Transcript
Page 1: Ce joiurnal - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1861_10_12_MRC.pdf · jinaV l’ouverture d’un crédit extraordinaire qui porinello de dunner imnié.di.itcmciil

S a in e d i 1 2 O c to b r e 1 8 0 1 > W" 4 1 . — S 2 r ann^ 'C .

l ÿ l R i i l i l l i R i .* A a i» w K iim B K T t' 1j V..;.; ' M •. 4 fr»»e., , i i V m t . . . • J 9 j , / ^ • ç .

Puva u M n a v t* » » J ^

„ o » « * S £ ; |v : » “

M I X » K S IW O K H V lO N S iÀNkoNCES JÜ D IC I\ |K m ; 30 rcnl* U ligne . A lO iÔ N C n M V K h^B S , 30 • iil.

M t o w e s -v t I G I A I R Ë S .

o iv r A B o s r i c R I '

A Seiilif, a u fc 'n m a l a /o « riM l, place Ic ida -V ille} — A IVri*, c lw i M. .,n .tV J Ica o rJa rq u M IlouaK aii, {i, e l c l i n JÜi tAFPITE-BULMP.R t i ('.omit., p h e ^ d r j a l A; — Cl d ic a Ica l.ibtaîre* Ha oefiartctiKq

C e j o i u r n a l. I .1 J . r làU Jk

/ :Ou lit danR Iq MonUeur xmiversel t

P arts , le 0 octolire.IX. HM. l'E m pcren r è1 rim p ô ra lr ic e cl S. A. le Prince

Mtnpfrial ont .qifillé h ier, dans rajirès*iuidi, le paU is de ^ iiib C to n â, ponr se rc iid rc 'è Gompiègne.

8. N. le rot de Pi iisse csl arrivée aiijotird’liui& six heitre.s att palais de Complègtie: l’E m pereur e s t allé recevolj à la ^ ritln slre Toyageiir.

S: N. rim p éra lrlce , nccnmpagnëe de S. A. le P rince Im ­périal, suivie des daines de son service cl di‘.s flfilciers de («rrice auprès do l’E m pereur, » reçu le Ilui au pied de Tes- calier d ’honneur.. ^ Hajesié csl accompagnée de S. Exc. le com lr de Pour-

làlès, son miiiislro pl4pipolénllaire ft P aris, du général Do- Htff, commaiidaiil en chef Ig 8* cor|)s de Parm éë prussienne, lies aides-de-canip généraux d'AIvciislcben cl MaulPufTel, aiusi que de plusieurs officiers de su maison m illtuiro cl | civile. ■ .

> Le général F rossard , a ide de-cam p de l'E m pereur, le comie dcllioncourlf chanibelliiii de Sa Majesté, le baron de Bourgoirig, ru n de scs, éciiyers, accompagnclit, égale- mrol le Roi. q u lls o n lc u mission de recevoir A >â frortiièro.' .i.vPariDUcs pei'Sonnes invitées à t^ im p ii^ e A cette Dqctl- MO, on rc m u r ^ ô litû EExc. le com te'W ülew ski, mliiM*’" Iréd’RUI, le comtO; d e . Pqi^igny, m inistre de l'iu lé ile u r, y. ThouYpnel, hvnijUio!dPs,n,(rpire^lr«itmèi'cs, le m aréchal éomlo Hàgnàii. cèm ifl^hddnl en’ chef le 1 " corim d ’arm ée, le iharéclial de Mac Mahon, d u c de Magenta, com m andant en cher te SP corps, e t le prince de la 'rour-d'Auvergno.

— On lit dans le tfoniVctir du 8 : r U prix dcA larinasl s'étulit élevé siibilèm eiil dans la

derhiëro qiiinxaine.de-.M plem bre, la taxe du pain, qu i se déduit de la m ercuriale des fai ines, a dû é ire portée à SO centimes ilans le départem eiU de la Seine pour la p re­mière qiiinzain'o' d ’octobre. T o u t-p o rte A cro ire que la b.iussc',qni n déjà fait un pas en a r r iè re , ne se mulritiendra pnini eu préseiira; des arrivai^es é l des upprovisiomiemcnts du nord de l’Europe. Eu tout c.is, le p rix du pain de 5[) c. te kilogramme est ùu m axim um qui ne sera pasdépas.sé. La C.dsse de la boulaiigeriu convrirait la ditTéronce en tre ec prix m aximum et le prix réel, confcirmémenl à sa inis- sioH et à scs précédoiils. si, contre toute attente, lu bai.<;sc (]tii s’aniionce ii'avait pas lieu. >

Iaî n iiiiislrè de l’iiilé rienr vient d ’adrc.HScr aux préf* t« ta cirrailairc soivante :

■ ' P aris, le 5 octobre 1801. .Monsieurle p ré fe ljt 'E m p crc iiru rau iilu risé . p a rsa lettre

d iilS auô t de rn ie r, & p ré p are r poiir la prorliuine session du (lorjht législatif nu projel de loi coucérnnnt ralloc.'itlon d ’tiiie .sobvciitioirdc S5 millioiis dcsImée'A faciliter racliè- vcmciit dcselien iin sv irliln iixd ’intén)i coinmiin. Sa Majesté n voulu, on m êm e tem ps, répimdi'é sans délai nu vmu des conuiumcilTiifalrs.'dopï les udrésses im auimcs des conseils généraux n’ofil é té que la (Idète exprèssinn, e t. d ’après ses ordres, je me suis concerté avec M. le miiiistro des ilnaiiees jinaV l’ouverture d ’un créd it ex trao rd inaire qui porinello de dunner imnié.di.itcmciil nue vive jm pnisiop aux travaux de la vieiualité. J 'a i la salisfartlon du vous'aniiuiicer que, pnr déciTl délibéré on conseil d ’E ial, un crédit de 2 mil- lians, im putable su r l’excrcicc 18UI, a été puverl à mou ministère.

Dan» une. quoslioU 'qu i'in téresso é un .si hau t degré la pro.»périté des cam pagnes, je devais rechen-lier avec soin le meilleur mode de répai lllinii à suivre. Ce Corps légisiatif sera naturtdlem cnl appelé A .se prononcer su r l’emploi' des fonds'qipil lui appartien t de voler, et je ne voudrais pas prijugcr ses résolutions i ce t égard . J ’ai donc pensé q u ’il convenait d é Be b o rner à d istribuer, p a r portions égaies onirq Ics' déparlemeuLs, le créd it ex traord inaire de 2 niij- lionsj Ias conseil d 'E la l a partagé mon sentim ent.

Je 8oum ettrai.au Corps l^ ls la lif l ’é ta t général de cette répartition. Quant A la d istribu tion A faire en tre les corn- tilUite^,Jé^Vuus eij .laisse l’iiiilialivc et la responsabilité.. Vous êtes m ieux p lacé que mol pour ju g e r la véritable si- tnallon des localités; vous l’apprécierez avec une im par­tiale équité, e t vous ne m anquerez pas d 'avoir égard aux besoins réels de chaque com m une, aux ressources dont elle peut d lsp o se re l aux sacriliccs qu ’elle s’impose pour le sarvire viciuaU Les subventions que vous accorderez ne s’appliqueront, en Ions r.as, qu ’aux clicmins classés anté- rlenremniil au décret du 4 do ce mois.

Vous devrez me rendre compte de la répartition que vous aurez opérée et eu m ettre le tableau sous les yeux du <^Nseil général de votre départem ent, dans sa prouhalnu session. G’ost nu devoir, m onsieur le préfet, comme une gar,inlie pour rudu)in islra tion , de s’appuyer su r le con­cours aussi loyal qii'éclairé do ces assemblée.s qui ren fer­ment l’élilo du pays, et vous répundraz A la pensée do rEmporeiir eu les associant A l’cxéculinu d ’une m esure si féconde et si justem ent populaire.

Recevez, m onsieur lu préfet, l’assurance do ma considé­ration trè.s distinguée.

Le minièlre de l'intéricui',F. DB I'krsiü.vv.

■— Un. télégram m e p ppfeqd la m ort d e l'E m pereur de la Gniiie. C est p a r ^InM ^eluriibOni'g qu ’on.a reçu cette non- ycllc; 'c ’e s t ‘aussi p h r S .iiiil-Pélerbuùrg que l'on a reçu la première iiouyellu de lA prise de Pékin.

ÀRM jôvIlpr les em barras qui résulteraient de l’nb-I inonwiiiyoï'i {«g jeunes soldals.deII deinfbm é'portidlt du ctmilogonl d e l8 6 0 doivent arriver aux dépéts d ’inklrdction. H- le m nrérhal Rniidon, minisli-c de la gu erre , a décidé, lu 24 seu tem bre, que tes officiers, sons officiers et caporaux ôii b rigadiers des déuuls des <^rps Isolés de léurs bataillons ou escadrons ac ti» , ut dé- rignés à rinspeclion générale pour p a r tir en congé de se- mesire au l*' octobre, no pourront Jouir do celte faveur Q'i après que les hom m es de la deuxième poriiuit du con- ungcnt auront q u itté les dépôts d ’instruction pour re n tre r dan* leurs foyers. (M oniteur de F Armée.)

*~'Four faciliter le scrv ire, comme aussi pour éviter aux gendarmes qui csro rten l des prisonniurs p ar les voies in- Pldes une perte pAtablo de tem ps e t ini su rcro ît do dépense, * • le m aréchal m iu lslrc du la guorro a décidé, lo 27 sep­tembre, que l’inlondahl qui délivrera, un ordro d ’estcorie sera autorisé A délivrer oii même tem ps l’ordre de re tour.

Eu o u tre , dans la pensée d ’épargner des f i i lg u tf a ù V ^ j gendarm es et des dépenses A i’Ë tp i, le m iuisiro o rccunf-: - m andé de ne m ettre , au tan t que ' pns.4ibte. les détenu^ e n ' rou le que lorsqu’ils seront en nomhro.xuffi.saul pour rom-^ p llr, avec lc.s goudarm os d ’esco rte, un com pariim ont dé' dix places. c id .)

— Ou active lc.s p réparatifs nu pavillon M arsan, aux Tnllories, en vue du séjour qu’y fera le roi dos l^avs-Das; pondaii.t la sem aine qu 'il doit comsacror A p arco u rir iiolro capita le, après sa visite A Ll.. MM. A Conipiègue. De Daris, S.M . Néerlandaise se rendra dans scs Etals en passant p ar la Bclgiqiie, e t elle nuiw A Liège une entrevue avec lo roi Léopold.

L’E m pereur a signé, A Gompiègne, lo décret qu i alloué' 2UD,000 francs au m aréchal de Mac-Malinti, p o u r scs frais d e représcntatlui) au cotir<nihèmenl' du Roi do Prusse A' K œ n i^b e rg . ■ Je veux vous dojm cr une idée du luxe que> le m aréchal déploiera dans la 'c ircoustaiicc, noms écrit-on ■ d e l*aris. Ces jo u rs dern iers, j ’ai vu chez B inder les

q u a tre voilures qu 'il em m ènera avec Iu1 A Kænigsbergl l.a plus belle, qui a déjà servi nu sacre do l'E m pereur de ItiiKsiu, coûte A elle seule, en réparatioiiK^ la somme do 20,000 fbancs. e t la housse d u siège du cocher seule

> :0,000Tr. E lio é la il précédem m ent dorée : q ii l’a to tlla r - • gehtéie, ç*^*A d.ire_ revêtue .d ’a fgcn t iqa.l3' ÿ t f ntiMeh tbnin 'kcr.1 tdb^

— P ar décision du m in istre des finances. I n t é r ê t atta '- clié aux bons du T réso r public a é té fixé ainsi qu ’il su it, à p a r tir du lundi 7 d e ce mni.s :

3 1/2 0/0 pour les bous de 3 A 5 m ois;4 0/0 pour les bous.de 6 à 11 m ois;4 1/2 0/0 pour .les bons A nu an .

T- On lit dans le M onùew de FAIgh io :S u r un ra p p o rt du m inistre de la guerre, m otivé p a r une

dem andé trè.<-prcs.<nntn du gouverneur généra l,' l'Em pe­re u r n bien voulu déc ider, A la dalu du 2 i sep tem bre, que l’Algérie serait com prise dans la répartilm u do.s25.,U00,UU0 qui seront afTeelé.» A l’am élioration et A l'achèvement des chem ins vioinaiix.

La part d e l'Algérie dans celte Bubveutlon a été tixéo A 000,000 f r .; elle a é té calculée su r la moyenue ruvciianl A chaque départem ent de la méiropule dans lu créd it t o t a r . '

P our ttrfrm'f c/rct/oc//o« ; E. KEG.MER.

S3ÜYELLES DÊPARTEMESîâlES.,P n r arrô lé do M. le Préfet, en d a te du 8 octobre 1801 :M. M éiet, admb(.sibli‘, est nom m é iu.<litutenr public A

Robcrvai, en rem plaeenicnl de M. lluroy.

— Dans son audience de Jeudi, 3 octobre, la cham bre crim inelle du la co u r d e cassation, pré-sidée p a r M. le con­seiller Faûstin llélie, u , confurm ém ent ;iiix conc'usions de M. l’avocat général Suvary, rejeté le pourvoi form é p a r te nom m é Mcrcery, con tre un a r rê t de la cour d ’assbes de ro isé qui ra .ooiidum ué A-ia peine, du m ort, A la da te du G septem bre I8GI, p o u r crim e d'h-nnicide volontaire.accoq)- pagné de vol et de viol.

B.VLAONY-SUR-TIIÉRAIN. — Depuis plu.sicurs jou rs, le iioinnié (Jeau-ILqdiste) Asuiu, Agé du 40 ans, ouvrier dé- gra isseu r, sem blait occupé m iiquem eutde l'idéu de m ettre lin A sus jo u rs . Il s ’uiifurmaii chez lui avec dus cordes e t ne parla it A tout le m onde que de son inicniiou de se pendre.

dçMix octobre, vers sept hciirus du m.ittii, des ouvriers lui d iren t eu p laisanlaut : « Hé bien, lu n’es pas encore pendu! • Ces paroles le vcxèreiil, e t il faut peut ê tre leur a ttr ib u e r la résolution qu'Aspic no tarda pas à accom plir. S u r le refus de p lusieurs d éb itaiits’de lui vendre un litre d ’eau-de-vin, il s j re n d it A .Mouy et s'enivra. A deux beiiras, le s ieu r üoniouceaux. qui gardait les v ac h es 'd an s les cham ps, aperçut uii hom m e luiuiobilo contre un a rb re ; il envoya soii dom estique, voir ce que cela signifiait, c l apprit bicn iél qu’il s 'é tait pendu. Lo gardc-uliniujtéire, prévenu du fa it. arriva aussitôt c l trani;lia lu corde, m ais Aspic ne donnait plus aucun signe de vie. La ruiiestu habitude do boire avait, dit-oii, a lté ré les ruculté.s incnl.des de ce m al­heureux .

