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A LA MEMOIRE DES 1 500 000 VICTIMES ARMENIENNES 24 Avril 2011 : 96ème anniversaire du génocide arménien de 1915 perpétré par le gouvernement Jeune-Turc 96 ans de déni : ça suffit ! -------------------------------------------------------------- ----- VEILLE MEDIA Vendredi 15 juillet 2011 Retrouvez les news sur notre site : http://www.collectifvan.org Rubrique Info Collectif VAN : http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1 et Rubrique News (Revue de Presse) : http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=4&page=1 SOMMAIRE Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN [Vigilance Arménienne contre le Négationnisme] vous propose une revue de presse des informations parues dans la presse francophone, sur les thèmes concernant la Turquie, le génocide arménien, la Shoah, le génocide des Tutsi, le Darfour, le négationnisme, l'Union européenne, Chypre, etc... Nous vous suggérons également de prendre le temps de lire ou de relire les informations et traductions mises en ligne dans notre

A LA MEMOIRE DES 1 500 000 VICTIMES … · Web viewAgenda - Parution du livre Le Cahier à fleurs, Tome 2 : Dernière mesure [Album] - Agenda Collectif VAN - - Le Cahier à fleurs,

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A LA MEMOIRE DES 1 500 000 VICTIMES ARMENIENNES24 Avril 2011 : 96ème anniversaire du génocide arménien de 1915

perpétré par le gouvernement Jeune-Turc96 ans de déni : ça suffit !

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VEILLE MEDIA

Vendredi 15 juillet 2011

Retrouvez les news sur notre site :http://www.collectifvan.org

Rubrique Info Collectif VAN : http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1

et Rubrique News (Revue de Presse) :http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=4&page=1

SOMMAIRE

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN [Vigi-lance Arménienne contre le Négationnisme] vous propose une re-vue de presse des informations parues dans la presse franco-phone, sur les thèmes concernant la Turquie, le génocide armé-nien, la Shoah, le génocide des Tutsi, le Darfour, le négationnisme, l'Union européenne, Chypre, etc... Nous vous suggérons égale-ment de prendre le temps de lire ou de relire les informations et traductions mises en ligne dans notre rubrique http://www.collec-tifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1. Par ailleurs, certains ar-ticles en anglais, allemand, turc, etc, ne sont disponibles que dans la newsletter Word que nous générons chaque jour. Pour la recevoir, abonnez-vous à la Veille-Média : c'est gratuit ! Vous rece-vrez le document du lundi au vendredi dans votre boîte email. Bonne lecture.

Turquie : Prix du journalisme turco-arménien

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org – Écrire sur les questions armé-niennes était tabou pour les journalistes turcs dans le passé », a déclaré le journaliste lauréat du Prix, Kadri Gürsel. « Je ne peux pas dire que ce tabou a été totalement brisé, cependant il n'est pas aussi fort qu'il l’était. Main-tenant nous pouvons écrire sur cette question plus librement. » Le Collectif VAN vous livre la traduction de l’article en anglais paru sur le site turc du journal Hurriyet Daily News le 8 juillet 2011.

Haut-Karabakh: Abad contre "la rhétorique belliqueuse de l'Azer-baïdjan" Info Collectif VAN - www.collectifvan.org – Le Collectif VAN vous invite à lire cette information publiée sur le site du Groupe du Parti Populaire Européen au Parlement européen le 6 juillet 2011. " Mercredi 6 juillet 2011, le Parle-ment européen interrogeait Catherine Ashton, Haute représentante pour les Affaires étrangères de l'Union européenne, sur la situation dans le Haut Karabakh. Damien Abad, Député Nouveau Centre au Parlement européen a été l'un des rares parlementaires européens à se rendre dans le Haut Ka-rabakh. "Je ne fais que constater l'escalade de la violence dans cette ré-gion, ainsi qu'une véritable course aux armements et une rhétorique belli-queuse de la part de l'Azerbaïdjan."

Karabakh: La Première Guerre post-soviétique Info Collectif VAN - www.collectifvan.org – Le Collectif VAN vous invite à lire une traduction de Gilbert Béguian d'un article en anglais mise en ligne sur le site de NAM (Nouvelles d'Arménie Magazine) le 11 juillet 2011. "Kara-bagh est une région peuplée en majorité écrasante par les Arméniens mais qui a été attribuée, par Joseph Staline, à la République Socialiste So-viétique d’Azerbaïdjan en 1921. A cette époque, Staline était commissaire aux nationalités, et conformément à sa stratégie diviser pour régner, il tra-çait souvent des frontières pour diviser les groupes ethniques. Ces fron-tières, dans le Caucase et en Asie Centrale, grèvent encore de nos jours les efforts pour y maintenir des relations pacifiques."

Collectif VAN : l'éphéméride du 15 juillet 2011 Info Collectif VAN - www.collectifvan.org – La rubrique "Ephéméride" du Collectif VAN a été lancée le 6 décembre 2010. Elle recense la liste d’évé-nements survenus à une date donnée, à différentes époques de l’Histoire, sur les thématiques que l’association suit au quotidien. L’éphéméride du Collectif VAN repose sur des informations en ligne sur de nombreux sites (les sources sont spécifiées sous chaque entrée). "6 au 15 juillet 1938 -- La conférence d'Évian sur les réfugiés, tenue du 6 au 15 juillet 1938, a consti-tué la démonstration publique la plus lamentable du refus général d'ac-cueillir les Juifs. La Conférence d'Évian de 1938 fut organisée à l'initiative du président des États-Unis d'Amérique, Franklin D. Roosevelt. Elle se dé-roula du 6 juillet au 16 juillet 1938 à Évian (France). Son but était de venir en aide aux réfugiés juifs allemands et autrichiens fuyant le nazisme, peu

après l'Anschluss. Elle ne déboucha sur aucune mesure concrète, hormis la création du Comité intergouvernemental pour les réfugiés (CIR). L'URSS, l'Italie fasciste et la Tchécoslovaquie n'ont même pas daigné envoyer un représentant. Les observateurs délégués par la Hongrie, la Pologne ou la Roumanie veulent juste savoir si l'on pourrait les aider à se débarrasser de leurs propres Juifs. Les autres pays ne veulent pas accueillir plus de réfu-giés. C'est l'époque où le Canada explique qu'aucun réfugié serait encore trop (« none is too many »), où les États-Unis et l'Amérique latine pas en-core remis de la Grande Dépression restreignent encore plus les entrées. La Suisse, jugeant par la bouche d'un conseiller fédéral que « la barque est pleine » (« Das Boot ist voll »), négocie avec les nazis pour refouler les ré-fugiés de son territoire : la Confédération demande elle-même à Berlin, et obtient en octobre 1938, que les passeports des Juifs allemands expulsés soient marqués de la lettre J à l'encre rouge indélébile. Assuré que l’étran-ger ne portera aucun secours aux Juifs, Hitler peut renforcer sa politique raciste et, parallèlement au succès de Munich, lancer la nuit de Cristal, puis le génocide lui-même."

Réunion "pivot" du groupe de contact sur la Libye à Istanbul La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton est arrivée vendredi à Istan-bul pour une réunion du "groupe de contact" sur la Libye. L'organisation va probablement débattre de la recherche d'un règlement négocié avec le ré-gime de Mouammar Kadhafi, en l'absence de résultats militaires.

Haut-Karabakh: Moscou prône le maintien du statu quo Lors de la saison politique (automne 2010 – été 2011) qui s’achève, la Rus-sie a fait des tentatives répétées pour sortir de l’impasse le conflit armé-no-azerbaïdjanais du Haut-Karabakh. La dernière rencontre des présidents azerbaïdjanais, arménien et russe s’est tenue en juin 2011 à Kazan et n’a mené à rien. A l’issue des négociations, comme toujours, Bakou et Erevan se sont mutuellement accusés de poser des obstacles aux ententes, et le président azerbaïdjanais Ilham Aliev a une nouvelle fois rappelé que la pa-tience de Bakou avait des limites et qu’en principe la guerre n’était pas terminée. Les commentateurs se sont empressés, avec joie ou tristesse, d’informer de l’échec des efforts de médiation de la Russie. Mais cette ap-préciation est injuste.

Réunion charnière du groupe de contact sur la Libye Les pays de l'Otan et les puissances arabes sont réunis vendredi à Istanbul pour une nouvelle réunion du groupe de contact sur la Libye qui intervient à un moment charnière entre absence de progrès militaires et spéculations sur les intentions de Mouammar Kadhafi.

Turquie : regain de violence entre rebelles du PKK et l’armée En Turquie, au moins 13 soldats ont été tués et 6 autres blessés dans des affrontements avec des rebelles, dans le sud-est du pays, majoritairement

kurdophone. Plusieurs d’entre eux seraient dans un état très critique.

L'ONU admet le Soudan du Sud comme nouveau membre L'Assemblée générale de l'ONU a voté jeudi par acclamation l'admission de la République du Soudan du Sud, qui a proclamé son indépendance le 9 juillet, comme nouvel Etat membre de l'Organisation des Nations Unies.

Dépêche de l'APA [ 15 jui 2011 12:00 ] - Agence de Presse d'Azer-baïdjan Le Collectif VAN vous propose un article de l'APA (Agende de presse azérie) daté du 15 juillet 2011. Les articles de ce site (écrits généralement dans un français rudimentaire) ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve. "Les discussions sur le conflit de Haut-Karabagh figure au menu de la visite de la Secrétaire d’état américaine Hillary Clinton en Turquie."

Ankara et Téhéran doivent œuvrer pour empêcher une guerre sun-nito-chiite Rencontre Une délégation de jeunes responsables du parti AK, celui du Premier ministre turc, a visité le Liban afin d’y rencontrer des autorités de tous bords et de consolider les relations bilatérales. « L’Orient-Le Jour » les a rencontrés.

L'info vue par la TRT (2) Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télévision & Ra-dio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide ar-ménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve. "Un som-met « tripartite » s’est tenu après un long intervalle au Palais de Çankaya. Le président de la République Abdullah Gül, le Premier ministre Recep Tayyip Erdoğan et le chef d’Etat-major le général Işık Koşaner se sont réunis."

Impliqué dans l'affaire des matchs truqués en Turquie, Besiktas rend sa coupe Le club du Besiktas Istanbul a annoncé jeudi qu'il allait rendre à la Fédéra-tion turque de football (TFF) le trophée qu'il avait remporté la saison der-nière lors de la Coupe de Turquie, après le placement en détention provi-soire pour matches truqués de deux de ses cadres tard mercredi. "Nous avons dit à Mehmet Ali Aydinlar [le président de la TFF] que nous voulions restituer la coupe […].

Soprano : "Participer au concert de SOS-Racisme est un acte ci-toyen" SOS-Racisme organise, mercredi 14 juillet, un "concert pour l'égalité" sur

la pelouse du Champ de mars à Paris. L'association souhaite "réunir tous ceux, qui face à une ambiance lourde, faite de libération de la parole ra-ciste [...] sont attachés au vivre-ensemble et refusent de voir se construire une société de la haine de l'autre". Le rappeur participe ce 14 juillet au concert contre l'"aigreur" ambiante organisé par l'association SOS-Racisme sur le Champ de mars.

Grèce-EFG Eurobank envisage de vendre sa filiale en Turquie La banque grecque EFG Eurobank a entamé des discussions préliminaires en vue de la cession d'une part majoritaire de sa filiale turque Eurobank Tefken. Deuxième établissement bancaire grec, EFG Eurobank s'efforce, comme ses concurrents nationaux, de renforcer ses fonds propres pour faire face aux pertes entraînées par la crise de la dette.

La Turquie brandit la menace d’un gel des relations avec l’UE lors de la présidence chypriote Cette présidence n’interviendra que dans un an en juillet 2012 mais Anka-ra a pris les devants. Et c’est le chef de la diplomatie turque qui a jeté ce pavé dans la mare.

Istanbul se dit prête pour les JO de 2020 Istanbul est prête à déposer sa candidature pour les Jeux olympiques de 2020, a indiqué mercredi le ministre des sports de la Turquie. Suat Kilic a déclaré au réseau turc de CNN que la Turquie était disposée à répondre à tous les critères requis.

Le gouvernement turc remporte le vote de confiance Le nouveau gouvernement turc a remporté mercredi un vote de confiance au parlement à Ankara. Le 61ème gouvernement de la Turquie a remporté un vote de confiance au Parlement en obtenant 322 voix sur les 550 membres que compte l'institution. 173 députés ont voté contre tandis que 55 députés étaient absents.

Une Europe sans la Turquie La plupart des citoyens européens (plus de 60 % en France et en Alle-magne, par exemple) s’opposent à l’intégration de la Turquie à l’Union eu-ropéenne. Il y a plusieurs raisons à cela – certaines valables, certaines fon-dées sur des préjugés : la Turquie est trop grande ; les travailleurs mi-grants turcs pourraient envahir les autres membres ; la Turquie a un pal-marès plutôt fragile en matière de droits de l’homme ; la Turquie oppresse les Kurdes ; la Turquie n’a pas résolu ses problèmes avec la Grèce et Chypre.

L'info vue par la TRT (1) Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télévision & Ra-dio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas commentés de notre

part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide ar-ménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve. "Mme Clin-ton assistera à la réunion du groupe de contact sur la Libye, tout en réali-sant des entretiens bilatéraux à cette occasion. Auprès des relations entre Ankara et Washington à l’agenda, les soulèvements populaires au Moyen-Orient et en Afrique du Nord sont parmi les dossiers prioritaires."

La Turquie promet une aide supplémentaire de 200 millions de dollars aux rebelles libyens La Turquie et le Conseil national de Transition (CNT) de l'opposition li-byenne ont signé mercredi à Ankara un accord sur un prêt supplémentaire de 200 millions de dollars aux rebelles libyens, a rapporté l'agence de presse turque Anatolie.

Dépêche de l'APA [ 13 jui 2011 17:55 ] - Agence de Presse d'Azer-baïdjan Le Collectif VAN vous propose un article de l'APA (Agende de presse azérie) daté du 13 juillet 2011. Les articles de ce site (écrits généralement dans un français rudimentaire) ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve. « « L’Azerbaïdjan invite l’Arménie à commencer sans tarder le travail sur le traité de paix pour le règlement du conflit de Haut-Karabagh » a indiqué le chef de la di-plomatie azerbaïdjanaise Elmar Mammadyarov dans son entretien à l’agence russe Interfax.»

Istanbul entre dans le Top 10 des pays organisateurs de confé-rences Istanbul a été classé septième sur la liste mondiale des villes organisant le plus de conférences internationales. C'est la première fois que la ville fait son apparition dans le Top 10 de cette liste de l'Association internationale des Conventions et des Congrès.

Menaces Azéries ! Alors qu’officiellement et en coulisses l’on parle de précipiter un "accord de paix" entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, certains politologues azéris s’érigent en donneur de leçons et mettent de l’huile sur le feu, annonçant que l’Azerbaïdjan peut frapper victorieusement les principales villes d’Ar-ménie si celle-ci voulait d’aventure déclencher un conflit armé.

Turquie: 13 soldats tués par les rebelles kurdes Treize soldats turcs et sept rebelles kurdes ont été tués jeudi lors d'un ac-crochage dans le sud-est de la Turquie, a annoncé l'armée turque.

INFOS COLLECTIF VAN

Turquie : Prix du journalisme turco-arménienInfo Collectif VAN - www.collectifvan.org - Écrire sur les questions

arméniennes était tabou pour les journalistes turcs dans le passé », a déclaré le journaliste lauréat du Prix, Kadri Gürsel. « Je ne peux pas dire que ce tabou a été totalement brisé, cependant il n'est pas aussi fort qu'il l’était. Maintenant nous pouvons écrire sur cette question plus librement. » Le Collectif VAN vous livre la traduction de l’article en anglais paru sur le site turc du journal Hurriyet Daily News le 8 juillet 2011.

Un journaliste de Milliyet reçoit le Prix du journalisme turco-arménien

Vendredi 8 juillet 2011 ISTANBUL - Hürriyet Daily News

Kadri Gürsel, journaliste du quotidien Milliyet, a reçu le premier Prix du journalisme turco-arménien attribué par la Eurasia Partnership Foundation, le Global Political Trends Center de l’université Kültür d’Istanbul et le Press Club d’Erevan jeudi (7 juillet).

Ce prix est décerné au journaliste qui a contribué à la normalisation des relations arméno-turques grâce à sa couverture des problèmes entre l'Ar-ménie et la Turquie, a déclaré le président du Press Club d’Erevan, Boris Navasardian.

« Dans le passé, les médias principaux, dans les deux pays, reflétaient les vues officielles de l’État. Or, les articles de Kadri Gürsel reflétaient son ex-périence et son opinion personnelles dans une approche très profession-nelle des problèmes entre l'Arménie et la Turquie. Seules ce genre de pu-blications peuvent aider ces pays à se comprendre », a dit Navasardian.

Écrire sur les questions arméniennes était tabou pour les journalistes turcs dans le passé, a déclaré Gürsel. « Je ne peux pas dire que ce tabou a été totalement brisé, cependant il n'est pas aussi fort qu'il l’était. Maintenant nous pouvons écrire sur cette question plus librement. »

©Traduction de l’anglais C.Gardon pour le Collectif VAN – 9 juillet 2011 – 07:10 – www.collectifvan.org

Lien vers Eurasia Partnership Foundation (qui conduit des pro-grammes pour une meilleure justice sociale, la paix et la prospéri-té économique en Arménie, Géorgie et Azerbaidjian) http://www.epfound.org/ Remise du Prix http://www.gpotcenter.org/conferences/672

http://www.hurriyetdailynews.com/n.php?n=milliyet-columnist-receives-turkish-armenian-journalism-award-2011-07-08

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=55727

Lire le texte original dans la rubrique en anglais

Haut-Karabakh: Abad contre "la rhétorique belliqueuse de l'Azerbaïdjan"Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous

invite à lire cette information publiée sur le site du Groupe du Par-ti Populaire Européen au Parlement européen le 6 juillet 2011.

Groupe du Parti Populaire Européen au Parlement européen Service de Presse Rue Wiertz 60 - B-1047 Brruxelles Internet adresse: www.eppgroup.eu

06/07/2011- Haut-Karabakh: Damien Abad appelle à la mise en oeuvre de nouvelles actions dans la résolution du conflit.

Mercredi 6 juillet 2011, le Parlement européen interrogeait Catherine Ash-ton, Haute représentante pour les Affaires étrangères de l'Union euro-péenne, sur la situation dans le Haut Karabakh.

Damien Abad, Député Nouveau Centre au Parlement européen a été l'un des rares parlementaires européens à se rendre dans le Haut Karabakh.

"Je ne fais que constater l'escalade de la violence dans cette région, ainsi qu'une véritable course aux armements et une rhétorique belliqueuse de la part de l'Azerbaïdjan.

Dès mon retour, j'avais appelé le groupe de Minsk à jouer un rôle plus actif et à multiplier ces efforts pour rapprocher les deux parties. Je déplore que cela n'ait pas porté ses fruits, et je regrette d'autant plus que le sommet de Kazan, le 24 juin dernier, n'a pas permis les avancées nécessaires à une paix durable.

C'est la raison pour laquelle j'en appelle à l'Union européenne pour qu'elle puisse peser de tout son poids politique, diplomatique et humanitaire dans le dénouement de ce conflit. La Pologne a érigé le partenariat oriental comme une priorité de sa présidence, en ce sens elle doit jouer un rôle ac-cru dans le Sud du Caucase. De plus, il est urgent et nécessaire que l'Eu-rope vienne en aide aux réfugiés de la région, comme nous l'avons déjà fait en Ossétie du Sud ou en Abkhazie Je souhaite, en outre, que les repré-sentants du Haut-Karabakh soient partie prenante dans la négociation au-tour de ce conflit. Le conflit oppose Arméniens et Azéris, mais ne peut-on impliquer ceux qui souffrent en premier lieu de cette situation, à savoir les Karabatis ?

Je tiens à assurer le groupe de Minsk de mon plus grand soutien et de ma totale confiance. Les risques de l'explosion d'un conflit aux portes de l'Eu-rope sont là. Les européens doivent en prendre la mesure " a conclu Da-mien Abad.

