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2906 Curé-Labelle, Prévost, QC J0R 1T0 450 224-4460 Hôpital Vétérinaire Prévost • Toilettage • Cours d'obéissance • Nourriture d’animaux 450 530-2022 www.centreeducatifcanin.com La solution canine des Laurentides Michel Roy C O U RT I E R I M M O B I L I E R 450 563-5559 Évaluation gratuite Club de Karaté Saint-Hippolyte Les cours ont lieu le lundi et le mercredi de 18 h 30 à 20 h au Centre éducatif et communautaire des Hauteurs 30, rue Bourget, Saint-Hippolyte • Concentration • Cardio • Détermination • Souplesse • Contrôle de soi • Auto défense Senseï : Michel Petit Tél. : 450 563-3622 [email protected] Inscrivez-vous. MARS 2018 • Volume 36 no 1 PHOTO PIXABAY Ouvert tous les jours 450 563-5546 pages 2, 9 et 12

Y A B A X I P O T O H P Hôpital Vétérinaire Prévost · • Concentration • Cardio • Détermination • Souplesse • Contrôle de soi • Auto défense Senseï : Michel Petit

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2906 Curé-Labelle, Prévost, QC J0R 1T0450 224-4460

HôpitalVétérinairePrévost

• Toilettage• Cours d'obéissance

• Nourriture d’animaux

450 530-2022www.centreeducatifcanin.com

La solution canine des Laurentides

Michel RoyC O U R T I E R I M M O B I L I E R

450 563-5559Évaluation gratuite

CClluubb ddee KKaarraattééSSaaiinntt--HHiippppoollyyttee

Les cours ont lieu le lundiet le mercredi de 18h30 à 20h

au Centre éducatif etcommunautaire des Hauteurs30, rue Bourget, Saint-Hippolyte

• Concentration • Cardio• Détermination • Souplesse

• Contrôle de soi • Auto défense

Senseï : Michel Petit Tél. : 450 563-3622 [email protected]

Inscrivez-vous.

MARS 2018 • Volume 36 no 1

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0 56

3-55

46

pages 2, 9 et 12

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L e S e n t i e r • 2 • M A R S 2 0 1 8

La petite histoire de la fondationdu journal pourrait bien débuteravec la rencontre réunissant Guy Thibault, pro fesseur degéographie au secondaire etAlain Labelle, qui travaillait en1982 pour la Municipalité. M. Thibault avait besoin de cartestopogra phiques de la régionqu’Alain Labelle est venu luiporter un samedi à la maison.

Jocelyne Perras-ThibaultJocelyne Perras-Thibault, l’épouse de Guy,

était alors sur place. Elle en profite pour poserquelques questions à Alain concernant la vie ci-toyenne de Saint-Hippolyte. Elle avait remarquéqu’il était difficile de savoir ce qui s’organisaitdans la municipalité. Elle demande à Alain Labelle, bien spontanément, « que se passe-t-il à Saint-Hippolyte? » Alain Labelle lui répondqu’il existe plusieurs groupes et associations quiorganisent des activités. Jocelyne lui demandealors : « où est-ce annoncé? » Alain a alors com-

pris que le transfert d’information n’étaitpas adéquat ou n’était fait que debouche à oreille... C’est alors qu’Alainen a parlé à Claude Vadeboncoeur, ledirecteur des loisirs. C’est là que l’idéedu journal a germé dans leur esprit.Quelque temps plus tard, Alain men-tionne à Jocelyne : « Écoute, on ai-merait partir un journal, es-tu intéressée de tejoindre à l’équipe? » Par ses questions qui al-laient droit au but, Jocelyne Perras-Thibault ajoué un rôle clé dans la création du journal com-munautaire.

Claudette DominguePendant ce temps, Claudette Domingue

était résidente du lac Bleu. Lorsqu’un événe-ment était prévu, comme un méchoui ou uneépluchette de blé d’Inde, elle faisait le tour dulac en cognant aux portes afin d’inviter les fa-milles. Avec des enfants à la maison, il devenaitimportant de s’organiser, de créer des activités.Claudette excellait dans l’art de planifier et demettre sur pied des événements. Elle se re-troussait les manches et ne reculait devant rienpour réaliser des projets. Comment généraliserl’information à communiquer dans la munici-palité sans avoir uniquement recours aubouche-à-oreille? La réponse à cette question,c’était de créer un outil médiatique qui as- surerait le lien entre tous les citoyens de Saint-Hippolyte.

Ligne de départNous sommes en décembre 1982 au 2274,

boulevard des Hauteurs. Il fait un temps glacial.C’est là que se réunirent pour la toute premièrefois les artisans de la création du journal com-

munautaire de Saint-Hippolyte. Étaient pré-sents à cette rencontre Charles Charron et François Nolasco, conseillers municipaux, ClaudeVadeboncoeur, directeur des loisirs ainsi queClaudette Domingue, Jocelyne Perras-Thibault,Alain Labelle et Monique Beauchamp. Tout étaità bâtir, toutes les étapes étaient à planifier. Pour-tant, l’énergie positive était déjà bien vive et pré-sente.

Les jeudis soirs chez MoniqueBeauchamp

« Lorsque nous avons démarré le journal, ilfallait tout faire. Nous allions souvent chez Monique Beauchamp le jeudi soir », expliqueClaudette. De son côté, Jocelyne se rendait en poste restante pour recueillir les textes manuscrits des ci-toyens qu’elle prenaitle temps de taper àdouble interligne enrespectant les marges.Il fallait même mesu-rer l’espace, car l’im-primeur Publicompode Saint-Jérôme a joutait certaines con traintes. Lorsquel’épreuve était finali-sée, Claudette partaitde l’hôpital, son lieude travail, pour allerporter le documentchez l’imprimeur. Par-fois, elle dépassait légèrement le tempsalloué pour son dîner...Il faut dire que Le Sen-tier n’était pas le plusgros contrat de Publi-compo... On la faisaitparfois attendre...

Un facteur bien utileLorsque le journal était prêt, c’est André

Bourdeau, le facteur, qui se rendait à Saint-Jérôme pour récupérer toutes les copies dujournal. Il s’occupait ensuite de le livrer chez lesrésidents permanents et dans les commerces.Une « carte d’affaires » coûtait, au tout début, 25 $par mois. Les commerçants en achetaient, carcela augmentait leur visibilité. Ces montantsservaient (et servent toujours) à financer lescoûts reliés à la production du journal.

« On avait tellement hâte de voir le journallorsqu’il sortait », nous confie Jocelyne. Chaquebénévole apportait son grain de sel. Les ci-toyens pouvaient contribuer en notant sur pa-pier leurs anecdotes, leurs textes. C’est le casd’Émile Beauchamp qui écrivait sur l’histoired’autrefois et sur les jeunes hockeyeurs de larégion, car il entraînait une équipe.

ImpressionsJocelyne et Claudette ne tarissent pas

d’éloges pour notre journal communautaire :« Le Sentier a mis de la vie dans notre milieu.Il nous a rapprochés. Il nous a permis d’assis-ter à des activités soit culturelles soit spor-tives. Il a fait naître quelque chose de mieux.Comme c’est un média écrit, c’est encore super

important aujour -d’hui.  Quand j’ai be-soin d’un service, jefais référence au Sen-tier. Je préfère appelerdes gens de Saint-Hippolyte », nous ditClaudette.

«  Le journal nousplaît beaucoup. Il fautle conserver ainsi»,poursuit Jocelyne.« Ce qui est dans l’or-dinateur, ce n’est passuffisant, nous rap-pelle Claudette. LeSentier peut être dé-posé et repris plustard, un peu commeun musicien qui laisseson instrument sorti »,nous relate Claudette.

Les témoignagesde Claudette Domin -gue et de JocelynePerras-Thibault sont

tellement pertinents. Ils nous font revenir surl’énergie qui animait jadis cette équipe depionniers. Leur engagement était héroïquesurtout qu’elles travaillaient toutes deux àtemps complet, Jocelyne comme secrétairescolaire et Claudette, comme technologue enimagerie médicale. Leur précieux apport du-rant les deux premières années du journal a étéremarqué. Merci à Claudette et à Jocelyned’avoir tracé la route de notre journal com-munautaire !

Pour la Journée internationale des femmes le 8 mars et tous les jours,je m’implique et je revendique l’égalité tant qu’il le faudra !

RHÉAL FORTINDéputé de Rivière-du-Nord

Bureau de circonscription161, rue de la GareBureau 305Saint-Jérôme (Québec)J7Z 2B9Téléphone : 450 [email protected]

Suivez-moi sur Facebook et Twitter

Jean-Pierre [email protected]

Vie communautaire

Et aujourd’hui?

Dans cet article, nous parlons beau-coup d’hier. Mais que font nos deuxpionnières du Sentier aujourd’hui?

Jocelyne Perras-Thibault est retrai-tée du réseau de l’éducation québécoisdepuis 2005. Avec son mari Guy, elleprofite pleinement de sa vie dans soncoin de paradis hippolytois. Elle occupeaussi le rôle de bénévole à la biblio-thèque de Saint-Hippolyte.

Claudette Domingue est retraitée duréseau de la santé québécois depuis1997. Par l’art, elle continue de s’enga-ger dans des causes actuelles qui luitiennent à coeur. Elle est une artistegraveur professionnelle qui fait partie del’Atelier de l’Île de Val-David. Elle vittoujours à Saint-Hippolyte.

Consultez notre site web pour choisirl'heure qui vous convient

pour vendredi, samedi ou dimanche.www.cabanenantel.com

La cabane à sucre Nantel vous invite pour la période dutemps des sucres, dès le 3 mars jusqu'au 15 avril 2018.Sur semaine, du lundi au jeudi inclusivement, sur réservation seulement (min 50 pers).

312, ch. Lac Bertrand Saint-Hippolyte • 450 436-4406 • 1 866 369-4406 • [email protected]

Chansonnier les samedis soirs17, 24, 31 mars et 7 avrilDimanche de Pâques 1er avril :10h30 à 15h30

Lundi de Pâques (dîner seulement)

11h30 / 13h00

Claudette Domingue et Jocelyne Perras-Thibault. PHOTO JEAN-PIERRE FABIEN

Le journal Le Sentier à ses débutsEntretien avec Claudette Domingue et Jocelyne Perras-Thibault

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L e S e n t i e r • 3 • M A R S 2 0 1 8

La Municipalité de Saint-Hippolyte célèbrera son 150e anniversaire en 2019. Un comité organisateur a été constitué récemment afin de planifier une programmation d’activités rassembleuse qui comportera de nombreuses collaborations au sein de la commu-nauté. L'année 2019 sera ainsi ponctuée d'événements hauts en couleurs qui permettront de célébrer le passé, d'hono-rer la mémoire des bâtisseurs et de reconnaître l’engagement et l’implication de nombreux orga-nismes, associations et citoyens qui ont contribué au développement de la Municipalité.

Sur la photo, de gauche à droite, on reconnaît les membres du comité organisateur des célébrations du 150e anniversaire : Linda Rivest, archiviste à la Société d’histoire de la Rivière-du-Nord, Chantal Lachaine, conseillère municipale, Caroline Nielly, directrice des communications, Michel Ledoux, historien et journa-liste au journal Le Sentier, Yves Dagenais conseiller municipal et Anne-Marie Braün, directrice culture et bibliothèque. Absent sur la photo, M. Pierrôt Péladeau, chercheur universitaire etblogueur de renom.

pour Saint-Hippolyte en 2019 !

Dans le cadre des festivités entourant son 150e anniversaire, le comité organisateur des célébrations fait appel aux citoyens ou organismes qui possèdent des photos, textes ou objets marquants liés à l’histoire de la Municipalité de Saint-Hippolyte afin d’enrichir sa collection d’archives. Ces pré-cieux témoignages, seront soit empruntés l’espace de quelques semaines dans le cadre d’une exposition, soit numérisés selon la volonté de son propriétaire.

Si vous croyez posséder quelques-uns de ces précieux trésors, une archiviste de la Société d’histoire de la Rivière-du-Nord sera à la biblio-thèque (2258, chemin des Hauteurs) pour numéri-ser, sur place, vos documents anciens aux dates suivantes : • Mardi, le 27 mars de 14 h à 17 h• Mercredi, le 18 avril de 18 h 30 à 20 h 30

Vous pouvez nous joindre au 450 563-2505, poste 2238 ou encore acheminer vos images à

l’adresse suivante : [email protected], ou par le biais de WeTransfer.com

(si le poids des fichiers est trop lourd)AVANT LE 4 MAI 2018.

