Bilan 2006

Sommaire

� introduction • p.2

Avant-propos • p.2

1. Le rappel des enjeux • p.32. Les étapes de la structuration • p.33. L'activité de l'association en chiffres • p.4

Le Centre de ressources

1. La communication

1.1. Réaliser une nouvelle identité visuelle • p.41.2. Publier des fiches pratiques • p.41.3. Rechercher une stratégie de communication • p.5

1.3.1. Affirmer l'identité de l'association • p.51.3.2. Révéler son existence et son projet • p.51.3.3. Construire sa notoriété • p.5

1.4. Participer à des publications • p.6

2. La ressource

2.1. Organiser des temps de concertation • p.62.2. Participer à des rencontres professionnelles • p.62.3. Réaliser des missions d'étude • p.7

2.3.1. La mission d'étude « enseignement artistique et territoire »2.3.2. La mission de « préfiguration d'un schéma régional des enseignements artistiques »2.3.3. La mission d'étude « musiques et danses traditionnelles et du monde

en Languedoc-Roussillon »

2.4. Organiser un séminaire • p.8

3. La formation

3.1. Le répertoire régional de la formation continue dans le spectacle vivant • p.93.2. La formation « Technicien du Spectacle Vivant » • p.9

Association régionale de coordination et de diffusion des arts du spectacle� Conseil d'administration du 5 juin 2007� Bilan d'activité 2006

Réseau en scène, Languedoc-Roussillon � Conseil d'Administration du 5 juin 2007 � Bilan d'activités 2006

sommaire suite

La diffusion� introduction • p.10

1. l'inscription de l'association dans le paysage culturel

1.1. les opéateurs culturels • p.101.2. les équipes artstiques • p.10

2. La mise en place d'espaces de discussions et de réflexion

2.1. Les réunions régionales de diffuseurs • p.102.2. Les rencontres professionnelles • p.11

3. La mise en œuvre des dispositifs

3.1. Le bureau du 17 mai • p.113.2. Le bureau du 26 juin • p.113.3. Le bureau du 24 juillet • p.113.4. Le bureau du 12 septembre • p.123.5. Lle bureau du 24 octobre • p.123.6. Le bureau du 29 novembre • p.123.7. Le bureau du 20 décembre • p.12

4. L'analyse des aides apportées par l'association

4.1. La répartition par esthétiques • p.124.2. La répartition géographique • p.134.3. La répartition par dispositifs • p.134.4. La diffusion en région • p.13

4.4.1. L'aide à l'accueil d'une œuvre • p.144.4.2. L'aide à l'accueil d'une œuvre dans le cadre d'un lieu pivot • p.144.4.3. L'aide à la série • p.14

4.5. La diffusion hors région • p.151.5.1. L'aide à la mobilité • p.151.5.2. L'aide à la coopération interrégionale • p.15

Annexes • p.16 à 26

Réseau en scène, Languedoc-Roussillon � Conseil d'Administration du 5 juin 2007 � Bilan d'activités 2006

Ainsi ces conditions ont conduit à une situation de« double contrainte » - entendue sous l'angle de lapensée systémique - qui a eu pour effets de :

� Renvoyer, de manière cyclique, une image brouilléedu travail conduit par l'association, tant en interne qu'àl'extérieur ; image générée notamment par la multitudede chantiers à conduire en parallèle,

� Donner l'impression que le projet tournait en rond,dégageant alors une sensation d'impuissance et deconfusion.

L'identification des dysfonctionnementsÀ la lumière de cette analyse, il s'avère que l'on peutmieux identifier un certain nombre de dysfonctionne-ments qui ont eu lieu au cours du premier semestrecomme, à titre d'exemple :

� Une très forte demande de rendez-vous provenantdes équipes artistiques - inquiètes de savoir ce que lanouvelle association pourrait leur apporter - alors que lapriorité pour l'association, en termes de rencontres etd'échanges, se situait du côté des opérateurs culturels,

� La nécessité d'établir de nouveaux dispositifs sanstoujours disposer de la visibilité et du recul suffisantspour évaluer la réalité du contexte culturel régional,mesurer son fonctionnement et ses attentes, et doncproposer des mesures adaptées,

� La difficulté d'apprécier dans l'urgence la qualitéartistique et la pertinence culturelle des projetsprésentés par les acteurs culturels sollicitant un soutienfinancier de l'association,

� L'obligation de conduire jusqu'à leur terme desopérations initiées par l'association précédente, dontcertaines, de surcroît, étaient en profond décalage avecle nouveau projet,

� La difficulté d'identifier et d'articuler des enjeux deterritoires entre l'échelon départemental et l'échelonrégional,

� Le difficile et pourtant nécessaire repositionnementde l'équipe au sein d'un nouvel organigramme alorsmême que le projet était en cours d'élaboration et quedes activités, définies précédemment, étaient en coursde réalisation.

Vers une structuration du fonctionne-ment de l'associationMalgré ce contexte difficile, on peut relever d'importantesavancées dans la structuration de l'association et dans lamise en place de son projet.

Sur le plan de la structuration, soulignons le rôle essen-tiel qu'a joué le Bureau de l'association en se réunissantrégulièrement tout au long de l'année pour entérinertoutes les décisions : fonctionnement de l'équipe, appro-bation des grandes stratégies et validation des aidesfinancières.

Réseau en scène, Languedoc-Roussillon � Conseil d'Administration du 5 juin 2007 � Bilan d'activités 2006 • 2

Avant-proposLe présent document a pour objet de dresser le bilan del'action engagée par Réseau en scène, Languedoc-Roussillon au cours de l'année 2006.

Conformément à nos engagements déjà pris lors duConseil d'Administration du 5 décembre 2006, nousnous sommes attachés à reprendre, dans la mesure dupossible, le sommaire du dossier présenté lors duConseil d'Administration du 7 juin 2006 avec pour princi-pal objectif d'effectuer des comparaisons entre lespropositions avancées et la réalité du travail réalisé.

1. Le rappel des enjeuxAvant de rendre compte du travail accompli au cours del'année 2006 - travail que nous considérons important auregard du nombre significatif d'actions réalisées et deleurs contenus - il nous est apparu nécessaire d'analysercette période pour chercher à identifier et à comprendreles raisons qui ont fait que la mise en œuvre du nouveauprojet a été plus longue et plus difficile que prévue.

Dès les premiers mois de l'année, nous nous sommestrouvés, selon nous, dans une situation aporétique qu'ils'agit, ici, d'expliciter.

Ainsi, il a été demandé à l'association, et donc à sonpersonnel, de définir un nouveau projet dans un cadre

particulièrement contraignant.

En effet, la définition du projet s'est opérée avec lademande expresse de voir, dans le même temps, celui-ci être immédiatement opérationnel.

Un sentiment d'urgenceCette situation a créé un sentiment permanent d'urgen-ce, sentiment renforcé par la nécessité de gérer unbudget conséquent et complexe.

Conséquent dans le sens où il correspondait plus à unprévisionnel de dépenses liées à une phase de stabilisa-tion du projet qu'au financement d'une phase dedéveloppement.

Complexe du fait qu'il intégrait des financements croisésde collectivités territoriales dont les attentes vis-à-vis del'association et de son projet ne s'appuyaient pas sur unconsensus suffisamment clair.

De plus, la mise en œuvre du projet s'est opérée sanstoutefois prendre le temps d'analyser le travail réalisépar la précédente structure.

Aussi, ce manque de temps n'a pas permis de mesurerla réalité et la nature de son inscription dans le paysageculturel régional, pour pouvoir notamment :

� Évaluer ses points forts et ses points faibles,

� Anticiper les résistances ou les vides que pourraitcréer, dans certains secteurs, sa transformation.

Introduction

Grâce à cette régularité s'est créé un espace de réflexionsur les enjeux et le positionnement de l'association qui apermis notamment de faire évoluer les dispositifs et, parconséquent, de modifier les procédures d'instruction desdemandes d'aides financières.

Un dialogue permanent avec les acteursculturelsConcernant l'avancement du projet, relevons égalementl'important travail de concertation opéré par l'associationavec les acteurs culturels de la région.

Cette concertation a donné lieu à de nombreuxéchanges dans le cadre de rendez-vous, de tablesrondes, de réunions ou de rencontres professionnelles,pour débattre de la nécessaire mise en place dedémarches concertées et mutualisées afin de relever lesnombreux défis de la diffusion artistique, défis qui sontau cœur des enjeux du projet culturel de l'association, àsavoir :

� Créer les conditions d'une meilleure circulation desœuvres créées en région,

� Favoriser un élargissement des réseaux de diffusionet accompagner leur structuration, en région et pluslargement,

� Contribuer à une meilleure organisation et à unélargissement de l'offre de formation en région pouraccompagner l'ensemble des professionnels : artistes,techniciens et administratifs,

� Développer des outils performants et partagés pourfavoriser la circulation de l'information et actualiser laressource.

Plus largement, il s'est agi de questionner les conditionsde possibilité, en région, d'une création artistique qui soitexigeante et accessible au plus grand nombre.

Une réflexion permanente sur le projetLe chemin à parcourir est encore long même si la fin del'année 2006 a enregistré des signes encourageantslaissant penser que le projet de l'association pouvaittrouver une bonne résonance auprès des acteurs cultu-rels de la région.

Cette impression conforte notre sentiment que toute réfor-me d'un outil régional nécessite du temps pour qu'elle soitréfléchie, discutée et comprise, donc acceptée.

Pour autant, cette réforme ne peut s'effectuer qu'à lacondition que le projet qui la sous-tend soit clair.

Aussi, il est particulièrement important que le projet soitrégulièrement remis en débat pour que l'ensemble desparties concernées, pouvoirs publics et acteurs culturels,trouvent un intérêt politique, culturel, financier et artis-tique à l'existence d'un tel outil régional.

Les instances statutaires de l'association sont un lieuprivilégié pour que s'instaure ce débat.

Le présent document a pour vocation de le favoriser.

2. Les étapes de la structuration

� 14 février, Assemblée Générale extraordinaireOrdre du jour : vote des nouveaux statuts

� 14 février, Assemblée Générale OrdinaireOrdre du jour :⇨ Présentation des nouveaux statuts votés parl'Assemblée Générale Extraordinaire.⇨ Vote de la composition de la nouvelle AssembléeGénérale.⇨ Vote du projet d'orientations générales.⇨ Présentation du nouvel organigramme.⇨ Présentation du budget 2006.⇨ Élection des membres qualifiés et des membres asso-ciés au Conseil d'Administration.

