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i m E s c m i.H IN , «Un* Hn r runirrvcr, inir|tt*à vigMCur la «-riir tict vani jourMclivaii-ui. T . i T ra o T io » , h ' IIIC7AVI9» UKI I tiouloiis, en comil lidilégaranliè, biei 12 fr. Al au-ileMus. clic est convaincue I Sriilis. SAIF EVY lcrnard, Alexandre iiliiia i'iiii, rrédérk ur édtniilllloMa, 'S en grume, anx PersoiincH pou E L âîfvÉE E IV T S • Prix ; 2 fr. Prix : 75 c. iS A o û t : I PAO 50 aiiiioc .■■ ‘miUii n'pil 'p'ilnnp A Il tii ni. nit.!. ;i‘:( I li'll* i!-y.ut>aiii »Rim ' os. VÀBO«llEieBliT I lin an. ■ 9 *■ H»Ui nnMria»TKaknX<' ,r\iv\ AnKONi:K& JUhicif.ifVfUi. •A'XNONUI» IHVKRAtôi' ' U\V >•«•>*. DWi>x»;««av iR iliroj/. |.iirf»U,flu;.fmirii»l,. w /|fs pf .5 ; Çai'M, rfirt M- ^II^V.A'j riir 5 ,-cl rbcx Hràs|pi(r';i MI'PIXI^-liUl.MKn H Clim».'. rùc df |n llaiI4<^; Mirt ]ri«.|.il>mr^.('il;>'<lmrlcincni. ‘ ' ■lions lM l€ IA iR E S . it< un .urnTî StM ,IS M VILyCil ilIE . RiST f CVaajjr. 1. ^ OVfiK. ATOmft 1 jOOO 00 7 0 .a 10 ir> (N) 0 4f 014 Kft »- 41! 0 10 05 10 » 0 15 02 8 2 ! $0 00 (NI » ï.“ 15 10 00 « ■mime; i',30c. RANG mtmt. h l^ fie in N frane. ' laeunde lOOft. oxceptioQ dn t** lot es.— Un sent billet eux lots de obacun [Rprîmciir do Nfipïcspàr Ip iêtégrjiphc,:éi| ùate dui/ôO ^^^Ui^^cbnvêiilfôn inilUairc a b a ^ suivantes :- , .. , dcs.'^nstililixs. Poliil d nl^uquc de la .ciladelle, e |j^ ii‘)f|iel>bmbardémçulde l» vllle.,. - ' b|biv c^|x;Mlnuon de» troupes des dcpx çôlts. A Hcssine, à ut a Aiigusia. , , . ' l^alUe dès deux pavillons, napolikiin pt,s^iUcii,. , . làbrc li^vigàlioii du détixiil dii phiiFOy-, . h. . — Les dispositions niilitiiiiTS poiir rexp^dition de Sÿric scpoursuiireiitaveenneigbndèflriivilé. Le cdrresiKniduiil (to la Gazottedu M idi instniitcè'jodr> nal que Inidirecliuii du port du Toulon a diï'prendre S«s disposilioils pour cmbarqueri lundi 30 juillet. dcifX l»nllé< ries id'arlillerle.-deux r^irneiils d'ipraitlcrie et iin'lkitaib l4 »n doehaAscnrs ftTiod, qiil.-À la daté d tt27; étaient aljteii^ dus par le ciicmin du fur. ' ' ' “ : L’AiiglutQrre.d'AiitHcbe» ta Prtissov'la nuBitc.'rË^agno, . I» Tüpqida 0 l>)a^r 0 ce, dlhon. prennent paft’Are2jlMitioH en envoyant des tronpes ert' Syne. . t—).Qlt éc^t de Toulon^ ,1e 23 .juillet. nn\Maniteitnéé la Fm<»A ' U-" . règne en; ce moment , daps notroiportiofrro ipi çiirièqiü' tânip d'isMiei CHpiielle- tes gmnds .truvaox.iqni ont accompagné les campagnes..d'Orienl el.d’ItaUc: to.ur« aiqyt.iSCl * ‘’ besoin sVii fait sciillr» senicmciit quand son rayon d action s’augmente et qu'appelés sur dilTériniki (lomts ses vais^aiix doivent se diviser, il r.iul bien en aiigmeutur le nénibre. Oa dit dans la Pairie : ijfS hnhires et les nouvelles de Syrie préoccupent tou* jours trës-vivomenl raltcnlioh publique, b » rcprôseulanis ^(>s piii^inr.e8 se .sont réunis pour arriver n la conclusion ^'uu arrangement di'sliné A pourvoir aux dinicujtés de.U siliialiop^actuelle. Elles sont iPMtes d'accord sur les coiidi* ilùiis prihcipaios de la convepiiuii A inlervcuir, mais il reste a régler des points de détail assez iionibruiix. . Pipus eroyot» pouvoir aflirmur que. quoi qu'il arrive. ià| l^raiiçq iVamiudonuem pps Ira chrétiens de SyrJe. qui oqt. mis en elle.tont leur espoir et toute leur conllancer nouvelles.qui npliS arrivent. des ports de guerre ahnonceiit que Ira prépnrall(s'Commencés-eu vue d’une expédiliuu en Syrie continnaieul aclivemcnl, • iquUseirpni.muil liduid’apprttchcn de>eèux qui se faisaient alors, mais rhacuu.imul (lil'sm raÎHQii dft ir«Uatide la Syrie» il y a uraence. et la iMtpulalioti ouvrière de i'arse* Jgborwuie.intdMiide d liai; déiA si,Mborwuie.'ir*doui»le d’èno^td. AujoMrdih^A>MlleAibaljnibnlgquiidpiHeQt.piiendre)pprl A i’exiiédiMuMNWt pvAts-t .ils>p^atlettdqi^ nlusiqilel^itroii» |ie$qiij dbbl|lttrMw.'erebhrqa6c«i,ltaiffit.lnftls.ii;-i‘)i!-<;., ür>> IléiAiil Aihélïcej it'futt -jmilie'depuis dcuÿjmifNiwiHr'BQyt^uUiiaAidUivcnlsoitiMWvebvnainleiHiut leu df|U3|VpMi(«ilxqqi ont .él»<délpcbés du (^eboadre eitvoyAe d a ^ lhÀildlRtwi|;^^seius .lratordnui sle ticile . «nulrèi-atnitnt SchrtMPUl» ÇpilbAttDieut ne<iioetlil'eil«oroiqiie les apprévi« sioniierariHs nécâtsairra A ces deux vaisseaux dont la pré* xeiice sur la ctMc de SyrltnTaUtirps? manqué' de produire uujeR^ eu;fr<H>im»Vl)esprit ,dt« «R JAdI'w W«ir*i.tnMiAtçmt^!i '-nT-.-ix. i r . r* ,,u . , * f . w r W iüfiw .'i wvtoeiWiWfwism mv4nTqra;^'^pj^^ dP.réprief'Mtût et d« vengepiKs^^.aiMT . Il il!,.-.:zi> ' • ••• .WJraiispwtR-^l'W.A^IW w w ............... ................................. Seiirc, 8biil,qn,af;raçsnçn ......... ................. ............................. armra'. 'l.râ trois premiers sont nrèls à partir, et oi>,dK<qué les deux aulres ne sont pas destinés pour le Levant: les tx>rvettes,âi vapqMCirEuméntdn^et da.Ç(Hhp',t Bt!rpvfsoâ:vu* fiour /cAcgmn.outégalemeutiété Armés^>ceqjbâlM»ei|t« »}* roiii^djipipsiA l’escadre de nim im l doAinandau&lee eanx de Naples cl du la Sicile^ Les ff^nleif Â'Vepeurj'Aamodrâ et (q pagftdor, dqpM.'urinemei)l.est,,cuimmMlcéiin'pnt pas 'encore leitr éqiiipagC; aq; cimip|el. j0in„aljleHd-de9 mufliis qqi i)ous Fqnt envoyés dè.Lhprbêu^ndeiÛFeetiejt de M riinl. ;, U , transport A h é l i c e . e u leliargementA on .a placé A bord de ce bétfment un cliargeinéftt.qiiiii^iideoi' tiqupment semblable à celui de l’/vérA, ct.qu'il:t|o|t rempltl< èer. Ou l’enverra A Alexandrie, où U sera tratisbordé et dit rigé sur la Oiiiue. .n: .. i L’armeinent du vaisseau ie/'eÀtoMogcl celui de la.frégale blind,éè la Cloire no sqiit paji ralenlis paCjsuite,des. autres travaux. Le commandement dui;ÿ>«teneye été donnéiA M. le capitaine de vaisseau l|arlm> (!e>vuisseau osidênliué aveo le Tage, qui est procbaiiioméiit allendU’A A remplacer duiis. l’escadre le OoNqu’ontA et le ^sdaubiMei et non pas A former le noyau d’uue,escadre de riéservorf ainsi que quelques juu.rnaiix l'ont annoncé. .. . n ,.i ; Il n'y a ànciin motif pour créer uue bscadre.de résorvcl ticlle .qui, csl A Naples aujourd'hui a ro^aj une, destiiMÜ.ou toute naitirello. puisqu'il est datui sa raison d ’étre deisèr* viçe dans fa A^vdilcrraiiée et même ailleum»>parloiil,où le l.e JtfoniteiU' imirarsel du 31'juillet contient un impôts ........................... i'AI- iant rapport de M. der.lia 8se|oiipdJiubal. ministre del'i ntp^roehe cérie et des r.ôIonies. suivi d un d.écrri’dc l'Ëinpereqr. rc- mlirA'la vente dra terres en Algérie, .f^'décrét ............... niqdé. 'ilhè r&ervë hiissé au gUiiveriicml^nt (A faéliiré Ü^aB* c b i^ r dés Concession.^ de 3ff hectares au plits aux aùdoHs IdHillàièés immigrants ou cultivaleiii's qui votidraicnC se fixer d.'his le pays et devenir cn|ons. Cette disposition, A' la lüto ju^lp td utile: permettra do former les noyaux dos non* vocaux centres de la coluni.s.itinn. . — I.e journal oniciel du l^ aoùl contient la iibtcüçaK v.intc : - r . ()nsait qn'A la suUg d'iiicidqnis. r^gretlablir'^ ,uqjlrp,^n* ilfiljjr;|iei)éfà| au l'jérmi avait été ariiepé A rom pre,s^,ü‘la.i li^ ay^'ljè csibinet de l.imà. M Edimnid de U^seiis. dè-i kIcnépA dr,ri|icr fieu.ppur remplir (bms celle nlsn^eiirAt'1 ^ tim^idd^ (té consul‘général et chargé d'.airai^ dp Eranqe. il w ’Jéljai^é de négocier les. satisfailtimLs qui niiiis et l'on vient d'appreiidi'e que.celté aifairp.n été néUrelisefmént teriniiiée. .iclivuiiieiit S 4u*,dnilé.’dii'ns. l*Aç* cdntpbn^méiit'de sa mission par le cuntnximirai i.arviei/, cpiV/imudett en nhef de noire divisiitanavale,dansl'Océbn* l^liqUPi.M.jde-tesseps a obleun, aprè.<tdt»;expli»at{on8 aqxqiiellca lc.goiivcruutiuiUl. dit généraliCiislilbî H'est foyaT lêment prêté, uue sotiilion pleiucment «iiltsIiliRante’>dc9 diCliculteft existantes. I.es rapjiort^ of^^ificls du ronsulat xgéllélüUirdft'FrâUcé avec le cubinut ue Liifia.scl^içcnt «hisi. raÛMl’én,*'ët létir rétablb^inent ti'ést elfqctivé danstles r.' dllfoins'qtfi’pcrmettciit'Ue'Cumplcr siir Ir/ d'inve des ’èt tioi%t'Mùicalu^f qiie lès dcUs pays avliiénl '((iAjuurs ênl tenues.-^ • ii'w Oh lit diinS le Monilcnf universel dit 28'juillcl : ' L'Rmpc.reiir a passé niijoiirii’liin.en.revue, ifuir le. ter* rAiii des co'ni*sra dü bnis^.de DoiiU^iic. tous, les corim (riji* r.inicri» de lu garde impéHate. lè régimcnï des clias.'wui^ ’A cheval de I» garde cl le régiinénl des guides. '•i;l4 s-.troiipas élaienl forinéo» sur trois ligiira : rinrunlcric par bataillons en musse. I.i cavalerie déployée eu 3> lignov L'Empereur e.sl arrivé A quatre heures précises sur le terrain, et a été accueilli par les avclaiiinlious iinaiiiiues des troupes. Sa Majesté, après avoir passé devant le front d.o chaque ligne, est venue se placer au caniire, et.,devant les ür»|)eaux et étendards réunis. Elle a distribué,de sa main les croix de la Légion d'houuRur..r,t lr.s lué^lailles. mit iltaircs qui devaient être données aux trmipos de. la garde. A rncrasiou de la félc du 15 août. ... l'uis le défilé a eu lien avec un ordre et un ensemble parfaits, anx cris .mille fois répétés de Kire l'Emiiereurl — L'Empereur a pns.sé èii revue, au champ d o coni'scs. de l.ougchamp, mcrcrèdi, 1 e premier cor|>H d'armée coin*' mandé pars. Exc. le niaréclial Magnnii. 1 ms trois divisions d'infanterie sont succossivcmcut arri* vées sur le terrain et se sont foi'mées siir trois lignes, par bataillon, en inas.se. <’a!s tronpra étaient placées sous les ordto^ dos généraux de division de Ladniiraiiil. Ilaz.iit)e et barmt Eririuu Les sapeurs'poiiiplèrs et lu garde de Vuris, formant trois balaillons, étaient sous les ordres du générui de division Soiimain. Derrière elles étaient rangées les trois brigades compo sant la division du cavalerie, commandée par te général d’Allouville. et, une iiombreuso artillerie des 2* et 18' régi*, npmts, sous les ordres du général G ulod., t ^ divers corps formaient un cffeclif do 29 bnluilions, 27 escadrnns et IO.batteries d’artillerie montées. A qualrç heiir(», l'Empereur, accompagné d'un brillnnl état-major, dans lequel on rem.trquail plusieurs olVcicrs ■étrangers, est Arrivé .sur le champ de courses et a passé devant le front des troupes aux cris mille fois répétés de K/tw f Empereur ; • Puis, s'etant placée au centre. Sa Majesté a distribué des croix et des médailles militaires aux ofllclcrs cl soldats proposés pour ces récompenses. ' lo) défilé n eu lieu par balaitlon el par escadron. Les ré giments ont passé successivement devant l’Empereur en saluant Su Majcslé des plus chaleureuses acclamulions. A sept heures. l'Etupcrcur rentrait au palais de Suint* Clotid. Un beau soleil a favorisé cette solennité raitifairc : vile avait at||ré au bois de Ih^ulogne un nombreux concours de proraèticurs qiiisc portaient avec le plus vif empressement aitf n. aa.fia af>L»ia . : = ^ ( Afonùciü’nj a>r;r- ■ . . . La loi porlaut fixation du budget général des dépen ses et des rcccftes de l’excrcicc 1861, est publiée au PuUc’ Uh des Loisi avec h date dii 26 juillet. ■Nous en détachons les articles 18 et 19 qui couliciinGiif dus, dispositions nouvelles. On ruinartpiura que celle qui >orle augmeutiition dii droit sur les alcools, esl exécutoire ;(»artir d u i" a ü ù L ' ; ' • ' 'Art. 18.'A partir dU' 1" août 1860 et Jit.sqirau 31 janvier 1861. le droit général de consommation par liuctulifrc d'al* cool pur contou’ii dabs les eaux-dé-vie cl esprits en cercles, pur hectolitre d'eaii.x-de-vlc et esprits en bouteille.4. de 'li queurs en cercles ut en bouteilles, et de fruil.s A l'eau-dc- > 16, Sera fixé: A soixante et qiiinzu francs (75 fr.) en pHii- «Ipid- . . IsM débitans établLs dans les villes qui sont sopinise^ A due taxe diiiffhé, lés débitant élablis en t&Us autres lieux et qtii'p’aVo'At lu (irou géni^-at decb'nsotnmaliio'ii A'I'arrivéu éüAfiirtiiëinçni'A l'article'^1 de l.-i.loi du 21 avril 1832. se- ■i^f'ten'tls 'd’acquit'fèr.'par 'licçf'oljtrç. un complément dp .vingt-cinq francs (25 fr.) un principal, sur Ira quanlltéif S a'iU auront civleur possession A'I'épbqnc où les üisposi* QUit ,dU', pèv’fèpl'iarticle,seront uxéflutoires. et qui uoront irâr.yoie d'iuven.lairc;. . Iq ^ .^ iUfidàilla iprontnlgatiéa du-la présente|oi< la Aaxe de Ciupplpcemcpi aux entréra do Paris sera p»rlé<i A (pnitre* viiigt-upzefrancs (91 fr ) eu principal par beulolitroid'al- 'cool pur cohtciHi dans lés caux-dn vie et esprits eu cercles, par hectolitre d’eaux-dc-vie et esprits eu bouieilics, de li queurs en cercles et en bouleillu.s, et du fruits à l'eau-do- vie;-! I . '''>19. A qxirlir de 1801, Ib droit do patente des associés, dans les sociétés en nom collectif, sera réglé ainsi qu'il suil : li'associé principal continuera A être assujetti ;> la tola- llilé du droit fixe atTérenl A la profession, conforméinont A l'article 16 do la loi du 21 avril 18Ü. las ihénic droit sera divisé en niilanl de parts égalra qiiÜl y aura d’as.sociés en nom vailicctif, et uue de ce.s parts sera uiiposée A chaque associé secondaire. Toutefois, cette part ne devra jamais, dans les ca.s pré vus par i'articlc 23 de la loi du 18 mai 1850, dépasser te vingtième du droit ll.xe imposable au nom de l'associé principal. Pourexlrnil cf nhladion : E. UEG.MEII. lettre du M. le Sous-IVérct de ràrrnndisscmcuCdu 11 juillcl courant, s’est réuni dans une des salles do lu Sous-Préfec ture de Seuils, pour ia première partie de la session.' Sont présents : MM. Diifay père. Uou^sel .pêrc, Lessicux. revost.Gioii, Courtier, Moquet, Âudeberl, Çèon Debâi. M. le Snùs-lh'éfel dpnno lecture au Conseil du' dé<9 'el iin- térial du 2 juillet courant, qui ordonne fa réuniéti des üonscils d’arrondissement Ace jour 23 juillet coiiranLponr a première partie de leur session (lu'i ne pourra üùÿer plus de cinq jours, et de l'arrété ,de M. le Préfet dc 'l'Oisc, du 9 juillet cnuraql, qui nomme président du Conseil M. Dufay 1 ère; vice-président, M. Uousserpèrc; secrétaire, M. Léon Itobal. M. Dufay père prend place au bureau et déclare la sc.>i- sioti ouverte. M. le Sous-Préfet, qui assiste à la séaiicc, dépose sur le bureau les pièces et documents qui doivent être soumis au Conseil danii la session, et donne lecture d'uii rapport sur la situnlion de rarrondissemcnl, qui fuit rônn.iîire tes so lutions données niiX Drécédcnlvs délibérations, pt indique les olyels sur lcsqu(|ls le Coiiscil est appelé A dénner soij iii, prnpositioq. d'nu membre, lo Conseil décide que ce r^piMt'l, br.ljnléfp^^au^ el.lrès-cùmplbt, scru Amiexé un W ijr . Le, U o n ^ n Q r o p ^ IçiV^édiA.icmciù et sùcccsVivemcqi A l'examen di‘s diverses propositions qui dnivciil être le sujet du scs délibérations,, cl y statue ainsi <|it'il suit ; A'' 1". —* liislriiclion jiriinaire, Lo Conseil demande avec inst.mce, cette année encore, qu'il soit nmnmé un quatrième inspecteur 4les écoles p ri maires pour rarrondissemcnl de Senlîs, dont les écoles pourraient élrc ainsi inspectées plus souvent et plus utile- ment. I.a division de l'arrotidisscmenlnn deux luspcclions com plique le service cl nuit A l’cnicacilè do la surveillance. ‘A’" 2 . Hon/ra inipcrialcs. Le Conseil rappelle lovœu déj'A si souvent ÿmls Icnihint A : 1 ’ L'adoufiissement des cùle.s entre l'iiiscux et Chainblv, .sur la route.impérinlé ir I, de l'iiris A Calais; -2" :La l'ceijtication cl l'adnucis.sement de la côté de Vau riennes. 8ur |u route impériale u“ 2. de l*.'iri.« à..Maiilieuge. Un pr.«ûet dos l'ravaiix A exécuter, dont l’utiliio est iucon- leslaiile, est depuis longtemps préparé, et n'attend plus que .soi! Aiqnieation . . ' 3’* L'élai^it^néai de In-ronte impéHIalé h" lG ,’d(f Paris Dutikett|llo.' .difdÿ‘'ra Iravct^ 'dé Crcilj bHli‘c IcA Ulcili NOUVELLES OEPARTEHENTiLES. Conseil d’Mrrondisseuient de Seules. PaEniKKE P.VRTIB OB L \ SESSIO.N. SJanco du 23 Juillet 1860. L'an 1860, le lundi 23 juillet, A midi. Lu CoiLseil d'arrondissement du Sonlis, convoqii ,--------------- , ('pfdii'I^uilA Î’X, w .... ciirité' üur 'ud' péml bti, fléjim^ l^ ^ ll^ m c rtl'd u ' chemin •de fur du Noixl. la cisculnlion c.sl devenue dra"p!us actives et des plus rapides. ' ‘ . iY" 3! r - 7ioi{iç.« (iepàriemenlales. I.e Conseil faU remarquer que les transports étant deve nus plus i'réqiieiiLs parsuite des progrès du l’agricullure et de l'industrie, les cliaiKsées des. roules üéparlumenlaïcs, pour la plu|iart anuieumss et mal construites, n'ont pu ré sister paKotil anx, fatigue» incessantes de ces tran.sporls; que dè.s lors il y a urgence al>sniuu de remédier aux dé- sasires «pii se sont munifoslùs, en aiigmumanl le t.^iix moyen de l'eiUrelien pur inèlre cnurant. Une augmentation a été faite au salaire des cantonniers sur les routes départementales, mais elle itarail encore in- sulfisuulc; il serait nécessaire que ce.s sul,rires fussent eu- core augmentés, atlu d'avoir des employés dévoués cl in telligents. Le Conseil demande : 1" Sur la ronlc départemonlnlc ir t. do (Chantilly A Vil- lcrs-Coltcrèfs,,quc le pont placé .sur le canal Sainl-Jcaii, dons la Iravci'se de Ctinntilly, «pii est trop éli’oil. ne per met le passage qn'A une seule voilure ù la fois et se troiivu |>iacé de biais au bord de la céte. soit rempla«;é par un nouveau |ibnl d'une lijigeiir réglementaire et cousinnt dans l'axe du la'roule. Dans son étal actuel, ce pcmt olfrc des dangers iucnniratabtcs. Il est fait observer à col égard que l'im pourrait s’adresser aux propriétaires du domaine de Chantilly, auxquels apparliciil le canal Sainl-Jcnu, et qui ont fait construire co pont <|ui. dans son état actuel, c.st iii- sul'tisanl pour la circulation, alin de les faire ct>nli'ibücr en tout ou partie a cette reconstrucliou. S’S T T ÏU iB T S lT . M A .R G U E tA lT Ë .1 Il n’est pas besoin de‘dire'ntic le firojel do v^c^t^nhier, A Paritt i^titU cdmplètûmont oublié. m ; Théodore savait les mn|hémaliques) la pbysiqùq;,il sa-; vni| fç grec, le liitln,l’Hl|miiàiid, lliLsloîra jçt là.phdôspphie; bieriplus. il se pufuait d'êlrc pl|ih «-î-’-i ' — mol «nul Piittivem .................... ..... cspèlU sitr Ira idées piéHqhMra,icl am choses Ira fonclioilsdu (icrveau'niiihàih. Maip sur. lé phénomëno inconnu qui IrohblHll toiiC son i| ir’en,sà* vAit pas la,moindre chose'el it h^cn av«U rien qçvinô.- . mot qni expliquait toiit ne lui vint pas A l'esprit. Ah| c’rat qdo co mot. jamiils son conir né l'avait prohoncé jus» que-la, et. bien qu’il bourdoniiAl sans cesse|daiis Ions k(» bruits de la nature, A partir de ce niopiehli.po.ui:,lo jimno homme, il lut assez longlomp^ sans s'apéroeviiijff.!quo |o^ roses et leurs sen|etirs. Ira oisunux et leurs chammira,.|os regards de la jeune tille, ses jeux, ses éliidra,i^,.parQ}ps, ses sourires, sès moiiyemeiits, tuut fnisajt; vUijréh^i^que inslant dans son Ame ém uële rai^t nmoiir.', 'nn-i. Pendai4\six mois, les jnura.se snccédèrànt'n^û'{]uls/ei..ra* vivants.'rhéodore ne se douta pohit.péiiuanl (dut c«i temps, qu'il aimait, et c'ral pour cela qu'il.fut henrmn;.. .. . Il était visible qu'iiilu bbllo éd|icatinn avait dévclitppé l'jn* iRtligcncc supérieure du, Mar^iuèrite, ef que je monde, le monde distingué d’esprit et de manières, né ini était pus étranger; mais Marguerite ne pariait jamais du passé, ni de sa famille, ni de qui que ce fût; xculeincni.'Tliéoiloru sot qu'elle avait haiiité le Piumonl; «juelquoruis lus sites du ce pays où sou cnf.inue s'était écoulée revenaient A sa peu- séu; elle lc.s dessinait de souvenir pour k< mi Jeune prufcs- senr, .Ma|{« des {«eraonues qui l'avaient élevée, auxquelles c||p,lcniiil, jamais un mol n'était prononcé par elle. Si. dans Ira pi'cmiers jours, la curiosité de 'riiéodoro avait été pxcilé^e, elle s'était évanouie sans avoir été satisfaite : il no penS'ù.t plus qn’A jouir d'un présonl cncbinituur» ne s'in quiétant ni du passé, ni du l’avenir. Ttiéodore oubliait donc tout ce i|ui n’était pus Margue rite.: èjle'sciilc, sa personne, son esprit. Ouunt A sa situa tion particulière, elle prêtait enuora du charme A la jeune tille. I-e. myxtère qui rcntoiirnil laissait le champ libre A l’itnaginalion .du jeune homme et lui permettait de la re garder comme un être appartenant A peine A cette terre. Sotivcul lus conversations les plus sfrlensus suivaient les. loçoiuf, théodore ne craignait pas du s’ouvrir, avec la’ jeune Marguerite, sur les grandes questions de-la vie et les hautes Icçoii-s do ta morale de luus*lcs temps qui ont occupé les plus sages. Elles Iroiivaient dahs culic enfant' des espèces do solutions naturelles qui étuimaicnt le philo sophe. Dans léprs intiiUcs entreliqns, il était, le raisonne- mont, elle l'inspiration... et ils s’élevaient ainsi jasqqlanxl sublimités de la pensée. Et quand. Ils se taisaient, renfaui. npi'cs queh'pira niinii-. tes de recueillement, reparaissait tout A coup ut courait dans lo jardin parmi les l)vs«|uuts de roses. Théodore ira- lalf p.-frfo{s des heures entière^ iminubile A 1a rcgaixler der rière niïo pèreièiine. ;Uu jour.qu’elle courait ainsi et qu'il r.vdmirait do la maison sans qu’elle lo s û t,il .lu.vit s'arrêter, écouter, faire un vif mouvement et courir ensuite peur rentrer ; mais elle recula, car (iiiolqu'un venail.au Jardin par cette >porta qu'elle allait franchir. Evidemment elle avait entendu une voiture s'arrêter dans la .csnir et .avait couru au devant de ' ceux qu'elle auionail. EonnncNt n'avait-ellu pas dit A Théo dore qu'clio attemliiit <|ucl«|u'uu» elle qui rmstruisiit des plus p.qils détails «le sa vit:!’ Uctic réncxi«iii lui vint A l'es prit tout iiatiirellemcut et le troubla, quand il vil un tniil jouuo homme, de vingt-deux A vingt-trois ans puut-êlro, apparaître et marcher à cilté do Marguerite dans lo jardin. Celait un grand et beau g.irçon, du taille élancée et élu- ‘gànlo, et (luund Théodore put voir sou visage, il ou remar qua tout de suite la disti.ictinn. Il était évident aussi qu'il appartenait A la carrière militaire, et une décoration bril lait sur snn habit, il y avait IA ccrtainciunni une amitié déJA ancienne, bien plus peut-êlrc; c'était lu première visite reçue dans la maison, elle n'y paraissait pourtant pas imprévue. Marguerite était joyeuse et plus .’tnimée que de eoulume en parlant A ce Jeune homme. Dus Conjectures A la certitude que c'était un prétendu, un liancé de son élève, il n'y eut qu’un pas. Tlmodorc sentit comiiiu nn voile qui 8C déchirait dans sa pensée ut dans son cmur pour iiii laisser voirmic tons deux appartenaient sans r«:.scrvc A l'a mour; loi'jalousie cria dans ri'imu du Théodore : Tu l'ai- inraavec passion et lu ne dois rien espérer’ ' La-commotion fut si viulcntc nue si» jambe» tremblè rent cl ne purent le soutenir; il s'alfaissa sur lui-mèmc, prraquo uiieanli; puis, quand il revint A la vie, il s'écria avec une inexprimable »iigois.se ; •~>-Marg(lcritc! Marguerite! Cachant ensuite son visage entre .scs mains, il versa d'a bondantes larmes. • -f.radenxbeurcsqiii précédèrent Icdinerscpassèrcnt pour loi daiis la -plus vive agitation que sou Ame eût jamais éprouvée. Elle n'était pas encore calmée miand il se mil A lablo;AU reste, il diii.dt loujoura seul; Margiieritn était aervie dans son npparlomcnt au premier étage. Théudorc ne l’avait jamais visité depuis six mois qu'il habitait dans 4a maison. Il éprouva nu surcroît de tristesse «luatld des pas m lircnl entendre nii-do.ssus de sa têie «H lui appriicnl -que lc Jeune onieicr y était admis. Il dîna mal, et sans la présence dos-domrati((uoK, sans la craiidc qu'il eut de leurs commentaires, il u'aiiralt pas diué «iii tout. Hélas! le soir fut-eucorc plus triste, Marguerite no vint pas f.iirc do run- sbpio, et le jeune étranger ro.sla prè.s d'olic. Comme colle soirée parut Irisie et longue A Ttiéo«lore; il crut <iu'elic ne ilnirait jamais. Cepend.inl elle liait (ont A coup, au mo ment nîi il on dé.ses|)érait. l'.c i{ui la lcrmina pour lui, co fut le bruit d'une voilure qui s'éloignait; il sc leva brus- «lucnienl du siège ui'i il s«»ufrrail,'c«»;irnl a«i vestibule et demanda au domcsiiqun d'où venait ce bruil? L'est ce monsieur tnii repart, lui répouilil-on. Il l'avait bleu pense, o'étall naturel, mais il éprouvait nn tel besoin d'en être bien sur! Un peu soulagé, il su couclia et ilormil peu... Mais il souirrit beanuonp, cl c.nume, après toul, c'él.iil uni Aine forte et courageuse, an réveil, sa ré- soluiinn fut prise ; Théodore nu dénralt plus ia pré.senn: de .Marguerite < 1(10 pour lui dire adieu. L'élait aux grands Jours de l'élé. (juand le jeune prof^seur eut l'ému ce (jui lui apparlenait alIn d’être prêt à partir, dès qu'il aurait pris congé de sou élève, il descendit au jardin. Déjà l'atmosphère était toute impr<>gnée de la sculcur des roses, et rien qn'A respirer cet air plein du voluptueuses icn- difsscs, i*u se sentait l'Ame émue. OclU'. de Tliéodorc n'é tait pas tranquille, malgré ses résolutions. Il eût pu voir que Margnentc venait A Ini; il la vil, eu- effet, mais iUiie vit pas, tant il élait pri':oceupé de ses pro- prra éinolion.s, que la jeune lillu était Iriste et rêveuse. Elle approcha sans rien dire, leva les yeux vera lui cl ''csia im mobile, étonnée du changiitnont sinislre qni s'était fail sur son visage; Ini, sans la regarder.ditabù'sd'uuc voix calme, mais nénétrante : V — Je pars en malin, mademoiselle, cl je vous prie du recevoir mes adionx. Alargucrile no rt^pnndit pas; elle s'assit et lui ht signe d«: s’asseoir A cêlê d’eOo. Tons «leux restèrent .silencieux. — Une raison .. une alHiire, dit lu jeune homme avec moins de fermeté; — oui, il est liulispciisable «juc jt m'é loigne. La jew no fllle voulait répondiv, elle ne h* [miivail pas