NB. Pour retrouver l'intégralité de son intervention, veuillez suivre le lien suivant : http://www.europarl.europa.eu/sed/speeches.do?sessionDate=20110706

Pour toute information: Damien Abad, député européen, tél.: +32-2-284-7882 [email protected] Service de presse du Groupe PPE, Marion Jeanne, tél.: +32-479-84-02-93 Site internet de la délégation française du Groupe PPE: www.majoritepresidentielle.eu

http://www.majoritepresidentielle.eu/IMG/pdf_Abad08072011.pdf

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=55723

Collectif VAN : l'éphéméride du 15 juillet 2011

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - La rubrique "Ephémé-ride" du Collectif VAN a été lancée le 6 décembre 2010. Elle re-cense la liste d’événements survenus à une date donnée, à diffé-rentes époques de l’Histoire, sur les thématiques que l’associa-tion suit au quotidien. L’éphéméride du Collectif VAN repose sur des informations en ligne sur de nombreux sites (les sources sont spécifiées sous chaque entrée). Vous pouvez retrouver tous les éphémérides du Collectif VAN dans la Rubrique Actions VAN, en cliquant sur ces liens:

Les éphémérides du Collectif VAN (1ère partie) http://www.collectifvan.org/article.php?r=3&id=51673Les éphémérides du Collectif VAN (2ème partie) http://collectifvan.org/article.php?r=3&id=55304

Ça s’est passé un 15 juillet (les événements sont classés du plus ancien au plus récent) :

15 juillet 1267 -- Une jeune chrétienne est retrouvée morte à Pforzheim (Allemagne) : les juifs de la localité sont accusés de meurtre rituel, c'est-à-dire d'avoir tué l'enfant à des fins rituelles. 3 notables juifs se suicident, sans doute acculés à ce geste, pour sauver les autres membres de la com-munauté. Leurs cadavres sont rompus sur la roue.

Israelvivra.com http://israelvivra.com/calendjuillet.htm#15

15 juillet 1738 -- Un ancien officier de marine russe, Alexander Vosnitzi, est converti au judaïsme, malgré l'interdiction officielle, par Baruch Leibov, artisan et courtier. Vosnitzi est jugé et torturé. Le 15 juillet, Alexander Vos-nitzi et Baruch Leibov sont condamnés à mort et brûlés sur le bûcher à Moscou.

Israelvivra.com http://israelvivra.com/calendjuillet.htm#15

15 juillet 1892 -- Empire ottoman/Naissance de Archag Tchobanian: né le 15 juillet 1892 dans le quartier Bechigtach de Constantinople (Turquie), décédé le 8 juin 1954 à Paris (France), à la suite d'un accident de voiture. Le poète Archag Tchobanian a joué dans le mouvement arménophile en France un rôle déterminant. En 1895, il quitte Constantinople et se fixe à Paris. Bien vite, il gagne à la Cause arménienne de nombreuses sympathies en faisant connaître le martyre de ses compatriotes, mais aussi en montrant quel peuple est le sien. Véritable ambassadeur des lettres arméniennes, il révèle à l'opinion française les trésors de la culture arménienne. Anatole France, Georges Clémenceau, Jean-Jaurès et beaucoup d'autres lui apportent un soutien actif. C'est grâce à Tchobanian que de nombreux écrivains, artistes et hommes politiques sont devenus

des arménophiles militants. ACAM

http://www.acam-france.org/bibliographie/auteur.php?cle=tchobanian-archag

15 juillet 1915 -- Empire ottoman/Amasia (vilayet de Sıvas) : le 3 au 7 juillet 1915 environ 12 000 personnes sont déportées en cinq convois. Après Kangal, les convois d’Amasia voient tous leurs mâles âgés de plus de huit ans exécutés à Sarkısla, autour du 15 juillet, par des villageois turcs et çerkez commandés par Halil bey, le commandant des escadrons çete du vilayet de Sıvas. Ils sont ensuite orientés vers Hasançelebi et Fırıncilar, où le premier convoi arrive le 7 septembre, puis Suruc, Arapbunar, Bab, Alep, Meskene et Der Zor, où quelques rescapés parviennent au cours de l’hiver.Mass Violence - par Raymond Kévorkianhttp://www.massviolence.org/IMG/pdf/Chronologie-de-l-extermination-des-Armeniens-de-l-Empire-ottoman-par-le-regime-jeune-turc-1915-1916.pdf

15 juillet 1915 -- Empire ottoman : Jean (Ohannès) Potourian [Sarian], doyen du clergé (né en 1835). Desservant de la cathédrale Saint-Georges Emprisonné jusqu’au 15 juillet dans une pièce étroite de l’évêché, il est tué avec le convoi parti à cette date. © Revue d'Histoire Arménienne Contemporaine pour toutes les éditions |© Yves Ternon pour le texte Mar-din 1915

Imprescriptible.fr : Fiches biographiques

http://www.imprescriptible.fr/rhac/tome4/annexes3

15 juillet 1915 -- Empire ottoman : une dépêche de Constantinople en date du 15 juillet 1915 (n° 4116 ; Arch. n°7744) rapporte que « les émi-grés de Madito se montent à environ 1730.11 en meurt de faim 2 ou 3 par jour. Six à sept mille se trouvent dans une gare voisine de Panderma dé-pourvus du strict nécessaire. On en enterre 30 à 40 par jour. La mort est provoquée par la faim et la soif, les Turcs ne leur permettant pas de se procurer ni pain ni eau  » Les persécution antihelléniques en Turquie de-puis le début de la guerre européenne. D'après les rapports officiels des agents diplomatiques et consulaires. PARIS, LIBRAIRIE BERNARD GRASSET, 1918

Imprescriptible.fr : Crimes = Viols

http://www.imprescriptible.fr/documents/grecs/p1c5.htm

15 juillet 1915 -- Empire ottoman : le jeudi 15 juillet, des policiers or-donnent à ces dames arméniennes de se tenir prêtes à partir le lendemain avec toute leur famille pour rejoindre leurs maris. Elles sont libres d’em-porter de l’argent, des bijoux et des effets personnels ainsi que des provi-sions pour trois jours de route. Les policiers leur annoncent que le gouver-neur offre aux douze plus riches familles une voiture et à d’autres des che-vaux afin qu’elles voyagent dans les meilleures conditions. Ils garantissent leur sécurité : elles seront escortées par des policiers et des miliciens. Dans la nuit du 15 au 16 juillet, les maisons des familles arméniennes les plus aisées sont cernées par la police. Une voiture s’arrête devant leur porte et elles sont invitées à y monter avec tous les membres de leur fa-mille. La première maison assiégée est celle de la famille Djinandji, voisine de l’église syrienne catholique. Vers minuit, les dominicains réfugiés au patriarcat catholique voient Madame Ohanné [Chammé] Djinandji, l’épouse de Naoum Djinandji, s’agenouiller avec ses filles sur la terrasse de leur maison et incliner la tête devant Monseigneur Tappouni qui, les surveillant de sa fenêtre, les bénit7. Sachant que leurs demeures seront pillées après leur départ, les dames arméniennes font distribuer aux pauvres tout ce qu’elles peuvent sans éveiller les soupçons des policiers qui les surveillent. © Revue d'Histoire Arménienne Contemporaine pour toutes les éditions |© Yves Ternon pour le texte Mardin 1915

Imprescriptible.fr : Liquidation des Arméniens de Mardin

http://www.imprescriptible.fr/rhac/tome4/l1-p3-ch4

15 juillet 1915 -- Empire ottoman : un câble chiffré du 15 juillet 1915 provenant du gouverneur d’Erzeroum Tahcin est cité, dans lequel il dénonce le rôle des brigands de l’Organisation Spéciale lançant « des assauts et des attaques » (taadiyat ve tecavüzat) contre les convois de déportés arméniens. Il presse le gouvernement « de mettre fin à ces méfaits excessivement honteux des brigands et des gendarmes qui leur étaient attachés, et qui opèrent sous le nom de l’Organisation Spéciale » ( bilhassa Teşkilatı Mahsusa namı altında türeyen çetelere her tarfdan nihayet verilmesi). [Hasan Tahsin (Uzer) fut gouverneur de Van du 27 mars 1913 au 30 septembre 1914, d’Erzeroum du 30 septembre 1914 au 10 août 1916, de Syrie du 10 août 1916 au 20 juin 1918, et de Smyrne (Izmir) du 30 octobre 1918 au 22 novembre 1918]. Takvimi Vekayi. N° 3540, session du 28 avril 1919 ; date de publication 5 mai 1919.p. 6. Reproduit avec la permission de : Genocide: A Critical Bibliographic Review, Vol. 2 (Israel W. Charny, ed.) London: Mansell Publishing; New York: Facts On File, 1991 © 1991 by Institute on the Holocaust and Genocide, PO Box 10311, 91102 Jerusalem, Israel.

Imprescriptible.fr : Aveux des ex-Officiels civils et militaires

http://www.imprescriptible.fr/dadrian/corpus/aveux

15 juillet 1915 -- Empire ottoman : Krikor Zohrab, un de ceux qui ont cru à la Turquie nouvelle, un de ceux qui ont tout fait pour la construire avec le Comité, lui-même arrêté un peu plus tard, écrit à sa femme, d'Alep où il est gardé depuis vingt-deux jours, deux lettres bouleversantes, toutes deux du 15 juillet. Voici la deuxième ; « Jeudi soir. « Mon âme adorée, on nous avait dit que nous devions partir samedi, et j'avais préparé deux lettres pour toi. On nous dit maintenant que nous allons partir vendredi, c'est-à-dire demain matin. Il paraît que le train partira demain. Que pou-vons-nous faire ? Il en sera ainsi. « Après avoir montré la lettre ci-jointe à Halil bey et pris son avis, toi et tes filles, allez voir ensemble Talaat, chez lui ou à son bureau. Si vous allez à son bureau, il vaudrait mieux que Halil bey soit là aussi. Donne-lui la lettre et supplie-le. S'il te donne la promesse ferme de sauver ton mari, adresse-moi le télégramme suivant : « Nous sommes tous en parfaite santé, sois toi aussi tranquille. » Ici, j'ai écrit une lettre à Talaat par l'intermédiaire du vali Bekir Sami bey. Je ne sais pas s'il l'a reçue ou non, il devait la recevoir avant la tienne. Je vous embrasse en-core. Priez. « J'ai mis mon testament dans cette lettre. Ne soyez pas émues. K. Z.***»

Mais il sera assassiné comme les autres. © Jean-Marie Carzou, Arménie 1915, un génocide exemplaire Calmann-Lévy (2006), Flammarion (1975) Marabout (édition de poche, 1978)

Imprescriptible.fr : Le 24 avril 1915 : une rafle

http://www.imprescriptible.fr/carzou/p3c1a

15 juillet 1916 -- Empire ottoman : Il y eut au total vingt-et-un convois, dont six importants et une quinzaine plus modestes. Le premier quitta le camp du pont de Zor (sur l’autre rive) autour du 15 juillet 1916, avec envi-ron 18 000 personnes, en direction de Marat. Un groupe de femmes échappa cependant au sort des autres et fut finalement amené à Hassit-ché, à quelques heures au nord de Cheddadiyé, où elles furent confiées aux tribus locales qui se les partagèrent. © Revue d'Histoire Arménienne Contemporaine pour toutes les éditions |© Yves Ternon pour le texte Mar-din 1915

Imprescriptible.fr : le réseau des camps de concentration

http://www.imprescriptible.fr/rhac/tome2/p1e

15 juillet 1918 -- Empire ottoman : (...) quant aux Arméniens, les Turcs ont procédé avec plus de sauvagerie encore. Ils ne se sont même pas don-né la peine de trouver des prétextes. Aux yeux de la masse turque et de ses dirigeants, être Arménien suffisait. C'était plus qu'un délit. On pouvait impunément piller, pourchasser et assassiner les Arméniens, n'importe où et n'importe comment. L'Arménien était moins qu'un gibier de chasse. Nombreux sont les ouvrages parus ces dernières années sur les massacres d'Arménie. Tous les auteurs s'accordent à dire que ces massacres ont été ordonnés par le gouvernement turc. De la part des Arméniens, il n'y a eu aucune provocation, ils sont tout à fait innocents. (...) D'Any K., L'extermi-nation des chrétiens en Turquie, La Concorde, Imp. Lausanne, 1918

Imprescriptible.fr : L'extermination des chrétiens en Turquie, K. d'Any

http://www.imprescriptible.fr/aram/extermination-chretiens

15 juillet 1919 -- Empire ottoman : le quotidien francophone de Constan-tinople La Renaissance publia une traduction intégrale des articles de Has-san Amdja sous le titre Faits et documents, dans le n° 192, du 15 juillet 1919, p. 2. « Rapidement, il organisa un plan pour l’expédition par train des déportés de la région. Il les fit converger à la gare de Deraa. Après quoi, il entreprit une visite dans le Djébel montagneux qui domine le dé-sert du Hauran pour « récupérer moi-même les veuves et les orphelins et constater personnellement leur situation. Ces montagnes, depuis leur création jusqu’à nos jours, n’avaient pas porté une misère humaine aussi affreuse [...] ». Hassan Amdja, explique ensuite qu’il visita toute une série de villages où « 30 à 40 000 déportés étaient morts du typhus, de la fièvre récurrente, de la malaria qui sévissaient avec violence [...] J’arrivai à Haz-rakeuy, à une heure de distance de Kéfrendjé. Ici, 417 personnes étaient mortes sur un total de 500 âmes. Dans les étroites venelles du village des morts vivants appuyés sur des béquilles avançaient péniblement » 162. Il réussit néanmoins à rassembler 400 veuves et orphelins qu’il ramena à Deraa. Sur place, il organisa trois convois vers Damas — malgré l’interdic-tion qui lui était faite d’en envoyer dans cette zone —, et le reste fut expé-dié vers Tripoli de Syrie, Haïfa, Jaffa et Akkia. » © Revue d'Histoire Armé-nienne Contemporaine pour toutes les éditions |© Yves Ternon pour le texte Mardin 1915

Imprescriptible.fr : Ahmed Djémal pacha et le sort des déportés arméniens de Syrie-Palestine

http://www.imprescriptible.fr/rhac/tome2/p1g#t163

15 juillet 1919 -- 64 juifs sont massacrés, de nombreux autres griève-ment blessés et beaucoup de femmes et de jeunes filles juives sauvage-

ment violées quand une unité commandée par Lubny et le 9e régiment de tirailleurs, liés à l'Armée nationale ukrainienne, se livrent durant quatre jours à un pogrome à Murafa (Podolie, Russie).

Israelvivra.com http://israelvivra.com/calendjuillet.htm#15

15 juillet 1937 -- Ouverture du camp de concentration de Buchenwald.

Jewishgen.org

http://www.jewishgen.org/forgottencamps/General/TimeFr.html

15 juillet 1938 -- Un transport de plusieurs centaines de juifs quitte Vienne (Autriche) pour le camp de concentration de Dachau (Allemagne).

Israelvivra.com http://israelvivra.com/calendjuillet.htm#15

6 au 15 juillet 1938 -- La conférence d'Évian sur les réfugiés, tenue du 6 au 15 juillet 1938, a constitué la démonstration publique la plus lamen-table du refus général d'accueillir les Juifs. La Conférence d'Évian de 1938 fut organisée à l'initiative du président des États-Unis d'Amérique, Franklin D. Roosevelt. Elle se déroula du 6 juillet au 16 juillet 1938 à Évian (France). Son but était de venir en aide aux réfugiés juifs allemands et autrichiens fuyant le nazisme, peu après l'Anschluss. Elle ne déboucha sur aucune me-sure concrète, hormis la création du Comité intergouvernemental pour les réfugiés (CIR). L'URSS, l'Italie fasciste et la Tchécoslovaquie n'ont même pas daigné envoyer un représentant. Les observateurs délégués par la Hongrie, la Pologne ou la Roumanie veulent juste savoir si l'on pourrait les aider à se débarrasser de leurs propres Juifs. Les autres pays ne veulent pas accueillir plus de réfugiés. C'est l'époque où le Canada explique qu'au-cun réfugié serait encore trop (« none is too many »), où les États-Unis et l'Amérique latine pas encore remis de la Grande Dépression restreignent encore plus les entrées. La Suisse, jugeant par la bouche d'un conseiller fédéral que « la barque est pleine » (« Das Boot ist voll »), négocie avec les nazis pour refouler les réfugiés de son territoire : la Confédération de-mande elle-même à Berlin, et obtient en octobre 1938, que les passeports des Juifs allemands expulsés soient marqués de la lettre J à l'encre rouge indélébile. Assuré que l’étranger ne portera aucun secours aux Juifs, Hitler peut renforcer sa politique raciste et, parallèlement au succès de Munich, lancer la nuit de Cristal, puis le génocide lui-même.

Wikipedia http://fr.wikipedia.org/wiki/Shoah

Wikipedia : Conférence d'Évian de 1938

http://fr.wikipedia.org/wiki/Conf%C3%A9rence_d%27%C3%89vian_%281938%29

15 juillet 1941 -- A Radzivillov (Volhynie, R.S.S. d'Ukraine), 28 juifs accu-sés d'être des communistes sont arrêtés et tués par les nazis.

Les membres du conseil des Anciens et d'autres juifs, 45 personnes au to-tal, sont tués par les nazis à Belzy (Roumanie).

1 150 juifs sont arrêtés à Dünaburg (Dvinsk, R.S.S. de Lettonie), puis fu-sillés et jetés dans des tombes creusées à l'avance.

Israelvivra.com http://israelvivra.com/calendjuillet.htm#15

15 juillet 1942 -- 1 000 juifs sont déportés du ghetto de Sasov (R.S.S. d'Ukraine) au camp d'extermination de Belzec.

1 200 juifs de Grybov (Galicie occidentale, Pologne) sont déportés au camp de regroupement de Novy Sacz.

Au cours d'une Aktion de deux jours, 3 500 juifs de Smolensk (R.S.S. de Biélorussie) sont conduits par les SS dans le ghetto de Sadki, puis fusillés dans la forêt de Vyasovensk, près de Mogalenchtchina.

Tous les internés du « ghetto B » de la ville de Bereza Kartuska (Pologne), considérés comme des « bouches inutiles » par les nazis, sont amenés au village de Brona Gora et assassinés.

Le Bureau central des ressources économiques de la SS ordonne la créa-tion d'un camp pour femmes à Maïdanek (Pologne).

1 000 juifs sont assassinés par les SS lors d'une révolte dans le ghetto de Molczadz (R.S.S. de Biélorussie).

Israelvivra.com http://israelvivra.com/calendjuillet.htm#15

15 juillet 1942 -- Hollande : premières déportations de Hollande vers Au-schwitz. 1 135 Juifs d'Amsterdam convoqués « pour aller travailler en Alle-magne » sont aussitôt déportés les premiers à Auschwitz. La cadence des rafles et des convois est telle que dès septembre 1943, les Allemands pro-clament la capitale néerlandaise judenrein (libre de Juifs). Sur 120 000 Juifs hollandais, 105 000 ont été déportés à Auschwitz et Sobibor, dont 5 500 seulement ont survécu. 80 % de cette communauté séfarade présente depuis le XVIIe siècle a donc été anéanti.

ajpn http://www.ajpn.org/1942.html

Wikipedia http://fr.wikipedia.org/wiki/Shoah

15 et 16 juillet 1942 -- En Gironde, rafles et convoi du 18 Juillet 1942.

ajpn http://www.ajpn.org/1942.html

15 juillet 1943 -- Un transport quitte Vienne (Autriche) avec 17 juifs des-tinés au camp de concentration de Theresienstadt.

800 juifs sont déportés du camp de Jasenovac (Yougoslavie) au camp d'ex-termination d'Auschwitz, où ils sont immédiatement mis à mort.

Israelvivra.com http://israelvivra.com/calendjuillet.htm#15

15 juillet 1944 -- Liquidation du ghetto de Siauliai (Schaulen, R.S.S. de Lituanie) : une partie des juifs est déportée au Stutthof, près de Dantzig.