� 1er mars, recrutement du poste de chargé de missionspectacle vivant400 candidatures reçues. Sélection sur dossier par leDirecteur en lien avec les membres du Bureau.Organisation d'entretien avec le Directeur et le Présidentpour sept candidats. Recrutement de Clotilde Heusse.

� 17 mars, réunion de travail avec les membres des collègesOrdre du jour :⇨ Réflexion sur la notion de prise de risque artistique etfinancière.⇨ Échanges sur les dispositifs d'aide à la diffusion.

� 2 avril, prise de fonction de Clotilde Heusse au postede chargée de mission spectacle vivant

� 3 avril, emménagement dans les nouveaux locaux

� 19 avril, première réunion régionale de diffuseurs (21participants)Ordre du jour :⇨ Présentation des missions et des dispositifs de l'as-sociation.⇨ Échanges sur les conditions d'une mise en réseaudes opérateurs culturels

� 17 mai, réunion du Bureau

� 7 juin, Conseil d'AdministrationOrdre du jour :⇨ Approbation du Bilan d'activités de l'année 2005.⇨ Examen et arrêté des comptes de l'année 2005.⇨ Arrêté du programme d'activités de l'année 2006.

� 15 juin, deuxième réunion régionale de diffuseurs(29 participants)Ordre du jour :⇨ Présentation des missions et des dispositifs del'association (en lien avec les décisions prises lors duC.A. du 7 juin).⇨ Échanges autour des conditions de création d'unréseau formel de diffuseurs

� 22 juin, Assemblée Générale

Ordre du jour :⇨ Approbation du bilan d'activités de l'année 2005.⇨ Examen et arrêté des comptes de l'année 2005.⇨ Arrêté du programme d'activités de l'année 2006

� 26 juin, réunion du Bureau

� 30 juin, démission de Clotilde Heusse

� 24 juillet, réunion du Bureau

� 12 septembre, réunion du Bureau

� 24 octobre, réunion du Bureau

� 15 novembre, recrutement de Jean-Pierre Wollmer auposte de chargé de mission spectacle vivant avec uneprise de fonction au 1er janvier 2007

� 29 novembre, réunion du Bureau

� 5 décembre, Conseil d'AdministrationOrdre du jour :⇨ Bilan d'activités 2006.⇨ Perspectives 2007.⇨ Arrêt du budget prévisionnel 2007.

� 20 décembre, réunion du Bureau

3. L'activité 2006 en chiffres

� Rendez-vous effectués par l'équipe :⇨ 205 équipes artistiques⇨ 141 opérateurs culturels⇨ 61 institutions

� 232 spectacles vus, en région et hors région,

� 147 demandes de soutien financier reçues.

74 dossiers refusés avant le Bureau,

� 73 dossiers présentés en Bureau, dont 8 refusés.

Introduction

Le rappel des objectifsLa création d'un Centre de ressources répondait à lavolonté de tisser et de développer, au niveau régional etnational, des liens permanents avec d'autres structuresdédiées à la gestion de la ressource.

Le projet initial prévoyait la mise en place au sein de ceCentre de ressources :⇨ d'un Pôle Information dont la mission principale étaitde favoriser la circulation de l'information, en région ethors région,⇨ d'un Pôle Formation qui devait contribuer à la mise encohérence de l'offre de formation en région.

Le bilanAprès une année pleine d'activité, un constat s'est impo-sé : le Centre de ressources n'a pas dépassé la phasede préfiguration.Toutefois, cette remarque liminaire doit être nuancée etappelle au moins deux commentaires :

� Après six mois d'activité, il est apparu que l'organisa-tion du Centre de ressources autour de deux pôlesdistincts ne favorisait pas un travail d'équipe. Or il s'estavéré que ce travail d'équipe était d'autant plusindispensable que la mise en œuvre du Centre appelaitune démarche préalable de concertation avec une largereprésentation des acteurs culturels de la région.

� La démarche de concertation avec les professionnels- démarche visant à évaluer l'existant dans le secteur dela ressource et à identifier la nature des besoins - n'a étéréellement engagée qu'au début du quatrième trimestre.

Fort de ce constat, la notion de ressource a été abordée,tout au long du 4ème trimestre, de manière transversale ausein du Centre de ressources, englobant les probléma-tiques de communication, d'information et de formation.

Cette nouvelle organisation a entraîné la disparition desdeux Pôles et a donné lieu à la définition d'un secondorganigramme.

Malgré tous ces constats, il s'agit de souligner que leCentre de ressources a développé et réalisé denombreuses actions qui ont permis d'une part de renfor-cer l'ancrage de l'association dans le paysage culturelrégional et, d'autre part, d'enrichir la réflexion sur ladéfinition de ses missions.

1. La communication

1.1. Réaliser une nouvelle identité visuelle

Dès la fin du premier trimestre 2006, l'associationrégionale s'est dotée d'un nouvel intitulé, Réseau enscène, Languedoc-Roussillon, qui a progressivementtrouvé sa place dans le vocabulaire des acteurs culturelsde Languedoc-Roussillon.

Dans le même temps, il a été demandé à l'agence decommunication ANATOME de travailler sur un nouveaulogo accompagné d'une charte d'utilisation.

C'est également l'agence ANATOME qui a réalisé lanouvelle papeterie (papier à en-tête, cartes de visite,cartes de correspondance, chemises…) et qui a dessinéla vitrine des nouveaux locaux.

1.2. Publier des fiches pratiques

Dès le 1er trimestre de l'année 2006 s'est imposée lanécessité de faire connaître aux acteurs culturels dela région les nouvelles missions de l'association et deprésenter ses dispositifs d'aide à la diffusion.

Le Centre de ressources

Aussi, un premier document de communication a étéélaboré et envoyé largement aux acteurs culturels de larégion.

Le second trimestre s'est achevé par la rédaction denouvelles fiches pratiques qui ont fait l'objet d'une secon-de campagne d'information en direction des acteursculturels du Languedoc-Roussillon, complétée par unenvoi national visant à sensibiliser les réseauxinstitutionnels.

Annexe 1 : les trois versions de la plaquette

1.3. Rechercher une stratégie decommunication

Toutefois, la perception et la compréhension des nou-velles missions de Réseau en scène, Languedoc-Roussillon restaient encore fragiles malgré la réalisationd'un premier site Internet et des fiches pratiques.

Aussi, s'est imposée la nécessité d'établir une stratégiede communication visant à conforter le nouveau posi-tionnement de l'association.

Une première collaboration avec l'agence CONTRE-POINT, pendant le second trimestre, n'a pas apporté lesrésultats attendus.

L'équipe de Réseau en scène, Languedoc-Roussillons'est alors attachée à travailler, au cours du 4e trimestre,à la recherche de cette stratégie de communication ens'appuyant notamment sur les compétences d'unechargée de communication, Bérengère Dini, recrutéepour l'occasion de septembre à décembre 2006. Cettecollaboration, à laquelle s'est ajouté le travail del'agence START XXI, a permis de mettre en avant troisaxes de réflexion.

1.3.1. Affirmer l'identité de l'association

Le rappel des objectifsRendre intelligible le rôle de l'association en explicitantplus particulièrement les deux notions qui sont au cœurde ses missions :

� Favoriser une meilleure circulation des œuvres crééesen région,

� Participer à la mise en réseau des opérateurs cultu-rels.

Le projet� Une charte graphiqueComposée d'un ensemble d'éléments visuels prégnants,elle vise à illustrer de manière rapide et efficace lesnotions de « circulation » et de « réseau ».

Le bilanLa charte graphique a déjà été déclinée sur plusieurssupports de communication de l'association : infobulletin,répertoire de la formation, encarts publicitaires…

Annexe 2 : la charte graphique

1.3.2. Révéler son existence et son projet

Le rappel des objectifsRévéler l'existence et la nature du nouveau projet del'association en direction, d'une part, des acteurs culturelsavec lesquels, sous sa forme précédente, elle avait déjà eudes occasions de collaborer, et d'autre part, de nouveauxinterlocuteurs parmi lesquels il importait de distinguer :

� Ceux dont elle connaissait déjà l'existence, mais aveclesquels elle n'avait pas eu jusqu'à présent l'occasionsde travailler,

� Ceux dont elle ne connaissait pas encore l'existence,mais avec lesquels elle était susceptible de collaborer.

Trois objectifs stratégiques se sont alors imposés :

� Présenter, de manière claire et détaillée, l'associationet ses missions,

� Rendre compte de ses activités au travers de réalisa-tions significatives,

� Valoriser l'activité culturelle en Languedoc-Roussillonet favoriser son rayonnement.

Le projet� Le site InternetLe travail de réflexion et de recherche développé parl'équipe a permis d'identifier 4 grandes rubriques :l'association, la ressource, l'infobulletin et les documentsaccessibles en téléchargement.

� L'infobulletinLargement diffusée tous les mois, cette lettre électro-nique a pour principale vocation de susciter l'intérêt surles œuvres qui sont soutenues par l'association.

Le bilanLe site Internet, dans sa nouvelle version, ne seraopérationnel qu'au cours de l'été 2007 obligeant l'asso-ciation à fonctionner avec le site provisoire mis en placeau cours du 3ème trimestre 2006.L'infobulletin est envoyé depuis le mois de décembre2006 à plus de 4700 destinataires, en région et horsrégion.

Annexe 3 : l'infobulletin n° 1

1.3.3. Construire sa notoriété

Le rappel des objectifsFavoriser les échanges d'expériences et faire circuler enrégion une information culturelle riche et diversifiée.

Le projet� Un journal d'informationConçu pour ouvrir, ponctuellement, un espace de débatset d'échanges où se croiseraient la réflexion et les expé-riences de terrains. Composée de tribunes, de portraitset de chroniques, cette nouvelle publication, à raisond'un numéro par trimestre, se donne pour objectif demobiliser les forces vives de la région autour de thèmesfédérateurs.

Le bilanCette initiative n'a pas abouti en 2006 et sera retravailléeau cours du second semestre 2007.

1.4. Participer à des publications

Le rappel des objectifsIl s'agissait, au travers de cette proposition, de donner àl'association les moyens d'accueillir des projets éditoriauxréalisés à son initiative ou dans le cadre de partenariats.Cette ouverture dessinait trois axes de développement :

� La publication d'études et de travaux de recherches,

� La réalisation de supports de communication,

� L'édition de la collection discographique « Atlas sonoreen Languedoc-Roussillon ».

Le bilan� La publication d'études et de travaux de recherches

C'est dans ce cadre que s'est inscrite la collaboration del'association à la réalisation de la méthode de vielle àroue, réalisée par Vincent Clastrier et produite par l'AddaScènes Croisées. Cet ouvrage a été présenté à Saint-Chartier, à l'occasion des Rencontres internationales deluthiers et maîtres sonneurs.

