lonsway, spécialiste en techniques d'irrigation.et R. Hoevers, spécialiste en entretien des réseaux.

A:\A[DMEMAU.DOC 5s [/98

lieu le 31 mai 1998 sous la présidence du Coordonnateur du PDIAIM. Le présent aide-mémoirerassemble les conclusions et recommandations préliminaires de la mission qui tient à remercierles responsables de l'Administration du IDRE et des autres départements ministériels etinstitutions pour l'appui qui lui a été apporté. Elle remercie le Coordonnateur d- la préparation du.PDIAIM pour l'organisation matérielle des travaux de la mission.

Préambule

4. La situation climatique particulière de la Mauritanie qui se caractérise par une fortearidité l'a conduit à metre l'accent sur le développement de l'agriculture irriguée depuis unevingtaine d'années. pour Caire face aux besoins alimentaires croissants. En dépit d'effortsd'investissement importants consentis par l'Etat et le secteur privé, les résultats enregistrésdemeurent mitigés. comme le montrent la faiblesse des rendements agricoles et les taux de miseen valeur des terres amrnapées. Pour améliorer les performances de l'irrigation et assurer sapleine intégration aux autres composantes du développement rural, le Gouvemement a décidé en1993 de lancer le processus de forrmulation du PDIAIM, avec l'appui de ses partenairestinanciers.

5. Afin de mieux garantir la cohérence des interventions en milieu rural et pour mieuxcadrer le PDIAIs.l le pays s'est doté d'un document de politique et de stratégie pour ledéveloppement du secteur rural (Horizon 2010), présenté au Groupe consultatif de Paris fin Mars1998. Dans le cadre de son appui apporté au Gouvernement pour la formulation du PDIAIM, laBanque mondiale a effectué une mission en février et mars 1998 sanctionnée par un aide-mémoire résumant l'objectif et les composantes du PDIAIM, qui sont repris et explicités dans leprésent document. Pour le montage du PDIAIM, la Banque mondiale a proposé une conceptionde type "Prêt pour programme ajustable" (APL); ce nouvel instrument de prêt permet d'envisagerle programme en plusieurs phases couvrant une période totale de 10 ans. L'engagement de laBanque mondiale aux côtés de la Mauritanie sur les objectifs globaux du programme s'inscriraitainsi dans le long terme. Selon le systéme APL, seule la première phase sera détaillée en termesd'activités et de coûts; les phases subséquentes seront décrites dans leurs grandes lignes (coût etcontenu), avec l'identification de critères de passage d'une phase à l'autre (triggers).

Approche du programme

6. Le bilarn de l'expérience mauritanienne en matière de développement rural montretoute l'importance à accorder à une implication significative et responsable des bénéficiaires dansle processus d'identification et de mise en oeuvre d'actions de développement qui se veulentefficaces et durables. Dans le secteur collectif, l'on note que la faible performance des culturesirriguées, en particulier la dégradation rapide des infrastructures et équipements, s'explique engralide partie par le rôle mineur joué par les Organisations socioprofessionnelles (OSP) dans laconception, la mise en place et la gestion des investissements. Pour remédier à ces lacunes, le,PDIAIM aura une approche "ascendante" réservant aux bénéficiaires un rôle décisif tout au longdu processus. L'appui pour une amélioration significative des capacités de gestion etd'organisation des OSP sera, dans ce sens, un axe essentiel de stratégie du programme. Uneattention particulière sera accordée au caractère intégré des activités rurales au niveau del'exploitation. Pour le secteur indivuduel intervenant dans le sous-secteur de l'irrigation, il s'agirapour l'essentiel de soutenir et de renforcer les initiatives en répondant avec efficacité à lademande qui s'exprimera.

2

7. Le second élément de l'approche du programnme, lié au concept ênème de I'APL.porte sur la flexibilite. D'une phase à l'autre. les ajustements nécessaires seront apportés à lastratégie de mise en oeuvre du programme dans ses différents volets d'action. Le système de suiviet d'évaluation qui sera mis en place dans le cadre du programme devrait taciliter ces ajustementsà temps, en impliquant pleinement les parties prenantes dont les bénéficiaires en premier lieu.

Objectifs du Programme

8. Partant des contraintes qui pèsent sur le développement de l'agriculture irriguée et durôle qu'elle est amenée à jouer dans la dynamisation de l'économie nationale et du secteur ruralen particulier, l'objectif assigné au PDIAIM dans sa globalité par le Gouvernement mauritanienporte sur l'accroissement durable de la valeur ajoutée agricole et des revenus en milieu rural,l'amélioration de la securité alimentaire et la réduction de la pauvreté; l'objectif spécifique visépar la composante Banque mondiale du PD[AIM est d'augmenter durablement la productionagricole dans le cadre d'une gestion intégrée et pérenne des ressources naturelles.

Description du programme

9. La composante Banque mondiale du PDIAIM qui s'étalera sur une période de dixans, couvrira l'ensemble de la rive droite de la vallée. Le programme se déroulera en trois phases(3 ans - 4 ans - 3 ans) et sera conçu conformément à la méthodologie APL. Les composantes duprogramme qui ont été déterminées lors de la mission de février 1998 de la Banque mondiale etexplicitées à travers les documents de travail élaborés au cours de la présente mission, portentsur: (a) les catégories d investissements à mettre en place; (b) les appuis à développer en faveurdes producteurs: (c) l'amélioration et le développement des filières; (d) les questionsenvironnementales; et (e) un certain nombre d'actions d'accompagnement (renforcementinstitutionnel, crédit. foncier ...).

10. (a) Composante Investissements. Les actions envisagées au titre de cettecomposante porteront sur: (i) les investissements structurants (ponts, pistes de désenclavement,études de schéma directeur ...) qui visent une viabilisation de l'espace pour améliorer lesconditions d'exploitation des aménagements agricoles; (ii) la réhabilitation du périmètresirrigués rizicoles collectifs i (4500 ha) et individuels (4500 ha), pour améliorer les performancestechniques et les coùts d'exploitation, ainsi que la création de périmètres de diversificationagricole (2000 ha); et (iii) la construction d'infrastructures socio-collectives (puits, forages,magasins de stockage,...). Les investissements structurants, qui par nature représentent des actionsd'aménagement de l'espace, seront financés par le programme. Les réhabilitations d'exploitationirrigués collectives (à concurrence de 60 ha) seront financées par les OSP qui bénéficieront decrédit d'investissement et d'une aide incitatrice qui tiendra compte de la capacité contributivepotentielle des paysans et de leurs contraintes d'autoconsommation ( les superficies unitairesfamiliales seront de l'ordre de 0,5 ha après réhabilitation). Les périmètres individuelsbénéficieront de crédit et d'aide financière de l'Etat à concurrence de 60 ha. Le créditd'investissement sera géré par î'UNCACEM (à qui pourraient être rétrocédées les lignes decrédit) et l'aide financière de l'Etat par un comité de gestion de l'aide incitatrice (CGAl).Au stadeactuel de l'analyse, l'ordre de grandeur de cette aide serait de 50% pour les périmètres collectifset 35% pour les individuels. Chacun de ces mécanismes de financement sera mis en oeuvre selondes procédures particulières mais coordonnées.

Il s'agit de périmètres regroupant de petits producteurs qui exploitent chacun sa propre parcelle.

3

il. (b) Composante Appui aux producteurs. L'appui aux producteurs couvrira troisaspects: (1) le r!netorcernent des organisations socioprofessionnelles (OSP) leur permettantd'acquérir des capacités de gestion et d'organisation indispensables à une appropriation effectivedes actions de développement (crédit, approvisionnement en intrants, productio7:, gestiond'exploitation, commercialisation); (ii) l'appui technique qui portera sur le montage e dossiersd'investissement (réhabilitation, création de périmètres de diversification) et la gestik- -echniquedes exploitations (gestion de l'eau, maintenance, itinéraires techniques d'amélic- ;ion et dediversification), et iii) lu rccherche/développement pour répondre aux problemes -au pompage(nécessité de réduire les coûts par une optimisation technique et économique der. :quipementsd'exhaure dans le contexte de l'aprés-barrages"), d'innovation en techniques d'irrigation (étudedes conditions d'utilisationi dc techniques d'irri-ation sous-pression, expérimentation etvulgarisation des paramètres de calcul des investissements), et du drainage (investigations decomplément aux actions de recherche menées dans la sous-région en particulier pour préciser laliaison salinitéialcalinité au niveau des différentes zones du programme, expérimentation en vraiegrandeur et vulgarisation de procédés appropriés de drainage).

12. Le financement des activités d'appui aux producteurs pourrait être assuré pendant lapremière phase du prozramme par le Projet des Services agricoles en cours d'exécution et financépar la Banque mondiale. Les actions de consolidation des OSP toucheraient à terme 500 OSPenviron. La nécessité d'aider la grande partie des OSP à redevenir éligibles au crédit recommandeun démarrage imméidiat de la mise en oeuvre de cette sous-composante.

13. (c) Amiélioration et développement des filières. Il s'agira en premier lieud'améliorer la compétitivité de lafilière rizicole qui concerne la grande majorité des agriculteursde la vallée, par la correction des distorsions générées, entre autres, par le système decommercialisation en vigueur (absence d'incitation à produire un riz de qualité répondant auxgoûts des consommateurs. déresponsabilisation des opérateurs au niveau des coûts decommercialisation, difficulté pour les producteurs de Foum Gleita et du Haut fleuve à s'intégrerau système), la promotion du riz de qualité, le financement de la commercialisation groupéeintéressant les petits producteurs. le financement d'équipements de stockage et de transformation,la mise en place d'un système performant d'information sur les prix et marchés rizicoles (SIM),et la promotion de la professionnalisation progressive de la filière. Le programme financera lamise en place et le fonctionnement du SIM, appuiera la professionnalisation de la filière. Leséquipemnts seront financés par apport personnel des bénéficiaires, crédit, et, dans certains cas(magasins), aide incitatrice.

14. Le programme aidera au développement de nouvelles filières (horticulture,production laitière, sylviculture) pour tenter de saisir les opportunités d'écoulement local etd'exportation; la diversification perrnettra d'accroître de manière significative la valeur ajoutée etles revenus, et d'améliorer la nutrition des populations. Pour répondre aux besoins du marché(intérieur et extérieur) en produits horticoles, les actions porteront en première phase sur desétudes préliminaires de marché, des tests d'introduction de variétés adaptées et appréciées, destests commerciaux, la vulgarisation de techniques de productions et de conditionnement, lapromotion de technologies de transformation, ainsi que sur les problèmes de logistique et deréglementation (marché à l'export). Les coûts liés au programme de tests et de vulgarisationseront pris en charge par le PDIAIM.

15. En phases 2 et 3 du programme le développement de la diversification se fera surinitiative privée en prenant appui sur les résultats techniques, éconmiques et pré-commerciaux dela phase i. A ce niveau le programme pourrait apporter un concours financier sous formne decrédit et éventuellement de'subvention. Une opération pilote sera conduite à court terme et

4

concernera le melon. la papaye, le gombo, le fruit de la passion et les fourrag,es (tests variétaux etd'investigations pré-commerciales pour l'exportation).

16. La Jitère laitière offre également un potentiel important de développement pourréduire les importations. Des tests variétaux pour la production fourragère de qualité nécessaireseront privilégiés et mis en oeuvre pendant la première phase du programme; ces actions quiferont appel à des techniques novatrices d'irrigation (I 00 ha) seront conduites avec des opérateursprivés. La vulgarisation des techniques de prodction laitière suivra la phase-test et pourraitgénérer un développement de fourrages sur 900 ha au cours des phases 2 et 3 du PDIAIM. Leprogramme couvrira le tinancement des intrants nécessaires (semences fourragères), ainsi quel'appui tehnique requis (encadrement et analyses diverses à conduire en laboratoires) à laconduites des tests.

17. D'autres opportunités régionales (exportations de viandes rouges vers les pays duMaghreb) devraient ètre étudiées en première phase.

18. (d) Composante environnementale. Les interventions envisageables pour amélioreret développer l'irrigation dans la vallée vont générer très peu cl'effets négatifs surl'environnement. qui viendront s'ajouter à ceux déjà créés par les ouvrages de l'OMVS(bilharziose intestinale autour de Diama). L'étude d'impact environnemental réalisée en avrildemier analvse ces effets dans le cadre global du PDIAIM, propose des mesures d'atténuationchiffrées pour l'ensemble, et précise celles qui pourraient être imputables à la composanteBanque Mondiale. Du point de vue des normes de la Banque. seuls les ouvrages structurantsappartieninent à la catégorie A. A ce titre. il est recommandé d'éliborer des plans d'occupationdes sols avant la réalisation des ouvrages et des procédures de gestion des oLIvrages. Pour lesactions de viabilisation des périmètres irrigués, il est recommandé de mettre en place des pointsd'eau potable, et d'élaborer des guides de bonne pratique environnementale pour la conception,la mise en oeuvre et la gestion des investissements. Ces différentes actions seront financées par leprogramme. D'autres actions environnementales telles que le reboisement et l'aménagement desforêts, demandant la participation des bénéficiaires, seront partiellement financées à travers unconcours financier au Fonds national pour l'environnement en cours de création.

Mesures d'accompagnement.

19. Appui institutionnel au MDRE. Les faiblesses relevées au niveau du MDRE sontnombreuses et portent en particulier sur ses capaciés de planification et de contrôle interne, lesystème de collecte et de traitement des statistiques agricoles, les moyens logistiques, ainsi que lagestion de la documentation. Ces insuffisances majeures de base pourraient être corrigées sansattendre l'aboutissement de la réflexion en cours sur la restructuration du MDRE. Le programmedevrait apporter son concours au renforcement du MDRE, en finançant prioritairement desactions de formation, de renforcement du contrôle interne, des équipements informatiques, et desinfrastructures de documentation. La mise en place d'un fonds d'études devrait être envisagée parailleurs pour soutenir les initiatives du Département dans les domaines de l'analyse de problèmesspécifiques (études prospectives... ) et de promotion de l'initiative privée (études techniques).

20. La SONADER jouera un rôle de premier plan dans la mise oeuvre du PDIAIM,conformément à son mandat. A ce titre, elle assurera la maîtrise d'oeuvre de l'appui aux OSP(renforcement des capacités de gestion et d'organisation, appui technique, et parrainage dans laprocédure des réhabilitations). Compte tenu de ses contraintes de capacité dans le domaine de laformation, la SONADER privilégiera le développement du partenariat avec des ONG

5

spécialisées. Elle exercera les fonctions de mairrise d'ouvrage pour le compte de l'Etat pour lesouvrages structurants. Au terme de la dévolution de ces ouvrages aux associations d'uagers quiaura lieu pendant la première phase du programme, la SONADER veillera au respect desengagements contractuels relatifs à la gestion et à l'entretien.

21. Pour la SONADER. les actions d'appui porteront sur des for!-. -ions deperfectionnement au profit de certaines catégories de cadres. en particulier dans les di uines desétudes techniques d'aménagement, et de la méthodologie de formation des OSP.

22. Crédit. Les activités de crédit seront financées par l'UNCACE.vl, qui Ebne1éficiera delignes de crédit qui lui seraient rétrocédées dans le cadre du PDIAIM. dans 'a mesure où sesressources actuelles sont insuffisantes. Ces nouveaux concours s'inscriront dans le cadre d'unestratégie de développement élaborée par l'UJNCACEM et approuvée par le Gouvernement, visantà atteindre à court terme la viabilité financière (grâce notament à une politique adaptée de tauxd'intérêt), à diversifier ses concours, à developper ses activités en direction des coopératives depetits producteurs. e: à accroitre son autonomie financière par recours progressif à l' pargne etaux ressources commrrerciales. Trois types de crédit sont envisagés:

- des crédits long terme: pour le financement du coût de réalisation à la charge desexpioitants en ce qui concerne: (a) les réhabilitations, extensions (pour les périmètrescollectifs) et créations de nouveaux périmètres pour les cultures de diversification: (b) laconstruction de magzasins de stockage par les coopératives et GIE

- des crédits moven ternie: (a) pour l'équipement en matériel d'irrigationi (motopoinpes,nouvelles techniques d'irrigation) des exploitations réhabilitées ou des exploitationstravaillant sur des cultures de diversification; (b) pour l'équipement en matériel agricoledes exploitations rizicoles et divesifiées (tracteurs, cultures attelée, batteuses); (c) pourles équiprements post-récolte ( équipements de stockage spécialisé, transformation,conditionnement) aussi bien pour la filière rizicole que pour les filières dediversification, une fois testée la viabilité technique et économique de ces dernières.

- un concours à l'UNCACEM pour le financement des besoins additionnels en créditscourt terme (financement des campagnes de production et de commercialisation, ycompris pour les cultures de diversification) devrait aussi être envisagé étant donnéque les ressources actuelles de cette institution sont insuffisantes.

23. L'UNCAt-Ehl élaborera pour les nouveaux types de crédit des manuels de procéduresdéfinissant de façon précise les conditions d'éligibilité et d'octroi, ainsi que les dossiers types àprésenter. Chaque dossier de financement devra être justifié par une estimation de sa rentabilitééconomique et financière. Le projet fournira en outre un appui institutionel à l'UNCACEM -(fornation, appui technique) pour le développement de ses nouveaux produits. La définition de l'appuinécessaire et des procédures de prêt se fera en concertation avec les autres bailleurs de fonds del'institution.

24. Foncier. La régularisation foncière constitue un élément préalable essentiel à la miseen oeuvre des mécanismes d'appui à la réhabilitation des exploitations existantes et àl'aménagement de nouveaux périmètres. Le processus est très avancé sur le Trarza depuis 1994,où près de 16 000 ha ont été traités. Il se poursuit de manière satisfaisante dans les zones de laMoyenne et Haute vallée.

6

25. Afin de permettre la réalisation des aménagements structurants dans le Koundi,l'élaboration des plans d'occupation des sois sera nécessaire. Un appel d'offres sera lancé trèsbientôt sur tinancement de l'Union européenne.

Organisation et gestion du programme

26. La mise en oeuvre du PDIAIM ne donnera pas lieu à la mise en place d'une structurede projet. Elle se fera à travers les structures compétentes existantes dans les secteurs public etprivé. Le MDRE assurera la maîtrise d'oeuvre globale du programme, à travers une structurelégère de coordination (Coordination du PDIAIM). Cette unité assumera les tâches deprogrammation, de coordination et de supervision des activités du programme, ainsi que lagestion des movens du programme, en particulier i'initiation et la gestion des contrats deprestation de services des différents structures chargées de mettre en oeuvre les composantes duprogramme. Pour assurer une cohérence d'ensemble au PDIAIM, les instances suivantes ont étéenvisagées:

(a) un Comité interministériel d'orientation et de suivi (CIMOS) pour orienter, impulser,suivre et infléchir en cas de nécessité; le CIMOS sera présidé par le Ministre du Développementrural et de l'Environnement par délégation du Premier Ministre; il comprendra les Chefs desprincipaux Départements ministériels concernés ainsi que la Banque centrale de Mauritanie;

(b) un Comité technique interministériel (CTI) chargé de préparer les réunions du CIMOS; leCTI comprendra des responsables des structures siégeant au CIMOS. Présidé par leCoordonnateur du PDIAIM. le CTI est chargé d'une mission de concertation avec les bailleurs defonds et les OSP du secteur agricole;

(c) un Comité (M,[DRE) de pilotage du programme (CP/MDRE) chargé d'étudier etd'approuver les programmes annuels de travail et les budget correspondants, ainsi que lesrapports d'activité préparés par la Coordination du PDIAIM; il propose au CIT/CIMOS lesmesures nécessaires à la bonne marche du programme. Le comité de pilotage sera présidé par leCoordonnateur du PDIAIIM et comprendra les responsables des Directions centrales du MDRE etdes Centres de recherche, la SONADER, I'UNCACEM, ainsi qu'un représentant de la Fédérationdes agriculteurs et éleveurs de Mauritanie;

(d) Des Comités régionaux de suivi du programme (CRSP). Comités consultatifs en matière desensibilisation et d'exécution , ils seront présidés par le Wali et comprendront les représentantsdes administrations régionales et départementales concemées et des OSP.

27. Programme spécial de sécurité alimentaire (PSSA). Le PSSA est un programmelancé par le Gouvernement appuyé par la FAO depuis trois ans; un volet important de coopérationsud-sud avec la République populaire de Chine sera mis en oeuvre, perrnettant à la Mauritanie dedisposer d'une cinquantaine de cadres et techniciens hautement qualifiés clans les domaines del'irrigation et de la maîtrise de l'eau, l'inténsification et la diversification des cultures, et ledéveloppement du petit élevage; cette opportunité constituera une capacité d'appui qui devraits'intégrer dans le dispositif général d'appui technique du PDIAIM.

