Journal de l'Ll nive rs ité du Québec à Rimouski

28e année, numéro 9 Mardi, 21 janvier 1997

Yvon Bouchard et Carollandrvmembres d'un important réseau de recherche

en éducation et en lormati n.du CRSHLe Conseil de recherches en scienceshumaines du Canada (CRSH) a lancé, endécembre, cinq vastes réseaux de rechercheen éducation et en formation à la suite d'unconcours hautement compétitifauquel se sontinscrits 47 équipes de recherche de toutes lesrégions du Canada. MM. Yvon Bouchard etCarol Landry, professeurs au départementdes sciences de l'éducation à l'UQAR, fontpartie du seul réseau à avoir été agréé auQuébec. Trois des réseaux retenus sont basésen Ontario, le dernier en Colombie­Britannique.

Chaque réseau recevra 225 000 $ parannée pendant cinq ans pour un total de1 225 000 $.

Telqu'exigé par le CRSH, chaque réseauest composé de chercheurs d'au moins troisuniversités différentes réunis dans des équipesmultidisciplinaires et multisectorielles avecdes partenaires des secteurs privé, public età but non lucratif. Au total, 140 chercheursuniversitaires au pays travailleront en étroitecollaboration avec des représentants dequelque 150 organismes communautaires,

r

Les partenaires du secteur universitaire du réseau de recherche en éducation, formation et emploisDans l'ordre habituel: M. Yvon Bouchard (UOAR), Mme Marcelle Hardy, directrice du réseau(UOAM), M. Pierre Doray (UOAM), Mme Çarmen Parent (UOAM), M. Carol Landry (UOAR) et M.Dominique Bouteiller (Ecole des Hautes Etudes Commerciales).N'apparaissent pas sur la photo: M. André Dolbec (UOAH), Mme Lorraine Savoie-Zajc (UOAH),Mme Dianne-Gabrielle Tremblay (Télé-Université).

Dans ce numéro:Des réseaux de rechercheen éducation p. 1-2Nouveau vice-recteur à l'UQAR p. 3Départ d'Hélène Tremblay p. 3Départs de D. Blais et M. F. Maheu p. 4Participation au programmeGLOBEC p. 5-6Mots croisés p. 6Mise au point p. 7L'édifice de l'UQAR a 60 ans p. 7

entreprises du secteur privé et entreprisesinternationales de recherche et avec desreprésentants de divers ministères provinciauxet de conseils scolaires.

Il s'agit là d'une occasion unique pources partenaires de préciser les stratégies etles politiques adaptées aux besoins actuels etfuturs en matière d'éducation et de formation.

Le réseau de rechercheen éducation, formation et emploisMM. Yvon Bouchard et Carol Landry

font partie du réseau de recherche enéducation, formation et emplois. Dirigé parMmeMarcelle Hardy, professeure en sciencesde l'éducation à l'UQAM, ce réseau compte

neuf chercheurs de cinq universités qui se sontassociés avec 35 partenaires des secteursprivé, public et à but non lucratif.

Ce réseau s'intéresse aux structures etaux processus en matière d'éducation et deformation, bouleversés par l'évolutiontechnologique et la mondialisation del'économie. À quels besoins la formation doit­elle répondre désormais ?Quelleest l'incidencedes pratiques actuelles en matière de formationprofessionnelle sur la transition entre l'écoleet le travail, sur l'emploi et sur le cheminementprofessionnel ? Quel en est l'impact sur lesapprenants et sur les entreprises? Commentredéfinir le mode de relation entre le marchédu travail et le réseau de l'éducation ?

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Pour répondre à ces questions, le réseaua identifié des objectifs généraux: analyser lafaçon dont s'élaborent les modes decollaboration en éducation et en formation;identifier les conditions de réalisation de cescollaborations; analyser l'effet de cescollaborations sur les organisations despartenaires et sur les apprenants sur le plandu travail, de l'emploi et des apprentissageset, finalement, dégager les modes decollaboration efficients afin d'optlmlser lespratiques en matière d'éducation et deformation.

Le programme de recherche de l'uniqueréseau québécois regroupe cinq projets : 1)collaborations secondaire/entreprise etsecondaire/collégial en aérospatial; 2)collaborations cégeps-entreprises dans laformation des techniciens; 3) dynamiquesd'implantation de collaborations écoles­entreprises en formation professionnelle ausecondaire; 4) coopération et collaborationen formation en entreprise; 5) processus decollaboration dans les instances deplanification de la formation.

MM. Yvon Bouchard et Carol Landryassument prioritairement et conjointement laresponsabilité du projet qui porte sur lescollaborations entre les cégeps ct lesentreprises dans la formation des techniciens.Ils mèneront leur recherche dans le Bas­Saint-Laurent avec la collaboration étroite deM. Dominique Bouteiller, professeur à l'Écoledes Hautes Études Commerciales. M. Landryparticipe aussi au projet sur les processus decollaboration dans les instances deplanification de la formation avec M. PierreDoray de l'UQAM et Mme Diane-GabrielleTremblay de la Télé-Université.

partenaires de la formation techniqueinitiale dans le Bas-Saint-Laurent.

• Comparer les spécificités des ordresd'enseignement secondaire et collégial enregard des modes de collaborationalternance travail-études et stages dans lesecteur des techniques physiques.

• Dégager, à propos des formes decollaboration étudiées, des conditionsefficientes de collaboration cégeps­entreprises.

Pour effectuer leurs travaux, leschercheurs procéderont principalement paranalyses de cas à partir des expériences encours dans quatre cégeps de la région (LaPocatière, Matane, Rimouski et Rivière-du­Loup).

Une spécificité du projet :des partenaires à part entièreLes neuf chercheurs du réseau

privilégieront une recherche de type appliqué,empirique, réalisée en étroite collaborationavec leurs partenaires. Au lieu de les confinerdans des rôles passifs de fournisseurs dedonnés, les chercheurs vont mettre en placeles mécanismes adéquats pour les associer,tout au long de la recherche, au processus deréflexion sur les pratiques pouvant amorcerles changements nécessaires.