r runirrvcr, inir|tt*à I lin an. 9bmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1860_08_04_MRC.pdf · oqt. mis en elle.tont leur espoir et toute leur conllancer nouvelles.qui npliS arrivent

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cm i.H IN , «Un* Hnr runirrvcr, inir|tt*à vigMCur la «-riir tict vani jourMclivaii-ui.

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ur édtniilllloMa,'S en grum e,

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N f r a n e . '

la e u n d e lO O f t .

oxceptioQ dn t** lot es.— Un sent billet eux lots de obacun

[Rprîm ciir

do N fipïcspàr Ip iêtégrjiphc,:éi| ùate dui/ôO

^^^Ui^^cbnvêiilfôn inilUairc a b a ^ suivantes : - , . .

, dcs.'^nstililixs. Poliil d nl^uquc de la .ciladelle,e | j^ i i ‘)f|iel>bmbardémçulde l» v llle ., . - '

b |b iv c^|x;Mlnuon de» troupes des dcpx çôlts. A Hcssine, à ut a Aiigusia. , , ‘ . '

l^ a lU e dès deux pavillons, napolikiin pt,s^iUcii,. , . làbrc li^vigàlioii du détixiil d ii phiiFOy-, . h.

. — Les dispositions niilitiiiiTS po iir rexp^dition de Sÿric scpoursu iire iitaveenneigbndèflriiv ilé .

Le cdrresiKniduiil (to la Gazottedu M id i instniitcè'jodr> nal que Inidirecliuii du port du Toulon a d iï'p ren d re S«s disposilioils pour cmbarqueri lun d i 30 ju ille t. dcifX l»nllé< ries id 'arlillerle.-deux r^ irn e iils d'ipraitlcrie et iin 'lk ita ib l4»n doehaAscnrs ftT iod, qiil.-À la daté d tt27; étaient aljteii^ dus par le ciicmin du fur. ' ' ' “

: L’AiiglutQrre.d'AiitHcbe» ta Prtissov'la nuB itc .'rË ^agno ,. I» Tüpqida 0 l> )a ^ r0 ce, dlhon. prennent p a ft’A re2 jlM itio H

en envoyant des tronpes ert' Syne.

. t— ).Qlt é c ^ t de Toulon^ ,1e 23 .ju ille t. nn\M an ite itnéé la Fm <»A ' U-". règne en; ce moment , daps notroiportiofrroipi çiirièqiü' tânip d'isMiei CHpiielle- tes gmnds .truvaox.iqni ont accompagné les campagnes..d'Orienl e l.d ’ItaU c: to.ur«

aiqyt.iSCl * ‘ ’

besoin sVii fait sciillr» senicmciit quand son rayon d action s’augmente et qu'appelés sur dilTériniki (lomts ses vais^aiix doivent se diviser, il r.iul bien en aiigmeutur le nénibre.

■ Oa dit dans la P a irie :ijfS hnhires et les nouvelles de Syrie préoccupent tou*

jours trës-vivomenl raltcnlioh publique, b » rcprôseulanis (>s p iii^ in r.e8 se .sont réunis pour arriver n la conclusion

^'uu arrangement di'sliné A pourvoir aux dinicujtés de.U siliialiop^actuelle. Elles sont iPMtes d'accord sur les coiidi* ilùiis prihcipaios de la convepiiuii A inlervcuir, mais il reste a régler des points de détail assez iionibruiix.. Pipus eroyot» pouvoir a flirm ur que. quoi qu 'il arrive. ià| l^raiiçq iVamiudonuem pps Ira chrétiens de SyrJe. qui oqt. mis en elle.tont leur espoir et toute leur conllancer

nouvelles.qui npliS a rriven t. des ports de guerre ahnonceiit que Ira prépnrall(s'Commencés-eu vue d’une expédiliuu en Syrie continnaieul aclivemcnl, •

iquUseirpni.muil liduid’apprttchcn de>eèux qu i se faisaient alors, mais rhacuu.imul (lil'sm raÎHQii dft ir«Uatide la Syrie» il y a uraence. et la iMtpulalioti ouvrière de i'arse*

Jgborw uie.intdM iide dlia i; déiA si,Mborwuie.'ir*doui»le d’èno^td.AujoMrdih^A>MlleAibaljnibnlgquiidpiHeQt.piiendre)pprl

A i’exiiédiMuMNWt pvAts-t .ils>p^atlettdqi^ n lu s iq ile l^ itro ii» |ie$q iij dbbl|lttrMw.'erebhrqa6c«i,lta iffit.ln ftls .ii;-i‘)i!-<;., ür>>

Ilé iAiil Aihélïcej it 'fu tt -jmilie'depuisdcuÿjmifNiwiHr'BQyt^uUiiaAidUivcnlsoitiMWvebvnainleiHiut leu df|U3|VpMi(«ilxqqi ont .él»<délpcbés du (^eboadre eitvoyAe d a ^ lhÀildlRtwi|;^^seius .lra tordnu i sle t ic ile . «nulrèi-atnitnt SchrtMPUl» ÇpilbAttDieut ne<iioetlil'eil«oroiqiie les apprévi« sioniierariHs nécâtsairra A ces deux vaisseaux don t la pré* xeiice sur la ctMc de SyrltnTaUtirps? manqué' de produire uujeR^ eu;fr<H>im»Vl)esprit ,dt«

«R JAdI'w W «ir*i.tnM iA tçm t^!i

'-nT-.-ix. i r . r* ,,u . , * f . w r W iü f iw . 'i w vtoeiW iW fwism m v4n T q ra ;^ '^p j^^ dP.réprief'Mtût et d« vengepiKs^ .aiMT

. Il i l ! , . - . : z i > ' • •••.W J r a i is p w tR -^ l 'W .A ^ IW

w w ................................................Seiirc, 8biil,qn,af;raçsnçn ......... ................. .............................armra'. 'l.râ trois premiers sont nrèls à p artir , e t oi>,dK<qué les deux aulres ne sont pas destinés pour le Levant: les tx>rvettes,âi vapqMCirEuméntdn^et da.Ç(Hhp',t Bt!rpvfsoâ:vu* fiour /cAcgm n.outégalem eutiété Armés^>ceqjbâlM»ei|t« »}* roiii^djipipsiA l ’escadre de n im im l doAinandau&lee eanx de Naples c l du la Sicile^ Les ff^ n le if Â'Vepeurj'Aamodrâ et (q p ag ftdo r, dqpM.'urinemei)l.est,,cuimmMlcéiin'pnt pas

'encore le itr éqiiipagC; aq; cim ip|el. j0in„aljleHd-de9 mufliis qqi i)ous Fqnt envoyés dè.Lhprbêu^ndeiÛFeetiejt de M r i in l .; , U , transport A h é l i c e . e u leliargementA on .a placé A bord de ce bétfment un cliargeinéftt.qiiiii^ iideoi' tiqupment semblable à celui de l’/vérA, ct.qu 'il:t|o |t rempltl< èer. Ou l’enverra A Alexandrie, où U sera tratisbordé et dit rigé sur la Oiiiue. • .n : .. i■ L ’armeinent du vaisseau ie/'eÀtoMogcl celui de la.frégale

blind,éè la C lo ire no sqiit paji ralenlis paCjsuite,des. autres travaux. Le commandement dui;ÿ>«teneye été donnéiA M. le capitaine de vaisseau l|arlm > (!e>vuisseau osidênliué aveo le Tage, qui est procbaiiioméiit allendU’ A A remplacer duiis. l’escadre le OoNqu’ontA et le ^sdaubiMei et non pas A form er le noyau d ’uue,escadre de riéservorf ainsi que quelques juu.rnaiix l'ont annoncé. .. . n , . i ;

Il n'y a ànciin m otif pour créer uue bscadre.de résorvcl ticlle .qui, csl A Naples aujourd'hui a ro^aj une, destiiMÜ.outoute naitirello. puisqu'il est datui sa raison d ’é tre deisèr* viçe dans fa A^vdilcrraiiée et même ailleum»>parloiil,où le

l.e JtfoniteiU' imirarsel du 31'ju ille t contient un impôts ........................... i'AI-iant rapport de M. der.lia 8se|oiipdJiubal. ministre de l'i

ntp^roehecérie et des r.ôIonies. suivi d un d.écrri’dc l'Ëinpereqr. rc- m lirA 'la vente dra terres en Algérie, .f^ 'décrét

...............niqdé. 'ilh è r& ervë hiissé au gUiiveriicml^nt (A faéliiré Ü^aB* c b i^ r dés Concession.^ de 3ff hectares au plits aux aùdoHs IdHillàièés immigrants ou cultivaleiii's qui votidraicnC se fixer d.'his le pays et devenir cn|ons. Cette disposition, A' la lüto ju^lp td utile: permettra do form er les noyaux dos non* vocaux centres de la coluni.s.itinn. .