Israelvivra.com http://israelvivra.com/calendjuillet.htm#1515 juillet 1974 -- La junte militaire au pouvoir en Grèce organise un coup d'Etat pour renverser le régime à Chypre donnant ainsi prétexte à l'armée turque pour l'invasion de l'île quelques jours plus tard.Info-grece.comhttp://www.info-grece.com/ephemeride/2011/07,15.html

15 juillet 1994 -- Génocide de Tutsi/Rwanda : Didier Tauzin revient au Rwanda, prêt à en découdre à nouveau avec le FPR, comme il le déclare ouvertement. La Zone humanitaire sûre créée par l’opération Turquoise à l’ouest du Rwanda est immédiatement utilisée comme refuge par les au-teurs du génocide, en passe d’être défaits militairement par le FPR. Face à cette situation, l’ambassadeur Yannick Gérard envoie un télégramme à Pa-ris le 15 juillet 1994 en indiquant : « [...] dans la mesure où nous savons que les autorités portent une lourde responsabilité dans le génocide, nous n’avons pas d’autre choix, quelles que soient les difficultés, que de les ar-rêter ou de les mettre immédiatement en résidence surveillée en atten-dant que les instances judiciaires internationales compétentes se pro-noncent sur leur cas. » Les responsables et les auteurs du génocide (sol-dats des FAR, miliciens...) présents dans la Zone humanitaire sûre mise en place par Turquoise n’y sont pas arrêtés. Au contraire, ils sont laissés libres d’aller se réfugier au Zaïre, impunément, avec armes et bagages.

Survie.org http://survie.org/billets-d-afrique/2011/203-juin-2011/article/genocide-des-tutsi-du-rwanda-la15 juillet 2004 -- Ouverture de négociations à Addis Abeba entre le gouvernement soudanais et les mouvements rebelles du Darfour.

Soudan: crimes contre l'humanité au Darfourhttp://unmondedebrut.pagesperso-orange.fr/PETROL_PAYS/SOUDAN/REFERENCE/RFI_Soudan_chrono.htm

Compilation réalisée par le site www.collectifvan.org

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=55746

Karabakh: La Première Guerre post-soviétiqueInfo Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous

invite à lire une traduction de Gilbert Béguian d'un article en an-glais mise en ligne sur le site de NAM (Nouvelles d'Arménie Maga-zine) le 11 juillet 2011.

NAM

The Washington Post http://www.washingtonpost.com/world/in-karabakh-the-first-post-soviet-war/2011/07/06/gIQAF7tm1H_story.html

Par Will Englund, publié le 7 juillet 2011

Stépanakert, Karabagh - Rien de plus inattendu pour le dirigeant sovié-tique Mikhail Gorbatchev à la fin des années 1980, que l’émergence de cet intense sentiment national parmi les populations minoritaires de l’Union Soviétique, pour la plus grande part teinté d’antagonisme religieux. Au Da-ghestan, les Musulmans furieux des restrictions apportées au hadjj, ou pè-lerinage à la Mecque, détruisent un édifice gouvernemental. En Ukraine, les Catholiques de l’Est demandent leur indépendance. Mais la tension n’a été nulle part aussi vive qu’au Karabagh, un réduit montagneux du Sud-Caucase, réputé pour ses mûriers, son miel, ses monastères anciens, ses gorges abruptes et des siècles de conflits.

C’est une région peuplée en majorité écrasante par les Arméniens mais qui a été attribuée, par Joseph Staline, à la République Socialiste Sovié-tique d’Azerbaïdjan en 1921. A cette époque, Staline était commissaire aux nationalités, et conformément à sa stratégie diviser pour régner, il tra-çait souvent des frontières pour diviser les groupes ethniques. Ces fron-

tières, dans le Caucase et en Asie Centrale, grèvent encore de nos jours les efforts pour y maintenir des relations pacifiques.

Les Arméniens, par exemple, étaient des Chrétiens depuis près de 1 700 ans, et les Azerbaïdjanais des Musulmans, apparentés de près aux Turcs. L’ordre rigoureux soviétique avait eu raison de leur mutuelle hostilité et méfiance, mais lorsque la pression s’est relâchée du fait des réformes de Gorbatchev, les vieilles haines ont fait leur réapparition.

En 1988, les dirigeants du Karabagh ont exprimé leur volonté de se réunir à l’Arménie proprement dite, toute proche, à l’Ouest. Moscou n’a jamais vraiment répondu, mais en réponse, en Azerbaïdjan, des pogroms ont été organisés contre les Arméniens qui ont fait parmi eux des victimes par douzaines. L’armée soviétique a envoyé des troupes, les Azéris ont fui le Karabagh et l’Azerbaïdjan a déporté plus de 5 000 Arméniens. En 1991, près d’un millier de personnes avaient été tuées dans des combats spora-diques.

Après instauration de l’état d’urgence, la situation est à nouveau revenue sous contrôle. Mais lorsqu’en juillet, Gorbatchev a décidé de retirer les troupes soviétiques des combats armés ont presqu’immédiatement repris. Le 7 juillet 1991, des rapports arrivèrent à Moscou que des villages armé-niens le long de la frontière du Karabagh avaient fait l’objet d’attaques qui avaient fait au moins trois morts. Le président de la République Armé-nienne, Levon Ter-Petrossian, a accusé Gorbatchev de la soumettre au chantage pour la forcer à se joindre au traité d’union, et renoncer ainsi à son indépendance, en montrant qu’elle n’était pas possible sans la protec-tion du gouvernement central.

La signature de ce traité nouveau était prévue pour le 20 août, mais au début du mois de juillet, seulement neuf des quinze républiques de l’Union Soviétique y avait montré quelque intérêt, et les jusqu’auboutistes repro-chaient à Gorbatchev de mettre le pays en danger de dissolution. Il cher-chait désespérément à convaincre d’autres pays d’y adhérer.

L’Arménie n’en faisait pas partie, et l’Azerbaïdjan non plus. Les deux pays ont confirmé leur indépendance en la déclarant, tout comme le Karabagh lui-même, et en 1992, ils se trouvaient engagés dans une guerre véritable - la première guerre liée à l’effondrement de l’Union Soviétique. Lors-qu’elle prit fin par un cessez le feu à la fin de 1994, le Karabagh était libre et indépendant. Mais aucune nation ne l’a jamais reconnu. C’est une Répu-blique de fait, avec des liens proches avec l’Arménie voisine mais avec un sens résolu de son indépendance. Le Karabagh d’aujourd’hui est farouche-ment défendu, immensément fier de sa victoire sur l’Azerbaïdjan, répon-dant par la confiance aux menaces continuelles de l’Azerbaïdjan de re-prendre la guerre, mais irrité qu’on ne lui ai pas donné une place à la table

des négociations, à laquelle ses intérêts sont défendus par la nation armé-nienne - et où peu de progrès ont été accomplis au cours des années.

La dernière tentative pour parvenir à une convention-cadre, dans une réunion dans la ville russe de Kazan le 24 juin, sous le patronage de le Russie, de la France et des USA, n’a abouti à rien. A la rigueur, les Khara-baghtsis apprécieraient une reconnaissance internationale, mais ils ne sont pas près de la solliciter. "Pas reconnu ? Bon et alors ? Nous nous y sommes habitués à présent", nous dit Tevan Poghosyan, le précédent Re-présentant du Karabagh aux Etats-Unis. Les gens sont convaincus ici que si la communauté internationale avait refusé de reconnaître ce qui pour eux est une frontière artificielle de l’Azerbaïdjan au moment de l’effondre-ment de l’URSS, l’Azerbaïdjan n’aurait pas osé attaquer et leur histoire au-rait pu être très différente. Au lieu de cela, des milliers d’entre eux son morts sous les bombes, Stépanakert a été à moitié détruite, et la légende des "martyrs" de l’Artsakh, le nom traditionnel du Karabagh, a pris forme. Il y a toujours beaucoup de coups de feu le long de la ligne de contact : 43 incidents au cours d’une période de 24 heures récente. En 2010, la mort de sept personnes du côté Karabagh a été rapportée, et, nous dit le Mi-nistre de la Défense Movses Hakobian, "Nous ripostons toujours".

Les Karabaghtsis sont peu enclins à faire des concessions pour la paix, ni en territoires, ni d’ailleurs en quoi que ce soit. Ce sont des terres histo-riques arméniennes. Nous avons versé le sang de nos fils pour ces terres," disait Robert Baghryan, qui dirige aujourd’hui l’Union des Combattants pour le Liberté de la Guerre d’Artsakh. A présent lieutenant-colonel dans l’armée de réserve du Karabagh, Baghryan a reçu sa formation militaire dans l’armée soviétique, où il avait le grade de sergent. "La plus grande différence à première vue entre les deux armées ? Le niveau de prépara-tion", dit-il. "Les Soviets n’y ont jamais prêté beaucoup d’attention".

lundi 11 juillet 2011, Jean [email protected]

Traduction Gilbert Béguian pour Armenews

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=71559

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=55725

Lire le texte original dans la rubrique en anglais

KARABAKH

Russie

Haut-Karabakh: Moscou prône le maintien du statu quoRIA Novosti

11:56 14/07/2011 "Un monde changeant" par Fedor Loukianov

Lors de la saison politique (automne 2010 – été 2011) qui s’achève, la Russie a fait des tentatives répétées pour sortir de l’impasse le conflit ar-méno-azerbaïdjanais du Haut-Karabakh. La dernière rencontre des prési-dents azerbaïdjanais, arménien et russe s’est tenue en juin 2011 à Kazan et n’a mené à rien. A l’issue des négociations, comme toujours, Bakou et Erevan se sont mutuellement accusés de poser des obstacles aux en-tentes, et le président azerbaïdjanais Ilham Aliev a une nouvelle fois rap-pelé que la patience de Bakou avait des limites et qu’en principe la guerre n’était pas terminée. Les commentateurs se sont empressés, avec joie ou tristesse, d’informer de l’échec des efforts de médiation de la Russie. Mais cette appréciation est injuste.

La Russie de Dmitri Medvedev agit pratiquement seule dans le conflit du Haut-Karabakh, quoique avec le consentement du Groupe de Minsk de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE). En par-tie, car les autres membres de ce format ne comptent pas sur le progrès de cette affaire et ne voient pas de profit particulier dans une participation active. En partie car Moscou est bien plus intéressé par l’évolution prévi-sible que Paris ou Washington. Une crise militaire dans le Haut-Karabakh, dont le fantôme surgit périodiquement dans les discussions, mettrait Mos-cou dans une situation particulièrement difficile.

La Russie a des obligations formelles envers l’Arménie en tant qu’alliée au sein de l'Organisation du traité de sécurité collective (OTSC), mais avant tout en raison des accords bilatéraux qui ont été prolongés presque indéfi-niment l’année dernière. En cas d’un conflit interétatique, la Russie devra défendre Erevan, si elle ne souhaite pas perdre définitivement et irrévoca-blement la réputation de protectrice fiable. Parallèlement, Moscou a conscience de l’importance croissante de l’Azerbaïdjan en tant que pays clé dans toute la composante énergétique, et par conséquent géopoli-tique, du Caucase du Sud et de l’Asie mineure. Ainsi, la Russie ne peut pas se permettre de détruire ses relations avec Bakou. En d’autres termes, le Kremlin ne doit pas se retrouver dans une situation ou il sera nécessaire de faire un choix.

Pour cette raison, l’approche est très compréhensible: maintenir le dia-

logue entre les deux pays (même s’il n’apporte aucun résultat), afin d’em-pêcher leur aliénation totale, ainsi que contribuer à maintenir un équilibre militaire, qui est en soi un facteur permettant de renforcer la paix. Ainsi, la prolongation du séjour de la base militaire russe à Gumri (Arménie) prati-quement jusqu’au milieu du siècle s’explique, avant tout, par la volonté d’équilibrer la situation dans le contexte de la montée de la puissance mi-litaire de l’Azerbaïdjan, ce qui pourrait à un certain moment inciter Bakou à s’en servir. Il est clair que Bakou dispose d'un potentiel de ressources largement supérieur à celui d'Erevan.

L’auteur de ces lignes s’est récemment rendu à Bakou et à Erevan, et en conclut que la tactique du maintien de l’équilibre est la seule possibilité dans les conditions actuelles. Je n’ai pas réussi à percevoir la volonté des pays à faire de véritables compromis qui sortiraient du cadre de la déma-gogie et de la phraséologie. (En fait, cet exercice est également difficile: les pays impliqués dans un conflit qui est continuellement prêt à dégéné-rer en une vraie guerre comprennent bien la valeur des mots.)

Pour l’Azerbaïdjan, la récupération du Haut-Karabakh est pratiquement élevée au rang d'objectif national, une sorte de Cachemire pout le Pakis-tan. Etant donné que le pays reçoit d’importants revenus grâce à l’expor-tation du pétrole et se développe activement, Bakou acquiert plus de confiance en soi, et le sentiment croît que l’occupation d’une partie du ter-ritoire azerbaïdjanais est une immense injustice historique qui doit être corrigée. Ajouté à cela l’attitude méfiante envers les Arméniens en géné-ral, qui ne faiblit pas depuis les événements du début des années 1990, mais plutôt au contraire, qui acquiert un caractère institutionnel.

A son tour, l’Arménie ne fait aucunement confiance à l’Azerbaïdjan. Erevan est convaincu que toute concession dans le domaine militaro-stratégique (au cours des négociations on discute l’idée de la restitution progressive à Bakou des régions occupées qui ne faisaient pas partie de la région auto-nome du Haut-Karabakh) conduirait à l’affaiblissement des positions, à l’effondrement de l’ensemble du système de dissuasion et de garanties qui s’est établi dans la zone de conflit dans les années 1990, et à une guerre inévitable. Pour cette raison, il ne faut faire aucune concession.

Les concessions sont également impossibles car les deux dirigeants ne sont pas assez forts pour se permettre d’accomplir des démarches aussi impopulaires. Bien qu’Ilham Aliev contrôle fermement la situation en Azer-baïdjan, il n'a pas l'autorité de son père. Geïdar Aliev aurait probablement pu se permettre un espace de manœuvre plus large. En Arménie, la situa-tion est encore plus complexe, car le milieu politique est assez pluraliste, plusieurs groupes d’intérêts y sont représentés, y compris des groupes ex-térieurs (la diaspora). Consentir un compromis pourrait conduire à une crise extrêmement grave, et la perte du Karabakh pourrait provoquer une

guerre civile et l’effondrement de l’Etat arménien.

Dans ce contexte, la position russe visant à renforcer le statu quo est tout à fait rationnelle et n’a pas d’alternative à l’heure actuelle.

Les parties sont conscientes des risques liées au changement par la force la situation actuelle. Ainsi, l’Azerbaïdjan investit l’argent du pétrole non seulement dans l'édification militaire, mais également dans l’infrastructure et les tentatives de diversifier l’économie, tient à sa réussite et ne va pas tout risquer sans garanties de succès de l’opération militaire. Or, il ne peut pas avoir de garanties dans les conditions actuelles. L’Arménie est encore plus intéressée par le maintien de la situation actuelle, car même une vic-toire dans la guerre pour le Karabakh serait susceptible de se traduire par une véritable catastrophe économique et un blocus plus important qu’ac-tuellement. Au moins parce que la Géorgie, le seul pays avec lequel la frontière arménienne est ouverte, est très dépendante économiquement de l’Azerbaïdjan, qui pourrait faire pression sur Tbilissi.

Il existe une circonstance capable de conduire à une redéfinition radicale du paysage politique. Il est question d’un choc extérieur, dont les vagues toucheraient toute la région. Par exemple, une crise internationale de grande envergure liée à l’Iran (voisin de l’Arménie et de l’Azerbaïdjan) qui joue un rôle très important (bien qu’il soit différent) pour les deux pays. En supposant que les Etats-Unis ou Israël décident de ne plus attendre et de stopper Téhéran sur la voie de l’obtention de l’arme nucléaire, l’effet géo-politique imprévisible consécutif à cet événement pourrait tout mélanger et créer les conditions d'une tout autre évolution, notamment en tenant compte de l’importante minorité azérie en Iran. Selon un autre scénario, l’instabilité sociopolitique en Afrique du Nord et au Moyen-Orient pourrait s’étendre aux pays qui jouent un rôle important pour le Caucase du Sud: l’Iran, la Turquie (ce qui est peu probable), soit provoquer l’effondrement du régime syrien de Bachar al-Assad. Dans le dernier cas on pourrait assis-ter à la croissance de l’instabilité régionale et, par exemple, à l’afflux des réfugiés arméniens de la Syrie frappée par une guerre civile. Tous ces scé-narios paraissent hypothétiques, voire fantastiques. Toutefois, au cours des dernières années et des derniers mois, nous avons assisté à un grand nombre de choses qu’on ne pouvait même pas s’imaginer la veille.

L’opinion de l’auteur ne coïncide pas forcément avec la position de la ré-daction

La Russie est-elle imprévisible? Peut-être, mais n'exagérons rien: il arrive souvent qu'un chaos apparent obéisse à une logique rigoureuse. D'ailleurs, le reste du monde est-t-il prévisible? Les deux dernières décen-nies ont montré qu'il n'en était rien. Elles nous ont appris à ne pas antici-per l'avenir et à être prêts à tout changement. Cette rubrique est consa-

crée aux défis auxquels les peuples et les Etats font face en ces temps d'incertitude mondiale.

Fedor Loukianov, rédacteur en chef du magazine Russia in Global Affairs.

http://fr.rian.ru/tribune/20110714/190145393.htmlhttp://collectifvan.org/article.php?r=4&id=55744

Azerbaidjan

Menaces Azéries !NAM

Alors qu’officiellement et en coulisses l’on parle de précipiter un "accord de paix" entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, certains politologues azéris s’érigent en donneur de leçons et mettent de l’huile sur le feu, annonçant que l’Azerbaïdjan peut frapper victorieusement les principales villes d’Ar-ménie si celle-ci voulait d’aventure déclencher un conflit armé.

Le politologue azéri, Vafa Guluzade, commentant aujourd’hui les déclara-tions du président Serge Sarkissian, selon lesquelles « dans le cas d’une nouvelle guerre au Karabakh, l’Arménie sera plus forte et gagnera ", pré-cise que "les déclarations de Serge Sarkissian sont des menaces vides de sens, parce que cette personne n’est pas un homme politique indépen-dant, mais simplement le porte-voix de pensées formulées par ses mé-cènes."

Mettant en avant les forces de frappe de l’armée azerbaïdjanaise "en quantité telles que Serge Sarkissian ne peut en rêver et l’imaginer", il me-nace l’Arménie "si celle-ci voulait se lancer dans un nouveau type d’aven-ture" de pilonner Erevan, Gumri, Gafanu et autres points stratégiques, si violemment que la partie arménienne ne pourra jamais l’oublier".

Il ajoute en outre que "la Turquie ne restera pas sur la touche", mettant en évidence la dernière déclaration du Premier ministre Recep Tayyip Erdo-gan selon laquelle la Turquie coopérera pleinement à la libération des ter-ritoires occupés de l’Azerbaïdjan.

Et il conclu : "Je demande donc instamment à Sarkissian de réfléchir. Ce sera vraiment la dernière guerre pour l’Arménie, puisque après elle pour-rait disparaître de la Terre en tant qu’État "

Dans le même ordre d’idées, Araz Alizadeh, co-président du Parti social-démocrate d’Azerbaïdjan (DSRP) a également déclaré : "Ce pays [l’Armé-nie] est trop faible pour combattre contre l’Azerbaïdjan.[...] Nous devrons frapper dès les premiers jours de combats pour détruire la colonne verté-brale entière de l’armée d’occupation arménienne du Karabakh et nous porter sur la frontière arménienne. Je pense que c’est la force de notre ar-mée.[...] L’Azerbaïdjan porterait un tel coup en Arménie, qu’elle ne pense-ra même plus au Karabakh », a-t-il dit.

jeudi 14 juillet 2011, Jean [email protected]

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=71652

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=55739

Dépêche de l'APA [ 13 jui 2011 17:55 ] - Agence de Presse d'Azerbaïdjan

Le Collectif VAN vous propose un article de l'APA (Agende de presse azérie) daté du 13 juillet 2011. Les articles de ce site (écrits généralement dans un français rudimentaire) ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos néga-tionnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

APA

Elmar Mammadyarov : « L’Azerbaïdjan est prêt à travailler sur le traité de paix pour le règlement du conflit de Haut-Karabagh »

[ 13 jui 2011 17:55 ]

« Nous devons travailler sur les clauses non-accordées avant l’étape sui-vante des pourparlers »

Bakou. Victoria Dementyeva – APA. « L’Azerbaïdjan invite l’Arménie à com-mencer sans tarder le travail sur le traité de paix pour le règlement du conflit de Haut-Karabagh » a indiqué le chef de la diplomatie azerbaïdja-

naise elmar Mammadyarov dans son entretien à l’agence russe Interfax.

« A mon avis, un avancement a été obtenu et nous pouvons commencer facilement à élaborer le traité de paix » a souligné le ministre.

En question « Quand le Bakou sera prêt pour commencer les pourparlers de paix avec l’Arménie », le diplomate a répondu en bref : « Juste pour au-jourd’hui ».

