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Novembre 2010 Tendance : Le fil macro L'épargne program- mée... Une stratégie pour l'avenir Le dossier : La dette émergente Le JOURNAL De MONFINANCIeR # 5

MonFinancier n°5 // Novembre 2010

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Magazine MonFinancier, courtier spécialisé en assurance vie, placements et défiscalisation.

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Novembre 2010

Tendance : Le fil macro

L'épargne program-mée... Une stratégie pour l'avenir

Le dossier : La dette émergente

Le JOURNAL De

MONFINANCIeR

# 5

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Novembre 2010

SOMMAIRe eDITO

Tendance ..................................... page 4Avec FidelityLe Fil Macro

FIcHe PRaTIQUe ............................ page 6Avec MonFinancier.comL’épargne Programmée…Une stratégie pour l’avenir.

L’acTU de MOnFInancIeR ............. page 8

Le dOSSIeR .................................. page 10 Avec InvescoLa Dette émergente.

Le SaVIeZ-VOUS ? ........................ page 12 Avec ACMN VieContrats d’assurance vie et successions :les liens se resserrent.

PÉRIPHÉRIQUeS .......................... page 13 Avec Artfiding.comL'investissement dans l'art.

Fondamentaux. Financer les études de ses enfants, proté-ger sa famille et acquérir sa résidence principale, préparer sa retraite, transmettre à ses proches : autant d’étapes im-portantes qui jalonnent notre vie d’épargnant. Cette épargne, construite fondamentalement sur les fruits de notre travail (mais aussi sur la transmission de ceux de nos aïeuls), revêt de fait un caractère difficilement estimable.

Une épargne de qualité, pour tous. Voici donc une décennie que je m’efforce de démocratiser des solutions financières qui permettent à votre épargne de disposer des offres les plus performantes aux frais les plus bas. Du fait de son in-dépendance, un courtier conseil tel que MonFinancier donne une vraie alternative aux solutions d’épargne formatées pro-posées par les réseaux traditionnels bancaires. Cette indé-pendance est, pour vous, le garant de l’objectivité des solu-tions financières et du conseil proposés.

du nouveau. Depuis la mi-octobre, le nouveau site MonFi-nancier.com est en ligne ! Une interface entièrement réactua-lisée pour répondre à vos attentes. Plus ergonomique et plus pratique, vous y découvrirez de nouveaux espaces tels que l’ « Actu » de chaque produit ou le « Blog de MonFinancier ». Nous vous donnons par ailleurs rendez-vous sur la page Fa-cebook de MonFinancier ; vous pourrez également suivre nos infos via Twitter et même consulter votre contrat sur iPhone.

essentiel. Mais pour conserver notre volonté de vous ap-porter un service de qualité, nous consolidons les canaux d’échanges plus traditionnels : votre interlocuteur privilégié, une équipe de professionnels impliqués à vos côtés et dispo-nible via le numéro vert totalement gratuit, des e-mailings d’informations sur les opportunités à saisir ,…

Cet Edito est enfin l’occasion de prendre un engagement ; ce-lui de continuer, grâce à l’indépendance de MonFinancier, à vous accompagner au mieux de vos intérêts dans vos problé-matiques patrimoniales.

Par votre confiance, vos sollicitations et la promotion auprès de vos proches, vous nous aidez à votre tour dans notre vo-lonté d’apporter le meilleur des mondes à votre épargne.

Yannick HaMOn,Directeur Général et Fondateur du Groupe MonFinancier

Edité par4, rue Beaumanoir35000 RENNESTéléphone : 02.99.30.06.43Mail : [email protected]

directeur de la publication : Mathieu NOGUERA GOMEZImprimé en FrancePhotographies : fotolia.com etwww.photo-libre.frPublicité : 02 99 30 06 43ISSn : En coursRcS editeur : 507 830 925 R.C.S. RENNES

Remerciements et collaboration :Gregory BertrandEllie FéeJean-François FourcadeYannick HamonRomain JanowskiBruno PeyraverneyYann Poirier

Les informations fournies dans Le Journal de MonFinancier sont uniquement à titre in-formatif. Elles ne peuvent en aucun cas ser-vir à la prise de décision des lecteurs dans un investissement ou un non investissement sur un support ou une valeur spécifique. La responsabilité du Journal de MonFinancier et de son éditeur MonFinancier Médias ne pourra être mise en cause suite à des dé-cisions prises en rapport avec le contenu du Journal de MonFinancier. Nous invitons donc nos lecteurs avant toute démarche à consulter un professionnel agréé. N

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Avec Fidelity

Tendance

• Les marchés boursiers ont rebondi en début de mois, à la faveur d’indicateurs économiques favorables publiés aux Etats-Unis (enquête ISM et rapport sur l’emploi) et en Europe (révision à la haus-se de la croissance du deuxième trimes-tre). Même si le mouvement s’est ensuite essoufflé, le mois de septembre a été l’un des plus positifs de cette année 2010 jusqu’à présent en dents de scies. Les craintes d’un scénario en « double dip » se sont pour l’instant estompées au pro-fit d’anticipations d’une croissance certes modeste mais néanmoins durable.