— I.e journal oniciel du l^ aoùl contient la iibtcüçaK v.intc : - r .

()n sa it qn'A la suUg d'iiicidqnis. r^gretlablir'^ ,uqjlrp,^n* ilfiljjr;|iei)éfà| au l'jérmi avait été ariiepé A rom pre,s^ ,ü ‘la.i l i ^ ay^ 'ljè csibinet de l.im à. M Edimnid de U^seiis. dè-i kIcnépA dr,ri|icr fieu.ppur rem plir (bms celle nlsn^eiirAt'1 tim^idd^ (té consul‘général et chargé d '.a ira i^ dp Eranqe.

i l w ’Jéljai^é de négocier les. satisfailtimLs qui niiiis et l'on vient d'appreiidi'e que.celté aifairp.nété néUrelisefmént teriniiiée. .iclivuiiieiit S4u*,dnilé.’dii'ns. l*Aç* cdntpbn^méiit'de sa mission p ar le cuntnxim irai i.arviei/, cpiV/imudett en nhef de noire divisiitanavale,dansl'Océbn* l^ liq U P i.M .jd e -te s s e p s a obleun, aprè.<tdt»;expli»at{on8 aqxqiiellca lc.goiivcruutiuiUl. d it généraliCiislilbî H'est foyaT lêment prêté, uue sotiilion pleiucment «iiltsIiliRante’>dc9 diCliculteft existantes. I.es rapjiort^ of^ ificls du ronsulat

xgéllélüUirdft'FrâUcé avec le cubinut ue L iifia .s c l^ iç c n t «hisi. raÛMl’én,*'ët létir ré tab lb^ inent ti'ést elfqctivé danstles r.' dllfoins'qtfi’pcrmettciit'Ue'Cumplcr s iir Ir/ d'inve des ’èt tioi%t'Mùicalu^f qiie lès dcUs pays avliiénl '((iAjuurs ênl tenues.-^ • •

i i 'w Oh lit diinS le M on ilcn f universel dit 28 'ju illc l : ' L'Rmpc.reiir a passé n iijo iirii’liin .en.revue, ifuir le. ter*

rAiii des co'ni*sra dü bnis^.de DoiiU^iic. tous, les corim (riji* r.inicri» de lu garde impéHate. lè régim cnï des clias.'wui^ ’A cheval de I» garde cl le régiinénl des guides.'•i;l4 s-.troiipas élaienl forinéo» sur trois ligiira : rinrunlcric par bataillons en musse. I.i cavalerie déployée eu 3> lignov

L'Em pereur e.sl arrivé A quatre heures précises sur le terrain, et a été accueilli par les avclaiiinlious iinaiiiiues des troupes. Sa Majesté, après avoir passé devant le frontd.o chaque ligne, est venue se placer au caniire, et.,devant les ür»|)eaux et étendards réunis. Elle a distribué,de sa main les croix de la Légion d'houuRur..r,t lr.s lué^lailles. mit iltaircs qui devaient être données aux trmipos de. la garde. A rncrasiou de la félc du 15 août. . . .

l'uis le défilé a eu lien avec un ordre et un ensemble parfaits, anx cris .mille fois répétés de Kire l 'E m iie re u rl

— L'Em pereur a pns.sé èii revue, au champ d o coni'scs. de l.ougchamp, mcrcrèdi, 1e prem ier cor|>H d'armée coin*' mandé p a r s . Exc. le niaréclial Magnnii.

1ms trois divisions d'infanterie sont succossivcmcut arri* vées sur le terrain et se sont foi'mées s iir trois lignes, par bataillon, en inas.se. <’a!s tronpra étaient placées sous les ordto^ dos généraux de division de L adn iira iiil. Ilaz.iit)e et barmt Eririuu Les sapeurs'poiiiplèrs et lu garde de Vuris,

formant trois balaillons, étaient sous les ordres du générui de division Soiimain.

D errière elles étaient rangées les trois brigades compo­sant la division du cavalerie, commandée par te général d’Allouville. et, une iiombreuso artille rie des 2* et 18' régi*, npmts, sous les ordres du général G u lo d .,

t ^ divers corps formaient un cffeclif do 29 bnluilions, 27 escadrnns et IO.batteries d ’artillerie montées.

A qualrç heiir(», l'Empereur, accompagné d'un brillnnl état-major, dans lequel on rem .trquail plusieurs olVcicrs

■étrangers, est Arrivé .sur le champ de courses et a passé devant le front des troupes aux cris mille fois répétés de K/tw f Empereur ; •

Puis, s'etant placée au centre. Sa Majesté a distribué des croix et des médailles militaires aux ofllclcrs cl soldats proposés pour ces récompenses.' lo) défilé n eu lieu par balaitlon el par escadron. Les ré­giments ont passé successivement devant l’Empereur en saluant Su Majcslé des plus chaleureuses acclamulions.

A sept heures. l'Etupcrcur rentrait au palais de Suint* Clotid.

Un beau soleil a favorisé cette solennité raitifairc : vile avait a t||ré au bois de Ih^ulogne un nombreux concours de proraèticurs qiiisc portaient avec le plus v if empressementa itf n. aa.fia af>L»ia . : = ( Afonùciü’nj

a > r ; r - ■ . ■ . .

La loi porlaut fixation du budget général des dépen­ses et des rcccftes de l ’excrcicc 1861, est publiée au PuUc’ Uh des L o is i avec h date dii 26 ju ille t.

■ Nous en détachons les articles 18 et 19 qui couliciinGiif dus, dispositions nouvelles. On ruinartpiura que celle qui >orle augmeutiition dii droit sur les alcools, esl exécutoire ;(»artir d u i" a ü ù L ' ; ' • ''Art. 1 8 .'A p artir dU' 1" août 1860 et Jit.sqirau 31 janvier

1861. le droit général de consommation par liuctulifrc d'al* cool pur contou’ii dabs les eaux-dé-vie c l esprits en cercles, pur hectolitre d'eaii.x-de-vlc et esprits en bouteille.4. de 'li­queurs en cercles ut en bouteilles, et de fruil.s A l'eau-dc- > 16, Sera fixé: A soixante et qiiinzu francs (75 fr.) en pHii- «Ipid- . .

IsM débitans établLs dans les villes qui sont sopinise^ A due taxe diiiffhé, lés débitant élablis en t&Us autres lieux et qtii'p’aVo'At lu (irou géni^-at decb'nsotnmaliio'ii A'I'arrivéu éüAfiirtiiëinçni'A l'a rtic le '^1 de l.-i.loi du 21 avril 1832. se- ■i^f'ten 'tls 'd’acquit'fèr.'par 'licçf'oljtrç. un complément dp .vingt-cinq francs (25 fr.) un principal, sur Ira quanlltéif

Sa'iU auront c iv le u r possession A'I'épbqnc où les üisposi* QUit ,dU', pèv’fèpl'iarticle,seront uxéflutoires. et qui uoront

irâr.yoie d'iuven.lairc;. .Iq ^ . ^ iUfid àilla iprontnlgatiéa du-la présente|oi< la Aaxe de Ciupplpcemcpi aux entréra do Paris sera p»rlé<i A (pnitre* viiigt-upzefrancs (91 fr ) eu principal par beulolitroid'al-

'cool pur cohtciHi dans lés caux-dn vie et esprits eu cercles, par hectolitre d’eaux-dc-vie et esprits eu bouieilics, de li ­queurs en cercles et en bouleillu.s, et du fruits à l'eau-do- vie;-! I . •'''>19. A qxirlir de 1801, Ib d ro it do patente des associés, dans les sociétés en nom collectif, sera réglé ainsi qu'il suil :

li'associé principal continuera A être assujetti ;> la tola- l l i lé du droit fixe atTérenl A la profession, conforméinont A

l'artic le 16 do la loi du 21 avril 1 8 Ü .las ihénic droit sera divisé en n iilan l de parts égalra

qiiÜl y aura d’as.sociés en nom vailicctif, et uue de ce.s parts sera uiiposée A chaque associé secondaire.

Toutefois, cette part ne devra jamais, dans les ca.s pré­vus par i'articlc 23 de la loi du 18 mai 1850, dépasser te vingtième du dro it ll.xe imposable au nom de l'associé principal.

P o u re x lrn il c f nh la d io n : E. UEG.MEII.

lettre du M. le Sous-IVérct de ràrrnndisscmcuCdu 11 ju illc l courant, s’est réuni dans une des salles do lu Sous-Préfec­ture de Seuils, pour ia première partie de la session.'

Sont présents : MM. Diifay père. Uou^sel .pêrc, Lessicux.revost.Gioii, Courtier, Moquet, Âudeberl, Çèon Debâi.M. le Snùs-lh'éfel dpnno lecture au Conseil du' dé<9 'el iin-

térial du 2 ju ille t courant, qui ordonne fa réuniéti des üonscils d’arrondissement Ace jo u r 23 ju illet co iiranLponr a première partie de leur session (lu'i ne pourra üùÿer plus

de cinq jours, et de l'arrété ,de M. le Préfet dc 'l'Oisc, du 9 juillet cnuraql, qui nomme président du Conseil M. Dufay 1ère; vice-président, M. Uousserpèrc; secrétaire, M. Léon Itobal.

M. Dufay père prend place au bureau et déclare la sc.>i- sioti ouverte.

M. le Sous-Préfet, qui assiste à la séaiicc, dépose sur le bureau les pièces et documents qui doivent être soumis au Conseil danii la session, et donne lecture d'uii rapport sur la situnlion de rarrondissemcnl, qui fuit rônn.iîire tes so­lutions données niiX Drécédcnlvs délibérations, pt indique les olyels sur lcsqu(|ls le Coiiscil est appelé A dénner soij

iii, prnpositioq. d'nu membre, lo Conseil décide que ce r^piMt'l, br.ljnléfp^^au^ el.lrès-cùmplbt, scru Amiexé un

W i jr .’ Le, U o n ^ n Q r o p ^ IçiV^édiA.icmciù et sùcccsVivemcqi A l'examen di‘s diverses propositions qui dnivciil être le sujet du scs délibérations,, cl y statue ainsi <|it'il suit ;

A'' 1". —* liis lriic lion jiriinaire,Lo Conseil demande avec inst.mce, cette année encore,

qu'il soit nmnmé un quatrième inspecteur 4les écoles p r i­maires pour rarrondissemcnl de Senlîs, dont les écoles pourraient élrc ainsi inspectées plus souvent et plus utile- ment.

I.a division de l'arrotidisscmenlnn deux luspcclions com­plique le service c l nuit A l’cnicacilè do la surveillance.

‘A’" 2 . Hon/ra inipcria lcs.Le Conseil rappelle lovœu déj'A si souvent ÿmls Icnihint A :1 ’ L'adoufiissement des cùle.s entre l'iiiscux et Chainblv,

.sur la route.impérinlé i r I , de l'iiris A Calais;-2" :La l'ceijtication cl l'adnucis.sement de la côté de Vau­

riennes. 8ur |u route impériale u“ 2. de l*.'iri.« à..Maiilieuge. Un pr.«ûet dos l'ravaiix A exécuter, dont l ’utiliio est iucon- leslaiile, est depuis longtemps préparé, et n'attend plus que .soi! Aiqnieation . .' 3’* L 'é la i^ it^ n é a i de In-ronte impéHIalé h" lG ,’d(f Paris

Dutikett|llo.' .difdÿ‘'ra Ira v c t^ 'dé Crcilj bHli‘c IcA U lcili

N O U V E L L E S O E P A R T E H E N T iL E S .

Conseil d’Mrrondisseuient de Seules.

PaEniKKE P.VRTIB OB L \ SESSIO.N.SJanco du 23 J u ille t 1860.

L'an 1860, le lundi 23 ju ille t, A m id i.Lu CoiLseil d'arrondissement du Sonlis, convoqii

,--------------- , ('pfdii' I^ u ilA Î’X, w. ...ciirité' üur 'ud' péml bti, fléjim^ l^ ^ l l^ m c r t l 'd u ' chemin •de fur du Noixl. la cisculnlion c.sl devenue dra"p!us actives et des plus rapides. ' ‘ .

iY" 3! r - 7ioi{iç.« (iepàriemenlales.I.e Conseil faU remarquer que les transports étant deve­

nus plus i'réqiieiiLs parsuite des progrès du l ’agricullure et de l'industrie, les cliaiKsées des. roules üéparlumenlaïcs, pour la plu|iart anuieumss et mal construites, n'ont pu ré­sister paKotil anx, fatigue» incessantes de ces tran.sporls; que dè.s lors il y a urgence al>sniuu de rem édier aux dé- sasires «pii se sont munifoslùs, en aiigmumanl le t.^iix moyen de l'eiUrelien pur inèlre cnurant.

Une augmentation a été faite au salaire des cantonniers sur les routes départementales, mais elle itarail encore in- sulfisuulc; il serait nécessaire que ce.s sul,rires fussent eu- core augmentés, atlu d'avoir des employés dévoués cl in ­telligents.

Le Conseil demande :1" Sur la ronlc départemonlnlc i r t. do (Chantilly A Vil-

lcrs-Coltcrèfs,,quc le pont placé .sur le canal Sainl-Jcaii, dons la Iravci'se de Ctinntilly, «pii est trop éli’oil. ne per­met le passage qn'A une seule voilure ù la fois et se troiivu |>iacé de biais au bord de la céte. soit rempla«;é par un nouveau |ibnl d'une lijigeiir réglementaire et cousinnt dans l'axe du la 'ro u le . Dans son étal actuel, ce pcmt olfrc des dangers iucnniratabtcs. I l est fait observer à col égard que l'im pourrait s’adresser aux propriétaires du domaine de Chantilly, auxquels apparliciil le canal Sainl-Jcnu, et qui ont fait construire co pont <|ui. dans son état actuel, c.st iii- sul'tisanl pour la circulation, alin de les faire ct>nli'ibücr en tout ou partie a cette reconstrucliou.

S’S T T Ï U iB T S l T .

M A . R G U E t A l T Ë . 1

I l n’est pas besoin d e ‘dire 'ntic le firojel do v^c t^nhier, A Paritt i^titU cdmplètûmont oublié. m ;

Théodore savait les mn|hémaliques) la pbysiqùq;,il sa-; vni| fç grec, le liit ln ,l’Hl|miiàiid, lliLsloîra jçt là.phdôspphie;b ierip lus. il se pufuait d'êlrc pl|ih «-î-’- i ' —m ol «nulPiittivem .................... .....cspèlU sitr Ira idées p iéH qhM ra,ic l a m choses Ira fonclioilsdu (icrveau'niiihàih. Maip sur. lé phénomëno inconnu qui IrohblHll toiiC son i| ir’en,sà* vAit pas la,moindre chose'el it h^cn av«U rien qçvinô.- .

tÀ mot qni expliquait toiit ne lu i vint pas A l'esprit. Ah| c’ra t qdo co mot. jam iils son conir né l'avait prohoncé jus» que-la, et. bien qu’il bourdoniiAl sans cesse|daiis Ions k(» bruits de la nature, A p a rtir de ce niopiehli.po.ui:,lo jimno homme, il lu t assez longlomp^ sans s'apéroeviiijff.!quo |o^ roses et leurs sen|etirs. Ira oisunux et leurs chammira,.|os regards de la jeune tille, ses jeux, ses é liid ra ,i^ ,.parQ }ps, ses sourires, sès moiiyemeiits, tuut fnisajt; v U ijré h ^ i^q u e inslant dans son Ame ém uële rai^t nmoiir.', 'nn-i.

Pendai4\six mois, les jnura.se snccédèrànt'n^û'{]uls/ei..ra* vivants.'rhéodore ne se douta pohit.péiiuanl (dut c«i temps, qu'il aim ait, et c'ral pour cela qu'il.fut henrmn;.. . . .

I l était visible qu'iiilu bbllo éd|icatinn avait dévclitppé l'jn* iRtligcncc supérieure d u , Mar^iuèrite, ef que je monde, le monde distingué d’esprit et de manières, né ini était pus étranger; mais Marguerite ne pariait jam ais du passé, ni de sa famille, ni de qui que ce fû t; xculeincni.'Tliéoiloru sot qu'elle avait haiiité le Piumonl; «juelquoruis lus sites du

ce pays où sou cnf.inue s'était écoulée revenaient A sa peu- séu; elle lc.s dessinait de souvenir pour k<mi Jeune prufcs- senr, .Ma|{« des {«eraonues qui l'avaient élevée, auxquelles c||p,lcniiil, jamais un m ol n'était prononcé par elle. Si. dans Ira pi'cmiers jours, la curiosité de 'riiéodoro avait été pxcilé^e, elle s'était évanouie sans avoir été satisfaite : il no penS'ù.t plus qn’A jo u ir d'un présonl cncbinituur» ne s'in­quiétant n i du passé, ni du l’avenir.

Ttiéodore oubliait donc tout ce i|ui n’était pus Margue­rite.: èjle'sciilc, sa personne, son esprit. Ouunt A sa situa­tion particulière, elle prêtait enuora du charme A la jeune tille. I-e. myxtère qui rcnto iirn il laissait le champ libre A l’itnaginalion .du jeune homme et lu i permettait de la re­garder comme un être appartenant A peine A cette terre.

Sotivcul lus conversations les plus sfrlensus suivaient les. loçoiuf, théodore ne craignait pas du s’ouvrir, avec la’ jeune Marguerite, sur les grandes questions d e-la vie et les hautes Icçoii-s do ta morale de luus*lcs temps qui ont occupé les plus sages. Elles Iroiivaient dahs culic enfant' des espèces do solutions naturelles qui étuimaicnt le philo­sophe. Dans léprs intiiUcs entreliqns, il était, le raisonne- mont, elle l'inspiration... et ils s’élevaient ainsi jasqqlanxl sublimités de la pensée.