Il en était de même du projet de réaliser, sous la conduitede Philippe Neveu, une méthode de hautbois languedo-cien. Cette publication, prévue depuis 2004, n'a toujourspas abouti en raison de dissensions entre les personnesqui en sont à l'origine et voit sa parution repoussée à la finde l'année 2007 ou au début de l'année 2008.

Annexe 4 : la méthode de vielle à roue

� La réalisation de supports de communication

C'est dans ce cadre que l'association a édité deux cartespromotionnelles. La première porte sur « Les solitairesintempestifs » de Jean-Luc Lagarce, mis en scène parJosanne Rousseau. La seconde concerne « La vieilleforêt », d'après Tolkien, mis en scène par la chorégrapheMuriel Piqué.

Dans un tout autre domaine, l'association a participé àl'édition d'un disque promotionnel à l'occasion de l'édi-tion 2006 de la sélection régionale à 100 %.

Annexe 5 : les « cartes com » et le disque

� L'édition d'une collection discographique : « Atlassonore en Languedoc-Roussillon »

C'est dans ce cadre que s'inscrit la publication du 4ème

numéro de cette collection, réalisée sous la conduited'André Ricros et consacré aux répertoires et pratiquesmusicales de Jean Pons et Joseph Ruols.

Annexe 6 : le disque

2. La ressource

2.1. Organiser des temps de concertation

Le rappel des objectifsEn proposant des rencontres thématiques sur la notionde ressource, il s'agissait de mieux repérer les attentesdu terrain et d'identifier les initiatives déjà réalisées ou enpréparation.

Le bilanL'organisation par l'association régionale, au cours du 4etrimestre de l'année 2006, de temps de concertation etde réflexion liés à la notion de ressource visait à luidonner les moyens de mieux connaître la réalité desacteurs culturels de la région impliqués dans ce champde l'action culturelle pour trouver une place qui s'inscriveen complément du travail déjà réalisé par d'autresopérateurs.

Force est de constater qu'il n'existe pas d'opérateurs enrégion qui développent réellement, à l'échelle régionale,des activités liées à la ressource : élaboration et gestionde bases de données, activité de veille (artistique, régle-mentaire, etc.) et de repérage des équipes artistiques…

L'envie ne manque pas, de la part de fédérations ou decollectifs, de développer ce type d'activités. Mais ilconvient de souligner que cette envie est freinée parl'absence de moyens humains et financiers nécessairespour faire aboutir ce type de projet.

D'ailleurs, ce même constat est fait par l'équipe deRéseau en scène, Languedoc-Roussillon qui a dûréviser ses objectifs en se contentant, dans un premiertemps, d'aider à la réalisation de bases de donnéesinitiées par des fédérations, comme c'est le cas avec lafédération régionale des arts de la rue qui a développé etmis en place, à la fin de 2006, son propre site Internet.

Annexe 7 : le tableau des réunions

2.2. Participer à des rencontresprofessionnelles

Le rappel des objectifsEn participant à la définition et au financement de ren-contres professionnelles, il s'agissait pour l'associationd'accompagner et de soutenir la mise en placed'espaces de dialogue, d'échange et de concertationentre les acteurs culturels de la région.

Cet accompagnement devait également permettre àl'association de se donner des occasions supplémen-taires de compléter sa connaissance des acteursculturels de la région, notamment dans les secteurs oùelle n'intervenait pas auparavant.

Enfin, en créant ce dispositif l'association cherchait à sedoter d'un levier complémentaire pour conforter sontravail de mise en réseau du secteur du spectacle vivanten Languedoc-Roussillon.

Le bilanL'organisation de rencontres professionnelles s'est révé-lée particulièrement positive dans le sens où elle arépondu pleinement aux objectifs initialement fixés.

Toutefois, un premier bilan des collaborations engagéeslaisse entrevoir les limites du dispositif lorsqu'il se réduità seulement répondre aux sollicitations de porteurs deprojets.

En effet, on peut souligner que, dans certains cas, lerendu des débats n'a pas toujours été à la hauteur deleurs promesses.

Malgré ce constat, l'association doit se laisser la possibi-lité de répondre à des propositions extérieures, confor-tant ainsi son rôle de partenaire privilégié pour la mise enplace d'espaces de concertation entre les acteursculturels de la région.

Dans le même temps, il importe qu'elle se donne lesmoyens d'être à l'initiative de rencontres pour proposerdes thèmes de réflexion qui participent à l'évolution deson propre projet.

Annexe 8 : le tableau des rencontres

2.3. Réaliser des missions d'étude

2.3.1. La mission d'étude « enseignementsartistiques et territoires »

Le rappel des objectifsCette mission, commandée conjointement par l'État et larégion et placée sous la supervision scientifique d'YvanSytnik, visait à apporter aux Départements des élémentstangibles portant sur :

� L'enseignement artistique spécialisé en lien avec lesschémas départementaux,

� La formation professionnelle initiale en lien avec le planrégional de développement de la formation professionnelle.

Le bilanil convient de souligner que ce travail, prévu initialementpour une durée de huit mois, a été prolongé jusqu'à la finde l'année 2006.

Cette prolongation s'est expliquée par l'ampleur de latâche. Ainsi, ce sont plus de 800 structures d'enseigne-ment qui auront fait l'objet d'une enquête statistiquedébouchant sur :

� La mise en place d'une base de donnée rassemblantles informations les plus récentes sur ces structures,

� La réalisation d'états des lieux détaillés de l'enseigne-ment spécialisé, département par département etdiscipline par discipline,

� La rédaction d'outils méthodologiques et cartogra-phiques destinés à aider les départements dans laconstruction de leurs schémas départementaux,

� Un travail de synthèse d'éléments qualitatifs, cartogra-phiques et financiers visant à évaluer les incidencesfinancières et stratégiques liées au transfert des CEPI àla Région.

L'ensemble de ces données a fait l'objet d'une publica-tion qui a été diffusée aux Conseils Généraux et auxADDM.

Par ailleurs, un Cédérom reprenant l'ensemble destravaux a été réalisé. Sa diffusion, initialement prévue aucours du mois de décembre, n'aura été effective qu'aumois de mai 2007 pour des raisons techniques.

Annexe 9 : le Cédérom

2.3.2. La mission de « préfiguration d'un sché-ma régional des enseignements artistiques »

Dans la continuité de l'étude précédente, la Région avaitdemandé à l'association de mener une seconde mission,également confiée à Yvan Sytnik, pour disposer d'élé-ments d'organisation territoriale portant sur :

� La coopération au sein du réseau des établissementsd'enseignement spécialisé contrôlés par l'État,

� L'articulation et la continuité des apprentissages entreles établissements d'enseignement et de formation,

� La mise en place d'une politique de formationartistique dépassant le cadre des CEPI.

Le bilanLe travail mené par Yvan Sytnik a donné lieu à denombreuses rencontres sur le terrain et à l'organisationde plusieurs réunions de travail entre les directeurs desétablissements contrôlés par l'État et les services de laRégion.

Cette étude s'est achevée par la rédaction d'undocument d'analyse et de préconisation qui a été remisà la Région comme outil d'aide à la décision.

2.3.3. La mission d'étude « musiques etdanses traditionnelles et du monde enLanguedoc-Roussillon »

Le rappel des objectifsDès le début de l'année 2006, le constat a été fait quel'association régionale souffrait d'un déficit de communi-cation sur ses nouvelles orientations auprès des acteursculturels qui œuvrent dans le secteur des musiques etdanses traditionnelles.

En effet, ceux-ci n'avaient vu, comme seuls résultats destransformations de l'association régionale, que ladisparition du CLRMDT.

Il a semblé d'ailleurs que cette disparition avait été vécuede manière négative moins du fait de la perte decertaines aides financières (même si cette perte étaitréelle et facilement identifiable) que par sa dimensionsymbolique qui avait laissé penser que l'association

régionale s'attaquait, avec l'assentiment des pouvoirspublics, à un dispositif institutionnel voulu et mis en placequelques années auparavant par ces mêmes pouvoirspublics.

De plus, la disparition du CLRMDT avait créé un vide quin'avait été contrebalancé ni par le travail de continuitéréellement réalisé par la nouvelle association surcertains dossiers (Atlas sonore, Saint-Chartier…) ni parl'annonce de la mise en place de nouveaux dispositifs enfaveur d'un soutien à la diffusion des équipes artistiques.

Aussi, il est apparu nécessaire et urgent de voir l'asso-ciation réinvestir ce secteur culturel au cours du quatriè-me trimestre avec pour objectif d'éviter que ne s'installedurablement un sentiment de frustration entravant toutepossibilité de formuler des propositions nouvelles.

Pour répondre à cette urgence, il est apparu opportun demettre en place des espaces d'échange, de réflexion etde concertation avec les acteurs culturels.

Le bilanForte de cette analyse, l'idée de confier, à Frank Tenaille,une mission d'étude et d'évaluation, qui courrait sur le4ème trimestre, s'est rapidement imposée.

De même, a été retenue sa proposition de voir cetteétude s'appuyer principalement sur une série d'entretienavec les acteurs culturels représentatifs des secteursdes musiques et danses traditionnelles du Languedoc-Roussillon, dans le but de recueillir, de manière distan-ciée, leurs attentes en matière de politique publique.

Considérant le nombre significatif de personnes rencon-trées, environ 80, il a été décidé de prolonger la missionde deux mois avec pour objectifs :

� D'aboutir à un document suffisamment complet pourêtre largement diffusé,

� D'organiser une rencontre professionnelle visant àrestituer le travail mené par Frank Tenaille et offrantégalement à l'association, mais aussi à l'État et à laRégion, le cadre pour présenter publiquement leurspolitiques respectives.

2.4. Préparer un séminaire

Le rappel des objectifsÀ la demande de la DRAC et de la Région Languedoc-Roussillon, l'association s'est vue confier l'organisationd'un séminaire, à Montpellier au cours du 1er semestre2007, avec pour objectifs de restituer et de mettre enperspective les résultats de trois études réalisées en2005 et 2006 à leur demande, dans le cadre duCOREPS, sur l'emploi, la formation, la création et ladiffusion dans le spectacle vivant et l'audiovisuel.

Le bilanLe travail de préparation du séminaire a débuté au 3ème

trimestre, offrant ainsi à l'association l'occasion d'enga-ger une collaboration avec l'Observatoire des politiquesculturelles de Grenoble.