COMIMÈGNE. — Le Riû de ih'iisse r.sl ai'rivé diinniichc à Compiëgiie, A six heures du soir. I/Enipui e u r es t allé re­cevoir sou auguste invité A la gare , et. après s 'ôtru donné de cordinle.s poignées de m ain, les deux souverains, l'un u t l 'an tre en habits du ville, sont montés daius la même voiture, cl se sont d irigés vers le rliAleau. I,a f'.mle des cu­rieux éta it considérable, e t, su r leur passage, les cris, dé Vive l 'E m p e m tr on t été poussés avec le plus vif cuthou- siustiiP.

Dans la cour du chAtcau, les zouaves formaient la haie; A l’arrivée du Roi, les tam bours oui ballii aux cham ps.

S. M. l'lm pératricc,.accom pagnéo du l'r in re Im périal, suivie des dam es du sou service e t des officiei's du service auprès de l’E m pereur, n reçu le Roi nu pied de re.scniier d ’honneur. ^ Le Roi a gracieusement em brassé lu main de l’Im pératrice et lui n ulTcrl le b ra s; rE u ip e reu ra donné le bras A la princcsso d ’EssIIng, e t Leurs Majestés suni a r ­rivées dans le salon do réception eu traversant un» haie de rent-gnrdus. L’uscalier é ta it brillam m ent éclairé, et pré^ sentait un çoun-d'wil magique. Après le d în er, il y a eu curée aux flam beaux, dans la cour-dii château. La vénerie avait fait une chasse A courre dans la journée , et un cerf avait été foiicé près do Picrrefonds.

Le Roi de Prusse é ta it accompagné A son arrivée du gé­néral m ajor d ’AlvensIebcn, général m ajor 'de MAnleuifel, aides-dc cam p généraux ; cojonel Royen, licutcnaul-rolonel de Sohimmotmann, m ajor doD auch, colonel comte de Golz, aidcR-du-camp; S. Exc. M. llln irc , conseiller hilim e, chef d u cab inet; général do Bonln, com m andant en chef lo 8* corps d ’arm ée prussienne; com te do Pflurtalè.s. m inisirc do Pru!»e; prince Henri Vil R euss; comte de ilalzfelcll, sccrétiiiru do la légation de Prus.so; m ajor de Sleiii, a ttaché m ilitaire de la légation; baron de Rolhschild (Alphonse), consulgéiiéral de P russe A P aris .

— Lundi, il y a eu chasse A t i r dans le parc et prom e­nade au chàte)|U do Pierrefonds, où la m usique dus Guides a exécuté plusieuiA m orceaux. Le tem ps était maguifiqûc, et, p a r su ite , l’ufTIiicnco des curiciix considérable dans la foret. On peut d ire que tout Cornpiègno cl les environs s’y

irpqvAlenl. La Cour csl ronirée A six heures.un d în e r de 80 couverts, les comédiens ord inaires

J ç PEm pereur ont joué deux rharm an tes pièces devant la ,ipoùi% qans la salle du spectacle du ehàlcaiL Le Roi do P ru sse , qui po rtail le grand cordon do la Légioii-d’/ion- Ùei|i', avait A sa dro ite l’Em pereur, portant le g rand cor­d on u è l’Aigle,noir, et A sa gauche. Sa M.njcsté l'Im péra­trice . r— D errière, se tenaient les Chambellans, les Dames d ilonnciir, et tous le.s invifés du cliûtean.. La représentation a été vraiment splendide. On a d ’abord donné Le llongcoir, comédie un un acte, en prose, de 31. Çlé- .nicnt Carnguel. jouée par M.M. Bressant, Dclàiinayet M“'A r - iioiilri-Plessy. — Eiisiiiic, on a représenté la charm ante co- Ï ÏS r '& ï • : Le Jeu do f Amour et du Hasard. —MA|. Régnier, Provosl, Delaunay, Brcssiiiil; 31**" Augustine Brahqn ç l Arnoirld-Plessy, ont in terprélé l'ouvrage avec tou t Itt tàtcn t qu’on leur connaît. L’Em pereur a donné A plusieurs rcpri.su.s le signal dc.s applaiidi.ssuments'. — La m usique des Gtiidc.s a fait entendre pendant les en tr’aclcs d e éharm ants m orceaux.

La salle éta it garnie de l'élite de la société compiégnoise ; nous y avons aperçu plusieurs m em bres distingués de la

■presse parisienne cl do lu presse étrangère.(M ouU ourdefO ise).

à dix heures du m alin , les troupes de la gar- w m r s v w n l p o s a u i dii r ^ ib c A i de guides e t du biitailtôn des zouave.s, ont été passées en revue su r là pelouse du parc, les guidi\s occupant un des côtés de la ’pelmise et les Wuavcs l'Hiilrc côté. L’Ernpcrenr et .le Roi étaient en bour­geois c tà piud; ie prinim im périal portait riinifuriiio de ca­poral des grunadicrs de la gardu.

Après avoir pas.sé devant le front dus troupes. Leurs Ma­jestés 1 Erapuruiir ut le R n, ainsi q lu S i ila jeslé l’Im péra- irnæ , scson j placé.s en haut du la puluu^e pour lu délilé

.qu i a CH lien an son des miisîqiie.s 'dus giiide.s ut dus zunaves.A midi vingt iiiiiiniu.», le roi a q iiillé lu palais pour se

rendre A la gare . S i 3Lijuslé l'Em pureur, Comme à l'arrivée é ta it scnl.dnn.s une voiturcavec lu roi ; atiuunc escorte n 'ac- compagnqit lus quafru voilures qui conduisaient le.» invités au chemin de fur.

A lu guru, S. JI. l’E nperunr a accompagné je roi jiisqn'A so.i wagon, e t ayant du n n iilu r, le roi u échangé avec i'Em- pcreur iinu uordiale poignée de main.

Le roi de l'rnssu Gaillaiimu [", ((iii est Agé du 61 ans et dem i, et qui est roi depuis lu 2 jànviur du cette année, eHt 11» homme de haute taille, aux cheveux blonds gris.somi:ints e t rares. Il po rte , comme beaucoup d 'aliem aiids. les m u u i iacliG.s sc joignant avec tes favoris. Sa physionomie est em ­preinte d'iiiic rcm arquablu douceur.

,.vû.A y^L du.quitter le palais. Su Majesté le roi Guiliaunie a , ■qous ns.sure-1-on, décoré de divers ordre.» de Prii.sse, plu- «téifrs du.» hauts personnages qui suirouvunt en ce moment avec I Em pereur.

(Progrès do rO/se).

•r— On écrit de Gompiègne, b‘ 8 oclobm :Gç. m alin , à dix hutires, su r lu dé.sir tém oigné p a r Sa

-Miijeslë prussienne, une revue de.» zonnvcs qui.se trouvent en ce ïnom cn l A Gompiègne c l du régim cul dus guide.» de la g i rd ç , en garnison d.iiis celtu ville, a été passée dan.» lu pare réservé, s u r la pelouse du.» Uca,nx, Monts.

L 'Etnporciir et le roi de IViis.su élaieiil on babils bohr- geois; Je prince im périal p o rla il l'niiiformc des grenadiers d« la garde. Dus .cris de :« Vive lu roi de P russcf 'vive l’E m pereur! • ont salué l’arrivée de Leurs Majuslés.• Apréîf la revue, des m anœuvres ont été exécutées.

L’ImpéiMlrluc y assistait en loilulto du m atin.Le déjcùiier a suivi inimédiatem enl ; cl le ro i, ayant pris

congé de l'Im pératrice , est monté en voiture avec l'Em pe­re u r p o u r su re n d re A la gare. It é la it aloi-s m idi cl dem i. lA! cortège s'ust formé dan.» le même ord re qu'A l’arrivée.

Les deux souvoi-aius su sonl séparés nprè» de.» adieux plein.» de cord ia lité . Au dern io r inomeiil, le roi de Prusse a dit A l’em pereu r : • Ëmbras.sez p o u r moi votre fil.» ■

On a rem arqué que les ofliciors du la suite du ro i du Priis.se, un adrcs.»aiit luui-s adieux A rem i.'cruur, avaient baisé la main du Sa Majusié.

Le roi de Prus.se, nvaul do qiillte r Compiègne. a d istribué trois décorations derA iglc-N oiret dix-sept de l’Aigle-Roiige. — Doiiifacc-Dcmarel.

, Le ilouileur annonce ainsi qu 'il su it lo d épart ilii roi do -Prusse et la prochaine arrivée du roi du Hollande :

« Slardi m alin , avant te déjeùner, le roi a n ss is léà la parade des troupes qui su tnm vaiunl chargées de la garde d ’Iiouiiunr du chàlenn, et qui sont coinpo.»éu.s en ce moment d ’un baliiillnn des zouom*.» du la gai-dc et du régimcnl des ffulde.». A midi cl dem i, lu roi a pris congé du sus aiigusles hôtes ut c.sl p arti pour DnssebloiT. où Sa Majc.slé devait coucher le so ir. L’E m pereur a .iccompagiié lu i-oi Jusqu’A la gare.

• Il paraît curla in que S. 31. le m i des Pays-Ras doit ,ir- rl,voi‘ lu 12 de eu mois au palais du Compiègne, On assure que Sa Maju.stt y passera plusieurs jiuirs et su rondra eii- suilu A Paris. I, Em purcnr a déjà désigné lus officiers du sa maison qtd doivent ê ire ailauhés A la pursonue du roi pen­dant son séjour eu France. »

. GREIL. — Le 2 octobre, vers six heure.» du so ir, iitiçoni* m sncemunl d 'iucuiidie s'est déclaré an domiùilé d û noninié Thpophile Binet, manouvriur. la 's sieurs Dubois et Alar- gtfpt ïipcrçurunt eu |>a$sanl du la nammo A l’in térieu r de ^ 'm a iso n ; ils m oidcreut a la uham bru d ’où provenait cet éclat, e t éteignirent 1. feu qui rousum ail les rideaux du l|t,'V oici ce qui avait occ.isionué cet évéïtumcnl. Pondant I absence de lu femme Ulnct. sortie un histan! p o u r a ller acheter du luit, un de se.» uufaui.». Agé du sept ans. voulant çhqreher snq.» lo lit un.u bille qu’il avait purd.qe, .ivaR placé U chandelle tout près des riduaux ,qu i avaipiilpussltât p ris fuu. . . .

— On éc rit du Greil :

« ^Im aucho d ern ie r, vcre hnit henrus du so ir, un vol qui dénote de la narl de sou au tou r nue grande hardiesse et du'o hab itude du m étier, a été commis nu préjudice des époux G renier (Théodoru-Nicolas), nianonvrlers.

■■ La daine Gruuiur ayant un besoin de s’afnienlcr quel­ques mlmites p iiur aller churuhur sou enfant qui jouait su r lo place publique, A 200 m ètrus A puiuu du leu r habitniion, lalèsa sa lam pe allum ée su r le uheminéu, mil les vorronx njix (leux poilus duimiinl su r lu ja rd in , ut ferma A clef celle

• A sou re to u r , elle t ’cm arqiia A fraverz ia ’ éroNèe-(fud la lam pe avait ôté dérangée de la c lie m iu é c e tm b e d ii» * ' ’ ju m ilieu de l’uppartem piit, ut au m ême m om ent eoleqdlL ' furmeP lé tiro ir do sou arm oire . P lus d e doulo po'ur elle qu ’un Ÿoleur s’é ta it In troduit dnris sa maisoii -pàr un c a r­reau cassé do l.'i{croisée du -jard in , ouvertu re qu ’elle avait bouchée p a r une pltiiirhe. Elle ouvrit prestem ent sa p o rte ;m ais Àll nromivl- l.rilii Ia mnlf-itlaii,-u'Alnit o.,,,...' pur

lis au prem ie r brn il, lo m alfaiteiir s 'é la it sauvé par-les , rtc.» du ja rd in quudanssii p récipitation ilia issaô u v erles .

> La prem ière pensée de la dam e G renier fut de reg.ir» d e r jL m s son arm oiru. Le voleur s’é ta it em paré de 18 fr . q u i's 'y trunvaient,-m ais avait laissé une tliiibate eu âreéiit et du.» bijoux placés A côté de cuttu so m m e ..

'» Aux c ris • au voleur! au voleur! • poussé.» pnr la dam e G renier, ses voisins c l deux gendarme.» q u i, faisant le u r lo iiruéc en ville, avaient aussi entendu ce.» cris , accou­ru ren t, ef, m unis d e lanternes, cherchèrent avec elle daus son ja rd in où nlle avait eniuridu fu ir lu voleur, et d an s les < ja rd in s cnviionnants; mais leiir.» recliprche.» furen t liifruc- tiieiisus. Ils conêtatùrent Béulcoient quu le voleur avait escaladé le m û r doiiûant su r la ru e . .

* Voilà le cinquièm e ynl r.omniis depuis environ h u it jo u re ; les q u atre au tres sont des vols du lapins : ^ de ces tranquilles habita.uls de clapiers ont été a rrach és de leurs dem eures. Jusqu’A ro! jo u r on n’u môme pas pu re trouver leui-s ^icaijx; sans doute qu ’ils ont été exportés. •

LIANGOÜRT. — Colto ville 'cétébrail, d im anche dçftiier,G octobre, rinanguralion du la slafiie du vénérable due de ' Larochefoncaulü-Linncoun, propagateur do là v.iCulne, ce remède^si précieux contre l’ime de.» plus affrcusM m aladies qui alTligcnt la pauvre hum anité, fundaliiiir d e l’école dbd ' Arts et m éticre de GhAlops ut.d 'un grand nom bre d ’étab lis­sem ents qui rundenf son noui'S1 réspuètablé e t .<1 Cher, siiiion t aux habitan ts d e L iancourt.sa résidence d e p ré d i­lection ut où l’on voit le mode.»ic (ontheau du grand pbU ih- trophc. Riun n'.ivalt été épargné pour donner A celle fê le

I le plus d ’écl.at possible. Tons lus habitan ts s’étalent cm - J . pressés de p rê te r tour généreux concours. Toute.» les ru e s I étaient garnies d ’àrbirslus verts, de guirlande.» do feuItLigcl ''I et du fleurs. Lus arcs du Irioinphu élalepi Ifus-multjplié»- • et la p inparl fiirt é légan ts su r iesqucls ou. lisait les tîli'ed 'I dû duc à la rccotiuatssancc publique. Une m ullitûde d ’é- I (rangers affiiiaiem A Ltancourt pour ce lte m agniflquc e t > giMiidii).»u cércmoniu. A une heure, lu.» co:npagiiift des sa-

puiirs-pompicre de’ la ville et tes subdivisions du raiiTon se rundirerit su r la place prinUipile, ut du lA siir ta 'p lace d e t’Eglise, où , p ar lus soins du digau cu ré de la p.arok»e, s’é ­levait un aiilcl fort gracieux Le délilé eu t lieu dans l’o rd re suivant : la musi<|ue du Liauuoitrl, lus supeurs-pom niursdu lu loc ililé , les jeunes demoiselles vêtues d e . Jtimir, le»élève.» diw écoles prim aires, lus divursus corporations d ’oU'' vrier.» avec leni-s bannières, le.» élèves ut aurions élève.» de.»- écoles d 'a r ls ut niétiurs, le clergé, formé de tons les c u ré s ' du canton, la mnsiqno du 78' dé lig ic vunnc do P .u ls .le s an iorilés du canton, lus m édailléi du S jin tc - llé lè u è e t fcs subdivisions des sapeurs-pom piciN.^-' -

S u r l:i place, un présunoc de la s la lne , dont Ic'voile fomtm A un sign.il donné, la noble figure du duc du Larochpfuu- cauld fui saluée pnr lus acùlamaliou.» du l.i ftiu lu .'par lus-

' roulcm onls dus lanib’Uii's, le brn il du un n o u él p a r le.» j joyeuses volée.» dus cloches. Quand le silenro flil ré tab li I M. le niairu de la ville prononça un discour.» fort bien éc riî . p o u r rcHu solunnolle r.irconslancu. M. Dobuiru,-adjoint, lu t

ensuite le rum arquablp di.»com-s de M.-le baron Dnpin. qn ’uno grave indisposition avait em pêché de v cn irp i^ s id u r celte fétu. La poé.sie devail aussi rendre homtnage au bien­faiteur de riinm anilé , et il appartenait à M,. V aldo^y, m é­decin et vacciiialtiiir du canton de Liancourt, de lu louer on Yure élégans qui furen t écoulé.» avec le pliis g rand plai­s ir . On pourra lire ans.si la charm ante piùre d e vei*» coin-' posée p a r 31. Dottln, ut qui est insérée en (été d ’une petite iiotiou du savant u n lc n rs tir la vie et la s la ln e du vénérablo duc du Larouhufoiicanlt-Liancourt.