Et quand. Ils se taisaient, renfaui. npi'cs queh'pira niinii-. tes de recueillement, reparaissait tout A coup ut courait dans lo jard in parm i les l)vs«|uuts de roses. Théodore ira - la lf p.-frfo{s des heures entière^ iminubile A 1a rcgaixler der­rière niïo pèreièiine.

;Uu jo u r.q u ’elle courait ainsi et qu 'il r.vdm irait do la maison sans qu’elle lo s û t , i l .lu.vit s 'arrêter, écouter, faire un v if mouvement et courir ensuite peur rentrer ; mais elle recula, car (iiiolqu'un venail.au Jardin par cette > porta qu'elle a lla it franchir. Evidemment elle avait entendu une voiture s 'arrêter dans la .csnir et .avait couru au devant de ' ceux qu'elle auionail. EonnncNt n'avait-ellu pas dit A Théo­dore qu'clio attemliiit <|ucl«|u'uu» elle qui rm stru is iit des plus p.qils détails «le sa vit:!’ Uctic réncxi«iii lu i vint A l'es­

prit tout iiatiirellem cut et le troubla, quand il vil un tn iil jouuo homme, de vingt-deux A vingt-trois ans puut-êlro, apparaître et m archer à cilté do Marguerite dans lo jard in . C ela it un grand et beau g.irçon, du taille élancée et élu-

‘gànlo, et (luund Théodore put voir sou visage, il ou remar­qua tout de suite la disti.ictinn. Il était évident aussi qu'il appartenait A la carrière m ilita ire, et une décoration b r il­lait sur snn habit, i l y avait IA ccrtainciunni une amitié déJA ancienne, bien plus peut-êlrc; c'était lu première visite reçue dans la maison, elle n'y paraissait pourtant pas imprévue. Marguerite était joyeuse et plus .’tnimée que de eoulume en parlant A ce Jeune homme. Dus Conjectures A la certitude que c'était un prétendu, un liancé de son élève, i l n'y eut qu’un pas. Tlmodorc sentit comiiiu nn voile qui 8C déchirait dans sa pensée ut dans son cmur pour iiii laisser vo irm ic tons deux appartenaient sans r«:.scrvc A l'a­m our; loi'jalousie cria dans ri'imu du Théodore : Tu l'ai- inraavec passion et lu ne dois rien espérer’' La-commotion fut si viulcntc nue si» jambe» tremblè­rent c l ne purent le soutenir; il s'alfaissa sur lui-mèmc, prraquo uiieanli; puis, quand il revint A la vie, il s'écria avec une inexprimable »iigois.se ;

•~>-Marg(lcritc! Marguerite!Cachant ensuite son visage entre .scs mains, il versa d'a­

bondantes larmes.• -f.radenxbeurcsqiii précédèrent Icdinerscpassèrcnt pour lo i daiis la -plus vive agitation que sou Ame eût jamais éprouvée. Elle n'était pas encore calmée miand il se mil A lablo;AU reste, il diii.dt loujoura seul; Margiieritn était aervie dans son npparlomcnt au prem ier étage. Théudorc ne l’avait jamais visité depuis six mois qu'il habitait dans 4a maison. I l éprouva nu surcroît de tristesse «luatld des pas m lircnl entendre nii-do.ssus de sa têie «H lui appriicnl

-que lc Jeune onieicr y était admis. I l dîna mal, et sans la présence dos-domrati((uoK, sans la craiidc qu'il eut de leurs commentaires, il u 'aiira lt pas diué «iii tout. Hélas! le soir fut-eucorc plus triste, Marguerite no vint pas f.iirc do run-

sbpio, et le jeune étranger ro.sla prè.s d'olic. Comme colle soirée parut Irisie et longue A Ttiéo«lore; il crut <iu'elic ne iln irait jamais. Cepend.inl elle lia it (ont A coup, au mo­ment nîi il on dé.ses|)érait. l'.c i{ui la lcrm ina pour lui, co fut le bruit d'une voilure qui s'éloignait; il sc leva brus- «lucnienl du siège ui'i il s«»ufrrail,'c«»;irnl a«i vestibule et demanda au domcsiiqun d'où venait ce bruil?

L'est ce monsieur tnii repart, lu i répouilil-on.I l l'avait bleu pense, o'étall naturel, mais il éprouvait nn

tel besoin d'en être bien sur! Un peu soulagé, il su couclia et ilorm il peu... Mais il souirrit beanuonp, cl c.nume, après toul, c'él.iil uni Aine forte et courageuse, an réveil, sa ré- soluiinn fut prise ; Théodore nu dénralt plus ia pré.senn: de .Marguerite <1(10 pour lui dire adieu. L 'élait aux grands Jours de l'élé. (juand le jeune prof^seur eut l'ému ce (jui lui apparlenait alIn d’être prêt à partir, dès qu'il aurait pris congé de sou élève, il descendit au jard in . Déjà l'atmosphère était toute impr<>gnée de la sculcur des roses, et rien qn'A respirer cet a ir plein du voluptueuses icn- difsscs, i*u se sentait l'Ame émue. OclU'. de Tliéodorc n'é­ta it pas tranquille, malgré ses résolutions.

Il eût pu voir que Margnentc venait A In i; il la vil, eu- effet, mais iUiie vit pas, tant il élait pri':oceupé de ses pro- prra éinolion.s, que la jeune lillu était Iriste et rêveuse. Elle approcha sans rien dire, leva les yeux vera lui cl ''csia im ­mobile, étonnée du changiitnont sinislre qni s'était fail sur son visage; In i, sans la regarder.ditabù'sd'uuc voix calme, mais nénétrante : V

— Je pars en m alin, mademoiselle, cl je vous prie du recevoir mes adionx.

Alargucrile no rt^pnndit pas; elle s'assit et lui ht signe d«: s’asseoir A cêlê d’eOo.

Tons «leux restèrent .silencieux.— Une raison .. une alHiire, dit lu jeune homme avec

moins de fermeté; — oui, il est liulispciisable «juc j t m'é­loigne.

La jew no fllle voulait répondiv, elle ne h* [miivail pas

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'2- I.a rc fli f lru lio n »1« la ro u la ik^jiarii’n ic n la lc n* 11 , do- C lorn iiin l UtiaiiinoiH . à i ia ili i 'd u .la liiu ilc «lu di^pai lôn io iit du StiiuuHd-Oisü u l (!«> 1 Ois«‘, kim' æuUu 4 iiu tu , an inoyund ’ttiic .............. p a i'lin il du i:u p o iid «*1 a liou lixsant sut' lastaMui) «lu i hom in d e fe r du Ni»r«l û Uoaumou». L 'éiabllsse- m uni du ecHu s la iiu ii a iuV;«3 «les re la liu iis iiim ve llcs et lu- «lessatilos, r i t'iir iien ru de reulilH 'i' «'.«'nu ru u lc daus la Ira * verse du d f-parlom etil «le SeiMu c I llisu se l'ail e lia i|iiu jo u r s c n iir . C o lle urgourt^ a t« )iijn iiis i'il«: re etiiiiiiiu nii priiaùpc p a r lu C iiiiseil d 'arru iu lisse iuu iil de Seiilis dans |iiiisieui*s «te si>s d«^ni)éi'ali«uis, e t p a r Te Conseil gêiu'^ral du l Oiso. I.a dis laiico , au lunyeii d«<. ce lln re<'lilicali«u i, su Iro n v u rn il d i* niinui^c d e plus d 'u n k iio n iù lru p o u r a lte in d re lu «li-Paira- «liiro du rh em in de fu r c l le po iil «lu Ilu a im io u l. Si lu «lépar- Icm cu i d e Suino e l Oise oppose s«>u did'aul aliso lii «l'iulûi't'^l p itiir la re<dilicàlii«n du ru r lio iu in . lu Conseil peiisn «pi’on p o u rra it au m oins lu i «luim iioler d 'au to ris u r lus «toinniuaus hil«\russi'es à «da lilir à lu m s li a is ' le prolongem ent de la ro u le «l«!‘parl<Mnunlalc ir ' 11.

S" I.» m ise à ra lig m m ie n l du la m aison llilo r«>si)r In rnn lu <l«'(t.irlemuntalu t r 17 du C,m«»pii'‘gne i\ M eatjx dans la t ra - vei'sc de C rêpy . «>ù la d i'u x d ilio u .ile eettu m aison est «lu ta l'h is urg(^nl«î nûrussil«’!, m i'n ii: sans lo n ir «•nmple du l’a iig - inenlati«m «le u iiv u ia lio ii « i i i 'v a iié«'ess.iii’ui»ent am en er ( ‘«■Cildissunnmt du c liem iii il«. lin* di* P aris Soissoiis.

1 ' Sui* la rou le d«!'partemeul.de n* IS de Seuils au canal «lu r(h iic « ].

La iv ’e litlua lio ii «lu rc itu ro u le «l.ms l.i lr.»v«.M*.se «le .Monl- )«iv«iqii(Voû «die fa it un c«)Utle «•vlièm um enl |iri«s«jue id dan- ,‘ior«!Ux. Cetlu re i'liliir.d io ii a éiti r«*commanil«.V p a r le Ciui- suil gém ira i à .M . lu IM vfrI dans sa «li‘i'ni«''ri5 session. (»:i «liTiv nu ïU O dùde iv r lil ie a llo n ifiti ro n sistera il A fa ire passer eu lle « t»îilo «!ii dehors «.‘I le hmg >hi Villag«j au tien «ie l'y faii'u e i ila c r ro m ilieC e la existe m .tiid e n an l.

].«; C im seil lr«mve en ulfel .jiie «*e m ode «l«! l’ci liliea lio n rc m p iin ü l «•om)ilêlement sus vties.

;*■ l.V la rg isseiiien I «lu la l'o iilu i r «le C ires à Cil«»- eourl «latis la Ir.ivers»! de Ponl-Sam ‘li'*M a \u n re . au li«‘ii. li l Kne-ties i'e in ire ilis . p ar la di'-m oliiam des m atsotis la 'ln ’l «‘1 C ra iix . I l «‘Si e e rla iii «piu re lU ' rout<‘ à l'u m lro it lndi<|rié est li'op l'Ii 'o iti’, (U qni^ la i'ire iila li« )ii y e.s| <linirit«'.

U. La tépai*alion «le ce lle mi'^me r i'i i le e i iire S a iii l-V a is l. les-M eltti L-t le i heiiiit» «lé Ci’amoi.sy, «ni e lle est «'ii très- li ia iiv .is éta l p ar snilu «le la g randi* «rir«‘u la lio u ip ii s'y pea- li<|ue i‘i) iir le Ira iis p o rt «les p ie rres '|in ‘ r o n i i r e «les e.ir- l'iêres du S a in t-V aasi. Il fa u d ra it <[iiu les u a rr iiu s prisseid lu p a rt i « l'c tah lir m i r lie m iii «ie fiu* a m é rie a iii «iuiil les ra ils sera ient posi-s su r la r.m lu t r ' i ô du eitté du C il.x 'o n rt, où r ite est ü iissi liv s IV«-.iueiitée p a r siiil«; «lu v«iisiiiagu «le» nm nhreiises usines de la «alléiî «lu r.\«U om uc et <1» eaitlou «lo Cl-i'rjiy.

L 'au g iiien ia lio ti «les n-«^.tits ir . -n lr i’ l i i ’ ii «lu e«*l(e m«'‘mc I on le u ' '2r>«!l de la rou le ili'‘parl«niiinilal«; n ’ :ld . «ii* l'o n la itii'- le s -l.o n m à Lo ii\r« 's , dont l«*s e iv il iis s«mt iasuUisanl.s poni les eijtrel> ‘iii r dans m i lion état «!«? v ia liilité .

.Y -4. — C ltn i i i i i f i «/<.' ijn iin lr - r t ' f i i - n i iu io i lh f t .Le Conseil, su r r iu x ila lio u «pii ii i i «:sl fa tlu p .ir M . le

i'ous-Pi'él'e l, prun«) «:imiiai>saiiee «lu «!«>ssier re la t if au e,!ic- n iin «le graiu lu rom m nniin iti«m i i ' 18 . «I’.\«t à D a m m a rtiu , «d «'st «l'avis <|iii> la rou in iuuu «le l le t / soit «'oinprisu datis la «épai lii io u «l«*s fra is «l'eutr«!ti«m d e rtî c lii 'i i i iu . ut «pie la iv - p a rlit io ii d«« ces frai.s r n i iv les ro im m iiu s intéressé«‘s soit é fab lié ainsi «pi'd su it :

lli 'e z - l'o .s s c -M a r lin ■ . . . 1 0 p. 0 0A e y -e n -M u ltic u .....................................■ . . , 5 i) (t 0llos«>y...................................................................... 15 0 0K la v ig n v ............................ ........................15' O'OPeiz. . . 10 O'O

MW p. 0^0I.n Cmiseil dem ande la ri^paralio ii «le la l 'iu i ie de j!ra«ide

ro m m unir.a liun ic 21 , «le C lijiu tilly ii.C lia iii|) iy , dans la p or­tion canuprisé e n ire la ro u le im p é rio lu i r 10 e l la rue dus Fun la incs ù C lia n tilly . q u i est e n , m auvais é ta l, en faisant <d).servcr «pic des U ah ilan is «le la v ille die C lia iili l ly p ara is ­sent disposés ù l'.unlvibùur à c e lle upêral'u,»» daus une assez liü in ie p ro p u riio u .

•Y' 5 . — d i fu n i i ix de m o iio ii iu ' c o m im in ic it lio ii.S u r l'in v ila lio n «lu M . le S m is -P ié fe t. le tionseil a [iris

rn im a is sa iire du do ss io rd o rlium in d'intéM'd eon'im uital «le Ilu v y an elien iin du nioyeiiii(>r«>im unnu'alion n 10, «le C réjiy A I 'e i bi!i-ie, e l il a été d 'av is <|iie la «'«uiimniu: de llé lfjan'- u«mi I ( |iii lru n \e a liso im neiil «laiis l.i in tim e p«isiiioii i|no «u-llu «le C ilo ru u r l, dont ull«; fait p<»ur .itiisi «lire la eo n ti- n n a lio n , devra it ê tre ro n im o re llc -r i rom pris u «lans la ré - p artitio n des fra is de ro n s h tie tiim «d « l'u n ire lien , et «pic «elUi ré p a rtitio n p o u rra it «'‘ tre é ta b lie i*otiimu il s t ii l :

l i n v y ..................................................................... / lO p . OOS é ry -M a g u e v a t................................................. 15 0 ,0C la 'ig ne .s ............................................................. 15 0 0t h i 'o i i y .........................................10 iK t«iil«icom *t............................................................. lu 0 1»H éth iiic«)m t ..................................... 10 OU

ïtto p .7 i'o " ~Le C«>iiseil. lo u jo iirs s a r t 'in v ila lio u de M le Sons P ré fe i,

l ’sl d 'av is i)ti«' la ré p a rtitio n «l«*s «lépiuisrs !vl:div«;s au «-lie- • iii ii «le inoyumiu «•im im uuira lion ii" M , « l'.lry à Mi’a i ix , el ')n i fa it la i*onlinn.ili«ui du « h iT iiin «h* gr.m di; ronim uuii-.'!- Ii««ii ir 18. d '/le y à D a n u iia r li ii, «l«>il l'Ir i; la iiu'^mi; «|ii«* r.*ll.! •'tab lie pi'éet'’d«'nim i'iil p o u r ce d e n ii i* r «'liiuuin, a iiis i «pi'il ■-•iiil ;

lt«‘«'z l'ossu M ai t i n .............................A r v -« 'i iM ii l l ie u .....................................

• tb .soy.....................................................lé lavigiiv ................................ ....lîo tz . . .....................................

la foiv.e fu i inaii'iu.ol et !«■ siie.i.'u r«'r nnmeti.;i, «’.epcM.laiil «dlo r«‘pi*rt ««Il peu «II* eoiira :i* et «lit d ’une voix faible el .■.i<'4-aib'‘0 , comme rell.* de (|iiul>|u'uu ipii l'ail elfori p«>ur s'uJUp«'«‘liiM' 'II' pbmjet ;

— C'est b'icii m.«lheureux p«mr nmi.Tlié(>«lore lit un monvcniunl, et la «iouce enfant reprit

avec nn«ins «l‘',i»gitaliun :— Mais «juaîid un m lüiuur vimil. il t)«j vient pas scu'.— l 'i l malli.'.'tir'' dutnaiida Tbé«i«loie élonué:. l^t, JeLiul

ti‘s veux sur e|l«% il la vit si pâte «pi'il suiilil «jue le uliagriu venait «le passer par là.

— Oui. lu i'lt;igi'i:i. el c'est ic «ini amemitl muu fi'éi t; près de nmi.

— Votre fj'ère! s'écria vivement lujeum ! homme.Mais Mnrgnerile ne lit nulle all(‘nlion à >a Lu-oii sîngii-

liùrt' lioiit «es iJen.\ iitoLs avaient été pronojuuiis. Lllu con­tinua :

— M«ni fii'ue de mèK*... rni'ii deuii liûre,t<iui est i)fii«*-ier daus un régiiuuul du m i du Sardaigne.... Mais il y a l.uit d«‘. « luises «pic .i'igimrudaus ma dcsliiiéu b izarre,'q ii'il lu ’usl impossible du lus expliipicr aux .a utrc^ cl à m««i iiidiuc; tout «;e «pic je puis v««iis dire, u'esl «pi’élevùe ,'«vec l'espoir d ’une f«n'tuuu rimsid«irable. il est eiu tain mainluiiaiit «pie la m«^ «üot-rilé. la pauvreté même soroni mon partage. L'éduca­tion «pie je recevais et«|ui devait cunlinner euc«)rc deux ou trois uns m'ufil été plus nécessaire «pie jamais, Llle me.se­rait devenue une r«>ss()iirc«i dans i'inl'orlune. vietait aussi le ü i^ ir cl l'espoir de mon fn'irc.. Ces paroles étaient simple.^, elles nnnon«;aiunl on m al­heur, et cependant le ei«d s'unvrant uvcc,ti>ûlus scs .snluu- (leurs el loiil<;s ses délices n'eût pas rempli l ’âme de '1 liéu* dore d'une plus immense félicité...

I l resta muet du surprise et de 'jo ie . M.irgucrllc s'élail levée; elle se Icniiil deijuul devant lu i; ses paupières bais- séi>s uTierch.iiunt â re le iiir sus lm-incs; «:llu ne parlait plus, mais qu'elle était louchaiile daus sa pusu désolée!