• L’Euro s’est renforcé contre le dollar, retrouvant, à 1,35 dollars pour un euro, des niveaux qu’il avait perdus depuis avril dernier. La devise européenne a profité des interventions de la Banque du Japon pour affaiblir le yen, mais elle a aussi été tirée par les divergences d’anticipations concernant les politiques monétaires américaine et européenne. D’une part, la Réserve Fédérale s’est montrée préoccu-pée par la faiblesse de l’inflation et « prête à faire des ajustements supplémentaires si nécessaire [...] ». D’autre part, Jean-Claude Trichet faisait au contraire état lors de sa dernière allocution de risques plutôt haussiers sur les projections d’in-flation.

À SURVeILLeR...

Économie américainela Réserve Fédérale attentive aux ris-ques de déflationLe dernier communiqué de la Réserve Fé-dérale, à l’occasion du FOMC du 21 sep-tembre, a fait état d’éventuelles mesures supplémentaires d’assouplissement. Compte tenu par ailleurs des préoccupa-tions de la banque centrale concernant l’inflation et sa tendance à la baisse, nul doute que les indices de prix ne captent l’attention des marchés financiers et no-tamment des marchés obligataires et de devises. Pour l’instant, rien ne garantit que l’inflation finale (hors énergie et ali-mentation) ne commence à augmenter vers des niveaux plus confortables pour la Réserve Fédérale. En effet, au-delà des conséquences de l’augmentation des cours mondiaux de matières premiè-res, qui n’ont qu’une influence de court terme, ce sont les effets « de deuxième tour », passant par les salaires, qui sont les clés des perspectives inflationnistes. Or, le marché du travail américain, avec son taux de chômage qui depuis le mois de mai oscille dans une fourchette de 9,5 à 9,7%, ne présente pas suffisamment de tensions aujourd’hui pour entraîner une accélération des salaires.

Le FIL MACRO

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Économie mondialevigilance sur l’investissement productif

L’investissement productif a rebondi au cours du deuxième trimestre, ce qui a permis de compenser l’appel d’air des mouvements de stocks qui à l’inverse s’essoufflait. Ce re-bond est en partie mécanique puisqu’il se fait sur des ni-veaux très bas qui n’étaient pas soutenables longtemps, mais il répond aussi à l’augmentation des taux d’utilisation des capacités de production et au faible coût du crédit. Il est probable que le mouvement se poursuive puisque les conditions qui l’ont favorisé prévalent toujours. Mais si pourtant rechute il y avait, elle s’accompagnerait de celle de l’ensemble de l’économie, dessinant ainsi le fameux «

double dip » tellement craint par les marchés boursiers. Aussi le ralentissement récent des commandes de biens d’équipement dans les principaux pays industrialisés est-il à surveiller.

Source : Fidelity. Les performances passées ne préjugent pas des rende-ments futurs. Les valeurs citées dans ce document ne constituent pas de recommandations d’achat. elles ne sont données qu’à titre d’illustration ou à indiquer que l’OPcVM est actuellement investi dans ces valeurs. Les actions ne sont pas garanties et peuvent donc perdre de la valeur, notam-ment en raison des fluctuations des marchés. Fidelity fournit uniquement des informations sur ses produits. ce document ne constitue ni une offre de souscription, ni un conseil personnalisé. nous vous recommandons de vous informer soigneusement avant toute décision d’investissement. Toute souscription dans un compartiment doit se faire sur la base du prospectus actuellement en vigueur et des documents périodiques disponibles sur le site internet ou sur simple demande auprès de Fidelity. Fidelity Funds est une société d’investissement à capital variable de droit luxembourgeois (SIcaV). Ses compartiments sont autorisés à la commercialisation en Fran-ce par l’aMF. Publié par FIL Investissements, 29 rue de Berri, 75008 Paris. PM899

MonFinancier aime beaucoup• Les actions émergentes et même les émergents

des émergentsFidelity Funds – Emerging Europe, Middle East and Africa Fund (code ISIN LU0303816705), Magellan D C/D (Code ISIN FR0000292278)http://www.monfinancier.com/les-actions-emergentes/

• Les matières premières et les ressources na-turelles

JPM Global Natural Resources (EUR) A (C) (Code ISIN LU0208853274), Carmignac Portfolio Commodities (C) (Code ISIN LU0164455502)

MonFinancier aime• Les actions occidentales sélectionnées avec

soinsEchiquier Agénor (C) (Code ISIN FR0010321810), Valeur In-trinsèque P (C) (Code ISIN FR0000979221)http://www.monfinancier.com/le-chien-nest-jamais-loin-du-promeneur/• L’or, mais pas en ce moment, plutôt au dessous

des 1200 ptsGold Bullion Securities (Code ISIN GB00B00FHZ82) http://www.monfinancier.com/le-marche-de-lor/

MonFinancier aime moins • Les Obligations occidentales : taux bas et spread faible ne font pas une bonne combinaisonhttp://www.monfinancier.com/analyse-secteur-obligataire/

L'avis de MonFinancier

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Fiche pratique

La constitution d’une épargne sur le long terme est devenue aujourd’hui un objectif majeur pour un très grand nombre d’épargnants.

