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Sainedi 12 Octobre 1801 > W" 41. — S 2 r ann^'C. lÿlRiililliR i.*Aai»wKiimBKTt ' 1j V..;.; ' M •. 4fr»»e. ,, ii V m t . . . • J 9j , / ^ ç . Puva u Mnavt*»» J ^ „o»« * S£;|v : » M IX »KS IWOKHVlONSi ÀNkoNCES JÜDICI\|K m ; 30 rcnl* U ligne. AlOiÔNCn MVKh^BS, 30 iil. M t o w e s - v tIGIAIRËS. oiv rABosricR I ' A Seiilif, au fc'nma la /o«riMl, place Icida-Ville} — A IVri*, clwi M. .,n.tVJ IcaorJarquM IlouaKaii, {i, el clin JÜi tAFPITE-BULMP.R ti ('.omit., phe^ drjal A; — Cl dica Ica l.ibtaîre* Ha oefiartctiKq Ce joiurnal . I .1 J . rlàUJk /: Ou lit danR Iq MonUeur xmiversel t Parts, le 0 octolire. IX. HM. l'Empcrenr è1 rimpôralrice cl S. A. le Prince Mtnpfrial ont .qifillé hier, dans rajirès*iuidi, le paUis de ^iiibCtonâ, ponr se rciidrc'è Gompiègne. 8. N. le rot de Pi iisse csl arrivée aiijotird’liui& six heitre.s att palais de Complègtie: l’Empereur est allé recevolj à la ^ ritlnslre Toyageiir. S: N. rimpéralrlce, nccnmpagnëe de S. A. le Prince Im périal, suivie des daines de son service cl di‘.s flfilciers de («rrice auprès do l’Empereur, » reçu le Ilui au pied de Tes- calier d’honneur. . ^ Hajesié csl accompagnée de S. Exc. le comlr de Pour- làlès, son miiiislro pl4pipolénllaire ft Paris, du général Do- Htff, commaiidaiil en chef Ig 8* cor|)s de Parméë prussienne, lies aides-de-canip généraux d'AIvciislcben cl MaulPufTel, aiusi que de plusieurs officiers de su maison milltuiro cl | civile. . > Le général Frossard, aide de-camp de l'Empereur, le comie dcllioncourlf chanibelliiii de Sa Majesté, le baron de Bourgoirig, run de scs, éciiyers, accompagnclit, égale- mrol le Roi. qulls onlcu mission de recevoir A >â frortiièro.' .i.vPariDUcs pei'Sonnes invitées à t^im pii^e A cette Dqctl- MO, on rcm ur^ô litû EExc. le comte'Wülewski, mliiM*’" Iréd’RUI, le comtO; de. Pqi^igny, ministre de l'iuléileur, y. ThouYpnel, hvnijUio!dPs,n,(rpire^lr«itmèi'cs, le maréchal éomlo Hàgnàii. cèmifl^hddnl en’ chef le 1" corim d’armée, le iharéclial de Mac Mahon, duc de Magenta, commandant en cher te SP corps, et le prince de la 'rour-d'Auvergno. — On lit dans le tfoniVctir du 8 : r U prix dcAlarinasl s'étulit élevé siibilèmeiil dans la derhiëro qiiinxaine.de-.Mplembre, la taxe du pain, qui se déduit de la mercuriale des fai ines, a dû éire portée à SO centimes ilans le départemeiU de la Seine pour la pre mière qiiinzain'o' d’octobre. Tout-porte A croire que la b.iussc',qni n déjà fait un pas en arrière, ne se mulritiendra pnini eu préseiira; des arrivai^es él des upprovisiomiemcnts du nord de l’Europe. Eu tout c.is, le prix du pain de 5[) c. te kilogramme est ùu maximum qui ne sera pasdépas.sé. La C.dsse de la boulaiigeriu convrirait la ditTéronce entre ec prix maximum et le prix réel, confcirmémenl à sa inis- sioH et à scs précédoiils. si, contre toute attente, lu bai.<;sc (]tii s’aniionce ii'avait pas lieu. > Iniiiiislrè de l’iiilérienr vient d’adrc.HScr aux préf* t« ta cirrailairc soivante : ' Paris, le 5 octobre 1801. .Monsieurle préfeljt'Empcrciirurauiilurisé. parsa lettre diilSauôt dernier, & préparer poiir la prorliuine session du (lorjht législatif nu projel de loi coucérnnnt ralloc.'itlon d’tiiie .sobvciitioirdc S5 millioiis dcsImée'A faciliter racliè- vcmciit dcselieniinsvirlilniixd’intén)i coinmiin. Sa Majesté n voulu, on même temps, répimdi'é sans délai nu vmu des conuiumcilTiifalrs.'dopï les udrésses imauimcs des conseils généraux n’ofil été que la (Idète exprèssinn, et. d’après ses ordres, je me suis concerté avec M. le miiiistro des ilnaiiees jinaV l’ouverture d’un crédit extraordinaire qui porinello de dunner imnié.di.itcmciil nue vive jmpnisiop aux travaux de la vieiualité. J'ai la salisfartlon du vous'aniiuiicer que, pnr déciTl délibéré on conseil d’Eial, un crédit de 2 mil- lians, imputable sur l’excrcicc 18UI, a été puverl à mou ministère. Dan» une. quoslioU'qui'intéresso é un .si haut degré la pro.»périté des campagnes, je devais rechen-lier avec soin le meilleur mode de répai lllinii à suivre. Ce Corps légisiatif sera naturtdlemcnl appelé A .se prononcer sur l’emploi' des fonds'qipil lui appartient de voler, et je ne voudrais pas prijugcr ses résolutions i cet égard. J’ai donc pensé qu’il convenait dé Be borner à distribuer, par portions égaies onirq Ics' déparlemeuLs, le crédit extraordinaire de 2 niij- lionsj Ias conseil d'Elal a partagé mon sentiment. Je 8oumettrai.au Corps l^lslalif l’état général de cette répartition. Quant A la distribution A faire entre les corn- tilUite^,Jé^Vuus eij .laisse l’iiiilialivc et la responsabilité.. Vous êtes mieux placé que mol pour juger la véritable si- tnallon des localités; vous l’apprécierez avec une impar tiale équité, et vous ne manquerez pas d'avoir égard aux besoins réels de chaque commune, aux ressources dont elle peut dlsposerel aux sacriliccs qu’elle s’impose pour le sarvire viciuaU Les subventions que vous accorderez ne s’appliqueront, en Ions r.as, qu’aux clicmins classés anté- rlenremniil au décret du 4 do ce mois. Vous devrez me rendre compte de la répartition que vous aurez opérée et eu mettre le tableau sous les yeux du <^Nseil général de votre département, dans sa prouhalnu session. G’ost nu devoir, monsieur le préfet, comme une gar,inlie pour rudu)inislration, de s’appuyer sur le con cours aussi loyal qii'éclairé do ces assemblée.s qui renfer ment l’élilo du pays, et vous répundraz A la pensée do rEmporeiir eu les associant A l’cxéculinu d’une mesure si féconde et si justement populaire. Recevez, monsieur lu préfet, l’assurance do ma considé ration trè.s distinguée. Le minièlre de l'intéricui', F. DB I'krsiü. vv. ■— Un. télégramme pppfeqd la mort de l'Empereur de la Gniiie. Cest par ^InM^eluriibOni'g qu’on.a reçu cette non- ycllc; 'c’est‘aussi phr S.iiiil-Pélerbuùrg que l'on a reçu la première iiouyellu de lA prise de Pékin. ÀRMjôvIlpr les embarras qui résulteraient de l’nb- I inonwiiiyoï'i {«g jeunes soldals.de II deinfbmé'portidlt du ctmilogonl del860 doivent arriver aux dépéts d’inklrdction. H- le mnrérhal Rniidon, minisli-c de la guerre, a décidé, lu 24 seutembre, que tes officiers, sons officiers et caporaux ôii brigadiers des déuuls des <^rps Isolés de léurs bataillons ou escadrons acti», ut dé- rignés à rinspeclion générale pour partir en congé de se- mesire au l*' octobre, no pourront Jouir do celte faveur Q'i après que les hommes de la deuxième poriiuit du con- ungcnt auront quitté les dépôts d’instruction pour rentrer dan* leurs foyers. (Moniteur de FArmée.) *~'Four faciliter le scrvire, comme aussi pour éviter aux gendarmes qui csrortenl des prisonniurs par les voies in- Pldes une perte pAtablo de temps et ini surcroît do dépense, *• le maréchal miulslrc du la guorro a décidé, lo 27 sep tembre, que l’inlondahl qui délivrera, un ordro d’estcorie sera autorisé A délivrer oii même temps l’ordre de retour. Eu outre, dans la pensée d’épargner des fiilgutf aùV^j gendarmes et des dépenses A i’Ëtpi, le miuisiro o rccunf-: - mandé de ne mettre, autant que' pns.4ibte. les détenu^ en' roule que lorsqu’ils seront en nomhro.xuffi.saul pour rom-^ pllr, avec lc.s goudarmos d’escorte, un compariimont dé' dix places. cid.) — Ou active lc.s préparatifs nu pavillon Marsan, aux Tnllories, en vue du séjour qu’y fera le roi dos l^avs-Das; pondaii.t la semaine qu'il doit comsacror A parcourir iiolro capitale, après sa visite A Ll.. MM. A Conipiègue. De Daris, S.M. Néerlandaise se rendra dans scs Etals en passant par la Bclgiqiie, et elle nuiw A Liège une entrevue avec lo roi Léopold. L’Empereur a signé, A Gompiègne, lo décret qui alloué' 2UD,000 francs au maréchal de Mac-Malinti, pour scs frais de représcntatlui) au cotir<nihèmenl' du Roi do Prusse A' Kœni^berg. ■ Je veux vous dojmcr une idée du luxe que > le maréchal déploiera dans la'circoustaiicc, noms écrit-on ■ de l*aris. Ces jours derniers, j’ai vu chez Binder les quatre voilures qu'il emmènera avec Iu1 A Kænigsbergl l.a plus belle, qui a déjà servi nu sacre do l'Empereur de ItiiKsiu, coûte A elle seule, en réparatioiiK^ la somme do 20,000 fbancs. et la housse du siège du cocher seule > :0,000Tr. Elioélail précédemment dorée : qii l’a totllar- • gehtéie, ç*^*A d.ire_ revêtue .d’afgcnt iqa.l 3' ÿtf ntiMeh tbnin'kcr .1 tdb^ — Par décision du ministre des finances. Intérêt atta'- clié aux bons du Trésor public a été fixé ainsi qu’il suit, à partir du lundi 7 de ce mni.s : 3 1/2 0/0 pour les bous de 3 A 5 mois; 4 0/0 pour les bous.de 6 à 11 mois; 4 1/2 0/0 pour .les bons A nu an. T- On lit dans le Monùew de FAIgh io : Sur un rapport du ministre de la guerre, motivé par une demandé trè.<-prcs.<nntn du gouverneur général,' l'Empe reur n bien voulu décider, A la dalu du 2i septembre, que l’Algérie serait comprise dans la répartilmu do.s25.,U00,UU0 qui seront afTeelé.» A l’amélioration et A l'achèvement des chemins vioinaiix. La part de l'Algérie dans celte Bubveutlon a été tixéo A 000,000 fr.; elle a été calculée sur la moyenue ruvciianl A chaque département de la méiropule dans lu crédit totar. ' Pour ttrfrm'f c/rct/oc//o« ; E. KEG.MER. S3ÜYELLES DÊPARTEMESîâlES. ,Pnr arrôlé do M. le Préfet, en date du 8 octobre 1801 : M. Méiet, admb(.sibli‘, est nommé iu.<litutenr public A Robcrvai, en remplaeenicnl de M. lluroy. — Dans son audience de Jeudi, 3 octobre, la chambre criminelle du la cour de cassation, pré-sidée par M. le con seiller Faûstin llélie, u, confurmément ;iiix conc'usions de M. l’avocat général Suvary, rejeté le pourvoi formé parte nommé Mcrcery, contre un arrêt de la cour d’assbes de roisé qui ra.ooiidumué A-ia peine, du mort, A la date du G septembre I8GI, pour crime d'h-nnicide volontaire.accoq)- pagné de vol et de viol. B.VLAONY-SUR-TIIÉRAIN. — Depuis plu.sicurs jours, le iioinnié (Jeau-ILqdiste) Asuiu, Agé du 40 ans, ouvrier dé- graisseur, semblait occupé miiquemeutde l'idéu de mettre lin A sus jours. Il s’uiifurmaii chez lui avec dus cordes et ne parlait A tout le monde que de son inicniiou de se pendre. dçMix octobre, vers sept hciirus du m.ittii, des ouvriers lui dirent eu plaisanlaut : « Hé bien, lu n’es pas encore pendu! • Ces paroles le vcxèreiil, et il faut peut être leur attribuer la résolution qu'Aspic no tarda pas à accomplir. Sur le refus de plusieurs débitaiits’de lui vendre un litre d’eau-de-vin, il sj rendit A .Mouy et s'enivra. A deux beiiras, le sieur üoniouceaux. qui gardait les vaches'dans les champs, aperçut uii homme luiuiobilo contre un arbre; il envoya soii domestique, voir ce que cela signifiait, cl apprit bicniél qu’il s'était pendu. Lo gardc-uliniujtéire, prévenu du fait. arriva aussitôt cl trani;lia lu corde, mais Aspic ne donnait plus aucun signe de vie. La ruiiestu habitude do boire avait, dit-oii, altéré les ruculté.s incnl.des de ce mal heureux. COMIMÈGNE. — Le Riû de ih'iisse r.sl ai'rivé diinniichc à Compiëgiie, A six heures du soir. I/Enipui eur est allé re cevoir sou auguste invité A la gare, et. après s'ôtru donné de cordinle.s poignées de main, les deux souverains, l'un ut l'antre en habits du ville, sont montés daius la même voiture, cl se sont dirigés vers le rliAleau. I,a f'.mle des cu rieux était considérable, et, sur leur passage, les cris, dé Vive l'Empemtr ont été poussés avec le plus vif cuthou- siustiiP. Dans la cour du chAtcau, les zouaves formaient la haie; A l’arrivée du Roi, les tambours oui ballii aux champs. S. M. l'lmpératricc,.accompagnéo du l'rinre Impérial, suivie des dames du sou service et des officiei's du service auprès de l’Empereur, n reçu le Roi nu pied de re.scniier d’honneur. ^ Le Roi a gracieusement embrassé lu main de l’Impératrice et lui n ulTcrl le bras; rEuipereura donné le bras A la princcsso d’EssIIng, et Leurs Majestés suni ar rivées dans le salon do réception eu traversant un» haie de rent-gnrdus. L’uscalier était brillamment éclairé, et pré^ sentait un çoun-d'wil magique. Après le dîner, il y a eu curée aux flambeaux, dans la cour-dii château. La vénerie avait fait une chasse A courre dans la journée, et un cerf avait été foiicé près do Picrrefonds. Le Roi de Prusse était accompagné A son arrivée du gé néral major d’AlvensIebcn, général major 'de MAnleuifel, aides-dc camp généraux ; cojonel Royen, licutcnaul-rolonel de Sohimmotmann, major doDauch, colonel comte de Golz, aidcR-du-camp; S. Exc. M. lllnirc, conseiller hilime, chef du cabinet; général do Bonln, commandant en chef lo 8* corps d’armée prussienne; comte do Pflurtalè.s. minisirc do Pru!»e; prince Henri Vil Reuss; comte de ilalzfelcll, sccrétiiiru do la légation de Prus.so; major de Sleiii, attaché militaire de la légation; baron de Rolhschild (Alphonse), consulgéiiéral de Prusse A Paris. — Lundi, il y a eu chasse A tir dans le parc et prome nade au chàte)|U do Pierrefonds, où la musique dus Guides a exécuté plusieuiA morceaux. Le temps était maguifiqûc, et, par suite, l’ufTIiicnco des curiciix considérable dans la foret. On peut dire que tout Cornpiègno cl les environs s’y irpqvAlenl. La Cour csl ronirée A six heures. un dîner de 80 couverts, les comédiens ordinaires J ç PEmpereur ont joué deux rharmantes pièces devant la ,ipoùi% qans la salle du spectacle du ehàlcaiL Le Roi do Prusse, qui portail le grand cordon do la Légioii-d’/ion- Ùei|i', avait A sa droite l’Empereur, portant le grand cor don uè l’Aigle,noir, et A sa gauche. Sa M.njcsté l'Impéra trice. r— Derrière, se tenaient les Chambellans, les Dames d ilonnciir, et tous le.s invifés du cliûtean. . La représentation a été vraiment splendide. On a d’abord donné Le llongcoir, comédie un un acte, en prose, de 31. Çlé- .nicnt Carnguel. jouée par M.M. Bressant, Dclàiinayet M“'A r- iioiilri-Plessy. — Eiisiiiic, on a représenté la charmante co- ÏÏSr'&ï • : Le Jeu do f Amour et du Hasard. MA|. Régnier, Provosl, Delaunay, Brcssiiiil; 31**" Augustine Brahqn çl Arnoirld-Plessy, ont interprélé l'ouvrage avec tout Itt tàtcnt qu’on leur connaît. L’Empereur a donné A plusieurs rcpri.su.s le signal dc.s applaiidi.ssuments'. — La musique des Gtiidc.s a fait entendre pendant les entr’aclcs de éharmants morceaux. La salle était garnie de l'élite de la société compiégnoise ; nous y avons aperçu plusieurs membres distingués de la ■presse parisienne cl do lu presse étrangère. (MouUourdefOise). à dix heures du malin, les troupes de la gar- w m rsvw nlposaui dii r^ibcA i de guides et du biitailtôn des zouave.s, ont été passées en revue sur là pelouse du parc, les guidi\s occupant un des côtés de la ’pelmise et les Wuavcs l'Hiilrc côté. L’Ernpcrenr et .le Roi étaient en bour geois ctà piud; ie prinim impérial portait riinifuriiio de ca poral des grunadicrs de la gardu. Après avoir pas.sé devant le front dus troupes. Leurs Ma jestés 1Erapuruiir ut le R n, ainsi q lu Si ilajeslé l’Impéra- irnæ, scsonj placé.s en haut du la puluu^e pour lu délilé .qui a CH lien an son des miisîqiie.s 'dus giiide.s ut dus zunaves. A midi vingt iiiiiiniu.», le roi a qiiillé lu palais pour se rendre A la gare. Si 3Lijuslé l'Empureur, Comme à l'arrivée était scnl.dnn.s une voiturcavec lu roi ; atiuunc escorte n'ac- compagnqit lus quafru voilures qui conduisaient le.» invités au chemin de fur. A lu guru, S. JI. l’E nperunr a accompagné je roi jiisqn'A so.i wagon, et ayant du nniilur, le roi u échangé avec i'Em- pcreur iinu uordiale poignée de main. Le roi de l'rnssu Gaillaiimu [", ((iii est Agé du 61 ans et demi, et qui est roi depuis lu 2 jànviur du cette année, eHt 11 » homme de haute taille, aux cheveux blonds gris.somi:ints et rares. Il porte, comme beaucoup d'aliemaiids. les m uui iacliG.s sc joignant avec tes favoris. Sa physionomie est em preinte d'iiiic rcmarquablu douceur. ,.vû.Ay^Ldu.quitter le palais. Su Majesté le roi Guiliaunie a, ■qous ns.sure-1-on, décoré de divers ordre.» de Prii.sse, plu- «téifrs du.» hauts personnages qui suirouvunt en ce moment avec I Empereur. (Progrès do rO/se). •r— On écrit de Gompiègne, b‘ 8 oclobm: Gç. malin, à dix hutires, sur lu dé.sir témoigné par Sa -Miijeslë^ prussienne, une revue de.» zonnvcs qui.se trouvent en ceïnomcnl A Gompiègne cl du régimcul dus guide.» de la girdç, en garnison d.iiis celtu ville, a été passée dan.» lu pare réservé, sur la pelouse du.» Uca,nx, Monts. L'Etnporciir et le roi de IViis.su élaieiil on babils bohr- geois; Je prince impérial porlail l'niiiformc des grenadiers d« la garde. Dus .cris de :« Vive lu roi de Prusscf 'vive l’Empereur! • ont salué l’arrivée de Leurs Majuslés. • Apréîf la revue, des manœuvres ont été exécutées. L’ImpéiMlrluc y assistait en loilulto du matin. Le déjcùiier a suivi inimédiatemenl ; cl le roi, ayant pris congé de l'Impératrice, est monté en voiture avec l'Empe reur pour su rendre A la gare. It élait aloi-s midi cl demi. lA! cortège s'ust formé dan.» le même ordre qu'A l’arrivée. Les deux souvoi-aius su sonl séparés nprè» de.» adieux plein.» de cordialité. Au dernior inomeiil, le roi de Prusse a dit A l’empereur : • Ëmbras.sez pour moi votre fil.» ■ On a remarqué que les ofliciors du la suite du roi du Priis.se, un adrcs.»aiit luui-s adieux A remi.'cruur, avaient baisé la main du Sa Majusié. Le roi de Prus.se, nvaul do qiillter Compiègne. a distribué trois décorations derAiglc-Noiret dix-sept de l’Aigle-Roiige. — Doiiifacc-Dcmarel. , Le ilouileur annonce ainsi qu'il suit lo départ ilii roi do -Prusse et la prochaine arrivée du roi du Hollande : « Slardi malin, avant te déjeùner, le roi a nssisléà la parade des troupes qui su tnmvaiunl chargées de la garde d’Iiouiiunr du chàlenn, et qui sont coinpo.»éu.s en ce moment d’un baliiillnn des zouom*.» du la gai-dc et du régimcnl des ffulde.». A midi cl demi, lu roi a pris congé du sus aiigusles hôtes ut c.sl parti pour DnssebloiT. où Sa Majc.slé devait coucher le soir. L’Empereur a .iccompagiié lu i-oi Jusqu’A la gare. ^ • Il paraît curlain que S. 31. le mi des Pays-Ras doit ,ir- rl,voi‘ lu 12 de eu mois au palais du Compiègne, On assure que Sa Maju.stt y passera plusieurs jiuirs et su rondra eii- suilu A Paris. I, Empurcnr a déjà désigné lus officiers du sa maison qtd doivent êire ailauhés A la pursonue du roi pen dant son séjour eu France. » . GREIL. — Le 2 octobre, vers six heure.» du soir, iitiçoni* msncemunl d'iucuiidie s'est déclaré an domiùilé dû noninié Thpophile Binet, manouvriur. la's sieurs Dubois et Alar- gtfpt ïipcrçurunt eu |>a$sanl du la nammo A l’intérieur de ^'maison; ils moidcreut a la uhambru d’où provenait cet éclat, et éteignirent 1.^ feu qui rousumail les rideaux du l|t,'Voici ce qui avait occ.isionué cet évéïtumcnl. Pondant I absence de lu femme Ulnct. sortie un histan! pour aller acheter du luit, un de se.» uufaui.». Agé du sept ans. voulant çhqreher snq.» lo lit un.u bille qu’il avait purd.qe, .ivaR placé U chandelle tout près des riduaux,qui avaipiilpussltât pris fuu. . . . — On écrit du Greil : « ^Imaucho dernier, vcre hnit henrus du soir, un vol qui dénote de la narl de sou autour nue grande hardiesse et du'o habitude du métier, a été commis nu préjudice des époux Grenier (Théodoru-Nicolas), nianonvrlers. ■■ La daine Gruuiur ayant un besoin de s’afnienlcr quel ques mlmites piiur aller churuhur sou enfant qui jouait sur lo place publique, A 200 mètrus A puiuu du leur habitniion, lalèsa sa lampe allumée sur le uheminéu, mil les vorronx njix (leux poilus duimiinl sur lu jardin, ut ferma A clef celle • A sou retour, elle t’cmarqiia A fraverz ia’éroNèe-(fud la lampe avait ôté dérangée de la cliem iuécetm bedii»* ' ’ ju milieu de l’uppartempiit, ut au même moment eoleqdlL ' furmeP lé tiroir do sou armoire. Plus de doulo po'ur elle qu’un Ÿoleur s’était Introduit dnris sa maisoii -pàr un car reau cassé do l.'i{croisée du-jardin, ouverture qu’elle avait bouchée par une pltiiirhe. Elle ouvrit prestement sa porte; mais Àll nromivl- l.rilii Ia mnlf-itlaii,-u'Alnit o.,,,...' pur lis au premier brnil, lo malfaiteiir s'élait sauvé par-les , rtc.» du jardin quudanssii précipitation iliaissaôuverles. > La première pensée de la dame Grenier fut de reg.ir» derjLms son armoiru. Le voleur s’était emparé de 18 fr. qui's'y trunvaient,-mais avait laissé une tliiibate eu âreéiit et du.» bijoux placés A côté de cuttu somme.. '» Aux cris • au voleur! au voleur! • poussé.» pnr la dame Grenier, ses voisins cl deux gendarme.» qui, faisant leur loiiruéc en ville, avaient aussi entendu ce.» cris, accou rurent, ef, munis de lanternes, cherchèrent avec elle daus son jardin où nlle avait eniuridu fuir lu voleur, et dans les < jardins cnviionnants; mais leiir.» recliprche.» furent liifruc- tiieiisus. Ils conêtatùrent Béulcoient quu le voleur avait escaladé le mûr doiiûant sur la rue. . * Voilà le cinquième ynl r.omniis depuis environ huit joure; les quatre autres sont des vols du lapins : ^ de ces tranquilles habita.uls de clapiers ont été arrachés de leurs demeures. Jusqu’A ro! jour on n’u môme pas pu retrouver leui-s ^icaijx; sans doute qu’ils ont été exportés. • LIANGOÜRT. — Colto ville'cétébrail, dimanche dçftiier, G octobre, rinanguralion du la slafiie du vénérable due de ' Larochefoncaulü-Linncoun, propagateur do là v.iCulne, ce remède^si précieux contre l’ime de.» plus affrcusM maladies qui alTligcnt la pauvre humanité, fundaliiiir de l’école dbd ' Arts et méticre de GhAlops ut.d'un grand nombre d’établis sements qui rundenf son noui'S1 réspuètablé et .<1 C her, siiiiont aux habitants de Liancourt.sa résidence de prédi lection ut où l’on voit le mode.»ic (ontheau du grand pbUih- trophc. Riun n'.ivalt été épargné pour donner A celle fêle I le plus d’écl.at possible. Tons lus habitants s’étalent cm- J . pressés de prêter tour généreux concours. Toute.» les rues I étaient garnies d ’àrbirslus verts, de guirlande.» do feuItLigcl '' I et du fleurs. Lus arcs du Irioinphu élalepi Ifus-multjplié»- • et la pinparl fiirt élégants sur iesqucls ou. lisait les tîli'ed' I dû duc à la rccotiuatssancc publique. Une mullitûde d’é- I (rangers affiiiaiem A Ltancourt pour celte magniflquc et > giMiidii).»u cércmoniu. A une heure, lu.» co:npagiiift des sa- puiirs-pompicre de’ la ville et tes subdivisions du raiiTon se rundirerit sur la place prinUipile, ut du lAsiir ta'place de t’Eglise, où, par lus soins du digau curé de la p.arok»e, s’é levait un aiilcl fort gracieux Le délilé eut lieu dans l’ordre suivant : la musi<|ue du Liauuoitrl, lus supeurs-pomniurs du lu loc ililé, les jeunes demoiselles vêtues de. Jtimir, le» élève.» diw écoles primaires, lus divursus corporations d’oU'' vrier.» avec leni-s bannières, le.» élèves ut aurions élève.» de.»- écoles d'arls ut niétiurs, le clergé, formé de tons les curés' du canton, la mnsiqno du 78' dé lig ic vunnc do P.uls.les aniorilés du canton, lus médailléi du Sjintc-llélèuèet fcs subdivisions des sapeurs-pompiciN.^-' - Sur l:i place, un présunoc de la slalne, dont Ic'voile fomtm A un sign.il donné, la noble figure du duc du Larochpfuu- cauld fui saluée pnr lus acùlamaliou.» du l.i ftiulu.'par lus- ' roulcmonls dus lanib’Uii's, le brnil du unnouél par le.» j joyeuses volée.» dus cloches. Quand le silenro flil rétabli I M. le niairu de la ville prononça un discour.» fort bien écriî . pour rcHu solunnolle r.irconslancu. M. Dobuiru,-adjoint, lut ensuite le rumarquablp di.»com-s de M.-le baron Dnpin. qn’uno grave indisposition avait empêché de vcnirpi^sidur celte fétu. La poé.sie devail aussi rendre homtnage au bien faiteur de riinmanilé, et il appartenait à M,. Valdo^y, mé decin et vacciiialtiiir du canton de Liancourt, de lu louer on Yure élégans qui furent écoulé.» avec le pliis grand plai sir. On pourra lire ans.si la charmante piùre de vei*» coin-' posée par 31. Dottln, ut qui est insérée en (été d’une petite iiotiou du savant unlcnrstir la vie et la slalne du vénérablo duc du Larouhufoiicanlt-Liancourt. Après pln-sicure brillants morceaux de musique eut lieu I.) hénUdiclion du la fontaine qui accompagne l.i st.duc. On retourna 'dans lu niênic ordre sur lu place de ri^lisc en passaid par la nouvetiu niu de Pont. Alors 31. lu curé-doyen monta les marches do l’autel, et, an milieu du silcnru, prononça une alloculiun dans laquelle il dénj-niira que la religion s’.issouie avec bonheur aux fêtes qui ont fa biunfaisancu pour objet; que .\otre-S«i'’ncur Jésns-Christ csl le premier et le plu.s grand bienfaiteur dus hommes; que sans lui la charité serait inro-mue sur h terre, et qu’il était bien juste de le preclamer hautement dans un jour où tant du personnes de distinction et iiii concour.» si immense de population avaient exalté une étin celle de biunfaisanuu dans un de leur semblable. Deus cha- rilas est, tels étaient lus mots Inscrits au-dessus de l'aulcl • D;uii csl charité, ut nous devons faire rumoiitur jusqu'à lui noire .amour ut la rccoiinaissanuu du nos cœnre L’air ro- tuntit ensuite du chant du Te Dcum et du Domine salvum Lo cortège retourna vere cinq humes sur la place du Marché. l.c fuu d’artifluc, tiré A neuf heures sur la pirèe d’eair du parc du chAte;m, a lu-ovoquo A plusicure reprises \n bravos du la foule. La statue du dur. lus édifices puhllrs, les Ii . ojmjiicIs et lep allée.» du paru étaient brillamment illuminé.» un verres do couleur, lanli rncs_yén||jeniies cl. reux-de. Bungalé.-I,é bal piil lien sons-iinc \u»lo (unie ornée des plus riches décora tions et-splcndidcmont éclairée. *' Lu lendemain, un service Diilèhrc fut célébré*trè.»-soleù- ncüumcnt pour lo repos de l’Ame dh noble duc, et Rit suivi d’une procc.ssion A son tombeau. A. GH-virmst.. ^ÎELLO. — Le 30 septembre, les époux 3lercier, renllors' demeurant A Mcllo, vuiinienl de s’inslnllur dans nnoAou* vcllu maison. La femme Alercier sc fit remettre par son mari .trois billots de banque, de ,100 francs chacun, qu’il B ortatt sur lui, cl lus serra dan» le tiroir de son armoire uiix jüuiti après, ces bilIclB'hvrtlent éJé.ViWevèi: Que sont- Ils dcvemiBr Co point n’a pas encore été éclairci. RAN'TIGNY — Dana là journée du 7 ncinbre, le nommé , Julien Fetil. ncmire eu bétihiciils. Agé de 37 nus. venu pour affaire.» de Llanrnurt A Ranligny, csl mort subitement' ’ d une .altàqna d apoplexie. Il su raR'nichiss.'iit avec son beau-pèro daha l’auberge du sieur Breton qûand II ^ il tout à coup connaissance. On le transporta A t’alr el bn appela en tonte hâte lo dnclour Tixiur, de l.ianeniirl, mais tous les soins furent inulilus. O t liumtne ovaii ou déjà denx antresattaqucsd’apoplcxiuci élail paralysé (Inuôléganchu.