Tliéod'ii e dit alors ;

ÎO p. 0 I)50 0;0

10 0 0RIO 11. «tu

onl^élè de G.407 fr. 05 c., landiuqiic lo /o iids li'akdlSinHiloilU àcliiut u'esl que de 0,150 fr.; Il s'cnstiil un excédant de dé-

»ueiuti de 1157 fr . 05 Ooiitwil «u w tatB a iw h itravail des bureaux ayant nugniunlé â i'iiin iil, (I y aurait

;,nth»ssUédfi.proi)4rp dp ”3 e Cnnsoil. diHUip '*ffuntls d ' a b o n n i m . . . . . . , .,1 11 est év id â il «Itto a tî^ ^ M a Q à n I t tIdo 1.1 -s«ius«iiiiKrcctd|jff«inl^eti&)re^

\ ' N “ i t . ~~ Ü tU fi^n trilé ii^ im en tau xJ }LcCoîwcH x - ■ • • - • .Vu le» divers devis rédigeas par M .'D rIn , nrchilo«;te du

I (liudiiHUln de llel'.ul i\ N u i j i l i j . « i f l | e l i A . i i - .•nie mellenil liere ii el i , . l l l in , ,K i l | ' . i J t * : ''eicali.m inee :\euilly-cii-Tliellc, N e u illS V iWelTeS son leicossal-

wL.i‘t.s>^l^oe son approbation aux dépenses ei-apres ^■ l*'^a5I2 fr . 05 «. pour travaux A exécuter A la soiis-pré-

1 c r.«)nsuil, adoptant lu pi'npflsitimi do M. ringénicMir «;n elmf. est d'avis ipi un uliumiii de moyenne cummiinltndiüii di; llélliisy à La Crolv-Sainl-Ouuii suit c l a ^ ^Kuir Ik ir tu lii . pnilongemeut «lu chemin de moyenne communication ii* 38, »«nis le noiii de chemin .d'Ormoy-Villers â La, Crpix-Saiyl*, Otii'ii ou t'aunpiègue. j

l it . eu oiihv. te Conseil demande : ' 1 'I * Le «lassonieiil d'un'chtunin de Lanmrlnyo â tlarAn-

«umimo prolongement «1 c«‘lui d e Plailiy à Lainorluÿo,f<tliL prendrait .vior.s'iu iiorn «lo nhemin d« l'r iilly â Ih ifa il. p.irlie du ce chemin entre le Lys el Ui>ran est dé;i(!i.eunsti‘ ||o! par (les souscripljons vulotilairu.s: il ne rcshi siruirc ipi'unu latmue «le 3 kilomètres entre Lamorlayo oî le Lys;

2 ' l.i* elassemcnl par Cnmy Ce clteiniu à Ibiraii ('u rommu 1*1 lltvmv;

Le (dassemeul d'un rhi'm in «ri'lly-Saittl-('>ij^rgC3 â lastalioii «lu (')iemiu de fer «le Mony: '.««Ai.

1* Lorlas.uîiui'ut «l'un chemin «le Viller.s:Sai«it-l’ ra:nboiirR^ à Vern.'uil par rii.*iii'm('s, «]ui «si d'ou-* utilité'iiicunltisLiblp;

5 ' Le «•l:*sseiui*«tl «l'un «du'uiiu «rivrimmonviirc â flam- m .irllii p.ii' Viu-, iloul. on préjiare te |ir«)j<d, Celte ligue'évi­terait un gi'aiid détour iiotir se reu«lro â Uaumiarliu.

-V" 0. — Ch.-uniiifi v icm w .v o n lim iii cs. • _!.«> t!.«ns«*il pi'isisleâ «Ij-maiiiler «pt'ii soit pro«*6dé .in plus

!.\l possible à «me révision géné»xile du «da.ssem.iilt drt« cht^ mitis vieiuauv dans i'.ai’rondi.ssi'ineiit «le Sentis. De lipu- veaux l-esoitis se soni l'ail s .m iif et il y a iit ilil.lâ elfisscr «Je nouve.iiix chemias comnni â-en «h'-èlasser «faueiens d.^us «•«•rt.im.*s b.«i,ililés. l'ue «évisiim g«'*mhMl«* provofV«IAt‘ â«i- pivs «les miiiii«'ipalijés'«*sl'ibuie im lis|’eiis.il>li*, «'-ai*, en nii l'.tisaut [>;)s nu travâii'«r«>itsi‘inble, ()iUis ipn*b{iiesvànn«bts, ie Iravail «b'vrail é ire (•'««ron! nr«:oi'nm«:ui’é.De.s él.issvùneiits l>.iiii<.‘ls lie ««uupliraieiil |>.is le imuiie but.

.Y ' . — Coui LYiiim tli'.i {ijrjiliilfoiis.Le C.'uis«‘il propose «le m .iuileuir. pour i.SdJ, c«)nf(U*nié-

mi‘iit à l'arlieb; 1 >i«* la loi «lu *21 mai ISTiti, lu laril'-de' la «amversiuii i*n .irg.sut «l<* I.) iireNtalion («a nalu ie de chiu|uee.spei-c «I.! joiii iiéc. tel i|u!il a été déjà arn'^lé par le Conseil

N- 8 . — ChrmiH i l r f i r . K,L«* (loiisi'il émet le v«vn «ine fenibi'ii!u;hi*ineul «le Siinlis

A Cli.udilly sur le «•.h«*iuin de for du .Nor«l, soit exééi(l«ydaus le plus br«-f «léini p««ssibiè: ' • i a . « .

I.es «.pérali.»ns luélim juaircs de cet c m ^ ’amdienlèut stu-; bissi*nt ilepais «jiielqije temps ..un n û .in i «lui luquièle eS p.ipufàtoms iutéi«!ss«‘es , Vsi}ir«'lles ne s«;niiil rassuiVa's iju'apiv.s i|Ui; le.s tr.iv.mx si*nud «;oiimioncé>i.'

•Y' 0. — ’ UUi ici's c l fitiitm riu la^ln tu .r.Le «;->nse|[. «Nui.snléraiit «pio les matrices et.pliins caihs-

lr .n i\ s«ait. «l.ms la plupart «ies eoiumimus^ut li'ès-nnmvuis ei.il, et «'ouverts «l'auiiolaiious e l nimlillealiotis <|ui en reii« dent l'osage pi'i‘s«|ue imp«>ssilile, émet le vuju ijii'il «ç il [«l'oi éilé d,ms rari't.u il ssement au rcunuvellemejit des plans el m alri. os. • • , , >

y 10. — yaviijiUion lie l\(}f.KC. ■ , , . . ,l.«! Conseil'«Ieman«lü que les trav.aux «hv«épar«di«viiidc«î

brrgtis «le la rivtère d'Oise soient coiiliuuéessniiKiiiterrupr lion iliuis les endroits («ù les berges sont «m«'.ore dégr.vdéc»/

.Y 11. — Itunu fii i lo r v i j ic â Hiuiiii.^

l.e C.mseil riTonuaîl «jue J*inslylliitî«m d'«iu bureau, de r«!gie pour l.i m arijia serait Irps-iitile dans la «;ppjiûiinu «le noraii, pour servi»*, • «le sou pont. Le Conseil appùfe,vive- ment «’t renoiivolle la «lemanJe furiqée par cette (ozmiiiime pbur l'oblenlion «ie ce bureau.

iV 12. — biens domaniaux. ,« 'L e Conseil rcn«)uvolle le vm u q u e le» b iens, f«U(*tl» et b â-

lim e n is dom an ia u x soient Soum is au'x ccnIîm«}s'Hdd(iidh>« nets. e<Nuimniaux et d é p a r lo m n ila u x nom m e le» p i'dphélé» p artic u liè res , pu isqu 'ils pr.>lU«»nt c«»mme ces '«lernièrek de» «lépenscs «lo polii-e e t de v o irie aux«|uelles «*cs cen llm os s*éht dc.slitié» â fa ire face. ‘

-Y' ir». — Race vhçiiiU iio. •Le Conseil « lem aiide. po u r 1801 , i'a llo ra ti«m « l'unt'som m e

«le 'J,.')Od fr. p o u r ra n ié llo r iiliu u d e la race «dievaliue dans cet ai'i'«Jii«lis.s«mieid. . . . .

.Y 15. — l i i i / i i i i SUI- l i 's r/«f«'»s.

l.e C.m seil, poiM* r«m ié«lierâ bean«*oup de dihi«*«iît('s s iir - v«;nues «hms l'a p p liea lio n «ît r in h -rp ré ta iio n «le la lii i «lu 2 m a i 18‘i5 . et aüu «l'év iter les ain tm afies <{Ui se jirés eiilen t dans le «'las.seuietil «le ('.«mtomne â n(««mimne, «Vmcl le vum «jne tous les «'hieiis sans dis ii« iclion si»ienl .soumis ù .n iic taxe uni«|iiu e l m o dérée, à la seu le e x te p tiim du e liie n île l'iive iig le .

.A" 15 . — E i i ip ’o i'.d it I'o ik Is üo non va le urs . '

Le CoumuI «loiim: a«'lo à M le Soiis-Pi él'el. eon fo rm én ieu t . i l . t r i . 5.5 ii«: l.i lo i du It ) m a i 18.">!>, du «uunple d'«;mploidu foiiil-; de non valeurs po u r 1858, «*ii « e ip ii ............ « a r-roniii-ssoiiieul «le Se«djs. «*i «Im pie! il l'i'suUe «pie «l.ms la stiiitiui: «le i> J , t l5 Ira iic s iir.tu>i'dée au «léparteu icnt s u r les {'«m.is .ie 111)11 va leurs ,^ !jirr«M i.lis3«m en lde S m iliS a iin rlie ipép o u r tiu.' so jiin ii’ d«j .5.5i».) t r . 19 «r., ;'i raison «|t:s perl«s 'eu («neiiiis reg id ie re m e nt élalilie .s, s.uis éga rd à Sun ap]i«>rt «'ou li'ib u iif dans la masse co n im nn e . » • • •

.A 1«>. — ICmi‘Un du fiu ids d ’ahotu trinc iil.Le Coasi'd donne «'‘galtm ient ai*lo ;\ M. le Sous-l'réf. l du

«•omple «I em plo i «lu fonds «rali«*nuem enl p o u r la K diis-pré- b 'c lu re , ih i.p ie l i! r.;.su!le «pie les «lépens.fs d«: toute iia ld rc faites peii la u t l'a im é e 1859, p o u r le .service «lc.s bur«îaux,

dçf thcMcL C«;tio dépons«5 a pour -;ah}elMS^i*âilst\^ctlAn*(H} pMncliur do la gruime écurie qui lucnncu rtiiuo et la démoliibm d'nno polito écurie dont le» •murs sanW ans tn^ lqs mauvais 'étal ■«■‘iïlfc rb îrlh rtÇ cé i ' striiira pas pour éviter un rccuicmcut

2'' 719 fr . 70 «. pour travaux ù exécuter d.'uisila'coiivcrnturc du combb'v au-«1(j$s«is,dc lu Ghanilp'o d'iiistructimi.

3" 4^7.Xr. 98 r.. puur rétablisscmuut «l'uiw iioiivckle wsb. lerio à la «lase.rnc de gniid.armerio «le Vm berie, collo qui exi.ste urlucllemenl élanl lium idect insnlubri}; lék tournais des rheya^x,des gendarmes s'y d«,'tériürent„çutpn|ül«;.i}ni«L

y * l^ .^ 3 Io lf i l io i^ d c la s o u i* j) ) 'c le c lw e .• HL le S«ms-Pi'éf«*t donne *c«>m»îtîs»,inre ''au' C«»lisf*il «l’ujl

a W 4 é ‘db M; l«i Pr.-fot du 18 «le ro iip»is; «lÙI Vn'itftlnr! M^I. l)ûf»y père M L«1on llebal, membres du C«Siisèft,'pimr'|li*rt- réilerum réeob'iiicnl de rinvculnjro dti iim bilior’dp ||i squs- préfecinre. ■ ' • lu e - , iohr'«-. . ’o - - i

1.(1 Co'Mseil d'nfrondissoimmi prldile «le, rft«;é!^lon’<^ul,lui est olforir* poim''dèmiin«lRr que «les rbiéàii^ dii‘dès'm*r- sieniies- s«iicnl pla«*éii‘ aux felièll-os de Li 'sallc dcS sénhrals' ; rxUlesalle n'«‘»l pas liabitnblu penllani les gl'âù«il‘si:li;th*urs.

' '' ■ ' ' N 'i yX'^ - ^ ^ l t t s s ç m c i i <hs ( t i r h iv e s /

Le (amscil émet le vuni «le v«iir «‘onliniier rallor.ali(«n de 3U;) f«*. arcor«iée pi'iir la «•«'uiservatiou et !«* clas.'.emenl des arclu.ves, fort pnéciuuü pôur:l'£trr()ndis.seniciiL ■ '

iV-' •2(L- 'Saeiété d’(i«/i'«'èn//nre.' ' ‘ *

errtlfleuffc 0 « «aiilirrt (Ce fNiitlIle'**** ' M i l i l t i i r r M »9mtt le s ( irs Ife U n K .

lleauvuU. le 37 juillet- 18G0.Rc bréfel de l'Oise, Chevalier de la UuioHal'Itonneur.

a .1I.V. toS‘Mtih'bs dvt\it!iitittèidcAi.

Messieurs, Maréchiil Blimiiire i'(lti. b iiG iio ri^n fait (înmiaili-e A .son cullègiie, M. lo Ministre de l'In té rieu r, «iim d«w plaintes lui parviennent chaque jo u r, au sujet du la légcixié que m ellenl certain» Maires A délivrer de» ccril-

^ llcal» do,sunj|cii do famillo aux militaires sous les «Ira- i J I f i i W l M u ‘tv *--. «w«<r<i$ie*4#<*iwa**

(.(» complaisances coupables font naître chcz'lmaitcoiip de Holdals la pensée do qq illqN u.f$rvice; d ’un autre c«Jlé, les t.liefs do corps, ne p«i1iVartr pitw démi'ler œ qui peut «.Ire vrai ou faux dans le» doinninles nnilllpllées qu’ils re- c«Hvonl .s«int exposés s\ dç rcgrx’tfableÿ ernsui*».' ■MPic BliiilsIi'O'dc'ln flncrrc'ajnnte'qdo si éc'f é la f Ae çlio-

“ «'‘“‘■«“‘■“ il 1“ e' iu|annoi ic f & l e dc'IA"déhVramu’désécrtiOcnls.'’ ' '' “

Jo y«ms rccnmm.in«lu, Hessicni;», d'appùirteè''l3 îil'iîil tfldnde eii'e«mspeèlioh «lâiilî lié dèlivraùtÀî (fc i 'è^rliiïcals «huit il s'ajfii et «le viin» éWùîticr'Acèlinnhùisèm'cnl 'nfi ilréa- ftbio sitV la pnsilioH'dti fatntlld’dù m ilila ird qui tcréèlUilie.Une alle» la li«U I il 'l ‘éuillil'>l‘0 ntlLrn.rpi-:iîl (rr!>v.niiiiiU 'l.,-U.v.v-

c «le qu'elle se propose 'd’établir prochainement en faisant lesgustilicalioiis exigéesqiour sim eihploi. i : :o< | i

A’* 21. — Cai'i l ire s sotdcrraincs.*'I.c Conseil, potir'éviter nc'èirieiil^'grav

firéSbnléih «|Ut5 frbp SiJUyc^J'dans rarroiijîisîii:;>eiu(in,t (|o & n .«sool i«v urnii.tii'ù

A ; 22 . — büçifui's m tx eiifa ids non assisles p a r l^iÇhdfibi'ih^alei i: Le Conseil, en remerciant i'udininistralkui '«fnicrédit dÿ

S.OOÜfr: |m nr secours ancordi-s aux enfants Konutéidistéit par la charité légaté dunt i'n tllilé no saurait ôtr-d méi'ohmib, 'en demanda la eortliiiiiatioi'.

' • " A " 23 . — l'it> i‘els'fti^3c'àuvriets d cs 'h a iiiji^ iiè s .Le Cunscil é|i|ot lo vom qije.les <>uvi icjri; liufi Piuuppgne^

soient aiisiiiplIisA f«u*majd^ du livrejià.i'inslftr.dtvi nih vijers d ^ vi|tçs çL des m aiinfaeluri'», a(iù d'asftttrcr la loyauté «le leurs éiigagemonls envei*» leurs'maiircs.,

A'' 2-1. — Alhtm elles chimiques. lo! Conseil é n ie lle vuni qq'il .s«Mt pris.«les incsni;(» pour

réglementer l'iisage el le mode defabrlcatioii «hts ajhinpdtas «ddhilqucs à relTet d'tdivler'iijjx daiigm'S «riiicendlè «luiVé- sdlUïnl trùp soiivcllt de Icùi'* nsaget .

iV" 23. — Projet de cûdc rural. i .. l25 Conseil émet lo v«ou que le pi-ojul- «le cod,«« riiVal t|ui

est attundu dcjuiis si longtonip» soit iirom ptcincntcnnvürli on lu i. : ' « ■ • . !

A '2 0 ; — Récoltes en i'èGO.'!> ' Conseil, appel»'* par M, 1« Soiis-Préfet i\ doimei*' srtii

avis s ilr les r«ysiiHafs |tn«bables «Je la rééoll.e de I 8f»l) et sur e«>«|Ui re.MCiles récoltes précédeilleî^'en la'«:«inipar.'ml sflil réo«)He d ’une anm!e ordinaire, a consigné sou jIVis s'tir'Io tableau ci-après. • ■ '

N ATÜ ItK

- DE» inoDuiip.

Q lU N T iT É j Q l ’ . I L lT I v «roinpar«'-o | cumparée

A lino année A u p ti a iitiée.ur- q rd in a irc . | ' ; d iu :ip ;è ., .

h E S T A M ’ilKS néctlLTES précédentes.

F è 'rn iu it . . . . SI i.dé.A vui'fc , . . . o ™ . . . . . . .Ihn ilu ie de te rre

K-alé. .If?rél*ieùri*S upérieure

l«1 . . Id ; . .

r ■Pré.shnii'ehniihé

1 I«L '. . . .1 Id ...............

K l. . . . . 1(1..............

'r f ra u t . ’

l iK - t s I rail observer «jtiR les nppréciatiun.3 nu sont «îoiiitées que d ’npiè» tu» aiiparcm*e» de la récolte, cl que l'é liii do

' I o.tHi>i|»id iûre |»Mt nopp w k»» dw ehangenicnl» A ces appré- einlion».

qnalrc heure» du soir lu Consoil s’ajourno au Icndc- dpain m ardi, A deux honrcs de relcvéo, pour la lecture e t t t signature du prucès-vcrbul.

iriietiOn ‘dit .Milit»lr(i rie la Guerre, du 21 sjqilembre 1830, dont les prlu«:ipal«w dispiK«ili«>ns »«uit -reproduite» au lle- <«î<F.lt:J«8 jAliiÇ|vad«iiuislratjfs,d«^ji|dilei;aiméc, pUgesritil* ut suivantes, les M.rtre.')d«Mvqnl; i»«l«]|HUi.datuiuuui dus-iiinycns aiiilm-iiqiMpjtMd<mtiils di»|»oseiil.,ho f.iirc assister de/«Kiix louiom-s». pû|'e«i do, jmi.niwig»»!!» <m.^ciÂvilé de service uiiuléx

PIM' ic .w r lp o n r ciqi»wuvM:.« la furm atbm du ;c«mlitf açid.d«îiî»m', «lasse, .d cIe.sl|Ciiuqeinl,ouiiml avec cesitéin»»!!!» «m.lvl WVlMK'ut qM.e l« requérjtnl.eül rm ilquo ut Üldidpuii.. sable stmtioii de sa fam ille. , .| ;. (lqqovç*4,,.A|c>«icun«.,d:p».sMlli)CU ,id«: mu-ytonsiaiSrnli.in

■cm uf .. < bi- .Cin:v«B(iUj).