Pour répondre à cette commande qui n'était pas inscritedans le projet initial d'activités de l'année 2006, il aété décidé de recruter une chargée de projet, MarieAntunes, qui s'est vu confier, en parallèle, la réalisationdu « répertoire régional de la formation continue dans lespectacle vivant».

Cette collaboration avec l'Observatoire des politiquesculturelles a permis à l'association de participer à ladéfinition du thème et des contenus du séminaire, en lienavec l'État et la Région.

Mais surtout, cette mission a contribué à renforcer lalégitimité de l'association auprès des acteurs culturels dela région, et plus largement.

Au-delà de cette opportunité de renforcer son position-nement et de conforter son image, cette commande adonné à l'association l'occasion et les moyens de créeret de mettre en place des modalités d'échange et decollaboration avec de nombreux opérateurs quiinterviennent dans les secteurs de la formation,consolidant ainsi son rôle et ses missions.

3. La formation

Introduction

Le rappel des objectifsL'année 2006 s'est organisée autour d'un double objectifdans le domaine de la formation professionnelle :

� Analyser et réorganiser les actions portées jusqu'alorspar l'association pour concentrer son travail sur unemission plus essentielle de mise en réseau et de coordi-nation,

� Participer, aux côtés de la Région et de l'État à la défi-nition d'un nouveau projet de développement de laformation dans le spectacle vivant.

Le bilanCette double mission a permis de préfigurer réellementla mise en œuvre d'une « plateforme régionale de la formation professionnelle dans le spectacle vivant »,aujourd'hui en capacité d'intervenir sur plusieurs niveaux :

� Le conseil aux organismes de formation afin de rele-ver, en région, le défi du développement qualitatif etquantitatif de l'offre de formation dans le spectaclevivant,

� L'information auprès des employeurs et salariés surl'ensemble des propositions régionales de formation etleurs dispositifs d'accès,

� L'appui à la collectivité régionale dans le cadre de sonPRDFP et de ses dispositifs d'intervention,

� La coordination des initiatives et la mise en réseaudes opérateurs, notamment dans le cadre de partena-riats avec le CARIF, l'ENACT et les organismes deformation.

3.1. Le répertoire régional de la forma-tion continue dans le spectacle vivant

Le rappel des objectifsLa proposition de réaliser un répertoire s'appuyait sur undouble constat :

� L'offre de formation dans le secteur du spectaclevivant souffre, particulièrement en région, d'un manquede lisibilité et d'accessibilité,

� Il apparaît nécessaire de traiter prioritairement cettequestion avant tout travail de mise en réseau ou decoordination.

En s'appuyant sur l'édition d'un répertoire, il s'agissaitplus largement pour l'association de poursuivre troisobjectifs complémentaires :

� Tisser des liens avec les acteurs majeurs de laformation en les associant à la définition et au suivi de lamission,

� Développer un outil susceptible d'offrir une meilleurelisibilité de l'offre de formation,

� Amorcer un travail de repositionnement de l'associa-tion dans le secteur de la formation.

Le bilanLe travail de mise en relation des opérateurs quitravaillent dans le secteur de la formation a été particu-lièrement favorisé par la décision de l'État et de laRégion d'associer très largement l'association auxréflexions en cours sur la question de la formation.

Forte de cette ouverture, a été mis en place un comité desuivi composé de personnes représentatives du secteurqui a permis de valider le cahier des charges de la mis-sion et de suivre sa réalisation. Ce comité a, par ailleurs,permis de resserrer fortement les liens avec l'AFDAS,permettant désormais d'envisager des collaborationsdurables.

Un premier recensement a fait apparaître plus de 240organismes intervenant sur le champ de la formationdans le spectacle.

Ce travail a permis à l'association de proposer une visionactualisée de l'activité de formation en région et de sepositionner clairement dans sa fonction de plateforme.

Aussi, la question de la pérennisation d'un tel outil vientinterroger de manière accrue le rôle de l'associationdans le secteur de la formation.

Annexe 10 : la « carte com » du répertoire

3.2. La formation « Technicien duspectacle vivant »

Le rappel des objectifsRépondre à un besoin identifié de professionnalisationdes différents métiers techniques du spectacle vivant.

Pallier l'absence d'organisme de formation spécialisédans ce domaine en région.

Le bilanLors de la session 2005/2006, l'association s'était atta-chée à travailler plus particulièrement à :

� La redéfinition des objectifs de formation et de métho-dologie mise en œuvre,

� Favoriser la mixité entre les « nouveaux entrants » etles personnes en formation continue,

� Développer les liens avec le secteur en associantdavantage les professionnels à la définition, au suivi et àl'évaluation de cette action.

Au cours de l'année 2006, l'association a mené une largeconcertation visant à repositionner cette formation pourpermettre notamment de :

� Poser les bases de modules de spécialisation conven-tionnés par l'AFDAS, facilitant ainsi l'accueil de profes-sionnels en formation continue,

� Inscrire cette formation dans un partenariat fort avecun lieu de diffusion, en l'occurrence le Théâtre Jean Vilarà Montpellier,

� Associer l'ARDEC, opérateur de formation repéré, à ladéfinition et à la gestion de cette action.

Cette réorganisation participe de la volonté, plusieursfois soulignée, de ne pas voir l'association s'enfermerdans la maîtrise d'œuvre d'une formation particulière-ment lourde pour se laisser plus disponible à une mis-sion générale d'information et de coordination.

14 stagiaires ont suivi pendant dix mois à temps plein unenseignement résolument pratique leur permettantnotamment de partager un atelier de création de décorset un parc de matériel fourni.

L'accueil, ponctuel ou de manière prolongée, de person-nels attachés à un équipement géré par une collectivité, aconduit l'association à s'interroger sur l'ouverture de la for-mation à davantage de personnes en formation continue.

Annexe 11 : la communication du spectacle

Introduction

Le rappel des objectifsLe soutien à la diffusion est au cœur du projet de l'asso-ciation. Pour mémoire, cette mission constitue l'essentielde son but, tel que défini dans ses statuts.

En s'attachant à améliorer la circulation des œuvrescréées en région Languedoc-Roussillon, l'associationambitionne de contribuer au rayonnement de la créationartistique :

� En région, en s'appuyant sur les choix de program-mations des opérateurs culturels,

� Hors région, en accompagnant les projets des équipesartistiques.

En s'appuyant sur ses dispositifs, l'association travaille àl'émergence de réseaux de lieux de diffusion et participeà leur animation :

� En organisant régulièrement des réunions de travailqui favorisent les échanges et la confrontation des pointsde vue,

� En encourageant la mise en œuvre de projets artis-tiques partagés,

� En apportant des aides financières.

Le bilan

1. L'inscription de l'association dansle paysage culturel régional

Le temps passé pour présenter les modalités d'interven-tion de l'association en faveur d'un soutien à la diffusions'est révélé beaucoup plus long qu'initialement envisagé.

Cette remarque vaut aussi bien pour les opérateurs cul-turels que pour les équipes artistiques de la région.

Quelques hypothèses peuvent être avancées pour expli-quer la difficile inscription de l'association dans le paysa-ge culturel régional.

1.1. Concernant les opérateurs culturels

Il s'est agi tout d'abord d'expliciter la notion de « garan-tie financière » - élément central de l'intervention finan-cière de l'association - qui a pour vocation de prendre encharge une partie du déficit prévisionnel.

La compréhension de ce mode d'intervention a été d'au-tant plus difficile du fait :

� Qu'il porte sur une œuvre en particulier et non sur l'en-semble d'une saison, ce qu'attendaient bon nombre deprogrammateurs,

� Qu'il s'appuie sur la notion de prise de risque, artistiqueet financière, dont la compréhension des enjeux renvoie àla nécessaire analyse de l'œuvre concernée en lien avecle parcours artistique de la compagnie mais aussi auregard du projet culturel du lieu qui la programme.

Enfin, il convient de noter que ce travail d'explications'est révélé encore plus difficile auprès des programma-teurs qui n'avaient jamais eu l'occasion de solliciter desaides financières de même nature, notamment auprèsd'organismes nationaux auxquels l'association pourraitêtre comparée quant à certains de ses dispositifs.

1.2. Concernant les équipes artistiquesIl est à noter qu'un grand nombre d'équipes artistiquesont opposé une très forte résistance au projet de l'asso-ciation, considérant qu'il privilégiait les programmateursà leur détriment.

Cette résistance a été encore plus grande de la part deséquipes qui organisent par elles-mêmes leur diffusion.

2. La mise en place d'espaces de dis-cussion et de réflexion pour favoriserla perception et la compréhension duprojet de l'association

2.1. Les réunions régionales dediffuseurs

� 19 avril, première réunion régionale de diffuseurs(21 participants)Ordre du jour : présentation des missions et des disposi-tifs de l'association. Échanges sur les conditions d'unemise en réseau des opérateurs culturels,

� 15 juin, deuxième réunion régionale de diffuseurs(29 participants)Ordre du jour : Présentation des missions et des dispo-sitifs de l'association (en lien avec les décisions priseslors du C.A. du 7 juin). Échanges autour des conditionsde création d'un réseau formel de diffuseurs.

L'organisation de ces deux réunions de travail aura per-mis de dépasser les limites qu'impose le cadre des ren-dez-vous individuels pour replacer la discussion sur lesmissions de l'association au sein de débats collectifs.Ces moments privilégiés ont donné lieu à des échangessur les enjeux et les modalités pratiques d'applicationdes dispositifs d'aide proposés par l'association.

Ils auront surtout permis de réfléchir collectivement surles conditions de possibilité d'une mise en réseau desopérateurs culturels de la région.

Par ailleurs, ces réunions auront contribué à faire émer-ger la demande, formulée par un grand nombre de parti-cipants, de voir l'association organiser régulièrement destemps de travail partagé favorisant l'émergence d'ac-tions concertées (tournées, accueils en résidence,coproductions, pré-achats…).

La diffusion

Enfin, elles auront également permis d'identifier unedemande formulée par certains programmateurs, parti-culièrement des responsables de services culturels devilles moyennes, de voir l'association remplir un rôle deconseil en matière de programmation.

2.2. Les rencontres professionnellesLa participation de l'association à de nombreuses ren-contres professionnelles lui aura également donnél'occasion de mieux faire connaître, tant aux diffuseursqu'aux équipes artistiques, ses nouvelles missions et derecueillir en retour leurs attentes et leurs interrogationssur la pertinence de son projet.

Ces rencontres auront également permis de révéler lebesoin de nombreux acteurs culturels de la région derenforcer leurs relations de travail dans le cadre deréseaux formels ou informels que ce soit à l'échelle de larégion ou plus largement.

