Upload
marcel-louis
View
212
Download
0
Embed Size (px)
Citation preview
1
L
�
sd
p
d
L
�
rd
tlaa
m
d
L
�
fiorsêlpfqfl
psveaqalss
dsnm
14
ittérature
La maison aux trois jasmines, Janine Montupet. AlbinMichel (2007). 277 p. 18D , ISBN: 978-2-226-17945-6
Un roman nostalgique reposant sur des ficelles clas-iques, affublé d’une écriture classique parfois à la limitee l’ennuyeux.
Le thème traité aurait pu nous captiver. Il aurait fallu,our cela quitter les chemins éculés.
Pas emballant du tout.
Marcel-Louis Viallard
Disponible sur Internet le 25 mars 2008
oi: 10.1016/j.medpal.2008.02.021
ittérature
Cotterill C. La dent du Bouddha. Albin MichelCollection « Cadre Jaune ». 2007, ISBN978.2.226.17972.2. (282 p. 19,90D ).
Un polar britannique qui ne peut laisser indifférent. Onetrouve le fameux Docteur Siri Paiboun, médecin légisteans le Laos, communiste des années 1970.
Ce vieux toubib astucieux, riche des principes de laradition lao qu’un régime dur n’a pu faire disparaître tota-ement, va nous faire partager le chemin qui lui permettra,près maints rebondissements, de sortir de cette folle etudacieuse intrigue.
Ce roman policier est une anthologie du genre. Il pourraitême séduire les résistants au genre.À découvrir.
Marcel-Louis ViallardEMSP Necker Enfants Malades, AP—HP, 149,
rue de Sèvres, 75015 Paris, France
Adresse e-mail :
[email protected]Disponible sur Internet le 14 mars 2008
oi: 10.1016/j.medpal.2008.02.008d
À lire, voir, écouter
ittérature
Gavoille P. L’arbre dehors. Gunten. 2007, ISBN2.914211.55.4. (221 p. 20D ).
Un roman qui met en scène une femme amenée par sonls dans un centre de soins palliatifs. Pas de compassionutrancière, pas de pontife évoquant le bien ou le bon mou-ir. Non rien de tout cela. Juste des instants de vie qui’entrecroisent, qui participent à dire du vivant. Juste destres de vie qui se rencontrent, parfois se ratent l’un et’autre, mais qui toujours s’attachent à vivre réellement,rofondément, l’instant présent. Des êtres sensibles, par-ois généreux, parfois violents nous confient tour à tour ceu’ils ressentent. Les décalages de perception se font alorsagrants.
Patricia Gavoille a su, me semble-t-il, trouver le ton justeour dire de l’homme confronté au terme de sa vie. Toutimplement parce qu’elle le considère comme une personneivante, ici et maintenant. La malade, mourante, qui nousxprime sa colère devant l’incapacité qu’ont ses proches àborder avec elle le simple fait qu’elle va mourir. Le filsui doit ajouter à son chagrin de la perte proche de sa mèreimée, celui de son père enfermé dans l’incapacité à avouer’émotion et la peine qui l’étreignent. La jeune stagiaire qui’inculture progressivement dans la philosophie du prendreoin.
Puisse ce roman trouver un large public tant il est porteure ce que les uns et les autres nous tentons d’exprimer auein d’une société qui semble s’acharner à s’aveugler eniant jusqu’au mourir même de peur d’être confrontée à laort.Un livre à lire et à faire lire absolument.
Marcel-Louis ViallardEMSP Necker Enfants Malades, AP—HP, 149,
rue de Sèvres, 75015 Paris, France
Adresse e-mail :
Disponible sur Internet le 14 mars 2008
oi: 10.1016/j.medpal.2008.02.009