28. Suivi et évaluation du programme. L'approche APL, qui comporte une évaluationrigoureuse du programme phase par phase (critères de passage), nécessite la mise en place d'unsystème efficace de suivi et évaluation. Ce système sera conçu et mis en oeuvre de façonparticipative avec les bénéficiaires.

7

Coût du programme

29. Le coût indicatit du programme est de 63 millions SUS environ contformément atableau suivant (en millions SUS):

Composante APL 1 APL 2 APL 3 TOTAL(3 ans) (4 ans) (3 ans)

1. Investissements 8 14,3 9,5 31,'* réhabilitation.extension 5,5 7,8 5,4 18,* équipements 1,3 2,9 2,8* structurants 1,I 3,5 1,3* formation 0,1 0,1 0,:

2. Appui aux producteurs 4 5 3 1• OSP/appui technique 3 4 3 I* recherche-développement l I 03. Amélioration et 4 3 3 1développement des filières4. Gestion et appui institutionnel 1,5 2 1,5

;. Environnement 0,7 1,5 2 4,2TOTAL 18,2 25,8 19 62

Plan d'action et suite à dlonner

30. Avant la mission d'évaluation du PDIAIM que la Banque mondiale envisaged'effectuer en septembre 1998, les tâches à accomplir sous la responsabilité de i'UClPDAIM son:résumées dans le tableau ci-après:

Tâches Echeance Structure| compétente

Appui technique et financier à la réhabilitation despérimètres1. Elaboration des normes techniques pour l'aménagement 15 juin 1998 SONADERdes périmètres non rizicoles2. Actualisation des coûts de réhabilitation et d'extension 15juin 1998 SONADERdes exploitations

3. Décision du Gouvernement sur les modalités de gestion fin juin 1998 UCPde l'aide incitatrice4. Elaborer un barème des coûts unitaires de réhabilitation fin juin 1998 SONADERet d'extensionz. Elaboration d'un dossier-type de demande de crédit et fin juin UCP-d'aide incitatrice UNCACEM

Infrastructures hors exploitation1. Relancer l'appel d'offres de l'étude des aménagements immédiat SONADERstructurants -de la vallée du Goriol2. Lancer la consultation pour l'étude des ouvrages de la immédiat SONADER

8

route Kaédl-v`'bout3. Passer le marché de l'étude des investissements collectir's immédiat SONADER I(puits) à réaiiser dans les zoanes de Gani-Dar El Barka et lavallée du GorgolAppui à la consolidation des OSP l1. Analyse de la loi sur la coopération et de ses textes août 1998 DRAP-d'application et proposition d'amendement en concertation SONADERavec les producteurs l

Amélioration de la commercialisation et de latransformation du paddv l

1. Mise en place de normes de qualité du riz juin 1998 UCPCrédit I I

1. Préparation du dossier permettant l'évaluation de f-in juin 1998 UNCACEvlMl'UNCACEMI __ I

2. Préparation d'un manuel de procédures pour les iin juin 1998 UNCACENInouveaux produiLs |_ __

Question en suspens

*1. L'évaluation financiére du programme de réhabilitation/consolidation a été faite parla mission sur la base d'un objectif de 3000 ha pour la phase (APL 1). La partie mauritanienne ajugé insuffisant un tel objectit'. Pour atteindre le taux de croissance moyen de 72%O sur la période1998-2001 programmé par le Gouvernement, taux nécessaire pour atteindre les objectifs de luttecontre la pauvrete . et compte tenu de la contribution attendue du secteur rural, il est opportun deretenir pour la prerniére phase de l'APL un objectif de réhabilitation de 6000 ha. La mise en placedu dispositif technique et organisationnel approprié sera de ce fait la priorité du Gouvernement.Cette question sera discuté avec la Banque mondiale lors de la mission de pi'é-évaluation prévueen juin 1998.

9

à

ANNEXE 8.2.

PV de réunion - Comité de Suivi Environnemental du PDAIALM - 23/07/1998

-R

Rapport final - Volume 3 Evaluation Environnemernale du PDLIIM

- -

: :@::

- - : ws^

-

t

- _

.: - C-

A

, _

. , ,

-- :: -_ .

- _i: .

'

.- c:

,

PROCES VERBAL DE REUNION

L'an mil neuf cent quatre vingt dix huit; le Jeudi 23 Juillet s'est tenue une réunion du Comité dePilotage de l'étude d'Impact Environnemental du PDIAIM/Volet IDA.

Etaient présents:

Ahmed Youra ould Imame C. Mission/MDRE - Dir UC/PDIAIM

Mohamed Yahya ould Mohamed Mahmoud DG/SONADER

Paul Giniès CT/MDRE

Guisset Alassane Chenf CTDAGEI SONADER

Mohamed Aly ould Cheikh Ahmed CSE/SONADER

Beddou ould Saleck SONADER

Salah Dine DEAR

Diallo Ahmed Yahya Gt AGRER/SERADE

L'ordre du jour de la réunion a porté sur deux points:

- Finalisation du document de remarques et observations de l'Administration sur le rapport provisoire del'EIE du PDIAIM.

- Préparatio de la consultation publique prévue dans le cadre de cette étude, et examen des documentspréparés par le consultant à cet effet.

Les décisios ci-aprés ont été prises à l'issue de la réunion.

Point L Ravnort Drovisoire de l'étude

Il a été décidé que les remarques et observations de tous les membres du Comité de Pilotage doiventparvoeir à la SONADER, au plus tard le Mardi 28 Juillet 1998. Sur la base de ces obervations, laSONADER fera une synthèse et préparera le projet du document à adresser au consultant, au plustard de Jeudi 30 Juillet. EFnfin, ce document sera analysé et finalisé le Samedi l' Août, au cours d'uneréunion qui se tiendra dans les locaux de l'UCP et qui regroupera le Directeur de l'UCP et laSONADER Le document final sera adressé le même jour au consultant, avec ampliation aux memnbresdu Comité de Pilotage.

Point Il. Consultation publigue

11.1. Méthodologie d'organisation de la consultation

Il a été retenu le pnncipe de réaliser cette consultation, en 3 étapes

1v étape:

Réunion préparatoire à Rosso puis à Kaédi regroupant les services de l'Etat (Autorités Administrati%eset Services Techniques) en vue d'une harnonisation des positions.

2' étape:

Réunion à Rosso puis a Kaédi, élargie aux participants potentiels (cf. Annexe) en vue d'expLiquerl'objet de l'atelier (consultation publique), ses contours, les modalités de sa tenue et remettre lesdocuments de support a la consultation publique; ceci dans le but d'assurer une large diffusion par lesparticipants, des thèmes a développer au cours de l'atelier.

3' étape:

Tenue des ateliers a Rosso puis à Kaeédi

Les Participants aux reuruons préparatoires auront à exprimer les différents avis qu'ils auront pucollecter auprés des populations et usagers qu'ils auront contactés.

Il 2 Support didactique « NOTE DE SYNTHESE »

S'agissant du document note de synthèse » proposé par le consultant pour servir de support à laconsultation publique, le Comnte de suivi demande qu'il soit finalisé en tenant compte des observationisci-aprés:

* faire un paragraphe introductif au début de la note de synthèse pour expliquer le but de laconsultation publique et les résultats attendus.

* alléger la note de synthèse en simplifiant certains ternes utilisés afin de la rendre facilementcompréhensible, exemples: monitoring, screening

• prendre en compte l'aide mémoire de la Banque de Mai 98 et supprimer certains projets qu'elle nefinance plus; cela concernera aussi le rapport de l'étude,

* supprimer le paragraphe 3 et 4 «environnement socio-culturel » de la note,

• vérifier qu'au niveau des directives de la Banque, il n'existe pas de critères d'évaluation auxquelsdoit obéir une telle consultation publique.

Enfn, il a été décidé que Monsieur Guisset de la SONADER et Monsieur Diallo représentant leGroupement de consultants, proposent au comité de suivi, le planning de la consultation publiqueprenant en compte en particulier les contraintes liées à l'évaluation du projet ainsi qu'aux délais del'étude.

Fait à Nouakchott, le 28 17/98

Pour l'UCIPDIAIM

AHMED YOURA OULrD IMAME

Pour la SONADER

MOHAMED YAHYA OULD MOHAMED MAHMOUD

SALAH DINE

Pour le CONSULTANT

DIALLO AHMED YAHYA ', /

ANNEXE

PV réunion Comité de Suivi EIE du PDL41M 23/7198

PARTICIPANTS POTENTIELS IDENTiIFES POUR LA CONSULTATION PUJBLIQUE(En plus des Autorntes administratives locales, des membres du Comité de Pilotge et des servicestechniques régionaux)

. Elus locaux (Députes. Sénateurs, Maires)

. Représentants des organisations Socioprofessionnelles* Féclération Agriculteurs* Féclération Eleveurs* AGETA (ROSSO)* Président Association Usagers Bassins hydrauliques* Président Union Zonale et Coopératives

. ONG (Agnculture, Elevage, Environnement)• Personnes ressources i leaders d'opmnions (à identifier en liaison avec Autorités Administratives)

rSFRVICES TECHNIQUES REGIONAUX

* Délégation MDRE (K. et R.)- DR/SONADER (K. et R.)* DRASS (K et R)

, Travaux Publics (K et R). HYDRAULIQUE (K et R)* CNRADA (K.)* ENFVA (Kaédi)

K = Kaédi R = Rosso

ANNEXE 8.3.

PV du séminaire n° 2 - Comité de Suivi Environnemental du PDIAIM - 15/0311998

Rapporifinal - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDLIIM

Procès verbal de réunion du Comité de Suivi Environnemental duPDIAIM

relatif à l'Etude d'Evaluation Environnemental du PDIAIM

Sérninaire n°2: Dimanche, 15 mars 1998

Présents:

Baba Ould Bometss Cellule de Planification/MDRE- Président de séanceMohamed Ould Babetta DG SONADER (à I 'ouverture de la réunion)Ournar Fail Directeur DEAR/MDREGuisset Alassane Cherif CT/DG SONADERNgaïdé Amadou Moussa DET/SONADERBeddou Ould Salek cadre DET/SONADERCheïkna Ould Mbaré DEAR/SPNEric Tilman Chef de Mission/AGRERDialloAhmed Yahya Expert Hydrologue/SERADEFrançois Dugauquier Expert institutions/AGRERGeorges Libois Expert économiste/AGRER

Ordre du Jour: - présentation des travaux de terrain réalisés par le Consultant (S.A.AGRER) et ébauche du plan d'atténuation(sur base d'un document : "Aide Mémoire" remis en séance et annexéau présent rapport)

Compte rendu de la réunion:

1. Mr Baba Ould Bomeiss, Président de la séance, ouvre celle-ci et demande auConsultant de présenter l'état de ses travaux.

2. Le'Consultant, Chef de Mission du Consultant, présentele contenu de l'aidemémoire, qui passe en revue les impacts environnementaux analysés., les contraintesobservées et les 4 volets du plan datténuation proposé.

3. Mr Guisset explique que lors de la sous-commission 7 environnement. [egroupe a insisté sur les aspects salinité et santé. Il ajoute également que le dossierprovisoire des études sera déposé par le Consultant aux alentours du 15 avril.

4. Mr Bomeiss propose alors un tour de table sur le contenu de 1' aide mémoireprésenté par le Consultant.

5. Mr Guisset insiste sur le volet III - normes et recommandations. Pour lui,l'utilisation de techniques de communication est un élément essentiel. Il propose quel'élaboration de ce volet, le code de l'eau soit réévaluer.

6. Mr N'Gaïdé voudrait être inforrné du contenu des discussions entre leConsultant et la Banque.

7. Le Consultant souligne également que, conformément à la demande émise lorsdu séminaire n° I, le Consultant a eu des entretiens avec la Mission Banque Mondiale(BM) (Mrs Oka, Kini et Gadelle). Au cours de ces entretiens, la logique d'interventionet les lignes maîtresse du plan d'atténuation ont été présentées. Il semble queglobalement, les propositions faites par le Consultant recoupent les préoccupations etrépondent aux attentes de la BM.

Une discussion sur l'évaluation économique des impacts a eu lieu. Cette discussion apermis de préciser les limites de cette évaluation compte tenu des indicateursdisponibles.

-valuaLion Envîronnementaie PDIAIM PV séminaire n2 3'1698 page I

Le Consultant a également été informé de la suppression des plaines de M'Bagne etDirol du prograrrune de financementde la BM.

8, 8. Mr Guisset lit une note de Mr Kini (BM) indiquant que les évaluationsenvironnementales du schéma hydraulique du Gorgol (études devant démarrerprochainement) doivent être reportées à la fin des études de celui-ci. Il demandenéanmoins au Consultant quel sera le niveau des évaluations environnementales desinterventions dans le Gorgol.

9. Le Consultant précise qu'un screening général des impacts environnementauxpeut être listé pour le Gorgol mais insiste sur le fait qu'aucune évaluationenvironnementale précise avec un plan d'atténuation détaillé n'est possible sans avoirles études. Il rappelle que les seuls documents en posession du consultant sont lesTermes de référence de I 'étude schéma hydraulique.

10. Mr Salek demande au Consultant s'il peut faire une évaluation environnementaledes systèmes de protection du périmètre de Foum Gleita.

Il. Le Consultant indique que d'une part ces travaux ne font pas partie à saconnaissance du financement Banque Mondiale du PDIAIM et que d'autre part aucundocument n'a été remis sur le sujet. L'étude de terrain touchant à sa fin, il n'est pluspossible à présent au Consultant d'intégrer de nouveaux documents de projet. LeConsultant rappelle toutefois que confonnément à l'engagement pris lors du sémninairen°l, les études environnementales exploiteront au maximum les documents mis àdisposition de la rnission, dont les documents relatifs à Koundi I à V (reçus le 3 marsen version provisoire).

12. Mr Bomeiss demande à la SONADER de fournir néanmoins tout documentdisponible au Consultant avant son départ de Mauritanie(le 16 mars au soir).

13. Mr Salek exprime ensuite les difficultés de mise en oeuvre institutionnelle duvolet 111 (normes et recommandations) et aussi du volet I (observatoire del'environnement). Il apprécie la proposition du volet Il (POS), pour autant que lacartographie soit inis à disposition au niveau communal.

14. Mr Mbaré regrette que l'aide-mémoire ne mentionne pas les problèmesd'ensablement qui ntquent de compromettre les investissements, l'utilisation de la forêt àdes fins productives, et le manque de détail sur l'analyse de la biodiversité (ressourceshalieutiques et faunes).

15. Le Consultant indique qu'il s'agit d'un aide-mémoire très résumé, mais que tousces éléments seront repris dans les études. Il souligne que l'ensablement n'est pas unimpact globalement imputable au PDIA[M, mais que ce point sera néanmoins mentionnéet analysé dans les études.

16. Mr Fali émét plusieurs remarques sur l'aide-mémoire:- il souligne qu'il y a des indicateurs et attend que le consultant les exploite- il insiste sur [e thème de l'ensablement, la présence des adventices - faut-il en faire ducharbon de bois ou la détruire pour sauvegarder la biodiversité-, et le curage des canaux- il précise que la BDD et SIG suivi du secteur irrigué ne doit pas nécessairement êtreinstallé à la SONADER et demande au Consultant de ne pas prendre position à ce sujet- lePOS devrait releverdu foncier- il signale que la loi cadre environnementale devrait sortir est en préparation et qu'il fauten tenir compte- il demande que le Consultant tienne compte du programme global de l'après-barrage- il demande que le fonds soit consacré à des mesures environnementales

Evaluation Environnemcntale PDIAIM PV sémninairc n-2 3/16 98 page 2

- il demande que le Consultant se préoccupe des aspects forestiers, (cite l'exemple desgonakiers qui souffrent de la présence de l'irrigué.

17. Le Consultant souligne à nouveau que l'ensablement est pris au sérieux dans lesétudes et que le Consultant se limite à proposer le POS, mais que la réalisation du POSne fait évidemment pas partie de la présente étude.

18. Le Consuitant souligne que les remarques de Mr Fall sont d'ordre principalmentinstitutionnelles et indique que le Consultant fait des propositions techniques et que sonrôle n'est pas de décider de la localisation institutionnelle des volets du pland'atténuation. Il indique également que les Terrnes de Référence de l'étude sont suivisscrupuleusement.

19. Mr Guisset explique que le Consultant a pris en compte le contexte après-barrage et qu'il s'est rendu à l'OMVS et dans les services sénégalais à cette fin. Ilsouligne que les tiffas sont de fait une préoccupation importante. Il explique que lesaménagements structurants doivent permettre une meilleure gestion de l'eau, favorableaux gonakiers.

20. Le Consultant demande si, en dehors des aspects institutionnels évoqués par leDirecteur de la DEAR, on peut considérer que le contenu technique du pland'atténuation est acceptable par le Comité de Suivi.

21. Mr Bomeiss reprend quelques avis émis par les participants et conclut, en tempsque Président de séance que:- le Consultant ne doit pas décider des détails institutionnels, bien que les études doiventémettre des recommandation sur "qui fait quoi"- le plan d'atténuation proposé est acceptable s'il est accompaoné d'une stratégieexpliquant le logique des propositions faites.

2. Le Consultant confirme que le plan d'atténuation s'inscrit dans un cadrelogique, lequel sera inclus dans le rapport.

23 Mr Bomeiss lève la séance en rappelant que la prochaine réunion aura lieu aprèsévaluation du rapport provisoire

rapport rédigé le 16 mars 1998

Pour le Consultant Pour la SONADER

Evaluation Envimnnementaic PD[AId I'V séninaire n-2 3/16.98 page 3

Evaluation environnementale du PDIAIMAide-Mémoire destiné aux participants au séminaire n°2

15 mars 1998

1. Impacts environnementaux majeurs

Des matrices détaillées seront reprises dans le rapport -

* eau et sol: salinité. alcalinisation, érosion des sols* biodiversité: déforestation, perte de diversité des écosystèmes, zones humides* santé: maladies hvdnques+ sociaux accroissement des inégalités entre groupes sociaux, tensions pour le partage des

activités irrigable/activités traditionnelles

2. Contraintes observées

Les indicateurs

* peu d'indicateurs susceptibles de caractériser de façon quantifiée l'état de l'environnement etson évolution en Mauritanie

+ peu d'éléments économuques permettant de chiffrer de façon monétarisée les coûts etpertes/bénéfices environnementaux de projets d'investissements

+ absence fréquente de protocoles et de systèmes d'archivages de données+ cloisonnement des informations entre institutions rendant difficile l'établissement de relations

entre des indicateurs 'inter-sectoriels"

Les outils à disposition des aménagistes:

* peu d'outils cartographiques intégrés permettant une vision globale des interactionsinvestissements - Impacts sur le terroir

' manque d'outil permettant une approche participative dans les études et pas de méthodologiede consultation publique (composante essentielle et obligatoire de toute étudeenvironnementale, et ce, dés les études APS)

Normes techniques et recommandations techniques:

t peu de normes et recommandations techniques à caractère environnemental (à l'exceptionnotoire des normes de drainage peu appliquées)

Fonds d'accompagnement:

* nécessité de disposer d'un fonds environnemental déstiné à l'atténuation environnementale desinvestissements PDIAIM

3. Contenu résumé du plan d'atténuation

Volet 1: Outils d'aide à la décision et de gestion environnementale

Objectif:doter les décideurs (autorités nationales, populations, groupement de coopératives,administrations, opérateurs économiques, bailleurs de fonds,...) d'outils d'aide à la décision et à lagestion environnementale, de type "observatoire de l'environnement".

Principes d'intervention:* utiliser les ressources et les compétences existant dans le pays: concept réseau d'informations

où chaque institution développe les couches selon ses compétences

Evaluation environnementale du PDIAIM - Aide Mémoire 31/3/98 page 1

* BDD et SIG sectoriels établis et gérés selon des procédures strictes. Nécessité d'établir un lieu"*inter-institutionnel" de concertation technique.

* les données doivent. circuler librement auprès des utilisateurs potentiels. Nécessité d'établir unlieu "inter-institutionnel" dc concertation sur ce thème.

* L'observatoire en lui-mème, pour ce qui est de sa phase ultime, peut être constitué d'un serveurde réseau (de t\pe intranet ou interret par exemple) et d'un Svstème d'InformationGéographique spécifique regroupant les couches d'informations sectorielles.

