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Séance 3 – La France à la reconquête de sa puissance du congrès de Vienne (1815) aux accords d’Evian (1962) Eugène Delacroix, La Liberté guidant le peuple , 1830, huile sur toile, 260 × 325 cm , Musée du Louvre. Institut d’Études politiques d’Aix-en-Provence – Certificat d’études politiques – François Parchemin – La France dans le monde

Diapo séance 3

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  • Sance 3 La France la reconqute de sa puissance du congrs de Vienne (1815) aux accords dEvian (1962)

    Eugne Delacroix, La Libert guidant le peuple, 1830, huile sur toile, 260 325 cm, Muse du Louvre.

    Institut dtudes politiques dAix-en-Provence Certificat dtudes politiques Franois Parchemin La France dans le monde

  • I La France la recherche dun rgime politique stable et dune place retrouve sur la scne

    internationale

    A La Rvolution inacheve : la France entre monarchie, empire et rpublique

  • Franois Grard, Louis XVII en costume de sacre

  • Franois Grard, Charles X en costume de sacre

  • Eugne Delacroix, La Libert guidant le peuple, 1830, huile sur toile, 260 325 cm, Muse du Louvre.

    Les Trois Glorieuses : 27, 28, 29 juillet 1830

  • Amde Bourgeois, Prise de lhtel de ville : le pont dArcole, 1830

  • Lon Cogniet, Scne de juillet 1830 dit aussi Les drapeaux

  • Horace Vernet, Louis-Philippe,duc d'Orlans, quitte le Palais Royal pour se rendre l'htel de ville de Paris

  • Franz Xavier Winterhalter, Louis-Philippe Ier roi des

    Franais, 1839

  • Emmanuel Philippoteaux, Lamartine devant lHtel de Ville de Paris le 25 fvrier 1848 refuse le drapeau rouge

  • Horace Vernet, Barricade de la rue Soufflot, le 25 juin 1848

  • Franois Biard, Labolition de lesclavage (27 avril 1848), 261 x 391 cm, 1849

  • Franz Xavier Winterhalter, Napolon III Empereur des

    Franais, 1855

  • B Retrouver sa place parmi les nations

  • Zones doccupation en France de juin 1815 novembre 1818

  • Territoires perdus par la France entre les deux traits de Paris

    (20 mai 1814 et 20 novembre 1815)

  • Changements territoriaux dcids au Congrs de Vienne, 1815

  • Lexpdition visant rtablir labsolutisme de Ferdinand VII dEspagne en 1823 est la premire intervention franaise post-napolonienne.

  • La Grce au moment de son indpendance (1830)

    t 1827 : expdition franaise de More (Ploponnse) (militaire et scientifique)

  • Ivan Avazovski, Bataille de Navarin, Marine College, St. Petersburg, 1846 Le 20 octobre 1827, une flotte anglo-franco-russe dune vingtaine de navire dtruit presque

    entirement la flotte ottomane denviron 80 navires

  • Gustave Wappers, Episode des journes de Septembre 1830 Bruxelles

  • Tableau de Nicolas Gosse de 1836

    Le roi des Franais Louis-Philippe refuse la couronne

    offerte par le Congrs belge son fils le duc de Nemours, le

    17 fvrier 1831

  • Horace Vernet, Sige de la citadelle dAnvers, 22 dcembre 1832, 1840.

    La France dfend lindpendance de la Belgique aprs lattaque de Guillaume Ier des Pays-Bas (aot 1831)

  • Horace Sbastiani, ministre franais des affaires trangres :

    Le gouvernement a communiqu tous les renseignements qui lui taient parvenus sur les vnements de la Pologne (...). Au moment o l'on crivait, la tranquillit rgnait Varsovie .

  • 1832 : occupation dAncne en Italie par les troupes franaises pour soutenir les libraux face lAutriche.