1 f^irwï'rôni^doiM.' lé- ro'-r«Jl, en diito dif 27ijuHlct l8 « 0 , jos étc«5teur» «lu canton de Liamuiurl, arnmdis-u.'muiil «Ic'lîh-r^ m onlj nqiit c i« \'« p j’é»a:|>ifet'«lopr«»('«!ihù' À'la iùSfÂVtfni!«m d'pu.tteniliiicdmGnnseilgénérnL eli Kimplae'émebrdé'M 'lü comté d'A'ntMânl décédë'. • i •jimi-*-«; i'i.>

U p onènitton»iàur«tn| lieu fedfUimicùèllO a«ifdq8 f?8 > hOIA t(4uloAdü.H>iBuinmmio» du rluitoiii ' < i ' tii*«i.. .i.’i•y.-1-. i oh M n*.',. . I i i | '• ; • ! J-i ..,iu K ,‘tf«p'. i.l

— On nous écriUdoLinncouHiiimvAfi'IOPaiinhi dMHdlAui rBpitaukeidlélAtmiujbr,<atdo-d8«üaibp dlo PCiAMliVur. ««d le o*Nilid«lih|-oarilp*'pbui>.teK«priichaiûe(i èleoihnâi‘ lanji:«Vn- seil général.-iltiod'AiidlAu a dAjà' iéviiiymi^dhiirtt'deit’.^élcet tëursi codimc btelilél ita u ra l«rar»(iniirrageM. bi nousisMii-me»:moniusdé'iqN<’i l ‘ s«}r»'d'à(rt«nt’micuit>.'Weneitl}'daril('lii seul diiiG«»h»oH;2éiiéral,iqH!(iiUrc’Ie» q iia lllés^ iiidéitfik ih fi (ïtwntv Hl ducoéiUralA mm 1>ëÿe;<qHi lé tà il si értmliiWbiWèWt «Mtwiié; '! '! CoiMlBuDMoisund. ^ ( lU è iiilèu i'•'<■1*1 • • ; I •' • /U!»l< : .1 -f. f'ui >}ii

■ ti'' il i.'T'? • ■ *b'-'« i . j '•11.'‘l'iu'jîf

<««« olMlliatAO feanveliiso. «liiiiiüéKi isnieiil jle.zclii fit de «liiï.iuciiipiil. e l «•llir W )i'ih l'!l'ffJ i‘,Vli:

p him!a)l|iiililldlfe«eêll!W Uni)(,1he(rfdüfa ï î c l I l f i . M ^ U'iin'jAWclÇ.ettrti^t'hHètilisWJi'tfiiriiiyiwa il a ïHforiHO.''' ' ■ •' “ ''l ' • ‘' ''l bi*'-- I 1 . • :i - ,.T^ ■•') «• - ' ' l i .J ' ! ' I m: -lU'.-l ,i!.i cr .'. , i'- OII.AMOIAKO', rAmdtnMdri'Ormfl/.'-L n>;lhs nùircr'rià'hié'ro du 7 ’jiiillohdeirrder, nerf» avons parlé doNliVim\>éi4e» fa ilM A PierrèfmNisdeS éesIcA de IhilAire rotiialu et de tW itw dé vitlRsoArn(ile»8bus les «létriins’do In-foi’AL ’ I ■■■lu,'./ <<,

Véici hu uriîclo' due PoirnoiH comiiiUiiiiine et q'iii ré t.\i b ll l le» fail» IH s’qnms dâivcnl être : ' ■: n •b'M . M nrèlM l’vicm 'do pllblicr, chez 'Dentii. iiif éùrt*5«yé

(orno do phnctiéit) «iiii Iniéresste im ih j tiri^midiiisèm/'hl; et îAïrtédI rdllcieW'Uuctfédo'Valrtis, Célèbre d.ink le» àtin.ilefe dé'ln ré«dlaiiié p iir le» rés1.Htftnce9 é l le» sièges do» cliAIcad^ du Vca et dvr l'iëi'rofomlsv »i bioiî'Coilhii» do iiolik. ’ ' ’

C'est avec raison que M. .Marchai d ii : qu'un Iniérét noii- vbau va r«îllei« Ie9 AütiVèllh's d(î iiotrc hidliiinî A èedx «lé la d«mihiali(Vti 'dd'iW iiptd'iVdnâinvdonl l'ehiplre ^'esl élcildtljus«pi’tihx «lentière» Ihiiitest'dè’ia ic r ro . . . ■

''G ln m )tli(^ (•»! sitihVsitr'le haut du colertu quf géoari* la vani^'UnAUlnimie ef'Ia-P irèi de C«)mpi«>»n.i, «•«hIo lléiliisv et OWvAiy, el'il ppii 'd e dlKhhièe «le PleiVi-lhhds; les ‘cofi- rtviicUtms quô'l'oM y dértwMrc, ht m.vgnilièem-è des refilés qm jaillissent do toiiièn ■pm'b^Ldémiintrént le séjotié lU'il- limKiVdoaiHmAahhfiMns"ee lîoni ' . . ! i ,< ■ Üii'rtiédaillé do Suiuie-lléièiic habitant Orr«>hy est lè giinllfei» dè» rilino» r«'centm«Ait' «h'-converies', (|iticiinsisléni iiol-autmdnt on uH théâtre .sur lothiel il ne' nVamhie que les acteur». * ‘

— .h; le-iie... si v«ins toiib z... ««ni, je re.' t«\ Margiiorilê^ sans «’.h.mgc.r d'alülm h*, b*v.i v«;rs b? ci.d scs graïuis.yeux liliîus polir le romi’rnei'. Houx larmes s'é«'.happèruii1 lie *.H litiig» « ils cl «■oiili.‘r«mt sur scs i«»u«*.s laimuni «lon.v ptirlc»; le jciiiio h>>mm«* «‘,ùi v(*iiln les i ciuicillii', j| K cnivi'alt A rcgar- «1er ceii«* ch.irmanit; Inianlé ; elle aussi était en proie A uqo vive emolioti, «*l <|uuiipie |»,is un seul inol ne fi'il prononcé ciilrc eux «jui pût rcssciiibbir à une parole «l'aiiiourode ce mumeiil leurs Auii'.s lureiil unies [lour ronjuurs.

Le joiii' méiim, les et :id«.*s reeunimcuconml pour coulis nii«*r phi.s si;ri«ms«*s et plus «bmec..s «m niéum lemjiNiipa» un mot m* tnt «ht pm«r rappeler le d«'*parl, ui [>unrfau»jillii- sion a l'o «pli s « t.«il p.issé. Mais il y eut «piciipic clnt.se «le plus iiUitni', iiiio commiiuiratum plus c«impl«'!t« «lüs idéM. Un pensait ensiuiiblc, el les iiu;'i'e.s.sious «le l'un «'oniplé* la:enl rcllc.s lit; I .'iiilre. lis e lit un insi'ilsibio Claloux'nn^ lange «!«.* leur vie; neuM'c p«uji' pensée, étincelle,pour éllii- «■elle |t ni) «’ôlé la li«*auté («nre. «télii'ate, almaïUc cl pleine «le «•onfiain'0 , «!(• l'aulr*', la beauté l‘<irtè, grave, aiiiianlo aussi ; mais si U* jeun»’ honiiiW* savait iiiieii.x «ie «lui sc pas­sait onire eux, U n’rn « lait «pu* tiln sa ficn tlfâ protéger, à tckpcrt« r l'umoccntc «le l'enfant adorable conlié à son huuncnr. '

que jo serai plus Hûr,■Quand Théodore la regardail et l'éroutail, smp Amé ÿè

fonilait en félicité*» luhnie»;'il'iio croyait pas q m i'le 'b iin -' lièm sur tcri‘o peut a ller au didâ «le te qu’il'énro iiT iiii' aloi-s. G’étaidnl «los cMasc.s, puis d«*s jeux onfimnn», Wuls «les travaux nôrious. L'élude de l'histoire intéressait sIica tout la icnne fille. . . . j' Mais'ce «pli ^evonait^soiiVcnl «îans le» conTersailons'rtjr-

lesot nourrie*, de.s deux jeuno.H gens, c'était l ’ ItAlle, Sa gloire ot scs inalheiirs. Tliéodoro avnit cltihiil pcr»oiitieilc.i incirt ([uulqurs-inis dc^méfAgh'» ilalièns lo.s'pluX ilisHilgihVJ ot ]«‘.s dispiisiiiun» do l'H.dii; uio«ierne,'s(xs infortdnRÀ et»C.4 espérnii«*es. tui avaient «'•lé 'rèfélées, piir é lix . AVer qini!l8 aVidité. Marguerite recueill.iit « c» r«'«ijt»! CiVrumb èlle ’to 'iu- l i i t avec toute sou âme.' Porfois Tliéùdm'e hli-riiéinc n i ôtait siHprÜ!, mai» ii disait ; L'oul'aul s’il!» partnts .rp'nd Itt putrieiiHJtir.sli iilore! «

TÜC

Marguerite allait avoir seize ans le 1" mars 1848. I»rùs de deux annéi-s; s'étaiciit «■coulées «lepuis que TIniodnrc olail la. MaLs II ne mesuraii nas l«i ti;«ii()S, il vûl volmltiork domanih: a vivre toujours «le iiiiiii«', si le cmiir inqiBlicnl des mortels pouvait stisiumdrc se.s désirs et s 'a rrê ter’ Il aspirait .-lu nmnicnt on il «ürail à Marguerito i-Vous ét«*s seule, sans rortiine, saii*; ramtlle, mais nos cuiilr» nu f«ml qu un; ne le.» séparons pas, sovez ma femme! t - Au mo­ment ou Marguerite lui apparliendrail tout entière, i l au- ra il loiihi ««ipemlanl ne parler que plus.lard; co fut d'a­bord sa v«donto, sa r黫»hni«.»n arrCtéie. ftlnis une année en­core, c’était tro[), et II se dit ; je parlerai quaud l«!» aeize an.s seront accom|)lis, nous pourrons at|«‘iidre ensuite lu fin de I année pour le mariage : ]«• ser.'ii plus l'jdine par«'«}

-- ,_..'C0'4U 'dc.._jeune fille, «[u'ily avait eu un moment «hisiédo la légiliinèf, msillt que «!l*( espoir «';vannui la laisserait sètile.au i9 V” «ic. Lfi'h'èr.* entrevu était saii.s roftiiue, et setvnil lian» l ’ariiiéi: niélnohfaisc. Le pré^emlu M. niifnont av,ai1 .été ou vaiti l ’bb|Cl des questions dé Théiidor«î;'ja)nals M^rigiièhib n’y répoinlil; o!l«t écarta i-c sujet d'onirelieil ét ^rîa Ifi's larme» •Aux yeux qu'il n'oh hit jainals' parléi Quant A des parent». Marguerite n'en avail point, e t M -' Ihimnnt aenio avait veillé sur elle >

Cet abandon plaiHait A Théodore; elle en serait phi» A lui neul. .

Mai.» avant qu 'il eut ouvert tout son ciuur A Mnrgilcrite comme il en «ivait le projet, un griuid évèiicmoiit Vint re­ten tir jus«iuo dan» la rotrailc absoltiu ou il Vivait. Lh révb- iiition de lévrier «kb-iin.

i Sans dou te r;tt!iii)'«p!ière_d ',i:ur)i)r où \i*.'a i< *iil «•«;» deux

Icunes gens atténua bi«ui le bruit qui se lit alm*s on Franco M iFarriya d'abord «pi'atraibti jus.pi'a eux, mais bicnl«'.i

la JUalsDii. i|w O k <Ku*ftail siiiis l in-tlnonr.(> «le «|ncli|iie.s «îhols el ipi'im avait vu passer «le.» ban­des armees non lo indn ja rd iiL lp e in e fermé. Mondant «ma-

"P «1 «ùucha. piniit, restant piè» «lo la ron&lii«A'édoiiter'les britits dn deltor ‘ ''». La cmquiéinq nulf

tnl'cect'V ’■ i''!iloii8lÔiir,

'"slTOcliüii ,.l,i l ’cnlsSl lîîîî.1!*.,^^!'* «mis lipniniç

•'C e lü l^U lTbu»rtjtc«)iu ju sous lo nom 1^0 '

...aV"® (înuw ndljQ francs é l î l l Jpiniéà’ oeiteiw iir les trois auiiées.consa.

crées A rins|ruc(lon^do BiâVgÀej;Uo.

M’*'V|H0IX!R AXCKI.Ot

(i,a suite au prochain Uumér'o. )

Page 3: r runirrvcr, inir|tt*à I lin an. 9bmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1860_08_04_MRC.pdf · oqt. mis en elle.tont leur espoir et toute leur conllancer nouvelles.qui npliS arrivent

nicrfîM^Ieliljortivlfforihë^ avéü'lm * nèjilfe * a r eW jjàrrilteitt,

itiq éAlci'lés-. lihn a

.Mardi»!, qui u ai bieh itârr6 ' aun' O ttu n iim a GhiiitW

J t iHttioiift) qiieHti«em objets tl'origbw ram aiiio oui âlâ iv é s ihitin 1tt Ih f rtlrn - in IH in m rttru i w r tr în T *" * do»-

E ! ' c 7 ! , r c ? g W M i ^ ^m a*r

i*8tWr.teuamn^M MOinesp^llirlatil 106 n icticonlrc les niU' leaiio ron

ilo- r itrd h i '<!6>fvlo nnitl?èftW’ ,0 i l ie l 's u r !o ‘'kirii1HpalO'-|)drie do-laquelle bir lU'Ofi' 'rttf'IMInri'; , •■ ,.‘ i r ■R u fié c là tu rJ n ,1 t0 C .t iim p f§ i!m m M 4 m ^ ^ .Q uam tvsaptU o ltFam agifi» taÿO .D ^i.,Ort vénère cil ce te it iM c 'M tt^ .'q u i,'p lu s que ïà Voi^»'

l y ’j i f l j i^ d ç J a m è r è q e ^ q . V . - 1 .

...................................... 1 à« 'flfiç n Wrinciiouviilc soiil pm tH éelHrim iiiTm litv èoim uérrtblfrm «ll^ni-.niiitimux-irépMô* 4lflldbté9 <ipnh-Vertilorilâ'bà})6L'ire; qui'cri |iérriK +brt»{|'|!«rtion«n ifé lillom p»i -I - ; '.«Hkio é tSlMwrtilly' iü ipi|atü équipage tiOêupasAeùiMâUs rijions.

......................... iiiiVSTàmbiji;HWnrin)tf*èit dfes»i -------*-ü)ka, ' .............. lJi«^içül‘

^ lu rorûl’dcC hajililly ., . | • . • .1 ..............h iiiim illa iicé .s ’élnlt dirige du cùlé des étangs de bi Jie-ltla'liclie. Ëii (raversaiil >i(mr«Hée', il recul d^uii/des liu^ 'iiibe^ iia lié qdi- lo' blesKa asMÜ gri6 yéiiWrtl-|itiiin io Id e r é prehüli) l'oàti, uil uiiU'uuuVuHp ibatlu t«illëi^inb■ ili> ri.iii I I il'oii f*nitlàntin n.n

ii'U située suri|c )territo ire du GilouOiirt; momaMii du tun^ su déladia et luUiba

jà iir jlu i; bort«q«ropijlcn dégagt»a. pii( s’.iporeul qii'jbayail In .ijainVo-iliraclPuéeiHli/iMleussiiùi b-ausporiiVeiiu/tm, o iV Ia ' 8üiii8qu(tiré«l0MMitsai(m8itiuil l|i|(mt^é(4^‘d i^ iié s ;- • > .1

'NGUlfihY^BN^OKIjl:.R. Jdbdi 20jHilIei«v\ei/t.qil4lré« d '^ w u n ié uuu loculq de paiiiu

ilttéè d in s 1i^,f^pyiips!ç:t'aiq)i)raHaiil nir sieur l-oiiif^Pru- deu(uUarliii. Cul iiira iid ie 'és i dfi è l’inqu'iiddirii d'il

InfVeilhiUt'dtins goti champ*,^bun» s.i'.|iipe'

Is ces cxpé<litjmis cjiié^tiW ib.^ VdnJbigHWnl'-«|Jtf*?nt des’

k ciléroiis QmioM.c! du 11,^. éll.j|4^ iç u l uq J^pgUei'

— * '0 m ardi 10 Jinllct, Madame veuve Pei.a- ^ rc m i^ l^ i!^SculUM dudUa aob d<iinlMie^>^lr MéVehifh! '

, • - . . . . ., .tjrîs^ 'dlté’aYrtU’féi'rtiô’ soigiicti^flinoiil Sa poMc. lie m a - Iparlksiq>4aflHJa6.aaatui^ likW ^ f f l i l l in i ia r w fe ^ n ,p H 4 liri>4iiip>i>iiblè.d*niil r i;é cbu2x llc . j |u d iu U i> u .igcr et, sorla iit de ru a ii. I l S a o u la dans^ uii feuiTL,. étimiieiiieut- ft-soii r e t o u r , - ( d i r e |p. ‘28, th Vüîi- la I il se ilispesnit à faire Iclc è lét|iiipage, dont iiii seul sporic de la rue et re lie de la salleîù’miiVgei^ouVfcVIeSîx^i'

l i i i l . Celtii'Ci se pi-écipitc furieux siIjiiid u ts i m ld ia y iÿ d A lP r r r * 'I le cheval eCrr.’m ^ v n 1 eu p r i^ e u c (U H V it l |^ i saii s a iis î-fro m ^ d eT o u ll —

r ir i i ié d ’ifii f i i^ .H n i « p y % .fV qvv>m<ktl> W !ilP >JW »B ta> u ,r,,iq iiiw |c |,M

iWèdi diîrtihiri Fe iiiêtne'ôqliip'ajÿô' li üedibMvertflféfcaSsO iiig lier dans la forôl d 'IIu latte.