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S a in e d i 1 2 O c to b r e 1 8 0 1 > W" 4 1 . — S 2 r ann^ 'C .

l ÿ l R i i l i l l i R i .* A a i» w K iim B K T t' 1j V..;.; ' M •. 4 fr»»e., , i i V m t . . . • J 9 j , / ^ • ç .

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M I X » K S IW O K H V lO N S iÀNkoNCES JÜ D IC I\ |K m ; 30 rcnl* U ligne . A lO iÔ N C n M V K h^B S , 30 • iil.

M t o w e s -v t I G I A I R Ë S .

o iv r A B o s r i c R I '

A Seiilif, a u fc 'n m a l a /o « riM l, place Ic ida -V ille} — A IVri*, c lw i M. .,n .tV J Ica o rJa rq u M IlouaK aii, {i, e l c l i n JÜi tAFPITE-BULMP.R t i ('.omit., p h e ^ d r j a l A; — Cl d ic a Ica l.ibtaîre* Ha oefiartctiKq

C e j o i u r n a l. I .1 J . r làU Jk

/ :Ou lit danR Iq MonUeur xmiversel t

P arts , le 0 octolire.IX. HM. l'E m pcren r è1 rim p ô ra lr ic e cl S. A. le Prince

Mtnpfrial ont .qifillé h ier, dans rajirès*iuidi, le paU is de ^ iiib C to n â, ponr se rc iid rc 'è Gompiègne.

8. N. le rot de Pi iisse csl arrivée aiijotird’liui& six heitre.s att palais de Complègtie: l’E m pereur e s t allé recevolj à la ^ ritln slre Toyageiir.

S: N. rim p éra lrlce , nccnmpagnëe de S. A. le P rince Im ­périal, suivie des daines de son service cl di‘.s flfilciers de («rrice auprès do l’E m pereur, » reçu le Ilui au pied de Tes- calier d ’honneur.. ^ Hajesié csl accompagnée de S. Exc. le com lr de Pour-

làlès, son miiiislro pl4pipolénllaire ft P aris, du général Do- Htff, commaiidaiil en chef Ig 8* cor|)s de Parm éë prussienne, lies aides-de-canip généraux d'AIvciislcben cl MaulPufTel, aiusi que de plusieurs officiers de su maison m illtuiro cl | civile. ■ .

> Le général F rossard , a ide de-cam p de l'E m pereur, le comie dcllioncourlf chanibelliiii de Sa Majesté, le baron de Bourgoirig, ru n de scs, éciiyers, accompagnclit, égale- mrol le Roi. q u lls o n lc u mission de recevoir A >â frortiièro.' .i.vPariDUcs pei'Sonnes invitées à t^ im p ii^ e A cette Dqctl- MO, on rc m u r ^ ô litû EExc. le com te'W ülew ski, mliiM*’" Iréd’RUI, le comtO; d e . Pqi^igny, m inistre de l'iu lé ile u r, y. ThouYpnel, hvnijUio!dPs,n,(rpire^lr«itmèi'cs, le m aréchal éomlo Hàgnàii. cèm ifl^hddnl en’ chef le 1 " corim d ’arm ée, le iharéclial de Mac Mahon, d u c de Magenta, com m andant en cher te SP corps, e t le prince de la 'rour-d'Auvergno.

— On lit dans le tfoniVctir du 8 : r U prix dcA larinasl s'étulit élevé siibilèm eiil dans la

derhiëro qiiinxaine.de-.M plem bre, la taxe du pain, qu i se déduit de la m ercuriale des fai ines, a dû é ire portée à SO centimes ilans le départem eiU de la Seine pour la p re­mière qiiinzain'o' d ’octobre. T o u t-p o rte A cro ire que la b.iussc',qni n déjà fait un pas en a r r iè re , ne se mulritiendra pnini eu préseiira; des arrivai^es é l des upprovisiomiemcnts du nord de l’Europe. Eu tout c.is, le p rix du pain de 5[) c. te kilogramme est ùu m axim um qui ne sera pasdépas.sé. La C.dsse de la boulaiigeriu convrirait la ditTéronce en tre ec prix m aximum et le prix réel, confcirmémenl à sa inis- sioH et à scs précédoiils. si, contre toute attente, lu bai.<;sc (]tii s’aniionce ii'avait pas lieu. >

Iaî n iiiiislrè de l’iiilé rienr vient d ’adrc.HScr aux préf* t« ta cirrailairc soivante :

■ ' P aris, le 5 octobre 1801. .Monsieurle p ré fe ljt 'E m p crc iiru rau iilu risé . p a rsa lettre

d iilS auô t de rn ie r, & p ré p are r poiir la prorliuine session du (lorjht législatif nu projel de loi coucérnnnt ralloc.'itlon d ’tiiie .sobvciitioirdc S5 millioiis dcsImée'A faciliter racliè- vcmciit dcselien iin sv irliln iixd ’intén)i coinmiin. Sa Majesté n voulu, on m êm e tem ps, répimdi'é sans délai nu vmu des conuiumcilTiifalrs.'dopï les udrésses im auimcs des conseils généraux n’ofil é té que la (Idète exprèssinn, e t. d ’après ses ordres, je me suis concerté avec M. le miiiistro des ilnaiiees jinaV l’ouverture d ’un créd it ex trao rd inaire qui porinello de dunner imnié.di.itcmciil nue vive jm pnisiop aux travaux de la vieiualité. J 'a i la salisfartlon du vous'aniiuiicer que, pnr déciTl délibéré on conseil d ’E ial, un crédit de 2 mil- lians, im putable su r l’excrcicc 18UI, a été puverl à mou ministère.

Dan» une. quoslioU 'qu i'in téresso é un .si hau t degré la pro.»périté des cam pagnes, je devais rechen-lier avec soin le meilleur mode de répai lllinii à suivre. Ce Corps légisiatif sera naturtdlem cnl appelé A .se prononcer su r l’emploi' des fonds'qipil lui appartien t de voler, et je ne voudrais pas prijugcr ses résolutions i ce t égard . J ’ai donc pensé q u ’il convenait d é Be b o rner à d istribuer, p a r portions égaies onirq Ics' déparlemeuLs, le créd it ex traord inaire de 2 niij- lionsj Ias conseil d 'E la l a partagé mon sentim ent.