Photos d’archives, textes ou objetsAPPEL À TOUS

• Photos d’activités ou d’événements divers ;• Photos de familles dans des lieux publics ou dans des résidences privées ;• Photos de chantiers d’immeubles ou municipaux, scènes de la vie quotidienne

au cœur de la communauté ;• Photos d’intérieurs ou de façades de commerces ou de maisons ;• Coupures de journaux ou cartes postales ;• Affiches ou encarts publicitaires ;• Courts vidéos.

saint-hippolyte.ca

11:24 Page1

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L e S e n t i e r • 4 • M A R S 2 0 1 8

JOURNÉERECRUTEMENT

Apportez votre CV I Possibilité d’entrevue le jour même !Mercredi 14 mars 2018 de 11h à 21h

SAINT-JÉRÔME 2159, boul. Curé-Labelle | 450.438.3577

SAINT-HIPPOLYTE 957, chemin des Hauteurs | 450.224.8555

FAITES PARTIE DE L’ÉQUIPE!

[email protected] 

Les bacs bruns seront obligatoires au Qué-bec en 2020 alors qu’il sera interdit d’enterrerles matières organiques. L’enfouissement desdéchets génère des gaz à effet de serre quicontribuent à la pollution de la planète.

Un excellent bilanDurant les six derniers mois de 2017, envi-

ron 40 % des foyers hippolytois ont adopté lebac brun en y déposant 455 tonnes de ma-

tières organiques, soit une moyenne de 48 kgpar personne. L’objectif de 300 tonnes pourune première année d’implantation est donclargement dépassé. Ces tonnes de matières déviées de l’enfouissement ont rapporté750 000 $ à la municipalité sous forme de redevances gouvernementales.

À titre comparatif, ces résultats dépassentceux de Saint-Colomban (40 kg/personne)mais se situent en dessous du rendement dePrévost (76kg/personne). Notons que ces deuxmunicipalités ont déjà complété leur deuxièmeannée d’implantation du bac brun.

La direction de la municipalité est confianteque la population qui n’a pas encore pris le vi-rage du compostage le fasse en 2018 ou 2019.Le maire Bruno Laroche a d’ailleurs rappelé quecette même résistance au changement avaitété observée il y a une dizaine d’années avecl’implantation des bacs bleus pour le recy-clage. Or aujourd’hui, Saint-Hippolyte est don-née en exemple comme municipalité modèlepour le recyclage.

Les Petits ambassadeursAfin de promouvoir l’utilisation du bac brun,

la municipalité a décidé de faire équipe avecl’école primaire des Hauteurs qui a déjà unprojet éducatif valorisant la nature. Ainsi, la di-rectrice de l’école, Marie-Claude Gaudreault, aprésenté les huit élèves qui seront les visagesde cette campagne de promotion. Ces élèvesont été sélectionnés dans le cadre d’unconcours scolaire dans lequel ils devaientdécrire leurs motivations à être les jeunesambassadeurs du compostage. Devant l’au-ditoire, chacun d’entre eux est venu direpourquoi le compostage est si important.

Nous reverrons donc ces jolies frimoussesdans les mois à venir sur des panneaux routiers,sur la page Facebook et le site web de la mu-nicipalité. Ils seront des modèles pour la com-munauté.

Trucs et astucesDans la dernière partie de la rencontre,

Geneviève Simard, responsable de l’environ-nement pour la municipalité, a présenté dif-férents moyens pour faciliter l’utilisation du bacbrun. L’auditoire présent a aussi partagéquelques trucs et astuces. Plusieurs de ces in-formations se retrouvent dans le « Guide descollectes 2018 » qui a été posté avec le comptede taxes, de même que sur le site web de lamunicipalité www.saint-hippolyte.ca sous l’on-glet « Collecte à 3 voies ».

Parmi quelques trucs, mentionnons le faitde tapisser l’intérieur du bac brun de cartonsou de journaux pour éviter le compactage etl’adhérence aux parois, et l’achat de sacs enplastique compostables qui sont certifiés BNQ.2286, chemin des Hauteurs

Saint-HippolyteDim•Lun•Mar•Mer : 11h à 21hJeu•Ven•Sam : 11h à 22hHORAIRE

meilleursingrédientsmeilleurespizzas

Marie [email protected]

Actualité

CompostageLe bac brun entre dans sa deuxièmephase d’implantation

Le 15 février dernier, la popu lation de Saint-Hippolyte était invitée par lamunicipalité à une troisième rencontre d’in formation sur la « collecte à 3 voies  » et plus précisément sur le bilan de la première annéed’implantation des bacs bruns pour le compostage.

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L e S e n t i e r • 5 • M A R S 2 0 1 8

VERTICALEMENTI. Elle désire vivre en vierge et

mourir en sainte.II. Qualifie un article - Méprisée.III. On peut l'être d'amour - Délicat.IV. Refuse - Bonnet à poils.V. Infinitif - Abats - Elle peut être

de Cologne.

VI. Particule de charge électrique - Pronom.

VII. Adverbe - Rares sont celles qui ont reçu ce mérite.

VIII. Notées - Pronom. IX. Ses flèches peuvent rendre

amoureux - Fils de Poséidon - Pronom.

X. Fils de Noé - Ne voit-elle rienvenir ? - Note .

XI. Étoile en fin de vie - Lettregrecque

XII. Pratique - Ont-ils un sexe finalement ?

Mots croisés J A C Q U E S D A X E L E [email protected]

HSolution à la page 7

HORIZONTALEMENT1. Elle est l'épouse d'un grand

personnage - Elle a l'allured'une grâce.

2. Prénom - Vide.3. Réciter - Cocu !4. Poisson rouge - Plein d'admi-

ration pour elle - Infinitif.5. Elle a enfanté des géants

- Maladie de la vigne - Éros lepointait vers le cœur.

6. Elle n'est pas plus bellequ'une Québécoise !

7. Elle en a autant que l'homme !- Il y en a dans certainesboites.

8. Harmonie - On en trouve beau-coup en Bulgarie.

9. Préfixe - Écrit - 12 ou 365.10. Bois d'une grande dureté

- Absorbé.11. d'avoir - Elle est faite ni d'os

ni de Chair - Jeune fille.12. Authentique - Coutumes.

L’exportation des animaux de compagnie

Les animaux de compagnie font partie denotre quotidien. Et lorsque nous sommes en va-cances, ils partent souvent avec nous. Plusieursanimaux voyagent maintenant à l’année, que cesoit aux États-Unis ou en Europe. Sachez que se-lon votre destination, les exigences seront dif-férentes et si un mode de transport aérien estutilisé, les exigences seront plus rigoureuses. Desdifférences seront également présentes entreles espèces animales. Il est donc important des’informer préalablement et de ne pas s’y pren-dre à la dernière minute autrement, vous pour-riez être contraints d’annuler vos vacances oude laisser votre animal derrière vous.

D’abord, la vaccination doit être à jour. Quece soit par voiture ou par avion, des vaccins enrègle sont obligatoires. Sachez que dans le casd’une primo-vaccination (premiers vaccins),un intervalle de 30 JOURS doit être respecté en-tre le vaccin et l’exportation. Ainsi, les chiens etchats de moins de quatre mois ne pourront êtreadmis sur un terrain étranger, car la vaccinationde la rage est faite à trois mois d’âge minimum.Aucune dérogation à cette règle n’est autorisée.Hormis cela, les voyages terrestres ne requièrentpas d’autres mesures que la preuve vaccinale,rédigée en anglais de préférence.

Pour les voyages aériens, il se peut que voussoyez obligés de faire poser une micro puce ouun tatou à votre animal. Dans ce cas, il doitêtre mis en place AVANT toutes manipulationsrelatives à l’exportation future. De plus, selon ladestination choisie, un traitement completcontre les parasites internes et externes estexigé après un test de selles en laboratoire.

En résumé, si un voyage en avion est prévu,le site de l’ACIA : www. inspection.gc.ca peutêtre votre référence de première ligne. Dans l’on-glet « animaux », vous trouverez les documentset règles de base. Vous pouvez aussi leur télé-phoner pour obtenir plus de renseignements.Au-delà de l’aspect légal, les exigences dechaque compagnie aérienne sont particulièreset les pays qui vous accueillent en ont égale-ment. Donc, il est recommandé de communi-quer aussi avec la compagnie aérienne quivous offrira le transport, mais aussi l’ambassadedu pays visité. Nous, vétérinaires, ne sommes pasen mesure de connaître toutes les particulari-tés relatives à un type de voyage précis. Il est devotre devoir de rechercher les exigences et en-suite, nous ferons pour le mieux afin de les sa-tisfaire adéquatement et dans les délais requis.

Bien évidemment, ces exigences ont unprix. La rédaction d’un certificat de bonne santé,la pose d’une micro puce, les vaccins, examenset les médicaments préventifs doivent être te-nus en compte dans votre budget vacances. Etn’oubliez pas que les documents officiels doi-vent être toujours contresignés par le vétérinairemandaté de l’ACIA à Mirabel une fois complé-tés par nous.

Il ne faut pas prendre à la légère l’exporta-tion d’un animal de compagnie. Une fois toutesces mesures légales remplies, il est important desonger à l’essentiel, c’est-à-dire au confort de votre animal et au stress non négligeable occasionné par cette épreuve. Dans certaines situations, c’est un réel casse-tête et c’est à se de-mander s’il ne serait pas mieux de les laisser enpension finalement ! Bonnes vacances !

Dre Valérie Desjardins, m.v.

Dre Valérie Desjardins

VÉTÉRINAIRE

Le 20 février, la Société natio -nale des Québécoises et desQuébécois, région des Lauren -tides (SNQL) et le MouvementQuébec français des Lau ren -tides (MQFL) annon çaient lesfinalistes aux Prix d’excel lenceen français Gaston-Miron 2018.

Ces prix sont décernés annuellement par laSNQL et le MQFL pour reconnaître « des per-sonnes, des entreprises ou des organismes quise distinguent par leur contribution à la pro-motion et la valorisation de la langue française,dans toutes les sphères de la vie collective, surle territoire des Laurentides ».

En 2015On se rappellera que l’artiste

peintre muraliste Pascale Dupréavait remporté le prix Coup deCœur Gaston-Miron pour la mu-rale L’Arbre à mots située face àl’entrée de la bibliothèque muni-cipale.

En 2016C’est Audrey Tawel-Thibert, jour-

naliste au Sentier et animatrice desP’tites Plumes à l’école des Hauteursqui était en lice pour un prix.

En 2017Votre journal communautaire, Le

Sentier, a obtenu à son tour, le prix Coup deCœur.

En 2018Saint-Hippolyte est représenté par deux pro-

ductions innovatrices, Poésie Académie et Lesmots gravés. « Poésie Académie, une tribune auxamants de poésie », peut-on lire dans la mise encandidature. Pierre et Jacques Mondou1 sont lesorganisateurs des samedis littéraires au CaféCarrousel à Saint-Jérôme. Depuis décembre,Pierre Mondou propose également une ru-brique intitulée Poésie Académie présente lesAmis du Pierrot dans le journal Le Sentier.

D’autre part, on présente Les motsgravés 2 comme « une rencontre exceptionnelleentre deux univers  ». Il s’agit d’un livre d’art au-quel ont participé trois artistes-graveurs deSaint-Hippolyte : Jocelyne Annereau Cassagnol, Claudette Domingue et Cédric Loth.

Les lauréats des Prix d’excellence en françaisGaston-Miron seront dévoilés le 18 mars lors duRendez-vous de la Francophonie au ThéâtreGilles-Vigneault.

1 http://www.journal-le-sentier.ca/ - Archives :2016 août, p.19

2 http://www.journal-le-sentier.ca/ - Archives :2017 décembre, p.5

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Encore cette année, des Hippolytois finalistes aux prix Gaston-Miron!

Actualité

Au tour d’elleAu tour d’elle

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L’histoire de la créationdes sept écoles de rangde 1871 à 1962 de lamunicipalité de Saint-Hippolyte, sur un vasteterritoire laurentien(132  km2) 1, témoignede l’importance d’offrirune éducation, desvaleurs intellectuelleset religieuses, malgréles défis économiquesque cela pouvait repré -senter pour les famillesfondatrices.

