Tous les poèmes qui vont suivre ont été regroupés par thèmes.

Ils traitent des sujets comme l’amour, la spiritualité, l’amitié, la mort, etc.

Je les ai tous rédigés au clavier et j’en ai mis la plupart sur mon compte

Facebook : David Paillot.

Je me suis rendu compte que plus je les tapais spontanément, intuitivement, et

sans réfléchir, plus ils étaient jolis et agréables à lire.

J’en ai donc rédigé beaucoup en suivant ce même processus de création.

Seulement, ma créativité ne fonctionne que lorsque je suis vraiment inspiré,

enthousiaste, confiant et énergique, ce qui ne m’arrive pas tous les jours.

Dans tous les cas, si, aujourd’hui, je ne suis pas satisfait d’un poème que j’ai

écrit il y a longtemps, je me ferai une joie de le réécrire, afin que vous puissiez

l’apprécier davantage.

Je remercie tous mes lecteurs et lectrices et tous ceux et celles qui m’ont incité

à faire ce recueil.

Je vous souhaite à tous et à toutes, une excellente lecture !

Je ressens un véritable amour

Quand mon cœur rayonne tout autour

Quand il est présent à toute la réalité

Et qu’il est ouvert à la spiritualité

Etre en phase avec l'amour

C'est vivre consciencieusement

Quand on arrive tout doucement

A apprécier l'instant présent

L’amour de tout ce qui est connu

Nous permet d’aimer l’inconnu

On avance vers notre lendemain

Notre cœur aimant notre destin

L'amour est le contraire de la crainte

Car quand on aime, on ne craint plus

Aimer, c'est voir son âme étinceler

Tandis que craindre, c'est la voir s'éteindre

Quand j'aime l'amour et que j'aime la peur

Tout ce qui m'entoure ne me fait plus peur

Car la peur est une protection de l'amour

Et l'amour est un gardien de la peur

C'est en agissant purement par amour

Que mon âme brillera pour toujours

Car je n'aurai plus jamais la poisse

Car mon amour taira mes angoisses

Pourquoi faire le premier pas

Si notre amour ne le veut pas

Et pourquoi juger l’autre d’égoïste

Si, en nous, une rancœur subsiste

Quand nous sentons que l'autre n’est pas prêt

Pourquoi s’approcher de lui si près

Surtout s’il a besoin d'air pur

C’est pour cela qu'il est parfois si dur

Et pour conclure : il faut s'aimer librement

Sans vouloir, pour l'autre, être un aimant

Nous devons lui laisser toute la liberté

Pour être aimé avec authenticité

Quand on n'a pas d'amis

On se noie dans un tsunami

D'une tempête emportant les flots

Des larmes qui en sont notre lot

Quand on se trouve un nouvel ami

On a des difficultés réelles avec lui

Il y a certaines incompréhensions

Et des malentendus d'intentions

Quand on a un véritable ami

Il devient l’ange-gardien de notre vie

Et on gagnera toujours en fierté

Par la puissance de son amitié

Ne croyez plus que la vie est éphémère

Qu'elle est mourante ou noyée en mer

En ce qui me concerne, j'ai choisi de vivre

Ma vie librement et de lire des livres

Car je n’ai jamais été une rature

Je ne dois pas avoir peur du futur

Puisque dans l'éternité

La vie continue et est illimitée

Pourtant, tout présageait la mort

Dans mon âme et dans mon corps

Mais c'est par une nouvelle énergie

Que se révèle en moi la vie

Dans la mort survit

Notre étincelle de vie

Notre âme est hors de la chair

Puis devient corps de lumière

Quand on s'aime vraiment

On sème énormément

Des graines d'amour de vie

Qui fleuriront à l'infini

S’aimer vraiment maintenant

Fera qu’à la fin des temps

Rien ne pourra plus comme avant

Vous séparer dorénavant

Je pose un acte de foi