  • 1849 : Expdition franaise pour porter secours la Rpublique romaine qui aboutit finalement au rtablissement du Pape dans ses tats

  • C Le Second Empire ou le prestige retrouv de la France

  • Franz Xavier Winterhalter, Napolon III Empereur des

    Franais, 1855

  • LOpra Garnier, commenc en 1861 et dfinitivement achev en 1875

  • LOpra Garnier, commenc en 1861 et dfinitivement achev en 1875

  • Le Palais Longchamp, Marseille

  • Notre-Dame de la Garde, Marseille

  • Cathdrale de la Major, Marseille

  • Le Palais du Pharo, Marseille

  • Aujourd'hui, la France m'entoure de ses sympathies, parce que je ne suis pas de la famille des idologues. Pour faire le bien du pays, il n'est pas besoin d'appliquer de nouveaux systmes ; mais de donner, avant tout, confiance dans le prsent, scurit dans l'avenir. Voil pourquoi la France semble vouloir revenir l'Empire.

    Il est nanmoins une crainte laquelle je dois rpondre. Par esprit de dfiance, certaines personnes se disent : L'Empire, c'est la guerre . Moi je dis : L'Empire, c'est la paix . ()

    Nous avons d'immenses territoires incultes dfricher, des routes ouvrir, des ports creuser, des rivires rendre navigables, des canaux terminer, notre rseau de chemin de fer complter. Nous avons, en face de Marseille, un vaste royaume assimiler la France. Nous avons tous nos grands ports de l'ouest rapprocher du continent amricain par la rapidit de ces communications qui nous manquent encore. Nous avons partout enfin des ruines relever, de faux dieux abattre, des vrits faire triompher.

    Discours du prsident Louis-Napolon Bonaparte Bordeaux, le 9 octobre 1852

  • LEurope vers 1850

  • Le port de Sbastopol par Ivan Konstantinovitch Avazovski, 1846

  • 1860 : lintervention franaise pour protger les Chrtiens dOrient aboutit lautonomie du Mont-Liban dirig par un gouverneur catholique.

  • Le pont de Pa-li-Kiao prs de Pkin, pris par les troupes franaises dans le cadre de la Deuxime Guerre de lOpium (1856-1860)

  • Lexpdition du Mexique (1862-1867)

  • LEurope aprs la guerre franco-prussienne de 1870

  • Alphonse de Neuville, Dfense de la porte de Longboyau, au chteau de Buzenval, le 21 octobre 1870

  • Alphonse de Neuville, Les dernires cartouches

  • II La Rpublique : une puissance coloniale dans les affres des deux conflits mondiaux

    A La constitution du second empire colonial

  • Le premier empire colonial (bleu clair, XVIIIe sicle) et le second empire colonial (bleu fonc, XXe sicle) leurs apoges.

  • LEmpire colonial franais la fin du Second Empire (1870)

  • Jules Ferry : La question coloniale, c'est, pour les pays vous par la nature mme de leur industrie une grande exportation, comme la ntre, la question mme des dbouchs.

    []

    Jules Ferry : Oui, ce qui manque notre grande industrie, que les traits de 1860 ont irrvocablement dirige dans la voie de l'exportation, ce qui lui manque de plus en plus, ce sont les dbouchs. Pourquoi ? parce qu' ct d'elle, l'Allemagne se couvre de barrires, parce que au del de l'Ocan les tats-Unis d'Amrique sont devenus protectionnistes, et protectionnistes outrance ; parce que non seulement ces grands marchs, je ne dis pas se ferment, mais se rtrcissent, deviennent de plus en plus difficiles atteindre par nos produits industriels ; parce que ces grands tats commencent verser sur nos propres marchs des produits qu'on n'y voyait pas autrefois.

    Dbat colonial de juillet 1885 : Largument conomique

  • Dbat colonial de juillet 1885 : Largument humanitaire

    Jules Ferry : Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai ! il faut dire ouvertement qu'en effet les races suprieures ont un droit vis--vis des races infrieures... (Rumeurs sur plusieurs bancs l'extrme gauche.) Jules Maigne : Oh ! vous osez dire cela dans le pays o ont t proclams les droits de l'homme !

    [] Jules Ferry : Je rpte qu'il y a pour les races suprieures un droit, parce qu'il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races infrieures... (Marques d'approbation sur les mmes bancs gauche - Nouvelles interruptions l'extrme gauche et droite.) Joseph Fabre : C'est excessif ! Vous aboutissez ainsi l'abdication des principes de 1789 et de 1848... (Bruit), la conscration de la loi de grce remplaant la loi de justice.