* les mêmes concepts peuvent être étendus sur la rive gauche du fleuve, et dans le cadre ii!' la niseen oeuvre d'un obsernatoire à I OMVS (synergie des outils nationaux)

Composantes* Etude de dimensionrnement d'une BDD multi-sectorielle et Etude de faisabilité de mise en réseau

des BDD et SIG sectoriels* Mise en oeuvre d'un outil dc suivi sectonel du secteur irrigué (BDD et SIG)-Sonader* Etudes specifiques* Mise en oeuvre d'un rescau d'échange de données (Observatoire de l'Environnement)

Volet 1I: Plans d 'Occupation d(es Sols (POS)

Objeci'f+ intégrer les mutations generces par la coexistence du domaine irrigable et du terroir traditionnel+ renforcer la complementarité entre la activités générées dans le domaine irrigable et les

différentes activites productives de la vallée' développer une dynamique locale consensuelle autour de l'occupation des sols en s'intégrant

dans le processus dc décentralisation (niveau communal)* fournir aux décideurs dcs éléments et outils de planification des investissements structurants,

bases sur une approche participative et concertée des bénéficiaires.

Principes d'interventiona Constitution progressive par approche participative d'une cartographie d'occupation des sols* couches de base quw rclevent de documents géographiques et physiques (cartes des sols,

végétation,...>.' cartographie du Bucau des Affaires Foncières et couches issues de travaux deterrain: éléments phvsiques (infrastructures de base, points d'eau, cimetières, habitats, forêtsclassées, périmètres imgués. routes et ouvrages, infrastructures publiques,....

+ couches comportant des éléments devant faire l'objet d'appréciation dans le cadre d'unprocessus de concertation (zones de transhumance et de pâturages, zones de décrues,reboisement productif, zones mises en défens, zones d'artisanat, extension du domaineirrigable,..)

Composantes:* Etude de faisabilité technique et institutionnelle de la mise en oeuvre d'un POS. dans une zone

pilote (une ou plusieurs communes pilotes)* Mise en oeuvre d'un POS dans une zone pilote* Suivi-évaluation externe de l'approche pilote* extension systématique du processus à d'autres communes

Volet III Etablissement et diffusion de normes et recommandations techniques à butenvironnemental

Objectifs:* définir un contenu technique aux différents thèmes de techniques environnementales.* si nécessité d'une norne, établir un texte règlementaire (entraînant par conséquent des mesures

contraignantes).* assurer la diffusion au sein des intéressés (administrations, groupement de producteurs, ONG,

exploitants,.... )-utilisation de techniques de communication

Composantes:

Evaluation environnementaie du PDIAIM - Aide Mémoire 3113198 page 2

* Etablissement de manuels techniques thématiques et mises à jour régulières* Etablissement de nornes techniques et de textes règlementaires associés (y compris procédures

E.E.E. prévues dans la loi cadre environnementale)* Diffusion des thèmes techniques

Volet IV: Fonds d'Accompagnement Environnemental (FAE)

Objectjt.financer, ou contribuer au financement, d'investissements ou interventions à but d'améliorationenvironnementale.

Principes d 'intervention* fonds spécifiquement dcstiné aux atténuations environnementales des impacts négatifs du

PDIAIM* fonds d'atténuation environnemental divisé en tiroirs: ex

tiroirs accessibles aux structures de l'Etat (dans le cadre d'aménagements structurants)= tiroir -estion des ressources naturelles"

tiroir santectiroir `éducation et formation"tiroir approvisionnement en eau potable et assainissement"

tiroir acccssible aux individus (et collectivités)* logique d'interventions du FAE incitation visant au respect des recommandations techniques

telles que définies dans le volet 11l. Ne concerne pas le respect de normes techniques à caractèrelégal.

Composantes:* Etude de faisabilité du FAE+ Gestion du FAE et utilisation des fonds - tiroirs réservés à l'Etat* Gestion du FAE et utilisation des fonds - tiroir réservé aux initiatives privées* Appui technique/formation aux bénéficiaires du tiroir réservé aux initiatives privées* Suivi evaluation externe de l'utilisation du FAE

Evaluation environnementale du PDIAIM - Aide Mémoire 3113/98 page 3

ANNEXE 8.4.