Ayant commenté la rencontre de Kazan ; le diplomate a déclaré : « Cer-tains médias trouvent non-fructueuse la rencontre de Kazan, mais je n’en suis pas d’accord ».

Le rapprochement des positions a été observé à la rencontre de Kazan, se-lon le diplomate : « D’autre part, nous, l’Azerbaïdjan et l’Arménie devons poursuivre les pourparlers sans aucune crise de nerf et travailler pour le rapprochement des positions. L’Azerbaïdjan reste fidèle dans sa position exposée en 2010 à Sotchi : nous sommes prêts à travailler sur le traité de paix » a-t-il assuré.

La rencontre de Kazan a rendu claire qu’une série de clauses nécessaires pour le traité de paix n’a pas été accordée, selon m. Mammadyarov : « Si on a une bonne intention, commençons alors les élaborer avant l’étape suivante des pourparlers » a-t-il conclu.

http://fr.apa.az/news.php?id=13889

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=55730

UE/TURQUIE/CHYPRE

Une Europe sans la TurquieL'Orient Le Jour

*Ian Buruma enseigne la démocratie et les droits humains au Bard College et est l’auteur de « Taming the Gods : Religion and Democracy on Three Continents » (Apprivoiser les dieux : religion et démocratie sur trois conti-nents, NDT).

Ian BURUMA*

La plupart des citoyens européens (plus de 60 % en France et en Alle-magne, par exemple) s’opposent à l’intégration de la Turquie à l’Union eu-ropéenne. Il y a plusieurs raisons à cela – certaines valables, certaines fon-

dées sur des préjugés : la Turquie est trop grande ; les travailleurs mi-grants turcs pourraient envahir les autres membres ; la Turquie a un pal-marès plutôt fragile en matière de droits de l’homme ; la Turquie oppresse les Kurdes ; la Turquie n’a pas résolu ses problèmes avec la Grèce et Chypre.

Mais la principale raison est surtout que la Turquie, pays à majorité musul-mane, gouverné par un parti musulman, est considérée comme trop étran-gère. Ainsi que l’avait exprimé l’ancien président français Valéry Giscard d’Estaing, l’un des auteurs de la Constitution, « la Turquie n’est pas un pays européen. »

Une idée difficile à accepter pour les membres de l’élite laïque occidentali-sée turque qui ont des années durant, sinon plus, tenté de convaincre de leur sincérité européenne. Comme me l’a récemment exprimé un Turc très cultivé travaillant pour une organisation internationale : « Nous jouons au football avec eux, nous chantons avec eux à la télévision, nous faisons af-faire avec eux, avons amélioré nos droits humains et démocratisé notre action politique. Nous faisons tout ce qu’ils nous demandent de faire, et ils ne veulent toujours pas de nous. »

Tout à fait, a rétorqué une autre Turque qui se trouvait à portée de voix dans un anglais parfait et qui a passé beaucoup de temps à Londres, a tra-vaillé pour des ONG œuvrant en faveur des droits de l’homme et fut em-prisonnée dans les années 80 pour son opposition au régime militaire : « Je hais l’Europe, je ne suis pas européenne, et puis qui a besoin de l’Eu-rope, au juste ? »

Bonne question. Alors que la zone euro est tiraillée par la crise grecque, l’économie turque est en pleine expansion. « L’Europe » a bien évidem-ment été pendant de longues années symbole non seulement de richesses mais aussi de politiques libérales, de sociétés ouvertes et de droits hu-mains. Et les efforts de la société turque pour s’aligner sur les standards européens, même si imparfaits et incomplets, lui ont été largement profi-tables.

Mais de plus en plus d’Européens sont déçus par cette Union. Loin d’être un modèle de démocratie, l’UE est assimilée à un mandarinat arrogant et dépassé, qui établit des règles avec un mépris paternaliste et autoritaire pour les citoyens ordinaires. Et certains de ses nouveaux membres – la Roumanie, la Bulgarie et la Hongrie, par exemple – ne sont pas exacte-ment ce que l’on pourrait appeler des parangons de démocratie libérale ouverte.

Donc, si les Européens ne croient même pas en leur propre union, com-ment les Turcs pourraient-ils désirer y adhérer ? En fait, la femme qui a

prétendu ne pas aimer l’Europe souhaiterait malgré tout bien voir la Tur-quie dans l’UE. Son venin était celui d’une amoureuse éconduite.

Les membres de l’élite turque laïque proeuropéenne, au pouvoir pratique-ment sans discontinuer depuis la fondation de la république par Kemal Atatürk en 1923, sont désormais rejetés par les deux courants. Bloqués par l’UE, ils se voient aussi ravir leurs positions privilégiées par une nou-velle élite, plus provinciale, plus religieuse et moins libérale, mais pas né-cessairement moins démocratique – une cohorte incarnée par le très po-pulaire Premier ministre Recep Tayyip Erdogan.

Pour ces Turcs occidentalisés, l’accord de l’UE représente une bouée de sauvetage contre les actuels courants du populisme islamique représenté par Erdogan. Et ils ont besoin d’encouragements, car les islamistes d’Erdo-gan sont peut-être démocrates, mais les laïques, dans leur ensemble, sont plus libéraux.

Mais la vieille élite privilégiée n’est pas le seul groupe en Turquie à pou-voir espérer tirer parti de l’adhésion à l’Europe. Les minorités se dé-brouillent très bien dans les empires, surtout dans les empires éclairés. Comme les Catalans ou les Écossais, les Kurdes en Turquie sont en faveur de l’adhésion européenne parce qu’elle leur offrirait une protection face à la majorité de leur propre pays.

De par sa taille et sa population, la Turquie inquiète les Européens, et non sans raison. Mais cette crainte est probablement exagérée. Maintenant que l’économie turque est florissante, les Turcs pauvres auront moins de raisons d’aller chercher du travail dans d’autres pays et encore moins de les envahir. Et si le nombre croissant de membres de l’UE devait se mettre en travers d’un futur État fédéral, cela ne devrait pas être si terrible. Dans tous les cas, l’adhésion de la Turquie ne devrait pas faire une si grande différence.

Du point de vue des Turcs d’esprit occidental, la fierté d’une adhésion à l’Europe est peut-être moins importante que la douleur du rejet. Mais il en est de même pour les Européens. Si la république la plus démocratique, la plus moderne et la plus occidentalisée du monde islamique devait être prise d’un ressentiment antieuropéen, cela pourrait ne pas être bon pour l’Occident – ni d’ailleurs pour le reste du monde. La Turquie est en bonne position pour guider d’autres pays musulmans vers une voie plus libérale-démocratique. En outre, avec une réelle pers-pective d’adhésion à l’Europe, la Turquie serait la meilleure placée pour désamorcer les tensions actuelles et potentielles entre l’Europe et le Moyen-Orient. Sans la Turquie, l’engagement de l’UE au Moyen-Orient s’apparente encore à de l’impérialisme occidental. La perspective d’une adhésion turque à l’UE mettrait un terme à la notion

désuète selon laquelle l’Europe tient à la chrétienté. La religion chrétienne a certainement contribué à façonner la civilisation européenne. Mais les ci-toyens européens ne sont pas tous pratiquants. Certains ne sont pas du tout chrétiens.

Si une grande démocratie à majorité musulmane peut rejoindre l’Europe, il sera plus facile d’accepter les musulmans français, britanniques, hollan-dais ou allemands comme des citoyens à part entière aussi. Ceux qui croient que les intérêts communs et les institutions libérales devraient dé-finir l’UE gagneraient par cette adhésion. Ceux qui cherchent une identité européenne fondée sur la culture et la foi s’y opposeront.

Hélas, en ces temps de crise économique, de montée du nationalisme et du populisme chauvin, les chances pour qu’un pays musulman devienne membre de l’UE sont minces, pour le moins. Un tel processus ne peut être forcé sur les peuples. S’entêter dans ce sens contre le vœu de la plupart des citoyens européens entraînerait précisément le genre de paternalisme antidémocratique qui a déjà détourné nombre d’Européens de l’UE.

Mais la majorité n’a pas toujours raison. Et les temps peuvent changer. Mais il se peut aussi que nous finissions par regretter qu’ils n’aient pas changé plus rapidement.

© Project Syndicate, 2011. Traduit de l’anglais par Frédérique Destribats

http://www.lorientlejour.com/category/Moyen+Orient+et+Monde/article/712950/Une_Europe_sans_la_Turquie.html

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=55721

La Turquie brandit la menace d’un gel des relations avec l’UE lors de la présidence chyprioteeuronews

13/07 19:33 CET

Cette présidence n’interviendra que dans un an en juillet 2012 mais Anka-ra a pris les devants. Et c’est le chef de la diplomatie turque qui a jeté ce pavé dans la mare.

Ankara négocie son adhésion avec l’Union européenne depuis 2005 mais cette dernière est bloquée notamment par la question chypriote. Le mi-

nistre a plaidé pour un référendum sur la réunification de l‘île d’ici début 2012.

“Si la partie chypriote grecque retarde les négociations et prend la prési-dence de l’Union européenne en juillet 2012, cela pourrait se traduire non seulement par une impasse sur l‘île mais également par un blocage, un gel des relations entre la Turquie et l’Union européenne”, déclare Ahmet Davutoglu, le chef de la diplomatie turque.

Chypre est divisée depuis l’intervention militaire de la Turquie en 1974 en réaction à un coup d’Etat soutenu par la Grèce. La partie grecque de l‘île, la seule reconnue au niveau international, a adhéré à l’Union européenne en 2004. La Turquie reconnaît pour sa part la partie Nord. Entamées en 2008, les négociations de paix entre les deux parties ont très peu avan-cées.

Copyright © 2011 euronews

http://fr.euronews.net/2011/07/13/la-turquie-brandit-la-menace-d-un-gel-des-relations-avec-l-ue/

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=55731

FRANCE

Soprano : "Participer au concert de SOS-Racisme est un acte citoyen"Nouvel Obs

Publié le 13-07-11 à 16:09 Modifié le 14-07-11 à 09:59 par Anne Collin

Le rappeur participe ce 14 juillet au concert contre l'"aigreur" ambiante or-ganisé par l'association SOS-Racisme sur le Champ de mars. Interview par Anne Collin

SOS-Racisme organise, mercredi 14 juillet, un "concert pour l'égalité" sur la pelouse du Champ de mars à Paris. L'association souhaite "réunir tous ceux, qui face à une ambiance lourde, faite de libération de la parole ra-ciste [...] sont attachés au vivre-ensemble et refusent de voir se construire une société de la haine de l'autre".

Ce concert, affirme également SOS-Racisme, montrera que "notre idéal n'est pas une utopie mais d'ores et déjà les prémisses d'une France qui présentera là son plus beau visage : celui d'un pays métissé, ouvert et gé-

néreux". Des débats et animations sont également prévus au sein du vil-lage associatif éphémère auquel participent notamment l'Inter LGBT, la Li-cra, SOS homophobie, Ni putes ni soumises, la FIDH/LDH (ligue des droits de l'Homme)...

Renouant avec la tradition des concerts en plein air, cet événement gra-tuit réunit plus de 25 artistes dont le rappeur Soprano. Comment a-t-il été amené à participer à cette initiative ? Le Nouvel Observateur lui a posé la question.

Pourquoi avoir accepté de participer à ce "concert pour l'égalité" ?

- C'est important pour moi vis-à-vis des idées que je souhaite véhiculer et des textes que j'écris. Je me bats depuis longtemps contre le racisme et pour le métissage. Cette initiative me correspond donc parfaitement.

S'agit-il pour vous d'un engagement citoyen ou politique ?

- C'est avant tout un acte citoyen. Je pense qu'il est important de partici-per à ce type d'événement pour combattre le racisme et si l'on peut ap-porter sa pierre à l'édifice, il faut le faire. Et SOS-Racisme me tient vrai-ment à cœur.

Pour ce qui est de la politique, c'est plus compliqué. Malheureusement, je fais partie de ces jeunes qui n'arrivent pas à trouver un écho qui leur cor-respond dans les futurs candidats à la présidentielle. C'est donc difficile d'envisager de soutenir officiellement quelqu'un qui ne correspond pas réellement à mes idées.

Si vous ne souhaitez pas soutenir un candidat, pourriez-vous cependant appeler les jeunes à s'inscrire sur les listes électorales et à aller voter ?

- Tout à fait. Pour moi, encore une fois, ce qui est important c'est le métis-sage. Il faut se mélanger et avancer. Et c'est pourquoi les débats qui di-visent, sur la laïcité ou l'identité nationale, me rendent fou. J'appellerai donc sans difficulté à voter contre le racisme. J'ai d'ailleurs participé à une autre initiative intitulée "Pas un autre 21 avril". Il faut se mobiliser contre le Front national.

En tant que rappeur à succès, vous sentez vous responsable ?

- Oui. Il y a tellement de jeunes qui nous écoutent, souvent bien plus qu'ils n'écoutent les politiques, leurs professeurs ou même leurs parents. Nous devons donc faire attention au message que nous véhiculons. J'essaye dans mes textes d'avoir des propos certes engagés, mais positifs. Je veux dire aux jeunes qu'il faut avancer avec la tête et surtout ne pas appeler à

tout casser. Cela donnerait du crédit au Front national ou à certains partis de droite. Je souhaite qu'il y ait une mobilisation citoyenne à chaque fois que des jeunes écoutent un de mes morceaux.

Interview du rappeur Soprano par Anne Collin - Le Nouvel Observateur

(Le mercredi 13 juillet 2011)

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/societe/20110713.OBS7016/14-juillet-fete-nationale-defile-et-concert-pour-l-egalite.html

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=55733

TURQUIE

Le gouvernement turc remporte le vote de confianceQuotidien du Peuple

Mise à jour 14.07.2011 13h13

Le nouveau gouvernement turc a remporté mercredi un vote de confiance au parlement à Ankara.

Le 61ème gouvernement de la Turquie a remporté un vote de confiance au Parlement en obtenant 322 voix sur les 550 membres que compte l'ins-titution. 173 députés ont voté contre tandis que 55 députés étaient ab-sents.

Le nouveau gouvernement a été formé par le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan du Parti de la justice et du développement ( AKP) au pou-voir. L'AKP compte 327 sièges au Parlement issus des 49, 8 % des voix ob-tenues lors des élections générales du 12 juin.

Un total de 276 voix aurait été suffisant pour que le gouvernement rem-porte le vote de confiance.

M. Erdogan a déclaré après le vote que "je sais que nous avons une pé-riode qui s'annonce chargée. Je crois que nous serons ensemble dans la lutte pour un avenir radieux sous ce toit béni où la souveraineté appartient sans condition à la nation".

"Notre solidarité et notre unité ici seront un test important pour détermi-ner si nous sommes en mesure de mener notre pays au delà du niveau de

la civilisation contemporaine. Nous allons passer ce test ensemble", a dé-claré M. Erdogan.

Source: xinhua

http://french.peopledaily.com.cn/International/7440011.html

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=55718

Turquie : regain de violence entre rebelles du PKK et l’arméeeuronews

14/07 19:18 CET

En Turquie, au moins 13 soldats ont été tués et 6 autres blessés dans des affrontements avec des rebelles, dans le sud-est du pays, majoritairement kurdophone. Plusieurs d’entre eux seraient dans un état très critique.

Les combats, les plus violents depuis le cessez-le-feu mis en place par le PKK en février, ont eu lieu non loin de Silvan, dans la province de Diyarba-kir.

Quelques heures plus tôt, des législateurs du BDP, pro-Kurde, et des repré-sentants du gouvernement, avaient échoué à trouver un compromis pour mettre fin au boycott du parlement par les 35 députés du bloc kurde. 5 des leurs accusés de connivence avec les rebelles du PKK étant toujours derrière des barreaux.

Copyright © 2011 euronews http://fr.euronews.net/2011/07/14/turquie-regain-de-violence-entre-re-belles-du-pkk-et-l-armee/

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=55741

Turquie: 13 soldats tués par les rebelles kurdesNouvel Obs

Publié le 14-07-11 à 18:10 Modifié à 17:49

ANKARA (AP) — Treize soldats turcs et sept rebelles kurdes ont été tués jeudi lors d'un accrochage dans le sud-est de la Turquie, a annoncé l'ar-mée turque.

La bataille a éclaté lorsque les soldats ont rencontré des rebelles dans une forêt près du village de Dolapdere, dans la province de Diyarbakir. C'est l'affrontement le plus meurtrier pour l'armée turque depuis plus de trois ans.

Sept soldats ont également été blessés, dont deux se trouvent dans un état critique, précise l'armée. L'incident a conduit le Premier ministre Re-cep Tayyip Erdogan à tenir une réunion d'urgence à Ankara avec de hauts responsables de l'armée et du renseignement.

Une embuscade rebelle en octobre 2007 avait tué une dizaine de soldats le long de la frontière entre la Turquie et l'Irak. L'armée turque avait répli-qué début 2008 avec une offensive terrestre et aérienne d'une semaine contre les bases des rebelles kurdes dans le nord de l'Irak.

Les rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) réclament l'auto-nomie du sud-est de la Turquie, à majorité kurde. Le conflit avec Ankara a fait près de 40.000 morts depuis 1984.

En mai, le chef emprisonné du PKK, Abdullah Ocalan, avait averti que ses forces déclencheraient une "grande guerre" d'ici le 15 juillet si la Turquie refusait de négocier la fin du conflit après les élections législatives du 12 juin.

L'accrochage de jeudi devrait faire monter la tension dans le sud-est du pays. Un peu plus tôt jeudi, les rebelles avaient enlevé deux ouvriers tra-vaillant sur le chantier d'un poste avancé militaire dans la province de Tunceli (est). AP

lma/v660

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/monde/20110714.FAP0861/turquie-13-soldats-tues-par-les-rebelles-kurdes.html

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=55717

L'info vue par la TRT (2)

Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télé-vision & Radio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas

commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos néga-tionnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

TRT

SOMMET TRIPARTITE AU PALAIS DE ÇANKAYA

Le président de la République Abdullah Gül, le Premier ministre Recep Tayyip Erdoğan et le chef d’Etat-major le général Işık Koşa-ner se sont réunis

Posted 14.07.2011 11:52:29 UTC Updated 14.07.2011 12:59:33 UTC

Un sommet « tripartite » s’est tenu après un long intervalle au Palais de Çankaya.

Le président de la République Abdullah Gül, le Premier ministre Recep Tayyip Erdoğan et le chef d’Etat-major le général Işık Koşaner se sont réunis.

L’entretien qui a été amorcé à 13h30, se tient à la veille de la réunion du Haut conseil militaire, qui aura lieu le 1er août.

A la suite de dernières arrestations dans le cadre de l’affaire Balyoz, la réunion du Haut conseil militaire (YAŞ) de cette année sera assez sensible.

Les dernières actions terroristes, ainsi que les développements en Syrie ont été abordés lors de l’entretien qui a duré 50 minutes.

Le président Abdullah Gül recevra le président du Parlement Cemil Çiçek et certains des membres de l’Assemblée nationale à la suite de cette réunion.

http://www.trtfrench.com/trtworld/fr/newsDetail.aspx?HaberKodu=46d31657-a0f2-4566-b4d6-28d96cebbac4&title=Sommet%20tripartite%20au%20Palais%20de%20%C3%87ankaya

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=55737

Istanbul entre dans le Top 10 des pays organisateurs de conférencesQuotidien du Peuple

Mise à jour 08.07.2011 08h40

Istanbul a été classé septième sur la liste mondiale des villes organisant le plus de conférences internationales. C'est la première fois que la ville fait son apparition dans le Top 10 de cette liste de l'Association internationale des Conventions et des Congrès.

D'après cette liste, Istanbul est classé septième car elle a organisé 109 conventions en 2010. En 1999, seuls 23 événements avaient été organisés dans la ville.

Vienne, Barcelone et Paris sont les trois premiers de cette liste mondiale, a informé l'Association.

Istanbul souhaite accroître ses revenus en se faisant connaître comme étant une destination idéale pour organiser des congrès et des conven-tions.

Source: xinhua

http://french.peopledaily.com.cn/International/7433403.html

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=55719

Istanbul se dit prête pour les JO de 2020Métro Montréal

THE ASSOCIATED PRESS Publié: 13 juillet 2011 09:58 Mis à jour: 13 juillet 2011 10:03

ANKARA, Turquie - Istanbul est prête à déposer sa candidature pour les Jeux olympiques de 2020, a indiqué mercredi le ministre des sports de la Turquie.