Je 8oum ettrai.au Corps l^ ls la lif l ’é ta t général de cette répartition. Quant A la d istribu tion A faire en tre les corn- tilUite^,Jé^Vuus eij .laisse l’iiiilialivc et la responsabilité.. Vous êtes m ieux p lacé que mol pour ju g e r la véritable si- tnallon des localités; vous l’apprécierez avec une im par­tiale équité, e t vous ne m anquerez pas d 'avoir égard aux besoins réels de chaque com m une, aux ressources dont elle peut d lsp o se re l aux sacriliccs qu ’elle s’impose pour le sarvire viciuaU Les subventions que vous accorderez ne s’appliqueront, en Ions r.as, qu ’aux clicmins classés anté- rlenremniil au décret du 4 do ce mois.

Vous devrez me rendre compte de la répartition que vous aurez opérée et eu m ettre le tableau sous les yeux du <^Nseil général de votre départem ent, dans sa prouhalnu session. G’ost nu devoir, m onsieur le préfet, comme une gar,inlie pour rudu)in islra tion , de s’appuyer su r le con­cours aussi loyal qii'éclairé do ces assemblée.s qui ren fer­ment l’élilo du pays, et vous répundraz A la pensée do rEmporeiir eu les associant A l’cxéculinu d ’une m esure si féconde et si justem ent populaire.

Recevez, m onsieur lu préfet, l’assurance do ma considé­ration trè.s distinguée.

Le minièlre de l'intéricui',F. DB I'krsiü.vv.

■— Un. télégram m e p ppfeqd la m ort d e l'E m pereur de la Gniiie. C est p a r ^InM ^eluriibOni'g qu ’on.a reçu cette non- ycllc; 'c ’e s t ‘aussi p h r S .iiiil-Pélerbuùrg que l'on a reçu la première iiouyellu de lA prise de Pékin.

ÀRM jôvIlpr les em barras qui résulteraient de l’nb-I inonwiiiyoï'i {«g jeunes soldals.deII deinfbm é'portidlt du ctmilogonl d e l8 6 0 doivent arriver aux dépéts d ’inklrdction. H- le m nrérhal Rniidon, minisli-c de la gu erre , a décidé, lu 24 seu tem bre, que tes officiers, sons officiers et caporaux ôii b rigadiers des déuuls des <^rps Isolés de léurs bataillons ou escadrons ac ti» , ut dé- rignés à rinspeclion générale pour p a r tir en congé de se- mesire au l*' octobre, no pourront Jouir do celte faveur Q'i après que les hom m es de la deuxième poriiuit du con- ungcnt auront q u itté les dépôts d ’instruction pour re n tre r dan* leurs foyers. (M oniteur de F Armée.)

*~'Four faciliter le scrv ire, comme aussi pour éviter aux gendarmes qui csro rten l des prisonniurs p ar les voies in- Pldes une perte pAtablo de tem ps e t ini su rcro ît do dépense, * • le m aréchal m iu lslrc du la guorro a décidé, lo 27 sep­tembre, que l’inlondahl qui délivrera, un ordro d ’estcorie sera autorisé A délivrer oii même tem ps l’ordre de re tour.

Eu o u tre , dans la pensée d ’épargner des f i i lg u tf a ù V ^ j gendarm es et des dépenses A i’Ë tp i, le m iuisiro o rccunf-: - m andé de ne m ettre , au tan t que ' pns.4ibte. les détenu^ e n ' rou le que lorsqu’ils seront en nomhro.xuffi.saul pour rom-^ p llr, avec lc.s goudarm os d ’esco rte, un com pariim ont dé' dix places. c id .)

— Ou active lc.s p réparatifs nu pavillon M arsan, aux Tnllories, en vue du séjour qu’y fera le roi dos l^avs-Das; pondaii.t la sem aine qu 'il doit comsacror A p arco u rir iiolro capita le, après sa visite A Ll.. MM. A Conipiègue. De Daris, S.M . Néerlandaise se rendra dans scs Etals en passant p ar la Bclgiqiie, e t elle nuiw A Liège une entrevue avec lo roi Léopold.

L’E m pereur a signé, A Gompiègne, lo décret qu i alloué' 2UD,000 francs au m aréchal de Mac-Malinti, p o u r scs frais d e représcntatlui) au cotir<nihèmenl' du Roi do Prusse A' K œ n i^b e rg . ■ Je veux vous dojm cr une idée du luxe que> le m aréchal déploiera dans la 'c ircoustaiicc, noms écrit-on ■ d e l*aris. Ces jo u rs dern iers, j ’ai vu chez B inder les

q u a tre voilures qu 'il em m ènera avec Iu1 A Kænigsbergl l.a plus belle, qui a déjà servi nu sacre do l'E m pereur de ItiiKsiu, coûte A elle seule, en réparatioiiK^ la somme do 20,000 fbancs. e t la housse d u siège du cocher seule

> :0,000Tr. E lio é la il précédem m ent dorée : q ii l’a to tlla r - • gehtéie, ç*^*A d.ire_ revêtue .d ’a fgcn t iqa.l3' ÿ t f ntiMeh tbnin 'kcr.1 tdb^

— P ar décision du m in istre des finances. I n t é r ê t atta '- clié aux bons du T réso r public a é té fixé ainsi qu ’il su it, à p a r tir du lundi 7 d e ce mni.s :

3 1/2 0/0 pour les bous de 3 A 5 m ois;4 0/0 pour les bous.de 6 à 11 m ois;4 1/2 0/0 pour .les bons A nu an .

T- On lit dans le M onùew de FAIgh io :S u r un ra p p o rt du m inistre de la guerre, m otivé p a r une

dem andé trè.<-prcs.<nntn du gouverneur généra l,' l'Em pe­re u r n bien voulu déc ider, A la dalu du 2 i sep tem bre, que l’Algérie serait com prise dans la répartilm u do.s25.,U00,UU0 qui seront afTeelé.» A l’am élioration et A l'achèvement des chem ins vioinaiix.

La part d e l'Algérie dans celte Bubveutlon a été tixéo A 000,000 f r .; elle a é té calculée su r la moyenue ruvciianl A chaque départem ent de la méiropule dans lu créd it t o t a r . '

P our ttrfrm'f c/rct/oc//o« ; E. KEG.MER.

S3ÜYELLES DÊPARTEMESîâlES.,P n r arrô lé do M. le Préfet, en d a te du 8 octobre 1801 :M. M éiet, admb(.sibli‘, est nom m é iu.<litutenr public A

Robcrvai, en rem plaeenicnl de M. lluroy.

— Dans son audience de Jeudi, 3 octobre, la cham bre crim inelle du la co u r d e cassation, pré-sidée p a r M. le con­seiller Faûstin llélie, u , confurm ém ent ;iiix conc'usions de M. l’avocat général Suvary, rejeté le pourvoi form é p a r te nom m é Mcrcery, con tre un a r rê t de la cour d ’assbes de ro isé qui ra .ooiidum ué A-ia peine, du m ort, A la da te du G septem bre I8GI, p o u r crim e d'h-nnicide volontaire.accoq)- pagné de vol et de viol.

B.VLAONY-SUR-TIIÉRAIN. — Depuis plu.sicurs jou rs, le iioinnié (Jeau-ILqdiste) Asuiu, Agé du 40 ans, ouvrier dé- gra isseu r, sem blait occupé m iiquem eutde l'idéu de m ettre lin A sus jo u rs . Il s ’uiifurmaii chez lui avec dus cordes e t ne parla it A tout le m onde que de son inicniiou de se pendre.

dçMix octobre, vers sept hciirus du m.ittii, des ouvriers lui d iren t eu p laisanlaut : « Hé bien, lu n’es pas encore pendu! • Ces paroles le vcxèreiil, e t il faut peut ê tre leur a ttr ib u e r la résolution qu'Aspic no tarda pas à accom plir. S u r le refus de p lusieurs d éb itaiits’de lui vendre un litre d ’eau-de-vin, il s j re n d it A .Mouy et s'enivra. A deux beiiras, le s ieu r üoniouceaux. qui gardait les v ac h es 'd an s les cham ps, aperçut uii hom m e luiuiobilo contre un a rb re ; il envoya soii dom estique, voir ce que cela signifiait, c l apprit bicn iél qu’il s 'é tait pendu. Lo gardc-uliniujtéire, prévenu du fa it. arriva aussitôt c l trani;lia lu corde, m ais Aspic ne donnait plus aucun signe de vie. La ruiiestu habitude do boire avait, dit-oii, a lté ré les ruculté.s incnl.des de ce m al­heureux .

COMIMÈGNE. — Le Riû de ih'iisse r.sl ai'rivé diinniichc à Compiëgiie, A six heures du soir. I/Enipui e u r es t allé re­cevoir sou auguste invité A la gare , et. après s 'ôtru donné de cordinle.s poignées de m ain, les deux souverains, l'un u t l 'an tre en habits du ville, sont montés daius la même voiture, cl se sont d irigés vers le rliAleau. I,a f'.mle des cu­rieux éta it considérable, e t, su r leur passage, les cris, dé Vive l 'E m p e m tr on t été poussés avec le plus vif cuthou- siustiiP.

Dans la cour du chAtcau, les zouaves formaient la haie; A l’arrivée du Roi, les tam bours oui ballii aux cham ps.

S. M. l'lm pératricc,.accom pagnéo du l'r in re Im périal, suivie des dam es du sou service e t des officiei's du service auprès de l’E m pereur, n reçu le Roi nu pied de re.scniier d ’honneur. ^ Le Roi a gracieusement em brassé lu main de l’Im pératrice et lui n ulTcrl le b ra s; rE u ip e reu ra donné le bras A la princcsso d ’EssIIng, e t Leurs Majestés suni a r ­rivées dans le salon do réception eu traversant un» haie de rent-gnrdus. L’uscalier é ta it brillam m ent éclairé, et pré^ sentait un çoun-d'wil magique. Après le d în er, il y a eu curée aux flam beaux, dans la cour-dii château. La vénerie avait fait une chasse A courre dans la journée , et un cerf avait été foiicé près do Picrrefonds.

Le Roi de Prusse é ta it accompagné A son arrivée du gé­néral m ajor d ’AlvensIebcn, général m ajor 'de MAnleuifel, aides-dc cam p généraux ; cojonel Royen, licutcnaul-rolonel de Sohimmotmann, m ajor doD auch, colonel comte de Golz, aidcR-du-camp; S. Exc. M. llln irc , conseiller hilim e, chef d u cab inet; général do Bonln, com m andant en chef lo 8* corps d ’arm ée prussienne; com te do Pflurtalè.s. m inisirc do Pru!»e; prince Henri Vil R euss; comte de ilalzfelcll, sccrétiiiru do la légation de Prus.so; m ajor de Sleiii, a ttaché m ilitaire de la légation; baron de Rolhschild (Alphonse), consulgéiiéral de P russe A P aris .

— Lundi, il y a eu chasse A t i r dans le parc et prom e­nade au chàte)|U do Pierrefonds, où la m usique dus Guides a exécuté plusieuiA m orceaux. Le tem ps était maguifiqûc, et, p a r su ite , l’ufTIiicnco des curiciix considérable dans la foret. On peut d ire que tout Cornpiègno cl les environs s’y

irpqvAlenl. La Cour csl ronirée A six heures.un d în e r de 80 couverts, les comédiens ord inaires

J ç PEm pereur ont joué deux rharm an tes pièces devant la ,ipoùi% qans la salle du spectacle du ehàlcaiL Le Roi do P ru sse , qui po rtail le grand cordon do la Légioii-d’/ion- Ùei|i', avait A sa dro ite l’Em pereur, portant le g rand cor­d on u è l’Aigle,noir, et A sa gauche. Sa M.njcsté l'Im péra­trice . r— D errière, se tenaient les Chambellans, les Dames d ilonnciir, et tous le.s invifés du cliûtean.. La représentation a été vraiment splendide. On a d ’abord donné Le llongcoir, comédie un un acte, en prose, de 31. Çlé- .nicnt Carnguel. jouée par M.M. Bressant, Dclàiinayet M“'A r - iioiilri-Plessy. — Eiisiiiic, on a représenté la charm ante co- Ï ÏS r '& ï • : Le Jeu do f Amour et du Hasard. —MA|. Régnier, Provosl, Delaunay, Brcssiiiil; 31**" Augustine Brahqn ç l Arnoirld-Plessy, ont in terprélé l'ouvrage avec tou t Itt tàtcn t qu’on leur connaît. L’Em pereur a donné A plusieurs rcpri.su.s le signal dc.s applaiidi.ssuments'. — La m usique des Gtiidc.s a fait entendre pendant les en tr’aclcs d e éharm ants m orceaux.

La salle éta it garnie de l'élite de la société compiégnoise ; nous y avons aperçu plusieurs m em bres distingués de la

■presse parisienne cl do lu presse étrangère.(M ouU ourdefO ise).

à dix heures du m alin , les troupes de la gar- w m r s v w n l p o s a u i dii r ^ ib c A i de guides e t du biitailtôn des zouave.s, ont été passées en revue su r là pelouse du parc, les guidi\s occupant un des côtés de la ’pelmise et les Wuavcs l'Hiilrc côté. L’Ernpcrenr et .le Roi étaient en bour­geois c tà piud; ie prinim im périal portait riinifuriiio de ca­poral des grunadicrs de la gardu.

Après avoir pas.sé devant le front dus troupes. Leurs Ma­jestés 1 Erapuruiir ut le R n, ainsi q lu S i ila jeslé l’Im péra- irnæ , scson j placé.s en haut du la puluu^e pour lu délilé

.qu i a CH lien an son des miisîqiie.s 'dus giiide.s ut dus zunaves.A midi vingt iiiiiiniu.», le roi a q iiillé lu palais pour se

rendre A la gare . S i 3Lijuslé l'Em pureur, Comme à l'arrivée é ta it scnl.dnn.s une voiturcavec lu roi ; atiuunc escorte n 'ac- compagnqit lus quafru voilures qui conduisaient le.» invités au chemin de fur.

A lu guru, S. JI. l’E nperunr a accompagné je roi jiisqn'A so.i wagon, e t ayant du n n iilu r, le roi u échangé avec i'Em- pcreur iinu uordiale poignée de main.

Le roi de l'rnssu Gaillaiimu [", ((iii est Agé du 61 ans et dem i, et qui est roi depuis lu 2 jànviur du cette année, eHt 11» homme de haute taille, aux cheveux blonds gris.somi:ints e t rares. Il po rte , comme beaucoup d 'aliem aiids. les m u u i iacliG.s sc joignant avec tes favoris. Sa physionomie est em ­preinte d'iiiic rcm arquablu douceur.

,.vû.A y^L du.quitter le palais. Su Majesté le roi Guiliaunie a , ■qous ns.sure-1-on, décoré de divers ordre.» de Prii.sse, plu- «téifrs du.» hauts personnages qui suirouvunt en ce moment avec I Em pereur.

(Progrès do rO/se).

•r— On écrit de Gompiègne, b‘ 8 oclobm :Gç. m alin , à dix hutires, su r lu dé.sir tém oigné p a r Sa

-Miijeslë prussienne, une revue de.» zonnvcs qui.se trouvent en ce ïnom cn l A Gompiègne c l du régim cul dus guide.» de la g i rd ç , en garnison d.iiis celtu ville, a été passée dan.» lu pare réservé, s u r la pelouse du.» Uca,nx, Monts.

L 'Etnporciir et le roi de IViis.su élaieiil on babils bohr- geois; Je prince im périal p o rla il l'niiiformc des grenadiers d« la garde. Dus .cris de :« Vive lu roi de P russcf 'vive l’E m pereur! • ont salué l’arrivée de Leurs Majuslés.• Apréîf la revue, des m anœuvres ont été exécutées.

L’ImpéiMlrluc y assistait en loilulto du m atin.Le déjcùiier a suivi inimédiatem enl ; cl le ro i, ayant pris

congé de l'Im pératrice , est monté en voiture avec l'Em pe­re u r p o u r su re n d re A la gare. It é la it aloi-s m idi cl dem i. lA! cortège s'ust formé dan.» le même ord re qu'A l’arrivée.

Les deux souvoi-aius su sonl séparés nprè» de.» adieux plein.» de cord ia lité . Au dern io r inomeiil, le roi de Prusse a dit A l’em pereu r : • Ëmbras.sez p o u r moi votre fil.» ■

On a rem arqué que les ofliciors du la suite du ro i du Priis.se, un adrcs.»aiit luui-s adieux A rem i.'cruur, avaient baisé la main du Sa Majusié.

Le roi de Prus.se, nvaul do qiillte r Compiègne. a d istribué trois décorations derA iglc-N oiret dix-sept de l’Aigle-Roiige. — Doiiifacc-Dcmarel.

, Le ilouileur annonce ainsi qu 'il su it lo d épart ilii roi do -Prusse et la prochaine arrivée du roi du Hollande :

« Slardi m alin , avant te déjeùner, le roi a n ss is léà la parade des troupes qui su tnm vaiunl chargées de la garde d ’Iiouiiunr du chàlenn, et qui sont coinpo.»éu.s en ce moment d ’un baliiillnn des zouom*.» du la gai-dc et du régimcnl des ffulde.». A midi cl dem i, lu roi a pris congé du sus aiigusles hôtes ut c.sl p arti pour DnssebloiT. où Sa Majc.slé devait coucher le so ir. L’E m pereur a .iccompagiié lu i-oi Jusqu’A la gare.

• Il paraît curla in que S. 31. le m i des Pays-Ras doit ,ir- rl,voi‘ lu 12 de eu mois au palais du Compiègne, On assure que Sa Maju.stt y passera plusieurs jiuirs et su rondra eii- suilu A Paris. I, Em purcnr a déjà désigné lus officiers du sa maison qtd doivent ê ire ailauhés A la pursonue du roi pen­dant son séjour eu France. »

. GREIL. — Le 2 octobre, vers six heure.» du so ir, iitiçoni* m sncemunl d 'iucuiidie s'est déclaré an domiùilé d û noninié Thpophile Binet, manouvriur. la 's sieurs Dubois et Alar- gtfpt ïipcrçurunt eu |>a$sanl du la nammo A l’in térieu r de ^ 'm a iso n ; ils m oidcreut a la uham bru d ’où provenait cet éclat, e t éteignirent 1. feu qui rousum ail les rideaux du l|t,'V oici ce qui avait occ.isionué cet évéïtumcnl. Pondant I absence de lu femme Ulnct. sortie un histan! p o u r a ller acheter du luit, un de se.» uufaui.». Agé du sept ans. voulant çhqreher snq.» lo lit un.u bille qu’il avait purd.qe, .ivaR placé U chandelle tout près des riduaux ,qu i avaipiilpussltât p ris fuu. . . .