PV du séminaire n° 1 - Comité de Suivi Environnemental du PDIAIM - 03/0211998

Rapportfinal - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDIAIM

i~~~~~ ~ ~ ~~ * j:

~~~~~~~ ~~~~~~~~~~~~~ tAt g~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Procès verbal de réunion du Comité de Suivi Environnemental du PDIAIMrelatif à l'Etude d'Evaluation Environnemental du PDIAIM

Séminaire n°l: Mardi, 3 février 1998

Présents -Mohamed Ould Babetta DG SONADERGuisset Alassane Cherif CT/DG SONADERNgaidé Amadou Moussa DET/SONADERMohamed Ould Tolba Spc.Ag/ Banque MondialeBeddou Ould Salek DETiSONADERCheïkna Ould Mbaré DEAR/SPNEric Tilman Chef de Mission/AGRERDiallo Ahmed Yahya Expert HydrologuelSERADEMichel Schepens Expert environnement/AGRER

Ordre du Jour: - présentation du rapport d'établissement du Consultant (S.A. AGRER)- débat sur le rapport et sur les orientations à donner aux études

Compte rendu de la réunion:

1. Mr Babetta, Directeur Général de la SONADER, ouvre la séance en souhaitant labienvenue aux participants. Il précise ensuite que la SONADER a transmis aux différents membresdu Comité et en même temps que les convocations officielles pour la présente réunion, une copiedu rapport d'établissement du Consultant. n excuse les membres du Cormité qui n'ont pu sedéplacer par suite d'empéchements. Il passe ensuite la parole au Chef de Mission du Consultant,Mr Eric Tilman afin que celui-ci présente le rapport d'établissement.

2. Mr Tilman présente le contenu du rapport d'établissement en mettant en avant les pointssuivants

(I) précisions quand au niveau de détail des études environnementales conformément- auxdistinctions reprises dans les OD de la Banque Mondiale - point 10 du rapportd'établissement

(ii) étapes principales des études et axes d'orientation du plan d'atténuation - point 10 durapport d'établissement

3. S'ensuit ensuite une discussion sur le contenu du rapport:

-Mr Tolba demande si le Plan d'atténuation sera accompagné d'une estimation budgétaire.

-Mr Tilman répond que le plan d'atténuation sera bien évidemment chiffré mnais que ce plan seraforcément plus détaillé pour la zone d'étude, c'est à dire les zones où des projets potentiellementfinances par la Banque Mondiale sont proposés (cfr point 5 page 2 du rapport d'établissement).Dans les autres zones du PDLAIM, le plan d'atténuation ne pourra qu'être extrapolé et seules deslignes budgétaires globales et indicatives pourront être mentionnées.

-Suite au commentaire du Consultant sur le caractère plutôt global des études environnementales(point 8 et 10 du rapport d'établissement), Mr Beddou Ould Salek s'inquiète de savoir si l y auranécessité, quand les projets soumis a demande de financement de la part de la Banclue M^-diale enseront au stade de la factibilité, d'entreprendre des compléments d'études d'imr. _ts plusspécifiques.

Mr Babetta répond alors; que le Consultant doit s'efforcer de détailler son étude au maximumcompte tenu des documents de projets mis à sa disposition, et que toute autre considération vis àvis du bailleur de fonds n'est pas de son ressort.

Bien que conscients que plusieurs projets ne sont pas encore très avancés au niveau des conceptset etudes techniques, Mir Guisset, Mr Ngaidé et Mr Cheikhna Ould Mbaré insistent également surla nécessité de prendre en compte au maximum les éléments de projets existants .. A ce titre, il estmentionné que, depuis la ,édaction du rapport d'établissement, des études de niveau APS relativesau projet Koundi ont été entreprises et que les documents d'études seront remis; au Consultantpour le 15 février au plus tard.

Le Consultant marque son accord sur les commentaires qui précèdent.

Mr Babetta remet ensuite au Consultant un commentaire sur la manière dont les offires techniquessur l'évaluation du PDIAJLM ont traité la composante économique (par Mr Remi Kini, BanqueMondiale). Il demande au Consultant d'en tenir compte dans ses études, et autant que possibled'essayer de rencontrer Msr Remi Kini, soit à Nouakchott, soit lors d'un passae;e de celui-ci àBruxelles.

Après lecture rapide de ce comrnentaire, Mr Eric Tilman fait remarquer qu'ici encore, le niveau dedétail de telles études économiques dépend du niveau de détail des projets proposés. Il marque sonaccord et son gr-and intérêL de rencontrer Mr Kini, et assure le Comité qu'une réflexion sera menéeau sein de l'équipe, pour aborder au mieux cette question dans le rapport d'études.

Mr Beddou Ould Salek 'nterroge le Consultant sur la manière dont il compte mener la consultationpublique.

Mr Diallo explique rapidement les étapes de cette consultation telles que décrites dans le rapportd'établissement (point 17).

Le rapport d'établissement ne faisant l'objet d'aucune autre remarque ou demanded'éclaircissement, Mr Babetta lève la séance.

Pour la SONADER Pour le Cornsultant

r>__ \,iC ti;A~~~- 2-oa~~~~~~~~.oz &

ANNEXE 8.5.

Texte principal du rapport d'établissement - janvier 1998

Rapport final - Volume 3 Evaluation Environnementale du PDL4IM

MINISTERE DU DEVELOPPEMENT REPUBLIQUE ISLAMIQUE DERURAL ET DE L'ENVIRONNEMENT MAITRITANIE

Honneur - firaternité - Justice

SOCIETE NATIONALE POUR LEDEVELOPPEMENT RURAL

SO. NA. DE. R.

Banque Mondiale/IDA

ETUDE D'EVALUATION ENVLRONNEMENTALE

DU PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT INTEGRE DE

L'AGRICULTURE IRRIGUEE EN MAURITANIE

(PDIAIM)

RAPPORT D'ETABLISSEMENT

SA AGRERea N.V.avenue Louise 251, bte 23B-1050 Bruxelles (Belgique)TéL. +32264063 10Fax +3226487538E-mail agrer(grarcadis.be JANVIER 1998

Evaluation Environnementale du Programme de Développement Intégré del'Agriculture Irriguée en Mauritanie (PDIAIMM)

Rapport d'établissement

TABLE DES MATIERES

page

A. DEROULEMENT DES ETUDES 1

A.1. Présentation du PDIAIM 1A.2. Les études environnementales 2A.3. Situation rencontrée 2A.4. Contraintes 4A.5. Mise en place du Comité de suivi 6A.6. Planning actualisé de l'étude 7A.7. Méthodologie pour la préparation d'une consultation publique 7

B. RAPPORT DE TACHE 18

B. 1. Détermination de la zone d'étude 8B.2. Horizon temporel de l'étude 9

C. RAPPORT DE TACHE 2 9

C. 1. Projets financés par la Banque Mondiale dans le cadre du PDIAIM 9C.2. Les Stratégies et Programme liés à l'environnement 10C.3. Autres éléments à prendre en compte dans les études d'EE 12C.4. Autres projets localisés dans la vallée du fleuve 13

ANNEXES

1. Planning actualisé de l'étude2. Cartographie de base de la zone d'étude (4 cartes)3. Fiches de présentation des projets3.1 Projets financés par la Banque Mondiale dans le cadre du PDIAIM3.2. Autres projets localisés dans la vallée du fleuve4. Liste provisoire des documents de base5. Liste provisoire des institutions et des personnes ressources6. Documents divers

Rapport d'établissement i Evaluatnon Envwronnementale du PDIAIM

LISTE PROVISOIRE DES ABREVIATIONS

BM Banque MondialeCILSS Comité International de Lutte contre la Sécheresse au SahelEA OD Environrnental Assessment - Operational Directive (Directive

Opérationnelle pour les Etudes Environnementales)EAB Etude Après-BarrageEE Etude EnvironnementaleMDRE Ministère du Développement Rural et de l'EnvironnementPAN Programnme d'Action National de lutte contre la désertificationPANE Plan d'Action National de l'EnvironnementPDIAIM Programme de Développement Intégré de l'Agriculture Irriguée en

MauritaniePFIE Programme de Formnation et d'Information sur l'EnvironnementPGRNP Programme de Gestion des Ressources Naturelles en Zones Pluviales

Rapport d'établissemrent ii Evaluation Environnementale du PDL4IM

A. DEROULEMENT DES ETUDES

A.1. Présentation du PDIAIM

1. Le PDIAIM est une approche programme qui définit une stratégie d'intervention etun cadre de planification dans le secteur de l'agriculture irriguée en Mauritanie. Lesprincipaux objectifs du PDIAIM sont:

(i) aborder le développement de l'agriculture irriguée dans le cadre d'une approcheglobale et intégrée

(ài) hiérarchiser et prioriser les actions de développement

(iii) augmenter la rentabilité des exploitations agricoles par des actions de réhabilitationet d'extension des parcelles irriguées, l'introduction d'une double culture, ladiversification et l'amélioration des filières

(iv) de poursuivre les réformes en matière foncière, libéralisation et responsabilisationdu monde rural.

2. Le PDIAIM doit être exécuté en deux phases:

(i) une première phase de 5 ans orientée vers la consolidation et la viabilisation del'existant

(ii) une seconde phase marquée par l'extension du secteur irrigué

3. Les financements acquis au PDIAIM sont destinés aux quatre composantessuivantes:

(i) les aménagements et ouvrages dits "structurants" exécutés par l'Etat

(ii) les lignes de crédit rétrocédées au crédit agricole pour financer l'investissementprivé à des conditions bonifiées

(iii) les actions d'accompagnement : foncier, vulgarisation-recherche-formation, appuiinstitutionnel privé à des conditions bonifiées

(iv) l'environnement dans tous ses aspects avec une forte priorité à la protection desinvestissements et à la régénération du couvert végétal

Rapport d'établissement I Evaluation Environnementale du PDWAIM

A£2. Les études environnementales

4. La Banque Mondiale (BM)' impose une Evaluation Environnements EE) pourtoute opération de prêt ou de crédit2 . Les projets d'investissements sectori- sont donc-sujets à EE. Les EE doivent s'inscrire dans les procédures décrites dar DirectiveOpérationnelle pour les Etudes Environnementales (EA OD, Oct 1989). T Fermes deRéférence de l'Evaluation Environnementale du PDIAIM rentrent dc dans cettedémarche.

A.3. Situation rencontrée

5. Description du projet présenté a évaluation environnementale. L'évaluationenvironnementale porte sur les projets financés par la Banque Mondiale dans le cadre duPDIAIM - composante investissement. Ceux-ci sont listés dans le point III des TdRcomme suit:

(i) Viabilisation des périmètres irrigués villageois entre Gani et Dar E] Barka

(ii) Investissements structurants des Unités naturelles d'équipement de Koundi 1 à 4 etdu Dirol

(iii) Etude d'aménagement de la plaine de M'Bagne

(iv) Gestion des Eaux de la Vallée du Gorgol

(v) Construction d'ouvrages de désenclavement du périmètre de Foum-Gleita(aménagement de l'axe routier Kaedi-M'Bout)

(vi) Appui aux initiatives de base par la construction d'ouvrages de désenclavementdans la zone de Gani à Dar El Barka, la construction d'ouvrages collectifs (pointsd'eau, magasins, abreuvoirs, plantations...) et le soutien à l'irrigation (financementd'études d'aménagement et d'appui aux technique innovantes) dans ces différenteszones.

6. A la suite de nos entretiens avec le Conseiller du Directeur Général et le DirecteurTechnique des Etudes et Travaux de la SONADER, les corrections et précisions -suivantes sont apportées à la liste mentionnée ci-dessus:

(i) prise en compte de l'Unité naturelle de Koundi 5 non mentionnée précédemmentdans les TdR.

Par Banque Mondiale, on entend: BIRD et AID2 à l'exception toutefois des prêts d'ajustement sectoriel ou structurel - Operational Directive 4.00,

October 1989

Rapport d'établissement 2 Evaluation Environnementale du PDL4WM

(ii) dans le cadre du "soutien à l'irrigation (financement d'études d'aménagement etd'appui aux technique innovantes) dans les différentes zones", seuls les périmètresprivés situés au niveau de la vallée du Gorgol font l'objet d'une enquête et d'uneétude actuellement menée par la SONADER. L'EE se limitera donc à cette zone, lesconclusions de l'EE pouvant par ailleurs être étendues aux autres zones dans le casou des études de préparation y seraient menées ultérieurement.

(iii) Le désenclavement de Foum Gleita est constitué de deux axes:- l'axe "barrage de Foum-Gleita vers la route Kaedi-Mbout" sous la tutelle de la

SONADER sera financé par le Fonds Abu Dhabi- l'axe Mbout-Kaedi fait partie du financement Banque Mondial dans le cadre du

PDIAIM et doit être réalisé sous la tutelle de la Direction des Travaux Publics,ce tronçon faisant partie du réseau national.

7. En conclusion et afin que l'EE corresponde de façon cohérente aux études en coursou devant débuter prochainement (études pour lesquelles il existe au moins des TdR), laliste des projets soumis à l'EE sera désormais structurée de la façon suivante:

Zone I: Basse - Vallée / Gani-Dar El Barka

Pr.Qjet I. 1: Viabilisation des périmètres irrigués villageois entre Gani et Dar El Barka

projet I.2: Construction d'ouvrages de désenclavement dans le cadre de l'Appui auxinitiatives de base dans la zone de Gani à Dar El Barka

Projet .3: Construction d'ouvrages collectifs (points d'eau, magasins, abreuvoirs,plantations...) dans le cadre de l'Appui aux initiatives de base dans la zonede Gani à Dar El Barka

projet I.4: Investissements structurants des Unités naturelles d'équipement de Koundi1 à5

Zone II: Moyenne - Vallée / Bababé - M'Bagne - Kaedi

Pr.jet ITI: Investissements structurants de l'Unité naturelle d'équipement du Dirol(dans une optique de décrue)

Projet I.2: Etude d'aménagement de la plaine de M'Bagne

Zone III: Vallée du Gorgol

j PQJ et IIT.I: Gestion des Eaux de la Vallée du Gorgol

Projet ITI.2: Aménagement de l'axe routier Kamdi-M'Bout (sous la tutelle de laDirection des Travaux Publics)

Rapport d'établissement 3 Evaluation Environnementale du PDL4IM

- i

PrQjetII.3: Soutien à l'irrigation privée dans la vallée du Gorgol.

A.4. Contraintes

8. Documents de base disponibles pour l'Etude Environnementale. Ainsi que nousle montrerons en détail dans la partie B de ce rapport ("rapport de tâche 1"), lesdocuments de base disponible se limitent quasiment à des Termès de Référence pour desétudes de préparation qui sont selon les cas, en cours ou prévues. Dans certains cas, desétudes ont été menées antérieurement (Koundi, M'Bagne), mais selon des concepts qui necorrespondent plus à la réalité actuelle3 d'où un besoin de refondre entièrement lesconcepts de schéma d'aménagement. Selon le calendrier de travail prévu pour la présenteEE, le Consultant ne disposera donc pas, pour aucun des projets repris ci-dessus, dedocuments préparatoires suffisamment élaborés permettant d'effectuer une EE de projetspécifique au sens de l'OD 4.004. Par ailleurs, l'EE doit être menée en parallèle auxétudes de faisabilité5 (niveau APS) qui elles, sont prévues ultérieurement sans qu'uncalendrier n'ait été déterrniné.

9. Signalons également que, contrairement à ce qui est mentionné dans les TdR, lecode de l'Enviroinement ne sera à priori pas publié en 1997 et ne sera probablement pasdisponible dans les délais fixés par les études. De même, le PANE, qui devrait constituerune base institutionnelle pour toutes actions environnementales du PDIAIM a été préparéavec l'appui du PNUD, mais n'a pas encore été examiné par les autorités mauritaniennes.Le contexte légal et institutionnel en matière d'environnement reste donc à l'heureactuelle encore trëès mal défini.

10. Ces considLérations amènent des conséquences directes sur les prestations duConsultant, telles que définies dans les TdR. Les constatations et propositions suivantespour la poursuite des études peuvent être formulées comme suit

(i) les tâches 1, 2, 3 et 4 sont des tâches essentiellement descriptives de la situationactuelle dans la zone d'étude6 et pourront être exécutées conformément aux TdR.

(ii) la tâche f évaluera les impacts positifs et négatifs potentiels des projetsd'agricultwue irriguée et des mesures de désenclavement dans la zone d'étude, defaçon forcément générale dans la mesure où les projets spécifiques ne sont pasdéfinis. Cette analyse permettra de grandement faciliter la prise en compte desaspects environnementaux lorsqu'il s'agira de réaliser les études de faisabilité duPDIAIM. Pour la clarté, nous proposons de distinguer les projets selon les classessuivantes:

par suite, notaument, des implantations foncières non maîtrisées qui rendent les schémasd'aménagement difficiles à mettre en oeuvre, et par suite également de l'introduction de nouvellesrègles régissant Je partage des rôles entre l'Etat et le privé

4 OD 4.00-Annex A page I of 6 - item 55 OD 4.00-Annex A page 5 of 6 - item 236 la zone d'étucde étant définies plus loin dans le rapport de tàche I

Rapport d'établissement 4 Evaluation Environnementale du PDLWIM

I. v7roiets d 'aménazements hydrauliques considérés comme infrastructuresstructurantes (composante « investissements en aménagements structurants »du PDIAIM), et dont l'Etat est en principe Maître d'Ouvrage. Selon« l'Environmental screening » repris dans l'OD 4.00 , ce typed'investissement doit normalement tomber dans la catégorie A (Irrigationand Drainage - large scale).

II. vr2iets de désenclavement (routes rurales) également considérés commeinfrastructures structurantes (composante investissements en arnénagementsstructurants du PDIAIM), et dont l'Etat est Maître d'Ouvrage. Selon« I'Environmental screening » repris dans l'OD 4.00, ce typed'investissement doit normalement tomber dans la catégorie A (Rural Roads).

III. _),rej'ts d'aménagements hydrauliques de petits périmètr,es villageois et deZérimètres ocivés (appui du PDIAIM sous forme de crédit long terme avecaide incitatice de l'état), et dont les privés ou collectivités locales sontMaîtres d'Ouvrage. Selon « I'Envirornmental screening » repris dans l'OD4.009, ce type d'investissement doit normalement tomber dans la catégorie B(Irrigation and Drainage - small scale).

IV. Qrojets d 'irfrastructures et équipements ruraux collectifs (composanteinvestissements du PDIAIM). Selon « l'Envirornental screening » reprisdans l'OD 4.0010, ce type d'investissement doit normalement tomber dans lacatégorie B (Publicfacilities, Renewable energy, Rural electrification, Ruralwater supply and sanitation, ..).

(iii) du fait de qu'aucun projet n'est techniquement défini, même au stade d'undocurnent de préparation, la tâche 6, analyses des alternatives du projet se limitera aprésenter les concepts majeurs à prendre en compte dans les études de faisabilité desschémas d'arnénagement. concepts visant à limiter les impacts négatifs de ceux-ci surl'environnement.

(iv) la tâche 7 appelle les remarques suivantes:

- compte tenu de l'état d'avancement des projets financés par la Banque Mondiale,aucun plan d'atténuation spécifique par projet ne pourra être établi.

- l'établissement d'un Programme d'Atténuation et de Suivi des InpactsEnvironnementaux (PASIE-PDIAIM) pour l'ensemble du PDIAIM, forcémentconstitué de recommandations plus globales peut être proposé. Ce plan constituedès lors un aménagement et un complément du document "Protection del'environnement" du rapport PDIAIM de 1995.

1 OD 4.00--Annex A38 OD 4.00-Annex A39 OD 4.00-Annex A3'° OD 4.00-Annex A3

Rapport d'établissement 5 Evaluarion Environnementale du PDWUM

- compte tenu de la synthèse des débats de la réunion consultative sur le PDIAIMd'Octobre 1995, le PASIE-PDIAIM est constitué d'une phase L, d'une durée de Sans, pour un montant estimé à 1,1 milliard d'UM, soit environ 6,5 MUS$, etd'une phase II, également d'une durée de 5 ans, pour un montant estimé à 9,8MfUSS (solde de 16,3 MUS$).

- la page 13 des TdR reprend la présentation du PASIE/PDIAIM selon 7catégories d'intervention. Ces catégories étant davantage adaptées à la définitiondes mesures à prendre dans le cadre de projets spécifiques', elles ne nousparaissent pas adaptées au contexte. En remplacement, nous proposons lescategoriies suivantes (des aménagements à cette proposition et des modificationsde terminologie pouvant encore intervenir plus tard dans les études):

a) Connaissance de l'environnement : établissement d'indicateursenvironnementaux clefs et programme de suivi-évaluation (SIG,Observatoire, études et recherches complémentaires)

b) LéZisLation et contrôle de l'environnement: Mise au point de procédures àsuivre pour les EE de projets spécifiques et études de conception et denormes visant à accroitre les impacts positifs et limiter les impacts négatifs,et ce pour les 4 classes de projet définis ci-dessus. Appui et formation dansle cadre de la mise en oeuvre des normes et dans le cadre de la gestion del'environnement (aux niveaux légal, institutionnel et technique).

c) Earmation et éducation / motivation : opérations de formation/éducation,information et procédures participatives perrnettant d'identifier etd'arnéliorer la motivation des acteurs du développement et des opérateursécononiiques sur l'ensemble des aspects environnementaux

d) Fonds d'lnvestissements : établissement d'un fonds permettant d'investirdans les actions de protection environnementale.

(v) les tâches 8,9 et 1 0 n'appellent pas de commentaires particuliers à l'heure actuelle.

A£5. Mise en iplace du Comité de suivi

11. Conformément à la méthodologie proposée par le Consultant, il est prévu de menerl'étude envirormementale en étroite collaboration avec les institutions concernées. Lors denos entretiens avec la Direction Technique de la SONADER, celle-ci nous a confirmé sonintention de prendre contact officiellement avec différentes institutions afin que celles-cidélèguent leur représentant au Comité de Suivi Environnemental du PDIAIM. La listedes membres du Comité de Suivi n'a toutefois pas pu nous être communiquée par laSONADER avant la fin de la mission.

i" au sens de 1' OD 4.00-Annex A item 5

Rapport d'établissement 6 Evaluation Environnementale du PDL4JM

12. Nous voudrions rappeler l'importance que nous accordons à ce Comité dans lamesure où une orientation efficace des études environnementales ne peut se faire que sil'ensemble des intervenants adhèrent aux recommandations proposées. Nous nouspermettons donc d'insister auprès de la SONADER pour qu'elle assure son rôle de tutelleet de coordination de ce Comité, la première tâche étant de procéder à sa constitution.

13. Le Comité de Suivi Environnemental sera convoqué à trois reprise au cours de cesétudes:

(i) séminaire n°l : environ I semaine après le démarrage des études par les experts dela mission en Mauritanie. Le présent rapport sera présenté et un débat sur lesorientations à donner aux études sera proposé.

(ii) séminaire n°2 : à la fin de la partie "terrain" des études et avant la rédaction durapport provisoire. Les points clefs se dégageant des études de terrain serontabordés et discutés.

(iii) séminaire n3 : après examen du rapport final version provisoire. Les remarques ducomité pourront alors être prises en compte pour l'édition du rapport final desétudes.

A.6. Planning actualisé de l'étude

14. Une première mission en Mauritanie a eu lieu du 23-11-97 au 4-12-97. Cettemission était conduite par M. Eric TILMAN, Chef de Mission assisté de M. DIALLOAhmed Yahya, hydrologue.

15. Le planning actualisé de l'étude est présenté en annexe 1. A l'exception du fait quela première mission du chef de mission a été scindée12, aucun changement notoire parrapport au planning initial n'est à mentionner.

16. Le Consultant se rendra à Dakar lors de sa deuxième mission afin de visiter leCommissariat à l'Après-Barrage, le siège de l'OMVS, la SAED, la représentationrésidente de la Banque Mondiale et d'autres organismes susceptibles d'apporter deséléments à l'EE (Direction de l'Hydraulique, ORSTOM). Cette démarche permettra demener cette EE prenant en compte les études similaires réalisées en rive gauche, et ce,conformément à ce qui est demandé dans les TdR.

A.7. Méthodologie pour la préparation d'une consultation publique

17. La consultation publique prévue en tâche 8 sera réalisée conformément à laméthodologie proposée par le Consultant. Après vérification auprès du projet "Parc de

voir fax adressé par AGRER à la SONADER et daté du 17/11/97, joint en annexe 6 - documentsdivers

Rapport d'établissement 7 Evaluaton Environnementale du PDW1M

Diawling", il apparaît que la méthodologie suit une procédure similaire et est adaptée aumieux à la situation rencontrée et au planning prévu dans le cadre des TdR 'appelons enles grandes lignes

(i) Préparation d'une notice d'information en français et en araF e 1 l pagesmaximum expliquant le PDIAIM, les composantes financées is les zonesd'études. les impacts positifs et négatifs attendus et les mesure de sauvegarderecommandées.

(ii) Diffusion de cette notice auprès des communes. Information via la radio nationaleque ces notices sont à la disposition des populations au siège du Conseil Municipalet information des secrétaires généraux des mairies.

(iii) Organisation par les communes de la collecte des avis.

(iv) Organisation d'un atelier de travail a KAEDI et à BOGHE avec les secrétairesgénéraux et des représentants des communes et les principaux opérateurs(SONADE-R.. DEAR. Direction des Collectivités Locales, ...)

(v) Préparation d'un procès verbal de consultation publique.

Le sociologue de l'équipe du Consultant sera chargé de cette tâche.

B. RAPPORT DE TACHE 1

B.1. Détermination de la zone d'étude

18. Conformément au point III des TdR et au rapport méthodologique, la zone d'étudeest la zone couverte per les projets financés par la Banque Mondiale dans le cadre duPDIAIM, projets listés par ailleurs et décrits plus haut.

19. Nous avons reporté la zone d'étude sur les cartes qui suivent en annexe 2, endistinguant:

la limitation de la zone d'étude selon un découpage administratif (voir carte 1). Cedécoupage conceme essentiellement la composante institutionnelle de l'EE. Les-études environnementales prendront en compte la politique de décentalisationactuellement mise en oeuvre en Mauritanie et il sera donc tenu compte del'importance accrue des pouvoirs décentralisés à court, moyen et long terme.

la limitation de la zone d'étude "stricto senso" selon un découpage mettant enévidence la zone d'influence directe du projet sur l'environnement (voir cartes 2, 3,et 4).

Rapport d'établissement 8 Evaluation Environnementale du PDL41M

les influences environnementales indirectes couvrent quand à elles toute la partieavale des zones de projets dans le bassin du fleuve (rive gauche mais aussi rivedroite) dont le contour géographique est clairement identifiable.

les zones agro-pastorales avoisinantes à la zone d'étude "stricto senso" seront prisesen compte dans la mesure où les activités humaines pratiquées dans ces zones sontinterdépendantes. Ces zones pourront être identifiées de façon globale sur base desétudes sociologiques.

B.2. Horizon temporel de l'étude

20. L'horizon temporel de l'étude sera pris en compte de la façon suivante:

(i) les concepts et la stratégie développée s'intégreront dans une approche à longterme, soit une vingtaine d'années, considéré comme la durée de vie économique desinvestissements.

(à) compte tenu des limites temporelles du PDIAIM, les estimations budgétaires serontétablies selon la planification suivante:

- phase I du PDL4IM- 5 ans: estimation budgétaire détaillée, permettant une miseen oeuvre opérationnelle rapide du PASIE-PDIAIM.

- phase I! du PDL4IM - 5 ans : estimation budgétaire globale, qui devra êtreprécisée en fin de phase I, après une évaluation des résultats de la phase I.

- période post-PDlAIM: énoncé des actions qui resteront à soutenir à long terme.A titre d'exemple, le suivi des données et indicateurs environnementaux faitpartie de ces actions à long terme.

C. RAPPORT DE TACHE 2

C.1. Projet financés par la Banque Mondiale dans le cadre du PDIAIM

21. Les projets financés par la Banque Mondiale dans le cadre du PDIAIM sont décritsen annexe 3.1. La description est basée sur les documents mnis à la disposition duConsultant. Dans certains cas, il s'agit de documents provisoires ou non complets. Nousavons également tenu compte d'informations obtenues auprès des techniciens en chargedes études respectives. Plusieurs études préparatoires sont en effet menées en parallèle àla présente étude d'Evaluation Environnementale. Les données sur les projets, telles queprésentées ci-dessous, constituent donc la situation de départ de l'EE.

22. Dans la mesure ou aucun document de base n'a pu être fourni au Consultant pour leprojet "Construction d'ouvrages collectifs (points d'eau, magasins, abreuvoirs,plantations...) dans le cadre de l'Appui aux initiatives de base dans la zone de Gani à Dar

Rapport d'établissement 9 Evaluation Environnementale du PDUAIM

El Barka", il rne nous a bien évidemment pas été possible de l'inclure dans lesdescriptions ci-dessous.

23. Il en est de même en ce qui concerne la route Kaedi-Mbout. Aucun document de'base n'a pu nous être fourni par la Direction des Travaux Publics.

C.2. Les Stratégies et Programmes liés à l'environnement

24. Nous avons ensuite procédé au recensement des projets et programmes en cours ouen projet ayant comme objet le secteur environnemental ou la protection des ressourcesnaturels.

25. Le PANE (Programme d'Action Nationale Environnementale) fait suite à laconférence de Rio visant à intégrer l'environnement au développement. Le PANE devraitconstituer un cadre institutionnel et méthodologique sur lequel l'ensemble desprogrammes environnementaux du pays devrait s'appuyer, dont par conséquent lePASIE-PDIAIM. Dans ces conditions, la mise en oeuvre effective du PANE estdéterminante et devrait constituer probablement un préalable à la mise en oeuvre duPASIE-PDIAIM . La mission de formulation du PANE, effectuée avec l'appui duPNUD, vient de remettre son rapport provisoire, celui-ci devant encore faire l'objet d'uneapprobation par le gouvemement mauritanien. Le PANE propose un cadre institutionnelqui sera bien entendu examiné en détail et pris en compte lors de la suite de la présenteEE.

26. Le PAN 'rogramme d 'Action Nationale de lutte contre la désertification) est gérépar la DEAR et appuyé par le PNUD/UNSO. Ce programme a démarré au début de 1996et prévoyait une phase de sensibilisation, suivie d'un forum national, lui-même devantdéboucher sur urn Plan d'Action National selon le concept de "l'approche programme". Al'heure actuelle, le fornum national n'a pas encore eu lieu. A noter que dans le cadre duPAN, une réflexion semble être engagée au niveau de la DEAR pour la mise en oeuvred'un Fonds National pour la lutte contre la désertification (statut du fonds, sensibilisationdes partenaires, stratégie de mobilisation des fonds).

27. Le PE.E Lfro gramme de Formation et d 'IDformation sur l 'Environnement) est géreau niveau du MI)RE en partenariat avec la Direction de l'Enseignement Fondamental surun financement FED. Ce programme initié dans le cadre du CILSS a connu une première,phase de 5 ans. Actuellement on en est à la troisième année de la phase Il. Des ouvragesdidactiques en firançais et en arabe ont été édités et le programme repose non seulementsur l'éducation des enfants, mais également sur les transferts écoles-villages et enfants-parents.

28. Le projet-barrière verte du Trarza géré par la DEAR sous financement CFDpropose une approche méthodologique originale (concept de "'protection desenvironnements productifs") et à priori efficace pour le reboisement et la fixafion de

13 la mise en oeuvre du PANE faisait déjà partie des conditionnalités émise dans le cadre du PASA

Rapport d'établissement 10 Evauation Environnementale du PDLAIM

dunes. L'expérience couvre 600 ha découpés en 40 parcelles cédées à des usufruitiers(bail amphythéotique de 30 ans). Les aménagements de base sont subsidiés (clôture,clayonnage, plants), les usufruitiers étant rémunérés par plant vivant au bout de 5 mois,par une prime de gardiennage sur 5 ans, et le droit d'exploiter au delà.

29. Dans le cadre de l'OMVS, le Fonds d'Aide et de Coopération (France) a financéune étude des -problèmes d'environnement et de protection des milieux naturels dans ledelta du fleuve Sénégal. Cette étude s'est achevée en mai 1995. Elle contient denombreuses données environnementales relatives au delta du fleuve (sur les 2 rives) ainsique des propositions de mesures de protection de l'environnement et des écosystèmes.

30. Bien que ne faisant pas partie de la zone PDIAIM, le PGRNP (Projet de Gestiondes Ressources Naturelles en zone Pluviale)14 est d'une certaine façon le pendant duPASIE-PDIA1M en zone pluviale. Il s'agit d'un projet long terme (de 15 à 20 ans),financé par la Banque Mondiale, actuellement en phase de démarrage. Il vise à améliorerles conditions de vie des populations vivant en zone pluviale, à apporter un appuiinstitutionnel aux structures administratives décentralisées et à assurer la formation de lapopulation rurale et des techniciens en charge de la mise en oeuvre du projet sur leterrain. L'accord de crédit a été signé en juin 97 et une première tranche de 18 MUS$pour une durée de 5 ans a été prévue (IDA). Le projet financera des micro-projets(ouvrages collectifs, diguettes, puits, pistes, banque de céréales, etc...) sur base d'objectifsdéfinis par la population elle-même. Le projet a pour ce faire, comme première priorité lamise en place d'associations de développement communautaires (notamment sur base desAssociations Pastorales mises en place lors du projet Elevage 2) .

31. Le priet "Lac dAleg, financé par le Fonds Européen de Développement estégalement mentionné ici pour mémoire, car bien que ne faisant pas partie de la zonePDIA1M, ses objectifs visent à une exploitation rationnelle et durable des ressourcesrurales. La méthodologie est similaire à celle mise en oeuvre dans le cadre du PGRNP. Leprojet se concentre sur 9 communes de la Willaya du Brakna localisées dans le bassinversant du lac. Une première phase couvrant la période 1995-1999 est en cours. Le budgetde cette phase est de 3 MECU. A noter qu'un projet similaire dans le Tagagt devraitdémarrer prochainement (également sur financement FED)

32. L'aménagement et la protection du Parc National du Diawling , localisé dans ledelta, est appuyée par plusieurs bailleurs de fonds et bénéficie d'une assistance techniquede l'UICN. On dispose dans cette zone d'un suivi d'indicateurs environnementaux plusperformant et plus élaboré que dans les autres régions de la vallée (basse et moyennevallée). Un plan directeur d'aménagement du Parc est également en cours d'élaboration.

33. Dans le cadre de l'OMVS, le Programme d'Atténuation et de Suivi des Impact.Environnementaux ('ASIE-OM VS) vise à limiter les impacts lié à l'électrification des 3pays à partir de Manantali. Ce PASIE comprend 5 volets (protection du chantier deconstruction, gestion environnementale des emprises des lignes électriques, gestion des

fait suite au projet élevage 2 financé par IIDA

Rapport d'établissement il Evaluation Environne-mentade du PD4I1M

réservoir de Manantali. suivi environnemental pendant l'exploitation et programme desanté environnementale). Ce programme a été discuté en novembre 1998 lors d'uneréunion rassemblant les autorités des 3 pavs constituant l'OMVS. Ce programme n'estpas encore opérationnel. mais il conviendra de surveiller particulièrement le volet'"gestion du réservoir" pour lequel un modèle mathématique de gestion à buts multiplesdevrait être élaboré dans le courant de 1998. Les stratégies à mettre en oeuvre en matièred'agriculture irriguée seront fort dépendantes des options prises en matié-re de gestion, etdu respect de ces options. par les exploitants (SOGEM).

C.3. Autres éléments à prendre en compte dans les études d'EE

34. La rerme foncière est un élément clef à prendre en considération. Le cadrelégislatif prévoit l'acquisition d'une terre en trois étapes: (i) autorisation d'exploiter de 5ans sous condition de mise en valeur; (ii) concession provisoire de 5 ans; (iii) titre deconcession définitif. La ioi ne prévoit cependant pas de sanctions en cas de non respect dela condition de imise en valeur, et la politique du "fait accompii" fausse les règles du jeu,ce qui limite les possibilités de mettre en oeuvre des politiques cohérentesd'aménagement du territoire. La matérialisation cartographique de la régularisationfoncière est réalisée à l'aide d'un Système d'Information Géographique (SIG). Celui-ciest localisé au Bureau des Affaires Foncières du MDRE. Le logiciel utilisé est le logicielfrançais GEOCONCEPT'5. Ce SIG est actuellement strictement limité aux applicationsfoncières. Seule une codification qualitative sommaire des sois est associée au découpageparcellaire. Les zones en cours de couverture sont actuellement Keur Macène et Tékane.Les documents de base sont la couverture photographique aérienne au 1/40000, agrandieau 1/12500. datant de 1992-1993.

35. Les in vstssements Zrivés ou collecLifî en matière de réhabilitation des périmètresirrigués seront soutenues par l'UNCACEM (crédit agricole) partiellement par du crédit àlong terme et partiellement par une aide incitatrice- L'obtention de ces crédits et aidesseront soumises à conditionnalité: (i) être en règle vis à vis de l'UNCACEM; (ii)respecter les nornes d'aménagement MDRE établie dans une circulaire datant de 1993;(iii) justifier d'lne expérience agricole; (iv) justifier d'un titre foncier. Les conditionsd'octroi de crédits et aides seront examinées dans le cadre de l'EE afin de reconmmander,le cas échéant, des conditionnalités additionnelles sur des critères environnementaux.

36. Deux étucies présentant un lien avec l'EE sont en cours: (i) étude de la filièrrizicole dans le cadre du PDIAIM, Banque Mondiale (bureau d'études SOFRECO); (ii)étude sur la rentabilité de l 'irrigué (SONADER/CPSE).

37. La route Rosso-BocIhé est considérée comrnme prioritaire et un appel aux bailleurs defonds a été lancé en ce sens. A l'heure actuelle, le FED semble d'accord pour financer letronçon Rosso-Lexeïba. Des études de faisabilité doivent encore être effectuées, étudesdont les termes de référence n'ont pas encore été présentés au FED pour approbation. Leproblème du tracé se pose dans la mesure où, en altemative, ce tracé pourrait suivre

distibué par Alsoft. 62 rue Jeanne d'Arc à 75641 Paris - Fax: 33-1-44 06 53 55

Rapport d'établissement 12 Evaluation Environnementale du PDL4IM

I 'endiguement riv,e droite de la vallée en amont de Rosso, qui devrait être réalisé dans lecadre de l'OMVS. Le tracé envisagé actuellement est localisé plus au Nord, et estrelativement excentré par rapport aux zones de production. Le schéma de désenclavementde la zone Gani - Dar El Barka est bien entendu directement lié au tracé qui sera retenupour la route Rosso-Bogue.

C.4. Autres projets localisés dans la vallée du fleuve

La description des autres projets localisés dans la région du fleuve et devant être pris enconsidération de façon globale dans la suite des études est reprise dans des fichesregroupées en annexe 3.2

Rapport d'établissement 13 Evaluation Environnementale du PDL4IM

Eo~~ safm samua sap llonqu lm--1iold - u-a-maonsa 4sq pi

ANNEXE 9

Check list environnementale pour la viabilisation des périmètres irrigués etpour la réalisation de nouveaux périmètres

Catégories de périmètres irrigués en Mauritanie:

Périmètres à viabiliser:

Il existe actuellement en Mauritanie 3 catégories de périmètres

=> G.P.C Grands périmètres irrigués collectifs=:' P.I.C. Périmètres irrigués collectifs autonomes= P.I.I. Périmètres irrigués individuels

(i) Grands périmètres irrigués collectifs. Ils sont au nombre de 7 et ont été réalisés àl'initiative des structures de l'état. Ces périmètres irrigués sont de type centralisé, autourd'une station de pompage et d'un réseau arborescent de canaux primaire, secondaire ettertiaires. Un réseau de collature permet le drainage. La gestion est assurée par descoopératives ou associations d'attributaires.

(ii) Périmètres irrigués collectifs autonomes. Il s'agit de petits périmètres irrigués de type« Petits Périmètres Irrigués - PPI » ou « Périmètres Irrigués Villageois - PIV », environ10000 ha aménagés. Ces périmètres ont été financés par les structures de l'Etat sansautofinancement des bénéficiaires. Les aménagements comprennent un groupemotopompe (module standard de 20 ha) et un système d'irrigation et en principe unsystème de drainage. Les études de ces périmètres ont souvent été trop sommaires, cequi pose des problèmes de fonctionnement. L'entretien est déficient. De plus le statut deces périmètres n'est pas clairement défini (non dévolution de l'Etat).

(iii) Périmètres irrigués individuels. L'essentiel de ces périmètres sont localisés dans leTrarza (près de 20000 ha aménagés). Ces périmètres ont été réalisés généralement sansétudes valables et sans respecter les normes techniques minimales. Le drainage est engénéral inexistant, les sols ne sont pas nécessairement aptes à la riziculture et la gestionde l'eau est irrationnelle. De nombreux aménagements ont été abandonnées aprèsseulement quelques saisons d'exploitation.

Nouveaux périmètres:

Du fait du désengagement de l'Etat en temps que promoteur d'aménagements de périmètresirrigués, la classification des nouveaux périmètres a été considérée de la façon suivante:

|=a P.I.C.a Périmètres Irrigués Collectifs E=> P.I.I.: Périmètres Irrigués Individuels

Rapporrf ral - Volume 3 I Evaluation Environnementale du PDW4M

(i) Péiète IrriguésCQllectifs. Périmètres dont les infrastructures de base (station depompage, réseau de distribution et drainage primaire et secondaire) sont gérés de façoncollective, la gestion de chaque parcelle étant à la charge d'exploitants privés.

(ii) Périmètres Irhçyués Individuels. Périmètres dont l'ensemble des infrastructures estfinancé et géré par l exploitant..

Localisation géographique:

Les localisations géographiques des périmètres irrigués peuvent être classées selon la partitionsuivante:

= ZD: Zone Delta= BV Basse Vallée= MV: Moyenne Vallée

=: HV: Haute Vallée= VG: Vallées du Gorgol

Distinction entre viabilisation et nouveau périmètre

VI: viabilisationNP: nouveau périmètre

Check list environnementale

légende:

mesure recommandable:

mesure fortement conseillée qui devrait faire l'objet d'une conditionalité lors de la demanded'un prêt::

mesure indispensable qui devrait faire l'objet d'une conditionalité lors de l'introduction d'un« permis d'exploiter » (législation nécessaire pour que la conditionalité soit applicable):

Note:

Les mesures énoncées ci-dessous ont généralement un caractère minimaliste car elles tiennentcompte de la faisabilité de leur application sur le terrain. Il serait par exemple illusoire àl'heure actuelle d'imposer la délivrance d'un permis d'exhaure fixant des débits maximum -tant que la législation et les procédures et moyens de contrôle ne sont pas effectives.

Les tableaux qui suivent devront donc évoluer dans le temps et devenir peu à peu le refletd'une législation. Les outils qui seront développés dans le plan d'atténuation devrontégalement contribuer à affiner les éléments repris ci-dessous.

Rapport final - Volume 3 2 Evaluation Environnementale du PDL4JM

Lors de l'établissement des études:

Vérifier que le périmètre s'insère dans un plan d'occupation des sols issu d'un processus deconcertation

VI 1 NPGPC PIC Pi PIC

ZD

BV

mv

HV

VG

Vérification de l'aptitude des soms à3l'irrigation et à la Eiziculture

Vl I~~~~~~~~~~~~~ NPGPC T 4 ~PIC Pii PIC PlI

ZD _ _ !

VG l | _

|Etablir la quantité d'eau théorique nécessaire à l'irrigation

VI v NGPC TPIC TPu PIC iPli

ZD_

B V

|HV --

|Vénifier la disponibilité en eau pour les usagers localisés en aval. Délivrer un permisd'exhaure fixant les débits maximum (applicable dans le cadre d'une réforme du code de|l'eau en ce sens)

IVI NP | BV | ~~GPC PIC Piiu PIC PiP

[VG IIii|

Rapportfinal - Volume 3 3 Evafuation Emvironnementafe du PDIA1M

Nécessité d'un plan de gestion de l'eau (périodes de prélèvement, tours d'eau, --ériodes dedrainage, mouvement:s des plans d'eau)

Vl~~~~~~~~~~~~~~ NP-GPC ~ ~~I PICI l PIC

HV I _ VG _ 1_S

|Vérifier le bon dimerisionnement (débit nominal, topographie) des canaux de distribution de|l 'eau - efficacité des rnéthodes de planage

fi Vl I~~~ ~~~~~~~~ NPII GPC ! ~~PIC IPli PIC IP[lirZDIBV-

rVénriFier le bon positionnement de la station de pompage (éviter des têtes mortes trop loges

1 ~~V I NP[GPC i PIC Pli PIC Pli

B V

V :

|Plan de drainage et de rejet -vérification du bon dimensionnement et impacts||environnementaux;

I vl I NP IGPC PI Pl PICPl

ZD_

|Equipements et procédure de contrôle des débits prélevés au niveau de la station de|pompage

|VI |~ ~ ~ ~~~~~~~~~~NP IIGPC I PIC I PllI PIC | Pli

éBV _

Rapportfiinal - Volume 3 4 E:vaiuation Environnementale du PDL41M

Equipements et procédure de contrôle de la salinité des eaux aux points de rejets des eaux dedrainage et éventuellement contrôle du niiveau de la nappe aquifère

NPGPC_PIC Pl} PIC Pli

ZD:

BV

VGI _

Plan de protection contre l'érosion et l'ensablement: reboisement, brise-vent

NPGPC I ~~PIC IPli PIC IPli

ZD _

HV_

VG 1

Plan de protection sanitaire (zone d'habitat, dispositifs de prévention)

[ XV9EIV; 0 T~~~~~~~~1NPI GPC I ~PIC IPli PIC Pl

|ZD_ _

1HV _

IVG _

Lors de la construction:

Vérification de la bonne exécution des canaux d'adduction, du plan de drainage et de lastation de pompage

|apport final -Volume I 5 Evalati Enironnementale du I NPA_LGPC § ~~PIC IPliI PIC IPli |ZD

BHV .....

IVG

Rapotfnl-Klm35 Evaluation Environnementale du PDL41M

Vérification de la boiine exécution du planage

Vl ~~~~~~~~ ~NP

ZD 1 ll ____ BV ;I ___$

HV.I I=I__

VG I ,||, _ |

Véification de la mise en oeuvre du plan de protection contre l'érosion/ensablement

rV`=I NPIIGPC IPIC IPli PIC IPif

BV_

VG ___ ___

Lors de l 'exploitation:

|Vérification de la cohérence entre les débits prélevés et la quantité d'eau nécessaire àll 'irrgation (efficience du réseau)T

I GPC I ~PIC IPHif PIC IPli

IH V ... :- -: iti 7li

|Vérification périodique du bon entretien des canaux de drainage

FVI I ~~~~ ~ ~~~NP_I

IGPC IPIC IPli PIC IPliIZDBV

Rapprificaina périodique de3rtcin cotr léoinEnsablemetio nionmnaed

;~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~~~~~N

ANNEXE 10 -.

Termes de référence de la présente étude

_ - Ew = _; j ,,_* - -tS.a=__,e>2r ié ^; , +W_>=

L;It- Yapponfmal..Volume 3 du PDLcIM___ _~~~~~~~~~~~~~~~P L L

t. -~~~~~~.

.~~~~~~v .-

..

-~~~~~~~~~~2,s^: .).

':n t .. -

* I*L-es cb ne^t :eLL e nLncpau de l.tsE.ldocunmcnt cadre de po1itiqu c ecr.on.cu~e _'.e _~a '~~~alC pour la péri_ztde -S4~6 Sont

dl atte c, -_r n _-,n de cr s~;ance de 2.5% mar an, de ramener letau:~~ d'~-:r~ ~ 2,5'~- n 96ed'aD AÀr les échancres

r:~~v_t-Cb~ort de V'rs.Ppef,zs -(C.u secte~Z- ruraLl

Dans ~~~~ .fan- ce cad- re sne~ot aMar.a~ ot tan qua

meurd croissn:.ce 'dre ,5 duL,, do,

1- r es o on ec:_ sac d aotpau s strat cicces cadr c' eolitn q aI ctro_cdue r`.e 'Ll ra mîtonrse ce plCI '2 future m:.se en son_

. ,*_a]t d > n :-d'^, ; l-, et;n g9 la- d'CéuileS e chne

eDans d_Cr-ta e2 en ron ref s de laent- c`.ur ou entou dural

!riscc n:5 r.

1 7 'objec_idl «aboràtLo de ceissancet de sa% dl .3, (i

il convairs t so scrna ier aussi qu_'cn code cle 'nv ironn em.t esten OczO..rs d2 -: e.att-in 'ae tan-e avec lc,e ob seeif -n

I c 0 n-t- L e Il rf a d t . s c trcuctn, ern in laredtem -!e! : et ce abrccUres d' Etues __ e a c: evr u o

ale':a iv e o n~o- (">E) esr'U 'rocessus est on cou-rs pcour laercn1rat~.cn G s_4:'u Po-;tX an 2Csert'`' fictLn lationa c `e h.enw 1 C1 icraE~eronnanenc

. (cF\:N-e on --̀ ac- .<ln cs s sr.ge c ic m-we c b ecs f a'--c c rcr, neu, s ae'I t»:Ocôt*'.*ru. <'e e oe-vre, une cDOeL ue nat o nae e s c l ' envL ronnL-zmu-nt.

t De m- e on cons ltate cue dee pcls en Lnlus,a- lxet t : - t t.

r1 convnen*_L'r- sicna'e c.osi rTt'.as une clne l'nvirr.\Q'eno dasé>9 .et c^r- etz '. eo ca 'on e. .a t aSeae ^lreoe1«Çan

ct-ast a.nszn -zue pour lez roedls &nest ec nt co nscr-ts au

' i rl4-t: der Due u- 'act, v:.epo. i -es na- .r.a'~ e u ne.rv - dirmonsio.

.`.--' eyv e n

, De .«v-re , :-. cot^aw Ctue de c7 en. =>us ` ! ./S ' f,t oeuvre (.crL- .Xn ror ; -c.o\asLFer+l- ^e*n...e'ed.l

t, ç es >>-jeFs >-t> c`|o>>^5 oLorxQtnXenc_. .

* onustre ~ t .cô , t ...

t ~ ~~~~~ ~ ~ ~ .*t .. ... .-

Am _ , X_._.. t. _ ..

* 1D q.~~~~~~~~~~~~i

V , -,

tnsc~.t ~(An:; ~ - r'' )e c ;

cadre ~e t~zatLor~ ~ itoyan t L-onug tar-ne (<L ans avec une

rL.ve .. .,

_ ___~er rar.tabLLL~des activités

'e ?DIPT8.N s'insc-i_2 ja zn,-) 5e c25_Slans 2C1 TOS\nh o qet ( const cm n,e un

Sa f crrmLe1a t .> a don arr5 en e' et IL a (' Lasaet d'unEi ~ n~n zer.suLtn avec es bai G`urs. d> e fondEa tenue

Nouakc~xo n Oct-obre !L995.

Cette. rs4-o_n-on *a "e.r.s de s'occorder. s'.ir un cerstacn noirr

rur'ies c r i .«a - `an ~e 'azn<e, re'atcunde o Lau ciseac cév' rabLen

|a zecteur àt sav;ir..1' réur.> DC2r~.ti' FaJc- et extension des in ' res Fconomlnue

CI sac a +cS.o _ eo.a O_le lé .col cces a_e- au Secte'-O d. .ct f (par'» exomr21 cD~. toutes ,Drincipaies, noS-st2 n c 1 a em en c amânae, dents scydraULzsure, un ec-trif nc

rur n t a). ire: 1 I amn e Lcrat teon dus czi.xtsr d u oucLn, proo' qucse- sntcL e' e,-x Les. r act e s a e res 2c cr 1

S c erLoot r loL' e s acuri ticn deu ?i 5'CS C

Ir le) ) lor ti c ee procI" ~ u, e-nstde

Pendant p 'r.-ep:ratLnd PD_ Y, nLusieure r&<Le ions ont onmerl '- e-'C`.`':' ancze c2rui ont.pcrmo dc, ci- ` rc, -~nvr1 -cnne,.n%ci Le. so ne c _ran du a; c tre ci n es neu: c s, nrr rtic-Li

A r~~ raoccrt s'~r '~~ D~-~ection r~rd _ C~Lcnee u n ,t I

La. base de avL'o' s nutnt deL. r ertE.

L es mesures _et ,sui.,et ins- to:za.r.oxc 2) cra ont.es, c'-evront c r tre` eXn2JLnc-1S a'a te nt.z -n ` : co L s u .- an ants s e te,. _ tud d e E. E

dafno sr osts , et de _ _ econ:,aetL*ans Les Zesnz culls t a n 17aon e`.c:ve't: /nco\! ' è-puLi:, ..

il -r _e b-': $r s c- ' es. ~;«o.sn C:arl erâse en 50ro da .!