La création de cette jeune municipalité vise à regrouper en1869, des familles de religion catholique qui se sont installéesprogressivement sur des terres des comtés de Wexford, Aber-crombie et Kilkenny. Ces comtés, créés en 1840 par le gouver-nement du Bas-Canada, étaient pourtant réservés aux famillesimmigrantes anglophones, écossaises et irlandaises dont leschefs-lieux étaient alors Shawbridge (rivière du Nord) et New Glasgow (rivière l’Achigan). Mais, les immigrants anglophonesles abandonnent rapidement à cause du peu de rendement agri-cole des sols pauvres et de leur difficulté à les labourer. Certainesfamilles anglophones restantes transforment d’abord ce terri-toire en zone d’exploitation forestière de bois de constructionet de chauffage, avant de finalement les offrir aux familles canadiennes-françaises qui ne peuvent plus acquérir de terresdans les seigneuries du lac des Deux-Montagnes, des Mille-Îleset de Terrebonne, au sud.

L’école, prolongement de la famille et de l’ÉgliseAinsi, progressivement sur des terres qui permettent un peu

d’agriculture, des familles canadiennes-françaises catholiques,migrent à partir des villages de Shawbridge et de New Glasgow.Ils remontent le long des cours d’eau, chemins naturels detransport, et forment les premiers îlots d’habitation, à l’ouest, au

nord du lac des Quatorze-Îles et,à l’est, autour de la baie de Kil-kenny et de la plage naturelle dulac de l’Achigan. Par nécessité,de petits rangs tortueux, peucarrossables, relient les fermes.Comme il était important pources familles d’offrir à leurs en-fants une éducation acadé-mique et religieuse, dès la 2e

génération, on pense à y établirune école. Car, comme le précisela Loi sur l’Instruction publique 2

de 1851, l’école est « le prolon-gement des enseignementsmoraux et religieux de la familleet de l’Église ». Telle est la tâchede la maîtresse d’école choisiequi doit y jouer un rôle aussiimportant «  que le curé de la paroisse, 3 que le commissaire-parent élu et que l’inspecteur

mandaté pour en vérifier périodiquement la qualité de l’ensei-gnement. Cette dernière, en plus de plaire et répondre aux at-tentes afin d’instruire aux connaissances académiques, doitéduquer les enfants à la vie et à la foi religieuse. Son autorité semanifeste, dans une discipline d’amour et de crainte. Dieu, lui-même, ne conduit pas autrement ». 2

Naissance progressive des sept écoles de rangOn pense que, dès 1860, une école est présente sur le

Chemin du Roi (baie de Kilkenny), école no.2, pour les enfants despremiers arrivants écossais et irlandais venus de New Glasgow.En 1871, sur le rang 10, au lac de l’Achigan, l’école no.7 accueil-lera progressivement jusqu’en 1957, des élèves de six divisions(1re à la 6e année) sous l’égide d’une même enseignante. AprèsLucina Lafleur qui y a enseigné durant plusieurs années, l’hippolytoise Thérèse Racine en sera la dernière enseignante, de 1952 à 1957. Au rang 4, au lac des Quatorze Îles, l’école no.3,Saint-François-Xavier (deux bâtiments seront construits succes-sivement) accueillera progressivement des élèves de plusieursdivisions. Puis, dès 1907, du côté du lac Écho, l’école no.4, Saint-Jean-Baptiste, accueillera les enfants du rang. 3

Au village, une première école est construite en 1912. Mo-derne, elle offre aux maîtresses d’école, un logement à l’étage.

S’ajouteront, l’école no.5, dite des Hauteurs (emplacement actuel de Materio). Les sœurs Angèle et Jeannine Ménard y enseigneront, l’une aux petits, à l’étage, l’autre aux grands, aurez-de-chaussée.4 Elles termineront leur carrière à l’école Notre-Dame-du-Rosaire. Et l’école no.6, dite du lac Connelly, où AnnetteLanciault (madame Paul-Émile Sigouin) enseignera durant 22 ans.Cette enseignante terminera une carrière de 26 ans à la nouvelleécole Notre-Dame-du-Rosaire, en 1965. Dans les années 1930,les sept écoles de rang de Saint-Hippolyte accueillent environ250 élèves, ils seront 470 élèves vers 1962.

1 À titre comparatif, correspond à une plus grande superficieque celle de l’addition des territoires actuels de la municipa-lité de Saint-Jérôme (93 km2) avec celle de Prévost (35 km2)

2 Loi sur l’instruction publique  : Loi qui légifère le systèmeéducatif public au Bas-Canada (Province de Québec) depuis1851.

3 Amendement de 1849, dans la Loi sur l’instruction publique,page 291.

4 Suzanne Laurin-Varin, Les écoles de rang à Saint-Hippolytedans Les cahiers d’histoire de la Rivière-du-Nord, vol 1 no.2,août 1983.

L e S e n t i e r • 6 • M A R S 2 0 1 8

81, ch. du Lac-du-Pin-RougeSaint-Hippolyte (Québec) J8A 3J3

450 563-2790www.aubergelacdupinrouge.com

Jacques LaroseThomas Deslauriers,massothérapeute agréé

Confection de tout genreAltérations

450 563-2790

Vendredi 6 avrilSoirée Karaoké

Samedi 24 mars 20h Brunch de Pâques

1er avrilde 11h à 14h

15 95 $Sur réservation

Soirée de danseen association avec le

Club de l’Âge d’or de Saint-HippolyteEnseignement d’une danse

Coût : 10 $ pour les membres15 $ pour les non-membres

Billets disponibles :Les Services Hippolytois de Partage

980, ch. des Hauteurs 579 888-4820

Pour partager votre histoire familiale, compléter et commenter les histoires de vie présentées, communiquez avec [email protected]

Antoine-Michel [email protected]

École no.1 au village de Saint-Hippolyte,en construction en 1912 et démolie en 1958. Elle occupait l’emplacement

du poste d’essence actuel.ARCHIVES DE FERNAND DAGENAIS, SOCIÉTÉ D’HISTOIRE DE LA RIVIÈRE-DU-NORD

Les sept écoles de rang de la municipalité de Saint-Hippolyte, entre 1871 et 1962.

RECHERCHE ET MONTAGE A.M. LEDOUX

Les écoles de rang de Saint-Hippolyte:1871-1962Porter l’instruction partout où la population grandit - Partie 1

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Maryam Madjidi

Marx et la poupéechez Héliotrope

Maryam Madjidi, franco-iranienne, estl’écrivaine qui a remporté le prix Goncourtdu premier roman en 2017. À premièrevue, pourtant, Marx et la poupée a l’air detout sauf d’un roman. Suite de tableaux réalistes ou récits autobiographiques, récit d’autofiction en quête de l’identité,miscellanée d’instantanés et de poèmes enprose, recueil de nouvelles, mais roman ?Alors c’estun romanà la formeet à la fac-ture fran-c h e m e n tor iginalequi peut,voire quidoit se lirelentementet à bâtonsr o m p u s . Le seul filconducteur qui unit tous les « chapitres »qui le composent est celui des person-nages : l’écrivaine enfant et adulte, la mère,le père, quelques parents et amis morts endétention ou torturés. Car il faut savoirque Maryam Madjidi est née en Iran en1980, au tout début de la révolution isla-mique inspirée par l’ayatollah Khomeini.

Dans son livre, Madjidi évoque le déra-cinement et les autres tourments qui as-saillent les exilés, ainsi que le rapport à lalangue natale (le persan et non l’arabe,rappelons-le), sans oublier le poids et la fas-cination d’une culture pluriséculaire, cellede la civilisation perse, qui englobe lesMèdes, les Perses, les Parthes, les Sassa-nides, jusqu’aux imams barbus qui acca-blent l’Iran de leur islam de fer depuis prèsde quarante ans. Voilà quand même quinous distrait agréablement de nos débatset diatribes de pouvoir et de sexe de #Metoo, #Moi non plus, La Meute, les voyages dupremier ministre Justin 1er et tutti quanti.Or, malgré le legs impressionnant de cettelangue et de cette culture, Marx et la pou-pée se révèle à la lecture un livre agréableet accessible, d’un humour fin et d’unepoésie discrète et profondément ancréedans la souffrance et l’espérance humaines.

Joffroi Durelle

L e S e n t i e r • 7 • M A R S 2 0 1 8

Accueil du printemps

Plusieurs d’entre nous ont profité cet hiverdes plaisirs que procure notre lac gelé. Lacouche de neige sur les rives du lac et la glacedisparaîtront sous peu. Il est important de ré-cupérer tout ce qui aurait pu être oublié surplace lors de nos activités hivernales, qui pour-raient se retrouver dans le lac, causant ainsi dela pollution ou un risque à la navigation.

La plus grande prudence s’impose avec lafonte de la glace. Vérifiez la présence de trous,de poches d’eau, etc., et restez vigilants au vo-lant de vos motoneiges et VTT. Bon printempsà tous ! Votre équipe de l’APLASite internet : www.aplaweb.cacourriel : [email protected]

Cercle de Fermières Saint-Hippolyte

Le Cercle de Fermièresvous invite au Whist mili-taire.Date  : le vendredi 4 mai2018, de 19 h à 22 h.

Lieu : Centre Éducatif et Communautaire des Hauteurs30 rue Bourget, Saint-Hippolyte (école primaire du village)

Prix d’entrée : 10 $Il y aura des prix de présence, desserts et

breuvages en fin de soirée.Au plaisir de vous rencontrer.Nos portes sont toujours ouvertes à celles

qui veulent apprendre de nouvelles techniques(tricot, tissage, couture, broderie entre autres)tout en jasant ou en prenant un bon café.

LUNDI de 10 h à 15 hMERCREDI de 18 h 30 à 20 h 30

LOCAL des Fermières Mireille Vézeau,19, rue Morin, Saint-Hippolyte

Notre prochaine réunion se tiendra lundi le12 mars à 15 h 30.

Louise Bernier, présidente 450 563-1666Ghislaine Forget, aide technique

aux communications

ASSOCIATIONS

Effectivement, chaque année depuis plus de 10 ans, le Club OptimisteSaint-Hippolyte offre aux gens de Saint-Hippolyte l’occasion de venirs’amuser et passer une belle journée en famille.

On vous attend, le dimanche 25 mars prochain, au Centre de quilles Lafontaine, 2020, rueSaint-Georges à Saint-Jérôme (petites quilles seulement) de 15 h à 17 h et à la salle La Cara-velle où vous serez accueillis pour le souper spaghetti vers 18 h.Adulte

Quilles seulement : 15 $ (souliers inclus)Quilles et souper : 25 $

EnfantQuilles et souper : 12 ans et moins(accompagné d’un adulte) – GRATUIT

SouperJoueurs : 10 $Non-joueurs : 12 $Les gens de l’extérieur sont les bienvenus, mais devront débourser pour cette activité. Le

coût sera fourni sur demande. En plus, des cadeaux seront offerts aux enfants et de nombreuxprix de présence feront des heureux parmi les participants.

Pourquoi ne pas organiser son propre groupe et réserver une allée de petites quilles de sixjoueurs par allée ou tout simplement venir souper avec nous.

Dépêchez-vous, seulement 24 allées de disponibles, joignez Linda Rousseau, responsablede lévénement au 514 898-1849 ou via son adresse courriel : [email protected]

Venez en grand nombre, on vous attend ! Venez vous amuser en famille !

Après-midi de quilles et souper spaghetti au profit du Club Optimiste Saint-Hippolyte

Le samedi 10 février dernier, enl’église Saint-Hippolyte, nousavons assisté à une super belle

soirée de musique,de chants et derires. Une soirée-bénéfice au profitde l’Âge d’Or deSaint-Hippolyte.

«  La salle n’était pas remplie à pleine capacité, mais les gens présents ont eu droit àtoute une performance  », commente GillesRousseau, l’organisateur. Après le spectacle, lescommentaires élogieux fusaient de toutes parts;«  Ça mit tout le monde de bonne humeur.  »

« Ça nous a mis dans l’ambiance de la Saint-Valentin. » « Quelle belle soirée. » « Ils sont enmême temps très drôles. »

Toute la salle est également restée es toma-quée par la performance de Francis Guérard,directeur du chœur Anima Musica et profes-seur de musique. Il a surpris et ravi l’auditoireen interprétant un air de Pavaroti. Ce qui lui avalu une ovation réellement bien méritée ainsiqu’à tout le groupe à la fin de la soirée. « Ce futune soirée de pur délice et beaucoup de spec-tateurs m’ont demandé de répéter ce specta-cle pour une prochaine occasion, émet GillesRousseau, preuve qu’ils ont bien apprécié leursoirée ».