D'un amour qui me laisse sans voix

M'émerveillant au quotidien

En découvrant qui sont les miens

Mon cœur était refroidi

Aujourd'hui, c'est une bougie

Qui éclaire, réchauffe, et béni

Tous les gens de cette vie

Je n’ai désormais plus honte

D'être impur ou imparfait

Car ce qui compte je le sais

C'est le bien que je vous fais

Quand j'écoute un art triste

Comme du Kerry James, un artiste

Un écoulement de toutes les larmes

Me fait déposer toutes mes armes

Lorsqu'il pleut dans toute mon âme

Et qu’aucune étincelle ne s’enflamme

Je laisse couler tout le mal sur mes yeux

Afin que derrière la pluie, je puisse voir Dieu

Pour que mon cœur et mon âme soient purifiés

Je me dois parfois de pleurer et d’être attristé

Car la tristesse exprime le lourd et le danger

Et l’allégresse exprime le léger sans déranger

Les gens sont tous des anges

Et vont bientôt comprendre

Que leur but est leur essence

C'est leur âme, leur existence

Qui gronde en elle et les inonde

En un désir et une paix profonde

J'aime les anges car au fond

Une large partie de nous le sont

Alors retenez bien cette leçon

La sagesse et la lumière le sont

C'est le ciel de votre vie

C'est l'essentiel de votre âme infinie

Il y a tellement d’espoir

Dans le fait de croire

En Marie et en Dieu

Que l’on ne peut qu’aller mieux

L'amour de Dieu

Fait qu’on est mystérieux

L'amour de Marie

Fait qu’on lui sourit

Merci de supprimer nos misères

Et d’exhausser nos prières

Pour guérir nos cœurs lourds

Afin que l’on découvre l’amour

Souvent, les gens confondent

Les saints et les messies

Mais Bouddha et Jésus-Christ

Sont tous les deux, l'amour infini

Bouddha enseignait la voie du milieu

Et nous devons comprendre ce que signifie

Cette voie médiane entre les extrêmes infinis

Bouddha enseignait-il la même voie que Jésus-Christ ?

Jésus disait qu'il était au milieu

De nous et qu'il y avait

En nous, le royaume des cieux

Donc Bouddha, d'une certaine façon, croyait en Dieu

Quand on écoute son prochain

On reçoit des messages divins

Quand on ne tend plus l'oreille

Il n'y a plus rien, plus de merveilles

Ecouter l'autre apporte la joie

Surtout quand on a la foi

Car Dieu nous révèle

Tous les mystères du réel

De tout ce qu'on croit acquis

Rien n'est vraiment conquis

Notre inconscient doit se réveiller

A travers les échanges éveillés

Nos souffrances sur terre sont éphémères

Dieu nous aime pourtant comme notre mère

Et malgré nos ressentis parfois désagréables

Il faut s’aimer, être gentil et bien aimable

Dieu n'est pas comme le monde nous le décrit

C'est l’être le plus merveilleux et le plus gentil

L'invoquer humblement chez soi et en silence

Nous donnera plus de sagesse et de patience

Vouloir impérativement comprendre Dieu

C'est se questionner pour faire de notre mieux

Mais comprendre véritablement Dieu

C'est, devant le pire, agir toujours mieux

Ce matin, mon réveil a sonné

C'est le réveil de ma psyché

Nul besoin d'entendre une sonnerie

Pour sursauter de mon lit

Se réveiller est un acte divin

Car c'est Dieu qui nous réveille

Nulle volonté en nous ne pourrait faire

Ce que le seigneur en nous préfère

Petit déjeuner équilibré

Ou grignotage : un peu moins sage

Mais dans tous les cas, j'accumule

De l'énergie en moi qui circule

Rire innocemment

Rend les gens bienfaisants

Mais rire méchamment

Peut les rendre malfaisants

Quand Dieu, en nous, sourit

Notre prochain est conquis

Et quand celui-ci nous répond

Nous savons qu’il sera bon.