~~~ D es e nacemezntns 4_rts nor4;an's on4_ \~c zxs ern cLace da.Œ'2 Ces an-.ce2ent4s - o-.t anor4V_l r5xe c"arxotetnr-:.e ncs _erescru'. r~~~~~r'~~~xer~~~ rl

, -. d asz1; xzorn< '. r .:.n n _n e_ 1,J

\~~~~~~c nv co.^end r a rlo . 4e ssissirE~r qe.ec ' f5pO`;c.Xz.lea''

13 0 ~ ~ n. ',inscr Lvarxt -'acUn% ooc de ~eo'- j DorSL )> re _o4,_ WF;: ?`lt»,CtR4 -`t` c''°'

3

Les principaux problèmes d'environnement dans la vallée duSénégal sont actuellement:. la salinisation des sols. le recul des surfaces de décrue cultivables (Walo). le disfonctionnement des plaines inondables et autres zoneshumides importantes pour les cycles naturels de productionanimale;

. la réduction de l'activité de pêche continentale et maritime,ainsi que la réduction de la biodiversité ichtyologique,

. la dégradation du potentiel en pâturage,

. la dégradation des foréts en raison des inondations quasi-permanentes,

. les nuisances "habituelles" de travaux d'infrastructuregénérale,

. l'augmentation des risques sanitaires.

On connaît les risques encourus pour la santé humaine si lesfacteurs hydriques - en particulier dans la transmission desmaladies - ne sont pas parfaitement contrôlés, notamment par uneprotection physique des habitants, ainsi que par leur éducation.

Le résultat combiné de ces facteurs constitue une situationcomplexe et délicate.

Les objectifs de la présente évaluation environnementale (EE)sont: (i) d'identifier les impacts environnementaux défavorablesque risquent d'engendrer les composantes du PDIAIM financées parla Banque Mondiale et d'évaluer l'ampleur et la probabilité deces impacts sur la base de la définition actuelle de ces impacts,(ii) de proposer des mesures pertinentes et réalistes destinéesà atténuer ces impacts, et, enfin (iii) d'effectuer l'intégrationde ces mesures dans la conception de la composanteenvironnementale du PDIAIM, en particulier par un renforcementdes organismes de conception et de réalisation des activités duPDIAIM.

Dans un souci de cohérence, les mesures compensatoires desprojets financés par d'autres bailleurs de fonds que la BanqueMondiale seront examinées et les dispositions communes (enparticulier renforcements institutionnels) seront validées dansla future composante environnementale. Le cas échéant, pour lesimpacts environnementaux traités différemment dans les EIEfinancées par les autres bailleurs de fonds, ainsi que pour lesprojets non soumis à EIE, les auteurs de la présente évaluationenvironnementale pourront être amenés à faire des propositionscomplémentaires en attirant l'attention du GouvernementMauritanien sur l'opportunité de chercher à atténuer l'ensemblede ces impacts dans la composante environnementale du futurPDIAIM.

e.s cofS ':an~s Sr ' ec` nr\nc:s cvderont zrEntndre connaissance desternes doe ~'-ene - E Lv aua'c on nà v7.roneneQnt:.e ce uie

n1s ' caci r: : d e rl v' oppemer.t . a' aaicltrr cdans'.a v&`lée do ''- Y Vo "v %r½cs. ,.. ,S&-xca2. iaa. Mnt. cO-n ài n ar' a qu ' ns i ue cIe tc ,.r' r','a. ion

'-!'V'-rt.t.an!\ t..n-^2orr.ant. 2.-a zone crv^ç -e >?a' 2.e r- MV<. ovZOt\Q e.véDlr ' .a -t z'.: oY.erntl e to net c vcr ze Oo1u`! afin de

cootErdc'.n-,er Lo"5-~ v.ra rdx - laas ?e mesure drui possi ble - z.vec lescowzlt' .:'. A s ~ '.?O ; 'de ces c deO. COQtr: cO .rXa c.evra se-'aire en teamc- e . e. 'orscue d-es echcz" s£:raLt ugiqucsseron, <t a u 6rz n cc ' our 2.ci mrirncLnaauz naramùtres 'xnotan!ent

A in d'&vitor L. . rv.nue d-'ur.ne durlication d'effort, i1. estvivenent cor:-r r.5 -~ e`ecoredonner '-es trois activ:.tàs, surtoc\at-cour co cqu` es: cz.e 1a co lec4e des donnr-_s pràmair?z et de l.acohr2 nr.c vre dos r:oc- vn ct t:. onS.