Après pln-sicure brillan ts morceaux de m usique e u t lieu I.) hénUdiclion du la fontaine qui accompagne l.i st.duc. On re tourna 'dans lu niênic o rd re su r lu place de r i^ l is c en passaid p a r la nouvetiu n iu de Pont. ’

Alors 31. lu curé-doyen monta les m arches do l’au te l, e t, an milieu du silcnru, prononça une alloculiun dans laquelle il dénj-niira que la religion s’.issouie avec bonheur aux fêtes qui ont fa biunfaisancu p o u r objet; que .\otre-S«i'’ncur Jésns-Christ csl le prem ier et le plu.s grand bienfaiteur dus hom m es; que sans lui la charité se ra it inro-mue s u r h te rre , et q u ’il é ta it bien ju s te de le preclam er hautem ent dans un jo u r où tan t du personnes de distinction et iiii concour.» si immense d e population avaient exalté une étin­celle de biunfaisanuu dans un de leu r sem blable. Deus cha- rilas est, tels étaient lus m ots Inscrits au-dessus de l'aulcl • D;uii csl charité, ut nous devons faire rum oiitur ju sq u 'à lui no ire .amour ut la rccoiinaissanuu du nos cœ nre L’a ir ro- tuntit ensuite du chant du Te Dcum et du Domine salvum Lo cortège retourna vere cinq hum es s u r la place du M arché.

l.c fuu d ’artifluc, tiré A n euf heures s u r la pirèe d ’ea ir du parc du chAte;m, a lu-ovoquo A plusicure reprises \n bravos du la foule.

La statue du d u r. lus édifices puhllrs, les Ii .ojmjiicIs e t lep allée.» du paru é ta ien t brillam m ent illuminé.» un verres do couleur, lan li rncs_yén||jeniies c l. reux-de. Bungalé.-I,é bal piil lien sons-iinc \u»lo (unie ornée des plus riches décora­tions et-splcndidcm ont éclairée. *'

Lu lendem ain, un service Diilèhrc fut célébré*trè.»-soleù- ncüumcnt pour lo repos de l’Ame dh noble duc, et Rit suivi d ’une procc.ssion A son tom beau. A. GH-virmst..

^ÎELLO. — Le 30 sep tem bre, les époux 3 lercier, renllors' dem eurant A Mcllo, vuiinienl d e s ’inslnllur dans nnoAou* vcllu maison. La femme Alercier sc fit rem ettre p a r son m ari .trois billots de banque, de ,100 francs chacun, qu’il

Bortatt su r lui, cl lus s e r ra dan» le tiro ir de son arm oire uiix jüuiti ap rès, ces bilIclB'hvrtlent éJé.ViWevèi: Que sont-

I ls dcvemiBr Co point n’a p as encore été éclairci.

RAN'TIGNY — Dana là jou rnée du 7 ncinbre, le nom m é , Julien Fetil. ncm ire eu bétihiciils. Agé de 37 nus. venu p o u r affaire.» de L lanrnurt A Ranligny, csl m ort subitem ent' ’ d une .altàqna d apoplexie. Il su raR'nichiss.'iit avec son beau-pèro daha l’auberge du s ieu r Breton qûand II ^ i l tou t à coup connaissance. On le transporta A t’a lr e l bn appela en tonte hâte lo dnclour Tixiur, d e l.ianeniirl, m ais tous les soins furent inulilus. O t liumtne ovaii ou déjà denx a n tre sa tta q u c sd ’apoplcxiuci élail paralysé (Inuôléganchu.

Page 2: Ce joiurnal - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1861_10_12_MRC.pdf · jinaV l’ouverture d’un crédit extraordinaire qui porinello de dunner imnié.di.itcmciil

ï l l

i f -

H a l t v e t t e H e n i i ë .I*R^U)E?ICB DE M. VaTI!(.

Jh mei'Cirdi 9 Oclüfrrc ! 8(>!. Josonl)>(;t£meiil Vigneron, âgô de ^ nus. liivxcrulu) ù

A.aikWfl X 4'AlTft tllilîuilItouillaticy, sans avoir ÿgard à l'àg-' des individus, a lra|>i>i. d 'une m anière b ru ta le le iiommè llerb in , âgé du 81 nus. 8OU8 le pré tex te le p lus futile. Il pré tend que le v'çillnvdé ta n t iv re e t voulant p o rter un fardeau trop pcsniil puiir CM r.ttvM «I crin à(re; é'iMt fa ls ^ to m b er su r utic iiemeses forces e t s d n a g e ;. . - .laissée s u r son passage; m ais tou t vient duinciilir cette n llteafiéh conihnivée, e t le véritable m otif de ectio con- ^ i l c b lirb a ié ne fait lipniienr ni à Vigiict'oti ni è r-eux qui l ‘«rioby|bilr <Qndâmuc Vigneroii en s u mois4 e p r iw n

— Geiievièvc-Armcuthc Vucîiot, âgée de 35 ans. demoii- ra id & Senlis. a volé A diverses rcpiiiM» du liugc et des oïtets d ’habillem ent au préjudice d 'u n m archand fr ip ier; elle a fini cgalém enl p a r y soustraire du nuincraii-e, se fiant s u r la confiance qu’on avait en elle dans celte m aison. U flIlë'Vifèfièl iféde pVésenlti pas â l'audience, m ais elle a fait an lérieurem eiil à la geiidarnierle les aveux les plus « om plels. sau f Celui dn vùl d ’argeiil; En effet. > argm it, osl iouitiurs do l'argeiil. w ln i do Pïe.rrc ressem ble A celui dp Pau l; m ais d u linge d o c o r |is , dçs clfels de toilcllp sont plus d ifllq les à déguiser, cl. d'alleiii-s, la m archande .don t la fille V a d ie l avait éveillé les soupçons en faisant dispa­ra ître diOérepIcs clefs de la m aison, s éluiU rciulii an loge- niçiil d e RA l’olcuRO, y avait Iroiivé cncoi-e en p.aqiiels n|ic grande partie des vols. U tribunal condamne Arnicuthe Varhel eu nu m ois do prison el aux frais.

X Mil' ■!.' '20 an», maniiiivi'lnr,': » life s . 'l« anli'fs refusarenl de fjiro M lle doinm do ; nn dd-curanl i\ M.llu, se Irnnrail le il senlenibro «u M b jre |.‘ Huile, «neilll des jéniinn» dedem enran! A M ollo. ............. • . , ,

ou une foule de jeunes gciis comme lui lerm innieiir la du sain t lundi. Un dos cam arades d'Etcvé ayant bu une bouleillo d e 'b iè ié , léiiict au cabare lic r iino pièôe d e dix francs pour qu 'il puisse se payer, et cela, tout en dehieq*/ ra iit A sa lable à canser avec ses .am is. Le cabaro ller d è ; 1 m am ie à est aux

qu i il doit la m oimule d e dix francs. Ëtpvé, q u i . aguets, répond uussUét : * C’est é tnot» *, * ' 11 ■

i’urgciil c l s’enniil. Il n 'éta it pas facile de découvrir I au*£ le u r d 'o n vol au^<l audacieux; cependant, ou g r o n p ^ toutes les circonstancié, on finît pur se rappeler qu entête avait d isparu tou t é coup du cabaret el n'avait pan reiiart). Ou d irigea les invesligatious à son adresse, et ce fu i pour* liiul avec as-sez de pcitie qu’il se décida A avouer quo , i* l« besoin, sans bu t e l mfime sans volontéTéelle, il avait re* pondu au c.iliarclier e l qu ’ii eu avait reçu l'argent destiné, n son cam arade; qu 'il avait profilé do la présence de le ; foule qui encom brait la salle des buveurs cl d e I embarr»»» dans lequel paraissait se tro u v er le vieillard, péu acqou^:

- > r .•■■'Il ..a Æin miir.ln Allai.*

' féiidi^ éJlnrlcftVénl coïriplë. Ce qiii i s l p lu à ' cVrffflfi. é '» l •que Vincent et Jab in rossèrent lo nom m é D run iaux ,qu i in 'est pnnriaiil piut lu i mOnic des p lus com m odes, c l souffie tèrcni médle la feinnio de ce d e rn ie r, p a rc e qu 'ils ne. par- laBcaieiil p a r le u r »viK. l.n trib u n al condam ne Vincent c l Jablii en chacun 10 francs d 'ainunde cl solidairem ent aux

'dépens. _____________________

lum é à fa ire ce lte ‘pour rend iv scévico A SA fine, maîtrtnwe du c ^ a te t ; tribunal condam ne ce Jeune hom m e en 30 jours do prison e t aux frais.

— I^ouis-Adolphc Vincenl, âgé de 20 ans . cl. G i|bcrl Ja- b in , âgé de 30 ans. se ironvalenl le 1" scpicm bi'c a lé lé r le dim anche nu cabare t â Senlis. avec divcm ca rrie rs . U chalo iir du vin e t de l'alcoOl leu r fit rcvchir à la pensée le u r travail quotidien, et, après en avoir çdusé loùs cri- sem ble el A là fois, oii lltill par s e d isp iilcr s u r Im prix : les uns dciuandaienl de raugm cnialion rtc p rix des jour-

F A S T S O I V E B S .— Dans une lo lire insérée au 5/épte, M. Fum onze,signa­

ta ire do ce tte le llre , e t q u i. d it-il. cro it ê tre bien infnriné, horle À 10 ou 12, le nom bre dcii m oils nclucllemcnl con­nues, parm i les vicllincs de rcffroyablc accident .arrivé au train de Daim nariin.■ Les a r ts cl l.i Fr.ince viennent de- faire une grandeperte . L 'ortislo célèbre auquel nous devons les belles poin­tu res du R usée im périal, de la Uibliuthèquc du Louvre, de Sàiiil'Sulpicë, de Sainl-Roch, les iiiagnillques grisailles de la Bourse, M. Abel de PuJol es t m orl â l'âge de 78 ans.

Ëiifanl du N ord, né â Valencienneç. sorti d e l'obsçniilé , Il lie d h i q u 'â liii-rnémc. â son laleiil, les disilriçtiniis dont Il à é té h d h o ré pendant sa longue e l Uiborictise c a rr itrc . Il é la d m em bre de l 'in s lllu l d e France éV officier db la Légion d 'honneur. ______

La m aison de M. CIRAUI-T, place de l’Hôlcl de ville, à Senlis. déjà bien connue pour les a r iic le sd e voyage eu tous gèiires. se rccom m aiidé lap l pour la bonne fabricnlioii que

pour tri m odicité de scs p rix , ninsl que dans les arlieles qu 'il y 0 Jo in t, tels que les paillassons en Joue pla.f el su r champ; Ira aioés, cocoa^ ap trte rie s , soies végétales, lapis*' brosses, nattes Indiennes c l ronds de salle à m anger.

Il y n aussi nii g rand choix de toiles eirécs pour meubles, esm licrs cL appartem cnts, dans loutes les dlmeusions. et loil s im perm éables pour lits de malades e t d enfants, éloffes caoutchouc, lalitte rj. tirtfeta»'»>wn»é, e t ce qui se fait en caoiiichoiic.

La tab le tterie on>e liné « i n a e variété en o l ^ s utiles et agréables, ainsi que dan s& s jey x de ja rd in e t de SMlélé.

L’iHiMfra/ie» eontiBul dan s son np^pé^o o c lo ^ ^ : Hcvue' politique dè la” Ré'iïi'ôine. — N aufrage du Greof-

Eatieni. — Courrlwrdfc w fag o i GoMrscs.de:.t|urcaux & Uilbao. — Service doWPMigHÇ ^au S ilq ç .n sy M ,^ ^ ^ Voyage de s ir Eifmund R room ley.ik .la.l'V Ç lièr^q^^e lasso é liié. — Mots et idées. — Bénédiction des fosses de la compagnie do Béllmnc. — Viaduc d|A ndel«l. -7 Chronique

- I20 lil.'musicale. — Salon d'Anvers. — Bibliographie. ■ tonte-abri. . . .

em c ü iw ; Naufrage du Cr«rt-J8«rfer».' vne iu lérieure.-^■ .. A Alll.fin ' \*AVAMaVue du navire. — G rande cavalcade à B ilbao.'— V oya^ .

. • - -I Sifié 'de s ir E dm nnd B roonilcj à la recherche d 'une lasM i (six gravures).— Vue d 'u n e fosse aux houillères. — Cm de for do Salins A Pon t.u irc r : viaduc d ’Andclot. — bains do m er â P aris, m u é inarifhnè p à r Bbn&ll (neuf gravures). — Nouvpllo ten te m ilitaire . — E ta t actuel du nouveau pont-de l'île Samt-LopiS; ^ .liéb ltS »

L e GvrÔHt rcitpoHsablif, 1

E x p é d i l t o n f r a n c d e p o r t j u s q u 'à d e s t i n a t i o n

OM Ï!

I V i i c i l I I I t a c , 5 5 ,

A p a i x P Î S B .

c l I I I C d e l ’ I J n i v c i s i l é , 2 5 , f a i i l » o i i i g S a i n t - G c r i n f l l n , à P a r i s .

l e n o m d u DETTÏT-SAINT-'

s f r a A o o , e t to u lo cx i)iéd ilton -au -de .ssu8 d e is o h fi’â d o s h c c ù r s a le n i d é r é n i ^ f t t a n t s ÀlNT.TfldMAg^^i c i r é î c è ’é s l ^ a l q à la dôjl^ificc

ol au m i^p ris p u b l ic s .

A i i i i o i i c c s J u d i c i a i r e s .

A ïIT. I " .F.iiidé dé M* Jui.ES TIIESIAY, avoué à Sciilis,

ru e d t t t 2ià lel , n* 21.