Deux leviers nous semblent déterminants pour atteindre cet objectif

L’effet temps : Sur longue durée, une légère différence de performance moyenne annuelle du support d’investissement peut mener à de forts écarts d’épargne accumulée en fin de période.

Dans cet exemple, une personne de 45 ans qui verse 300 € tous les mois sur un compte non rémunéré constitue une épargne de 72 000 € au bout de 20 ans. Si les mêmes versements se font sur un support qui génère une performance moyenne annuelle de 10 %, elle épargne 227 811 €.

Le mode d’épargne : les versements programmés sur des SICAV ou FCP sont adaptés à la constitution d’une épargne retraite. - Ils correspondent

en général au profil d’évolution de l’épargne disponible des personnes actives. - Ils limitent l’impact des variations de marchés en lissant la valeur d’achat moyenne des supports.

Simulation : montant de l’épargne qui aurait été constituée par des versements mensuels de 300 € sur différents supports.

Constituer une épargne retraite en choisissant les versements programmés

Si votre capacité d'épargne le permet, nous vous conseillons fortement la mise en place d'une épargne programmée. De façon indolore, cela vous permettra de répondre à de multiples objectifs (complément de retraite, achat immobilier, aide aux enfants, petits-enfants etc...). Si vous détenez déjà un contrat d’assurance vie auprès de MonFinancier, vous pouvez mettre en place cette option via votre accès client sécurisé. Si vous n’avez pas encore ouvert votre contrat, l’épargne programmée peut être mise en place à l’adhésion du contrat ou ultérieurement.

Notre valeur ajoutée : • Conseil gratuit : Votre interlocuteur privilégié vous accompagne

dans le choix des supports afin de mettre en place une solution en adéquation avec vos objectifs et votre sensibilité au risque.

• Souplesse de gestion : Vous pouvez modifier ou stopper votre épar-gne programmée à tout moment, en fonction de l’évolution de votre situation professionnelle et patrimoniale.

• Simulateur d’épargne en ligne : Vous effectuez toutes vos simu-lations en renseignant vos différents paramètres (épargne men-suelle, hypothèse de rendement et durée estimée de votre inves-tissement).

Bruno PeyraverneyDirecteur de l'épargne

Source Interne, Morningstar au 31/12/2009. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures. Elles ne sont pas constantes dans le temps et ne font l’objet d’aucune garantie.

Carmignac Investissement(Part A) FR0010148981Fonds actions internationales dont l’exposition au risque actions peut varier de 60 à 100% investi sur les places financières du monde entier, Carmignac Investissement est orienté vers la recherche d’une performance maximale à travers une gestion active et non «benchmarkée» sans contrainte a priori d’allocation par zone, secteur, type ou taille de valeurs.

Tableau ci-dessusVersements effectuées en fin de mois Le conseil de MonFinancier

Versement de 300 €/Mois 0 % 2 % 4 % 6 % 8% 10 %

8 ans 28 800 € 31 500 € 34 500 € 37 500 € 41 100 € 45 000 €

10 ans 36 000 € 39 816 € 44 175 € 49 164 € 54 884 € 61 453 €

15 ans 54 000 € 62 914 € 73 827 € 87 246 € 103 811 € 124 341 €

20 ans 72 000 € 88 441 € 110 035 € 138 616 € 176 711 € 227 811 €

Date du dernier versement :31/12/2009

CompteNon rémunéré Livret A CAC 40 MSCI AC World Free

(Ind. de réf. du fonds)Carmignac

Investissement

8 ans 28 800 € 32 045 € 28 519 € 27 527 € 47 566 €

10 ans 36 000 € 41 215 € 33 668 € 32 380 € 63 231 €

15 ans 54 000 € 66 768 € 60 140 € 53 224 € 148 112 €

20 ans 72 000 € 98 372 € 97 601 € 87 180 € 275 971 €

Avec MonFinancier.com

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Nestadio CapitalLa société de gestionqui monte

Après avoir été la première société de gestion à lancer un FIP en Bretagne (2005), puis la première à lancer un FIP éligible aux réductions ISF (2007), Nestadio Capital des Fonds d’Investissement de Bretagne se développe et vient de créer les premiers FCPI bénéficiant d’un partenariat stratégique avec Microsoft.