Les. c nsU:-'' dev 'ron1_ êora2.enent. idente ier cles mersonnesreSsonrxcs r:- '.5 c.h ` r:c cr.rsu2 er, e larznonLser leur rf'f exionsE:vec C2.es -ertc&z auor,zs àŽs inst1tut.ions concern Îes (Cellul-0e

?' an > za-W_> >., *sr, SOK'.AD'.'ZR-., Parc de a'\Fnq etc ...

.Le rrsu2.:at c r-cv:lnoirzl de 2 {va'.ation '.*.ro.owen:ale seraune s r c ce. :hs-.; e cn- 'cs, x:rres, entLfô.es dans le

4_«.ec' `^)t_>t r,rt r- r,r -. zron.D ai_f ni- t:'tt;lne L-

cornosanr: cul i:r.r uor-o cie .' uxx.luat.~on (ao rci d'ense'mb2 edu r:x'l

L r.Ses. n, rocess:s cuL __nuer> tcut. au lon!c dua reste de '--Drç?,-l arat.cr., r >:ncr cue. de la m Cse en Oe5uVr2:. CeC".te

CO-."-ce ar . ne p?ase d'dt i, cécr-t e c -a"7. cr c'ia Cer1obDjet & un r- _ at rss: erX re le Cou:vorrnerant. :aurL anien

Couxerrz':,e:-' `. -: .'!z. nc es erzt2 e2s.xrr'n

. la ;Lr.a cazq d7 a ss z'- en ds -'-ernes dc r+_-renrz rt le`ance.."2,: c'.r a 'a 1 of'r-e' -,our 1' -. t.r1E_or (.de 2' ,tude U-

la' ' . _;`Q2'a'`.-" ''.` 'Jn '`.'. déêro '2-em an, -t de '' 'é .de *'' .a~ s-zc.s_-n: C`'2'S racot.manada _ ors cie 1' >'_t.uc`. T: r`et rtrodct.ic4id'un Idro"'r 'CI d bY6.et de ui-Y. sur

2.' n7 v n et. (PA'32.S'e -idoss f 2.2.'o rme -m ent. ' e

* !.' 8 ! 3 c,' i -' +' r "'S' rl zor , n l-a l c xs s onr c 1' .v ckt5oriposan_t a'rz'ra'r 5, '2 ;tâ an« . 5 x'e i<0"'\ a'

* '* .. `' ~c o *r..... oé\54 'V'C .\T; .... ..... »a . l cadre r'1. 1. ? co.n-pss*

, ~ ~ ~ Rn

i~~-~v . .*

j ~~ L :_Ta 7 r: " r" J .,_e;"

-a va' ée ciu flcAve S£n aal' r .Ve, droite , y ccn.ris '.Xz etr tco !~ cou:v:e er.'.'oro> 4300.00 hla rêrartis sur c'u4:C 'e7ilaya

{T-" -?''., Gm- o2. et c.^id5ak5 et rÂx {Don satfa. .frecoisce-.. ` t-'Xl Ia Trar't:}oel zt' &eva::; I 2zh'. . 2S5 soit 14;%

a. a n;> az rc n r.ii,t_ onai e. E1- 1 e r 'us L ç_a .4 dan,* 4ri2k1acaOnFzra--ons d.:.nt Cr&: ai atrt dans s_p

L e non<2r.0^ cw.'ex^' oit-a.nt s e.e~ Coles e st e-ié à 2Tr CC, (de man2 ère

cs eDnr :*at_ve dont er.v,ron 25.000 pra qOerCt l'rrigation,c un total nttonaél 1t0 02 .O00. La s':r ace rnette a.monaaoeen e rri C-Z rZtcT:iCe a 25Y7 0 ha, a Xc e 1S s'a> D'-74 .Q t 4i 500 .ae n dcr'.ce cu ' le tcu.vette£ d' .' .

La zone d'8 'sde est la zone couverte nar l-es Prooetz Lr;ances raril5 a >,ncue ::~t,t'_2l.e dans le cadre du ' et d-.ot l a cc,Dosa1-ne

nvY.J zs:zs.ev-? concerne:

L- a vLabl tion des péri.Tz;trez iHr cufs villaczoLs entre GANI

i Le. cst»D. d,~z de l.a vD leo

: -*'>r x Lc. J5- cons s:uct...cn s-rd'ou'vraaes de dés claveent eu i eSC`u'r-C ` l ei r ` - :.eS Xt cie e r- ' -a Lr 'aêdL "a 5O'.-

a 'a n ui ùuv ï ~~ .tv e s d e b a separ la-cons-truction 'urce

CQstruC.tacn W ouvrac-es cc,locti4s c,oioz --au , nar-as ns,C. auvo' rr-., r nitat..ons. . . ., a .. on

.novat'~s~cl.i.--s ces cfre\:szc.nc±s.

-es -or 'an 4 --- r'evran.t ausc 'cons-, rer t.es :5nes dl nf !ncde ce. s zones d'e 'uoje ' a de cau`e, LIs déeprmineron'a zone Facç' _cnon iDlus <caiS aué1 nLve au c-rlavaoe de

e` t at-uc eront une cant?...'_ `e ' `'- t

, .. . . .~~~~~~~-

_ t.,tU " .Se_e ebs a acns»cEr lofae

CT~ ~ ` '«O^Z1;Vt,.:<+teti 1&%3tC. AIà,, _ ,\`;N

Pt ~ C:'ll-'C `\tRdSC` C_ S(?l!'S{ »t aa s

:~~~~

l\~~~~I Il-vd ` :

* Cc~~:te t~e'ze t ~cé '~r m ttr ae f.xcr l.s, parariàtres uvr.sz e r Z. . -o s e de la zone &t ri e , drtn ' - = c -

l'hor~~~~zcn ~~~ Ga ?2 â~~~~~c~~c~~ ~ ~ unc r~~ ~ &:r~~ d' ~..r .~~.nce d es Ln v1 L er nt rnL e!, plaçce~i

-az: -cn . can r deS ols 'dn,tervzen'c-4nce (n'otmn-n martedëf 'at'ions dres cr5u'! - ectrns:

T c' e 2 . Cr tc.-L. o': oro et n e-rsent â ia

Les raar la Bancue londi.ale sc-ter . d(ncre>ins dansi cl.é _e-urs. orincala^. : ascz' enc;.tde cone, .cr.cteicn et sc . c -n

uhaze ce cmL~.D ~ LS_~~spcderzXce.e 2.~z D»z>Car*-<_.5- lrones en t sti se s n es non

f nanes d'ans ~ - -~~ces;

IC r = 1 se .ont .' aidCI .!s c e-n: c. o-cn a l

Les ccnsuf -ants col lecataront, &.'oaluercnt et Dreerto lesuonnur s -. rant «vDa' q r at;-ves wau carao. -c- r -<atLues env:.ccn ee ?ntde lazon ca e donnée~CS seront~'_ CCUlCCté_S c2.:nS '-n SyStèMC

1~ ~ ~ nr'~n ..x'~iqe ..r ~l~ê cu rn.at

-. na! rs n- dee -ecnnzir-. du _ar lajui:o. e'e`?-ee- Z I sera conpaet'I:Lemen vn' es Csc=)uces e .,. e _S( fecrnc ier fA:' i c la C.u2e de

La scr_'u' de 3 l '>5é -.- `ta-'.tits d_ A-elr env ronnéent romvrerv2.ra:(2} Lenv~~~~~~~ne nt chys'ique -L a '- eoloo~ de base, la

to'car..cl,le cjLma et un aeec cela:roo! cente, co.su'r*a-. :ect leson, <conditions olev z^rics es n.1appes

\ -~~...les zcrc-.*3s^ c«atl's e l oluzo au aat s_ues eau" _x >naturen ales

t d ve'a dn z?f' ité dans les so.'_ rliu' a': `z . Ces crueanasrxnt rie t- . iordu barrc..e d 1:'.anza 2.c:. eu n:are oL

*sur -~ -.<.5.*^' _- c,r...~,A,c _- c el:. cours d'cu-e aQfeo:t&. nar~ e ~ .'~. un. .i'veau artiniciv2. d et Les autr-e

" J 0`soar':`, s 2 ct ̀ es _o`s, le c ' . 2.la t e n d'> 'aa':c 9e: d a .E éf< - oq

ti ~ ~~~~~ ~~~~ -ée_I r5'r ' >Sro,A_; ^- f,f 'O C 8 5(is,:,

.4~ ss -o~)cXXo-`-sCe52Vo)q- n ise85^ arçr e

i ' 'env Y neL bIolo<îaue - la flore, la faune, 'es especese, S +nres i i: ats cr ji- ques poten lement touchâs par

' l ̀e pro- i:. Il ='.u-~ :1u_ .v re l'accent s Eur '.s - orets r.sv'ées ou> C)ac cC : .acr:u, ' :lTr.C, ' CS te-rs- h,umzdcer eDertra n.eCtez et

.S <. i nn< r '2''.'e:te. e_t aror ¶ , ' es esp ce, C.a D?o4 ssons9 9~~~~~~ omtrc.".^.:-_ ,'zress an4es, et.les vecteurs__ nc:rae.+urs de* . alaaiac`i's'.ne^.aL. ..e <-(e'uc.«:c- les?bh8harzioses intestir.ala e'_| uineairQ.`t e': ,za.'e.s (e ( stonatose et lz fizàv"-e de la vallée duP <i ft N

j (ii) L' ervLr er. _ soc_o-curterel - momulatLon, et lescaractLzs=icvuos êth.ic'es, 'l os c;-:r.ogrraphL es, l la structure

! co.ln": r,`t :l ``sat..n des terres (!es c'.roits rad tiort.nelsy et_ non.-t_rad_ _onnarlt 's, 'le programine foncier râcerTnent adoctà oarle Gc-:vp-rne-2-., les M-zo- ets de voneret e- cours,

n' in rastrutct r e cornnaucazre, e't 1 ro, âec cu'turelles;et

(iv) ''enlvLr:nnernen4_ institutionnel - les principales_nstitu;:-ons _m Lcuâes dans la planification et la gestion{ env«-on.nement.4 e.'e ct les activitâs ayant un imm ac t sur! ` ' envonr.e -t. IUne a:ttent;çon par'_tcu'rc doit âtre accordAei a2UY. a_ L';i :_|`S ncas rar d' au.res bailleurs c de -onds dan.s la

` t v&e.': atrs rn'2`. râle mouci bar les zolitiaues s2c ori'alls C'.a^n.!lut*lit sati^n '-e l'eaul et des terres.

Coromr.ne ^z-crC.e:'-nent r*entior.ne, des inforr%a+tins pertinentes ont

po,r ev..tzr _-»-. "'.Lzation d'e orts (ct ` r:th eJ� . cen>d2, <n -rssntes onr n eu_ te udéj à

co~-'-Se.o _ d s ' e Cadre des êudes d.' iysrnact_s sulr 1' vtrorntnetden ccurs dar .Z La àos-ecio:et sontdo .c con lter et utilisere.n -z_ îts.De nène - Luat:on environnemnentale doit se corntormxer à laditsrective o-~-ien.cn-.clle (OD) 4 .0.......................s:, sur les '"v)aluations'snvi/:ronncimeno:.le de l5c3oa Banqrue- M-fndi ale. L' àtuc&e dici . al e.^ienzcoiné_e.n. 'S .re_ç.nt5>.s p.TTmLrctLauN suivt-tsrç des<.< <-cc*&'resin t erno.c s de / .e. '> e n.c ue `,'tondi i2al e . . e

w3 QD 4.023 La certion des ennermis de; cult ut.re

QD G: Z. ̂D7 La 'C,st` or. cies ressources enr eauD 4 .-20 Les ?mDulatonsini cnes

QD 3 .4.2033- D& _,ntv' _ivolontairc e4t ràinstallation de personfnes-4 CD 4, . OO3 La liticue environnementale pour les a: cts dc

l~Q 75 barra`c0e'@"'`' r<esct~oz s, C °D 7 - 50 -elatifs aux cours d eal an':rnationauxOD 1L;.70 eoxe.tion s dnN dir.ns acs -' L- ay.>.v'c• -ar la

I ~~~Or' lcte Ntt `I t_.2 Lc.sz -,es naiFure l'es; leur %Drot ectîOn. et a es't_,On.>tt dans 'c e^'edot .e pe.n eooiu

B . l 7 . 5 0 C1 f f>is on de '"nr-ormatior, esto dupoubli~c.

:1 UD tC

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~: a"'''

I~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ %' ". r -": ~' t ..

, r Jv': davra. au^s»; :''hC.tŽ: e o~c colwlae s vrie.Lacins du Code c½e

j: chapLre 1 rc es r t-e"lts '~ air d-) .~u r % cchapztrc~~~~~ I 5 In: :

! '~a lcgnslatLz-' or>. rtÉ`-.namntala er. v5<uur rr. u'.r,e:,aro 't,'esn pças n:auzt 5. '-. cro-.e de Lon env,rcr-.mtna>-av'-l2 esnrsa~-a D r.\. ac L' o aLn clu sectaeur comnrrin Él c un d.Qrret\

I . a_t -L ua)t la. D ati-c_cnLr do l' nvfrornnerment et 'e: '.xn.ac2< mev:| 7'Ru-a' (DZXRl` ' a _-os nsab l_te dr- tout ce ctuz t 4chzre à l a

conserrvaL:or c. ' . na,ura (N0 8 , La Coda c a : ei ala ?r<>e--:>.n de a Fau- (oi 5. 0 , 'es crccilures te! ~~classeartr dsŽ :offserv cs natuarll es et dnes ',arc _ man .aux ( 7rrêV

R1 0-20 du' , LL.2.S le Code EarestE er en cou- . -__f (^Z.1?25), e.:z un Coda C*e ' '_au.'

il ccnviaendr,a éfca' emer.t de r a ppeler 'es consic'éa ions`,Jz ~ L=cq: e>i>.nta_>-z D0rcra aux oé rat- ac,ns recevan: u - nanc-arnd e

ç '~~a '2ar\c>>uc V'.crcXi.a', r'.isŽ oua lars *c .ns{i rar+'~ c.-l.t'a> S

2 ut-es bai`' -'"-e- <a _or,&z inl" c_fs . Le `'_ i *. r. '-Ev a .z. a Lns s-.v7 r >. me nrt al es" e 2. Earzau2 Y i aI c Ç.*a n- nib ,en atn z a` - :,ra ltê, eZL enart e' - & .-) r eif;, rr8'é "-te=ert<'*e

r-'.- .- . ..

| _ m é -ie . .2e7 te:^or. .v'1 >.:r................. c> r s _nctr-; : ~''- E7 ,_-J ar o - '- k..

;' c5uLo Lu: c L ; ntX>ç e c.a r e n LC r n art c r.o '. ej '' ^ C¶, 'es _Mpe's . a"'sa, b cos2 au fs n e . i'u'

ai.rv e t.end-rrerai_ 2ro blast;ner.r e ro e t rroposiç. 'in ea -i Sr"-a-i cr. ! f. c- .L s:_na,- «cr les irpacta dcp. ractes -z . r

T p~r~vO' ea_ '2 un e ^ar':; at ses 'nnacts; ie:rn>z s ee 2u:ur-sir c` aut

- X '_'_n"atr'. 'o`nS risqules de marasitoses inar rê& _ e.t.or d'urna ea r a A u r',\ e -atl e darns l a 7.one rc.e e t ?. ove r" de

; A-E bessa wo5' :n '

- ,anaritatL 2n a-.- 'a aroduativLt arari o' e r<ce C' ade n isv:ia r du sol de p iérntras f -urLa"_s

. - z-5* X"'>er. 2 ..... . '. .. cl es t.on dc.z zones arbOrçez- ce la Val-E

d':r~aa dc EabL,a arçac. es r:cu <cI

f ' - ,?ccroissc."-a.e'.t deJ L'an 'cacramant anrico'.e. c'ro essŽor'.r,r z~~~er:¶'i.7n:l 1' acar<:s é. une mT'.''"U- ILueC.`lr.iz'._ c; v a.,_(n -% j \*

t:i tl(E_'l eu rAe rcd . r e nc a . r !

I- .,.- -,,f~~~~~~n ri 'i ' `. ' nr _

L~~~~~~ L

[.t~ ~ ~ ~ ~~ -

Dans l e x'c e~ -' e^ras'rucures et écauLperw2nt-. 1cô `e-'. 5v;t

- _a c: .s* '._ (e *e '-,eau au> ,Doints de oom,nacle et de dccharge c! our^!. r-»--rS ,auns aussi bienf dan- zen. <tt ac

4 mr q- .)c '.

i t'O:>xe>'.c r,ot a.rnent au re-s;ar-' '.e 1' ';lLn ' aia__orx ,.es nY ,.

t - ' e d L.a nace a:zsoci.e à la d^sa2.inL sea_ior. des terres irri guÉa': ` :x -. .^.a.k ̀ L >or et modernLsaz ' on des nérimiâtres

!&'':. .na. 's (5.700 ha net e: 44.5 b!0a ̀ ruts i '':'` C'1`55' LA es du dre.ana«e sur les pa uraces et la culial:

j des. `'"` z uerra_ines eC_ superfLcLelles se;rCnt_ a'»lS` exa..r

Dans 'e vo`et mromnotior. d e. la nroc)uctor. a7rr_.c'Le les asee':zi s*.e~ ..........-.... r~._ a èFrc ex.ircs:

- la croe znrz de la producticn agricole et s;s aiversLficatiV :: .fac ;on e2. et l.-robable su7r l' util isa a cn d.eo.s p re c I-its azi

or d.-s es r ssues assec es sur la s -a'n h1 ne,

t s`~~r' -_e \."'-a..ct>s `:ou5`rl1a :d.cru\e. cn:rôl&_Oe;- - - - - 7Unc-2S~C_ ,r cfonc' 1 Z

- 2~ *n :':e-et des eaux usoes t les3 c. rs à le.aTco..: cr d',c>un cu rlus_eurs. aba_t'-;

; - ' ' accen _t ct.orn des nlressiq\ns sur e' s p: c ; deàr-e`u~. *n- dl la l otca' du bata` or.e". i '; ve= - r:n s nsnrr,es dans la valliée ct L ';a.clLora:i_ on tâBe

?.` ' a'.s?zr traler.t en intrants ('Droduz -a~ _^e".r: <'r,a ba1~ ) t l`a'. eréat½ n c'es '[':2:s ':±!;o0 auY`-;

,' ̂ ' 7'cc-- so-ne nt des cIci5Cr_s cu turau x c. as<s oar elanr riz.-cl..o dI'cseaux: (sanza-ml ' ;'e7a - 'ieloa`.

,1 -' dc -o:.d - ldes d seos .r ci.e &sel cré2_a- vez s.s lae':ect *:a ` 're 1'e a e.re c ces nt.p éve' C _ ave '

D'; ne m'rr-.era* ex.an.rale'- les respon'sables df L '&ft.e £ -assean rcvue v _ tz es tsipàz ts nrze atn s us c e en ties ci' être obDsna .x ` a z':S tz E d la :-Lse an oeuvre 'nu Dreoea:.. ' a

reul2re s^,'_`era~5 _f5.-D apntDréCeè a -ol<zrtùe à rous c rr- .sz-e on t +' 1 s i C Žre r i-r v er- bles au s '_teu:: c` r

`-a bse de c-_t examen des r. ac r .:a l'- c'r c". 2ec_. o 'da. ' en\oelinoment dcU ?'Xy - u'

t~~~~~~ -

fr q

.!r~~~~~~e re a.e ,- vn t

t > cra i^ur ' ,:-s_Lo de cevwix lenea e réna c an4.l xalstero nati !s

**l 0 ;- t e_e>' e >5^ >toif n' a ctC zxr> .t.roo . ' e<; Ces .C+: u

T 'es . téesrSer>.t ons rena4;i~~~ ~~ve aux !@7*2~npas toe4 G'sRea E

i ç>.tta._n;>es~~~~~e pa -anoa ax srn L_:r.. Il: e e s neou s 0 di~mna.ta

t `,t 5-.`>.>.-- ;?.'.L':.':'`.~-.z,t t) deGtir Zn 5 n C2`�5 e Gn il

r ~ ~~~~~~~~ -t^ 2éftl: e -E <`n s l. -^t 8, aD .2 r fC c n a e 2 rnt2er n

| caC!r-fveZ~u r -aon a ce >rt t Sas ta >ut ler c`^ e« O 1e. 0.2 tc .n--on o ie~s e

-- z_<-_7~~~~~~d d'iG-,, E' mn,et`l a_l XwE*rte,c s` c"D. i reme! a- e

{ _*l=ta*4:rc^:tre-* e`* n e ?zl~dautres esc%cs cpéam_..i

t S_ . ' *'. C~~~L:~ t L On f LE a c r eF ,t c M, sura e -\_,

l ' r /érv«tine _:W.arrfee de~~~c deme il environnee ' ndBva-ct. .tL 'nce

.t C`fXsts vtr~~i e s I'm c' ' ;`-c r c1 v mnte n~ ls `lta; Rat>r .lns- enF

t} ~x~ 4_É tlr5 5; 2'_ îorm. nt. *\l._at.G !es d _e

>~~~~~~~I a r- ; s (2 r '. za ' c, n -e 1 _a.a rz ;L> *<-;xn!>? ev e r -e 1t,^.à - i-s .rren

't~~~~~~~' t'`« cn'' sC!,cst rrt- sso'. rc i SO r z, fO' l^X-, t"t -rC- Cl îfi\ fr^>oé"r-

-rano_;' - Ws x[->-~.exr.nTot*Æ-,,, su4_r, n;a s t> e ` - -

: 2.