    [] Jules Ferry : Je dis que les races suprieures ont des devoirs... Vernhes : Allons donc ! Jules Ferry : Ces devoirs, messieurs, ont t souvent mconnus dans l'histoire des sicles prcdents, et certainement, quand les soldats et les explorateurs espagnols introduisaient l'esclavage dans l'Amrique centrale, ils n'accomplissaient pas leur devoir d'hommes de race suprieure. (Trs bien ! trs bien !) Mais, de nos jours, je soutiens que les nations europennes s'acquittent avec largeur, avec grandeur et honntet, de ce devoir suprieur de civilisation

  • Jules Ferry : Rayonner sans agir, sans se mler aux affaires du monde, en se tenant l'cart de toutes les combinaisons europennes, en regardant comme un pige, comme une aventure, toute expansion vers l'Afrique ou vers l'Orient, vivre de cette sorte, pour une grande nation, croyez-le bien, c'est abdiquer, et dans un temps plus court que vous ne pouvez le croire, c'est descendre du premier rang au troisime ou au quatrime. (Nouvelles interruptions sur les mmes bancs. - Trs bien ! trs bien ! au centre.) Je ne puis pas, messieurs, et personne, j'imagine, ne peut envisager une pareille destine pour notre pays.

    Il faut que notre pays se mette en mesure de faire ce que font tous les autres, et, puisque la politique d'expansion coloniale est le mobile gnral qui emporte l'heure qu'il est toutes les puissances europennes, il faut qu'il en prenne son parti, autrement il arrivera... oh ! pas nous qui ne verrons pas ces choses, mais nos fils et nos petits-fils ! il arrivera ce qui est advenu d'autres nations qui ont jou un trs grand rle il y a trois sicles, et qui se trouvent aujourd'hui, quelque puissantes, quelque grandes qu'elles aient t descendues au troisime ou au quatrime rang. (Interruptions.)

    Aujourd'hui la question est trs bien pose : le rejet des crdits qui vous sont soumis, c'est la politique d'abdication proclame et dcide.

    Dbat colonial de juillet 1885 : Largument politique

  • Georges Clemenceau : Pour vous crez des dbouchs, vous allez guerroyer au bout du monde ; lorsque vous dpensez des centaines de millions ; lorsque vous faites tuer des milliers de Franais pour ce rsultat, vous allez directement contre votre but : autant dhommes tus, autant de millions dpenss, autant de charges nouvelles pour le travail, autant de dbouchs qui se ferment. (Nouveaux applaudissements).

    Dbat colonial de juillet 1885 : Le contre-argument conomique

  • Georges Clemenceau : Races suprieures ? races infrieures, c'est bientt dit ! Pour ma part, j'en rabats singulirement depuis que j'ai vu des savants allemands dmontrer scientifiquement que la France devait tre vaincue dans la guerre franco-allemande parce que le Franais est d'une race infrieure l'Allemand. Depuis ce temps, je l'avoue, j'y regarde deux fois avant de me retourner vers un homme et vers une civilisation, et de prononcer : homme ou civilisation infrieurs. Race infrieure, les Hindous ! Avec cette grande civilisation raffine qui se perd dans la nuit des temps ! avec cette grande religion bouddhiste qui a quitt l'Inde pour la Chine, avec cette grande efflorescence d'art dont nous voyons encore aujourd'hui les magnifiques vestiges ! Race infrieure, les Chinois ! avec cette civilisation dont les origines sont inconnues et qui parat avoir t pousse tout d'abord jusqu' ses extrmes limites. Infrieur Confucius ! []

    Georges Clemenceau : Regardez lhistoire de la conqute de ces peuples que vous dites barbares et vous y verrez la violence, tous les crimes dchans, loppression, le sang coulant flots, le faible opprim, tyrannis par le vainqueur ! Voil lhistoire de votre civilisation ! [] Combien de crimes atroces, effroyables ont t commis au nom de la justice et de la civilisation. Je ne dis rien des vices que lEuropen apporte avec lui : de lalcool, de lopium quil rpand, quil impose sil lui plat. Et cest un pareil systme que vous essayez de justifier en France dans la patrie des droits de lhomme !