— On éc rit du Greil :

« ^Im aucho d ern ie r, vcre hnit henrus du so ir, un vol qui dénote de la narl de sou au tou r nue grande hardiesse et du'o hab itude du m étier, a été commis nu préjudice des époux G renier (Théodoru-Nicolas), nianonvrlers.

■■ La daine Gruuiur ayant un besoin de s’afnienlcr quel­ques mlmites p iiur aller churuhur sou enfant qui jouait su r lo place publique, A 200 m ètrus A puiuu du leu r habitniion, lalèsa sa lam pe allum ée su r le uheminéu, mil les vorronx njix (leux poilus duimiinl su r lu ja rd in , ut ferma A clef celle

• A sou re to u r , elle t ’cm arqiia A fraverz ia ’ éroNèe-(fud la lam pe avait ôté dérangée de la c lie m iu é c e tm b e d ii» * ' ’ ju m ilieu de l’uppartem piit, ut au m ême m om ent eoleqdlL ' furmeP lé tiro ir do sou arm oire . P lus d e doulo po'ur elle qu ’un Ÿoleur s’é ta it In troduit dnris sa maisoii -pàr un c a r­reau cassé do l.'i{croisée du -jard in , ouvertu re qu ’elle avait bouchée p a r une pltiiirhe. Elle ouvrit prestem ent sa p o rte ;m ais Àll nromivl- l.rilii Ia mnlf-itlaii,-u'Alnit o.,,,...' pur

lis au prem ie r brn il, lo m alfaiteiir s 'é la it sauvé par-les , rtc.» du ja rd in quudanssii p récipitation ilia issaô u v erles .

> La prem ière pensée de la dam e G renier fut de reg.ir» d e r jL m s son arm oiru. Le voleur s’é ta it em paré de 18 fr . q u i's 'y trunvaient,-m ais avait laissé une tliiibate eu âreéiit et du.» bijoux placés A côté de cuttu so m m e ..

'» Aux c ris • au voleur! au voleur! • poussé.» pnr la dam e G renier, ses voisins c l deux gendarme.» q u i, faisant le u r lo iiruéc en ville, avaient aussi entendu ce.» cris , accou­ru ren t, ef, m unis d e lanternes, cherchèrent avec elle daus son ja rd in où nlle avait eniuridu fu ir lu voleur, et d an s les < ja rd in s cnviionnants; mais leiir.» recliprche.» furen t liifruc- tiieiisus. Ils conêtatùrent Béulcoient quu le voleur avait escaladé le m û r doiiûant su r la ru e . .

* Voilà le cinquièm e ynl r.omniis depuis environ h u it jo u re ; les q u atre au tres sont des vols du lapins : ^ de ces tranquilles habita.uls de clapiers ont été a rrach és de leurs dem eures. Jusqu’A ro! jo u r on n’u môme pas pu re trouver leui-s ^icaijx; sans doute qu ’ils ont été exportés. •

LIANGOÜRT. — Colto ville 'cétébrail, d im anche dçftiier,G octobre, rinanguralion du la slafiie du vénérable due de ' Larochefoncaulü-Linncoun, propagateur do là v.iCulne, ce remède^si précieux contre l’ime de.» plus affrcusM m aladies qui alTligcnt la pauvre hum anité, fundaliiiir d e l’école dbd ' Arts et m éticre de GhAlops ut.d 'un grand nom bre d ’étab lis­sem ents qui rundenf son noui'S1 réspuètablé e t .<1 Cher, siiiion t aux habitan ts d e L iancourt.sa résidence d e p ré d i­lection ut où l’on voit le mode.»ic (ontheau du grand pbU ih- trophc. Riun n'.ivalt été épargné pour donner A celle fê le

I le plus d ’écl.at possible. Tons lus habitan ts s’étalent cm - J . pressés de p rê te r tour généreux concours. Toute.» les ru e s I étaient garnies d ’àrbirslus verts, de guirlande.» do feuItLigcl ''I et du fleurs. Lus arcs du Irioinphu élalepi Ifus-multjplié»- • et la p inparl fiirt é légan ts su r iesqucls ou. lisait les tîli'ed 'I dû duc à la rccotiuatssancc publique. Une m ullitûde d ’é- I (rangers affiiiaiem A Ltancourt pour ce lte m agniflquc e t > giMiidii).»u cércmoniu. A une heure, lu.» co:npagiiift des sa-

puiirs-pompicre de’ la ville et tes subdivisions du raiiTon se rundirerit su r la place prinUipile, ut du lA siir ta 'p lace d e t’Eglise, où , p ar lus soins du digau cu ré de la p.arok»e, s’é ­levait un aiilcl fort gracieux Le délilé eu t lieu dans l’o rd re suivant : la musi<|ue du Liauuoitrl, lus supeurs-pom niursdu lu loc ililé , les jeunes demoiselles vêtues d e . Jtimir, le»élève.» diw écoles prim aires, lus divursus corporations d ’oU'' vrier.» avec leni-s bannières, le.» élèves ut aurions élève.» de.»- écoles d 'a r ls ut niétiurs, le clergé, formé de tons les c u ré s ' du canton, la mnsiqno du 78' dé lig ic vunnc do P .u ls .le s an iorilés du canton, lus m édailléi du S jin tc - llé lè u è e t fcs subdivisions des sapeurs-pom piciN.^-' -

S u r l:i place, un présunoc de la s la lne , dont Ic'voile fomtm A un sign.il donné, la noble figure du duc du Larochpfuu- cauld fui saluée pnr lus acùlamaliou.» du l.i ftiu lu .'par lus-

' roulcm onls dus lanib’Uii's, le brn il du un n o u él p a r le.» j joyeuses volée.» dus cloches. Quand le silenro flil ré tab li I M. le niairu de la ville prononça un discour.» fort bien éc riî . p o u r rcHu solunnolle r.irconslancu. M. Dobuiru,-adjoint, lu t

ensuite le rum arquablp di.»com-s de M.-le baron Dnpin. qn ’uno grave indisposition avait em pêché de v cn irp i^ s id u r celte fétu. La poé.sie devail aussi rendre homtnage au bien­faiteur de riinm anilé , et il appartenait à M,. V aldo^y, m é­decin et vacciiialtiiir du canton de Liancourt, de lu louer on Yure élégans qui furen t écoulé.» avec le pliis g rand plai­s ir . On pourra lire ans.si la charm ante piùre d e vei*» coin-' posée p a r 31. Dottln, ut qui est insérée en (été d ’une petite iiotiou du savant u n lc n rs tir la vie et la s la ln e du vénérablo duc du Larouhufoiicanlt-Liancourt.

Après pln-sicure brillan ts morceaux de m usique e u t lieu I.) hénUdiclion du la fontaine qui accompagne l.i st.duc. On re tourna 'dans lu niênic o rd re su r lu place de r i^ l is c en passaid p a r la nouvetiu n iu de Pont. ’

Alors 31. lu curé-doyen monta les m arches do l’au te l, e t, an milieu du silcnru, prononça une alloculiun dans laquelle il dénj-niira que la religion s’.issouie avec bonheur aux fêtes qui ont fa biunfaisancu p o u r objet; que .\otre-S«i'’ncur Jésns-Christ csl le prem ier et le plu.s grand bienfaiteur dus hom m es; que sans lui la charité se ra it inro-mue s u r h te rre , et q u ’il é ta it bien ju s te de le preclam er hautem ent dans un jo u r où tan t du personnes de distinction et iiii concour.» si immense d e population avaient exalté une étin­celle de biunfaisanuu dans un de leu r sem blable. Deus cha- rilas est, tels étaient lus m ots Inscrits au-dessus de l'aulcl • D;uii csl charité, ut nous devons faire rum oiitur ju sq u 'à lui no ire .amour ut la rccoiinaissanuu du nos cœ nre L’a ir ro- tuntit ensuite du chant du Te Dcum et du Domine salvum Lo cortège retourna vere cinq hum es s u r la place du M arché.

l.c fuu d ’artifluc, tiré A n euf heures s u r la pirèe d ’ea ir du parc du chAte;m, a lu-ovoquo A plusicure reprises \n bravos du la foule.

La statue du d u r. lus édifices puhllrs, les Ii .ojmjiicIs e t lep allée.» du paru é ta ien t brillam m ent illuminé.» un verres do couleur, lan li rncs_yén||jeniies c l. reux-de. Bungalé.-I,é bal piil lien sons-iinc \u»lo (unie ornée des plus riches décora­tions et-splcndidcm ont éclairée. *'

Lu lendem ain, un service Diilèhrc fut célébré*trè.»-soleù- ncüumcnt pour lo repos de l’Ame dh noble duc, et Rit suivi d ’une procc.ssion A son tom beau. A. GH-virmst..

^ÎELLO. — Le 30 sep tem bre, les époux 3 lercier, renllors' dem eurant A Mcllo, vuiinienl d e s ’inslnllur dans nnoAou* vcllu maison. La femme Alercier sc fit rem ettre p a r son m ari .trois billots de banque, de ,100 francs chacun, qu’il

Bortatt su r lui, cl lus s e r ra dan» le tiro ir de son arm oire uiix jüuiti ap rès, ces bilIclB'hvrtlent éJé.ViWevèi: Que sont-

I ls dcvemiBr Co point n’a p as encore été éclairci.

RAN'TIGNY — Dana là jou rnée du 7 ncinbre, le nom m é , Julien Fetil. ncm ire eu bétihiciils. Agé de 37 nus. venu p o u r affaire.» de L lanrnurt A Ranligny, csl m ort subitem ent' ’ d une .altàqna d apoplexie. Il su raR'nichiss.'iit avec son beau-pèro daha l’auberge du s ieu r Breton qûand II ^ i l tou t à coup connaissance. On le transporta A t’a lr e l bn appela en tonte hâte lo dnclour Tixiur, d e l.ianeniirl, m ais tous les soins furent inulilus. O t liumtne ovaii ou déjà denx a n tre sa tta q u c sd ’apoplcxiuci élail paralysé (Inuôléganchu.

Page 2: Ce joiurnal - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1861_10_12_MRC.pdf · jinaV l’ouverture d’un crédit extraordinaire qui porinello de dunner imnié.di.itcmciil

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H a l t v e t t e H e n i i ë .I*R^U)E?ICB DE M. VaTI!(.

Jh mei'Cirdi 9 Oclüfrrc ! 8(>!. Josonl)>(;t£meiil Vigneron, âgô de ^ nus. liivxcrulu) ù

A.aikWfl X 4'AlTft tllilîuilItouillaticy, sans avoir ÿgard à l'àg-' des individus, a lra|>i>i. d 'une m anière b ru ta le le iiommè llerb in , âgé du 81 nus. 8OU8 le pré tex te le p lus futile. Il pré tend que le v'çillnvdé ta n t iv re e t voulant p o rter un fardeau trop pcsniil puiir CM r.ttvM «I crin à(re; é'iMt fa ls ^ to m b er su r utic iiemeses forces e t s d n a g e ;. . - .laissée s u r son passage; m ais tou t vient duinciilir cette n llteafiéh conihnivée, e t le véritable m otif de ectio con- ^ i l c b lirb a ié ne fait lipniienr ni à Vigiict'oti ni è r-eux qui l ‘«rioby|bilr <Qndâmuc Vigneroii en s u mois4 e p r iw n

— Geiievièvc-Armcuthc Vucîiot, âgée de 35 ans. demoii- ra id & Senlis. a volé A diverses rcpiiiM» du liugc et des oïtets d ’habillem ent au préjudice d 'u n m archand fr ip ier; elle a fini cgalém enl p a r y soustraire du nuincraii-e, se fiant s u r la confiance qu’on avait en elle dans celte m aison. U flIlë'Vifèfièl iféde pVésenlti pas â l'audience, m ais elle a fait an lérieurem eiil à la geiidarnierle les aveux les plus « om plels. sau f Celui dn vùl d ’argeiil; En effet. > argm it, osl iouitiurs do l'argeiil. w ln i do Pïe.rrc ressem ble A celui dp Pau l; m ais d u linge d o c o r |is , dçs clfels de toilcllp sont plus d ifllq les à déguiser, cl. d'alleiii-s, la m archande .don t la fille V a d ie l avait éveillé les soupçons en faisant dispa­ra ître diOérepIcs clefs de la m aison, s éluiU rciulii an loge- niçiil d e RA l’olcuRO, y avait Iroiivé cncoi-e en p.aqiiels n|ic grande partie des vols. U tribunal condamne Arnicuthe Varhel eu nu m ois do prison el aux frais.

X Mil' ■!.' '20 an», maniiiivi'lnr,': » life s . 'l« anli'fs refusarenl de fjiro M lle doinm do ; nn dd-curanl i\ M.llu, se Irnnrail le il senlenibro «u M b jre |.‘ Huile, «neilll des jéniinn» dedem enran! A M ollo. ............. • . , ,

ou une foule de jeunes gciis comme lui lerm innieiir la du sain t lundi. Un dos cam arades d'Etcvé ayant bu une bouleillo d e 'b iè ié , léiiict au cabare lic r iino pièôe d e dix francs pour qu 'il puisse se payer, et cela, tout en dehieq*/ ra iit A sa lable à canser avec ses .am is. Le cabaro ller d è ; 1 m am ie à est aux

qu i il doit la m oimule d e dix francs. Ëtpvé, q u i . aguets, répond uussUét : * C’est é tnot» *, * ' 11 ■

i’urgciil c l s’enniil. Il n 'éta it pas facile de découvrir I au*£ le u r d 'o n vol au^<l audacieux; cependant, ou g r o n p ^ toutes les circonstancié, on finît pur se rappeler qu entête avait d isparu tou t é coup du cabaret el n'avait pan reiiart). Ou d irigea les invesligatious à son adresse, et ce fu i pour* liiul avec as-sez de pcitie qu’il se décida A avouer quo , i* l« besoin, sans bu t e l mfime sans volontéTéelle, il avait re* pondu au c.iliarclier e l qu ’ii eu avait reçu l'argent destiné, n son cam arade; qu 'il avait profilé do la présence de le ; foule qui encom brait la salle des buveurs cl d e I embarr»»» dans lequel paraissait se tro u v er le vieillard, péu acqou^:

- > r .•■■'Il ..a Æin miir.ln Allai.*

' féiidi^ éJlnrlcftVénl coïriplë. Ce qiii i s l p lu à ' cVrffflfi. é '» l •que Vincent et Jab in rossèrent lo nom m é D run iaux ,qu i in 'est pnnriaiil piut lu i mOnic des p lus com m odes, c l souffie tèrcni médle la feinnio de ce d e rn ie r, p a rc e qu 'ils ne. par- laBcaieiil p a r le u r »viK. l.n trib u n al condam ne Vincent c l Jablii en chacun 10 francs d 'ainunde cl solidairem ent aux

'dépens. _____________________

lum é à fa ire ce lte ‘pour rend iv scévico A SA fine, maîtrtnwe du c ^ a te t ; tribunal condam ne ce Jeune hom m e en 30 jours do prison e t aux frais.

— I^ouis-Adolphc Vincenl, âgé de 20 ans . cl. G i|bcrl Ja- b in , âgé de 30 ans. se ironvalenl le 1" scpicm bi'c a lé lé r le dim anche nu cabare t â Senlis. avec divcm ca rrie rs . U chalo iir du vin e t de l'alcoOl leu r fit rcvchir à la pensée le u r travail quotidien, et, après en avoir çdusé loùs cri- sem ble el A là fois, oii lltill par s e d isp iilcr s u r Im prix : les uns dciuandaienl de raugm cnialion rtc p rix des jour-

F A S T S O I V E B S .— Dans une lo lire insérée au 5/épte, M. Fum onze,signa­

ta ire do ce tte le llre , e t q u i. d it-il. cro it ê tre bien infnriné, horle À 10 ou 12, le nom bre dcii m oils nclucllemcnl con­nues, parm i les vicllincs de rcffroyablc accident .arrivé au train de Daim nariin.■ Les a r ts cl l.i Fr.ince viennent de- faire une grandeperte . L 'ortislo célèbre auquel nous devons les belles poin­tu res du R usée im périal, de la Uibliuthèquc du Louvre, de Sàiiil'Sulpicë, de Sainl-Roch, les iiiagnillques grisailles de la Bourse, M. Abel de PuJol es t m orl â l'âge de 78 ans.

Ëiifanl du N ord, né â Valencienneç. sorti d e l'obsçniilé , Il lie d h i q u 'â liii-rnémc. â son laleiil, les disilriçtiniis dont Il à é té h d h o ré pendant sa longue e l Uiborictise c a rr itrc . Il é la d m em bre de l 'in s lllu l d e France éV officier db la Légion d 'honneur. ______

La m aison de M. CIRAUI-T, place de l’Hôlcl de ville, à Senlis. déjà bien connue pour les a r iic le sd e voyage eu tous gèiires. se rccom m aiidé lap l pour la bonne fabricnlioii que

pour tri m odicité de scs p rix , ninsl que dans les arlieles qu 'il y 0 Jo in t, tels que les paillassons en Joue pla.f el su r champ; Ira aioés, cocoa^ ap trte rie s , soies végétales, lapis*' brosses, nattes Indiennes c l ronds de salle à m anger.

Il y n aussi nii g rand choix de toiles eirécs pour meubles, esm licrs cL appartem cnts, dans loutes les dlmeusions. et loil s im perm éables pour lits de malades e t d enfants, éloffes caoutchouc, lalitte rj. tirtfeta»'»>wn»é, e t ce qui se fait en caoiiichoiic.

La tab le tterie on>e liné « i n a e variété en o l ^ s utiles et agréables, ainsi que dan s& s jey x de ja rd in e t de SMlélé.

L’iHiMfra/ie» eontiBul dan s son np^pé^o o c lo ^ ^ : Hcvue' politique dè la” Ré'iïi'ôine. — N aufrage du Greof-

Eatieni. — Courrlwrdfc w fag o i GoMrscs.de:.t|urcaux & Uilbao. — Service doWPMigHÇ ^au S ilq ç .n sy M ,^ ^ ^ Voyage de s ir Eifmund R room ley.ik .la.l'V Ç lièr^q^^e lasso é liié. — Mots et idées. — Bénédiction des fosses de la compagnie do Béllmnc. — Viaduc d|A ndel«l. -7 Chronique

- I20 lil.'musicale. — Salon d'Anvers. — Bibliographie. ■ tonte-abri. . . .

em c ü iw ; Naufrage du Cr«rt-J8«rfer».' vne iu lérieure.-^■ .. A Alll.fin ' \*AVAMaVue du navire. — G rande cavalcade à B ilbao.'— V oya^ .

. • - -I Sifié 'de s ir E dm nnd B roonilcj à la recherche d 'une lasM i (six gravures).— Vue d 'u n e fosse aux houillères. — Cm de for do Salins A Pon t.u irc r : viaduc d ’Andclot. — bains do m er â P aris, m u é inarifhnè p à r Bbn&ll (neuf gravures). — Nouvpllo ten te m ilitaire . — E ta t actuel du nouveau pont-de l'île Samt-LopiS; ^ .liéb ltS »

L e GvrÔHt rcitpoHsablif, 1

E x p é d i l t o n f r a n c d e p o r t j u s q u 'à d e s t i n a t i o n

OM Ï!