Le réseau de recherche en éducation,formation et emplois compte, parmi sespartenaires nationaux, Hydro-Québec, Prattet Whitney Canada, l'École des métiers del'aérospatiale de Montréal, l'Institut canadiend'éducation des adultes, le Forum pour l'emploi,la Direction générale de la formation

professionnelle et technique du ministère del'Éducation, la Société québécoise dedéveloppement de la main-d'oeuvre (SQDM) etla Centrale de l'enseignement du Québec (CEQ).Le réseau s'est aussi associé àdes partenairesinternationaux d'envergure comme l'InstitutUNESCO de l'éducation (Hambourg) et leNational Center for research in VocationnalEducation du Virginia Polytechnic Institute.

L'équipe de recherche sur les colla­borations cégeps-entreprises dans le Bas-Saint­Laurent, s'est adjoint, en plus des quatre cégepsconcernés (La Pocatière, Matane, Rimouski etRivière-du-Loup), des partenaires régionauximportants comme Québec-Téléphone, laFédération des caisses populaires Desjardinsdu Bas-Saint-Laurent, Premier Tech, la SQDMdu Bas-Saint-Laurent, le Conseil régional deconcertation et de développement du Bas-Saint­Laurent (CRCD), la CEQdu Bas Saint-Laurent,le Comité de liaison entreprises-cégeps (CLEC)de la Fédération des collèges' et l'Associationcanadienne de développement de l'ensei­gnement coopératif (ACDEC-Québec).De plus,pour la durée de ce pro]et de cinq ans, au moinstrois assistants de recherche, étudiants à lama îtrise et au doctorat, seront bientôtembauchés.

Finalement, tout au long de leursrecherches, chaque réseau sera appelé àcollaborer pour mettre en application leursrésultats en les intégrant aux processusd'é laboration de politiques en matièred'éducation, de formation et de développementsocio-économique.

D. B.

La collaborationcégeps-entreprlses dans laformation des techniciensCe projet analysera trois formes de

collaboration entre les cégeps et lesentreprisespour la formation des techniciensdans les cégeps du Bas-Saint-Laurent:l'alternance travail-études, les stages et lescomités cégeps-entreprises. En plus departager les objectifs généraux du réseau, lesresponsables de ce projet se sont donnésquatre objectifs spécifiques:• Comparer l'émergence le développement,

la réalisation et les effets des trois formesde collaboration.

• Expérimenter, principalement avec lesnouvelles technologies de l'information etde la communication (NTIC), de nouveauxmodes de réseautage entre les différents

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Si vous prévovez présenter une demanded'assurance-emploi celle année

Avis aux chargés de cours, agents et agentes de recherche, employés à statutparticulier, etc... Si vous prévoyez présenter une demande d'assurance-emploi cetteannée, pour raisons de congé de maternité, fin de contrat ou autres, vous devez conserverprécieusement vos copies de contrat ou, mieux encore, vos feuilles de temps.

En effet, depuis le 5 janvier, les employeurs préparent des relevés d'emploi quin'indiquent que la date de début et de fin d'emploi, le nombre total d'heures travailléeset la rémunération globale assurable qui s'y rattache. Si, pour une raison ou pour uneautre, le Centre d'emploi veut connaître le détail des heures travaillées pendant cessemaines-là, il vous appartiendra désormais d'en fournir la preuve. De telles preuvespeuvent vous être demandées particulièrement si vous n'avez pas travaillé de façoncontinue pendant la période indiquée.

UQAR-INFO, 8 janvier 1997

Hélène Tremblavnommée sous-ministre

adiointe au MAPAQ

ichel Ringuet,nouveau vice-recteur

à l'enseig ement et à la rechercheMme Hélène Tremblay, vice-rectrice à l'enseignementet à la recherche à l'UQAR de 1989 à 1996, et rectricepar intérim en 1995-1996, a été nommée en décembresous-ministre adjointe au ministère de l'Agriculture, desPêcheries et de l'Alimentation du Québec (MAPAQ).

Mme Tremblay aconsacré presque vingt ans desa vie à l'UQAR et l'institutionlui tient énormément à coeur.Mais l'offre du MAPAQ l'aenthousiasmée. « C'est un défique je ne pouvais refuser. LeMAPAQ m'offre deux champsd'intervention qui corres­pondent à mes principalespassions: d'une part, lespêches, d'autre part, la recher­che et la formation. »

En tant que sous­ministre adjointe à la nouvelleDirection générale des pêches,de la formation et de la re­cherche, Mme Tremblay assumera, en effet, lesresponsabilités de deux directions générales: celle de larecherche et de la formation pour tout le secteur agro­alimentaire du MAPAQ et celle du secteur des pêches etde l'aquiculture commerciale.

En poste depuis le 13 janvier, elle retrouve déjàdes figures connues puisque le secteur des pêches lui estfamilier. Mme Tremblay a poursuivi des études post­doctorales à l'Université de Colombie-Britannique, àVancouver, en économie des pêches, après un doctoraten sciences économiques de l'Université Laval.

À l'UQAR, elle a d'abord été professeured'économique au Département d'économie et de gestion,de 1978 à 1989, en plus d'assumer la direction du Grouped'études en ressources maritimes (GERMA) de 1984 à1986.

En juillet 1989, MmeTremblay a été nommée vice­rectrice, poste qu'elle a cumulé avec celui de rectrice parintérim de juillet 1995 jusqu'à l'arrivée de l'actuel recteur,M. Pierre Couture, en août 1996. Elle est alors revenueà ses fonctions de professeure.

Sa contribution à diverses instances de l'UQAR atoujours été très appréciée, notamment au conseild'administration de l'UQAR et à celui de la Fondation del'UQAR. Elle a également assumé l'exigeante présidencedu 61e Congrès de l'ACFAS en 1993.

Mme Tremblay a toujours été très engagéesocialement. Elle a présidé la Commission del'enseignement et de la recherche universitaires duConseilsupérieur de l'éducation et elle a participé aux activitésde nombreux autres organtsmes : le conseild'administration du Conseil de recherche en pêches etagro-alimentaire du Québec (CORPAQ), le conseild'administration du Fonds pour la formation deschercheurs et l'aide à la recherche (FCAR) , le Conseil dustatut de la femme, etc.