VENTE SUR LiG ITA tlO NKNTRU HAJËUU ET HINEL’llS,• Kn la Mairie do Baron,

E i par h miniHire de M* B e n o is t. nofuiVt; à Seuils, com mis à cri effet.

v i m o T - e r - u Y E i : p i k c k w

T É B B E E T B O Ï SSises an terro ir de R.vrox, canlnn ilo Nnn

ten il-lc-Ilatu lou in . .nrimidisseimmi de i'on- tis,.dcparlcm énl.do l’Oise,

Eââ x éM c t-cS -anQui pourroul êire r é m is fmrlivllemcHl m i eu

fofatHe.

L 'A d jiid ic a tio n a u r a H ou lo h im tiiic h e d i x iS o ve m b re 1 8 G I , h e u r e d e m id i.

V'n exécution d’un Jugem ent rendu contra- liiciôirém eut en tre tes parties c i-ap rès nom - iBécs p a r le T ribunal civil de prem ière in ­stance d e S en tis, le jeudi vingt-neuf août mil huit cen t soixante et n n , enregistré e t sipnitié

1! se ra , aux requête, poorsiiilo el ililigetioe lit-Kclix-lsidoro Bqufve, ouvrier

à Monl.'igny, d ’an tre rù lé è m adame de Mont- gnvon et i M. M ercier, d 'o n Iront b m adame

de M. I.aurent- . eliarcnlier, dem eurant à P aris, rue de l'Ecole pe M ^ c c iu e , n ” 9 0 .

<( A gissant au nom e t comme donata ire et 0 légataire de fett â l. Laureni-Kélix Bourvo.I» son p è r e , aux term es du deux actes passés u devant M* C liartier, notaire îi S en lis, les u neu f octobre mil hu it cent cin t|uantc-sepl » e t onze juillet mil huit cent cinqnante- » n eu f; »

Ayant pour avoué M* Ju les Tliem ry, d e - iiienntni à Sentis, rue du Châtel, n* 21 ;

Procède contre U G ussart, débitant de ta­b ac , d em e u ran tb P a ris , rue Sain t-Jacques, n « 5 8 ,

« Au n o m etco m m e adm inislratciir ad hoc H de ; 1* Louis-Isidurc Beufvc; 2 ”Glandinc- » Virginie Bcufve, Ions deux enfants m ineurs » issus du m ariage d 'cn ircM . Laurent-Félix » Isidore licnfve, sus-tiom m é, cl la dame » Virginie G ossart, son épouse , fonction li ». laquelle M. Gossart a été nommé par ju g c- M m.CDt de la cham bre du conseil du rribuna l » civil de la S eine, en dafe du vingl-quairo > ao û t mil huit cent soixante et u n , en re- H g is iré ; >»

• Ijfit ih incn rs Bcnfvc au nom et comme- B li^a là irc s du feu s ieu r i.aurcqt-Fclix Boufye. « ièu r âîciil p a te rn el, aux lcrïnçs.d ii tesfà- » m ent do ce. de rn ie r, reçit p ar C harticr. B n o ^ p e b ^ n U s , le onze juillGt mil linit ccnt » ciiiqurinle-neuf; »

Ayant pour avoué M* Chalmin. dem eurant ù Sunita, ru e S ain irllila ire , n" 10 ;

A la vente su r licilailon au plus oiTiMnt dern ier enchérisseur e t è l’extinction des feux, des immeubles d o n t la désignation suit

TiHTOjr â « iB aroii, canton (te ISanlttill-le- Uituifiouin, arr.ot^issemenl de Senlis, d ^ r t e tn m t de VOise.

R f^on , cl d’au tre bout h m adame P e tit. Sec­tion Ê, n® 500 ,

V eM K lèM e I « S .T ren te-tro is a re s seize centiares de terre,

d ’après les titres , et tren te -quatre ares onze ren tiaros, d ’apri»s m esurage, en tre le chemin d’ErinenonvilIc el celui de Montagny, tenant d 'un côté nord ri C adel-Bouviér, d 'au tre côte à matlarae de Moniguyon, «run bout d ’orienî ri la m êm e, cl d 'au tre boni ri rilélel-D ion de Baron. Section E , n” 520.

T r o iH iè m r liO t.Suixaiilc (jualre ares soixante centiares de

terre, ri p rendre en long du côté d u jn id i ilan» une pièce con tenant, il'après les tliroà, qiialre- vingt-duuzc ares trente et un ceniiarcs. et , d ’après m esurage, un hectare trois arcs soi­xan te-d ix-neuf centiares, ben «lit le H aut du ('.hcmin de Montagny. pour ten ir d 'm i côté ri m adame M ér.ird, d ’au tre cô te aux bois do m adaiiu' do Montguyon et au tres, d’nn bout orien t ri m adam e de M ontguyon, et d ’aiitre bout an chem in do Rarun ri .Montigny. .Section K, ir 2 3 8 .

q itm lrlÔ M »Vingt ares quaT C -vingl-six 'coniiaro.s do

terre , d ’après les titres, et vingt ares cinquante et un centiares, d ’ap iès m esurage, lieu dit la Queue R ichard, tenant d 'un côté orien t aux héritiers Lepcilelier, d ’au tre côté au re p ré - .sonlant L anrcns Durais, e t des deux bouts ri mpdame de Montguyon, Section E , u'* 197 .

C laG iiiièaup l< * t.■ T ren te el un ares cinqttanlc centiares de terre ol bois, ri p rendre en long au tnilicu d’uiic pièce c o n te n a til, d 'après les litres q u a irc 'tin g i-q u in z c ares soixautc-lrcizc ceii tiares, e t, d 'ap rès m esurage,jou hectare qua­torze ares iiuatrc centiares. Tiëu dit la Queue

p jx -h m l arcs quatre-vingts, c ërré, d 'ftprè» Im titres, e t vingt t

. centiares dete rre , d 'aprè» les titres, e i vingt arcs quatre- vingt-'cinq ce n tia res , d 'après m esurage, heu rfiliTa G arrnno du Cliemin d’Ermenonville, to-

• niinl d ’un côté d’o rieo l au diom in de Baron

dessous du Bols de Puiinval ou le Champ, de Saiut-M artin . icriànt d ’un côté nord aux héri­tiers Daveiny c l inailamc de Mopigiiyon, d’a u ­tre côté ri riiosp icê (lé Baron, d ’iin.bont. o rien t ri m adam e ilab la itt^e ric , e t d 'âu lrc bou t ri m adame Gib'erl. Scclion B. n*' 211.

tor%î ares iiuatrc R ic liard . pour ten ir d ’un côté d’urlcn t ri M. Renrve. de Baron, d ’autre côté ri m adam e M6- r a rd , d 'un bout nord aux terres de S,aint- G crm ain, et li’an irc bout ri P ierre liavy. S ec­tion E, n^SUT bis.

MlmlciHV l«ot-Vingt-six arcs soixante-sept cen tiares do

te rre , d ’après les litres, e t trente-deux ares d 'après m esurage, entre la sen te d 'E rival et le chemin do .Saint-Germ ain, tenant des deux côtés ri m .idaine de M ontguyon. d 'u n hnut orien t au chem in de S ain t-G erm ain , d 'au tre Iionl au repréâciilniit Laureiis Durais. Section E .n M 1 7 .\

S r p t i r D ie I,« t«T ren te six ares v ingt-quatre contiarcs de

te rre , d ’ap rès les titre», e t tren te et un ares soixante centiarcB. d’après m esurage, lieu ditta Glactè'ro la i''pMtaiqc <les.Mal,i(les. tenant d 'u n côté oritAit ri M. BeôtVe, de Baron, d ’an ­tre cAfé ri i’hôbhal Saint-LazaVo. de Sentis, d’iin bout n'oi^ audit hopiin) e t ri m adam e de Montguyon, et d ’àu tre bout aux héritiers V a- lin . Section B , n* 170.

M à M Iè m è ■<««.O ix .ttcq f ares 'quinze centiares de te r re ,

d’à p ^ les litres, e t dix-huit ares douze cen ­tia re s , g ’àprès m esurage, lieu d it la Remise de la S en te.dc Senlis, en tre cette sente e t le cjiem in. tpnant «Pun côté orient ri M. Billet, d ’au tre cô té ri M. C |iarm oluc, d 'un bout nord ri m adam è <(ê Montguyon. e t d’autre boiit ri m adatiie d e la Grassorio. Section G, n" 5 d 0 .

n fe iiv tè i 'n e 1 jo<.T rente a rcs soix.iiîtft-dix-sepl centiares de

lerro , d 'ap rès les titre.», e t trente ares d n - qiiante-.«cpt conliares, d ’ap iès mefinragc, au -

' IliKièiuç EiOX.Vingt et un àfcs vingt centiares de terre,

d ’après les titre s , cl vingt cl un ares h u it cen- tiare>. d 'ap rès ihçsbrage, lieu dit la Pointe, tenan t, d ’un cô té ,nord ri M. Blaclie. ira n irc côté ri M. Bartliémy, tl nn bout orien t aux dam es G ihert e t .d é la G rasscrie. et d ’au tre bout ;i M. P atria . S.'cllou B, n ’ oD l.

a iu K lr iu e I aiX- T ren te-six arcs vlngl-qiiatré conliares de

te rre , d ’après les titres, cl quarante-deux ares so ixante-tro is ce n tia res , d 'ap rès m esu ra g e , lieu d it la Droite de la Croix de la .Montagne, tenan t d 'u n côté nord-ouest au chem in de Baron ri la Mont.ignc. d ’a « lre c ô tc e t des deux bouts ri m adam e de Montguyon Section C,11° SG8 .

D o u K iè n se l ^ t .T ren te-six ares soixanlc-qiiinze centiare»

de terre , d ’après les litres , e t tren te -sep t ares neu f centiares.’ d ’après mcsursige. an m êm e lien, tenan t d ’un côté d ’orlcn l ;i rilô lid -D jeu do Baron, d 'au tre cô té ri m adanie do Bérnrd. ' d’un bout nord au cheinin d,o Baron a la Mon­tagne, el d’autre b o n i ri inadaqie de Moni­guyon. Section C, n*S 89 .

T r c U i è m e IrfiS.Vingt cl un ares qnalrc-v ing i-hu il ccnti.ires

de te rre , d ’après les l i tr e s , el v ingt-quatre ares deux centiares,, d’après m esu ra g e , an Buisson du Chem m Vieux, tenan t tl’un- côté orient ri m adam e de Môntguyon et aux h éri­tiers V atih. d ’a u tre côté ri m adam e de Moni­guyon, d ’un boni nord au cheniln V icnx^et d ’au tre bout ri M. P a ^ u ic r . Section D, n" A51.

Q u A te r z I è m e liO t.Treize arcs soixante-huit cen tiares de terre ,

d’nprès les litres , cl quatoizc arcs c inquaiitc- cinq cen tia res, d 'après mesiirrigc. lien d it la Ruelle N o tre -D a m e , derrière le Jard in du Bourrelier, ten a n t d 'un côté nord ri m adam e G ibcrt, d ’au tre côté ri M. Guihonrg. d ’nn bout orient ri M. C aron , e t d 'au tre bout ri l’hôpital do Senlis. Section B, n° 440.

Ç u in s i è m e I<ot.Treize ares soixantcdm il cen tiares de te rre ,

d 'après les titres , c l quatorze ares icen tc cen­tiares . d ’après mc.mr.'tgc. lien dit la Ruelle Notre-Dame, tenan t d’un côté nord ri M. Bcnrve je u n e , d e B aro n , d 'au tre côté ri M. L ab ie , d 'un bout o rien t a rilô tet-D ie ii de B aron , e t d ’au irc bout aUx’ héritiers F lam aiit. Section B, n* 419 .

ScIMèMe Vmt.' Vingt-dentTTtirfri vingirdetix ’centpares de

te rre , d’après les tilçes, et seize ares six cen­tiares, d ’après ibesnyàfic. aux Six A rpents du C hapitre, tenant d*lin cô té nord aux héritiers P a tr ia , d’au lre cô té l> i^atriri, d ’un bout orien t ri m adam e d e Ifonignÿon, d ’riuirc boni ri m adam e Redon. S c p ib n A , n* tô 4 .

V ingltqilatre arcs qiiatre-vingi-sidze cen ­tiares de pois, d’aprèà les litres, e t v ingt-sep t ares soixantè-six «m lîa res . d ’après mcsnr.vgc, lieu d it la Gorge f)p Grrinil-FrcsnOy, tenant d ’un côté occident e t d ’iin bout nord an bois d e Beaulicn, d’au ti^ côté an rcp résrn inn t de M. T urquc t, et d ’an iro boni ri m adame do Montguyon. sW tion' B, n° 70.

|U m «lhiiU fènii‘ I>oL Q uinze ares quatre ccniiare» de te rre , d’a -

p rè s les titres , et quatorze ares quatre -v ing l- quinze centiare.», d ’ap rès m esurage, a u -d e s su s du Rois de Piitinvril, tenajit d ’un côté orien t ri m adam e RçdoiL d ’a.htrc cô té ri l’hospice de B aron , d ’un boni nord ri M. Peigueau , d’ ânlrê bout ri iiiadamc d e Mbntgnvnn. Section B , n- 272 .

l l lx - n e x iv l è n i e I«o t.Vingt are» cinquante e t un centiares de

t e r r e , d’après les t i t r e s , c l d ix-sept ares so ixante-quinze centiares, d 'ap rès mcsur.'ige, ri la Chaussée du M arais, tenant d ’un côté nortl an m arais de m adam e de Montguyon, ira i i lrc côté ri l.t m êm e, d’nn bout orien t ri m adam e Ram û». el d ’an tre bout ri M. M ercier. Section D, n" 798..

T in s A iè n ie V ingt-cinq ;:res (ren te centiares de terre ,

d 'ap rès h s tiu e s , et vingt-cinq ares qnatiie- v ing t-sep t centiare.», d ’ap rès m esnrapc. ri la .Sfiiiin des A im es, tcnaiit d’un côté orien t ri

S* E t à H* BENOIST^ notaire AudU Sentis, dépositaire des t t t m de i^ro ffié ti et d u çâkiet dès charges.

F ait ç t rédigé par l’(tvoné. ponrsuiv'anl, soussigné. . *

A ^ t d l s , le douze octobro mil hu it cent so ix au teè t un.

S igné : J uli» TIIEMRY. E nregistré ri Senlis, le douze octobre 1861,

reçu un franc dix centim es, dixièm e compris.ÇigiiérGitÊGOiUE.

P our inseriioii :. S igoé:.jtilQ 8 TfiEiiRV.

•nadanic de Bérard et par Itaehe ri m adame de on . d ’au lre cô té ri m adam e Vigneron,M ontguyon. d ’au lre cô té ri m adam e Vigneron,

d 'u n b o u t nord ri l'h o sp ice 'd e Baron, d ’au tre bou t ri M. Mercier. Section F . n°* 526 e t 527 .