Nous suivons cette société de gestion depuis plusieurs années et vous proposons ses Fonds depuis 2007.

L’atout de cette société de gestion qui monte ?

Gérer au jour le jour les 40% des Fonds investis en monétaire, actions et obligations, mais aussi repousser les limites du capital investissement en pratiquant un actionnariat actif avec les PME dans lesquelles les Fonds prennent des participations. « Notre rôle de gestionnaire de Fonds ne se limite pas à sélectionner les entreprises dans lesquelles nous

investissons, précise Florent de Kersauson, président de Nestadio Capital, nous les suivons pour les aider à prendre les bonnes décisions, à négocier leurs financements ou à initier des joint-ventures ».

Basée, dans notre région, entre Vannes et Lorient, Nestadio Capital gère 12 Fonds d’Investissement, représentant plus de 30 participations et de 50 M€ gérés et levés auprès de 5 000 souscripteurs individuels et institutionnels.

Nestadio Capital gère deux types de Fonds offrant des réductions fiscales cumulables :

• Les FCPI Nestadio Tech Fund qui sont à ce jour, les seuls Fonds d’investissement au monde à bénéficier d’un partenariat stratégique avec Microsoft. Ils investissent dans les PME innovantes répondant aux critères établis par Microsoft pour faire partie de ses différents programmes mondiaux.

• Les FIP Nestadio Croissance, investissent historiquement dans les PME régionales de Bretagne,

Normandie, Pays de la Loire, Poitou-Charentes et Aquitaine. Entreprises des secteurs traditionnels ou liées au secteur des énergies renouvelables, en phase de développement ou de transmission.

Retrouvez les FIP et FcPI de nestadio capital sur www.MonFinancierdefiscalisation.com

A suivre...

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L’actualitéde MonFinancier

L’actu de MonFinancier Vie, contrat d’assurance vie sans frais sur verse-ments (Assureur e-Cie Vie – Groupe Generali)

• En exclusivité pour MonFinancier :Une Application i Pho-ne associée au contrat MonFinancier Vie

Avec i Generali, vous pouvez gratuitement, et à tout moment, accéder aux informations essen-tielles de votre contrat, consulter les perfor-mances des supports investis, visualiser la ré-

partition de votre épargne sur des graphiques interactifs, consulter en toute simplicité l’historique des actes effectués sur votre contrat, et même nous contacter directement !

• L’offre Spéciale 3,75 % nets mini-mum garantis en 2010 et en 2011 sur le fonds en euros Eurossima* - Valable jusqu’au 30 novembre 2010 sur MonFinancier Vie.

Lancement de la nouvelle version du site internet www.MonFinancier.com

Depuis le mois d’octobre, la nouvelle version de MonFinancier.com est en ligne. Conçue pour répondre à vos attentes, nous espérons que cette nouvelle interface vous apportera entière satisfaction.

• Le retour de la Newsletter périodique…… et encore de l’information financière via l’espace «Blog de Mon-Financier».

• Plus de lisibilité sur l’offre proposée par MonFinancier, et de confort, grâce au travail d’ergonomie réalisé.

*Taux de participation aux bénéfices garanti à 3.75 % au titre de l’année 2010 et à 3.75% au titre de l’année 2011, net de frais de gestion (hors prélèvements sociaux), sur le fonds en euros Eurossima du contrat MonFinancier Vie géré par e-cie vie. Offre valable exclusivement pour toute première souscription ou tout versement complémentaire réalisé entre le 02/08/2010 et le 30/11/2010 sous réserve que le versement soit investi à 20% minimum sur des fonds en unités de compte. Offre valable sous réserve de l’acceptation du dossier de souscription par MonFinancier et e-cie vie.Plus d’info sur www.MonFinancier.com

Plus de communication :

MonFinancier est désormais pré-sent sur Facebook, et relaie éga-lement de l’information via son compte Twitter…

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Entrez votre adresse email… OK

Assurance Vie

Contrat de Capitalisation

Trésorerie d'entreprise

FCPI - FIP - SOFICA

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Défiscalisation

cette fin d’année 2010 amène à ré-fléchir sur les moyens qui s’offrent à vous pour alléger votre impôt au titre de vos revenus 2010 et/ou de votre facture ISF de Juin 2011.