Nous remercions Mme Tremblay pour sacontribution exceptionnelle à l'UQAR et nous luisouhaitons bonne chance dans ses nouvelles fonctions.

M. B. et D. B.UQAR-INFO, 21 janvier 1997

La direction de l'Université du Québecà Rimouski annonce la nomination de M.Michel Ringuet au poste de vice-recteur àl'enseignement et à la recherche.

Âgé de 48 ans, M. Ringuet étaitjusqu'à dernièrementdoyen de la gestion desressources à l'Universitédu Québec à Trois­Rivières. À cet endroit, ilavait auparavant occupéles fonctions de pro­fesseur de chimie et dedirecteur du Départe­ment de chimie-biologie.Pendant trois ans à la findes années 1970, il aégalement été professeurà l'Université nationale duRwanda.

M. Ringuet, quidétient un doctorat enchimie de l'Université Laval, est membretitulaire (Fellow) de l'Institut de chimie duCanada. En tant que chercheur, il a mérité,en septembre 1991 ,le titre de personnalitéde la semaine du journal La Presse poursa participation au développement d'unetechnique de traitement du cancer, laphotochimiothérapie, en collaborationavec des chercheurs ontariens. Il a aussicontribué à la réalisation de plus d'unesoixantaine d'articles et decommunications scientifiques dans ledomaine de la chimie.

Natif de Rimouski, Michel Ringuetpossède un grand sentimentd'appartenance à la région bas­laurentienne. Son père, le Dr JacquesRinguet, a pratiqué la médecine à Rimouskijusqu'en 1970. Et Michel lui-même aétudié au Séminaire de Rimouski e.t il atravaillé, durant ses études, au laboratoirede biochimie du Centre hospitalier deRimouski. Il a encore ici plusieurs parentset amis et revient donc «en pays deconnaissance ».

Le nouveau vice-recteur est bienconscient d'accéder à de nouvellesfonctions dans une période où lescompressions budgétaires et les baissesde clientèles étudiantes dans l'ensembledes universités sont non seulementdifficiles à vivre mais peuvent limiter biendes audaces.

Il voit cependant la petite taille del'UQAR comme un avantage dans cecontexte. «Dans une université commel'UQAR, il m'apparaît plus facile de

partager l'information, de travailler enconcertation, defaire preuve de créativité,de se serrer les coudes pour pouvoirrépondre rapidement aux besoins. Çadevrait nous permettre de reformuler les

programmes en fonctiondes attentes, de trouver dessolutions pratiques, des'adapter. Je suis optimistede nature et j'ai confianceque l'UQAR saurapoursuivre son dévelop­pement. »

M.Ringuetconsidèrequ'on retrouve à l'UQAR desprogrammes de formationet de recherche de hautniveau, soutenus par desprofesseurs qualifiés et deséquipements modernes,

,. c'est-à-dire un milieuuniversitaire qui n'a rien à

envier aux autres. « Je reste un professeurdans l'âme, dit-il, et dans mes nouvellesresponsabilités, je trouve important quenos actions soient toujours centrées surles étudiants et sur la mission deformation. »

M. Ringuet affirme qu'il accordeune grande valeur au développement dela pédagogie età la mise au point denouvelles approches (cours intensifs,utilisation des technologies modernes,etc. ) pour répondre aux besoins variéset ponctuels. Il souhaite également queles recherches que l'on entreprendpuissent être intégrées à la formation desétudiants et dans l'enseignement en'tantque connaissances nouvelles.

Que l'UQAR soit présente dans lemilieu 'régional est pour le nouveau vice­recteur une nécessité. Selon lui,l'Université doit jouer un rôle de premierplan dans le développement intellectuelde l'ensemble de la population tout enétant un partenaire pour le développementéconomique et culturel. Il donne commeexemple l'importance des stages que lesétudiantes et étudiants de l'UQAR doiventfaire dans leur milieu professionnel, dansle cadre de leur formation, que ce soit enéducation, en génie ou dans d'autressecteurs, partout sur le territoire.

« J'ai trouvé jusqu'à maintenant àl'UQAR une équipe dynamique d'unegrande ouverture d'esprit. C'est un milieuquim'attire et où j'aurai plaisir à travailler,à rendre service. »

M. B.

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Diane Blais nommée àQuébec-Téléphone

Mme Diane Blais a été nommée chef du secteur communication etmarketing à Québec-Téléphone. Mme Blais était depuis mars 1994directrice du Bureau du soutien financier de l'UQAR. Elle a été la granderesponsable du succès des deux premières campagnes de financementde l'UQAR qui ont permis d'amasser, au cours des deux dernièresannées, plus de 600 000 $ auprès du personnel, des diplômés et dumilieu régional.

Ce dont Diane Blais estparticulièrement fière, c'estd'avoir réussi à mettre en placetoute cette organisationstructurée qui permet de lancerà chaque année une campagnede financement : implantationd'un système informatique,dressage de la listed'entreprises à solliciter, .stratégies de sollicitationauprès des 17 000 diplômés etdu personnel, recrutement etformation de bénévoles,planification de l'échéancier, del'organigramme, etc.

Tout ce travail a étéréalisé grâce à la collaborationsoutenue de Cécile Auger et deSolange Thériault-Bénéteau, etavec l'appui du Service descommunications, du Service desressources humaines et de la direction de l'UQAR, en particulier Marc­André Dionne et Hélène Tremblay. Diane Blais tient à remercierégalement les 200 bénévoles et les membres du Conseil d'administrationde la Fondation de l'UQAR.

Mme Blais a également participé au travail de différents comitésconcernant les fêtes des 25 ans de l'Université, le Casino de l'ADUQAR,le comité d'attribution des bourses d'excellence, etc.

« Le travail est bien démarré, constate Diane Blais, mais rienn'est acquis pour l'UQAR. La communauté universitaire et les diplômésdevront continuer d'être généreux envers l'UQAR pour pouvoir récolterl'appui des entreprises et du milieu régional. »

« L'UQAR restera toujours une cause primordiale dans moncœur, parce que je souhaite qu'elle survive et qu'elle se développe,explique Mme Blais. C'est pourquoi nous avons besoin de l'UQAR pourdévelopper les connaissances sur le territoire, pour.former la relèveet parce que l'Université est un moteur économique indispensable ànotre région. Pour cette raison, je continuerai de faire mon don àl'UQAR. »

M.B.