La TOURNÉE DU BONHEUR offrait leur nou-vel album CD au prix de seulement 15 $, dont10 $ étaient remis au Club Optimiste. Merci auxmembres du groupe.

La tournée du bonheur : Spectacle fantastique!

Nouvelles de la paroisse

Parcours catéchétiqueC’est avec une grande joie que nous vous

annonçons qu’il y a 15 jeunes et 4 adultes ins-crit aux parcours pour la confirmation, dis-pensé par notre Agente de la pastorale, qui adébuté le 20 février et qui se terminera le 15mai. La confirmation aura lieu en cette église,le samedi 19 mai prochain.

FunéraillesQue l’espérance de

la Résurrection apaisela douleur des famillestouchées par ces deuils.Léonne Richer Lamou-reux, 95 ans et 9 mois,décédée le 24-01-2018,funérailles le 31-01-2018.

Jean Roger Forget, 68 ans, décédé le 20-01-2018, funérailles le 03-02-2018.Gabrielle Falardeau Pagé, 102 ans, décédéele 24-01-2018, funérailles le 10-02-2018.

Nos plus sincères condoléances aux familles et aux amis.

Baptêmes par l’abbé Fabrice Nsamolo-IteleLe 18 février 2018

Lohan, fils d’Anthony Roussel et d’Émilie Villeneuve

Le 18 mars 2018Charles, fils d’Alexandre Monette

et de Marie-Pier GilbertFélicitations et bienvenus dans notre communauté chrétienne.

Nouvelles heures de bureauLundi au jeudi : 9 h à 13 hVendredi : Fermé

Il est toujours préférable de prendrerendez-vous par téléphone.

Entretemps, laissez un message surle répondeur si urgence, et on vous ap-pellera.

Accueil à la maison paroissiale : Ca-role Cloutier, secrétaire administrativeou Rita Bone.

Heures de bureau du temps pascal

Le bureau sera fermé le lundi de Pâques 2 avril 2018

Lampe du sanctuaireNous vous offrons la possibilité de

brûler une lampe du sanctuaire pen-dant toute la semaine pour vos inten-tions. Veuillez appeler au bureau oupar courriel.2259, chemin des Hauteurs, Saint-Hippolyte J8A 3B8Tél.: 450.563.2729 Téléc.: 450.563.4083Courriel: [email protected]

HORAIRE POUR LES CÉLÉBRATIONS DU TEMPS PASCAL 2018Jour Date Évènement HeureMercredi 14 mars Tressage de rameaux 9 h 30 à 15 hDimanche 25 mars Rameaux 10 h 30Lundi 26 mars Messe chrismale à la Cathédrale 19 h 30Jeudi Saint 29 mars Dernière Cène 19 h 30Vendredi Saint 30 mars Passion du Christ 15 hSamedi Saint 31 mars Vigile Pascale 19 h 30Dimanche 1er avril Pâques 10 h 30

TIRAGE Février 2017

1er prix : 2e prix : 1000 $ Billet # 100 $ Billet #Jocelyne et Philippe Micheline PelletierLafleur #175 Saint-HippolyteSaint-Hippolyte #235

FÉLICITATIONS ! Mon Église, j’y tiens !

Solution de la page 5

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L e S e n t i e r • 8 • M A R S 2 0 1 8

Gilles [email protected]

Mots à hic

Les mots composés formentleur pluriel selon les règlescoutumières, c’est-à-dire quele s s’ajoute à la fin de cha-que élément, substantif ou adjectif. Certes, il y a desexceptions... en abondanceplurielle !

Des composés…Lorsque deux noms forment le mot

composé, les deux s’accordent, tels quelieutenants-gouverneurs, loups-garous. Nesuivent pas la règle des bains-marie, destimbres-poste, des chefs-d’œuvre, des sou-tiens-gorge. Il y a aussi des invariables, àl’exemple des coq-à-l’âne, des pied-à-terre.S’il s’agit de deux adjectifs, ou d’un adjectifet d’un nom, la règle est que les deuxtermes prennent le pluriel, comme arcs-boutants, francs-tireurs, grands-pères. Maison dira des petits-beurre (petits sous-entendu biscuits au beurre), des terre-pleins (on sous-entend des espaces pleinsde terre).

Quand le binôme est constitué d’unverbe et d’un complément d’objet direct,le verbe reste toujours invariable. Le nom,lui, peut prendre ou non le pluriel, selonle sens. Ainsi, on écrit des abat-jour, car ils’agit d’objets permettant d’abattre, decouvrir le jour, jour signifiant ici la lumière,l’éclairage. Le complément prendra un sdans d’autres cas, tels que bouche-trous,couvre-chefs. Dans d’autres cas, le com-plément est toujours pluriel, car le sensl’exige, par exemple un casse-noisettes(pour casser des noisettes), un porte-avions (il y a généralement plus d’un avionsur ce type de navire), un porte-clefs (pourtenir plusieurs clefs). Si nous avons affaireà un mot invariable et un nom, ce derniers’accorde comme des haut-parleurs (hauta ici une valeur adverbiale signifiant for-tement, intensément). Déroge à cette règlesans-cœur, on dira des sans-cœur, sansdoute parce que chaque personne nepeut avoir plus d’un cœur, à moins d’avoirsubi une transplantation ! Un mot inva-riable et un verbe, rien ne s’accorde, ondira donc des on-dit, des ouï-dire. Parfois,un verbe accolé à un nom a pris valeur de

nom, comme un aller-retour, des allers-retours.

… et des intégrésLa règle n’est pas rigide quand il est

question d’emprunts à des langues étran-gères. Les mots latins pour la plupart neprennent pas de s au pluriel. On dira desAve, des Credo, des veto. Étrangement, onécrit un addenda, un errata, alors que cesont les pluriels des mots latins addendumet erratum. Mais ils sont devenus chacunun collectif regroupant les additifs ou leserreurs dans une publication. Venant del’hébreu, amen est invariable tandis quealléluia peut prendre un s. Bien des mots,d’aucuns diront trop, nous sont venus del’anglais. L’usage nous laisse souvent libresd’adopter soit le pluriel tiré de l’anglais, soitle pluriel formé sur l’approche française.Ainsi, on peut écrire pour barman desbarmen ou des barmans, pour sandwichdes sandwiches ou des sandwichs, pourmatch des matches ou des matchs. Mêmesituation pour l’allemand où, par exemple,leitmotiv peut devenir leitmotive ou leit-motivs au pluriel.

De la langue italienne, beaucoup determes de musique ont intégré le français.Mais attention, andante, allegro restentinchangés quand ils sont considéréscomme adverbes désignant le tempo(oups! Italien aussi celui-là) en notationmusicale. Lorsqu’ils réfèrent à des mor-ceaux de musique exécutés selon de telstempos, ils s’accordent à la française, doncdes andantes, des allégros (notez l’accentaigu). Côté nourriture, l’italien a aussi bienalimenté notre langue. Une foule de motsse terminant en i, comme macaroni, spa-ghetti, rotini, sont déjà des pluriels dans lalangue d’origine. La gourmandise ne nousétouffant pas, nous n’avons pas craint dedoubler la portion en ajoutant un s en fran-çais pour signaler le pluriel. Il en est demême de confetti, graffiti, lazzi et autres.

Bonne fin d’hiver et que le printempsvous sourit !

Communiquez avec moi par [email protected] ou sur lesite Facebook du journal Le Sentier pournous faire part de vos commentaires, oude suggestions de sujets/thèmes à traiter.https://www.facebook.com/Journal-Le-Sentier-240326016318686/

Pluriel parfois fort… singulier !Mots composés et termes étrangers(Deuxième partie)

Poésie Académie présente les amis du Pierrot

Poésie Académie a repris, le 24 février dernier, ses activités au Café Carrouselde Saint-Jérôme. Pour information ou inscription : [email protected]

De l’autre côté du poèmeIl y a la merL’écume des motsLe ressac des versL’encre turquoiseL’immensité des rêves

De l’autre côté du poèmeIl y a le cielOù dansentLes arcs, les angesLes nuagesParfois grisSouvent blancsIl y a la luneDrapée d’étoilesCherchant sa voieLactéeSous ses croissants

De l’autre côté du poèmeIl y a le ventQui glisse

Sur les feuilles blanches,Rouges, jaunesIl y a l’hiverOù tout est frissonGelé, figéVerbe en patience

De l’autre côté du poèmeIl y a la VieLa Vraie VieCelle qui fait fiDu temps qu’il feraCelle qui passe sesHeuresDans le présentLaissant aux autresLe temps dépassé

De l’autre côté du poèmeIl y a la lumièreLe divinIl y a l’AmourAvec ses soirs, ses jours,Ses désirs, ses soupirs

De l’autre côté du poèmeIl y a nous, poètesDéménageurs de motsMarchands d’émotionsAttirés par le videOubliant les ailesSous nos os

De l’autre côté du poèmeIl a la sève parfois sèchede la plumeLa douleur blancheLe silence des motsL’absence du tempsLa saveur des versLe bouquet de l’âme

De l’autre côté du poèmeIl y aL’invisible.

Michel Bouvrettede Saint-Jérôme

TOUS DROITS RÉSERVÉS

De l’autre côté du poème

Date de tombée : le 1er du mois Tirage : 5400 copies

Pour toutes les parutions, faitesparvenir vos communiqués etvotre matériel publicitaire pour le1er du mois par courriel ou poste :[email protected]

C.P. 135, Succursale bureau-chefSaint-Hippolyte (QC) J8A 3P5

PRÉSIDENT :Michel Bois 450 563-5151

PETITES ANNONCES :450 563-5151

IMPRESSION : Hebdo-LithoDépôt légal Bibliothèque nationale du Québec, 2e trimestre 1983Le Sentier reçoit l’appui du ministère de laCulture et des Communications du Québec.Ce journal communautaire est une réalisationd’une équipe de touche-à-tout en constanteévolution. Nous n’avons d’autre but qued’améliorer la qualité de vie à Saint-Hippolyte.

Administration, rédaction, correction, choix des textes et photographies du journal Le Sentier sont l’oeuvre de :

Juliette et Noémie Allard,Jocelyne Annereau-Cassagnol, Monique Beauchamp, Michel Bois, Lyne Boulet, José Cassagnol, Carine Cherrier, Diane Couët, Jacques Daxhelet, Gilles Desbiens, Élise Desmarais, Bélinda Dufour, Jean-Pierre Fabien, Michel Hardy, Suzanne Lapointe, Antoine-Michel LeDoux,Francine Lussier, Liette Lussier, Arielle Marion, Francine Mayrand, Monique Pariseau, Marie Perreault, Robert Riel, Colette St-Martin,Audrey Tawel-Thibert, Manon Tawel et Carine Tremblay.

Les textes identifiés par le logo de Saint-Hippolyte sont sous l’entière responsabilité de la Municipalité.

To our English citizens, your comments and texts are welcome. Bélinda Dufour

514 290-8949 [email protected]

Jocelyne Annereau Cassagnol450 431-2002

[email protected]

Vos représentantespublicitaires

Le mois de mars est peut-êtrele mois des sorcières puisquec’est le 8 de ce mois qu’oncélèbre le jour de la femme.

En Occident, et ce depuis l’Antiquité, onaime souvent imaginer les sorcières volant,les nuits de pleine lune, dans le ciel sur un ba-lai, utilisant une baguette magique, s’habil-lant de haillons et pouvant jeter des mauvaissorts.

Pourtant, dès le Moyen Âge, les sorcièresqu’on brûlait pour s’en débarrasser étaientdes femmes de haut-savoir, souvent sages-femmes et guérisseuses, car elles connais-saient les herbes, les racines et les plantes quipouvaient soulager des blessures ou desmaladies. Infusions et décoctions faisaientpartie de leur pharmacie et elles étaientsouvent demandées pour soigner diversesaffections.