I V i i c i l I I I t a c , 5 5 ,

A p a i x P Î S B .

c l I I I C d e l ’ I J n i v c i s i l é , 2 5 , f a i i l » o i i i g S a i n t - G c r i n f l l n , à P a r i s .

l e n o m d u DETTÏT-SAINT-'

s f r a A o o , e t to u lo cx i)iéd ilton -au -de .ssu8 d e is o h fi’â d o s h c c ù r s a le n i d é r é n i ^ f t t a n t s ÀlNT.TfldMAg^^i c i r é î c è ’é s l ^ a l q à la dôjl^ificc

ol au m i^p ris p u b l ic s .

A i i i i o i i c c s J u d i c i a i r e s .

A ïIT. I " .F.iiidé dé M* Jui.ES TIIESIAY, avoué à Sciilis,

ru e d t t t 2ià lel , n* 21.

VENTE SUR LiG ITA tlO NKNTRU HAJËUU ET HINEL’llS,• Kn la Mairie do Baron,

E i par h miniHire de M* B e n o is t. nofuiVt; à Seuils, com mis à cri effet.

v i m o T - e r - u Y E i : p i k c k w

T É B B E E T B O Ï SSises an terro ir de R.vrox, canlnn ilo Nnn

ten il-lc-Ilatu lou in . .nrimidisseimmi de i'on- tis,.dcparlcm énl.do l’Oise,

Eââ x éM c t-cS -anQui pourroul êire r é m is fmrlivllemcHl m i eu

fofatHe.

L 'A d jiid ic a tio n a u r a H ou lo h im tiiic h e d i x iS o ve m b re 1 8 G I , h e u r e d e m id i.

V'n exécution d’un Jugem ent rendu contra- liiciôirém eut en tre tes parties c i-ap rès nom - iBécs p a r le T ribunal civil de prem ière in ­stance d e S en tis, le jeudi vingt-neuf août mil huit cen t soixante et n n , enregistré e t sipnitié

1! se ra , aux requête, poorsiiilo el ililigetioe lit-Kclix-lsidoro Bqufve, ouvrier

à Monl.'igny, d ’an tre rù lé è m adame de Mont- gnvon et i M. M ercier, d 'o n Iront b m adame

de M. I.aurent- . eliarcnlier, dem eurant à P aris, rue de l'Ecole pe M ^ c c iu e , n ” 9 0 .

<( A gissant au nom e t comme donata ire et 0 légataire de fett â l. Laureni-Kélix Bourvo.I» son p è r e , aux term es du deux actes passés u devant M* C liartier, notaire îi S en lis, les u neu f octobre mil hu it cent cin t|uantc-sepl » e t onze juillet mil huit cent cinqnante- » n eu f; »

Ayant pour avoué M* Ju les Tliem ry, d e - iiienntni à Sentis, rue du Châtel, n* 21 ;

Procède contre U G ussart, débitant de ta­b ac , d em e u ran tb P a ris , rue Sain t-Jacques, n « 5 8 ,

« Au n o m etco m m e adm inislratciir ad hoc H de ; 1* Louis-Isidurc Beufvc; 2 ”Glandinc- » Virginie Bcufve, Ions deux enfants m ineurs » issus du m ariage d 'cn ircM . Laurent-Félix » Isidore licnfve, sus-tiom m é, cl la dame » Virginie G ossart, son épouse , fonction li ». laquelle M. Gossart a été nommé par ju g c- M m.CDt de la cham bre du conseil du rribuna l » civil de la S eine, en dafe du vingl-quairo > ao û t mil huit cent soixante et u n , en re- H g is iré ; >»

• Ijfit ih incn rs Bcnfvc au nom et comme- B li^a là irc s du feu s ieu r i.aurcqt-Fclix Boufye. « ièu r âîciil p a te rn el, aux lcrïnçs.d ii tesfà- » m ent do ce. de rn ie r, reçit p ar C harticr. B n o ^ p e b ^ n U s , le onze juillGt mil linit ccnt » ciiiqurinle-neuf; »

Ayant pour avoué M* Chalmin. dem eurant ù Sunita, ru e S ain irllila ire , n" 10 ;

A la vente su r licilailon au plus oiTiMnt dern ier enchérisseur e t è l’extinction des feux, des immeubles d o n t la désignation suit

TiHTOjr â « iB aroii, canton (te ISanlttill-le- Uituifiouin, arr.ot^issemenl de Senlis, d ^ r t e tn m t de VOise.

R f^on , cl d’au tre bout h m adame P e tit. Sec­tion Ê, n® 500 ,

V eM K lèM e I « S .T ren te-tro is a re s seize centiares de terre,

d ’après les titres , et tren te -quatre ares onze ren tiaros, d ’apri»s m esurage, en tre le chemin d’ErinenonvilIc el celui de Montagny, tenant d 'un côté nord ri C adel-Bouviér, d 'au tre côte à matlarae de Moniguyon, «run bout d ’orienî ri la m êm e, cl d 'au tre boni ri rilélel-D ion de Baron. Section E , n” 520.

T r o iH iè m r liO t.Suixaiilc (jualre ares soixante centiares de

terre, ri p rendre en long du côté d u jn id i ilan» une pièce con tenant, il'après les tliroà, qiialre- vingt-duuzc ares trente et un ceniiarcs. et , d ’après m esurage, un hectare trois arcs soi­xan te-d ix-neuf centiares, ben «lit le H aut du ('.hcmin de Montagny. pour ten ir d 'm i côté ri m adame M ér.ird, d ’au tre cô te aux bois do m adaiiu' do Montguyon et au tres, d’nn bout orien t ri m adam e de M ontguyon, et d ’aiitre bout an chem in do Rarun ri .Montigny. .Section K, ir 2 3 8 .

q itm lrlÔ M »Vingt ares quaT C -vingl-six 'coniiaro.s do

terre , d ’après les titres, et vingt ares cinquante et un centiares, d ’ap iès m esurage, lieu dit la Queue R ichard, tenant d 'un côté orien t aux héritiers Lepcilelier, d ’au tre côté au re p ré - .sonlant L anrcns Durais, e t des deux bouts ri mpdame de Montguyon, Section E , u'* 197 .

C laG iiiièaup l< * t.■ T ren te el un ares cinqttanlc centiares de terre ol bois, ri p rendre en long au tnilicu d’uiic pièce c o n te n a til, d 'après les litres q u a irc 'tin g i-q u in z c ares soixautc-lrcizc ceii tiares, e t, d 'ap rès m esurage,jou hectare qua­torze ares iiuatrc centiares. Tiëu dit la Queue

p jx -h m l arcs quatre-vingts, c ërré, d 'ftprè» Im titres, e t vingt t

. centiares dete rre , d 'aprè» les titres, e i vingt arcs quatre- vingt-'cinq ce n tia res , d 'après m esurage, heu rfiliTa G arrnno du Cliemin d’Ermenonville, to-

• niinl d ’un côté d’o rieo l au diom in de Baron

dessous du Bols de Puiinval ou le Champ, de Saiut-M artin . icriànt d ’un côté nord aux héri­tiers Daveiny c l inailamc de Mopigiiyon, d’a u ­tre côté ri riiosp icê (lé Baron, d ’iin.bont. o rien t ri m adam e ilab la itt^e ric , e t d 'âu lrc bou t ri m adame Gib'erl. Scclion B. n*' 211.

tor%î ares iiuatrc R ic liard . pour ten ir d ’un côté d’urlcn t ri M. Renrve. de Baron, d ’autre côté ri m adam e M6- r a rd , d 'un bout nord aux terres de S,aint- G crm ain, et li’an irc bout ri P ierre liavy. S ec­tion E, n^SUT bis.

MlmlciHV l«ot-Vingt-six arcs soixante-sept cen tiares do

te rre , d ’après les litres, e t trente-deux ares d 'après m esurage, entre la sen te d 'E rival et le chemin do .Saint-Germ ain, tenant des deux côtés ri m .idaine de M ontguyon. d 'u n hnut orien t au chem in de S ain t-G erm ain , d 'au tre Iionl au repréâciilniit Laureiis Durais. Section E .n M 1 7 .\

S r p t i r D ie I,« t«T ren te six ares v ingt-quatre contiarcs de

te rre , d ’ap rès les titre», e t tren te et un ares soixante centiarcB. d’après m esurage, lieu ditta Glactè'ro la i''pMtaiqc <les.Mal,i(les. tenant d 'u n côté oritAit ri M. BeôtVe, de Baron, d ’an ­tre cAfé ri i’hôbhal Saint-LazaVo. de Sentis, d’iin bout n'oi^ audit hopiin) e t ri m adam e de Montguyon, et d ’àu tre bout aux héritiers V a- lin . Section B , n* 170.

M à M Iè m è ■<««.O ix .ttcq f ares 'quinze centiares de te r re ,

d’à p ^ les litres, e t dix-huit ares douze cen ­tia re s , g ’àprès m esurage, lieu d it la Remise de la S en te.dc Senlis, en tre cette sente e t le cjiem in. tpnant «Pun côté orient ri M. Billet, d ’au tre cô té ri M. C |iarm oluc, d 'un bout nord ri m adam è <(ê Montguyon. e t d’autre boiit ri m adatiie d e la Grassorio. Section G, n" 5 d 0 .

n fe iiv tè i 'n e 1 jo<.T rente a rcs soix.iiîtft-dix-sepl centiares de

lerro , d 'ap rès les titre.», e t trente ares d n - qiiante-.«cpt conliares, d ’ap iès mefinragc, au -

' IliKièiuç EiOX.Vingt et un àfcs vingt centiares de terre,

d ’après les titre s , cl vingt cl un ares h u it cen- tiare>. d 'ap rès ihçsbrage, lieu dit la Pointe, tenan t, d ’un cô té ,nord ri M. Blaclie. ira n irc côté ri M. Bartliémy, tl nn bout orien t aux dam es G ihert e t .d é la G rasscrie. et d ’au tre bout ;i M. P atria . S.'cllou B, n ’ oD l.

a iu K lr iu e I aiX- T ren te-six arcs vlngl-qiiatré conliares de

te rre , d ’après les titres, cl quarante-deux ares so ixante-tro is ce n tia res , d 'ap rès m esu ra g e , lieu d it la Droite de la Croix de la .Montagne, tenan t d 'u n côté nord-ouest au chem in de Baron ri la Mont.ignc. d ’a « lre c ô tc e t des deux bouts ri m adam e de Montguyon Section C,11° SG8 .

D o u K iè n se l ^ t .T ren te-six ares soixanlc-qiiinze centiare»

de terre , d ’après les litres , e t tren te -sep t ares neu f centiares.’ d ’après mcsursige. an m êm e lien, tenan t d ’un côté d ’orlcn l ;i rilô lid -D jeu do Baron, d 'au tre cô té ri m adanie do Bérnrd. ' d’un bout nord au cheinin d,o Baron a la Mon­tagne, el d’autre b o n i ri inadaqie de Moni­guyon. Section C, n*S 89 .

T r c U i è m e IrfiS.Vingt cl un ares qnalrc-v ing i-hu il ccnti.ires

de te rre , d ’après les l i tr e s , el v ingt-quatre ares deux centiares,, d’après m esu ra g e , an Buisson du Chem m Vieux, tenan t tl’un- côté orient ri m adam e de Môntguyon et aux h éri­tiers V atih. d ’a u tre côté ri m adam e de Moni­guyon, d ’un boni nord au cheniln V icnx^et d ’au tre bout ri M. P a ^ u ic r . Section D, n" A51.

Q u A te r z I è m e liO t.Treize arcs soixante-huit cen tiares de terre ,

d’nprès les litres , cl quatoizc arcs c inquaiitc- cinq cen tia res, d 'après mesiirrigc. lien d it la Ruelle N o tre -D a m e , derrière le Jard in du Bourrelier, ten a n t d 'un côté nord ri m adam e G ibcrt, d ’au tre côté ri M. Guihonrg. d ’nn bout orient ri M. C aron , e t d 'au tre bout ri l’hôpital do Senlis. Section B, n° 440.

Ç u in s i è m e I<ot.Treize ares soixantcdm il cen tiares de te rre ,

d 'après les titres , c l quatorze ares icen tc cen­tiares . d ’après mc.mr.'tgc. lien dit la Ruelle Notre-Dame, tenan t d’un côté nord ri M. Bcnrve je u n e , d e B aro n , d 'au tre côté ri M. L ab ie , d 'un bout o rien t a rilô tet-D ie ii de B aron , e t d ’au irc bout aUx’ héritiers F lam aiit. Section B, n* 419 .

ScIMèMe Vmt.' Vingt-dentTTtirfri vingirdetix ’centpares de

te rre , d’après les tilçes, et seize ares six cen­tiares, d ’après ibesnyàfic. aux Six A rpents du C hapitre, tenant d*lin cô té nord aux héritiers P a tr ia , d’au lre cô té l> i^atriri, d ’un bout orien t ri m adam e d e Ifonignÿon, d ’riuirc boni ri m adam e Redon. S c p ib n A , n* tô 4 .

V ingltqilatre arcs qiiatre-vingi-sidze cen ­tiares de pois, d’aprèà les litres, e t v ingt-sep t ares soixantè-six «m lîa res . d ’après mcsnr.vgc, lieu d it la Gorge f)p Grrinil-FrcsnOy, tenant d ’un côté occident e t d ’iin bout nord an bois d e Beaulicn, d’au ti^ côté an rcp résrn inn t de M. T urquc t, et d ’an iro boni ri m adame do Montguyon. sW tion' B, n° 70.

|U m «lhiiU fènii‘ I>oL Q uinze ares quatre ccniiare» de te rre , d’a -

p rè s les titres , et quatorze ares quatre -v ing l- quinze centiare.», d ’ap rès m esurage, a u -d e s su s du Rois de Piitinvril, tenajit d ’un côté orien t ri m adam e RçdoiL d ’a.htrc cô té ri l’hospice de B aron , d ’un boni nord ri M. Peigueau , d’ ânlrê bout ri iiiadamc d e Mbntgnvnn. Section B , n- 272 .

l l lx - n e x iv l è n i e I«o t.Vingt are» cinquante e t un centiares de

t e r r e , d’après les t i t r e s , c l d ix-sept ares so ixante-quinze centiares, d 'ap rès mcsur.'ige, ri la Chaussée du M arais, tenant d ’un côté nortl an m arais de m adam e de Montguyon, ira i i lrc côté ri l.t m êm e, d’nn bout orien t ri m adam e Ram û». el d ’an tre bout ri M. M ercier. Section D, n" 798..

T in s A iè n ie V ingt-cinq ;:res (ren te centiares de terre ,

d 'ap rès h s tiu e s , et vingt-cinq ares qnatiie- v ing t-sep t centiare.», d ’ap rès m esnrapc. ri la .Sfiiiin des A im es, tcnaiit d’un côté orien t ri

S* E t à H* BENOIST^ notaire AudU Sentis, dépositaire des t t t m de i^ro ffié ti et d u çâkiet dès charges.

F ait ç t rédigé par l’(tvoné. ponrsuiv'anl, soussigné. . *

A ^ t d l s , le douze octobro mil hu it cent so ix au teè t un.

S igné : J uli» TIIEMRY. E nregistré ri Senlis, le douze octobre 1861,

reçu un franc dix centim es, dixièm e compris.ÇigiiérGitÊGOiUE.

P our inseriioii :. S igoé:.jtilQ 8 TfiEiiRV.

•nadanic de Bérard et par Itaehe ri m adame de on . d ’au lre cô té ri m adam e Vigneron,M ontguyon. d ’au lre cô té ri m adam e Vigneron,

d 'u n b o u t nord ri l'h o sp ice 'd e Baron, d ’au tre bou t ri M. Mercier. Section F . n°* 526 e t 527 .

W iua;! tï t n n l è u i e c l d e r n i e r L o t .V ingtT trois a ie s v in g t-c in q ccnlinrcs de

te r r e , tl’aprè» les t itre s , et v ingt-tro is ares q u aran te centiare.», d ’ap iès m esurage, au che­m in de P ont, qui (ruvcrse. là pièce, tenant d ’nn côte nord ri m adam e i.ahlancherie. l’hos­pice de Baron et au tres , d ’au tre côté ri M. Lan- re n s d e VVaru. d ’un bout orien t ri m adame de M oniguyon. e t d ’au tre bout ri M. Chiesticn de Bcaum ini. Section G , n * 2 l5 .

ADJUDICATION l Æ I S S I S A

!/ad jud ica iion des im m eubles sus-désignés au ra lieu en vingt et un lot» qui pourront ê tre réun is partiellem èni ou en totalité , le ü iin a n - ehe d ix Novembre m il huit cent soixante el tm . heure de m id i, en la m airie dè Baron et p ar le m inistère de M* B en o is l, no taire ri S e n lis , com m is ri cet effet. su r les m ises ri prix su i­v an te s, fixées par le jugem ent sus-énoncé , savoir :P o u r le I " lo t , ri deux cent cinquante francs

c i ................................................................ 2 5 0 fr.P o u r te 2* lot, ri . . . .P our le 5* lot, ri . . . .P our le 4* lot, à . . . 'l*onr le b* lot, ri . . . •P our le 6* lot, ri . . . •P our le 7* lo t, ri . .. . .P our le 8* lot, ri . . . .i ’o u r le 9* lo t, ri-; ; ;—

449345190161)295.54523051 5s e o6504882902632452151501551.35

A r t . 2 .Elude du M* JuLBs THÉNRV, avoité à Senlis,

ru e du Q iàlel i n* 21.

V E N T 1 ESUR PliDLICÀTItj[8^J(tIJilÇUlfi^^

c o m p i l e de VauraoweEn la initi.soii com ^tti(e .île Vaumoisc.E l par le nm is tif 'e de T a s ^ a ii t , nofaire

à C ripg,

A USAGE D’AUBERGESise ri Vaumoisb,

Y v c e C o u r , J a i d l n , C lr c o n É ta i ic c a e*

F O N D S DE COM M ERCEH | a F e ^ n 4 V i n s 4 « L i q n e n r g

Exploité dans iailUie M aison.Avec les Achalandaÿa ei Clentèle

B u d é p e n t ^ :

s u S ISises aux tiy ro irs dndii VAttMo.isp.

e t de Rir.ssv ;K n S L O T fl

Qui pourront être réunis partiellement ou eu totalité,

I /a d i t i t l i c a l lo n a u r a l i e u le D lm n iic h c (roism o e m b i q d p ro jd l-

p o tt t lès 'rpiiieignem.çuts :/* A SB 'flHîjÛRY, qtta\té,, dem eurant i

Senlis, rue d u Cbùtel. tr* 9 / . frànrxuiùanf W veuteî

8» A M* TA SSA RT, nofflfVe d C rip ÿ , dépo­sitaire des (jffrù âè p rb p fü tè et d u iâ h i ir d h charges. '_______ .

Pour lu 10° lo t, ri.Pour le 1 1* lo t, ri.........................P our le 12* lot, ri..........................P o u r le 15* lo t, ri..........................P p b r le 14* lot, ri..........................P o u r le 15* lot, ri..........................P o u r le 16* lot, ri..........................P o u r le 17* lo t, ri..........................P o u r i o 14* lo t . ri........................P o n r le 10* lo t, ri..........................P o u r lo 20* lot. ri.............Et pour le 21* cl dernier lot, ri.