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Marie-France Maheu àQuébectel mobilité

La directrice du Service des communications de l'UQAR, MmeMarie­France Maheu, se lancera prochainement dans de nouveaux défis entant que directrice du marketing et du développement à Québectelmobilité, une filiale de Québec-Téléphone.

Détentrice d'un M.B.A. de l'École des Hautes Études Commer­ciales de Montréal, Mme Maheu est arrivée à l'UQAR en 1988. Ellea d'abord travaillé au déve-loppement du Service descommunications en regrou­pant dans une même unité lesactivités reliées au recru­tement des étudiantes etétudiants, aux relationspubliques, à l'information, à lapublicité et au graphisme.

Sous sa gouverne, leService des communications amis au point des stratégiesexternes pour le recrutementdes clientèles dans le cadre decampagnes annuelles. Cescampagnes ont sans doutecontribué aux augmentationsimportantes de clientèles quel'UQAR a connues au débutdes années 1990.

Mme Maheu a aussisupervisé l'organisation d'évé­nements marquants comme lacollation annuelle des grades, les cérémonies de remise de boursesd'excellence et de doctorats honorifiques, ainsi que les festivitésentourant les 20e et 25e anniversaires de l'UQAR. Elle a aussicontribué à fond de train à l'organisation du Congrès de l'ACFAS demai 1993, en tant que présidente du comité organisateur.

L'un des dossiers les plus chauds sur lequel elle aura travailléà l'UQAR concernait toute la problématique de la création d'uneuniversité à Lévis, au printemps 1995. Durant cet épisode agité, laprésence et le rôle de l'UQAR dans la région de la Rive-Sud étaientremis en question. Mme Maheu a travaillé notamment à la mise enplace d'un comité de mobilisation et à l'établissement de liens avecl'ensemble des médias du Québec intéressés par le dossier.

Marie-France Maheu tient à remercier les membres de sonéquipe du Service des communications pour leur engagement enversl'Université, leur loyauté et pour le plaisir partagé de travaillerensemble. Elle a apprécié également la belle collaboration avec lesautres services et avec chacun des individus qu'elle a côtoyés. Dansle contexte difficile auquel l'Université est confronté, elle lance unappel à la tolérance et à la confiance les uns dans les autres.

M.B.

UQAR-INFO, 8 janvier 1997

Participation d'une équipe de chercheursen océanographi au

programme international BLOBEC

GLOBECdans la région laurentienneLe projet administré par l'UQAR et diri­

gé par M. Jeffrey Runge étudiera l'effet de lacirculation et de la température de l'eau surles variations de la distribution et del'abondance du Ca/anus finmarchicus, uncopépode planctonique prisé par denombreuses espèces de poissons de la région.

Un nombre croissant d'évidencesétayent l'hypothèse d'une influence marquéede la variabilité de la production dezooplancton sur la productivité des niveauxtrophiques supérieurs dans les réseaux

des interactions physique-biologie, des étudesin situdans des régions clefs et des expériencesd'alimentation en laboratoire. L'étude se feraprincipalement sur le système GSL-SS ( unerégion quiva dugolfedu Saint-Laurent jusqu'ausud-ouest de la Nouvelle-Écosse ).

Les chercheurs se pencheront notam­ment sur les variations dans le patron decirculation des eaux qui circulent dans cetterégion. Combinées avec les fluctuationsd'autres conditions environnementales commela température, les vents dominants et lestransports dans le courant du Labrador, cesvariations sont réputées avoir une influencesur la distribution et l'abondance duzooplancton et des poissons.

Les huit projets du volet Atlantiqueétudient la relation environnement-plancton­poissons dans les écosystèmes du plateaucontinental. Les recherches impliquerontplusieurs études de modélisation numérique

GLOBECCanadaLe Conseil na­

tional de recherche enscience et génie(CNRSG) et le ministèrede Pêche et Océan(MPO) ont acceptéd'octroyer environ unmillion de dollars parannée chacun pour lesquatre prochaines an­nées dans la premièrephase du programmeGLOBEC qui a débuté àl'automne 1996 ets'étendra jusqu'à l'an M.BrunoZakardjian, étudiant post-doctoral, M.JeffreyRunge, professeur2000. associé à l'UQAR et chercheur à l'IML et M. Yves Gratton, de l'INRS-

GLOBEC Canada Océanologie.

comporte un volet Atlan-tique et un volet Pacifique. Dans les deuxvolets, les chercheurs étudieront:• L'importance de l'évolution saisonnière et

de la concordance temporelle entre lesévénements biologiques et physiquescruciaux (les changements d'intensité etde phase des événements saisonniers sontvraisemblablement un des plus forts signesde changement climatique).

• L'intensité, l'époque et la durée des apportsd'eaux douces dans la zone côtière, ainsique leurs effets sur les mélanges physiques,la circulation et, en conséquence, surl'abondance et la distribution du plancton.

• L'importance des échanges par advectionentre les régions côtières adjacentes etentre l'océan ouvert et les margescontinentales.

• Le couplage des modèles de circulation entrois dimensions avec les modèlesbiologiques de croissance et decomportement migratoire du zooplancton.

• L'identification des mécanismes qui sontà la base du couplage entre les variabilitésphysiques et biologiques.

Une approche interdiscipUnaireLe programme GLOBEC propose une

approche écologique interdisciplinaire afind'en arriver à une meilleure gestion desressources marines vivantes .

L'idée d'un projet comme GLOBEC s'estdéveloppée lorsqu'il est devenu clair que lagestion des pêches ne pouvait reposeruniquement sur les études d'évaluation desstocks. Un tel modèle suppose implicitementque les conditions écologiques etenvironnementales ne varient pas. Or, il estmaintenant bien connu qu'elles changent avecle temps et que ces changements peuventaltérer les conditions « normales» d'habitatdes ressources et influencer, directement oupar des interactions écologiques, la croissanceet la mortalité des espèces d'intérêtcommercial.