Les premières féministesAu 15e siècle, on les reliait pourtant au dia-

ble et on affirmait qu’elles faisaient la fêteavec lui lors de cérémonie qu’on appelait sab-bat. J’ose dire qu’elles sont nos premières fé-ministes. Elles se réclamaient haut et fortcomme des femmes différentes des autres,car elles rejetaient toutes les soumissions etles entraves qui pouvaient nuire à leurs ta-lents. Ces femmes libres, souvent révoltéescontre les hommes qui les dénigraient, fu-rent, bien sûr, diabolisées. On en pendit, onen brûla, on en tortura. À une certaineépoque, au cœur du 18e siècle, certains his-toriens parlent même de génocides.

Être une femme libre, douée de dons etde savoirs, pouvait donc vous emmener toutdroit au bûcher. Ce n’est qu’au 20e siècle, parle biais de certains mouvements revendi-quant la liberté de la femme que le mot sor-cière laissera sa place à un nouveau mot, ce-lui de féministe qu’on attribuera aux femmeslibres qui se permettent de revendiquer leursdroits et l’égalité des sexes tant en éducation,en affaires, au travail ou à la maison.Encore aujourd’hui

Alors le 8 mars est peut-être la fête des sor-cières, la fête de ces femmes qui se sont bat-tues pour marquer un équilibre entre lesdeux sexes. Il ne faut surtout pas oublier quetout ceci s’est, en grande partie, passé en Occident. Même si tout n’est pas parfait dansnotre monde occidental, il est triste et alar-mant qu’aujourd’hui encore, dans plusieurspays, des femmes soient mises en esclavage,reniées, battues, vendues et j’en oublie.

On ne peut célébrer la fête de la femmesans penser à toutes celles qui vivent sous unetutelle où il est impossible de s’émanciper,d’être et même de survivre.

Monique [email protected]

Il était une fois

Les sorcières

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L e S e n t i e r • 9 • M A R S 2 0 1 8

Au petit matin ou en plein jourÀ la brunante comme au clair de luneNos pas suivent Le Sentier tracé par des pionniersNos yeux saisissent les repères du terrain boisé.

Ont pu y naître des rêves concrétisésDes obstacles ou des aspéritésOnt pu y naître beaucoup de complicitéDe la connivence et des amitiés.

Tout au long des joursAu fil des mois comme des annéesGrâce à des personnes dévouéesLa voix de notre milieu s’est vraiment exprimée.

Ont pu y naître des rêves concrétisésDes obstacles ou des aspérités

Ont pu y naître beaucoup de complicitéDe la connivence et des amitiés.

Au fil des saisons comme des moissonsAvec les mots de toujours pour refléter nos aspirationsVent, vent qui porte en toi notre appelSouffle, souffle sur nos lacs, nos foyers, nos existences plurielles.Tous nos chemins de vie se tournent vers Le SentierTous nos ailleurs s’enracinent par la présence des caractères imprimésVent, vent qui porte en toi notre appelSouffle, souffle sur nos lacs, nos foyers, nos existences plurielles.

Jean-Pierre Fabien19 février 2018

Le Sentier de nos existences plurielles

Nous y voici ! Nous sommes arrivés à une étapedigne de mention. Une étape où l'on peut sepermettre de regarder derrière, juste un peu, afin de bien visualiser tout le chemin qui a été accompli. À compter de ce mois-ci, Le Sentier fêteson 35e anniversaire !

Il a fallu beaucoup d'énergie, énormément detravail d'équipe, du coeur au ventre et un fortsentiment d'appartenance pour raconter la vie desgens et relater les événements qui ont eu cours dans

notre belle municipalité de Saint-Hippolyte. Mercià tous les bâtisseurs qui ont aidé, de près ou de loin,à la production de notre journal communautaire.Merci à tous nos fidèles lecteurs et commerçants quicontinuent de nous encourager.

Dans les mois à venir, nous aurons amplement letemps et l'occasion de souligner les années écouléessans oublier de porter un regard fier vers l'avenir.

Heureux anniversaire Sentier !Jean-Pierre Fabien

ans de labeur, mais aussi de bonheur!

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Case-toiNous sommes continuel le -ment bombardés, sub ju gués,submergés et pour finirensevelis de renseignements,d’informations et d’analysesde toutes sortes. En essayantde décortiquer ce déluge demessages et de données, oncherche laborieusement àvouloir mieux identifier,comptabiliser et finalementrépertorier ce qui nousentoure. Afin de pouvoir dé-complexifier le tout, latrouvaille a été de créer des nomenclatures, des caté -gories, des répertoires, desstrates et des classes.

Selon Jean Dion, «  on oublie, dans leclassement des grands évènements ayantmarqué le millénaire, d’inclure la vague desclassements ».

Effectivement, la meilleure solution, pourmettre de l’ordre devant cette avalanched’informations et de tenter de mieux com-prendre la société et les individus qui en fontpartie, a été de tenter par tous les moyensde placer dans une case et de créer un clas-sement.

On cherche sa classePar exemple, pour mieux vous connaître,

des gens peuvent identifier vos principauxtraits de caractère et répertorier certainsde vos comportements grâce à la classifi-cation. Statistiquement ou ésotériquement,on vous reconnaît, jusqu’à un certain point,si vous êtes : un homme, de la génération« Y », québécois, d’un quotient intellectuelde donné, francophone, sagittaire, serpent (horoscope chinois), marié, banlieusard (le fameux « 450 »), col blanc, natif de telle ré-gion, diplômé de telle institution, etc.

De cet échantillonnage vraiment frag-mentaire, on se permet d’extrapoler et d’éta-blir des modèles à partir des caractéristiquesqui semblent découler de l’appartenance àcertains de ces cloisonnements. Que ceux-

ci illustrent bien votre personnalité demeurequand même une approximation. « Il vautmieux changer de classe qu’être déclassé »,a énoncé Jean Grenier.

On classifieFriands de numéroter ou immatriculer la

plupart des phénomènes qui nous affec-tent, on met en place des palmarès, deslistes de 10 premiers, des grades. On établitdes échelles et des rangs comme, par exem-ple, dans les sports qui utilisent des chiffresdécodant les exploits et les belles perfor-mances. On n’a qu’à regarder quelquespages de journaux avec toutes les statis-tiques imaginables sur le rendement dejoueurs de hockey de la Ligue Nationale.Vous voulez visionner un film, alors les mé-dias se font un plaisir et un devoir de vousoffrir des critiques chiffrées qui parfois secontredisent largement. La publication desrésultats des recensements est un autreexemple où les statistiques et la classifica-tion prennent un rôle prédominant et bou-leversent notre vision.

Évidemment, cela nous pousse à direcomme Georges Perec : « Que me demande-t-on au juste ? Si je pense avant de classer ?Si je classe avant de penser ? Comment jeclasse ce que je pense ? Comment je pensequand je veux classer ? »

Cette recherche de vouloir tout classifieret même de catégoriser les catégories en-traine un effet encore plus nocif que celuid’être submergé d’informations : commentinterpréter honnêtement et franchement lesrésultats ?

CompartimenterPeut-on vraiment quantifier et cloisonner

des faits et gestes dans un classementquand tant de facteurs peuvent influencerle rendement ? Connaissons-nous vraimentl’environnement et le contexte dans lequell’évènement a été répertorié ? Est-ce que cecloisonnement réduit la portée des faits ?Comment pouvez-vous vraiment évaluerles qualités intrinsèques d’un phénomène ?

Si on utilise les dénombrements et lesclassements comme un autre outil pourune meilleure compréhension et non une finen soi, alors ils ont leur utilité. Toutefois,dans trop d’occasions, on choisit de catalo-guer et juger un individu d’après ses clas-sements qui ne reflètent pas sa pleine per-sonnalité.

L e S e n t i e r • 1 0 • M A R S 2 0 1 8

Venez rencontrer notre équipe

• Dre France Lafontaine

• Dre Annick Girard

• Dre Maude Pettigrew

780, chemin des Hauteurs, suite 202Saint-Hippolyte, QC, J8A 1H1

450 [email protected]

AVIS DE CONVOCATION

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ANNUELLE

DE LA MAISON DES JEUNES DE SAINT-HIPPOLYTE

Le conseil d’administration de la Maison des Jeunes est heureux de convier ses membresà son assemblée générale annuelle qui se tiendra le 28 mars 2018 à 19 h au Pavillon Aimé-Maillé, 871, chemin des Hauteurs, Saint-Hippolyte.

L’ordre du jour sera le suivant : - Rapport d’activités;- Rapport financier du Trésorier;- Élection des membres du Conseil d’Administration;- Projection des activités 2018,- Questions diverses.

Dans la catégorie Variétés et àguichets fermés, En Scène nousoffrait le spectacle Ladies Night,les 9 et 10 février. Est-ce purecoïncidence que cette produc -tion soit présentée en ce moisde février qui est celui deCupidon ? C’est tout feu toutflamme que cette joyeusebande d’acteurs se révèle ànous !

Adaptée du classique britannique The FullMonty, la pièce Ladies Night traduite et mise enscène par l’excellent Denis Bouchard, connaîtun succès phénoménal, hors du commun, de-puis sa toute première mouture, il y a 16 ansde cela. Ayant à leurs actifs plus de 800 re-présentations à guichets fermés, et ce, à tra-vers le Québec, ces sympathiques Chippen-dales se donnent pour mission de nous enmettre plein la vue !

Le dévoilement de l’histoireL’équipe masculine est ainsi composée de

Sylvain (Guillaume Lemay-Thivierge), Fred (Frédéric Pierre), Normand (François Chénier),Benoît (Michel Charette) et de Gérald (Marcel Leboeuf). Ils seront coachés par la très assuméeGlenda (Sylvie Boucher) qui essaiera tant bienque mal d’en faire des danseurs accomplis.

Nous faisons connaissance avec cinqhommes qui ont perdu leur emploi, et qui essaient, malgré un physique pas toujoursflatteur et des méthodes de séduction pastoujours gagnantes, de s’en sortir en s’impro-visant danseurs nus. Afin de les aider tantdans leur prestation de danse que dans leur vision vis-à-vis de la gent féminine, ils ferontappel à une ex-danseuse et maintenant pro-priétaire de club de danseurs.

Elle tentera de différentes façons de dé-montrer que l’on peut toucher les femmes dediverses manières. S’ensuivront des situationscocasses, des blagues à double sens, des qui-proquos dérangeants. Et n’oublions pas lesimages qui nous viennent à l’esprit lors deséchanges de textes et des gestes assez expli-cites. Même si parfois l’humour est gras il n’endemeure pas moins que c’est le talent, l’aban-don de soi et la totale confiance que ces ac-teurs ont les uns envers les autres, que nousressentons tout au long de la pièce.

Le jeu de la séductionToute cette bande de joyeux lurons aura su

charmer et séduire son auditoire, tout au longde leur prestation. Leur strip-tease n’est pas quephysique, il est aussi cérébral. Ils nous confientleurs pensées de mâles en manque de com-préhension de la part de leur entourage fé-minin. Ils veulent séduire les femmes et seprouver à eux-mêmes qu’ils ont encore leursplaces dans la société. L’expression « se met-tre à nu » prend tout son sens lorsque les garsde Ladies Night terminent le spectacle, ennous offrant leur grand jeu de la séduction, etce, sans artifice ! Le public conquis les gratified’une salve d’applaudissements, bien mérités.Les rires, cris et surprises des spectateursconfirment que Ladies Night a sa place parmiles productions de grande envergure. Suite auspectacle, la troupe de comédiens s’est fait unplaisir de prendre des photos, avec la file degens qui les attendaient impatiemment. Pour infos : www.theatregillesvigneault.com

Manon [email protected]

Culture

Mesdames, bienvenue au

L’équipe de comédiens de Ladies Night.PHOTO COURTOISIE

Page 11: Y A B A X I P O T O H P Hôpital Vétérinaire Prévost · • Concentration • Cardio • Détermination • Souplesse • Contrôle de soi • Auto défense Senseï : Michel Petit

La Joconde, un portrait simplement magnifique

La Joconde est un tableau peint par l’artisteitalien Léonard de Vinci. Celui-ci a peint égale-ment La Cène, Salvator Mundi, Saint Jean-Baptisteet bien d’autres tableaux fantastiques. Eh oui, laJoconde a déjà été volée! La fantastique œuvrea été volée par Vincenzo Peruiga qui connaissaitparfaitement les lieux... Deux ans plus tard, la Jo-conde a été retrouvée! Monsieur Peruiga avaitessayé de vendre la magnifique Mona Lisa à unantiquaire. Mais ce fut une grave erreur de sapart, car l’antiquaire a averti les autorités... La belleJoconde n’a pas de sourcils ni de cils, car c’étaitla grande mode au 16e siècle. Ce tableau peintà l’huile au 16e siècle est exposé au Musée duLouvre à Paris, en France.