Total des m ises ri priif réunies. 6 ,6 0 5 fr.

S'adresser pour avoir des ren*e»^«e»te»»fs :/* À M* Ju i.e s TIIEMUV. auqtn', dcm cn-

ran t d Sen lis, ru e du Châtel, p our­su ivant la vente;

2" A M* fdlA LM lN . avoué, \ lm cu ra n t n Sen lis. rue S a in t-Ifila ire . n" tO •présent d la vente;

405

A r t . 3 .Etude de M* J. CODIN, avoué à Senlis (Oise).

Ve n t e s t iR t tn Ë tr jtX O NEKTIiC .aU R IIta ST ÜMIfiOllS..

P a r te M à n O r t <fa V V S a ïo in r . WIOIFC 4 .Venfù (O itt) . com m it d e ti effet,

i r u x E . K A i É W• AVEç isq)|ü, « '(Mlfs,

Situé ri P l,

( t i i t m r f d t

M ? , ? » '

» ij ÿ f1 ffoltgt

D E T E H K E t U O n E O USises aq teriilu iro dudit P u i l l t ,.

E n . q iM tlre qui pourront éfre réum i tn totàtité ou ea partu- l /n t l j i id ic n llo n a u r a H o u le DtnuiNoAd/rotf

N o v v m h re 1861 , h o u f e <lo tktidi,

Page 3: Ce joiurnal - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1861_10_12_MRC.pdf · jinaV l’ouverture d’un crédit extraordinaire qui porinello de dunner imnié.di.itcmciil

■ : "^ é ^ r f o u r avoir d u rm n g n v m ea t$ :

1 a tf» f iO B W .(* A n* 2 2 ;!?*i 11* . K K iR O iS , awm^ eo4ieU ant, d

J 4 W i r I 1» V y* l)E W I S T , n o tm n à S e n la , e h a n i h *i»l« ê ilio liliü r t H t l i i r a ei d u r a t e r

V - ________________-A n t . 4 .

gnde il» M- FhËMY. àvou» 4 S»"!'"- V E N T E

DEUX MAISONS■ C O U n e i J À « D I W ,

Si,!i B A iM S M O B rT nÉ B A is iO « g -r f i lu J j r( par te tmm iW re (le H I a t t b ,

notaire d Jtfouÿ.'.d jad ica lio " a u r a l i j u lo B iim m c te * iljl-s« l'< O c to b re 1 8 0 1 , l i c u r c ilc

^ td r e w r p o u r aoo irdet renseignenenU :(. j H- FnÉM Y , aea u i à S i i ilù (Oise).

^MÙrattl la e m ie ; - » K là S f P A T T E , n o u ire d Woiiy. d /p a -

du c a lù lf d a ch a rg a cl d a tdrcc de

r*PP^*' ' i - ■ '

1.CA CrAliwidra priluiin»» (1“ “i™ r MuiOcf»-

la id e q n im ajo o r» leu r eH uccordéA I cllelilo nrodoire k SE H É iA «« , «neieii clçrç d aroiuS,S e t e u r tu t A S enlis, sj-ndie do la faillue, leurs liirea do créance»' eioiilrc le sicu r Morlién., avec un O o tïrreao iitdicaiit sUr

En cD naéqom ce. il» «oui iiivilé» k ad p ré - scu ter d au T led il délai c l i s e iro u ïc r an plu» lard le lu n d i joaireA ooeraA ie proejm m , une

i'fteurede ruIlfW E./crt lA clianilire d a couaeil du Ir ib lid M u » S a illi» / au Palaifrdc-Jualicc , pour la vérillcalion e l l’adlim alion do leurs Créances, d c ï l i j lM . U s io a n î , juge, com m is-finifd» de • |. •

dfca' clétijl» iiju precés-vcrbal aura lieu im m é- d iatcm ën t. ,

ScnKa, le dix oclobre IHCI • ^ ,L e Greffier du Tribunal,

S igné : UouoiiBn. E ureais lré k ScUli», te o n io ooleluc 1861 ;

r e ç « & r à n é d i» c e u l im c » .d iÀ i te c ,r a

P our inserlion :: BouciiRn

A b ï 5 . .r,,Je» de M' P O S T E I-llU B O IS , avoue î.

Paris, rue Nel|VC-dc8-Caplicine», n 'I» ,( lie M 'B U D IS. no iaire ii-Précy-sur-Oisc.

Iv e n t e s u r é i u i t a t i o i sENTRÉ UAiEUBS ET MlftaiRB, _

Ka dIus offranl Cl d e rn ie r e n e h c r i i^ u r , fn riludé e t m <e uliniMére il» SP Bim in,

n o ta n t d l^ritÿ-eur.-O iU tK ii

» o d t e e r s t e P l è e c s ,

Siiaées sur le» le rr ilo irc sd » im É O ï-s™ -0 l9E .„ “ u do C re il, Cl Cnoo»-nArTnr.f,LB «aioodoN euU ls-eu-T bclle ,}rrondi,sem de Senlj8 ,déparleinoul do lO ise .

l i ' i d î t t d i ç B l i p n t i u W i v ' ^. O c /o b ro A S O l, l ïe u r o t lo - i i i id i .

S ’adrèuer p ^ ' r les renseignements ;/• A M* BUDilN. ' à P ré e y -su f-O ia ,

i im ila ire du cahter dé êharges; . .Ç A M« POSTRIe-DÜBplS, aoonif poursu i-

mnt a Paris, r u e jVeùve-des-Capuctnes, if:3* F i à W BOljCÜËrt,Aiwli(!prdt<fM (a/a

w té i rue Neuve.‘d e f-P rijl^-Ç h9”*P^^^^' _

A r t . 9 .Ç l r r ^ *es T r tfc n n ii l A a S c ti ll» (O ls r ) .

CLOTURE P E S yfeâiF IC A T IO M S .

dira: Crianciirs pristm lêi de la Sociélé llniv Tiiinn-Bisssr.. B au tk x cl C a o tib ij . enlre-

' preneurs de travaux de cueimn de fe r , a Naiiteuil^ïe-H audouinu

:,.8U8-nom m ée, siim p rïïc n iis qu ’un ijein icr d a m d e quiurc je n « : lc n r e s l a r a m te ^

l,e» Créanciers pr|^upid».dç la Sociélé,.i noininéc, soiil p ré ïcnus q u u n d e m ie s « d e q u in ic jo u rs leur e s l accorde a I cBcl --n fd y d ir ïb jtl.TlïnpIiAnY, InUÿ'CC.Il N anlciiil-le-llaiidoiiiii, s jiid ic de la fadU Ç, leur» litéc» de oréaoocs con irc ladilc SocicK,, a»çc undardciicnd i&iliraiit .

En cônsradcnéc , il» so n l niviVé» k «c pr»" sco lcr d a ^ c d i l délai c l k se trouver an plu» lard le ,Vomedi li ru / iVoremire nroçliom . uneA e u re d é iilio iie ,c n r»cbàiiibrc du m nscil dutribunal de S c u lis .a u Pal»i»-dÇ-Jusiicc, pour la ïé riaca llen e l l'aflirm alion de leurs créances, devant M. LAnncnT, juge, com m issaire de la füiHilc. . . .

i .a cldlure du procès* verbal aura Ucu im rae- d iatcm cnl.

Sentis, le dix oclobre l 8 o i , . ,L e Greffier du Trifumn/.

S igné : ItoucHER. Eorêgislré k Seplis, le oime oclobre 1861

reçu uh franc d is ccnliines, divienie com pris.S igné : G r é g o ir e .

P o u r insertion :^ h é ; BoucnER.

Ar t . i î *« r c I T r d n ’E rtl .M d » ! B ™ "» -

V t m r iO A T IO llB B t t b tM IC E S .

Avis4u.c Créanciers p t e “ >"d*

llicnl lîAuvKu, m a r d ^ ÿ de te»», deiiieii- ■ uui à U ilIrnu-S a m - M ' é 'P ' ' ' ' - .

Les Créaiiciors pcé»omék d “ siisiiomuié, déclaré en é la l de-failliic, seu l inviiés k se présen ter e n feiiilés ilii pouvoirs, daild V- jou r» , o iiire lc délai J e disfanCc,;! M. Mé i-a™ , ancien clerc d’avoué, dcm cnrunt a beu i», »s i -d iedénnilirde lafaH lile ,e ldeM rc™ »^^^^^tiircs dé créances accoiiipagod» f un liordorcau su r lin ,lu e in d ta l i fsi miéttx Tts i\^aim édl-btt t® •“ *

cffo du irtbiinnl de Scnfi».;- _La vériflcalibn dés »

devaiii M. b B lIv ri io ii , jdgô,«on»*P»*?*“ 5®î'®

dii tribunal de Senli», au Paiai8-de-Ju»lico, e t s e r a conliiiuée sans iu lerrupliun . ,

1,0» allirm aliou» sero n t reçues immcibale m ent.

S“ "li*’ l e ‘' i * o '> o l 'r c /™ ^ , . j , ,T , ,A „ „ „ , ,S igné iH o u c iitu i:'

E iirru is lré k Sehii», le onze oclobre 1H6I; lei'ii e u IVaiic dis ccnlime», disiçm c com pris.

S igné ; Gbègoirk -P our inserlion :

S igné : llo ECtiKn.

A r t . 15 .( a r q i r ç d u g é lf t l .n u l d e B eilH »,

V E m FlC A T IO M DE CBÉAHCES,

aiicicli clerc d’avoué, ileiiicuralil “ S '’" ''* y O rdonne le dépô t de la P . ' f

en la m aison d ’arrél de la ville de benlis.P our inscrIioM : „ •

L e Greffier (J« Tribunal,Signé ; BnccuRR»

Ar t . IG .CtrefTe d w d e S e n l i» .

DËCLABATIOH d e F A IU I T E ,B’uu jugcm cnl rénilii p ar le iribiinal d e .p r ^

m icre iiislaiicc séalil k Sonbs (Qise), bu»a^" rolUillons de tribunal de cpinincfce, le mardi hu it oc'iohre 1801.

A é lé cx lra il ce qui MiH : . .U tribunal déclare le sio.ur Casim ir ClUM-

RAGRR, m aîlrc d ’bôlel, demi*ür.anl li C rcil, en

*^^^Fi'xe prévisoifcm enl la cesnalion de scs naiém enls an s^pl oclobre 180! ;

Dispense de l’apposilion des scellés, dii q» il eera ?mmi!dialeaionl procédé k I ld,’ e " '» ''d de» meuble», n iarc ln iid ises, ulrc», registre» cl

' “ E m " M a A n n c iT. juge. h failliic el pour syndic d icelje M. MÉ.1.AN0 ,ancien clerc d’auoné b S cn b s;

O rdonne le dépôl de la personne lu failli ‘u h m aison d’a rrè l de la ville do Sen!i>.

P our insertion : « , • ,L e G reffier d u Tribunal,

S igné : BogcheR-

A A E d i U R E :P.ar ■ ujad lcatl*» »#U»l*lr**,

A Vi(leneuue~sur’ V e r b e n e .e n h n m o » d ifole.Ko Dimanche 2 9 Oclobre' 1861 , li.mldiv

Par le iiUnh(ri-e de M* B ero b t, notaire a iteiiim,n y u lo iU c AiVclé p m jr » r * |i i i r i» .

S'adresser audit M* «e.to ist, notaire. _

F Â B B 1 Q Ü &de Noël-Slainé-M drtla».

Situé» au môme lieu ,A V E i V D n i t :

PAR AWUniCATIOK VOLONtAIRB,Xe Dinianclie 20 Octobre 180 h d Mfi« heure.

E n l’une des salles de la Éaljrique,P(ir/cm/Mwtrred«S1»BE[foisietCAiniRRST BBRE/

ô Seulû . 1 On cnlrcTR en jottissaocod®*»*.®’ ^ »

S*adi w»er auarrfit* M" BE[to»T.c(iSiiWTE-HBKf >

Ar t . g .S r e i le d u 8 e i* « » (01»e)

D tC L A R A T IQ N DE FA IL L IT E ,D’uu iogCmenl rendu p a r le lr ib n n a l de p rc -

lu ite iis ta n e e séa n t k Senlis (Oise , la ira n t foDCilons de tribunal de com m erce, le vingt

. â É f f i H & i s a * '

(Irdoitkb q t ié î^ Æ ii l lk lè jo iil opposé» p a r- lonrÀll bésîlili SéroV slir l à tlieuMM. mkV-

A n t . ' 1 0 ,<2refT« d t t T r ib w n a l d e S e u i l» .

(oui «0 DMOni se ra , Mil iwochaiiilisiis, t i t r e s ; ( M g la r e s e t p a p ie rs i « 1 » ™ .

lo m iiie M. U é ii iB , m ite ije d e la f a i f t e , e t p o u r «{"‘ t c i l t e ^

aiiWîtR lélWi® d avoué, du^pepràlil. h a?n lis , « lac e d u T h é ilre ; .

Ôrtloilrté lu dépôt de la pe«on»l? ‘‘«ï la maison d’arrél d e là ti lle doSim lis.

P o u r inserlion : ,I L e Greffier du Tribunal,

S igné : B o u ch er.

CLOTURE DE S VfeBin C A T IO N S .

Avis.A iü Créoncter» préiiiml» du «teur Cléopba»

B iu w tt i i innrriioiiü aadtem'. e l m aiebaiidn i «ebw nblé»; dem eA ntem Creil.

E r 6 â n d e N 5 $ » 3 F ^ D bivert

p ro iH é ie t Stï MÉbAilKl f « [ « V te m if c ie u r s

- « S i i à l t l & k s o p r é -sen te r dans ledit dél»i,o| k se t ro u v e |a i i pbi»la id le Eeudredi p m ine l» (! |'™ !-VA*A 1 , , . , j . umra.lm d»li-,MUrn4lM cansci

Avisd ujc Créanciers présumés d a sieur F rançois-

Joacpb PcuTliV i ineùn ter, dem eurant a Ognon, fa illi . - .I,e» G réàüciers p fé s d m a dff steuc Feu^^^

sustiom m é, déclare eu dlut de f‘« i" iie ,.« o » lin - vilés k » ë p résen ter ed persopoe ça par fou- dés d e im u to irs , d an s te délai de vingt jon rs. ou tre le délai de distance , h M.Clerçid’avoué, ilem euranik Sentis, svndic d é li. iiitif (lè la faillite, e t de lu i rem ettre leur» titras de créance» aecompagué» d un bordereau »iir lim bre ind icatif des u 'm ieux ils ii’almCnt en faire le dépôt ou gretti. du iribunal de S en lis. .

La vérillcatioa des créances commencera devant M. L b e in n , joge-soppléaiit, coinini»- sa ire de la faillite, le F w d rrd i wiigl-deiec ^ i^ - ecnitirc prucbaia. u ru t e i r » (te cbam lirc du conseil du twbunal de Sentis, au ra la is -d e - lu s tic e , c i sera conlm uce sans

'''*l.cs*'alvîrmatious seron t reçue» irauicdiate-

' " t : . l i » , l e d i x o o t o b r o ^ l ,

■ “’ n T : Bougrer .E nregistré h Senlis, lepnifè o d é b re 1881 ;

r e ç n u n t r a n e d i x c e u t i n ^ t e i t e e c o n ^ ^ ^ ^

P o u r insertion :S igné .;B otic»E R .

àSj i t . 1 7 .C ire ffe ûm y r i b i i n a t <le

D E C L A R A tlO H DE F A IL L IT E ,D’un jiigemeiit rendu par le t r^ u n a l (le.Pce-

m iéré iiislaiico séant h S.'lllis (Oise), lat»a"lfoiiclioiis de tribnual da cunim crcc, le m aïui huit octobre 1831,

A été es ln a iice q u i su it : . . . •• l .e tribunal d é d ire le s ie u r Louis-A iilo ine HolI-Oc aillé, tanneur e l co rrosciir, dcm éii- r a n t k P o n t-S a iiU o -S o x c u c e , eu é ta l de ra illu c ,

F ixe previsoirom ciit la cessation de ses paiem ents au d ix-scpl septem bre 188 ;' ils» t’aniio&llion des scelle

A ««c C »uPp J n r d i u ®1 »«»<«« B A llm e n »Sise h la C hapelle-en-Serval,

c l 5 h c e l a r e s O O f t r < * s 7 0 '« c « l .

DE TERRE, PBÉ ET BOISSis terro irs de la Cliajmilo-en Serval, O r r ï -

la-V ille e t rb iila rm é ,A V R I W D R R

P.VR AlUliniCATIOS VOLOXTAIRB,fin la maison d'école de la ôliapelle-ensferval,^

Le Dininnclie 27 Octobre 1831 , à midi./>aj’ le ministère de M' Bkxoist, notaire a Sentis.

Jouissance loiil de suite .FdciUlés pour le paiem ent.

S'iidrcsscr audit J>t° R rxoist. iiôtaire.

qn’dés ----------- .

*' n Ô E m “o e> w ™ o s,la faillite, et pour syndic d icelle M. MtcASU, ancien clerc d’.avoué, ( en ie iiran l a ben lis .

Ordonne le dépôt de la pcraoniic du failli (I d’a r ré l de la ville de Sem is.en la maison

P our inserlion . „ ,L e Greffier du Tribiinal,

Signé : Bou ch er-

4 i i n < H i c e s D i v e r s e s .

Elude de >1- FILI.IO N , com m issaire-priseur il Glermont (Oise).

V E N T EAux c»cli*re*

Ar t . 7 .Ç rafT e d u T » ibuuW tl d e 8 c u « » («lA®)'

AvisA lla ; Créanciersprisumés d a ù eu r

dré-N apoleoji D si-ons, /ak riran l de fleurs arlipcieiks. dem u ir a M d Çrip g . l a s C réanciers présum és du «ient:

(lécl-jré en é ta t de failbte p ar l u f ^ é » 1 ^ banal de prem ière m stanco séa n t k beulis (Oise), liiisaut fitiictiouk de 0 ‘*’UWl ‘dÇ enip- meri-e, eu date do vfilgl-SÇpt août 181)1, Mi-

invités k se ' ' t e v e t le F e ite e d i Auil ■ N o m M e prot1ihil\,»nc (teMif de releviç. eu la ehiirobré du conseil dodit tribooo), s j ^ u t a - Ikh d e Jq stiec de ladite ville, m e rtS, iMiif t doAitef léd t avi» ta n t su r la coni- positm u de l ’é ià l de» créanciers que so r laSom ipation d ’o n o o d e pInsieWS s ï f d 't ? " -

’ iiitifs de la fa il l i te , en okécotion do la r tie lo 4 6 2 du code d e com m eV ce.^

S ë n l» , lé dix octobre 1861 .Polir le luge, iom m ispsire de la failUta,

. .Le P r é s id é ditJtrifatm ,Signé : Va t w .