C'est pourquoi le programme GLOBECse propose d'aborder les changements dansles écosystèmes marins d'une façon plusglobale en étudiant les effets de la variabilitéde l'environnement physique sur ladistribution, l'abondance et la productivitédes animaux dans l'océan. Y participent des _chercheurs de plusieurs disciplines:océanographie physique, océanologiebiologique, sciences halieutiques,modélisation mathématique, génieocéanographique, etc .

. GLOBEC (Global Ocean EcosystemDynamics) est un programme tnternatlonalmultidisciplinaire quivise à mieuxcomprendreles changements dans les écosystèmes marins.Dirigé par un comité international, GLOBECregroupe plus d'une centaine de chercheursaux États-Unis, au Japon, en Norvège et dansplusieurs pays de la Communauté Européenne.

L'UQAR administrera l'un des projetsliés à GLOBEC. L'équipe de recherche, quiregroupe des océanographes biologistes etphysiciens, est composée de M.Yves Grattonet d'un étudiant de niveau post-doctoral, M.Bruno Zakardjian, de l'INRS-Océanologie, deMM. lan McLaren and Keith Thompson, del'Université Dalhousie à Halifax, sous ladirection de M. Jeffrey Runge, professeurassocié à l'UQAR et chercheur à l'InstitutMaurice-Lamontagne.

Suite à la page 6

GLOBEC(Global Ocean Ecosystem Dynamics)

UQAR-INFO, 21 janvier 1997 5

Suite de la page 5 Se distraire en enrichissant son vocabulaire

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Le vocabulaire utilisé au quotidien par monsieur et madame Nimporteki pour les échangesusuels élémentaires est paraît-il de l'ordre de 500 mots. Sachant que lire sans difficultés unjournal comme Le Monde implique d'en connaître environ 5 000, sachant aussi que les diction­naires d'usage courant en contiennent quelque 50 000, on voit combien restent lettres mortes.Or, ces mots sont notre patrimoine; de ce savoir accumulé qui constitue notre héritage noussommes le relais et chacun-chacune est capable de tirer profit de ce pactole.

Comme faire pour enrichir son vocabulaire personnel ? L'artiste québécois RobertRacine a mis 15 ans à découper (au sens propre) le Robert mot à mot (une dizaine par jour);sans aller jusque-là, lire est aussi un bon moyen: « Le chemin le plus long est parfois le pluscourt, non seulement parce qu'il permet d'arriver plus sûrement, mais aussi parce qu'on arriveen étant beaucoup plus riche d'expérience grâce à la variété des lieux visités. » ( Umberto Eco,La recherche de la langue parfaite, Paris, Seuil, 1994 ).

Claudine Bernier, étudiante en lettres, de connivence avec Élisabeth Haghebaert, duCAIFÉ, vous invite à méditer cette pensée et vous offre une troisième voie, parallèle, celle dujeu: croisez les mots et faites-le savoir, ils se multiplieront!

( Mise en garde aux utilisateurs : la pratique de cette activité en dehors des temps allouésaux loisirs constitue un abus qui peut être nuisible 7à vos études ou à votre carrière. )

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Horizontalement

• M. Rodrigue Bélanger remplace M. RenéDesRosiers, qui s'absente de l'UQAR poursix mois, à la direction du programme demaîtrise en théologie.

En bref

• Nous offrons nos sympathies à MmeJohanne Tremblay, du Service des terrainset bâtiments, en deuil de sa mère, MmeÉliane Pelchat, décédée à Matane, le 13janvier dernier.

• Le rapport annuel 1995-1996 du réseaude l'Université du Québec vient de paraître.Onyretrouve un compte rendu des activités ­et des réalisations de l'UQAR au cours decette année ainsi que diverses statistiques.Il est possible d'en obtenir un exemplaireau Service des communications de l'UQAR(E-215).

alimentaires marins. Les mécanismesphysico-biologiques induisant la variabilitéde l'abondance et de la distribution duCalanusfinmarchicus dans le système GSL-SS serontétudiés à l'aide de modèles numériquescouplés physique-biologie.

Les champs de courants seront couplésà des modèles de cycle de vie de Ca/anustinmarchicus et serviront à expliquercommentla population de Ca/anus réussit à se maintenirdans ce 'système étendu, compte tenu desfortes variations saisonnières et inter­annuelles de la circulation et de l'hydro­graphie, et à déterminer si ces variationsrésultent en des fluctuations significatives del'abondance et de la distribution de Ca/anus.L'approche et les modèles peuvent êtreappliqués ensuite aux études d'autres espèceszooplanctoniques importantes de la région.

Un comité de direction nationalsupervise la gestion des données et lacoordination des différents projets. Leprogramme prévoit en outre un importantvolet de coopération et de coordination de larecherche canadienne avec le programmeGLOBEC aux États-Unis.

D. B.

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1. Instrument servant à nettoyer les bouteilles2. Toile à jeans3. Mot construit avec les lettres ADIOR4. Astre de la nuit5. Pays d'Afrique6. Oiseau rapace nocturne7. Coup violent8. Gros souliers9. Objet auquel on attribue un pouvoir magique

et bénéfique10. Petit de la chèvre

1. Laurier-rose des Alpes2. Femme qui a enfanté plusieurs fois3. Mari de la fille du mari de la mère4. Instrument de musique5. Potage espagnol froid6. Douleur osseuse profonde7. Ancien instrument de musique à anche double8. Âne sauvage de grande taille9. Maladie infantile10. Métal malléable

UQAR-INFO, 8 janvier 1997

Mise au pointconcernant l'articleURe RII.elle cllhllne

à lamaillise eR 'tlucalillR

Nous publions ci-dessous le texte intégral de la mise au pointque nous a fait parvenir le directeur du comité de programme desétudes avancées en éducation, M. Carol Landry, à propos del'article Unenouvelle cohorte à la maîtrise en éducation, publiédans l'édition du 8 janvier 1997 de l'UQAR-INFO. Cet article faisaitétat d'une nouvelle cohorte à la maîtrise en éducation, optionadministration scolaire , qui reçoit une formation axéespécifiquement sur la direction d'écoles.