    Dbat colonial de juillet 1885 : Le contre-argument humanitaire

  • Georges Clemenceau : Qui donc, en effet, viendrait dire : Non, je ne veux pas que mon pays s'tende, qu'il aille porter au loin ses arts, son commerce et son industrie ? Qui est ce qui a jamais soutenu une pareille thse ? Personne.

    Mais nous disons, nous, que lorsqu'une nation a prouv de graves, trs graves revers en Europe, lorsque sa frontire a t entame, il convient peut-tre avant de la lancer dans les conqutes lointaines - fussent-elles utiles et, j'ai dmontr le contraire -, de bien s'assurer que l'on a le pied solide chez soi et que le sol national ne tremble pas. Voil le devoir qui s'impose.

    Mais quand un pays est-plac dans ces conditions, laffaiblir en hommes et en argent, et aller chercher au bout du monde, au Tonkin, Madagascar, une force pour ragir sur le pays dorigine et lui communiquer une puissance nouvelle, je dis que c'est une politique absurde, une politique coupable, une politique folle (Applaudissements gauche et droite.)

    Dbat colonial de juillet 1885 : Le contre-argument politique

  • Lexpansion coloniale franaise en Indochine

  • Territoires perdus par le Siam entre 1867 et 1909

  • Tirailleurs sngalais dans le village de Saint-Ulrich dans le Haut-Rhin en 1917

  • Points de tensions avec les autres puissances coloniales

  • Carte postale clbrant la Triplice

    Franois-Joseph

    Victor-Emmanuel IIIGuillaume II

  • La visite du prsident Flix

    Faure en Russie vue par Le Petit Journal

    en 1897

    Alliance franco-russe signe en 1892

    Visite du tsar Nicolas II en France en 1896

  • The Rhodes Colossus caricature de E. L. Sambourne, 1892

  • B La France de la Belle-poque : stabilit politique et rayonnement culturel

  • Fonctionnement de la

    Troisime Rpublique

  • Alfred-Henry Bramtot, Le suffrage universel, 1890, Mairie des Lilas, 5,75 m x 4,30 m

  • Auguste de Pinelli, Rouget de Lisle composant la Marseillaise, 1875, muse de la Rvolution, Vizille

    Les symboles issus de la Rvolution

  • Jean-Georges Braud, La Marseillaise, 1880, 35,6 cm x 53,3 cm, coll. prive

  • Les symboles issus de la Rvolution

  • Claude Monnet, La rue Montorgueil

    Toile peinte le 30 juin 1878 lors de la fte nationale loccasion de lExposition

    universelle de Paris.

  • douard Dtaille, Remise de ses nouveaux drapeaux et tendards larme franaise sur lhippodrome de Longchamp, le 14 juillet 1880, 2,615m x 4,890m muse de larme, 1881

  • Pierre Petit, photographie de la revue de Longchamp du 14 juillet 1880

  • Alfred Roll, Le 14 juillet 1880, inauguration du monument la Rpublique, esquisse lhuile, Petit Palais,1882

  • Lopold Maurice, 1883

    Monument la Rpublique

    place de la Rpublique, Paris

  • De la desse-Libert Marianne, allgorie de la Rpublique

    Reprsentation dune fte o une desse est exhibe (jeune fille costume

    reprsentant la Libert)Figure allgorique de la Rpublique

    par Antoine-Jean Gros (1794)

    Premire Rpublique

  • Eugne Delacroix, La Libert guidant le Peuple, Le Louvre, 1830

    Rvolution de 1830

  • Sceau de la Deuxime Rpublique (1848-1851) rutilis par les Troisime (1870-1940), Quatrime (1946-1958) et Cinquime (depuis 1958) Rpubliques.

    Statue de la Rpublique ralise en 1848 par Jean-Franois Soitoux mais installe seulement en 1880.

    Deuxime Rpublique

    1848

  • Couverture dun livre illustre par lesquisse de Sbastien-Melchior Cornu pour le

    concours dcid en 1848 par le ministre de l'Intrieur pour la figure symbolique de la

    Rpublique.