EoregU lré à SenUa. te o n w octobre 1861; veço ou fm n ed ix oen .ii^« jd .» ;4m ^^^^^^^

P our insertion :S igné : Bouchrr .

créance», uc».ni» »“ • « “ • com m issaire de la (aillitc. . . . x

La clô ture du procès-verbal aura lieu immé- d iaiem éni.

Senlis. te dix octobre 1861. , „ ,* L e G rerfler d u T ribuna l,

Signé : Bou ciibr .Enregistré k SciiHs, lu onze (Ktobro 1881 ;

reçu nii r .-« e 'èm iines,.

Pour insertion :S igné : Bouchkr.

,;;A nT - r i .■ C lr r l f e « s . W t o n a p l d e S enli» .-;

CLOTURE DES V tB IFICA TlO H S.

AvisA ux; Créanciers préam és d tt sieur Jacques-

,\d o |p lie IlESOi, ancienmaréfiand de pairs. (ié/ilaiirant d’ B oran.t e s (iréaiiciers présolfiés du s ieu r Deuel,

su s -n o iu n ié , son t priveiios qu un dern ier .1.11. : ne inze lours leur e s t accorde a I elfet

M eubles en acajou, noyer, cliéne, m arque terie , palissaudre cl buis de rose. Argenterie, biioox plaqué. G laces, neiii^iilcs, lableaiix, aueicuues g ravures c l m edilillers dans leurs S e " (lorés, estam pes. Goucliers, rideaux,liuge l>orcclaiiie,cri8taiix .li.m iicclnnuiliieusebattciie do cuisine eu cuivre e t eu fer blanc. A rbustes, lieiirs. U ne bibliotlieque eomposim de 800 volumes bien relies, ouviMges de p in c ,iIp lUtéi'jliire, d’b islo irc, e tc ., e tc ., clc.Après te dçeé» de M"’,

vropriêlaire a U erm ont (UimJ.E u sa uiarsou, sise k C i-E R M O M , place de

n iô lc l-d e -V ilte , n « p _

S i r d I i(S O .» I.rc IM O I,M l.» n .« .l-» » », , | l , » I l e » , * • 1 n ™ " ' . 0 ” ■»■ •("•

P a rle m in is lé r e d ,l l -m U O iy .c a m i iw s ii i r e -priseur à Cteriiioiil (Oise).

Etude de M- GRAUX, iio talrêA Acy/

A v e n d r e a Ba’A M i ' Â B E E ,

G R & B D G o é s D E F E R P■ e t se® O é p e » d * * iv e ês»

S itué k BetZi derrière l’Eglise,

2” P I AUTRE PETITE F18ESise è Iteiz. n ie des Jard in s ,

3 “ UNE

BELLE H M BOURGEOISES ise h B ctz, rô e de Crépÿ,

A" l'ne antre MAISOPiSituée aussi à B elx, rue des Jard ins;M env iron «1 H E C T A R E SP B ' ï S ï l ï l B W ? S O I S

Siiucs su r le ic rro ir de Be'.z, en très-bon • état de culture.

On vendrait la grande ferme el les terres en­semble nu séparémeul au gré des amaleiirs.

O n assurerait à Tarquéreur des terres im re­venu de 3 1j2 pour OjO. . , r '

Bftii est il 10 kilom èl. de la flaiion de Crepy c l il 11 de celle de Naiilouil.

S'adresser G iuux, notaire.

s n r è z ^ i r i r ^ S E x p o s i t ie : ; : î : iM r^ ^i- ._ »:■*«<; <ii> firnsnCcs c o n tre te s ie u r I nAiF.AiF.Nr a u r a i .ibu i. in s t .vnf

Même é lu de.

J O li lF a

B M SO l! B E ---- - -Cff J A n O M l V S ®M«wJrr>

A V E M R R E A E ’A M IA B E E ,l»our en tre r en jouissauce to u t de su ite ,

Celle maison de cam pagne, bàlie cn lro pe­louse planléc Cl ja rd in , s i lu ^ à Acy. su r la roule déparlem enlale, à t8 k ilo m è :rcs du cbc- miii de fer de S irabourg , et k 12 kilomeircs du cbemiii de fe r de P aris ii Soissons.

Vaeqiiéreur pourra a u u i joindre à cette ae^ quisUion 46 ares 15 CcnHares de terre el bms. situés terroir d ’A cy.

Facilités p o u r le pa[einent. S'adresser pour traiter, audit M* G baux.

A r t . 1 1 .(G reffe à a T r i b i i » » * S eu l» * .

CLOTURE D ES V tB IF lC A T lO W S.

AvisA ux Créoncicr» présumés d u sieur l;alo;iac '

LanfitÉn , èouiuiiger, demeuraiil à Font S a m îé - M g x e m ^

Ao t . 8 ,a z» » n ‘» ' J u . ^ r t A m i . t d e g e n l t . ( O lw ) ,

C L O TU RE DES V tB IÈ I tA T IO M S .

AvisA u x O véam ere présum is d u sieur C liarlcs-A «-

guS tt MoRiè^ERÇ» ôrowtM*, dem eurant a Creilé^sttr-Ùise.

Les Créancier^ pirésumiis du slcv r Largier, sns-nom m éi sont prévciins qo " " * j 'lai de àttibfcteittotà leu r es t accordé k 11 «et tlo

prodoini.kM ,.M Sl;‘ » » ' “ “ ' ' f . S u e” 't° m ù üikmenranl b Seoli», syndic de la fauiite.

nnbord«< î»o indicatif »pr tim bre, ^En cooaéqqépcé, ils son t invité» k se p ré ­

sen ter d ü tisfo litS é Fendreili ,o .n z s N m eudire nrockaio iroi'i k» u r« de relecée, en la cbam breSo conseil do S n a ï de Senlis, au P a la is-d e -J iis tic^ pour la véritleaiiô» W l’oBIrmaUen de leurs S c è s , devant H . LÉPilte, juge-snppleaiit,

“ ^ S ^ t p Æ S ^ r b a l a u r a l i e o i u m i é -

dlaicm eni-Senlis, le dix

Signé : Uoeciltîn. Enregistré k SonVls, le onze octobre 1801;

.reçu on franc dix ecntintes,

P eu r insertion :Signé ; IlouciiB U .

dem eu ran t a oenii», i m. - t .lile , leu rs litres de 'f ir *"[.B cnel. avec on bordereau indicatit soi

E n conséquence , ils sont invités a Se p ré­sen te r dons ledit défai et k se trouver an plu»tardleV cniIrtdioiiigl-iiiiii/A oM iiièrcjiroc/iaiii,

m it heure de relevée, en la Jdo iribunal d e S en lis, iioiir la vcriQcalion e t l’aniiiiialioii d e leur» iréa n ce s , devant M. l-f.Pi»s, juge-siipp lea iit, com m issaire d e U failliic. i- .

La clôture du probès-vcrbal aura beu im - m édialom ent. '

Senlis, te dix octobre I w i , « •/ i’ l e Greffier du Ti-ibunal.Sigéé : Boughkr.

■ Enregistré k Senlis, le onze oclobrcA 86l ;( O O i i m '^ a i i c d i x e e n t i u ^ ^ x i t e e ^ p r i s .

P our in se rtio n ;

Ile lU Iie iiru s . «m m.»»....... - ' „ ,A „ -1.C l-AiF.MF.nr *un x i ico ' i. ixsx.vnr mFm e .

Nota Les livres, tableaux, gravures et inc- daillers seron t vendus le llim aiicbe t u oc ubre

Les m eubles do. salon cl des cbamtm-s , coocbcr, la literie et lu tiu se , seront vendus le Lundi U octob re . ,

L’argenterie , les bijuiiv. le jdaipie, t. b n s tc sc lle s Beiirs, seront vemliis le m ardi l.i oc tob re .

JV ,T . '15^ ^ . . .Ctnlfe ni» trrlISii»»’ ■»»«■•

D Ê éL À iR T lO K - DE FA IL L IT ED’un iiigem ent rend» ao tribunal de pre--

m i è r r i n S e e séant k SenlislO ise) faisantfo nd ions d e triboirSI de côinroerce, le mardi h o il octobre 1861,

r c * ^ 'lr ib u n a rd 'y re te aicnr Joseph Dh er- v i i tY , " L c b a m l de draps laillcér, dem eurant h Senlis en ét.il de fadlite.; ,

l-’ixo provisoircm onl te naicm cnts au buil oclobre l o O i , ,

DiSuonse de l’apposlthin de» soellé», dit qu ils c r ü jJodtédiatem cnt prticéllék l’inventaire des m eubles, roaicbandilé», titres , registres et pa-

''"N om m e'M .’ LAMOEtiJ, J W ' ' . r , ' ; ™ ’ *,'- ' de là fa illite , el pour syndic d icelloM. « ( . i .a x u ,

A V B d .V D R K

m T R È S \ M I M V M d i \ R , \ R E7 ans, 1 iiiètrc 5 5 c „ g ris poinni.de,

Hr inanSKU» et y adresser a «■ D U * «■

E lude do M' VA SSELI.E, no taire ii (■.leriiioul (Oise).

A V E X n i i E i»»!* A r t j u d îe a t îo n ,A J>.BfinflioM d f i feitsC.

1.0 Jeudi ô l O c lo lçe 1861.\ VNK

BELLE & ?iSTE lA lSO nSituée k G te ™ é n i r S iS r p la “ de }’î>d'e '; d '-

Ville, 2 8 . faisant face a la p lacodu Maicbc.

■ “ n r v i S i m E

UNE CHARRETTEE - r UN TOaiBEUEAU

Ikit b b i l .S 'ad resser k l i . k l ssos, régisseur au cliu-

leau de Uorou3 l l e e l a r n s 5 » A r c s à O C c n l -

d e t e r r eAux terro irs de Villeiicuvc et d Ivdlors,

I

.•g l l c c l a r c s V C A r e s T » C e n l .

m i T F K K I ' dSur les lerro irs de Brégy c l Fossem arliii,

A V E X D B EP a r iidjiulicaliou voUmlaire, ,

U lyhm nclie 3 A n r m b r e 1HG1, à midi.En la maison dVcolc *lc Brégy.

P ar le m ii th lè r c d e GuKVS. no ta-rc u Acn. KacUilés po u r te paiem ent.

S ’iid ressiT aud it M' G ra c x , iiofiû'*'- __ ^

A V E M D R EP a r adJwUlt-nBloD v o lo n ta ire .

En la miiisuH d ’école d ’Klavigiiy,Pur le m h i'S tèrc d e M' C r.vux, no ta ire « f e u .

En présence d e M ' llossioxoi., va la irc a ta f- \r tén o u s-Jo iia rre ,

1 e D im anche 27 Oclobre 1861, à nmli,

4 PIÈGES DE TERRESituées terro ir d’Etavigny.

Ccs-biell» .appa.itleuiieiit il l'bôpilat de la p 'ertc-so iis-Jeoarre .

S 'a d resse r p e u r Ions rciiseujnetlteiils, a u Rece- ecu r d iid it t lo p ila l: , ■

E i a iix ilils SI" CUAOX cl Ressir.xnc, iioluiic».

E tude de SI- TASSAIIT, n otaire k Crépy.

A V tîN D K E p a r Adjiiillws»i«n-A M orieiim l. en la Maislm coitiinunc.

Le DimancKe ÏO O ctebre fS O I, k 2 lienrcs. Par h m ia isure da J P T a s s a u t , iiolaire a Crep'j,

5 -1 P l é C E I S

DE TERRE, PRÈ ET BOISSi!uéi‘R Bur les lerro irs de Moricnv.il cl

E rcsnoy-la-R ivière,Con1® H H «i S |le « « n rF fi® 0

J ellissa n ce de s u ite . F ,ac ilitésp n u r!ejraeracn l.^ id tiv s sc rp o iir la ils rr iise iijiir iiia iisa S I’T sS iS tir .

Page 4: Ce joiurnal - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1861_10_12_MRC.pdf · jinaV l’ouverture d’un crédit extraordinaire qui porinello de dunner imnié.di.itcmciil

■w

I

I

A v ^ i i s a s_ PAR ADJUniOATIOX VOI.OXTA'lnr,

h u I cliuloct !»(?/• /fî »M»nw/<Vfl </o M' 'J 'assart, iiofaire a Créjii/, ’

I.C D in iau rliu 2 7 O oloU n; 1 8 0 1 . à iitid i

20 PIÈCES DE TERREB O I S e t d A K O lI V

S<iliioes s r ir les lo r r l io irc s d e L d i ia iie n , f io ii- ^ d r o ï i l l c , O n n o y - le D av icn e i C rdnv

a U eM arra C l a rea 0 4 r

E T 4 M A IS O N S iS ise s à W p y oi ('.om lrevilli*.

Jm iissn ijco d e siiilp .F a c ili té s p o u r - le im iem eiil.

i i 'în t 'c tw iij i ic m e iils , iiiidilN* TarsaB t, uoiaire.

A V E n i D U E pai* A t l j u t ü e a l io n ,Par te minf<(er0 do M 'T a s sa h t , notaire olCrcpy,

A Vauii)ois(‘, en ta iiiaisou comiiHina,Le D im a n c h es Nooembree i S ÿ i . à S h e n n s

2 MARCHÉS DE TERRESitii.is su r le lerrilo ire de nussv -néu io iil

« '• la e u M ii l S I le r lH rrM OO e.Jo iiissiiiu 'o (le s iiile . *

Il sera act-ordé des i'iiciUléspiuii' paver &*udi<îi«rrtHd(VM‘ TASSAnT,no((»/(?, ’

\ % E i\8 > K E |» a r ailjii(lâ(UA<Soii,ü n 4>ro» c« «b D rloil.

■ En la salle d 'écolu de Murieiival Pm- k miiiM èrc ,1e M- T .s s jh t , m ieh e d C irm

U Uiinairclij 2 0 Oclobre lO O l, ii ji,i,li, a l l r c l a r r s Ï O A r e s 8 5 C e u l .

, TK M IÎEE u 3 iiièccà au terro ir de M oririival,

Oii e n tre ra en jouissance de suite o ra n d es lacilliês im ur le paienienl du prix.A r t d ^ c r auilii M’ ï a s s a r t , uoluirp.

KludedcM ' HE MAY.m ilaireâ IV>iH-Sle-Ma\eiic..

a RBc<*iarei» « S A r c s € c sj< .

T J g B B Blîn /5 Pièces,

s : « s au lu m io ira de l’u iil-Saiu ie-S la \oucc A V S 5 A B S 5 H

, •*"*■ «ja«üîej»ilon toloM iuirr.t n I eflidc cl par h iiuni.itrre de M' d e M w

uutiUrc (I Poul-S,iiiitL'-3I(t.raicc. ' ’ Diinaiiclie 17 Nov.snlirc IS 'î I . ii midi

iS”üdj ej#er aiulit M* dk Mav. nohûrc. '

Même élinlo.

!8 P l ic c r i l l i ÎÊiiliHSituées aux te n n irs d ^ n in e i is c , Caiictiov,

S acy-lc -l'e iit. ('.rami-IVesmiv et llaii'ciil- le Soc,

Ai 'a r adjudication Aoluntairc,

Le Üanaueiie 27 Ocloluo 18UI. à midi. Par lem in is ln c de M'iu: JI av, iioéuVt’ à Pevf,

Cl e n so u é lu d e .S'adresser audit Jp de ü av , notaire.

MAISON ET DÉPÏKDlBCËr« l 4 P i è c e s d e T E K H E

Situées au terro ir de llnllv,A V E N D R E

l 'a r adjudication volontaire. h n ta salle 'de la M airie Je Pully

l.e Diinanchi; 20 O ctobre 1801. h midi P arle m inisliTedo M '.de Mav. notaire à Pont

« le . l O l i e c t a e e s d e T e i ’r eSis aux terro irs de L agfiy-lc-Scc cl

le PIcssis-Delloviile.S ’adresser audit M' Bicox, m faire.

9 H e c t a r e s A r c s 8 3 C e n t.

DE TERRES ET BOISS T B A T I k C a i X ?

Sis îi Neuill||'>eii-Tliel e t te rro irs dudit lieu, Ercuts et liny -Saiiit-G eorces.

PAR AIMUIIICATIO.X VOLUNTAIHK,Par le ministère de M' Grkxcb. notaire i Chambly

En la salle de la m airie düN euilly-en-T hel, Le Dimanche 20 Octobre 4 8 6 1, d «ne Aenre.

Siu-cté pour acquérir. Facilités pour paieuiciil S adresser audit M* tÎRAKcé, notaire.

E lu d e d e M* ROUSSEAU, n o ta ire à fttullo.

CBAHIE FHOPBÆTfA v e c C o u rts d * E c a i i *

Sise au liarncau do .Martinconrt, com m une de Mello,

A V E N D U E P A U A D JU D IC A T IO N ,K n iT la s^ r » u l o L o Ib ,

Le Dimancbe 27 Octobre I8 C I. 2 licurcs, A M ariincouri, en la propriété.

P arle ministère de M* Rousseau, notaire à Mello.Cette propriétélé contenant 3 lieclaros 05 c .,

par son cours d ’eau cl sa position à une lieure t ,2 de l>aris. peut eonvc lir à toute industrie.

Jouissance de suite.Sûreté pour acipiérii-. Facilités pour payer.S rtt/m.vrr audtl M' Rousseau, notaire.

Elude de M' E. LACÜUR. notaire û .Nantcuil- le*IR»idoimi ^ i s e ) .

H « rla i* P 8 3 0 Â7*c!« 3 5 C cntf.

D E t e r r e e t b o i sSitues à Nünlenil-li*-Haudouln, lie'u dit le

P iém ont.A % E \» e i i - :

PAU A D JU niO M lO .N V O I.O M A IU E , kbB m n s s c o u e u < 8 lu i» .

Le Diinaucln: 20 U eiohre 18Ci, à midi.Un l'ctiidc rl jMrJe m inistéredc M'I.Acoi’n,

notaire a JSautciiildc'llaudouin,Entrée en jimissance de suite.

■4 V E A B B E A ï / A S M A B I . E .fo C il l lè «>n a è |> a r è n i r n t .

Parte m inislérè de M* II. S allk , commissaire

L e L iin d i-14 O cio liro I S t l I . h m id i, C o n s ls la n i e n : u s te n s ile s d e c u is in e e t de

m é n a g e , v a isse lle , la m p e s ,g a rn i tu re s d e fo y e r, f o u rn e a u , l a b lo 'd e c u is in e , m e u b le s . In ils lt b rû le r , b o u te il le s v id es , e t a u in 's o b jé is .

A * C *«M p|B Bl, V ra la •v d ia n lr cM ,

Avec petit parc, pièces d ’eau , etc ,

D E U X C O R P S D E F E R l i l EjMco circotisiunces et dependanci'.s,

•i < 5 5 k o r S a r c s o iiv âaM B it d o T e r r o y I l * r r <*t R «m «.I Le tout .«;itn:; coaimiin-i et terro ir «le Droizi-jles- i \i-isii5Ji.v. il lrê.s peu de «lislaiice de i\an-

leiiil. slulion du cbeniin de ter do Paris :i .Soissoiis.S ’adresser à M' LACOun. notaire.________

Ltudc de.M* GRLSOX niitaii-cû Réthisy-S-Pierrc.% T K x i i i i r :

P n r .tnjBtlicalioii «l«'ntiltt,c.-1 .Sanilines, en la maison d'érole.

l.e Dimanclie 2(1 O ctobre I8 ( il . à niidi Par le ministère de .'p Giuso.v, notaire a Uèthisii.