Le! ~1-tudieran- de près ces rie.madat ons e-t lesmOIIIoul-ron'z e, fcnct_~cn des analyses ~cie.z x.rn

- O' e' os nesures 'i.,

- Pr'aration d'un plan d'occuc)p.atîon des soi.s nour la zone. __ >-vc-^Zn dô_ ?roC-t. Ce 'alan d'ccc-2 nat_on des so`s nourra

compren , `le -, dlibér, zones dee zn.es .? c^lŽ.r les* eaux de, dr-a-C saloes, zoneS bien crcons;rites Cui' seront;

i cogressn vem'-tn_ st_éri L sces ade men.ère cLntrôle. Le choix, la', irin:-o._atort. r-ise et le mode-de gesion/nrotection de telles

zcnes sern arrc-és sur 1a bnase d'une nroposit_ion desconsultant:_ anres -valicdation nar -ne ` arge auc'Sience (voir

i ~consult at ^::' du w bltic), .

- dve ccnemen dl'u-n DcroCram7Ie de ormat>on a l'utilisationsaine et 1 :aml i.ica ton des croduts. .ro-wmiues ZvQc un ?tSDec-l' i;*nt -odtotsn d ap-_oches non-c` s:ocues ror __. 'ut contre le,cnnein-,s e.cn r os et plus n^raler.. d' uc'CationienvIrcnnc-en~l-a, e ar exe-nnle en synter92 e ax eo `e pro«raCI,r e

iZ'.ur_ cpnne,

r- :oc--Lndat_i ons en miati.ere de ddar 'aC n;r c`to ilagro-'> f~orester-e n > - oxornme en s' >tns >*:'s tr`avau ) ectu>l n>^>4-)s u

Podork 'E;éndcx'L` ae avec 'd'u Ponds uoen de Yv,eonenr\t

- concocti*on d'unX svst<;iw;e de pi4-en:e rLnmaie ar)ronrieiour 'ez atoirs ps. en p'ace dans 'le cadre ru o:; et

j - cvelccer~ent Wde stratilciez de rer.forcoen-t dec synereiesr ~~ acxr culur-d 7 ,-..ovage (ex.fenpoe a.ccrosi.~' de lnan cS .b n çorQ=^ .acesr ;-é _, c._ c:D.)_n« ^ -

i ~ ~ ~ - aora^cr arnon écts JeP ,ese.)renc -e. lture--s

- ran -z-orent des actions d^e ornatio e- de v.u!Carisationnrùvues ozn _nL-)od^_uisant Ces asmects e_r- -ux (exeo'e:orration es aQents dans .les aspects dd.' ntax e giestion

d1'une drir utu durable; ove'opDen _, _ nes derzinenzs-sur les rstcides. la. rotecticn on .e e' eau! eLa , synercoecoss le a e c -,es dCtvts des nrc-rs- ' serv.ce£ sricoles",

% - d'u:.ne. mani cre qen e, oot on e.es; act'vit siccr.plc,entre.is ces ICt+_>Vis e. a r.-'arcolcs zr.diftionne''es,

c '_> .. ^- .n_ou-` a riS; on c'-srS,-irocs ni aci_X.e''er.e.: r.on vxl_ce"so_-re n<u_i`.: I}l.;c;>__ e-t

}~~~~, p.e c'vsn-:et ''.`>/~csa'ial s v c-. dzan, u7nul esprcoe ~c -'mre 'c est:> ort c`.es ;terroirs" et

5 - actons dcie V. dos, pinicateurs envnron.rentaux pour unfmei` llure co nnai ssance dos- chrinoe nos run- une mneille_,ra c2.on sur eu,rs '-cluse s (ex. 0tti 2'r-t; la i tr1 d

7 oioez8lV . ^&'. n- arLùon c1Œs .terres'),. .

I «~~~~~~~~

est cors c.f cdl exa iner Les avantaces et incc ûnients <zr 1 rc to`s c c- n o cies nr rzc es ocu- 1a r sat Z d*

F *':ra'i>x .(xar "~ rO ..,rZ ar m en a rc r rcnouvtL` ab-e' CSrali&es rou, ' C2z'`at ; -r') c.

" ~ ~ ~ ~ ~ c *ep - id t>e.` s;-^z,.ca or.s..corr cçcn.ciaflte5-. ~-

i T aq ecdarcyA L'ét'e e v Le a i :C.- lre de sei racor-a-.t.ze4:- o^; av¢c ce' ` e5 de ';L! c'ves `_^.-' c`.C- a";rds oronets c

se rr e.r - omm Les su-z sa _a ns aIDec ts envL r-nnemer.taI.-et. Siz_) Ies corlsaLtants ce La résenyze e_uc

i~E + ,^:-b»>'--_ SO2 _ 1 'é,' e>s~on d:ec eS're*a-s c'i' ,ltEe.t` ~etc de zvv..c de 'a erésernte EE aux autrec <,rczets czncernrs, sc.des rne_-r2s suffsant lar-es (nar exr:X> rentorcer\ent ^i

} ~~~~ca pac n 't t î ,*»'! onnc' .'e-, ci 'iG!S les oano î'le c. .Mla _r_r~Ee .r.-e -ncu--or contro` er/attbnucr 'les > -cr--ats C-ns C

autr s or a e zss_...

8 'Xn. ;' an <e-E.;« s E c.e suiv- -évmA!u.t. cn eer. S ?' ' __cl' cz0sn Ceo esurs'at- Dfl"";_s"*n e C.e, aeo. cts ci': ac-,'z curz:a ca ccnruc_or\son Gn soŽvr&. > «t_ revr ..................... : _:re ca CC'a cnev

'.c s p'u: rr.st ~ n n cr i-.cte .c'LwTrjd e 5 a 'cz a Lti î a ia srrv.ieance drc orr_ e':*l 5 o C^.v` -3~.n.e.x.en_, Darric're J verte, brise -.er.t ;

| ..~. rér '=-' . __ ;: pourra ' une est :.mr,i: c' - .cS COe~~* ~ ~ ~~e-O ~~~urc cie :Dar::orr\er~~~~. e:!C O 17 rqr (i.*,féL':_-.S~~~~icS-, e e- e 02>.-ine.s.t: r, aes -ttr n>,f ac ->al!.en c

- 'Z` ' e roposc'ra une, Li'ste rF_> iste .'e.s LrrcteUrs\ m"tiu '!S `r` _S p~~~~~.ert-c,entz Q5 eF i.cre,a 'e '`onltl coilec

L 'z:2s15 ' Les '; r S_tit.>« t ` q iC T n5 COnselL ':an. t p r o D cD 2 c ne 1-' t `c 2- r se des ,a rr`tres dont 'e _:V.`v 'evraIt _

ef .l .2

il ga t^ra t'-''- co>,npte des do"nr-&es su_L:V.c-n : K-- .le- activ4lenvzis~c ,cc ni' re-: sc±entent c':' n:.- 2r%e Lr c tra n c e d*'uln proc'rar

-L o,r -^:^ _ .. -`'«_e -_>tt '._o--.- ,.-`.`=e.rt

'1 - ISdes .. .: >.:..es d7onrees rŽe c tv:s è. ua l±% de -4r4;s e3xn<t(Le * z585''`;:' r- nce d'un obs Erva toLr e. le. quali'té

l ' e:.' o-.r.orvmt danss la Delta (o:YJS), devra mener 1 .c pe i- te!cer-ete -' :t*nzion du foz'anne 'ci eservaeOtl c½ la «uaLdcc>.s e-a'"c -" "nt_^a (1t La Cr'ion ' ococrz_x-l-' zl&menta:f ~ ~~ i : .2 >ao;:te entLe.rOl. Cec: c rendre e.n4 \ - __c'. <XX_e-

-'I~~~ee\ s 4<as ` - a-.~'.oroae,l ,;a.,.éte, 'a ïrg ^,uc?.r,-, ` ana2Jf

' 1<> C-'.S ..-/? -. _E ror*_ ` cirarr a; ln<.« t '.5

A z~~~t S u1 '- z:-~ c use L' tObscrva:oi re o: Js, Le........................... r > enomre.y$. ? cra. ce':ro2 s A_ r Cemnn-a par .- es moyen; cie s''e- 5u.1 ane

en - e

'.r

> r r-~- m~°J-'v tt `-'e sui vi des Impacts_: L;:\ _*::VŽTl.VV_2.'X /rz` C''.:. t`«cl cr 'a Z:S ansQ~eSe C.' aCtt'lAv1t2on, ' eC'rec^'-- ^ cn VŽz':iv z sre en selr. ' es s?t ura td sCascc':.corzec z ...... cti.-'. C o . ivar.t2s:

, rtO. .2_ Sc'.e 12x conceptIon Ci les comss«^ s-dtu pr:ojet" ?or..i^ncr 'e s i7.x1Dacis posi 2.s e inin ser 2es

l -. ao :.racs nbcatif s;

* 'I. .. ^4^ _e_ .s . a` DC >c C e s 2 r es car es . o`es: _-scs et &7. -man»ei d _ 'zc en oexuvr u

n-f.

| . recruveent r éventes dans les sruc-tures techlniques et! .vfia .:ivis c'haroées d.u xpr'je, .

or!xa;on à 1a cestIcn de l'enmi ronnmentr r,our les

i . <4ôl5es e rec.erc Ces comolén ent aies,

{ ~ ~ ~~~~.1 'LVt _-iZ. zE.a; n^ç

_ c _cl.-,s -etre er. oeuvr pour e'd'er c'es.t -ot; ` -,n,= ""_ - lC eir>aZronl-e".Xe!\t.ai.oS civ.: r : .L; f4-'uturs

`* ;b:8s - e-x)es r,or \ -:ri,ra's )r -`Yrr

r ~Des rec D>.,nc.on^s serorvt e. -ectuPs su~ 'ana rv?.n>e d'utilinser; :Les ri.saZ' c'ii sui8^Vi pour ar: L .orer ' a c Top-h`cfnzion d'es

'anificateurs e' es a nz :es, air. cuel ` a e_' icacité ces RCt'onc s.s en oeuvre dans

r k ' ne sur -les

I 1 est forteeent. recommandi, que 1 es cons':l-tants c:n-:uent. pour; cOc:np'DZ du 'iuauerniient Nauritan.ien. o: on o:: o concertat ionavec L.i , D.L"-7 t p?r t a bi zs du Groocp c- e tL-:vaE '), uneconsu, _t:tio n ue sur Les résuLtats eo.ancations

's1so«zne.+~«' d > t' otu'.<. 'Dett:e zor.su t_at~o o-DulbL :.uC s' f,,_tl--i

en c^`1renc axra. Lez spoOsi42i ns de ` r'`_l_{t in

; L 'inr7c- at ic- r '- ',an de s -r ' ,. Ba,riuc. :½v!ae voir en. t, ' . ?rt:c''uL` r rn :iC.'cac ion .Sou*rcebcook ee La Barnc:uc .}on9i.aLe -

f.

y r . .

- t - .

ol-

J-,

Il. _ 0) 4.) .D e >) :J O rI :

0 il)

> > ,J f4- i1.î,

l -I J U U Jl c . - -I? c;

>) I ` 4 Xj ;)

't rf ,( e> cl . -,

p,>.î r i

>S";. r'J r v c' -f

4 c) Il...,

44>4

->.C j4~~~~~~a1:>

~4 j

>r1 Co

tr r .

Qt t; {i '

LI t xt i

O >

C) CO;

'

'C ' V > i r7 j ' 1 : i

l j-

ci

t t

>4 >1 j - o .> >

c> r ~ ~>: s>

,>j,. r'.

:>

4

ci VJ . (f4

î

cr '

t

LrI ~~~~~~~~2 C) r 44c4.

jr- Z J

r' i h.. r' S

r.;

4.4

r: r '[1 | 1()

tftp 7f :

,~~ ~~~ |-

r>'.ir

( J

g *^

{ ^r

1K1 8

J'*

( : l

11 t

} : --

C

- ,~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~'j

r7t

10 7 C i W1ot: $r/vn l

4.1 (, Or l r

f )r C

tt r..

r- O' ' f. r.|

> -

4

;

c>o çe L O '

c4 : 1 -> e)

f r '.fi t! ^

j

aç f

i r;,

4 ,C , . ,

. - rgr

U ,r.ç " V tJ>r

>i> "-ci

'--

,>

r

rJ4l,

.1 lf J11 .>,^ '> l ~ 1ic

r

f) U rJ C)> 1) JX t1t9 01 rI F Cl ° Cl ; trl rO

o tl e ç| ,1 s rX (; o r rj U CJ -t *, çC i

fi 40~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~r

bI i 1 :c

> f: o

ci Q'

t,a) ~~~~~~î

'.44,->'> 44(4 ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~Î4(>

C) (# t e C < O x r<, > ril rJO «1 -l C c < *5fl t, ,1 (v

>Is > 4*|L OrJ CI U> 4v

'fr; i

. .1 .; * 5 . «~: . > .r

>4 u c >.. 4 s;

J _ _ . - c.,> r_

'J~ ~~~~ ~~~~~~~~~ ~~s . 7

. 749~ s e-->~r

c e.

,it

-^-t.> pi

QI r f-- > - > 4'

fi

4>

f~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~-

C. r> f t>

1

Ci

c ce(>154

!) -~

ï7

4 0

ri,

t' '

£ >cY!-

11 >

ci 4 c >

fi

,

4 r. r; > ~ , ~>5 "

4 I 4 4>>> ,'4

(> r~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~c1

2

44 î> '

~ ~ ' (4 2, 'c ~ ~ f J

'î <'j h ~~, ~ 't

c

,A ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~>

L) r. >47

0 el, t

~' .

jj ' > r> ~

0 ~~~4 ~~ > '1:4 >7) '-' r) ~ ~ ~ ~ ~ ) L

v r-' ~~~~~ ~~

ri'

.' 5 -

r>'t ;) fif

.

Li çI

c~I4'C O(-~rj

ip.r,j>

'~ fi>>> 4.-*1 004 (r fi 4Cr1 1>î 'r-c <7)..

~ r,j,-

>~> >ci7>7le 14

.2 4 s r .,. .z.- s, <'

i~~~~~~~~~~~~~~~~s~~~~~~~~~~~~~~~~-

L; ''?<2'D e/t-ct«w8r c ccnsucl'-ants cdevra exaxni rnar ,' 've n\-.alit.t die reni:crcerclc- .~ D ,D Af R>e dC-, Ele 5. 27\À t>! ,>.3,F a rr , - a r - ..a,t Dr t.:0n - El.

ç s"'t=`-';`r` , z : a»zr.s e:avi^ ntas . af `.'.art. auut-zi =rF->C ̂-et_-: e; n coi at R'E a f n C`' ', fi , orer Za

ccvnçO!Aca '_ ana':_oE dc'e- service centr a,x vers Les i, ja un-iac t. vt. a n o e ?. i ur ...:le. r.e _ vour aî -:r .0 co e r "' ajec e . r ce u r - _rz (`?r?'.-) . *2'`,. aur,a

à __>a: __ _- .:dre 'des ) co1r. >ndation-, rIuant. - La a rc tion dcca:, aai :. . s ' .la:res a.u n. LaCes rmeicna.' de

?~_cL.e ?. ̂ __es r`,t___aS ,e_rzes de enz. el- de _ ia n'e| 't`? ~,'i 3 2 s2 c t'' .r, 7ne d e la .......................... "t*Ž'-~ . a 2sa_ r se7 n n5r.

Le cas é-':-, '0cTuipe c arcee der la caarat.on de lia prscenteôva' lat.L c v rnerrltale Droduira, z' * :r:It.e co` labo-at.o av^^c * s -r:z ;en. ants dc l a sociéea cS.v> .l'e >uanlt an>ene eC.a'-Zant. eu ncc:.:blc avec la nartie Sa n cala* c '. es termes dtcrc rcrxca -`., r .fl ci-dessus.

Ce -laan e' c'o;tiné à ôtre produ,_i t au c-o.rs R.s c-ux nreem èresar'.rev C' r -"«'8 -'D - Je*. Las oc.<'~_(- ;>4é <- ' Ci cae c:e ?l. a s n.:

C.c` 7 -:..`` .2tr c.c nan.-~ra rrc v,a;<t r.-..~--- nX^.cncae er-'é~-'fOc. 'Ca ':err,e ces re_so_u-ces car.s `a r-t vcn/ezc e: .la Basse

sS ~~.Lic> . ci: t Ž. :ve Sô'nôEcal. X< cec.t e :nr, le plan, c c5renc.ra d4azçlX a:zr~s _ znte.s - e o o u r (z*) dvr7 L . ec, r _' , One-,~. ?ca, E>Cr*l e et _ _

rcr.t`.c. nr c : d tu cti ve ncou cs naoz a alŽ .. e:__;-.- r '- ca,-: et'?^'- ' ~ -_5z;!~5. n de re ce s cn ' Qvz,ez.t ( \ rc l es

ra-o-e"rc<f'- *2na.ractiaucsr et bi!o' cicu ces ' ccales dc` nar'.ice curCableCC. ___ ' ` ` ` % ;, - 5-:> rcr u .n, rc a t, 0! C!u l a s c ni n 1 0abt é ds, c t-n t

rs _ e s r ? :a C.vcsso r-ci a les. 'e -, R ' a a'r ra drt: I'cri-onO cYrr ai-:a ,uc cu nnza_ne cdl anne, e sera p r,> aDr é -par d es

Li ~~ ~.=.:Oc.dz r _e ' `encn . artznciot.ives cc dà- <_c` ntrai e .isôc-s t ainsant. r.; -8dpr:iculc_' ^-r a.<nrc {aux te lnz.c,z Pr zn>-cct.ie i;;rscc. -11 se-a a ensu i'e

*~ ~ ... .n';`C)`^' 8 i' tt,#rancihe c.e '; an.s -.e u-o't. dw0'~S e dê"'si- ' o'-szer" >- -'-o';:r:s et. rcsC.a. dans 'e cadee -. a sca'oacÎe

c`.'- osc>_?:.~n oz.;-ae et nationale LJC`S act.V-Cs *.f'

c. ` `,'2_X` - -_':_. n coanrrencront lt a 'ranf aorna'on Local e a s'2r',c :` .r'_r-CDIOc s, lesxrloit.ation deut ressour>ces !biologielue se-

r 'a_v'al~''' 2-. ^ ct>^' es à zdes : ins ali .enCair r cn a -ales e_-r- : ' nzi ue le ci e1ov .- ,rnE d- __ ' r s ir e

- >ô -:r eneni ari en iani i lie u ays n . Ces tvz'e sero.-cts ' 3 a,\!. d a r- c o eA f r' cr- r- a c r-. sar-

'a n '_,t et cc r,e_t fl Sanz(c.,' i- r a^. t-é, fi *~ uc r:zn re .,se et. céla rt1aaOei m e c- r art e lava ci

n-a- r- ,rc O - :traspo'-

. . ..zaz::