•»>! IttHilÆ llMONT'.— Le 2&Juillelse¥onLottverUi, devaul le-| u iio ld v il de Clcrmoni|UJsj.M,Jcs débats la duiii;|ude lu H H llIU g ls Illiiic iJ ii C C k l i f r a j f i t f iu lg h : V ilH l t in i l

|iie irè.s-diflicilciueHI'lr««Véré-i^ltqiqi;i|llM i|f«tiUliliSW | fait demander d ’a v a n t d e s ^ l^ iib re s ; mais. Us s'y

QUI pris trop la rd . J a ^ K y S H e y n A V e a i ^ ù t ^ l e 1 de Cicriiiuiil u'nvuit TOSTJIînlIW fB lff. aici r»bjcl'BUlftliilèfLlJC3b ilH H |# « l& 8 V i lM « lé g ia . le a rd e â t i^ p r*A iiiie â r« A é U W » rq * iiw d ê i* ii i* ii l i i ia n j tfl il duuiiail toute sa fortune & M. l.mcwutq((bHt<baiii- L avail, avant do m ourir, l'ail uu secuii^leslameiit

V Æ K i i V m t i f ,Uttf a cn lcm tt^ tégiw rsa-f«rlm ifrè*;qo e o m t o ^ ^ ia im 9. c l iioii pas è )L d e Urcux-Urézé, qu i n'est que üdéi- umssairé. ^

tr<irliii(5que 1 # ^ M- ^ n a r q u is de V il|^ tc est Ire n tin ions.^ t^ jb n i^ iü i|u u dom aiiiebic VitI enlreT.lian iltty^ lilld l1hoiil. s(^^la m u n d e Kli

I une il4‘s plus, bi<ios ^ « ip r iû t ^ lc PilP^iu:. M.j_____pri.iilr^laiis i|Nèile s«ai lcltres,;Jl le dtfi; do UtSdêâüS

----------- iI H H

[ilaide j i (^ r lÉT. I^ o n û le MoTfn'iMdl, ll^ 'itld r Cl l yrif ' i f ' .M ^ io g i iu îr ^ u r g .' lavèffUljLjdc

ilins.) ' ' ' ' ■ ' ; / 5 g v H? ' ,aiidieiiX'îf a été rém iilid 'fia rja imtTiloiriÆiJeM'! in liaiud a eiitciiiUj Ml Itc rf'y e f^ l'.iiid m iirM h rïiiî. andientpdii 27 ibcté cunsaM éetbiiloeiilièrediiix-répli dcsavyçals. - • Ls • tSR

' 1 ï ' t " , ra M ■L 'j \3 >"U ‘ "i l

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i i i i < » i K ‘ ( ‘ s J q d i ÿ i a j n - i k s f -

que lû tribunal consaercra é tÿ^ffTOmdl'UnnvAnrairc, id dans.laquuUe M. leiripoq-r ‘“''"it-llftpéilbmtoil Übhuor ses éoiicliisions, est lixée aippiprv/

tdl Vtfdi^l'droell&iiK ‘ ,

COUP. 'ftliiiicl- cutnfq Lepic, uù des ahtcé ipd«jUt/ou. liotniiié sèi-ilitendaill

l> iccftliiiicl.....lit inubilier du^aCouriiiiiio.

j ps£Bllc meule el jeta ralian ic llo d^ul i^s'étail sukvJ. JW R lS #iy '’*®.Qiypyr de lüf. « r r r

& é b rù lia î .X a perle.

h ' i f i f i Ëw^^.Ltnuli 50 ju ille t, ont eu

lcs|^bscqu1l!&1^è1i ‘,K llIÎ& ‘ MVitV Icncui' dé it^ s p o r t iA e ’... eiiliyl, ...................... ,

'HJfcthtÿiriiR infè'd'nnc ldngue m aladiivt M arin, un de scs coliègiiesjfnù conseil rmmnâpal ,dë

lVvM«NlP*''moiicésursa loinbe unf diseoiir.s pA^raueiné'nt ,i^lilU daiiiS Ipqqel ||,a,rgn.i|ju, cn.ÿermps -tonchants e t ^ n r - oitlélé.viveDieui.«Ujÿles jdes iiObibrjQux as. jsliUiLs, (pii s pressaioitl>-fi(» eoiivm, iin> juste (h<;in,->Mge à l;i V>bqrieqs eilisicucc! de 1 . 'M onqiiit.’ ■

'(iMi.oiil coùlé assez chci' pour qu'il sorte do boin ider liaqs 4pqpçl d était eniré. .3lnis il a pensé sans lionle qu'il n’y .^ y n ilp n p i erniiidre pi| .<^oMleonenl ja -sqtisracliuii. de se gn^rnéi;ié iiiquetiiuut|C l d.iii)iA:T éint do ros.ser sa femme

bon'lui semblerait, dcpiils qbciqilc temps Itâiisse tio'8|dii'fail plus faiite, :et prélujid qu il osl mai marié quoh w i l le séii dcptibt phiÿ de lret^\9 ans, e l i l n’a plus besoin ilU'inâtilb pour venger sur sa feiiime )e li'uubje que lu buiif*

■ , ûèii jo lie dans ses idées, c l la. pcriurbulloo qu’elle meterDS^dt^lloifllé sieur Nicolas Uousscl,. .daiUJMUi.cci'veau. I l sdulieiil qüc satremme ne |KJUt le voliy iqyriplV'-!o|f qceu|)é à extraire du.sa; ^ ( is Ip.gqcfcllpr ql,niéine le ba lire , mais le cnjumissalrc . aSi„.u ci„..in!in..rSf..sHA .1,. . t .ffü|fiv(} rfi ics*Vül»ni8 110 soul pas lo iil-à-fail de son av^ .

Q ifTa vu souvent Icsgfuoux sur reslmnnc de celle mal- iieureu|GL et en train de la frapper de .la-façon la plu&bt;ii< U lc , sèX %nr.His lui dèmander parilon pour leur mère, çl, i k » ^ J f 9^i>Vr4jd ^ é s . Le tribunal eemlamae Itani-isccir W jo u q rd o p rN M i’ora b x dépens.

^ — i ‘ ierrc*Prosper V ile t, âgé de S i ans. ouvrier boulpn* (qr,^ldjLGqurnitv*cn ttray^.avait d ild ldfouvé dp Tùpyrage

.1 âeiii^^tnm s i l » coiiim qijcè^m exercice.ppr;i^q il n.urail id d ^ flu rU f ibiuficureusemciitaans celte profession céini'nc daiisX^u^^'anlvçs, on comineiicc'par s’enivrer, sans son* !gePqiil M l idnidlü que l’un absorbe lie sont pas gagiié.s 0U£0 re..Vjbü-8 !élail..iliiiic grisé as.scz compictemcnl lolto ju ille t, pt en ballant lep ninrailles, il (iiiil avec son compa-

'gDuiifd&âébauidie par;arriver àial^maetoé du sieur' Piiil* leux ^ S e n ljs ^ o O désii'c prendre une dernicrpconsul.aiiun, w î l ! ^ s i e q [ ÿ f '^ ! i i x | | i i i s ’;iperçiùl du i'elat du prévenu.

porte ..w .........- - ..........- - ...................... i i f i f ! ! rApi<f(giA^'>ITll pour rcr.o|iiVdîl'è'o~nf&'fiil VoV 'HV.iit-' •é té cfifmms À wm^|H'éju*lir.e. Klle (lôdé^a,-*tli;‘pHé^ éncë’dé

M. le commissaire de police e l du bngifdiêd'du-ÿenifarliRhu ' 'ailsoustrait une valeiitii^d'7iÜi)liriopcoiX".

s ü t la iirb ^ m ita is d 'o r cl en obligqtimis'jlol, deiiH iixi quaq (■'«: «’P! couverts. b i\« ^il|QP,;b^il;,pfifjtep

\ * Un J4sllM»Mrormc l ’arfaire. 'l.l.Hitil i.o-..; ........................... ................

faii-utafMige, i tel p o in tq iV ^ ^ L o f i |g 6 ciblé saî.4ii?cl , bîjiïK^^ro â ja porp!. Vjt.q’ scf liiei sur IT 'déleiisü'ef pom- iHeiice patMidmmisirer é M’ ' Poilciix, un violent coup du •ptcd riaiTÿlc -vcrîtTC,'puis. se met eu mesure de icn ir'lè leâ SOS eu(v)iides,'.et comutcuce par cnfnnodi' nn fa rrc ih i de la ;p(p;li^d!4*d ’<V'> P'iP'-' i'iliroivoir sans duiilc cpi'.d a iulunlion. deLr^|jr,-^û^!>j‘cc.qiû osera s’oppii.ser à lui. 1-jUtiu il balaye ellabüurp' I,1 '[igiiré ■in cabarclier, e l se relire avec', les lau* ricrs. miil. ' fa |c|:n<jal'inci!ie l'a .saisi, au luenieni où il clian* tall'vid(o’fl-6 'daaSç la. {i'iullipiu d'un m:ll^■clJal• '(ir ;unl. l.c tribUiiareondiunije Vilpl en 5 mois de prison e l aux rrujs.

iiu , c iu ;«-.,,,<A’ IH . - R . IP P 9 I< V « B FitcrtÜBtTG: i. .

,éùù':^A TOfe ip-.Bè».s«biT,inu .ftA,MAY.VNAIl j i i . <CT. ttfâ ’céùvgw cojfpLB^'bs pK 4i^ldjU[A^-U'

‘ Att>*'i jV lM u Ion l iv re e l jri i^c» n'-mL-rcié', ' '.-..X !B a Ld iB .lû» .g tiM K l.lr iiV iiil III» lio n fp ii- j ’ appi-çc if.

îtli r 1 '■ ' rr.n|*;aU lu mol du i:us mciytillus.-lUMi (telle dii'pensionnat de N . CcH>.sin, le im ixti 'li-ois'IiciMU»:. ■„••• III.

'* ^ Celle du ponsionnal de M'°'* (te Lozièros, Id tlT>néAlpfr <lcnx -Itciires-. (lift-dHilribiitnHi-de.s {irix aura ÜKii.ccrUu-

.anuéc, eii iiré.scncc des parents des éloves seulcipupl.).Î K ÿ f \T h - i h t ’W j i ' f :____________ , ,

f i é Sç»34jr<»i' '

K : . ;D L Î3 ic A liiinnxcR iiK M . Vatix.

udiciice du 1” ylodr:

ié r tb j, . iM iq l. en .çlwr.T

.P o lle l Jean- t^ i^ -M a rliii,'A lmt^anl confrère n'a pas apprc.bd ri^A iftoA id loU O l'é to iun ic de sc .............................. .

n lV p Ib M itti^u M 'e liH rrt-tie r, re ijc ntlrdiUitÆunfrèrô.coU* lignée,' d i te confrère led iiisa n l une v o itu re : P o llc l p a ra ll. f i »o

fa it montiT dans sa v o itu re . A rr iV tt à ’hr h iiltc , du'Yldcf^lc . . - y i t j r t r>p f|’| f l f > l { ï “ IW L flidJ iayc , spn jap ii né;;

a | q q c | i | 4 ' f ! ! f ‘ | f j p ! 4 ics cueVaux, b idè par T w i f f i v o i r Certes,.le. Hoir. on. va-

ii jq iirs aux fr ^ is du c lia ite lic iM x iu - "lie veut pas |d )ii8c r de la générosité

de son a flir . e t: pendant sn 'w m rle ia b scn cc . i l q u il le berge et d isp a ra ît. l,c lé nden ia in , |ol charre tie r, ye n i éé.gV r a id ir de l'eau q u i tom be ; i l cheijche dans sa v if it i ire c l trouve sa lim ousine absente. I l se ra p p è llc , in u ts lr iu i la rd .

voyez lé-bas vOtmcamq*

r . Mais

(juc ra u b c rg is tc lu i a d i t la ve ille rude, q u i s'en va sans vous d ir i pondu : ah c'est ( lu 'i l a pe u r de p. i l jiu s f lu ^ m l niurne q u 'i l lu i a v p iff jiio l s Q s le bras. I l n’est plus ix«lieri-héDpar la gendarm erie c l e t|ie i|s is ttf devant le tr ib u n a l da c iA d a m iiv c c je u n e hom m e en 8 Jo s iw l s i i n t ^ i le prévenu sa it ren a lÀ n d o iitté c légèrem ent. <

2 «= .. i 'i• ~ l .o ig -A n to in c Daiisse, âgé n b ' flS ans, fth a rpc id ie r, d inneur'a iil â S e iilis , a depuis bi« in ''dè ii (innéèS’.'ceS^é de fa ire p a r le r du lu i. 11 y a la n lô l 5(1 ans. banssc ava it la tète verte c l le cerveau b u u illa n t, i l a fn it-que lq iics soHises -qu i

pdrip^,e t q i i ' i j l â i a ré- yei- un litre 'â suîi fo u r, I de lo in . Une espèce de eniivs, mqicndnnl P u llo l, rc lru n v é , avoue son vo l, IS les aveux.d.e lr ib n iia l 11*8 du p ri^o ib réprussia ii re r dans la voîo q u 'i l a

(Jii.ui.l il plinntp, .011 pairo-l ,U;ih* puv,ôvr ' Uéi-mtler dv in lèvre iiiiiâi tpi'uiio ;Juii|a|s.otb<>e chez iiotii ne pr.ij, i.V»jv«)} j)lps,bjiiij, _

. .JiHifiii* Uij |»l|H bran cluiit n^ént iiiép l^ hile i'-L /: Virgilec>4 moins lourliiinl, Ifoiiiére in'oin/ Àiiblini'-

. ftloiin viiyilv t-.il cbcz l’hébi-ei» h» liarpe^'li'Sülyiiii-', fîi jii *o ii nous iév'éle eii Kcs ilîViris‘a(-éoé<U' ' ' Q.iç JmiSil’JotltvApolloik pntdigiiii tes trésors. -

, Huininagj i l/-ur eoiiqnélu, Iwùtiyitr 'i ce géniq ''Q ui li’itnbiiriiil diM.f-il’o^ivrviiliiïira :i |»;ilriu;

Miiisgluilc a loi, par «pu ucs ai-coi'ii.4, cctlc vo x-. Sont eiitcpiliif cbcz uytis pour lu pn-tiii]-

I

.y.a. .ViciQçi ori-'^O.V, jiji O jtn^ufjip. >,

., I • (r.

• ' - , .-T. ,...(A l ’a p p rich e dea.voyagos,.JU)Us proyons d e vo ir rccom-«

m.AlMlçr iat maison de M.: U IU A U L 'I', (p la c e .d e .l'ilô tc b d e .

i . j . ---V.... . yjii ,i vu %\,I ,1 UtUISta iiiém e liia isan un grand assortim ent de Paillassons do toutes bii-mcs'en jn ii i; o n lin a i iv iH les fîurfaiilo.s qti1 su ib n l

«cil .coco iLsyé el-pn(rt»Hts de l'Iiide .'TodeH c iréesp .-n f/ é fé ti^ blos el parquet». Tous cesm ilio les étant a«;lioié.s daits- Ms- m eilbm rf.s fabxiqucs p o u rro n t .ê tre liv ré s d a iw 'd 'a ils .^

. ( ^ i jp a ^ ^ j jd i t io n s que les premiùre.s maiauu.s de l ’arLs.'’ ,.

. T - i ; ■—

.Çitiîfllî lltfjltîEilTOL. CEiEBÜ ET C".' ■ c u is ic s in r U K I j i o i s k r o n J é ubi 'S w a c .)

A pnrliridu P 'ja n v ie r I8G0, le C ié d il W ^ ia r fa n e n iil rc- ro ii (li:« dqpùts pux condilioiis stiivajjies :

Lépôts ijvuft’ iv lra il à volonté .5 y '. 'PuiW'Ica ^

r ^-4’«i IH' lus (lépôls de six mois 5 •'... 'l'üui-!e.-j dupAi» d-tm .an.U ■ '. ' I

• '5 u(\iC'iÿei'. à Scidis, à M . Tu'jiixmin^ /y'y<jc/ainy

îre dc 'VûfniiVi le poème qaïuu^, ,t «Pdn' prMn'nü géiiio|»'t d'^i^tcodrc imniot-icllv, 'dir sous lu (locic plitiiic ' ■

. Orûi’O à loi, nous pouvons (].-tiis nu si vie «lut pl.di Lire de TûfniiVf're poèml î i« f i ...........VoirAinsi, vnàlgrc le tcmpj ilon| lifu| siibil lu lui,. Ce'poèle iodieoipoid'nups rcvil^idr lui, ' '

j^iiisî. quand Te soleil it| quillé su «:4rrièr4-, .I Lastrb des uûllji,stir^iiuii3 réUéebil sa lumiùri;.

«-» ^ idâ l*ie ffre B lilIâM U irê< , ces VûiU4,'"bi><n»ma, '. . . t ]e s M l» i iy i , ^ 'b i f th i^ d i i j i s (ic (ou K ii l iiJ u ia l ' J .1 U Q u ^ C |« ]|il.U iiii| i ii's ,d ie u x , du Sagesse eu cqs bm m cs,

.1 de grâces d.nns ct-s fu ip iu e c il.Q u c L ^ ( ^ du d y v « ) , (pn:l»>s«[iiliincnU p t y i i » ! .

. . i i i C s Y ô f i j ^ n w ^ ^ la laùgiù: vL lia, U cux , .T ^ w m O Q trrp o »U y< (v iiu l, des progrès in':igu i(l>|iii's,

ébaé»ie et. i io i i l s iirp ru n d cuuz.ccs peuples i i i i l i ip ic QuV^aoUréiri;prcNn!tm d e p q ^ '« p to liv r 'tu t^ ''» lq ,V /9-- U i ip ia & l nol\?.u'<;UBus p ;jü 'é l- '

.-VuTi i " : „ t »

K lu ilc ï e M ' l '-REMY. â ro i r t J g i i l i 4 . u î

l î i x r K s u t t i d o È r . j 3 ’ i n iRNTItK bAJKUll»' KT MuÆjlRKjt^ | n

’ i iM E i i i€ ir r o i iH ln k ^ e « «< â<è|»«ui Æ tà N » ^ e n t0 i‘

S iiX T -L F ^ I.O K ii. ( ^ l o n di , le -^a u d o u in icO ls r),

n OKIJX.I.O'ra <|nl -poinrunt é((|3Çt«kani*yla n ia irfç de la con iinunë 'd e S i i ) ^ c - i . o t% , .'i p u r Tçtniini'alére d f M ^4 ,A C O U t(^o (u iitt

* .a

Mul'Ot. m n re lia n d d û

«Ml^marint n ^ â V ô !: .M, Marie-lFyïr|l■ptü jjlj^a^xlavig iiy;

^Muillpdiune irm a -,^ ic lo iro -I'V > lic ilé M a ro l, é|(iÉiiiUkilc M . A r tb u ^ V ii ic o n t O usprez, m ar

‘ r l iu iid do poi^tis, a v ^ lu q u r l e lle dem ciiru r.SiUy~le«I..ongiyin c c % r n je r , pou r ra u tn ils a '‘ (iiU'iHiÂwssairdrIila ^ l i d i t é ;

iirol

uiwb't jVaidctti^/ciXiaHddni

idjiulicabmn {p ./h ’nmnr/tes ix ’ A o ù i ^ i f O , lie tm d c ifiid l.

t -ffi Tait= iî«vm rir'ié in r'tïtiirin >)iaM lcn d rîiy ' en exéculiou d’iiu .jugcm eiiLréii()u !pa^ 1b buiipl civil de prediière insliiuco de r»r>'- idUs'cnicVif' dc^Kt’h lis , lo cinq ju ille t jlKdO, 'egisii'é, ‘ " • I lII sciMg aUK<rMiuù(e, (lOurtuilo el diligence! : '1* Madame .Jn lie^ C ^ le I',oulon, -cpltiva-;

don ic iirin i.ù Sillyr^lc-Loiiir, c.Mitoii dci iietiil-lc-llim iouibg vcuvo d o M . Anioiqc-: .‘poHic MiKotsi: , M!I Agissaulitant ep: son noiiiipersoiinfil ii. aaso de ;U com iRbiiam é'doi'bieq». a jau t. ;XUlé':cnirç\pt|c cl son défiim^ yitarT'c t'ir Aiufi de» crdiùicbi.cl.JudbinMtU'b •‘Hit avoir b exercer contre la siicctîssion [c ce dernier; agissant oii\ outre, ladite! hme, an nom et comme tulrice uaturolle

M a r» t ;2 T . la -M a n i‘- ( . ( e i i i r i

pures issues den lu m e -Ilv p p o lite

s p;fii'ét4ivÀL d.^ô »i gftlÀilA»

On crtdL'-en.Io l!satil,jvoir ceilu humble lèli'ailu Qil’babll'o dons lu p liiî lu saiiil iiimchurélC;Oeqe V^le Où lirilliilrip l'ui et lu dianniil, L’oiists’cjyu.fuulaictil Ib vuelie cl l'éléfiblnû’,

.iju.Gqjigu anx..fluls d'i^ziir, eeûc fui'cii si bi-lle, - O ù lluurit lu lulus, uu. bondit lo gazclje, ‘ <)sl l'oifAiiinc avVc'toi yivru sons e«{.lieuu uiul .V i l A-s4i>(D<iis et les i-OEurs ont la duuuoiir du m ie l..■ , y . .* . . . ,

‘ JVdtnire ce» climol» «ù la viuVsl sajl» ]>eine.Ou drâiihc'oâ pâi'l’amour tout'Sc liu el sViietmlnu ;Je pnrOonro em ollés. 'j'nssitle à ces umulinl»,J'observu ces suiMiiis, el je snis.silr leurs pus()cs sages du ihhuri «inul p^r |o pûuil«uicc|n.-s faitf Aqut des ynrtu», les muls une si'uleneo.Tt-I,.putu )>ar li| greffe, uu simv.-igeou proiluitUu p,qr| uni d"i» sa.iteui-, pu buii sue dims sou bit'l.

La plniitlj; l’atiiiiiul, (ù l'Iiomme et Ifidt.aliiir, '' I*'», i^ÀrjlAUH tout ».si uutif, »i.-iut "<lnlH t.» péiidbre.'