Saint-Pieire,

17 PIÈCES ÜE TEBIIË ET PIIËt'oiileiiBnl 9 lirelareB Cf iil.S iinéesierrilo iresdeS ain t-Sauvenret Verbeiio.

(îi iindes facilités pour le paiement du prix .S adresser audit M' Ginso.x, notaire.

Ktiide do M* *|)ELAFOLIE, lin lssicr 'p rise iir b Nairtbuil-Ic-H aiidouio (Oise).

B E A U M O B I L I E RA V Ë N I]D )R E aiixL e n c h è r e s ,

A n O M llB U n S M ,E n ta sotte de tfan rsdeM . CiiARPF.NTiRn,

Le D iniaucho Octobre 1801 ,b m idi, et jou rs «n ivants, s ’il y a lien.

Par to m ikisière dudit M* D clafolie.~ (D cM srm vflcm *

.U sllQ ric dp <^!slnc, g.irnltnres do ftivcr, d’aisselle, pol&ritf, porfeclames,cristaux ;inliles,

cliaises, f.iulouiI«, glaces, tableaux, horloges; h istoire de Napoléon !• ', en 4 volumes ; crando quantité de m atelas, lits de plum es, oreillers, travei-sins et couvertures c a laine e t coton, un sonim ier élastique, lits de fer, lits do sangles, trois conchelics. une table do nuit b volets et une table de toilette, en novcr, nu secrétaire aussi en noyer à dessus de in a rb re ; ou tils «le ja.-dinage, fléau et beaucîoup d’antres ob jets.

A u * C 'o B d Iito B » o n l i a a l r c » .

Llude de SI* DKL.AITRE. huissier ù Retz.

EX VERTU n’üMB OnnOXNAXtîE ,P a r suite de cessation de 6’oinw erw ,

Mâ RCHâHDKES H£U?£SA BoMilinnej, vantoii de Bêlas,

.'lndonnci7rrf«iMM. H o u t i l lo t et O*. bourre- tiers et fabricants Je smnimVrs.

L" Dimanche 2'.) Octobre 18ÜI. à midi précis l'ar le ini««ÿ/tre dudit M' D e u itd r , huissier. ' Celte vente consistera notam m ent en : col­

liers. selles «le çhoval, bri«Ios n e n v e s /â S so m - niier.s élastiqui‘9. m atelas et nnejg randejquan- lité d ’au tres objets concernant la bourrelerie et sellerie .

A il C o m p ta R l . l- 'r a t* o r a i i i n i r e * .

Il fa it au s s i la v cn lo d o to u te s le s fu iirn i- tim>& n é c e s sa ire s p o u r les c o n s tru c t io n s u c n - v o s. e t co lles ex ig é e s p o u r le s r é jia ra tio n s . i l t ie n t le s m a rb iv s do c h e m in é e s , ch ftss is

•I r id e a u x e t fa ïe n c e p o u r d e v a n lu ro s d o c h e - in tn é e s d o to u te s d im e n s io n s .

1^ tout à des prix tris-modérés.

M * B l i D i n r , n u i R l r e j» B r é c j r - a n r - B l v e , 4 e a u i a 4 e

U N 2’ C L E R C .On «lemantlc

ÜH APPRENTI OÜINCAILIIERS 'a iln -s so r îi M , F O U ü E B t , h S e ii l is .

I U A I K O . \TEU ES, PBÉS EE BOIS

S itu é s a u te r ro ir d e V e rn e n il- s n r .O is e ,

A V E A D R E giap A d j u d îe a l io n ,L h la salle de ta M airie (le yeriu-iiil

i.e Dimanche 20 (Jeiolirc 1801, ù midi P a ije minislérc de M' de 31av, ««»/,;„•<? d Pont

S adresser audit M' de Mav, uoiairo.

1<5 l* lè c c s olo

TIEEE. E Ei. BOIS I V IO lSituées aux torriioires de Divocoiirt et

l.ongneil-Sainte-M aiiû.A V ^ D R E P A n a d j u d i c a t i o n

Le u m a n c lie 3 JS'ovembre 4SGf, à m idi,Lii la saliti do la mairie de V erberie.

f o r Iç iiu im itrc ,h M- df. Mav, noloir» ,1 />«„,S adresser audit M* dp. Mav, notaire.

h tu d e de M'BIGOT, notaire a u Flessis-Reilcville

3 H e « É a r c s O I Ai»<*« 4 3 C v n i .

D i : T E R R E SSitués an s terro irs «le S lly-lo-Lnng, Nanlenil

et IMcssis-Bejleville.A E O U E R |>ap a i l j u t l i c a é io n .

_ U MABRK KT KM BKTAII.,U Dinmnche 45 Octobre 4864. à une heure

A Silly-le-f^ojig, en la salle d ’école.Par le ministère de M' B ico t, iiolaïre nu

Ptcssis'iielteville,S adresser audit iM' Bigot, notaire.

" p e t i t e f e r m e\ Sise an Ple.s8is-Üü!l('ville.

B«ll«ai«*»»ll«»n volou tu irr.Le pim anclic 27 Octobiiî I 8 « l , U une Imure

h tt t élude et }Hir le ministère de M' Bigot ’ notaire au Plessis-Bellcrillc.

. On pourra trailcr nvanl l’n.Ijn.Iii nlJnii. dM , „t f„;i I «ien onVrAiitiflitaiin-».

Elm ie de M' LLMOINK, t:olairc ù Gliantilty

M A I S O NS itu é e ’a Chamilly. rue d’.Anmale, i r 11,

tout près de la IVIuuse,A V B A n n i - ; a i . ' a i u i a b i . e ;,

.'<'adrcsser pour reiiseiyncmeitts, à M* I.e.«iih.xe.

I.tilde de .M' MAITRE-REV’ALLO.N, notaire û Ghanibly (Oise).

5 H E C T A R E S « 7 A I S E 3

1> £ T B B B ËSis tcri oir de fiand icourt, com m une de

ll«'llu-I-Iglise,A V E . \ | > R E

l*4ir B d Ju f llF B ilo f i i v l o B i t t i r r ,Ln vingt Lots.

P arle ministère r/c M‘ Maitre-Dkvallo.x , notaire à Chnmbli/,

L e D im an ch e 2 7 O c tid irè 1 8 G I. h. m id i.E n ta salle de la M airie de Itelli’-îù jlise .

G randes facilités pour payer. S'adresser audit M' Maitbk-IIrvallo.x, notaire.

Lindo de iM* B IL L E T , greflier-priseur à';IVctz

B E A U Iv iÔ B I L I E RA V B A n K B

• lu tiaiincile où ts i die,<Ji \ l . K e c ff iic , ciiri, A Boiillai-rr,

1.0 Lmi.li 21 Oflnliro 1SÜI, .'i ol j u i i s suivants, s’il y a lin i.

Par le ministère do .M' B ille t, greffier à Uet:-.t-onsislant en : garnitnnr.s de fov(*r. Iiat-

ti ric et ustensiles do cuisine, vaisselle, po- t i i ie , M^rierie, cristaux, nienliles on acajon mjvor occhéne, lit de sangl-vs. pem iule, g b c c ’ tableaux. u n eg ran d eq n .in ité de linge lite rie’ tapis, g arn itu res de lit, riiloanx. 2 tu volumes d«! d ivv rsau iem s. vips roiig.î et b lanc, bon- tPilh'S vides, outils de ja rJ inago . bo isii b rù 'e r lapins, poules, ruches, et une grande quantité d autres objets.

l-'rMU a r d ln a lr r i i .

K lu d ed eM d lE M K T , h u is s ie r-p r is e u r àC liiiiiiilti

^ l î t s ta a a t i i i B î i i t i t e. ▼ o z .o n rx A x u s ,

AUX ËXCUKRB.S PUB|,im!K.S.Et pour c-iusedo départ,

A Mtanlilly,(irande Pue, maison de Madame u 'C iu p v iin

Le L iind i2 f Or.lobre 18ÜI, à m idi, ' Par lo m inistère dudit M* IIk.\iet, ’

Cette vente consistera vn : vaiss-lle .ba tleri.' do om.sine, garniiiires de fovers cl de chorni- nees, meublo.s, très-bonne literie, pendule.s. lam pes, glaces, tapis; bureau , jeu de tonneaux’ et une (rô.s-gramle «luaiiiilé d ’iintre.s objets.

A b * eoBilIfioM it «>r4llnalreH.

V E A T EPar le ministère de M 'II . S a llé , com m issaire

priseur ù .Scidis,

DEUX BOUS CHEVAUXT A l * O R O l u a i ^ i 'o ^

D(‘pendaiil d e la faillite du sieu r liiam pagnk , hôlellér h Creil snr-O ise ,

En vertu d une oiaounanr.« de M. lu juge com- •m.'isîdre de la faillite, enregistrée,

t e M ardi 4S Octobr«î 186 / , « 4 heures de rrtevèe S u r la place du M.arcbé de Senlis.

S'adresser pour ♦•eiuc/ÿMcmcnA, ri M. Mkumi syndic de la fa illite, à Senlis ' ’

\ ----------------A c é d e r d e s u h e e< à r o iia r a b lc

E tu d e d e M 'IIbxri S A L L É ,co m m issa ire -in ise irr û S en tis.

m û m [ui(ü3[i(n ià iiiiîP our cause de Départ,

K n u n e M aison .sise li .Sentis, r u e d e la C h a n c e lle r ie , n* 2 ,

r i t p a r n o tu M a ire de ta r d le d e S e n li i , /.o u r tru a ti 4nr«./i ./d /n tignaliire d* fit.. Kesiuer, ajwoue « fait

C* 12 O iio lr c ' ■

H lw p h a l g é w érq g d e Mp u IIn.

F O U R N I T U R EA faire mi 1862

A L’HOPITAL SilléflA L OE SENLIS DKS QU,V.XriTÉS

fle Viimde de Beiielierie, de Viniide de Bore el d'Kpleerie

^êressai^es a u x b m i iui dadit Etablissement.

Ou fjil savoir iine lo Va„lre,li 23 O cliilm l» (.l ü iiiio liciire <!c p eVv»c, il s.-ra .,r..cüil.i 'Ipirishiiic lies salles .le l’ll.l|piial Bé.iéjpil ilc ■''eiilps, a I ailjndicaliàn |iiililii|ijG an ralpais el sur S0IIII.ISS10I.8 caclidée,s. ,1e la foiiruilurc ucs oipjels c i-dessiisénojico» , nécessaire,, en 1X(i2 aus liesoins (le l'KPaWisseincnl liosiiila- lier de Senlis. '

On pourra prendre connais.tnncc des cahiers do ch.mim. lo m lc; j ,„ in de «m/'/iepo e , du m aliu ,r r/pipdp o heure, du l i i r , m il uu s iém de fé la U t,. letuçul , 0,1 au bureau du llceeueur de rHouilal général, rue V illem t, h* iC.

M l l a - m o k at ‘ O E I u M 0 n i f F V a § M S T E ,

A MtK.%lillB, rue MA.lMt-Blllatre, i î .P rèstaU atle,

A I honiipurdc v o ilsd o n u c ra v isq u ’ilaro t .dé a Senlis. où il est connu d ep u isiro is ans comme bon ouvrier, un établissem ent nyani pour oli- ml la consiruclion des calorifères contenant •les apjiareils très-économ iques. de toutes sortes de d im ensions, et il 'conslrn it les four­neaux en tous gen res .'

M fait (également les travaux et les répara­tions nécessaires pour em pêcher l’introduciion de la fumée dans tes apparieuioiits.

Hinrgibirt h Senlii, te tSOI, r- He.-n

P IL U L E S 'URfiATtVES OE CAUVINPHJIIII JCIK-ClllIilSTE RE SlFÉBlftlE RE NEI8.

Place (le l'Arc•«le-Tr^omp^e, 10, à l’ari» . (coDti ü* S34.jG*» l‘ILl)I.ES so n t DIGR.HTIVKS TO NIQ U Ei e l 1>EI>URATIVK.S; l*ar le u r c tltcacilê c l p a r le u r em - p t« ' facile au q u el elles ic prè- le n l, rtlc s so n t te m e illeu r PUR. (M T IP p o u r fo m lw ilre la COXS-TlPATION.dêlruirclesllUM P.URSe t l’ACliKTé l>U 8ANO e l pou r

». , , :— '’“7’«’ne'’l'AarincMiie«lnQ»lesfon<N T . i W * ’ .”*• •!« SUDST-INCBS VKfiÉ-

e kM o n t l a p ro iirielé d e «tonner «tu ion a u i ml«MiMM, «le pu rg er sans ra liguer t’esiom ac n i offai-n lir nii.'iiii nrj;.itio.

Cr» P lt.U L fô ii’osîg»-!»! n i résim e n i Imisson sné- u ia lc ; sous cc rap|M»r«, elles cousiilu i-n l le p lu s com- mcKk c l i e p i n s ellic.ice «les PURGATIVCS c o n n u s ' aussi soiilKiItcs nrduiiiictn avec sm-cès dons i«.s mal:.-

l.e m crile «le ces PII.UI.KS p e u t se i n t im e r en c e . U K r\Ü M R .m K M R B TfiN in la san lê . PRIX

2 FRvNCa avec notice en rinqn e i .\ RüiTElangues.v_|lk|i.ît «tans les Pliarmncies bien assorties decliaquo

ASKM.IS. clîc» M. ChBrtBlBg, pharmacien.

PIOBaiTS PHlHlCBITIIlir>»rmt«lpurinl«aieia,<,iiI,«,|yKh

“ e e sm «rn.»s nnvr^'Mwsaan iis «nwttsw rmmr U BMtiu «

wi 1rs me- ^salfureusee

lespJiu

. cj' cliarl'oii U n Il r i la ri.iitli|ia:|.iii rli'pitail

«.:r. -«r.- iuir.i;,a«-ci'I‘4'*i::;; r:

J-çiil iiHiyon «I wfiuliiislrer 4 I Elli.-I-, t.iml l Iis.ajîo ,..,1 U « flicau- voiilro le» mtiirniiics, I-* rii-ïralgifii, l-s i>a||i||aii,ini !■’. ciaiiiiH-s UWliiiitac el vs

i'‘r'' ....

l iT A T U l V i t , ItU S E A 'Ù S .Naissances.

P é ro l (M .Tric-Adolino).C iiam lic llan t (V ic to n n e -Jcu n iic ).I.«‘s ;iin l (A rtliu r-Josoph).F o tu iiiït (C lia rles E m ile ).

M «irilahteiiiiin,IJ.UO «i« iw fe au «siiraiede luaanide. il «iimi üe rslni iliisouilre un flacon «ie'erile Poudn- dans une U utrille «l'eai I.Ar*Mnir s csinstak su ÇR pur(siif, Je pjus sctèa ble «le «OUI, efl aussi efll I

cacequercaii <le SeiJlilz.*

.'•Sun, H dans tou»l«$ tas oO tas ferni|{n««i sont brdoiiitis

limnha-

f te a l l n , » M . C liasiains; ( e u U -sn r- IV K y e ,. L efraitc:C 'r c l l , - •M èra

•««« lia , Oran«l; _

U rc ll, lo U la ip ;C » é p iy .F o u rn ie r{ F o r« ie H ® C a m ^

AU NOUVEAU JUIF-ËRKAIVT.

. I l “ ® ® Ü t A WM iStO -iA ÏTC B DD ITOTTTBATTTBa BT OOlTPBaTIO»

s o „ c o .n m o r c e I , * è s B B i e s T l * . ,

» o l i d ; i é '„ : „ . a „ , i r ü T a f i ' r " “ i « r t V f " r ® ’ ^ l fin |"!ralriM ,niéra..i,|iii! il (j ,.| s fr .; O to g U consV , d,?n, U - V; - ''" ï" ;™ "» " ,- nu |.rncé.li coiihirt-s, ili'|M iis2 lr. 5 0 c.’ ” • “ '''• i «-"'nids ciifaiils, sam

m * > M sre |»W .» .

DES GENS DU 1HONDEivrT'â®?*? pratique des Maladies nrinàires

r S i e w i i l ï ’* 3 1 4 neiiiiBs m n a ^ iDu «d-Wnrfato, I S t . n u da Hhxl:

É T H Ë R Ô L É n Ù I D E G H A ’L M ï F ^POUR D É T .A C IlE a.

• fionn... Il . ttss4res*t0 it0 . ■

r .............. "I” '- j» d..." *s a l ic re r !<•» . «uk-ur». m e.ne les p lus ilcli.-atcs, su r lia c ra v u rc i p t i . i , /T V S«“ ‘» d « peau.tupL-nrur a (uiiu Ic.s liquides n «Iciai lier. * *eiis Ce nuiivean produit

/y ' VLAGO.X : I rOAM: 50 GKXTlllrS

l i V U i È i x i i ; o i i ; I . A T o i i a i î T i ’ i : .

VINAIGRE ANGLAIS, AROMATIOÜE ET RAISAMIOÜEA ùojM el recomiuaudé iiar le Coiieeil de eatubriU de Loudi e , '

Iin iio ila lio n p réparée c l p cr loc lio im éo par P u a i , n i . v , p a r fiiiicu r

>1 ' ■ « ^ , - 1 , . . .

«uu» i ls endro its oà l ’on resp ire uu a ir »iciè « V n r .C ^ frc«iucnle.it ie i bal», les lliea tres, e t c , en un m ot

a n™ .„, a . lÏ Ï S I . ï ï ’ S C 'î,; .rcn a ià .. a .

. 5 S 5 2 c i * K a c » ï E i ' t i n Æ 5 . ' a * ï a c £ > s a - c .

q u a l i té , q u a l i té .

Ô ô â P ^ ' o o0 0 27 0 0 2 0 6 0 0 0 0 0 23

27 78 ,27 2 2 0 0 00 ,28 Ü8jOi)

2 8 S t 2 0 4 3 0 0 3 0 0.3120 00123

AM M SHVmHM A

VILLES. DATES.SBIGLK.

Seuli: (x m p itjg n c Bc.iiiv.ii».( l.irm ojil.( 'l’i’liy.A m itc iiil. Bout.

8 O c to b re . 3 O c to b re . 3 O c to b re .3 O c to b re . <3 O c to b re .4 O c to b re . 4 O c to b re .I 4 O c to b re . 5 0 6 3 l2 i

l A A i r i t U P M N j id a lc r d ii 2 O ciobre 1801.

q u a lité .

3 0 0 0 o 0 I 2 0 0 1 2 2 9 ; 17 1 2 2 2 4 0 1 3 2 0 1 0 1 4 4 8 3 3 14 3 5

â o f5 5 f03135R

j ^ q tiid ité , 4 8 c . le k ilo g i jn in ie :-— a». i* i« ~

SKNI.IS, TVPOURAPmu ET M rilO C IlA rillK DE M " V REONIER.