Lily Lecavalier

L’origami, un sujetfascinant!

L’origami vient desmots «  oru  » (plier) et« kami » (papier). Ce jeude papier semble être

créé par les Chinois, mais il est aussi d’origine ja-ponaise. Ce vieil art consistait à décorer les ta-bles basses ou bien d’autres choses à valeur ines-timable. C’était un des arts les plus populairesdurant la VIe ère chinoise. Ce jeu daterait de lagrande dynastie des Han de l’Ouest (202 ansavant J.-C.). Cet art peut maintenant être prati-qué avec des serviettes et du papier. Maintenantque vous savez ce qu’est l’origami, pourquoi nepas l’essayer?

Lily Lecavalier

La NORAM : une grande compétition de ski de fond

Cette compétition de ski, qui se déroule

à Saint-Gabriel-de-Brandon, est la plus impor-tante au Canada pour les jeunes de dix à qua-torze ans. Elle se déroule pendant quatre jours.Vendredi, les clubs arrivent et s’installent pourcoucher à la polyvalente de Joliette. Samedi alieu la compétition en style libre. Les skieurs par-tent l’un à la suite de l’autre toutes les 15 se-condes.

Dimanche, c’est la course classique : les cou-reurs du même âge partent en même temps.Lundi a lieu le relais par équipe pendant la-quelle plusieurs équipes sont costumées selonun thème.

Pour clôturer cet événement, les 350 skieurssont invités à un immense buffet qui se ter-mine par une danse. Pour ma part, les beignesaux patates valent vraiment le déplacement.

Samuel Picard

ConcentrationVous connaissez ce cube

de couleurs qui vous creuseles méninges? Parfait pour laconcentration, ce cubeconsiste à aligner six faces de neuf petits carrésde la même couleur. Aujourd’hui, beaucoup dejeunes utilisent le cube Rubik pour se concen-trer, se déstresser ou même pour s’occuper. Cejouet est universel. Dans presque chaque pays,on peut voir les gens l’utiliser. Ce jouet inventéen 1974 peut amuser tes parents comme dejeunes enfants. Voilà une belle façon pour toi det’amuser pendant quelques jours.

Maria Dubuc-Flores

Muffins banane,framboise et chocolat

Lorsque j’ai fait cetterecette avec ma mère, je l’ai adorée. Je vous laprésente donc.INGRÉDIENTS :

• 2 tasses de farine• 1 pincée de sel• 2 cuillerées à thé de poudre à pâte• 4 bananes bien mûres• 1⁄2 tasse de sucre• 1⁄2 tasse d’huile végétale• 2 œufs• 2 cuillerées à soupe de jus de citron• 1 tasse de framboises• 1⁄2 tasse de pépites de chocolatDans un bol, mélanger la farine, le sel et la

poudre à pâte.Dans un autre bol, écraser les bananes, ajou-

ter le sucre, l’huile, les œufs, le jus de citron etbien mélanger.

Ajouter les ingrédients secs aux ingrédientsliquides. Mélanger puis ajouter les framboiseset le chocolat.

Remplir les moules à muffins avec le mé-lange. La recette donne environ 12 muffins.Cuire au four à 350oF pendant trente minutes.Miam! Miam!

Zoé Palmieri

Le Kung FuLe 6 février,

c’était le 10e an-niversaire del’école Shoalin Kung Fu des Laurentides. Le maî-tre de cette école s’appelle Shi Xiong Marc-André Lalonde. Il pratique les arts martiaux de-puis 33 ans. Le Kung Fu aide à la concentration,au contrôle et à la discipline. Cet art consiste enune série de mouvements très fluides qui né-cessitent beaucoup d’agilité. Le Kung Fu peutêtre pratiqué à tout âge. L’été, quand la tempé-rature le permet, les cours sont donnés à l’ex-térieur. Je pratique le Kung Fu depuis quatre anset demi et j’y ai découvert une passion. Le KungFu est un art martial très ancien dont l’origine re-monte à environ cinq millénaires. J’espère vousavoir inspiré à l’essayer.

Mackenzie-Ève Leduc

Qu’est-ce que l’amitié?

L’amitié ne sevoit pas, mais elle seressent. Elle est im-portante. L’amitiés’entretient comme un jardin, car elle apporte dubonheur et de la joie. Elle soutient les gens quien ont besoin quoi qu’il arrive. L’amitié partagedes millions de bonnes idées et rend les activi-tés meilleures. L’amitié est un sentiment debonheur!

Kélia Sigouin

MC Guerriers 80Tous les mardis et

vendredis, un grouped’une quinzaine dejeunes se réunit à Pied-mont pour un entraî-nement extérieur decourse à pied. Ces en-traînements se font même quand la tempéra-ture est très mauvaise ou glaciale. Le créateur dece groupe s’appelle Marc Cormier, mais il est mal-heureusement mort le mois dernier d’un arrêtcardiaque à l’âge de 48 ans, alors qu’il était unathlète. L’activité continue d’avoir lieu. C’est unde ses fils de 13 ans, Alexandre, qui a pris la re-lève et qui entraîne les autres jeunes. Marc Cor-mier était aussi le père de deux autres jeunes en-fants, un des deux est aussi membre des MCGuerriers. Ce qui différencie les Guerriers desautres groupes, c’est que tout est gratuit. Marctenait beaucoup à ce point. Les Guerriers tra-vaillent très fort durant les entraînements. Beau-coup d’entre eux gagnent des médailles dansdes compétitions importantes comme les pro-vinciaux de Cross-Country. Pour devenir unGuerrier, il faut aimer se dépasser et aller aubout de ses forces.

Et pour les intéressés…Marc Cormier croyait profondément aux ca-

pacités des jeunes athlètes de se rendre loin etde performer. Il a permis à une foule de jeuneset à leurs parents de découvrir que tout était pos-sible quand les efforts y étaient consacrés. LesMC Guerriers 80 saluent son implication, sa pas-sion et ses qualités de père et d’entraîneur horsdu commun. Tout jeune intéressé à se dépasseren course à pied est invité à contacter le groupevia sa page Facebook.

Sarah-Ève Picard

Les JeuxOlympiques 2018

Avez-vous vu lesJeux Olympiques ? Sioui, cet article va vousplaire. C’est dans la villede Pyeongchang quese déroulaient les Jeux Olympiques d’hiver2018. Cette ville est située en Corée du Sud. Undes sports les plus rapides est la luge. Il y a aussile skeleton qui va très vite. La planche à neigepermet de faire beaucoup de figures acroba-tiques. Il n’y a pas qu’une sorte de ski, mais aucontraire, il y en a plusieurs. Comme le ski acro-batique, le ski alpin et le ski cross. Pour terminer,parlons du patinage. Il y en a plusieurs sortes. Ily a le patinage artistique, le patinage de vi-tesse, de courte piste et de longue piste. En pa-tinage de vitesse, il y a le relais et des épreuvesindividuelles.

Emrik Brouillard-Pelchat

Nos projetsd’école

À l’école des Hauteurs, dans la classe deMme Gaudet, nous faisons beaucoup de pro-jets à l’informatique. Comme dernièrement,nous avons créé des sites internet. Chaqueélève a son propre site avec des sujets différents.

Notre professeure nous a fait découvrir un sitequi se nomme Scratch. Sur ce site, on trouve desjeux qu’une personne a publiés pour que toutle monde puisse y jouer. Toute personne peutinventer des jeux, mais il vaut mieux se créerun compte pour les garder. Nous faisons uneBD en informatique sur notre compte Google.Ce compte nous aide beaucoup. Par exemple,on y trouve notre plan de travail. De plus, nouspouvons y aller de la maison.

Vickie St-Onge

Connaissez-vousStéphanie-Ann Pasieka?

Stéphanie-Ann Pasiekaest la seule jeune fille finaliste des Laurentidespour le concours Miss

Teen Canada. Le concours invite des jeunesfilles de 14 à 19 ans à venir se démarquer en de-venant leur propre styliste afin de dévoiler leurbeauté féminine. La finale aura lieu à Laval, enmars 2018!

Maintenant que nous parlons de StéphanieAnn, regardons comment elle se sent danstout ce qui se passe autour d’elle. Voici un ex-trait de son entrevue : « Je suis très excitée, carce concours n’est pas comme les autres. Il estbasé sur notre personnalité. Si je suis couron-née, je vais créer un programme pour les en-fants atteints de maladies ». Alors bonne chanceStéphanie-Ann !

Thaïla D. Gagnon

La bibliothèquede Saint-Hippolyte

La bibliothèque de Saint-Hippolyteest un endroit merveilleux pour les petitscomme pour les grands. Grâce à sa salle pourles petits appelée La forêt enchantée, son calmesilencieux, ses expositions, ses activités du sa-medi ainsi que celles de lecture, elle est l’en-droit parfait pour étudier et pour bien d’autreschoses. Sa boîte à suggestions permet d’inté-grer un peu de chaque Hippolytois dans no-tre magnifique bibliothèque. Tout cela en plusde leurs merveilleux employés, bénévoles, di-recteurs et j’en oublie sûrement... Située au2258, boulevard des Hauteurs, à Saint-Hippolyte, la bibliothèque est ouverte de 13 h à 20 h les mardis et mercredis, de 10 h à20 h les jeudis et vendredis et de 10 h à 15 h les samedis. Elle est fermée les dimanches etlundis.

Marie-Jeanne Ruault

L e S e n t i e r • 1 1 • M A R S 2 0 1 8

Suzanne Labrecque, M.A.Ps.Psychologue

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adolescent(e)s et adultesDéficit de l’attention :

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Le 25 mars prochain, l’artistejeunesse Kalimba s’arrêtera auThéâtre Gilles-Vigneault dans lecadre de sa seconde tournéeintitulée Ça déménage, suivant lasortie de son album du mêmetitre en novembre dernier. Unspectacle dynamique et vivantqui promet de divertir petits etgrands.

Native de Saint-Eustache et ancienne rési-dente de Saint-Hippolyte, Véronique Boucher,de son nom d’artiste Kalimba, se dit particuliè-rement satisfaite de son deuxième disque. « Lamajorité des albums pour enfants cible un trèsjeune public dont l’âge se situe entre les 3 et 5 ans. Je trouve dommage que les enfants de 10 ans soient délaissés ; ils se tournent alors versla musique populaire qui ne leur convient pasnécessairement. J’essaie de combler cemanque », explique-t-elle lorsqu’interrogée surla nature de sa démarche artistique. La chanteusepercussionniste parcourt ainsi le Canada franco -phone pour faire chanter et danser son public.

Des thèmes qui reflètent la réalité des jeunes

Il y a quelques années, je publiais un texte surKalimba à l’occasion de sa première tournée, Aucœur du rythme, qui s’étala de 2012 à 2016. Plusde 500 représentations plus tard à travers le Canada, Kalimba continue de faire bouger les

jeunes et les moins jeunes avec l’album Ça dé-ménage. Celle qui s’est donné comme défi defaire en sorte que les parents apprécient leschansons jeunesse plutôt que de simplement lestolérer tente d’abord d’être une voix qui aiderales enfants à nommer les choses qu’ils vivent etqu’ils peinent parfois à identifier eux-mêmes.

«  Le thème préféré de Kalimba, c’est la gestion des émotions. Dans ce nouvel album, Kalimba déménage et doit donc changer nonseulement de ville, mais aussi d’école et d’amis.Lors des représentations, le public est invité à par-ticiper ; Kalimba ayant l’idée de présenter un nu-méro musical de deux minutes à sa nouvelleécole pour se faire connaître au spectacle de larentrée, elle va fouiner dans ses boîtes de dé-ménagement pour s’inspirer et trouvera entreautres des objets qui lui rappelleront toutessortes de souvenirs », révèle l’artiste. Elle mise surl’importance de vivre réellement nos émotionsdès l’enfance, car nous ne sommes malheureu-sement pas toujours bien outillés en ce sens etc’est une fois adulte que nous soyons alors sus-ceptibles de ressentir les contrecoups de cettelacune.