Suat Kilic a déclaré au réseau turc de CNN que la Turquie était disposée à répondre à tous les critères requis.

Le Comité olympique turc a fait savoir que la date limite pour ce faire sera le 29 juillet et une décision finale sera rendue à la suite d'une réunion avec le premier ministre Recep Tayyip Erdogan.

Istanbul a présenté sa candidature, sans succès, en vue des JO de 2000, 2004, 2008 et 2012.

La candidature de Madrid en vue des Jeux de 2020 a quant à elle été offi-ciellement confirmée, mercredi, par le maire de la ville Alberto Ruiz-Gallar-don.

Madrid a également présenté sa candidature pour les JO de 2012 et 2016.

Rome a déjà annoncé sa candidature en vue de 2020 et on prévoit que To-kyo le fera cette semaine.

Le CIO choisira en 2013 la ville-hôte pour les Jeux de 2020.

http://www.journalmetro.com/sports/article/916155--istanbul-se-dit-prete-pour-les-jo-de-2020

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=55722

Impliqué dans l'affaire des matchs truqués en Tur-quie, Besiktas rend sa coupeLEMONDE.FR | 14.07.11 | 17h26

Le club du Besiktas Istanbul a annoncé jeudi qu'il allait rendre à la Fédéra-tion turque de football (TFF) le trophée qu'il avait remporté la saison der-nière lors de la Coupe de Turquie, après le placement en détention provi-soire pour matches truqués de deux de ses cadres tard mercredi. "Nous avons dit à Mehmet Ali Aydinlar [le président de la TFF] que nous voulions restituer la coupe […]. Nous la reprendrons quand nos personnels seront blanchis", a déclaré le président de Besiktas Yildirim Demirören, cité par l'agence de presse Anatolie. "La réponse de la fédération a été positive. Nous ferons une déclaration plus détaillée ultérieurement", a-t-il poursuivi.

Les conséquences de cette décision sur la participation de Besiktas à l'Eu-

ropa League 2011-2012, obtenue grâce à la victoire du club stambouliote en Coupe de Turquie, ne sont pas encore connues. Cette annonce inter-vient après le placement en détention provisoire mercredi soir du vice-pré-sident de Besiktas, Serdar Adali, et de son directeur technique, Tayfur Ha-vutçu, en même temps que trois autres suspects extérieurs au club, selon Anatolie.

Ces mises sous écrou portent à 31 le nombre de personnes placées en dé-tention provisoire depuis le lancement le 3 juillet d'une enquête sans pré-cédent sur des soupçons de tricherie concernant 19 matches de première et deuxième division joués durant la saison 2010-2011. Au moins cinq autres personnes connues du football turc, dont Yilmaz Vural, qui a été l'entraîneur de plusieurs clubs de l'élite, ont été déférées tôt jeudi devant des juges d'Istanbul qui pourraient les inculper ou les remettre en liberté, a indiqué Anatolie.

Besiktas, qui a terminé 5e du dernier championnat de Turquie, est avec Fenerbahçe et Galatasaray l'un des trois grands clubs d'Istanbul. Parmi les grands noms du football turcs visés par l'enquête figurent le président de Fenerbahçe, Aziz Yildirim, incarcéré dimanche, et le président de Trabzon-spor, Sadri Sener, arrêté lundi mais remis ensuite en liberté. Selon les mé-dias turcs, Fenerbahçe et son président sont au cœur de l'affaire et soup-çonnés d'avoir manipulé des matches au cours de l'exercice 2010-2011, qui a vu le club remporter le titre aux dépens de Trabzonspor lors de l'ul-time journée, grâce à une meilleure différence de buts.

Le championnat turc devrait toutefois reprendre, comme prévu, le 5 août a fait savoir lundi M. Aydinlar, ajoutant qu'aucune sanction disciplinaire ne serait prise dans l'immédiat. La TFF a jusqu'à vendredi pour communiquer à l'UEFA les noms des clubs qui disputeront les compétitions européennes de la saison à venir. Celle-ci a indiqué mardi dans un communiqué que rien ne conduisait pour l'heure à interdire l'entrée dans les compétitions européennes à certains clubs turcs. Elle a cependant souligné que, "même une fois l'admission de clubs enregistrée dans les compétitions relevant de son autorité, une exclusion de la compétition en cours, ou des compéti-tions à venir pour une durée indéterminée, est possible s'il apparaît qu'un club donné a obtenu sa qualification par le biais de matches truqués".

http://www.lemonde.fr/sport/article/2011/07/14/implique-dans-l-affaire-des-matchs-truques-en-turquie-besiktas-rend-sa-coupe_1548933_3242.html

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=55734

Dépêche de l'APA [ 15 jui 2011 12:00 ] - Agence de Presse d'AzerbaïdjanLe Collectif VAN vous propose un article de l'APA (Agende de

presse azérie) daté du 15 juillet 2011. Les articles de ce site (écrits généralement dans un français rudimentaire) ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos néga-tionnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

APA

Dans le cadre de sa visite à Ankara, Hillary Clinton discutera sur le conflit de Haut-Karabagh et les relations Turquie-Arménie

[ 15 jui 2011 12:00 ]

Bakou. Habil Suleymanzade – APA. Les discussions sur le conflit de Haut-Karabagh figure au menu de la visite de la Secrétaire d’état américaine Hillary Clinton en Turquie.

Mme Clinton devrait discuter en premier ordre, la situation en Libye. Les questions régionales et bilatérales seront discutées en deuxième étape, rapporte l’APA, citant le Département d’Etat américain.

Mme Clinton devrait rencontrer le président Abdullah Gül, le premier mi-nistre Recep Tayyip Erdogan et le chef de la diplomatie Ahmet Davutoglu. Mme Clinton devrait discuter avec les officiels turcs, les questions préoccu-pant l’Ankara et le Washington : « La formation du gouvernement en Irak§ la situation au Caucase, l’Arménie, le Chypre et les Balkans figurent à l’ordre du jour de la visite » selon un communiqué du Département d’Etat américain.

Les projets d’énergie restent au cœur des rencontres avec les officiels turcs. Mme Clinton sera accompagnée par l’envoyé des Etats-Unis en Eur-asie pour les questions d’énergie, Richard Morningstar.

http://fr.apa.az/news.php?id=13911

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=55740

TURQUIE/GRECE

Grèce-EFG Eurobank envisage de vendre sa filiale en TurquieLes Echos

14/07 | 19:53

La banque grecque EFG Eurobank a entamé des discussions préliminaires en vue de la cession d'une part majoritaire de sa filiale turque Eurobank Tefken.

Deuxième établissement bancaire grec, EFG Eurobank s'efforce, comme ses concurrents nationaux, de renforcer ses fonds propres pour faire face aux pertes entraînées par la crise de la dette.

Si la vente d'Eurobank Tefken se réalise, il s'agira du deuxième désinves-tissement effectué cette année par sa maison-mère en dehors de Grèce, après la cession d'une part majoritaire de sa filiale polonaise Polbank à l'autrichien Raiffeisen en février pour 490 millions d'euros.

"Dans les conditions actuelles, la possible vente d'une part majoritaire de la banque turque permettra de réaffecter des fonds afin de renforcer les activités de EFG dans les pays où elle a une présence significative, tout en renforçant sa liquidité et ses fonds propres", a fait valoir la banque dans un document déposé jeudi auprès de la Bourse d'Athènes.

Eurobank est présent en Bulgarie, en Roumanie, en Serbie, à Chypre, en Albanie et en Ukraine. Le groupe dispose de 83,2 milliards d'euros d'actifs et emploie 22.500 personnes.

Reuters http://www.lesechos.fr/investisseurs/actualites-boursieres/reuters_00361258-grece-efg-eurobank-envisage-de-vendre-sa-filiale-en-turquie-194073.php

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=55732

OTAN/TURQUIE/USA/LIBYE

Réunion charnière du groupe de contact sur la Libye

Le Point

Reuters- Publié le 15/07/2011 à 12:23

par Andrew Quinn et Tulay Karadeniz

ISTANBUL (Reuters) - Les pays de l'Otan et les puissances arabes sont réunis vendredi à Istanbul pour une nouvelle réunion du groupe de contact sur la Libye qui intervient à un moment charnière entre absence de pro-grès militaires et spéculations sur les intentions de Mouammar Kadhafi.

Quatre mois après les premières frappes alliées sur les structures de l'ar-mée régulière libyenne, des informations circulent de plus en plus nom-breuses faisant état d'une possible évolution du numéro un libyen.

Dans un discours jeudi soir devant des dizaines de milliers de partisans à Al Adjaïlat, à 80 km à l'ouest de Tripoli, il a réitéré son intention de pour-suivre la lutte. "Je me sacrifierai pour vous (...) Je combattrai jusqu'au bout", a-t-il dit.

Taxant Nicolas Sarkozy, chaud partisan de l'intervention de l'Otan dès ses débuts, de "criminel de guerre", il a assuré que "la Libye sera le cimetière de l'Otan, l'Union européenne aussi verra sa fin venir durant cette ba-taille".

Mais de ce qui filtre des contacts informels, il semblerait que le dirigeant libyen pourrait être prêt à renoncer au pouvoir qu'il exerce depuis 41 ans s'il obtient des garanties.

Le conditionnel est toutefois de rigueur. "Il y a beaucoup d'idées en l'air. Nous ne sommes pas encore persuadés qu'une seule d'entre elles soit dé-cisive par rapport aux conditions que nous avons fixées", minimise-t-on dans l'entourage d'Hillary Clinton.

ENVISAGER L'APRÈS-KADHAFI

Le chef de la diplomatie turque, Ahmet Davutoglu, espère lui qu'une solu-tion politique au conflit pourra émerger d'ici le ramadan, le mois de jeûne musulman en août.

Dînant avec le secrétaire général de l'Otan, Anders Fogh Rasmussen, à la veille de la réunion d'Istanbul, il a déclaré jeudi soir que les discussions se focaliseraient sur "les mesures à prendre en vue d'une solution immédiate en Libye", a rapporté un diplomate turc.

La secrétaire américaine d'Etat et la représentante de l'Union européenne

pour les affaires étrangères, Catherine Ashton, sont au nombre des partici-pants de cette nouvelle réunion, la quatrième du genre depuis la création du groupe de contact en mars à Londres.

Selon un autre membre de la délégation américaine, la communauté inter-nationale "commence à envisager l'après-Kadhafi". "Il va partir et la réunion pourrait être utile pour faire le point et préparer cette transition. Nous considérons cette rencontre comme un pivot dans le cadre de ce processus", a-t-il ajouté.

Dans l'optique où Kadhafi accepterait de se retirer, resterait à trancher la question de l'avenir personnel du dirigeant libyen, visé par un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale pour crimes contre l'humanité. Lui offrirait-on en échange une immunité, serait-il autorisé à rester sur le sol libyen ou à chercher refuge dans un pays tiers ?

L'Otan, la Ligue arabe, l'Union africaine et le Conseil de coopération du Golfe sont également à Istanbul. La Chine, qui était invitée, a décliné en raison de ses interrogations sur le mode de fonctionnement du groupe de contact.

Comme la Russie, autre membre permanent du Conseil de sécurité des Nations unies, Pékin s'est abstenue lors du vote de la résolution 1973 qui a autorisé à la mi-mars l'intervention militaire étrangère confiée ultérieure-ment à l'Otan.

CIBLES RÉDUITES EN LIBYE

En Libye, les insurgés tiennent toujours la localité d'Al Kaoualich, à une centaine de kilomètres au sud de Tripoli, et visent désormais Gariane, ver-rou sur la principale route menant jusqu'à Tripoli. Mais en dépit des bom-bardements aériens de l'Otan depuis le mois de mars, censés affaiblir les capacités militaires du régime, les insurgés progressent lentement et diffi-cilement.

Dans la ville côtière de Brega, au bord du golfe de Syrte, des insurgés ap-puyés par des avions de l'Otan ont mené jeudi une attaque maritime et terrestre, indique la chaîne de télévision Al Arabia. Les forces de Kadhafi auraient bombardé elles, toujours selon Al Arabia, la ville d'Ajdabiah, non loin de Brega.

Pour l'émissaire du président russe Dmitri Medvedev pour la Libye, le diri-geant libyen est loin d'être vaincu. "Kadhafi n'a pas encore utilisé le moindre missile sol-sol, alors qu'il en a plus qu'il n'en faut. On peut donc douter du fait que le régime commence à être court d'armements", a dit Mikhaïl Margelov, cité jeudi par le quotidien russe Izvestia.

Le commandement allié éprouve parallèlement des difficultés à établir des cibles sûres, les forces loyales au colonel libyen optant pour une stratégie de dissimulation dans des zones civiles.

"A mesure que la campagne militaire se poursuit, le régime tente de plus en plus de cacher ses troupes, son matériel et ses centres de commande-ment, souvent dans des zones peuplées", a déclaré vendredi matin le gé-néral Nick Pope, responsable de la communication à l'état-major des forces britanniques.

Londres, a-t-il ajouté, va cependant engager sur le théâtre libyen quatre chasseurs Tornado supplémentaires, des appareils spécialisés notamment dans les missions de surveillance et de reconnaissance aériennes.

Avec Peter Graff à Al Kaoualich, Bertrand Boucey, Eric Faye, Jean-Philippe Lefief et Henri-Pierre André pour le service français http://www.lepoint.fr/fil-info-reuters/reunion-charniere-du-groupe-de-contact-sur-la-libye-15-07-2011-1353080_240.php

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=55745

L'info vue par la TRT (1)Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télé-vision & Radio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas

commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos néga-tionnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

TRT

VISITE DE LA SECRÉTAIRE D’ETAT AMÉRICAINE HILLARY CLINTON EN TURQUIE

Mme Clinton réalisera une visite officielle en marge de la réunion du groupe de contact sur la Libye

Posted 14.07.2011 10:45:06 UTC Updated 14.07.2011 10:49:02 UTC

Mme Clinton assistera à la réunion du groupe de contact sur la Libye, tout en réalisant des entretiens bilatéraux à cette occasion.

Auprès des relations entre Ankara et Washington à l’agenda, les soulève-ments populaires au Moyen-Orient et en Afrique du Nord sont parmi les dossiers prioritaires.

Cette visite a lieu en parallèle avec la tenue de la réunion du groupe de contact, remplaçant une précédente visite de la secrétaire d’Etat améri-caine Hillary Clinton, qui avait été repoussée suite aux développements ré-gionaux.

En marge de la réunion, Mme Clinton sera reçue aussi bien par le pré-sident de la République Abdullah Gül, que le Premier ministre Recep Tayyip Erdoğan, et réalisera un entretien bilatéral avec le ministre des Af-faires étrangères Ahmet Davutoğlu.

A l’agenda de Mme Clinton, figurent également le parti d’opposition CHP. Elle rencontrera samedi, le président général du parti républicain du peuple Kemal Kılıçdaroğlu. http://www.trtfrench.com/trtworld/fr/newsDetail.aspx?HaberKodu=2f403102-8d06-4e72-b0c1-52fcd315260e&title=Visite%20de%20la%20secr%C3%A9taire%20d%E2%80%99Etat%20am%C3%A9ricaine%20Hillary%20Clinton%20en%20Turquie

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=55736

La Turquie promet une aide supplémentaire de 200 millions de dollars aux rebelles libyensQuotidien du Peuple

Mise à jour 07.07.2011 16h06

La Turquie et le Conseil national de Transition (CNT) de l'opposition li-byenne ont signé mercredi à Ankara un accord sur un prêt supplémentaire de 200 millions de dollars aux rebelles libyens, a rapporté l'agence de presse turque Anatolie.

L'accord a été signé par le vice-Premier ministre turc Ali Babacan et Ali Ab-dussalam Tarhouni, chargé des finances et du pétrole, au sein du CNT.

Avec ce nouveau prêt, l'aide founrie par la Turquie aux rebelles libyens de-vrait atteindre 300 millions de dollars.

S'exprimant lors de la cérémonie de signature, Ali Babacan a souhaité à la

Libye un avenir de paix et de prospérité, indiquant que "le bonheur du peuple libyen est notre bonheur. Leur douleur est aussi notre douleur".

Ali Abdussalam Tarhouni a pour sa part remercié la Turquie et le peuple turc pour leur soutien, déclarant que "cet accord signifie beaucoup pour nous. Avec cet accord, nous avons renforcé notre coopération straté-gique".

Source: xinhua

http://french.peopledaily.com.cn/International/7433403.html

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=55720

Réunion "pivot" du groupe de contact sur la Libye à IstanbulRomandie

La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton est arrivée vendredi à Istan-bul pour une réunion du "groupe de contact" sur la Libye. L'organisation va probablement débattre de la recherche d'un règlement négocié avec le régime de Mouammar Kadhafi, en l'absence de résultats militaires.

Le groupe de contact rassemble les Etats membres de l'Otan et les pays arabes impliqués dans le conflit. La communauté internationale "com-mence à envisager l'après-Kadhafi. Il va partir et la réunion pourrait être utile pour faire le point et préparer cette transition", a déclaré un membre de la délégation américaine interrogé à bord de l'avion de la secrétaire d'Etat.

Quatrième du genre depuis mars, la réunion se déroulera en présence de membres du Conseil national de transition (CNT) mis sur pied par l'opposi-tion libyenne. Washington souhaite connaître plus précisément sa straté-gie pour ouvrir la voie à des élection démocratiques et pour rassembler aussi largement que possible. Sans la Chine

"Nous avons déjà dit que Kadhafi avait perdu sa légitimité et qu'il devait partir, et (...) on se demande évidemment ce que sera la régime suivant", a poursuivi le diplomate américain, ajoutant que l'aide financière allouée au CNT serait également à l'ordre du jour.

L'Otan, la Ligue arabe, l'Union africaine et le Conseil de coopération du

Golfe seront également représentés à Istanbul. La Chine a fait savoir jeudi qu'elle ne participerait pas à cette réunion en raison de ses interrogations persistantes au sujet du mode de fonctionnement du groupe de contact.

Comme la Russie, autre membre permanent du Conseil de sécurité des Nations unies, la Chine s'est abstenue lors du vote de la résolution 1973 qui a autorisé à la mi-mars l'intervention militaire étrangère confiée ulté-rieurement à l'Otan.

(ats / 15.07.2011 06h18)

http://www.romandie.com/news/n/Reunion_pivot_du_groupe_de_contact_sur_la_Libye_a_Istanbul150720110607.asp

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=55746

TURQUIE/IRAN

Ankara et Téhéran doivent œuvrer pour empêcher une guerre sunnito-chiiteL'Orient Le Jour

Par Danièle ARAMOUNI GERGÈS | 15/07/2011

selon un cadre du parti turc AK au pouvoir

Rencontre Une délégation de jeunes responsables du parti AK, celui du Premier ministre turc, a visité le Liban afin d’y rencontrer des autorités de tous bords et de consolider les relations bilatérales. « L’Orient-Le Jour » les a rencontrés.

Dans un Moyen-Orient en plein bouleversement, la Turquie, puissance émergeante, joue un rôle de plus en plus prépondérant, soutenue pour ce faire par un Occident qui a besoin de faire contrepoids à la puissance ira-nienne.

Comment l’AK, le parti au pouvoir, voit-il les développements régionaux et notamment en Syrie ? « La population réclame avec ardeur davantage de liberté et le droit de demander des comptes à ses dirigeants, répond Can Acun, l’un des responsables au sein de l’AK. Aux yeux de notre parti, il est primordial de donner la voix au printemps arabe et de laisser ces popula-tions opprimées pendant de si longues années s’exprimer librement. Nous

encourageons la démocratisation de cette partie du monde, d’autant plus que nous la vivons dans notre pays et pouvons donc constituer un exemple dans ce sens. »

Les mesures d’apaisement prises par Bachar el-Assad peuvent-elles en-core sauver son régime ? Can Acun préfère ne pas se prononcer sur ce point, « mais, dit-il, il est évident que les manifestants ne se laissent pas impressionner, ni par les répressions ni par les exactions commises à leur encontre. D’autre part, si dans un premier temps le régime s’est montré inflexible face aux demandes légitimes de la population, il semble que cer-taines concessions vont dans le bon sens ». Quant à la question des Sy-riens qui se sont réfugiés en Turquie en attendant que les choses se dé-cantent dans leur pays, toujours selon Can Acun, ils ont été non seulement bien reçus, mais tout a été mis en œuvre pur faciliter leurs conditions de vie. « Le pays s’est mobilisé pour mettre en place une chaîne de solidarité sous le slogan “partagez vos jouets avec vos frères”, je ne vous dis pas combien cette campagne a porté ses fruits. »

Le rôle d’Ankara devient de plus en plus prépondérant dans la région, pour plusieurs raisons dont la principale est que le pays est désormais sur la bonne voie, selon le partisan de l’AK. Et ce sur plusieurs plans, aussi bien politique qu’économique. « Dans un premier temps, la Turquie a donné la priorité à ses alliés occidentaux, mais actuellement, vu les difficultés par lesquelles passent les pays arabes, nous avons voulu être à leurs côtés in-dique Can Acun. Ce qui nous lie à ces pays est une même culture, une même histoire, des relations économiques étroites... » Comment peut-on qualifier les relations entre la Turquie et l’Iran à l’heure actuelle ? D’après notre interlocuteur, depuis le XVIe siècle celles-ci sont stables.