« Dans l'article de la page 7, ilest dit au troisième paragrapheque « La Commissiondes études évalue présentement la pertinencede mettre sur pied un programme de deuxième cycle en étudesavancées en éducation pour répondre à de telles demandes deformation sur mesure ». La Commission des études de l'UQAR nes'est jamais penchée sur un tel programme. Il aurait plutôt falludire que le Comitéde programmes en études avancées en éducationlors de sa dernière réunion le 26 novembre 1996, a discuté de l~formation d'un groupe de travail qui devrait s'intéresser à cettequestion. La prochaine réunion du Comité devrait officialiser lemandat de ce groupe. Et, par la suite, comme le prévoit lecheminement d'un tel dossier, le Comité de programmes procéderaà l'étude du rapport du groupe de travail, jugera s'il est opportund'y donner suite et, le cas échéant, le soumettra à d'autresinstances comme le Département des sciences de l'éducation, leComité des directrices et directeurs de programmes et la Sous­commission des études avancées et de la recherche. À la suite detoutes ces étapes et pas avant six à dix mois, la Commission desétudes pourra finalement discuter de la pertinence de mettre surpied un tel programme. »

D. B.

Le clocher qui domine le campusuniversitaire fait maintenant partiede la première page d'UQAR-info.

L'aile A, à gauche, a été ajoutée en 1954.

L'année 1997 marque le soixantième anniversaire de constructionde l'édifice principal de l'Université du Québec à Rimouski, soit cequ'on appelle maintenant les ailes C, D et E.

l'édifice principal de l'DOARa60ans

Dans la nuit du 13 au 14 janvier 1937, un incendie majeur aravagé une grande partie du monastère qui abritait depuis 1906 laCongrégation des sœurs ursulines de Rimouski. Au cours de la mêmeannée, les Ursulines ont fait bâtir un nouvel édifice, avec le clochercaractéristique surplombant .le comble mansardé muni d'un œil debœuf. D'autres ailes ont été ajoutées au fil des années sur le campus,mais l'UQAR, depuis son ouverture en 1969, a toujours été identifiéeà cette façade de six étages qui domine la colline. Un bâtiment quicompte 60 ans cette année.

Le bulletin UQAR-info profite de cet anniversaire pour rappelerà la mémoire cette page d'histoire. La nouvelle têtière, conçue par legraphiste Richard Fournier, met en évidence le clocher caractéristiquedu bâtiment principal de l'Université.

M. B.

Après l'incendie de janvier 1937, un nouvel édifice est érigé en coursd'année. Il s'agit de l'actuelle façade de l'Université.

Le monastère des Ursulines, tel qu'il a existé entre 1906 et 1937.

UQAR-INFO, 8 janvier 1997 7

Succès pour les étudiantsen génie de l'DUAR

Connaissez-vousles associations

étudiantes de l'lOIR IlQuelles associations se cachent derrièreces sigles ? ( Réponse en page 11).

A.D.UQARA.E.D.D.R.A.E.E.S.UQARA.E.H.A.E.S.C.A.G.E.G.R.A.G.E.UQARA.M.E.A.S.S.A.M.I.E.A.P.R.E.P.C.E.E.S.COOPO.R.E.A.R.E.G.R.E.E.B.

8

Les étudiants en génie de l'UQAR n'ont pasmis trop de temps à se signaler devant leursconfrères des autres universités. À leur toutepremière participation au concours annuel«Les jeux de génie», ils ont remporté lapremière place à une épreuve dont l'objectifétait de concevoir une machine à propulsion.Ils sont également arrivés troisième à unconcours de génie civil dont l'objectif était deconstruire un pont miniature le plus résistantpossible.

À chaque année depuis sept ans, lesétudiants de la dizaine de facultés de génie duQuébec se réunissent pour une série decompétitions amicales qui mettent en valeurleurs compétences scolaires, sportives etoratoires. Des activités de génie en herbe et unspectacle sont également organisés.

Cette année, la compétitions'est dérouléeà l'Université Laval, à Québec, du 8 au 12janvier. Ungroupe de 23 étudiantes et étudiantsen génie de l'UQAR ont participé aux activités.

L'équipe de l'UQAR est arrivée premièredans la fabrication d'une machine «action­réaction» dont la fonction était de lancerverticalement un objet muni d'un parachute àune hauteur de 7 à 9 mètres. Les règlementsindiquaient que la machine devait déclencherune série de mécanismes qui représententchacun des départements de génie del'Université Laval: mécanique, électrique,informatique, minier, géologique, etc.

Quant au pont miniature, chaque équipedevait le construire dans un temps limité, àl'aide de matériel distribué au début de la

Président du Regroupement général desétudiantes et étudiants en génie de l'UQAR,Martin Hotton, du Bic, présente ici la plaquette­souvenir remportée par l'équipe de l'UQAR.

compétition. Le pont qui résistait le mieux àune force appliquée en son centre était déclarégagnant.

« Les étudiants de l'UQAR ont appréciécette compétition saine et dynamique. Nousdevrions être de retour l'an prochain, àConcordia »,expliquele porte-parole dugroupe,Martin Hotton.

Il faut remercier les commanditaires decette activité : le Module de génie mécanique­électrique de l'UQAR; le Comité devie étudiante;la brasserie Molson-O'Keefe; l'Associationcoopérative étudiante de l'UQAR; l'Ordre desingénieurs du Québec, section Rimouski; leCentre de l'auto H.P.; les Chevrons du Bas­Saint-Laurent; les Produits PBM; Lalonde,Girouard, Letendre et associés; RimouskiHyundai et Disco Bar L'Intrigue, de Saybec.

Bravo aux étudiants de génie de l'UQAR!M. B.