W iua;! tï t n n l è u i e c l d e r n i e r L o t .V ingtT trois a ie s v in g t-c in q ccnlinrcs de

te r r e , tl’aprè» les t itre s , et v ingt-tro is ares q u aran te centiare.», d ’ap iès m esurage, au che­m in de P ont, qui (ruvcrse. là pièce, tenant d ’nn côte nord ri m adam e i.ahlancherie. l’hos­pice de Baron et au tres , d ’au tre côté ri M. Lan- re n s d e VVaru. d ’un bout orien t ri m adame de M oniguyon. e t d ’au tre bout ri M. Chiesticn de Bcaum ini. Section G , n * 2 l5 .

ADJUDICATION l Æ I S S I S A

!/ad jud ica iion des im m eubles sus-désignés au ra lieu en vingt et un lot» qui pourront ê tre réun is partiellem èni ou en totalité , le ü iin a n - ehe d ix Novembre m il huit cent soixante el tm . heure de m id i, en la m airie dè Baron et p ar le m inistère de M* B en o is l, no taire ri S e n lis , com m is ri cet effet. su r les m ises ri prix su i­v an te s, fixées par le jugem ent sus-énoncé , savoir :P o u r le I " lo t , ri deux cent cinquante francs

c i ................................................................ 2 5 0 fr.P o u r te 2* lot, ri . . . .P our le 5* lot, ri . . . .P our le 4* lot, à . . . 'l*onr le b* lot, ri . . . •P our le 6* lot, ri . . . •P our le 7* lo t, ri . .. . .P our le 8* lot, ri . . . .i ’o u r le 9* lo t, ri-; ; ;—

449345190161)295.54523051 5s e o6504882902632452151501551.35

A r t . 2 .Elude du M* JuLBs THÉNRV, avoité à Senlis,

ru e du Q iàlel i n* 21.

V E N T 1 ESUR PliDLICÀTItj[8^J(tIJilÇUlfi^^

c o m p i l e de VauraoweEn la initi.soii com ^tti(e .île Vaumoisc.E l par le nm is tif 'e de T a s ^ a ii t , nofaire

à C ripg,

A USAGE D’AUBERGESise ri Vaumoisb,

Y v c e C o u r , J a i d l n , C lr c o n É ta i ic c a e*

F O N D S DE COM M ERCEH | a F e ^ n 4 V i n s 4 « L i q n e n r g

Exploité dans iailUie M aison.Avec les Achalandaÿa ei Clentèle

B u d é p e n t ^ :

s u S ISises aux tiy ro irs dndii VAttMo.isp.

e t de Rir.ssv ;K n S L O T fl

Qui pourront être réunis partiellement ou eu totalité,

I /a d i t i t l i c a l lo n a u r a l i e u le D lm n iic h c (roism o e m b i q d p ro jd l-

p o tt t lès 'rpiiieignem.çuts :/* A SB 'flHîjÛRY, qtta\té,, dem eurant i

Senlis, rue d u Cbùtel. tr* 9 / . frànrxuiùanf W veuteî

8» A M* TA SSA RT, nofflfVe d C rip ÿ , dépo­sitaire des (jffrù âè p rb p fü tè et d u iâ h i ir d h charges. '_______ .

Pour lu 10° lo t, ri.Pour le 1 1* lo t, ri.........................P our le 12* lot, ri..........................P o u r le 15* lo t, ri..........................P p b r le 14* lot, ri..........................P o u r le 15* lot, ri..........................P o u r le 16* lot, ri..........................P o u r le 17* lo t, ri..........................P o u r i o 14* lo t . ri........................P o n r le 10* lo t, ri..........................P o u r lo 20* lot. ri.............Et pour le 21* cl dernier lot, ri.

Total des m ises ri priif réunies. 6 ,6 0 5 fr.

S'adresser pour avoir des ren*e»^«e»te»»fs :/* À M* Ju i.e s TIIEMUV. auqtn', dcm cn-

ran t d Sen lis, ru e du Châtel, p our­su ivant la vente;

2" A M* fdlA LM lN . avoué, \ lm cu ra n t n Sen lis. rue S a in t-Ifila ire . n" tO •présent d la vente;

405

A r t . 3 .Etude de M* J. CODIN, avoué à Senlis (Oise).

Ve n t e s t iR t tn Ë tr jtX O NEKTIiC .aU R IIta ST ÜMIfiOllS..

P a r te M à n O r t <fa V V S a ïo in r . WIOIFC 4 .Venfù (O itt) . com m it d e ti effet,

i r u x E . K A i É W• AVEç isq)|ü, « '(Mlfs,

Situé ri P l,

( t i i t m r f d t

M ? , ? » '

» ij ÿ f1 ffoltgt

D E T E H K E t U O n E O USises aq teriilu iro dudit P u i l l t ,.

E n . q iM tlre qui pourront éfre réum i tn totàtité ou ea partu- l /n t l j i id ic n llo n a u r a H o u le DtnuiNoAd/rotf

N o v v m h re 1861 , h o u f e <lo tktidi,

Page 3: Ce joiurnal - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1861_10_12_MRC.pdf · jinaV l’ouverture d’un crédit extraordinaire qui porinello de dunner imnié.di.itcmciil

■ : "^ é ^ r f o u r avoir d u rm n g n v m ea t$ :

1 a tf» f iO B W .(* A n* 2 2 ;!?*i 11* . K K iR O iS , awm^ eo4ieU ant, d

J 4 W i r I 1» V y* l)E W I S T , n o tm n à S e n la , e h a n i h *i»l« ê ilio liliü r t H t l i i r a ei d u r a t e r

V - ________________-A n t . 4 .

gnde il» M- FhËMY. àvou» 4 S»"!'"- V E N T E

DEUX MAISONS■ C O U n e i J À « D I W ,

Si,!i B A iM S M O B rT nÉ B A is iO « g -r f i lu J j r( par te tmm iW re (le H I a t t b ,

notaire d Jtfouÿ.'.d jad ica lio " a u r a l i j u lo B iim m c te * iljl-s« l'< O c to b re 1 8 0 1 , l i c u r c ilc

^ td r e w r p o u r aoo irdet renseignenenU :(. j H- FnÉM Y , aea u i à S i i ilù (Oise).

^MÙrattl la e m ie ; - » K là S f P A T T E , n o u ire d Woiiy. d /p a -

du c a lù lf d a ch a rg a cl d a tdrcc de

r*PP^*' ' i - ■ '

1.CA CrAliwidra priluiin»» (1“ “i™ r MuiOcf»-

la id e q n im ajo o r» leu r eH uccordéA I cllelilo nrodoire k SE H É iA «« , «neieii clçrç d aroiuS,S e t e u r tu t A S enlis, sj-ndie do la faillue, leurs liirea do créance»' eioiilrc le sicu r Morlién., avec un O o tïrreao iitdicaiit sUr

En cD naéqom ce. il» «oui iiivilé» k ad p ré - scu ter d au T led il délai c l i s e iro u ïc r an plu» lard le lu n d i joaireA ooeraA ie proejm m , une

i'fteurede ruIlfW E./crt lA clianilire d a couaeil du Ir ib lid M u » S a illi» / au Palaifrdc-Jualicc , pour la vérillcalion e l l’adlim alion do leurs Créances, d c ï l i j lM . U s io a n î , juge, com m is-finifd» de • |. •

dfca' clétijl» iiju precés-vcrbal aura lieu im m é- d iatcm ën t. ,

ScnKa, le dix oclobre IHCI • ^ ,L e Greffier du Tribunal,

S igné : UouoiiBn. E ureais lré k ScUli», te o n io ooleluc 1861 ;

r e ç « & r à n é d i» c e u l im c » .d iÀ i te c ,r a

P our inserlion :: BouciiRn

A b ï 5 . .r,,Je» de M' P O S T E I-llU B O IS , avoue î.

Paris, rue Nel|VC-dc8-Caplicine», n 'I» ,( lie M 'B U D IS. no iaire ii-Précy-sur-Oisc.

Iv e n t e s u r é i u i t a t i o i sENTRÉ UAiEUBS ET MlftaiRB, _

Ka dIus offranl Cl d e rn ie r e n e h c r i i^ u r , fn riludé e t m <e uliniMére il» SP Bim in,

n o ta n t d l^ritÿ-eur.-O iU tK ii

» o d t e e r s t e P l è e c s ,

Siiaées sur le» le rr ilo irc sd » im É O ï-s™ -0 l9E .„ “ u do C re il, Cl Cnoo»-nArTnr.f,LB «aioodoN euU ls-eu-T bclle ,}rrondi,sem de Senlj8 ,déparleinoul do lO ise .

l i ' i d î t t d i ç B l i p n t i u W i v ' ^. O c /o b ro A S O l, l ïe u r o t lo - i i i id i .

S ’adrèuer p ^ ' r les renseignements ;/• A M* BUDilN. ' à P ré e y -su f-O ia ,

i im ila ire du cahter dé êharges; . .Ç A M« POSTRIe-DÜBplS, aoonif poursu i-

mnt a Paris, r u e jVeùve-des-Capuctnes, if:3* F i à W BOljCÜËrt,Aiwli(!prdt<fM (a/a

w té i rue Neuve.‘d e f-P rijl^-Ç h9”*P^^^^' _

A r t . 9 .Ç l r r ^ *es T r tfc n n ii l A a S c ti ll» (O ls r ) .

CLOTURE P E S yfeâiF IC A T IO M S .

dira: Crianciirs pristm lêi de la Sociélé llniv Tiiinn-Bisssr.. B au tk x cl C a o tib ij . enlre-

' preneurs de travaux de cueimn de fe r , a Naiiteuil^ïe-H audouinu

:,.8U8-nom m ée, siim p rïïc n iis qu ’un ijein icr d a m d e quiurc je n « : lc n r e s l a r a m te ^

l,e» Créanciers pr|^upid».dç la Sociélé,.i noininéc, soiil p ré ïcnus q u u n d e m ie s « d e q u in ic jo u rs leur e s l accorde a I cBcl --n fd y d ir ïb jtl.TlïnpIiAnY, InUÿ'CC.Il N anlciiil-le-llaiidoiiiii, s jiid ic de la fadU Ç, leur» litéc» de oréaoocs con irc ladilc SocicK,, a»çc undardciicnd i&iliraiit .

En cônsradcnéc , il» so n l niviVé» k «c pr»" sco lcr d a ^ c d i l délai c l k se trouver an plu» lard le ,Vomedi li ru / iVoremire nroçliom . uneA e u re d é iilio iie ,c n r»cbàiiibrc du m nscil dutribunal de S c u lis .a u Pal»i»-dÇ-Jusiicc, pour la ïé riaca llen e l l'aflirm alion de leurs créances, devant M. LAnncnT, juge, com m issaire de la füiHilc. . . .

i .a cldlure du procès* verbal aura Ucu im rae- d iatcm cnl.

Sentis, le dix oclobre l 8 o i , . ,L e Greffier du Trifumn/.

S igné : ItoucHER. Eorêgislré k Seplis, le oime oclobre 1861

reçu uh franc d is ccnliines, divienie com pris.S igné : G r é g o ir e .

P o u r insertion :^ h é ; BoucnER.

Ar t . i î *« r c I T r d n ’E rtl .M d » ! B ™ "» -

V t m r iO A T IO llB B t t b tM IC E S .

Avis4u.c Créanciers p t e “ >"d*

llicnl lîAuvKu, m a r d ^ ÿ de te»», deiiieii- ■ uui à U ilIrnu-S a m - M ' é 'P ' ' ' ' - .

Les Créaiiciors pcé»omék d “ siisiiomuié, déclaré en é la l de-failliic, seu l inviiés k se présen ter e n feiiilés ilii pouvoirs, daild V- jou r» , o iiire lc délai J e disfanCc,;! M. Mé i-a™ , ancien clerc d’avoué, dcm cnrunt a beu i», »s i -d iedénnilirde lafaH lile ,e ldeM rc™ »^^^^^tiircs dé créances accoiiipagod» f un liordorcau su r lin ,lu e in d ta l i fsi miéttx Tts i\^aim édl-btt t® •“ *

cffo du irtbiinnl de Scnfi».;- _La vériflcalibn dés »

devaiii M. b B lIv ri io ii , jdgô,«on»*P»*?*“ 5®î'®

dii tribunal de Senli», au Paiai8-de-Ju»lico, e t s e r a conliiiuée sans iu lerrupliun . ,

1,0» allirm aliou» sero n t reçues immcibale m ent.

S“ "li*’ l e ‘' i * o '> o l 'r c /™ ^ , . j , ,T , ,A „ „ „ , ,S igné iH o u c iitu i:'

E iirru is lré k Sehii», le onze oclobre 1H6I; lei'ii e u IVaiic dis ccnlime», disiçm c com pris.

S igné ; Gbègoirk -P our inserlion :

S igné : llo ECtiKn.

A r t . 15 .( a r q i r ç d u g é lf t l .n u l d e B eilH »,

V E m FlC A T IO M DE CBÉAHCES,

aiicicli clerc d’avoué, ileiiicuralil “ S '’" ''* y O rdonne le dépô t de la P . ' f

en la m aison d ’arrél de la ville de benlis.P our inscrIioM : „ •

L e Greffier (J« Tribunal,Signé ; BnccuRR»

Ar t . IG .CtrefTe d w d e S e n l i» .

DËCLABATIOH d e F A IU I T E ,B’uu jugcm cnl rénilii p ar le iribiinal d e .p r ^

m icre iiislaiicc séalil k Sonbs (Qise), bu»a^" rolUillons de tribunal de cpinincfce, le mardi hu it oc'iohre 1801.

A é lé cx lra il ce qui MiH : . .U tribunal déclare le sio.ur Casim ir ClUM-

RAGRR, m aîlrc d ’bôlel, demi*ür.anl li C rcil, en

*^^^Fi'xe prévisoifcm enl la cesnalion de scs naiém enls an s^pl oclobre 180! ;

Dispense de l’apposilion des scellés, dii q» il eera ?mmi!dialeaionl procédé k I ld,’ e " '» ''d de» meuble», n iarc ln iid ises, ulrc», registre» cl

' “ E m " M a A n n c iT. juge. h failliic el pour syndic d icelje M. MÉ.1.AN0 ,ancien clerc d’auoné b S cn b s;

O rdonne le dépôl de la personne lu failli ‘u h m aison d’a rrè l de la ville do Sen!i>.

P our insertion : « , • ,L e G reffier d u Tribunal,

S igné : BogcheR-

A A E d i U R E :P.ar ■ ujad lcatl*» »#U»l*lr**,

A Vi(leneuue~sur’ V e r b e n e .e n h n m o » d ifole.Ko Dimanche 2 9 Oclobre' 1861 , li.mldiv

Par le iiUnh(ri-e de M* B ero b t, notaire a iteiiim,n y u lo iU c AiVclé p m jr » r * |i i i r i» .

S'adresser audit M* «e.to ist, notaire. _

F Â B B 1 Q Ü &de Noël-Slainé-M drtla».

Situé» au môme lieu ,A V E i V D n i t :

PAR AWUniCATIOK VOLONtAIRB,Xe Dinianclie 20 Octobre 180 h d Mfi« heure.