3. La mise en œuvre des dispositifsPour prévenir certaines critiques, on peut convenir quecertains projets, ayant fait l'objet d'une décision d'unaccompagnement financier lors des premières réunionsdu Bureau auraient certainement existé sans l'aide del'association.

À ces remarques, il sera répondu en précisant qu'ils'agissait pour l'association de rendre compréhensible,au travers d'applications concrètes, la nature et lesmodalités de ses dispositifs.

Enfin, il est important de souligner que ces quelques casrestent isolés et ne peuvent servir à contester le rôleessentiel que peut jouer l'association en faveur d'unemeilleure circulation des œuvres.

Il suffit pour s'en convaincre de porter une attention touteparticulière aux projets accompagnés avec le soutien de« l'aide au lieu pivot ».

L'effet démultiplicateur de ce dispositif a été essentiel etles résultats obtenus peuvent véritablement laisser pen-ser qu'il fonctionne comme un réel outil d'encourage-ment à la prise de risque.

Le même constat peut être formulé concernant lessoutiens apportés grâce au dispositif « d'aide à la série ».

Par ailleurs, on commence à voir se dessiner l'effet d'en-traînement que génère « l'aide à l'accueil d'une œuvre ».Ainsi, on pourrait aisément rapporter quelques situationsoù des programmateurs, ayant eu connaissance du sou-tien apporté par l'association à une œuvre particulière,se sont sentis encouragés à la programmer à leur tour.

3.1. Le Bureau du 17 mai

Aide à l'accueil d'une œuvre

� « Les Régionales », collaboration avec le Pôle cirquepour la tournée de deux compagnies : Cie 1 watt et CieMicrosillon,

� « Xitation » du TMT à Villeneuve-les- Maguelone,

� « Vice-Versa » avec l'ADDMD 11 et l'Adda. Scènescroisées Lozère

� « La sélection à 100% » à Victoire 2 et au festivalChapiteuf,

Aide à la série� « Monsieur de Pourceaugnac » par la Cie In Situ auThéâtre Jacques Cœur,

Aide à la mobilité� « Une phrase pour ma mère » par la Cie Labyrinthes,« philosophe de chair » par la Cie Groupetto, « De nosjours… » par la Cie Machine théâtre, « Décalogue dudernier jour » par la Cie Tryptik théâtre, « Léon » par laCie Double jeu, « Mixité » par la Cie MCR, « Les voixliées… » par la Cie Théâtre en LR, en Avignon,

3.2. Le Bureau du 26 juin

Aide au lieu pivot� « Les solitaires intempestifs » par la Cie La Fabbricaau Périscope à Nîmes,

Aide à l'accueil d'une œuvre� « Les saintes vierges… » par la Cie Machine théâtreau festival Identiterres,

� « 2 clowns dans la ville » par la Cie La grande ourse,« Monsieur K » par la Cie Cacahuète, « l'ombre » par laCie Humani théâtre, les Cies In extremis et Les bonsenfants au festival Label rue,

Aide à la série� « A bloc » de Patrice Barthès, « Sarah» et « Plaine dessables » d'Anne-Marie Porras dans le cadre de la saisonde Montpellier danse,

Aide à la mobilité� « Vla djalo » de la Cie Gosh au Cabaret sauvage àParis,

� « Couple ouvert… » par la Cie Les Thélémithes enAvignon,

� «Taraf Goulamas » à Saint-Chartier,

3.3. Le Bureau du 24 juillet

Aide à l'accueil d'une œuvre� « Marianne » au festival de Thau,

� « Retrouver le sud » de Michel Arbatz au théâtre del'Arentelle à Saint-Flour-de Mercoire

� « Le dernier sonnailleur » au festival Son Miré

� « 34 Tours » par l'ADDM 34,

� « Ici » par la Cie Labyrinthes au TMT,

Aide à la mobilité� « Slogans » par la Cie Hélène Cathala à DanseM àMarseille,

3.4. Le Bureau du 12 septembre

Aide à l'accueil d'une œuvre� « Around Jaco » de Fred Monino et « Vocal extrème »des Grandes Gueules à Vagabondjazz,

� « Le chant de la femme kamikaze » par la CieInterstices au Périscope,

� « Ma main droite » par la Cie Perles de Verre àClermont-l'Hérault,

� « Retrouver le sud » de Michel Arbatz à Vauvert,

� « La vieille forêt » par la Cie Comme ça au théâtrede Perpignan,

Aide à la série� « L'amélioration » par le TMT au TMT à Marvejols

� « Jacques le fataliste » par la Cie Théâtre auPrésent à Clermont-l'Hérault,

Aide au lieu pivot� « La vieille forêt » par la Cie Comme Ca à la Scènenationale d'Alès,

Aide à la mobilité� Jofroi à l'Espace Kiron à Paris

� « En forme » par la Cie Didier Théron à Edimbourg,

� « Extra muros » par la Cie Rascalou Nam à Séoul,

3.5. Le Bureau du 24 octobre

Aide à l'accueil d'une œuvre� « En boîte » par la Cie Bolega Bolega à la Genetteverte à florac

� L'ensemble vocal Héliade à Mèze,

Aide à la série� « Barbe bleue » par la Cie Interstices à la Vignette,

� « 96 détails » par le Cie Mulleras à Béziers,

Aide à la mobilité� « Médité » de Féthi Tabet au Café de la Danse àParis,

3.6. Le Bureau du 29 novembre

Aide à l'accueil d'une œuvre� « Chiaison des amours » par Elsa Gelly à la ScèneNationale d'Alès,

� « Les valeureux » par la Cie Humani théâtre àGanges,

Aide à la mobilité� « Show room » par la Cie Vilcanota en Avignon,

3.6. Le Bureau du 20 décembre

Aucun dossier portant sur l'année 2006.

3.7. En résuméLes réunions du Bureau ont permis :

� D'apporter une réponse favorable à 54 dossiers,

� De soutenir 31 opérateurs et 64 équipes artistiques,

� D'accompagner 286 représentations pour un montantglobal de 221 940 €.

Annexe 11 : Tableau récapitulatif des aides

1. L'analyse des aides apportées parl'association

1.1. La répartition par esthétique

Tableau 1

Le théâtre, avec 83 726 € est l'esthétique qui vient en pre-mier dans la répartition des aides apportées en 2006 parl'association. Cette situation s'explique pour partie par :

� Le soutien apporté aux compagnies à Avignon qui dansleur grande majorité sont des compagnies théâtrales,

� La structuration déjà existante en région, notammentau travers des RIDA organisés par l'ONDA, d'un réseauinformel d'opérateurs qui programment du théâtre et quisont venus assez rapidement solliciter les dispositifs misen place par l'association régionale.

La musique, avec 40 886 € est le secteur artistique quiarrive en second dans la répartition des aides de l'asso-ciation. Ce sont les musiques actuelles qui concentrentl'essentiel des soutiens avec deux grandes tendances :

� Le soutien à la Sélection à 100 % dont la collabora-tion, en tant que lieu pivot, aura une suite au cours del'année 2007,

� La collaboration avec les ADDM dans le cadre desdispositifs Vice-Versa et 34 Tours.

Les aides attribuées en faveur de la danse, à hauteur de 34500 €, se déclinent essentiellement dans deux secteurs :

� Les aides à la mobilité, principalement à l'international,

� La collaboration avec le festival Montpellier danse,dans le cadre de sa saison, favorisant la mise en placed'une série de 4 représentations pour 3 compagnies.

Les aides versées en faveur des arts de la rue, 17 186 €,se concentrent sur trois événements, dont deux - le festi-val Label rue et le colloque de la Fédération régionale desarts de la rue - ont permis d'accompagner une dizained'équipes artistiques.

Les aides en faveur du cirque, avec 16 740 €, corres-pondent d'une part, en région, à la collaboration initiéeavec le Pôle cirque Cévennes Languedoc-Roussillon,dans le cadre des « Régionales » et d'autre part à desaides à la mobilité.

Enfin, le soutien financier au jeune public, avec 16 123 €,se répartit, de manière presque égale, entre des aidesen région, principalement autour de deux œuvres dansle cadre du dispositif lieu pivot, et des aides à la mobilitépour deux compagnies à Avignon.

1.2. La répartition géographique

Tableau 2

Le Tableau 2 montre l'effort apporté en 2006 par l'asso-ciation aux équipes artistiques pour se diffuser en dehorsde la région Languedoc-Roussillon.

Ainsi, ce sont 98 732 € qui ont été versés à 16 compa-gnies avec pour principales destinations Avignon (pour 9d'entre elles), Paris (pour 3 autres), deux festivals enFrance (pour 2) et l'International (pour 2 équipesartistiques), correspondant à 215 représentations.

En région, ce sont 31 opérateurs culturels qui ont étésoutenus à hauteur de 110 429 € pour programmer 48équipes artistiques dans le cadre de 38 rendez-vous,correspondant à 71 représentations.

1.3. La répartition par dispositifs

Tableau 3

Le Tableau 3 permet de visualiser la répartition, en volu-me financier, des dispositifs mis en œuvre par l'associa-tion dans le cadre des soutiens apportés en région ethors région.

Concernant l'aide à la mobilité, nous renvoyons àl'analyse du Tableau 2.

Concernant les aides en région, c'est le dispositif d'aideau lieu pivot qui a mobilisé le plus de crédits, à hauteurde 47 093 €, en ayant fédéré 12 diffuseurs pour favoriserla circulation de 4 œuvres.

L'aide à l'accueil d'une œuvre a été utilisée par 20opérateurs culturels pour la programmation de 32œuvres à hauteur de 35 336 €. Rappelons que deuxévénements, le festival Label rue et le Colloque des artsde la rue organisé en décembre à Villeneuve-les-Maguelone totalisent à eux deux 14 œuvres.

Enfin, l'aide à la série a été attribuée à 6 programma-teurs pour l'accueil de 8 équipes artistiques à hauteur de28 000 €.

1.4. La diffusion en région

31 programmateurs ont été soutenus au cours de l'an-née 2006 dont 12 dans l'Hérault, 8 dans le Gard, 5 enLozère, 4 dans l'Aude et 2 dans les Pyrénées-Orientales.