Toutefois, Ankara a des réserves en ce qui concerne le dossier nucléaire de Téhéran qui suscite « des appréhensions légitimes » chez les respon-sables. Cela ne signifie pas pour autant que la Turquie encourage les sanc-tions imposées contre l’Iran, elle considère que le dialogue constitue la meilleure voie pour arriver à une solution qui convient à tous. D’autre part, insiste le jeune responsable du parti au pouvoir, « le rôle majeur que nos deux pays peuvent et doivent jouer, c’est d’éviter par tous les moyens qu’une guerre intercommunautaire n’éclate entre chiites et sunnites. En fin de compte, la Turquie considère qu’un Moyen-Orient en paix, des pays stables, une économie en voie de développement, une société en progrès sont susceptibles de constituer les piliers majeurs de la région ».

Pour ce faire, la Turquie est-elle prête à être le médiateur entre la Syrie et peut-être d’autres pays de la région et Israel pour des pourparlers indi-rects de paix ? « Ankara, dit-il, a accepté l’existence de l’État israélien, mais depuis l’affaire du navire de la liberté – les Israéliens avaient tiré sur ce navire turc qui avait défié l’embargo imposé sur Gaza pour assurer des

aides humanitaires aux Palestiniens – nous attendons des excuses et des compensations qui ne viennent pas. Une fois ce litige réglé, nous serons en effet prêts à faire le nécessaire pour rapprocher les points de vue. »

http://www.lorientlejour.com/category/Liban/article/713135/Ankara_et_Te-heran_doivent_oeuvrer_pour_empecher_une_guerre_sunnito-chiite,_selon_un_cadre_du_parti_turc_AK_au_pouvoir.html

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=55735

ONU/SUD-SOUDAN

L'ONU admet le Soudan du Sud comme nouveau membreCRI 2011-07-15 08:40:50 xinhua

L'Assemblée générale de l'ONU a voté jeudi par acclamation l'admission de la République du Soudan du Sud, qui a proclamé son indépendance le 9 juillet, comme nouvel Etat membre de l'Organisation des Nations Unies.

Mercredi, le Conseil de sécurité avait adopté une résolution recomman-dant cette admission, qui fait du Soudan du Sud le 193e membre de l'ONU.

« C'est un grand honneur pour moi d'accueillir, au nom de l'Assemblée gé-nérale, la République du Soudan du Sud comme nouveau membre des Na-tions Unies », a déclaré le président de l'Assemblée générale, Joseph Deiss, dans un discours après le vote.

« C'est un moment historique et heureux pour l'Afrique mais aussi pour la communauté des nations », a-t-il ajouté. M. Deiss a rappelé que l'indépen-dance du Soudan du Sud était l'aboutissement d'un processus engagé il y a plusieurs années.

« La négociation puis la mise en oeuvre de l'accord de paix global de 2005, ainsi que le référendum qui s'est tenu en janvier dernier sont des exemples de règlement pacifique d'une situation conflictuelle, un exemple pour la paix et la coopération pour le bien des populations », a-t-il dit.

« Je rends hommage au Soudan d'avoir accepté le résultat du référendum et d'avoir, en outre, été le premier pays à reconnaître cette jeune nation », a dit Joseph Deiss.

« Les Nations Unies ont accompagné le processus menant à l'indépen-dance et sont prêtes, pour consolider ce succès, à continuer à soutenir le Soudan et le Soudan du Sud dans leur effort de trouver une solution paci-fique aux questions encore ouvertes et de vivre dans la paix et l'harmonie », a ajouté le président de l'Assemblée générale.

« Bienvenue au Soudan du Sud. Bienvenue au sein de la communauté des nations », s'est exclamé de son côté le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon.

« Nous promettons d'aider le Soudan du Sud à façonner son avenir », a-t-il ajouté. « Il est impératif que vous résolviez les différends restant avec le même pragmatisme et le même leadership que vous avez affiché jusqu'à présent ».

Selon le secrétaire général, « le Sud et le Nord partagent un destin com-mun. Ils doivent voir l'avenir comme partenaires, non comme rivaux ». « L'engagement de tous les Etats membres sera essentiel alors que le Sou-dan du Sud progresse. Ensemble, restons fidèles à la cause de la paix et de la justice pour tous. Ensemble, disons aux citoyens de notre nouvel Etat membre : vous êtes assis avec nous désormais. Nous nous tenons à vos côtés », a-t-il ajouté.

http://french.cri.cn/621/2011/07/15/302s248322.htm

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=55738

RUBRIQUE EN ANGLAIS

Milliyet columnist receives Turkish-Armenian Journalism Award

Friday, July 8, 2011ISTANBUL - Hürriyet Daily News

Milliyet columnist Kadri Gürsel received the first Turkish-Armenian Journal-ism Award given by the Eurasia Partnership Foundation, Global Political Trends Center of Kültür University and Yerevan Press Club on Thursday.

The award is given to the journalist who contributed the normalization of the Armenian-Turkish relationship with his coverage of the issues between Armenia and Turkey, said Yerevan Press Club President Boris Navasardian.

“In the past, mainstream media in both countries were reflecting the offi-cial state views. In his articles however, Kadri Gürsel reflected his own per-sonal experience and opinion with a very professional approach to the problems between Armenia and Turkey. Only these kinds of publications can help these countries understand each other,” Navasardian said.

Reporting about Armenian issues used to be taboo for Turkish journalist in the past, Gürsel said. “I cannot say this taboo has been broken totally, however it is not as strong as it used to be. Now we can write about this is-sue more freely.”

http://www.hurriyetdailynews.com/n.php?n=milliyet-columnist-receives-turkish-armenian-journalism-award-2011-07-08

In Karabakh, the first post-Soviet warBy Will Englund, Published: July 7

STEPANAKERT, Nagorno-Karabakh — Nothing blindsided Soviet leader Mikhail Gorbachev in the late 1980s more than the outbreak of intense national feeling among minority populations in the Soviet Union, much of it laced with religious antagonism.

In Dagestan, Muslims angry about restrictions on the hajj, or pilgrimage to Mecca, stormed a government building. In Ukraine, Eastern Catholics demanded independence. But nowhere was the tension more acute than in Nagorno-Karabakh, a mountainous redoubt in the South Caucasus, famous for mulberries, honey, ancient monasteries, precipitous gorges and centuries of warfare.It is populated overwhelmingly by Armenians but was assigned, by Joseph Stalin, to the Azerbaijan Soviet Socialist Republic in 1921. Stalin was, at the time, the commissar for nationalities, and in a divide-and-rule strategy, he frequently drew borders to divide ethnic groups. Those borders, in the Caucasus and Central Asia, still bedevil current efforts to maintain peaceful relations.Armenians, for instance, have been Christians for nearly 1,700 years, and Azerbaijanis are Muslims, closely related to the Turks. Harsh Soviet rule suppressed their mutual hostility and distrust, but when Gorbachev’s reforms relaxed the constraints, the old hatreds reemerged.In 1988, Karabakh’s leaders said they wanted to be joined to Armenia proper, just to the west. Moscow never really answered, but in Azerbaijan, pogroms were launched against ethnic Armenians in response, with

dozens killed. The Soviet army sent in troops, Azerbaijanis fled Karabakh, and Azerbaijan deported more than 5,000 Armenians. By 1991, nearly 1,000 people had been killed in sporadic fighting.A state of emergency helped to keep the lid on. But in July, Gorbachev decided to pull Soviet troops out. Gun battles erupted almost immediately. On July 7, 1991, reports reached Moscow that Armenian villages along Karabakh’s border were under attack and at least three people were dead.

The president of the Armenian republic, Levon Ter-Petrossian, accused Gorbachev of trying to blackmail Armenia into joining a new Soviet treaty of union, thus forgoing independence, by showing that it was helpless without the protection of the central government.This new treaty was scheduled for signing on Aug. 20, but by early July, only nine of the Soviet Union’s 15 republics had shown any interest in it, and Gorbachev’s hard-line critics said he was risking the dissolution of the country. He desperately wanted more republics to sign on.Armenia wasn’t to be one of them, nor was Azerbaijan. Both went on to declare independence, as had Nagorno-Karabakh itself, and by 1992, they were engaged in a full-scale war — the first war connected to the Soviet collapse. When it ended in a cease-fire in 1994, Nagorno-Karabakh had broken free.But no nation has ever recognized it. It is a de facto republic, with close ties to neighboring Armenia but a firm sense of independence. Karabakh today is a prickly place, immensely proud of its victory over Azerbaijan, confident in the face of continuing Azerbaijani threats of renewed war, and irritated that it hasn’t been given a place at the negotiating table, where its interests are represented by the nation of Armenia — and where little progress has been made over the years.The latest attempt to hammer out a framework peace deal, under the sponsorship of Russia, France and the United States, came to nothing at a meeting in the Russian city of Kazan on June 24.Sidelined, Karabakhis would appreciate international recognition, but they’re not about to beg for it. “Unrecognized? So what. We’re used to it by now,” says Tevan Poghosyan, formerly Karabakh’s representative in the United States. People here are convinced that if the international community had refused to recognize what they view as Azerbaijan’s artificial Soviet-era borders back when the U.S.S.R. broke up, Azerbaijan wouldn’t have been emboldened to attack and their history would have been very different.Instead, thousands died under bombardment, Stepanakert was half-destroyed, and the legends of the “martyrs” of Artsakh, the traditional name for Karabakh, took hold. There’s still plenty of shooting across the

line of contact: 43 incidents in one recent 24-hour period. Seven people on the Karabakh side were reported killed in 2010, and, says Defense Minister Movses Hakobyan, “We always shoot back.”Karabakhis aren’t inclined to make concessions for peace, of territory or anything else. “We liberated those lands. They are historic Armenian lands. We shed the blood of our sons for those lands,” said Robert Baghryan, who today heads the Union of Freedom Fighters of the Artsakh War.Now a lieutenant colonel in the Karabakh reserves, Baghryan got his military training in the Soviet army, where he served as a sergeant. The biggest difference in outlook between the two armies? Combat readiness, he says. The Soviets never paid much attention to it.

http://www.washingtonpost.com/world/in-karabakh-the-first-post-soviet-war/2011/07/06/gIQAF7tm1H_story.html

Azerbaijan Wants to Ruin Peace Talks, Says NalbandianPosted: Fri, 15 Jul 2011 02:42:13 +0000

Nalbandian during meetings in London

LONDON (PanArmenian)—Armenia’s Foreign Minister Edward Nalbandian on Thursday said Azerbaijan wants to ruin the process of the peace negoti-ations. He was directly referring to comments by his Azeri counterpart, who on Wednesday said that it is senseless to spend time on the coordina-tion of the main principles and the sides should jump to develop a peace treaty.

Nalbandian, who was speaking at the London International Institute for Strategic Studies, explained that before the determination of the final sta-tus, Nagorno Karabakh will get a transitional status, which must be deter-mined at the international level.

“This was offered by the Minsk Group co-chairs in 2009 in Prague but Azer-baijan did not accept it,” said Nalbandian who added that Azerbaijan’s statements aim to distort the essence of discussions on the future status of Nagorno Karabakh.

Nalbandian explained that the transitional status meant “status quo plus,” which is, all Karabakh has today plus international recognition.

“The sooner Azerbaijan realizes that its approaches are wrong and stops spending petrodollars to prepare for new adventures, the more apparent its perspective will become on the conflict resolution,” said Nalbandian.

Official Baku misleads the public in its country, when Azerbaijan states that the Helsinki Final Act envisions the settlement of conflicts within the framework of territorial integrity, whereas such a point is not contained within the document, explained Nalbandian.

Nalbandian reminded that the joint statement made in Deauville by the presidents of the OSCE Minsk Group co-chair countries first of all speaks about the establishment of peace and not preparations for war.

“Evidently, it was addressed to Azerbaijan, however Azerbaijan replied with threats for beginning war, military parade, boasting with their last seven years of progress in increasing their military budget 20 times,” said Nalbandian.

The foreign minister also explained that without Karabakh’s consent to the fundamental principles it will be impossible to commence discussions on a peace treaty, just like without the direct involvement of Karabakh in the talks it will be impossible to sign an agreement on the conflict settlement.

“It is important that the Deauville statement speaks about unacceptability of maintaining the status-quo. But all three principles and six elements stated by the heads of the co-chair countries be fulfilled. There is another important point in the statements which Azerbaijan tries to move to the backburner and that is the right of the people of Nagorno Karabakh for de-termination of its final status through free and legal expression of popular will,” said Nalbandian.

While on an official visit to the United Kingdom Nalbandian met with For-eign Secretary William Hague and Minister of State for Europe David Lid-ington.

In the context of regional problems and conflicts Nalbandian presented Ar-menia’s position on the Nagorno Karabakh conflict resolution and ex-pressed hope that in case Azerbaijan demonstrates political will and a con-structive approach, a resolution may be reached.

Lidington expressed the UK’s readiness to assist in talks through the OSCE Minsk Group mediation and stressed the need to strengthen confidence-building measures. He also said resolving the conflict through military means is unacceptable.

http://asbarez.com/97052/azerbaijan-wants-to-ruin-peace-talks-says-

nalbandian/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+Asbarez+%28Asbarez+News%29&utm_content=FeedBurner

Azerbaijan Must Attack Yerevan, Says Political Expert Posted: Fri, 15 Jul 2011 02:38:55 +0000

Vafa Guluzade

BAKU (1news)—Azerbaijan must attack Yerevan, said Azerbaijan former lead negotiator and presidential adviser Vafa Guluzade Thursday, adding that the attacks must be so severe that Armenia would not be able to “for-get it.”

In his statements, Guluzade also said that in addition to Yerevan, Azerbai-jan must attack Gyumri, Gapan and other large cities in Armenia.

Guluzade said in recent years, Azerbaijan has purchased a great deal of military equipment “that other countries can only dream about.”

Guluzade, who served as lead advisor to successive Azeri presidents, in-cluding Haydar Aliyev and was a member of Azerbaijan’s Security Council, also expressed his belief that the Minsk Group co-chair countries side with Armenia. He cited a statement by French President Nicolas Sarkozy, who said that France is Armenia’s “sister country,” as an example the alleged favoritism toward Armenia.

http://asbarez.com/97048/azerbaijan-must-attack-yerevan-says-political-expert/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+Asbarez+%28Asbarez+News%29&utm_content=FeedBurner

RASSEMBLEMENTSEXPOSITIONS-CONCERTS-SPECTACLES-PARUTIONS

Agenda - 15 juillet : Soirée Arménie-Provence avec Levon Minassian

Agenda - 15 juillet : Soirée Arménie-Provence avec Levon Minas-sian - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Paradou

(13) - Vendredi 15 juillet 2011 à 21h - Soirée Arménie-Provence - Avec Levon Minassian, Doudouk - Le groupe Condor, avec Jean-François Gérold, galoubet - - Exposition photo : “L’Ararat pour Mé-moire” de Jean Kéhayan - Textes de Serge Assier - Théâtre de ver-dure du Paradou - Dans le cadre du Festival des Alpilles 2011

Diasporamag

ARMÉNIE : le virtuose du Doudouk, LEVON MINASSIAN

Qui n'a pas pas remarqué les superbes musiques des films "Amen", "La terre vue du ciel", "Va, vis et deviens", "Indigènes", "la Passion du Christ" ? Toutes sont de Levon Minassian, virtuose du Doudouk, cet instrument à vent arménien, si profond, avec lequel il a accompagné des concerts de Peter Gabriel, Sting, Aznavour, Ségara, I Muvrini...

Pour Levon, associer son instrument à d'autres ne sera donc pas excep-tionnel: il l'a déjà mêlé à bien d'autres, notamment ceux du Bulgarian Symphony Orchestra. Mais l'associer au Galoubet sera pour lui une pre-mière. Et quelle première, grâce au Galoubet et aux flûtes indiennes de Condor !

PROVENCE : le Galoubet de JEAN-FRANCOIS GEROLD

Nul besoin de présenter Le Condor, célèbre groupe de la région qui, lors du Festival 2003, avait triomphé en première partie de Tri Yann. Mais cette fois, pour la soirée "Arménie Provence", le challenge est tout autre car il s'agit de s'unir musicalement au géant du Doudouk, une pointure interna-tionale. Un projet qui n'est pas pour déplaire à Jean-François Gérold qui a mené le Condor vers le succès en modernisant la musique traditionnelle de Provence.

Exposition photo : “L’Ararat pour Mémoire” de Jean Kéhayan Textes de Serge Assier.

Jean Kéhayan est écrivain, Serge Assier est photographe. Qui a dit qu’un écrivain n’entendait rien à la photographie ou qu’un photographe n’était pas capable d’écrire ? L’exposition “L’Ararat pour Mémoire” de Jean Ké-hayan sur des textes de Serge Assier prouve le contraire. Cette exposition est tirée d'un reportage réalisé pour le journal Libération.

Théâtre de Verdure au Paradou Le Paradou

A 8 km au nord est d'Arles et 29 km au sud d'Avignon.

20€ le jour du spectacle

15€ en prévente sur ce site http://www.festivaldesalpilles.fr/index.php?page=shop.product_details&flypage=flypage_images.tpl&product_id=5&category_id=1&option=com_virtuemart&Itemid=19

Buvette et snack - Infos : 04 90 54 85 65

http://www.diasporamag.com/agenda/pacacorse/soiree-armenie-provence.html

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=55704

Agenda - 15,16,17 juillet: Journées de l'Arménie et du Haut-KarabakhAgenda - 15,16,17 juillet: Journées de l'Arménie et du Haut-Kara-bakh - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Marignana & Talasani (Corse) - 15-16-17 juillet 2011 - Journées culturelles ar-méniennes - Passi tra Corsica Armenia -Karabagh - Histoire, va-leurs et traditions - Chants, danses, musiques - Danses avec la troupe ANI - Organisées par l' A.C.A DES PENNES MIRABEAU et L' ASSOCIU-SCOPRE de MARIGNANA

Diasporamag

En présence de l'ambassadeur d'Arménie et du Haut représentant du Kara-bagh et de nombreux représentants élus corses Un pas vers l'Arménie et le Karabagh organisées par l' A.C.A DES PENNES MIRABEAU et L' ASSOCIU-SCOPRE de MARIGNANA - Les 15/16/17 juillet. Danses avec la troupe ANI - Conferences , musique, messe, échange entre les cultures Arméniènne & Corse - Venez passer un séjour avec nous. A bientôt - A.C.A DES PENNES MIRABEAU et L' ASSOCIU-SCOPRE -

Informations : A Marignana pour les 15/16/17 juillet : 04 95 21 19 70 & 06 14 43 13 71

Informations : A Talasani (TAVAGNA CLUB) pour 15/16 juillet : 04 95 36 91 94

http :// www . diasporamag . com / agenda / pacacorse / journees - de - l - armenie - et - du - karabagh . html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=55411

Agenda - 20 juillet : Shaké en concert à La FailleAgenda - 20 juillet : Shaké en concert à La Faille - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Paris - Mardi 12 juillet 2011, à 20h - Bar La faille - Shaké en concert - Shaké Mouradian qui vient de finaliser l'édition (MMC Book et XO Editions) de son roman Jude R. dont la parution est prévue pour l'automne 2011 vous invite à venir la retrouver ou la découvrir le temps d'un concert.