Dans cette optique, comme à l’accoutu-mée, MonFinancierDéfiscalisation vous propose : • Un large de choix de FIP, FCPI,

FCPR IR et/ou ISF (plus de 20 pro-duits référencés)

• Des solutions innovantes (investis-sement en direct PME, Holding IR)

• Des exclusivités (avec enveloppes limitées)

Les frais d’entrée appliqués par Mon-FinancierDéfiscalisation sont les frais minimum imposés par les sociétés de gestion. Nous nous engageons à nous aligner si vous trouvez moins cher ailleurs ! Retrouvez toute notre offre sur www.monfinancierdefiscalisation.com, contactez nous au 0 800 113 133

Vous êtes nombreux à vous interroger sur l’impact du projet de loi de finance sur la gestion des FCPI/FIP/Holdings IR et ISF, nous sommes à votre disposition pour répondre à vos interrogations *.

* Dans la limite des informations que nous avons en notre possession à ce jour ! Les évolutions étant quasi quotidiennes…

S’agissant des SOFICA 2010 : Sitôt commercialisées, sitôt vendues ! Nous vous remercions pour ce franc succès, preuve de votre confiance.

Ce bilan nous conduit à cette réflexion : Il n’est jamais trop tôt pour s’inscrire à notre offre SOFICA 2011 !

L’actu de Frontière efficiente, contrat d’assu-rance vie sans frais sur versements (Assureur Apicil Assurances)

Obligation Structurée avec un objectif de cou-pon de 8% par an (1) :• athena Step 8 :Une opportunité éligible au contrat Frontière Efficiente

- Un potentiel de coupon de 8% par an en cas de hausse ou de baisse du CAC 40 jusqu’à -40% du niveau initial à maturité.

- Un remboursement anticipé possible chaque année, dès l’année 2, favorisé par une barrière de remboursement dégressive (à partir de la fin de l’année 3).

- Une protection du capital à maturité jusqu’à une baisse de -40% du CAC 40 à maturité

Plus d’info sur http://www.monfinancier.com/obligation-opportunite-investissement/

Nouveau ! epargne de court terme : 100% Dis-ponible, 100% Garanti et 0% de frais, c’est l’offre Livret 4% (2)• contactez-nous !Pour toute information sur ce placement, nous vous invitons à nous contacter par téléphone au 0 800 113 133 ou par email à [email protected]

(1) Pour connaître le détail de l’offre, nous vous invitons à consulter le site MonFinancier.com en page Actu du produit Frontière Efficiente. Cette proposition s’adresse à des investisseurs disposant des connaissances et de l’expérience nécessaires pour évaluer les avantages et les risques inhérents au produit proposé. Il est recommandé à tout investisseur intéressé, d’apprécier, au regard des risques encourus et sur la base de son propre jugement ou des recommandations des conseillers qu’il aura estimé utile de consulter, l’adéquation de ce produit à ses besoins et à sa situation patrimoniale et fiscale.(2) Le taux nominal annuel brut est de 4 % garantis pendant 3 mois, dans la limite de 50 000 Euros de dépôts. Au-delà des 3 mois, la totalité des dépôts est rémunérée au taux nominal annuel brut de 2,2 %

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Avec Invesco

Le dossierLa dette émergente

dette émergente

en devises locales

La recherche de rendement s’impose comme la première préoccupation de bien des in-vestisseurs à travers le monde. Qu’ils soient fonds de pension, caisse de retraite ou parti-culiers, américains ou euro-péens, ils se voient confrontés à un dilemme. Aller cher-cher la performance sur les marchés actions les expose à une volatilité souvent diffi-cile à accepter. Se contenter des placements sur des taux dits « sans risque » conduit au résultat opposé : une fai-ble volatilité, mais une (très) faible performance. Ainsi, les emprunts d’Etat français à 10 ans rapportent-ils moins de 3% (1) tandis qu’un placement monétaire voit sa rentabilité tendre vers zéro (2). C’est donc assez naturellement qu’un placement attire de forts inté-rêts depuis quelques années : les obligations émises sur les marchés émergents en devise

locale. Cette « dette émergen-te en devise locale » présente de nombreux atouts pour les investisseurs.

• S’agissant d’obligations, l’investisseur n’a pas à s’in-terroger sur les perspectives de croissance des bénéfices, comme c’est le cas pour une action. La seule interroga-tion porte sur la capacité de l’émetteur à rembourser sa dette, capital et intérêt, pour les montants prévus, et à la date prévue. Lorsque l’émet-teur se trouve être un Etat, l’ampleur de sa dette et de son déficit publics sont les indica-teurs à considérer pour se faire une bonne idée de sa solvabi-lité. Or, ce sont dans les éco-nomies dites « émergentes » que se trouvent aujourd’hui les

Etats les moins endettés, les plus solvables. Depuis quel-ques années, la solvabilité des grands émergents tend à s’améliorer tandis que celle de nombreux Etats dits « riches » se dégrade.