E n l’une des salles de la Éaljrique,P(ir/cm/Mwtrred«S1»BE[foisietCAiniRRST BBRE/

ô Seulû . 1 On cnlrcTR en jottissaocod®*»*.®’ ^ »

S*adi w»er auarrfit* M" BE[to»T.c(iSiiWTE-HBKf >

Ar t . g .S r e i le d u 8 e i* « » (01»e)

D tC L A R A T IQ N DE FA IL L IT E ,D’uu iogCmenl rendu p a r le lr ib n n a l de p rc -

lu ite iis ta n e e séa n t k Senlis (Oise , la ira n t foDCilons de tribunal de com m erce, le vingt

. â É f f i H & i s a * '

(Irdoitkb q t ié î^ Æ ii l lk lè jo iil opposé» p a r- lonrÀll bésîlili SéroV slir l à tlieuMM. mkV-

A n t . ' 1 0 ,<2refT« d t t T r ib w n a l d e S e u i l» .

(oui «0 DMOni se ra , Mil iwochaiiilisiis, t i t r e s ; ( M g la r e s e t p a p ie rs i « 1 » ™ .

lo m iiie M. U é ii iB , m ite ije d e la f a i f t e , e t p o u r «{"‘ t c i l t e ^

aiiWîtR lélWi® d avoué, du^pepràlil. h a?n lis , « lac e d u T h é ilre ; .

Ôrtloilrté lu dépôt de la pe«on»l? ‘‘«ï la maison d’arrél d e là ti lle doSim lis.

P o u r inserlion : ,I L e Greffier du Tribunal,

S igné : B o u ch er.

CLOTURE DE S VfeBin C A T IO N S .

Avis.A iü Créoncter» préiiiml» du «teur Cléopba»

B iu w tt i i innrriioiiü aadtem'. e l m aiebaiidn i «ebw nblé»; dem eA ntem Creil.

E r 6 â n d e N 5 $ » 3 F ^ D bivert

p ro iH é ie t Stï MÉbAilKl f « [ « V te m if c ie u r s

- « S i i à l t l & k s o p r é -sen te r dans ledit dél»i,o| k se t ro u v e |a i i pbi»la id le Eeudredi p m ine l» (! |'™ !-VA*A 1 , , . , j . umra.lm d»li-,MUrn4lM cansci

Avisd ujc Créanciers présumés d a sieur F rançois-

Joacpb PcuTliV i ineùn ter, dem eurant a Ognon, fa illi . - .I,e» G réàüciers p fé s d m a dff steuc Feu^^^

sustiom m é, déclare eu dlut de f‘« i" iie ,.« o » lin - vilés k » ë p résen ter ed persopoe ça par fou- dés d e im u to irs , d an s te délai de vingt jon rs. ou tre le délai de distance , h M.Clerçid’avoué, ilem euranik Sentis, svndic d é li. iiitif (lè la faillite, e t de lu i rem ettre leur» titras de créance» aecompagué» d un bordereau »iir lim bre ind icatif des u 'm ieux ils ii’almCnt en faire le dépôt ou gretti. du iribunal de S en lis. .

La vérillcatioa des créances commencera devant M. L b e in n , joge-soppléaiit, coinini»- sa ire de la faillite, le F w d rrd i wiigl-deiec ^ i^ - ecnitirc prucbaia. u ru t e i r » (te cbam lirc du conseil du twbunal de Sentis, au ra la is -d e - lu s tic e , c i sera conlm uce sans

'''*l.cs*'alvîrmatious seron t reçue» irauicdiate-

' " t : . l i » , l e d i x o o t o b r o ^ l ,

■ “’ n T : Bougrer .E nregistré h Senlis, lepnifè o d é b re 1881 ;

r e ç n u n t r a n e d i x c e u t i n ^ t e i t e e c o n ^ ^ ^ ^

P o u r insertion :S igné .;B otic»E R .

àSj i t . 1 7 .C ire ffe ûm y r i b i i n a t <le

D E C L A R A tlO H DE F A IL L IT E ,D’un jiigemeiit rendu par le t r^ u n a l (le.Pce-

m iéré iiislaiico séant h S.'lllis (Oise), lat»a"lfoiiclioiis de tribnual da cunim crcc, le m aïui huit octobre 1831,

A été es ln a iice q u i su it : . . . •• l .e tribunal d é d ire le s ie u r Louis-A iilo ine HolI-Oc aillé, tanneur e l co rrosciir, dcm éii- r a n t k P o n t-S a iiU o -S o x c u c e , eu é ta l de ra illu c ,

F ixe previsoirom ciit la cessation de ses paiem ents au d ix-scpl septem bre 188 ;' ils» t’aniio&llion des scelle

A ««c C »uPp J n r d i u ®1 »«»<«« B A llm e n »Sise h la C hapelle-en-Serval,

c l 5 h c e l a r e s O O f t r < * s 7 0 '« c « l .

DE TERRE, PBÉ ET BOISSis terro irs de la Cliajmilo-en Serval, O r r ï -

la-V ille e t rb iila rm é ,A V R I W D R R

P.VR AlUliniCATIOS VOLOXTAIRB,fin la maison d'école de la ôliapelle-ensferval,^

Le Dininnclie 27 Octobre 1831 , à midi./>aj’ le ministère de M' Bkxoist, notaire a Sentis.

Jouissance loiil de suite .FdciUlés pour le paiem ent.

S'iidrcsscr audit J>t° R rxoist. iiôtaire.

qn’dés ----------- .

*' n Ô E m “o e> w ™ o s,la faillite, et pour syndic d icelle M. MtcASU, ancien clerc d’.avoué, ( en ie iiran l a ben lis .

Ordonne le dépôt de la pcraoniic du failli (I d’a r ré l de la ville de Sem is.en la maison

P our inserlion . „ ,L e Greffier du Tribiinal,

Signé : Bou ch er-

4 i i n < H i c e s D i v e r s e s .

Elude de >1- FILI.IO N , com m issaire-priseur il Glermont (Oise).

V E N T EAux c»cli*re*

Ar t . 7 .Ç rafT e d u T » ibuuW tl d e 8 c u « » («lA®)'

AvisA lla ; Créanciersprisumés d a ù eu r

dré-N apoleoji D si-ons, /ak riran l de fleurs arlipcieiks. dem u ir a M d Çrip g . l a s C réanciers présum és du «ient:

(lécl-jré en é ta t de failbte p ar l u f ^ é » 1 ^ banal de prem ière m stanco séa n t k beulis (Oise), liiisaut fitiictiouk de 0 ‘*’UWl ‘dÇ enip- meri-e, eu date do vfilgl-SÇpt août 181)1, Mi-

invités k se ' ' t e v e t le F e ite e d i Auil ■ N o m M e prot1ihil\,»nc (teMif de releviç. eu la ehiirobré du conseil dodit tribooo), s j ^ u t a - Ikh d e Jq stiec de ladite ville, m e rtS, iMiif t doAitef léd t avi» ta n t su r la coni- positm u de l ’é ià l de» créanciers que so r laSom ipation d ’o n o o d e pInsieWS s ï f d 't ? " -

’ iiitifs de la fa il l i te , en okécotion do la r tie lo 4 6 2 du code d e com m eV ce.^

S ë n l» , lé dix octobre 1861 .Polir le luge, iom m ispsire de la failUta,

. .Le P r é s id é ditJtrifatm ,Signé : Va t w .

EoregU lré à SenUa. te o n w octobre 1861; veço ou fm n ed ix oen .ii^« jd .» ;4m ^^^^^^^

P our insertion :S igné : Bouchrr .

créance», uc».ni» »“ • « “ • com m issaire de la (aillitc. . . . x

La clô ture du procès-verbal aura lieu immé- d iaiem éni.

Senlis. te dix octobre 1861. , „ ,* L e G rerfler d u T ribuna l,

Signé : Bou ciibr .Enregistré k SciiHs, lu onze (Ktobro 1881 ;

reçu nii r .-« e 'èm iines,.

Pour insertion :S igné : Bouchkr.

,;;A nT - r i .■ C lr r l f e « s . W t o n a p l d e S enli» .-;

CLOTURE DES V tB IFICA TlO H S.

AvisA ux; Créanciers préam és d tt sieur Jacques-

,\d o |p lie IlESOi, ancienmaréfiand de pairs. (ié/ilaiirant d’ B oran.t e s (iréaiiciers présolfiés du s ieu r Deuel,

su s -n o iu n ié , son t priveiios qu un dern ier .1.11. : ne inze lours leur e s t accorde a I elfet

M eubles en acajou, noyer, cliéne, m arque terie , palissaudre cl buis de rose. Argenterie, biioox plaqué. G laces, neiii^iilcs, lableaiix, aueicuues g ravures c l m edilillers dans leurs S e " (lorés, estam pes. Goucliers, rideaux,liuge l>orcclaiiie,cri8taiix .li.m iicclnnuiliieusebattciie do cuisine eu cuivre e t eu fer blanc. A rbustes, lieiirs. U ne bibliotlieque eomposim de 800 volumes bien relies, ouviMges de p in c ,iIp lUtéi'jliire, d’b islo irc, e tc ., e tc ., clc.Après te dçeé» de M"’,

vropriêlaire a U erm ont (UimJ.E u sa uiarsou, sise k C i-E R M O M , place de

n iô lc l-d e -V ilte , n « p _

S i r d I i(S O .» I.rc IM O I,M l.» n .« .l-» » », , | l , » I l e » , * • 1 n ™ " ' . 0 ” ■»■ •("•

P a rle m in is lé r e d ,l l -m U O iy .c a m i iw s ii i r e -priseur à Cteriiioiil (Oise).

Etude de M- GRAUX, iio talrêA Acy/

A v e n d r e a Ba’A M i ' Â B E E ,

G R & B D G o é s D E F E R P■ e t se® O é p e » d * * iv e ês»

S itué k BetZi derrière l’Eglise,

2” P I AUTRE PETITE F18ESise è Iteiz. n ie des Jard in s ,

3 “ UNE

BELLE H M BOURGEOISES ise h B ctz, rô e de Crépÿ,

A" l'ne antre MAISOPiSituée aussi à B elx, rue des Jard ins;M env iron «1 H E C T A R E SP B ' ï S ï l ï l B W ? S O I S

Siiucs su r le ic rro ir de Be'.z, en très-bon • état de culture.

On vendrait la grande ferme el les terres en­semble nu séparémeul au gré des amaleiirs.

O n assurerait à Tarquéreur des terres im re­venu de 3 1j2 pour OjO. . , r '

Bftii est il 10 kilom èl. de la flaiion de Crepy c l il 11 de celle de Naiilouil.

S'adresser G iuux, notaire.

s n r è z ^ i r i r ^ S E x p o s i t ie : ; : î : iM r^ ^i- ._ »:■*«<; <ii> firnsnCcs c o n tre te s ie u r I nAiF.AiF.Nr a u r a i .ibu i. in s t .vnf

Même é lu de.

J O li lF a

B M SO l! B E ---- - -Cff J A n O M l V S ®M«wJrr>

A V E M R R E A E ’A M IA B E E ,l»our en tre r en jouissauce to u t de su ite ,

Celle maison de cam pagne, bàlie cn lro pe­louse planléc Cl ja rd in , s i lu ^ à Acy. su r la roule déparlem enlale, à t8 k ilo m è :rcs du cbc- miii de fer de S irabourg , et k 12 kilomeircs du cbemiii de fe r de P aris ii Soissons.

Vaeqiiéreur pourra a u u i joindre à cette ae^ quisUion 46 ares 15 CcnHares de terre el bms. situés terroir d ’A cy.

Facilités p o u r le pa[einent. S'adresser pour traiter, audit M* G baux.

A r t . 1 1 .(G reffe à a T r i b i i » » * S eu l» * .

CLOTURE D ES V tB IF lC A T lO W S.

AvisA ux Créoncicr» présumés d u sieur l;alo;iac '

LanfitÉn , èouiuiiger, demeuraiil à Font S a m îé - M g x e m ^

Ao t . 8 ,a z» » n ‘» ' J u . ^ r t A m i . t d e g e n l t . ( O lw ) ,

C L O TU RE DES V tB IÈ I tA T IO M S .

AvisA u x O véam ere présum is d u sieur C liarlcs-A «-

guS tt MoRiè^ERÇ» ôrowtM*, dem eurant a Creilé^sttr-Ùise.

Les Créancier^ pirésumiis du slcv r Largier, sns-nom m éi sont prévciins qo " " * j 'lai de àttibfcteittotà leu r es t accordé k 11 «et tlo

prodoini.kM ,.M Sl;‘ » » ' “ “ ' ' f . S u e” 't° m ù üikmenranl b Seoli», syndic de la fauiite.

nnbord«< î»o indicatif »pr tim bre, ^En cooaéqqépcé, ils son t invité» k se p ré ­

sen ter d ü tisfo litS é Fendreili ,o .n z s N m eudire nrockaio iroi'i k» u r« de relecée, en la cbam breSo conseil do S n a ï de Senlis, au P a la is-d e -J iis tic^ pour la véritleaiiô» W l’oBIrmaUen de leurs S c è s , devant H . LÉPilte, juge-snppleaiit,

“ ^ S ^ t p Æ S ^ r b a l a u r a l i e o i u m i é -

dlaicm eni-Senlis, le dix

Signé : Uoeciltîn. Enregistré k SonVls, le onze octobre 1801;

.reçu on franc dix ecntintes,

P eu r insertion :Signé ; IlouciiB U .

dem eu ran t a oenii», i m. - t .lile , leu rs litres de 'f ir *"[.B cnel. avec on bordereau indicatit soi

E n conséquence , ils sont invités a Se p ré­sen te r dons ledit défai et k se trouver an plu»tardleV cniIrtdioiiigl-iiiiii/A oM iiièrcjiroc/iaiii,

m it heure de relevée, en la Jdo iribunal d e S en lis, iioiir la vcriQcalion e t l’aniiiiialioii d e leur» iréa n ce s , devant M. l-f.Pi»s, juge-siipp lea iit, com m issaire d e U failliic. i- .

La clôture du probès-vcrbal aura beu im - m édialom ent. '

Senlis, te dix octobre I w i , « •/ i’ l e Greffier du Ti-ibunal.Sigéé : Boughkr.

■ Enregistré k Senlis, le onze oclobrcA 86l ;( O O i i m '^ a i i c d i x e e n t i u ^ ^ x i t e e ^ p r i s .

P our in se rtio n ;

Ile lU Iie iiru s . «m m.»»....... - ' „ ,A „ -1.C l-AiF.MF.nr *un x i ico ' i. ixsx.vnr mFm e .

Nota Les livres, tableaux, gravures et inc- daillers seron t vendus le llim aiicbe t u oc ubre

Les m eubles do. salon cl des cbamtm-s , coocbcr, la literie et lu tiu se , seront vendus le Lundi U octob re . ,

L’argenterie , les bijuiiv. le jdaipie, t. b n s tc sc lle s Beiirs, seront vemliis le m ardi l.i oc tob re .