Diasporamag

Bar - Concert - Resto 96 rue de Menilmontant 75020 Paris

Shaké sur My Major Compny Book

http://www.mymajorcompanybooks.com/auteurs/shake1/

Shaké sur My Major Company Music

http://www.mymajorcompany.com/artistes/shake/

Shaké sur Facebook

https://www.facebook.com/mouradian.shake

URL originale :http://www.diasporamag.com/agenda/iledefrance/shake-en-concert-a-la-faille.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=55410

Agenda - 23 Juillet: Harmonies d'Arménie avec

NavasartAgenda - 23 Juillet: Harmonies d'Arménie avec Navasart - Agenda

Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Paradou (13) - Samedi 23 Juillet 2011 à 21h - Soirée Harmonies d'Arménie - Avec l'Ensemble Navasart - A voir également l'Exposition photo : “L’Ararat pour Mémoire” de Jean Kéhayan - Textes de Serge Assier - Théâtre de verdure du Paradou - Dans le cadre du Festival des Alpilles 2011

Diasporamag

Depuis 40 ans, l’Ensemble Navasart fait découvrir la culture arménienne en France et à l’étranger, à travers la musique, la danse et le chant. L’En-semble Navasart met en scène l’histoire contrastée d’une nation en quête de liberté, d’autonomie culturelle et spirituelle, avec toujours une même foi en la danse et la musique élevées au rang d’art de la vie. Son pro-gramme chargé d’énergie, de sensualité et de générosité offre un regard contemporain sur l’essence de la tradition arménienne.

Dans l'Arménie ancienne, Navasart représentait la période de festivités du Nouvel An; liesse populaire où musique, chant, danse et arts témoignaient de la vitalité de la culture arménienne Navasart est né en 1967 à Paris, pour conter, par la musique et par la danse, l’histoire d’une nation en quête de liberté, d’autonomie culturelle et spirituelle. Depuis cette date, ce sont plus de mille artistes, danseurs, musiciens et chanteurs qui se sont passionnés pour cette aventure, en vivant au rythme des spectacles en France et à l’étranger pour un an, dix ans ou plus …

Exposition photo : “L’Ararat pour Mémoire” de Jean Kéhayan Textes de Serge Assier.

Jean Kéhayan est écrivain, Serge Assier est photographe. Qui a dit qu’un écrivain n’entendait rien à la photographie ou qu’un photographe n’était pas capable d’écrire ? L’exposition “L’Ararat pour Mémoire” de Jean Ké-hayan sur des textes de Serge Assier prouve le contraire. Cette exposition est tirée d'un reportage réalisé pour le journal Libération.

Théâtre de Verdure au Paradou Le Paradou

A 8 km au nord est d'Arles et 29 km au sud d'Avignon.

15 € ou 12 € en prévente

15€ en prévente sur ce site http://www.festivaldesalpilles.fr/index.php?page=shop.product_details&flypage=flypage_images.tpl&product_id=5&category_id=1&option=com_virtuemart&Itemid=19

Buvette et snack - Infos : 04 90 54 85 65

http :// www . diasporamag . com / agenda / pacacorse / harmonies - darmenie - avec -- navasart . html

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=55703

Agenda - Une éthique du regard, un essai de Sylvie RolletAgenda - Une éthique du regard, un essai de Sylvie Rollet - Agen-

da Collectif VAN - www.collectifvan.org - Comment évoquer, avec les moyens du cinéma, ce qui ne peut être représenté, la destruc-tion des Juifs d’Europe, l’extermination des Arméniens ou l’élimi-nation du quart de la population cambodgienne par les Khmers rouges ? Cette question est au coeur de Nuit et Brouillard (Alain Resnais), Images du monde et inscription de la guerre (Harun Fa-rocki), En Sursis (Harun Farocki), Calendar (Atom Egoyan), Ararat (Atom Egoyan), Shoah (Claude Lanzmann) et S21 (Rithy Panh). Ces « films - témoins » instaurent une scène où le regard est som-mé de voir qu’il n’a rien vu et que la Catastrophe reste à penser. A paraître le 24 août 2011, "Une éthique du regard" est un essai de Sylvie Rollet, Maître de conférences habilitée à diriger des re-cherches en esthétique du cinéma à l’université Sorbonne Nou-velle - Paris-III.

À PARAÎTRE LE 24 AOÛT 2011, DANS LA COLLECTION FICTIONS PENSANTES, UNE ÉTHIQUE DU RE-GARD DE SYLVIE ROLLET

Sylvie Rollet Une éthique du regard Le cinéma face à la Catastrophe, d’Alain Resnais à Rithy Panh

ISBN : 978 27056 8084 8 – Prix : 28 € – Nombre de pages : 274 – Format :14 x 20, 5 cm – Illustrations : 90 en noir & blanc – Parution : 24 août 2011

Comment évoquer, avec les moyens du cinéma, ce qui ne peut être représenté, la destruction des Juifs d’Europe, l’extermination des Ar-méniens ou l’élimination du quart de la population cambodgienne par les Khmers rouges ?

Cette question est au coeur de Nuit et Brouillard (ALAIN RESNAIS), Images du monde et inscription de la guerre (HARUN FAROCKI), En Sursis (HARUN FAROCKI), Calendar (ATOM EGOYAN), Ararat (ATOM EGOYAN), Shoah (CLAUDE LANZMANN) et S21 (RITHY PANH). Ces « films- témoins » instaurent une scène où le regard est sommé de voir qu’il n’a rien vu et que la Catastrophe reste à penser.

Resnais, Farocki, Egoyan, Lanzmann et Panh adoptent certes des formes cinématographiques différentes, entre témoignage et fiction, mais, comme le démontre SYLVIE ROLLET dans cet essai, ils manifestent une même exi-gence. Ne voulant ni représenter ni réparer ce qui par définition est irre-présentable et irréparable, ils inscrivent la lacune au coeur des images.

L’ « éthique du regard » à laquelle ils obéissent relance inlassablement notre désir de percevoir et de comprendre l’événement, qui, de la sorte, devient imaginable. Maître de conférences habilitée à diriger des re-cherches en esthétique du cinéma à l’université Sorbonne Nouvelle - Paris-III, SYLVIE ROLLET est l’auteur d’un ouvrage consacré à la poétique de la mémoire dans l’oeuvre cinématographique de Théo Angelopoulos et la di-rectrice de publication de deux volumes collectifs consacrés aux liens entre cinéma et mémoire. Directrice du programme « Mémoires, archives et création » subventionné par la FMS, elle codirige le programme interuni-versitaire (Paris-I, Paris-III, Paris-VIII) sur le cinéma et l’histoire : « Théâtres de la mémoire ».

PRÉSENTATION DE LA COLLECTION CRÉÉE EN 2010 PAR FRANCK SALAÜN

« Toutes les oeuvres authentiques ont leurs frères et leurs soeurs dans le domaine de la philosophie. Ce sont justement les figures dans lesquelles se manifeste l’idéal de leur problème. »

WALTER BENJAMIN

Le titre de cette collection est une invitation à considérer la fiction comme un espace de pensée, et les oeuvres fictionnelles comme des systèmes si-gnifiants, dont le fin mot n’appartient ni à l’auteur ni au lecteur.

Le concept de fiction pensante, proposé par FRANCK SALAÜN pour définir

certaines oeuvres de Diderot, constitue avant tout un point de repère. Der-rière la variété des objets et des méthodes, des monographies aux études thématiques en passant par les recherches théoriques, les essais publiés dans la collection FICTIONS PENSANTES ont en commun d’interroger la fa-çon dont la fiction pense.

Il s’agit non seulement de comprendre à quoi elle pense, et dans quels buts, mais aussi comment elle pense.

Franck Salaün enseigne la littérature française à l’université de Montpel-lier. Il est l’auteur de plusieurs essais sur le siècle des Lumières, et notam-ment d’un récent ouvrage sur la question du statut des textes au XVIIIe siècle (L’Autorité du discours, Champion, 2010).

Depuis 2010, il dirige la collection Fictions pensantes qu’il a créée et dans laquelle il a publié deux opus : Le Genou de Jacques (avril 2010) et Besoin de fiction (septembre 2010).

CONTACT POUR LES ÉDITIONS HERMANN : Daphnée Gravelat 6, rue de la Sorbonne – 75 005 Paris 01 45 57 45 40 – [email protected]

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=55677

Agenda - Les différends arméno-turcsAgenda - Les différends arméno-turcs - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Les différends arméno-turcs ou la quête de justice au regard des principes du droit international

Gérard Guerguerian Avocat à la Cour Membre de l’Observatoire arménien

Préface de Jean-Claude Gens Professeur de philosophie contemporaine à l’université de Bourgogne

Parution juillet 2011

ISBN : 978-2-917329-27-6, Ed. SIGEST 176 pages, 15x23 cm. 17,95 €

Les différends Arméno-Turcs, posent, sur le plan du droit international, trois

séries d’interrogations : • Les Arméniens sont victimes de massacres perpétrés au sein de l’Empire Ottoman au début du XXe siècle. Ces faits peuvent-ils être qualifiés de Génocide et si oui, les victimes et leurs descendants ont-ils droit à une réparation ? s’il y a eu crime, qui en porte la responsabilité aujourd’hui ? • A la faveur du Génocide, il y a eu dépossession de territoires, de biens fonciers, d’édifices religieux. La souveraineté territoriale d’un Etat peut-elle être opposée à une dépossession forcée suite à un crime de Génocide ? Se pose la question de la spoliation de l’espace territorial en lien avec un crime. De surcroit, un patrimoine culturel est laissé à l’abandon, et sa disparition est programmée par l’effet du temps; quel est le mécanisme juridique prévu pour sa préservation ou sa récupération ? la souveraineté territoriale et les effectivités étatiques peuvent-elles être opposées aux détenteurs d’origine lorsque ces derniers sont dépossédés par suite de crimes et déportations ? • La population de la ‘Région Autonome’ du Haut Karabakh dispose-t-elle d’un droit à disposer d’elle-même ? l’intégrité territoriale de l’Azerbaïdjan peut-elle lui être opposée ?

Jean-Claude Gens : « Pratiquement un siècle après l’événement que le gouvernement turc conteste avoir été un génocide, est-il possible d’espérer surmonter par un compromis juridique les différents arméno-turcs relatifs à cette question et à celle, qui en est une conséquence plus lointaine, de la ‘Région autonome’ du Haut Karabakh ? L’intérêt de l’ouvrage de Gérard Guerguerian est d’abord de montrer que, pour envisager ces possibilités de compromis, il est nécessaire de comprendre l’état de la question, et donc de passer par une interrogation relative au sens et à l’évolution du droit international depuis le début du vingtième siècle, de ses concepts et de ses raisonnements, voire des principes du droit en général. »

TÉLÉCHARGER :  Les différends arméno-turcs

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=55223

Agenda - Parution du livre Le Cahier à fleurs, Tome 2 : Dernière mesure [Album]Agenda - Parution du livre Le Cahier à fleurs, Tome 2 : Dernière mesure [Album] - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Cahier à fleurs, Tome 2 : Dernière mesure [Album], Laurent

Galandon (Auteur), Viviane Nicaise (Auteur), Jérôme Maffre (Avec la contribution de)

Anatolie, 1915. Maraynouche et Dikran vivent dorénavant sous le joug d’Oktar, véritable ogre esclavagiste. Maraynouche joue à nouveau du violon. Faute de partitions, elle écrit un morceau dans le cahier à fleurs. Salim est attiré par l’adolescente et il supporte de moins en moins l’attitude de son père à l’égard de la jeune femme dont le ventre s’arrondit. Elle attend un enfant d’Oktar.

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Bientôt, Dikran, dans un moment de désespoir, tente de fuir mais Oktar le retrouve rapidement et le punit violemment…

Après la Shoah avec l'Envolée sauvage ou la guerre d'Algérie avec Tahya El-Djazaïr, Laurent Galandon élabore un nouveau récit autour d'un point sombre du passé : 1915, en Anatolie, on éradique un tiers de la population, les Arméniens.

Laurent Galandon - Scénariste

Après des études en photographie, il exerce ce métier pendant quelques années avant de diriger un cinéma d’Art et d’essai. Bamboo accueille en son giron ses récits aux thèmes forts et poignants : Gemelos, L’Envolée sauvage, L’Enfant maudit, Tahya El-Djazaïr, Shahidas et Le cahier à fleurs. Laurent est également l’auteur de Quand souffle le vent chez Dargaud.

Viviane Nicaise - Dessinateur

D’origine belge, Viviane Nicaise a travaillé dans le secteur para-médical, avant d’entamer une carrière de dessinatrice. En 1992 paraît Sang-de-lune, son premier album, sur un scénario de Jean Dufaux. Après 6 tomes, elle signe chez Glénat avec Dieter au scénario Loranne, 6 jours et mourir et La Vie en rose. Plus récemment, elle publie Le Cahier à fleurs chez Grand Angle.

Publié par les Editions Bamboo, en collaboration avec le CCAF

Pour commander ce livre sur Amazon

http://www.amazon.fr/dp/2818903165/ref=as_li_tf_til?tag=diasporamag-21&camp=1414&creative=6410&linkCode=as1&creativeASIN=2818903165&adid=1KR5KJPQYBTWWDZFY2DA&

http://www.diasporamag.com/magazine/livresalaune/le-cahier-a-fleurs---derniere-mesure.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=55017

Agenda - Alexandrie, une architecture ottomaneAgenda - Alexandrie, une architecture ottomane - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Alexandrie, une architecture otto-mane - Milena Annaloro, Guirémi Lange - Editons Parenthèses - Collection architecture - diffusion : Harmonia Mundi - Au moment de son apogée, l’Empire ottoman couvre une grande partie des rives sud de la Méditerranée avec notamment Alexandrie, my-thique cité portuaire. La ville égyptienne la plus cosmopolite, sillonnée autant que racontée pendant des siècles par des voya-geurs, conserve une partie de son patrimoine architectural de l’époque, qui demeure toutefois méconnu, tout comme la typolo-gie de l’architecture domestique orientale se voit souvent réduite à la seule maison à cour.

Diasporamag

extraits

L’analyse de nombreux bâtiments civils de l’emblématique quartier Gümrük nuance ce stéréotype et révèle au contraire une grande richesse des modèles (maisons sans cour, à sofa, wakâla, rab‘…) avec des caracté-ristiques singulières empruntant structures et formes à la Turquie, au Moyen-Orient, au Maghreb et à l’Europe. La ville ottomane s’est surtout développée au xvie siècle, attirant une population éclectique qui va susci-ter la construction d’édifices aux originales variations architectoniques, mais profondément transformés au xixe siècle, sous le règne de Méhémet Ali remarqué pour sa politique d’ouverture vers l’Occident. Relevés, plans, dessins, restitutions volumétriques, gravures anciennes, photographies mais aussi textes de voyageurs, construisent le récit de cet état des lieux « vivant » comme autant d’invitations à pénétrer dans l’intimité des édi-fices et des pratiques de leurs habitants, témoignages sensibles d’une cer-taine vision du monde. Une contribution de Jean-Charles Depaule situe les enjeux anthropologiques de cet épisode architectural — en voie de dispari-tion — dans l’Égypte contemporaine.

Milena Annaloro et Guirémi Lange sont architectes, diplômés en 2002 (université de Palerme et école nationale supérieure d’architecture de Mar-seille). De 2004 à 2007, ils s’installent à Alexandrie dans le cadre d’une mission de solidarité internationale. Rattachés à l’université Senghor, ils se lancent dans l’inventaire patrimonial du quartier ottoman ainsi qu’à des projets de réhabilitation. Très impliqués, ils tentent de sensibiliser le public à l’état de dégradation des maisons ottomanes et à leur disparition pure et simple du fait de la forte spéculation immobilière.

Milena Annaloro, Guirémi Lange Alexandrie, une architecture ottomane 24 × 28 cm, 144 p., nombreux plans, photographies et dessins en couleur, bibliographies, chronologie, 2011. ISBN 978-2-86364-199-6 / 29 € diffusion : Harmonia Mundi

Editions Parenthèses 72, cours Julien — 13006 Marseille — France téléphone : [33] 0 495 081 820 télécopie : [33] 0 495 081 824 courriel : [email protected]

Contact presse : Jasmine Badr [email protected]

http://www.diasporamag.com/magazine/livresalaune/alexandrie-une-archi-tecture-ottomane.html

http://collectifvan.org/article.php?r=5&id=54715

Agenda - Terre d’Arménie, les circuits hors des sen-tiers battusAgenda - Terre d’Arménie, les circuits hors des sentiers battus - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org

Terre d’Arménie a été créée en 2009 par des spécialistes du tourisme et des passionnés de la culture et de l’histoire arméniennes. L’association a pour but le développement du tourisme alternatif en Arménie. Les actions de l’association sont dirigées vers le développement à long terme mettant l’accent sur la découverte des attractivités insolites hors des sentiers bat-tus. Pendant les voyages, les visiteurs ont le plaisir de découvrir une autre image d’Arménie. Terre d’Arménie propose des rencontres avec des ar-

tistes et des paysans faisant connaissance avec leur mode de vie, une par-ticipation directe aux fêtes et cérémonies (baptême, mariage, fêtes tradi-tionnelles et religieuses, etc.), une découverte alternative de la cuisine ar-ménienne et des randonnées pédestres à travers les somptueux paysages de montagnes. Les voyages de Terre d’Arménie sont réalisés sur deux axes : des circuits appropriés de différentes durées et des voyages sur mesure tout au long des quatre saisons.

Les bénéfices des voyages sont attribués aux projets de dévelop-pement dans les régions d’Arménie.

Contact :

www.terredarmenie.com

Terre d’Arménie vous présente le circuit hors des sentiers battus

du 25 juillet au 4 août 2011

JOUR 1 Arrivée à Erevan, diner, nuit à l’hôtel.

JOUR 2 Tour de ville à Erevan, visite du Musée d’Art Populaire, Delphinarium (aquarium de dauphins), atelier de peintre, spectacle de danse tradition-nelle dans la soirée. Nuit à Erevan.

JOUR 3 Départ pour la ville d’Edjmiatsine - siège du catholicos de tous les armé-niens, visite des églises Ste. Hripsimé, Ste. Gayané, Ste. Choghakat et par-ticipation à la sainte messe à la Cathédrale. Visite du musée de Serguey Paradjanov, grand cinéaste arménien (1924-1990). Nuit à Erevan.

JOUR 4 Départ pour la région d’Aragatsotn (au pied du mont Aragats), visite du monastère de Tégher, excursion à la citadelle d’Amberd, construite au VIIe siècle sur un piton rocheux - un des rares témoignages de l’architecture militaire arménienne du Moyen Âge. Découverte de la cathédrale d’Aroutj - siège de Grigor Mamikonian, gouverneur de l'Arménie au VIIe siècle. Visite d’atelier d’artiste. Nuit à Erevan.

JOUR 5

Départ pour le village de Djadjour de la région de Chirak dans le Nord-Ouest du pays. Visite du musée du peintre arménien Minas Avetissian (1928-1975). Tour de ville à Gumri. Visite du complexe monastique de Mar-machène. Nuit à Gumri.

JOUR 6 Départ pour la région de Lori dans le Nord, visite des monastères d’Od-zoun, de Haghpat et de Sanahine (X-XIIIe siècles) figurant sur la liste du patrimoine mondial d’UNESCO. Départ pour le village de Dsegh, visite de la maison-musée de Hovhannes Toumanian, l'un des plus grands poètes arméniens du XIXe siècle. Nuit à Vanadzor.

JOUR 7 Départ pour la région de Tavouche, découverte du monastère de Haghart-sine. Visite du «Parc National de Dilidjan », allée des bouleaux, visite du monastère de Makaravank (XIIIe siècle). Participation à la fête de la transfi-guration à Idjévan - ancienne fête païenne liée au culte de l’eau, ce jour-là la pratique populaire est d’arroser les passants. Visite du quartier ethno-graphique et de l’amphithéâtre de l’ancienne ville de Dilidjan. Nuit à Dilid-jan.

JOUR 8 Départ pour le lac Sévan dans la région de Guégharkounik, visite des mo-nastères de Sts. Apôtres sur la presqu’île et du monastère de Hayravank au bord du lac. Découverte à Noradouz du plus vaste cimetière de khatch-kars (croix sur pierre) d'Arménie (IX-XVIe siècles). Départ pour la région de Vayots Dzor, visite du caravansérail de Sélim en haut du col de Sélim. Nuit à Eghegnadzor.

JOUR 9 Visite du monastère de Gndévank datant de Xe siècle et de l’usine d’eau minérale « Djermouk ». Découverte des sources thermales, tour de ville à Djermouk. Départ vers le Sud pour la région de Sïounik. Visite de Kara-houndje (observatoire du IIe millénaire av. J.-C.) et du monastère de Vorot-navank (X-XIe s). Tour de ville et nuit à Goris.