UQAR-INFO, 21 janvier 1997

Il

Un rnb~tis de 50 ~~/(:~ su r rous V{lS .de.f.lIilce nlc n ts avec ()ri(bulS Expl·t~:ss,:, \:a f::;l.it

lou.iou.rs d.u bien, C 'e st sbnllh.~: ~lO <V~~ . (.h.~' rub~ds sur l~(~nSeolb.h~,:, d.u fês.(~tln

()rlêans EXllr(.~ss~ fOltt I~hiy~t:r,:, J' 1,:~(.)I"tf:n:»j$ ftl .IJé.rifUlt~ lles}iUes.l Vüu.s n'a.vt.~';t (lU~h

l'ft~1$(~nh~r. votloC <:;U''tC d>}étudi;ult: ~l temps I:)}t~in pour

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ORLEANS

UQAR-INFO, 8 janvier 1997 9

Nouveau présidentà l'ADUOAR

Bravo aux étudiantsqui ont réussi leurs examens de C.A.

Lors de son assemblée générale, endécembre dernier , l'Association desdiplômés de l'UQAR a élu un nouveauprésident: M.Bertrand Bérubé. Diplômédu baccalauréat en administration en1991 ,M.Bérubé occupe présentement leposte de directeur de secteurEnvironnement technologique à Québec­Téléphone.

DiPlômés du baccalauréat en sciences Depuis, ils ont commencé un stage qui dureracomptables en avril 1996, cet étudiant et ces deux ans. Les étudiantes et les étudiants quiétudiantes ont réussi, en septembre dernier, ont échoué aux examens peuvent se présenterles examens de l'Ordre des comptables agréés. de nouveau en septembre 1997.

Bruce Lagrange ," Joanne-NadineParent, Chantal Samuel, Odette Whitton,originaire de Grande- originaire de Port- originaire de Rivière- originairedeSept-lIes,Rivière, stagiaire chez Cartier, stagiaire chez au-Renard, stagiaire stagiaire chez KTMG,Raymond, Chabot, Malette Maheu, à Port- chezÉricDuguay,C.A. àSept-lIesMartin, Paréà Rimouski Cartier à Gaspé

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(Ed4} BtH-H32:J ,. l BOO "l53-0utJ

10 UQAR-INFO, 21 janvier 1997

Les associations étudiantes

SolutionSolution

des mots croisés

De une à cinq bonnes réponses : où donc étudiez-vous ?

De cinq à dix : ouais! vous n'avez qu'un oeil ouvert mais, bon, c'estun début. Allez rencontrer les responsables de votre association ( sice n'est dé]à fait ).

De dix à quatorze: Bravo! Vous connaissez le nom des choses! Êtes­vous de plus vraiment actif dans votre association? Félicitations! C'estgrâce à des étudiants et étudiantes comme vous que les choses bou­gent!

1. Rhododendron2. Multipare3. Gendre4. Xylophone5. Gaspacho6. Ostéalgie7. Cromorne8. Onagre9. Coqueluche10. Étain

VerticalementHorizontalement

1. Écouvillon2. Denin3. Radio4. Lune5. Djibouti6. Gypaete7. Horion8. Croquenot(s)9. Fétiche10. Cabri

L'an dernier) Lorraines Pascale et Ghislain onl,couune ..les centaines de [eunes Québécoises etQuébécois, vécu une expérience inoubliable:ils ont eu la chance unique de: parflciper ~LI

Programme des moniteurs de langues 0 ffi­cielles. .bn clorman t un co lip de po uce à Un

0::":1"'1:'.~i~n ,i n 1. ou à ur I~ ~ns.~iEinante, il s on t con­tribué à faire con nal tre la réalité quèbëc nise à desjeunes d' autres provinces, tou t en découvrant eux­mêmes une autre culture.

Association des diplômés de l'UQARAssociation des étudiants diplômés en développementrégionalAssociation des étudiants et étudiantes des étudessupérieures de l'UQARAssociation des étudiants en histoireAssociation des étudiants en sciences comptablesAssociation générale des étudiants en génie de RimouskiAssociation générale des étudiants et étudiantes del'UQARAssociation modulaire des étudiants en adaptationscolaire et socialAssociation des étudiants en mathématiques­informatiqueAssociation des étudiants en préscolaire-primaireConseil des étudiants en enseignement au secondaireAssociation coopérative de l'UQAROrganisme regroupant les étudiants en administrationRegroupement des étudiants en géographieRegroupement des étudiantes et étudiants en biologie

A.P.R.E.P.C.E.E.S.COOPO.R.E.A.R.E.G.R.E.E.B.

A.M.E.A.S.S.

A.M.LE.

A.E.E.S.UQAR

A.E.H.A.E.S.C.A.G.E.G.R.A.G.E.UQAR

A.D.UQARA.E.D.D.R.

Les moniteurs et monitrices à temps parnel poursuiv­ent simultanément des études 1.-:[)11t:8i.11{':~Olt universi­

taires dans 1<:1 province qui les accueille. les moniteurs

ct moni triees à rempb p lein ~e con sacrenr entièrementà cette tâ che, J1~ d olvcnl avoir b:'.rII1ÜL~au moins

une année d'études universitaires. La rémunérationofferte est de 3 500 $ pour huit mois de travail

ft temps partiel et de :11 400 $ P{)Ul' neuf molsde: travail à temps plein.

4..:anaWanHp.(i!au':

• il (a personne responsa ble d~ 1·J,id~ financièrenux étudiants dans son élahl iSl':~ 1)"1(' 1) 1Ll(.'II'it"i~ 'll:"J:Jlt;>nt.;

.. aux directlons r~gi[ln~lt'~ ~'J.J IlIir1i~t~œ d~ J'Éducation;

.. .1[J nljl"li:'ill~=~ lTp i!~,d lK'iÜÎUJl

Direction de l'aide financière aux étudiantsService des p1"ùgrtl mmas de langue .lieconde1(135) rueDe La ChevrotièreQuébec (Quë~) GIR 5A5ra.: (ilS) {)4:J-375'J.