• Si les obligations achetées sont sélectionnées avec suffi-samment de soin pour éviter le défaut, ce sera alors pour une bonne part leur rende-ment (c’est-à-dire le taux d’intérêt auquel elles rému-nèrent leurs porteurs) qui dé-terminera la performance du placement. Les taux de rende-ment en euro et en dollar de-viennent toujours plus faibles, qu’ils soient réalisés direc-tement via des obligations ou des placements monétaires, ou bien indirectement via des contrats d’assurance-vie en euros. En revanche, la dette émergente en devises locales rapporte en moyenne un ren-dement de 6.2% annuel (3). Il s’agit d’un niveau de rende-ment tout à fait compétitif vis-à-vis de la plupart des autres placements. Certains fonds

investis sur la dette émergente proposent même des parts de distribution avec des taux fixes annuels pouvant aller jusqu’à 7% selon les périodes, en ver-sant un coupon mensuel aux investisseurs.

Page 11: MonFinancier n°5 // Novembre 2010

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• La dernière caractéristique de cette classe d’actifs est sa devise de libellé. Les émer-gents émettaient très généra-lement en dollars américains, jusqu’à la fin des années 1990. Ils émettent aujourd’hui beau-coup plus dans leur propre de-vise (leur « devise locale »), à savoir en real pour le Brésil, en ringitt pour la Malaisie, en rou-pies pour l’Indonésie, etc. Pour eux, l’avantage est d’éviter les fuites massives de capitaux étrangers qui déclenchaient des crises de change périodi-ques. Pour les investisseurs, l’avantage est de bénéficier de l’appréciation tendancielle de la plupart de ces devises contre les grandes devises oc-cidentales.

Faible probabilité de défaut, fort taux de rendement, appré-

ciation des devises : ce place-ment bénéficie de nombreux atouts. Ils ne doivent pas faire oublier que, en cas de forte crise de liquidité, comme celle de 2008, les rapides retraits de capitaux peuvent causer des moins-values importantes.

Sous réserve de ne pas oublier que ces marchés souffriront en cas de forte crise de confiance, la dette émergente en devises locales peut figurer en bonne place dans les allocations d’actifs. Rédigé par Bernard Aybran, Directeur de la Multigestion Invesco Asset Management S.A., le 14 octobre 2010.

1 - 2.66% au 08/10/10, source Bloomberg

2 - Eonia capitalisé sur 1 an au 08/10/10 : +0.38%, source Bloomberg

3 - Indice JP Morgan GBI-EM Global Diversified, au 08/10/10, source Bloomberg

Information importante

Ce document est diffusé à titre d’in-formation uniquement, et ne consti-tue ni une proposition commerciale ni une incitation à souscrire. Les in-formations et les opinions de Ber-nard Aybran peuvent être modifiées sans préavis. Bien que ce document soit basé sur des informations considérées comme fiables, aucune garantie ne peut être acceptée pour toute erreur, tout malentendu ou toute omission, ou pour toute action prise à la lecture de ce document. Les performances passées ne pré-jugent pas des performances futu-res et ne sont pas constantes dans le temps.

Devant la baisse des rendement des fonds en Euros et l’affaiblissement des opportunités des obligations, MonFinancier a la conviction que le rendement des monnaies émergentes face à l’Euro sera une alternative d’avenir. En effet, les taux de croissance et le fai-ble endettement comparés à la zone Euro,

apporteront un niveau de taux élevé et une appréciation des monnaies émergentes qui contribueront à votre performance.Retrouvez ce pari sur MonFinancier Vie grâce au fonds Invesco Emerging Local Currencies Debt Fund (A dist) (Code ISIN LU0275062080) (DISTRIBUTION FIXE)

L'avis de MonFinancier

Le Dossier avec Invesco

Source FMI, 2010

Page 12: MonFinancier n°5 // Novembre 2010

Le saviez-vous?Contrats d’assurance vie et successions : les liens se resserrent

Avec ACMN Vie

L’administration fiscale vient de remettre en cause le trai-tement hors succession des contrats d’assurance vie non dénoués. Tous les couples détenant des contrats d’assu-rance vie sont-ils concernés par cette mesure ? Quelles en sont les conséquences directes ? analyse.

PORTéeS CIVILe eT FISCALe

Il apparaît clairement à travers les décennies passées que les Portées civile et fiscaleDeux réponses ministérielles successives1 ont scellé le sort des contrats d’assurance vie alimentés par des fonds com-muns et non dénoués par le premier décès des époux. Fin 2009, une première réponse rappelle que, sur un plan civil, un contrat d’assurance vie alimenté par des fonds provenant d’une communauté conjugale est lui-même un bien com-mun. Sur un plan fiscal, la réponse confirme le principe de la « neutralité » consistant à ne pas retenir la valeur du contrat pour déterminer le montant des droits de succession à régler par les héritiers.Mais en juin 2010, une seconde réponse supprime cette neu-tralité fiscale. Désormais, le contrat d’assurance vie ne fait plus exception et les droits de succession sont bien calculés en tenant compte de sa valeur au jour du décès.