JOUR 10 Découverte du complexe monastique de Tatev, centre spirituel et culturel important d’Arménie du XIIIe siècle, visite du « Pont du diable », bains na-turels et grotte de stalactites sous le pont. Départ pour le monastère de Noravank, centre religieux et culturel du XIIe siècle. Retour à Erevan.

JOUR 11 Transfert à l’aéroport le matin, retour à Paris.

Prix du voyage:

1400€/personne Le prix comprend : vol direct aller-retour, hébergement à l’hôtel, repas, transferts en bus, entrées des musées, guide accompagnateur franco-phone tout au long du voyage. Le prix ne comprend pas : assurance du voyage, frais de visa, dépenses personnelles, boissons alcoolisées et pourboires.

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Voyage en Arménie Circuit hors des sentiers battus du 13 au 25 août 2011

JOUR 1 Arrivée à l’aéroport, transfert à l’hôtel, diner. Nuit à Erevan.

JOUR 2 Départ pour la ville d’Edjmiatsine - siège du catholicos de tous les armé-niens, visite de l’église Ste. Hripsimé, participation à la messe de l’as-somption à la Cathédrale. Visite de la trésorerie de la Cathédrale. Démons-tration de la préparation et dégustation du pain traditionnel « lavache ». Retour à Erevan. Tour de ville, marché d’artisanat « Vernissage », visite du musée d’Art Populaire, spectacle de danse traditionnelle le soir. Nuit à Ere-van.

JOUR 3 Départ pour la région d’Aragatsotn (au pied du mont Aragats), visite du monastère de Tégher, excursion à la citadelle d’Amberd, construite au VIIe siècle sur un piton rocheux. Découverte de la cathédrale d’Aroutj - siège de Grigor Mamikonian, gouverneur de l'Arménie au VIIe siècle. Visite d’ate-lier d’artiste. Nuit à Erevan.

JOUR 4 Départ pour le village de Djadjour de la région de Chirak dans le Nord-Ouest du pays. Promenade dans le village et visite du musée de Minas Avetissian, peintre arménien (1928-1975). Tour de ville à Gumri, prome-nade dans les anciens quartiers populaires, musée d’Architecture et de la Vie Urbaine. Visite du complexe monastique de Marmachène. Nuit à Gum-ri.

JOUR 5 Départ pour la région de Lori, visite des monastères d’Odzoun et de Hagh-pat (X-XIIIe siècles) figurant sur la liste du patrimoine mondial d’UNESCO. Participation à une fête populaire. Départ pour le village de Dsegh, visite

de la maison-musée de Hovhannes Toumanian, l'un des plus grands poètes arméniens du XIXe siècle. Nuit à Vanadzor.

JOUR 6 Départ pour la région de Tavouche, visite du monastère de Haghartsine, départ pour le lac Parz. Découverte du «Parc National de Dilidjan», prome-nade dans l’allée de bouleaux. Visite du monastère de Makaravank (XIIIe siècle). Tour dans le quartier ethnographique de la ville de Dilidjan. Nuit à Dilidjan.

JOUR 7 Départ pour le lac Sévan (région de Guégharkounik), visite du monastère de Sts. Apôtres sur la presqu’île. Baignade au lac. Découverte à Noradouz du plus vaste cimetière de khatchkars (croix de pierre) d'Arménie (IX-XVIe siècles). Visite du village de Noradouz, connaissance avec la vie quoti-dienne des habitants. Nuit à Tsapatagh au bord du lac.

JOUR 8 Départ pour la région de Vayots Dzor, visite du caravansérail de Sélim en haut du col de Sélim. Dégustation du vin dans une cave à vins. Visite du monastère de Gndévank datant de Xe siècle. Découverte de l’usine d’eau minérale « Djermouk » et de la fameuse chute d’eau de la région. Tour de ville, nuit à Djermouk.

JOUR 9 Départ pour la région de Sïounik. Visite du site mégalithique de Kara-houndje (observatoire du IIe millénaire av. J.-C.). Départ pour la ville de Go-ris, visite du musée archéologique, de la fabrique de tapis, tour au marché, découverte de la ville. Nuit à Goris.

JOUR 10 Visite de la maison-musée d’Aksel Bakounts, écrivain et philologue armé-nien (1899-1937). Départ pour le complexe monastique de Tatev, centre spirituel et culturel important d’Arménie du XIIIe siècle. Visite du site natu-rel « Pont du diable ». Cours de cuisine arménienne - préparation d’un plat traditionnel. Découverte des troglodytes du village de Khndzoresk. Nuit à Goris.

JOUR 11 Départ pour la région de Vayots Dzor, visite du monastère de Noravank. Découverte de la zone de protection spéciale de la région (populations d'espèces d'oiseaux sauvages). Rencontre avec l’ornithologue. Visite du monastère de Khor Virap. Découverte du site archéologique des habita-tions de l’Arménie historique. Retour à Erevan.

JOUR 12 Visite d’atelier d’artiste, rencontre avec tailleur de khatchkar, tour au mar-ché couvert. Visite d’Exotarium (animaux exotiques et typiques d’Arménie) et de la mosquée bleue. Diner d’adieu. Nuit à Erevan.

JOUR 13 Transfert à l’aéroport, départ pour Paris.

Le prix du voyage : 1950€/personne Le prix comprend : vol direct aller-retour, hébergement à l’hôtel, repas, transferts en bus, entrées des musées, guide accompagnateur franco-phone tout au long du voyage. Le prix ne comprend pas : assurance du voyage, frais de visa, dé-penses personnelles, boissons alcoolisées et pourboires.

TÉLÉCHARGER :  Le programme de la Terre d’Arménie

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=53861

Agenda - Mon ami Toumanian : poèmes, ballades, contesAgenda - Mon ami Toumanian : poèmes, ballades, contes - www.-

collectifvan.org - Auteur : Alice Varvarian - Préface : Tigrane Yéga-vian - Illustrateur : Laureen Topalian - Traducteur : Alice Varva-rian-Saboundjian - Editeur : SIGEST - Collection : Trésors d'Armé-nie - Le poète et écrivain arménien Hovhannès Toumanian (1869-1923), a passé toute son enfance dans sa chère province du Lori aux pittoresques montagnes... -

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La présentation de l'éditeur

Le poète et écrivain arménien Hovhannès Toumanian (1869-1923), a passé toute son enfance dans sa chère province du Lori aux pittoresques mon-tagnes.

Le folklore arménien ayant été la source d'inspiration de Toumanian, son oeuvre est intimement liée à la vie de son peuple. Ses textes, étonnam-ment d'actualité, sont celles d'un pédagogue inné.

Dans ces contes, ballades et poèmes vous rencontrerez, tour à tour, un troubadour qui vous chantera l'histoire du puissant prince Tatoul, vous dé-couvrirez la légende de l'île Akhtamar, vous serez stupéfaits de voir ce que peuvent faire une goutte de miel et une mouche, vous serez surpris par le destin sans pareil de Nazare-le-Brave. Vous y rencontrerez aussi des pay-sans et des jeunes paysannes qui vous feront sourire avec bienveillance, vous serez étonnés par l'imagination de Hassane-le-Gai-Luron. Vous y ver-rez comment les loups et les bergers se partageaient le même territoire dans ces redoutables et superbes montagnes ; ces montagnes qui feront de David de Sassoun le héros noble et puissant, invincible, mais tolérant, symbole de la résistance à l'oppression.

Non content de donner uniquement à Hovhannès Toumanian une tonalité bien française, le présent livre refuse de figer cet auteur dans un espace temps restreint.

C'est pourquoi Mon ami Toumanian a sa place dans chaque bibliothèque. C'est l'ami que l'on aime fréquenter pour sa grande sagesse.

Extrait de l'introduction

Seulement vingt quatre oeuvres ! s'étonneront à bon escient tous ceux qui aiment et admirent l'écrivain arménien. Hovhannès Toumanian, car

On peut compter les astres aux d'eux, Compter ses oeuvres, on ne le peut...

Ses oeuvres, étonnamment d'actualité, sont celles d'un pédagogue inné, le pédagogue que beaucoup de peuples souhaiteraient avoir de nos jours encore.

Le folklore arménien ayant été la source d'inspiration de Hovhannès Tou-manian, son oeuvre est intimement liée à la vie de son peuple. A présent encore, ses ouvrages accompagnent chaque Arménien depuis sa plus tendre enfance jusqu'à sa profonde vieillesse : comptines et délicieuses poésies enfantines, contes et poèmes décrivant leur vie dans ce pays de montagnes si majestueuses... Et c'est encore à travers ses poèmes qu'il exprimera, avec tant de pudeur, ses souffrances face aux barbaries inima-ginables que son peuple a vécues.

Né en 1869, Hovhannès Toumanian est d'abord un écrivain arménien du XIXe siècle. Dans la littérature arménienne, c'est ce siècle qui a vu se for-

mer la langue littéraire contemporaine arménienne, une langue qui s'est détachée de la langue savante, le grabar, que le peuple n'utilisait pas.

De nombreux écrivains arméniens de ce siècle ont fait le choix d'écrire dans la langue de leur province natale, pour que leurs ouvrages atteignent le but qu'ils s'étaient donné : l'éducation de toutes les couches de la popu-lation, préservant, peut-être inconsciemment, un riche patrimoine de langues provinciales.

Hovhannès Toumanian en a fait partie. Étant né à Dsegh, village du Lori aux pittoresques montagnes, il a donc décrit, dans la langue de sa pro-vince natale, les coutumes ancestrales de l'Arménie profonde, présentant à son peuple l'inhumanité et l'absurdité de certaines d'entre elles. On peut citer entre autres le poème Anouche et la ballade Maro qui en sont d'im-pressionnantes illustrations.

En véritable poète, il montrera la voie vers la modernité de la pensée, sans choquer, sans renier toutes ces coutumes qui ont formé l'âme armé-nienne.

Il a une série de contes qui décrivent, dans un écrin d'humour, les qualités et les défauts de l'espèce humaine.

Il a immortalisé, en deux magnifiques poèmes, le lac de Parvana et le lac de Van, quant à son poème épique David de Sassoun, il est d'une stupé-fiante perfection.

Il est en quelque sorte notre Homère, à nous autres Arméniens, car comme lui, il a su choisir sur sa palette riche d'une diversité de langues et de dialectes, les mots qui pouvaient faire la rime, assurer le rythme, et surtout donner la nuance à la pensée qu'il voulait exprimer !

C'est avec ce bagage qu'il a avancé avec son siècle, avec ce XIXe siècle étincelant de nouveautés dans tous les domaines, y compris dans celui de la littérature. La littérature pour la jeunesse n'existait pas encore, toutes les découvertes de ce siècle allaient lui en donner l'essor.

Mon ami Toumanian : poèmes, ballades, contes Auteur : Alice Varvarian Préface : Tigrane Yégavian Illustrateur : Laureen Topalian Traducteur : Alice Varvarian-Saboundjian Date de saisie : 26/05/2011 Genre : Anthologies Editeur : SIGEST, Alfortville, France Collection : Trésors d'Arménie

Prix : 24.95 € / 163.66 F ISBN : 9782917329238 Sorti le : 28/04/2011

Pour commander sur Amazone http://www.amazon.fr/s/?url=search-alias=aps&field-keywords=9782917329238&tag=passidulivre-21&link_code=wql&camp=2498&creative=9186&_encoding=UTF-8

et sur Librairie dialogues http://www.librairiedialogues.fr/livre/1871224-mon-ami-toumanian-poemes-ballades-contes-24-oeuvres-de-hovhannes-toumanian-choisies-et--sigest?affiliate=passiondulivre&

http://www.diasporamag.com/magazine/livresalaune/mon-ami-toumanian--poemes-ballades-contes/index.html

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Agenda - La Pointe du couteau de Gérard ChaliandAgenda - La Pointe du couteau de Gérard Chaliand - Agenda Col-

lectif VAN - www.collectifvan.org - La Pointe du couteau de Gérard CHALIAND, Mémoires - Tome 1 Editions Robert Laffont - Gérard Chaliand a traversé le XXe siècle en homme libre et en nomade, souvent au plus près des zones de conflit. Le récit de son exis-tence est un chant d’amour à la beauté du monde.

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Novembre 1952. Un jeune Parisien de 18 ans débarque à Alger. Ici, il ne connaît personne et doit se débrouiller pour survivre. Dans deux ans, la guerre éclatera. Entre-temps, Gérard Chaliand aura regagné la France. Il lui sera alors demandé d’aller combattre ces Algériens avec lesquels il vient de fraterniser. À 20 ans, tout en exerçant divers petits boulots, le jeune homme publie plusieurs recueils de poésie salués par André Breton. Son engagement anticolonialiste au sein des revues Partisans puis Révolu-tion africaine le conduit à partir sur le terrain. De l’Afrique à l’Amérique la-tine, du Moyen-Orient à l’Asie orientale, il sillonne le globe, croisant Amil-car Cabral, Che Guevara ou Yasser Arafat. Acteur de la guérilla avant d’en devenir théoricien, il est aujourd’hui l’un des plus éminents spécialistes des problèmes politiques du monde contemporain. Il a traversé le XXe siècle en homme libre, souvent au plus près des zones de conflit. Le récit de son existence est un chant d’amour à la beauté du monde.

Date de parution : mai 2011

EAN13 : 9782221103661 ISBN : 2221103661 Type de reliure : Broché Nombre de pages : 460 Dimensions (en mm) : 240 x 153 Poids : 564 g

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Agenda - Les Petits-enfants de A. Gül Altinay et de F. CetinAgenda - Les Petits-enfants de A. Gül Altinay et F. Cetin - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Les Petits-enfants - Ayse Gül ALTINAY et Fethiye CETIN - traduit du turc par : Célin VURALER - Le témoignage de vingt-quatre descendants d'Arméniens chassés ou massacrés au cours des années 1915-1918, qui présentent des profils bien différents et souvent inattendus : Kurdes, Turcs, Alevis ou sunnites, tous apprennent incidemment qu'ils appartiennent à une communauté honnie, "La communauté arménienne" - Editions Actes sud

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Ayse Gül ALTINAY

Ayse Gül Altinay est enseignante en anthropologie à l’université Sabanci àIstanbul. En 2008, le prix Duygu Asena du Pen Club turc lui a été attribué pour son livre intitulé La Violence à l’égard des femmes en Turquie. Récemment publié chez Actes Sud : Les Petits-fils (2011), coécrit avec Fethiye Cetin.

Fethiye CETIN

Fethiye Cetin est avocate, porte-parole du Groupe de travail sur les droits des minorités. Elle est aussi l'avocate du journaliste Hrant Dink assassiné en 2007. Elle est l'auteur du récit intitulé Le Livre de ma grand-mère (éditions de l’Aube, 2006), qui a connu un immense succès en Turquie. Récemment publié chez Actes Sud : Les Petits-enfants (2011), coécrit avec

Ayse Gül Altinay.

Actes Sud Littérature Lettres turques

Mai, 2011 / 14,5 x 24 / 320 pages traduit du turc par : Célin VURALER ISBN 978-2-7427-9610-6 prix indicatif : 23,80€

http://www.diasporamag.com/magazine/livresalaune/0454b29ee50ad100c.html

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LCI - 54 av. de la Voie Lactée 92656 Boulogne cedexTel : 01 41 41 23 45— Fax : 01 41 41 38 50Internet : www.lci.frQuelques émissions radiosoù les auditeurs peuvent intervenir

Europe 1 www.europe1.frSemaine de 18h55 à 20h00Michel FieldChaque jour, du lundi au vendredi, de 18h55 à 20h00, Michel Field “accouche” en direct les auditeurs, sur un thème d’actualité. Sans se contenter du pour et du contre, il les fait dialoguer à plusieurs sur un même sujet. Ils se forgent ainsi eux-mêmes leur opinion comme lors d’un travail journalistique : croiser des sources puis se rendre compte que la vérité est souvent de l’ordre du compromis entre des idées tranchées. C’est aussi une façon de prendre chaque jour le pouls de l’opinion publique sur des sujets lourds et graves mais aussi légers et futiles comme en distille, chaque jour, l’actualité. Pour discuter avec Michel Field, il suffit d’appeler le 01 42 32 14 14 ou d’envoyer un courrier électronique sur www.Europe1.fr.Semaine de 10h30 à 12h00Jean-Marc MorandiniCoup de pied dans le PAF chaque matin : Jean-Marc Morandini nous dit tout sur le monde du petit écran au travers de reportages et d’enquêtes dans les coulisses de la télé. Egalement en studio chaque matin, une star du petit écran ou un patron de chaîne répondra aux questions de Jean-Marc Morandini et des auditeurs. A découvrir aussi, le zapping de la Télé de la veille et les commentaires des auditeurs qui donnent leurs coups de cœur et leurs coups de gueule sur le répondeur de l’émission au 01 42 32 42 32 ou en direct au 01 42 32 15 15.

RTL www.rtl.frSemaine de 13h00 à 14h00Pierre-Marie Christin Les auditeurs ont la paroleRendez-vous phare de l’information, le 12h30 accueille un nouveau

présentateur. C’est en effet Pierre-Marie Christin qui succède à Christophe Hondelatte et Jérôme Godefroy aux commandes du journal de la mi-journée. Pierre-Marie Christin présente ensuite, de 13h00 à 14h00, “Les Auditeurs ont la Parole”. Réagissez à l'actualité par téléphone (32 10) ou sur internet. Entre 10H et 14H, une standardiste prend votre témoignage. Avant 10H et après14H, vous pouvez laisser vos message sur le répondeur, sans oublier de laisser vos coordonnées téléphoniques si vous voulez participer à l'émission. Chaque vendredi, cette heure d’expression prend une coloration week-end. Les loisirs sont à l’honneur avec la participation des journalistes spécialisés de la rédaction, ou d’intervenants extérieurs. Et, à la veille du week-end, Louis Bodin dialogue avec les auditeurs sur les phénomènes météo de la semaine écoulée ou des deux jours de repos à venir.

France Inter www.radiofrance.frSemaine de 19h20 à 20h00Le téléphone sonneSi vous voulez poser une question, témoigner et/ou intervenir à l'antenne...- le téléphone 01.45.24.70.00 dès 17h- Internet, en utilisant le formulaire de la page "Pour intervenir".- le SMS+ pour réagir pendant l'émission, de 19h20 à 20h : sur votre téléphone mobile, saisir le code " TEL " suivi d'un espace, votre question puis valider et envoyer au 6 20 30. (0.35€ par message plus le prix du sms)Le lundi, mardi, jeudi et vendredi à 19h20, nous vous invitons à réagir sur un thème de l'actualité, à poser vos questions aux invités du téléphone sonne. Vous pouvez également, après la diffusion, réécouter l'émission dans son intégralitéLe répondeur « Là-bas si j’y suis » : 01 56 40 37 37 soit sur notre mail : [email protected] et nous donnerons suite !

RMC www.rmcinfo.frBOURDIN & Co Le 1er show radio d'infoDu lundi au vendredi de 6h à 10h.Découvrez une nouvelle façon de traiter l'info du matin avec "Bourdin & Co" ! Finis les journaux austères et redondants. Voilà enfin un espace de liberté où auditeurs, politiques et journalistes sont logés à la même enseigne. Jean-Jacques Bourdin agite, provoque, polémique, et vos réactions ne se font jamais attendre! Un ton débridé et sincère pour des échanges parfois musclés mais toujours respectueux. Pour intervenir : Appelez le 3216 (0,34€/min).

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L'association des auditeurs de France Culture

L'association des Auditeurs de France Culture (aafc), créée en 1984, rassemble les personnes qui veulent manifester leur intérêt pour cette chaîne de radio dont les émissions sont écoutées et appréciées au delà de nos frontières.

L'objet de l'association est de regrouper les auditeurs de France Culture pour favoriser des rencontres et coordonner les actions visant à :

- l'évolution de la chaîne dans le maintien de sa qualité ;

- la préservation de son identité et de sa spécificité ;

- l'amélioration de sa technique et de son confort d'écoute ;

- son ouverture aux différents aspects de la culture ;

- son rayonnement et développement de son influence ;

- sa pérennité.

L'Association se déclare attachée au caractère de service public de France Culture et ne saurait en aucun cas se substituer à lui. Elle se veut pluraliste et indépendante de tout engagement politique, confessionnel, syndical et philosophique.

Association des auditeurs de France Culture 83 boulevard Beaumarchais 75003 Paris Téléphone : 01 42 09 03 67 Courriel : [email protected]

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Collectif VAN[Vigilance Arménienne contre le Négationnisme]

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