71 représentations ont été soutenues au cours del'année 2006 avec la répartition suivante :

� Hérault : 39 représentations, dont 10 pour les arts dela rue, 10 pour la danse, 8 pour la musique, 1 pour lecirque, 10 pour le théâtre,

� Gard : 14 représentations, dont 1 pour les arts de larue, 4 pour la musique, 2 pour le cirque, 5 pour le théâtreet 2 pour le jeune public,

� Lozère : 11 représentations, dont 2 pour la musique, 2pour le cirque, 5 pour le théâtre et 2 pour le jeune public,

� Aude : 4 représentations, dont 3 pour la musique et 1pour le théâtre,

� Pyrénées-Orientales : 3 représentations, dont 2 pour lethéâtre et 1 pour le Jeune public.

46 équipes artistiques ont intégré les dispositifs d'aidesà la diffusion en région avec la répartition suivante :

� Hérault : 30 équipes artistiques, dont 11 en arts de larue, 3 en danse, 9 en musique, 6 en théâtre et1 en jeune public,

� Gard : 5 équipes artistiques, dont 1 en arts de la rue,4 en musique et 1 en jeune public,

� Aude : 5 équipes artistiques, dont 4 en musiqueet 1 en jeune public,

� Lozère : 4 équipes artistiques, dont 3 en musiqueet 1 en théâtre,

� Pyrénées-Orientales : 2 équipes artistiques enmusique.

1.4.1. L'aide à l'accueil d'une œuvre

Tableau 4

Nous avons déjà souligné précédemment que 14œuvres avaient été programmées par deux opérateursspécialisés dans les arts de la rue. Cet élément expliquele fait que cette esthétique représente à elle seule 48 %du montant des crédits attribués dans le cadre du dispo-sitif d'aide à l'accueil d'une œuvre.

La musique est le secteur artistique qui a le plusmobilisé de crédits avec 11 œuvres programmées par8 opérateurs culturels.

Le théâtre comptabilise 19 % des crédits avec 6 œuvresprogrammées par 5 opérateurs culturels.

Avec une part de 2 %, le jeune public concerne uneœuvre programmée par un lieu.

1.4.2. L'aide à l'accueil d'une œuvre dans lecadre d'un « lieu pivot »

Tableau 5

Nous avons déjà eu l'occasion précédemment d'indiquerque c'était le secteur de la musique qui avait le plusutilisé le dispositif d'aide au lieu pivot à l'occasion dela programmation des artistes issus de la Sélectionrégionale à 100 %.Vient ensuite le théâtre avec Les Solitaires intempestifsde Lagarce, mis en scène par Josanne Rousseau qui aconcerné trois opérateurs.

Avec 12 %, le cirque arrive en troisième position avec lamanifestation « Les Régionales », initiée conjointementpar Réseau en scène, Languedoc-Roussillon et le Pôlecirque qui a mobilisé 5 programmateurs pour une œuvre.

Il est à noter que le dispositif lieu pivot ne peut se lire uni-quement sous l'angle de l'année civile du fait qu'il a pourvocation de fédérer des programmateurs autour d'uneéquipe artistique et d'une œuvre tout au long d'une saison.

1.4.3. L'aide à la série

Tableau 6

L'aide à la série a été utilisée par les programmateurs prin-cipalement dans les secteurs du théâtre et de la danse.

Cette situation appelle plusieurs commentaires :

Ce sont principalement les lieux de programmation pluri-disciplinaires qui programment des séries dans le sec-teur du théâtre.

Concernant la danse, il s'agit principalement d'un seulprogrammateur spécialisé dans la danse.

Par ailleurs, il s'agit de souligner la quasi-absenced'initiative des programmateurs pour programmer desséries en musique qu'ils soient pluridisciplinaires ouspécialisés en musique, notamment les festivals.

Enfin, les secteurs des arts de la rue et du cirque n'ontfait l'objet d'aucune demande de soutien à la sérieauprès de Réseau en scène, Languedoc-Roussillon

1.5. La diffusion hors région

1.5.1. L'aide à la mobilité

Tableau 7

L'accompagnement apporté aux équipes artistiques parRéseau en scène, Languedoc-Roussillon dans le cadrede son dispositif d'aide à la mobilité s'est porté pour unetrès grande partie, soit 89 %, sur des déplacements enFrance, avec pour destinations principales Avignon etParis.

Tableau 8

Nous avons déjà souligné que c'était essentiellementdes compagnies théâtrales qui avaient le plus sollicité lesoutien financier de l'association, notamment à l'occa-sion d'Avignon.

Viennent ensuite les compagnies chorégraphiques quise sont produites essentiellement dans le cadre defestivals et plus particulièrement à l'étranger.

Il s'agit de rappeler que l'aide à la mobilité ne peut êtresollicitée qu'à partir du moment où l'œuvre est program-mée dans le cadre d'une série d'au moins deux repré-sentations.

2.2. L'aide à la coopération interrégionale

En proposant ce dispositif, il s'agissait pour l'associationde favoriser des projets d'échanges de compagniesentre des opérateurs culturels de Languedoc-Roussillonet des diffuseurs d'autres régions.

Une première année d'activité n'a pas donné d'occasionsde mettre en pratique ce type d'aide.

D'ailleurs, ce dispositif risque de disparaître au cours dusecond semestre 2007 au profit d'une réflexion sur lanotion de coopération durable.

Annexe 1

LES MISSIONS GÉNÉRALESEn concertation avec ses partenaires publics (Conseil régional Languedoc-Roussillon,Ministère de la Culture et de la Communication – DRAC Languedoc-Roussillon, Conseils généraux de l’Aude, du Gard, de l’Hérault, de la Lozère et des Pyrénées-Orientales)Réseau en scène, Languedoc-Roussillon a pour missions :

Missions

Réseau en scène, Languedoc-Roussillon a pour objectifs de contribuer au développement artistique et culturel en Languedoc-Roussillon.

Ses domaines d’intervention sont la musique, la danse, le théâtre, le cirqueet les arts de la rue.

L’association régionale dispose d’un Centre de ressources qui développe des services et des outils d’information, de conseil et d’orientation.

Elle s’attache à améliorer la circulation des œuvres créées en régionLanguedoc-Roussillon, contribuant ainsi au rayonnement de la créationartistique.

Par sa présence et son implication sur le territoire régional, Réseau en scène, Languedoc-Roussillon accompagne les initiatives des opérateurs culturels :

� qui concourent à la découverte, par un large public, de démarches artistiques qui participent au renouvellement des formes,

� qui contribuent à la réduction des inégalités d’accès à l’offre culturelle.

Au carrefour des équipes artistiques et des responsables de programmation, Réseau en scène, Languedoc-Roussillon accompagne ledéveloppement des échanges artistiques, en région et hors région, dans lecadre de coopérations culturelles.

Pour réaliser ce projet, l’association régionale favorise l’émergence deréseaux de lieux de diffusion et concourt à leur animation par son soutien à la mise en œuvre de projets artistiques partagés.

Forte de cette méthode de travail qui favorise la culture de réseau et le partenariat, elle trouve sa légitimité dans sa capacité à stimuler les découvertes et à susciter les coopérations.

Pour contribuer à prolonger la durée de vie des œuvres créées en région,Réseau en scène, Languedoc-Roussillon s’attache :

� à favoriser leur exploitation sur de plus longues périodes pour être présentées plus largement et conquérir des publics nouveaux,

� à améliorer leur circulation par un élargissement de leur réseau de diffusion à l’intérieur et à l’extérieur de la région Languedoc-Roussillon.

(� de conseiller et d’orienter les équipes artistiques au travers d’un Centrede ressources,

� de développer des outils d’information et de communication valorisantl’activité artistique et culturelle en région Languedoc-Roussillon,

� de mettre en œuvre et de développer une Plate-forme régionale de coordination des formations professionnelles dans le secteur des arts duspectacle,

� d’améliorer et d’amplifier la coopération entre les équipes artistiques et les lieux de diffusion,

� d’informer, conseiller, élargir et conforter des réseaux d’opérateurs culturels afin qu’ils puissent, sur la base de projets communs, mobiliser un public et accueillir les spectacles dans de réelles conditions professionnelles techniques et financières,

� de faciliter la diffusion artistique en s’associant à la prise de risqueartistique et financière que peut représenter l’accueil d’un spectacle.

La mise en œuvre de ces missions repose essentiellement sur une mise enréseau des opérateurs culturels de la région Languedoc-Roussillon ainsi que sur la mise en relation de ces opérateurs avec d’autres structures culturelles situées hors de la région. Elle suppose une action dans la duréequi s’appuie sur le professionnalisme d’opérateurs relais et qui contribue à leur propre rayonnement.

Ce faisant, Réseau en scène, Languedoc-Roussillon s’engage en faveurd’un développement et d’un aménagement culturel plus équilibré de la région Languedoc-Roussillon.

Cet engagement s’appuie essentiellement sur des formes de travail baséessur le partenariat, dans le respect des compétences et des choix des acteursculturels et avec pour objectif de développer des coopérations durables.

Plaquettes missions et dispositifs

Réseau en scène, Languedoc-Roussillon

association régionale de coordination et de diffusion des arts du spectacle

missions et dispositifs

Annexe 2

Quelques éléments de la charte graphique

Dispositifs

Missions

Réseau en scène, Languedoc-Roussillon

association régionale de coordination et de diffusion des arts du spectacle

missions et dispositifs

Annexe 3

L'infobulletin n° 1

iila région. Elle intervient dans les domaines de la musique, de la danse, du théâtre, dula région. Elle intervient dans les domaines de la musique, de la danse, du théâtre, duarts du spectacle, a pour objectif de contribuer au développement artistique et culturel dearts du spectacle, a pour objectif de contribuer au développement artistique et culturel deRéseau en scène, Languedoc-Roussillon, association de coordination et de diffusion desRéseau en scène, Languedoc-Roussillon, association de coordination et de diffusion des

t d t d lt d t d lgion. Elle intervient dans les domaines de la musique, de la danse, du théâtre, dugion. Elle intervient dans les domaines de la musique, de la danse, du théâtre, dudu spectacle, a pour objectif de contribuer au développement artistique et culturel dedu spectacle, a pour objectif de contribuer au développement artistique et culturel de

eau en scène, Languedoc-Roussillon, association de coordination et de diffusion deseau en scène, Languedoc-Roussillon, association de coordination et de diffusion des

es domaines de la musique, de la danse, du théâtre, dues domaines de la musique, de la danse, du théâtre, dutif de contribuer au développement artistique et culturel detif de contribuer au développement artistique et culturel deRoussillon, association de coordination et de diffusion desRoussillon, association de coordination et de diffusion des

ue, de la danse, du théâtre, duue, de la danse, du théâtre, duppement artistique et culturel deppement artistique et culturel decoordination et de diffusion descoordination et de diffusion des

e, due, duel deel de

n desn des

cirque et des arts de la rue...cirque et des arts de la rue...e et des arts de la rue...e et des arts de la rue...