JV ,T . '15^ ^ . . .Ctnlfe ni» trrlISii»»’ ■»»«■•

D Ê éL À iR T lO K - DE FA IL L IT ED’un iiigem ent rend» ao tribunal de pre--

m i è r r i n S e e séant k SenlislO ise) faisantfo nd ions d e triboirSI de côinroerce, le mardi h o il octobre 1861,

r c * ^ 'lr ib u n a rd 'y re te aicnr Joseph Dh er- v i i tY , " L c b a m l de draps laillcér, dem eurant h Senlis en ét.il de fadlite.; ,

l-’ixo provisoircm onl te naicm cnts au buil oclobre l o O i , ,

DiSuonse de l’apposlthin de» soellé», dit qu ils c r ü jJodtédiatem cnt prticéllék l’inventaire des m eubles, roaicbandilé», titres , registres et pa-

''"N om m e'M .’ LAMOEtiJ, J W ' ' . r , ' ; ™ ’ *,'- ' de là fa illite , el pour syndic d icelloM. « ( . i .a x u ,

A V B d .V D R K

m T R È S \ M I M V M d i \ R , \ R E7 ans, 1 iiiètrc 5 5 c „ g ris poinni.de,

Hr inanSKU» et y adresser a «■ D U * «■

E lude do M' VA SSELI.E, no taire ii (■.leriiioul (Oise).

A V E X n i i E i»»!* A r t j u d îe a t îo n ,A J>.BfinflioM d f i feitsC.

1.0 Jeudi ô l O c lo lçe 1861.\ VNK

BELLE & ?iSTE lA lSO nSituée k G te ™ é n i r S iS r p la “ de }’î>d'e '; d '-

Ville, 2 8 . faisant face a la p lacodu Maicbc.

■ “ n r v i S i m E

UNE CHARRETTEE - r UN TOaiBEUEAU

Ikit b b i l .S 'ad resser k l i . k l ssos, régisseur au cliu-

leau de Uorou3 l l e e l a r n s 5 » A r c s à O C c n l -

d e t e r r eAux terro irs de Villeiicuvc et d Ivdlors,

I

.•g l l c c l a r c s V C A r e s T » C e n l .

m i T F K K I ' dSur les lerro irs de Brégy c l Fossem arliii,

A V E X D B EP a r iidjiulicaliou voUmlaire, ,

U lyhm nclie 3 A n r m b r e 1HG1, à midi.En la maison dVcolc *lc Brégy.

P ar le m ii th lè r c d e GuKVS. no ta-rc u Acn. KacUilés po u r te paiem ent.

S ’iid ressiT aud it M' G ra c x , iiofiû'*'- __ ^

A V E M D R EP a r adJwUlt-nBloD v o lo n ta ire .

En la miiisuH d ’école d ’Klavigiiy,Pur le m h i'S tèrc d e M' C r.vux, no ta ire « f e u .

En présence d e M ' llossioxoi., va la irc a ta f- \r tén o u s-Jo iia rre ,

1 e D im anche 27 Oclobre 1861, à nmli,

4 PIÈGES DE TERRESituées terro ir d’Etavigny.

Ccs-biell» .appa.itleuiieiit il l'bôpilat de la p 'ertc-so iis-Jeoarre .

S 'a d resse r p e u r Ions rciiseujnetlteiils, a u Rece- ecu r d iid it t lo p ila l: , ■

E i a iix ilils SI" CUAOX cl Ressir.xnc, iioluiic».

E tude de SI- TASSAIIT, n otaire k Crépy.

A V tîN D K E p a r Adjiiillws»i«n-A M orieiim l. en la Maislm coitiinunc.

Le DimancKe ÏO O ctebre fS O I, k 2 lienrcs. Par h m ia isure da J P T a s s a u t , iiolaire a Crep'j,

5 -1 P l é C E I S

DE TERRE, PRÈ ET BOISSi!uéi‘R Bur les lerro irs de Moricnv.il cl

E rcsnoy-la-R ivière,Con1® H H «i S |le « « n rF fi® 0

J ellissa n ce de s u ite . F ,ac ilitésp n u r!ejraeracn l.^ id tiv s sc rp o iir la ils rr iise iijiir iiia iisa S I’T sS iS tir .

Page 4: Ce joiurnal - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1861_10_12_MRC.pdf · jinaV l’ouverture d’un crédit extraordinaire qui porinello de dunner imnié.di.itcmciil

■w

I

I

A v ^ i i s a s_ PAR ADJUniOATIOX VOI.OXTA'lnr,

h u I cliuloct !»(?/• /fî »M»nw/<Vfl </o M' 'J 'assart, iiofaire a Créjii/, ’

I.C D in iau rliu 2 7 O oloU n; 1 8 0 1 . à iitid i

20 PIÈCES DE TERREB O I S e t d A K O lI V

S<iliioes s r ir les lo r r l io irc s d e L d i ia iie n , f io ii- ^ d r o ï i l l c , O n n o y - le D av icn e i C rdnv

a U eM arra C l a rea 0 4 r

E T 4 M A IS O N S iS ise s à W p y oi ('.om lrevilli*.

Jm iissn ijco d e siiilp .F a c ili té s p o u r - le im iem eiil.

i i 'în t 'c tw iij i ic m e iils , iiiidilN* TarsaB t, uoiaire.

A V E n i D U E pai* A t l j u t ü e a l io n ,Par te minf<(er0 do M 'T a s sa h t , notaire olCrcpy,

A Vauii)ois(‘, en ta iiiaisou comiiHina,Le D im a n c h es Nooembree i S ÿ i . à S h e n n s

2 MARCHÉS DE TERRESitii.is su r le lerrilo ire de nussv -néu io iil

« '• la e u M ii l S I le r lH rrM OO e.Jo iiissiiiu 'o (le s iiile . *

Il sera act-ordé des i'iiciUléspiuii' paver &*udi<îi«rrtHd(VM‘ TASSAnT,no((»/(?, ’

\ % E i\8 > K E |» a r ailjii(lâ(UA<Soii,ü n 4>ro» c« «b D rloil.

■ En la salle d 'écolu de Murieiival Pm- k miiiM èrc ,1e M- T .s s jh t , m ieh e d C irm

U Uiinairclij 2 0 Oclobre lO O l, ii ji,i,li, a l l r c l a r r s Ï O A r e s 8 5 C e u l .

, TK M IÎEE u 3 iiièccà au terro ir de M oririival,

Oii e n tre ra en jouissance de suite o ra n d es lacilliês im ur le paienienl du prix.A r t d ^ c r auilii M’ ï a s s a r t , uoluirp.

KludedcM ' HE MAY.m ilaireâ IV>iH-Sle-Ma\eiic..

a RBc<*iarei» « S A r c s € c sj< .

T J g B B Blîn /5 Pièces,

s : « s au lu m io ira de l’u iil-Saiu ie-S la \oucc A V S 5 A B S 5 H

, •*"*■ «ja«üîej»ilon toloM iuirr.t n I eflidc cl par h iiuni.itrre de M' d e M w

uutiUrc (I Poul-S,iiiitL'-3I(t.raicc. ' ’ Diinaiiclie 17 Nov.snlirc IS 'î I . ii midi

iS”üdj ej#er aiulit M* dk Mav. nohûrc. '

Même élinlo.

!8 P l ic c r i l l i ÎÊiiliHSituées aux te n n irs d ^ n in e i is c , Caiictiov,

S acy-lc -l'e iit. ('.rami-IVesmiv et llaii'ciil- le Soc,

Ai 'a r adjudication Aoluntairc,

Le Üanaueiie 27 Ocloluo 18UI. à midi. Par lem in is ln c de M'iu: JI av, iioéuVt’ à Pevf,

Cl e n so u é lu d e .S'adresser audit Jp de ü av , notaire.

MAISON ET DÉPÏKDlBCËr« l 4 P i è c e s d e T E K H E

Situées au terro ir de llnllv,A V E N D R E

l 'a r adjudication volontaire. h n ta salle 'de la M airie Je Pully

l.e Diinanchi; 20 O ctobre 1801. h midi P arle m inisliTedo M '.de Mav. notaire à Pont

« le . l O l i e c t a e e s d e T e i ’r eSis aux terro irs de L agfiy-lc-Scc cl

le PIcssis-Delloviile.S ’adresser audit M' Bicox, m faire.

9 H e c t a r e s A r c s 8 3 C e n t.

DE TERRES ET BOISS T B A T I k C a i X ?

Sis îi Neuill||'>eii-Tliel e t te rro irs dudit lieu, Ercuts et liny -Saiiit-G eorces.

PAR AIMUIIICATIO.X VOLUNTAIHK,Par le ministère de M' Grkxcb. notaire i Chambly

En la salle de la m airie düN euilly-en-T hel, Le Dimanche 20 Octobre 4 8 6 1, d «ne Aenre.

Siu-cté pour acquérir. Facilités pour paieuiciil S adresser audit M* tÎRAKcé, notaire.

E lu d e d e M* ROUSSEAU, n o ta ire à fttullo.

CBAHIE FHOPBÆTfA v e c C o u rts d * E c a i i *

Sise au liarncau do .Martinconrt, com m une de Mello,

A V E N D U E P A U A D JU D IC A T IO N ,K n iT la s^ r » u l o L o Ib ,

Le Dimancbe 27 Octobre I8 C I. 2 licurcs, A M ariincouri, en la propriété.

P arle ministère de M* Rousseau, notaire à Mello.Cette propriétélé contenant 3 lieclaros 05 c .,

par son cours d ’eau cl sa position à une lieure t ,2 de l>aris. peut eonvc lir à toute industrie.

Jouissance de suite.Sûreté pour acipiérii-. Facilités pour payer.S rtt/m.vrr audtl M' Rousseau, notaire.

Elude de M' E. LACÜUR. notaire û .Nantcuil- le*IR»idoimi ^ i s e ) .

H « rla i* P 8 3 0 Â7*c!« 3 5 C cntf.

D E t e r r e e t b o i sSitues à Nünlenil-li*-Haudouln, lie'u dit le

P iém ont.A % E \» e i i - :

PAU A D JU niO M lO .N V O I.O M A IU E , kbB m n s s c o u e u < 8 lu i» .

Le Diinaucln: 20 U eiohre 18Ci, à midi.Un l'ctiidc rl jMrJe m inistéredc M'I.Acoi’n,

notaire a JSautciiildc'llaudouin,Entrée en jimissance de suite.

■4 V E A B B E A ï / A S M A B I . E .fo C il l lè «>n a è |> a r è n i r n t .

Parte m inislérè de M* II. S allk , commissaire

L e L iin d i-14 O cio liro I S t l I . h m id i, C o n s ls la n i e n : u s te n s ile s d e c u is in e e t de

m é n a g e , v a isse lle , la m p e s ,g a rn i tu re s d e fo y e r, f o u rn e a u , l a b lo 'd e c u is in e , m e u b le s . In ils lt b rû le r , b o u te il le s v id es , e t a u in 's o b jé is .

A * C *«M p|B Bl, V ra la •v d ia n lr cM ,

Avec petit parc, pièces d ’eau , etc ,

D E U X C O R P S D E F E R l i l EjMco circotisiunces et dependanci'.s,

•i < 5 5 k o r S a r c s o iiv âaM B it d o T e r r o y I l * r r <*t R «m «.I Le tout .«;itn:; coaimiin-i et terro ir «le Droizi-jles- i \i-isii5Ji.v. il lrê.s peu de «lislaiice de i\an-

leiiil. slulion du cbeniin de ter do Paris :i .Soissoiis.S ’adresser à M' LACOun. notaire.________

Ltudc de.M* GRLSOX niitaii-cû Réthisy-S-Pierrc.% T K x i i i i r :

P n r .tnjBtlicalioii «l«'ntiltt,c.-1 .Sanilines, en la maison d'érole.

l.e Dimanclie 2(1 O ctobre I8 ( il . à niidi Par le ministère de .'p Giuso.v, notaire a Uèthisii.

Saint-Pieire,

17 PIÈCES ÜE TEBIIË ET PIIËt'oiileiiBnl 9 lirelareB Cf iil.S iinéesierrilo iresdeS ain t-Sauvenret Verbeiio.

(îi iindes facilités pour le paiement du prix .S adresser audit M' Ginso.x, notaire.

Ktiide do M* *|)ELAFOLIE, lin lssicr 'p rise iir b Nairtbuil-Ic-H aiidouio (Oise).

B E A U M O B I L I E RA V Ë N I]D )R E aiixL e n c h è r e s ,

A n O M llB U n S M ,E n ta sotte de tfan rsdeM . CiiARPF.NTiRn,

Le D iniaucho Octobre 1801 ,b m idi, et jou rs «n ivants, s ’il y a lien.

Par to m ikisière dudit M* D clafolie.~ (D cM srm vflcm *

.U sllQ ric dp <^!slnc, g.irnltnres do ftivcr, d’aisselle, pol&ritf, porfeclames,cristaux ;inliles,

cliaises, f.iulouiI«, glaces, tableaux, horloges; h istoire de Napoléon !• ', en 4 volumes ; crando quantité de m atelas, lits de plum es, oreillers, travei-sins et couvertures c a laine e t coton, un sonim ier élastique, lits de fer, lits do sangles, trois conchelics. une table do nuit b volets et une table de toilette, en novcr, nu secrétaire aussi en noyer à dessus de in a rb re ; ou tils «le ja.-dinage, fléau et beaucîoup d’antres ob jets.

A u * C 'o B d Iito B » o n l i a a l r c » .

Llude de SI* DKL.AITRE. huissier ù Retz.

EX VERTU n’üMB OnnOXNAXtîE ,P a r suite de cessation de 6’oinw erw ,

Mâ RCHâHDKES H£U?£SA BoMilinnej, vantoii de Bêlas,

.'lndonnci7rrf«iMM. H o u t i l lo t et O*. bourre- tiers et fabricants Je smnimVrs.

L" Dimanche 2'.) Octobre 18ÜI. à midi précis l'ar le ini««ÿ/tre dudit M' D e u itd r , huissier. ' Celte vente consistera notam m ent en : col­

liers. selles «le çhoval, bri«Ios n e n v e s /â S so m - niier.s élastiqui‘9. m atelas et nnejg randejquan- lité d ’au tres objets concernant la bourrelerie et sellerie .

A il C o m p ta R l . l- 'r a t* o r a i i i n i r e * .

Il fa it au s s i la v cn lo d o to u te s le s fu iirn i- tim>& n é c e s sa ire s p o u r les c o n s tru c t io n s u c n - v o s. e t co lles ex ig é e s p o u r le s r é jia ra tio n s . i l t ie n t le s m a rb iv s do c h e m in é e s , ch ftss is

•I r id e a u x e t fa ïe n c e p o u r d e v a n lu ro s d o c h e - in tn é e s d o to u te s d im e n s io n s .

1^ tout à des prix tris-modérés.

M * B l i D i n r , n u i R l r e j» B r é c j r - a n r - B l v e , 4 e a u i a 4 e

U N 2’ C L E R C .On «lemantlc

ÜH APPRENTI OÜINCAILIIERS 'a iln -s so r îi M , F O U ü E B t , h S e ii l is .

I U A I K O . \TEU ES, PBÉS EE BOIS

S itu é s a u te r ro ir d e V e rn e n il- s n r .O is e ,

A V E A D R E giap A d j u d îe a l io n ,L h la salle de ta M airie (le yeriu-iiil

i.e Dimanche 20 (Jeiolirc 1801, ù midi P a ije minislérc de M' de 31av, ««»/,;„•<? d Pont

S adresser audit M' de Mav, uoiairo.