    La toile est au muse de Besanon.

    Concours de 1848

  • Jean-Lon Grme,

    La Rpublique, 1848

    Mairie des Lilas

    Concours de 1848

  • Jean-Lon Daumier,

    La Rpublique nourrit ses enfants et les instruit, 1848

    Muse dOrsay

    Concours de 1848

  • Buste de 1878Troisime

    Rpublique

  • Logotype de la Rpublique franaise cr en 1999

  • Allgorie de la Deuxime Rpublique espagnole

    (1931-1939)

  • Lcole : pilier de la Rpublique

  • Richard Hall, La Classe manuelle. Ecole de petites filles (Finistre), 1889,85 x 142 cm, Muse des Beaux Arts de Rennes

  • LittratureRomantisme (Victor Hugo mort en 1885) Ralisme (Honor de Balzac, Gustave Flaubert) Naturalisme (mile Zola) Symbolisme (Stphane Mallarm, Paul Verlaine)Musique Gabriel Faur, Camille Saint-Sans, Claude Debussy, Maurice RavelPeinturePeintre acadmiques (Jean-Lon Grme, William Bouguereau)

    Impressionisme (Claude Monnet, Camille Pissarro, Alfred Sisley, Edgar Degas, Auguste Renoir, Edouard Manet, Paul Czanne) Fauvisme (Henri Matisse, Paul Gauguin, Raoul Dufy) Cubisme (Georeges Braque, Robert Delaumey, Fernand Lger)

    Belle poque : aspects artistiques

    Sculpture Auguste Rodin, Auguste Bartholdi

  • Pollice Verso ("Turned Thumb"), by Jean-Lon Grme, 1872 (Oil on Canvas, 38 x 57 in), Phoenix Art Museum.

  • Jean-Lon Grme, Marchand de tapis au Caire,1887, Minneapolis Institute of Arts.

  • William Bouguereau, Nymphes et Satyre, 1873, Clark Art Institute, Williamstown, Massachusetts.

  • Claude Monnet, Impression soleil levant, 1872

  • Auguste Rodin, Les bourgeois de Calais

  • Auguste Bartholdi, La libert clairant le monde

  • Louis Pasteur Pierre et Marie Curie

  • Exposition universelle de 1889

  • Exposition universelle de 1900

  • C La puissance franaise de Sarajevo Nuremberg

  • LAfrique en 1914

  • Bataille de Verdun, fvrier-dcembre 1916

  • 1916

  • En extrme-orient (Vladivostok) :

    russe

  • Le devenir des territoires allemands aprs la Premire Guerre mondiale

  • = Soutien militaire apporte par la France

    LEurope dans les annes 1920

    Pays = membres de la Petite Entente

    (alliance militaire tourne contre le rvisionnisme hongrois puis place sous protection de la France)

  • 12,3 millions de km2 (8 % des terres merges) 110 millions dhabitants (5 % de la population mondiale en 1930)

    29,8 millions de km2 (20 % des terres merges) 400 millions dhabitants (19 % de la population mondiale en 1930)

    Empires coloniaux franais et britanniques en 1930

  • III Lpreuve de la dcolonisation

    A Quatre types danticolonialisme

  • Quatre types danticolonialisme :

    - Lanticolonialisme rvolutionnaire

    - La protestation humaniste

    - Lanticolonialisme de replis hexagonal

    - Lanticolonialisme de grandeur nationale

  • B Deux longues guerres de dcolonisation en Indochine et en Algrie

  • Union franaise Titre VIII de la Constitution de 1946

    Fidle sa mission traditionnelle, la France entend conduire les peuples dont elle a pris la charge la libert de s'administrer eux-mmes et de grer dmocratiquement leurs propres affaires, cartant tout systme de colonisation fond sur l'arbitraire, elle garantit tous l'gal accs aux fonctions publiques et l'exercice individuel ou collectif des droits et liberts proclams ou confirms ci-dessus.

  • Bataille de Din Bin Phu 13 mars - 7 mai 1954

  • Les fortifications dans le plaine de Din Bin Phu

  • Guerre dAlgrie 1954-1962

  • C Des dcolonisations ngocies dans le reste de lAfrique