Rire d'un cœur tout plein

De bon sentiments non vains

Sans besoin de boire du vin

C'est cela le rire divin

Nous avons tous, nos zones d'ombre

Que la lumière de Dieu inonde

Et pour qu'elles soient toutes noyées

Nos âmes doivent être nettoyées

Or, nous pensions être de l'ombre, pas un trésor

Qu'aucune lumière ne pouvait nous changer en or

Mais Dieu est plus fort que nous, surtout à midi

Quand c'est l'heure d'accumuler beaucoup d'énergie

La patience et la foi sont nos maîtres mots

Quand notre inconscient souffre de tant de maux

Et qu'il garde en lui des secrets si douloureux

Que seul l'éternel peut nous rendre heureux

Nous avons tous, nos zones de lumière

Dont Dieu en est vraiment très fier

Mais pour qu'elles croissent encore et toujours

Un seul moyen : c'est de croire et d'être en amour

La lumière, c'est comme la vérité

On l'acquiert comme de la générosité

Quand on la perd, on est heurté

Par notre manque de sainteté

Il est possible d'être lumineux

Sans pour autant briller de mille feux

Car ce qui compte avant tout

C'est d'aimer son prochain, c'est tout

Il est possible d'être à l'écoute

De la nature, coûte que coûte

Sans jamais laisser tomber

Ce pour quoi nous sommes nés

Parler à Dieu, c'est parler à l'homme

Quand de toute notre âme, nous sommes

Un avec lui, et la conversation s'ensuit

C'est tout l'art d'écouter autrui

Nous parlons sans cesse à Dieu

Quand en chemin, nous voyons de nos yeux

Des gens et des êtres qui nous sont chers

A qui nous parlons comme à des frères

La peur, c'est le contraire de l'amour

C'est se soustraire à tous les alentours

Lorsque son cœur se froisse

Et que pour rien, on angoisse

L'angoisse c'est l'anticipation

Mais une fois passager d'un avion

On devrait faire plus qu'un avec lui

Au lieu de craindre les pires soucis

Le divin est la seule réponse à notre peur

Quand il nous aide de tout son cœur

En nous montrant ce qu'est le positif

Pour être de moins en moins réactif

Quand tu as vraiment peur

Tu es toujours en terreur

Face aux forces de l’horreur

Qui te font croire au malheur

Pourtant, tout autour de toi est amour

Et sans peser le contre mais le pour

Tu verras, en toi, que l’amour

Demeurera pour toujours

Ainsi, cesse donc de craindre le pire

Pense donc à l'amour, au sourire

Et tout le mal en toi disparaîtra

Et de la peur tu triompheras

Je suis inacceptable

Quand je méprise mon semblable

Et c'est un manque d'humilité

Que de le juger avec sévérité

J’aime me sentir petit et moins orgueilleux

Dans cet univers si merveilleux

Et les gens, les plantes, les animaux

Devraient toujours être placés avant mes maux

Etre humble c'est découvrir l'amour

De tous les êtres qui nous entourent

Etre partisan de l'humilité

C'est respecter toute la réalité

Elle est triste et stressante

Cette liste attristante

De personnes oubliant

Pourquoi ils sont vivants

Il est difficile de rester zen

Dans une attitude sans haine

Lorsque les gens autour sont stressés

Mais il faut apprendre à les laisser

J'aspire à être zen

Je ne combattrai plus la haine

Que les gens se portent entre eux

Lorsqu'ils oublient d'être heureux

Alors qu'une douce mélodie me vient

Par les voies du va et vient

De fréquences oscillantes

Je créé de la musique lente

Quand soudain le rythme s'accélère

Je m'exerce et fredonne un air

Qui d'un seul coup est plus rapide

Ce qui rend ma musique plus limpide

La rendant chaleureuse et aimable

Heureuse et agréable

Je suis un poète de la musique

Un créateur artistique

La plus belle des empathies

C'est d'aimer la nature, la vie

Les animaux, les plantes, l'univers

Quand bien même c'est un mystère

Tous les animaux sont naturels

Mais les automates : artificiels

L'homme est un mélange des deux

C'est pour cela qu'il se prend pour Dieu

Un animal de compagnie

Est comme un cierge, une bougie

Qui nous éclaire et nous sourit

De l'intérieur, il compatit

Dans la nature, la perfection perdure

Elle est toujours à l'état pur

Puis, se meurt et revit petit à petit

Et enfin, à nouveau, nous sourit

Les fleurs n'existeraient pas sans notre amour

Et rien ne sert de se battre tout autour

Car nous endurcirions davantage notre cœur

Et brulerions de rage tout notre bonheur

Je vous implore, mes frères et sœurs

De ne jamais prendre une fleur à la légère

De ne jamais en semer une, si c’est pour la tuer

De la laisser vivre et de vraiment l'aimer

Le nid d’une tourterelle

Est si propre, si beau, si naturel

Que pour rien au monde je ne voudrais manquer

La venue au monde de ces petits embarqués

Car quand bien même il y aurait un problème

Avec ses futurs tourtereaux, un dilemme

Je ne crois pas qu’une seule puissance au monde

Ne pourra empêcher leur venue au monde

Car quel que soit la dimension où ils seront nés

Flottant au-dessous ou au-dessus des nuages d’été

Ce seront toujours eux qui seront les messagers

De notre fardeau, de notre corps âgé

De bons enfants, de bons parents

Tous ayant communément

Le même soupire, le même temps

Le même sourire, le même sang

Photographiée en un instant

Cette famille qui s'aime autant

Si on la prend comme un exemple

Nos âmes seront plus amples

Devant une personne qui s'essouffle

Offrons-lui un second souffle

Car nous sommes tous frères

Et nous ne devons pas nous taire

Beaucoup d'entre nous aiment le confort

Comme vivre dans un château fort

Sauf ceux qui ne font plus l'effort

De prendre soin d'eux, d'être forts

Mais certains d'entre nous ont oublié

De vivre leur vie sans se replier

Et ne font plus le bien autour d'eux

Comment peuvent-ils vivre mieux ?