Tous les contrats ne sont pas visés

Seuls les contrats non dénoués lors du premier décès sont concernés. Soit potentiellement toutes les adhésions indivi-duelles ou les co-adhésions prévoyant un dénouement au se-cond décès. Les co-adhésions avec dénouement au premier décès des époux sont par nature épargnées par la mesure. En outre, le contrat doit avoir été alimenté par des fonds com-muns. Dès lors, si vous avez investi sur le contrat au moyen de fonds propres, vous n’avez pas à vous inquiéter de cette mesure. Encore faut-il avoir annexé au contrat une déclara-tion d’emploi de fonds propres afin d’en conserver la preuve. Enfin, vous n’êtes pas non plus concerné par la mesure si vo-tre régime matrimonial est adapté. Des dispositions spécifi-ques comme les clauses de préciput ou d’attribution intégrale de communauté, peuvent en effet permettre de ne pas faire tomber certains biens de la communauté, dont les contrats d’assurance vie, dans l’actif de succession.

Des conséquences directes lors de la succession

En dehors de ces cas spécifiques, le contrat d’assurance vie sera donc à prendre en compte dans l’actif de communauté à partager lors du décès de l’un des époux. Concrètement, la moitié de la valeur du contrat non dénoué viendra augmenter l’actif de succession. Les héritiers en présence se partage-ront une masse successorale plus importante, ce qui gonfle-ra mécaniquement le montant des droits à payer. Il convient néanmoins de rappeler que depuis 20072 le conjoint est to-talement exonéré de droits de succession. En outre, chaque enfant bénéficie d’un abattement fixé en 2010 à 156 974 euros sur la part lui revenant.

De nouvelles stratégies à envisager

Si vous souscrivez un contrat aujourd’hui, il convient donc de tenir compte de ce nouvel environnement réglementaire. Pour autant, il est nécessaire d’en mesurer la portée réelle avant d’agir. Mis à part votre conjoint, vos héritiers, et notamment vos enfants, devront acquitter un surplus de droits de succes-sion. Mais ils bénéficieront aussi d’une part plus importante et ce, dès le premier décès. Si vous souhaitez néanmoins éviter que votre contrat n’en-tre dans l’actif de succession, il conviendra d’adapter votre stratégie. Le premier réflexe est de vérifier l’origine des fonds utilisés. Sachez que vous pouvez toujours établir une décla-ration d’emploi de fonds propres à posteriori. Mais celle-ci ne pourra se faire sans le consentement de votre conjoint. Une autre solution consistera à aménager votre régime matrimo-nial afin d’y adjoindre une clause adaptée. Cette modification nécessitera obligatoirement un passage devant notaire.Vous pourrez enfin vous orienter vers une co-adhésion pré-voyant un dénouement au premier décès. Attention cepen-dant : une co-adhésion est beaucoup moins souple qu’une adhésion individuelle. Vous devrez notamment effectuer conjointement tous les actes sur le contrat et, en cas de di-vorce, il vous faudra le racheter. En outre, le conjoint survivant perdra l’antériorité fiscale. Si vous détenez déjà des contrats qui entrent dans la périmè-tre de cette nouvelle mesure, n’effectuez pas de rachat dans la précipitation au risque de subir une fiscalité pénalisante. En-visagez la situation au regard des différentes stratégies abor-dées précédemment, et notamment la modification de régime matrimonial si les montants en jeu sont importants.

Le projet de loi de finances pour 2011 vise aussi l’assurance viePrésenté devant l’Assemblée Nationale le 29 septembre dernier, le projet de loi de finances pour 2011 prévoit d’assujettir chaque année aux prélèvements sociaux les intérêts issus des compartiments en euros des contrats multisupports. Une façon pour l’état d’accélérer les rentrées d’argent en anticipant un prélèvement qui s’effectuait jusqu’à présent de manière globale lors d’un rachat ou lors du dénouement du contrat par le décès de l’assuré. Une hausse du taux des prélèvements sociaux de 0,2 point - pour passer à 12,3% - serait également envisagée pour financer une partie de la réforme des retraites.

La réponse ministérielle du 29 juin 2010 vient cla-rifier 18 ans d’incertitudes, d’interprétations en ce qui concerne certains contrats non dénoués. Les rè-gles civiles retrouvent leur souveraineté par rapport aux différentes réponses ministérielles.Pour toute information, contactez-nous !

L'avis de MonFinancier

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Avec Artfinding.com

Périphériques

Souvent comparé à l’or ou au diamant pour son aspect de valeur sûre, l’art a un prix et peut effectivement être abordé comme un investissement. Un investissement financier stable et humainement agréable.Pourquoi investir dans l’art ?