Grandir et s’aimer tout en s’amusant

Mettre en valeur les forces de chacun par levéhicule de l’expression artistique ; voilà un ob-jectif cher à Kalimba. Elle reconnaît que d’avoirrecours à l’art pour faire réfléchir les enfants etles encourager à célébrer leur identité est à la foisun privilège précieux et une grande responsa-bilité. « Grâce au médium de la musique, je par-viens à toucher les enfants ; avec la musique, unepartie spéciale en nous s’éveille », ajoute-t-elle.

Ça déménage… bientôt à Saint-Jérôme !

Bien que la campagne de promotion du se-cond album de Kalimba ne sera lancée officiel-lement qu’en 2019, la tournée est déjà bien en-tamée. Une représentation aura d’ailleurs lieu au

Théâtre Gilles-Vigneault de Saint-Jérôme, le 25mars prochain. Demeurez à l’affût pour la pro-motion web de Ça déménage ; aucun artiste jeu-nesse n’a fait de telle campagne auparavant!

Informations supplémentairesVisitez la page Facebook « Kalimba » ; vous

y trouverez une panoplie de capsules vidéoamusantes et instructives mettant en vedette Ka-limba ainsi que sa fille Marguerite qui plairontnon seulement aux enfants mais aussi aux pa-rents. Rires garantis !

La musique de Kalimba est disponible sur les plateformes numériques telles qu’iTunes. Pour un disque physique des albums ou encorepour découvrir des extraits des chansons, ren-dez-vous au www.kalimba.ca.

Pour vous procurer des billets pour le spec-tacle du 25 mars qui s’adresse aux jeunes de 4 à 12 ans, cliquez http://theatregillesvi-gneault.com/calendrier/kalimba/.

L e S e n t i e r • 1 2 • M A R S 2 0 1 8

En mars 1983, un journal sansnom voyait le jour. Il n’avait quequatre pages et traduisait lavolonté d’informer un peu sapopulation de la vie de notrevillage.

Qui aurait cru que ce « petit » quatre pagesdeviendrait un mensuel, se nommerait Le Sen-tier et serait reconnu comme l’un des meilleursjournaux communautaires au Québec? Leshommages qu’il a reçus de l’Amecq (Associa-tion des médias écrits communautaire duQuébec) en témoignent. Qui aurait cru, en1983, qu’il fêterait en mars 2018 ses noces decorail, celles qui soulignent ses 35 ans d’exis-tence?

Les sentiers de notre vie municipale

Notre mensuel s’est allongé, a défriché biendes sous-bois, a parcouru les pistes des nou-veaux sentiers de notre vie municipale. Il estdevenu celui qui observe la vie de notre loca-lité, en écoute nos murmures, nos bruisse-ments et nos feux de joie. Il les décrit, les ex-plique, en est devenu l’écho. Mois après mois,de nombreux bénévoles ont eu et ont encorele désir de témoigner des événements et despersonnes qui font de Saint-Hippolyte un ter-rain où la créativité, l’esprit d’entreprise, les ex-ploits sportifs, petits ou grands, méritent d’êtresoulignés.

Voilà 35 ans que…… le Sentier nous raconte, témoigne de no-

tre vie, rend hommage aux personnes qui ontmarqué notre histoire. Voilà 35 ans qu’il ex-plique la faune et la flore de nos forêts. Voilà35 ans qu’il nous ressemble et nous rassemble.Voilà 35 ans de présences bénévoles, pré-sences qui ont œuvré afin que notre journalcommunautaire devienne un véritable corailqui a grossi et s’est superbement nourri de ses420 mois de publications. Et si ces noces de co-rail brillent de tous leurs feux, c’est bel et bienpar le travail de tous ceux et celles qui lui ontdonné de leur temps, de leur amour, de leurpatience, de leur talent et de leur persévérance.

Le Sentier : un parcours de 35 ans

Ça déménage avec Kalimba!

Audrey [email protected]

Culture

... au Théâtre Gilles-Vigneault.PHOTO COURTOISIE

Serge GINGRAS • Danielle GINGRAS • Maxime GINGRASTél. : 450 563-3225 | Téléc. : 450 563-2712

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Me ALAINDE HAERNENotaire et conseiller juridique Notary and Title Attorney

Monique [email protected]

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Lorsque le mois de mars fait son entrée dans lecalendrier, je commence à respi rer un peu mieux.Les grands froids peu vent revenir, mais ils serontponctuels et plus rares.

Les corneilles commencent à virevolter, à tourner autour deleur territoire. Les Grands-ducs d’Amérique ont pu débuter leurincubation, cette dernière réglée par la durée du jour et nonpar la température extérieure.

Retour des carougesÀ l’approche de la Saint-Joseph, nous pourrons observer les

premiers Carouges à épaulettes, venus du Sud des États-Unis.Ils se posteront alors sur un piquet de clôture, une quenouille

ou un arbre pour entonner leur ritournelle grinçante. Leursépaulettes rouges sur fond de plumage noir contrastent si bienavec le bleu du ciel.

Jour après jour, de mars à maiJ’ai aussi le cœur léger lorsque je vois apparaître à l’horizon

d’autres migrateurs annonciateurs du printemps : Bruant chan-teur, Merle d’Amérique, Merlebleu de l’Est et les grandes vo-lées d’Oies des neiges et de Bernaches du Canada. Les oiseauxmigrateurs continueront d’affluer sur notre région jusqu’à lami-mai. Jour après jour, jumelles au cou, je guette et écoute l’ar-rivée de ces oiseaux si chers. Grâce à leurs couleurs et à leurschants et cris si caractéristiques, nous pouvons identifier les oi-seaux qui seront de retour au bercail, à proximité de nos forêtset de nos lacs laurentiens.

Les cycles saisonniers bien présents

La nature suit ses rythmesancestraux, ses cycles saison-niers. Il me semble aller mieuxlorsque je m’attarde à elle,lorsque je me laisse guider lelong du chemin à la recherched’indices de changements.Oui, la glace fondra, les érablescouleront, les ruisseaux dé-gèleront, les marmottes re-viendront à la surface. Toutecette effervescence a de quoi

émouvoir le passant, l’observateur, le naturaliste. Malgré lescoups durs que l’humain fait porter à la nature environnante,à l’équilibre des écosystèmes, il est encore possible de s’émer-veiller devant la grandeur du monde, devant la beauté qui nousest offerte. Bon printemps !

L e S e n t i e r • 1 3 • M A R S 2 0 1 8

Jean-Pierre [email protected]

Le printemps à nos portes

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Aquarelle de Diane Couët.Un problèmede taille!

Bien qu’en na-ture les arbustes etles arbres poussentet fleurissent trèsbien sans interven-tion humaine, lesraisons valables deles tailler dans nosjardins ne man-

quent pas. Qu’il s’agisse de supprimer des ra-meaux morts, brisés ou faibles, de rajeunir un ar-buste ou d’éliminer les branches trop longuesou entrecroisées, la taille doit se faire au bon mo-ment et de la bonne façon.

Un horticulteur aux multiples talents

M. Daniel Fortin est horticulteur au centre dela Nature de Laval. Ethnobotaniste et auteur, il

a publié de nombreux articles sur l’horticul-ture et plusieurs livres sur l’écologie et le jardi-nage. Durant sa conférence, il décrira les diffé-rents types de taille et les techniquesrecommandées pour favoriser un port harmo-nieux ou une floraison abondante. En complé-ment de sa conférence, M. Daniel Fortin donnera,le 28 avril prochain, un atelier pratique sur la tailledes végétaux dans un jardin de notre région.Vous pourrez vous inscrire lors de nos pro-chaines conférences; le nombre de places est li-mité et le coût est de 10 $ (15 $ pour les non-membres).

Venez en grand nombre Joignez-vous à nous le mercredi 28 mars, à

19 h 15, à la salle Saint-François-Xavier 994, ruePrincipale, Prévost. La conférence est gratuitepour les membres et le coût est de 5 $ pour lesnon-membres. Consultez notre site internet:http://shepqc.ca.

Société d’horticulture et d’écologie de PrévostLa taille des arbres et des arbustes

Conférencier : Daniel FortinMercredi 28 mars, 19h15

Le Club de l’Âge d’Or fait une heureuse gagnante.Louise Mitchel, trésorière du Clubde l’Âge d’Or de Saint-Hippolyte,Georgette Boissonneault, direc tri -ce et Adrien Morissette, remettentet félicitent la gagnante du prixcommandité par le marché 5 Saveurs de Saint-Jérôme, Nicole St-Onge, lors de la Soiréedes cœurs le 24 février à l’AubergeLac du Pin rouge. » PHOTO PATRICK ROBERTS

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Jacques CorbeilExposition de Jacques Corbeil et de 29

autres membres du Conseil de la Sculpturedu Québec à l’Auberge Oasis de l’Île, 25,chemin des Îles-Yale, Saint-Eustache.Jusqu’au 31 mai, du lundi au dimanche de10 h à 21 h.

Nancy R. Lange, Monique PariseauÉvénement à l’occasion du Jour de la

Terre — Présentation de l’ensemble de lamédiation culturelle panquébécoise réaliséepar Nancy R. Lange autour des rivières duQuébec en 2017.

Lecture de textes d’élèves. Lectures deMaxianne Berger, Yannick Lepage, Nancy R.Lange et Monqiue Pariseau. Micro ouvertanimé par le poète Robert Hamel. Au Centred’interprétation de l’eau, 12, rue Hotte, Laval.Dimanche 22 avril 2018, de 13h à 17h. Réser-vations : [email protected].

Jocelyne Cassagnol, Claudette Domingue, CédricLoth, Pierre et Jacques Mondou

Les mots gravés et Poésie Académie sonten nomination pour un Prix d’excellence enfrançais Gaston-Miron. Les lauréats serontdévoilés lors du Rendez-vous de la Franco-phonie, le 18 mars à 13 h, au Théâtre Gilles-Vigneault, 118, rue de la Gare, Saint-Jérôme.Coût : 25 $.

Pierre et Jacques MondouMicro ouvert de Poésie Académie. Thème

de lecture : « souvenirs ». Samedi le 7 avril2018 à 18 h 30. Au Café Carrousel, 2226,boul. Labelle, Saint-Jérôme.

Pour inscription, lecteurs ou auditeurs -https://goo.gl/forms/ccw89EYdfXQyZBjF3.Contribution: 5$

Vous résidez à Saint-Hippolyte? Vous êtes un artiste ou un artisan? Vous œuvrezdans un domaine artistique (arts visuels, littérature, chant, musique ou autre)?

Vous participez à un événement ou une activité à venir, que ce soit une exposition,un atelier, un spectacle, une nouvelle publication, une conférence, etc., au Québec

ou ailleurs? Faites-le-nous savoir. Nous nous ferons un plaisir de communiquer l’information à nos lecteurs. (Pour publication dans l’édition d’avril, l’événement oul’activité doit avoir lieu entre le 15 avril et le 14 mai) [email protected].

BABILLARD CULTURELNOS ARTISTES, ICI ET AILLEURS

Théâtre Gilles-Vigneault118, rue de la Gare

Saint-JéromeJ7Z 0J1

L e S e n t i e r • 1 4 • M A R S 2 0 1 8

Trio HochelagaUne soirée chez BrahmsSamedi 17 mars à 20 hLe grand art d’un trio unique !

Les artistes : Anne Robert, violon; Chloé Dominguez, violoncelle; Jean-François Latour,piano.Au programme : Johannes Brahms, RobertSchumann, Theodor Kirchner.

« Du grand art! »Dans un salon à Vienne, trois amis sont ras-

semblés. Ils partagent des récits de voyage,évoquent les récentes rencontres et entrecroi-sent leurs expériences musicales. Brahms, Schu-mann et Kirchner sont des passionnés. Dans l’Eu-rope en pleine mutation, les trois virtuoses sesuccèdent au piano. Ils valsent entre les traditionset les innovations, conjuguant lyrisme et émo-tions extrêmes. Le Trio Hochelaga donne vie àcette rencontre unique et recrée l’atmosphèrede cette soirée chez Brahms.