1<5 l* lè c c s olo

TIEEE. E Ei. BOIS I V IO lSituées aux torriioires de Divocoiirt et

l.ongneil-Sainte-M aiiû.A V ^ D R E P A n a d j u d i c a t i o n

Le u m a n c lie 3 JS'ovembre 4SGf, à m idi,Lii la saliti do la mairie de V erberie.

f o r Iç iiu im itrc ,h M- df. Mav, noloir» ,1 />«„,S adresser audit M* dp. Mav, notaire.

h tu d e de M'BIGOT, notaire a u Flessis-Reilcville

3 H e « É a r c s O I Ai»<*« 4 3 C v n i .

D i : T E R R E SSitués an s terro irs «le S lly-lo-Lnng, Nanlenil

et IMcssis-Bejleville.A E O U E R |>ap a i l j u t l i c a é io n .

_ U MABRK KT KM BKTAII.,U Dinmnche 45 Octobre 4864. à une heure

A Silly-le-f^ojig, en la salle d ’école.Par le ministère de M' B ico t, iiolaïre nu

Ptcssis'iielteville,S adresser audit iM' Bigot, notaire.

" p e t i t e f e r m e\ Sise an Ple.s8is-Üü!l('ville.

B«ll«ai«*»»ll«»n volou tu irr.Le pim anclic 27 Octobiiî I 8 « l , U une Imure

h tt t élude et }Hir le ministère de M' Bigot ’ notaire au Plessis-Bellcrillc.

. On pourra trailcr nvanl l’n.Ijn.Iii nlJnii. dM , „t f„;i I «ien onVrAiitiflitaiin-».

Elm ie de M' LLMOINK, t:olairc ù Gliantilty

M A I S O NS itu é e ’a Chamilly. rue d’.Anmale, i r 11,

tout près de la IVIuuse,A V B A n n i - ; a i . ' a i u i a b i . e ;,

.'<'adrcsser pour reiiseiyncmeitts, à M* I.e.«iih.xe.

I.tilde de .M' MAITRE-REV’ALLO.N, notaire û Ghanibly (Oise).

5 H E C T A R E S « 7 A I S E 3

1> £ T B B B ËSis tcri oir de fiand icourt, com m une de

ll«'llu-I-Iglise,A V E . \ | > R E

l*4ir B d Ju f llF B ilo f i i v l o B i t t i r r ,Ln vingt Lots.

P arle ministère r/c M‘ Maitre-Dkvallo.x , notaire à Chnmbli/,

L e D im an ch e 2 7 O c tid irè 1 8 G I. h. m id i.E n ta salle de la M airie de Itelli’-îù jlise .

G randes facilités pour payer. S'adresser audit M' Maitbk-IIrvallo.x, notaire.

Lindo de iM* B IL L E T , greflier-priseur à';IVctz

B E A U Iv iÔ B I L I E RA V B A n K B

• lu tiaiincile où ts i die,<Ji \ l . K e c ff iic , ciiri, A Boiillai-rr,

1.0 Lmi.li 21 Oflnliro 1SÜI, .'i ol j u i i s suivants, s’il y a lin i.

Par le ministère do .M' B ille t, greffier à Uet:-.t-onsislant en : garnitnnr.s de fov(*r. Iiat-

ti ric et ustensiles do cuisine, vaisselle, po- t i i ie , M^rierie, cristaux, nienliles on acajon mjvor occhéne, lit de sangl-vs. pem iule, g b c c ’ tableaux. u n eg ran d eq n .in ité de linge lite rie’ tapis, g arn itu res de lit, riiloanx. 2 tu volumes d«! d ivv rsau iem s. vips roiig.î et b lanc, bon- tPilh'S vides, outils de ja rJ inago . bo isii b rù 'e r lapins, poules, ruches, et une grande quantité d autres objets.

l-'rMU a r d ln a lr r i i .

K lu d ed eM d lE M K T , h u is s ie r-p r is e u r àC liiiiiiilti

^ l î t s ta a a t i i i B î i i t i t e. ▼ o z .o n rx A x u s ,

AUX ËXCUKRB.S PUB|,im!K.S.Et pour c-iusedo départ,

A Mtanlilly,(irande Pue, maison de Madame u 'C iu p v iin

Le L iind i2 f Or.lobre 18ÜI, à m idi, ' Par lo m inistère dudit M* IIk.\iet, ’

Cette vente consistera vn : vaiss-lle .ba tleri.' do om.sine, garniiiires de fovers cl de chorni- nees, meublo.s, très-bonne literie, pendule.s. lam pes, glaces, tapis; bureau , jeu de tonneaux’ et une (rô.s-gramle «luaiiiilé d ’iintre.s objets.

A b * eoBilIfioM it «>r4llnalreH.

V E A T EPar le ministère de M 'II . S a llé , com m issaire

priseur ù .Scidis,

DEUX BOUS CHEVAUXT A l * O R O l u a i ^ i 'o ^

D(‘pendaiil d e la faillite du sieu r liiam pagnk , hôlellér h Creil snr-O ise ,

En vertu d une oiaounanr.« de M. lu juge com- •m.'isîdre de la faillite, enregistrée,

t e M ardi 4S Octobr«î 186 / , « 4 heures de rrtevèe S u r la place du M.arcbé de Senlis.

S'adresser pour ♦•eiuc/ÿMcmcnA, ri M. Mkumi syndic de la fa illite, à Senlis ' ’

\ ----------------A c é d e r d e s u h e e< à r o iia r a b lc

E tu d e d e M 'IIbxri S A L L É ,co m m issa ire -in ise irr û S en tis.

m û m [ui(ü3[i(n ià iiiiîP our cause de Départ,

K n u n e M aison .sise li .Sentis, r u e d e la C h a n c e lle r ie , n* 2 ,

r i t p a r n o tu M a ire de ta r d le d e S e n li i , /.o u r tru a ti 4nr«./i ./d /n tignaliire d* fit.. Kesiuer, ajwoue « fait

C* 12 O iio lr c ' ■

H lw p h a l g é w érq g d e Mp u IIn.

F O U R N I T U R EA faire mi 1862

A L’HOPITAL SilléflA L OE SENLIS DKS QU,V.XriTÉS

fle Viimde de Beiielierie, de Viniide de Bore el d'Kpleerie

^êressai^es a u x b m i iui dadit Etablissement.

Ou fjil savoir iine lo Va„lre,li 23 O cliilm l» (.l ü iiiio liciire <!c p eVv»c, il s.-ra .,r..cüil.i 'Ipirishiiic lies salles .le l’ll.l|piial Bé.iéjpil ilc ■''eiilps, a I ailjndicaliàn |iiililii|ijG an ralpais el sur S0IIII.ISS10I.8 caclidée,s. ,1e la foiiruilurc ucs oipjels c i-dessiisénojico» , nécessaire,, en 1X(i2 aus liesoins (le l'KPaWisseincnl liosiiila- lier de Senlis. '

On pourra prendre connais.tnncc des cahiers do ch.mim. lo m lc; j ,„ in de «m/'/iepo e , du m aliu ,r r/pipdp o heure, du l i i r , m il uu s iém de fé la U t,. letuçul , 0,1 au bureau du llceeueur de rHouilal général, rue V illem t, h* iC.

M l l a - m o k at ‘ O E I u M 0 n i f F V a § M S T E ,

A MtK.%lillB, rue MA.lMt-Blllatre, i î .P rèstaU atle,

A I honiipurdc v o ilsd o n u c ra v isq u ’ilaro t .dé a Senlis. où il est connu d ep u isiro is ans comme bon ouvrier, un établissem ent nyani pour oli- ml la consiruclion des calorifères contenant •les apjiareils très-économ iques. de toutes sortes de d im ensions, et il 'conslrn it les four­neaux en tous gen res .'

M fait (également les travaux et les répara­tions nécessaires pour em pêcher l’introduciion de la fumée dans tes apparieuioiits.

Hinrgibirt h Senlii, te tSOI, r- He.-n

P IL U L E S 'URfiATtVES OE CAUVINPHJIIII JCIK-ClllIilSTE RE SlFÉBlftlE RE NEI8.

Place (le l'Arc•«le-Tr^omp^e, 10, à l’ari» . (coDti ü* S34.jG*» l‘ILl)I.ES so n t DIGR.HTIVKS TO NIQ U Ei e l 1>EI>URATIVK.S; l*ar le u r c tltcacilê c l p a r le u r em - p t« ' facile au q u el elles ic prè- le n l, rtlc s so n t te m e illeu r PUR. (M T IP p o u r fo m lw ilre la COXS-TlPATION.dêlruirclesllUM P.URSe t l’ACliKTé l>U 8ANO e l pou r

». , , :— '’“7’«’ne'’l'AarincMiie«lnQ»lesfon<N T . i W * ’ .”*• •!« SUDST-INCBS VKfiÉ-

e kM o n t l a p ro iirielé d e «tonner «tu ion a u i ml«MiMM, «le pu rg er sans ra liguer t’esiom ac n i offai-n lir nii.'iiii nrj;.itio.

Cr» P lt.U L fô ii’osîg»-!»! n i résim e n i Imisson sné- u ia lc ; sous cc rap|M»r«, elles cousiilu i-n l le p lu s com- mcKk c l i e p i n s ellic.ice «les PURGATIVCS c o n n u s ' aussi soiilKiItcs nrduiiiictn avec sm-cès dons i«.s mal:.-

l.e m crile «le ces PII.UI.KS p e u t se i n t im e r en c e . U K r\Ü M R .m K M R B TfiN in la san lê . PRIX

2 FRvNCa avec notice en rinqn e i .\ RüiTElangues.v_|lk|i.ît «tans les Pliarmncies bien assorties decliaquo

ASKM.IS. clîc» M. ChBrtBlBg, pharmacien.

PIOBaiTS PHlHlCBITIIlir>»rmt«lpurinl«aieia,<,iiI,«,|yKh

“ e e sm «rn.»s nnvr^'Mwsaan iis «nwttsw rmmr U BMtiu «

wi 1rs me- ^salfureusee

lespJiu

. cj' cliarl'oii U n Il r i la ri.iitli|ia:|.iii rli'pitail

«.:r. -«r.- iuir.i;,a«-ci'I‘4'*i::;; r:

J-çiil iiHiyon «I wfiuliiislrer 4 I Elli.-I-, t.iml l Iis.ajîo ,..,1 U « flicau- voiilro le» mtiirniiics, I-* rii-ïralgifii, l-s i>a||i||aii,ini !■’. ciaiiiiH-s UWliiiitac el vs

i'‘r'' ....

l iT A T U l V i t , ItU S E A 'Ù S .Naissances.

P é ro l (M .Tric-Adolino).C iiam lic llan t (V ic to n n e -Jcu n iic ).I.«‘s ;iin l (A rtliu r-Josoph).F o tu iiiït (C lia rles E m ile ).

M «irilahteiiiiin,IJ.UO «i« iw fe au «siiraiede luaanide. il «iimi üe rslni iliisouilre un flacon «ie'erile Poudn- dans une U utrille «l'eai I.Ar*Mnir s csinstak su ÇR pur(siif, Je pjus sctèa ble «le «OUI, efl aussi efll I

cacequercaii <le SeiJlilz.*

.'•Sun, H dans tou»l«$ tas oO tas ferni|{n««i sont brdoiiitis

limnha-

f te a l l n , » M . C liasiains; ( e u U -sn r- IV K y e ,. L efraitc:C 'r c l l , - •M èra

•««« lia , Oran«l; _

U rc ll, lo U la ip ;C » é p iy .F o u rn ie r{ F o r« ie H ® C a m ^

AU NOUVEAU JUIF-ËRKAIVT.

. I l “ ® ® Ü t A WM iStO -iA ÏTC B DD ITOTTTBATTTBa BT OOlTPBaTIO»

s o „ c o .n m o r c e I , * è s B B i e s T l * . ,

» o l i d ; i é '„ : „ . a „ , i r ü T a f i ' r " “ i « r t V f " r ® ’ ^ l fin |"!ralriM ,niéra..i,|iii! il (j ,.| s fr .; O to g U consV , d,?n, U - V; - ''" ï" ;™ "» " ,- nu |.rncé.li coiihirt-s, ili'|M iis2 lr. 5 0 c.’ ” • “ '''• i «-"'nids ciifaiils, sam

m * > M sre |»W .» .

DES GENS DU 1HONDEivrT'â®?*? pratique des Maladies nrinàires

r S i e w i i l ï ’* 3 1 4 neiiiiBs m n a ^ iDu «d-Wnrfato, I S t . n u da Hhxl:

É T H Ë R Ô L É n Ù I D E G H A ’L M ï F ^POUR D É T .A C IlE a.

• fionn... Il . ttss4res*t0 it0 . ■

r .............. "I” '- j» d..." *s a l ic re r !<•» . «uk-ur». m e.ne les p lus ilcli.-atcs, su r lia c ra v u rc i p t i . i , /T V S«“ ‘» d « peau.tupL-nrur a (uiiu Ic.s liquides n «Iciai lier. * *eiis Ce nuiivean produit

/y ' VLAGO.X : I rOAM: 50 GKXTlllrS

l i V U i È i x i i ; o i i ; I . A T o i i a i î T i ’ i : .

VINAIGRE ANGLAIS, AROMATIOÜE ET RAISAMIOÜEA ùojM el recomiuaudé iiar le Coiieeil de eatubriU de Loudi e , '

Iin iio ila lio n p réparée c l p cr loc lio im éo par P u a i , n i . v , p a r fiiiicu r

>1 ' ■ « ^ , - 1 , . . .

«uu» i ls endro its oà l ’on resp ire uu a ir »iciè « V n r .C ^ frc«iucnle.it ie i bal», les lliea tres, e t c , en un m ot

a n™ .„, a . lÏ Ï S I . ï ï ’ S C 'î,; .rcn a ià .. a .

. 5 S 5 2 c i * K a c » ï E i ' t i n Æ 5 . ' a * ï a c £ > s a - c .

q u a l i té , q u a l i té .

Ô ô â P ^ ' o o0 0 27 0 0 2 0 6 0 0 0 0 0 23

27 78 ,27 2 2 0 0 00 ,28 Ü8jOi)

2 8 S t 2 0 4 3 0 0 3 0 0.3120 00123

AM M SHVmHM A

VILLES. DATES.SBIGLK.

Seuli: (x m p itjg n c Bc.iiiv.ii».( l.irm ojil.( 'l’i’liy.A m itc iiil. Bout.

8 O c to b re . 3 O c to b re . 3 O c to b re .3 O c to b re . <3 O c to b re .4 O c to b re . 4 O c to b re .I 4 O c to b re . 5 0 6 3 l2 i

l A A i r i t U P M N j id a lc r d ii 2 O ciobre 1801.

q u a lité .

3 0 0 0 o 0 I 2 0 0 1 2 2 9 ; 17 1 2 2 2 4 0 1 3 2 0 1 0 1 4 4 8 3 3 14 3 5

â o f5 5 f03135R

j ^ q tiid ité , 4 8 c . le k ilo g i jn in ie :-— a». i* i« ~

SKNI.IS, TVPOURAPmu ET M rilO C IlA rillK DE M " V REONIER.


Recommended