Qiio i(Al Âul*ur"ânh‘l»icu'X\ïrjer .ses ÎSni-‘{inx7- . , Que sc» héros sont grouds, que ses sfles sont beiiili!: '

çpnl|ç(rt .dfln**Iluvnc pb liliquo .do iîirsep^aiuui - r G p u r rk r de p;i»:is, r -

q,elit>uH ba lln is fs . — rc& il susncinlu de C lilto ii. — C .iiiin du;LJuügb.y-i^cd on Siièdcui

isnciir è le de iS an-ls td ro ii.'l Al'uiîéul. Lettre» w iv ic inu '.ssur la (im d iin -j - Clu'üiiiijue iitléraire

ehiuc. — La SypiC. — Les tro j» Itonluii.s Je (iiani.-m l {N o u ­velle.) — Li)rrç.spon(Jam;o. — Non c ilt; KeiHaipe â Cb.i. tcd u d u n . -p Fiançài!le.k'd^'f;V flilb H ii lie ' I»ei-sé; — G.i- 'zelle d ii — Stendhal oT 'llb-:-il!ii." - ^ '1:11 111» de .Méiu- p liis . — Dpm ulition» de la place .S .iiiil-.H iè lie i;— lÿHoée d 'h in iiiü iu u U i due do Magenta.- -*

C/ai«/-c.| : Manmilo assa.s.siiiüpar-les.Drüsoi. — Le Camj) d c _ !^ m g b y -lIe d H c j‘q i-d c panoniurii défilant devant le

-4,o.A 'iUade Uay- atioa d'nnu "'

« t. J-J1S.U IV l 'f l - lk U vO > IU i:iil.K \? c ^ 'd T S u t^ ü - jx . L a J é îa »fu s.iu-U|.b-.» - ^ iw t | L — La v ille du Dam.-is. —r Im iu g iir

...... i,':,.......:»!...'.-.f:. !..

ijécuuverlii p a r les dé iD o litian^d è W plbeé Saint-M ichel l-a’içe d h '»m icu i' p ffu rlo pa r la v iU o d ’A u la ii au u ia rûo lm i de ila r.-J lahon. -ïaJtébus.«, .

' On II! dbns la i >V De lo ii» lc.s p rq d fU ilx w tti'é ^ v p i'À c Q jo u r {m iiv lés .soins

de !a..clie\iduro, lc sç;Uqui,o;Çfce,eilji>«‘'d’Um ,«it¥€a‘:‘'llltlc^de réussite cs i VEau /o«û/|Up,,de CiirtUoip» de La-Irra te c l universe lle ré p u ta ile if i lu it t e lle ju u 'i l n o iir les re-

M i ^ i i l i è r o in e u l {tctiyCjOn.la rciHjmmaiidctjpéeialçjneiil pour 1rs eiifanls, parcd «lirelle di;vjei|f.iâ ba.se,d'urfe belle c!ieveluru;cl qu'elle diipohsé de l^x'ûiplui dli p'èTgwe lin . »

.Nous uji sntir1dii^‘'tt‘dfi recWninbifâler âVioS Icctchls el silftoul b he.s leotricus.lu.Vinajgi-u .yitglaUide Obahiiiii, du llinieu, ialporlalion prûcien.se jiDur 1rs soin.s livgiéiiiques tle la toilette. 11 a si bien él;[bli„sj:sqpé}-i/irilp qitrÿous l.-s -vinaigres «Icslinés a cet usage, ,qu|i| t;:?l auji»jij-(j,bui,ieivjiu dcda iiuhIc. Ses propriétés miilliple.s cl réelles,' c l ses «'ma- liti^ .uU le l r i nicoûTeslab.le.sîiù'i'UÎ vâ)ii Ic.s snllÏÏ.iges de nos .riésaiiles^do France; ans.si liguro-t-il lu a in leuau lsur touirs . les tab|e.s.dc loilelle.

. . !• ) — '-T— ^-T— -------------Lfli/ppqmd àmtûiitid ’J o itn t 'il p o u r t l i r c ) e'st' lohj'oui-.s ie

.p inson vqgitu des journaiiX'cnniiiine.s : ’c'rst )iii charma:.l Juiiruâl « ^ iiiiin lle i uLpunr lrs.ûtablissemciilS'|>ublirs u'a-:l une reuilju Irès-Avanliigcnse, car pour 17i l'v. par an on a den'k'.iduniaiix :U'. J u m n u ln im x n ^ l el le .Slusiùf F n iiio iiy -

‘ A ii[ll‘ iis. ijiuruai de grandes llins(rali«ins sérieuses.

iiVfm««viL'ssaire.ciiia wanmiu;b lH llé (Icm n t!le l|e ^ c it iq u e - L o u is e Maro

c u H tv ^ re , n iy c if - c ,^ in .s p ro rcss io ii, dcm eu- r a n T ^ S i l l y - f i - L o u g chez m adame venvq

a n iè i j ; «-s ir ic - I tT p n o lih f MaITppoliM M aro i, madame Dos-j idcmoiselle.S&ol et les trois mineure^ labiles b so m re c l porter seuls héri-i

lour un sixième tludil sieur Ai)loine^| l^c Marol, leuf père; |

’6 * M- Théophilc-Anioino Vidé, sans pro-; -fewioHÿ tlewoMranHwisst’b -^y-4o> liO »gs par èéjlrÔsétualion de la dame Mario-Loiiiso-Josji-

tililiTo M arol, sâ m ère, décédée à SlIly-lc-LoUg. :n raarsji818y; ; c

Joseph-Kloy M arot, garçon marehaiid

m{iiiuh-d c .p o i^ ; dent4UiTftj1.h |^fé|jy ':

Jôan-Mm'iq-I,iiitm^ J11aro,l, ni{n yrtor, ddnipurâjitiu i(heHes,|caiHqii'‘fl*:Ùl><

;.8 ‘ Madame M^ie^Kufiliém ic'tMbi'oLié ninçon.

;>iaro,i., ni{iiiua-|

ic'M bi'o},!é|m ^o| ire . ninçon, a tcc .ly-l.cngrtti, eu:

. . . ~ ............................ ._..it sieur l.cqtuii'-flpoi: l^ i^ n s a tm ^ m x è e s a ire -îr la - ila iiie si

epavsc.ci-dessus jib inuiéè.cl la vp lid llé j .

lequel « lie donteurqili M ontiguy-I.cngrtti. cup-i de^yic-.siir-4i->DC«'fil lodit sieur jj.eqiaire,

épatisè. ‘0 ' M . A u tu in e -A irrixU ia ro t, soldat au 5 2 '

réglnienl do ligne, (foisième haiaillon, com­pagnie dcgreniimors, en garnis ui ù IMiaisboni':’

(M ciirilie); * ' ' . . \10'î M'àdeii.ipi^^elle Ailélaïdo-Arilicinisc M a- !

rül,.célibat;«irvviitpj(j'ure;j.He|ncnr:i».l 1} V ivières i ci-«Iovarit «q aelnellenieiil à C h e î l o s ' : ' • :

I I ® M_. Pascal-J«)Sojdi 'M arol, bo4't’r.'« tc -

12* F t ’ M'. T,'6 ii)s'-TfiAM’u9 M .-tro i,'heiver,i dcineur.int h Moni'tévéquè, 'chez .M. IhiptÜs,! enllivatciir; .' . ' • - !

Demandeurs, ayant pqiir avoué M“ Frdm y, «letneunliit à S en iis ,’ n iç Nenvé^de-Darls,'

'• ;• —K Trprttse itco d e î-f*^-H T-D ierre-Jea«-M arie ; M hrot, m:iix:liand ,t|o fromages, dciqçurm ii à) Scidis ;; . i V r :

2 " .M . M. I.oiiisrh’i-aiiçois M arojC^Crj^^r, diyunurjpUià l 1arbi»«Q-i .• -.r • : t • ‘

5® Madame Maric-Dcnisc Mai-ol,, çpoiiso ib^ i L U c u iirS u lH i^ Dés(ianc»,maçoulavrc.iaqurF elle .dcuicuKO* ti S ill^ -le -l.p n g , et letlii sieur Désdîiiieé,'' pbhr Fautoi^jalioii ndcèssaifc à I.) dame son épouse ci-‘de&sns nommée ci la va­lidité de la proréduru; . , r \ .

A" Mademoiselle Louise-Lanrcnce Vidé, sans profession, célibatairl;^ m.ijcnrc, demeurant à Silly-lo-Lopg', ’ ■ ' '

liéféhdcUrs, âyapt pour iiVdué'Conàliiné M® l’e lÙ dii; .Vi ■ u 1 •

â® M . l^uiiiB-Antoihc-,Mavie Vid(|,,^oi)iié(ier,, deincnraiK h S itly ’ lc -I,o n g ,

« AgisMinl an nom c i com rndltim iir lu tn - n re b e l h'^al de sou cnranl’ im uetir, liOuis-

'» llc iir i V idé, issu de son second inAriago' » avec la ilaiiio Mario-Lmiisc .Mdrol, déct^déel » amiil>>iiltvoii.mars48A.S; >»

Aussi défendeur, ayant pour .avoué conslilné M ® Lhalm in;

G* La «l.ipie Ksllier L«'gor. ci-dovaiil veiivi-

du sieiir yiqtpi'T^'Savcîs.qvM^t'o'Vcï acUièlIeinonl épouse Louis .Murol, ijorgor, avec lotjiH'l vde. demeure au [[lessis-Loruv'fi'oy, cl ce. der­nier, iipqi'J'uiitoi'iÿalion néeç&^aire à.la «ininq son é|)onso ci-d>'ssus nunnuée et la validité;

« Ladite damé ngiss:>i>t au nom et coinnid lidrice naiurelle et lé^t.tlc, et lé sicnr. .Morel

•) «omine co -tideur ou encore li causi,* de >> tonies airlres iinaliiéstle bnijènc Marol, ( i i - » raiil'ib in t'iir is.ni de son m ariage avec le » sicnr Victor-.Narcisse Marol, décédé ih-i-gei' » au l ’iessis-Côrncl'roy, le quluzc j.inxieif u .1 8 j7 ; » ■ • 1

7® .M. Louis-A ibaiie M aro l, inanouvrierJ tlemcnranl ii Clndlcs;

' Ausfd f lé i’ttdéijM, afant pqtir.avouè !hi)fisti- tné.M‘''lA ém y; - ' ^ W • •

•H't'Madcmôtsèlle-'Jiihci^f.ouise-Mftr^iiflflic^ M an u , célibalairo, m:f.ji'uiv, duniicilo ni ré.Hdcnçé côilnns en' l'yâncc ;

d"’ Tons lés l.ériiiers noh piiVcnts’ ol l l i - comins dii àienf Auloinc-Marlé-FrançoisVolly,' «lécédéfèhticr il Nanteuil-le llatidouin,Ie\ing*i-' sepi mai 18."9;

Défendeurs déraillants:K l çiid^O à collé «le : I® M. Ilésiré-Fiançois'

IKqTucTinV., nijmeuvrier,,JçpiÀuruitl à Cticllik;, caniôii «l’Aij^içby,

■( .-\gissaul au nom c l comme tuteur datif » de l j demoiselle Sidoiiio M aro t. nimeufe )« is^im du mariage «le Lo.uisep^uîopbiije- j>j.llqrlncquc, vcnve . tui ‘.prcniiwc^ de* ' M .‘ Aidonù'-F.u^tbu' Marol, Hecddé lé ifoW ci i> orloiiro 1851. cl épousé on slH^ondcs noccs| I* do M; Anloine D iilr l , bcrgi^r, (leIncuTanti t> eas>'mblo à Saint L tieuüc; » . , '

Ayant pour avoué M ’ l-'rémy;2 ’ M. Louis - Ambroiso (Jcrmain , gardi*

cli.nnpcfi'c, dc<u.'iir;!ii! à «t'.oou. •■amon lU-

'''■l.WéprfcVqï're-(L’ /'«d^' 1 ‘ V / . l ; v . '

Na;jlc'Hil,-.le-Uqpdoniu, . . . .>( ÀgisMut au- im in cl.-êornau' .snlir.igé-

■9 lnlO(ir «les iftmÔTirt'.s'Clarisse-('»eiievicv(‘ . I) M âric-Ç iclitia l'i'Julie-l>cui-;c .Mcroi, c i- •> «lessiis iiommée.s; b ’ '

5 ’ Ft M. Joan-M.’iric-In lim 'é Mftrot, inanou- v iic r, demeurant il ('.iiclit'S, ^

« An nom «?l comme sulndgé-lulenr «le l.i » mineure Sidonie M ann : « '

Procédéi en la m.drie tle S il|y -lo -Long . ic D im iuuh i! cTnyt-.sjx' .lon t ISUt). Itenrc dv m id i.

.pars..Ie miiiisUu.'o^alu. »M®. l i»€our, nolairu ii Nantenil-le-jnavdouin, î i ja vente el.ailjiid ica- lion «le rinnniî(1üî6 ‘ti-après'^é:% V^ ’

Pj*«*8tïU*i’ Yjrtîl.si*D 'l|fttlly Jp(J^eg.^canlttn

rtc lT l1(*nttMe -flaurthOih, «“r W rflff Ih iclictle, «‘on ipreùilW ? * • * “ - ’ *«•»* »» • •'

-1 *<1hj.o «l^j(}ni*(w!inhhjie|l»J'.'i»voc grenier an-d 6sf:nî5 ctfev'cVt (ftilc‘s'î"cl15tt)ijî'c h côté et donx loits à poi'cs èouvort.s en Hiaum o;

2® Fn rolour, une ân iic pièce d-babitation, chambre y attenant 8urinont«*e-trmi grenier couvert ciW uiltB ; v " .éV 'Ç lV

5® IJned is lih iA À jliR riIt.^ iA A liiiiie :4® t'iic cour.iiyanl soixante-dix.lAèifo.s c;ir-

rés environ;.f)" K l n i j ja r i îm onloiir^' rpuis. dans le­

quel existe pp pnilS^et coiJteii.jut cinq àivs'dlx couli.arcé qpviron,; .

L ’eiisqnibie. tient d ’un c ô l é l a rue lîn - chétTc^ «Tifnil'é éOld ';i‘ Mt D oillzM ,'«l‘tlii'!iout b mad.imc T lin illio r, et d ’autre boutiiit scéoml lot ci-après.

}4ef!OUrl .E.o(,rn«; autre M .M SON, sise an tii-émc lieu «le

.S illv -l’-Lon!'. cotnpreiiaiii :

4.1

Page 4: r runirrvcr, inir|tt*à I lin an. 9bmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1860_08_04_MRC.pdf · oqt. mis en elle.tont leur espoir et toute leur conllancer nouvelles.qui npliS arrivent

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M iRMBHÏ - : îii

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1» Une di'mwirc avftç greniera<i-ilessiis couvert eu iiiiles; (‘Larobre ü cdtrt ol graugu wnjverics eu chaume;

2-* Un bûcher et un toit à jmrcs égalemenl couvons eu chaume;

5'' Une cour de ciuquaiitcb soixante mètres carrés, ayant accès sur ta rue Uucliette par une porte cochère;

4* E l par derrière, un jan liu entouré de haies vives et contenant ciu»| ares ipiaraute centiares ;

Le tout lient d’uii côte h M. Nignerou, d’autre oûté au premier lui ci-dessus et h M. Deuixot, d’uu bout î> M, Aiiiolno M arot, et d’autre bout à la rue Ibieheiic.

Ix !8 cours des deux lots ci-dessus seront sépanVs mitre elles par un m ur do doux mètres de hauteur partant du pignon de la de­meure bafaituell» du premier lot d’a v ^ celle du second lot, et venant aboutir en ligue droite sur la rue Ihichelie, à deux mètres de rétable comprise au pn-mier lot. .

La consiruciirtu de ce mur sera faite a. frais communs par les .idjudicalaires des deux lois, e t, en cas de réunion de ces mêmes lo is, la stipulation qui priHiède sera continuée comme nulle et non aveiiiio.

1 Æ I 3 S 3 A P A I Z .

I.es imiueiibles ci-dessus désignés, en outre îles charges, cl.mses et eontlilions, seront crié.s sur les mises à prix suivantes, savoir :

l ’ oiir le premier lot. celle de. , . ' 1W) l r . Kl pour le dousièiue lot, cel!e »b\__ 1^0

To ta l.........................5(H) fr.

S 'ad i't 'üs ir p m ir a v o ir des rrnseûjnewvuts:

4“ .1 M* K UKM Y, neoiié, ptnnsniemi/ larente ;

2 “ A M 'C H A l.M IN , ) avoués, présents ù 5'' d M« I‘ E IJ 1 0 IS , ) la v .- i i le ;

4- E t û M" LACO UR. nula ire ;dépn.sila ire du c\i/u'cr dc.s c/uirgcs cl d « lil»e.*'ife£ropriélé.

P'ait et rédigeaSenlis par l'avouélfuissigné, le lie u le e t ou juillet I 8 til).

Signé : KtiÉMV.

Enregistré;! Senlis, le trente et iin ju ille l IStiO. f ‘ 157, c ' 5 , reçu un Irauc d i\ centimes, diviètue compris.

.Signé ; GiiÉuotRK. Pour iiisorlion :

Signé: Er.ftMY

A r t . -i.

lam le de M* FHfeûY, avoué é Senlis.

V K K ÏEP a r suite de. sa is ie iin tno ù tU c rc ,

D ’U N E M A IS O NCir«onHtiuirrM r* IBé|MnMiNnccs>

yfrve € 'O V H e t J tM H O Æ tV ,Situées h FLKiJRmiîs, canton de Pont-Saiute-

Haxcnce, arrondissenient de Senlis ;En l ’audieucc des criées du Tribuiia l civil do

rarroiidissemeul de Senlis, sise eu l’uiio «les salles du Palais-de-Justice de iailitc ville.

I.'ailjndicatioii aura lieu le 4/urd i v m jl-a n J o u i 48 6 0 , heure de m id i.

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E n l'é tude et p a r îc «liMisIérc de M ' LArriNKUU, notaire à P i//rrs -t’o«<!r«'7s (Aisne),

commis à cet effet.

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AiiiHHiecs Uivcr.s«;s.A I . O U E I t

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E T , t r Ç f V ! L D E .S È .X iC iS . flaissancc.

Carron (E lisuTlorcnllue.)Décès.

niauchct (Alphonse), 11 jotn-s.Vigtion (l.éon-Ilcctür-(:arülus). i î jo u rs . Lcmaitru (nosc-JaKiiiin), CC nus 5 mois. Gourlel (llcuri).\ 1 1 ans 3 mois.RIancliet (Ëugèoc-Alphunsc), I an.

Piil»IHMi«i»N M nrln iK fi.Entre M. Mtthicu (Loiils-Picrre-Caslmir).pro­

fesseur, û Senlis; et M”* Bécus (Joséphine-IJa- rissC'ClotiIdc). lingëre, à Senlis.

Z V B t a i t i Z U I S D E C B J L I.a u ilP O U R V ^ T A C U Ë R .

J s im t a M r B a i s i ^ M m H e ^ v e s r a p i t e .Citti* linuVetlc préitarsiliob itiimiqne' permet d’wilever kut-mciné iii*taiit«ném«il Ions te» .v p r ^ gn

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VII.LE.S. ÜATbIS.

Senlis. 31 Juillet.Compiègnc. 2 8 Juillet.Reauvdis. 2 8 JuilletLlarmoUt. 2 8 Juillet.r.r«lpy. 2 8 Juillet. \Nuvon. 1 4 Juillet.Pont. 2 0 Juillet.

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t ' u li/ tr noii$ Itin ire de In vU t- de Sei •on de I t i iK " ' '"> r r d f M - Iti-i- i n . « f « 4 A o û t Ivüü

« f ir n h t , teS h lN I.I.S . - ' r Y l ’O E It .V I ’I I I E E T L i T I I O l i K A I ' I I I E D E I t E U N IK I t .