Il apparaît clairement à travers les décennies passées que les crises du marché de l’art sont directement liées aux crises de l’économie. Cependant, des économistes ont prouvé à l’occa-sion des crises de 1929 et de 1974 que la chute du prix des œuvres d’art avait été moins importante que celles de tou-tes les autres valeurs, notamment boursières. Ainsi, la vente Bergé, au plus fort de la crise, fut celle de tous les records.Autre facteur non négligeable, les œuvres d’art, de collection et d’antiquité ne sont pas assujetties à l’impôt de solidarité sur la fortune. A ce titre, ces biens ne sont pas imposables.Enfin, outre son aspect esthétique, d’après Max Friedlän-der « la possession d’objets d’art est presque la seule façon convenable et de bon goût d’exposer sa richesse. Bien loin d’être une marque d’ostentation sentant le parvenu elle ré-pand un parfum de culture héritée ». Symbole de culture et de réussite sociale, la possession d’oeuvres d’art est considé-rée depuis longtemps comme une marque de distinction.

Comment investir dans l’art ?

Les particuliers connaissent deux sources principales d’ap-provisionnement en œuvres d’art : les sociétés de vente volontaire, a fortiori depuis la loi du 10 juillet 2000, et les galeries d’art et d’anti-quités.Les sociétés de vente volon-taire sont séduisantes, ne serait-ce que par le volume d’objets qu’elles brassent (prés de 800 000 objets/an rien que pour Drouot). L’as-pect "événementiel" des ventes prestigieuses, leur caractère médiatique, n’est également pas étranger à ce succès. A cela s’ajoute

la crainte de devoir payer au galeriste une plus-value parfois jugée excessive.Acheter aux enchères n’est pourtant pas exempt de dangers. Au-delà de certains scandales de « créations de côtes arti-ficielles » entachant de grandes maisons de ventes, c’est le système même des enchères, ouvrant les portes de l’irration-nel, qui peut représenter le plus grand danger pour le néo-phyte souhaitant investir dans l’art. Ainsi deux enchérisseurs suffisent à faire s’envoler les prix bien au-dessus de la valeur réelle de l’objet, aussi, les ventes volontaires sont également le terrain de jeu favori de la spéculation en art contemporain.Les galeries ont un caractère éminemment rassurant, le vendeur est le plus souvent un spécialiste reconnu dans son domaine et aura déjà fait un travail de sélection. C’est en ce premier point que la galerie se distingue : elle vend un goût, un oeil, une expérience, à la différence de la Maison de Ven-tes aux enchères qui, elle, vend tout ce qu’on lui présente. Malheureusement, outre les restaurations abusives, on peut aussi craindre que la valeur de l’œuvre proposée ne soit pas sa valeur réelle, du fait de la raréfaction des œuvres de qua-lité, certains galeristes n’hésitent plus à présenter des pièces d’intérêt artistique discutable.

L’investissement dans l’art

Photo : Guillaume CHAMPAVERE, fondateur & gérant Artfinding.comCopyright : Odilon DIMIER

Communiqué ARTFINDING.COM

aRTcOnSULTInG,Un SeRVIce d’accOMPaGnaTeURS IndePendanTSL’investissement en art est donc semé d’embûches et nécessite une connaissance pointue de l’art mais aussi et peut-être surtout de son mar-ché ; condition sine qua non pour réaliser une affaire avantageuse. Aussi,

le site du marché de l’art ARTFINDING.COM a-t-il lancé cette année un nouveau service : ARTCONSULTING. ARTCONSUL-TING propose aux amateurs d’art et aux collectionneurs les services d’experts connus et reconnus qui les conseilleront et les accompagneront dans les lieux de ven-tes (foires, salles de vente, galeries…) afin de les seconder efficacement.

Acteur du marché de l’art, riche de son expé-rience des réseaux de marchands, experts,

courtiers et commissaires priseurs, le consultant en art saura déjouer les pièges du marché tout en y adossant une garantie à laquelle il est juridi-quement lié. Les consultants d’ ARTCONSULTING ne sont pas marchands et se dégagent donc de toute position commerciale qu’ils pourraient en-tretenir avec les objets présentés à leurs clients. Choisis avec précaution pour leurs compétences et leur professionnalisme, tous les consultants sauront dénicher des trésors, identifier les restaurations et défendre les intérêts des clients, tout en conservant une intégrité exemplaire. Les services d’ARTCONSULTING couvrent tant l’analyse des attentes des clients, la recherche d’œuvres d’art, l’expertise indépendante, la négocia-tion auprès des fournisseurs ainsi que le transport des œuvres acquises. Les consultants d’ ARTCONSULTING sont agréés par des sociétés d’as-surances et pourront également conseiller pour les stratégies à suivre en termes de protection de patrimoines, des objets archéologiques aux artis-tes contemporains émergeants.

«Une oeuvre d’art devrait toujours être acquise avec précaution et conseils avisés», Carl de Lencquesaing, consultant Artfinding.com

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