fascination, pour créer un dialogue avec le public.fascination, pour créer un dialogue avec le public.laissé leurs trapèzes mais jouent avec ce trouble sentiment entre effroi etlaissé leurs trapèzes mais jouent avec ce trouble sentiment entre effroi etMelissa Von Vepy autour de la tentation du vide, du rêve d'apesanteur. Elles ontMelissa Von Vepy autour de la tentation du vide, du rêve d'apesanteur. Elles ontavec le vide. I look up, I look down est le quatrième spectacle de Chloé Moglia etavec le vide. I look up, I look down est le quatrième spectacle de Chloé Moglia etQuand deux femmes, deux corps, deux complices, deux voltigeuses négocientQuand deux femmes, deux corps, deux complices, deux voltigeuses négocientDu 10 au 21 janvier à ParisDu 10 au 21 janvier à ParisI look up, I look downI look up, I look down

un dialogue avec le public.un dialogue avec le public.mais jouent avec ce trouble sentiment entre effroi etmais jouent avec ce trouble sentiment entre effroi etour de la tentation du vide, du rêve d'apesanteur. Elles ontour de la tentation du vide, du rêve d'apesanteur. Elles ontI look down est le quatrième spectacle de Chloé Moglia etI look down est le quatrième spectacle de Chloé Moglia et

deux corps, deux complices, deux voltigeuses négocientdeux corps, deux complices, deux voltigeuses négocientParisParisk downk down

sentiment entre effroi etsentiment entre effroi etdu rêve d'apesanteur. Elles ontdu rêve d'apesanteur. Elles ont

me spectacle de Chloé Moglia etme spectacle de Chloé Moglia ets, deux voltigeuses négocients, deux voltigeuses négocient

s onts ontlia etlia etentent

fascination, pour créer un dialogue avec le public.fascination, pour créer un dialogue avec le public.

leurs silences conjugaux...leurs silences conjugaux...ménagère, airs de rien et rythmes bruités. De mix en remix, ils rayent le disque deménagère, airs de rien et rythmes bruités. De mix en remix, ils rayent le disque detranchées d'où jaillissent coups de ballet, chanson en boîte, musique électro-tranchées d'où jaillissent coups de ballet, chanson en boîte, musique électro-l'unisson. A tourner en rond dans leur salon, ils creusent des sillons aux allures del'unisson. A tourner en rond dans leur salon, ils creusent des sillons aux allures deUn homme et une femme, chabadabada... boum, pour qui tout ne va pas àUn homme et une femme, chabadabada... boum, pour qui tout ne va pas àLe 14 janvier à Ferrals-les-Corbières (11) et le 4 février à Chanac (48)Le 14 janvier à Ferrals-les-Corbières (11) et le 4 février à Chanac (48)Fausse pisteFausse piste

Les Solitaires intempestifsLes Solitaires intempestifs

un dialogue avec le public.un dialogue avec le public.

ux...ux...et rythmes bruités. De mix en remix, ils rayent le disque deet rythmes bruités. De mix en remix, ils rayent le disque dent coups de ballet, chanson en boîte, musique électro-nt coups de ballet, chanson en boîte, musique électro-rond dans leur salon, ils creusent des sillons aux allures derond dans leur salon, ils creusent des sillons aux allures deme, chabadabada... boum, pour qui tout ne va pas àme, chabadabada... boum, pour qui tout ne va pas àles-Corbières (11) et le 4 février à Chanac (48)les-Corbières (11) et le 4 février à Chanac (48)

ntempestifsntempestifs

en remix, ils rayent le disque deen remix, ils rayent le disque den en boîte, musique électro-n en boîte, musique électro-eusent des sillons aux allures deeusent des sillons aux allures de, pour qui tout ne va pas à, pour qui tout ne va pas àévrier à Chanac (48)évrier à Chanac (48)

ue deue deo-o-res deres de

Josanne Rousseau - Compagnie La FabbricaJosanne Rousseau - Compagnie La Fabbricay a une force obstinée, celle de la vie qui repousse sur les bois qui vieillissent. »y a une force obstinée, celle de la vie qui repousse sur les bois qui vieillissent. »vies contradictoires et mitées, quand le temps a dissipé les illusions. Et pourtant, ilvies contradictoires et mitées, quand le temps a dissipé les illusions. Et pourtant, ilLagarce nous amène à poser un regard lucide sur nos amours en miettes et nosLagarce nous amène à poser un regard lucide sur nos amours en miettes et nosdésenchantement féroce, le collage tonique et plein d’humour de Jean-Lucdésenchantement féroce, le collage tonique et plein d’humour de Jean-Luc« Une danse au bord du gouffre… Terriblement flaubertien dans son« Une danse au bord du gouffre… Terriblement flaubertien dans sonDu 15 au 26 janvier à ParisDu 15 au 26 janvier à ParisLes Solitaires intempestifsLes Solitaires intempestifs

Les 17 et 18 janvier à SaturargueLes 17 et 18 janvier à SaturargueUne phrase pour ma mèreUne phrase pour ma mère

Compagnie La FabbricaCompagnie La Fabbricacelle de la vie qui repousse sur les bois qui vieillissent. »celle de la vie qui repousse sur les bois qui vieillissent. »

mitées, quand le temps a dissipé les illusions. Et pourtant, ilmitées, quand le temps a dissipé les illusions. Et pourtant, ilà poser un regard lucide sur nos amours en miettes et nosà poser un regard lucide sur nos amours en miettes et nosce, le collage tonique et plein d’humour de Jean-Lucce, le collage tonique et plein d’humour de Jean-Lucu gouffre… Terriblement flaubertien dans sonu gouffre… Terriblement flaubertien dans son

ParisParisntempestifsntempestifs

SaturargueSaturargueur ma mèreur ma mère

e sur les bois qui vieillissent. »e sur les bois qui vieillissent. »issipé les illusions. Et pourtant, ilissipé les illusions. Et pourtant, ilr nos amours en miettes et nosr nos amours en miettes et nosein d’humour de Jean-Lucein d’humour de Jean-Lucaubertien dans sonaubertien dans son

nt. »nt. »tant, iltant, ilt nost nos

voués à la figure à la fois tutélaire et défigurée de la mère.voués à la figure à la fois tutélaire et défigurée de la mère.mouvement tente de régler le compte des désirs, des angoisses et des chagrinsmouvement tente de régler le compte des désirs, des angoisses et des chagrinsd’apartés réflexifs et de digressions, s’enroule en un long lamento-bouffe. Sond’apartés réflexifs et de digressions, s’enroule en un long lamento-bouffe. SonUne “phrase”, unique, ressassée, scandée de refrains obsessionnels, trouéeUne “phrase”, unique, ressassée, scandée de refrains obsessionnels, trouéeUn hallucinant monologue de Christian Prigent.Un hallucinant monologue de Christian Prigent.

donné au public. Au sein de « 96 détails », œuvre globale fragmentée initiée surdonné au public. Au sein de « 96 détails », œuvre globale fragmentée initiée surSavant mélange chorégraphique et numérique, l’œuvre est un libre rendez-vousSavant mélange chorégraphique et numérique, l’œuvre est un libre rendez-vous"Traces" est la nouvelle expérimentation de la compagnie globe-trotter Mulleras."Traces" est la nouvelle expérimentation de la compagnie globe-trotter Mulleras.Du 24 au 26 janvier à Saint Jean de Védas (34) et le 16 mars à Nîmes (30)Du 24 au 26 janvier à Saint Jean de Védas (34) et le 16 mars à Nîmes (30)96 Détails - "Traces"96 Détails - "Traces"

ois tutélaire et défigurée de la mère.ois tutélaire et défigurée de la mère.égler le compte des désirs, des angoisses et des chagrinségler le compte des désirs, des angoisses et des chagrinse digressions, s’enroule en un long lamento-bouffe. Sone digressions, s’enroule en un long lamento-bouffe. Sonressassée, scandée de refrains obsessionnels, trouéeressassée, scandée de refrains obsessionnels, trouéegue de Christian Prigent.gue de Christian Prigent.

in de « 96 détails », œuvre globale fragmentée initiée surin de « 96 détails », œuvre globale fragmentée initiée surgraphique et numérique, l’œuvre est un libre rendez-vousgraphique et numérique, l’œuvre est un libre rendez-vouse expérimentation de la compagnie globe-trotter Mulleras.e expérimentation de la compagnie globe-trotter Mulleras.Saint Jean de Védas (34) et le 16 mars à Nîmes (30)Saint Jean de Védas (34) et le 16 mars à Nîmes (30)races"races"

e la mère.e la mère.des angoisses et des chagrinsdes angoisses et des chagrinsun long lamento-bouffe. Sonun long lamento-bouffe. Son

rains obsessionnels, trouéerains obsessionnels, trouée

globale fragmentée initiée surglobale fragmentée initiée surœuvre est un libre rendez-vousœuvre est un libre rendez-vousmpagnie globe-trotter Mulleras.mpagnie globe-trotter Mulleras.t le 16 mars à Nîmes (30)t le 16 mars à Nîmes (30)

grinsgrinsononee

sursurvousvousras.ras.

Internet Internet donné au public. Au sein de « 96 détails », œuvre globale fragmentée initiée surdonné au public. Au sein de « 96 détails », œuvre globale fragmentée initiée sur

www.mulleras.com,www.mulleras.com,

facettes.facettes.multiples fragments d’un univers artistique à géométrie variable et à multiplesmultiples fragments d’un univers artistique à géométrie variable et à multiplesdialogue chorégraphique et graphique « corps / image » propose sur scène dedialogue chorégraphique et graphique « corps / image » propose sur scène deartistiques. Créée en 2006, "Traces" en est la première phase scénique. Ceartistiques. Créée en 2006, "Traces" en est la première phase scénique. Ce

in de « 96 détails », œuvre globale fragmentée initiée surin de « 96 détails », œuvre globale fragmentée initiée surcom,com,

un univers artistique à géométrie variable et à multiplesun univers artistique à géométrie variable et à multiplese et graphique « corps / image » propose sur scène dee et graphique « corps / image » propose sur scène de006, "Traces" en est la première phase scénique. Ce006, "Traces" en est la première phase scénique. Ce

divers modules ponctueront trois années de travauxdivers modules ponctueront trois années de travauxglobale fragmentée initiée surglobale fragmentée initiée sur

métrie variable et à multiplesmétrie variable et à multiplesage » propose sur scène deage » propose sur scène demière phase scénique. Cemière phase scénique. Ceueront trois années de travauxueront trois années de travaux

sursur

vauxvaux

Annexe 4

La méthode de vielle à roue

Annexe 5

les cartes com • la compil

DE JEAN-LUC LAGARCE

LES SOLITAIRESINTEMPESTIFS

Annexe 6

Jean Pons accordéoniste de l'Aubrac

Annexe 7Les réunions et temps de concertation

� 20 janvier : réunion du comité de pilotage “enseignements artistiques et territoires” :⇨ rapport d’étape et validation du cahier des charges modifié,⇨ validation du panel de structure enquêtées,⇨ validation des outils d’enquête et d’analyse.