Ces trois merveilleux musiciens offrent au pu-blic l’occasion de goûter la musique avec toutela poésie de la couleur sonore et la diversité dulangage. Fidèle aux grandes traditions de lamusique de chambre, ce trio se démarquecomme interprète d’un répertoire varié, allantde l’époque classique à la musique d’aujourd’hui.Maintes fois salué par la presse pour la précisionde son jeu et l’intensité de ses interprétations,le Trio Hochelaga a présenté des concerts au Ca-nada, en Europe et en Asie et possède une dis-cographie comptant une douzaine d’enregis-trements. www.triohochelaga.com

Mark Fewer & Hank KnoxBach intimeSamedi 24 mars à 20 hDe grandes œuvres

Les artistes : Mark Fewer, violon; Hank Knox,clavecin.Au programme : Sonates pour violon et clavecin de J.S. Bach.

« Une chance unique! »Mark Fewer et Hank Knox présentent les So-

nates pour violon et clavecin de J.S. Bach. Cespièces sont de la grande musique, parfaites au-tant pour les curieux que pour les initiés. Les mu-siciens présentent les pièces en expliquant leséléments les plus intéressants.

Mark FewerOn a maintes fois reconnu l’extraordinaire ver-

satilité de ce violoniste, ainsi que sa « capacitéà transcender les genres » (National Post), son« audace » (Globe and Mail), sa « profondeur »(The Whole Note) et son « jeu fabuleux » (TheGazette). Son parcours d’interprète l’a menéaux quatre coins du monde, dans des amphi-théâtres légendaires comme le Wigmore, Car-negie, la Salle Pleyel, ainsi qu’à New York, Bu-dapest et Taipei.

Hank KnoxReconnu pour ses « prestations dynamiques

et hautes en couleur  », le claveciniste HankKnox se produit dans les salles de concert, leséglises, les musées, les galeries d’art et les rési-dences privées un peu partout sur le globe.Membre fondateur d’Arion orchestre baroque,il a effectué des tournées en Europe, au Japonet en Amérique du Nord.www.markfewer.com et www.hankknox.com

DESROSIERS & FILS INC.Résidence funéraire

10, rue de Martigny Est 676, boul. des LaurentidesSaint-Jérôme, Qc J7Z 1V6 Saint-Jérôme, Qc J7Z 4M5

Informations :450 432-9705

[email protected]

Salle Saint-François-Xavier994, rue Principale, Prévost (Québec) J0R 1T0

SynopsisDans un geste d’une rare poésie, avec

l’aide de son complice, le monteur MichelGiroux, Luc Bourdon (La mémoire desanges) se penche sur notre histoire etnous montre avec cohérence, à grand ren-fort d’extraits de près de 200 films de la collection de l’ONF, les dessous d’une dé-cennie au cours de laquelle le Québecs’est profondément transformé. Chantd’amour au pouvoir des images, La part du diable est une visite à travers un

patrimoine singulier. Une rencontre uniqueoù sont conviées les cultures diversesayant marqué l’histoire de l’Amérique duNord. Un film d’archives par l’entremise du-quel chacune et chacun est invité à deve-nir un observateur aguerri, à prêter uneoreille attentive à cette intense entreprisequi se résume en ces mots  : une décla-mation poétique. Le film propose un re-gard singulier et nouveau sur la Révolutiontranquille durant les années 1970.

Réalisation : Luc BourdonProduction ONF : Colette Loumède

Vendredi 30 mars 19 h 30Salle St-François-Xavier,

994 rue Principale, Prévost

Invité : Michel Giroux

Tarification5 $ membre, 7 $ non-membre, 5 $ car te de membre.

Chaque soirée, présentez votre carte à l’entrée pour recevoir votre billet de tirage

pour le prix de présence.

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Hawaï c’est un mot qui danse aurythme gracieux du hula*, quiévoque le doux balancementdes palmiers sur fond de cielbleu et de vagues énormes,mais y voyager c’est encorebeaucoup plus envoûtant etplein de surprises...

I l s’agit avant tout d’un monde decontrastes où les images idylliques et la naturesplendide côtoient le fait de vivre dangereu-sement. Nous parlons ici de dangers extrêmesdevant lesquels l’être humain se sent vulné-rable et impuissant, tels les séismes, les érup-tions volcaniques et les tsunamis.

Être au milieu de nulle partL’avion semble réduire les distances, néan-

moins l’archipel d’Hawaï est le plus isolé du

monde. Il est situé à4000 km du continentle plus proche et à aumoins 2000 km d’uneîle habitée. Comme onpourrait dire, c’est êtreau milieu de l’océanet avoir la sensationd’être au milieu denulle part.

On peut aisémentimaginer le défi quecela représenta pourles premiers Ha-waïens, venus des îlesMarquises, il y a unmillier d’années, encanots à doublecoque, navigant sur4000 km et se fiant à la position des étoiles, dusoleil et de la lune. L’archipel compte 137 îleset îlots, dont huit îles principales.

Une terre parmi les plus jeunes de la planète

Les volcans sont à l’origine de ces îles. Sousl’océan, la croûte terrestre est plus mince(10  km et moins). Ainsi depuis 70 millionsd’années, le magma s’est infiltré dans les fis-sures et s’est figé au contact des eaux du Pa-cifique. À force d’accumulations de couches delave sont nés des montagnes sous-océaniqueset l’archipel hawaïen.

Big Island est une desterres les plus jeunes de laplanète, elle s’est formée il ya 800 000  ans. Elle est au-dessus du point chaud, etcontinue de s’agrandir avecl’éruption du Ki-lauea, quasiincessante depuis 1983, quidéverse ses flots de laves dans l’océan. Il aaugmenté la superficie de l’île de quelquescentaines d’hectares ! L’archipel se déplace de9 cm par an vers le Japon, avec la plaque tec-tonique, mais le point chaud demeure sta-tionnaire.

Big Island, une île de contrastesC’est évidemment l’île la plus grande de l’ar-

chipel. On y découvre les paysages les plus op-posés qui soient. Sur la côte ensoleillée deKona, notre regard se perd sur d’immensesétendues de lave noire qui n’en finissent plus,

certaines adoucies par la légèreté des grami-nées dorées frissonnant dans le vent. Ailleurs,la végétation tropicale y est belle et très fleu-rie. Tantôt de lave, tantôt de sable, les plagessont toujours fascinantes même si la baignaden’est pas recommandée partout.

Sur la côte est, arrosée plus qu’abondam-ment grâce aux alizés, la végétation est luxu-

riante. La forêt pluvialespectaculaire, dense, estincroyable avec ses fou-gères arborescentes, sesruisseaux et ses rivièresainsi que ses chutes ma-gnifiques. La présence despluies fait toute la diffé-rence entre la côte ouest etla côte est, car l’eau en s’in-filtrant dans les fissures delave permet l’apparition dela végétation. En effet, lalave hawaïenne ne favo-rise pas une vie prospèrecontrairement aux cendresvolcaniques de certainsvolcans. La lave y est dure,et cimente le sol soit avec

des coulées fluides comme de la tire d’érablechaude, qui plisse, s’étend, soit comme uneénorme couche de pierrailles et de blocs chao-tiques. Il y a aussi les verts pâturages du nordde l’île avec ses ranches et ses cow-boys nom-més pianolas et bien sûr le Parc des volcans ausud de l’île.

Et le Mauna Ke.a, le Mauna Loa, le Ki-lauea,me direz-vous ? Ils constitueront le sujet d’unprochain article...

* hula : danse traditionnelle hawaïenne, qui àl’origine servait à prier les dieux.

Hawaï (Big Island) c’est toujours mettre les pieds sur de la lave

Jocelyne Annereau [email protected]

Reportage

Du 16 au 18 février, avaient lieules Championnats provinciauxde natation 11-12 ans à Québec.Une compétition qui regroupaitles meilleurs nageurs de la province.

Alexia Kovaluk de Saint-Hippolyte y a rem-porté neuf médailles lors de cette compétition,dont cinq d’entre elles dans des épreuves indi-viduelles ! Elle a décroché le titre de champion -ne au Québec au 800 m libre en plus de gagnerl’argent au 400 m libre et trois fois le bronze au200  m libre, 100  m brasse et 400  m quatrenages. Pour ce qui est des relais, le club Neptunea gagné l’or au relais 4 x 50 m libre mixte et l’argent dans trois autres relais : 4 x 50 m librefilles, 4 x 50 quatre nages filles et mixte.

À noter que le club de natation Neptune deSaint-Jérôme a remporté la bannière du meil-leur club au Québec pour ce championnat.

Alexia Kovaluk championne provinciale 11-12 ans en natation

Alexia Kovaluk en plein entraînement.PHOTO COURTOISIE

Plage de lave.PHOTO JOCELYNE ANNEREAU CASSAGNOL

OFFRE D’EMPLOIDEUX COORDONNATEURS (TRICES)

DE LA COOPÉRATIVE D’INITIATION À L’ENTREPRENEURIAT COLLECTIF DE SAINT-HIPPOLYTE (anciennement CJS)

FONCTIONSSous l’autorité d’un comité local, le coordonnateur (trice)aura la responsabilité d’accompagner et d’encadrer ungroupe de jeunes de 14 à 17 ans dans la mise sur pied et lagestion d’une COOPÉRATIVE D’INITIATION À L’ENTREPRE-NARIAT COLLECTIF.

Une COOPÉRATIVE D’INITIATION À L’ENTREPRENARIAT COL-LECTIF rassemble jusqu’à environ 15 adolescent(e)s quisouhaitent créer leur propre emploi d’été en offrant dif-férents services à la communauté, tout en s’initiant à la ges-tion d’une entreprise coopérative et aux rouages du marchédu travail. Cette expérience leur permet de découvrir leur potentiel, dedévelopper leur sens des responsabilités et leur autonomie etde s’initier à l’entrepreneuriat. Les services généralementofferts par la COOPÉRATIVE D’INITIATION À L’ENTREPRE-NEURIAT COLLECTIF sont la tonte de pelouse, l’entretien depiscine, la peinture extérieure, le gardiennage, etc.

Dans ce contexte de prise en charge individuelle et collec-tive, les coordonnateurs (trices) devront donc mobiliser les jeunes autour des objectifs inhérents à la gestion d’une en-treprise coopérative et à la vie associative. Généralement, ilou elle travaille en équipe et partage l’ensemble des re-sponsabilités avec un(e) deuxième coordonnateur (trice). De manière plus spécifique, les coordonnateurs (trices) de-vront :• Participer aux blocs de formation (dates à confirmer);• Recruter, sélectionner et former les jeunes entrepre-

neurs;• Organiser une séance d’information sur le projet pour les

jeunes et leurs parents;• Encadrer les jeunes à toutes les étapes de mise sur pied

et dans la gouvernance de leur entreprise (planification,promotion, négociation de contrats, comptabilité, etc.);

• Assurer la cohésion du groupe et faciliter la prise encharge graduelle du projet par les jeunes;

• Rédiger un rapport d’activités à la fin du projet.

EXIGENCES• Avoir de l’expérience en animation auprès des jeunes oudémontrer un intérêt pour le travail avec les adolescent(e)s;

• Être disponible pour travailler selon des horaires variables(généralement de jour, à l’occasion les soirs et fins de se-maine).

• Être disposé à accompagner et encadrer les entrepreneursdans leurs tâches manuelles.

• Être disponible pour les formations d’animateurs - 3 joursdates à confirmer.

• Être familier avec l’entrepreneuriat, la gouvernanced’OBNL ou la formule coopérative serait un atout;

• Le candidat doit posséder une voiture.

ADMISSIBILITÉÊtre étudiant(e) de niveau universitaire dans l’une des dis-ciplines suivantes : administration, intervention sociale, re-lations industrielles, orientation, enseignement ou touteautre discipline pertinente.

CONDITIONSContrat : durée de 13 semaines, à raison de 35 heures parsemaine, débutant le 28 mai 2018.Taux horaire : 16 $ Lieu : Municipalité de Saint-Hippolyte

PROCÉDURE POUR POSTULERFaire parvenir votre curriculum vitae accompagné d’une lettre de présentation au plus tard le 1er avril 2018 au servicedes loisirs de la Municipalité de Saint Hippolyte : [email protected]

Paysage de coulée de lave avec les graminées sur la côte de Kona, coulée remontant à la fin du 19e siècle. PHOTO JOCELYNE ANNEREAU CASSAGNOL

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