D'autres encore préfèrent l'austérité

Car leur richesse serait pire que la pauvreté

Alors ils s'endorment chaque jour, en vérité

En pensant au confort de leur sobriété

Le froid est l'absence de chaleur

Quand on a froid dans son cœur

On peut s'accorder quelques frittes

Bien chaudes, bien cuites

La chaleur de son corps s'élève

Quand on attrape une bonne fièvre

Et qu'on n'a pas porté de bons vêtements

Et qu'il faut prendre des médicaments

La vie est faite de chaleur et de froid

Et Noël procure aux pauvres, de l'effroi

Quand les autres bienheureux se cajolent

Et que personne d’entre eux ne les console

D'un temps en noir et blanc

Plusieurs nuances apparaissant

De claires couleurs rejaillissant

De l’hiver au printemps

Tous les oiseaux et tourterelles

Egayent les cœurs des demoiselles

Tous les messieurs et mesdames

Et les enfants aux petites âmes

Ecoutons ce doux et humble charme

De tous ces oiseaux sans armes

Dont les plus beaux sifflements

Emerveilles les petits et les grands

J'ai ouvert ma fenêtre

Et je viens de renaître

Car mon essoufflement est allé paître

L’oxygène vient de réapparaître

Seulement, je dois comparaître

Devant l’air pollué et traître

Pour rimer peut-être

Et faire comme les poètes

L’air tourne, tourne, comme une girouette

De vents et marrées et tempêtes

Qui vont et viennent et s'empêtrent

Dans les océans et îles désertes

Le jour se lève

Et de mon lit, je me lève

La souffrance en moi grandi

Et de l'intérieur une voix me dit

Que nous tombons en longue maladie

Quand nous ne vivons pas en harmonie

Quand notre cœur, sous un voile, veille

Et n’est plus acteur des étoile s, des soleils

Je ferai encore quelques pas avec elle

Et un jour, je volerai de mes propres ailes

Ma guérison apparaîtra comme un soleil

Et je ferai plein de merveilles

Je commence à guérir

Quand je laisse mon cœur s'ouvrir

A toute la plénitude de choisir

La guérison au lieu de souffrir

Quant à toutes mes souffrances vaincues

Je remercie le ciel de les avoir vécues

Car même si elles ne le sont pas toutes encore

Je ressens déjà la guérison dans tout mon corps

Quant à mon âme

Je ressens déjà une grande flamme

Qui s'allume de multiples guérisons

Et qui brillera pour toujours et pour de bon

Je te souhaite la guérison totale

Toi qui a une âme infinie et fractale

Toi qui guérira à tort ou à raison

Je t'envoi plein d’amour dans ta maison

Et pour tout ton avenir

Je t’envoi tes tonnes de sourires

Et pour tout ton futur

Vraiment très peu de ratures

Tu auras bien des obstacles

Mais jamais loin sera ton miracle

Pour ta vie et pour tes envies

De renaître dans cette vie

Le maître requiert

Force, énergie et lumière

Pour redistribuer tout ceci

Aux étrangers et à ses amis

Il réussit toujours ce qu'il entreprend

Et tout, autour de lui, le lui apprend

A demeurer sage en chaque instant

A éclairer ce qui est sombre tout le temps

Le maître n’aime pas forcément être un gagnant

Car il a de cœur à faire gagner tous les gens

Qu'ils échouent ou ratent leur mission

Il aura toujours une bonne réaction

Nous devons tous nous entraider

Car c'est le rôle de l'humanité

Celui qui a besoin des siens

Recherchera toujours des liens

Nous devons tous nous entraider

Car depuis que nous sommes nés

Nous avons tous une seule destinée

C'est d'être heureux et d’être aimé

Enfin, l'entraide est nécessaire

Tel un buffet d'aide où l'on se sert

Où chaque nourriture spirituelle

Répondra à notre appel à l'aide

On s'épanoui

En même temps que les fruits

Ils mettent 3 saisons

Pour tomber sur le gazon

De l'Eté, de la floraison de l'âge de raison

De l'Hivers, qui met au monde une nouvelle âme

D'un ancien sage qui sait qu'il fane

Du Printemps de la renaissance de sa flamme

Qui reproduira à l'infini

La conscience de son génie

C'est cela que j'appelle

L'épanouissement du ciel

L'éveillé du cœur

Est toujours de bonne humeur

Dans la joie ou dans la difficulté

Il sait ce qu'il doit partager

L'amour, encore l'amour et pour toujours

De l'or, semer de l'or, encore et encore

Et nos âmes qui s'éveilleront au prochain aurore

Ces diamants bruts et translucides, et tous ces trésors

Qui éveilleront notre conscience

Et ranimeront notre espérance

Car c'est le rôle de l'éveillé du cœur

Que de nous le faire apprendre par cœur

Et voilà ! J’espère que les poèmes que vous venez de lire vous auront procurer

du plaisir !

Sachez néanmoins que je remettrai certainement, un jour, à jour, ce recueil.

Car souvent, j’en rédige sur ma page Facebook : David Paillot.

Cordialement.

David Paillot, recueil écrit et terminé le 26/06/2013 à 16h24