! s.'-` sc; -8)`lL ` r 2A n.,7 L r 0 n neIl,~ e vey C>t^>-<. naJ?rec>.h>:;^ ;ti,) si2 , ;\f-rz cc.rxc1lsv'0On - ese act Lons

rCCDrXaICkQ -c-man,-r n nar -es d;.e s cQ` e r 7z Les

~~~"__~yr.:K .-- zcn 'r.~.e dcsi e5tr § t ir,te<-?ç-a e_z ( ~n n.-<c .Le

ju dcl n r o a 'atre r .. s r a n_ ;r-i ' 4 - "rce. laa..

__ rl cr' r: ' n a,:.r la ciace non tec1->.x.cue'\ {Cad.rac.e roL oic rsr "traLr{. e_ catnr ta_

5 3rsc~ :* -.:E. ^ -ro-e: - cnvn ac a.;

;* ,tNxLv sd 'afs ,- rn-8ta: escc* ?rDrersn 4 r~ Qrn . tt-cr r?- -d'~ a5n_atÂon e C de-su )vi c`s inpacts

*r- * L'e ' .- _o__--.- :

; = récr-es H.e rc érence DoU.r le de an ce _ e>De.rx' Durabn1e

X.x V e ' av-ye.ne e' L a R-, d. e"euve Sôr.éraaL

r __-~~~~~~~~ r'd m. na o _- r tt?'. rl ' n 0t t7 7l Ce

;~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~3 , a, ir er s r am_ o r .

.~~~ *'`{-;'.tt'J 'd2e r2ur\E r\ç:, e'e r tors) c'e s-~t9ée cwx--"r1Or- de cons' a*; Drl r'a: x§ . ' u. c. c. :

" T.~~es c Dr u'~ .';ns four.« ................n. on0 'O......:e!|'.oa :res clu raDpor~

* '4rl>C>--- r \ j'8 t

-a ~ ~ n.~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ !J. u

in l'abencc id' instL ututorxo loc'es eab 7ea a1'a pDcrter,` ' enbs emb'L dos: c' L_aL z s';es n.rcessaa res a r.e 'ane c- n& e ite de

4'dtw3c ..e o _ r:'. ctr~anc;^ a' u:-v' entrarc nsa .Pt:rrrr.c_`. onaLe so'.-c'`314_`-2.CtL``.c5 e._n': `-t: '-C2*' "toi- ass Ltr e C ouvernemer~t

><tur:a:enl >e;s d'- La Cc~ndau t_' de ' 'nvaLuatlon o2nv±roncr'M>çn4a'Le et$1 `a tôc:' a.-. . d5_u ra!IDort f i- aL.

_es maemYares de !1' cuioe doivent âtre spêcr a istec des dcrai-.t'4' su Nvan s: ;

' - aLu a c n s env o nner '.e ntaL'es - e rD _rn cce - rn d' n -c ex-Di - c d arns Le Jn cie L'Lrrc1 a`L`1 L

dLve><>rbent rna {Eét`rO: .2 X§L. -ue d`e L' 2Yes*:! - Cc4

t: - S°`ocau e ru ra' ayac- des conna.zsan-e±: en drroit foncaeruraL1

ew - .~ Slc i.a ` 4e ste d' coL o a e t errest e m I. a ';. :

n.~~~~~~~~~~~~~~~

'j:~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

2~~~~~~~~~~

. r. .v _ . . _ _ .et

i - v~~~~cOnOnm;.,e c'e 1' environnenent

; - _cc>LL ste en i.' t3t`-ut ons cie ruvrca etene!fs oe. cXes mroie.ts avec emyvDra ?ncC ie. aerrac.-n dans des

rome ;_ --rnc-ncL%s par 'a E an a e, l:,Onci «a'

i* --. `;LéAste 'de santé iumwairne et de cestz.on eventie de

.8 . - _£nco a! st;e de. cfestioi d' incrrmaition écaraphLcmue (S

Tcus cns s'>cL a'_s':es devron't avoir une e.mceliente ne.atrise cr--ar.c2.a- r i- c et cr `

;u2ea cnterrat o.'e devra intégrer d,eta- aues consultants Arr^c.xns ayant ur,n cxtzcr en(

1e , D, ½ \-;narL ' ci' aZ.a'tir., .: r. ie.rx'.zUes. nu'ne bcvr'conna, .- :n v .e `. e o n onn r.en., ci e n ''rDonc\ve et. deso o s' 2 e c&u ̀ >assL, du feuve Sénàga' est autenent ddsrarz'D

4 Des p:e-%!.ere c'éi^erts cde ter.es dce rA-é'rence ind-ivdueIs so; ~ ~~~~~~ n %E;! -S^._' C' e de cens' t arts <vo ir annexe 2' .

-.,es c t1r.5<n'devront estîner leur oS re -Dour 1'ex écu-t-ont n~~2a or->5ent: ~vaNa tLen-environ!etmenta?ne, s_.ï 25 ias e des d..é:«~en

2Ti

r,.e, _ .rI e

r:-atr:lr3t

1~ ~ ~ ~~~~~~~~~ - -t on ,;,*ees" IP.".

5 . - la'Lc ie de consu.` taxtion j

'a.~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~l

-I ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ OM

N~' , - -. r .- - !'

i.~~~~~~~~~~~1

c Q c,

|~~~~~~~~~~~C~C-C n * ,L'2 traai a%?:'

~~ ~ - (~zr,.,,zn2 an

t ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ I r

e r) ^ ~~~~~~~~ - m -- erUQrc' ;' 'Ž r''- 2*~c`r ... ' 1`'.

`~~~~~~~XW `'? P5__ 1ar ': v's*r.' rO'-:' ` ' *_ :_r', -'.'- di»RE? £.;~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~~.~ , :cr` rrc) :X.- t- '2

1- ~ ~ ~ ~ -O

? _ _ . _ _- _-

b~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ 9 ~

I~~~~~~~~~~ btt.tfe iSts e

- - _rcVî -II I j

' c*¾rr'i du l' t8e *I,rt t'r\i. U':'eu d:' ,,nd - 1

lI:ti&~~~ ~ ~ ~ ~ 'rn.& nr~ ou "prt<fli , I Ij

;| Vlhb:rtt,,Ic ci2 *,'~rcr,,c,vJ -- -'t. -, ~ U I CF rI IDA O

-~~~~-

AIti. -ude" TrMM't'ru>jtrg e <t !.r.* ............. -rîr,, I'.;w tI! our!I-!,t. ..... as) r N

. ~ ~ ~ ~ ~ (rt. _<. _< _.. .' .-n, _ .

«Ssf X1:nrsr.sltJr ̂ * <Sat ., *swX{;tfc\C*<Vt}f

2: "' s ~~~~~~ cb? rom:~~~~~ -~~z"~~~: ~~C -a- n 7

E~~:p~r~nce d~~ riLrecti on ~ n'r ecu..p ne uL sc ml na:

cncrcr'.c :rie, o-ara,on dri'iva.luat`ons ev~-onne'nrtaLes se'"'s ~Do rdurcz d- L aBa nacu-e zon d Ia eou. d'Dai ~lle .r s

-'onds nyt- rocàd.ures r=mpnx at!es 1neo rteiu.n~ ri''.

e> re s D cn ab nar ~ s e e-~a cXse m-' I e d. e r Lt e. ao.LOpc n1

ae Couv' rn,-%n :~:auL-',o c L Croupe2 de rvL,ain.

cLevrfa a x:- nr Lr,::ras~n r_ _ ene L-b C'_ ns d c,_In- 's

ve?LOr cr ou 'es oL cra.~u: t. . Le:i u: J d5e~ cIOl1

~~~~o ~ ~ d .. <tru. ~~b

L' arabe -- :or.

rs non sŽLe cl e y oaTn e n as e n cu<,es s £0 oLciuc Ži e ectu~~rLau::~e.rent. no .'.rarLaLo ri de. La -nart'..z i t. C d'a

-t a rFdat2on C. ½ n-at..~~a r,-d ra p o r f Ln aL c Zl- cle a &o

involaon-:u. ro e l'2 te r socr e s, C' erSC a z'ze&abra -'e<' "'u

reca~ero:'.: ut de.. re2constitution -de revn2 a~nro et bc

c-e. L'&u? e,' us rjartiLcuLiîrelteit_ _-- aocLL:t.e d'e S

W IO WO3 t ,>c: c Ci

ci.

r-I 4Jrj1 fl0tJt~~~4' O-, (1~) IA no< (n C.AI

V) til 1-1

c"ti'mmQj Ti

Ct JCJiO(nd21(A -) oJ L

_-jO Ln ri~O ~ CJ:-0 .c97--r:W

C) Z-rt-r E~~ .11 '1 Ci ~ ~ 1r 1 Ol QI5'~,çC'~m'. ci>-

4. kVr 0 r rO )i

r -rc1)Elc-' r

-t C <> > <) p4

ut 'ei : <'j ~Ak~ ;c oc-- O: C

ui 1~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~-

C' C> Iii (1 C) Q. ~-. 0ri r cL r

CI 4 1U ai Ci i

O -J -i

t) ç~~c (j) 'e-t~ ' > ~ t>

lJi <a-~~CJ L ~r)c Ci <-

cl' ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~~l C) -57- r- U 41' 1 r> ~ -

Ul nf

-rç: i.îj-' )~

c-- rLI cJ,. i I' Jc; ir E:-c > ~ )> .~

m-J C> Cli .,rr-<i c-m ,'u.î71 ri

o c-> *'r C>c - r i t- js: . r C> c > <J - -

-. r~~~~~~l % '-A

ci .crd ~ ~ c-V tl -4 iti t-l oc-r

LI0 c-l P. ->, r ' >t c- 3 > )ri U>'- 'c

4- > c-r4 c:C> - C r r

c-7 - rg2rj Q, c, c --'r-m ''CI G , ci erJ f tj

7- '2>'- ot-'-d'>' 0-nÇ 1:7(

-~ ~ ~ L ,-- 1

, A ct'-< i (ju > fii

biul 1 -A~~~~~t; '(- - el i, r L), ~ , - C

'il r2~~~~c J -'r, j'- ,r O ci,: r r

0> CI~ c>c>c> <> > rC ' C ~

-. 1 c r-, r ~ - c' -~ ~ci r-> I -< r'- r~ C c-

CI . : L

I > - 3 r L J : 2 1î 'r r> C

rt Il~~~~~~ r'crr r' - ru~ ~ ~ ~~~~~ç c(jA I t).C~l:~4ui->c- o , r tr ; -

d t> >-~~ ~J 4) 4 4 4> o ri ' 1t, rOt

OCI CIt 5m c--rZ ~ 5 1, 1t--- ~ < iet' <,itC.-'l'( c-:':)

(IJO-Clr'ri> tm-'C

ci ki, r~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~N

ti~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~r

4- ) r

2 i

a . - 2 2

ar~~ce c» 't- m-~~~~s c. zes. de et~p- cesCtC(les

" Devr:zsa' strz':.e ue r L' », t: a: : uel c.- ve' ope. eA: It ra' e ce d

nr n ce b rs de

l'~~~~~~r

4-~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ '-t, Devra c' ' acn_,. .,^ ier ` -Lwhr ernd ser e eorme rcnan:est cuse~ c etn des

-~~ .'~s 'no ment Lcni-es --es,e: t.~~

rc--a.'t £- -o_n- `. L a e itain ,c e cc~e t< s e: n. Dte, \er

evra _ ?.v a:~ _»r _ -'c oz a_Dr_E`t_.s_ (-ic _ ' a. : e er

*, r&r c -< Lar-«cSr: ' :, , . '-a a sovf»:~z du adnK eu `.la cre

'D,-, r e :rc Ir eae. .r Devr ct recce ca..v ons dean

c r er, r a C e .nar. c 2es ratrr.c 'a .( .r 1 0 u S c ca i s des

avc,r' Ls _: : c .cavernl~tr ls cr.c.rete ci'' vr o

^ ~ ~ chrê d'e L- c.*?- > ..-'.cn_ de La e sanDtê. -dans)t8 La eneaSc i: ue

Sera res-.a`,ns ' ' ?.a r`ac` an cdeL 'a sec7n adt hc c'u ra acrt

-i~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~~~~~~~~~~~~~~-cDude. _2 t'.r r s 1 ' .

rc -é c c .' a s an tx~at n s ~éaa z z e f "e (3

l . sta cLs' - e S -c.-r 1 c avec le SIrs xe onciar ':r&-c ».' a

t Can~~~~~'e~~~ c c -ar e t/a têcrenF-7 r dasc. ~ l t

vêricatiar f.e La :~uaLitê des ID _ ,r zel .- ..CD- c"a2 z. .Ir a crr-er des cel_anr. s 1 ae

Sera reseen -' ? e La ri cterd derl re .-. 'I-in `u: rapport

7~~~ d _>; .rw« -v>or bc, 8e st e s tc hl 2»r y. r' 7«::. aan_e

t-ls^_.>Ita--_^-_aTa7)*t>varrek>`;s\_in

1l-a .<e-~2-' .`.> orcvné>r'a5n br SI+; :r.se

' .- ràCtt-: 2,;ci.c. orsOclae- ~v;t~>-_l 5l

! ~~~~~~~~~~~~~~2 2

v~~~~~' . .

P' .!or'.',e, ~a';asur `.'2esource Conservati.con anc'. ievenonOe!V in thLct:er DeL c S' "- scnC-ga. R,Lver, Maur2.tan a

BDtEP,-SCvm,\Cn* c 4: a5., l 99O. ,W.l daes rEoblèts clô' eV ronnerrent

~~~ -' *\' e_dr t=Ol>es n.ilo eux na ure' s dans le nltn d_Ec8a> uç

- s Sen;~ ,,t'z .u ?>-r einaLre d'n r-?t _-LouLis, 7.') auE 29 juS'_`':"r - 5 994 .

* rtuc.e d.es -rob xes d ' en 2ro certt c de x?rotectL or. des we n Cnaturels 5~S _ le.s ' cd .elt'a dau Fleuve .Z&éral . "hase . - Bian e':.

j dia'rvss^LZ et ttnsem'le.l de=s ra^nL.ort techr.Leufes.

.~~~~~~~~~~~ 2. 2I

* CPADfC'/ T,Fr o- ~t. , +<ad vrn.t, est dec teur ar -on'. e- m aurii ~~ r _nz-: '_^~ -us-ecteur envvironrtn ant-uret;s ( .P>.Z3udet;)

Di o ~Lr-2 ... a 1Y.':, Foret, chas-.e e_ c'e la CcnservL-,on desSols, Y.-ue_>S\: L. Seér~a', non. ck.rtte, Rxapport +.: an du Dr-o4et

y s.esaun. -:.n -d" c' .e<._ N !aturel daranz le Déoar emr\ent c'e rFodor, DFZ`

-- -/ ns*5`_;<_E !, 990. rof:il d-e 1 env.ronnenme.n do. la va" ée du

Ga'lIncr, -C' '>99. No:e thF. ;L'o_u-,e: 2rise cr!) coi?e de:1 "'V"""~ ~'t l'env- e '- v' e'ei i. ctre lz _v. a C ' v

ii ' n ~oe~t ,........................................n... Gobrl' a n -.̂ -4,`neb himwaavi,uece ~a-oe, ,mai

' R ', co.r '.r"~2r`, o rocdc.ncqs cf a 'orkshoo, 'Cr1d Eank.

n s rt r Ue eor.e' oneent anthr"o'pog, Ay , ril ;r949 r 'ar..tnia

' . .....Oasis n.n"'-e~-. Projecot. ?:hase 7, _^vircnnen.e-a A nsess.n4,4 ~~~f.2_, c5~ r 199_q~

r 5c-,ca!nere !99,, - Note dea service -Dortan': création d'un.* rF_uv«se d? tro.vLl c:xarj( dcl la Dr6par_o du PDÎ*AM

- '. -. -e nationa -d'ana eo.t dec -ts classées

! t'>DR Jillat fr.9?!, Programme daisectrLe«. de lu\t'Ž contre la; dése zxtL__àot , Z NSO/BI,S

": ̀ , . 1992, Détcr f Cixan.t les a ::iutIon du ''!.-st-s-_ro dut` ~ . D'ave lo-e-.ent tRurale et d 1'e 'i7'"t;rnl.'>8'_ -- -- i:t on

; .v:ved n.'ra" s Ce, Jour"1;) -C!U« _r t~slarua"c. do* :~:,.rauae._ _ -p,* 1

* :~~~ Ç ~ " -' - `.'E r:'7 - 355, . 'raiwzme d'e v ôt.:VoJ)O' te! ..... re cle'- r ze` ie 1'? '?r:c`-:vs:-c iL-;uëe en~ .Maur0_ar'ie - ,N:t)'; Q'L.fruDra.dc

:' t . t r cl c

t.'.e en "~aUr n n r îa'.

`' * VLRE, JuiLLe::995, ocrarzne c'.e 'Dcveî ce I at5 d1' l'n^ric&uLO :r: Z é e.é r"n . e de

I~~~~~~~~~~~~~~~~7rcé I »se ,artai .

- .DE JxLle' 9 '995, Procrammme Ce Dével oDnem on't: nt- rê de1' qaricuL u:-'z rre' àc2 e .fl - ;'r a LnS r a. onee

Y `>IDR`L, 'ovmbl:e 'n'?5,. Procra.-e re Déxv mnew:.n rTn _ctrc deb ~ 2' rtc~cu' t_rz *>u en .'aur..taflLe - Azt~e«> e;_ ç;^n d,se es

octobre I', E d de ` a i. s Q coasu d a u t . .

-.'v'R LLe .L95 rola:aenz l Ie D ,e 2. ".' r>.t itrt'r'C ieM'e\crccu ._re trtquae er V'.acrit'anie - `c :•c "':. c.e

2.. , ' ' £r0.t. sron!l ur a. : .

`J'OR-, i`eF 2995, ?rocamme c'e -~ ) ?ezntùnt E . -dcrm dlercu:el r--^C en r a.n.e e - Co2 tCXZ £C-7 Qc-.o; '..

c~. n

I tœV.DRS-gQN.ADE, oc_tore 12-99G, Etude c'e nz.isabiL tc.~d c'i z-o c.'r'_.2z' a - 'l ..Sr ° o a n 2e d Le itl t. O e L.e c v î ? L ,.. 2 act araDzrt. d nce:~.' () -a _C

M `'erziGer :e n- .e r en_, sa wà re L95,_ n a Eva '-r ci z e= revuer

* ' rx:' r. e s' è- . e rtr.t 5eur, dclérremb:e L'92, ,s clu,St -^e*'r\

'e`et-''_^ c ac l rfor.a2-e e-a i -szrat'.`'n'as'c,"

* . avs, Jui! LLz :ta99, Mtise aen oeuvre dc n.' `ser or n .I ': s,L.` t _* dez'- e2u~:, . de 'La sae e`_ c'.e _ 'r a- n' : aats; a e

IazzLrl du . Le:.- > a2 êtuce de fsaiit'L 2 '," r

: ~ ~ ~ ~ ~ ~ -. -..- :

: : vtIIZN, C rn;-:.a'n n et dd\f'veLo?pcOeTV: dtars Le dl;>. t. >>.<,,r_ur ''.'t~~~ ;'e*S-v-- '\rL-|trs.` :_anlMe. S:raF'c<,e iati n.aLe de.A QOt3â5^......................................... >

'UIN, 1.99°. }'{-.l- > _nien. _i raeé&'X eJ >at' orale dcif Cfs:-veX._or..

a ~ ~~~~~~ .aer Maure:aru': C: r26'5try' .v ;.~:. . r o. ~ ~ vsr aeto . 2~~Q

j .

t'.4

( ;~~~~f _7'=9 `,

-s e ; < jt > T t ;

n < _ ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~- , `M' ` -

-- ~~~U.Vlm 3 Eàla2o Eni-:nmetl du--s P.Ds« >_< _:B

f il

ANNEXE 11

Liste des principales abréviations

BDD Base De DonnéesBM Banque MondialeCPB Casier Pilote de BoghéCILSS Comité Intemational de Lutte contre la Sécheresse au SahelEA OD Environmental Assessment - Operational Directive (Directive

Opérationnelle pour les Etudes Environnementales)EAB Etude Après-BarrageEE Etude EnvironnementaleMDRE Ministère du Développement Rural et de l'Environnement.PAN Programme d'Action National de lutte contre la désertificationPANE Plan d'Action National de l'EnvironnementPPG Périmètre Pilote GorgolPDIAIM Programme de Développement Intégré de l'Agriculture Irniguée en

MauritaniePFIE Programme de Formation et d'Information sur l'EnvironnementPGRNP Programrne de Gestion des Ressources Naturelles en Zones PluvialesSIG Système d'Information Géographique

Rapport final - Volume 3 Evaluation environnementale du PDL4WM