� 31 janvier : premier RDV avec le collectif Languedoc-Roussillon des Arts du Cirque : présentation des projets respectifsdans le domaine de la ressource.

� 17 mars : réunion de travail avec les membres des collèges :⇨ défintion de la notion de prise de risque artistique et financier,⇨ présentation des dispositifs d’intervention de l’association.

� 12 avril : premier RDV avec Eurek’Art : présentation des projets respectifs dans le domaine de la ressource.

� 13 avril : premier RDV avec Arpros : présentation des projets respectifs dans le domaine de la ressource.

� 14 avril : premier RDV avec la Fédération des Arts de la Rue : présentation des projets respectifs dans le domaine de laressource.

� 11 mai : premier RDV avec AREMA : présentation des projets respectifs dans le domaine de la ressource.

� 15 juin : réunion du comité de pilotage “enseignements artistiques et territoires” :⇨ validation des états des lieux en musique,⇨ présentation du document d'aide à la définition des schémas,⇨ aménagement du cahier des charges et prolongement de la mission.

� 27 juillet : Réunion avec les fédérations régionale et départementales de musiques actuelles :⇨ les besoins en formation spécifiques au secteur,⇨ projets respectifs en matière d’information, de rencontres professionnelles, et de ressource.

� 18 octobre : réunion de concertation sur la ressource :⇨ présentation du projet de l’association dans ce domaine,⇨ inventaire des besoin : information, ressource, formation,⇨ présentation des modalités de partenariat.

� 1er novembre : réunion du comité de pilotage « Répertoire de la formation continue »⇨ validation du cahier des charges de la mission,⇨ élaboration des questionnaires d’enquête,⇨ validation du panel de structures de formation à enquêter.

� 5 décembre : dernier comité de pilotage “enseignements artistiques et territoires” :⇨ validation de l’ensemble des rapports,⇨ présentation du cédérom qui sera publié début 2007,⇨ présentation des 25 cartographies de l’enseignement en région.

� 13 décembre : réunion de concertation sur la ressource :⇨ quels outils mutaliser à l'échelon régional ?⇨ définition de chantiers prioritaires : bases de données diffuseurs et lieux, offres d’emploi,⇨ présentation du répertoire régional de la formation,⇨ présentation du projet de formation collectif autour des métiers de la production musicale.

� 15 décembre : comité de pilotage de la formation aux métiers de la production musicale⇨ défintion des objectifs, contenus,⇨ définition des modalités pédagogiques,⇨ validation de l’organisation générale et des modalités de recrutement.

8 et 9 février / 7 et 8 décembre : Présentation de travaux chorégraphiques

Objectif : Créer une rencontre entre les experts de la Commission Interrégionale, réunis par la DRAC Languedoc-Roussillon, et des compagnies chorégraphiques de la région ayant déposé une demande de subvention pour l’année 2006.

Moyens : Organisation de deux journées de visionnage sur le plateau du Théâtre de Villeneuve lès Maguelone en février et à l’Espace Bernard Glandier en décembre.Participants, public : 10 experts de la commission interrégionale présents en février, 12 experts présents en décembre. 16 compagnies en février, 15 en décembre.

11 avril : Présentation de Xitation au Théâtre de Villeneuve-les-Maguelone

Objectif : Présenter « Xitation », d’Emmanuel Darley, interprété par le Théâtre de la Mauvaise Tête (Marvejols), aux programmateurs de la région.Moyens : Organisation d’une rencontre professionnelle, à la Grande Ourse.Participants, public : 15 programmateurs venus des Pyrénées-Orientales, de l’Aude, de l’Hérault et du Gard.

20 juin : Journée d’information sur les nouveaux financements européens

Objectifs : Permettre aux porteurs de projets culturels d’identifier les programmes de financements européens.Appréhender à la fois : la politique communautaire en matière de culture, les fonds communautaires liés à cette politique, les fonds communautaires connexes à la culture (éducation, jeunesse, formation, …), la logique des fonds structurels (FSE, FEDER).Moyens : Accompagnement d’ARPROS dans l’organisation de la rencontre (définition des contenus, choix des intervenants), participation au financement de la journée.Participants, public : environ 105 participants ont suivi toute ou partie de la journée

2 juillet : Festival Montpellier danse

Objectif : Favoriser les rencontres et les échanges entre les programmateurs et les journalistes présents sur le festival et les compagnies de la région.Moyens : Participation à l’organisation d’une rencontre pour permettre aux compagnies de mieux faire connaître leurs spectacles.

13 au 16 juillet : Rencontres internationales de luthiers et maîtres sonneurs

Objectif : Faire la promotion des groupes de musiques traditionnelles de Languedoc-Roussillon à Saint-Chartier.Moyens : Prise en charge d’un stand commun avec l’Adda. Scènes Croisées et El Marbre/Cimp. Accompagnement du groupe « Taraf Goulamas », programmé par le festival.

11 août : Les Méditerranéennes d’Argelès

Objectif : Favoriser le débat d’idées sur la question des réseaux et de l’accompagnement des artistes dans le cadre de l’Euro région.Moyens : Participation à l’organisation de la rencontre et prise en charge de la rémunération des intervenants.

15 septembre : Festival Montpellier à 100 %

Objectif : Inscrire un temps de réflexion avec les acteurs culturels des musiques actuelles en Languedoc-Roussillon autour du thème « de la structure à la structuration ».Moyens : Participation à l’organisation de la rencontre et prise en charge de la rémunération des intervenants.Participants, public : plus de 80 acteurs des musiques actuelles présents à la plénière du matin ou au sein des deux ateliers de l’après-midi.

22 septembre : Festival « Label Rue »

Objectif : Initier une discussion sur les questions rattachées aux problématiques de réseaux et de coopération interrégionale.Moyens : Participation à l’organisation de la rencontre et prise en charge de la rémunération des intervenants.

6 au 8 octobre : Festival « Art’ Pantin »

Objectif : Initier une réflexion sur la question d’un Pôle Ressource Marionnette en Languedoc-Roussillon.Moyens : Participation à l’organisation de la rencontre et prise en charge de la rémunération des intervenants

4 décembre : Villeneuve-lez-Avignon

Objectif : Proposer une conférence-débat sur le thème de la scénographie pour sensibiliser les professionnels des arts de la scène aux enjeux artistiques, financiers et techniques.Moyens : Co-organisation avec l’ARCADE PACAParticipants, public : La journée a rassemblé au total plus de 120 personnes, metteurs en scène, artistes, ou bien encore plasticiens et architectes, dont un quart de la région Languedoc-Roussillon.

Annexe 8

Les rencontres professionnelles

Annexe 9

CD enseignements artistiques et territoires

Réseau en scène, Languedoc-Roussillon8, avenue de Toulouse34070 Montpellier04 67 66 90 90contact@reseauenscene.frwww.reseauenscene.fr

La loi du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales clarifie

les responsabilités des différents niveaux de collectivités locales et de

l’État dans le domaine des enseignements artistiques spécialisés.

Les Communes ou leurs groupements organisent et financent les

missions d’enseignement initial, les Départements adoptent un schéma

départemental de développement des enseignements artistiques

spécialisés et participent au financement des établissements pour assurer

l’égal accès des élèves à l’enseignement initial.

Les Régions organisent et financent quant à elles le cycle d’enseignement

professionnel initial.

Afin d’inscrire la région Languedoc-Roussillon région dans une dynamique

partenariale forte, l’État, au travers de la DRAC Languedoc-Roussillon, et

la Région ont confié à Réseau en scène, Languedoc-Roussillon la

mutualisation des travaux d’états des lieux départementaux pour l’ensemble

des esthétiques musicales, chorégraphiques, théâtrales mais aussi en ce

qui concerne les arts de la piste et de la rue.

Ce cédérom est donc la concrétisation finale de ces 15 mois de travail

d’enquête, de statistique, de cartographie et d’analyse.

Formulons le voeu qu'il fournisse à chacun d’entre vous les outils

nécessaires à la mise en place de ces schémas.

Michel Thenault Georges FrêchePréfet de la Région Président de la RégionLanguedoc-Roussillon Languedoc-Roussillon

Annexe 10

Répertoire régional de la formation continuedans le spectacle vivant

Annexe 11

Formation Technicien du Spectacle VivantMèze

Bilan 2006

Documents

Le contrat de bon usage du médicament, des produits et prestations Bilan Rapport d’étape 2006

Regards de l'Agam n°7 - HABITAT - Suivi des logements réalises sur MPM bilan 2006-2011

Bilan 2006-2009 et projet 2012-2015

Le marché de la vidéo : bilan 2006 et perspectives 2007

Bilan du Programme européen Jeunesse (2000-2006)

Bilan des activités 2006 sur la thématique « autoprotection »

BILAN COMPARATIF DU POUVOIR AZALI - 2000-2006

RAR Académie de Reims 2006/2010 Le moment du bilan

La sécurité routière en France Bilan de l’année 2006 13 juillet 2007

Bilan APEL de l’année 2005/2006

Bilan Carbone – Lalimentation 2006 Henri Bergson Quel est le bilan carbone de lalimentation de létablissement ? Et comment agir ? ABDELAZIZ Tarek JAOUEN

Bilan Social 2006

Bilan 2006-2007 Activités

Bilan social 2006 SNCF Client�les

Plan psychiatrie et santé mentale : Le bilan 2006-2007

Bilan 2006-2007 Séance plénière du Mercredi 23 Octobre 2007

Bilan des activités 2006 Perspectives 2007Perspectives ...€¦ · Dermatologie Douleur Ganglion sentinelle Imagerie médicale ... En 2006 : 20 500 dossiers enregistrés correspondant

Base de données : Bilan 2007 Chantier 2008. Bilan 2007 –Le baguage en 2006 –Les non-renseignés (Orphelines) –Activités de gestion de la base –Le baguage

Réunion Couplage CNRM / CERFACS (14 nov 2006) A) Bilan des actions (post-17 oct.) : - (calendriers ?) ; liste des critères - bilan des runs CERFACS & CNRM

Bilan 2006