•••

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Pour participer auProgramme en 1W7-19Y8 1

il faut s' y inscrire au plustard. le 15 février 1997.Pour obtenir plusde dp[~ils SUr ler~rog'ramme, il suffitde s""adresser :

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UQAR-INFO, 8 janvier 1997 Il

En brel le calendrier• Pour une deuxième année consécutive, la

troupe en T de rUQAR présente uncollage de pièces québécoises. Jeudi le20 et vendredi le 21 février, à 20 h, au F­215, douze étudiants et étudiantes de latroupe de l'UQAR présenteront des extraitsde pièces de dix auteurs dont Michel-MarcBouchard, François Archambault, MarcelDubé, Marie Laberge, Élisabeth Bourget.On y parlera d'amour, de sexualité, dedrogue, etc., bref, on y parlera de la réalitédes jeunes adultes de 20 à 35 ans. Latroupe compte une vingtaine de membresdont trois metteurs en scène :Sophie Jalbert(études littéraires), Daniel Ross ( étudeslittéraires) et MatthieuArsenault (histoire) .Admission générale: 4 $; étudiants: 3 $.

• La soirée des Talents UQAR aura lieu cetteannée le jeudi 13 février, à la salle Georges­Beaulieu du Cégep, à 20 h. Une soixantained'étudiantes et d'étudiants préparent cetteonzième soirée annuelle qui est devenueune véritable tradition. Les billets serontbientôt en vente aux Services aux étudiants.

• La Fondation Pro-Jeune-Est est à larecherche de bénévoles de toutesdisciplines afin d'aider un ou une élève endifficulté scolaire à raison d'une à deuxheures par semaine. C'est une occasion devivre une relation enrichissante avec unjeune tout en menant une expérience d'aidepédagogique et affective. Pour plus dedétails, contactez M. Daniel Courtois au724-3516.

• Votre poids vous pèse ? Maigrir est unproblème de taille. Changer ses habitudesalimentaires demande beaucoup d'énergie

et de disponibilité. Avant de passer àl'action, il faut s'interroger sur les raisonsqui nous poussent àmaigrir et identifier lescauses de notre prise de poids. Le Serviceaux étudiants offre une nouvelle appro­che: «le poids de la minceur». Ce pro­gramme de huit rencontres de deux heurespermet d'aborder le phénomène del'obsession de la minceur et de discuterde nutrition, d'activité physique et desaspects physiologiques et psychologiquesdes comportements alimentaires. Lesateliers se donneront le mardi de 19 h 30à 21 h 30 à partir du 28 janvier au localD-31O. L'horaire pourra être modifié selonles disponibilités des participants. Pourplus de renseignements, contactez Jacin­the Tardif, au Service aux étudiants, localE-105, poste 1780.

• Le Comitépour l'album des finissants 1994­1998 du programme d'enseignementsecondaire tiendra un bercethon, le jeudi23 janvier, de 11 h à 23 h, à l'Atrium. Oninvite tout le monde à encourager ces

. marathoniens de la chaise berceuse. Unchapeau servira à amasser des fonds, quiaideront à la réalisation de l'album de find'études. L'activité se termine par un partyau Baromètre. Bienvenue à tous !

• Le Centre de prévention du suicide duBas Saint-Laurent offrira en févrierprochain une session de formation surl'écoute téléphonique. Les personnesintéressées doivent s'inscrire avant le 27janvier en composant le 724-4337 etparticiper à un entretien de présélection.

• Mercredi 22 janvier, à 11 h 15, à l'Hôtel­Dieu de Québec : conférence de MmeSimone Plourde dans le cadre d'un séminaireorganisé par le groupe de recherche Éthossur le thème de : « La relation à autrui dansles soins de santé », Entrée libre.

• Mardi 4 février, à 19 h, au F-215:conférence de Mme Nicole Ouellet,infirmière et professeure à l'UQAR sur lethème de « Unsommeil paisible, réparateur...et naturel », Entrée : 5 $. Étudiants etétudiantes: 3 $.

• Jeudi 13 février, à 20 h, à la salle Georges­Beaulieu: les Talents-UQAR.

• Jeudi 20 et vendredi le 21 février, à20 h, au F-215 : spectacle de la troupe dethéâtre de l'UQAR, La troupe en T. Collagede dixscènes de pièces québécoises traitantde la réalité des jeunes adultes de 20 à 35ans. Admission générale: 4 $; étudiants:3 $.

• Du 13 au 26 février: L'UQARen fête. Unesemaine d'activités sociales, culturelles etmulti-ethniques.

Relevé de noiesLes relevés de notes de l'automne 1996seront remis aux étudiantes et auxétudiantsà temps complet au Bureau du registraire,le jeudi 23 janvier et le vendredi 24 janvier,sur présentation obligatoire de la carted'étudiant.

Les relevés de notes non réclamésseront postés tout comme ceux desétudiantes et étudiants à temps partiel.

UQA*NFOJournal de l'Université du Québec à Rimouski

300, allée des Ursulines, Rimouski (Québec) G5L 3A1

Direction: Marie-France Maheu Rédaction: Mario Bélanger, Danielle BrabantMontage: Richard Fournier Secrétariat: Monique April, Diane ProulxPhotos: Jean-Luc Théberge, Mario BélangerImpression : Clermont Saint-Laurent, Richard Tremblay, Service de l'imprimerie

UQAR-INFOestpublié parle Service descommunications, bureau E-215,téléphone:(418) 723-1986, poste 1426; télécopieur: (418) 724-1869. Ce journal est distribuégratuitement à tous les membres de la communauté universitaire et aux personnesde l'extérieur qui en font la demande. Toutes les informations doivent nous par­venir au plus tard le mardi précédant la parution. Les articles peuvent être repro­duits avec indication de la source. Pour l'achat d'espaces publicitaires, veuillezcontacter la rédaction. (418) 724-1446

(418) 833-8800(418) 589-9853(418) 566-2846(418) 862-5167

(418) 364-3378, après-midi(418) 368-1860

Ligne info-programmes: 1-800-511-3382Courrier électronique: UQAR@UQAR.UQUEBEC.CASite INTERNET: HTTP://WWW.UQAR.UQUEBEC.CACampus de Rimouski:Lévis (Centre d'études universitaires de la Rive-Sud):Baie-Comeau:Matane:Rivière-du-Loup:Carleton:Gaspé:Dépôt légal: Bibliothèque nationale du QuébecISSN 0711-2254

12 UQAR-INFO, 21 janvier 1997